PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS Edition n° 18 du 30 mars 2018

Les actes dans leur intégralité peuvent être consultés à la préfecture ou auprès des services concernés.

Le recueil peut aussi être consulté :

 sur le site Internet des services de l'État en Meurthe-et-Moselle : www.meurthe-et-moselle.gouv.fr

 aux guichets d'accueil de la préfecture et des sous-préfectures, pendant deux mois à partir du 30 mars 2018 RECUEIL N° 18 603 30 MARS 2018

S O M M A I R E

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES...... 605

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 605 CABINET DU PREFET...... 605 DIRECTION DES SECURITES...... 605 Bureau des polices administratives...... 605 Arrêté préfectoral n° 2018/002 du portant renouvellement de l’agrément de la société IMMOBILIERE GX pour l’exercice de l’activité de domiciliation d’entreprises...... 605 Service interministériel de défense et de protection civile...... 606 Arrêté préfectoral n° 2018/22/SIDPC du 12 mars 2018 portant renouvellement de l’agrément de sécurité civile de l'association Secours-Aider-Protéger de Meurthe-et-Moselle (SAP 54)...... 606 Arrêté préfectoral n° 2018/23/SIDPC du 22 mars 2018 portant modification de l’agrément de l'association Unité Mobile de Premiers Secours de Meurthe-et- Moselle en date du 17 mars 2016...... 606 DIRECTION DE LA CITOYENNETE ET DE L’ACTION LOCALE...... 606 SERVICE DE LA CITOYENNETE ET DES COLLECTIVITES TERRITORIALES...... 606 Bureau des affaires budgétaires et financières des collectivités territoriales...... 606 Arrêté préfectoral du 28 mars 2018 portant nomination de régisseurs de police municipale à PONT-A-MOUSSON...... 606 Bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités territoriales...... 607 Arrêté interpréfectoral n° 2018-DCL/1-015 (Moselle/Meurthe-et-Moselle) en date du 23 mars 2018 actant la transformation du Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy en syndicat mixte...... 607 SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES...... 608 Bureau de la coordination interministérielle...... 608 Avis de la Commission Nationale d’Aménagement Commercial...... 608 Bureau des procédures environnementales...... 608 Arrêté interpréfectoral des 15 et 21 février 2018 modifiant le fonctionnement du Comité interdépartemental d'information et de concertation sur les risques miniers dans le bassin salifère lorrain...... 608 Arrêté préfectoral du 20 mars 2018 portant organisation de l’inspection des installations classées pour la protection de l’environnement dans le département de la Meurthe-et-Moselle...... 609 Arrêté préfectoral n° 2016-0634 du 22 mars 2018 portant autorisation unique sur la demande présentée par la SAS METHASANON en vue d’exploiter une unité de méthanisation et de cogénération sur le territoire de la commune d’EINVILLE-AU-JARD...... 610 SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT...... 627 DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES – EST...... 627 DIVISION EXPLOITATION DE BESANÇON...... 627 Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-B54-88-011 du 21 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération...... 627 DIVISION EXPLOITATION DE METZ...... 629 Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-17 du 28 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux d’entretien préventif de chaussée sur A31 du PR 271+000 au PR 277+350.629 Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-18 du 28 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux de réfection des chaussées et de joints d’ouvrages d’art sur la RN4 du PR 35+000 au PR 30+000...... 634 Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-19 du 29 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux d’entretien préventif de chaussée sur A31 du PR 271+000 au PR 277+350 (ANNULE ET REMPLACE l’arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-17 du 28 mars 2018)...... 637 AGENCE REGIONALE DE SANTE GRAND EST...... 642 DELEGATION TERRITORIALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 642 Service territorial de veille et sécurité sanitaires et environnementales...... 642 Arrêté préfectoral n° 0924/2018/ARS/DT54 du 22 mars 2018 déclarant la levée de l’arrêté préfectoral N°1351/2017/ARS/DT54portant déclaration d’insalubrité remédiable du logement situé 11, rue Sous les Roches – 54200 PIERRE-LA-TREICHE...... 642 Arrêté préfectoral n° 1163/2018/ARS/DT54 du 22 mars 2018...... 642 DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI GRAND EST...... 643 DIRECTION...... 643 Arrêté n° 2018/02 du 27 mars 2018 portant subdélégation de signature du responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est en matière d’actions d’inspection de la législation du travail...... 643 Arrêté cadre n° 2018/10 du 26 mars 2018 portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d'inspection du travail de la région Grand Est...... 643 Arrêté n° 2018/15 du 26 mars 2018 portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d'inspection du travail du département de Meurthe-et-Moselle...... 645 UNITE DEPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 668 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/824291884 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 668 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/824078836 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 669 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/824731541 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 669 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP /824867964 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 670 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/825039134 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 671 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/825005366 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 671 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/825286362 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 672 Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/789162476 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail...... 672 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 673 SERVICE AGRICULTURE – FORÊT – CHASSE...... 673 Unité Aides directes – Structures...... 673 Arrêté préfectoral du 7 mars 2018 fixant la composition de la commission consultative paritaire des baux ruraux de Meurthe-et-Moselle...... 673 SERVICE ENVIRONNEMENT – EAU – BIODIVERSITE...... 674 Unité Milieux Aquatique...... 674 Arrêté préfectoral n° 54-2017-00099 du 16 mars 2018 portant autorisation au titre de l'article L. 214-3 et déclaration d'intérêt général au titre de l'article L. 211- 7 du code de l'environnement concernant la réalisation de canalisations de collecte et de transfert des eaux usées dansles berges de l'Uvry sur la commune de VÉZELISE...... 674 AGENCE NATIONALE DE L'HABITAT...... 676 Délégation locale de Meurthe-et-Moselle...... 676 Règlement intérieur de la Commission Locale d’Amélioration de l’Habitat de la Communauté de Communes du Bassin de POMPEY...... 676 RECUEIL N° 18 604 30 MARS 2018 RECUEIL N° 18 605 30 MARS 2018

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE CABINET DU PREFET

DIRECTION DES SECURITES Bureau des polices administratives

Arrêté préfectoral n° 2018/002 du portant renouvellement de l’agrément de la société IMMOBILIERE GX pour l’exercice de l’activité de domiciliation d’entreprises

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

Vu la directive 2005/60/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à la prévention de l'utilisation du système financier aux fins de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme ; Vu le code de commerce, notamment ses articles L. 123-11-3, L. 123-11-4, L. 123-11-5 et L. 123-11-7 ; Vu le code monétaire et financier, notamment ses articles L. 561-37 à L. 561-43 ; Vu l'ordonnance n° 2009-104 du 30 janvier 2009 relative à la prévention de l'utilisation du système financier aux fins de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, notamment ses articles 9 et 20 ; Vu le décret n° 2009-1535 du 10 décembre 2009 définissant les modalités de contrôle du respect des obligations relatives à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme par les personnes mentionnées aux 8°, 9° et 15° de l'article L. 561-2 du code monétaire et financier et relatif à la Commission nationale des sanctions (articles R. 561-43 à R. 561-50 du code monétaire et financier) ; Vu le décret n° 2009-1695 du 30 décembre 2009 relatif à l'agrément des domiciliataires d'entreprise soumises à immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers (articles R. 123-166-1 à R. 123-166-5 du code de commerce) ; Vu l’arrêté préfectoral n°2012/014 du 23 mars 2012 portant agrément pour l’exercice d’une activité de domiciliation d’entreprises de la société IMMOBILIERE GX ; Vu l’arrêté préfectoral N° 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, sous-préfet, directeur de cabinet ; Vu la demande de renouvellement de l’agrément prévu à l’article L.123-11-3 du code du commerce, présentée par Madame Sylvie GATTO, agissant pour le compte de la société IMMOBILIERE GX, en qualité de gérante, reçue le 26 janvier 2018 ; Vu l'avis du directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi, responsable de l'unité territoriale de Meurthe-et-Moselle (secrétaire permanent du comité opérationnel départemental anti-fraude) en date du 19 mars 2018 ; Considérant que la société IMMOBILIERE GX satisfait aux obligations imposées par la loi et que ses dirigeants présentent une honorabilité et une aptitude conformes aux attentes exigées des entreprises intervenant dans le secteur économique et financier ; Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet ; A R R E T E Article 1 : L’agrément pour exercer l’activité de domiciliation d'entreprises de la société IMMOBILIERE GX, société civile immobilière, domiciliée 2 allée d'Evry, technopôle de Nancy-Brabois, à VILLERS-LES-NANCY (54600), immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Nancy sous le numéro 514 818 012, est renouvelé. Cette société est autorisée à exercer l’activité de domiciliation pour l’établissement principal situé • 5 allée de Longchamp à VILLERS-LES-NANCY (54600). Article 2 : Le présent agrément est renouvelé pour une durée de six ans à compter du 23 mars 2018. Article 3 : Tout changement important dans l'activité, l'installation, l'organisation ou la direction de la société IMMOBILIERE GX, notamment la création d'un ou plusieurs établissements secondaires, doit être porté à la connaissance du préfet dans un délai de deux mois. Article 4 : L'agrément peut être suspendu pour une durée de six mois au plus ou retiré par le préfet lorsque l'entreprise de domiciliation ne remplit plus les conditions prévues au II de l'article L. 123-11-3 (incompatibilités) du code du commerce ou n'a pas effectué la déclaration prévue à l'article R. 123-166-4 (changement de situation) du même code. Lorsque l'entreprise de domiciliation fait l'objet d'une procédure devant la Commission nationale des sanctions instituée à l'article L. 561-38 du code monétaire et financier, son agrément peut être suspendu par le préfet, à titre conservatoire, pour une durée de six mois au plus, renouvelable par décision spécialement motivée. La décision de suspension ne peut être prise qu'après que le domiciliataire a été mis en mesure de présenter ses observations. Elle cesse de plein droit de produire des effets dès que la commission a rendu sa décision. La décision de suspension ou de retrait peut être prise pour un seul établissement. Article 5 : Les voies et délais de recours figurent à l’annexe jointe au présent arrêté. Article 6 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet, et la gérante de la société IMMOBILIERE GX sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Nancy, le 21 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet, directeur de cabinet, Morgan TANGUY

DÉLAIS ET VOIES DE RECOURS Si vous souhaitez contester la présente décision administrative, vous avez la possibilité de former : Soit un recours administratif dans les 2 mois courant à compter de sa notification sous une des deux formes : • soit un recours gracieux adressé à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle – 1 rue Préfet Claude Érignac – CS 60031 – 54038 NANCY CEDEX ; • soit un recours hiérarchique adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – Direction des libertés publiques et des affaires juridiques – Sous-direction du conseil juridique et du contentieux – Bureau du contentieux des polices administratives – Place Beauvau – 75800 CEDEX 08. NB : En l’absence de réponse de l’administration dans un délai de deux mois à compter de la date de réception du recours, celui-ci doit être considéré comme implicitement rejeté. Soit un recours contentieux dans ce même délai : Ce recours sera adressé au Président du Tribunal administratif de Nancy – 5 place de la Carrière – 54036 NANCY CEDEX. NB : Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l’expiration du 2ème mois suivant la date de notification de la décision contestée. Ce délai est prorogé de 2 mois supplémentaires à compter du rejet du recours gracieux ou hiérarchique. RECUEIL N° 18 606 30 MARS 2018

Service interministériel de défense et de protection civile

Arrêté préfectoral n° 2018/22/SIDPC du 12 mars 2018 portant renouvellement de l’agrément de sécurité civile de l'association Secours-Aider-Protéger de Meurthe-et-Moselle (SAP 54)

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

Vu le code de la sécurité intérieure ; Vu le décret n° 2017-250 du 27 février 2017 relatif à la procédure d'agrément de sécurité civile ; Vu l’arrêté n°2015/8/SIDPC portant agrément de l’association Secourir-Aider-Protéger de Meurthe-et-Moselle ; Vu le dossier de demande de renouvellement d'agrément de sécurité civile présenté par l'association Secourir-Aider-Protéger de Meurthe-et- Moselle, en date du 10 février 2018, reçue le 13 février 2018 ; Vu l’avis du directeur départemental des services d’incendie et de secours de Meurthe-et-Moselle reçu le 07 mars 2018 ; Sur proposition de la secrétaire générale ; A R R E T E Article 1 : L'association Secourir-Aider-Protéger de Meurthe-et-Moselle est agréée dans le département de Meurthe-et-Moselle, pour une durée de trois ans, pour participer aux missions de sécurité civile selon le type des missions définis ci-dessous : A : Secours aux personnes. B : Actions de soutien aux populations sinistrées. D : Dispositifs prévisionnels de secours (point d’alerte et de premiers secours (PAPS)" et "dispositif prévisionnel de secours de petite à grande envergure". Article 2 : L'association Secourir-Aider-Protéger de Meurthe-et-Moselle apporte dans le cadre de ses agréments de sécurité civile, son concours aux missions conduites par le service d'incendie et de secours dans les conditions fixées par le règlement opérationnel prévu à l'article L.1424-4 du code général des collectivités territoriales, à la demande du directeur des opérations de secours et sous l'autorité du commandant des opérations de secours. Article 3 : L'agrément accordé par le présent arrêté peut être retiré en cas de non-respect d'une des conditions fixées par le décret n°2017-250 du 27 février 2017 susvisé. Article 4 : L'association s'engage à signaler, sans délai, au préfet toute modification substantielle susceptible d'avoir des incidences significatives sur le plan de l'agrément de sécurité civile, pour lequel cet arrêté est pris. Article 5 : La secrétaire générale est chargée de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département. Nancy, le 12 mars 2018 Pour le Préfet, La Secrétaire Générale, Marie-Blanche BERNARD ______

Arrêté préfectoral n° 2018/23/SIDPC du 22 mars 2018 portant modification de l’agrément de l'association Unité Mobile de Premiers Secours de Meurthe-et-Moselle en date du 17 mars 2016

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

Vu la loi n° 2004-811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ; Vu le décret n° 2017-250 du 27 février 2017 relatif à la procédure d'agrément de sécurité civile ; Vu l’arrêté du 27 février 2017 relatif à l’agrément des associations de sécurité civile pour la participation à l’encadrement des bénévoles dans le cadre des actions de soutien aux populations, dénommé agrément « C » ; Vu l’arrêté n°2016/19/SIDPC du 17 mars 2016 portant renouvellement de l’agrément départemental de l’association Unité Mobile de Premier Secours de Meurthe-et-Moselle ; Vu le dossier de demande d'agrément de sécurité civile de type C présenté par l'association Unité Mobile de Premiers Secours de Meurthe-et- Moselle, en date du 02 février 2018 ; Vu l’avis du directeur départemental des services d’incendie et de secours de Meurthe-et-Moselle reçu le 22 février 2018 ; Sur proposition du directeur de cabinet ; A R R E T E Article 1 : L’article de l’arrêté n° 2016/19/SIDPC du 17 mars 2016 est modifié comme suit : L'association Unité Mobile de Premiers Secours de Meurthe-et-Moselle est agréée dans le département de Meurthe-et-Moselle, pour une durée de trois ans, pour participer aux missions de sécurité civile selon le type des missions définis ci-dessous : A : Secours aux personnes. B : Actions de soutien aux populations sinistrées. C : Participation à l’encadrement des bénévoles dans le cadre des actions de soutien aux populations. D : Dispositifs prévisionnels de secours. Article 2 : Le directeur de cabinet est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs du département. Nancy, le 22 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet, directeur de cabinet, Morgan TANGUY

DIRECTION DE LA CITOYENNETE ET DE L’ACTION LOCALE

SERVICE DE LA CITOYENNETE ET DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Bureau des affaires budgétaires et financières des collectivités territoriales

Arrêté préfectoral du 28 mars 2018 portant nomination de régisseurs de police municipale à PONT-A-MOUSSON

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

Vu le code général des collectivités territoriales dont notamment son article L 2212-5, Vu le code de la route, dont notamment ses articles L 121-4 et R 130-2, RECUEIL N° 18 607 30 MARS 2018

Vu le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et les départements, Vu le décret n° 2012-1246 du 7 novembre 2012 portant règlement général sur la comptabilité publique et notamment son article 22, Vu le décret 66-850 du 15 novembre 1966, modifié par le décret n° 76-70 du 15 janvier 1976, relatif à la responsabilité pécuniaire des régisseurs, Vu le décret 92-681 du 20 juillet1992 modifié, relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes publics, Vu l’arrêté ministériel du 28 mai 1993, modifié par l’arrêté du 3 septembre 2001, relatif aux taux de l’indemnité de responsabilité susceptible d’être allouée aux régisseurs d’avances et régisseurs de recettes relevant des organismes publics et au montant du cautionnement imposé à ces agents, Vu l’arrêté du 27 décembre 2001 relatif au seuil de dispense de cautionnement des régisseurs d’avances et régisseurs de recettes, Vu l’arrêté ministériel du 22 juillet 2003 portant modification de l’arrêté du 29 juillet 1993 habilitant les préfets à instituer ou à modifier des régies d’avances et de recettes de l’Etat auprès des services régionaux, départementaux ou communaux relevant du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, Vu l’arrêté préfectoral du 24 mars 2003 portant création d’une régie d’Etat permettant l’encaissement du produit des amendes de police municipale dressées sur le territoire de la commune de PONT-A-MOUSSON, ainsi que le produit des consignations, Vu les arrêtés préfectoraux du 14 mai 2003 et du 24 septembre 2004, portant nomination de Michel FRAVAL, Brigadier-chef de police municipale, en qualité de régisseur titulaire et de Jean-Pierre DROUOT, Garde-champêtre, en qualité de régisseur suppléant de la régie d'Etat de PONT-A-MOUSSON pour l'encaissement du produit des amendes forfaitaires de police municipale, en application de l'article L.2212-5 du code général des collectivités territoriales et le produit des consignations prévues par l'article L 121-4 du code de la route, Vu la lettre du 12 février 2018 du maire de PONT-A-MOUSSON proposant la nomination de Mme Stéphanie MASSAUX, Brigadière-cheffe principale, en qualité de régisseur suppléant de cette régie d'Etat de police municipale et précisant que M. Michel FRAVAL, Brigadier chef principal, reste le régisseur titulaire de cette même régie d'Etat, Vu l’avis favorable du directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle sur cette proposition, Sur proposition de la Secrétaire générale de la Préfecture, A R R E T E Article 1 : Les arrêtés préfectoraux du 14 mai 2003 et du 24 septembre 2004 sont abrogés et remplacés par les dispositions qui suivent. Article 2 : M. Michel FRAVAL, Brigadier chef principal de police municipale de PONT-A-MOUSSON est nommé en qualité de régisseur titulaire de la régie d’Etat, pour percevoir le produit des amendes forfaitaires dressées sur le territoire de la commune précitée, en application des dispositions de l’article L.2212-5 du code général des collectivités territoriales et le produit des consignations prévues par l’article L 121-4 du code de la route. Article 3 : Mme Stéphanie MASSAUX, Brigadière cheffe principale est nommée en qualité de régisseur suppléant de cette même régie, auprès de M. Michel FRAVAL. Article 4 : M. Michel FRAVAL, régisseur titulaire, encaisse et verse les fonds au centre des finances publiques de PONT-A-MOUSSON. Il percevra une indemnité de responsabilité conformément aux dispositions de l’arrêté du 3 septembre 2001. Article 5 : La secrétaire générale de la préfecture, le maire de PONT-A-MOUSSON et le directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié par le maire de PONT-A- MOUSSON aux régisseurs concernés. Il sera, en outre, publié au recueil des actes administratifs de la préfecture. Nancy, le 28 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, La Secrétaire Générale, Marie-Blanche BERNARD

Bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités territoriales

Arrêté interpréfectoral n° 2018-DCL/1-015 (Moselle/Meurthe-et-Moselle) en date du 23 mars 2018 actant la transformation du Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy en syndicat mixte

Le Préfet de la Moselle,

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L5214-21 et L5217-7 ; Vu la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; Vu la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales ; Vu la loi n°2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République ; Vu le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et les départements ; Vu l’arrêté préfectoral du 31 janvier 1990 portant création du Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy ; Vu l’arrêté interpréfectoral du 12 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Mad et Moselle issue de la fusion de la communauté de communes du Chardon Lorrain et de la communauté de communes du Val de Moselle ; Vu le décret n° 2017-1412 du 27 septembre 2017 portant création de la métropole dénommée « Metz-Métropole » ; Considérant que le I-6°-j de l’article L5217-2 du CGCT prévoit que les métropoles exercent de plein droit la compétence « Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations, dans les conditions prévues à l'article L. 211-7 du code de l'environnement » (dite « GEMAPI ») ; Considérant qu’en application des dispositions prévues à l’article 76 de la loi n° 2015-991 du 7 août 2015 (dite « loi NOTRe »), la communauté de communes Mad et Moselle exerce la compétence GEMAPI à compter du 1er janvier 2018 ; Considérant que le Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy dont les membres sont des communes appartenant aux deux EPCI à fiscalité propre visés ci-dessus, a pour objet la remise en état et l’entretien des berges et ouvrages du Canal de Jouy aux Arches ; Considérant que le IV ter de l’article L5217-7 du CGCT pour les métropoles et le II de l’article L5214-21 du CGCT pour les communautés de communes prévoient que l’EPCI à fiscalité propre est substitué, pour la compétence GEMAPI, aux communes qui en sont membres lorsque celles-ci sont groupées avec des communes extérieures à l’EPCI dans un syndicat de communes ; Considérant qu’en vertu des dispositions règlementaires visées ci-dessus, Metz-Métropole et la communauté de communes Mad et Moselle sont substituées à leurs communes membres au sein du Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy et qu’il résulte de cette substitution que ce dernier devient un syndicat mixte. Sur proposition des secrétaires généraux des préfectures de la Moselle et de Meurthe-et-Moselle ; A R R E T E N T Article 1 : Le Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy est transformé en syndicat mixte. Les membres du syndicat mixte sont : - Metz-Métropole (pour les communes d’Augny, Montigny-lès-Metz et Moulins-lès-Metz), - La communauté de communes Mad et Moselle pour la commune de Jouy aux Arches. RECUEIL N° 18 608 30 MARS 2018

Article 2 : L’arrêté sera publié, conformément aux usages locaux, par les collectivités concernées et inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Moselle. Les annexes pourront être consultées dans chacune des deux préfectures précitées. Article 3 : En application des dispositions des articles R. 421-1 et R. 421-5 du code de justice administrative, le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de Strasbourg dans un délai de deux mois à compter de la dernière mesure de publicité. Article 4 : Les secrétaires généraux des préfectures de la Moselle et de Meurthe-et-Moselle, les directeurs départementaux des finances publiques des départements de la Moselle et de Meurthe-et-Moselle, le président du Syndicat Intercommunal pour le Canal de Jouy ainsi que les présidents des EPCI à fiscalité propre membres du syndicat sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera adressée au président de la chambre régionale des comptes du Grand Est. Nancy le 23 mars 2018 Metz le 23 mars 2018 Le Préfet, Le Préfet Pour le Préfet, Pour le Préfet La Secrétaire Générale, Le Secrétaire Général, Marie-Blanche BERNARD Alain CARTON

SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES Bureau de la coordination interministérielle

Avis de la Commission Nationale d’Aménagement Commercial

La Commission nationale d'aménagement commercial,

VU le code de commerce ; VU la loi n°2014-366 du 24 mars 2014 pour l'accès au logement et un urbanisme rénové ; VU la loi n° 2014-626 du 18 juin 2014 relative à l'artisanat, au commerce et aux très petites entreprises ; Vu le décret n° 2015-165 du 12 février 2015 relatif à l'aménagement commercial ; VU la demande de permis de construire n° 054 039 17L0005 déposée le 2 août 2017 à la mairie de Baccarat ; VU le recours exercé par la SAS « BACCARINE », ledit recours enregistré le 24 novembre 2017 sous le numéro 3518T01, et dirigé contre l'avis favorable de la commission départementale d'aménagement commercial de Meurthe-et-Moselle du 17 octobre 2017 concernant la création, par la société « LIDL », d'un supermarché à l'enseigne « LIDL », d'une surface de vente de 1 286 m², a Baccarat ; VU l'avis du ministre chargé de l'urbanisme en date du 14 février 2018 ; VU l'avis du ministre chargé du commerce en date du 8 février 2018 ; Après avoir entendu : Mme Hélène DEREUX, secrétaire de la Commission nationale d'aménagement commercial, rapporteur ; Me David DEBAUSSART, avocat ; M. Christian GEX, maire de Baccarat, M. Emmanuel OGIER, directeur national immobilier SNC «LIDL », M. Florent GENIN, responsable immobilier SNC « LIDL» et Me Arnaud CABANES, avocat ; Mme Isabelle RICHARD, commissaire du gouvernement ; Après en avoir délibéré dans sa séance du 15 février 2018 ; CONSIDÉRANT que le projet est compatible avec les orientations du SCoT « Sud 54 » et qu'il est conforme à la destination des zones UX du PLU ; CONSIDÉRANT que projet doit s'implanter sur un terrain qui se présente, actuellement, sous l'aspect d'une friche industrielle; que par lettre du maire de la commune de Baccarat du 1er février 2018, la commune confirme qu'elle entend procéder à la reprise de l'ancien bâtiment exploité par la société « LIDL » pour réaliser un projet de crèche ou de maison de santé ; CONSIDÉRANT que les espaces verts seront engazonnés et végétalisés pour représenter 8 830 m² soit 52 % de la surface de la parcelle ; que pour limiter l’artificialisation des sols, le magasin disposera d'un parc de stationnement composé principalement de places en evergreen cerclées de pavés drainants ; CONSIDÉRANT que le projet permettra d'atteindre une performance énergétique supérieure à la réglementation thermique de 2012; qu'il est prévu l'installation de 486 m² de panneaux photovoltaïques en toiture; CONSIDÉRANT qu'ainsi, ce projet répond aux critères énoncés à l'article L. 752-6 du code de commerce ; EN CONSÉQUENCE : - rejette le recours n° 3518T01 - émet un avis favorable au projet de création, par la société « LIDL », d'un supermarché à l'enseigne « LIDL », d'une surface de vente de 1 286 m2, à Baccarat (Meurthe-et- Moselle). Votes favorables : 7 Votes défavorables : 3 Abstention : 0 Le Président de la Commission nationale d'aménagement commercial, Michel VALDlGUIÉ

Bureau des procédures environnementales

Arrêté interpréfectoral des 15 et 21 février 2018 modifiant le fonctionnement du Comité interdépartemental d'information et de concertation sur les risques miniers dans le bassin salifère lorrain

Le Préfet de la Moselle, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

Vu l’article L.174-4 du code minier ; Vu la circulaire du 20 février 2007 du ministre de l’industrie relative à la mise en place des comités départementaux ou interdépartementaux de suivi des risques miniers ; Vu l'arrêté préfectoral du 12 décembre 2014 modifiant la composition du Comité interdépartemental d'information et de concertation sur les risques miniers dans le bassin salifère lorrain, initialement créé par arrêté préfectoral du 30 janvier 2009 ; Vu l’arrêté préfectoral modificatif du 26 mai 2016; RECUEIL N° 18 609 30 MARS 2018

Considérant les conséquences diverses de l’arrêt de l’activité minière et notamment les risques qu’il est susceptible d’entraîner pour les personnes et les biens ; Considérant l’utilité d’une mise en commun des connaissances techniques et scientifiques les plus actuelles, ainsi que l’expérience acquise en la matière et la nécessité d'informer la population et ses élus; Considérant le caractère interdépartemental du bassin salifère lorrain et la nécessité d'une action concertée des services de l'Etat avec l'ensemble des parties prenantes de l'après-mine ; Considérant la nécessité de renforcer la concertation entre les services de l’État, les exploitants miniers et les représentants des populations directement concernés par les risques miniers ; D E C I D E N T Article 1 : Le comité d'information et de concertation sur les risques miniers dans le bassin salifère lorrain, redéfini par arrêté inter- départemental du 12 décembre 2014, a pour objet l’étude des risques miniers et les mesures à mettre en œuvre pour en assurer la maîtrise. Il assure une mission d’information et de concertation sur : - le bilan de l’activité des exploitants miniers ; - les projets d’exploitation en cours ou à venir ; - l’état d’avancement des procédures d’arrêt des exploitations minières ; - les données scientifiques sur les conséquences des exploitations minières ; - l’état d’avancement de l’évaluation des aléas miniers ; - les règles d’urbanisme en zone d’aléas miniers ; - les porter à connaissance ou les plans de prévention des risques miniers ; - les dossiers éventuels de mises en sécurité, d’expropriations et d’indemnisations traités dans le périmètre du comité. Article 2 : Le comité d'information et de concertation sur les risques miniers dans le bassin salifère lorrain est présidé par le préfet de Meurthe- et-Moselle ou son représentant. Il est compétent pour les départements de la Moselle et de la Meurthe-et-Moselle. Il se réunit au moins une fois par an. L'ordre du jour est fixé par le président selon les questions ou sujets soumis par ses membres. Article 3 : Le comité d'information et de concertation sur les risques miniers dans le bassin salifère lorrain est composé comme suit: au titre des élus : - M. le Président du Conseil Régional du Grand Est ; - Mmes et MM. les Députés des circonscriptions concernées par le bassin salifère lorrain ; - Mmes et MM. les Sénateurs de Moselle et de Meurthe-et-Moselle ; - M. le Président du Conseil départemental de Moselle ; - M. le Président du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle ; - le représentant de la Fédération des Maires de la Moselle et des Présidents des EPCI ; - le représentant de l'Association des maires de Meurthe-et-Moselle ; - les maires et présidents d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) concernés par l'ordre du jour. au titre des exploitants : - le directeur de la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est ou son représentant ; - le directeur de la société Novacarb ou son représentant ; - le directeur de la société Rhodia Chimie ou son représentant ; - le directeur de la société La Saline d’Einville ou son représentant ; - le directeur de la société Solvay ou son représentant. au titre des administrations : - la directrice régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) du Grand Est ou son représentant ; - le directeur départemental des territoires de Moselle ou son représentant ; - la directrice départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle ou son représentant ; - le directeur général de l'agence régionale de santé du Grand Est ou son représentant ; - les sous-préfets de Sarrebourg/Château-Salins, Forbach-Boulay-Moselle, Sarreguemines et Lunéville. au titre des associations : - M. le Président de l'association du Collectif de Défense des bassins miniers lorrains ; - M. le Vice-président de l'association des communes minières de France (ACOM France) ; - M. le Président de l'association portoise de Défense à toutes victimes d'affaissements ou autres désordres (ASPORDA) ; - M. le Président de l'association SELIDAIRE (association de défense des intérêts des propriétaires de Varangéville et environs) ; - M. le Président de l’association einvilloise de défense des propriétaires concernés par les risques d’affaissements miniers (ASSEDRAM), ou son représentant. au titre des organismes compétents : - le directeur du département prévention et sécurité minière (DPSM) du bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) ou son représentant ; - le directeur de GEODERIS ou son représentant ; - le directeur de l'établissement public foncier de Lorraine (EPFL) ou son représentant ; - le directeur du Fonds de garantie des assurances obligatoires (FGAO) ou son représentant. Article 4 : Le présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures de la Moselle et de Meurthe-et-Moselle, annule et remplace les arrêtés préfectoraux du 12 décembre 2014 et 26 mai 2016. Metz, le 15 février 2018 Nancy, le 21 février 2018 Le Préfet de la Moselle, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, Didier MARTIN Eric FREYSSELINARD ______

Arrêté préfectoral du 20 mars 2018 portant organisation de l’inspection des installations classées pour la protection de l’environnement dans le département de la Meurthe-et-Moselle

Le Préfet de Meurthe et Moselle,

VU le titre VII du livre I du code de l’environnement relatif aux installations classées pour la protection de l’environnement ; VU le décret n° 92-604 modifié du 1er juillet 1992 portant charte de la déconcentration ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatifs aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et départements ; VU le décret n° 2009-235 du 27 février 2009 relatif à l’organisation et aux missions des directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement ; VU le décret n° 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux directions départementales interministérielles ; VU la circulaire ministérielle du 10 mai 1991 relative au renouveau du service public - Organisation de l’inspection des ICPE ; RECUEIL N° 18 610 30 MARS 2018

VU l’instruction du ministère chargé de l’environnement en date du 11 février 2005 relative à la coordination de l’inspection des installations classées en région ; VU l’instruction du ministère chargé de l’environnement en date du 21 mai 2010 relative au commissionnement et à l’assermentation des inspecteurs des installations classées ; VU l’arrêté préfectoral du 3 août 2005 portant organisation générale de l’inspection des installations classées dans le département de la Meurthe et Moselle ; VU la note du 26 août 2016 relative à l’organisation des directions départementales en charge de la protection des populations dans leurs missions relatives à l’inspection des installations classées pour la protection de l’environnement ; Sur proposition de la directrice régionale de l’environnement, de l'aménagement et du logement de la région Grand Est et de la directrice départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle ; A R R E T E Article 1er : Sans préjudice de l’article 9 du décret 2009-1884 relatif aux directions départementales interministérielles, la directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région Grand Est est chargée, sous l’autorité du préfet, de l'organisation et de la coordination de l’inspection des installations classées pour la protection de l’environnement dans le département de la Meurthe et Moselle. Article 2 : Assistée des agents de sa direction nommés dans les conditions définies à l’article 4 du présent arrêté, la directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région Grand Est assure, dans le département de la Meurthe et Moselle, l’inspection des installations classées pour la protection de l’environnement autres que celles citées à l’article 3. Article 3 : Les agents de la DDPP, nommés dans les conditions définies à l’article 4 du présent arrêté, assurent, sous l’autorité de la directrice départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle, l’inspection des installations classées pour la protection de l’environnement figurant dans la nomenclature sous les rubriques suivantes : - 2101. Elevage, transit, vente de bovins - 2101 (et 3660). Elevage, vente, transit de porcs - 2110. Elevage, transit, vente de lapins - 2111 (et 3660). Elevage, vente de volailles - 2112. Couvoirs - 2113. Elevage, vente, transit d'animaux carnassiers à fourrure - 2120. Elevage, vente, transit de chiens - 2130. Piscicultures - 2140. Présentation au public d'animaux d'espèces non domestiques - 2150. Verminières ou diptères - 2171. Dépôts de fumiers, engrais et supports de culture (à base de sous produits animaux exclusivement) - 2210 (et 3641). Abattage d'animaux - 2221 (et 3642). préparation de produits alimentaire d'origine animale sauf mélanges avec d'autres produits non carnés, y compris si elle est exercée dans un supermarché (moyennes et grandes surfaces) - 2730 (et 3650). Traitement des sous-produits d'origine animale - 2731. Dépôt de sous-produits d'origine animale - 2740. Incinération de cadavres d'animaux de compagnie - 2751. Stations d'épuration collective de déjections animales - 2752. Stations d'épuration mixte si l’établissement contributeur est suivi, au titre des installations classées, par la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. - 2781 (et 3532) méthanisation: pour les installations situées (i) sur le même site d’un élevage, et (ii) exploitées par une société constituée de plusieurs exploitants comprenant l’éleveur (voir logigramme en annexe 1). En vertu du principe d’unicité de l’inspection des installations classées par site, pour toutes les activités qui y sont exercées, la DDPP assure, dans les mêmes conditions, l’inspection de toutes les installations du site dont l'activité principale relève des rubriques sus-visées, y compris les installations relevant d'autres rubriques. Pour ce faire, elle bénéficie, en tant que de besoin, de l’appui des agents de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région Grand Est. Par exception à l’alinéa précédent, dans les supermarchés (moyennes et grandes surfaces), la DREAL et la DDPP interviennent selon leurs champs de compétences respectifs tels que résultant des articles 2 et 3 (1er et 2éme alinéas) du présent arrêté. Le préfet peut déroger en tant que de besoin aux règles du présent article, notamment pour assurer la continuité des missions de l’inspection sur le territoire, en déléguant des services ou des gestions aux inspecteurs de la DD(CS)PP d’un département voisin, ou à la DREAL. Article 4 : En application des articles L.172-1 et R.172-1 du code de l'environnement, les inspecteurs des installations classées sont des cadres techniques affectés à la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région Grand Est ou à la direction départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle. Ils sont commissionnés par le ministre chargé des installations classées, sur proposition de la directrice régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement de la région Grand Est, et après avis de la directrice départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle pour les inspecteurs placés sous son autorité. Article 5 : L’arrêté préfectoral du 3 août 2005 est abrogé à compter du 1er janvier 2018. Le présent arrêté rentre en vigueur à cette même date. Article 6 : La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe et Moselle, la directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région Grand Est et la directrice départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent arrêté qui sera notifié à la directrice régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région Grand Est, à la directrice départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Meurthe et Moselle. Nancy, le 20 mars 2018 Pour le Préfet, La Secrétaire Générale, Marie-Blanche BERNARD

L’annexe 1 : répartition méthanisation (article 3) est consultable au SCPP - Bureau des procédures environnementales. ______

Arrêté préfectoral n° 2016-0634 du 22 mars 2018 portant autorisation unique sur la demande présentée par la SAS METHASANON en vue d’exploiter une unité de méthanisation et de cogénération sur le territoire de la commune d’EINVILLE-AU-JARD

Le Préfet de la Meurthe et Moselle,

VU la directive 2010/75/UE du parlement européen et du conseil du 24 novembre 2010 relative aux émissions industrielles, dite directive IED ; VU le code de l’environnement et notamment le titre 1er du livre V ; VU la nomenclature des installations classées ; VU le code de l’urbanisme, et notamment son article L.421-1 ; VU le code de la construction et de l’habitation ; RECUEIL N° 18 611 30 MARS 2018

