Cannes Hors Projections

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Cannes Hors Projections revue internationale de théories et de pratiques sémiotiques volume 31 numéro 2 • automne 2003 CANNES HORS PROJECTIONS CANNES HORS PROJECTIONS Emmanuel Ethis Jean-Louis Fabiani Frédéric Gimello-Mesplomb Loredana Latil Damien Malinas Marie-Hélène Poggi Virginie Spies Pierre-Louis Suet Olivier Zerbib HORS DOSSIER Anne Beyaert Sergueï Tchougounnikov Marie Renoue ICONOGRAPHIE Richard Kerr PROTÉE paraît trois fois l’an. Sa publication est parrainée par le Département des arts et lettres de l’Université du Québec à Chicoutimi. Ce département regroupe des professeurs et chercheurs en littérature, en arts visuels, en linguistique, en théâtre, en cinéma, en langues modernes, en philosophie, en enseignement du français et en communication. PROTÉE est subventionnée par le Fonds québécois de la recherche sur la société et la culture, le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, la Fondation de l’Université du Québec à Chicoutimi, le Programme d’aide institutionnelle à la recherche (Fonds institutionnel de recherches), le gouvernement du Canada par l’entremise du Programme d’aide aux publications, l’Institut de recherches technolittéraires et hypertextuelles et le Département des arts et lettres de l’Université du Québec à Chicoutimi. Directeur : François Ouellet. Adjointe à la rédaction : Michelle Côté. Conseiller à l'informatique : Jacques-B. Bouchard. Secrétaire: Joanne Tremblay. Responsable du présent dossier : Emmanuel Ethis. Page couverture : Richard Kerr, Collage d’Hollywood : Stilled Cinema Series, film en 35mm, 2003. Comité de rédaction : Comité de lecture * : Frances FORTIER, Université du Québec à Rimouski Jacques BACHAND, Université du Québec Bertrand GERVAIS, Université du Québec à Montréal Donald BRUCE, University of Alberta Lucie HOTTE, Université d’Ottawa Robert DION, Université du Québec à Montréal François OUELLET, Université du Québec à Chicoutimi Mustapha FAHMI, Université du Québec à Chicoutimi Marilyn RANDALL, University of Western Ontario Gilbert LAROCHELLE, Université du Québec à Chicoutimi Josias SEMUJANGA, Université de Montréal François LATRAVERSE, Université du Québec à Montréal Johanne VILLENEUVE, Université du Québec à Montréal Jocelyne LUPIEN, Université du Québec à Montréal Joseph MELANÇON, Université Laval Fernand ROY, Université du Québec à Chicoutimi Lucie ROY, Université Laval Paul SAINT-PIERRE, Université de Montréal Gilles THÉRIEN, Université du Québec à Montréal Comité Conseil international : Christian VANDENDORPE, Université d’Ottawa François JOST, Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris III) Eric LANDOWSKI, Centre national de la recherche scientifique * La revue fait aussi appel à des lecteurs spécialistes selon les contenus Louise MILOT, Université du Québec des dossiers thématiques et des articles reçus. ABONNEMENT (3 NUMÉROS/ANNÉE) VENTE AU NUMÉRO (VERSION IMPRIMÉE ou CÉDÉROM ANNUEL) (VERSION IMPRIMÉE) INDIVIDUEL INSTITUTIONNEL INDIVIDUELLE INSTITUTIONNELLE Canada : 33,35$ Canada : 39,10$ Canada : 12,94$ Canada : 17,25$ (17,25$ pour les étudiants) États-Unis : 44$ (6,90$ pour les étudiants*) États-Unis : 17$ États-Unis : 34$ Autres pays : 49$ États-Unis : 13,25$ Autres pays : 19$ Autres pays : 39$ Autres pays : 14,25$ * le tarif étudiant n’est pas appliqué en kiosque Mode de paiement : chèque (tiré sur une banque canadienne) ou mandat-poste libellés en dollars canadiens. TPS et TVQ incluses pour la vente au Canada. Administration : PROTÉE, 555, boul. de l’Université, Chicoutimi (Québec), Canada G7H 2B1, téléphone : (418) 545-5011, poste 5396, télécopieur : (418) 545-5012. Adresse électronique : [email protected]. Distribution : Presses de l’Université du Québec, 2875, boul. Laurier, Sainte-Foy, Québec, G1V 2M2, téléphone : (418) 657-4246. PROTÉE est membre de la Société de développement des périodiques culturels québécois (SODEP). Les textes et illustrations publiés dans cette revue engagent la responsabilité de leurs seuls auteurs. Les documents reçus ne sont pas rendus et leur envoi implique l’accord de l’auteur pour leur libre publication. PROTÉE est indexée dans Argus, Klapp, Ulrich’s International Periodicals Directory, OXPLUS et dans le Répertoire de la vie française en Amérique. L’impression de PROTÉE a été confiée à l’Imprimerie Transcontinental Québec. Envoi de Poste-publications – Enregistrement no 07979 Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec, Bibliothèque nationale du Canada Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction réservés © PROTÉE 2003 ISSN-0300-3523 1 revue internationale de théories et de pratiques sémiotiques volume 31, numéro 2 • automne 2003 CANNES HORS PROJECTIONS Présentation / Emmanuel Ethis 4 LA VILLE MISE EN MOUVEMENT PAR LE CINÉMA. Genèse des formes spatiales et urbaines d’un festival / Marie-Hélène Poggi 7 UNE POLITIQUE DU CINÉMA : la sélection française pour Cannes / Frédéric Gimello-Mesplomb et Loredana Latil 17 DE L’IMAGE CINÉMATOGRAPHIQUE AUX IMAGINAIRES TÉLÉVISUELS / Virginie Spies 29 CANNES, UN