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Illuminating the Old Masters and Enlightening the British Public
Illuminating the Old Masters and Enlightening the British Public: Anna Jameson and the Contribution of British Women to Empirical Art History in the 1840s Susanna Avery-Quash Within the Victorian art world, the wind of change was signalled early on in a very visible way when, in April 1838, the Queen opened the National Gallery in its new, purpose-built home on Trafalgar Square. The relocation from its original cramped quarters at 100 Pall Mall, where the gallery had been since its foundation in 1824, would have brought to mind the recent debates addressed by a select committee of 1835 concerning the public util- ity of art institutions including the adequacy of the national collection and its future purpose.1 Numerous other governmental inquiries would pursue these matters in the 1840s and 1850s, culminating in the select committee of 1853, which led to the gallery’s reconstitution in 1855. Outside Parliament a host of voices was also lobbying for change, among them Anna Jameson, a well-known figure in her day.2 Her contribution is notable because she was a woman in a male-dominated arena and because her message was heard early on and by a wide audience. With the recent interest in women’s con- tributions to scholarship, her work has been re-evaluated, especially in rela- tion to what she published on early Italian art and religious iconography.3 1 On this topic, see Nicholas M. Pearson, The State and the Visual Arts: A Discussion of State Intervention in the Visual Arts in Britain, 1760–1981 (Milton Keynes: Open University, 1982); Christopher Whitehead, The Public Art Museum in Nineteenth Century Britain: The Development of the National Gallery (Aldershot: Ashgate, 2005). -
Les Couleurs Du Ciel Livret D'accompagnement Pédagogique
Musée Carnavalet – Histoire de Paris. Dossier pédagogique / Septembre 2012 Exposition Les couleurs du Ciel. Peintures des églises de Paris au XVII e siècle (Oct.2012 – Fév. 2013) LES COULEURS DU CIEL Peintures des églises de Paris au XVII e siècle Philippe de Champaigne (1602-1674) Le sommeil d’Élie , Musée des Beaux Arts du Mans © Cliché Musées du Mans ; Conservation : Le Mans, Musée de Tessé LIVRET D’ACCOMPAGNEMENT PÉDAGOGIQUE 1 Musée Carnavalet – Histoire de Paris. Dossier pédagogique / Septembre 2012 Exposition Les couleurs du Ciel. Peintures des églises de Paris au XVII e siècle (Oct.2012 – Fév. 2013) Sommaire Présentation de l’exposition p. 3 Plan de l’exposition p. 4 Sections de l’exposition p. 5 L’exposition et les programmes scolaires p. 9 Dossiers thématiques et documents à télécharger à part • Paris, une ville dans la Contre-Réforme Un contexte historique agité Dossier La Réforme catholique au XVII e siècle L’art de la Contre-Réforme dans les églises parisiennes Dossier Les peintres des églises parisiennes, une évolution de la peinture française au XVII e siècle. Dossier Un tableau de Philippe de Champaigne, Dieu le Père créant l’univers matériel , vers 1633. Dossier Un tableau des Frères Le Nain, La Naissance de la Vierge , vers 1640. Dossier Un tableau de Louis Licherie, Les Neufs chœurs des anges , 1679. Dossier Un tableau de Philippe de Champaigne, Le sommeil d’Elie , 1650-1655. Dossier Un tableau de Laurent de La Hyre, Saint Pierre guérissant par son ombre les malades , 1635. (Attention, tableau in situ) Dossier Un tableau anonyme, Le jugement dernier , 1605, Saint-Etienne-du-Mont. -
Montalbetti Le Sueur Raphael De La France-24-03-2011