VU l’ordonnance n° 2014-355 du 20 mars 2014 relative à l’expérimentation d’une autorisation unique en matière d’installations classées pour la protection de l’environnement ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, modifié par le décret n° 2010-146 du 16 février 2010, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et départements ; VU le décret n° 2014-450 du 2 mai 2014 relatif à l’expérimentation d’une autorisation unique en matière d’installations classées pour la protection de l’environnement ; VU l’arrêté ministériel du 23 janvier 1997 modifié relatif à la limitation des bruits émis dans l’environnement par les installations classées pour la protection de l’environnement ; VU l’arrêté ministériel du 2 février 1998 modifié relatif aux prélèvements et à la consommation d’eau ainsi qu’aux émissions de toute nature des installations classées pour la protection de l’environnement soumises à autorisation ; VU l’arrêté du 29 septembre 2005 relatif à l’évaluation et la prise en compte de la probabilité d’occurrence, de la cinétique, de l’intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises à autorisation ; VU l’arrêté du 04 octobre 2010 relatif à la protection contre la foudre de certaines installations classées ; VU l’arrêté du 10 novembre 2009 fixant les règles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de méthanisation soumises à autorisation ; VU l’arrêté ministériel du 8 décembre 2011 établissant les règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et aux produits dérivés en application du Règlement CE 1069/2009 ; VU l’arrêté du 19 décembre 2011 modifié par l’arrêté du 23 octobre 2013 relatif au programme d’actions national à mettre en œuvre dans les zones vulnérables afin de réduire la pollution des eaux par les nitrates d’origine agricole ; VU l’arrêté SGAR n°2015-267 du 8 octobre 2015 établissant le référentiel régional de mise en œuvre de l’équilibre de la fertilisation azotée pour la région Grand Est ; VU le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux de la Meurthe et Moselle approuvé par le Conseil départemental ; VU le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) Rhin Meuse ; VU le dossier de demande d’autorisation unique déposé par la SAS METHASANON le 7 juin 2016 et les compléments apportés les 27 janvier 2017 ; VU les avis de l’autorité administrative de l’Etat compétente en matière d’environnement en date des 18 mai 2017 et 16 mars 2018 : VU les plans et documents joints à ce dossier de demande d’autorisation unique ; VU l’ arrêté préfectoral en date du 22 septembre 2017 prescrivant l’ouverture d’une enquête publique du 16 octobre 2017 au 17 novembre 2017 inclus sur les territoires des communes d’Einville au Jard et Bauzemont ainsi que les communes du rayon d’affichage et du plan d’épandage ; VU les parutions des journaux de l’Est républicain en date des 28 septembre 2017 et 18 octobre 2017, du Républicain lorrain en date des 30 septembre 2017 et 18 octobre 2017 et du paysan lorrain en date des 29 septembre 2017 et 20 octobre 2017; VU l’accomplissement des formalités d’affichage réalisé dans ces communes de l’avis au public ; VU le numéro AU 054 176 17 L0001 attribué par le maire en application des articles A.432-1 et suivant du code de l’urbanisme ; VU les résultats des enquêtes publiques qui se sont déroulées du 12 juin 2017 au 13 juillet 2017 et du 16 octobre au 17 novembre 2017 ; VU les avis émis par les conseils municipaux ; VU l’avis favorable du commissaire enquêteur lors de la première enquête publique dans son rapport transmis en date du 22 août 2017 ; VU l’avis favorable de la commission d’enquête lors de la deuxième enquête publique dans son rapport transmis en date du 19 décembre 2017 ; VU l’arrêté préfectoral de sursis à statuer en date du 24 octobre 2017 prorogeant les délais d’instruction jusqu’au 30 mars 2018 ; VU le rapport et les propositions de l’inspecteur des installations classées de la direction départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle en date du 05/02/2018 ; VU l’avis favorable en date du 16 février 2018 du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (CODERST) ; VU les décrets n°1254 et 1255 du 22/10/2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français et considérant la situation du projet en zone de sismicité très faible ; VU la carte au 1 / 25 000e d’aléa retrait-gonflement des argiles dans le département de Meurthe-et-Moselle et la localisation géographique du projet en aléa moyen ; VU le plan local d’urbanisme (PLU) approuvé le 03/11/2016 et le règlement applicable à la zone A ; VU le plan d’occupation des sols (POS) approuvé le 04/09/1986 modifié et le règlement applicable à la zone NC ; VU le certificat d’urbanisme n°CU 054 176 14 L0012 tacitement délivré le 11/02/2015 ; VU l’avis avec prescriptions du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle (DITAM du Lunévillois) en date du 27/09/2016 ; VU l’avis avec prescriptions de GRT Gaz en date du 02/03/2017 ; VU l’avis avec prescriptions d’ETHYLENE EST en date du 14/02/2017 ; VU l’avis avec prescriptions du syndicat des eaux d'Einville-au-Jard en date du 11/03/2018 ; VU l’avis favorable d’ENEDIS rendu sur la base d’une puissance de raccordement de 1 000 kW triphasé, et constatant l’absence de contribution financière due par la commune en date du 20/03/2017 ; VU l’avis avec prescriptions de la DRAC Grand Est – pôle patrimoines en date du 20/06/2016 et l’arrêté SRA n°2016/L262 du 17/06/2016 prescrivant la réalisation d’un diagnostic archéologique préventif ; VU l’avis avec prescriptions de l’ARS (délégation territoriale de Meurthe-et-Moselle) en date du 30/06/2016 ; VU l’avis favorable du préfet de Meurthe-et-Moselle (service interministériel de la défense et de la protection civile) en date du 01/07/2016 ; VU l’avis avec prescriptions de la DRAC (UDAP de Meurthe-et-Moselle) en date du 05/07/2016 ; VU l’avis avec prescriptions de la DIRECCTE (unité départementale de Meurthe-et-Moselle) en date du 06/07/2016 ; VU l’avis favorable de l’INAO (unité territoriale Nord-Est) en date du 06/07/2016 ; VU l’avis favorable avec prescriptions du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de Meurthe-et-Moselle en date du 08/07/2016 ; VU l’avis favorable avec prescriptions de la Chambre d’Agriculture en date du 23/08/2016 ; VU l’avis avec prescriptions du préfet de Meurthe-et-Moselle (DDT/éducation et sécurité routières) en date du 05/10/2016 ; CONSIDÉRANT qu’en application de l’article L.410-1 du code de l’urbanisme « Lorsqu’une demande d’autorisation ou une déclaration préalable est déposée dans le délai de dix-huit mois à compter de la délivrance d’un certificat d’urbanisme, les dispositions d’urbanisme, le régime des taxes et participations d’urbanisme ainsi que les limitations administratives au droit de propriété tels qu’ils existaient à la date du certificat ne peuvent être remis en cause à l’exception des dispositions qui ont pour objet la préservation de la sécurité ou de la salubrité publique. » ; CONSIDÉRANT que le certificat d’urbanisme n°CU 054 176 14 L0012 tacitement délivré le 11/02/2015, est valide jusqu’au 11/08/2016, et que le dépôt de la demande d’autorisation unique le 07/06/2016 intervient dans cette période de validité ; CONSIDÉRANT ainsi que le règlement du POS et le PLU d’Einville-au-Jard sont applicables, selon les règles applicables les plus favorables ; CONSIDÉRANT qu’en application de l’article R.151-23, « peuvent être autorisées, en zone A (…) les constructions et installations nécessaires à l’exploitation agricole » ; CONSIDÉRANT la nécessité agricole de l’unité de méthanisation pour la réduction des déchets, la valorisation de leur potentiel énergétique et la production d’engrais ; RECUEIL N° 18 612 30 MARS 2018

CONSIDÉRANT qu’en application de l’article L.332-8 du code de l’urbanisme, "une participation spécifique peut être exigée des bénéficiaires des autorisations de construire qui ont pour objet la réalisation de toute installation à caractère industriel, agricole, commercial ou artisanal qui, par sa nature, sa situation ou son importance, nécessite la réalisation d’équipements publics exceptionnels" ; CONSIDÉRANT que le projet d’unité de méthanisation à caractère agricole nécessite l’extension des réseaux publics d’eau ; CONSIDÉRANT que l’installation faisant l’objet de la demande est soumise à autorisation préfectorale unique au titre du titre 1er de l’ordonnance n° 2014-355 du 20 mars 2014 susvisée ; CONSIDÉRANT que l’autorisation unique ne peut être accordée que si les mesures que spécifie le présent arrêté permettent de prévenir les dangers ou inconvénients pour les intérêts mentionnés aux articles L.211-1 et L.511-1 du code de l’environnement ; CONSIDÉRANT que l’autorisation unique ne peut être accordée que si les mesures que spécifie le présent arrêté permettent de garantir la conformité des travaux projetés avec les exigences fixées à l’article L.421-6 du code de l’urbanisme ; CONSIDÉRANT que les nuisances pour l’environnement et les tiers sont limitées par l’éloignement du projet vis-à-vis des habitations ; CONSIDÉRANT que le plan d’épandage modifié respecte les exigences de la directive Nitrates et les orientations du SDAGE Rhin-Meuse 2016-2021 ; CONSIDÉRANT que le projet ne doit pas porter atteinte à la sécurité ou à la salubrité publique en application de l’article R.111-2 du code de l’urbanisme ; CONSIDÉRANT que le projet ne doit pas porter atteinte à la sauvegarde d’éventuels vestiges archéologiques en application de l’article R.111-4 du code de l’urbanisme ; CONSIDÉRANT que le projet ne doit pas avoir de conséquences dommageables pour l’environnement en application de l’article R.111-26 du code de l’urbanisme ; CONSIDÉRANT que le projet ne doit pas porter atteinte au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu’à la conservation des perspectives monumentales en application de l’article R.111-27 du code de l’urbanisme ; CONSIDÉRANT que les conditions légales de délivrance de l’autorisation sont réunies ; SUR proposition de la Secrétaire Générale de la préfecture de la Meurthe et Moselle, A R R E T E TITRE 1 – PORTÉE DE L’AUTORISATION ET CONDITIONS GÉNÉRALES Définitions Pour l’application du présent arrêté, les définitions suivantes sont retenues : Méthanisation : processus de transformation biologique anaérobie de matières organiques qui conduit à la production de biogaz et de digestat. Installation de méthanisation : unité technique destinée spécifiquement au traitement de matières organiques par méthanisation. Elle peut être constituée de plusieurs lignes de méthanisation avec leurs équipements de réception, d’entreposage et de traitement préalable des matières, leurs systèmes d’alimentation en matières et de traitement ou d’entreposage des digestats et déchets et des eaux usées, et éventuellement leurs équipements d’épuration du biogaz. Ligne de méthanisation : comprend un ou plusieurs réacteurs, ou digesteurs, disposés en série ; Matières : on entend par matières les déchets et les matières organiques ou effluents traités dans l’installation. Biogaz : gaz issu de la fermentation anaérobie de matières organiques, composé pour l’essentiel de méthane et de dioxyde de carbone, et contenant notamment des traces d’hydrogène sulfuré. Digestat : résidu brut liquide, pâteux ou solide issu de la méthanisation de matières organiques. Effluents d’élevage : déjections liquides ou solides, fumiers, eaux de pluie ruisselant sur les aires découvertes accessibles aux animaux, jus d’ensilage et eaux usées issues de l’activité d’élevage et de ses annexes. Matières stercoraires : contenu de l’appareil digestif d’un animal. Matière végétale brute : matière végétale ne présentant aucune trace de produit ou de matière non végétale ajouté postérieurement à sa récolte ou à sa collecte ; sont notamment considérés comme matières végétales brutes, au sens du présent arrêté, des végétaux ayant subi que des traitements physiques ou thermiques. Retour au sol : usage d’amendement ou de fertilisation des sols ; regroupe la destination des matières mises sur le marché et celle des déchets épandus sur terrain agricole dans le cadre d’un plan d’épandage. Chapitre 1.1 – Bénéficiaire et portée de l’autorisation Article 1.1.1 – Domaine d’application La présente autorisation unique tient lieu : ➢ de permis de construire au titre de l’article L.421-1 du code de l’urbanisme ; ➢ d’autorisation d’exploiter au titre de l’article L.512-1 du code de l’environnement. Article 1.1.2 – Exploitant titulaire de l’autorisation La SAS METHASANON dont le numéro SIRET est 81206442600016, le code APE est 3521Z et le siège est situé à Bures 54370 (Meurthe et Moselle), 7 Rue de Battant Pré, est bénéficiaire de l’autorisation unique définie à l’article 1.1.1 pour la construction et l’exploitation d’une unité de méthanisation et de cogénération, sous réserve du respect des prescriptions annexées au présent arrêté. Article 1.1.3 – Installations concernées par l’autorisation unique L’unité de méthanisation et de cogénération autorisée est située sur la commune et les parcelles suivantes : Commune Section cadastrale Parcelle Superficie (m²)

ZO 29 (pour partie) EINVILLE-AU-JARD 30000 (zone A du PLU) 30 (pour partie) Chapitre 1.2 – Permis de construire Article 1.2.1 – Descriptif des constructions autorisées Les installations autorisées sont composées, conformément aux éléments figurant au dossier actualisé, à la date du présent arrêté, d’une unité de méthanisation et de deux ouvrages circulaires dédiés au stockage du digestat. Les constructions de 3 cuves chacune d’un volume de 9 118 m³ et des zones de stockage couvertes du digestat solides de 6 000 m³, assujetties à la disposition de l’article L.421-1 du code de l’urbanisme, dans le cadre de la procédure définie par le décret 2014-450 du 2 mai 2014 relatif à la généralisation de l’expérimentation de l’autorisation unique, sont autorisées pour une surface plancher créée de 437 m2. Article 1.2.2 – Prescriptions relatives à la sécurité et la salubrité publiques Sécurité routière : • l’entrée à l’unité de méthanisation se fera par le chemin communal formant carrefour avec la RD 2 ; • la signalisation verticale AB4 au droit du chemin est à conserver et à compléter par le marquage horizontal d’une ligne stop, conformément à l’article 117-4-A de l’IISSR ; • des panneaux A14 + M9 "sortie camions" seront posés à 100 m dans chaque sens afin de ne pas surprendre les usagers ; • une permission de voirie autorise la SAS Méthasanon à créer un accès au PR 25+310 côté droit (validité 1 an) ; • aucun rejet ne sera autorisé dans le fossé le long de la RD 2 (eaux vannes, drainage, eaux pluviales) conformément à l’article 17 du règlement départemental de voirie de juin 2017 ; • les axes empruntés seront maintenus en bon état de propreté afin d’éviter tout risque pour les usagers de la route ; RECUEIL N° 18 613 30 MARS 2018

• la société exploitante se rapprochera des mairies d’Einville-au-Jard et de Bauzemont afin d’étudier l’évolution de l’accidentologie et prendre les mesures appropriées. Accessibilité aux engins de secours : • tous les bâtiments seront accessibles par des voiries "lourdes" ; • les voies d’accès mentionnées dans le dossier seront maintenues dégagées en cas de sollicitation des secours. Eau d’extinction incendie : • la réserve de 120 m³ sera implantée à l’entrée du site avec une plate-forme d’accès réservée aux sapeurs-pompiers ; elle sera conforme aux normes en vigueur et fera l’objet d’une réception par le SDIS afin d’être intégrée dans la base de données départementale ; • le volume d’eau d’extinction incendie à confiner est de 272 m³, dans un bassin présentant un volume libre en permanence de 272 m³ ; les eaux collectées seront analysées et si besoin pompées et évacuées pour élimination par une société spécialisée ; en cas de besoin, la mise en œuvre de la vanne devra être réalisée par l’exploitant. Prévention des risques incendie et mesures visant à faciliter l’action des secours : • les mesures prévues au dossier seront respectées ; • un jeu de plans dénommé "dossier d’accueil des secours" sera tenu à disposition des premiers intervenants ; il comprendra : un dossier contenant l’ensemble des fiches de sécurité des matières utilisées sur site, un plan d’accès au site et au bâtiment (masse et utilisation), un plan des dispositifs de coupure des énergies, un plan de situation des zones à risques, une procédure d’accueil et de guidage des secours publics. Limitation des risques : • l'étude de dangers comprendra les risques associés aux ouvrages des canalisations de transport exploitées par GRT Gaz et Ethylène Est ; • les travaux à proximité des réseaux respecteront la réglementation fixée au code de l'Environnement (livre V, titre V, chapitre IV) et les recommandations techniques pour le croisement d'une conduite de transport de gaz naturel par un autre ouvrage. Article 1.2.3 – Prescriptions relatives à la préservation des vestiges archéologiques Toute découverte de vestiges archéologiques de quelque ordre qu’elle soit (structure, objet, vestige, monnaie) est signalée immédiatement au service régional de l’Archéologie, site de Metz, 6 place de Chambre (57045) Metz cedex 1 – Tél. : 03.87.56.41.10, soit directement, soit par l’intermédiaire de la mairie et de la préfecture en application de l’article L.531-14 du code du patrimoine. Les vestiges découverts ne doivent pas être détruits. Tout contrevenant est passible des peines portées aux articles 322.1 et 332.1 du code pénal. Article 1.2.4 – Prescriptions relatives à la préservation de l’environnement Les eaux de drainage pompées en cas de pollution seront confinées et traitées avant tout rejet dans le milieu naturel. Article 1.2.5 – Prescriptions relatives à l’insertion du projet Des plantations seront réalisées afin d’assurer l’intégration des ouvrages à moyen terme. Les espaces libres seront végétalisés, et des arbres de hautes tiges (feuillus) plantés pour réaliser des écrans, des filtres et des haies destinés à intégrer les nouvelles installations dans les perspectives lointaines. Article 1.2.6 – Différé de travaux En application de l’article L.425-11 du code de l’urbanisme, les travaux ne peuvent être mis en œuvre avant l’achèvement des opérations d’archéologie préventive prescrites par l’arrêté SRA n°2016/L262 du 17/06/2016. Article 1.2.7 – Participation pour équipement public exceptionnel En application de l’article L.332-8 du code de l’urbanisme, les travaux d’extension des réseaux suivants sont mis à la charge du pétitionnaire : extension du réseau d’eau par le demandeur, avec réception des ouvrages par le Syndicat intercommunal d’EINVILLE AU JARD, pour un coût estimé à 65 850€ HT. Article 1.2.8 – Porté à connaissance permis de construire Cet arrêté sera porté à la connaissance du Maire de la commune d’EINVILLE AU JARD pour réalisation des formalités d’affichage en mairie en application de l’article R.424-15 du code de l’urbanisme et information du pétitionnaire de la date d’affichage en mairie pour application de l’article A.424-16 du même code. Chapitre 1.3 – Activités classées au titre du code de l’environnement Article 1.3.1 – Liste des installations concernées par une rubrique de la nomenclature des installations classées

N° de Installations et activités concernées Éléments caractéristiques Régime du projet la nomenclature

Installation de méthanisation de déchets non 2781-1-a 121 t/j Autorisation dangereux Valorisation ou mélange de valorisation et d’élimination 3532 de déchets non dangereux non inertes d’une capacité 121 t/j Autorisation supérieure à 100 tonnes par jour Installation de combustion de biogaz autre que celui 2910-C1 Puissance nominale = 407 KW Autorisation visé en 2910-C Broyage, concassage, criblage des substances Puissance électrique des moteurs 2260-2-b Déclaration végétales et produits organiques naturels = 200 KW 4310-2 Présence de : Gaz inflammable catégorie 1 et 2 Présence de 9,12 tonnes de biogaz Déclaration Stations-service : installations, ouvertes ou non au public, où les carburants sont transférés de réservoirs de Le volume annuel distribué sera 1435 Non Classé stockage fixes dans les réservoirs à carburant de de l’ordre de 50 m³ véhicules à moteur, de bateaux ou d’aéronefs Cuve de stockage de carburant Produits pétroliers spécifiques et carburants de 4734 enterrée d’un volume de 10 m³, Non Classé substitution soit 8,4 t Installation de compression fonctionnant à des pres- sions effectives supérieures à 105 Pa et comprimant Compresseur dont la puissance 2920 Non Classé ou utilisant des fluides inflammables ou toxiques, la absorbée sera inférieure à 10 MW puissance absorbée étant supérieure à 10 MW

Article 1.3.2 – Nature et quantité maximale de matière traitée Les matières destinées à être méthanisées sont précisées dans le dossier de l’exploitant et synthétisées comme suit : RECUEIL N° 18 614 30 MARS 2018

Code UE Nom Etat physique t/an déchet Lisier bovin 02.01.06 Liquide 8 650 Fumier bovin 02.01.06 Solide 22 340 Fumier mouton 02.01.06 Solide 3 750 Paille 02.01.03 Solide 450 Cultures dédiées 02.01.03 Solide 5 730 Menu paille 02.01.03 Solide 150 Eaux usées du site 02.01.03 Liquide 3 000 TOTAL 44 100 Le volume d’entreposage du digestat liquide est de 2 fois, 9 118 m³ . Le digestat solide est stocké dans les ouvrages de stockage d’une capacité totale de 6 000 m³. Ce dernier volume peut être augmenté par l’utilisation des silos de stockage, de manière temporaire. Toute admission envisagée par l’exploitant de matières dont la nature ou l’origine différent de celles mentionnées dans l’arrêté d’autorisation, est portée à la connaissance du Préfet. L’admission de sous-produits animaux, au sens du règlement CE 1069/2009 établissant les règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine, est conditionnée par l’obtention et le maintien d’un agrément sanitaire dont les modalités de constitution du dossier sont fixées par l’arrêté ministériel du 08 décembre 2011. Article 1.3.3 – Installations non visées par la nomenclature ou soumises à déclaration Les prescriptions du présent arrêté s’appliquent également aux autres installations ou équipements exploités dans l’établissement qui, mentionnés ou non dans la nomenclature, sont de nature, par leur proximité ou leur connexité avec les présentes installations soumises à autorisation, à en modifier les dangers ou inconvénients. Les dispositions des arrêtés ministériels relatifs aux prescriptions générales applicables aux installations classées soumises à déclaration sont applicables aux installations classées soumises à déclaration incluses dans l’établissement dès lors que ces installations ne sont pas régies par le présent arrêté préfectoral d’autorisation. Chapitre 1.4 – Conformité au dossier de demande d’autorisation unique Sauf disposition contraire mentionnée dans le présent arrêté, les installations et leurs annexes, objet du présent arrêté, sont construites, disposées, aménagées et exploitées conformément aux plans et données techniques contenus dans les différents dossiers joints à la demande d’autorisation unique déposée par l’exploitant. En tout état de cause, elles respectent par ailleurs les dispositions du présent arrêté, des arrêtés complémentaires et les réglementations autres en vigueur. Chapitre 1.5 – Durée de l’autorisation Article 1.5.1 – Durée de l’autorisation 1. La présente autorisation cesse de produire effet lorsque le projet n’a pas été mis en service ou réalisé dans un délai de trois ans à compter de la notification de l’autorisation, sauf cas de force majeure ou de demande de prorogation de délai justifiée et acceptée par le Préfet. 2. Le délai mentionné au 1. est suspendu jusqu’à la notification au bénéficiaire de l’autorisation : - d’une décision devenue définitive en cas de recours devant la juridiction administrative contre le présent arrêté d’autorisation ; - d’une décision devenue irrévocable en cas de recours devant un tribunal de l’ordre judiciaire en application de l’article L.480-13 du code de l’urbanisme. Article 1.5.2 – Implantation et isolement du site. L’exploitation des installations est compatible avec les autres activités et occupations du sol environnantes. L’installation est située à 950 mètres des habitations les plus proches. Chapitre 1.6 – Modifications et cessation d’activité Article 1.6.1 – Porter à connaissance Toute modification apportée par le demandeur aux installations, à leur mode d’utilisation ou à leur voisinage, et de nature de entraîner un changement notable des éléments du dossier de demande d’autorisation, est portée avant sa réalisation, à la connaissance du Préfet avec tous les éléments d’appréciation. Article 1.6.2 – Mise à jour des études d’impact et de dangers Les études d’impact et de dangers sont actualisées à l’occasion de toute modification notable telle que prévue par le code de l’environnement. Ces compléments sont systématiquement communiqués au Préfet qui pourra demander une analyse critique d’éléments du dossier justifiant des vérifications particulières, effectuée par un organisme extérieur expert dont le choix est soumis à son approbation. Tous les frais engagés à cette occasion sont supportés par l’exploitant. Article 1.6.3 – Transfert sur un autre emplacement Tout transfert sur un autre emplacement des installations visées sous l’article 1.2 du présent arrêté nécessite une nouvelle demande d’autorisation, d’enregistrement ou déclaration. Article 1.6.4 – Changement d’exploitant Dans le cas où l’établissement change d’exploitant, le successeur fait la déclaration au Préfet dans le mois qui suit la prise en charge de l’exploitant. Article 1.6.5 – Cessation d’activité 1. Lorsqu’une installation classée est mise à l’arrêt définitif, l’exploitant notifie au Préfet la date de cet arrêt trois mois au moins avant celui-ci. 2. La notification prévue au 1 indique les mesures prises ou prévues pour assurer, dès l’arrêt de l’exploitation, la mise en sécurité du site. Ces mesures comportent notamment : - L’évacuation ou l’élimination des produits dangereux et, pour les installations autres que les installations de stockage de déchets, celle des déchets présents sur le site ; - Des interdictions ou limitations d’accès au site ; - La suppression des risques d’incendie et d’explosion ; - La surveillance des effets de l’installation sur son environnement. 3. En outre, l’exploitant doit placer le site de l’installation dans un état tel qu’il ne puisse porter atteinte aux intérêts mentionnés à l’article L.511-1 du code de l’Environnement et qu’il permette un usage futur du site déterminé selon les dispositions des articles R.512-75 et R.512-76 du code de l’environnement. Chapitre 1.7 – Respect des autres législations et réglementations Les dispositions de cet arrêté préfectoral sont prises sans préjudice des autres législations et réglementations applicables, et notamment le code minier, le code civil, le code de l’urbanisme, le code du travail et le code général des collectivités territoriales, la réglementation sur les équipements sous pression. Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. TITRE 2 – GESTION DE L’ÉTABLISSEMENT Chapitre 2.1 – Exploitation des installations Article 2.1.1 – Objectifs généraux L’exploitant prend toutes dispositions nécessaires dans la conception, l’aménagement, l’entretien et l’exploitation des installations pour : RECUEIL N° 18 615 30 MARS 2018

- Limiter la consommation d’eau et limiter les émissions de polluants dans l’environnement. - Réduire les quantités rejetées et gérer les effluents et déchets en fonction de leurs caractéristiques. - Prévenir en toutes circonstances, l’émission, la dissémination ou le déversement, chronique ou accidentel, direct ou indirect, de matières ou substances qui peuvent présenter des dangers ou inconvénients pour la commodité du voisinage, la santé, la salubrité publique, l’agriculture, la protection de la nature et de l’environnement ainsi que la conservation des sites et monuments. Article 2.1.2 – Consignes d’exploitation L’exploitant établit des consignes d’exploitation pour l’ensemble des installations comportant explicitement les vérifications à effectuer, en conditions d’exploitation normale, en périodes de démarrage, de dysfonctionnement ou d’arrêt momentané de façon à permettre en toutes circonstances le respect des dispositions du présent arrêté. L’exploitation doit se faire sous la surveillance de personnes nommément désignées par l’exploitant et ayant une connaissance des dangers des produits stockés ou utilisés dans l’installation. Chapitre 2.2 – Réserves de produits ou matières consommables Article 2.2.1 – Réserves de produits L’établissement dispose de réserves suffisantes de produits ou matières consommables utilisés de manière courante ou occasionnelle pour assurer la protection de l’environnement tels que, produits de neutralisation, liquides inhibiteurs, produits absorbants. Chapitre 2.3 – Intégration dans le paysage Article 2.3.1 – Propreté L’ensemble des installations est maintenu en permanence en bon état de propreté. Article 2.3.2 – Esthétique – Intégration paysagère L’exploitant prend les dispositions appropriées permettant d’intégrer l’installation dans le paysage. Des plantations d’arbres de hauteur différente et constituées d’essences locales et variées sont créées pour masquer les volumes construits. Chapitre 2.4 – Accès à l’établissement L’établissement est délimité par une clôture d’une hauteur minimale de 2 m de manière à interdire toute entrée non autorisée à l’intérieur du site. L’accès est réalisé par un portail au moins de même hauteur, fermé en dehors des heures de réception des matières à traiter. Ces heures de réception sont indiquées à l’entrée de l’établissement. Chapitre 2.5 – Dangers ou nuisances non prévenus Tout danger ou nuisance non susceptible d’être prévenu par les prescriptions du présent arrêté est immédiatement porté à la connaissance du Préfet par l’exploitant. Chapitre 2.6 – Contrôles et analyses L’inspection des installations classées peut demander, à tout moment, que des contrôles et analyses portant sur les nuisances de l’établissement (émissions et retombées de gaz, poussières, fumées, rejets d’eaux, déchets, bruit notamment), y compris dans l’environnement, soient effectués par des organismes compétents et aux frais de l’exploitant. En tant que de besoin, les installations sont conçues et aménagées de manière à permettre ces contrôles dans de bonnes conditions. Sur chaque canalisation de rejet d’effluents, doivent être prévus un point de prélèvement d’échantillons et des points de mesure (débit, température, concentration en polluant, etc…). Ces points doivent être aménagés de manière à être aisément accessibles et permettre des interventions en toute sécurité. Sauf accord préalable avec l’inspection des installations classées, les méthodes de prélèvements, mesures et analyses, sont des méthodes normalisées. Les résultats de ces contrôles et analyses sont conservés pendant au moins 5 ans par l’exploitant et tenus à la disposition de l’inspection des installations classées. Chapitre 2.7 – Incidents ou accidents Article 2.7.1 - Déclaration et rapport Tout incident grave ou accident de nature à porter atteinte à l’environnement (c’est-à-dire aux intérêts mentionnés à l’article L.511-1 du code de l’environnement) doit être immédiatement signalé à la préfecture, aux sapeurs pompiers (SDIS), au maire de la commune concernée et à l’inspecteur des installations classées. À cet effet, l’exploitant apporte d’une part, immédiatement lors du signalement de l’incident ou accidents aux services cités précédemment, les précisions suivantes : - Identité de l’auteur de l’incident ou de l’accident, - Date et heure du signalement de l’alerte. - Identification et coordonnées de la source de pollution ou de l’incident ou de l’accident. - Description de l’incident ou de l’accident (causes présumées, nature, importance). - Mesures correctives immédiates mises en œuvre en vue de limiter l’impact. D’autre part, l’exploitant remet à l’inspecteur des installations classées, sous 15 jours, un rapport qui précise notamment les circonstances et les causes de l’accident ou de l’incident, les effets sur les personnes et l’environnement, les mesures prises ou envisagées pour éviter un accident ou un incident similaire et pour en pallier les effets à moyen ou long terme. En cas de pollution accidentelle provoquée par l’établissement, l’exploitant doit être en mesure de fournir, dans les meilleurs délais, tous les renseignements connus dont il dispose permettant de déterminer les mesures de sauvegarde à prendre pour ce qui concerne les personnes, la faune, la flore et les ouvrages exposés à cette pollution. Les incidents ayant entraîné le fonctionnement d’une alarme et/ou l’arrêt des installations ainsi que les causes de ces incidents et les remèdes apportés sont également consignés dans un registre. Chapitre 2.8 – Récapitulatif des documents tenus à la disposition de l’inspection L’exploitant doit établir et tenir à jour un dossier comportant notamment les documents suivants : - Le dossier de demande d’autorisation initial. - Les plans tenus à jour. - Les récépissés de déclaration et les prescriptions générales, en cas d’installations soumises à déclaration non couvertes par un arrêté d’autorisation. - Les arrêtés préfectoraux relatifs aux installations soumises à autorisation, pris en application de la législation relative aux installations classées pour la protection de l’environnement. - Tous les documents, enregistrements, résultats de vérification et registres répertoriés dans le présent arrêté : * quantités de biogaz (biogaz produit et biogaz valorisé ou détruit), * recueil des informations préalables des matières admissibles dans l’installation, * registre d’admission des déchets avec les résultats d’analyses, * registre des matières sortantes, * programme de maintenance préventive des installations et enregistrements des vérifications,

* résultats des contrôles de calibrage (tous les ans) et d’étalonnage (tous les 3 ans) des dispositifs de mesures en CH 4 et H2S du biogaz produit, * résultats des contrôles des installations électriques. Ces documents peuvent être informatisés, mais dans ce cas, des dispositions doivent être prises pour la sauvegarde des données. Ce dossier doit être tenu à la disposition de l’inspection des installations classées sur le site durant 5 années minimum. RECUEIL N° 18 616 30 MARS 2018

Chapitre 2.9 – Récapitulatif des documents à transmettre à l’inspection L’exploitant doit transmettre à l’inspection les documents suivants :

Articles Documents à transmettre Périodicités / échéances Déclaration des émissions polluantes Annuelle (AM du 31/01/2008) (avant le 1er avril de chaque année via le site internet GEREP) État des odeurs perçues dans et autour Art. 3.2.2 - dans un délai d’un an après la mise en service des installations Art. 3.5.2 Mesures des rejets atmosphériques - une fois par an au minimum Art. 10.1.1 Mesures des émissions sonores - dans un délai d’un an après la mise en service puis tous les 5 ans Art. 8.3.1 Rapport annuel d’activité annuel (au 1er février de chaque année) Art. 7.2.3 Vérification des installations électriques 1 fois par an au minimum (Annuelle) TITRE 3 – PRÉVENTION DE LA POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE Chapitre 3.1 – Conception des installations Article 3.1.1 – Dispositions générales L’exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception, l’exploitation et l’entretien des installations de manière à limiter les émissions à l’atmosphère, y compris diffuses, notamment par la mise en œuvre de technologies propres, le développement de techniques de valorisation, la collecte sélective et le traitement des effluents en fonction de leurs caractéristiques et la réduction des quantités rejetées en optimisant notamment l’efficacité énergétique. Les installations de traitement de la méthanisation doivent être conçues, exploitées et entretenues de manière : ➢ À faire face aux variations de débit, température et composition des effluents. ➢ À réduire au minimum leur durée de dysfonctionnement et d’indisponibilité pendant lesquelles elles ne pourront assurer pleinement leurs fonctions. Les consignes d’exploitation de l’ensemble des installations comportent explicitement les contrôles à effectuer, en marche normale et à la suite d’un arrêt pour travaux de modification ou d’entretien, de façon à permettre, en toute circonstance, le respect des dispositions du présent arrêté. Le brûlage à l’air libre est interdit à l’exclusion des essais incendie. Dans ce cas, les produits brûlés sont identifiés en qualité et quantité. Article 3.1.2 – Pollutions accidentelles Les dispositions appropriées sont prises pour réduire la probabilité des émissions accidentelles et pour que les rejets correspondants ne présentent pas de dangers pour la santé et la sécurité publique. La conception et l’emplacement des dispositifs de sécurité destinés à protéger les appareillages contre une surpression interne devraient être tels que cet objectif soit satisfait, sans pour cela diminuer leur efficacité ou leur fiabilité. Chapitre 3.2 – Odeurs Article 3.2.1 – Dispositions préventives Les dispositions nécessaires sont prises pour que l’établissement ne soit pas à l’origine de gaz odorants, susceptibles d’incommoder le voisinage, de nuire à la santé ou à la sécurité publique. Si le délai de traitement des matières, autres que des végétaux ensilés, susceptibles de générer des nuisances à la livraison ou lors de leur entreposage est supérieur à vingt-quatre heures, l’exploitant met en place les moyens d’entreposage adaptés pour confiner et traiter les émissions. Lors de l’admission de telles matières, leur déchargement se fait au moyen d’un dispositif qui isole celles-ci de l’extérieur ou par tout autre moyen équivalent. À cet effet : ➢ Les matières et effluents à traiter sont déchargés dès leur arrivée dans un dispositif de stockage étanche, conçu pour éviter tout écoulement incontrôlé d’effluents liquides. ➢ Les cuves de réception avant entrée dans le méthaniseur sont fermées en permanence. Les dispositifs d’entreposage du digestat liquide sont équipés des moyens nécessaires au captage et au traitement des émissions résiduelles de biogaz et composés odorants. A défaut, l’étude d’impact justifie les mesures alternatives pour éviter et réduire efficacement les odeurs. Des mesures de réduction de la teneur en hydrogène sulfuré du biogaz produit au cours du process de méthanisation sont mises en œuvre. Le rendement de ce traitement doit être supérieur à 90%.. Article 3.2.2 – Mesures des odeurs perçues Le niveau d’une odeur est défini conventionnellement comme étant le facteur de dilution qu’il faut appliquer à un effluent pour qu’il ne soit ressenti comme odorant par 50% des personnes constituant un échantillon de population, conformément à la norme NF EN 13725. Le débit d’odeurs est défini conventionnellement comme étant le produit du débit d’air rejeté exprimé en m3/h par le facteur de dilution au seuil de perception exprimé en unités d’odeur par m3. Le niveau d’odeur émis à l’atmosphère par l’installation de stockage des matières fermentescibles ne doit pas dépasser les valeurs suivantes au point d’émission exprimés en unité d’odeur. Eloignement des tiers en mètres Niveau d’odeur sur site en UO/m3 100 250 200 600 300 2 000 400 3 000 La concentration d’odeur imputable à l’installation, telle qu’évaluée dans l’étude d’impact au niveau des zones d’occupation humaine, dans un rayon de 3000 mètres des limites clôturées de l’installation, ne doit pas faire apparaître un dépassement de la limite de 5UO/m3 plus de 175 heures par an. Ces périodes de dépassement intègrent les pannes éventuelles des équipements de méthanisation. Avant mise en service des installations, un état initial des odeurs perçues dans l’environnement du site est effectué. Dans un délai d’un an après mise en service, l’exploitant procède à un nouvel état des odeurs perçues dans l’environnement selon la même méthode. Les résultats en sont transmis à l’inspection des installations classées au plus tard dans un délai de trois mois. Chapitre 3.3 - Émissions diffuses et envols de poussières Sans préjudice des règlements d’urbanisme, l’exploitant doit prendre les dispositions nécessaires pour prévenir les envols de poussières et de matières diverses : ➢ Les voies de circulation et aires de stationnement des véhicules sont aménagées (formes de pente, revêtement, etc.), et régulièrement entretenues. ➢ Les véhicules sortants de l’installation n’entraînent pas de dépôts de boues ou de poussières sur les voies de circulation. Pour cela, des dispositions telles que le lavage des roues des véhicules doivent être prévues en cas de besoin. ➢ Les surfaces restées libres sont engazonnées. ➢ Des écrans de végétation sont mis en place le cas échéant. Des dispositions équivalentes peuvent être prises en lieu et place de celles-ci. Les stockages de produits pulvérulents sont confinés (récipients, silos, bâtiments fermés). RECUEIL N° 18 617 30 MARS 2018

Chapitre 3.4 – Gestion du biogaz produit Le rejet de biogaz dans l’air est interdit en fonctionnement normal. Article 3.4.1 – Comptage du biogaz et mesure de la pression en biogaz L’installation est équipée d’un dispositif de mesure en continu de la quantité de biogaz produit et de la quantité de biogaz valorisé ou détruit. Ce dispositif est contrôlé à minima une fois par an par un organisme compétent. Une mesure de la pression en biogaz dans les digesteurs et post digesteur est également réalisée en continu. Les quantités de biogaz mesurées et les résultats des vérifications sont tenus à la disposition de l’inspection des installations classées. Article 3.4.2 – Qualité du biogaz produit

Le teneur en CH4 et H2S du biogaz produit est mesurée quotidiennement au moyen d’un équipement contrôlé et calibré annuellement et étalonné a minima tous les trois ans par un organisme extérieur compétent.

La teneur en H2S du biogaz issu de l’installation de méthanisation en fonctionnement stabilisé à la sortie de l’installation est inférieure à 300 ppm. Article 3.4.3 – Risques de fuites Les locaux et dispositifs confinés font l’objet d’une ventilation efficace et d’un contrôle de la qualité de l’air portant à minima sur la détection de CH4 et de H2S avant toute intervention. Les dispositifs assurant l’étanchéité des équipements susceptibles d’être à l’origine de dégagement gazeux font l’objet de vérifications régulières. Ces vérifications sont décrites dans un programme de maintenance que l’exploitant tient à la disposition de l’inspection des installations classées. Article 3.4.4 – Destruction du biogaz L’installation dispose d’un équipement de destruction du biogaz produit en cas d’indisponibilité temporaire des équipements de valorisation du biogaz. Cet équipement est muni d’un dispositif arrête flamme conforme à la norme NF EN ISO n°16852. Conformément aux éléments figurant au dossier, la torchère de secours est intégrée au site de production. Chapitre 3.5 – Conditions de rejet Article 3.5.1 – Dispositions générales Un point de prélèvement est aménagé sur la cheminée d’évacuation des gaz de combustion de la cogénératrice de manière à permettre des mesures représentatives des émissions de polluants à l’atmosphère. En particulier, les dispositions de la norme NF 44-052 (puis norme EN 13284-1) doivent être respectées. Ce point doit être aménagé de manière à être aisément accessible et permettre des interventions en toute sécurité. La dilution des rejets atmosphériques est interdite. Article 3.5.2 – Autosurveillance des rejets atmosphériques - Débit rejeté en m3/h. - Teneur en poussières en mg/Nm³. - Teneur en monoxyde de carbone exprimée en mg/Nm³. - Teneur en oxydes d’azote en mg/Nm³. - Teneur en Soufre en mg/Nm³. Ces mesures sont effectuées de sorte que les volumes de gaz soient rapportés à : - des conditions normalisées de température (273 kelvins) et de pression (101,3 kilo pascals) après déduction de la vapeur d’eau (gaz secs).

