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62. Numéro de PAQUES 1920 (1 fr.). — SES- SUE HAYAKAWA. — <■ Mon Idéal mas- culin », par huit « stars » ; « Mon Idéal Pour les abonnements et féminin » par six « stars » ; Lars les demandes d'anciens numéros ABONNEMENTS : Hanson ; Henri Bosc ; Henri Roussell. France Etranger Pearl White et Douglas Fairbanks adresser correspondance

dans un drame intitu'ié On trial. Du- pour quelques mois la Cie Paramount rant les mois d'été, et toute la saison et tourne avec The suivante, il joue cette pièce dans les Forbidden City (La Cité Défendue), grandes villes" d'Amérique. Ce sera la The Heart of Wetona (inédit en Fran- dernière fois, les représentations de ce), et The probation wife (Mariage Chicago terminées, que Thomas Mei- blanc). Après quoi c'est, sous la direc- ghan paraît sur la scène. tion du regretté George Loane Tucker Meighan avait déjà reçu l'année The Miracle Man (Le Miracle), d'après précédente, alors qu'il jouait à Lon- l'œuvre de F. L. Packard, avec Betty dres, une j)roposition de la Lasky- Compson et Lon Chaney. Paramount, mais estimant le salaire Ce dernier film, 'l'un des plus grands insuffisant, il n'y avait pas donné sui- succès de la production américaine, te. Cette fois, on lui proposait un en- valut à Thomas Meighan et à Betty gagement de trois mois très sédui- Compson leur élévation au rang de sant, avec perspective d'engagement « stars ». ultérieur plus important à la même o compagnie. Engagé à nouveau par Paramount, comme étoile cette fois, Tkomas Mei- ghan a tourné depuis trois ans : Le premier film tourné par Tho- L'Admirable Crichton, d'après Bar- mas Meighan fut réalisé par George rie, sous la direction de Cecil B. de Melford — qui à présent encore tra- Mille, avec G oria Swanson et Théo- vaille pour la Cie Paramount ; le titre dore RÔberts. en était. The fighting hope et l'étoile L'Echange (Why change your wi- Laura Hope Crews. fe ?), par William et Ceci! B. de Mille, Il faut croire que ce début ne fut avec et Bebe Daniels. pas trop mauvais puisque Thomas La Princesse Alice (The Prince Meighan fut engagé pour une plus lon- Chap), par W. de Mille. gue durée. Le Prestige de l'Uniforme (Civilian Nous 'le retrouvons par la suite Clothes), avec Martha Mansfield. dans des films de Ceci! B. de Mille, La montée du Passé (Conrad in William de Mille, G. Melford, etc., in- quest of his youth), par William de titulés : The Trail of Lonesome Pine, Mille. dans LA MONTEE DU PASSÉ Kindling, et dans toute une série de films des étoiles que cette Compagnie La Cité du Silence (The City of si- avait à cette époque. lerit men), avec Lois Wilson. où chacun coopère de toute sa mesui- comme sa femme, du reste — un fer- re au succès commun. C'est ainsi qu'on le voit dans plu- Puis d'autres films encore inédits vent admirateur; de Marguer. Clark, si en France, tels que The frontier of Parlant des Vedettes qu'il a courti- menue et si douce ; d'Elsie Ferguson, sieurs films de Blanche Sweet, de sées devant l'appareil, de prises de Thomas Meighan est né à Pittsburg à Londres où il interprète le principal- Charlotte Walker (l'un d'eux a paru the stars, Easy Street, White and Un- l'une des actrices américaines -es plus (Pensylvanie), en 1880, de parents rôle masculin de The Collège Widow, married, dont l'action se déroule à vues, Thomas Meighan dit se souve- expérimentées ; de Pauline Frederick, , en France, sous le titre Vers la lumiè- nir avec plaisir de Blanche Sweet qu'il originaires de l'Irlande. avec des camarades américains. re) ; Marie Doro ; Théodore Roberis Paris, Cappy Ricks, A prince there grand tempérament dramatique et ex- Au collège jusqu'en 1897, il se pré- Trois années de sa carrière s'écou- mas, The batchelor Daddy, et Our lea- sauva en mainte situation dramatique; cellente camarade ; de Norma Tal- (Un Prccurseurj ; Anita King (L'hé- de Marv Pickford dont il est — tout pare à embrasser la profession de mé- lèrent ensuite à New-York dans la ritière de la Hoorah) ; Fannie Ward : ding citizen. madge, qu'il estime être l'une des très decin que sa famille voudrait lui troupe de David Warfield, l'un des grands acteurs américains ; à ses cô- _Elsie Ferguson ; Marguerite Clark. Aux voir exercer. Mais l'avenir de Tom, côtés de Pauline Frederick, il tourne que cette perspective n'enthousiasme tés il crée notamment une pièce qui Fait assez rare chez un homme qui dans LE PRESTIGE DE L'UNIFORME est restée l'un des grands succès de Sapho, d'Alphonse Daudet, Sleeping guère, va bientôt se trouver orienté Fires, Her better Self ; avec Mary a passé la moitié de son existence sur différemment. la scène américaine : Le Retour de les planches, Thomas Meighan ne cher- Peter Grimm. Pickford ; M'Uss, d'après Bret-Harte. Un de ses amis qui faisait partie paru en France sous le titre L'Enfant che pas à s'imposer par quelque so- de l'administration du Théâtre Muni- En 1911, Londres revoit Thomas lennité de propos ; plutôt prosaïque, Meighan dans Broadwag Jones, une de la Forêt. Puis c'est Peg of my heart cipal de Pittsburg lui propose, (Peg de mon coeur) avec Wanda Haw- au contraire, il déclare à qui veut un soir, de remplacer au pied levé un production d'un des célébrités du l'entendre qu'il exerce un métier avant théâtre américain, G.eorge M. Cohan. ley, d'après la célèbre comédie an- figurant chargé de dire quelques mots glaise qu'on joue actuellement à Paris. tout, celui d'acteur, et que ses vues dans une scène de la pièce que joue En 1-912, Tôm, revenu à New-York, En 1917, Thomas Meighan quitte sur l'art en général et celui de comé- alors à Pittsburg, Henriette Cross- crée 'le rôle de l'avocat de la défense dien en particulier n'a que fort peu man : Mistress NeJJ. d'importance. Pourtant, il déclare e LA PRINCESSE ALICE préférer à tout autre un scénario re- traçant la vie de tous les jours telle Thomas Meighan accepte, et le voilà que les spectateurs la connaissent, et qui commence à songer beaucoup il considère comme essentiels au suc- plus au théâtre qu'à la médecine. Peu cès d'un film l'intérêt romanesque, les encouragé pourtant par ses parents, situations tendues et le détail vivant. il entre néanmoins Vannée suivante Aussi Tom Burke du Miracle est-il son dans la troupe de Grâce Georges, au- rôle préféré. tre vedette du théâtre américain à Du rôle que joue dans le succès d'un cette époque. film le réalisateur, Thomas Meighan En 1901, ThQmas Meighan revient est le premier à reconnaître l'impor- à Pittsburg et y joue toute une saison tance. Il sait qu'une mauvaise direc- le répertoire moderne dans la troupe tion peut amoindrir un scénario com- de