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MEP La Nouvelle-Calédonie.Pdf MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 1 LA NOUVELLE-CALÉDONIE, VERS UN DESTIN COMMUN ? NOUVEAUX ENJEUX, NOUVEAUX TERRAINS MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 2 KARTHALA sur internetf: http://www.karthala.com Couverture : © Éditions Karthala, 2008 ISBN : MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 3 Sous la direction de Elsa Faugère et Isabelle Merle La Nouvelle-Calédonie, Nouveaux enjeux, nouveaux terrains Éditions Karthala 22-24, boulevard Arago 75013 Paris MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 4 MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 5 Introduction Isabelle MERLE et Elsa FAUGÈRE Les accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998) ont profondé- ment modifié le paysage institutionnel, politique, économique et social de la Nouvelle-Calédonie. Mais pas seulement. Ils ont aussi permis et favo- risé une dynamique de recherche en sciences sociales. On ne peut que souligner le développement soutenu des recherches menées localement dans divers domaines scientifiques et sous l’égide de plusieurs institu- tions telles que l’Agence culturelle kanak, l’université du Pacifique, l’Ins- titut d’agronomie calédonien (IAC), l’Institut de recherche et développe- ment (IRD). On ne peut que se féliciter du renouvellement problématique que connaissent certains secteurs de la recherche, nous citerons – l’his- toire sans aucun doute sous l’angle en particulier d’une nouvelle sensibi- lisation au patrimoine, d’une volonté de recueillir et protéger l’histoire orale kanak, d’un souci pédagogique s’articulant à la nécessaire adapta- tion des programmes dans le cadre des transferts de compétence, de l’ex- ploration de nouveaux objets – l’anthropologie du fait de l’émergence de nouvelles questions, foncières, juridiques, économiques, environnemen- tales et développementalistes ou, plus récemment, touchant à la santé publique – la littérature, la musique et les arts, enfin, qui, localement, se sont à la fois renforcés et diversifiés. Les Accords de Matignon et de Nouméa ont eu un impact évident en Nouvelle-Calédonie mais aussi en Métropole, stimulant l’intérêt de jeunes chercheurs pour ce territoire qui, vu de France, apparaît si lointain. Depuis 1988, une nouvelle génération est venue poursuivre les efforts d’investigation entrepris par la précédente dans les années 1970. C’est sous l’impulsion en particulier de l’anthropologue, Alban Bensa, qu’un certain nombre de travaux – une dizaine de thèses de doctorat et de nombreux autres produits finaux – ont été menés à bien au cours de ces quinze dernières années dans le domaine tant historique qu’anthropolo- gique. De là est né un collectif de travail formalisé en 2003 dans le cadre d’un groupement de recherche (GDR) du CNRS, placé sous la direction de Michel Naepels (anthropologue et chercheur CNRS) qui trouve sa cohérence dans des intérêts et des affinités scientifiques et amicales par- tagés et dans un programme et une épistémologie communes. S’il est à dominante anthropologique, ce groupe rassemble également d’autres spé- MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 6 6 LA NOUVELLE-CALÉDONIE, VERS UN DESTIN COMMUN ? cialistes (venus de la psychologie, des sciences de l’éducation, de l’his- toire, de la géographie, de la sociologie), et s’inscrit dans une perspective où toutes les sciences sociales ont leur place, dans un dialogue fécond avec d’autres disciplines (santé publique, statistiques, économie, dévelop- pement durable, sciences de la nature). Le livre présenté ici est largement le résultat de cette dynamique col- lective même si tous les membres du GDR n’ont pu y contribuer. Il donne un bon aperçu en premier lieu de choix épistémologiques résolument inscrits dans une conception des sciences sociales qui place au cœur du travail l’enquête, fondée sur la production et l’analyse de données de premières mains (ethnographie de terrain, entretiens, récits de vie, obser- vations, archives, enquêtes quantitatives, etc.), attentive à l’interdiscipli- narité et aux réflexions méthodologiques que celle-ci engage, attentive aussi à saisir les processus sur la longue durée et dans la diachronie. Il donne aussi un bon aperçu de la diversité des travaux entrepris et assume la part d’éclectisme inhérente à l’exercice : le regroupement de textes qui reflètent des recherches impulsées par des choix et orientations singuliers. Cela étant, on sait à quel point les sciences sociales y compris historiques sont éminemment influencées et interpellées par les enjeux du moment. Les textes proposés témoignent de questions qui, aujourd’hui, traversent et travaillent la société calédonienne dans son ensemble. Ils évoquent de « nouveaux chantiers, nouveaux objets » dont on a pu voir certains échos dans le débat public local et dont on