Les publications du GHAMU Valérie Montalbetti Valérie Montalbetti Le Sueur « Raphaël de la France » L’ambigüité de la référence italienne dans l’invention d’un maître de l’art français 1 Fig. 1. Jean-Jacques Lagrenée (1739-1821), Allégorie relative à l’établissement du Museum , 1783, papier marouflé sur toile, H. 52 ; L. 68 cm, signé, signé et daté en bas à gauche, Paris, Musée du Louvre (RF 1998-6) – Droits d’image : © Musée du Louvre/A. Dequier - M. Bard. Résumé Eustache Le Sueur (1616-1655), représentant éminent de l’atticisme parisien au milieu du XVII e siècle avec Laurent de la Hyre, doit sa reconnaissance actuelle à Alain Mérot et à un marché de l’art qui continue de s’arracher ses tableaux. Quant à la réputation qu’il eut au XVIII e siècle, elle est principalement due à l’analogie entre lui et Raphaël que la littérature critique mit en scène à partir des années 1680, en le présentant comme le « Raphaël de la France ». Mort à trente-huit ans quand l’illustre Italien auquel on le comparait était décédé dans sa trente-septième année, Le Sueur avait montré, dans quelques chefs-d’œuvre comme le cycle de La Vie de Saint Bruno dont le comte d’Angiviller fit de véritables trésors nationaux, une maîtrise de toutes les parties de la peinture gouvernée par la clarté et la simplicité. Toutefois, au-delà du caractère tout rhétorique de la comparaison, l’entreprise d’assimilation des deux peintres relève avant tout d’un habile montage idéologique, dont l’enjeu est bien l’existence de cette école française qui, au XVIII e siècle, gage les prétentions nationales à incarner la Nouvelle Rome, tant artistiquement que politiquement. -
Full Press Release
Press Contacts Michelle Perlin 212.590.0311, [email protected] f Patrick Milliman 212.590.0310, [email protected] MASTER DRAWINGS FROM SEVENTEENTH-CENTURY FRANCE FEATURED IN NEW EXHIBITION AT THE MORGAN Poussin, Claude, and French Drawing in the Classical Age June 16 through October 15, 2017 New York, NY, May, 22, 2017 — The French refer to the seventeenth century as the Grand Siècle, or the Great Century. Under the rule of Louis XIII and Louis XIV, the period saw a dramatic increase in French political and military power, the maturation of French courtly life at Versailles, and an unparalleled flourishing of the arts. Poussin, Claude, and French Drawing in the Classical Age, a new exhibition opening at the Morgan Library & Museum on June 16, explores the work of some of the most celebrated artists of the time. More than fifty drawings largely from the Morgan’s collections—including works by Claude Lorrain, Nicolas Poussin, Jacques Callot, and Charles Le Brun—will be on view. Together they demonstrate the era’s distinctive approach to composition and subject matter, informed by principles of rationalism, respect for the art of classical antiquity, and by a belief in a natural world governed by divine order. The exhibition runs through October 15. Nicolas Poussin (1594–1665), Death of Hippolytus, 1645, pen and brown ink and wash over black chalk. The Morgan Library & Museum; Purchased by Pierpont Morgan in 1909, I, 267. “The Grand Siècle saw artistic development unlike any before it in France,” said Colin B. Bailey, director of the Morgan Library & Museum. “The visual arts, literature, music, drama, and architecture all prospered. -
BON BOULLOGNE Paris, 1649 – Paris, 1717 UN CHEF D’ÉCOLE AU GRAND SIÈCLE
Aide à la visite BON BOULLOGNE Paris, 1649 – paris, 1717 UN CHEF D’ÉCOLE AU GRAND SIÈCLE Musée national Magnin, Dijon du 5 décembre 2014 au 5 mars 2015 présentation de l’exposition Actif à la n du règne de Louis XIV, Bon Boullogne fut de son vivant et tout au long du XVIIIe siècle l’un des peintres d’histoire français les plus admirés. Doué pour illustrer les sujets mythologiques et bibliques, l’artiste fut sollicité pour décorer résidences royales et édices religieux. Auteur de grands décors comme de petits tableaux recherchés par les collectionneurs, Bon Boullogne était également apprécié comme portraitiste. Il avait surtout la rare capacité de peindre selon diérentes manières et de réaliser des pastiches susceptibles de tromper les amateurs. Passée la Révolution, Bon Boullogne et les meilleurs peintres d’histoire de sa génération - Louis de Boullogne (son frère cadet), Charles de La Fosse, Antoine Coypel, Jean Jouvenet et Nicolas Colombel - furent l’objet d’une désaection. Ces artistes connaissent depuis quelques années un regain d’intérêt à l’exception de Bon Boullogne. Aussi la rétrospective qui s’ouvre au musée Magnin est-elle l’occasion de lui rendre justice: les tableaux, dessins et gravures d’interprétation qui ont été réunis restituent les multiples facettes d’un art qui a souvent déjoué l’avis des connaisseurs. Les œuvres présentées évoquent tantôt l’art des peintres bolonais du XVIIe siècle (Le Dominiquin, L’Albane), tantôt l’art amand (Van Dyck). L’exposition est également l’occasion de présenter certaines « contrefaçons ». Conservée pendant près de deux siècles au musée des beaux-arts d’Orléans sous des noms italiens, la petite Assomption est l’une d’elles. -