J. Davis. A New-York l'année suivante, il me ses interprètes. Aussi ne ménage- joue l'un des rôles principaux des t-il pas son admiration à des hommes Deux Orphelines. En 1904, nous le tels que George Loane Tucker et Cecil retrouvons partenaire d'Elsie de de Mille, en particulier, à qui il re- Wolfe, puis de John Mason et de connaît devoir beaucoup. D'ailcurs si William H. Crâne. maîtres que ces derniers' soient de Désormais estimé comme l'un des leurs interprètes, ils sont les premiers meilleurs jeunes premiers, il joue de à examiner avec toute leur attention longs mois avec Willie Collier The les observations que peuvent leur sou- Dictator. mettre leurs collaborateurs ; et Tho- En 1905, nous retrouvons Meighan mas Meighan aime ce genre de travail Ciné pour Tous Ciné pour Tous grandes artistes de l'écran ; de Glo- qui paraissent sur les films dont il à Frances Ring, ex-actrice elle aussi, Les journaux rapportaient derniè- ria Swanson, au prestigieux physique. est l'étoile. Mais il dit attacher plus Thomas Meighan est un homme sim- rement qu'on avait jeté à la Seine de prix encore aux lettres, parfois ple qui, n'ayant pas d'enfants à ché- 30.000 mètres de films. Thomas Meighan, maintenant qu'il naïves, mais toujours sincères, qu'il rir, contribue, avec des camarades Les quatre ciné-feuilletons que la est étoile de cinéma, ne s'occupe plus reçoit de spectateurs et surtout de tels que Mary Pickford et d'autres Sté des Ciné-Romans produit chaque guère de théâtre que comme specta- spectatrices des quatre coins du « stars » au bonheur de ceux qui année forment exactement ce métra- teur. Presque chaque soir, pourtant, monde. n'ont pas la joie de posséder un ge... Mais ce serait trop de chance ! il assiste aux représentations des théâ- Thomas Meighan n'est pas de ceux foyer. D'ailleurs, les petits de l'Orphe- • tres de Los Angeles, où souvent il dont on lit le nom dans les quotidiens linat de Los Angeles ne sont pas les retrouve de vieilles connaissances et seuls à parler de leur ami Tommy, et On cite un cas de malchance cu- à propos de quelque douteuse histoire rieux qui s'est produit l'autre jour d'anciens rôles à lui. du genre de celles qui se sont passées tous les petits acteurs d'Hollywood n'ont pas de meilleur ami que lui. dans un studio ; d'une part on tour- Toujours soucieux de perfectionner dernièrement au centre de la produc- nait une torride scène d'amour, de son jeu, il lit avec intérêt les critiques tion cinégraphique américaine. Marié l'autre une désopilante comédie. Dans les deux cas, les opérateurs ont eu du fil à retordre ; dans le premier appa- reil la pellicule à pris feu, dans le second, elle s'est gondolée ! - w SI... Louis Feuillade avait tourné L'At- APRÈS L'ÉCRAN lantide : Sandra Milowanoff n'eut pas manqué d'être Antinéa ; F. Herrmann, Morhange ; Edouard Mathé, Saint- FORFAITURE (Eclipse). années. L'Amérique nous a envoyé de- sistes ; cela ne m'empêche pas de Avit ; Blanche Montel, Tanit-Zerga. puis lors des films mieux éclairés, passer une bonne heure à revoir ce Quant au désert... eh 1 bien on l'au- Vest une excellente mesure, de la mieux photographiés dans des ca- film, même pour la troisième fois, rait trouvé dans toutes les salles qui part des directeurs de certaines sal- dres plus impressionnants ; mais on comme c'est mon cas. auraient passé le film. les de Paris, d'avoir préféré repren- peut estimer que ce total de perfec- Ainsi cette bande, qui représente si Si D. W. Griffith avait filmé la dre d'anciennes bandes de haut mé- tionnement, après tout secondaires, bien la jeunesse et la bonne humeur, même œuvre, il eut pris pour Anti- néa Lilian Gish ; pour Morhange, Do- rite, à un moment où la saison, tou- n'ajouterait pas grand'chose à ce film n'a pas vieilli, depuis les quatre ans chant à sa fin, n'offre plus que d'a.s- nald Crisp ; pour St-Avit, Richard qui marque vraiment une étape dans qu'elle a déjà vécus. Mais à quoi bon Barthe'.mess ; pour Tanit-Zerga, Carol sez médiocres nouveautés. l'histoire du film. en parler, alors que Doug. y agit si Dempster ; il y aurait eu de prodi- • Le Ciné Max-Linder a donc affiché bien ; allez voir Douglas a le sourire gieuses scènes de tempête de sable, de nouveau Forfaiture. On sait que ce DOUGLAS A LF SOURIRE (GaumonO — et essayez donc de retenir le vôtre! un émouvant sauvetage final avec film est sans doute, avec L'Atlantide, Il y a différentes façons de consi- course folle des chameaux ; et le titre POUR SAUVER SA RACE (Eclipse). eut été changé en 'Way down South, le plus gros succès dramatique de l'é- dérer la personnalité de Douglas Fair- Qu'adviendrait-il du cinéma si. par cran, en ce qui concerne tout au banks. Voilà un film qui, contemporain un loueur proposait dernièrement de Le Cactus brisé, vu La rue des Afi- extraordinaire* : passer Le Jockey Disparu. Mais ce rages. moins le public français en général, Certains voient en lui un acrobate pourtant de Forfaiture, et réalisé avec Si Charlie Chaplin changeait de moins de raffinement, semble non seu- dernier a refusé, car il estime qu'il en et parisien en particulier. et athlète genre Maciste en plus fin tailleur. aura bien davantage pour son argent Forfaiture, comme chacun sait, est et en plus gai. D'autres insistent sur lement n'avoir point vieilli, mais, mê- Si Douglas Fairbanks perdait son en mettant à son programme, sous peu, avant tout une captivante anecdote la qualité de ses inventions humoris- me, paraît presque une sorte de nou- entrain. Les Quatre cavaliers de l'Apocalypse. tiques. D'autres, enfin, ne sont pas loin veauté. Si William Hart était privé de ses dramatique ; et ce qui retient l'atten- revolvers. e de voir en lai ure sorte de héros pro- Je m'explique : on a vu, en France, tion du spectateur, dans ce film, c'est Si Mary Pickford jouait les épouses videntiel, de venger1' à la Judex, à la un nombre considérable de films du On clame volontiers la nullité de la bien plus l'adroit -enchaînement des coupables. plupart des films ; mais songe-t-on au faits que la peinture des caractères, Lagardère. Far-West, et cela depuis cinq ans. Si Stacia Napierkowska jouait les Mais beaucoup n'ont vu que ceux qui pourcentage de « fours a dans le nom- des sentiments ou que le cadre où Je crois que Douglas Fairbanks « Pollyanna ». bre de pièces qu'on crée chaque sai- prend place l'action. doit être regardé a^ant tout comme ont paru depuis 1919, après la fin de Si Claude Mérelle tournait en son, et au nombre des romans de l'an- Evidemment, quand on voit un film l'apôtre de la bonne humeur, et cha- la guerre. Or, contrairement à la lo- Alaska. née qui ne seront pas