Constructing Youth Citizenship in Montreal and Mexico City: the Examples of Youth-Police Relations in Saint-Michel and Iztapalapa
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Constructing youth citizenship in Montreal and Mexico City: The examples of youth-police relations in Saint-Michel and Iztapalapa Julie-Anne Boudreau, Diane E. Davis, Nathalie Boucher, Olivier Chatel, Clémence Élizabeth, Laurence Janni, Alain Philoctète, Héctor Salazar Salame Titre Auteur Constructing youth citizenship in Montreal and Mexico City: The examples of youth-police relations in Saint-Michel and Iztapalapa Julie-Anne Boudreau, Diane E. Davis, Nathalie Boucher, Olivier Chatel, Clémence Élizabeth, Laurence Janni, Alain Philoctète, Héctor Salazar Salame Laboratoire Ville et ESPAces politiques (VESPA) Institut national de la recherche scientifique Centre - Urbanisation Culture Société Janvier 2012 Directed by/dirigé par: Julie-Anne Boudreau and/et Diane E. Davis Prepared by/preparé par: Julie-Anne Boudreau, Nathalie Boucher, Olivier Chatel, Diane E. Davis, Clémence Élizabeth, Laurence Janni, Alain Philoctète, and/et Héctor Salazar Salame With the collaboration of/avec la collaboration de: Antoine Noubouwo Partly translated into English by/ partiellement traduit vers l’anglais par: Nathalie Boucher, Joana Borrero Luz, and/et Alexia Bhéreur-Lagounaris Project financed by/un projet finance par: Centre Metropolis du Québec Canada Research Chair in Urbanity, Insecurity, and Political Action/Chaire de recherche du Canada sur l’urbanité, l’insécurité et l’action politique Diffusion : Institut national de la recherche scientifique Centre – Urbanisation Culture Société 385, rue Sherbrooke Est Montréal (Québec) H2X 1E3 Téléphone : (514) 499-4000 Télécopieur : (514) 499-4065 www.ucs.inrs.ca ISBN 978-2-89575-267-7 Dépôt légal : - Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2012 - Bibliothèque et Archives Canada © Tous droits réservés Avant-propos Ce rapport est issu d’une courte mais intense recherche comparative mettant en parallèle les quartiers de Saint-Michel à Montréal et les sept barrios d’Iztapalapa à Mexico. Ce projet comparatif est né d’une collaboration précédente avec le Réseau continental de recherche sur l’informalité dans les métropoles (RECIM). Il a été financé par le Centre Métropolis Québec et la Chaire de recherche du Canada sur l’urbanité, l’insécurité et l’action politique. À Montréal, les recherches ont été menées par Clémence Elizabeth et Alain Philoctète sous la supervision de Julie-Anne Boudreau. Au Mexique, elles ont été conduites par Héctor Salazar Salame sous la supervision de Diane E. Davis. Les objectifs de recherche ont été discutés dès le départ avec nos partenaires, le Centre international pour la prévention de la criminalité (CIPC) et le Centre national de prévention du crime (CNPC) au Canada. Suite à la phase de cueillette des données, une rencontre a eu lieu afin de discuter des résultats préliminaires. Nos partenaires ont également fourni des commentaires sur la première ébauche de ce rapport. Nous les remercions pour leur enthousiasme durant tout ce processus, tout particulièrement Rolando Ochoa du CIPC et Mary-Anne Kirvan du CNPC. Bien entendu, toutes inexactitudes qui pourraient subsister dans ce rapport ne sont attribuables qu’aux auteurs. Plusieurs personnes ont facilité cette recherche, tout particulièrement lorsque nous étions sur le terrain. Nous désirons tout d’abord remercier les jeunes avec qui nous avons parlé. Il n’est pas toujours facile de faire confiance à des chercheurs qui posent parfois des questions sur des sujets sensibles. C’est donc avec grande reconnaissance que nous soulignons leur confiance, leur volonté de nous confier leur histoire et de nous partager leurs idées éclairantes. À Montréal, nous aimerions aussi saluer le support d’Harry Delva et son équipe de jeunes patrouilleurs de la Maison d’Haïti qui nous ont énormément aidés à tisser des liens avec les jeunes. Nous remercions aussi Vincent Richer, qui était alors commandant du poste de police de quartier à St-Michel (PDQ 30) et qui nous a permis de parler avec les policiers. Soulignons également la contribution d’Anie Samson, maire de l’arrondissement, et Nawal Bekhechi, son attaché politique, qui nous ont donné accès à de nombreux documents sur la prévention dans le quartier. Finalement, une reconnaissante toute particulière va aux membres du Laboratoire Ville et ESPAces politiques (VESPA) qui ont contribués parfois dans des délais serrés à rendre ce rapport possible : Nathalie Boucher, Laurence Janni, Alexia Bhéreur- Lagounaris, Antoine Noubouwo, Olivier Chatel et Joana Borrero Luz, merci de votre souplesse, de vos idées inspirantes et de votre enthousiasme. iv Au Mexique, nous voudrions remercier chaleureusement Epifanio Margarito Ruiz Urrea (Margarito pour les intimes), sans qui le travail de terrain