Mathematics and Arts
Mathematics and Arts All´egoriede la G´eom´etrie A mathematical interpretation Alda Carvalho, Carlos Pereira dos Santos, Jorge Nuno Silva ISEL & Cemapre-ISEG, CEAFEL-UL, University of Lisbon [email protected] [email protected] [email protected] Abstract: In this work, we present a mathematical interpretation for the mas- terpiece All´egoriede la G´eom´etrie (1649), painted by the French baroque artist Laurent de La Hyre (1606{1656). Keywords: Laurent de La Hyre, \All´egoriede la G´eom´etrie",baroque art, mathematical interpretation, perspective. Introduction The main purpose of this text is to present a mathematical interpretation for the masterpiece All´egoriede la G´eom´etrie, from a well-known series of paint- ings, Les 7 arts lib´eraux, by the French baroque artist Laurent de La Hyre (1606{1656). Figure 1: All´egoriede la G´eom´etrie (1649), oil on canvas. Recreational Mathematics Magazine, Number 5, pp. 33{45 DOI 10.1515/rmm{2016{0003 34 allegorie´ de la geom´ etrie´ Laurent de La Hyre painted the series Les 7 arts lib´eraux between 1649 and 1650 to decorate G´ed´eonTallemant's residence. Tallemant was an adviser of Louis xiv (1638{1715). The king was 10 years old at the time of the commission. According to the artist's son, Philippe de La Hire (1640{1718), writing around 1690 [5], (. .) une maison qui appartenoit autrefois a M. Tallemant, maistre des requestes, sept tableaux repres´entant les sept arts liberaux qui font l'ornement d'une chambre. Also, Guillet de Saint-Georges, a historiographer of the Acad´emieRoyale de Peinture et de Sculpture, mentioned that it was Laurent's work for the Ca- puchin church in the Marais which led to the commission for the \Seven Liberal Arts" in a house [2]. -
Les Peintures De L'église Notre-Dame-De-La Nativité De Bercy
Peintures et décor du siècle des Lumières dans les églises parisiennes sous la direction de Christophe HENRY (GHAMU) et Laetitia PIERRE (UNIVERSITÉ PARIS-1 PANTHÉON-SORBONNE) LES PEINTURES DE L'ÉGLISE NOTRE-DAME-DE-LA NATIVITÉ DE BERCY NOTE DE VISITE Place Lachambeaudie – 75012 Paris Lundi 25 mars 2013 EFFECTUÉE SOUS LA CONDUITE DE : Laëtitia PIERRE (Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne) & Christophe HENRY (Ghamu) GROUPE HISTOIRE ARCHITECTURE MENTALITÉ URBAINES - 2013 1 Notre-Dame-de-la-Nativité de Bercy Ghamu 2013 Présentation de l'église En 1677, les Pères de la Doctrine Chrétienne ouvrent à Bercy un couvent dédié en 1679 à « Notre-Dame du Bon Secours ». Le 19 octobre 1790, suite à la création de la commune de Bercy qui compte près de 1400 âmes, l’église du couvent des Pères de la Doctrine Chrétienne devient l’église paroissiale et est consacrée en 1792, sous le vocable de l’Assomption. La décision de reconstruire l’édifice devenu vétuste intervient en 1822. L’ouvrage est confié à l’architecte André Marie Chatillon (Paris, 1782-1859), premier grand Prix de 1809 et promis aux fonctions d'architecte-voyer de la ville de Paris. Il sera notamment chargé du palais de la Légion d'honneur à Paris et des travaux visant à permettre l'accueil au château d'Écouen de la maison d'éducation de la Légion d'honneur.. Le 8 juin 1823 est posée la première pierre de la nouvelle église, consacrée en octobre 1826 sous le vocable de Notre-Dame-de-la-Nativité. Sur ce chantier, Chatillon a pour collaborateur l'architecte J.-B.-A. -
Le Christ Au Désert Servi Par Les Anges, Une Miniature D'après Charles Le Brun
