Revue De Presse
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Revue de Presse RL 19/10/2014 RL 14/09/2014 Inauguration de la Maison Bitche : « Un véritable projet de territoire » du Vélo à Metz RL 10/09/2014 Le Sud Messin s’offre une belle boucle verte RL 15/07/2014 RL 23/10/2014 ouverture de la piste cyclable La passerelle au Nouveau Port Havange-Fontoy de Metz est opérationnelle du 01/01/2010 au 30/11/2014 toute l’actualité des Véloroutes et Voies Vertes en Lorraine RL 23/10/2014 TRAVAUX LA VÉLOROUTE CHARLES-LE-TÉMÉRAIRE EST BOUCLÉE Une passerelle relie désormais Metz et La Maxe Il aura fallu une journée pour poser trois sections de pont à l’entrée du Nouveau port de Metz. Un exercice long et minutieux qui permet désormais aux cyclistes de franchir la Moselle via la véloroute Charles-le-Téméraire Quittant le camion sur lequel il a voyagé durant deux jours, le mastodonte s’élève enfin dans les airs : une section de passerelle de 5,5 tonnes, longue de 22 mètres. Le grutier la fait évoluer centimètre par centimètre pour venir la poser quelques mètres plus loin, au-dessus de la Moselle, sur les berges aménagées au préalable. Le vent souffle, rendant la tâche plus difficile.Sur l’eau, en contrebas, des représentants de la brigade fluviale veillent. Aucune péniche ne doit passer, le temps de la manœuvre.L’opération va se répéter encore deux fois : la passerelle est en trois parties. Enfin, les communes de Metz et de La Maxe seront reliées, à l’entrée du Nouveau port de Metz. L’objectif doit être atteint avant le soir : boucler la véloroute Charles-le-Téméraire. Un chantier qui prend racine en avril dernier. « Nous avons procédé par étapes successives , explique Pascal Dier, chef du service Aménagement de l’espace public pour la Ville de Metz. Dans un premier temps, nous devions relier Longeville-lès-Metz à la rue de Paris, puis celle-ci à l’écluse et, enfin, cette dernière à l’entrée du port de Metz. Aujourd’hui, nous arrivons à la dernière partie. La pose de la passerelle, c’est la cerise sur le gâteau. » Et c’est peut-être l’étape la plus cruciale, celle qui sort de l’ordinaire, même si Alain Steinmetz, chargé de l’opération pour la Ville, rappelle que le pont du Graoully, posé devant les Arènes, était encore bien plus lourd et volumineux. La liaison Metz-La Maxe coûte 1,3 million d’euros. Une enveloppe prévue de longue date. « Les cyclistes passaient jusque-là au travers du port de Metz , fait savoir Bertille Jouan-Ligné, directrice du pôle Mobilité et espace public de la Ville de Metz. Cette route est très fréquentée, notamment par les céréaliers. Ce n’était ni sécurisant ni très confortable. Depuis 2011, on projetait d’aménager une voie écartée de la circulation. » Il y a quelques mois, le projet s’est accéléré. Deux étapes ont été réalisées en parallèle. La passerelle a été fabriquée en Corrèze : la structure en aluminium, tout d’abord, puis le revêtement antidérapant. Pendant ce temps, à Metz, on préparait le terrain. « Pour soutenir la passerelle, il fallait planter des micro-pieux de 12 à 16 m sur les berges. Ensuite, poser une semelle par-dessus et, enfin, installer les piles de pont et les culées », détaille Alain Steinmetz. En fin de matinée, les ouvriers préparaient la démolition de l’ancienne passerelle, un passage très étroit pour les piétons. « On n’en a plus besoin », expliquaient-ils, précisant au passage que le nouveau pont ne devra être utilisé qu’à pied ou à vélo. Cette section de la véloroute, depuis le pont Mixte non loin, sera ouverte aux cyclistes d’ici une quinzaine de jours. « Un capteur, comme il en existe boulevard de Trèves ou au centre-ville de Metz, sera installé pour déterminer sa fréquentation », confie Bertille Jouan-Ligné. RL 27/11/2014 KÉDANGE-SUR-CANNER Une inauguration en grande pompe… À bicyclette Il faisait beau soleil, un tantinet frisquet, bref, des conditions idéales pour la pratique de la bicyclette en cette fin novembre. Et à 10 h 30, ils étaient tous là sur la ligne de départ, excepté le sénateur Todeschini, un fidèle pourtant des inaugurations dans le secteur, mais qui, nommé ministre la veille, a dû déclarer forfait. Le sous-préfet, Étienne Stock, était donc de la sortie, confiant au conseiller général, Jean-Pierre La Vaullée, et à tous les élus de l’Arc Mosellan « son plaisir d’avoir effectué de nombreuses promenades à bicyclette dans les régions où il a exercé ». Pierre Heine, le président de l’Arc Mosellan, a coupé avec eux le ruban. Un geste marquant officiellement l’inauguration de la piste cyclable Buding-Kédange-sur-Canner. Ceci avant de donner le Top départ à tous les élus qui ont ainsi rejoint le moulin de Buding… à bicyclette. Là, avant de passer à un buffet dînatoire, le président Heine a notamment déclaré : « Créer une piste cyclable constitue une action forte car elle modèle le territoire, développe de nouvelles voies de communication et apporte une plus-value à l’Arc Mosellan, tant en termes de tourisme que de développement durable. Cette action, qui met à l’honneur le "déplacement en mode doux", s’inscrit parfaitement dans les compétences de l’Arc Mosellan et dans la conception, qu’ont les élus communautaires, de l’identité du territoire et de son développement. En effet, se placent toujours au cœur de nos réflexions les notions de cadre de vie et de service rendu à la population… » Le montant de l’opération ? 