oubliés dans pour la sixième fois — c'est mon cas cun de ses films comme au'.aiit QC dé- gique, ce genre de films, au lieu d'al- Si Wallace Reid n'avait plus d'au- quelques années ? tos à conduire. pour Forfaiture —, on connaît l'intri- monstrations des avantages d'un tel ler en se perfectionnant, a été telle- Et pourtant, ce n'est pas depuis état d'esprit. On sait, d'ailljnrs, que ment forcé, en situations comme en e vingt ans seulement qu'on a inventé la gue par coeur et l'on porte tout na- pièce de théâtre et le roman... turellement son attention sur d'autres Douglas Fairbanks a signé trois pe- quantité, qu'on ne peut supporter a On a vu Lon Chaney, dans Satan, points. Ce qui m'amène à dire que tits ouvrages traitant de ccite ques- présent ce genre de films que diffi interpréter un personnage de cul-de- O tion et dont les titres seuls sont très cilement. jatte avec un stupéfiant réalisme. Forfaiture, film d'intrigue, reste, mê- Qui donc nous présentera, à présent, Après* avoir assisté au cinéma à me après plusieurs visions, intéres- significatifs : Making life worth uthile Pour sauver sa race, l'un de ces Claude Mérelle dans La Vénus de toutes les étapes du voyage de M. Mil- sant en tant qu'interprétation et réa- (Pour mettre votre vie en valoir); On films de la j..reniière heure, est une Milo 1 lerand en Algérie, nous nous deman- lisation. assuming responsabilities (Sur l'iïn- page si pleine d observation, de na- turel, d'intu isité humaine qu'elle mé- Si Sessue Hayakawa a trouvé par la portances des initiatives) ; Laugh and Voilà qui prouve une fois de plus la suite des rôles plus complets, il n'en live (Rire et vivre). rite de demeurer. supériorité de l'homme sur l'animal. reste pas moins que son interpréta- Considérant ainsi Douglas Fair- William Hart lui-même incarnait On voit souvent des chats poursui- VE tion de Tori résiste à l'épreuve du banks, je n'ai peut-être pas le» mêmes alors des personnages plus vraisem- vre vainement leur ombre. L'homme temps et demeure une peinture très préférences que bien des spectateurs blables, -pus humains que les héros fait mieux — au cinéma ; puisque fouillée et très puissante. De Fannie en ce qui concerne ses films. sans défauts et sans faiblesses que le dans Les Deux Cicatrices, Lewis Sto- dons très sérieusement s'il ne serait pas souhaitable de subordonner la va- Ward on peut dire la même chose; si, Si donc à mon avis Une aventure à souci de sa popularité sans doute le ne, qui joue un double rôle, se pour- New-York et Le Signe de Zorro sont conduisit à incarner ces temps-ci. suit, et finit par mettre la main sur lidité du vote des Chambres, quand on par la suite, elle s'est débarrassée de lui-même. élit un Président, à l'approbation par certains p°.tits défauts que lui valaient deux très bons films d'intrigue, Dou- Pour sauver sa race, c'est la fran- le public d'un « bout d'essai » du la longue carrière théâtrale qu'elle glas a le sourire, par exemple, ainsi che peinture animée d'une eorotrée au candidat qu'on aura sept années — venait alors de quitter, l'intensité et que l'Ile du Salut et Douglas reporter rude aspect et d'hommes aux francs Nous avons vu déjà bien des films. 364 semaines — devant les yeux... la sincérité de son jeu dans ses scè- seront bien davantage des films de appétits ; c'est la révolte aveugle d'un Mais nous gardons encore le secret es- nes avec Tori et au Tribunal touchent Douglas Fairbanks. homme qu'on a trompé, et c'est ensui- poir de voir quelque jour à l'écran un cow-boy qui s'occupe un peu de son autant le spectateur à présent qu'au Je sais qu'il y a des gens qui trou- te l'éveil de sa conscience devant les Mary Pickford forces de bonté. C'est Hart, c'est Bes- bétail. premier jour. vent que Douglas a le sourire n'a guè- dans Techniquement parlant, aussi, For- re pour intrigue qu'une très rapide sie Love, c'est le lointain Ouest. C'est faiture a très bien supporté ses sept succession de faits hautement fantai- un film. P. H. A un directeur de salle de province, LA FILLE DES MONTS M

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La saison cinématographique 1921- même, Le Français tel qu'ils le par- 22 touchant à sa fin, nous allons, com- lent, autre œuvrette pleine de détails me ce fut déjà le cas ici-même à trois savoureux ; et la Montée du Passé, reprises, tâcher de discerner, dans le point de départ origina'l qui eut pu fatras de métrage qui, s'est déroulé être mieux utilisé ; Par Ventrée de depuis septembre dernier devant nous, service, idée assez neuve qui souffre les œuvres les plus intéressantes et désert, et pictural, fourni par le mérite d'être considéré avec intérêt, histoire d'une évasion dramatique Noire, où 'l'on retrouve l'excellente in- de quelque invraisemblance, mais bé- de montrer vers quoi tend l'évolution peintre Orazi qui élabora les « inté- même si l'on pense, comme nous, que puis émouvante ; Les Nuits de New- terprète de Cœurs ennemis et L'En- néficie de la présence de Mary Pick- de la production qui s'est présentée à rieurs ». L'interprétation eut pour ce n'est là qu'une tentative d'une na- York, triple visite en différentes mi- grenage : F.orence Reed. ford. nous. elle des éléments très suffisants ; et, ture tellement particulière qu'elle est lieux new-yorkais, avec de l'imprévu Et voici venir, bien en tête des films A présent viennent les films dont Pour cela, nous allons établir plu- pour le rôle d'Antinéa, une vedette d'application rarement possible. et une situation finale très visuelle- d'aventures héroï-comiques : Le Signe l'intrigue n'est que le prétexte à dé- 1 sieurs grandes 'divisions dans les limi- très discutée —■ mais c'est encore là Films d'intrigue aussi que : Le Cri- ment dramatique ; Tempêtes, sorte de de Zorro, certainement le spectacle le monstration morale ou philosophique. tes desquelles nous grouperons les un élément d'intérêt — Stacia Napier- me de Lord Arthur Savùe, très con- transposition, dans la progression dra- plus distrayant de l'année par sa di- C'est l'Admirable Crichton, adaptation différentes sortes de films. Dans pres- kowska, que beaucoup ont trouvée venablement adapté de Oa nouvelle matique, du Lys brisé ; Pour une nuit versité, ses péripéties, son numour..., trop édulcorée d'une œuvre puissante; que toute œuvre cinématographi- trop « matérielle », trop peu étrange d'Oscar Wilde et réalisé par René d'amour, où n'évoluent malheureuse- et Douglas Fairbanks ! Du même, il et {'Echange et A l'ombre du bonheur, que, i'1 y a un élément dominant, pour le personnage qu'elle incarnait. Hervil ; L'Ombre déchirée, dont le ment que d'assez vils personnages ; faut citer ensuite Une poule mouillée, amusantes études sur la vie conjugale, ce qui fait que l'on peut dire qu'avant Il faut croire que cette critique était point de départ fantastique, selon la Carnaval, le seul film anglais de réelle puis l'Exentrique, Un Charmeur et Sa avec quelque observation et beaucoup tout tel film est un film d'intrigue, justifiée puisque ce qu'ont écrit à ce coutume de Léon Poirier, bénéficiai! valeur paru cette année en France. Majesté Douglas. d'humour ; il serait injuste enfin de lorsque les péripéties de l'action cons- sujet depuis lors nos confrères an- d'un début remarquable pour s'ache- Et les récits visuels fantastiques qui Citons ensuite que'ques comédies clore la liste sans mentionner une tituent le meilleur de l'œuvre ; que glais et américains ne fait que confir- ver de façon plus quelconque ; /« s'intitulent : La Bouteille enchantée, mi-sentimentales, mi-humoristiques, œuvre de grande envergure qui repré- tel autre est un film de sentiment lors- mer la même impression. Vérité, adroitement échafaudé par le à qui siérait mieux une réalisation telles que Vers le bonheur, qui nous sente avant tout un effort méritoire de qu'en la peinture d'une émotion, d'un Film d'intrigue destiné à déchaîner comédien qui se souvient trop de tant moins ancienne ; L'Homme inconnu, montre une nouvelle face de la pro- pensée et de réalisation : l'Empereur sentiment domine tous les autres élé- non plus l'émotion, mais la crainte, de pièces de théâtre qu'est Henri Rous- fort émouvant et fort bien réalisé. Et duction suédoise, déjà si remarqua- des Pauvres. ments constitutifs de ce film ; qu'un l'effroi, que Le Cabinet du Docteur sell ; le Moulin en feu, simple histoi- enfin les mélodrames aux situations ble par aileurs ; La Poupée du Milliar- .o ' autre enfin est un film d'atmosphère, Caligari. Fort adroitement bâti, ce ré- re bien « vécue » et bien située ; impossibles mais néanmoins émou- daire, idée amusante adroitement réa- Les fi'lms dont le but est de dé- quand il consiste principalement en cit d'un aliéné bénéficie d'une réali- Le Coffret de Jade, historiette pitto- vantes ; tels La Femme X..., qui doit lisée ; Vouloir c'est pouvoir, p'iein )eindre un sentiment sont beaucoup la peinture d'un milieu, d'une époque, sation beaucoup plus étudiée que resque, dramatiqne et souriante tour- beaucoup à l'interprétation splendide d'observation et d'humour, plus la per- Xioins nombreux. Sans doute, est-ce etc.. celle de L'Atlantide, et, à ce seul titre, à-tour ; La Cité du Silence, attachante de Pauline Frederick : la Panthère sonnalité de Charles Ray ; ensuite, du parce que cela demande une bien grande sincérité pour bâtir toute une œuvre sur une chose aussi complexe, Les films d'intrigue sont les plus L rois scènes du de Charles Chaplin aussi délicate. nombreux. Et la plupart visent sur-, La Charrette Fantôme* en dépit de tout à émouvoir, quelques-uns à dis- ce que peut présenter de rébarbatif traire, à amuser, et un tout petit nom- aux esprits superficiels son cadre de bre à faire réfléchir les spectateurs. misère, de désolation, d'effroi, n'en Les films d'intrigue de la première demeure pas moins l'œuvre la- plus catégorie ont pour principal repré- puissante qu'on ait portée à l'écran. sentant cette année L'Atlantide. Le mérité de l'œuvre de Selma La- Ce film, qui a coûté beaucoup de gerlot en général et de ce Korkarlen temps, de travail et plus encore d'ar- en particulier, qui lui valut le prix gent est certainement le plus gros suc- Nobel pour la littérature, n'est plus à cès financier de l'année. Ce succès faire. Il est compréhensible qu'un pu- était d'ailleurs facile à prévoir. Le ro- blic désireux avant tout de se distrai- man était connu de tout le monde, re, l'ait mal accueillie. Mais c'est le lu par un grand nombre et estimé plus noble but du spectacle de faire 2 par la majorité. Rien que par l'in- réfléchir le spectateur et de le rendre trigue savamment combinée, le film meilleur. Sans doute, avec La Char- était forcé de plaire. Le réa'isateur y rette Fantôme, n'a-t-on pas assez doré ajouta le prestige d'un excellent en- la pilule ; quoiqu'il en soit, il convient semble documentaire, fourni par le ici de faire une belle place à cette 10 Ciné pour Tous Ciné pour Tous

tentative digne d'admiration à tous points de vue ; disons donc que l'his- toire de la lente rédemption de David Holm est l'une des plus belles réali- sations que nous ait offert l'écran ; peinture du milieu, peinture des ca- ractères, réa'.isation technique, tout concourt à faire de La Charrette Fan- tôme l'un des « classiques » du ciné- ma. Mary Il faut ensuite citer un film dont la réussite n'a pas été plus grande : L'Inexorable, délicate et pénétrante Pickford peinture du lent anéantissement d'un foyer. Ce qu'il y a peut-être de plus remarquable dans ce film, la pre- dans mière œuvre destinée par Kipling au cinéma, c'est la simplicité des moyens employés. Rien que des faits courants, rien que des personnages ordinaires ; POLLYANNA et c'est plus puissant d'autant. Nous en arrivons à citer à présent Héliotrope, émouvante peinture de l'amour paternel dans une âme de forçat ; Le Père Goriot, qui dépeint le même sentiment, mais d'une façon plus appuyée et moins prenante ; La Maison Vide, où nous voyons l'a- mour s'éveiller tout à coup au cœur d'un pauvre homme de savant ; La celle qui réunit les films dont le mé- Enfin, c'est l'âpre Extrême-Nord de d'intrigue qui doit tant à l'intérêt de quatrième alliance de Dame Margue- rite principal est de peindre une at- l'Amérique avec Isobél et le Triomphe l'œuvre de Dumas ; 'la fin de l'épo- rite, où nous assistons au touchant mosphère, une ambiance, un milieu, du Rail ; et c'est l'aride splendeur, pée napoléonienne revit dans l'Agonie effacement d'une vieille, du jour où ou bien une époque. Nous aurons ain- du Volcan avec La Terre du Diable... des Aigles, un gros effort ; et Pour elle comprendra qu'elle occupe une si les films d'atmosphères et les films Ajoutons que l'on retrouve un peu l'humanité et Une fleur dans lés rui- place due à la jeunesse. Et enfin, deux historiques. de l'atmosphère de Paris et quelques- nes s'ajoutent à la liste des films de la films d'une vibrante humanité ; le L'atmosphère du cirque est admi- uns de ses « types » dans la série des grande guerre. Enfin l'Orient est à premier plus «• conte bleu », plus ju- rablement réalisée dans les Quatre « Bouif », dans celle des comédies nouveau invoqué pour notre émer- vénil : Pollyanna, avec Mary Pick- Diables, qui est en outre un remar- 'légères de la série « Fantasio », tour- veillement