Pause LISZT, Sonate pour piano ensimineur (1852-1853) >env. 35’ > env. 6’ WAGNER/LISZT, Tristan etIsolde Mort (1857-59), d’Isolde (transcr. 1867) Valentina piano Lisitsa, RACHMANINOV, Sonate n° 1enré mineur op. (1907) 28 >env. 35’ RAVEL, Gaspard de lanuit(1908) >env. 24’ àlamanièred’Horowitz. corsés, accords (Classicstoday.com) et de des texture, attaques unerythmique tranchantes,clarté et unpenchant pourdes rapides – prochesde ceuxde Rachmaninov lui-même – maisaussi paruneexceptionnelle Lisitsa disposede formidables moyens techniques.Son jeu sedistingue pardes tempos ● PIANO 5 ÉTOILES Valentina Lisitsa Liège, Salle Philharmonique Dimanche 29 avril 2018 |16h Andante2. 2. 3. Scarbo3. 1. Ondine 1. Allegro molto Allegro moderato Le Gibet Sur

levendredi 18.05.2018, à20h 1 €

DIMANCHE 29 AVRIL 2018 VALENTINA LISITSA [PROGRAMME 25] alentina Lisitsa est « la pianiste qui valait 170 millions de vues sur YouTube » (Culturebox) et a signé pour le label Decca des enregistrements de Chopin, Nyman (La Leçon de piano) ou encore . Pour la saison « Séduction » de l’OPRL, elle convoque Ondine, la séductrice aquatique de Gaspard de la nuit, mais aussi Isolde,V dont la mort touche au sublime chez Wagner. Dans les immenses sonates de Liszt et Rachmaninov se cache la figure de Faust et de sa relation passionnée avec Marguerite.

Wagner/Liszt Tristan et Isolde (1857-59), Mort d’Isolde (TRANSCR. 1867)

LES TRANSCRIPTIONS pour piano occupent la fin de l’opéra de Wagner. Pour parvenir à res- une place importante dans l’œuvre de Liszt : tituer ce passage complexe, Liszt a usé d’une pour piano à deux mains, à quatre mains ou à grande ingéniosité : outre l’outil classique du deux pianos. En cela, Liszt sacrifia largement transcripteur (trémolos, arpèges), il fait appel à au goût du XIXe siècle. Composé de 1857 de nombreuses innovations permettant de faire à 1859, l’opéra Tristan et Isolde de Richard cohabiter jusqu’à cinq voix en même temps. Le Wagner (1813-1883) ne sera créé qu’en 1865 à titre original de la fin de l’opéra était Isolde’s Munich, sous la baguette de Hans von Bülow. Liebstod (« Transfiguration d’Isolde ») et non Très ardue d’un point de vue technique (enche- pas Isolde’s Liebestod (« Mort d’Isolde »), titre vêtrement de thèmes qu’il convient de rendre que porte la transcription. Mais celle-ci devint tous), la transcription de la Mort d’Isolde par si célèbre que l’usage substitua le titre de Liszt Liszt (1867) est jouée par presque tous les à celui de Wagner. grands pianistes. Fidèle à l’original, la trans- FRANÇOIS-RENÉ TRANCHEFORT cription suit constamment le fil mélodique de

Sonate pour piano en si mineur (1852-1853)

PROPORTIONS CO- 30 minutes ! L’appellation « sonate » n’est pas LOSSALES. Alliant le pour autant périmée ; le compositeur garde génie de l’interprète à en mémoire les anciennes architectures de la celui du compositeur, tradition : il débute par un prologue, conclut (1811-1886) par une coda et propose entre ces parties a révolutionné le genre plusieurs thèmes contrastés (on en dénombre de la sonate pour jusqu’à six !) qu’il expose, développe, réexpose, piano. Sa Sonate en si comme le requiert toute sonate classique. mineur, sa plus impor- Malgré cette filiation, Liszt innove encore : il tante partition pour propose une nouvelle technique d’enchaîne- le clavier, avec Les Années de pèlerinage, ments et de fusion des différents thèmes qui rompt avec le traditionnel découpage en trois ne pourraient subsister isolément. Sa tech- ou quatre mouvements auquel Beethoven et nique de construction est la même que celle ses prédécesseurs avaient habitué le public. que Wagner emploie au même moment dans Liszt conçoit sa Sonate sous la forme d’un ses opéras avec des leitmotivs qui, enchaînés mouvement unique dont les proportions sont les uns aux autres, façonnent les différents pour le moins colossales puisqu’il dépasse les actes d’une œuvre.