349 000 € pour ce circuit de 3,5 km qui complète les 30 km de vélo route déjà présents sur le territoire et qui s’ajoute au parcours Buding-Elzange, de 3,5 km également. En attendant la piste Elzange-Koenigsmacker pour 2016. RL 22/11/2014 Rorbach-lès-Bitche voudrait racheter la voie On croyait que Mario Schneider, l’habitant de Gros-Réderching, se battait seul, ou presque. Coûte que coûte, il milite pour transformer la voie ferrée en piste cyclable. Il a reçu le soutien officiel de Norbert Dor, le président de la communauté de communes de Rohrbach-lès-Bitche. La collectivité qu’il chapeaute a demandé, par écrit, comment racheter l’emprise foncière de la voie ferrée, qui appartient à Réseau ferré de France. Pourquoi ? « Cet espace constitue, pour l’aménagement du territoire, des enjeux très importants, notamment économiques et écologiques », rappelle Norbert Dor. Il ne veut surtout pas qu’il se transforme en friche. En plus, la voie ferrée traverse des villages, comme Petit-Réderching et Enchenberg. Quelle image a aujourd’hui la gare abandonnée de Meyerhoff ? Pour lui, l’idée défendue par Mario Schneider (qui a compilé un dossier à destination de tous les élus) est « bonne ». « Au départ, confie Norbert Dor, je n’étais pas favorable à cette piste cyclable, qui condamnait définitivement l’avenir du rail. Mais aujourd’hui c’est 100 % raté. » Quel est l’intérêt de cette piste cyclable ? Le cyclotourisme pourrait se développer au Pays de Bitche. Les amateurs de petite reine pourraient venir d’Allemagne, via Sarreguemines. Cette véloroute intitulée Mémoire des forteresses les emmènerait à travers tous les sites touristiques du Pays de Bitche, en reliant les pistes cyclables déjà réalisées par la communauté de communes du Pays de Bitche et même celles envisagées par le village d’Enchenberg. « Pour développer le tourisme, faire découvrir le Pays de Bitche , enchaîne le président de la communauté de communes de Rohrbach-lès-Bitche, toutes les idées sont bonnes à prendre. » La semaine prochaine, Norbert Dor se rapprochera de Francis Vogt, son collègue de Bitche, et de Roland Roth, président de la communauté d’agglomération de Sarreguemines. « La communauté de communes de Rohrbach ne peut travailler seule. Mais les autres collectivités sont-elles prêtes à se lancer dans ce projet ? », se demande le maire de Gros- Réderching. RL 5/11/2014 INTERCOMMUNALITÉ RIVES DE MOSELLE Des voies vertes culturelles et artistiques La centaine de kilomètres de voies vertes que compte la communauté de communes Rives de Moselle va s’enrichir d’œuvres d’art et d’indications d’ordre culturel. Les particuliers ou associations peuvent proposer des œuvres. La centaine de kilomètres que compte la communauté de communes Rives de Moselle va s’enrichir d’œuvres d’art et d’indications d’ordre culturel. Un groupe de travail planche sur le sujet. L’idée a germé dans l’esprit de Catherine Lapoirie, vice-présidente de Rives de Moselle, alors qu’elle parcourait à vélo la voie verte du canal du Nivernais. Celle-ci comporte de nombreux ouvrages d’art. L’élue se dit alors : « Pourquoi ne pas en faire autant le long des voies vertes que de notre communauté de communes ? Il s’agirait d’allier à l’aspect sportif de la voie une dimension à la fois artistique et culturelle. » Ce projet fait aujourd’hui l’objet d’une étude par un groupe de travail qui vient de se constituer au sein de la communauté et à laquelle participent les élus Cathy Cahu de Trémery, Martine Martin de Semécourt, Jean-Paul Vetzel d’Argancy et bien sûr Catherine Lapoirie ainsi que Catherine Adam, secrétaire de direction, et Frédéric Grosnickel, directeur général des services. Dans un premier temps, les élus communautaires ont effectué un état des lieux. Le réseau d’une longueur de cent kilomètres, relie les communes entre elles, jouxte plusieurs parcs d’activités, est raccordé à la véloroute Charles-le-Téméraire. Emprunté par de nombreux étrangers, il a une vocation touristique et constitue un loisir sportif assidûment pratiqué par les locaux.