aurait été impossible. Il nous a généreusement donné accès à ses contacts, ses amis et sa maison. De même, nous aimerions souligner l’apport du coordonnateur général de la sécurité publique d’Iztapalapa, Lic. Rosario Novoa Peniche. Non seulement nous a-t-elle octroyé plusieurs entrevues, mais elle nous a également ouvert la porte pour rencontrer les officiers locaux et métropolitains de sécurité publique. Elle a facilité l’organisation de patrouilles avec les policiers d’Iztapalapa et ceux de la région métropolitaine. Nous tenons finalement à remercier Carlos Salazar pour son soutien au début de cette étude et pour les nombreuses heures qu’il a consacré à transcrire les 30 heures d’entretiens que nous avons faits à Iztapalapa. Enfin, un mot sur les langues utilisées dans cette recherche : ce rapport, ses documents adjacents et les discussions avec les membres des équipes, les partenaires et les chercheurs de Mexico ont été rédigé en anglais puisque c’était la seule langue commune. Par contre, sur les terrains, nous avons travaillé en espagnol au Mexique et en français à Montréal. Nous espérons trouver le budget nécessaire pour le traduire vers le français. Le sommaire exécutif est cependant disponible dans les deux langues. v Foreward This report is the result of a short but intense comparative research project that took place in parallel in the neighbourhood of Saint-Michel in Montreal and the seven barrios of Iztapalapa in Mexico City. The idea for this comparison came from previous team member collaborations within the framework of the Réseau continental de recherche sur l’informalité dans les métropoles (RECIM). The project was financed by the Quebec Metropolis Center and the Canada Research Chair in Urbanity, Insecurity, and Political Action. In Montreal, research was conducted by Clémence Élizabeth and Alain Philoctète, under the supervision of Julie-Anne Boudreau. In Mexico, research was conducted by Héctor Salazar Salame, under the supervision of Diane E. Davis. Research objectives and questions were discussed with our partners, the International Centre for the Prevention of Crime (ICPC) and the National Crime Prevention Centre of Canada (NCPC) at the beginning of the project. Following data collection, another meeting was held in order to discuss preliminary results and our partners provided comments on the first draft of this final report. We wish to thank them for their enthusiasm throughout this project, particularly Rolando Ochoa from the ICPC and Mary-Anne Kirvan from the NCPC. Any remaining inaccuracies that may exist are, of course, the sole responsibility of the authors of this report. There are many people that made this project possible, particularly in the field. We wish to start by thanking the youths with whom we spoke. It is not always easy to trust researchers when they come and ask questions about sometimes sensitive issues. For their trust, their willingness to speak, and their enlightening ideas, we wish to salute these youths. In Montreal, we also wish to acknowledge the support of Harry Delva and his team of youth patrollers from the Maison d’Haïti, who helped us immensely in approaching youths. Thank you as well to Vincent Richer, who was Commandant of the neighbourhood police station (PDQ 30) in Saint-Michel, for letting us speak to his team, and to Anie Samson, Borough Mayor, and her political aide, Nawal Bekhechi, who gave us access to a number of documents on the prevention projects of the neighbourhood. Finally, a special acknowledgement goes to the team at the Laboratoire Ville et ESPAces politiques (VESPA) who all contributed at the last minute to make this report possible, despite very tight deadlines: Nathalie Boucher, Laurence Janni, Alexia Bhéreur-Lagounaris, Antoine Noubouwo, Olivier Chatel and Joana Borrero Luz, merci de votre souplesse, de vos idées inspirantes et de votre enthousiasme. vi In Mexico, we wish to warmly thank Epifanio Margarito Ruiz Urrea (Margarito for short), without whom fieldwork would have been impossible. He generously gave us access to his barrio, his friends and his house. Similarly, we wish to acknowledge the help of the Public Security General Coordinator in Iztapalapa, Lic. Rosario Novoa Peniche. She not only granted us numerous interviews, but also gave us access to public security officials at the borough and city level, as well as allowing us to go on a ride- along with police in Iztapalapa, and was the catalyst for getting the ride-along with Metropolitan police officers. Lastly, thanks are due to Carlos Salazar for his support during the early stages of this research and for his invaluable work transcribing the over thirty hours of interviews conducted in Iztapalapa. Finally, a note on language: this report, as well as all working documents used in our discussion with partners and researchers in Mexico, was written in English as this