2 DRAME PIANISTIQUE. Par ailleurs, quand en do à Liszt. La partition fut créée le 22 jan- bien même Liszt garderait à l’esprit les quatre vier 1857 à Berlin, lors du « baptême » d’un grand mouvements de la sonate beethovénienne tra- piano à queue Bechstein, par le célèbre pianiste ditionnelle (allegro, andante, scherzo, finale), et chef d’orchestre Hans von Bülow (accessoire- cet aménagement n’est pas perceptible à ment le premier mari de la fille de Liszt, épousée l’audition : la Sonate a l’allure d’une énorme l’année de cette création !). Les audaces de rhapsodie improvisée avec toute la panoplie construction de la Sonate lui valurent une récep- de virtuosité que cela implique pour l’inter- tion négative. Clara Schumann l’entend jouée prète. Elle s’écarte de l’esprit de la musique par Brahms et la trouve épouvantablement pure pour devenir un grand drame pianistique ennuyeuse, le critique Hanslick la qualifie de (sans doute inspiré du Faust de Goethe), une « moulin à vapeur génial qui tourne presque tou- tragédie romantique perceptible dès le lever jours à vide » et de « non-sens musical presque de rideau des premiers accords. La fugue inexécutable ». Seul Richard Wagner, comprit la monumentale, aux deux tiers de la partition, nouveauté et l’audace de ce chef-d’œuvre, qui sonne comme un climax théâtral et mène à une a acquis tous ses galons depuis. L’autographe conclusion aux accents exaltés. de la partition est aujourd’hui la propriété de Robert Owen Lehman (à New York). AUDACES. L’œuvre est dédiée à Robert STÉPHANE DADO Schumann qui, 15 ans plus tôt, dédia sa Fantaisie

Ravel Gaspard de la nuit (1908)

LA MUSIQUE pour essentiel, l’élément suggestif, point de départ piano de Maurice d’un nouveau poème qui se profile sur l’ancien Ravel (1875-1937) plutôt qu’il ne le commente. » constitue un fleuron dans le répertoire des Gaspard de la nuit n’est un poème romantique pianistes. En 1908, que par l’argument original. Il échappe à l’ana- après s’être consacré à lyse par la liberté poétique de son écriture. son opéra L’Heure espagnole, Ravel livra aux Tour à tour insaisissable (Ondine), funèbre et mélomanes son sommet pianistique, le trip- cauchemardesque (Le Gibet) et imprévisible tyque inspiré des poèmes d’Aloysius Bertrand (Scarbo), il nous plonge dans un monde sonore (1807-1841), Gaspard de la nuit. Les 65 poèmes inouï. Les richesses de l’harmonie tantôt fluide (1835) de l’auteur fantasque très proche de et claire, tantôt dissimulées sous les couches E.T.A. Hoffmann fascinèrent Ravel qui entreprit mélodiques surprennent et émerveillent. Sans d’utiliser trois textes pour sa nouvelle œuvre. jamais rompre avec le principe tonal, Ravel Ondine, Le Gibet et Scarbo furent créés par crée ici l’une de ses pièces les plus modernes. Ricardo Viñes en janvier 1909 à la Société La technique pianistique mise en œuvre est Nationale de Musique. Si cette nouvelle complexe et diversifiée. Elle repousse les merveille musicale se rattache à la musique limites de l’instrument avec une aisance dé- à programme (Ravel fit reproduire le texte concertante, libérant, comme par magie, une correspondant à chaque pièce en marge de multitude d’impressions sonores plus saisis- la partition), l’auteur la qualifiait de « poème santes les unes que les autres. Gaspard de la pour le piano » et Alfred Cortot soulignait que nuit reste l’une des plus grandes contributions « nous ne le verrons pas moins en négliger les de Ravel à la musique du XXe siècle. péripéties, ne retenir de l’argument que le trait JEAN-MARC ONKELINX 3 Rachmaninov Sonate n° 1 (1907)

