Catalogue 15

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Catalogue 15 LIVRES - AUTOGRAPHES MONOGRAMME XV YVES BRAYER Correspondance inédite DESSINS – TABLEAUX L’AUTHENTICITE des AUTOGRAPHES est GARANTIE ACHAT - VENTE - EXPERTISES LIVRES - AUTOGRAPHES - DESSINS - TABLEAUX SCEAUX DE COLLECTION Lettre autographe signée (L.a.s) = Lettre entièrement de la main de son auteur Lettre ou Pièce signée (L.s ou P.s) = Lettre dont le texte est d’une autre main ou dactylographié Librairie MONOGRAMME Marie-Claire & Daniel BRUKARZ Expert membre du CEFA et de la CEA Membre de la Confédération Européenne des Experts d’Art VILLAGE SUISSE Galerie 105 – 78, avenue de Suffren 75015 PARIS (Accès direct : 11, rue Alasseur) Tél. 01 45 66 48 65 Port. 06 09 26 03 49 Fax 01 45 66 50 94 E-mail : [email protected] Ouvert : Jeudi, vendredi, Samedi de 14 h 30 à 19 heures Conditions habituelles de vente - Prix nets - Port en sus RC Paris A331 404 053 YVES BRAYER Yves Brayer est né à Versailles le 18 novembre 1907. Il n’y restera que peu de temps car son père, polytechnicien et officier d’artillerie, est muté à Bourges en 1914. Il est déjà peu doué pour les études mais commence à montrer un grand intérêt pour le dessin. A la fin de la guerre, il entre à l’école des Arts Appliqués de Bourges et apprend l’équitation avec son père qui est nommé Général à Paris en 1924. C’est une grande chance pour Yves Brayer qui découvre les grands Musées, s’inscrit dans les académies de Montparnasse et continue l’équitation à l’Ecole Militaire. Blessé par une ruade au galop, il est "perdu pour l’armée"… son père le laissera faire de la peinture. Il s’inscrit à l’Ecole des Beaux-arts dans la classe de Lucien Simon ; il expose au Salon d’Automne en 1925 et obtient le prix Chenavard en 1927. Sa carrière commence. Il part pour l’Espagne où Vélasquez, Gréco et surtout Goya auront une grande influence sur son œuvre. Il a 20 ans et, soutenu par Jean-Louis Forain, il obtient le prix du Maroc décerné par le Maréchal Lyautey. Il s’ensuivra une longue amitié entre les deux familles d’artistes qui perdure aujourd’hui ; Florence Valdes-Forain l’arrière-petite-fille du peintre et moi avons l’habitude de dire que notre amitié dure depuis 85 ans. Brayer ne reste pas longtemps au Maroc craignant le pittoresque de ce pays. Il rentre à Paris et prépare le Grand Prix de Rome qu’il obtient en 1930. C’est un tournant dans sa vie. Il s’installe à la Villa Médicis début 1931 mais il craint de s’y "encroûter" comme il l’écrit à sa mère. Lors de régulières expositions de pensionnaires à la Villa il rencontre François Charles-Roux et Henry de Jouvenel (et plus tard Charles de Chambrun) qui l’invitent aux cérémonies des ambassades. Sa palette s’enrichit d’ocres et de rouges et il se laisse séduire par la vie romaine et le "théâtre" que constituent les costumes colorés des officiers, des ecclésiastiques et des élégantes. Il continue aussi à exposer à Paris : en 1932 avec ses amis Brianchon, Oudot, Legueult et Planson. En 1934 il inaugure la nouvelle Galerie Charpentier située à l’emplacement actuel de Sotheby’s en face de l’Elysée. Il retrouve régulièrement ses camarades Gruber, Humblot, Rohner, Tauzin, Paul-Emile Victor, Jean Bouret au Dôme et chez Solange, rue Lhomond. A la fin de son service militaire il devient, à 27 ans, professeur à la Grande Chaumière et partage son atelier avec Friesz. Il fait la connaissance d’André Utter qui fera son portrait et fréquente le petit monde d’Utrillo, de Lucie Valore et de leur marchand Paul Pétridès. 1 En 1940, il est démobilisé près de Montauban. Il retrouve des amis à Cordes-sur-Ciel près d’Albi. Il sera rejoint par plusieurs amis artistes et ils fonderont "l’Académie de Cordes" qui exposera au Musée Toulouse-Lautrec. Pendant la guerre, malgré les transports difficiles, il alterne les séjours entre Cordes et Paris. Jacques Rouché directeur de l’Opéra de Paris lui propose de réaliser les maquettes de décor et costumes de ballets. Il y rencontre Serge Lifar et ce sera le début d’une longue collaboration entre les deux hommes. Brayer réalisera un superbe portrait en pied du danseur et maître de ballet en 1942. Il reviendra régulièrement au Théâtre surtout pour des ballets qu’il affectionne particulièrement. Il travaillera avec les musiciens Henri Sauguet, Darius Milhaud, André Jolivet, Georges Auric, Daniel Lesur, Michel Levy. Travailleur infatigable, il aime se reposer en changeant de discipline : passant de la peinture à l’aquarelle puis à la gravure, de maquettes de décor aux illustrations de livres. Ainsi à la Libération, Brayer travaille sur "Rhapsodies Gitanes" et part