- une teneur en O2 ramenée à 5% en volume. Les valeurs limites d’émission fixées au présent article s’entendent en aval du moteur de cogénération pour la chaudière, fonctionnant en régime stabilisé et à pleine charge. Nature Valeur limite d’émission en mg/Nm³ Poussières 5 Monoxyde de carbone 250 Oxydes d’azote exprimés en dioxyde d’azote 100 ou 200 si système d’allumage par injection directe Oxydes de Soufre en équivalent SO2 100 Les gaz provenant du moteur de cogénération doivent être portés à une température minimale de 900° C pendant une durée supérieure à 0.3 seconde. La température doit être mesurée en continu et faire l’objet d’un enregistrement. Le rythme d’autosurveillance des rejets atmosphériques est au minimum annuel et il peut être revu à la hausse, en concertation avec l’inspection des installations classées, au vu des résultats des mesures effectuées. TITRE 4 – PROTECTION DES RESSOURCES EN EAUX ET DES MILIEUX AQUATIQUES Chapitre 4.1 – Prélèvement et consommation d’eau Article 4.1.1 – Origine des approvisionnements en eau L’alimentation en eau du site s’effectue à partir du réseau public d’adduction en eau. Article 4.1.2 – Protection des réseaux d’eau potable et des milieux de prélèvement Un ou plusieurs systèmes de disconnexion ou tout autre équipement présentant des garanties équivalentes sont installés afin d’isoler les réseaux d’eaux industrielles et pour éviter des retours de substances dans le réseau public. Chapitre 4.2 – Collecte des effluents liquides Article 4.2.1 – Dispositions générales Tous les effluents aqueux sont canalisés. Tout rejet d’effluent liquide non prévu aux chapitre 4.2 et 4.3 ou non conforme à leurs dispositions est interdit. À l’exception des cas accidentels où la sécurité des personnes ou des installations serait compromise, il est interdit d’établir des liaisons directes entre les réseaux de collecte des effluents devant subir un traitement ou être détruits et le milieu récepteur. Article 4.2.2 – Plan des réseaux Les plans des réseaux sont établis par l’exploitant, régulièrement mis à jour et datés, notamment après chaque modification notable. Ils sont tenus à la disposition de l’inspection des installations classées ainsi que des services d’incendie et de secours. Les plans de réseau d’alimentation et de collecte doivent notamment faire apparaître : - L’origine et la distribution de l’eau d’alimentation. - Les dispositifs de protection de l’alimentation (bac de disconnexion, implantation des disconnecteurs ou tout autre dispositif permettant un isolement avec la distribution alimentaire, …). - Les secteurs collectés et les réseaux associés. - Les ouvrages de toutes sortes (vannes, compteurs, …). - Les ouvrages d’épuration interne avec leurs points de contrôle et les points de rejet de toute nature (interne ou au milieu). Article 4.2.3 – Entretien et surveillance Les réseaux de collecte des effluents sont conçus et aménagés de manière à être curables, étanches et résister dans le temps aux actions physiques et chimiques des effluents ou produits susceptibles d’y transiter. L’exploitant s’assure par des contrôles appropriés et préventifs de leur bon état et de leur étanchéité. Les différentes canalisations accessibles sont repérées conformément aux règles en vigueur. Les canalisations de transport de substances et préparations dangereuses à l’intérieur de l’établissement sont aériennes. RECUEIL N° 18 618 30 MARS 2018

Chapitre 4.3 – Types d’effluents, leurs ouvrages d’épuration et leurs caractéristiques de rejet au milieu Article 4.3.1 – Identification des effluents L’exploitant est en mesure de distinguer les différentes catégories d’effluents suivants : - Eaux pluviales de toiture ; - Eaux pluviales susceptibles d’être polluées (voirie) ; - Eaux usées domestiques ; - Eaux résiduaires industrielles (eaux de lavage des plate-formes, bâtiments, ..). Article 4.3.2 – Collecte des effluents Les effluents pollués ne contiennent pas de substances de nature à gêner le bon fonctionnement des ouvrages de traitement. La dilution des effluents est interdite: en aucun cas, elle ne peut constituer un moyen de respecter les valeurs seuils de rejets fixées par le présent arrêté. Il est interdit d’abaisser les concentrations en substances polluantes des rejets par simples dilutions autres que celles résultant du rassemblement des effluents normaux de l’établissement ou celles nécessaires à la bonne marche des installations de traitement. Les rejets directs ou indirects d’effluents dans la (les) nappe(s) d’eau(x) souterraine(s) ou vers les milieux de surface non visés par le présent arrêté sont interdits. L’établissement est équipé d’un dispositif de rétention qui recueille l’ensemble des eaux susceptibles d’être polluées lors d’une fuite ou d’un accident ou d’un incendie. Article 4.3.3 – Traitement des effluents Les eaux pluviales de toiture ne subissant pas de traitement peuvent rejoindre le milieu naturel. Les eaux pluviales de voirie susceptibles d’être polluées sont collectées, traitées dans un dispositif débourbeur séparateur d’hydrocarbures, avant d’être rejetées dans le milieu naturel. Les eaux de nettoyage des appareils en contact avec la matière et les eaux usées domestiques sont traitées dans le digesteur Article 4.3.4 – Valeurs limites d’émission des eaux exclusivement pluviales L’exploitant est tenu de respecter avant rejet des eaux pluviales dans le milieu récepteur considéré, les valeurs limites en concentration et flux ci-dessous définies : Paramètres Concentrations instantanées (mg/l) Hydrocarbures totaux 10 mg/l DCO 300 mg/l MES 100 mg/l TITRE 5 – DÉCHETS Chapitre 5.1 – Principes de gestion Article 5.1.1 – Limitation de la production des déchets L’exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception, l’aménagement, et l’exploitation de ses installations pour assurer une bonne gestion des déchets et en limiter la production. Article 5.1.2 – Séparation des déchets L’exploitant effectue à l’intérieur de son établissement la séparation des déchets (dangereux ou non) de façon à faciliter leur traitement ou leur élimination dans des filières spécifiques. Les déchets dangereux sont définis par l’article R.541-8 du code de l’environnement. Les déchets d’emballage visés par les articles R.543-66 à R.543-72 du code de l’environnement sont valorisés par réemploi, recyclage ou toute autre action visant à obtenir des déchets valorisables ou de l’énergie. Les huiles usagées doivent être éliminées conformément aux articles R.543-3 à R.543-15 et R.543-40 du code de l’environnement portant réglementation de la récupération des huiles usagées et ses textes d’application (arrêté ministériel du 28 janvier 1999). Elles sont stockées dans des réservoirs étanches et dans des conditions de séparation satisfaisantes, évitant notamment les mélanges avec de l’eau ou tout autre déchet non huileux ou contaminé par des PCB. Les piles et accumulateurs usagés doivent être éliminés conformément aux dispositions de l’article R.543-131 du code de l’environnement relatif à la mise sur le marché des piles et accumulateurs et à leur élimination. Les pneumatiques usagés doivent être éliminés conformément aux dispositions de l’article R.543-137 à R.543-151 du code de l’environnement; ils sont remis à des opérateurs agréés (collecteurs ou exploitants d’installations d’élimination). Les déchets d’équipements électriques et électroniques sont enlevés et traités selon les dispositions des articles R.543-196 à R.543-201 du code de l’environnement. Les huiles usagées doivent être remises à des opérateurs agréés (ramasseurs ou exploitants d’installations d’élimination). Article 5.1.3 – Conception et exploitation des installations internes de transit des déchets Les déchets et résidus produits, entreposés dans l’établissement, avant leur traitement ou leur élimination, doivent l’être dans des conditions ne présentant pas de risques de pollution (prévention d’un lessivage par des eaux météoriques, d’une pollution des eaux superficielles et souterraines, des envols et des odeurs) pour les populations avoisinantes et l’environnement. Article 5.1.4 – Déchets traités ou éliminés à l’extérieur de l’établissement L’exploitant élimine ou fait éliminer les déchets produits dans des conditions propres à garantir les intérêts visés à l’article L.511-1 du code de l’environnement. Il s’assure que les installations utilisées pour cette élimination sont régulièrement autorisées à cet effet. Article 5.1.5 – Déchets traités ou éliminés à l’intérieur de l’établissement À l’exception des installations spécifiquement autorisées, toute élimination de déchets dans l’enceinte de l’établissement (incinération à l’air libre, mise en dépôt à titre définitif) est interdite. Article 5.1.6 – Transport Chaque lot de déchets dangereux expédié vers l’extérieur doit être accompagné du bordereau de suivi établi en application de l’arrêté ministériel du 29 juillet 2005 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux mentionné à l’article R.541-45 du code de l’environnement. Les opérations de transport de déchets doivent respecter les dispositions des articles R.541-50 à R.541-64 et R.541-79 du code de l’environnement relatifs au transport par route au négoce et au courtage de déchets. La liste mise à jour des transporteurs utilisés par l’exploitant, est tenue à la disposition de l’inspection des installations classées. L’importation ou l’exportation de déchets ne peut être réalisée qu’après accord des autorités compétentes en application du règlement (CE) n° 1013/2006 du parlement européen et du Conseil du 14 juin 2006 concernant les transferts de déchets. TITRE 6 – PRÉVENTION DES NUISANCES SONORES ET DES VIBRATIONS Chapitre 6.1 – Dispositions générales Article 6.1.1 – Aménagements L’installation est construite, équipée et exploitée de façon que son fonctionnement ne puisse être à l’origine de bruits transmis par voie aérienne ou solidienne, de vibrations mécaniques susceptibles de compromettre la santé ou la sécurité du voisinage ou de constituer une nuisance pour celle-ci. Les prescriptions de l’arrêté ministériel du 23 janvier 1997 relatif à la limitation des bruits émis dans l’environnement par les installations relevant du livre V – titre I du code de l’environnement, ainsi que les règles techniques annexées à la circulaire du 23 juillet 1986 relative aux vibrations mécaniques émises dans l’environnement par les installations classées sont applicables. RECUEIL N° 18 619 30 MARS 2018

Article 6.1.2 – Véhicules et engins Les véhicules de transport, les matériels de manutention et les engins de chantier utilisés à l’intérieur de l’établissement, et susceptibles de constituer une gêne pour le voisinage, sont conformes aux dispositions en vigueur en matière de limitation de leurs émissions sonores. Article 6.1.3 – Appareils de communication L’usage de tout appareil de communication par voie acoustique (sirènes, avertisseurs, haut-parleurs...) gênant pour le voisinage est interdit sauf si leur emploi est exceptionnel et réservé à la prévention ou au signalement d’incidents graves ou d’accidents. Chapitre 6.2 – Niveaux acoustiques Article 6.2.1 – Valeurs limites d’émergence Les zones à émergence réglementée sont définies comme suit : - L’intérieur des immeubles habités ou occupés par des tiers, existant à la date du présent arrêté d’autorisation, et de leurs parties extérieures éventuelles les plus proches (cour, jardin, terrasse…). - Les zones constructibles définies par des documents d’urbanisme opposables aux tiers et publiés à la date du présent arrêté d’autorisation. - L’intérieur des immeubles habités ou occupés par des tiers qui auront été implantés après la date du présent arrêté d’autorisation dans les zones constructibles définies ci-dessus et leurs parties extérieures éventuelles les plus proches (cour, jardin, terrasse…), à l’exclusion de celles des immeubles implantés dans les zones destinées à recevoir des activités artisanales ou industrielles. Les émissions sonores dues aux activités des installations ne doivent pas engendrer une émergence supérieure aux valeurs admissibles fixées dans le tableau suivant, dans les zones à émergence réglementée. Niveau de bruit ambiant existant dans Émergence admissible pour la période Émergence admissible pour la période les zones à émergence réglementée allant de 7h à 22h allant de 22h à 7h (incluant le bruit de l’établissement) sauf dimanches et jours fériés ainsi que les dimanches et jours fériés Supérieur à 35 dB(A) 6 dB(A) 4 dB(A) et inférieur ou égal à 45 dB(A) Supérieur à 45 dB(A) 5 dB(A) 3 dB(A) Article 6.2.2 – Niveaux limites de bruit Les niveaux limites de bruit ne doivent pas dépasser en limite de propriété de l’établissement les valeurs suivantes pour les différentes périodes de la journée. Période de jour allant de 7h à 22 h Période de nuit allant de 22h à 7h sauf dimanches et jours fériés ainsi que dimanches et jours fériés 70 dB(A) 60 dB(A) Chapitre 6.3 – Vibrations En cas d’émissions de vibrations mécaniques gênantes pour le voisinage ainsi que pour la sécurité des biens ou des personnes, les points de contrôle, les valeurs des niveaux limites admissibles ainsi que la mesure des niveaux vibratoires émis seront déterminés suivant les spécifications des règles techniques annexées à la circulaire ministérielle n° 23 du 23 juillet 1986 relative aux vibrations mécaniques émises dans l’environnement par les installations classées. TITRE 7 – PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES Chapitre 7.1 – Caractérisation des risques Article 7.1.1 – Zonage interne à l’établissement. Zonage ATEX L’exploitant identifie les zones présentant un risque de présence d’atmosphère explosive, qui peut se superposer à un risque toxique. Ce risque est signalé et, lorsqu’elles sont confinées, ces zones sont équipées de détecteurs de méthane ou d’alarmes. Ces zones sont définies sans préjudice des dispositions de l’arrêté du 4 novembre 1993 complété relatif à la signalisation de sécurité et de santé au travail, du décret n°2002-1553 du 24 décembre 2002 relatif aux dispositions concernant la prévention des explosions applicables aux lieux de travail, ainsi que l’arrêté du 28 juillet 2003 susvisé. Elles sont reportées sur le plan des installations. Le matériel implanté dans ces zones explosives est conforme aux prescriptions du décret n°96-1010 du 19 novembre 1996 relatif aux appareils destinés à être utilisés en atmosphère explosive. La nature exacte du risque et les consignes à observer sont indiquées à l’entrée de ces zones et en tant que de besoin et rappelées à l’intérieur de celles-ci. Ces consignes sont incluses dans les plans de secours s’ils existent. Article 7.1.2 - Porter à Connaissance sur les risques technologiques En application de la circulaire du 4 mai 2007 relative au « Porter à la Connaissance » sur les risques technologiques, compte tenu des d’effets sortant à l’extérieur du site, un Document d’Information sur les Risques Industriels est transmis au maire de la commune d’EINVILLE AU JARD et au service urbanisme de la Direction Départementale des Territoires de Meurthe et Moselle. Les préconisations en matière d’urbanisme sont élaborées par la DDT. Lorsque l’autorisation préfectorale d’exploiter est accordée à l’exploitant, Un « Porter à Connaissance » sur les zones d’effets potentiels et les préconisations avec lesquelles le document d’urbanisme doit être compatible sont adressés au maire d’EINVILLE AU JARD. Chapitre 7.2 – Infrastructures et installations Article 7.2.1 – Accès et circulation dans l’établissement L’exploitant fixe les règles de circulation et de stationnement, applicables à l’intérieur de l’établissement. Les règles sont portées à la connaissance des intéressés par une signalisation adaptée et une information appropriée. Les voies de circulation et d’accès sont notamment délimitées, maintenues en constant état de propreté et dégagées de tout objet susceptible de gêner le passage. Ces voies sont aménagées pour que les engins des services d’incendie et de secours puissent évoluer sans difficulté. L’établissement est efficacement clôturé sur la totalité de sa périphérie. Article 7.2.1.1 – Contrôle des accès Aucune personne étrangère à l’établissement ne doit avoir libre accès aux installations. L’exploitant prend les dispositions nécessaires au contrôle des accès, ainsi qu’à la connaissance permanente des personnes présentes dans l’établissement. Une surveillance est assurée en permanence. Article 7.2.1.2 – Sécurité routière L’exploitant met en place les mesures adéquates, lors de la phase de transport des produits utilisés dans l’unité de méthanisation, pour éviter toute salissure de la route départementale ou du chemin communal desservant les installations. La sécurité routière est assurée par un panneau « stop » réglementaire au carrefour des deux voies de circulation et par d’autres signalisations limitant la vitesse, indiquant le sens de circulation prioritaire, la présence de piétons et les aires de dégagements. L’acheminement des matières entrantes doit se faire, dans la mesure du possible, par le chemin communal dit « du Céhu » afin de contourner la commune de BAUZEMONT. Article 7.2.2 – Bâtiments et locaux La salle de contrôle et les locaux dans lesquels sont présents des personnels devant jouer un rôle dans la prévention des accidents en cas de dysfonctionnement de l’installation sont implantés et protégés vis-à-vis des risques toxiques, d’incendie et d’explosion. RECUEIL N° 18 620 30 MARS 2018

Les locaux à risque et les locaux de stockage sont isolés par des parois coupe-feu de degré 2 heures. Les ouvertures de ces locaux sont fermées par des portes coupe-feu de degré 2 heures. Les sols des aires et locaux de stockage sont incombustibles (classe A1).M1 Article 7.2.3 – Installations électriques – Mise à la terre Les installations électriques sont conçues, réalisées et entretenues conformément aux normes en vigueur. Elles sont réalisées avec du matériel normalisé et installées conformément aux normes applicables, par des personnes compétentes et en conformité avec la réglementation ATEX en vigueur. La mise à la terre est effectuée suivant les règles de l’art et distincte de celle des installations de protection contre la foudre. Une vérification de l’ensemble de l’installation électrique est effectuée au minimum une fois par an par un organisme compétent qui mentionne très explicitement les défectuosités relevées dans son rapport. L’exploitant conserve une trace écrite des éventuelles mesures correctives prises. Article 7.2.3.1 – Zones susceptibles d’être à l’origine d’une explosion Les dispositions de l’article 2 de l’arrêté ministériel du 31 mars 1980, portant réglementation des installations électriques des établissements réglementés au titre de la législation sur les installations classées et susceptibles de présenter des risques d’explosion, sont applicables à l’ensemble des zones de risque d’atmosphère explosive de l’établissement. Le plan des zones à risques d’explosion est porté à la connaissance de l’organisme chargé de la vérification des installations électriques. Ces zones sont équipées de détecteurs de méthane et d’alarmes lorsqu’elles sont confinées. Les masses métalliques contenant et/ou véhiculant des produits inflammables et explosibles susceptibles d’engendrer des charges électrostatiques sont mises à la terre et reliées par des liaisons équipotentielles. Article 7.2.4 – Protection contre la foudre Les installations sur lesquelles une agression par la foudre peut être à l’origine d’événements susceptibles de porter gravement atteinte, directement ou indirectement, à la sécurité des installations, à la sécurité des personnes ou à la qualité de l’environnement, sont protégées contre la foudre en application de l’arrêté ministériel en vigueur. Chapitre 7.3 – Gestion des opérations portant sur des substances dangereuses Article 7.3.1 – Consignes d’exploitation destinées à prévenir les accidents Les opérations comportant des manipulations susceptibles de créer des risques, en raison de leur nature ou de leur proximité avec des installations dangereuses, et la conduite des installations, dont le dysfonctionnement aurait par leur développement des conséquences dommageables pour le voisinage et l’environnement (phases de démarrage et d’arrêt, fonctionnement normal, entretien, …) font l’objet de procédures et instructions d’exploitation écrites et contrôlées. Ces consignes doivent notamment indiquer : - L’interdiction de fumer. - L’interdiction de tout brûlage à l’air libre. - L’interdiction d’apporter du feu sous une forme quelconque à proximité du dépôt. - L’obligation du « permis d’intervention » ou « permis de feu ». - Les procédures d’arrêt d’urgence et de mise en sécurité de l’installation (électricité, ventilation, climatisation, chauffage, fermeture des portes coupe-feu, obturation des écoulements d’égouts notamment). - Les moyens d’extinction à utiliser en cas d’incendie. - La procédure d’alerte avec les numéros de téléphone du responsable d’intervention de l’établissement, des services d’incendie et de secours. Les consignes ou modes opératoires sont intégrés au système de gestion de la sécurité. Sont notamment définis : la fréquence de vérification des dispositifs de sécurité, le détail et les modalités des vérifications à effectuer en marche normale, dans les périodes transitoires, lors d’opérations exceptionnelles, à la suite d’un arrêt, après des travaux de modifications ou d’entretien de façon à vérifier que l’installation reste conforme aux dispositions du présent arrêté et que le procédé est maintenu dans les limites de sûreté définies par l’exploitant ou dans les modes opératoires. L’exploitant affecte des moyens appropriés au système de gestion de la sécurité. Il veille à son bon fonctionnement. L’exploitant tient à la disposition de l’inspection des installations classées les bilans relatifs à la gestion du retour d’expérience. Article 7.3.2 – Interdiction de feux Il est interdit d’apporter du feu ou une source d’ignition sous une forme quelconque dans les zones de dangers présentant des risques d’incendie ou d’explosion sauf pour les interventions ayant fait l’objet d’un permis d’intervention spécifique. Article 7.3.3 – Formation du personnel L’exploitant et son personnel, y compris le personnel intérimaire, sont formés à la prévention des nuisances et des risques générés par le fonctionnement et la maintenance de l’installation, à la conduite à tenir en cas d’incident ou d’accident et à la mise en œuvre des moyens d’intervention. Les formations appropriées pour satisfaire ces dispositions sont dispensées par des organismes ou des personnels compétents sélectionnés par l’exploitant. Le contenu des formations est décrit et leur adéquation aux besoins justifiée. La formation initiale mentionnée à l’alinéa précédent est délivrée à toute personne nouvellement embauchée. Elle est renouvelée selon une périodicité spécifiée par l’exploitant et validée par les organismes ou personnels compétents ayant effectué la formation initiale. Le contenu de cette formation peut être adapté pour prendre en compte notamment le retour d’expérience de l’exploitation des installations et ses éventuelles modifications. À l’issue de chaque formation, les organismes ou personnels compétents établissent une attestation de formation précisant les coordonnées du formateur, la date de réalisation de la formation, le thème et le contenu de la formation. Cette attestation est délivrée à chaque personne ayant suivi les formations. Avant toute intervention, les prestataires extérieurs sont sensibilisés aux risques générés par leur intervention. L’exploitant tient à la disposition de l’inspection des installations classées les documents attestant du respect des dispositions du présent article. Cette formation comporte notamment : - Toutes les informations utiles sur les produits manipulés, les réactions chimiques et opérations de fabrication mises en œuvre. - Les explications nécessaires pour la bonne compréhension des consignes. - Des exercices périodiques de simulation d’application des consignes de sécurité prévues par le présent arrêté, ainsi qu’un entraînement régulier au maniement des moyens d’intervention affectés à leur unité. - Un entraînement périodique à la conduite des unités en situation dégradée vis-à-vis de la sécurité et à l’intervention sur celles-ci. - Une sensibilisation sur le comportement humain et les facteurs susceptibles d’altérer les capacités de réaction face au danger. Article 7.3.4 – Travaux d’entretien et de maintenance Tous les travaux d’entretien ou de maintenance dans les installations ou à proximité des zones à risque inflammable, explosible et toxique sont réalisés sur la base d’un dossier préétabli définissant notamment leur nature, les risques présentés, les conditions de leur intégration au sein des installations ou unités en exploitation et les dispositions de conduite et de surveillance à adopter. Les travaux font l’objet d’un permis délivré par une personne dûment habilitée et nommément désignée. Article 7.3.4.1 – « Permis d’intervention » ou « permis de feu » Les travaux conduisant à une augmentation des risques (emploi d’une flamme ou d’une source chaude par exemple) ne peuvent être effectués qu’après délivrance d’un « permis d’intervention » et éventuellement d’un « permis de feu » et en respectant une consigne particulière. RECUEIL N° 18 621 30 MARS 2018

Le « permis d’intervention » et éventuellement le « permis de feu » et la consigne particulière doivent être établis et visés par l’exploitant ou une personne qu’il aura nommément désignée. Lorsque les travaux sont effectués par une entreprise extérieure, ces deux permis et la consigne particulière doivent être signés par l’exploitant et l’entreprise extérieure ou les personnes qu’ils auront nommément désignées. Après la fin des travaux et avant la reprise de l’activité, une vérification des installations doit être effectuée par l’exploitant ou son représentant ou le représentant de l’éventuelle entreprise extérieure. Chapitre 7.4 – Mesures de maîtrise des risques Article 7.4.1 – Liste de mesures de maîtrise des risques L’exploitant rédige une liste des mesures de maîtrise identifiées dans l’étude de dangers et des opérations de maintenance qu’il y apporte. Cette liste est intégrée dans le Système de Gestion de la Sécurité. Elle est tenue à la disposition de l’inspection des installations classées et fait l’objet d’un suivi rigoureux. Ces dispositifs sont contrôlés périodiquement et maintenus, selon des procédures écrites, en état de fonctionnement au niveau de fiabilité précisé dans l’étude de dangers. Les opérations de maintenance et de vérification sont enregistrées et archivées. En cas d’indisponibilité d’un dispositif ou élément d’une mesure de maîtrise des risques, l’installation est arrêtée et mise en sécurité sauf si l’exploitant a défini et mis en place les mesures compensatoires dont il justifie l’efficacité et la disponibilité. Article 7.4.2 – Domaine de fonctionnement sur des procédés L’exploitant établit, sous sa responsabilité, les plages de variation des paramètres qui déterminent la sûreté de fonctionnement des installations. L’installation est équipée de dispositifs d’alarme lorsque les paramètres sont susceptibles de sortir des plages de fonctionnement sûr. Les dispositifs utilisés à cet effet sont indépendants des systèmes de conduite. Toute disposition contraire doit être justifiée et faire l’objet de mesures compensatoires. Les systèmes de mise en sécurité des installations sont à sécurité positive. Article 7.4.3 – Programme de maintenance préventive Un programme de maintenance préventive et de vérification périodique des canalisations, du mélangeur et des principaux équipements intéressant la sécurité (alarmes, détecteurs de gaz, injection d’air dans le biogaz …) est élaboré avant la mise en service de l’installation. Article 7.4.4 – Gestion des anomalies et défaillances de mesures de maîtrise des risques Les anomalies et les défaillances des mesures de limitation des risques sont enregistrées et gérées par l’exploitant dans le cadre d’un processus d’amélioration continue selon les principales étapes mentionnées à l’alinéa suivant. Ces anomalies et défaillances doivent : - Être signalées et enregistrées. - Être hiérarchisées et analysées. - Donner lieu dans les meilleurs délais à la définition et à la mise en place de parades techniques ou organisationnelles, dont leur application est suivie dans la durée. L’exploitant tient à la disposition de l’inspection des installations classées un registre dans lequel ces différentes étapes sont consignées. Article 7.4.5 – Surveillance et détection des zones pouvant être à l’origine de risques Conformément aux engagements dans l’étude de dangers, et le cas échéant en renforçant son dispositif, l’exploitant met en place un réseau de détecteurs en nombre suffisant avec un report d’alarme en salle de contrôle. L’exploitant dresse la liste de ces détecteurs avec leur fonctionnement et détermine les opérations d’entretien destinées à maintenir leur efficacité dans le temps. La surveillance d’une zone pouvant être à l’origine des risques ne repose pas sur un seul point de détection. La remise en service d’une installation arrêtée à la suite d’une détection, ne peut être décidée que par une personne déléguée à cet effet, après examen détaillé des installations et analyse de la défaillance ayant provoqué l’alarme. Local cogénération : dans les locaux susceptibles d’abriter du personnel, un système de détection automatique de fuite de gaz (CH4 – H2S) conforme aux référentiels en vigueur est mis en place. Chapitre 7.5 – Moyens d’intervention en cas d’accident et organisation des secours Article 7.5.1 – Définition générale des moyens L’exploitant met en œuvre des moyens d’intervention conformes à l’étude de dangers. Article 7.5.2 – Entretien des moyens d’intervention Ces équipements sont maintenus en bon état, repérés et facilement accessibles. L’exploitant doit fixer les conditions de maintenance et les conditions d’essais périodiques de ces matériels. Les dates, les modalités de ces contrôles et les observations constatées doivent être inscrites sur un registre tenu à la disposition des services de la protection civile, d’incendie et de secours et de l’inspection des installations classées. Article 7.5.3 – Protections individuelles du personnel d’intervention Des masques ou appareils respiratoires d’un type correspondant au gaz ou émanations toxiques sont mis à disposition de toute personne susceptible d’intervenir en cas de sinistre. Article 7.5.4 – Moyens de lutte contre l’incendie L’exploitant dispose a minima de : Moyens propres au site : - Extincteurs adaptés aux risques à combattre, en nombre suffisant et placés dans les bâtiments afin de lutter efficacement contre l’incendie. Ces extincteurs sont contrôlés annuellement par un organisme habilité avec délivrance du certificat de conformité « Q 4 » de l’APSAD.

- Alarmes visuelles et sonores asservies à des détecteurs de méthane ou d’O2, dans le biogaz en sortie. La défense extérieure contre l’incendie est assurée par une réserve incendie 120 m³. Avant la mise en service des installations, l’exploitant sollicite le concours du SDIS pour connaître les précisions sur les besoins opérationnels liés aux risques générés par l’activité. Article 7.5.5 – Consignes de sécurité Sans préjudice des dispositions du code du travail, les modalités d’application des dispositions du présent arrêté sont établies, intégrées dans des procédures générales spécifiques et/ou dans les procédures et instructions de travail, tenues à jour et affichées dans les lieux fréquentés par le personnel. Ces consignes indiquent notamment : - L’interdiction d’apporter du feu sous une forme quelconque dans les parties de l’installation qui, en raison des caractéristiques qualitatives et quantitatives des matières mises en œuvre, stockées, utilisées ou produites, sont susceptibles d’être à l’origine d’un sinistre pouvant avoir des conséquences directes ou indirectes sur l’environnement, la sécurité publique ou le maintien en sécurité de l’installation. - Les procédures d’arrêt d’urgence et de mise en sécurité de l’installation (électricité, réseaux de fluides). - Les mesures à prendre en cas de fuite sur un récipient ou une canalisation contenant des substances dangereuses et notamment les conditions d’évacuation des déchets et eaux souillées en cas d’épandage accidentel. - Les moyens d’extinction à utiliser en cas d’incendie. - La procédure d’alerte avec les numéros de téléphone du responsable d’intervention de l’établissement, des services d’incendie et de secours. - La procédure permettant, en cas de lutte contre un incendie, d’isoler le site afin de prévenir tout transfert de pollution vers le milieu récepteur. Article 7.5.6 – Consignes générales d’intervention RECUEIL N° 18 622 30 MARS 2018

Article 7.5.6.1 – Système d’alerte interne Le système d’alerte interne et ses différents scénarios sont définis dans un dossier d’alerte. Un réseau d’alerte interne à l’établissement collecte sans délai les alertes émises par le personnel à partir des postes fixes et mobiles, et les alarmes de danger significatives. Les postes fixes ou téléphones mobiles permettant de donner l’alerte sont répartis sur l’ensemble du site de telle manière qu’en aucun cas la distance à parcourir pour atteindre un poste à partir d’une installation ne dépasse cent mètres. Article 7.5.7 – Surveillance du procédé L’unité de méthanisation est équipée des moyens de mesure nécessaires à la surveillance du processus de méthanisation. Elle est notamment équipée de dispositifs de mesure en continu de la température des matières en fermentation et de contrôle en continu de la pression du biogaz. L’exploitant spécifie le domaine de fonctionnement des installations pour chaque paramètre surveillé, en définit la fréquence de surveillance et spécifie le cas échéant les seuils d’alarme associés. Article 7.5.8 – Phases de démarrage ou redémarrage L’étanchéité du ou des digesteurs, des canalisations de biogaz et des équipements de protection contre les surpressions et les sous-pressions est vérifiée avant le démarrage et lors de chaque redémarrage consécutif à une intervention susceptible de porter atteinte à leur étanchéité. L’exécution du contrôle et ses résultats sont consignés. Avant le premier démarrage de l’installation, l’exploitant informe le Préfet de l’achèvement des installations par un dossier technique établissant leur conformité aux conditions fixées par le présent arrêté. Lors du démarrage ou du redémarrage ainsi que lors de l’arrêt ou de la vidange de tout ou partie de l’installation, l’exploitant prend les dispositions nécessaires pour limiter les risques de formation d’atmosphères explosives. Il établit une consigne spécifique pour ces phases d’exploitation. Cette consigne spécifie notamment les moyens de prévention additionnels, du point de vue du risque d’explosion, que l’exploitant met en œuvre pendant ces phases transitoires d’exploitation. Pendant ces phases, toute opération ou intervention de nature à accentuer le risque d’explosion est interdite. Article 7.5.9– Indisponibilités En cas d’indisponibilité prolongée des installations de méthanisation supérieure à 15 jours, l’exploitant évacue les matières en attente de méthanisation susceptibles de provoquer des nuisances au cours de leur entreposage vers les installations de traitement dûment autorisées. Article 7.5.10– Prévention des risques Article 7.5.10.1 – Repérage des canalisations Les différentes canalisations sont repérées par des couleurs normalisées (norme NF X 08 15) ou par des pictogrammes en fonction du fluide qu’elles transportent. Elles sont repérées sur un plan. Article 7.5.10.2 – Canalisations, dispositifs d’ancrage Les canalisations en contact avec le biogaz sont constituées de matériaux insensibles à la corrosion par les produits soufrés ou protégés contre cette corrosion. La partie aérienne de la canalisation de biogaz est protégée contre les agressions mécaniques. Les dispositifs d’ancrage des équipements de stockage du biogaz, en particulier ceux utilisant des matériaux souples, sont conçus pour maintenir l’intégrité des équipements même en cas de défaillance de l’un de ces dispositifs. Article 7.5.10.3 – Traitement du biogaz Lorsqu’il existe un dispositif d’injection d’air dans le biogaz destiné à en limiter par oxydation la teneur en H2S, ce dispositif est conçu pour prévenir tout risque de formation d’une atmosphère explosive ou doté des sécurités permettant de prévenir ce risque. Article 7.5.10.4– Ventilation des locaux Sans préjudice des dispositions du code de travail, les espaces confinés et les locaux dans lesquels du biogaz pourrait s’accumuler en cas de fuite sont convenablement ventilés pour éviter la formation d’une atmosphère explosive ou nocive. La ventilation assure en permanence, y compris en cas d’arrêt de l’installation et notamment en cas de mise en sécurité de celle-ci, un balayage de l’atmosphère du local, au minimum au moyen d’ouvertures en parties hautes et basses permettant une circulation efficace de l’air ou par tout autre moyen équivalent. Article 7.5.10.5 – Soupapes de sécurité, évents d’explosion Les équipements dans lesquels s’effectue le processus de méthanisation sont dotés d’un dispositif destiné à prévenir les risques de surpression ou de sous-pression, ne débouchant pas sur un lieu de passage, et conçu et disposé pour que son bon fonctionnement ne soit entravé ni par la mousse, ni par le gel, ni par quelque obstacle que ce soit. La disponibilité de ce dispositif est vérifiée dans le cadre du programme mentionné à l’article 39 de l’arrêté du 10 novembre 2009 précité et, en tout état de cause, après toute situation d’exploitation ayant conduit à sa sollicitation. Les équipements dans lesquels s’effectue le processus de méthanisation sont dotés d’un dispositif de limitation des conséquences d’une surpression brutale tel qu’une membrane souple, un disque de rupture, un évent d’explosion ou tout autre dispositif équivalent de protection contre l’explosion défini lors d’une évaluation des risques d’explosion. Chapitre 7.6 – Prévention des pollutions accidentelles Article 7.6.1 – Organisation de l’établissement Une consigne écrite doit préciser les vérifications à effectuer, en particulier pour s’assurer périodiquement de l’étanchéité des dispositifs de rétention, préalablement à toute remise en service après arrêt d’exploitation, et plus généralement aussi souvent que le justifieront les conditions d’exploitation. Les vérifications, les opérations d’entretien et de vidange des rétentions doivent être notées sur un registre spécial tenu à la disposition de l’inspection des installations classées. Article 7.6.2 – Étiquetage des substances et préparations dangereuses Les fûts, réservoirs et autres emballages, les récipients fixes de stockage de produits dangereux d’un volume supérieur à 800 litres portent de manière très lisible la dénomination exacte de leur contenu, le numéro et le symbole de danger défini dans la réglementation relative à l’étiquetage des substances et préparations chimiques dangereuses. Article 7.6.3 – Rétentions Tout stockage fixe ou temporaire d’un liquide susceptible de créer une pollution des eaux ou des sols est associé à une capacité de rétention dont le volume est au moins égal à la plus grande des deux valeurs suivantes : * 100 % de la capacité du plus grand réservoir. * 50 % de la capacité des réservoirs associés. Cette disposition n’est pas applicable aux bassins de traitement des eaux résiduaires. Pour les stockages de récipients de capacité unitaire inférieure ou égale à 250 litres, la capacité de rétention est au moins égale à : - dans le cas de liquides inflammables, à l’exception des lubrifiants, 50 % de la capacité totale des fûts ; - dans les autres cas, 20 % de la capacité totale des fûts ; - dans tous les cas, 800 litres minimum ou égale à la capacité totale lorsque celle-ci est inférieure à 800 litres. La capacité de rétention est étanche aux produits qu’elle pourrait contenir, résiste à l’action physique et chimique des fluides et peut être contrôlée à tout moment. Il en est de même pour son éventuel dispositif d’obturation qui est maintenu fermé en permanence. Les capacités de rétention ou les réseaux de collecte et de stockage des égouttures et effluents accidentels ne comportent aucun moyen de vidange par simple gravité dans le réseau d’assainissement ou le milieu naturel. La conception de la capacité est telle que toute fuite survenant sur un réservoir associé y soit récupérée, compte-tenu en particulier de la différence de hauteur entre le bord de la capacité et le sommet du réservoir. RECUEIL N° 18 623 30 MARS 2018