peut supposer qu’ils connaitront des développements dans les années futures. Organisé en trois volets, ce livre ouvre d’abord une réflexion sous le titre « Mémoires coloniales et destin commun » qui s’attache à explorer, sur la longue durée, les modalités d’un « pacte fondateur » aujourd’hui remis sur le métier par l’Accord de Nouméa. Il aborde ensuite une théma- tique consacrée aux nouveaux enjeux économiques et environnementaux au cœur desquels on trouve les questions minières, la biodiversité et l’usage des ressources naturelles – questions étroitement liées à l’émer- gence de nouvelles formes de revendications autochtones. Le troisième volet porte sur les « rapports de genre et d’âge », sujet éminemment sen- sible qui a donné lieu ces deux dernières années à un intense débat public suite à la publication de « l’Enquête Nationale sur les Violences Envers les Femmes (ENVFF) menée localement par Christine Salomon et Chris- tine Hamelin et dont les résultats ont été présentés sur le territoire en 2007. La question de la citoyenneté calédonienne, placée au cœur de l’Ac- cord, est, dans le texte d’Isabelle Merle, travaillée au regard d’une histoire coloniale et post-coloniale caractérisée par un étonnant paradoxe. La Nouvelle-Calédonie fait figure de cas extrême dans l’histoire de l’Em- pire français où la population dite « indigène » fut longtemps et particu- lièrement ignorée du droit, exclue jusqu’à 1933 et en réalité jusqu’en 1946, de toute possibilité d’accès à la citoyenneté française. Elle est au- jourd’hui, reconnue comme l’une des deux seules « communautés auto- MEP La Nouvelle-Cale?donieNEW.qxp:Mise en page 1 9/06/09 14:51 Page 7 INTRODUCTION 7 chtones » au sein de la République, pièce maitresse d’une citoyenneté calédonienne fondée sur un double statut juridique « coutumier » et de droit commun, dont la mise en œuvre n’a pu être possible qu’avec une réforme de la constitution française. Ce texte s’attache à retracer les méandres de la citoyenneté en Nouvelle-Calédonie, illustrant à propos des Kanak, l’histoire d’un déni juridique puis d’une reconnaissance qui fait aujourd’hui figure d’un modèle innovant quoiqu’en principe transi- toire – processus de décolonisation oblige – en matière de droit coutumier au sein de la république française. L’Accord de Nouméa contient un préambule dont la relecture en 2008 est tout à intéressante au regard des « crises mémorielles » qui ont mar - qué l’actualité métropolitaine au cours des années récentes et, en particu- lier, les protestations provoquées par la loi du 24 février 2005 et son article 4 sur la reconnaissance dans les manuels scolaires du « rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord ». Alors que cette loi laisse transparaître la nostalgie de certains pour une œuvre coloniale qu’il conviendrait de défendre, l’accord de Nouméa, signé 7 ans auparavant dans un autre contexte, tranche singulièrement. En évoquant tour à tour la présence ancienne d’un peuple qui fut nommé kanak1 et la venue au XIXe siècle d’une population largement métropoli- taine poussée par les déterminismes de l’époque, il affirme pour la pre- mière fois dans un document officiel la nécessaire reconnaissance du fait colonial et de ses effets destructeurs sur la population autochtone. Loin de s’engager dans la voie morale de la repentance que quelques auteurs dénoncent comme le mal de notre époque2, ce texte reconnaît plus simplement et très clairement la violence constitutive du processus colo- nial. Il pose en point 3 du préambule : « Le moment et venu de recon- naître les ombres de la période coloniale, même si elle ne fut pas dépourvue de lumière. Le choc de la colonisation a constitué un trauma- tisme durable pour la population d’origine [...]. La colonisation a porté atteinte à la dignité du peuple kanak qu’elle a privé de son identité. Des hommes et des femmes ont perdu dans cette confrontation leur vie et leur raison de vivre. De grandes souffrances en ont résulté. Il convient de faire mémoire de ses moments difficiles, de reconnaître les fautes, de restituer au peuple kanak son identité confisquée, ce qui équivaut pour lui à une reconnaissance de sa souveraineté préalable à la fondation d’une nouvelle souveraineté partagée dans un destin commun. » Cette reconnaissance française du « fait colonial » et de ses violences, source de tensions et de 1. Ecrit jusqu’aux années 1970 canaque avant que le terme ne soit repris et reven- diqué par le mouvement indépendantiste qui adopte le mot kanak, issu de la forme an- glaise kanaka dont l’origine polynésienne signifie homme et qui fut utilisée au XIXe siècle pour qualifier les travailleurs importés des îles Salomon et du Vanuatu pour travailler sur les plantations du Queensland. 2. Cf. En particulier, Daniel Lefeuvre, Pour en finir avec la repentance coloniale, Flam marion, Paris, 2007.
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