rencontrer Blaise Cendrars à Aix. Il continuera à illustrer régulièrement les livres de luxe ou des albums de lithographies, en particulier : “Malatesta" de Henry de Montherlant en 1947 puis "Les Bestiaires" en 1957, suivront "Le soulier de satin" de Paul Claudel en 1951, "Du sang de la volupté et de la mort" de Maurice Barres et "Goyescas" de Francis Carco en 1953, "L’Ecole de Malivert" d’André Chamson en 1958, "Les Saintes-Maries-de-la-Mer" de Jean-Louis Vaudoyer en 1962, "Lumières du Mexique" de Michel Droit en 1966, "Les mémoires d’un naif" de Paul Guth en 1967, "la danse à l’Opéra" de Serge Lifar en 1969, "Lumières de Provence" de Henri Bosco et "Quand les mystères sont très malins" de Jean Giono en 1973, "Le cheval " de Paul Vialard en 1974, "Le romencero gitan" de Federico Garcia Lorca en 1975, "Lumières de Moscou" de Armand Lanoux en 1976, "El Camino Frances" de Marie Mauron en 1984, "Impressions d’Italie" de Pierre Sabatier en 1987 A la fin de la guerre, il épouse Hermione à Cordes et ils quittent le Tarn à bicyclette pour passer leur voyage de noce en Provence. Un ami, Claude Chabal qui deviendra mon parrain, leur prête son mas à Saint-Rémy. C’est un choc pour Brayer. Il est fasciné par les majestueuses Alpilles aux multiples tons de vert se mélangeant avec le blanc et les gris de rochers. Il découvre aussi la Camargue avec ses grandes étendues d’eau et de sels uniquement peuplées de chevaux, de taureaux et d’oiseaux. Sa palette s’en trouve de nouveau modifiée, elle s’éclaircit et laisse place à des verts, des blancs et des noirs. Il ne se consacre plus uniquement aux villes mais s’intéresse au paysage pur. Après plusieurs séjours à Saint-Rémy et aux Baux il décidera de s’y installer et d’y passer plusieurs mois par an. 2 Entre ses séjours en Provence, il alterne les voyages en Italie et en Espagne, son travail dans son atelier parisien et prépare de multiples expositions particulières ou de groupe ainsi que des Salons : Salon de Indépendants dont il est membre du comité et Commissaire Général en 1950, Salon des Tuileries et Salon d’Automne dont il sera Vice-président de 1969 à 1981 et Président de 1981 à 1985. En 1957, il est élu à l’Académie des Beaux-Arts, dont le benjamin est son ami Lucien Fontanarosa. Jean Galtier-Boissière, directeur du Crapouillot, organise un amical déjeuner à cette occasion en compagnie de Dignimont, Francis Carco, Pierre Delvaux, Jean Oberlé, Roger Peyrefitte et Marcel Jouhandeau. C’est à l’époque une institution très officielle qui, sous l’influence de Brayer et de ses camarades plus jeunes, évoluera en s’ouvrant à la nouvelle génération d’artistes ainsi qu’à d’autres arts comme la photographie, le cinéma et le théâtre. En 1967, Brayer insiste auprès de Bernard Buffet pour qu’il pose sa candidature. De cette élection naît une profonde amitié entre les deux hommes et, adolescent, je me rappelle des soirées à la maison et aux Baux où l’atmosphère était toujours joviale et détendue contrastant avec son œuvre tourmentée. Jamais en repos, il aime voyager. Il part pour New-York et le Mexique en 1963 où il en profitera pour rencontrer le peintre Siquiéros en prison à Mexico. Les deux artistes feront le portrait l’un de l’autre et les deux dessins sont publiés par Michel Droit dans le Figaro Littéraire. En 1966, François Daulte, directeur de la Bibliothèque des Arts et Directeur du Musée de l’Hermitage à Lausanne l’accompagne en Egypte. En 1967, à l’initiative de Pierre Delbé, il se rend en Iran pour le couronnement de l’impératrice Farah Diba et continuera le voyage en Israël. En 1970, je l’accompagne pour un long périple en Italie. C’était passionnant de suivre mon père dans les traces de sa jeunesse et de visiter avec lui les villes et les musées qui l’ont tant inspiré. En 1972, il visite le Portugal. Après les Canaries en 1974, il découvre la Russie sous l’impulsion d’Armand Lanoux dont l’épouse est russe et qui est membre de l’association culturelle France-URSS. En 1975, je suis mes parents en Grèce et tout fier de mon récent permis de conduire je garde le volant pendant les 5 semaines de voyage. Bien que ma conduite un peu sportive ne rassure pas mon père, j’ai rapidement appris à ralentir à la vue des motifs qui pouvaient l’inspirer et devenir un dessin ou une aquarelle. En 1979, je suis étudiant à Boston, mes parents profitent d’un voyage en Arizona pour venir me voir. En 1980, j’insiste pour renouveler l’expérience italienne mais, cette fois- ci, en Espagne afin de découvrir à côté de lui les sites et les peintres qui ont si profondément marqués son œuvre.
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