Ces capacités de rétention doivent être construites suivant les règles de l’art, en limitant notamment les surfaces susceptibles d’être mouillées en cas de fuite. Article 7.6.4 – Réservoirs L’étanchéité du (ou des) réservoir(s) associé(s) à la rétention doit pouvoir être contrôlée à tout moment. Les matériaux utilisés doivent être adaptés aux produits utilisés de manière, en particulier, à éviter toute réaction parasite dangereuse. Les canalisations doivent être installées à l’abri des chocs et donner toute garantie de résistance aux actions mécaniques, physiques, chimiques ou électrolytiques. Article 7.6.5 – Règles de gestion des stockages en rétention Les réservoirs ou récipients contenant des produits incompatibles ne sont pas associés à une même rétention. Le stockage des liquides inflammables, ainsi que des autres produits, toxiques, corrosifs ou dangereux pour l’environnement, n’est autorisé sous le niveau du sol que dans des réservoirs installés en fosse maçonnée ou assimilés, et pour les liquides inflammables dans le respect des dispositions du présent arrêté. L’exploitant veille à ce que les volumes potentiels de rétention restent disponibles en permanence. Article 7.6.6 – Stockage sur les lieux d’emploi Dans les ateliers, le stockage des matières premières, produits intermédiaires et produits finis considérés comme des substances ou des préparations dangereuses est limité aux quantités minimales d’utilisation dans le cadre d’un fonctionnement normal. Article 7.6.7 – Transports – chargements – déchargements Les aires de chargement et de déchargement de véhicules sont étanches et reliées à des rétentions dimensionnées selon les règles de l’art. Les réservoirs sont équipés de manière à pouvoir vérifier leur niveau de remplissage à tout moment et empêcher ainsi leur débordement en cours de remplissage. Ce dispositif de surveillance est pourvu d’une alarme de niveau haut. Article 7.6.8 – Elimination des substances ou préparations dangereuses L’élimination des substances ou préparations dangereuses récupérées en cas d’accident suit prioritairement la filière déchets la plus appropriée. TITRE 8 – CONDITIONS PARTICULIÈRES D’EXPLOITATION Chapitre 8.1 – Unité de méthanisation Article 8.1.2 – Admission des intrants Article 8.1.2.1 – Caractérisation préalable des matières Sans préjudice des obligations de l’agrément sanitaire, l’exploitant élabore un ou des cahiers des charges pour définir la qualité des matières admissibles dans l’installation. Ces éléments précisent explicitement les critères qu’elles doivent satisfaire et dont la vérification est requise. Avant la première admission d’une matière dans son installation et en vue d’en vérifier l’admissibilité, l’exploitant demande au producteur, ou au détenteur une information préalable. Cette information préalable est renouvelée tous les ans et conservée au moins trois ans par l’exploitant. L’information préalable contient à minima les éléments suivants pour la caractérisation des matières entrantes : - Source et origine de la matière. - Données concernant sa composition et notamment sa teneur en matière sèche et en matières organiques. - Dans le cas de sous-produits animaux au sens du règlement (CE) n° 1069-2009, indication de la catégorie correspondante et d’un éventuel traitement préalable d’hygiénisation ; l’établissement devra alors disposer de l’agrément sanitaire prévu par le règlement (CE) n° 1069-2009, et les dispositifs de traitement de ces sous-produits seront présentés au dossier. - Son apparence (odeur, couleur, apparence physique). - Les conditions de son transport. - Le code du déchet conformément à l’annexe II de l’article R.541-8 du code de l’environnement. - Le cas échéant, les précautions supplémentaires à prendre, notamment celles nécessaires à la prévention de la formation d’hydrogène sulfuré consécutivement au mélange de matières avec des matières déjà présentes sur le site. L’exploitant tient en permanence à jour et à la disposition de l’inspection des installations classées, le recueil des informations préalables qui lui ont été adressées et précise, le cas échéant, les motifs pour lesquels il a refusé l’admission d’une matière. Chapitre 8.2 – Gestion de l’épandage du digestat Article 8.2.1 – Généralités On entend par « épandage » toute application de déchets ou effluents sur ou dans des sols agricoles. Seuls les déchets ou les effluents ayant un intérêt pour les sols ou pour la nutrition des cultures peuvent être épandus. La nature, les caractéristiques et les quantités de déchets ou d’effluents destinés à l’épandage sont telles que leur manipulation et leur application ne portent pas atteinte, directe ou indirecte, à la santé de l’homme et des animaux, à la qualité et à l’état phytosanitaire des cultures, à la qualité des sols et des milieux aquatiques, et que les nuisances soient réduites au minimum. Article 8.2.2 – Gestion de l’épandage du digestat issu de la méthanisation Article 8.2.2.1 – Registre de sortie L’exploitant tient à jour un registre des déchets et matières sortantes mentionnant : - la nature du déchet ou de la matière, - le code du déchet conformément à l’annexe II de l’article R.541-8 du code de l’environnement, - la date de chaque enlèvement, - les masses ou volumes et caractéristiques correspondantes, - le type d’enfouissement prévu : épandage, traitement (compostage, séchage…) ou élimination (enfouissement, incinération, épuration…), - le destinataire. Ce registre de sortie est archivé pendant une durée minimale de 10 ans et tenu à la disposition de l’inspection des installations classées et, le cas échéant, des autorités de contrôle en charge des articles L.255-1 à L.255-11 du code rural et de la pêche maritime. Le cahier d’épandage tel que prévu dans le présent arrêté peut tenir lieu de registre de sortie du digestat. Sans préjudice des conditions fixées par l’agrément sanitaire, seul le digestat présentant un intérêt pour les sols ou la nutrition des cultures et dont l’application ne porte pas atteinte, directe ou indirecte, à la santé de l’homme et des animaux, à la qualité et à l’état phytosanitaire des cultures, à la qualité des sols et des milieux aquatiques peut être épandu. Si le digestat est destiné à l’épandage sur terres agricoles sans être mis sur le marché en tant que matière fertilisante, il fait l’objet d’un plan d’épandage dans le respect des conditions visées ci-après, sans préjudice des dispositions de la réglementation relative aux nitrates d’origine agricole. L’épandage est alors effectué par un dispositif permettant de limiter les émissions atmosphériques d’ammoniac. Article 8.2.2.2 – Périodes et distances d’épandage Les périodes d’épandage et les quantités épandues sont adaptées de manière : - à assurer l’apport des éléments utiles aux sols ou aux cultures sans excéder les besoins, compte-tenu des apports de toute nature, y compris engrais, amendements et supports de culture, - à empêcher la stagnation prolongée sur les sols, le ruissellement en dehors des parcelles d’épandage, une percolation rapide, - à empêcher l’accumulation dans le sol de substances susceptibles à long terme de dégrader sa structure ou de présenter un risque écotoxique, - à empêcher le colmatage du sol, notamment par les graisses. L’épandage est interdit : - pendant les périodes où le sol est pris en masse par le gel ou abondamment enneigé, exception faite des déchets solides ; RECUEIL N° 18 624 30 MARS 2018

- pendant les périodes de forte pluviosité et pendant les périodes où il existe un risque d’inondation, - en dehors des terres régulièrement travaillées et des prairies ou des forêts exploitées, - sur les terrains à forte pente, dans des conditions qui entraîneraient leur ruissellement hors du champ d’épandage, - à l’aide de dispositifs d’aéro-aspersion qui produisent des brouillards fins lorsque les effluents sont susceptibles de contenir des microorganismes pathogènes. Sous réserve des prescriptions fixées en application de l’article L.20 du code de la santé publique, l’épandage de déchets ou d’effluents respecte les distances et délais minima prévus au tableau suivant : Nature des activités à protéger Distance minimale Domaine d’application Puits, forages, sources, aqueducs transitant 35 mètres Pente du terrain inférieure à 7 %. des eaux destinées à la consommation humaine en écoulement libre, installations 100 mètres Pente du terrain supérieure à 7 %. souterraines ou sem-enterrées utilisées pour le stockage des eaux, que des dernières soient utilisées pour l’alimentation en eau potable ou pour l’arrosage des cultures maraîchères. Cours d’eau et plans d’eau. Déchets non fermentescibles enfouis directement après épandage Pente du terrain inférieur à 7 % et bande 10 mètres des berges. enherbée de 10 mètres

2. Autres cas. 35 mètres des berges. Pente du terrain supérieure à 7 %. Lieux de baignade. 200 mètres Sites d’aquaculture (piscicultures et zones 500 mètres conchylicoles). Habitation ou local occupé par des tiers, zones 50 mètres. En cas d’injection directe dans le sol 15 m. de loisirs et établissements recevant du public. Pour un épandage avec buses palette ou rampe palette la distance est portée à 100 m

En cas de déchets ou effluents odorants. DELAI MINIMUM Herbages ou cultures fourragères. Six semaines avant la remise à En cas d’absence de risque lié à la présence l’herbe des animaux ou de la récolte d’agents pathogènes. des cultures fourragères. Terrains affectés à des cultures maraîchères et Pas d’épandage pendant la période fruitières à l’exception des cultures d’arbres de végétation. fruitiers. Terrains destinés ou affectés à des cultures Dix mois avant la récolte En cas d’absence de risque lié à la présence maraîchères ou fruitières, en contact direct et pendant la récolte elle-même. d’agents pathogènes. avec les sols, ou susceptibles d’être consommés à l’état cru. Dix-huit mois avant la récolte Autres cas. et pendant la récolte elle-même. Les déchets solides ou pâteux non stabilisés sont enfouis le plus tôt possible, dans un délai maximum de quarante-huit heures, pour réduire les nuisances olfactives et les pertes par volatilisation. Sur sol nu, le délai d’enfouissement est réduit à douze heures. En zone vulnérable, l’épandage du digestat est soumis simultanément au programme d’actions national défini par l’arrêté du 11 octobre 2016 et par l’arrêté du 23 octobre 2013 modifiant l’arrêté du 19 décembre 2011 et d’autre part par le programme d’actions régional défini par l’arrêté SGAR n° 2015-267 du 8 octobre 2015 établissant le référentiel régional de mise en œuvre de l’équilibre de la fertilisation azotée pour la région Lorraine. Article 8.2.2.3 – Stockage du digestat Les ouvrages permanents d’entreposage de déchets ou d’effluents sont dimensionnés pour faire face aux périodes où l’épandage est soit impossible, soit interdit par l’étude préalable. Toutes dispositions sont prises pour que les dispositifs d’entreposage ne soient pas source de gêne ou de nuisances pour le voisinage et n’entraînent pas de pollution des eaux ou des sols par ruissellement ou infiltration. Le déversement dans le milieu naturel des trop-pleins des ouvrages d’entreposage est interdit. Les ouvrages d’entreposage à l’air libre sont interdits d’accès aux tiers non autorisés. Article 8.2.2.4 – Programme prévisionnel d’épandage et cahier d’épandage Un programme prévisionnel annuel d’épandage doit être établi, en accord avec l’exploitant agricole, au plus tard un mois avant le début des opérations concernées. Ce programme comprend : ➔ La liste des parcelles ou groupes de parcelles concernées par la campagne, ainsi que la caractérisation des systèmes de culture (cultures implantées avant et après l’épandage, période d’interculture) sur ces parcelles. ➔ Une caractérisation des déchets ou effluents à épandre (quantités prévisionnelles, rythme de production, valeur agronomique, …). ➔ Les préconisations spécifiques d’utilisation du digestat (calendrier et doses d’épandage par une unité culturale, …). ➔ L’identification des personnes morales ou physiques intervenant dans la réalisation de l’épandage. Ce programme prévisionnel est tenu à la disposition de l’inspection des installations classées. L’arrêté préfectoral prévoit, le cas échéant, la transmission de ce programme au Préfet avant le début de la campagne. Un cahier d’épandage, conservé pendant une durée de dix ans, mis à la disposition de l’inspection des installations classées, doit être tenu à jour. Il comporte les informations suivantes : ➔ les quantités d’effluents ou de déchets épandus par unité culturale, ➔ les dates d’épandage, ➔ les parcelles réceptrices et leur surface, ➔ les cultures pratiquées, ➔ l’ensemble des résultats d’analyses pratiquées sur les sols et sur les déchets ou effluents, avec les dates de prélèvements et de mesures et leur localisation, ➔ l’identification des personnes physiques ou morales chargées des opérations d’épandage et des analyses. Le producteur de déchets ou d’effluents doit pouvoir justifier à tout moment de la localisation des déchets ou des effluents produits (entreposage, dépôt temporaire, transport ou épandage) en référence à leur période de production et aux analyses réalisées. Un bilan et suivi agronomique est dressé annuellement. Ce document comprend : RECUEIL N° 18 625 30 MARS 2018

➔ les volumes des matières entrantes, ➔ les parcelles réceptrices, ➔ un bilan qualitatif et quantitatif du digestat épandu, ➔ l’exploitation du cahier d’épandage indiquant les quantités d’éléments fertilisants et d’éléments ou substances indésirables apportées sur chaque unité culturale et les résultats des analyses de sols, ➔ les bilans de fumure réalisés sur des parcelles de référence représentatives de chaque type de sols et de systèmes de culture, ainsi que les conseils de fertilisation complémentaire qui en découlent, ➔ la remise à jour éventuelle des données réunies lors de l’étude initiale du plan d’épandage. Article 8.2.2.5 –Analyses du digestat et programme annuel des analyses Sans préjudice des auto-controles prévus par l’agrément sanitaire, ces analyses portent sur : ➔ Le taux de matière sèche. ➔ Les éléments de caractérisation de la valeur agronomique mentionnés en annexe III. ➔ Les éléments et substances chimiques susceptibles d’être présents dans les déchets en annexe II. ➔ Les agents pathogènes susceptibles d’être présents (tableau 5 c). Les digestats sont analysés selon un plan prévisionnel suivant : ➔ 2 analyses annuelles agronomiques lors des 2 grandes périodes d’épandage Le volume des effluents épandus est mesuré soit par des compteurs horaires totalisateurs dont seront munies les pompes de refoulement, soit par mesure directe, soit par tout autre procédé équivalent. Outre les analyses prévues au programme prévisionnel, les sols doivent être analysés sur chaque point de référence tel que défini à l’article 8.2.2.3 paragraphe 3 alinéa 7 : ➔ Après l’ultime épandage, sur le ou les points de référence, en cas d’exclusion du périmètre d’épandage de la ou des parcelles sur lesquelles ils se situent. ➔ Au minimum tous les dix ans. Ces analyses portent sur les éléments et substances figurant aux tableaux 1a, 1b et 2 de l’annexe II et sur tout autre élément ou substance visé par le présent arrêté. Article 8.2.2.6 – Contrat de mise à disposition et programme d’actions Une convention d’épandage est souscrite entre le producteur de digestat et les utilisateurs préteurs de terre. Le contrat lie le producteur de digestat à l’agriculteur utilisateur qui valorise les effluents. Ce contrat définit les engagements de chacun ainsi que leurs durées. Le contrat précise que l’agriculteur bénéficiaire s’engage à assurer une bonne utilisation agronomique de ces effluents, en respectant les règles définies dans le présent arrêté. En cas de résiliation de contrat, l’exploitant de la SAS METHASANON propose un plan d’épandage modifié ou une autre solution alternative et en informe l’inspection des installations classées. La fertilisation doit être équilibrée et correspondre aux capacités exportatrices réelles de la culture ou de la prairie concernée et tenir compte de la nature particulière des terrains et de la rotation des cultures. En aucun cas, la capacité d’absorption des sols ne doit être dépassée, de telle sorte que ni la stagnation prolongée sur les sols, ni le ruissellement en dehors du champ d’épandage, ni une percolation rapide vers les nappes souterraines ne puissent se produire. Dans les zones vulnérables définies au titre de l’article R 211-77 du code de l’environnement, l’indice global sera limité à 170 kg/ha/an (quantité d’azote apportée par les effluents d’élevage ou épandu par les animaux eux-mêmes sur la surface agricole utile (SAU). Chapitre 8.3 – Dispositions liées à l’activité IED Article 8.3.1- Meilleures Techniques Disponibles Au regard des capacités autorisées à la rubrique n° 3532 de la nomenclature, l’installation relève de la section 8 du chapitre 5 du titre I du livre V du code de l’environnement relative aux installations visées à l’annexe I de la Directive IED (Directive relatives aux émissions industrielles). L’unité de méthanisation est soumise à l’application des meilleures techniques disponibles économiquement acceptables (MTD) telles que définies dans document BREF WT (Waste Treatments) qui recense les meilleures techniques disponibles à mettre en œuvre dans les installations de traitement des déchets fermentescibles non dangereux, par voie anaérobie. Le chapitre 5.2 du BREF WT est orienté sur la bioremédiation. À défaut de MTD spécifiques à la méthanisation des déchets organiques, l’application stricte des prescriptions techniques figurant dans le présent arrêté rejoint les conclusions des meilleures techniques disponibles. Article 8.3.2 – Rapport de Base Le fonctionnement de l’installation n’implique pas l’utilisation, ni la production, ni le rejet de substance dangereuse, l’exploitant est exonéré de la production d’un rapport de base. Chapitre 8.4 – Bilans périodiques Article 8.4.1 – Rapport annuel d’activité Une fois par an, l’exploitant adresse au Préfet un rapport d’activité comportant une synthèse des informations dont la communication est prévue dans le présent arrêté (cf notamment les chapitres 2.8 et 2.9) ainsi que, plus généralement, tout élément d’information pertinent sur le fonctionnement de l’installation dans l’année écoulée et les demandes éventuelles exprimées auprès de l’exploitant par le public. Le rapport précise également le mode de valorisation et le taux de valorisation annuel du biogaz produit. Il présente aussi le bilan des quantités de digestat produites sur l’année, le cas échéant les variations mensuelles de cette production ainsi que les quantités annuelles par destinataires. TITRE 9 – DÉLAIS ET VOIES DE RECOURS En application de l’article R 181-50 du code de l’environnement, le présent arrêté peut être déféré devant le tribunal administratif de Nancy - 5 place de la Carrière - Case Officielle n°38 - 54036 NANCY cedex : 1° par les pétitionnaires ou exploitants, dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle la décision leur a été notifiée ; 2° par les tiers intéressés en raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement des installations présente pour les intérêts mentionnés à l’article L.181-3 du code de l’environnement, dans un délai de quatre mois à compter de : a) l’affichage de la présente décision en mairie, b) la publication de la décision sur le site internet de la préfecture. Le délai court à compter de la dernière formalité accomplie. Si l’affichage constitue cette dernière formalité, le délai court à compter du premier jour d’affichage de la décision. La présente décision peut faire l’objet d’un recours gracieux ou hiérarchique dans le délai de deux mois. Ce recours administratif prolonge de deux mois les délais mentionnés au 1° et 2°. Lorsqu’un recours gracieux ou hiérarchique est exercé par un tiers, le préfet en informe le bénéficiaire de la décision pour lui permettre d’exercer les droits qui lui sont reconnus par les articles L.411-6 et L.122-1 du code des relations entre le public et l’administration. • Les tiers intéressés peuvent déposer une réclamation auprès du Préfet, à compter de la mise en service du projet autorisé, aux fins de contester l’insuffisance ou l’inadaptation des prescriptions définies dans l’autorisation, en raison des inconvénients ou des dangers que le projet autorisé présente pour le respect des intérêts mentionnés à l’article L.181-3 du code de l’environnement. RECUEIL N° 18 626 30 MARS 2018

• Le préfet dispose d’un délai de deux mois, à compter de la réception de la réclamation, pour y répondre de manière motivée. À défaut de réponse, la réponse est réputée négative. • S’il estime la réclamation fondée, le préfet fixe les prescriptions complémentaires dans les formes prévues à l’article R.181-45 du code de l’environnement.

TITRE 10 – PUBLICITÉ, EXÉCUTION ET INFORMATION DES TIERS Article 10.1 - Publicité Une copie du présent arrêté est déposée aux archives de la mairie d’EINVILLE AU JARD et mise à la disposition de toute personne intéressée. Elle y est affichée pendant une durée minimum d’un mois. Le maire de la commune d’EINVILLE AU JARD fera connaître par procès verbal, adressé à la préfecture de la Meurthe et Moselle, l’accomplissement de cette formalité. Une copie dudit arrêté sera également adressée à chaque conseil municipal consulté, à savoir : Pour le rayon d’affichage : EINVILLE-AU-JARD BAUZEMONT ATHIENVILLE SERRES VALHEY BIENVILLE-LA-PETITE RAVILLE-SUR-SANON BATHELEMONT BONVILLER CRION HENAMENIL Pour l’épandage : ARRACOURT, BATHELEMONT, ERBEVILLER SUR AMEZULE, ATHIENVILLE, BAUZEMONT, GELLENONCOURT, BEZANGE-LA-GRANDE, BONVILLER, HENAMENIL, BEZANGE-LA-PETITE, BUISSONCOURT, HOEVILLE, HARAUCOURT, BURES, JOLIVET, JUVRECOURT, CHANTEHEUX, MARAINVILLER, MONCOURT, COINCOURT, MOUACOURT, RECHICOURT-LA-PETITE, COURBESSEAUX, PARROY, XANREY CRION, REMEREVILLE, ANTHELUPT,CREVIC, CROISMARE, SERRES, DEUXVILLE, DROUVILLE, SIONVILLER, MAIXE, EINVILLE-AU-JARD, VALHEY, VITRIMONT EMBERMENIL, XURES L’arrêté est publié sur le site internet de la préfecture de la Meurthe et Moselle, qui a délivré l’acte, pour une durée identique d’un mois. Un avis au public sera inséré par les soins de la préfecture et aux frais de la société SAS METHASANON dans un journal diffusé dans tout le département de la Meurthe et Moselle. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Meurthe et Moselle dans un délai de quinze jours à compter de l’adoption de la décision. Article 10.2 – Exécution et information La Secrétaire Générale de la préfecture de la Meurthe et Moselle, le maire de la commune d’EINVILLE AU JARD, la directrice départementale de la protection des populations de la Meurthe et Moselle, inspection de l’environnement, service santé, protection animales et environnement, la directrice départementale des territoires de la Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée : * à titre de notification : à la SAS « METHASANON » - Siège social : 7 Rue de Battant Pré 54370 BURES (Meurthe et Moselle) * pour affichage : Monsieur le maire d’Einville-au-Jard * pour information : • Mesdames et Messieurs les maires : EINVILLE-AU-JARD, SERRES, BAUZEMONT, RAVILLE-SUR-SANON, CRION, VALHEY, BATHELEMONT, HENAMENIL, ATHIENVILLE, BIENVILLE-LA-PETITE, BONVILLER, ARRACOURT, BEZANGE-LA-GRANDE, BEZANGE-LA-PETITE, HARAUCOURT, JUVRECOURT, MONCOURT, RECHICOURT-LA-PETITE, XANREY, ANTHELUPT, CREVIC, DEUXVILLE, MAIXE, VITRIMONT, BUISSONCOURT, BURES, CHANTEHEUX, COINCOURT, COURBESSEAUX, CROISMARE, DROUVILLE, EMBERMENIL, ERBEVILLER-SUR-AMEZULE, GELLENONCOURT, HOEVILLE, JOLIVET, MARAINVILLER, MOUACOURT, PARROY, REMEREVILLE, SIONVILLER et XURES ; • Monsieur le préfet de la région Grand Est - Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) - Service régional de l’archéologie ; • Madame la directrice régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Grand Est ; • Monsieur la responsable de l’unité territoriale de l’Agence Régionale de la Santé Grand Est ; • Madame la directrice départementale des Territoires ; • Monsieur le directeur du Service Départemental d’Incendie et de Secours ; • Madame la cheffe de l’Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine ; • Monsieur le directeur régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi ; • Monsieur le président de la Chambre départementale d’agriculture ; • Monsieur le directeur général de l’agence de l’eau Rhin Meuse ; • Monsieur le président du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle ; • Monsieur le président du syndicat intercommunal des eaux d’Einville au Jard ; • Monsieur le président de GRT Gaz ; • Monsieur le président d’Ethylène Est ; • Monsieur le président d’ENEDIS ; • Madame la présidente du Tribunal Administratif de Nancy. Nancy, le 22 mars 2018 Le Préfet, Eric FREYSSELINARD

Les annexes 1 : Annexes II-III et IV extraites de l’arrêté ministériel du 2 février 1998, 2 : Parcellaires du plan d’épandage, et 3 : cartographies du plan d’épandage sont consultables au SCPP - Bureau des procédures environnementales. RECUEIL N° 18 627 30 MARS 2018

SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES – EST DIVISION EXPLOITATION DE BESANÇON

Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-B54-88-011 du 21 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, Le Préfet des Vosges, VU le code de la voirie routière ; VU le code de la route ; VU le code de justice administrative ; VU le code pénal ; VU le code de procédure pénale ; VU la loi N° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret N° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU le décret du Président de la République, en date du 08/12/2017 nommant Monsieur Eric FREYSSELINARD, préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU le décret du Président de la République, en date du 08/12/2017 nommant Monsieur Pierre ORY préfet des Vosges ; VU l'arrêté du 24 novembre 1967 et modifié par arrêté du 6 décembre 2011 relatif à la signalisation des routes et autoroutes et l'ensemble des arrêtés modificatifs, ainsi que l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977 et l'ensemble des textes d'application (guides techniques spécifiques) ; VU l’arrêté SGAR n°2014-05 du 01/01/2014 du Préfet coordonnateur des itinéraires routiers Est portant organisation de la direction interdépartementale des routes Est ; VU l'arrêté préfectoral n° 17.BCI.104 du 29/12/2017 pris par Monsieur Eric FREYSSELINARD, préfet de Meurthe-et-Moselle portant délégation de signature à Monsieur Jérôme GIURICI, directeur interdépartemental des routes Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national, et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté préfectoral n° 28/18 du 02/01/2018 pris par Monsieur Pierre ORY, préfet des Vosges portant délégation de signature à Monsieur Jérôme GIURICI, directeur interdépartemental des routes Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national, et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté n° 2017/DIR-Est/DIR/SG/AJ/54-04 du 29 décembre 2017 portant subdélégation de signature par Monsieur Jérôme GIURICI, directeur interdépartemental des routes – Est, au profit de M. Jean SCHLOSSER, Chef de la division d’exploitation de Besançon, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national, et au pouvoir de représentation de l'Etat devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté n° 2018/DIR-Est/DIR/SG/AJ/88-01 du 03 janvier 2018 portant subdélégation de signature par Monsieur Jérôme GIURICI, directeur interdépartemental des routes – Est, au profit de M. Jean SCHLOSSER, Chef de la division d’exploitation de Besançon, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national, et au pouvoir de représentation de l'Etat devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté en date du 19/12/2017 du Préfet de département Meurthe-et-Moselle portant réglementation de la circulation au droit des « chantiers courants » sur le réseau routier national, hors agglomération ; VU l'arrêté en date du 02/09/2017 du Préfet de département des Vosges portant réglementation de la circulation au droit des « chantiers courants » sur le réseau routier national, hors agglomération ; VU la circulaire N° 96-14 du 6 février 1996 relative à l'exploitation sous chantier ; VU la demande du CEI de Charmes en date du 7 mars 2018 ; VU l’avis favorable du Conseil départemental 54 en date du 19 février 2018 ; VU l’avis favorable du Conseil départemental 88 en date du 19 février 2018 ; VU l'avis favorable de la commune de Mangonville en date du 2 fevrier 2018 ; VU l'avis favorable de la commune de Bainville aux Miroirs en date du 1 mars 2018 ; VU l'avis favorable de la commune de Roville devant Bayon en date du 1 mars 2018 ; VU l’avis réputé favorable de la commune de Laneuville devant Bayon consultée en date du 27 février 2018 ; VU l’avis réputé favorable de la commune de Gripport consultée en date du 27 février 2018; VU l'avis favorable du District de Remiremont en date du 12 mars 2018 ; VU l'avis favorable du CISGT VAUBAN en date du 19/03/2018 ; CONSIDERANT que les travaux de réhabilitation de la chaussée sur la section de la RN 57 comprise entre les PR 67+400 et 70+1000 dans le sens Nancy Remiremont, nécessitent l’interdiction de circulation automobile sur ladite section. CONSIDERANT qu’il importe d’assurer la sécurité des usagers de la voie publique ainsi que celle des agents de la Direction Interdépartementale des Routes Est, des concessionnaires ou opérateurs occupant le réseau routier national hors agglomération et des entreprises chargées de l’exécution des travaux, et de réduire autant que possible les entraves à la circulation, en réglementant la circulation à l'occasion du chantier particulier évoqué dans le présent arrêté ; CONSIDERANT que les usagers peuvent emprunter les itinéraires de déviations décrits dans le présent arrêté ; A R R E T E Article 1 : Le présent arrêté particulier s’applique au chantier engagé et exécuté sur le réseau routier national dans les conditions définies à l'article 2. Il réglemente la circulation aux abords de ce chantier et définit les mesures de restrictions qui seront mises en œuvre et signalées conformément à la réglementation en vigueur. Il détermine également les mesures d'information des usagers qui devront être appliquées. Article 2 : Un chantier particulier est engagé dans les conditions suivantes : VOIE N57

POINTS REPERES PR. ET SENS Du PR 64+150 à 3+250 dans les deux sens de circulation

Section courante SECTION Echangeur de Gripport

Réhabilitation couche de chaussée et travaux de signalisation horizontale NATURE DES TRAVAUX sur la RN57 du PR 67+400 à PR 70+1000 sens NANCY - REMIREMONT et sur les bretelles n° 1 et n° 2 de l’échangeur de GRIPPORT RECUEIL N° 18 628 30 MARS 2018

DUREE PERIODE GLOBALE Du 30 mars 2018, 08h00 au 27 avril 2018, 19h00

Basculement total de circulation de type 1 + 1 et 0 – SYSTEME D'EXPLOITATION Fermeture de bretelles et déviations locales

A LA CHARGE DU : MISE EN PLACE PAR : SIGNALISATION TEMPORAIRE - CEI Charmes - CEI Charmes

Article 3 : Les travaux seront réalisés selon le phasage suivant :

N° DATE PR. ET SENS DESCRIPTION DES TRAVAUX SIGNALISATION MISE EN PLACE

Neutralisation de la voie rapide du PR 64+950 au PR 2+130 dans le sens Nancy-Remiremont – limitation de la vitesse maximale autorisée à 90 km/h et interdiction de 1 Neutralisation des voies de gauche doubler du PR 64+550 au PR 2+130

Le 30/03/18 Neutralisation de la voie rapide du PR PR 64+150 8h00 2+450 au PR 65+300 dans le sens au Remiremont-Nancy PR 3+250 au 03/04/18 – limitation de la vitesse maximale dans les deux sens 4h00 autorisée à 90 km/h et interdiction de doubler du PR 2+850 au PR 65+300 Neutralisation de voie maintenues durant Mise en place des SMV et ouverture des 2 le WE ITPC Signalisation selon Schéma CF114a du manuel de chef de chantier – RCS – édition 2002 Basculement de la circulation du sens Nancy-Remiremont sur le sens Remiremont-Nancy du PR 65+400 au PR 2+080 – réduction à une voie de circulation de la chaussée dans le sens Remiremont- Nancy du PR 2+450 au PR 65+300 – limitation de la vitesse maximale autorisée à 90 km/h et interdiction de doubler du PR 64+550 au PR 2+130 dans le sens Nancy-Remiremont et du PR 2+850 au PR 65+300 dans le sens Remiremont-Nancy. – limitation de la vitesse maximale autorisée à 50 km/h dans les zones de basculement au PR 65+400 et PR 2+080 dans le sens Nancy-Remiremont.

Fermeture de la bretelle n°1 de l’échangeur de Gripport (sortie RN57 Mise en place des déviations pour en direction de la RD904) Le 03/04/18 PR 64+150 fermeture des bretelles Les usagers, venant de la direction de 04h00 au NANCY (RN57) se rendant sur GRIPPORT, 3 PR 3+250 Basculement de circulation sortent à l’échangeur précédent de BAYON au 27/04/18 dans les deux sens et suivent la déviation sur RD9 – RD570 11h00 Travaux enrobés et marquage au sol du jusqu’à GRIPPORT. PR 67+400 au PR 70+1000 Les usagers venant de la direction de CRANTENOY (RD9) se rendant vers GRIPPORT, continuent jusqu’à l’intersection avec la RD570 et suivant la déviation jusqu’au panneau « FIN DE DEVIATION », à l’approche de GRIPPORT.

Fermeture de la bretelle n°2 de l’échangeur de Gripport (insertion RN57 en direction de Remiremont depuis la RD904) Les usagers, venant de la direction de XIROCOURT (RD904) ou GERMONVILLE (RD68), se rendant sur ÉPINAL, suivant la signalisation de déviation « ÉPINAL » sur RD904 – RD570 puis RD157 – RD157a jusqu’à CHARMES. Les usagers venant de la commune de GRIPPORT se rendant vers ÉPINAL, suivent le même itinéraire ci-dessus. RECUEIL N° 18 629 30 MARS 2018

Le 27/04/18 PR 64+150 Dé-basculement de 11h00 au 4 Ouverture des bretelles à PR 3+250 Dépose des déviations 19h00 dans les deux sens

OBSERVATIONS PARTICULIERES : ASTREINTE DIR-Est : CEI de CHARMES via le CISGT Vauban de BESANÇON Adresse de l'entreprise : • Enrobés : COLAS EST 71 rue de la Grande Haie - 88150 CAPAVENIR-THAON LES VOSGES • Signalisation horizontale : • Mise en place des SMV : AER ZA RN6 326 Impasse du Pré d’Enfer - 71260 SENOZAN Préfectures concernées : Préfecture de Meurthe & Moselle – 6 rue Ste Catherine– 54000 NANCY Préfecture des Vosges – Place FOCH – 88000 ÉPINAL Forces de l'ordre concernées: Gendarmerie de BAYON – HAROUÉ Gendarmerie d’EPINAL / EDSR des Vosges

Article 4 : En cas d’intempéries ou de problèmes techniques, les travaux prévus à l'article 2 sont susceptibles d’être reportés du nombre de jours d’intempéries ou nécessaires à la résolution des problèmes techniques. Les dispositions d’exploitation de la circulation cesseront à la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 5 : Ce chantier fera l’objet des mesures de publicité et d’information du public suivantes : • publication et/ou affichage au sein des communes de : Gripport, Laneuveville devant Bayon, Mangonville, Bainville-aux-Miroirs, Roville- devant-Bayon ; • affichage à chaque extrémité de la zone des travaux ; • mise en place de la signalisation de police conforme aux instructions contenues dans le présent arrêté ; • diffusion de l'information aux usagers par l'intermédiaire du CISGT Vauban. Article 6 : La signalisation du chantier sera conforme à l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et des autoroutes et ses arrêtés modificatifs, à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977, et aux Manuels de Chef de Chantier (routes bidirectionnelles ou routes à chaussées séparées selon les cas) et guides thématiques spécifiques (SETRA, CERTU). La signalisation du chantier sera mise en place conformément aux mentions figurant sous l'article 2 du présent arrêté. Article 7 : Pendant les périodes d’inactivité des chantiers, notamment les jours non ouvrables, les signaux en place seront maintenus. Article 8 : Toute contravention au présent arrêté sera constatée et poursuivie conformément aux lois et règlements en vigueur. Article 9 : Les dispositions du présent arrêté prennent effet à compter 30 mars 2018 et prendront fin conformément aux dispositions de l’article 4 ci-dessus et en tout état de cause pas avant la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 10 : Le Secrétaire général de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle, le Secrétaire général de la Préfecture des Vosges, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de Meurthe-et-Moselle, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique des Vosges, le Commandant du Groupement Départemental de Gendarmerie de Meurthe-et-Moselle et le Commandant du Groupement Départemental de Gendarmerie des Vosges sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, dont une copie leur sera adressée. Une copie sera adressée pour affichage et/ou publication à : - Monsieur le Maire de la commune Gripport, - Monsieur le Maire de la commune Laneuveville-devant-Bayon, - Monsieur le Maire de la commune Mangonville, - Monsieur le Maire de la commune Bainville-aux-Miroirs, - Monsieur le Maire de la commune Roville-devant-Bayon. Une copie sera adressée pour information au : - Le Général du commandement de la Région Militaire de Défense Nord-Est, - Monsieur le directeur Départemental des Territoires de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le départemental des Territoires des Vosges, - Monsieur le départemental des Services d’Incendie et de Secours de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le départemental des Services d’Incendie et de Secours des Vosges, - Monsieur le départemental du Service d'Aide Médicale Urgente de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le départemental du Service d'Aide Médicale Urgente des Vosges, - Monsieur le directeur de l'hôpital de Nancy, responsable du SMUR, - Monsieur le Président du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le Président du Conseil Départemental des Vosges, - Monsieur le Maire de la commune Germonville, - Monsieur le Maire de la commune Crantenoy, - Monsieur le Responsable du district de Remiremont, - Monsieur le Responsable du district de Nancy, - Monsieur le Responsable du CEI de Charmes, - Monsieur le Responsable du CEI de Fléville, - Monsieur le Responsable du Bureau Coordination et Sécurité Routière de la DDT de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le Responsable du Bureau Coordination et Sécurité Routière de la DDT des Vosges. Besançon, le 21 mars 2018 Pour les Préfets et par délégation, Le chef de la division exploitation de Besançon, Jean SCHLOSSER

DIVISION EXPLOITATION DE METZ Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-17 du 28 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux d’entretien préventif de chaussée sur A31 du PR 271+000 au PR 277+350 Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la voirie routière ; VU le code de la route ; RECUEIL N° 18 630 30 MARS 2018

VU le code de justice administrative ; VU le code pénal ; VU le code de procédure pénale ; VU la loi N° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, modifiée par la loi n° 2004- 809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales ; VU le décret N° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié par le décret N° 2010-146 du 16 février 2010, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU le décret du Président de la République en date du 8 décembre 2017 nommant Monsieur Eric FREYSSELINARD préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l'arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et autoroutes et l'ensemble des arrêtés modificatifs, ainsi que l’instruction inter- ministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977 et l'ensemble des textes d'application (guides techniques spécifiques) ; VU l’arrêté SGAR N° 2014-5 du 1 janvier 2014 du Préfet coordonnateur des itinéraires routiers – Est portant organisation de la direction interdépartementale des routes Est ; VU l'arrêté préfectoral de délégation de signature N° 17.BCI.104 du 29 décembre 2017, accordant délégation de signature à Monsieur Jérôme GIURICI directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté de la DIR-Est N° 2017/DIR-Est/DIR/SG/AJ/54-04 du 29 décembre 2017 portant subdélégation de signature par Monsieur Jérôme GIURICI directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté préfectoral du 19 décembre 2017 concernant les chantiers courants et réglementant la mise en œuvre des chantiers exécutés sur les réseaux autoroutiers et routiers nationaux non concédés ; VU la note technique du 14 avril 2016 relative à la coordination des chantiers sur le réseau routier national ; VU le dossier d'exploitation en date du 25 mars 2018 présenté par le district de Metz ; VU l'avis du Conseil Départemental de Meurthe-Moselle en date du 27 mars 2018 ; VU l’avis de la commune de Pont-à-Mousson en date du VU l'avis du CISGT « Myrabel » en date du 27 mars 2018 ; VU l'avis du district de Metz en date du 26 mars 2018 ; CONSIDÉRANT qu’il importe d’assurer la sécurité des usagers de la voie publique ainsi que celle des agents de la Direction Interdépartementale des Routes - Est, des concessionnaires ou opérateurs occupant le réseau routier national hors agglomération et des entreprises chargées de l’exécution des travaux, et de réduire autant que possible les entraves à la circulation, en réglementant la circulation à l'occasion du chantier particulier évoqué dans le présent arrêté ; A R R E T E Article 1 : Le présent arrêté particulier s’applique au chantier engagé et exécuté sur le réseau routier national dans les conditions définies à l'article 2. Il réglemente la circulation aux abords de ce chantier et définit les mesures de restrictions qui seront mises en œuvre et signalées conformément à la réglementation en vigueur. Il détermine également les mesures d'information des usagers qui devront être appliquées. Article 2 : Un chantier particulier est engagé dans les conditions suivantes :

VOIE Autoroute A31

POINTS REPERES (PR) Du PR 271+000 au PR 283+500

SENS Nancy vers Metz (Sens 1 ) et Metz vers Nancy (Sens 2)

Section courante de l’autoroute A31 SECTION Diffuseur A313 et n°27 d Atton Aire de LOISY

- Fraisage de chaussée, - Renouvellement de couche d’enrobés avec renforcement de structure, NATURE DES TRAVAUX - Reprise d’affouillement de talus, - Signalisation horizontale temporaire et définitive,

PERIODE GLOBALE Du Mardi 03 avril au mercredi 16 mai 2018

- Neutralisations de voies, - Neutralisations de voies de gauche par FLR, SYSTEME D'EXPLOITATION - Basculement total 1+1 et 0 du sens 1 sur le sens 2, - Fermeture de bretelles de sortie avec mise en place de déviations, - Fermeture de l’Aire de LOISY,

A LA CHARGE DE : MISE EN PLACE PAR : SIGNALISATION TEMPORAIRE - DIR Est - CEI de Champigneulles

Article 3 : Les travaux seront réalisés conformément au plan de phasage ci-dessous : N° Date/Heure PR et SENS SYSTÈMES D'EXPLOITATION RESTRICTIONS DE CIRCULATION Phase d’ouvertures et de fermetures des ITPC 1 Le 03 avril 2018 A31 sens 1 : De 10h00 à PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant 14h30 PR 273+950 au droit des ITPC des PR 268+000 et A31 sens 2 : 273+950 PR 268+000 PR 273+950 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit des ITPC des PR 268+000 et 273+950 2 La nuit du 10 au A31 sens 1 : 11 avril 2018 PR 276+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant De 0h00 à 2h00 au droit de l’ ITPC du PR 276+000 RECUEIL N° 18 631 30 MARS 2018

3 Le 11 avril 2018 A31 sens 2 : De 10h00 à PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant 14h30 PR 271+800 au droit des ITPC des PR 268+000, PR 276+000 271+800 et 276+000 A31 sens 1 : Du PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit des ITPC des PR 268+000 4 Le 16 avril 2018 A31 sens 2 : De 10h00 à PR 278+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant 14h30 au droit de l’ITPC du PR 278+000 A31 sens 1 : PR 278+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 278+000 5 Le 25 et 26 avril A31 sens 1 : 2018 PR 269+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant De 10h00 à au droit de l’ITPC du PR 269+800 14h30 A31 sens 2 : Du PR 269+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 269+800 6 Le 03 mai 2018 A31 sens 1 : De 10h00 à PR 271+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant 14h30 au droit de l’ITPC du PR 271+800 A31 sens 2 : Du PR 271+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 271+800 7 Le 16 mai 2018 A31 sens 1 : De 10h00 à PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant 14h30 PR 273+950 au droit des ITPC des PR 268+000 et A31 sens 2 : 273+950 PR 268+000 PR 273+950 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit des ITPC des PR 268+000 et 273+950 Phase travaux 8 Les journées du A31 Sens 1 : 03, 04, 05, 09, KC1 « sortie fermée » Fermeture de la bretelle de sortie vers - Accès à l’aire de Loisy interdit 10, 11, 12, 25, 26 au PR 271+350 l’aire de Loisy avril et le 02 mai 2018 De 18h00 à 20h30 9 Du 11 avril au 15 A31 sens 1 : Déviation : mai 2018 PR 276+950 Fermeture de la bretelle de sortie du Les usagers de l’A31 en provenance de diffuseur n°27 d’Atton Nancy souhaitant emprunter la bretelle de sortie du diffuseur n°27 d’Atton continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils où ils feront demi-tour pour reprendre l’A31 en direction de Nancy et retrouver la bretelle de sortie au diffuseur n°27 10 Les nuits du A31 sens 1 : 03 au 04, 04 au AK5 PR 266+350 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par 05, 05 au 06, 09 B31 PR 274+050 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; au 10, 10 au 11 sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à avril 2018 PR 268+000 et 273+950 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans De 20h30 à la section basculée (à double sens) ; 06h00 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès et sorties de l’aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de la bretelle d’accès à l’A313 Les usagers de l’A31 en provenance de en direction de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson A31 sens 2 : AK5 PR 275+100 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 267+900 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. RECUEIL N° 18 632 30 MARS 2018

11 Les nuits du A31 sens 1 : 11 au 12 et du 12 AK5 PR 270+150 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par au 13 avril 2018 B31 PR 276+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à De 20h30 à PR 271+800 et 276+000 chaque extrémité du basculement ; 06h00 - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès/sorties de l’aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Nancy. A31 sens 2 : AK5 PR 277+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 271+700 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. 12 Les nuits du 16 A31 sens 1 : au 17, 17 au 18, AK5 PR 272+300 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par 18 au 19, 19 au B31 PR 278+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; 20, 23 au 24 et sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à du 24 au 25 avril PR 273+950 et 278+000 chaque extrémité du basculement ; 2018 - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; De 20h30 à - Interdiction de dépasser pour tous les 06h00 véhicules.