Le Christ au désert servi par les anges, une miniature d'après Charles Le Brun Entrée dans les collections avant 1932, une miniature sur vélin, de format relativement conséquent (22,5cm x 16,5cm), non signée et montée sur un support de bois, forme exception dans le fonds d'art graphique du musée Lambinet. Elle ne semble se rattacher à aucun ensemble cohérent ni souffrir la comparaison avec aucune autre œuvre du fonds, qui comprend pourtant des miniatures, tournées essentiellement vers l'art du portrait, du XVIIe siècle au XIXe siècle. Cette miniature, dont la finesse d'exécution et l'intensité des couleurs de la gouache traduisent bien la délicatesse d'un savoir-faire d'enlumineur, est d'autant plus intéressante qu'elle reproduit une toile de Charles Le Brun aujourd'hui conservée au musée du Louvre (INV 2882) : Le Christ au désert servi par les anges (vers 1652). Elle est à mettre en relation avec plusieurs miniatures d'après La Madeleine repentante du même artiste, (musée du Louvre, INV 2890) apparues récemment sur le marché de l'art. Une commande importante L'œuvre de Charles Le Brun fait partie des commandes qui vinrent parfaire les décors de l'église du carmel de la rue Saint-Jacques, fondé en 1603 à l'instigation de la duchesse de Longueville, et sur les bases de la réforme de l'ordre instaurée par Thérèse d'Avila. Le couvent ne tarda pas à devenir emblématique, donna naissance à d'autres monastères partout en France (notamment le carmel de la rue Chapon à Paris) et attira les vocations de la grande noblesse française, depuis Louise de la Vallière jusqu'à Mme de Montespan. -
Eustache LE SUEUR, Clio, Euterpe Et Thalie, Huile Sur Toile 130*130, 1652-1655, Musée Du Louvre
Atticisme Eustache LE SUEUR, Clio, Euterpe et Thalie, huile sur toile 130*130, 1652-1655, Musée du Louvre 1647-1660 Attique Traité d’éloquence latin de Quintilien (93-96 ap JC): Catégorie d’orateurs sobres, polis et raffinés. Qui est fin, délicat, par allusion à la délicatesse et à la finesse du goût athénien. Vers l'an 80 de la chrétienté, l'illustre rhéteur Quintilien exalte les anciens poètes latins en affirmant qu'ils « apportent beaucoup, surtout pour la richesse de leur vocabulaire, qui dans la tragédie, a de la noblesse, et dans les comédies de l'élégance et comme une sorte d'atticisme ». Les historiens d'art attribuent le terme "atticisme" a un style de peinture, dérivé du classicisme, apparu en France vers 1650, à l'époque de Mazarin. C'est une dénomination introduite par Bernard Dorival dans sa thèse "Philippe de Champaigne 1602-1674" (Paris, Léonce Laget, 1976, pages 101 et 158), reprise par Jacques Thuillier (qui faisait partie de son jury de thèse) et nouvellement adoptée par des historiens de l'art. Portrait du cardinal Mazarin, par l’atelier de Pierre Mignard, 1658-1660, Chantilly, musée Condé. L’atticisme se développe dans le contexte favorable des commandes de l’Église et d’amateurs d’art éclairés, tel Jean- Baptiste Lambert de Thorigny, président de la Chambre des comptes, qui fait décorer son hôtel Lambert. Ile saint Louis à Paris Ce courant parisien dérivé du classicisme qui applique des recettes inspirées de l’Antiquité comme de Raphaël, médite l’art de Nicolas Poussin et de Philippe de Champaigne tout en s’opposant à leur sobriété idéale et austère. -
De Waal the Hare with Amber Eyes (Picador, 2010)
µ˙ Book Club Summer 2012 Edmund de Waal The Hare with Amber Eyes (Picador, 2010) In The Hare with Amber Eyes: A Hidden Inheritance, Edmund de Waal (born 1964), a British ceramic artist and renowned scholar, unfolds the story of a remarkable family during a tumultuous century. Descended from the rich and respected Ephrussi and Rothschild families, De Waal might have inherited countless treasures; unfortunately, most of the family legacy was lost or confiscated during World War II. At the time of De Waal’s birth, all that remained was a collection of 264 Japanese netsuke that had been smuggled to safety by a loyal maid and returned after the war. The collection includes figures of street vendors, beggars, monks, rat