dans Les Contes des Mille ford ; le second plus viril, plus a vé- quable film d'intrigue. La psychologie nées par P. Colombier, ainsi que dans et Une Nuits et dans Kismet. cu » : Fraternité, par King Vidor. des personnages, que nous suivons à Chichinette et Cie, Son Altesse, et e différentes étapes de leur vie aventu- Mimi-Trottin. A la troisième catégorie, à présent, reuse, est non moins admirablement Côté historique, il faut retenir La Maintenant il nous reste à parler réalisée. Reine de Saba ; pour l'époque Louis d'une catégorie de films qui ne peut El Dorado, à mon sens, vaut plus XIII Le Chevalier errant et Les Trois être comprise dans aucune des divi- par la peinture du cabaret dont le Mousquetaires, qui sont aussi un film sions précédentes ; je veux parler des film porte le nom que par son intri- gue proprement dite, qui d'ailleurs gravite essentiellement autour du ca- LES QUATRE DIABLES baret et de son ambiance. C'est pour- quoi je le cite ici. Fièvre appartient à une veine aseï voisine, mais procède de l'école na- turaliste tandis que El Dorado est, comme l'indique son auteur, un mé- lodrame. L'Assommoir est, lui aussi, avant tout un film d'atmosphère, celle du au « bistro » parisien, « l'assommoir », comme l'appelle Zola. Rêve et réalité évoque, lui, l'atmos- phère de la blanchisserie, où les rêves CABINET ingénus sont si distants des piètre» réalités. Passons aux « plein-air », avec A travers les Rapides, forte et simple DU histoire d'une servante, d'un maître âgé devenu le mari, et d'un gars qui représente la jeunesse et 'l'amour ; Le Pauvre Village nous présente la lutte de l'ancienne génération, fidèle au respect de l'a nature, avec la nou- velle, qui représente le progrès avec ce qu'il piétine et arrache dans sa course. Avec Micheline, nous vivons la mo- notone vie des campagne dans le ri- gide et égoïste train de vie qui s'y transmet de génération en génération. Le Roi du Bluff, c'est l'atmosphère de la petite ville des Etats-Unis ; La Petite Baignade, c'est une page de la vie des garçonnets des campagnes, à leurs jeux et à l'école. films qui doivent le meilleur de leur valeur à la présence de vedettes au talent ou au physique prestigieux. Le Gosse, émané de l'étonnante per- sonnalité de Charles Chaplin, est sans conteste '',e plus complet des films de ce genre. A la fois film d'intrigue, de senti- ment et d'atmosphère, il est pourtant avant tout l'œuvre d'un acteur de gé- nie. Il faut pourtant constater que Le Gosse marque une étape dans la car- rière de Chaplin ; désormais, il tend à laisser moins de place à l'acteur pour faire plus grande la part de l'intrigue •t des autres personnages dans l'en- semble de l'œuvre. Grâce au prodigieux lancement que lui aura donné Le Gosse, Jackiè Coo- gan est la révélation de l'année. Et les films qu'il a tournés depuis celui-là montrent qu'il était parfaitement di- gne du choix de Chaplin. Les autres révélations sont Hobart Bosworth, le puissant interprète du Secret des Abî- mes ; Lon Chaney, maître du maquil- lage facial et corporel dans son rôle LA MAISON VIDE du cu!-de-jatte de Satan et dans Révol- tée ; George Arliss, grand acteur amé- dorf ; Jaque-Catelain est à nouveau, ricain qui débute remarquablement rablement et qui se donne à son art... de la tète aux pieds, surtout dans Le avec El Dorado, l'excellent jeune pre- dans L'Esprit du Mal et progresse dé- mier que nous connaissions. jà dans Disraeli : Pauline Frederick, Roi de Camargue ; Jean Angelo, fort dans"sa composition saisissante de La doté féminin, Eve Francis a affir- Femme A"... et dans plusieurs autres mé indiscutablement qu'elle était dé- films ; Will Rogers, qu'on n'avait sormais à l'écran l'égale de ce qu'elle qu'entrevu jusqu'alors et dont Jubilo est au théâtre ; Marcelle Pradot, dans et autres films nous confirment la son rôle pourtant bien bref d'El Do- rado s'est encore montrée en progrès; savoureuse personnalité ; Eric Stro- heim, enfin, apporte une note nou- et Enimy Lynn a pu se dépenser avec velle dans la production américaine son habituel'e sincérité dans son rôle et une interprétation curieuse avec très dramatique de La Vérité. La loi des Montagnes ; Wallace Reid, Les comiques sont rares encore, Tom Mix et Thomas Meighan trouvent -.'ans notre production ; avec Sept d'autant plus d'admirateurs que les ans de malheur, Max Linder nous filins où ils figurent sont édités en confirme ses brillantes qualités ; et en Armand Bernard, en Tramel, en Henri nombre. Debain, on discerne des promesses Côté français, les révélations de la d'un talent que l'avenir verra sans saison sont Geneviève Félix, remar- doute se confirmer et se développer. quable dans Micheline ; Blanche Mon- tel, qui, affranchie du joug des ciné- O • feuilletons, déploie un entrain et af- firme une personnalité intéressante ; admiré dans le rôle de Morhange, de L'une des conclusions essentielles qui se Claude Mérelle, à qui les rôles de si- L'Atlantide, et qu'il faudrait voir plus dégagent de la saison qui vient de se ter- rène — de « vamp », comme on dit souvent ; et notons enfin les succès miner, c'est que le règne du grand film, de outre-Ar'antique — conviennent admi- la prodtction raréfiée, mais améliorée, personnels remportés par Madys, Gina s'affirme nettement. Relly, Gina Paierme, Sandra Milowa- Jadis on se contentait parfaitement de noff, Jean Devalde, Pierre de Guin- la production « eu série », que des firmes gand, Aimé Simon-Girard, André telles que .Pathé et Gaumont offraient Roanne, etc. hebdomadairement. A présent, on fait une Les grandes vedettes d'auparavant place beaucoup plus grande au film de ont, pour la plupart, continué de bril- caractère et de longueur exceptionnelle. ler au firmament de /l'écran ; nous Qu'on jette un coup d'œil sur la liste des avons, d'autre part, cité les films de grands films de l'année, et l'on verra que Chaplin, Douglas Fairbanks, Mary presque tous ont été exploités en exclusi- Pickford ; disons, à présent, que ceux vité, et en tout cas, ne font presque jamais de Hart, quoique très honorab es, ont partie de la fournée hebdomadaire de par trop donné l'impression de « déjà 4.000 mètres de pellicule que confection- vu », de même pour Sessue Hayakawa, nent les firmes précitées. Nazimova, qui ne se renouvellent, Certaines d'entre elles, comme Gaumont guère. Quant à Norma Talmadge, c'est ou' Aubert, se tournent maintenant vers le à peine si on l'a entrevue dans d'assez grand film, ainsi qu'on peut le voir par médiocres productions. la liste de films de la saison prochaine Côté français, Léon Mathot, que ses publiée d'autre part. Même chez les com- admiratrices ont pu contempler sous merçants du film, on commence à s'aper- tous les costumes durant douze se- cevoir que qualité vaut bien mieux, même maines consécutives, semble toujours financièrement, que quantité ; ainsi, cha- tenir la corde ; Modot a, dans La que jour davantage, le cinéma tend a Être Terre du Diable, confirmé l'excellente considéré un peu plus comme un art, et impression antérieure ; R. Joubé a pu un peu moins comme une industrie. Et ce se .montrer longuement dans le rôle n'est pas nous qui nous en plaindrons, solennel, mais vide, de Mathias San- n'est-ce pas ? . P. H. 14 Ciné pour Tous Ciné pour Tous