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Nancy. A31 sens 2 : AK5 PR 279+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 273+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 13 Les nuits du 25 A31 sens 1 : au 26 avril 2018 AK5 PR 268+650 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par B31 PR 276+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; De 20h30 à sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à 06h00 PR 269+800 et 276+000 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès et sorties de l’aire de Loisy interdits RECUEIL N° 18 633 30 MARS 2018

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Nancy. A31 sens 2 : AK5 PR 279+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 273+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 14 Les nuits du 26 A31 sens 1 : au 27 avril et 02 AK5 PR 270+650 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par au 03 mai 2018 B31 PR 276+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à De 20h30 à PR 271+800 et 276+000 chaque extrémité du basculement ; 06h00 - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès et sorties de l’aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Nancy. A31 sens 2 : AK5 PR 277+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 269+700 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 15 Les nuits du 03 A31 sens 1 : Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par au 04 et du 14 au AK5 PR 272+800 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; 15 mai 2018 B31 PR 278+100 sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à PR 273+950 et 278+000 chaque extrémité du basculement ; De 20h30 à - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans 06h00 la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Nancy. RECUEIL N° 18 634 30 MARS 2018

A31 sens 2 : AK5 PR 279+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 263+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 16 Du 14 mai à A31 sens 1 : 09h00 au 15 mai diffuseur n°27 d’Atton Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 2018 à 15h00 direction de Metz du diffuseur n°27 en direction de Metz du diffuseur n°27 d’Atton d’Atton Phase hors travaux-Jours et Week end 17 Les journées du A31 sens 1 : 04, 05, Du PR 270+600 au PR Circulation sur chaussée provisoire - Limitation de la vitesse à 90 puis 70km 12,17,18,24 et 25 277+450 par paliers dégressifs ; avril 2018 - Interdiction de dépasser pour tous les De 06h00 à 20h30 A l’avancement véhicules de transport de marchandise de et du chantier plus de 3.5T de PTAC ou PTRA Du 06 avril à 06h00 au 09 avril à 20h30, du 13 avril à 06h00 au 16 avril à 20h30, du 20 avril à 06h00 au 23 avril à 20h30, du 04 mai à 06h00 au 14 mai à 20h30

Article 4 : En cas d'intempéries ou de problèmes techniques, les travaux prévus à l'article 2 sont susceptibles d'être reportés du nombre de jours d'intempéries ou nécessaires à la résolution des problèmes techniques. Ces dispositions sont aussi applicables au phasage des travaux de l'article 3. Les dispositions d'exploitation de la circulation cesseront à la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 5 : Ce chantier fera l'objet des mesures de publicité et d'information du public suivantes : - affichage à chaque extrémité de la zone des travaux ; - mise en place de la signalisation de police conforme aux instructions contenues dans le présent arrêté ; Article 6 : La signalisation du chantier sera conforme à l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et des autoroutes et ses arrêtés modificatifs, à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977, et aux Manuels de Chef de Chantier (routes bidirectionnelles ou routes à chaussées séparées selon les cas) et guides thématiques spécifiques (SETRA, CERTU). La signalisation du chantier sera mise en place conformément aux mentions figurant sous l'article 2 du présent arrêté. Article 7 : Pendant les périodes d’inactivité des chantiers, notamment de nuit et les jours non ouvrables, les signaux en place seront déposés quand les motifs ayant conduit à les implanter auront disparu (présence de personnel, d’engins ou d’obstacles). Article 8 : Toute contravention au présent arrêté sera constatée et poursuivie conformément aux lois et règlements en vigueur. Article 9 : Les dispositions du présent arrêté prennent effet le jour de la signature du présent arrêté et prendront fin conformément aux dispositions des articles 3 et 4 ci-dessus et en tout état de cause pas avant la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 10 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe et Moselle, le directeur interdépartemental des routes – Est, le directeur départemental de la sécurité publique de Meurthe et Moselle, le commandant de la CRS autoroutière Lorraine-, le commandant du groupement départemental de gendarmerie de Meurthe et Moselle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée pour information au : - Général du Commandement de la Région Militaire Terre Nord-Est, - Directeur Départemental du Territoire (DDT) de Meurthe-et-Moselle, - Président du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le maire de la commune de Pont-à-Mousson, - Monsieur le maire de la commune d’ Atton, - Monsieur le maire de la commune de Belleville, - Directeur Départemental des Services d’Incendie et de Secours (SDIS) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur Départemental du Service d'Aide Médicale Urgente (SAMU) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur de l'hôpital de Nancy responsable du SMUR, - Responsable de la cellule juridique de la DIR-Est. Moulins-lès-Metz, le 28 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, L’adjoint au chef de la division d'exploitation de Metz, Guillaume ARTIS ______

Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-18 du 28 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux de réfection des chaussées et de joints d’ouvrages d’art sur la RN4 du PR 35+000 au PR 30+000 Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la voirie routière ; VU le code de la route ; VU le code de justice administrative ; VU le code pénal ; VU le code de procédure pénale ; VU la loi N° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, modifiée par la loi n° 2004- 809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales ; VU le décret N° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié par le décret N° 2010-146 du 16 février 2010, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et les départements ; RECUEIL N° 18 635 30 MARS 2018

VU le décret du Président de la République en date du 8 décembre 2017 nommant Monsieur Eric FREYSSELINARD préfet de Meurthe-et- Moselle ; VU l'arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et autoroutes et l'ensemble des arrêtés modificatifs, ainsi que l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977 et l'ensemble des textes d'application (guides techniques spécifiques) ; VU l’arrêté SGAR N° 2014-5 du 1 janvier 2014 du Préfet coordonnateur des itinéraires routiers – Est portant organisation de la direction interdépartementale des routes Est ; VU l'arrêté préfectoral de délégation de signature N° 17.BCI.104 du 29 décembre 2017, accordant délégation de signature à Monsieur Jérôme GIURICI directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté de la DIR-Est N° 2017/DIR-Est/DIR/SG/AJ/54-04 du 29 décembre 2017 portant subdélégation de signature par Monsieur Jérôme GIURICI directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté préfectoral du 19 décembre 2017 concernant les chantiers courants et réglementant la mise en œuvre des chantiers exécutés sur les réseaux autoroutiers et routiers nationaux non concédés ; VU la note technique du 14 avril 2016 relative à la coordination des chantiers sur le réseau routier national ; VU le dossier d'exploitation en date du 02 mars 2018 présenté par le district de Nancy ; VU l'avis du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle en date du 15 mars 2018 ; VU l’avis de la commune de Dombasle sur Meurthe en date du 20 mars 2018 ; VU l'avis du CISGT « Myrabel » en date du 14 mars 2018 ; VU l'avis du district de Nancy en date du 19 mars 2018 ; CONSIDÉRANT qu’il importe d’assurer la sécurité des usagers de la voie publique ainsi que celle des agents de la Direction Interdépartementale des Routes - Est, des concessionnaires ou opérateurs occupant le réseau routier national hors agglomération et des entreprises chargées de l’exécution des travaux, et de réduire autant que possible les entraves à la circulation, en réglementant la circulation à l'occasion du chantier particulier évoqué dans le présent arrêté ; A R R E T E Article 1 : Le présent arrêté particulier s’applique au chantier engagé et exécuté sur le réseau routier national dans les conditions définies à l'article 2. Il réglemente la circulation aux abords de ce chantier et définit les mesures de restrictions qui seront mises en œuvre et signalées conformément à la réglementation en vigueur. Il détermine également les mesures d'information des usagers qui devront être appliquées. Article 2 : Un chantier particulier est engagé dans les conditions suivantes : VOIE RN4

POINTS REPÈRES (PR) Du PR 36+750 au PR 29+550

Sens Nancy-Strasbourg (sens 1) SENS Sens Strasbourg-Nancy (sens2)

SECTION Section courante à 2x2 voies

NATURE DES TRAVAUX Réfection de chaussées et de joints d’ouvrage d’art.

PÉRIODE GLOBALE Du 3 au 20 avril 2018

Neutralisation de voies ; SYSTÈME D'EXPLOITATION Basculements de circulation de type 1+1 et 0 ; Fermetures de bretelles avec mise en place de déviations.

A LA CHARGE DE : MISE EN PLACE PAR : SIGNALISATION TEMPORAIRE - CEI de Moncel-les-Lunéville - CEI de Moncel-les-Lunéville Article 3 : Les travaux seront réalisés conformément au plan de phasage ci-dessous : N° Date/Heure PR et SENS SYSTÈMES D'EXPLOITATION RESTRICTIONS DE CIRCULATION

1 Le 03 avril 2018 RN4 Sens 1 : De 07h30 à 13h00 AK5 au PR 29+550 Neutralisation de la voie de gauche - limitation de la vitesse à 90km/h B31 au PR 33+000 - Interdiction de dépasser pour tous les Du 06 avril 2018 à véhicules 13h00 au 09 avril RN4 Sens 2 : à 13h00 AK5 au PR 34+050 Neutralisation de la voie de gauche - limitation de la vitesse à 90km/h Du 13 avril 2018 à B31 au PR 30+850 - Interdiction de dépasser pour tous les 13h00 au 16 avril véhicules 2018 à 07h30 2 Du 03 avril 2018 à RN4 Sens 2 : 13h00 au 06 avril AK5 au PR 34+050 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h à 13h00 B31 au PR 30+850 - Interdiction de dépasser pour tous les et du 09 avril 2018 véhicules. à 13h00 au 13 RN4 Sens 1 : avril 2018 à 13h00 AK5 au PR 29+550 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90km/h ; B31 au PR 33+000 Basculement total 1+1 et 0 du sens 1 sur - Limitation de la vitesse à 50 km/h à le sens 2 entre les ITPC des PR 30+930 chaque extrémité du basculement ; et PR 32+830 - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. RECUEIL N° 18 636 30 MARS 2018

3 Le 16 avril RN4 Sens 1 : De 07h30 à 12h00 AK5 au PR 29+550 Neutralisation de la voie de gauche - limitation de la vitesse à 90km/h et le 20 avril 2018 B31 au PR 35+700 - Interdiction de dépasser pour tous les de véhicules 13h00 à 18h00 RN4 Sens 2 : AK5 au PR 36+750 Neutralisation de la voie de gauche - limitation de la vitesse à 90km/h B31 au PR 30+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 4 Du 16 avril 2018 à RN4 Sens 1 : 13h00 au 20 avril AK5 au PR 29+550 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h à 13h00 B31 au PR 35+700 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. RN4 Sens 2 : AK5 au PR 36+750 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90km/h ; B31 au PR 30+850 Basculement total 1+1 et 0 du sens 1 sur - Limitation de la vitesse à 50 km/h à le sens 2 entre les ITPC des PR 30+930 chaque extrémité du basculement ; et PR 35+550 - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de la bretelle de sortie en Les usagers de la RN4 en provenance de direction de Lunéville-centre Strasbourg souhaitant emprunter la sortie Lunéville seront invités continueront sur la RN4 puis l’A33 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur de la « zone des sables » où ils feront demi-tour via le « chemin des Sables » pour reprendre l’A33 puis la RN4 en direction de Strasbourg et retrouver la bretelle de sortie Lunéville

Fermeture de la bretelle d’accès à la RN4 Les usagers de la RD914 souhaitant en direction de Nancy emprunter la RN4 en direction de Nancy seront invités à emprunter la RN4 en direction de Strasbourg puis la RN59 en direction de Saint-Dié-des-Vosges jusqu’au diffuseur de la « jetée de pierres » où ils feront demi-tour via la RD148 pour reprendre la RN59 puis la RN4 en direction de Nancy

Article 4 : En cas d'intempéries ou de problèmes techniques, les travaux prévus à l'article 2 sont susceptibles d'être reportés du nombre de jours d'intempéries ou nécessaires à la résolution des problèmes techniques. Ces dispositions sont aussi applicables au phasage des travaux de l'article 3. Les dispositions d'exploitation de la circulation cesseront à la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 5 : Ce chantier fera l'objet des mesures de publicité et d'information du public suivantes : - publication et/ou affichage du présent arrêté au sein de la commune de Dombasle ; - affichage à chaque extrémité de la zone des travaux ; - mise en place de la signalisation de police conforme aux instructions contenues dans le présent arrêté ; Article 6 : La signalisation du chantier sera conforme à l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et des autoroutes et ses arrêtés modificatifs, à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977, et aux Manuels de Chef de Chantier (routes bidirectionnelles ou routes à chaussées séparées selon les cas) et guides thématiques spécifiques (SETRA, CERTU). La signalisation du chantier sera mise en place conformément aux mentions figurant sous l'article 2 du présent arrêté. Article 7 : Pendant les périodes d’inactivité des chantiers, notamment de nuit et les jours non ouvrables, les signaux en place seront déposés quand les motifs ayant conduit à les implanter auront disparu (présence de personnel, d’engins ou d’obstacles). Article 8 : Toute contravention au présent arrêté sera constatée et poursuivie conformément aux lois et règlements en vigueur. Article 9 : Les dispositions du présent arrêté prennent effet le jour de la signature du présent arrêté et prendront fin conformément aux dispositions des articles 3 et 4 ci-dessus et en tout état de cause pas avant la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 10 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe et Moselle, le directeur interdépartemental des routes – Est, le directeur départemental de la sécurité publique de Meurthe et Moselle, le commandant de la CRS autoroutière Lorraine-Alsace, le commandant du groupement départemental de gendarmerie de Meurthe et Moselle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée pour affichage à monsieur le Maire de la commune de Dombasles sur Meurthe, Une copie sera adressée pour information au : - Général du Commandement de la Région Militaire Terre Nord-Est, - Directeur Départemental du Territoire (DDT) de Meurthe-et-Moselle, - Président du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, - Directeur Départemental des Services d’Incendie et de Secours (SDIS) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur Départemental du Service d'Aide Médicale Urgente (SAMU) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur de l'hôpital de Nancy responsable du SMUR, - Responsable de la cellule juridique de la DIR-Est. Moulins-lès-Metz, le 28 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, L’adjoint au chef de la division d'exploitation de Metz, Guillaume ARTIS ______RECUEIL N° 18 637 30 MARS 2018

Arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-19 du 29 mars 2018 portant arrêté particulier pour la réglementation de la circulation au droit d'un « chantier non courant » sur le réseau routier national, hors agglomération, relatif aux travaux d’entretien préventif de chaussée sur A31 du PR 271+000 au PR 277+350 (ANNULE ET REMPLACE l’arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-17 du 28 mars 2018)

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la voirie routière ; VU le code de la route ; VU le code de justice administrative ; VU le code pénal ; VU le code de procédure pénale ; VU la loi N° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, modifiée par la loi n° 2004- 809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales ; VU le décret N° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié par le décret N° 2010-146 du 16 février 2010, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et les départements ; Vu le décret du Président de la République en date du 8 décembre 2017 nommant Monsieur Eric FREYSSELINARD préfet de Meurthe-et- Moselle ; VU l'arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et autoroutes et l'ensemble des arrêtés modificatifs, ainsi que l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977 et l'ensemble des textes d'application (guides techniques spécifiques) ; VU l’arrêté SGAR N° 2014-5 du 1 janvier 2014 du Préfet coordonnateur des itinéraires routiers – Est portant organisation de la direction interdépartementale des routes Est ; VU l'arrêté préfectoral de délégation de signature N° 17.BCI.104 du 29 décembre 2017, accordant délégation de signature à Monsieur Jérôme GIURICI directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté de la DIR-Est N° 2017/DIR-Est/DIR/SG/AJ/54-04 du 29 décembre 2017 portant subdélégation de signature par Monsieur Jérôme GIURICI directeur interdépartemental des routes-Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives ; VU l'arrêté préfectoral du 19 décembre 2017 concernant les chantiers courants et réglementant la mise en œuvre des chantiers exécutés sur les réseaux autoroutiers et routiers nationaux non concédés ; VU la note technique du 14 avril 2016 relative à la coordination des chantiers sur le réseau routier national ; VU le dossier d'exploitation en date du 25 mars 2018 présenté par le district de Metz ; VU l'avis du Conseil Départemental de Meurthe-Moselle en date du 27 mars 2018 ; VU l'avis du CISGT « Myrabel » en date du 27 mars 2018 ; VU l'avis du district de Metz en date du 26 mars 2018 ; CONSIDÉRANT qu’il importe d’assurer la sécurité des usagers de la voie publique ainsi que celle des agents de la Direction Interdépartementale des Routes - Est, des concessionnaires ou opérateurs occupant le réseau routier national hors agglomération et des entreprises chargées de l’exécution des travaux, et de réduire autant que possible les entraves à la circulation, en réglementant la circulation à l'occasion du chantier particulier évoqué dans le présent arrêté ; A R R E T E Article 1 : Le présent arrêté annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 2018-DIR-Est-M-54-17 du 28 mars 2018 Le présent arrêté particulier s’applique au chantier engagé et exécuté sur le réseau routier national dans les conditions définies à l'article 2. Il réglemente la circulation aux abords de ce chantier et définit les mesures de restrictions qui seront mises en œuvre et signalées conformément à la réglementation en vigueur. Il détermine également les mesures d'information des usagers qui devront être appliquées. Article 2 : Un chantier particulier est engagé dans les conditions suivantes :

VOIE Autoroute A31

POINTS REPERES (PR) Du PR 271+000 au PR 283+500

SENS Nancy vers Metz (Sens 1 ) et Metz vers Nancy (Sens 2)

Section courante de l’autoroute A31 SECTION Diffuseur A313 et n°27 d Atton Aire de LOISY

- Fraisage de chaussée, - Renouvellement de couche d’enrobés avec renforcement de structure, NATURE DES TRAVAUX - Reprise d’affouillement de talus, - Signalisation horizontale temporaire et définitive,

PERIODE GLOBALE Du Mardi 03 avril au mercredi 16 mai 2018

- Neutralisations de voies, - Neutralisations de voies de gauche par FLR, SYSTEME D'EXPLOITATION - Basculement total 1+1 et 0 du sens 1 sur le sens 2, - Fermeture de bretelles de sortie avec mise en place de déviations, - Fermeture de l’Aire de LOISY,

A LA CHARGE DE : MISE EN PLACE PAR : SIGNALISATION TEMPORAIRE - DIR Est - CEI de Champigneulles

Article 3 : Les travaux seront réalisés conformément au plan de phasage ci-dessous : RECUEIL N° 18 638 30 MARS 2018

N° Date/Heure PR et SENS SYSTÈMES D'EXPLOITATION RESTRICTIONS DE CIRCULATION Phase d’ouvertures et de fermetures des ITPC 1 Le 03 avril 2018 A31 sens 1 : De 10h00 à 14h30 PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant PR 273+950 au droit des ITPC des PR 268+000 et A31 sens 2 : 273+950 PR 268+000 PR 273+950 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit des ITPC des PR 268+000 et 273+950 2 La nuit du 10 au A31 sens 1 : 11 avril 2018 PR 276+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant De 00h00 à 02h00 au droit de l’ ITPC du PR 276+000 3 Le 11 avril 2018 A31 sens 2 : De 10h00 à 14h30 PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant PR 271+800 au droit des ITPC des PR 268+000, PR 276+000 271+800 et 276+000 A31 sens 1 : Du PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit des ITPC des PR 268+000 4 Le 16 avril 2018 A31 sens 2 : De 10h00 à 14h30 PR 278+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 278+000 A31 sens 1 : PR 278+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 278+000 5 Le 25 et 26 avril A31 sens 1 : 2018 PR 269+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant De 10h00 à 14h30 au droit de l’ITPC du PR 269+800 A31 sens 2 : Du PR 269+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 269+800 6 Le 03 mai 2018 A31 sens 1 : De 10h00 à 14h30 PR 271+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 271+800 A31 sens 2 : Du PR 271+800 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit de l’ITPC du PR 271+800 7 Le 16 mai 2018 A31 sens 1 : De 10h00 à 14h30 PR 268+000 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant PR 273+950 au droit des ITPC des PR 268+000 et A31 sens 2 : 273+950 PR 268+000 PR 273+950 Neutralisation de voie de gauche par FLR - Néant au droit des ITPC des PR 268+000 et 273+950 Phase travaux 8 Les journées du A31 Sens 1 : 03, 04, 05, 09, 10, KC1 « sortie fermée » Fermeture de la bretelle de sortie vers - Accès à l’aire de Loisy interdit 11, 12, 25, 26 avril au PR 271+350 l’aire de Loisy et le 02 mai 2018 De 18h00 à 20h30 9 Du 11 avril au 15 A31 sens 1 : Déviation : mai 2018 PR 276+950 Fermeture de la bretelle de sortie du Les usagers de l’A31 en provenance de diffuseur n°27 d’Atton Nancy souhaitant emprunter la bretelle de sortie du diffuseur n°27 d’Atton conti- nueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils où ils feront demi-tour pour reprendre l’A31 en direction de Nancy et retrouver la bretelle de sortie au diffuseur n°27 10 Les nuits du A31 sens 1: 03 au 04, 04 au AK5 PR 266+350 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par 05, 05 au 06, 09 B31 PR 274+050 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; au 10, 10 au 11 sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à avril 2018 PR 268+000 et 273+950 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans De 20h30 à 06h00 la section basculée (à double sens) ; RECUEIL N° 18 639 30 MARS 2018

- Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès et sorties de l’aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de la bretelle d’accès à l’A313 Les usagers de l’A31 en provenance de en direction de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson A31 sens 2 : AK5 PR 275+100 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 267+900 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. 11 Les nuits du A31 sens 1 : 11 au 12 et du 12 AK5 PR 270+150 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par au 13 avril 2018 B31 PR 276+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à De 20h30 à 06h00 PR 271+800 et 276+000 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès/sorties de l’Aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Metz. A31 sens 2 : AK5 PR 277+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 271+700 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. 12 Les nuits du 16 au A31 sens 1 : 17, 17 au 18, 18 AK5 PR 272+300 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par au 19, 19 au 20, B31 PR 278+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; 23 au 24 et du 24 sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à au 25 avril 2018 PR 273+950 et 278+000 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans De 20h30 à 06h00 la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules. Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Metz. A31 sens 2 : AK5 PR 279+150 Neutralisation de la voie de gauche Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 273+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules RECUEIL N° 18 640 30 MARS 2018

13 Les nuits du 25 au A31 sens 1 : 26 avril 2018 AK5 PR 268+650 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par B31 PR 276+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; De 20h30 à 06h00 sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à PR 269+800 et 276+000 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès et sorties de l’aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Metz. A31 sens 2 : AK5 PR 279+150 Neutralisation de la voie de gauche Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 273+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 14 Les nuits du 26 au A31 sens 1 : 27 avril et 02 au AK5 PR 270+650 Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par 03 mai 2018 B31 PR 276+100 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à De 20h30 à 06h00 PR 271+800 et 276+000 chaque extrémité du basculement ; - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Fermeture de l’aire de Loisy - Accès et sorties de l’aire de Loisy interdits

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Les usagers en provenance d’Atton Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en souhaitant emprunter l’A31 en direction direction de Metz du diffuseur n°27 de Metz seront invités à emprunter l’A31 d’Atton en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Metz.

A31 sens 2 : Limitation de la vitesse à 90 km/h ; AK5 PR 277+150 Neutralisation de la voie de gauche - Interdiction de dépasser pour tous les B31 PR 269+700 véhicules 15 Les nuits du 03 au A31 sens 1 : Neutralisation de la voie de droite - Limitation de la vitesse à 90 km/h par 04 et du 14 au 15 AK5 PR 272+800 Basculement total de type 1+1 et 0 du paliers dégressifs ; mai 2018 B31 PR 278+100 sens 1 sur le sens 2 entre les ITPC des - Limitation de la vitesse à 50km/h à PR 273+950 et 278+000 chaque extrémité du basculement ; De 20h30 à 06h00 - Limitation de la vitesse à 90 km/h dans la section basculée (à double sens) ; - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules.

Déviation : Fermeture de l’accès à l’A313 en direction Les usagers de l’A31 en provenance de de Pont-à-Mousson Nancy souhaitant accéder à l’A313 en direction de Pont à Mousson continueront RECUEIL N° 18 641 30 MARS 2018

sur l’A31 en direction de Metz jusqu’au diffuseur n° 28 de Lesménils puis la RD910, la RD657 et la RD120 en direction de Pont à Mousson

Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Les usagers en provenance d’Atton direction de Metz du diffuseur n°27 souhaitant emprunter l’A31 en direction d’Atton de Metz seront invités à emprunter l’A31 en direction de Nancy jusqu’au diffuseur n°25 de Belleville où ils feront demi-tour via la RD657 et la RD40b pour reprendre l’A31 en direction de Metz. A31 sens 2 : AK5 PR 279+150 Neutralisation de la voie de gauche - Limitation de la vitesse à 90 km/h ; B31 PR 263+850 - Interdiction de dépasser pour tous les véhicules 16 Du 14 mai à A31 sens 1 : 09h00 au 15 mai diffuseur n°27 d’Atton Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 en Fermeture de la bretelle l’accès à l’A31 2018 à 15h00 direction de Metz du diffuseur n°27 en direction de Metz du diffuseur n°27 d’Atton d’Atton

Phase hors travaux-Jours et Week end

17 Les journées du A31 sens 1 : 04, 05, Du PR 270+600 au PR Circulation sur chaussée provisoire - Limitation de la vitesse à 90 puis 70km 12,17,18,24 et 25 277+450 par paliers dégressifs ; avril 2018 - Interdiction de dépasser pour tous les De 06h00 à A l’avancement véhicules de transport de marchandise de 20h30 du chantier plus de 3.5T de PTAC ou PTRA et Du 06 avril à 06h00 au 09 avril à 20h30, du 13 avril à 06h00 au 16 avril à 20h30 du 20 avril à 06h00 au 23 avril à 20h30, du 04 mai à 06h00 au 14 mai à 20h30

Article 4 : En cas d'intempéries ou de problèmes techniques, les travaux prévus à l'article 2 sont susceptibles d'être reportés du nombre de jours d'intempéries ou nécessaires à la résolution des problèmes techniques. Ces dispositions sont aussi applicables au phasage des travaux de l'article 3. Les dispositions d'exploitation de la circulation cesseront à la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 5 : Ce chantier fera l'objet des mesures de publicité et d'information du public suivantes : - affichage à chaque extrémité de la zone des travaux ; - mise en place de la signalisation de police conforme aux instructions contenues dans le présent arrêté ; Article 6 : La signalisation du chantier sera conforme à l’arrêté interministériel du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation des routes et des autoroutes et ses arrêtés modificatifs, à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par l'arrêté du 7 juin 1977, et aux Manuels de Chef de Chantier (routes bidirectionnelles ou routes à chaussées séparées selon les cas) et guides thématiques spécifiques (SETRA, CERTU). La signalisation du chantier sera mise en place conformément aux mentions figurant sous l'article 2 du présent arrêté. Article 7 : Pendant les périodes d’inactivité des chantiers, notamment de nuit et les jours non ouvrables, les signaux en place seront déposés quand les motifs ayant conduit à les implanter auront disparu (présence de personnel, d’engins ou d’obstacles). Article 8 : Toute contravention au présent arrêté sera constatée et poursuivie conformément aux lois et règlements en vigueur. Article 9 : Les dispositions du présent arrêté prennent effet le jour de la signature du présent arrêté et prendront fin conformément aux dispositions des articles 3 et 4 ci-dessus et en tout état de cause pas avant la fin effective des travaux concrétisée par la levée de la signalisation. Article 10 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe et Moselle, le directeur interdépartemental des routes – Est, le directeur départemental de la sécurité publique de Meurthe et Moselle, le commandant de la CRS autoroutière Lorraine-Alsace, le commandant du groupement départemental de gendarmerie de Meurthe et Moselle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée pour information au : - Général du Commandement de la Région Militaire Terre Nord-Est, - Directeur Départemental du Territoire (DDT) de Meurthe-et-Moselle, - Président du Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, - Monsieur le maire de la commune de Pont-à-Mousson, - Monsieur le maire de la commune d’ Atton, - Monsieur le maire de la commune de Belleville, - Directeur Départemental des Services d’Incendie et de Secours (SDIS) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur Départemental du Service d'Aide Médicale Urgente (SAMU) de Meurthe-et-Moselle, - Directeur de l'hôpital de Nancy responsable du SMUR, - Responsable de la cellule juridique de la DIR-Est. Moulins-lès-Metz, le 29 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, L’adjoint au chef de la division d'exploitation de Metz, Guillaume ARTIS RECUEIL N° 18 642 30 MARS 2018

AGENCE REGIONALE DE SANTE GRAND EST

DELEGATION TERRITORIALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE Service territorial de veille et sécurité sanitaires et environnementales

Arrêté préfectoral n° 0924/2018/ARS/DT54 du 22 mars 2018 déclarant la levée de l’arrêté préfectoral N°1351/2017/ARS/DT54portant déclaration d’insalubrité remédiable du logement situé 11, rue Sous les Roches – 54200 PIERRE-LA-TREICHE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique et notamment les articles L 1331-26 et suivants ; VU le code de la construction et de l’habitation et notamment les articles L.521-1 à L.521-3-2 ; VU l’arrêté préfectoral n°1351/2017/ARS/DT54 du 11 mai 2017 déclarant le logement sis 11, rue Sous les Roches à PIERRE-LA-TREICHE en situation d’insalubrité remédiable ; VU la visite effectuée le 26 février 2018 par les services de l’agence régionale de santé/délégation territoriale de Meurthe-et-Moselle attestant l’exécution et l’achèvement des travaux de sortie d'insalubrité du logement d’habitation ; CONSIDERANT que les travaux réalisés dans le respect des règles de l’art ont permis de résorber les causes d’insalubrité du logement d’habitation et que les locaux susvisés ne présentent plus de risque pour la santé des occupants ou des voisins ; A R R E T E Article 1 : L’arrêté préfectoral n°1351/2017/ARS/DT54 du 11 mai 2017 déclarant le logement sis 11, rue Sous les Roches à PIERRE-LA- TREICHE, est abrogé. Article 2 : Le présent arrêté sera notifié à : - M. BILDE Jean-Luc Il sera affiché à la mairie de PIERRE-LA-TREICHE. Article 3 : A compter de la notification du présent arrêté, le logement d’habitation peut à nouveau être utilisé à des fins d’habitation. Les loyers ou indemnités d’occupation seront à nouveau dus à compter du premier jour du mois qui suivra la notification ou l’affichage du présent arrêté. Article 4 : Il sera transmis à monsieur le maire de la commune de PIERRE-LA-TREICHE, à monsieur le procureur de la République, à madame la directrice départementale des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, ainsi qu’aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté de Commune des Terres Touloises et à la chambre départementale des Notaires. Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera publié au service de publicité foncière dont dépend le logement, à la diligence et aux frais des personnes mentionnées à l’article 2. L’arrêté préfectoral n°1351/2017/ARS/DT54 du 11 mai 2017 a été publié le 29 mai 2017 au service de publicité foncière de TOUL, au volume 2017 P n°1076. Article 6 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de monsieur le préfet de Meurthe-et-Moselle, soit hiérarchique auprès du ministre chargé de la santé (direction générale de la santé – EA 2 - 14, avenue Duquesne - 75350 Paris 07 SP). L’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois vaut rejet implicite. Un recours contentieux peut également être déposé auprès du tribunal administratif de Nancy – 5, place Carrière, dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé. Nancy, le 22 mars 2018 Pour le Préfet, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD ______

Arrêté préfectoral n° 1163/2018/ARS/DT54 du 22 mars 2018

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la santé publique et notamment son article L 1311-4 ; VU le décret n° 2002-120 du 30 janvier 2002 relatif aux caractéristiques du logement décent ; Vu le rapport motivé de l’agence régionale de santé en date du 20 mars 2018 relatant les faits constatés dans le logement rez-de-chaussée gauche situé 5 rue Jean Jaurès à LONGLAVILLE (54 810) ; CONSIDÉRANT qu’il ressort du rapport susvisé que le logement présente un danger imminent pour la santé et la sécurité publiques pour les raisons suivantes : risques de survenue d’accidents (incendie), risques de survenue ou d’aggravation de pathologies (notamment maladies infectieuses ou parasitaires) liés à l’accumulation d’objets hétérogènes. CONSIDÉRANT que cette situation présente un danger grave et imminent pour la santé publique, notamment pour celle de l’occupant et du voisinage, et nécessite une intervention urgente. A R R E T E Article 1 : Madame LELLIG Claudette est mise en demeure de procéder, avant le 20 mai 2018, aux travaux suivants : - évacuation des objets hétérogènes accumulés dans le logement rez-de-chaussée gauche situé 5 rue Jean Jaurès à LONGLAVILLE (54810), - nettoyage, désinsectisation et désinfection durables du logement, Ainsi que tous les travaux annexes strictement nécessaires, à titre de complément direct des travaux prescrits ci-dessus et sans lesquels ces derniers demeureraient inefficaces. Article 2 : En cas d’inexécution des mesures prescrites dans le délai imparti, le maire de la commune de LONGLAVILLE ou, à défaut, le préfet, procédera à leur exécution d'office aux frais de Mme LELLIG Claudette sans autre mise en demeure préalable. La créance en résultant sera recouvrée comme en matière de contributions directes. Article 3 : Le présent arrêté sera notifié aux personnes visées à l’article 1. Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur général de l’agence régionale de santé, le maire de LONGLAVILLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté. Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département. Il sera transmis à monsieur le maire de la commune de LONGLAVILLE, à monsieur le procureur de la République, à madame la directrice départementale des territoires, aux organismes payeurs des aides aux logements (CAF, MSA) et de l’aide personnalisée au logement, aux gestionnaires du fonds de solidarité pour le logement du département, à la Communauté d’Agglomérations de Longwy ainsi qu’à mmH, propriétaire. Article 6 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours gracieux auprès du préfet de Meurthe-et-Moselle. L’absence de réponse dans un délai de deux mois vaut décision implicite de rejet. RECUEIL N° 18 643 30 MARS 2018

Le présent arrêté peut également faire l’objet d’un recours hiérarchique auprès du ministre chargé de la santé (Direction générale de la santé - EA 2 - 14, avenue Duquesne, 75350 Paris 07 SP). L’absence de réponse dans un délai de quatre mois vaut décision implicite de rejet. Un recours contentieux peut être déposé auprès du tribunal administratif de NANCY – 5, place Carrière, également dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé. Nancy, le 22 mars 2018 Pour le Préfet, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD L'annexe jointe au présent arrêté est consultable à l'ARS – Délégation Territoriale 54 – Cellule habitat-santé.