PROLIXITÉ PIANIS- spirituelle, résonnant comme la partie supé- TIQUE. Contrairement rieure d’un choral autour de la note ré répétée à à Scriabine et Prokofiev, plusieurs reprises. Le développement s’efforce qui ont rendu à la so- d’équilibrer la participation des deux thèmes – nate au XXe siècle ses se perdant parfois dans des flots de virtuosité, lettres de noblesse, la s’organisant, en d’autres moments, en struc- contribution de Serge tures puissantes et rythmées où passent des Rachmaninov (1873-1943) accents scriabiniens. La réexposition est pré- à cette forme fut beau- cédée d’un moment de profond apaisement. coup plus réduite. Ses Après une série de grands accords, la coda deux Sonates sont certes s’effectue en mode majeur. des monuments, mais restent moins jouées que ANDANTE. Ce mouvement central est tout ses Préludes ou ses Études-tableaux. en simplicité, dépouillement, mélange de recueillement et de désolation d’un thème par- FAUST DE GOETHE. Composée en 1907, la ticulièrement « parlant » – auquel la cellule de Sonate n° 1 est contemporaine de la Symphonie quinte du premier mouvement sert d’accom- n° 2 et fut écrite en Allemagne, à Dresde, pagnement. Il est enveloppé bientôt dans une où Rachmaninov vécut entre 1906 et 1909. texture sonore plus complexe, mais gardant Dans une lettre à son ami Nikita Morozov toujours son relief et accentuant encore son (8 mai 1907), le musicien fait état d’un pro- intensité expressive. Dans la partie centrale, gramme pour sa sonate consistant en « trois l’agitation est marquée par l’accélération des types humains contrastés, pris dans une œuvre valeurs rythmiques (quintolets de doubles de la littérature mondiale ». Il s’agit du Faust de croches). À la fin de la reprise, quelques Goethe, et les trois mouvements de l’œuvre re- ornements, en miroitement de trémolos ; ce flètent respectivement les visages de Faust, de mouvement reste une des très belles pages Marguerite et de Méphisto. On peut donc tracer méconnues de Rachmaninov. un parallèle, au niveau de l’idée tout au moins, avec la Faust-Symphonie de Liszt (et sans doute ALLEGRO MOLTO. On ne peut malheureuse- aussi avec sa Sonate). La Sonate n° 1 est une ment pas en dire autant du finale, qui pèche œuvre très vaste, trop vaste, comme le compo- par sa prolixité et par un manque d’organisa- siteur lui-même le reconnut ; ceci explique sa tion. Ceci malgré quelques idées thématiques relative désaffection auprès des pianistes qui intéressantes – comme le motif rythmé, sorte lui préfèrent la Sonate n° 2, relativement plus de chevauchée fantastique (très méphistophé- condensée. Exceptionnellement, le premier lique, dans le sens lisztien du terme), qui surgit exécutant de l’œuvre ne fut pas Rachmaninov peu après le début. Il évolue vers un lyrisme lui-même, mais Constantin Igoumnov, qui la tourmenté, puis s’estompe dans un pianissimo joua le 17 octobre 1908 à Moscou. dont il renaîtra de nouveau. Les deux thèmes du premier mouvement sont présents dans le ALLEGRO MODERATO. Ce mouvement initial finale – le second thème servant de péroraison débute par un sourd balancement de quinte, en accords majestueux. ponctué d’accords soudains ; le dynamisme se ANDRÉ LISCHKÉ libère bientôt dans des rafales de traits. Le se- cond thème introduit le contraste d’une ferveur

4 Valentina Lisitsa piano

PARCOURS. Née en 1973 à Kiev (), Valentina Lisitsa donne son premier réci- tal à quatre ans. Formée à l’École de musique Lysenko pour jeunes talents, puis au Conservatoire de Kiev, elle rêve d’abord d’une carrière de joueuse d’échecs, mais opte finalement pour le piano, d’abord en duo avec son mari Alexei Kuznetsoff. En 2007, elle commence à poster des vidéos de qualité sur YouTube et voit soudain sa carrière prendre son envol. Établie aux États-Unis depuis les an- nées 1990, elle joue aujourd’hui dans le monde entier avec des chefs comme Paavo et Kristjan Järvi, Vasily Petrenko, Manfred Honeck, Yannick Nézet-Séguin, Vladimir Fedoseyev, Dmitrij Kitajenko, Jukka-Pekka Saraste, Michael Francis, Thomas Sanderling…