LES NOUVEAUX FILMS RÉPONSES entre nous POSEES PAR AUX QUESTIONS NOS LECTEURS DUSTIN FARNUM Du 21 au 27 Juillet: Du 4 au 10 Août : Jocelyne. — Nouveau venu au cinéma. Je la direction d'un seul. — Leurs critiques sont Osborne. — Ni Pierrette Madd, ni Claude dans : L'Alibi. ne sais rien de lui, si ce n'est qu'il a joué intéressantes, mais on y trouve trop de di- Mérelle ne sont mariées. HAZEL DAWN Pelléas et Mélisande au Théâtre des Champs- gressions, alors qu'il vaudrait mieux parler L'AUBERGE LE VRAI VISAGE Elysées, puis une pièce de Charles Méré à du film et non de ce à quoi il fait songer. Lone Star. — Ces adresses ont paru dans dans : R. P. 513. l'Ambigu. De vingt-cinq à trente ans. les numéros 7P et 71. — André Roanne, Stu- tiré de la nouvelle de Guy de Maupas- MAY MAC AVOY composé par Eugène B. Lewis et réalisé Suzg Irchel. — Trop peu connus ici pour dio Eclair, 2, avenue d'Enghien, Epinay-sur- Lison. — Jesse L. Lasky est à présent revenu que nous parlions d'eux. — Simone-Jacquemin sant et réalisé par E. Violet et Donatien et Bruce Gordon par Fred Niblo. Seine. — Nous faisions allusion à un article Production Ince 1919. Edit. Paramount en Californie. Adresse : Lasky studio, Vine a tourné Asmodée à Paris, de Rip, et tourne paru dans Hebdo-FiLm, sous la signature Films Lucifer 1922. Ed. Pathé-Consort. dans : La Vallée défendue. Anny Fortesque Enicî Bennett Street, Hollywood (Cal.), U.S.A. actuellement la Brèche d'Enfer, de Pierre De- d'André Dahl et où ce dernier semblait croire courcelle. — Je ne vois plus guère de films Ulrich Donatien Dick Arnold William Conklin Marcel. — Je ne connais pas ce boxeur, et que Chaplin avait divorcé une demi-douzaine ne puis donc vous renseigner. d'Olga Petrova inédits en France. •— S'il ne de fois, alors qu'en réalité il n'a jamais eu Gaspard Violet Walter Melrose Matthew Moore comprend pas notre langue il se fera traduire qu'une seule expérience de cette sorte. — Eva H. E. — La troupe de Feuillade étant à votre lettre. Bernard , Georges Roux Du 28 Juillet au 3 Août : présent revenue à Paris pour y tourner les Novak, Universal Studios, Universal-CIty Louise Hauser Mlle de Willems UN GARÇON VIEUX-JEU intérieurs du Fils du Flibustier, certains mem- Petite Bête. — Jean Dehelly, 98, boulevard (Cal.), U.S.A. — Shirley Mason, Fox studios (The Old-Fashionad Boy) bres de cette troupe se trouvent a même de de Versailles, Saint-Cloud. — Non, écrivez 1401, Western avenue, Los Angeles. — Lila Fritz Hauser Pestre jouer le soir sur les scènes parisiennes. — Le directement. Lee, Lasky studio, Vine Street, Hollywood M. Hauser J. Brabin LA VALLEE DES GEANTS composé ipar Agnès-Christine Johnstou (The Valley of the giants) et réalisé par Jérôme Storm Fils du Flibustier est un ciné-roman dont A. Buchy. — Mary Pickford est née à To- (Cal.), U.S.A. — C'est Winifred Westover que Mme Hauser Marsa Benhardt l'action, qui comprend deux Intrigues distinc- ronto (Canada) le 8 avril 1893. — Il y a eu Hart a épousée ; voyez plutôt photo parue tiré du roman de Peter B. Kyne par Product. Ince 1920. Edit.- Paramount. tes, se déroule à deux époques très différen- dans le numéro 82. Omnia, Lutetia, Artistic, Palais-Roche- Marion Fairfax et réalisé par des difficultés, mais son second mariage est chouart, Tivoli, Palais des Fêtes, etc. David Warrington Charles Ray tes : l'une à l'époque de Louis XIII, l'autre de à présent définitivement enregistré. — Dans Ettoleltac. — Voir résumé et photos du Rail, Betty Graves Ethel Shannoti nos jours. leurs genres respectifs ils sont inégalés. dans le dernier numéro. Prod. Paramount 1919. Ed. Paramount Mr. Smith Wade Boteler Rine. — Cet acteur appartenant essentiel- Marysette. — Ne confondez pas trop physi- Aréquipas. — Nous connaissons les pro- L'ECOLE DU CHARME Bryce Cardigan Wallace Reid Mme Smith Grâce Morse lement au théûtre, et ne tournant que très ra- que et talent. grammes ; renseignez-nous plutôt sur les (The Charm School) Madge Summer Grâce Darmond rement, je ne puis vous donner de renseigne- Adm. P. White. — Je ne connais rien de tel. goûts du public dans votre ville. — Fannie ments précis. — La trentaine. — Owen Moore tiré de l'œuvre d'Alice Duer Miller par John Cardigan Charles Ogle L'ENFANT DU PASSE Ward n'a pas tourné depuis La Rafale. — dans Passe-moi ta femme (The Chlcken in A. Sanchez. — Ecrivez directement à l'ar- Max Linder tourne peu. Depuis trois ans Tom Geraghty et réalisé par James Cruze. Col. Pennington Ralph. Lewis the case). — Sylvio de Pédrelli, 38, rue Ju- tiste, car elle ne m'a pas confié ses projets Buck Ogilwy Will Brunton production Louis B. Mayer réalisée «H pour l'été. qu'il est en Amérique, il a tourné trois films: Prod. Paramount 1920. Ed. Paramount 1920 par First National Exhibitors liette-Lamber, à Paris. — Roger Karl, studio Sept ans de malheur, Soyez ma femme et une. Austin Bevans Wallace Reid Circuit par Marshall Neilan. Edition Gaumont, 53, rue de la Vlllette, Paris. Max Garf. — En effet, il y a loin de la parodie des Trois Mousquetaires. Tom W. — Demandez-la lui toujours ; vous Petite Marchande de Fleurs de Piccadillu au Elise FATTY CANDIDAT . Pathé-Consortium. Lys Brisé I — C'est pourquoi nous inserons ? — Rien de très sùr en ce qui concerne ce Miss Haye Grâce Morse Rosemonde Anita Stewart verrez. — Trop peu connu pour qu'il fasse mariage. — Douglas Mac Lean est célibataire. (The life of the Party) le sujet d'un article. ces lettres sous le titre Sons de Cloches, car — Max Linder est revenu en France la se- Suzie Rolles Beulah Bains tiré de la nouvelle oTIrvin S. Cobb par Ned Carter James Morrison leur ton est aussi différent que possible. maine dernière. Homer Johns Edwin Stevens « Reine-d'Amour * .... Myrtle Stedman A + B. — René Cresté n'est pas le frère Walter Wood et réalisé par d'Edouard Mathé. — René Cresté n'est pas II. Pilcer. — Voir adresse parue dans le George Boyd Lincoln Stedman Joseph Hénabéry Sart Joseph Swickard mort. — Bout-de-Zan n'est pas décédé. — Et n». 