DIRECTION REGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI GRAND EST

DIRECTION

Arrêté n° 2018/02 du 27 mars 2018 portant subdélégation de signature du responsable de l’unité départementale de Meurthe-et- Moselle de la DIRECCTE Grand Est en matière d’actions d’inspection de la législation du travail

M. Philippe DIDELOT, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est,

Vu le code du travail, notamment son article R. 8122-2 ; Vu le code de l’environnement ; Vu le code de la défense ; Vu le code de l’éducation ; Vu le code de l’action sociale et des familles ; Vu le décret n° 2009-1377 du 10 novembre 2009 relatif à l’organisation et aux missions des directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi ; Vu l’arrêté interministériel en date du 1er janvier 2016 portant nomination de Mme Danièle GIUGANTI sur l’emploi de Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Alsace, Champagne Ardenne, Lorraine ; Vu l’arrêté interministériel en date du 15 septembre 2015 portant nomination de M. Philippe DIDELOT sur l’emploi de Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle ; Vu l’arrêté n° 2018/09 du 20 mars 2018 de Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est déléguant sa signature à Monsieur Philippe DIDELOT responsable de l’unité départementale susmentionnée et son accord, formalisé par courrier du 21 mars 2018 sur le principe et les modalités de cette subdélégation, D E C I D E Article 1er : En cas d’absence ou d’empêchement du responsable de l’unité départementale, subdélégation de signature est donnée à - Madame Marieke FIDRY, Directrice adjointe du travail - Monsieur Patrick OSTER, Directeur adjoint du travail à l’effet de signer, au nom de la directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est les actes et décisions mentionnés dans l’arrêté n° 2018/09 du 20 mars 2018 pour lesquels le responsable de l’unité départementale a reçu délégation de signature. Article 2 : La subdélégation est également accordée de manière limitée à : - Monsieur DELACOUR Jean-Pierre, Attaché principal d’administration de l’Etat à l’effet de signer les actes et décisions relatifs aux matières ci-après indiquées : Code de l'éducation

Titre professionnel • Désignation des membres du jury des titres professionnels et des certificats complémentaires de spécialisation Articles R 338-1 à R 338-8 • Délivrance des titres professionnels, des certificats de compétences professionnelles et des certificats complémentaires de spécialisation • Notification des résultats des contrôles des agréments certification

Article 3 : Le responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Vandoeuvre, le 27 mars 2018 Philippe DIDELOT ______

Arrêté cadre n° 2018/10 du 26 mars 2018 portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d'inspection du travail de la région Grand Est

La Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est,

Vu le code du travail, notamment ses articles R 8122-4 et R 8122-5 ; Vu le décret n° 2009-1377 du 10 novembre 2009 relatif à l’organisation et aux missions des directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi ; Vu le décret n° 2014-359 du 20 mars 2014 relatif à l'organisation du système d'inspection du travail ; Vu l’arrêté ministériel du 20 décembre 2017 déterminant le nombre d'unités de contrôle d'inspection du travail ; Vu la consultation du CHSCT en date du 18 septembre 2017 ; Vu la consultation du CTSD en date du 7 novembre 2017 ; Vu l’arrêté interministériel en date du 1er janvier 2016 portant nomination de Danièle GIUGANTI sur l’emploi de Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Alsace, Champagne Ardenne, Lorraine ; Vu le décret n° 2016/1262 du 28 septembre 2016 portant fixation du nom de la région Grand Est ; RECUEIL N° 18 644 30 MARS 2018

A R R E T E Localisation et délimitation des unités de contrôle Article 1 : La DIRECCTE Grand Est compte 20 unités de contrôle dont la localisation s’établit comme suit : Ardennes : Une unité de contrôle 08-1, rattachée à l'Unité Départementale des Ardennes dont la compétence s'étend sur l'ensemble du département. Aube : Une unité de contrôle 10-1, rattachée à l'Unité Départementale de l’Aube dont la compétence s'étend sur l'ensemble du département. Marne : Deux Unités de contrôle, rattachée à l'Unité Départementale de la Marne : Unité de contrôle 51-1 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique Unité de contrôle 51-2 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique Haute-Marne : Une unité de contrôle 52-1, rattachée à l'Unité Départementale de la Haute Marne dont la compétence s'étend sur l'ensemble du département. Meurthe-et-Moselle : Deux Unités de contrôle, rattachée à l'Unité Territoriale de Meurthe et Moselle : Unité de contrôle 54-1 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique Unité de contrôle 54-2 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique Meuse : Une unité de contrôle 55-1, rattachée à l'Unité Départementale de la Meuse dont la compétence s'étend sur l'ensemble du département. Moselle : Trois unités de contrôle, rattachée à l'Unité Départementale de Moselle: Unité de contrôle 57-1 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique.. Unité de contrôle 57-2 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Unité de contrôle 57-3 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Bas-Rhin : Quatre unités de contrôle, rattachées à l'Unité Départementale du Bas Rhin: Unité de contrôle 67-1 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Unité de contrôle 67-2 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Unité de contrôle 67-3 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Unité de Contrôle 67-4 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Haut-Rhin : Trois unités de contrôle, rattachée à l'Unité Départementale du Haut Rhin: Unité de contrôle 68-1 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique Unité de contrôle 68-2 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique Unité de contrôle 68-3 dont la compétence géographique est déterminée par un arrêté spécifique. Vosges : Une Unité de contrôle 88-1, rattachée à l'Unité Départementale des Vosges dont la compétence s'étend sur l'ensemble du département. Région Grand Est : Une Unité Régionale d'appui et de contrôle à la lutte contre le travail illégal et les fraudes au détachement (URACTI), rattachée au Pôle Travail de l'Unité Régionale de la DIRECCTE et dont la compétence s'étend sur l'ensemble de la région Grand Est. Localisation et délimitation des sections d'inspection du travail Article 2 : Il est créé 171 sections d'inspection du travail en région Grand Est dont la localisation et la compétence sont déterminées comme suit : Les sections d'inspections ont une compétence générale pour l'ensemble des entreprises localisées ou intervenant dans le périmètre géographique de la section, à l'exclusion : - des compétences spécifiques dévolues aux sections en charge des entreprises agricoles, qui peuvent inclure en leur sein un secteur généraliste ou une extension sectorielle par code APE, - des sections en charge des entreprises intervenant sur le réseau public de transport ferroviaire pour tout le département, - des sections à dominante identifiée transport via des rattachements code APE, Les sections en charge du contrôle des entreprises agricoles sont notamment compétentes pour les entreprises assujetties aux dispositions du titre 1er du livre 7 du code rural et de la pêche maritime relatives à la réglementation du travail salarié et sont également compétentes pour les travaux réalisés par toutes les entreprises exerçant une activité de quelque nature qu'elle soit, permanente ou temporaire, dans l'emprise de ces établissements agricoles. Selon les organisations locales et les réalités territoriales, les annexes préciseront les codes NAF possiblement rattachés aux sections agricoles. Chaque département compte une section d'inspection du travail en charge du contrôle des entreprises intervenant sur le réseau public de transport ferroviaire au sein du département, qui est également compétente pour toutes les entreprises exerçant une activité de quelque nature qu'elle soit, permanente ou temporaire au sein de l’enceinte ferroviaire des transports publics réalisée sur le réseau ferré national pris au sens de l'article L2122-1 du code des transports Les arrêtés de localisation préciseront au sein de chaque département le périmètre de compétence au sein des gares pour les entreprises domiciliées et les chantiers réalisés. A l’exception des départements du BAS RHIN et du HAUT RHIN, les commerces inclus dans les gares ferrés relèvent de la compétence de ces sections. Concurremment avec les sections d'inspection, l'Unité Régionale d'Appui et de Contrôle à la Lutte contre le Travail Illégal a une compétence générale de contrôle des situations de travail illégal et du contrôle du respect des dispositions relatives aux salariés détachés temporairement en France par une entreprise non établie en France, sur l'ensemble de la région. Au-delà du cadre ci-dessus fixé, les sections d’inspection du travail se répartissent comme suit : Ardennes Unité de contrôle 08-1 : Sept sections d’inspection du travail. Aube : Unité de contrôle 10-1 : Dix sections d’inspection du travail. Marne : Unité de contrôle 51-1 : Dix sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 51-2 : Dix sections d’inspection du travail. Haute-Marne : Unité de contrôle 52-1 : Six sections d’inspection du travail. Meurthe-et-Moselle : Unité de contrôle 54-1 : Dix sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 54-2 : Neuf sections d’inspection du travail. Meuse : Unité de contrôle 55-1 : Six sections d’inspection du travail. Moselle : Unité de contrôle 57-1 (UC Moselle Nord) : Neuf sections d’inspection du travail. RECUEIL N° 18 645 30 MARS 2018

Unité de contrôle 57-2 (UC Moselle Est) : Neuf sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 57-3 (UC Moselle Sud) : Neuf sections d’inspection du travail. Bas-Rhin : Unité de contrôle 67-1 : Dix sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 67-2 : Dix sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 67-3 : Dix sections d’inspection du travail. Unité de Contrôle 67-4 : Dix sections d’inspection du travail. Haut-Rhin : Unité de contrôle 68-1 : Sept sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 68-2 : Six sections d’inspection du travail. Unité de contrôle 68-3 : Douze sections d’inspection du travail. Vosges : Unité de contrôle 88-1 : Onze sections d’inspection du travail. Article 3 : Le présent arrêté prendra effet le 3 avril 2018 pour chaque département concomitamment à la publication des arrêtés délimitant les secteurs géographiques et d’activité des unités de contrôle et des sections. Article 4 : Les Responsables des Unités Départementales de la DIRECCTE Grand Est sont chargés de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de région Grand Est et des préfectures des départements des Ardennes, de l’Aube, de la Marne, de la Haute-Marne, de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Moselle, du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et des Vosges. Strasbourg, le 26 mars 2018 Danièle GIUGANTI ______

Arrêté n° 2018/15 du 26 mars 2018 portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d'inspection du travail du département de Meurthe-et-Moselle

La Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est, Vu le code du travail, notamment ses articles R 8122-4 et R 8122-5 ; Vu le décret n° 2009-1377 du 10 novembre 2009 relatif à l’organisation et aux missions des directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi ; Vu le décret n° 2014-359 du 20 mars 2014 relatif à l'organisation du système d'inspection du travail ; Vu l’arrêté ministériel du 20 décembre 2017 déterminant le nombre d'unités de contrôle d'inspection du travail, Vu la consultation du CHSCT en date du 18 septembre 2017, Vu la consultation du Comité Technique des Services Déconcentrés en date du 7 novembre 2017 ; Vu l’arrêté cadre régional du 26 mars 2018 portant organisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d’inspection du travail de la région GRAND EST ; Vu l’arrêté interministériel en date du 1er janvier 2016 portant nomination de Danièle GIUGANTI sur l’emploi de Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Alsace, Champagne Ardenne, Lorraine ; Vu le décret n° 2016/1262 du 28 septembre 2016 portant fixation du nom de la région Grand Est ; A R R E T E Article 1 : La localisation et la délimitation géographique des deux unités de contrôle de MEURTHE-ET-MOSELLE s’établissent comme suit: Compétence géographique de l’UC 54-1 : Les communes suivantes : ALLONDRELLE LA MALMAISON LIMEY REMENAUVILLE LALOEUF NORROY LES PONT A MOUSSON

BEUVEILLE ATTON LIVERDUN PAGNY SUR MOSELLE

CHARENCY VEZIN AUTREVILLE SUR MOSELLE MONT SAINT MARTIN PONT A MOUSSON

CHENIERES BELLEVILLE MONTIGNY SUR CHIERS PORT SUR SEILLE

COLMEY BEZAUMONT OTHE PRENY

CONS LA GRANDVILLE BLENOD LES PONT A MOUSSON PETIT FAILLY SAINTE GENEVIEVE

COSNES ET ROMAIN BOUXIERES SOUS FROIDMONT PIERREPONT VANDIERES

CUTRY CHAMPEY SUR MOSELLE REHON VILLE AU VAL

DONCOURT LES LONGUYON DIEULOUARD SAINT JEAN LES LONGUYON VILLERS SOUS PRENY

EPIEZ SUR CHIERS FEY EN HAYE SAINT PANCRE VITTONVILLE

FRESNOIS LA MONTAGNE JEZAINVILLE TELLANCOURT LAGNEY

GORCY LANDREMONT UGNY LANEUVEVILLE DERRIERE FOUG

GRAND FAILLY LESMENILS VILLE HOUDLEMONT LAY SAINT REMY

HAN DEVANT PIERREPONT LOISY VILLERS LA CHEVRE LUCEY

LEXY MAIDIERES VILLERS LE ROND MENIL LA TOUR

LONGUYON AINGERAY VILLETTE MONT LE VIGNOBLE

CHAMPIGNEULLES BICQUELEY VIVIERS SUR CHIERS MOUTROT

HAUCOURT MOULAINE BLENOD LES TOUL VANDOEUVRE LES NANCY OCHEY THUILLEY

HERSERANGE BOUCQ LAXOU PAGNEY DERRIERE BARINE

HUSSIGNY GODBRANGE BOUVRON MAXEVILLE PIERRE LA TREICHE

LONGLAVILLE BRULEY MALAVILLERS SANZEY

LONGWY BULLIGNY MERCY LE BAS SEXEY AUX FORGES RECUEIL N° 18 646 30 MARS 2018

MEXY CHARMES LA COTE MERCY LE HAUT SEXEY LES BOIS

SAULNES CHAUDENEY SUR MOSELLE MONT BONVILLERS TOUL

ANDERNY CHOLOY MENILLOT MORFONTAINE TRONDES

AUDUN LE ROMAN CREZILLES MURVILLE VILLEY LE SEC

AVILLERS DOMGERMAIN PIENNES MAIZIERES

BASLIEUX DOMMARTIN LES TOUL PREUTIN HIGNY MAMEY

BAZAILLES ECROUVES SAINT SUPPLET MANDRES AUX QUATRE TOURS

BETTAINVILLERS FONTENOY SUR MOSELLE SANCY MANONCOURT EN WOEVRE

BEUVILLERS FOUG SERROUVILLE MANONVILLE

BOISMONT GONDREVILLE THIL MARON

BREHAIN LA VILLE GYE TIERCELET MARTHEMONT

CRUSNES ABONCOURT TRIEUX MARTINCOURT

DOMPRIX ALLAIN TUCQUEGNIEUX MEREVILLE

ERROUVILLE ALLAMPS VILLE AU MONTOIS MESSEIN

FILLIERES ANDILLY VILLERS LA MONTAGNE MINORVILLE

JOPPECOURT ANSAUVILLE VILLERUPT MONT L'ETROIT

JOUDREVILLE AUTREY XIVRY CIRCOURT NEUVES MAISONS

LAIX AVRAINVILLE JOUAVILLE NOVIANT AUX PRES

LANDRES BAGNEUX LANTEFONTAINE OGNEVILLE

MAIRY MAINVILLE BAINVILLE SUR MADON LUBEY OMELMONT

ANOUX BARISEY AU PLAIN MANCE PAREY SAINT CESAIRE

AUBOUE BARISEY LA COTE MANCIEULLES PIERREVILLE

AVRIL BATTIGNY MOINEVILLE PONT SAINT VINCENT

BAROCHES (les) BEAUMONT MOUTIERS PRAYE

BATILLY BERNECOURT SAINT AIL PULLIGNY

BRIEY BEUVEZIN VALLEROY PULNEY

HABONVILLE CHALIGNY LIRONVILLE QUEVILLONCOURT

HATRIZE CHAOUILLEY MARS LA TOUR ROGEVILLE

HOMECOURT CHAVIGNY MOUAVILLE ROSIERES EN HAYE

JOEUF CLEREY SUR BRENON NORROY LE SEC ROYAUMEIX

ABBEVILLE LES CONFLANS COLOMBEY LES BELLES OLLEY SAULXEROTTE

AFFLEVILLE COURCELLES ONVILLE SAULXURES LES VANNES

ALLAMONT CREPEY OZERAILLES SAXON SION

ARNAVILLE DOLCOURT PANNES SELAINCOURT

BAYONVILLE SUR MAD DOMEVRE EN HAYE PUXE THELOD

BECHAMPS DOMMARIE EULMONT PUXIEUX THEY SOUS VAUDEMONT

BONCOURT ETREVAL REGNIEVILLLE THOREY LYAUTEY

BOUILLONVILLE FAVIERES REMBERCOURT SUR MAD THUILLEY AUX GROSEILLES

BRAINVILLE FECOCOURT REMENAUVILLE rattachée à Limey TRAMONT EMY

BRUVILLE FORCELLES SAINT GORGON SAINT BAUSSANT TRAMONT LASSUS

CHAMBLEY BUSSIERES FORCELLES SOUS GUGNEY SAINT JULIEN LES GORZE TRAMONT SAINT ANDRE

CHAREY FRAISNES EN SAINTOIS SAINT MARCEL TREMBLECOURT

CONFLANS EN JARNISY FRANCHEVILLE SEICHEPREY URUFFE

DAMPVITOUX FROLOIS SPONVILLE VANDELEVILLE

DOMMARTIN LA CHAUSSEE GELAUCOURT THIAUCOURT REGNIEVILLE VANNES LE CHATEL

DONCOURT LES CONFLANS GEMONVILLE THUMEREVILLE VAUDEMONT

ESSEY ET MAIZERAIS GERMINY TRONVILLE VELAINE EN HAYE

EUVEZIN GEZONCOURT VANDELAINVILLE VEZELISE

FLEVILLE LIXIERES GIBEAUMEIX VIEVILLE EN HAYE VILLERS EN HAYE RECUEIL N° 18 647 30 MARS 2018

FLIREY GOVILLER VILCEY SUR TREY VILLEY SAINT ETIENNE

FRIAUVILLE GRIMONVILLER VILLE SUR YRON VITERNE

GIRAUMONT GRISCOURT VILLECEY SUR MAD VITREY

GONDRECOURT AIX GROSROUVRES WAVILLE VRONCOURT

HAGEVILLE GUGNEY XAMMES XEUILLEY

HANNONVILLE SUZEMONT HAMMEVILLE XONVILLE VILLERS LES NANCY

JARNY HAMONVILLE MILLERY FROUARD

JAULNY HOUDELMONT MONTAUVILLE MARBACHE

JEANDELIZE HOUDREVILLE MORVILLE SUR SEILLE POMPEY

LABRY JAILLON MOUSSON SAIZERAIS

Compétence géographique de l’UC54-2 : Les communes suivantes : ABAUCOURT CRION LACHAPELLE REHAINVILLER

AFFRACOURT CROISMARE LAÎTRE-SOUS-AMANCE REHERREY

AGINCOURT CUSTINES LAMATH REILLON

AMANCE DAMELEVIÈRES LAMATH REMENOVILLE

AMENONCOURT DENEUVRE LANDECOURT RÉMÉRÉVILLE

ANCERVILLER DEUXVILLE LANEUVELOTTE REMONCOURT

ANGOMONT DIARVILLE LANEUVEVILLE-AUX-BOIS REPAIX

ANTHELUPT DOMBASLE-SUR-MEURTHE LANEUVEVILLE-DEVANT-BAYON RICHARDMÉNIL

ARMAUCOURT DOMÈVRE-SUR-VEZOUZE LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY ROMAIN

ARRACOURT DOMJEVIN LANFROICOURT ROSIÈRES-AUX-SALINES

ARRAYE-ET-HAN DOMMARTEMONT LARONXE ROUVES

ART-SUR-MEURTHE DOMMARTIN-SOUS-AMANCE LAY-SAINT-CHRISTOPHE ROVILLE-DEVANT-BAYON

ATHIENVILLE DOMPTAIL-EN-L’AIR LEBEUVILLE ROZELIEURES

AUTREPIERRE DROUVILLE LEINTREY SAFFAIS

AVRICOURT ECUELLE LEMAINVILLE SAINT-BOINGT

AZELOT EINVAUX LEMÉNIL-MITRY SAINT-CLÉMENT

AZERAILLES EINVILLE-AU-JARD LENONCOURT SAINT-FIRMIN

BACCARAT EMBERMÉNIL LÉTRICOURT SAINT-GERMAIN

BADONVILLER ÉPLY LEYR SAINT-MARD

BAINVILLE-AUX-MIROIRS ERBÉVILLER-SUR-AMEZULE LIXIÈRES SAINT-MARTIN

BARBAS ESSEY-LA-CÔTE LOREY SAINT-MAURICE-AUX-FORGES

BARBONVILLE ESSEY-LÈS-NANCY LOROMONTZEY SAINT-MAX

BATHELÉMONT EULMONT LUDRES SAINT-NICOLAS-DE-PORT

BAUZEMONT FAULX LUNÉVILLE SAINT-REMIMONT

BAYON FENNEVILLER LUPCOURT SAINT RÉMY AUX BOIS

BELLEAU FERRIÈRES MAGNIÈRES SAINT SAUVEUR

BÉNAMÉNIL FLAINVAL MAILLY-SUR-SEILLE SAINTE PÔLE

BENNEY FLAVIGNY-SUR-MOSELLE MAIXE SAULXURES-LÈS-NANCY

BERTRAMBOIS FLÉVILLE-DEVANT-NANCY MALLELOY SEICHAMPS

BERTRICHAMPS FLIN MALZÉVILLE SERANVILLE

BEY-SUR-SEILLE FONTENOY-LA-JOÛTE MANGONVILLE SERRES

BEZANGE-LA-GRANDE FRAIMBOIS MANONCOURT-EN-VERMOIS SERRIÈRES

BIENVILLE-LA-PETITE FRANCONVILLE MANONVILLER SIONVILLER

BIONVILLE FRÉMÉNIL MARAINVILLER SIVRY

BLAINVILLE-SUR-L'EAU FRÉMONVILLE MATTEXEY SOMMERVILLER

BLÂMONT FROVILLE MAZERULLES SORNEVILLE

BLÉMEREY GÉLACOURT MÉHONCOURT TANCONVILLE RECUEIL N° 18 648 30 MARS 2018

BORVILLE GELLENONCOURT MERVILLER TANTONVILLE

BOUXIÈRES-AUX-CHÊNES GERBÉCOURT-ET-HAPLEMONT MIGNÉVILLE THÉZEY-SAINT-MARTIN

BOUXIÈRES-AUX-DAMES GERBÉVILLER MOIVRONS THIAVILLE-SUR-MEURTHE

BOUZANVILLE GERMONVILLE MONCEL-LÈS-LUNÉVILLE THIÉBAUMÉNIL

BRALLEVILLE GIRIVILLER MONCEL-SUR-SEILLE TONNOY

BRATTE GLONVILLE MONTENOY VACQUEVILLE

BRÉMÉNIL GOGNEY MONTIGNY VAL-ET-CHÂTILLON

BRÉMONCOURT GONDREXON MONTREUX VALLOIS

BRIN-SUR-SEILLE GRIPPORT MONT-SUR-MEURTHE VARANGÉVILLE

BROUVILLE HABLAINVILLE MOUACOURT VATHIMÉNIL

BUISSONCOURT HAIGNEVILLE MOYEN VAUCOURT

BURES HALLOVILLE NANCY VAUDEVILLE

BURIVILLE HARAUCOURT NEUFMAISONS VAUDIGNY

BURTHÉCOURT-AUX-CHÊNES HARBOUEY NEUVILLER-LES-BADONVILLER VAXAINVILLE

CEINTREY HAROUÉ NEUVILLER-SUR-MOSELLE VÉHO

CERVILLE HAUDONVILLE NONHIGNY VELLE-SUR-MOSELLE

CHAMPENOUX HAUSSONVILLE OGEVILLER VENEY

CHANTEHEUX HEILLECOURT ORMES-ET-VILLE VENNEZEY

CHARMOIS HÉNAMÉNIL PARROY VERDENAL

CHAZELLES-SUR-ALBE HERBÉVILLER PARUX VIGNEULLES

CHENEVIÈRES HÉRIMÉNIL PETITMONT VILLACOURT

CHENICOURT HOÉVILLE PETTONVILLE VILLE-EN-VERMOIS

CIREY-SUR-VEZOUZE HOUDEMONT PEXONNE VILLERS-LÈS-MOIVRONS

CLAYEURES HOUSSÉVILLE PHLIN VIRECOURT

CLÉMERY HUDIVILLER PIERRE-PERCÉE VITRIMONT

COINCOURT IGNEY PULNOY VOINÉMONT

COURBESSEAUX JARVILLE-LA-MALGRANGE RAON-LES-L’EAU XERMAMÉNIL

COYVILLER JEANDELAINCOURT RAUCOURT XIROCOURT

CRANTENOY JEVONCOURT RAVILLE-SUR-SANON XOUSSE

CRÉVÉCHAMPS JOLIVET RÉCHICOURT-LA-PETITE XURES

CRÉVIC JUVRECOURT RECLONVILLE

Article 2 : Le département de MEURTHE-ET-MOSELLE compte 19 sections d’inspection du travail, réparties au sein des 2 Unités de Contrôle, comme suit : Unité de contrôle 54-1 : Au total, dix sections d’inspection du travail, parmi lesquelles : • Huit sections d'inspection généralistes dont * Deux sections (n°2 et 7) compétentes notamment pour les activités de transports - rattachement APET 49 (sauf 49.1 et 49.2 transports ferroviaires), 50, 51 à 53 (sauf 53.1 activités de poste et de courrier) • Deux sections (n°9 et 10) compétentes notamment pour les entreprises agricoles assujetties aux dispositions du titre 1er du livre 7 du code rural et de la pêche maritime relatives à la réglementation du travail salarié et également pour toutes les entreprises exerçant une activité de quelque nature qu'elle soit, permanente ou temporaire, dans l'emprise de ces établissements agricoles. Ces sections disposent en matière agricole d’une compétence départementale. A contrario, elles ne sont pas compétentes, pour les travaux réalisés par les entreprises agricoles dans l’emprise des entreprises ne relevant pas du régime agricole, qui relèvent des sections d’inspection du travail territorialement compétentes. Unité de contrôle 54-2 : Au total, neuf sections d’inspection du travail, parmi lesquelles : • Neuf sections d'inspection généralistes dont * Une section (n°16) est compétente sur l'ensemble du département pour des entreprises intervenant sur le réseau public de transport ferroviaire et également pour toutes les entreprises exerçant une activité de quelque nature qu'elle soit, permanente ou temporaire au sein de l’enceinte ferroviaire des transports publics réalisée sur le réseau ferré national pris au sens de l'article L2122-1 du code des transports. La compétence de cette section d’inspection du travail est étendue aux chantiers de bâtiment réalisés au sein des gares lorsque la maitrise d’ouvrage relève de la SNCF. Les commerces implantés au sein des gares relèvent également de la section dédiée. * Deux sections (n°14 et 17) compétentes notamment pour les activités de transports - rattachement APET 49 (sauf 49.1 et 49.2 transports ferroviaires), 50, 51 à 53 (sauf 53.1 activités de poste et de courrier) Article 3 : La localisation et la délimitation des sections d'inspection du travail de MEURTHE ET MOSELLE s’établissent comme suit : Unité de contrôle 54-1 RECUEIL N° 18 649 30 MARS 2018

A l’exclusion des entreprises agricoles entrant pour tout le département dans le champ d’intervention de l’UC 54-1, sections 9 et 10. A l’exclusion des entreprises de transports entrant dans champ pour le périmètre d’intervention de l’UC 54-1 des sections 2 et 8. A l’exclusion des entreprises de transports ferroviaires entrant pour tout le département dans le champ d’intervention la section 15 de l’UC2-54. UC 54-1 - SECTION N° 1 Les communes suivantes : ALLONDRELLE LA MALMAISON MONT SAINT MARTIN BEUVEILLE MONTIGNY SUR CHIERS CHARENCY VEZIN OTHE CHENIERES PETIT FAILLY COLMEY PIERREPONT CONS LA GRANDVILLE COSNES ET ROMAIN REHON CUTRY SAINT JEAN LES LONGUYON DONCOURT LES LONGUYON SAINT PANCRE EPIEZ SUR CHIERS TELLANCOURT FRESNOIS LA MONTAGNE UGNY GORCY VILLE HOUDLEMONT GRAND FAILLY VILLERS LA CHEVRE HAN DEVANT PIERREPONT VILLERS LE ROND LEXY VILLETTE LONGUYON VIVIERS SUR CHIERS Les rues suivantes de la commune de VANDOEUVRE LES NANCY : Avenue ACACIAS (DES) Allée HORTENSIAS (DES) Boulevard AIGUILLETTES (DES) Rue HUGO (VICTOR) Rue AIX LA CHAPELLE (D’) Rue HUITIEME RGT D'ARTILLERIE (DU) Rue ALBERT 1ER Impasse IENA Rue ALBERTVILLE (D') Place IRLANDE (D') Place ALSACE (GERARD D') Rue ITALIE (D') Rue AMSTERDAM (D') Rue JACQUARD Place ANGLETERRE (D') Avenue JONQUILLES (DES) Rue ARLON (D') Rue KEHL (DE) Boulevard BARTHOU (LOUIS) Rue LAMOUR (JEAN) Rue BASTOGNE Rue LANG (RAPHAEL) Rue BAVIERE (DE) Allée LEMGO (DE) Rue Belgique (DE) Rue LES FLORALIES (THIERRY) Place BENELUX Square LIEGE (DE) Parc BENTZ (ROBERT) Allée LILAS (DES) Rue BERGE (EUGENIE) Square LISBONNE (DE) Rue BERLIN (DE) Rue LOEVENBRUCK Rue BERT (PAUL) Place LONDRES (DE) Rue BIANCA MARIA (ANTOINE) Rue LOUVAIN (DE) Rue BIZET (GEORGES) Square LOUVAIN (DE) Allée BREDA (DE) Rue LOUVIERE (DE LA) Place BRETAGNE (DE) Rue LUDWIGSHAFFEN Rue BRIAND (ARISTIDE) Rue LUXEMBOURG (DU ) Place BRICHAMBEAU (DE) Rue MACE (JEAN) Square BRUGES (DE) Allée MAGNOLIAS (DES) Allée BRUXELLES (DE) Rue MARECHAL LYAUTEY (DU) Rue BRUYERES (DE) Allée MARKEN (DE) Allée CAPUCINES (DES) Rue MAROT (CLEMENT) Rue CARNOT Rue MASSON (DESIRE) Rue CAVALIERE Rue MERMOZ (JEAN) Rue CHABRIER (EMMANUEL) Allée MIMOSAS (DES) RECUEIL N° 18 650 30 MARS 2018

Allée CHAMPAGNE (DE) Route MIRECOURT (DE) Rue CHAMPMARTIN (RAYMOND) Allée MONDORF LES BAINS (DE) Square CHARLEROIS (DE) Rue MYOSOTIS (DES) Rue CHARMES (DE) Square NAMUR (DE) Rue CHARMOIS (DU) Route NATIONALE NO 57 Avenue CHARMOIS (DU) Rue NATIONS (DES) Rue CHARPENTIER (GUSTAVE) Rue NORVEGE (DE) Rue CHATEAUBRIAND Allée ŒILLETS (DES) Chemin CIMETIERE (DU) Square OSLO (D') Boulevard CLEMENCEAU (GEORGES) Rue PALISSY (BERNARD) Allée CLERVAUX (DE) Allée PARC (DU) Allée COLOGNE (DE) PARC DES EXPOSITIONS Rue CREVIC (DE) Place PARIS (DE) Rue D ANVERS (D') Rue PARME (DE) Avenue D ARC (JEANNE) Rue PERI (GABRIEL) Impasse DE NERVAL (GERARD) Rue PERSEVERANCE (DE LA) Rue DEBUSSY (CLAUDE) Allée PETUNIAS (DES) Place DELFT (DE) Rue PIERRE ET MARIE CURIE Place DINANT (DE) Rue POINCARE (RAYMOND) Rue DOCTEUR CALMETTE (DU) Rue PORTUGAL (DU) Rue DOCTEUR ROUX (DU) Rue POSTE (DE LA) Rue DOMBASLE (MATHIEU DE) Allée PRIMEVERES (DES) Avenue DOUMER (PAUL) Parc PROUVE JEAN et HENRI Allée DUDELANGE (DE) Esplanade RALITE JACK Rue DUNANT Square RIMBAUD (ARTHUR) Rue ECHTERNACH (D') Rue ROBEE Place ECOSSE (D') Rue ROBERVAL Square EMBELLIE (DE L') Allée ROERMOND (DE) Boulevard EUROPE (DE L') Rue ROSES (DES) Rue FAURE (GABRIEL) Rue SAINT HUBERT Place FLANDRES (DES ) Rue SAINTE BARBE Rue FLORENCE (DE) Rue SAINTE COLETTE Place FORET NOIRE (DE LA) Impasse SAN REMO Impasse FOURNIER (ALAIN) Rue SATIE (ERIC) Rue FRANCK (CESAR) Place SEGUIN (PHILIPPE) Allée FRIBOURG (DE) Rue SCHUMAN (ROBERT) Rue GEMBLOUX (DE) Allée SPA (DE) Allée GILLES LE PROVENCAL Rue THIEBAUT JEANNE Rue GLAIEULS (DES) Allée TITISEE (DE) Rue GLIERES (DES) Rue TOURTEL (DE) Rue GOETHE Place TREVES (DE) Rue GOUNOD (CHARLES) Rue TULIPES (DES) Allée GROTTAFERRATA (DE) Rue VAUCOULEUR Rue GUINGOT (LOUIS) Place VEIL (SIMONE) Rue HARLEM (DE) Allée VENLO (DE) Square HAUT DE PENOY (DU) Allée VERCORS (DU) Square HEIDELBERG (DE) Rue VERLAINE (PAUL) Rue HOLLANDE (DE) Rue VERVIERS (DE) Impasse VILLON (FRANCOIS) Rue WILSON Rue ZOLA (EMILE) RECUEIL N° 18 651 30 MARS 2018

UC 54-1 - SECTION N° 2 ENTREPRISES DE TRANSPORTS DES SECTIONS 1,2,3,4,5 et 6 Les communes suivantes : CHAMPIGNEULLES HAUCOURT MOULAINE HERSERANGE HUSSIGNY GODBRANGE LONGWY MEXY SAULNES UC 54-1 - SECTION N° 3 Les communes suivantes : ANDERNY LONGLAVILLE ANOUX LUBEY AUDUN LE ROMAN MAIRY MAINVILLE AVILLERS MALAVILLERS AVRIL MERCY LE BAS BAROCHES (les) MERCY LE HAUT BASLIEUX MONT BONVILLERS BAZAILLES MORFONTAINE BETTAINVILLERS MURVILLE BEUVILLERS PIENNES BOISMONT PREUTIN HIGNY BREHAIN LA VILLE SAINT SUPPLET CRUSNES SANCY DOMPRIX SERROUVILLE ERROUVILLE THIL FILLIERES TIERCELET JOEUF TRIEUX JOPPECOURT TUCQUEGNIEUX JOUDREVILLE VILLE AU MONTOIS LAIX VILLERS LA MONTAGNE LANDRES VILLERUPT LANTEFONTAINE XIVRY CIRCOURT

Les rues suivantes de la ville de VANDOEUVRE LES NANCY : Allée ALZETTE (DE L') Rue HAYE (DE LA) Rue ANATOLE FRANCE Rue HOUDEMONT (DE) Rue AQUITAINE (D’) Avenue JAURES (JEAN) Allée AUTEUIL (D') Rue JURA (DU) Rue AUVERGNE (D') Rue LANGUEDOC (DU) Rue BASCH (VICTOR) Allée LONGCHAMP (DE) Rue BEARN (DU) Rue LORRAINE (DE) Rue BEAUJOLAIS (DU) Rue LUDRES (DE) Rue BELLEVUE (DE) Rue MACONNAIS (DU) Rue BLUM (LEON) Rue MALINES (DE) Rue BOIS DE LA CHAMPELLE Rue MEZES (DES) Rue BOIS DE LA CHAMPELLE (DU) Rue MILAN (DE) Rue BOIS DE LA SIVRITE (DU) Rue MORVAN (DU) Rue BOIS DU CHENE LE LOUP Rue NORMANDIE (DE) Rue BOIS LE DUC (DE) Rue NOTRE DAME DES PAUVRES Allée BOIS MADAME (DU) Avenue PARC DE BRABOIS (DU) RECUEIL N° 18 652 30 MARS 2018

Allée BOULEAUX (DES) Rue PASTEUR Rue BOURBONNAIS (DU) Rue PEGUY (CHARLES) Avenue BOURGOGNE (DE) Allée PRIEURE (DU) Rue CALLOT (JACQUES) Rue PROVENCE (DE) Allée CHANTILLY (DE) Avenue RECLUS (DU) Allée CHENES (DES) Rue REMICH (DE) Place CONDORCET (DE) Place REPUBLIQUE (DE LA) Chemin COTEAU (DU) Allée RONCEVAUX (DE) Rue DAUPHINE (DU) Allée ROTTERDAM (DE) Rue DOCTEUR GADOL (DU) Rue ROUSSILLON (DU) Allée DOUGLAS (DES) Rue SAINT EXUPERY Rue DOYEN JACQUES PARISOT (DU) Allée SAVOIE (DE) Rue DOYEN MARCEL ROUBAUT Rue SEGUIN (PIERRE) Allée ERABLES (DES) Rue TONNEAU (DU) Rue FERRY (JULES) Impasse TURIN (DE) Avenue FORET DE HAYE (DE LA ) Rue VAUCOULEURS (DE) Allée FORET DE LA REINE (DE LA) Carrefour VELODROME (DU) Chemin FOSSE PIERRIERE (DE LA) Rue VENISE (DE) Rue FRANCHE COMTE (DE) Place VERDUN (DE) Allée FRENES (DES) Avenue VIEUX CHÂTEAU (DU) Rue FRIDRICH (CHARLES) Rue VILLERS (DE) Rue GAMBETTA Allée VINCENNES (DE) Rue GENERAL FRERE (DU) Rue VIVARAIS (DU) Avenue GENERAL LECLERC (DU) Impasse VOSGES (DES) Allée GRANDES FRICHES (DES)

UC 54-1 - SECTION N° 4 Les communes suivantes : AUBOUE JOUAVILLE BATILLY MOINEVILLE HABONVILLE MOUTIERS HATRIZE SAINT AIL VAL DE BRIEY HOMECOURT VALLEROY

Les rues suivantes de la commune de LAXOU : Allée AIRE (DEL') Allée ALZETTE (DE L') Rue AMEZULE (DE L') Allée BUTTANT (DU) Rue GRAND PARC (DU) Rue MEUSE (DE LA) Rue MORTAGNE (DE LA) Rue MOSELLE (DE LA) Rue MOSELOTTE (DE LA) Rue MOUZON (DU) Rue ORNAIN (DE L') Rue ORNE (DE L') Avenue RESISTANCE (DE LA) Avenue RHIN (DU) Rue SAONE (DE LA) Rue SARRE (DE LA) Allée SAULX (DE LA) Rue VAIR (DU) RECUEIL N° 18 653 30 MARS 2018

Allée VERDURETTE (DE LA) Rue VEZOUZE (DE LA) Rue VOLOGNE (DE LA)

UC 54-1 - SECTION N° 5 Les communes suivantes : ABBEVILLE LES CONFLANS LIRONVILLE AFFLEVILLE MARS LA TOUR ALLAMONT MAXEVILLE ARNAVILLE MOUAVILLE BAYONVILLE SUR MAD NORROY LE SEC BECHAMPS OLLEY BONCOURT OZERAILLES BOUILLONVILLE PANNES BRAINVILLE PUXE BRUVILLE PUXIEUX CHAMBLEY BUSSIERES REGNIEVILLLE CHAREY REMBERCOURT SUR MAD CONFLANS EN JARNISY REMENAUVILLE rattachée à Limey DAMPVITOUX SAINT BAUSSANT DOMMARTIN LA CHAUSSEE SAINT JULIEN LES GORZE DONCOURT LES CONFLANS SAINT MARCEL ESSEY ET MAIZERAIS SEICHEPREY EUVEZIN SPONVILLE FLEVILLE LIXIERES THIAUCOURT REGNIEVILLE FLIREY THUMEREVILLE FRIAUVILLE TRONVILLE GIRAUMONT VANDELAINVILLE GONDRECOURT AIX VIEVILLE EN HAYE HAGEVILLE VILCEY SUR TREY HANNONVILLE SUZEMONT VILLE SUR YRON JARNY VILLECEY SUR MAD JAULNY WAVILLE JEANDELIZE XAMMES LABRY XONVILLE LIMEY REMENAUVILLE

UC 54-1 - SECTION N° 6 Les communes suivantes : ATTON MONTAUVILLE AUTREVILLE SUR MOSELLE MORVILLE SUR SEILLE BELLEVILLE MOUSSON BEZAUMONT NORROY LES PONT A MOUSSON BLENOD LES PONT A MOUSSON ONVILLE BOUXIERES SOUS FROIDMONT PAGNY SUR MOSELLE CHAMPEY SUR MOSELLE PONT A MOUSSON DIEULOUARD PORT SUR SEILLE FEY EN HAYE PRENY JEZAINVILLE SAINTE GENEVIEVE LANDREMONT VANDIERES LESMENILS VILLE AU VAL LOISY VILLERS SOUS PRENY RECUEIL N° 18 654 30 MARS 2018

MAIDIERES VITTONVILLE MILLERY

UC 54-1 - SECTION N° 7 ENTREPRISES TRANSPORTS DES SECTIONS 7, 8, 9 et 10 Les communes suivantes : BICQUELEY LANEUVEVILLE DERRIERE FOUG BLENOD LES TOUL MONT LE VIGNOBLE BULLIGNY MOUTROT CHARMES LA COTE OCHEY THUILLEY CHAUDENEY SUR MOSELLE PIERRE LA TREICHE CHOLOY MENILLOT SANZEY CREZILLES SEXEY AUX FORGES DOMGERMAIN TOUL GYE VILLEY LE SEC

UC 54-1 - SECTION N° 8 Les communes suivantes : FROUARD SAIZERAIS MARBACHE LIVERDUN VILLERS LES NANCY POMPEY