PHÉNOMÈNE YOUTUBE. Elle a posté sa pre- gramme préféré (une forme de participation mière vidéo sur la plateforme internet YouTube du public qui est devenue l’une des « marques en 2007, un enregistrement de l’Étude-Tableau de fabrique » de Valentina Lisitsa). Le label op. 39 n° 6 de Rachmaninov. Dans une interview, Decca publie l’enregistrement live du concert, elle a déclaré : « Mon premier clip YouTube seulement un mois plus tard, sur CD et DVD. était un enregistrement VHS médiocre sur un En février 2013, Valentina Lisitsa fait ses débuts horrible piano d’école, et mes mains n’étaient dans le grand auditorium de la Philharmonie pas synchronisées avec le son. Mais même ain- de Berlin et joue également aux BBC Proms si, mon message est tombé sur les gens. Tout (à nouveau au ). En 2014, elle de suite ils ont commencé à me dire que mes joue avec l’Orchestre de Paris, la Staatskapelle interprétations signifiaient quelque chose pour de Dresde, au Wigmore Hall de Londres, au eux, qu’elles changeaient les choses, qu’elles Théâtre du Prince-Régent de Munich et avec se démarquaient. » Plus de vidéos ont suivi. La l’Orchestre de Chambre de Vienne, à Vienne première pierre d’une carrière de réseau social et Istanbul. sans précédent dans l’histoire de la musique classique a ainsi été posée. Sa chaîne YouTube MARATHON RACHMANINOV. Avec enregistre désormais 415 000 abonnés et près l’Orchestre National d’Espagne, Valentina de 170 millions de vues avec une moyenne de Lisitsa a joué tous les Concertos pour piano 75 000 vues par jour ! et la Rhapsodie sur un thème de Paganini de Rachmaninov, en une soirée. Avec ce tour UN RÉCITAL SPECTACULAIRE au Royal de force, elle a réussi à captiver son public Albert Hall de Londres, devant un auditoire de jusqu’à la fin comme on pouvait le lire dans 8 000 personnes, en juin 2012, scelle sa percée la presse : « Lisitsa, avec une force naturelle internationale. Les auditeurs ont la possibilité imparable, a fait montre d’une rare musica- de voter en ligne au préalable pour leur pro- lité et d’une virtuosité stupéfiante, doublée

5 d’une endurance physique incroyable. Chacun festivals (Palerme, Megève, Kaiserstuhl…) de ces cinq concertos laisse déjà la plupart et fait ses débuts à Singapour et en Chine. des grands pianistes à bout de souffle ; les Valentina Lisitsa se produit également aux jouer tous en une soirée est tout simplement États-Unis, en Corée, en Afrique du Sud, impossible pour la plupart d’entre eux. » En en Espagne, en France, en Allemagne et en 2010, Valentina Lisitsa a joué la première Belgique. Point culminant de cette saison, un néerlandaise du « nouveau » Concerto pour concert en l’honneur du roi de Taipei (Taiwan). piano n° 5 (ou n° 6 !) de Rachmaninov (ar- rangé par Alexander Warenberg au départ DISCOGRAPHIE. Valentina Lisitsa bénéfi- de la Symphonie n° 2), avec l’Orchestre cie d’un contrat d’enregistrement exclusif Philharmonique de Rotterdam. chez Decca, où elle a publié huit albums : en 2012 (récital au Royal Albert Hall de Londres, ACTUALITÉ. Valentina Lisitsa joue avec les Sonates pour violon et piano de , orchestres de Rio, San Francisco, Pittsburgh, avec , seul album chez DGG), 2013 Cincinnati, Baltimore, Londres, Bournemouth, (concertos de Rachmaninov, avec l’Orchestre Rome, Milan, Paris, Strasbourg, Cologne, Symphonique de Londres et Michael Francis ; Leipzig, Stockholm, Norrköping, Helsinki, récital Liszt), 2014 (24 Études de Chopin et Prague, Moscou, Séoul… En 2017-2018, elle est 12 Études symphoniques de Schumann ; mu- en tournée avec l’Orchestre Philharmonique siques de film de Michael Nyman, à l’occasion National Russe en Grande-Bretagne (Londres, de ses 70 ans), 2015 (récital Philipp Glass ; réci- Édimbourg, Cambridge et Warwick) et joue en tal Scriabine) et 2016 (Love Story – Thèmes du récital lors d’une tournée en Amérique du Sud piano de l’âge d’or du cinéma). (Buenos Aires, Porto Alegre, Belo Horizonte et Rio de Janeiro). Elle est l’invitée de nombreux www.valentinalisitsa.com