71. Prod. Paramount 1920. Ed. Paramount (Mêmes salles que : L'Auberge. croyez bien que celui qui vous a raconté tout M. Guettée. — Voir les articles parus pré- LES COUPS DU DESTIN cela s'est moqué de vous ; à moins que ce cédemment sur cette question. Jim Leary .... Roscoë (Fatty) Arbuckle • soit vous qui ne vouliez nous faire « mar- AVIS tiré de la pièce de G. R. Sims et L. N. Milly Hollister Viora' Daniel cher. » Dolly C. — Le huitième est actuellement en BRYANT WASHBURN cours de réalisation. — Always audacious est Parker par Eve Unsell et réalisé par Le Juge Voris Franck Campeau Donnlthorpe. — Vous pouvez lui écrire à Pour éviter Vencombrement de cette ru- dans : L'Amour a des ailes. le titre de Toujours de l'audace. — The Iron Hugh Ford Kate Darling Julià Faye l'adresse indiquée dans le numéro 70. — Nous brique, nous vous demandons de : Trail est le titre du Triomphe du Rail. — Prod. Paramount-Londres 1920 Sam Perkins Roscoë Karns MARGARITA FISHER n'avons rien a ajouter à ce que nous avons Oui, joignez des timbres à votre demande. — Edition Paramount dans : Jackie, la petite Tigresse. déjà dit de La Terre du Liable. — La faute — Ne nous poser que trois questions n'est pas aux clné-romans, mais au public, Wesley Barry, 4.634, Santa-Monica boulevard, Jonathan Bortswick . . Arthur Bourchier TOM MOORE par quinzaine ; et, autant que possible, Los Angeles (Cal.), U.S.A. — La mère de qui les tolère et même les applaudit. — Gina Chaplin demeure depuis deux ans en Califor- Frank Beresford .... Bertram Burleigh dans : Le Joyeux Lord Quex. Paierme est une jolie femme, tandis que Mar- des questions d'intérêt général. nie. Clara Bortswick Marjorie Hane celle Pradot a un réel talent, et ce n'est pas .MARY PICKFORD VERA GORDON la même chose. — Lire attentivement les réponses déjà M. Mad. —- Nous avons publié déjà deux Daye Leeson Georffrey Kerr et Thomas Santschi Lilian _ Maggie Albanesi dans : Miss Bengali. C. B. — Oui, car leur succès à l'un, au théâ- publiées ainsi que la distribution des articles sur Wallace Reid ; répétons qu'il est (tourné en 1916 sous la direction de John d'ans : Petite cause, Grande douleur. tre, et à l'autre, au cinéma, a été considé- fibns nouveaux, afin de nous éviter des marié et père d'un garçonnet. Né en 1892. Emerson). rable. — Que vous ne partagiez pas nos opi- redites fastidieuses. Amehouxre. — Le mari de Shirley Masou nions, c'est fort compréhensible ; mais que est son metteur en scène. — Vous reverrez MILDRED HARRIS vous contestiez notre sincérité, je ne l'admets — Prendre note que nous avons déjà cette artiste dans beaucoup d'autres films dans : Le Sursaut. pas. — Vos comparaisons sont impossibles, qu'elle a tournés pour la Cie Fox. — Rien de car ceux que vous mèttez en parallèle sont publié les adresses de la plupart des ve- Norma T. avant l'hiver. ANNA Q. NILSSON et dans : La loi d'amour. aussi différents que possible. dettes de France (n° 70), Amérique (n" 71), et Alan Forrest Aline Burcher. — Nous avons parlé de GLADYS BROCKWELL M. Roth. — Il est devenu, depuis ces huit Suède, Italie, Russie, etc.. (n° 73). Jeanne d'Arc dans le numéro 8. — Pas vu dans : Repentir. années, un grand garçon, et ne s'occupe plus ce film de May Allison, ni cet autre, de My- BETTY BALFOUR dans : Le dernier exploit. de cinéma. — Je ne sais ce que ce Little Mo- — Voir, page 2, la liste des biographies riam Cooper. et Hugh E. Wright HARRY CAREY ritz est devenu. Sarah Duhamel, de la série déjà publiées. Old Rams. — Je ne connais pas la distri- dans : Son vieux papa. dans : Les pirates nostalgiques. Rosalie, de Pathé en 1912, fait à présent du bution du Rail. — Anglaise. — Armand Tai- music-hall. — The right mon in the rtght ller, dans Le Penseur, L'Homme et la Pou- SHIRLEY MASON WILL ROGERS place, voilà un précepte dont pourraient s'ins- pée, Mathias Sandorf et Jocelyn. pirer bien des confrères dont l'érudition laisse dans : Janette, poupée chinoise dans : Cupidon cow-boy. par trop à désirer. C. B. Florissant. — Petite Princesse a été M. Défosse. — Voir les articles parus précé- demment ici, et les chapitrés consacrés au PAULINE FREDERICK tourné par Mary Pickford en 1917. —- The RENE CRJESTE Douaisienne. — C'est bien Tiber-Film. — love light, plus récent, sera édité durant la scénario dans les livres sur le cinéma. — John dans : Tentations. Dourga ne tourne pas régulièrement pour cette saison prochaine. — Pas de perruque. — Sans Barrymore dans Raffles, et Jekyll-Byde ; dans : L'Aventure de René. firme Italienne. — Gaby Morlay, 2, avenue doute est-ce le même film. En France il n'a , son frère, dans Le Héros WILLIAM RUSSELL Octave-Gréard, Paris. du Silence. BESSIE LOVE paru que sous le premier titre. — Non, il était et Francelia Billington Pinto. — Comœdia est un quotidien pari- question de Ch. de Rochefort. — Les artistes M- — Les Mystères de Paris ont été tournés dans : La filleule des Bûcherons. dans : Le poids d'une faute (réédition). sien des spectacles qui fait chaque vendredi français ne nous communiquent pas tous ces avant-guerre en France et en 1917 en Italie. l'éloge des nouveaux films Paramount et Pa- détails. Mais Violette Jyl ne faisait partie d'aucune thé, et, occasionnellement d'autres films de Irisette. — Quapd paraîtra VEpreuve du des deux distributions. — Parce que nous ne maisons désireuses de lancer leur production Feu. — Célibataire. — Rien que le n° 48. — pouvons parler de tout le monde en même à coup de publicité. — Plusieurs ; niais sous Ce bruit me parait assez peu fondé. Tanfépa. — Ne peuvent être considérés comme i stars » que les artistes doués d'une véritable personnalité. — C'est pourquoi nous SI VOUS CHERCHEZ publions chaque quinzaine toutes les distri- L'ACADÉMIE DU CINEMA butions que nous connaissons. — Ecrivez à pour votre Cinéma, Forrest Stanley au Lasky studio, Vine Street, ou paur tout e»t transférée Salle Hertz, 27, rue imt Hollywood (Cal.;, U.S.A. — Marié. autre* Commerce Industrie Petits-Hôtels (place Lafayette). M. Bidault. — Gina Paierme, 11, rue du Un cours de danse et un cours de diction Colisée, Paris. —• Autres adresses dans le sont, ouverts numéro 70. Un Successeur Le cours de danse a lieu le jeudi et Christiane. — Non, c'était une plaisante- le samedi soir, de 9 heures à 11 heur»». rie. — On tourne actuellement les intérieurs UN ASSOCIE Pour tous renseignements, s'adreaaar du Fils du Flibustier aux studios Gaumont tous les jours de 3 à 6 heures à de Paris ; ce film sortira le 13 octobre et DES CAPITAUX sera achevé peu après. — Chacun sait que Rayon de soleil est le meilleur film de Marie Mme Renée CARL Adressez-vous l">r7i » TMT et toutes cnutes des cneveux Banque 37, rue des Petits-Hôtels. (Métros: gar« rkjYsJWJ C repousse { araniie par le traitement PETITJEAN de l'Est et Poissonnière.) - de BEROIÉ, I2,r.Clairaul, PARIS. - Prix: 16.B0 franco- 12, rue Montmartre, 12 PARIS