UC 54-1 - SECTION N° 9 Entreprises ressortissantes du régime agricole en application de l’article 713-1 du code rural sur le secteur géographique de l'UC 54-1 tel que définie à l’article 2 ; Les rues suivantes de la commune de LAXOU : Rue ABBE DIDELOT (DE L') Sentier HAUT DES BURES (DES ) Rue AFFOUAGES (DES) Rue HEUBACH (DE) Boulevard AIGUILLETTES (DES) Rue HUGO (VICTOR) Rue ALBERT (ERNEST) Rue HUIT MAI (DU) Chemin ARBOIS (D') Rue HUSSON (LEON) Impasse ARTOIS (D’) Impasse JARDINS (DES) Rue ASNEE (DE L') Place JET D EAU (DU) Sentier AVEUGLES (DES) Rue LAVAUX (DE) Sentier BAOUN (DE) Route LEBRUN (JEAN) Allée BASSIGNY (DU) Avenue LIBERATION (DE LA) Allée BEAUREGARD (DE) Place LIBERTE (DE LA) Rue BEL AIR Rue LUXEMBOURG (DU) Rue BELGES (DES) Allée MALVAUX (DE) Place BELGES (DES) Boulevard MARECHAL FOCH (DU) Sentier BELVEDERE (DU) Rue MAREVILLE (DE) Allée BERDAINES (DES) Impasse MARRONIERS (DES) Rue BERT (PAUL) Rue MEDREVILLE (DE) Avenue BOIS GRONEE (DU) Place MEURTHE (DE LA) Avenue BOUFFLERS (DE) Rue MI LES VIGNES Rue BRIAND (ARISTIDE) Impasse MINE (DE LA) Square CAPUCINES (DES) Allée MIRABELLES (DES) Allée CARRIERS (DES) Route NATIONALE 4 Allée CENACLE (DU) Allée NEUVE Sentier CHAMBREY DES AILS Allée NOYERS (DES) Allée CHARCAMBEAU Parc OBSERVATOIRE (DE L’) Sentier CHEF DE LA VILLE (DU) Rue ONZE NOVEMBRE (DU) Sentier CHEVEZ (DE) Rue PASTEUR Sentier CHICONOTTES (DES) Rue PERGAUD (LOUIS) Rue CHONE (POL) Allée PETHOIS (DU) RECUEIL N° 18 655 30 MARS 2018

Sentier CLAIRLIEU (DE) Rue PETIT ARBOIS (DU) Rue CLOS (DES) rue PIANT (MARIUS) Place COLIN (LOUIS) Rue PLATEAU (DU) Impasse COLONEL MOLL Rue PLATELLE (DE LA) Rue COLONEL MOLL Sentier PLATELLE (DE LA) Sentier COLONEL MOLL Rue POINCARE (RAYMOND) Rue CORVEE (DE LA) Allée POIRIERS (DES) Sentier CÔTE DES CHEVRES (DE LA) Chemin POTTIER Sentier CÔTE JACOB (DE LA) Allée PREBOIS (DE) Sentier COURBES (DES) Rue PRES DU PUITS Sentier CROISETTE (DE LA) Rue PRESSOIR (DU) Sentier CROIX DE MISSION (DE LA) Impasse PRIMTEMPS-AUTOMNE Impasse CROIX DU CHENE (DE LA) Cité PROVINCES (DES) Rue CROIX SAINT-CLAUDE (DE LA) Avenue QUATRES-VENTS (DES) Carrefour CROIX SAINT-CLAUDE (DE LA) Sentier RACHOUTS (DES) Place CRUCIFIX (DU) Sentier REMPARTS (DES) Avenue CURIE (PIERRE) Rue RENAN (ERNEST) Rue DEFRANCE (JACQUOT) Rue REPUBLIQUE (DE LA) Avenue DEROULEDE (PAUL) Allée ROCHES (DES) Rue DESCH (AUGUSTE) Rue ROUSSEAU (JEAN-JACQUES) rue DOCTEUR ARCHAMBAULT Allée RUPT-DE-MAD (DU) Chemin ECOLIERS (DES) Sentier SAINT-ARRIANT (DE) Rue EGALITE (DE L') Avenue SAINTE ANNE Rue EMBANIE (DE L') Rue SAINTOIS (DU) Avenue EUROPE (DE L') Rue SAULNOIS (DU) Place EUROPE (DE L') Avenue SAURUPT (DE) Rue FERRY (JULES) Rue SAPINIERE (DE LA) Sentier FOND DE LAVAUX (DU) Rue SCHUMAN (ROBERT) Rue FONTENELLE (DE LA) Sentier SOURCES (DES) Sentier FONTENELLE (DE LA) Square SOUVENIR Français (DU) rue FORESTIERS (DES) Rue TARRERE (DE LA) Rue FORET (DE LA) Rue THEURIET (ANDRE) Allée FOURASSES (DES) Impasse TONNELIERS (DES) Rue GALLE (EMILE) Rue TOULOSE (DE LA) Rue GENERALE DE CASTELNAU (DU) Sentier TOURNELLE ET DES PAUVRES (DE LA) Rue GIDE (CHARLES) Chemin VACHES (DES) Rue GOUTTE (DE LA) Rue VERMOIS (DU) Sentier GRAND FONTAINE (DE) Place VICTOIRE (DE LA) Rue GROSJEAN (EDOUARD) Rue VIGNERONS (DES) Sentier HARAUDEL (DE) Rue VILLERS (DE) Boulevard HARDEVAL (DE) Rue VOGE (DE LA) Sentier HARMATA (DE) Rue VOLTAIRE Sentier HARMONEE (DE) Terrasse VOSGES (DES) Boulevard ZOLA (EMILE)

Les communes suivantes : ABONCOURT BEUVEZIN ALLAIN CHALIGNY ALLAMPS CHAOUILLEY AUTREY CHAVIGNY BAGNEUX CLEREY SUR BRENON BAINVILLE SUR MADON COLOMBEY LES BELLES BARISEY AU PLAIN COURCELLES BARISEY LA COTE CREPEY BATTIGNY DOLCOURT RECUEIL N° 18 656 30 MARS 2018

DOMMARIE EULMONT OMELMONT ETREVAL PAREY SAINT CESAIRE FAVIERES PIERREVILLE FECOCOURT PONT SAINT VINCENT FORCELLES SAINT GORGON PRAYE FORCELLES SOUS GUGNEY PULLIGNY FRAISNES EN SAINTOIS PULNEY FROLOIS QUEVILLONCOURT GELACOURT SAULXEROTTE GELAUCOURT SAULXURES LES VANNES GEMONVILLE SAXON SION GERMINY SELAINCOURT GIBEAUMEIX THELOD GOVILLER THEY SOUS VAUDEMONT GRIMONVILLER THOREY LYAUTEY GROSROUVRES THUILLEY AUX GROSEILLES GRISCOURT TRAMONT LASSUS GUGNEY TRAMONT EMY HAMMEVILLE TRAMONT SAINT ANDRE HOUDELMONT URUFFE HOUDREVILLE VANDELAINVILLE LALOEUF VANDELEVILLE MAIZIERES VANNES LE CHATEL MARON VAUDEMONT MARTHEMONT VEZELISE MEREVILLE VITERNE MESSEIN VITREY MONT L ETROIT VRONCOURT NEUVES MAISONS XEUILLEY OGNEVILLE UC 54-1 - SECTION N° 10 Entreprises ressortissantes du régime agricole en application de l’article 713-1 du code rural sur le secteur géographique de l'UC 54-2, tel que défini à l’article 2. Les communes suivantes : AINGERAY LAY SAINT REMI ANDILLY LUCEY ANSAUVILLE MAMEY AVRAINVILLE MANDRE AUX QUATRE TOURS BEAUMONT MANONCOURT EN WOEVRE BERNECOURT MANONVILLE BOUCQ MARTINCOURT BOUVRON MENIL LA TOUR BRULEY MINORVILLE DOMEVRE EN HAYE NOVIANT AUX PRES DOMMARTIN LES TOUL PAGNEY DERRIERE BARINE ECROUVES ROGEVILLE FONTENOY SUR MOSELLE ROSIERES EN HAYE FOUG ROYAUMEIX FRANCHEVILLE SEXEY LES BOIS GEZONCOURT TREMBLECOURT GONDREVILLE TRONDES HAMONVILLE VELAINE EN HAYE JAILLON VILLERS EN HAYE LAGNEY VILLEY SAINT ETIENNE Unité de contrôle 54-2 A l’exclusion des entreprises agricoles entrant dans le champ d’intervention de l’UC 54-1 tel que défini à l’article 2 ; A l’exclusion des entreprises de transports entrant dans champ pour le périmètre d’intervention de l’UC 54-2 des sections 14 et 17. A l’exclusion des entreprises de transports ferroviaires entrant pour tout le département dans le champ d’intervention la section 16 de l’UC2-54. UC 54-2 - SECTION N° 12 Les communes suivantes : AFFRACOURT LEBEUVILLE AZELOT LEMAINVILLE BAINVILLE AUX MIROIRS LEMÉNIL-MITRY BARBONVILLE LOREY BAYON LOROMONTZEY BENNEY LUPCOURT BORVILLE MANGONVILLE BOUZANVILLE MANONCOURT-EN-VERMOIS BRALLEVILLE MÉHONCOURT BREMONCOURT NEUVILLER SUR MOSELLE BURTHECOURT AUX CHENES ORMES ET VILLES CEINTREY RICHARDMÉNIL RECUEIL N° 18 657 30 MARS 2018

CHARMOIS ROMAIN CLAYEURES ROVILLE-DEVANT-BAYON COYVILLER ROZELIEURES CRANTENOY SAFFAIS CREVECHAMPS SAINT BOINGT DIARVILLE SAINT FIRMIN DOMBASLE-SUR-MEURTHE SAINT GERMAIN DOMPTAIL EN L'AIR SAINT MARD EINVAUX SAINT NICOLAS DE PORT FERRIERES SAINT REMIMONT FLAVIGNY SUR MOSELLE SAINT REMY AUX BOIS FROVILLE TANTONVILLE GERBÉCOURT-ET-HAPLEMONT TONNOY GERMONVILLE VAUDEVILLE GRIPPORT VAUDIGNY HAIGNEVILLE VELLE-SUR-MOSELLE HAROUÉ VIGNEULLES HAUSSONVILLE VILLACOURT HOUSSÉVILLE VILLE EN VERMOIS JEVONCOURT VIRECOURT LANDECOURT VOINÉMONT LANEUVEVILLE-DEVANT-BAYON XIROCOURT LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY

Les rues suivantes de la ville de NANCY : secteur délimité par les limites communales de Maxéville et de Laxou et les axes Rue de Laxou (exclue) – rue de Verlaine (incluse) - rue Raymond Poincaré (exclue)- rue Victor Hugo (incluse) – Boulevard Albert 1er (inclus)– boulevard de Scarpone (inclus) Excluant la compétence sur l’établissement CLINIQUE MAJORELLE (Compétence attribuée à la 18e section) Rue ABBE GRIDEL (DE L') Place BOUILLON (GODEFROY DE) Rue ABBE HALTEBOURG Rue BOURCIER (LEONARD) Bld ALBERT 1ER Rue BRAILLE (LOUIS) RUE AMBROISE THOMAS Place BRANDICOURT (DU PERE) Rue APPERT (NICOLAS) Square BRASSENS (GEORGES) Chemin ARBOIS (D’) Rue BRUMAIRE (JACQUELINE) Rue AUXONNE (D') Rue BRUN (HENRY) Rue BADONVILLER (DE) Rd Point BUTHEGNEMONT Allée BAKER (JOSEPHINE) Rue BUTHEGNEMONT Rue BALIN (DU) Rue CAPITAINE GUYNEMER (DU) Rue BASSOMPIERRE Impasse CARMEL (DU) Rue BEAUCHET (LUDOVIC) Rue CAVALIER (DANIEL PAUL) Allée BEAUREGARD (DE) Place CAVALLIER (CAMILLE) Rue BEAUREGARD (DE) Allée CESAIRE(AIME) Rue BEAUVAU (DE) Rue CHAMPENOUX (DE) Rue BECHET(SYDNEY) Rue CHARPENTIER (GUSTAVE) Chemin BELLEVUE (DE) Rue CHEMIN BLANC (DU) Rue BERGAMOTTE (DE LA) Sentier CLOS CHATTON (DU) Rue BICHAT (ERNEST) Rue CLOS DU CHEVRE (DU) Rue BOIS LE PRETRE (LE) Rue COLETTE Rue BONNEVAY (LAURENT) Rue COLLINE (DE LA) Rue BOUCHER (HELENE) Impasse COMMANDANT IGIER Rue BOUDIERE (DE LA) Rue CORBIN (EUGENE) Rue BOUDONVILLE (DE) Rue CORIOLIS Avenue BOUFFLERS (DE) Rue COTE (DE LA) Square BOUFFLERS (DE) Sentier COTE DES CHEVRES (DE LA) RECUEIL N° 18 658 30 MARS 2018

Rue COUPERIN François Allée MATOUB (LOUNES) Rue CROIX GAGNEE (DE LA) Sentier MAXEVILLE (DE) Rue CROIX SAINT CLAUDE (DE LA) Rue MEDREVILLE (DE) Rue CRONSTADT (DE) Rue MERLON (DU) Sentier CURE D’AIR (DE LA) Rue MERMOZ (JEAN) Allée CURIE (MARIE) Terrasse MESSAGER (ANDRE) Rue DAC (PIERRE) Rue MESSIER Rue DAUBIE (JULIE) Rue MIHE (JEAN) Place DAUTREMER (MARCEL) Place MILHAUD (DARIUS) Rue DEBUSSY (CLAUDE) Rue MONNET (JEAN) Impasse DEVILLY (THEODORE) Impasse MONTREVILLE (DE) Rue DOCTEUR BLEICHER (DU) Place MOROT (AIME) Rue DOCTEUR FRIOT (DU) Rue MOSELLY (EMILE) Rue EIFFEL (GUSTAVE) Rue MOUGIN (JOSEPH) Chemin FAISANT Rue MOULIN DE BOUDONVILLE Rd Pt FERIET (ANNE) Rue MOUSSON (DU) Rue FERIET (ANNE) Rd Point NOMENY Rue FORESTIER (JEAN CLAUDE NICOLAS) Rue NOMENY Rue FOUCOTTE (DE LA) Rue NOTRE DAME DES ANGES Place FOURNIER (ALAIN) Rue NUNGESSER ET COLI Rue FRANCAIS Rue PARE (AMBROISE) Avenue FRANCE (ANATOLE) Rue PARIS (DE) Rue GERBEVILLER (DE) Rue PETIT ARBOIS (DU) Rue GRAND VERGER (DU) Rue PIERNE (GABRIEL) Ruelle GRAND VERGER (DU) Avenue PINCHARD (RAYMOND) Rue GRUBER (JACQUES) Sentier PLANTES (DES) Rue GUINGOT (LOUIS) Rue POULENC (FRANCIS) RUE GUYNEMER (du Capitaine) Rue PRENY Rue HACQUARD (AUGUSTIN) Place RAVEL (MAURICE) Rue HALLER (ALBIN) Chemin RENAUDINE Rue HAUT DU CHEVRE (DU) Sentier RENAUDINE Sentier HAUT DU LIEVRE Avenue RHIN (DU) Rue HILSZ (MARYSE) Rue ROCHES (DES) Rue HUEL (Victor) Rue ROME (DE) Rue HUGO (VICTOR) Rue ROPARTZ (GUY) Square ISERE (DE L') Rue SAINT BODON Allée JARDINS FLEURIS Rue SAINT EXUPERY (ANTOINE DE) Rue LACRETELLE Rue SAINT JACQUES (CLOS) Impasse LARCHER (JULES) Rue SAINT MANSUY Place LAVERNY (ROBERT) Allée SAND (GEORGES) Impasse LEVY (HENRI) Rue SANTIFONTAINE (DE) Avenue LIBERATION (DE LA) Impasse SAPINIERE (DE LA) Rue LOUIS (DOMINIQUE) Bld SCARPONE (DE) Rue LULLI (JEAN-BAPTISTE) Rue SCHAEFFER (PIERRE) Allée LYS ROUGE (DU) Rue SCHMITT (FLORENT) Rue MAILLARD (LOUIS CAMILLE) Rue SERGENT BOBILLOT Rue MARECHAL KOENING (DU) Chemin SIFFLETS (DES) Rue MARIE ODILE Rue SIFFLETS (DES) Rue MARQUETTE Place TAVERNY (ROBERT) Terrasse MARRONNIER ROUGE (DU) Sentier TEULOTTE (DE LA) Rue MARS DE LA TOUR Rue THEURIET(ANDRE) Rue MARVINGT (MARIE) RUE THOMAS(AMBROISIE) RECUEIL N° 18 659 30 MARS 2018

Terrasse TILLEUL ARGENTE (DU) Square VIAN (BORIS) Rue TONNELIER LEON Sentier VIGNES (DES) Rue TURIQUE (DE) Rd Point VIRAY Rue VANIER (RAYMOND) Rue VIRAY Rue VERDUN (DE) Rue WIENNER Rue VERLAINE Square YSER (DE L’) Place VERNE (JULES) Espl. ZEHRFUS (BERNARD) Rue VIARD (GIORNE)

UC 54-2 - SECTION N° 13 Les communes suivantes : AMENONCOURT LACHAPELLE ANCERVILLER LEINTREY ANGOMONT MERVILLER AUTREPIERRE MIGNÉVILLE AVRICOURT MONTIGNY AZERAILLES MONTREUX BACCARAT NEUFMAISONS BADONVILLER NEUVILLER LES BADONVILLER BARBAS NONHIGNY BERTRAMBOIS OGEVILLER BERTRICHAMPS PARUX BIONVILLE PETITMONT BLAMONT PETTONVILLE BLEMEREY PEXONNE BREMENIL PIERRE-PERCÉE BROUVILLE RAON-LES-L’EAU BURIVILLE RECLONVILLE CHAZELLES-SUR-ALBE REHERREY CIREY-SUR-VEZOUZE REILLON DENEUVRE REMONCOURT DOMÈVRE-SUR-VEZOUZE REPAIX DOMJEVIN SAINT MARTIN EMBERMENIL SAINT MAURICE AUX FORLGES FENNEVILLER SAINT SAUVEUR FLIN SAINTE POLE FONTENOY-LA-JOÛTE TANCONVILLE FRÉMÉNIL THIAVILLE-SUR-MEURTHE FRÉMONVILLE VACQUEVILLE GLONVILLE VAL ET CHÂTILLON GOGNEY VAUCOURT GONDREXON VAXAINVILLE HABLAINVILLE VÉHO HALLOVILLE VENEY HARBOUEY VERDENAL HERBÉVILLER XOUSSE IGNEY

Les rues suivantes de la ville de NANCY : secteur délimité par Rue de l’Armée PATTON (incluse)- Boulevard Albert 1 er (exclu) –boulevard de Scarpone (exclu)- limite communale de MAXEVILLE – Rue du Faubourg des Trois maisons (exclu) – rue des glacis (incluse) – Rue du haut bourgeois (incluse) – Grande Rue (exclue) – Rue Stanislas (exclue) – Rue Raymond Poincaré (incluse) – rue Jeanne d’Arc (incluse) – Limite communale de Vandœuvre-Lès-Nancy, de Villers-lès-Nancy – avenue de Brabois (incluse) – Boulevard d’Haussonville (inclus) – limite communale de Laxou- Rue de Laxou(incluse)- Avenue Anatole France (exclue) En incluant la compétence de l’établissement CNAM NANCY. Place ABBE PIERRE (DE L’) Rue ABOUT (EDMOND) RECUEIL N° 18 660 30 MARS 2018

Boulevard AIGUILLETTES Place CROIX DE BOURGOGNE (DE LA) Rue AMANCE (D’) ALLEE CROUSSE (FRANCOIS FELIX) Rue AMERVAL (D ) RUE DAMES (RUE DES) ANCIENS COMBATTANTS D’AFRIQUE DU Esplanade Rue DESILLES NORD Rue ANJOU (René d’) Passage DIGOT Rue ARMEE PATTON (DE L) RUE DINET (Michel) Place ARSENAL (DE L) Rue DOCTEUR LIONEL PELERIN (DU) Rue AUXONNE (D) Rue DOMREMY (DE) Sentier AUXONNE (DERRIERE) RUE DORR (MARCELLE) Rue LOUIS Rue DOYEN JOSEPH LAURENT (DU) Esplanade BAUDOT (JACQUES) Rue DUC ANTOINE Rue BEGONIAS (DES) Rue DUC RAOUL Rue BELFORT (DE) Place DUCS DE BAR (DES) Rue BERGNIER Rue DUMAST (GUERRIER) Rue BERTIN (EMILE) Rue DUPONT DES LOGES Avenue BOFFRAND Rue DURIVAL Passage BOTTIN (SEBASTIEN) Rue EPINAL (D') Rue BOUDONVILLE (DE) Ruelle ESPRIT (DE L') Avenue BRABOIS (DE) Rue ETATS (DES) Rue BRIAND (ARISTIDE) Rue FABERT Rond point BUSSIERE (ERNEST) Rond-point FAMILLES (DES) Rue CALLOT Rue FAURE (FELIX) Rue CARDINAL MATHIEU (DU) Rue FERRY (JULES) Place CARNOT Cour Fossé aux Chevaux (DU) Rue CARNOT (LAZARE) Avenue FOCH (52 et +) (43 et +) Place CARTIER-BRESSON (Charles) Ruelle FRERES SIMONIN (DES) Ruelle CEINTREY (DES CHAMPS) Rue FRERES VOIRIN (DES) Rue CHANOINE BLAISE (DU) Rue FRIANT EMILE Rue CHANOINE JACOB (DU) Rue GEBHART (EMILE) Rue CHARITE (DE LA ) Rue GENERAL CHEVERT (DU) Boulevard CHARLEMAGNE Rue GENERAL CUSTINE (DU) Rue CHEVAL BLANC (DU) Rue GENERAL DE LANDREMONT (DU) Quai CHOISEUL Rue GENERAL DUROC (DU) Rue CHURCHILL (WINSTON) Rue GENERAL FABVIER (DU) Impasse CLERIN Rue GENERAL FRERE Rue COLONEL COURTOT DE CISSEY (DU) Rue GENERAL GOURAUD (DU) Place COLONEL FABIEN (DU ) Rue GENERAL HAXO (DU) Rue COLONEL GRANDVAL (DU) Rue GENERAL HOCHE (DU) Place COMMANDERIE (DE LA) (22 et +) (35 et +) Rue GENERAL HULOT (DU) Rue COMMANDERIE (DE LA) (22 et +) (35 et +) Avenue GENERAL LECLERC (DU) (95 et +) (156 et +) Place COMMERCES (DES) Avenue GENERAL MANGIN (DU) Allée COQUELICOTS (DES) Rue GENERAL MARGUERITTE (DU) Rue COUE (EMILE) Rue GLACIS (DES) Rue COURBET Rue GONCOURT (DES) Allée CREVAUX Rue GRAFFIGNY (DE) Rue CREVAUX Rue GRINGOIRE (PIERRE) Impasse CREVISIER (PIERRE) Allée GUINIER (Allée) Rue et Rue GUISE (DE) CROIX D’AUYOT (DE LA) Sentier Passage HALDAT (DE) RECUEIL N° 18 661 30 MARS 2018

Boulevard HAUSSONVILLE Rue MAURE QUI TROMPE (DU) Rue HAUT BOURGEOIS (DU ) Ruelle MENSIAUX (DES ) Impasse HENNER Rue METZ (DE) Rue HENNER Rue MEZIERES (ALFRED) Rue HERMITE Rue MICHOTTES (DES) Rue HUGO (EUGENE) Avenue MILTON Rue ISABEY Rue MOENCH (CHRISTIAN) RUE ISRAEL (SYLVESTRE) Square MONSEIGNEUR PETIT Rue JACQUARD Rue MONNAIE (DE LA ) Rue JACQUINOT Rue MONT DESERT (82 et +) (75 et +) Rue JEANNE D’ ARC Rue MOUILLERON (GABRIEL) (24 et +) (107 et +) Rue JENNESSON RUE MUGUET (DU) Rue JOLI CŒUR (DU) Allée MYOSOTIS (DES) Rue JONQUILLES (DES) Rue NEUFCHATEAU (F DE) Place KARLSRUHE (DE) Place NEUVIEME DIVISION INF COLONIALE Rue KLEBER Rue NEY (MICHEL) Place LA FAYETTE Rue NICKLES (DES) Rue LA FAYETTE Rue NOTRE DAME DE LOURDES Rue LAMOUR JEAN ALLEE OBELISQUE (DE l') Rue LAVIGERIE Rue OCTROI (DE L) Rue LAXOU (DE) RUE ŒILLETS (DES) Rue LE CLERC (ALIX) Rue ORATOIRE (DE L') Impasse LE LORRAIN (CLAUDE) Ruelle OUTHON (DES MEIX) Quai LE LORRAIN CLAUDE Place PADOUE (DE) Rue LEGION ETRANGERE (DE LA) Place PAINLEVE (PAUL) Rue LEMOINE (VICTOR) RUE PAIX (DE LA) Cours LEOPOLD Rue PALISSOT Rond point LEPOIS Allée PARC (DU) Rue LEPOIS Rue PASTEUR Rue LIEGE (DE) Rue PETIT BOURGEOIS (DU) Rue LORRAINE (DE) Rue PFISTER (CHRISTIAN) Rue LOTHAIRE 2 Allée PIVOINES (DES) Rue LOUPS (DES) Rue PLACIEUX (DU) Place LUXEMBOURG (DE) Rue POINCARE (RAYMOND) Rue MAJORELLE (LOUIS) Impasse PRETRORIA Allée MALAISE (LUCIE) Rue PREVOYANCE (DE LA) Place MALVAL (JOSEPH) Passage RAME (de la) Rue MANSUY GAUVAIN Rue RAVINELLE (DE LA) Passage MARCEAU Quai RICHIER (LIGIER) Rue MARECHAL DUNANT (DU) Rue RIGNY (DE) Rue MARECHAL EXELMANS (DU) RUE ROUBAIX (DE) Rue MARECHAL GALLIENI (DU) Ruelle SAINT ANTOINE Avenue MARECHAL JUIN (DU) Impasse SAINT ANTOINE Rue MARECHAL OUDINOT (DU) (72 et +) (93 et +) Place SAINT EPVRE Rue MARECHAUX (DES) Rue SAINT EPVRE Avenue MARINGER (HIPPOLYTE) Rue SAINT LAMBERT Rue MARSAL (DE) Ruelle SAINT LAMBERT Rue MARTEL (CHARLES) Rue SAINT MICHEL Rue MATHIS (CAMILLE) Rue SAINT URBAIN RECUEIL N° 18 662 30 MARS 2018

Allée SAINT VINCENT RUE SOLET (Jean-Baptiste Thierry) Rue SAINT VINCENT Rue SOURCE (DE LA ) Ruelle SAPIN (DE) Esplanade SOUVENIR Français (DU ) Impasse SAULNIER (JULES) Allée Takashima Hokkai Impasse SERGENT BLANDAN Sentier TALBOUX (DES ) Rue SERGENT BLANDAN Rue TEMERAIRE (DU) Rue SERRE (DE) Rue THIONVILLE (DE) Rue SIMON GUSTAVE ALLEE THIRION (PAUL) Rue SIVRY (PIERRE DE) Rue TROUILLET Rue TUILERIE (DE LA) Allée TULIPES (DES) Impasse TURINAZ Rue TURINAZ Rue VANNOZ (MADAME DE) Rue VAUBAN RUE VAUCOULEURS (DE) Rue VERDUN (DE) Rue VIEIL AITRE (DU) Rue VIGERIE (LA) Rue VILLERS (DE) RUE VINCI (LEONARD DE )

RUE VITTEL (DE) RUE VOIRIN (DES FRERES) UC 54-2 - SECTION N° 14 Les communes suivantes : ART SUR MEURTHE BUIISSONCOURT CERVILLE DOMMARTEMONT ERBEVILLER-SUR-AMEZULE ESSEY LES NANCY FLEVILLE DEVANT NANCY GELLENONCOURT HARAUCOURT LENONCOURT REMEREVILLE SAINT MAX VARANGEVILLE

Les entreprises de transport – rattachement APET 49 (sauf 49.1 et 49.2 transports ferroviaires), 50, 51 à 53 (sauf 53.1 activités de poste et de courrier) de son secteur et des sections 15, 18, 19. UC 54-2 - SECTION N° 15 Les communes suivantes : AGINCOURT LEYR AMANCE LIXIERES ARMAUCOURT MAILLY-SUR-SEILLE ARRAYE ET HAN MALLELOY BELLEAU MALZEVILLE BEY-SUR-SEILLE MANONCOURT-SUR-SEILLE BOUXIERES AUX CHENES MAZERULLES BOUXIERES AUX-DAMES MOIVRONS BRATTE MONCEL SUR SEILLE RECUEIL N° 18 663 30 MARS 2018

BRIN SUR SEILLE MONTENOY CHAMPENOUX MOREY CHENICOURT NOMENY CLEMERY PHLIN

CUSTINES PULNOY DOMMARTIN SOUS AMANCE RAUCOURT ECUELLE ROUVES EPLY SAULXURES LES NANCY EULMONT SEICHAMPS FAULX SERRIERES JEANDELAINCOURT SIVRY LAITRE-SOUS-AMANCE SORNEVILLE LANEUVELOTTE THEZEY-SAINT-MARTIN LANFROICOURT TOMBLAINE LAY-SAINT-CHRISTOPHE VELAINE-SOUS-AMANCE LETRICOURT VILLERS-LES-MOIVRONS

Les rues suivantes de la ville de NANCY : secteur délimité par les limites communales de MAXEVILLE et MALZEVILLE – Rue des cristalleries (incluse) – rue Henri BAZIN (incluse) – rue du 26e régiment d’infanterie(incluse) – rue Charles de Foucauld (incluse) – rue de Malzéville (incluse) – rue du Faubourg des trois maisons( incluse). RUE ABBE LEMIRE (L’) RUE LECREULX RUE ATRIE (DE L’) RUE LEPAGE (HENRI) RUE BAGARD CESAR RUE MAC MAHON RUE BAZIN (HENRI) RUE MALZEVILLE (DE) PASSAGE BERLET SEN MALZEVILLE (DE) ALLÉE BOSCO (JEAN) RUE MARAICHERS (DES) RUE BUSSIERE (PORFESSEUR ERNEST) VIADUC MARIN (LOUIS) SENTIER CADIERE (DES) RUE MARTIMPREY (DE) IMPASSE CANAL (DU) RUE MATHIAS SCHIFF RUE CANEROBERT RUE MAUVAIS (VIRGINIE) Rue CAPITAINE Louis TAELMAN ALLÉE MAX (ROGER) RUE CHARLES DE FOUCAULD RUE MEURTHE (DE LA) RUE CHARLES DUSAULX RUE MICHELET RUE CHATEAU SALINS (DE) RUE MOLLEVAUT Rue CHRISTEN (EUGENE) RUE OBERLIN RUE CLAUDE (Roland) RUE PETIT (GUSTAVE) PROMENADE COLONEL TULASNE RUE PIERSON (Edouard) SENTIER COURBESSEAUX (DE) RUE PONT DE LA CROIX (DU) RUE CRISTALLERIES (DES) ALLÉ PORT AUX PLANCHES (DU) RUE CROSNE (DU) RUE REGNIEVILLE (DE) RUE DAUM (ANTONIN) RUELLE SABLONS (DES) RUE DAUM (COLONEL) RUE SAINT FIACRE RUE DELIVRE (Jacques) RUE SAINT VINCENT DE PAUL RUE DIEUZE (DE) RUE SCHIFF RUE DOCTEUR GRANDJEAN (DU) ROND POINT SIMON (MARCEL) RUE DUSSAULX (CHARLES) RUE SOLIGNAC (DE) RUE FEYEN (DES) RUE TANNERIES (DES) RUE FONCK RENE SENTIER TANNERIES (DES) RUE FONTENOY (DE) SENTIER THOMAS(AMBROISIE) RUE FONTENOY (DE) RUE TROIS MAISONS (DU FAUBOURG DES) RUE FRERES DAUM (DES) RUE VANNE (DE LA) CARREFOUR FRERES NOEL (DES) RUE VAYRINGE RUE FRUHINSHOLZ (PROFESSEUR ALBERT) RUE VERDIER (DE VILLA) RUE GLEIZE (HIPPOLYTE) SENTIER VINAIGRIERS (DES) RUE GUILBERT DE PIXERECOURT BD VINGT-SIXIEME RGT D INFANTERIE (DU) RUE LAFLIZE RUELLE VITRIMONT (DE) RUE LECLERC (SEBASTIEN) RECUEIL N° 18 664 30 MARS 2018

UC 54-2 - SECTION N° 16 Les communes suivantes : HEILLECOURT

HOUDEMONT

Les rues suivantes de la ville de NANCY : secteur délimité par les axes Rue Jeanne d’arc (exclue) – rue de Mon désert (inclue) – Pont des Fusillés (inclus)- Place Alexandre 1 er (incluse) – Rue du Grand Rabbin Haguenauer (incluse) –Rue de Chanzy (incluse) – rue Raymond Poincaré (exclue) Rue BELLANGE (Jacques) Rue BLARRU (Pierre) RUE CHALNOT (PIERRE) RUE CHANZY RUE COMMANDERIE (DE LA) (2à 20 + 1 à 33) RUE CRAMPEL Square DOMREMY Rue DUVAL (Jamerai) LD EMPRISE SNCF Place ETANG SAINT JEAN (DE L’) RUE FERRI (III) Avenue FOCH (2 à 50 – 1 à 41) Pont FUSILLES (DES) RUE GALLE-GRIMM (Henriette) RUE HAGUENAUER (DU GRAND RABBIN ) Boulevard JOFFRE VIADUC KENNEDY (JOHN FITZGERALD) RUE LAVOIR (SAINT-JEAN) DU RUE LEOPOLD LALLEMENT PL MAGINOT(ANDRE) Rue MAZAGRAN RUE MONSEIGNEUR THOUVENIN RUE MONT-DESERT (DE) (2 à 80 +1 à 73) RUE MOREY Rue MOUILLERON (GABRIEL) RUE PIROUX RUE POINCARE (HENRI) RUE PROUVE (JEAN) PL REPUBLIQUE (DE LA) RUE ROTONDE (DE LA) RUE SAINT LEON Rue SAINT LEON RUE SAINT THIEBAUT Allée SCHOK Esplanade SEGUIN (Philippe) RUE SEMARD (PIERRE ) PL THIERS RUE VICTOR POIREL

Section en compétence sur l’ensemble du Réseau Ferré de France du département de MEURTHE-ET-MOSELLE incluant les chantiers au sein de l’enceinte UC 54-2 - SECTION N° 17 Les communes suivantes : LUDRES Les rues suivantes de la ville de NANCY : RUE ST SEBASTIEN

CTRE COMMERCIAL ST SEBASTIEN RECUEIL N° 18 665 30 MARS 2018

Les entreprises de transport – rattachement APET 49 (sauf 49.1 et 49.2 transports ferroviaires), 50, 51 à 53 (sauf APE 53.1 activités de poste et de courrier) du secteur et des sections 12, 13, 16 et 20 UC 54-2 - SECTION N° 18 Les communes suivantes : Incluant la compétence sur l’établissement CLINIQUE MAJORELLE NANCY. ANTHELUPT JUVRECOURT ARRACOURT LAMATH ATHIENVILLE LANEUVEVILLE-AUX-BOIS BATHELEMONT LARONXE BAUZEMONT LUNEVILLE BENAMENIL MAGNIERES BEZANGE-LA-GRANDE MAIXE BIENVILLE-LA-PETITE MANONVILLER BLAINVILLE-SUR-L'EAU MARAINVILLER BONVILLER MATTEXEY BURES MONCEL-LES-LUNEVILLE CHANTEHEUX MONT-SUR-MEURTHE CHENEVIERES MORIVILLER COINCOURT MOUACOURT COURBESSEAUX MOYEN CREVIC PARROY CRION RAVILLE SUR SANON CROI SMARE RECHICOURT-LA-PETITE DAMELEVIERES REHAINVILLER DEUXVILLE REMENOVILLE DROUVILLE ROSIERES AUX SALINES EINVILLE-AU-JARD SAINT CLEMENT ESSEY-LA COTE SERANVILLE FLAINVAL SERRES FRAIMBOIS SIONVILLER FRANCONVILLE SOMMERVILLER GERBEVILLERS THIEBAUMENIL GIRIVILLER VALHEY HAUDONVILLE VALLOY HENAMENIL VATHIMENIL HERIMENIL VENNEZEY HOEVILLE VITRIMONT HUDIVILLER XERMAMENIL JOLIVET XURES

UC 54-2 - SECTION N° 19 Les rues suivantes de la ville de NANCY : Secteur délimité par les axes Rue Stanislas (incluse) – Grande Rue (incluse) – boulevard Charles V ( inclus) – Rue de Malzéville (exclue) – rue Charles de Foucauld (exclue) – Boulevard u 26e régiment d’infanterie (exclu) – Quai Sainte Catherine (incluse) – Rue du 20 E corps (incluse) – limite communale de Tomblaine – Boulevard du Millénaire (exclu) – Boulevard Lobau (inclus) – Rue du tapis vert (inclus) – rue de l‘Ile de Corse (incluse) – Rue Sainte Catherine (incluse) RUE ADAM (SIGISBERT) PL DOUANE (de la) RUE ALGERIE (d’) RUE ECURIES (des) RUE ANTOINE (DUC Antoine) Promenade EMILIE DU CHATELET BD AUSTRASIE (d') ALLEE FEDER (BERNARD) RUE BARON BUQUET RUE FLORENTIN (JOSEPH) RUE BENIT RUE FOUR (du) Passage BLEU RUE GAMBETTA (à partir du 23 et 26) RUE BLONDOT Allée GAUGUIN RUE BRACONNOT RUE GENERAL DE GAULLE RECUEIL N° 18 666 30 MARS 2018

IMP BROT (Marcel) RUE GILBERT Quai BILISTEIN (ANDREU DE) GRANDE RUE RUE BROT (Marcel) RUE GRANDVILLE PLACE CAJELOT (André) Rue GUELDRES (PHILIPPE DE) PROMENADE CANAUX (DES) RUE GUINET (FRANCOIS) PLACE CAPELLE (DU RECTEUR JEAN) RUE HACHE (DE LA) RUE CARDINAL TISSERANT (du) RUE HALLES (DES) Place CARRIERE(de la) RUE HENRY (DES FRERES) RUE CARMES (DES) RUE HERE PASSAGE CASINO RUE ILE DE CORSE (DE L') RUE CHALIGNY (des) RUE JACQUES VILLERMAUX Allée CHANOINE DRIOTON (DU) PL LORITZ (Henri) BD CHARLES 5 RUE LYCEE (du) PL CHARLES III PLACE MALVAL (Joseph) PROMENADE CHATELET (EMILIE DU) MARCHE COUVERT Place CINCINNATI (de) RUE MARTIN MUNIER MARECHAL VICTOR DUC DE BELLUNE RUE CINQ PIQUETS (des) Rue (DU) RUE CITADELLE (de la) PL MENGIN (Henri) Porte CITADELLE(de la) RUE MOLITOR RUE CLAUDEL (CAMILLE) Allée MONET RUE CLAUDOT RUE MOTHE (de la) RUE CLODION BOULEVARD MOULIN (JEAN) RUE CLOS RUE NOTRE DAME RUE COLIN (PAUL) PARC DE LA PEPINIERE AVENUE COLLIGNON (CHARLES) RUE PONT CEZARD RUE CORDELIERS RUE PONTS (des) Place CRAFFE (de la) RUE PRAIRIE (DE LA) RUE CHARLES III (à partir du n°108) RUE PROGRES RUE RENAULT GOUSSET SUZANNE RUE RAUGRAFF Allée ROSELIERE (DE LA) RUE REMENAUVILLE (Rue de) Rue RUISSEAU DE LA VILETTE (DU) RUE JACQUOT RUE SABLES (des) Promenade KANAGAWA RUE SAINT JEAN Rue KELLER (Charles ) QUAI SAINTE CATHERINE RUE KRUG (Alfred) RUE SAINTE CATHERINE RUE LA TOUR (GEORGES DE) RUE SCHERBECK (Jean) RUE LEPAGE (Bastien) RUE SELLIER RUE LIBERTE (DE LA ) RUE STANISLAS BD LOBAU RUE TAPIS VERT Allée UTRILLO TERRASSE DE LA PEPINIERE RUE VALLIN (EUGENE) RUE TOMBLAINE (de) Allée VAN GOGH RUE TROIS ECOLES RUE VAUDEMONT (de) RUE CRAFFE (de la) RUE VERDIER (DE LA VILLA) RUE CUGNOT (Joseph) RUE VICTOR RUE CYFFLE PLACE VILLAGE (DU) RUE CYFFLE LE TRIDENT RUE VILLERMAUX JACQUES RUE DEGLIN (Henri) Avenue VINGT ET UNIEME REGIMENT D’AVIATION RUE DIGUE (de la) RUE VINGTIEME CORPS (DU) RUE DIVISION DE FER (de la) RUE VISITATION (de la) RECUEIL N° 18 667 30 MARS 2018