catchers, dogs, lovers, a woman and an octopus, an elderly lady on an elderly horse, a witch trapped in a temple bell, a persimmon about to split, and a hare with amber eyes. Entranced by the beauty and mystery of this “very big collection of very small objects,” De Waal determined to trace his family’s history through the story of this collection. How to Use this Discussion Guide MFAH Book Club Tours Creating bridges between the literary and visual arts is Bring your book for a docent-led MFAH Book Club tour what makes the MFAH Book Club unique, as all art arises that links themes and excerpts from the book with select from the context of its time and place. The MFAH Book works of art, generates lively discussion, and reveals new Club uses works of art from the collection of the Museum ways of looking at visual art. -
Les Arts De L'estampe En France Au Xviie Siècle
Perspective Actualité en histoire de l’art 3 | 2009 Période moderne/XIXe siècle Les arts de l’estampe en France au XVIIe siècle : panorama sur trente ans de recherches 17th-Century Prints in France: Thirty Years of Research Die Kunst der Graphik im Frankreich des 17. Jahrhunderts: Panorama über dreissig Jahre Forschung L’arte della stampa in Francia nel XVII secolo: panorama di trent’ani di sudi e di ricerche El arte de la estampa del siglo XVII en Francia: un panorama sobre treinta años de trabajos e investigaciones Maxime Préaud Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/perspective/1308 DOI : 10.4000/perspective.1308 ISSN : 2269-7721 Éditeur Institut national d'histoire de l'art Édition imprimée Date de publication : 30 septembre 2009 Pagination : 357-390 ISSN : 1777-7852 Référence électronique Maxime Préaud, « Les arts de l’estampe en France au XVIIe siècle : panorama sur trente ans de recherches », Perspective [En ligne], 3 | 2009, mis en ligne le 04 août 2014, consulté le 01 octobre 2020. URL : http://journals.openedition.org/perspective/1308 ; DOI : https://doi.org/10.4000/perspective. 1308 MAXIME PRÉAUD. L’estampe en France au XVIIe siècle Les arts de l’estampe en France au XVIIe siècle : panorama sur trente ans de recherches Maxime Préaud Il est assez facile de dessiner, pour peu qu’on ait un crayon et du papier. Peindre ne pose guère de problèmes, puisqu’il suffit d’avoir de la couleur et un support, nos ancêtres l’ont montré à Lascaux et ailleurs. Graver a été à la portée de n’importe quel ours des cavernes aux griffes acérées. -
UNE FOULE D'objets Parlez-Moi
Parlez-moi Restaurer Mettre en valeur PATRIMOINES... Protéger 100 ans de monuments historiques en Pays de la Loire UNE FOULE D’OBJETS Sommaire 04 La patrimonialisation des objets d’art en France de la Révolution à la loi de 1913 par Louis BERGÈS, Directeur régional des affaires culturelles des Pays de la Loire Le Tigre terrassant l’aigle, 12 PROTÉGER bronze de Gardet, p 38 Redécouvrir par la restauration 1913-2013 : Bilan et perspectives 72 ANGERS - Les ornements de la protection des objets liturgiques de Mongazon, une œuvre exceptionnelle... mobiliers en Pays de la Loire vers 1750 74 RUFFIGNÉ - Cloche de l’église 18 SAINT-JEAN-DES-ÉCHELLES e Saint-Pierre, 1771 Panneaux peints du XVI siècle 76 SAINT-MARS-LA-JAILLE 22 NANTES - Christ espagnol La fuite en Égypte de Laurent de la cathédrale Blanchard, vers 1819 24 YVRÉ-L’ÉVÊQUE - Cadran solaire 78 FONTENAY-LE-COMTE e de La Groirie, XVII siècle Les Muses de Terre-Neuve, 26 DUNEAU - Cinq retables de Joseph e e début du XIX siècle Lebrun, XVIII siècle 82 LA CHÂTAIGNERAIE - Le Baiser 28 CHEFFOIS - Les derniers vestiges de Judas de Félix Lionnet, 1854 de la collection Fillon 32 SAINT-LAURENT-SUR-SÈVRE 84 METTRE EN VALEUR Dessins préparatoires aux vitraux, De la conservation 1868-1870 préventive à la sécurisation : 3 34 LAVAL - Les deux bateaux-lavoirs quelques projets de mise 36 NANTES - Le « Lechalas », en valeur bateau centenaire 38 MOUILLERON-EN-PAREDS 90 SAINT-JULIEN-DE-VOUVANTES Le Tigre de Georges Clemenceau Fragments du dépôt lapidaire 42 PIRIAC-SUR-MER 92 BÉHUARD - La redécouverte La Marianne