WML., sera édité fin septembre. — Vous verrez La COURS GRATUITS Vérité bientôt, sans doute. Amateurs qui voulez tourner, Betty. — Viola Dana, 7070, Franklin ave- ROCHE a O. O) nue, Los Angeles (Cal.), U.S.A. — Agnès Ay-> Vous pouvez Réaliser votre Rêve res et Mary Miles Minter, Lasky studio, Vine La « Nouvelles Stars Film » vient de Cinéma — Tragédie — Comédie Street, Hollywood (Cal.), U.S.A. — Mabel Nor- mand est actuellement en Europe. se constituer pour tourner quatre grands 10, rue Jacquemont, PARIS (18«) L.L.R. — Pas vu Le dragon d'or. — Harry films. Son but est de rechercher et de Morey a quitté la Vitagraph depuis deux, ans lancer tous les jeunes talents: ama- (35« Année) (Nord-Sud : La Fourche) et ne tourne plus guère ; Henry B. Walthall teurs, artistes, qui veulent se faire une Noms des artistes en renom au cinéma ou se consacre moitié à l'écran, moitié à la scène. situation au Cinéma. Elle fait appel à au théâtre, qui ont pris des leçons avec 1« Fidèle à C.P.T. — Violette Jyl a tourné l'an dernier un ciné-roman, Rapax, qui sortira tous les concours, accepte les personnes professeur Roche : MM. Denis d'Inès, Pierre de tous âges ainsi que les enfants. Magnier, Etiévant, Volnys, Ralph Royce, de en octobre. Gravone, etc. ; Mlles Mistinguette, Geneviève Loulou. — Merci de cette attention. — Gina Toutes demandes seront examinées. Félix, la jolie muse de Montmartre ; Pasca- Relly est excellente dans les rôles de femmes Ecrire seulement avec photo si possible line, Eveline Janney, Pierrette Madd, Ger- plus ou moins fatales ; mais les ingénues ne à l'administrateur de N. S. F., 20, rue maine Rouer, Louise Dauville, etc., etc. sont pas son affaire. — Militza, dans Impéria. des Martyrs, Paris, qui convoquera. — Nous venons de publier, les premiers en France, un article sur . Fauré-Béarnais. — Pierrette Madd n'est pas mariée ; vingt-cinq ans à trente ans ; 1, rue ou André Ronnnc, ou même Chevalier ? temps ; son tour viendra quand on le verra Beaujon, Paris. Pierrette Madd est la sœur Marc-Hypper. — M. Protozanoff a quitté la dans un bon film. —■ Reportez-vous à nos de Jane Pierly ; ce n'est pas leur véritable France il y a déjà plusieurs mois, après avoir anciens numéros, et vous verrez que nous réalisé un film de Diana Karenne, et tourne avons été des premiers à admirer les Sué- nom ni à l'une, ni à l'autre. Pierrette Madd n'a tourné que Les Trois Mousquetaires et à présent en Allemagne. — Robert Boudrioz, dois... et que nous continuons. Vingt ans après. 4, rue Léopold-Robert, Paris (14*). — Merci Andrée Barbier. — Rien de disponible ac- Lelia Welton. — Aucun des trois artistes pour l'article communiqué. tuellement. en question ne tourne depuis plusieurs mois. Salym. — D'ordinaire oui ; joindre un X. 323. — Pas vu Le Ranch de la Mort. — Impossible de vous donner d'adresse. franc à chaque lettre pour frais d'envoi. — Claude France est actuellement aux Folies- Rieffler, studio Pathê, 1, rue du Cinémato- Bergère, rue Richer, Paris. — Mary Walcamp Savigny. — Jackie Saunders ne tourne plus. — Film, 34, via Santa Lucia, Naples. —: Cine- graphe, Viriçerines (Selne)i — Gina Paierme dans l'As de Carreau. — Nurse Marjorie (La tourne l'idée de Françoise ; Parisys n'a tour- jolie Infirmière). — Pour le reste, impossible / mundus, 52, via Frattina, Rome. —- Rien de surprenant, ces messieurs n'étant pas préci- né que Fromont jeune et ne récidivera sans de vous renseigner. sément renommés pour leur complaisance. doute plus. — Vous êtes bien aimable. Sisters three. — Louise Glaum ne tourne Louqsor. — Wallace Reid, Lasky studio, Satan. — En eflet, un lecteur ; mais il y a plus depuis un an ; pourtant il reste encore des lecteurs de Ciné pour Tous qui connais- à éditer en France cinq ou six de ses derniers Vine Street, Hollywood (Cal.), U.S.A. — Alors, Dunkerque peut donner la main à Grenoble. sent et comprennent autrement bien le cinéma films. — Réputation paraîtra cet hiver, suivi que les scribes incompétents et Indifférents de Conflit et de Wild Honey, tournés en 1922. T. D. T. — Tout à fait de votre avis. — Ce que je reproche à Aimé S.-G., c'est d'avoir qui ont envahi depuis quelque temps la pres- —- Pour First National, Constance Talmadge se du cinéma. — LUI Dagovcr dans Caligari a tourné, depuis trois ans : The love expert occupé un emploi qui lui convenait si peu que l'on n'a pas cru devoir le retenir pour Vingt et Les Trois Lumières. (Les signes de l'amour), lu search of a Sin- Pinto. — Cela nous serait égal, si nous ner (Le second mariage de Lucette), A tempe- ans après. Puisqu'on cherchait un d'Artagnan français, pourquoi n'avoir pas pris Modot, étions sûrs que les lecteurs des revues ciné- rameutai wife, A virtuous vamp, The perfect graphiques savent qui est le copieur et qui est woman, Good références, Dangerous business, le copié. — Après l'Amérique et la Suède, Mama's affair, Wedding bells, Lessons in l'Allemagne s'annonce, pour nos producteurs, love, Woman's place, Polly of the Follies, un dangereux concurrent. — Merci pour la et The Primitive Lover. On recherche 600.000 fr. pour exploiter distribution, qui m'est très utile. — On n'in- Small Belyen. — Moins on parlera de ces dique pas « film allemand », mais on ne stupidités' en épisodes, et mieux cela vau- dans ville industrielle cherche pas à maquiller son origine. D'ail- dra. MlMtMA suisse u,l,Lmn leurs il ne faut pas être grand connaisseur C. de Bauller. — Tous les goûts sont dans Pas deCONCURRENCE pour discerner l'origine d'un film. la nature ; je ne partage pas plus que vous cette manière de voir, mais il faut constater Apport bien garanti par- immeuble qu'elle est professée par un certain nombre. gros rendement assuré Aux lettres qui nous sont parvenues après Cabistring. — Jackie Coogan n'est pas mort; le 16 juillet, il sera répondu dans le pro- il achève, actuellement, Olivier Twist. — Bis- Banqus PETHME^N, 12, Rue Montmartre, PARIS chain numéro. cot, jusqu'à ces derniers mois, laissait dire que Jane Rollette était son épouse ; depuis quelque temps il dément cette information. Un cinéphile. — Eddie Polo mesure 1 m. 64. Qui nous lit depuis 1919. — Mylord Ar- FABRIQUE de M W\LAS, SOMMIERS souille est un film allemand ou autrichien dont je ne connais pas la distribution. DIVANS-LITS et LITS DE REPOS Friquette. — Mais si, c'est ce que nous avons LITERIE

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