6 À écouter

WAGNER/LISZT, TRISTAN ET ISOLDE, MORT D’ISOLDE • Imogen Cooper (CHANDOS) • Michel Dalberto (RCA)

LISZT, SONATE EN SI MINEUR • Claire-Marie Le Guay (UNIVERSAL/ACCORD) • François-Frédéric GUY (ZIG-ZAG TERRITOIRES)

RAVEL, GASPARD DE LA NUIT • Alexandre Tharaud (HARMONIA MUNDI) • Kathryn Stott (ALTO)

RACHMANINOV, SONATE N° 1 • Idil Biret (NAXOS) • Vladimir Ashkenazy (DECCA)

Série Piano 5 étoiles ABONNEZ- Saison 2018-2019 VOUS !

Dimanche 14 octobre 2018 | 16h Michel Dalberto (et le Novus Quartet) Franck Dimanche 31 mars 2019 | 16h Dimanche 16 décembre 2018 | 16h Alexandre Kantorow Javier Perianes Bach, Brahms, Beethoven, Saint-Saëns Chopin Dimanche 5 mai 2019 | 16h Dimanche 24 février 2019 | 16h Nicholas Angelich Igor Levit Bach/Busoni, Beethoven, Brahms… Bach, Beethoven

7 Salle Philharmonique Prochains concerts

Jeudi 3 mai 2018 | 20h Dimanche 13 mai 2018 | 16h Syrie Double concerto Wajd ● LES CONCERTS DU CHEF ● MUSIQUES DU MONDE RIHM, Drei Walzer Wajd : BRAHMS, Double concerto pour violon Tamman Al-Ramadan, ney et violoncelle Khaled Alhafez, chant Marc Bouchkov, violon Tarek Alsayed Yahya, oud István Várdai, violoncelle Youssef Nassif, qanun OPRL | Christian Arming, direction En collaboration avec les Jeunesses Musicales En partenariat avec uFund de Liège Mercredi 16 mai 2018 | 18h30 Samedi 5 mai 2018 | 16h We are the champions ! La belle au bois dormant ● MUSIC FACTORY ● LES SAMEDIS EN FAMILLE ELGAR, Pompe et circonstance n° 1 TCHAÏKOVSKI, La belle au bois dormant, suite et autres œuvres Marie Zinnen, présentation OPRL | Alexandre Damnianovitch, direction et Katerina Barsukova, dessin sur sable présentation OPRL | Hervé Niquet, direction Avec le soutien d’Ethias Avec le soutien d’Ethias En partenariat avec uFund En partenariat avec uFund Gratuit pour les moins de 26 ans

Mardi 8 mai 2018 | 19h Dimanche 20 mai 2018 | 16h D’âmes et d’anches Rhoda Scott ● HAPPY HOUR ! ● ORGUE PALESTRINA, Motets à 3 voix Standards de jazz et compositions personnelles CORELLI, Sonata da camera Rhoda Scott, orgue KROMMER, Quatuor avec hautbois Thomas Derouineau, batterie et percussions FRANÇAIX, Sérénade pour basson Dans le cadre de la Fête de l’orgue En partenariat avec Liège Les Orgues PIAZZOLLA, Oblivion Sébastien Guedj, hautbois Samedi 23 juin 2018 | 16h Joanie Carlier, basson Fête de la musique Olivier Giot et Virginie Petit, violon Classic Academy 2018 Patrick Heselmans, alto ● SYMPHONIQUE Jean-Pierre Borboux, violoncelle Œuvres de SAINT-SAËNS, WAXMAN, François Haag, contrebasse DEBUSSY, CHOPIN et TCHAÏKOVSKI Avec le soutien des Amis de l’Orchestre Solistes de la Classic Academy 2018 et de Gamuso Nadia Ettinger, violon (Prix de l’Orchestre de la Classic Academy 2017) OPRL | Joseph Bastian, direction Caroline Veyt, présentation 8