RUE DOM CALMET RUE WELSCHES (Charles) Place DOMBASLE

UC 54-2 - SECTION N° 20 La commune de JARVILLE. Les rues suivantes de la ville de NANCY : Secteur délimité par la limite communale de Jarville – Rue Jeanne D’Arc (exclue) – Rue de Mon désert (exclue) – Rue Saint Dizier (incluse) - Rue sainte Catherine (exclue)- rue de L’ile de Corse (exclue)- Rue du tapis vert (exclue)- boulevard Lobau (exclu). A l’exclusion de la compétence sur l’établissement CNAM NANCY (compétence section 13) RUE ABBE DIDELOT RUE LESZCZYNSKA (MARIE) RUE ABBE GREGOIRE RUE LIEUTENANT CREPIN (DU ) RUE RUE LIONNOIS RUE LURCAT (FRERES) RUE ALIX (THIERRY) RUE LYAUTEY PLACE ALLIANCE (d’) RUE MABLY RUE BAILLY RUE MADELEINE RUE BALFOURIER (du Général) RUE MADELEINE (DE LA ) QUAI BATAILLE (DE LA) RUE MADEMOISELLE RUE BITCHE AV MAL DE LATTRE DE TASSIGNY RUE BONSECOURS (DE ) RUE MANEGE (DU ) RUE BOULAY DE LA MEURTHE RUE MANSUY GAUVAIN RUE BRICE (DES) RUE MARECHAL FRANCHET D’ESPEREY Sentier BRICHAMBEAU RUE MARECHAL GERARD Rue CASSIN (RENE) Rue MARECHAL LATTRE DE TASSIGNY (DE) Impasse CAVEAU RUE MARECHAL OUDINOT (1 à 91- 2 à 68) RUE CHANOINES (DES) RUE MAURICE BARRES RUE CHARLES III RUE MIRECOURT (DE) RUE CHARLES SADOUL PL MONSEIGNEUR RUCH RUE CHEPFER (Georges) RUE MONTESQUIEU Rue CHOPIN FREDERIC RUE MOUJA (DU PONT) RUE CLAUDE CHARLES RUE MULHOUSE (DE) BD CLEMENCEAU (GEORGES ) RUE NABECOR (DE) RUE CLOITRE (du) RUE NICOLE (CHARLES) RUE CLOS HINZELIN (DU) RUE ORPHELINES (DES) RUE COLONEL DRIANT AV PL COLONEL DRIANT (DU ) RUE PHALSBOURG (DE) RUE COLONEL RENARD RUE PICHON COUR DES ARTS CHE PREBOIS (DE) RUE COURNAULT (ETIENNE) RUE PRIMATIALE (DE LA ) RUE DAUPHINE RUE PROVENCAL RUE DERUET (CLAUDE) RUE QUATRE EGLISES (DES) RUE DIDION RUE RECTEUR BRUNTZ RUE DOCTEUR A. LEVY BD RECTEUR SENN RUE DOCTEUR BERNHEIM RUE RENE CASSIN AV DOCTEUR HEYDENREICH (DU ) QUAI RENE II RUE DOCTEUR LIEBAULT RUE REPUBLIQUE (DE LA ) RUE DOCTEUR LOUIS MICHEL (DU ) RUE ROND POINT MARGUERITE DE LORRAINE RUE DOCTEUR SCHMITT (DU ) RUE ROUBAULT RUE DOMINICAINS (DES) RUE SADOUL (CHARLES) RUE DORGET (jules) RUE SAINT DIZIER RUE DROUIN RUE SAINT GEORGES RUE EMILE GALLE RUE SAINT JULIEN RUE ERCKMANN CHATRIAN RUE SAINT NICOLAS RUE ERIGNAC (Claude) RUE SAINT NICOLAS RECUEIL N° 18 668 30 MARS 2018

RUE FABRIQUES (DES) RUE SAINTE ANNE RUE FAIENCERIE (DE LA ) RUE SAINTE CECILE RUE FOLLER RUE SALLE (DE LA ) RUE FOURIER (PIERRE) RUE SALPETRIERE (DE LA ) RUE FREDERIC CHOPIN RUE SAURUPT (DE) RUE FRERES NICOLAS RUE SAVERNE RUE GAMBETTA (1à21 – 2 à 24) RUE SCHERTZER FREDERIC RUE GANNE (Louis) RUE SCHUMAN (DU PRESIDENT ROBERT) ALL GARENNE (DE LA ) RUE SOEURS MACARONS (DES) AV GARENNE (DE LA ) RUE SONNINI AV GENERAL LECLERC RES ETOILE (DU ) PL STANISLAS RUE GENERAL CASTELANU AV STRASBOURG (DE) RUE GENERAL CLINCHANT RUE TIERCELINS (DES) RUE GENERAL DROUOT RUE VARCOLLIER JEAN RUE GENERAL GIRAUD RUE VIC (DE) Avenue GENERAL LECLERC (DU) de (1 à 87) et (2 à 150) RUE VICTOR PROUVE RUE GIRARDET RUE VILLARD (PIERRE) RUE GODRON RUE VILLEBOIS MAREUIL RUE GUERIN (Charles) PLace VOSGES (DES) RUE GUIBAL BLD INSURERECTION DU GUETTO DE VARSOVIE RUE JARDINIERS (DES) BD JEAN JAURES RUE JEANNOT RUE LACORDAIRE

Article 4 : La présente décision prendra effet le 3 avril 2018. Les dispositions des arrêtés antérieurs concernant l’organisation et la délimitation des sections d’inspection du travail sont abrogées en ce qui concerne le département de MEURTHE-ET-MOSELLE. Article 5 : Le Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand-Est est chargé de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de région Grand Est et de la préfecture de Meurthe-et- Moselle. Strasbourg, le 26 mars 2018 Danièle GIUGANTI

UNITE DEPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/824291884 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail

Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 janvier 2017 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 02/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par l’entreprise individuelle HOLVOET VERMAUT Clélia, sise 38 chemin des Roches à Marbache (54820). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de HOLVOET VERMAUT Clélia sous le n° SAP/824291884. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. L’activité déclarée par l’EI HOLVOET VERMAUT Clélia est la suivante, à l’exclusion de toute autre : - Soutien scolaire et cours à domicile. RECUEIL N° 18 669 30 MARS 2018

Cette activité exercée par le déclarant, sous réserve d’être exercée à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvre droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241- 10 du code de la sécurité sociale, à compter du 02 janvier 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 9 janvier 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Le Responsable du pôle entreprises et emploi, Jean-Pierre DELACOUR ______

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/824078836 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 janvier 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 02/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par l’entreprise individuelle DUPUIS Christine, sise 19 B rue de la Mairie à Chenières (54720). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de DUPUIS Christine sous le n° SAP/824078836. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. Les activités déclarées par l’EI DUPUIS Christine sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre : - Assistance administrative à domicile ; - Assistance informatique à domicile ; - Prestation de conduite de véhicule personnel des personnes qui ont besoin d’une aide temporaire (hors PA/PH et pathologies chroniques) ; - Livraison de courses à domicile ; - Soin et promenade d’animaux de compagnie des personnes dépendantes (hors soins vétérinaires et toilettage). Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale, à compter du 02 janvier 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 10 janvier 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Le Responsable du pôle entreprises et emploi, Jean-Pierre DELACOUR ______

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/824731541 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu la loi n°2015-1776 du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement, Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 JANVIER 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 16/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par la SAS LES CLEFS DU SERVICE PAM, sise 48 rue Gambetta à Pont-à-Mousson (54700). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de LES CLEFS DU SERVICE PAM sous le n° SAP/824731541. RECUEIL N° 18 670 30 MARS 2018

Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. Les activités déclarées par la SAS LES CLEFS DU SERVICE PAM sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre : - Entretien de la maison et travaux ménagers ; - Petits travaux de jardinage ; - Travaux de petit bricolage ; - Préparation de repas à domicile (inclus le temps passé aux courses) ; - Livraison de repas à domicile ; - Collecte et livraison à domicile de linge repassé ; - Livraison de courses à domicile ; - Assistance administrative à domicile ; - Assistance informatique à domicile ; - Maintenance et vigilance temporaires à domicile de la résidence principale et secondaire ; - Soin et promenade d’animaux de compagnie pour personnes dépendantes (hors soins vétérinaires et toilettage) ; - Soins d’esthétique à domicile des personnes dépendantes ; - Garde d’enfants de plus de 3 ans à domicile (l’exclusion des enfants handicapés) ; - Accompagnement des enfants de plus de 3 ans, en dehors de leur domicile ; - Soutien scolaire et cours à domicile ; - Téléassistance et visioassistance ; - Interprète en langue des signes (technicien de l’écrit et de codeur en langage parlé complété) ; - Assistance des personnes qui ont besoin d’une aide temporaire (hors PA/PH et pathologies chroniques) (hors actes de soins relevant d’actes médicaux) ; - Accompagnement des personnes qui ont besoin d’une aide temporaire (hors PA/PH et pathologies chroniques) pour promenades, aide à la mobilité et transport, actes de la vie courante ; - Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes qui ont besoin d’une aide temporaire (hors PA/PH et pathologies chroniques). Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale, à compter du 16 janvier 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 24 janvier 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Le Responsable du pôle entreprises et emploi, Jean-Pierre DELACOUR ______

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP /824867964 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail

Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 janvier 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 12/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par l’entreprise individuelle MOREAU Justine, sise 13 rue des Erables à Azelot Saint-Nicolas-de-Port (54210). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de MOREAU Justine sous le n° SAP/824867964. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. Les activités déclarées par l’EI MOREAU Justine sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre : - Garde d’enfants de plus de 3 ans à domicile (à l’exclusion des enfants handicapés) ; - Accompagnement des enfants de plus de 3 ans, en dehors de leur domicile. Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale, à compter du 12 janvier 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 7 février 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Le Responsable du pôle entreprises et emploi, Jean-Pierre DELACOUR ______RECUEIL N° 18 671 30 MARS 2018

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/825039134 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail

Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 JANVIER 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 30/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par la SASU LES PRES DE DEVANT, sise 2 rue de la Libération à Erbéviller sur Amezule (54280) Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de SASU LES PRES DE DEVANT sous le n° SAP/825039134. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. Les activités déclarées par la SASU LES PRES DE DEVANT sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre : - Petits travaux de jardinage ; - Maintenance et vigilance temporaires à domicile de la résidence principale et secondaire. Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale, à compter du 30 janvier 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 13 février 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Philippe DIDELOT ______

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/825005366 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail

Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 8 janvier 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 10 janvier 2018 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 27/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par l’entreprise individuelle MARINELLI Priscilla, sise 103 rue de Metz à Nancy (54000). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de MARINELLI Priscilla sous le n° SAP/825005366. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. L’activité déclarée par l’EI MARINELLI Priscilla est la suivante, à l’exclusion de toute autre : - Préparation de repas à domicile (inclus le temps passé aux courses). Cette activité exercée par le déclarant, sous réserve d’être exercée à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvre droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241- 10 du code de la sécurité sociale, à compter du 27 janvier 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 13 février 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Philippe DIDELOT ______RECUEIL N° 18 672 30 MARS 2018

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/825286362 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 janvier 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 14/02/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par l’entreprise individuelle MOUGIN Jean- Michel, sise 18 B rue Pasteur à Dombasle-sur-Meurthe (54110). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de MOUGIN Jean-Michel sous le n° SAP/825286362. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. Les activités déclarées par l’EI MOUGIN Jean-Michel sont les suivantes, à l’exclusion de toute autre : - Petits travaux de jardinage ; - Travaux de petit bricolage ; - Entretien de la maison et travaux ménagers. Ces activités exercées par le déclarant, sous réserve d’être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241-10 du code de la sécurité sociale, à compter du 14 février 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 21 février 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Le Responsable du pôle entreprises et emploi, Jean-Pierre DELACOUR ______

Récépissé de déclaration d’un organisme de services à la personne enregistrée sous le N° SAP/789162476 et formulée conformément à l'article L. 7232-1-1 du code du travail Références : Vu la loi n°2010-853 du 23 juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, au commerce et à l’artisanat et aux services (article 31), Vu le décret n°2011-1132 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu le décret n°2011-1133 du 20 septembre 2011 modifiant certaines dispositions du code du travail relatives au chèque emploi-service universel et aux services à la personne, Vu les articles L. 7231-1 à 7233-9 du code du travail, Vu les articles D. 7231-1, et R. 7232-18 à R. 7232-24 du code du travail, Vu l’arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle n°16.BI.03 du 08 janvier 2016 accordant délégation de signature à Mme Danièle GIUGANTI, directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Grand Est, Vu l’arrêté n° 2016-07 du 25 janvier 2016 portant subdélégation de signature en faveur du Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe- et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est, Le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, le directeur du travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, C O N S T A T E, Qu’en application des dispositions du code du travail susvisées, une déclaration d’activité de services à la personne a été déposée le 30/01/2017 auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle de la DIRECCTE Grand Est par l’entreprise individuelle EL HACHEMI Hassan, sise 6 rue du Luxembourg à Vandoeuvre les Nancy (54500). Après réception du dossier, cette demande a été constatée complète et le présent récépissé de déclaration d’activité de services à la personne a été enregistré au nom de EL HACHEMI Hassan sous le n° SAP/789162476. Toute autre modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous peine de retrait de la déclaration, faire l’objet d’une déclaration modificative auprès de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle qui modifiera le récépissé initial. La structure exerce son activité selon le mode suivant : prestataire. L’activité déclarée par l’EI EL HACHEMI Hassan est la suivante, à l’exclusion de toute autre : Activité relevant uniquement de la déclaration : - Soutien scolaire et cours à domicile. Cette activité exercée par le déclarant, sous réserve d’être exercée à titre exclusif (ou sous réserve d’une comptabilité séparée pour les personnes morales dispensées de cette condition), ouvre droit au bénéfice des dispositions des articles L. 7233-2 du code du travail et L. 241- 10 du code de la sécurité sociale, à compter du 25 avril 2017. L’arrêté du 17 mars 2015 précise les informations que les organismes de services à la personne doivent porter à la connaissance des consommateurs préalablement à la vente des prestations. Le récépissé peut être retiré à la structure dans les conditions fixées aux articles R. 7232-22 à R. 7232-24 du code du travail. Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle Vandœuvre, le 2 mai 2017 Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour le Directeur du Travail, responsable de l’unité départementale de Meurthe-et-Moselle, Le Responsable du pôle entreprises et emploi, Jean-Pierre DELACOUR RECUEIL N° 18 673 30 MARS 2018

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES

SERVICE AGRICULTURE – FORÊT – CHASSE Unité Aides directes – Structures

Arrêté préfectoral du 7 mars 2018 fixant la composition de la commission consultative paritaire des baux ruraux de Meurthe-et- Moselle

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le livre IV du code rural (partie réglementaire) et son article R 414-1 fixant la composition de la commission consultative paritaire départementale des baux ruraux, VU l’arrêté préfectoral du 29 mars 2012 fixant la composition de la commission consultative paritaire des baux ruraux de Meurthe-et-Moselle, VU l’arrêté préfectoral du 19 février 2013 fixant la liste des organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles représentatives dans le département de Meurthe-et-Moselle, VU les ordonnances de désignation des assesseurs des tribunaux paritaires des baux ruraux de NANCY, BRIEY et LUNÉVILLE prises respectivement les 8 février, 22 février et 23 février 2018 par le premier président de la Cour d’appel de NANCY, VU les propositions conjointes de la Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FDSEA), des Jeunes Agriculteurs (JA) et, pour les bailleurs, du Syndicat Départemental de la Propriété Privée Rurale (SDPPR) du 27 novembre 2017, VU la proposition de la Coordination Rurale de Meurthe-et-Moselle du 28 novembre 2017, VU la proposition de la Confédération Paysanne de Meurthe-et-Moselle du 28 novembre 2017, A R R E T E Article 1er : Les dispositions de l’arrêté préfectoral du 29 mars 2012 sont abrogées. Article 2 : La commission consultative paritaire départementale des baux ruraux prévue à l’article R 414-1 du code rural est constituée ainsi qu’il suit pour le département de Meurthe-et-Moselle : Président : Le préfet ou son représentant. 1°) Membres de droit : - M. le directeur départemental des territoires ou son représentant, - M. le président de la Chambre départementale d’agriculture ou son représentant, - M. le président de la FDSEA ou son représentant, - M. le président des JA ou son représentant, - M. le président de la Coordination Rurale ou son représentant, - M. le président de la Confédération Paysanne ou son représentant, - M. le président du SDPPR ou son représentant, - M. le président de la section des fermiers et des métayers de la FDSEA ou son représentant, - M. le président de la Chambre Départementale des Notaires ou son représentant. 2°) Membres élus : ➢ Collège des bailleurs : • en qualité de titulaires : M. Denis DORION M. René SCHUTZ M. Bernard GENAY M. Patrice D’HAUSEN M. Marc PEULTIER M. Georges DU PONT DE ROMEMONT • en qualité de suppléants : M. Lucien HYPOLITE M. Pierre HARDOUIN M. Bernard BATHO M. Marcel MARCHAND M. François THOMAS M. Michel SESMAT ➢ Collège des preneurs : • en qualité de titulaires : M. Eric GILLARDIN M. Olivier BASTIEN M. Jean-Marc REIGNIER M. Pascal PIERRON M. Pascal DESHAYES M. Jean-Marc CHONÉ • en qualité de suppléants : M. Vincent DAVILLE M. Patrick MAITRE M. Philippe MANGEOT M. Denis SCHMITT M. Vincent ORY M. Rémi VUILLAUME Article 3 : Le secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et la directrice départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle sont chargés de l’exécution du présent arrêté, qui sera adressé à chacun des intéressés, à titre de notification et qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe- et- Moselle. Nancy, le 7 mars 2018 Le Préfet, Eric FREYSSELINARD RECUEIL N° 18 674 30 MARS 2018

SERVICE ENVIRONNEMENT – EAU – BIODIVERSITE Unité Milieux Aquatique

Arrêté préfectoral n° 54-2017-00099 du 16 mars 2018 portant autorisation au titre de l'article L. 214-3 et déclaration d'intérêt général au titre de l'article L. 211-7 du code de l'environnement concernant la réalisation de canalisations de collecte et de transfert des eaux usées dansles berges de l'Uvry sur la commune de VÉZELISE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de l’environnement et notamment ses articles L. 211-1, L. 214-1 à L. 241-6 et R. 214-1 à R. 214-56 ; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) du Bassin Rhin-Meuse approuvé par le Préfet Coordonnateur de bassin Rhin Meuse le 30 novembre 2015 ; VU le dossier de déclaration d'intérêt général nécessitant une demande d'autorisation complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de reçu le 18/05/2017, présenté par Monsieur le Maire de la commune de VEZELISE, enregistré sous le n° 54-2017-00099 et relatif à LA RÉALISATION DE CANALISATIONS DE COLLECTE ET TRANSFERT DES EAUX USÉES DANS LES BERGES DE L'UVRY ; VU le décret du Président de la République en date du 8 décembre 2017 nommant Monsieur Eric FREYSSELINARD Préfet de Meurthe-et- Moselle ; VU l’arrêté préfectoral n°17.BCI.90 en date du 29 décembre 2017 portant délégation de signature à Madame Marie-Jeanne FOTRE-MULLER, directrice départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté n° 2017/DDT/SG/019 en date du 2 janvier 2018 portant subdélégation de signature en matière d'administration générale ; VU l'enquête publique réglementaire qui s'est déroulée du 23/10/2017 au 23/11/2017 ; VU l’arrêté préfectoral en date du 27 février 2018 prorogeant le délai pour statuer sur les demandes d’autorisation et de déclaration d’intérêt général, au titre du code de l’environnement, du présent arrêté ; VU l’avis émis par le pétitionnaire sur le projet du présent arrêté en date du 1 mars 2018; VU l'avis émis par le conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques de MEURTHE-ET-MOSELLE en date du 8 mars 2017 ; CONSIDÉRANT que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir une gestion globale et équilibrée de la ressource en eau ; CONSIDÉRANT que les travaux de reconquête du milieu ne peuvent être réalisés de façon cohérente sur les tronçons à aménager que dans le cadre d’une Déclaration d’Intérêt Général ; CONSIDÉRANT que la validité de la déclaration d’intérêt général aura une durée de 5 ans, à compter de la date de cet arrêté préfectoral, et sera renouvelable pour 5 ans ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE A R R E T E TITRE I : OBJET DE L'AUTORISATION ET DE LA DÉCLARATION D’INTÉRÊT GÉNÉRAL Article 1 : Objet de l'autorisation et de la déclaration d'intérêt général A la demande de la commune de VEZELISE représentée par Monsieur le Maire, les travaux, actions, ouvrages ou installations relatifs à l'opération suivante : LA RÉALISATION DE CANALISATIONS DE COLLECTE ET TRANSFERT DES EAUX USÉES DANS LES BERGES DE L'UVRY, sont déclarés d'intérêt général; Le pétitionnaire, la commune de VEZELISE, représenté par Monsieur le Maire est autorisé en application de l'article L. 214-3 du code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à réaliser l'opération suivante : LA RÉALISATION DE CANALISATIONS DE COLLECTE ET TRANSFERT DES EAUX USÉES DANS LES BERGES DE L'UVRY sur la commune de VEZELISE, Les rubriques définies au tableau de l'article R. 214-1 du code de l'environnement concernées par cette opération sont les suivantes : Rubrique Intitulé Régime 3.1.2.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le profil en long ou le profil en travers Autorisation du lit mineur d'un cours d'eau, à l'exclusion de ceux visés à la rubrique 3.1.4.0, ou conduisant à la dérivation d'un cours d'eau : 1° Sur une longueur de cours d'eau supérieure ou égale à 100 m (A) 2° Sur une longueur de cours d'eau inférieure à 100 m (D) 3.1.4.0 Consolidation ou protection des berges, à l'exclusion des canaux artificiels, par des techniques autres Autorisation que végétales vivantes : 1° Sur une longueur supérieure ou égale à 200 m (A) 2° Sur une longueur supérieure ou égale à 20 m mais inférieure à 200 m (D) 3.1.5.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités étant de nature à détruire les frayères, les zones de Autorisation croissance ou les zones d'alimentation de la faune piscicole, des crustacés et des batraciens : 1°) Destruction de plus de 200 m2 de frayères (A) 2°) Dans les autres cas (D) Article 2 : Caractéristiques des ouvrages Les installations, ouvrages, travaux, activités ayant pour but la RÉALISATION DE CANALISATIONS DE COLLECTE ET TRANSFERT DES EAUX USÉES DANS LES BERGES DE L'UVRY consistent en : - La mise en place un nouveau réseau d’assainissement dans le cours d’eau Uvry dans le centre bourg de Vézelise, de la rue de la Brasserie jusqu’à l’aval du parking de la Poste, soit sur un linéaire de 300 mètres. - Les canalisations seront mises en place dans le lit mineur du cours d’eau, en berges, dans des banquettes végétalisées. - Ces aménagements créeront un "sous lit mineur" en adéquation avec le débit d’étiage de l’Uvry, en respectant et en accentuant son méandrage actuel afin de favoriser sa dynamique et d’en rétablir un fonctionnement plus naturel. TITRE II : PRESCRIPTIONS Article 3 : Prescriptions spécifiques Le service départemental de l’Agence Française pour la Biodiversité de Meurthe-et-Moselle et le service police de l’eau de la Direction Départementale des Territoires de Meurthe-et-Moselle seront associés aux réunions préparatoires de chantier afin de déterminer si des mesures supplémentaires doivent être mises en place. Ils seront également conviés à chaque réunion de chantier durant toute la durée des travaux. Les installations de chantier seront positionnées à l’écart du lit mineur du cours d’eau sur deux sites en fonction de l’avancée du chantier : - rue du Gand Canton pour les travaux situés en partie amont de l’Uvry. - Le champ de foire pour les travaux situés en partie aval de l’Uvry RECUEIL N° 18 675 30 MARS 2018

Les systèmes hydrauliques et les réservoirs de carburant des engins seront vérifiés afin d'écarter tout risque de pollution des eaux. Les stockages d’hydrocarbures comporteront une cuve de rétention de capacité suffisante. Des matériaux absorbants seront présents sur le chantier pour confiner tout départ de pollution. Le nettoyage éventuel des engins mis en œuvre sur le chantier sera réalisé sur une aire aménagée à cet effet et équipée de dispositifs débourbeurs déshuileurs. Cette surface sera située sur l’emplacement dit du "champ de foire" à Vézelise. En cas de montée des eaux ou d'interruption du chantier, les engins seront repliés sur l’aire du "champ de foire" à Vézelise . Aussitôt après l’achèvement des travaux, le pétitionnaire devra enlever tous les décombres, terres, matériaux divers qui pourraient subsister. Le calendrier prévisionnel des travaux sera affiché dans la commune de Vézelise au moins un mois avant le démarrage des travaux puis réactualisé autant que de besoin. Article 4 : Mesures correctives Les mesures correctrices sont les suivantes : - Les travaux au sein du lit mineur seront réalisés en période de basses eaux, afin de limiter les incidences sur le milieu aquatique. - Les travaux effectués dans le lit seront réalisés de manière à minimiser la mise en mouvement des matières en suspension par la mise en place de barrages filtrants afin de retenir le maximum de matières en suspension et détritus flottants. - Une attention toute particulière sera portée aux rejets d’hydrocarbures provenant des engins de chantier. Les stockages d’hydrocarbures comporteront une cuve de rétention de capacité suffisante. Article 5 : Servitude de passage et accès aux installations Pendant les travaux, les riverains devront laisser le passage sur leurs terrains, depuis le lever jusqu’au coucher du soleil, aux agents et surveillants chargés des travaux ainsi qu’aux agents chargés de la police et l’eau et de la police de la pêche. Les agents chargés de la police de l’eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l’environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté. Les propriétaires riverains seront personnellement informés à l’avance des travaux les concernant par le maître d’ouvrage ou le maître d’œuvre. Article 6 : Mesures de sauvegarde Pendant les travaux, les ouvrages et les écoulements au droit de l’emprise des travaux seront constamment entretenus aux frais du pétitionnaire en bon état de fonctionnement. L’entrepreneur mandaté par le pétitionnaire devra informer, s’il y a lieu, les instances de la pêche (Fédération Départementale pour la Pêche et le Milieu Aquatique) et l'Agence Française pour la Biodiversité de la mise en place de mesures préventives de sauvegarde du poisson avant intervention dans le lit du cours d’eau. Le pétitionnaire sera tenu de se conformer à tous les règlements existants ou à intervenir sur la demande de la police des eaux et de la pêche. Article 7 : Mesures de sécurité publique L’entrepreneur mandaté par le pétitionnaire veillera aux mesures de sécurité (signalisations, port de matériel de sécurité : casque, gants…). Dans l’intérêt de la sécurité publique, l’administration pourra, après mise en demeure du pétitionnaire ou son mandataire, sauf cas d’urgence, prendre les mesures nécessaires pour prévenir et faire disparaître, aux frais et risques du pétitionnaire ou son mandataire, tout dommage provenant de son fait, sans préjudice de dispositions pénales et de toute action civile qui pourrait lui être intentée. Les prescriptions résultant du présent article pas plus que la surveillance des personnes habilitées ne sauraient avoir pour effet de diminuer en quoi que ce soit la responsabilité du pétitionnaire ou son mandataire qui demeure pleine et entière, tant en ce qui concerne les dispositions techniques des ouvrages que leur mode d’exécution, leur entretien, leur exploitation. TITRE III : DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 8 : Durée et condition de renouvellement de l'autorisation et de la déclaration d'intérêt général Les travaux de restauration et de renaturation doivent être réalisés dans un délai de trois années à compter de la date de publication du présent arrêté. Le programme d’entretien sera réalisé a l’issue de la restauration dans un délai de 5ans à compter de la date de publication du présent arrêté. La présente déclaration d'intérêt général est accordée pour une durée de 5 ans à compter de la date de publication du présent arrêté afin de réaliser les travaux de restauration et d'entretien. La présente déclaration d'intérêt général pourra être renouvelée pour 5 ans si la commune de VEZELISE présente 6 mois avant l’échéance un nouveau programme pour poursuivre l’entretien du cours d’eau. Article 9 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux ou activités, objets de la présente autorisation, sont situés, installés et exploités conformément aux plans et contenu du dossier de demande d’autorisation sans préjudice des dispositions de la présente autorisation. Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant, à l'exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet, conformément aux dispositions de l'article R. 214-18 du code de l'environnement. Article 10 : Début et fin des travaux – Mise en service Le pétitionnaire doit informer le service de police de l'eau instructeur du présent dossier des dates de démarrage et de fin des travaux et, le cas échéant, de la date de mise en service de l'installation. Article 11 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l'état exerçant ses pouvoirs de police. Faute pour le pétitionnaire de se conformer dans le délai fixé aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du le pétitionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s'être conformé aux mesures prescrites, le pétitionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par cette présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement Article 12 : Déclaration des incidents ou accidents Le pétitionnaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le maître d'ouvrage devra prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le pétitionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement. Article 13 : Droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 14 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le pétitionnaire de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations. RECUEIL N° 18 676 30 MARS 2018

Article 15 : Publication et information des tiers Un avis au public faisant connaître les termes de la présente autorisation sera publié à la diligence des services de la Préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE et aux frais du demandeur, en caractères apparents, dans deux journaux locaux ou régionaux diffusés dans le département de MEURTHE-ET-MOSELLE. Une copie de la présente autorisation sera transmise pour information au conseil municipal de la commune de VEZELISE. Un extrait de la présente autorisation énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché dans la mairie de VEZELISE pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de déclaration d'intérêt général nécessitant une demande d'autorisation sera mis à la disposition du public pour information à la Préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE, ainsi qu’à la commune de VEZELISE.. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE pendant une durée d’au moins 1 an. Article 16 : Voies et délais de recours Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent, conformément à l'article R. 514-3-1 du code de l'environnement : - par les tiers dans un délai d'un an à compter de la publication ou de l'affichage en mairie prévu au R. 214-19 du code de l'environnement. Toutefois, si la mise en service de l'installation n'est pas intervenue six mois après la publication ou l'affichage du présent arrêté, le délai de recours continue jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après cette mise en service ; - par le pétitionnaire dans un délai de deux mois à compter de la date à laquelle le présent arrêté lui a été notifié. Dans le même délai de deux mois, le pétitionnaire peut présenter un recours gracieux. Le silence gardé par l’administration pendant plus de deux mois sur la demande de recours gracieux emporte décision implicite de rejet de cette demande conformément à l’article R. 421-2 du code de justice administrative. Article 17 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE, Le sous-préfet de TOUL, Le maire de la commune de VEZELISE, La directrice départementale des territoires de MEURTHE-ET-MOSELLE Le chef du service départemental de l'Agence Française pour la Biodiversité de MEURTHE-ET-MOSELLE, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE et dont une copie sera tenue à la disposition du public dans chaque mairie intéressée. Nancy, le 16 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le chef du service de la police de l'eau, Fabrice ARKI

AGENCE NATIONALE DE L'HABITAT Délégation locale de Meurthe-et-Moselle

Règlement intérieur de la Commission Locale d’Amélioration de l’Habitat de la Communauté de Communes du Bassin de POMPEY

La Commission locale d’amélioration de l’habitat de la Communauté de Communes du Bassin de Pompey constituée à l'initiative du Président de la Communauté de Communes et dont la composition fixée par arrêté du 22 février 2018 a été notifiée au préfet du département de Meurthe et Moselle le 26 février 2018,

Vu le Code de la construction et de l’habitation (CCH), et notamment les articles R.321-10 (I ou II) et suivants, Vu le règlement général de l'Anah, Vu la convention de délégation de compétence des aides à la pierre signée le 30 mai 2013 entre la Communauté de Communes du Bassin de Pompey représentée par son Président, et l’Etat représenté par le Préfet de Meurthe et Moselle, Vu la convention de gestion conclue le 30 mai 2013 entre la Communauté de Communes du Bassin de Pompey représentée par son Président, et l’Agence nationale de l’habitat, représentée par le délégué local de l’ANAH. Adopte son règlement intérieur ainsi rédigé : Article 1er : Convocation et ordre du jour La Commission locale d’amélioration de l’habitat (CLAH) est présidée de plein droit par le Président de la Communauté de Communes du Bassin de Pompey ou son représentant. Elle se réunit à l'initiative de son Président en tant que de besoin, eu au moins une fois par an. Elle est convoquée par son Président ou son représentant sur la demande écrite, soit de la moitié au moins de ses membres, soit du délégué de l'Agence dans le département. Cette convocation comportant le lieu, la date et l'heure de la réunion, ainsi que l'ordre du jour, est envoyée aux membres de la commission par tous moyens au moins huit jours francs avant la séance. Après accord des membres concernés, celle-ci peut être adressée par courrier électronique ou par télécopie. Le Président peut inviter à une séance de la CLAH toute personne dont il juge la présence utile pour éclairer les débats. Les personnes ainsi entendues ne participent pas au vote. Les membres suppléants peuvent assister aux séances, participer aux débats mais ne prennent part au vote qu’en l’absence du titulaire. Article 2 : Disposition d’urgence En cas d'urgence, lorsque la CLAH ne peut être réunie dans un délai suffisamment bref, des consultations n'imposant pas la présence physique des membres peuvent être engagées. Les membres sont alors tenus à rendre leur avis par tout moyen écrit selon les règles de majorité habituelles. Article 3 : Quorum et vote La CLAH ne peut délibérer valablement que si la moitié au moins de ses membres en exercice est présente ou représentée. Lorsque le quorum n’est pas atteint, la commission délibère valablement sans condition de quorum, après une nouvelle convocation portant sur le même ordre du jour et spécifiant qu’aucun quorum ne sera exigé. En cas d'absence des membres titulaires, les membres suppléants assistent aux séances et prennent part aux votes. Les avis sont pris à la majorité des voix exprimées, chaque membre dispose d'une voix. Les abstentions sont exclues de ce calcul. Le vote a lieu à main levée. En cas de partage des voix, celle du Président ou de son représentant est prépondérante. Tout membre de la commission qui ne peut être représenté par son suppléant peut se faire représenter par un autre membre de la commission à qui il donne pouvoir écrit. Il doit transmettre préalablement au secrétariat de la commission le pouvoir, daté et signé. Le nombre de pouvoirs pris en charge par un membre de la commission est limité à un. Les pouvoirs sont constatés à chaque début de séance. RECUEIL N° 18 677 30 MARS 2018

Conformément aux dispositions de l’article R.321-10 du code de la construction et de l’habitation, lorsqu’un membre de la CLAH a un intérêt direct ou indirect aux opérations pouvant être financées, il s’abstient de participer à la discussion et à la délibération de la commission. Cette disposition s’applique également aux personnes appelées à participer aux travaux de la commission mentionnées à l’article 1er du présent règlement. Article 4 : Procès-verbal Le secrétariat de la commission locale d’amélioration de l’habitat est assuré par le délégué local de l’ANAH et les services de la Direction Départementale des Territoires de Meurthe et Moselle, mis à disposition. Les délibérations de la CLAH sont constatées par des procès-verbaux signés par le Président de la séance et par un membre de la commission. Les procès-verbaux des réunions font mention des membres présents qui disposent d’une voix délibérative, et des personnes qui assistent à la réunion sans voix délibérative. Ils retracent notamment les opérations pouvant être financées pour lesquelles un membre de la CLAH, ayant un intérêt direct ou indirect, s’est abstenu de participer à la délibération de la commission. Tout membre de la commission peut demander qu’il soit fait mention de son désaccord avec l’avis rendu. Lorsque la CLAH a statué suivant la procédure d'urgence visée à l'article 2 du présent règlement, le procès verbal mentionne la mise en œuvre de cette procédure. Une copie du procès verbal est adressée aux membres de la CLAH à l'occasion de la convocation de la réunion de la commission suivante. Article 5 : Règles de confidentialité et de déontologie Conformément à l’article 10 du règlement général de l’agence, toute personne qui assiste aux réunions de la CLAH ou qui a accès de par sa qualité de membre aux dossiers qui y sont traités, est tenue au respect de la confidentialité des données nominatives dont elle peut avoir connaissance et de toutes informations tenant à la vie privée des demandeurs. En application du III de l'article R.321-10 du CCH, les membres de la CLAH, titulaires et suppléants, doivent déclarer, auprès du délégué de l'Agence dans le département, les fonctions occupées et les intérêts qu'ils détiennent dans les organismes, sociétés et associations qui bénéficient ou ont vocation à bénéficier des concours financiers accordés par l'Agence. L'article 3 du présent règlement précise les conditions de participation aux débats et aux votes de la CLAH des membres ayant un intérêt direct ou indirect aux opérations présentées à l'avis de la CLAH. Article 6 : Cas où la consultation de la CLAH est requise Conformément aux dispositions de l’article R.321-10 du CCH, la Commission est consultée pour son territoire de compétence sur : - Le programme d’actions établi par l’autorité décisionnaire, - Le rapport annuel d’activité, - Toute convention intéressant l’amélioration de l’habitat et engageant l’Agence (Convention de programme, etc.). L’avis préalable de la CLAH est requis avant décision du Président de la Communauté de Communes du Bassin de Pompey ou son représentant, dans les cas prévus par l’article R 321-10 du CCH et le règlement général de l’Agence. : Il s’agit des décisions relatives : 1. Aux demandes de subvention pour lesquelles le règlement général de l’agence prévoit que l’avis de la commission est requis à savoir les décisions relatives : * Aux demandes concernant l’aide au syndicat des copropriétaires avec cumul d’aide individuelle (RGA art 15H / IV) ; * Aux conventions d’opérations importantes de réhabilitation (OIR) (RGA art 7) ; * A l’aide aux établissements publics d’aménagement intervenant dans le cadre d’un dispositif coordonné et d’un protocole approuvé par le conseil d’administration (RGA ars 15 J) ; 2. Aux recours gracieux formés auprès de l’autorité décisionnaire (5° des I et II du R. 321-10 du CCH), Par ailleurs, les projets de transformation d’usage, concernés par un enjeu de maintien de l’activité en cœur de bourg, feront l’objet d’un examen de la commission. Cette liste pourra être complétée, de droit, en fonction des évolutions réglementaires sans qu'il soit besoin pour la commission de délibérer sur la modification du présent article de son règlement intérieur. Le Président de la Communauté de Communes du Bassin de Pompey ou son représentant pourra solliciter, en tant que de besoin, un avis préalable de la CLAH, y compris sur des projets émanant de demandeurs sollicitant un avis de l'Anah préalablement à la constitution de leur dossier. Dans ce cas, l'avis de la CLAH est mentionné dans la lettre de notification individuelle de la décision. La CLAH est destinataire, à chaque séance, d’un état récapitulatif des décisions d’attribution ou de rejet prononcées par le délégué de l’agence ou le délégataire de compétences. Article 7 : Approbation // Transmission Le présent règlement intérieur adopté par la CLAH réunie à Nancy le 8 mars 2018 est annexé après signature au procès-verbal de la séance. Il est notifié, dans un délai d'un mois suivant son adoption, au préfet du département Par délégation du Président de la CLAH, Un membre de la CLAH, Le Vice-Président délégué à l’Habitat et à l’Urbanisme La Directrice de l’ADIL 54, de la Communauté de Communes du Bassin de Pompey, Stéphanie DELAVAUX Jean-François GRANDBASTIEN