FESTIVAL DES SIGNES DE L’IDENTITÉ SPECTATORIELLE / Emmanuel Ethis 37 COLLAGE D’HOLLYWOOD de Richard Kerr / présenté par Brett Kashmere 47 IMAGES D’IMAGES. Le Festival de Cannes vécu et transmis en direct / Jean-Louis Fabiani 57 LES CICATRICES CINÉMA(PHO)TOGRAPHIQUES DES SPECTATEURS CANNOIS / Damien Malinas et Olivier Zerbib 63 Hors dossier BRANCUSI, LA RESSEMBLANCE ET LE RYTHME / Anne Beyaert 73 LE FORMALISME RUSSE entre pensée organique allemande et premier structuralisme / Sergueï Tchougounnikov 83 DYNAMIQUES ET DENSITÉS DU VOIR ET DU VU. L'exemple de No 14 (Browns over Dark), 1963, de Mark Rothko / Marie Renoue 99 RÉSUMÉS / ABSTRACTS 112 NOTICES BIOGRAPHIQUES 114 2 PRÉSENTATION CANNES HORS PROJECTIONS EMMANUEL ETHIS C ’ est en 1955, dans la revue Les Temps Modernes, que le Festival international du film de Cannes fait, pour la première fois, l’objet d’une description « hors projections ». Elle est signée par le sociologue Edgar Morin : Il est bien connu que le véritable spectacle du Festival n’est pas celui qui se donne à l’intérieur, dans la salle de cinéma, mais celui qui se déroule à l’extérieur, autour de cette salle. À Cannes ce ne sera pas tant les films, c’est le monde du cinéma qui s’exhibe en spectacle. […] Le vrai problème est celui de la confrontation du mythe et de la réalité, des apparences et de l’essence. Le festival, par son cérémonial et sa mise en scène prodigieuse, tend à prouver à l’univers que les vedettes sont fidèles à leur mythe. Tout, dans l’économie interne du Festival, dans ses manifestations quotidiennes, nous démontre qu’il n’y a pas d’une part une vie privée, quotidienne, banale des vedettes, et d’autre part une image idéale et glorieuse, mais que la vie physique des stars est à l’image de l’image cinématographique, vouée aux fêtes, aux plaisirs et à l’amour. La vedette est entièrement contaminée par son image et se doit de mener une vie cinématographique. Cannes est le lieu mystique de l’identification de l’imaginaire et du réel. […] Images merveilleuses, exquises de spontanéité, aussi rituelles que celles des films. Tout contribue à nous donner l’image d’une vie élyséenne. Donner l’image est le terme exact, car il s’agit de poser, autant pour le public de Cannes que pour l’univers entier par le truchement de la photographie, de la télévision et des actualités. C’est le double de l’univers festivalesque qui importe. Depuis les années 1950, le Festival de Cannes, en tant que «double de l’univers festivalesque », a conquis un espace de plus en grand important hors de ses salles de projection. Au reste, s’il abrite toujours ces dernières, le Palais du festival est également devenu aujourd’hui le lieu de l’organisation festivalière, du marché professionnel, des journalistes et des spectateurs accrédités ; et, tous vont, durant douze jours, coopérer à faire de ce Palais du festival – sorte d’immense bunker de béton en bord de mer – le temple sacré du septième art. Quant à la ville de Cannes, elle se drape d’une profusion de signes tout droit sortis du grand écran pour rappeler, de toute part, à ceux qui participent à la fête cannoise ou qui traversent simplement les lieux, qu’ici, le spectacle est permanent, que nul ne saurait se dérober à la révérence au monde du cinéma sous toutes ses formes. Au demeurant, il n’y a plus réellement de promeneurs, au sens traditionnel du mot, sur les abords de la Croisette ; ceux-ci ont laissé place à des « pèlerins» en quête contemplative de corps exhibés et fugaces de stars en chair et en os. L’ambition de ce numéro de Protée est de présenter quelques angles inédits d’où l’on peut analyser et comprendre comment s’effectue, à Cannes, ce travail de mise en conformité du cinéma hors projections avec les attentes d’une ville et de ses festivaliers. Le foisonnement des signes qui fondent le décor cannois vient affirmer l’omniprésence du monde du cinéma au point qu’on peut apprécier, non sans étonnement, toutes les significations qu’est susceptible de recouvrir ici un des articles du règlement de la première édition du festival, 3 qui précisait que la manifestation avait pour principal objectif de «développer l’art cinématographique sous toutes ses formes». Si l’objectif déclaré du Festival de Cannes demeure la promotion du cinéma international, les six textes du dossier qui suit nous proposent de découvrir la manière dont cet objectif cannois est ourlé – hors projections – d’un imaginaire entretenu tant dans l’esprit des festivaliers anonymes ordinaires présents, dans le mode de relais qu’instaurent les médias depuis la manifestation, dans la façon signifiante dont fonctionne la sélection que dans la manière dont la ville, elle-même, se redéfinit. Cette re-définition de la ville s’effectue selon l’acception spatiale, parfois insolite, qui prend d’abord ses contours dans les parcours de chaque festivalier, parcours pour lesquels la salle de projection n’est qu’un point d’accomplissement, comme en témoigne l’article de Marie-Hélène Poggi. Pour la sémio-sociologue de la ville, c’est un véritable procès de signification social et culturel qui métamorphose l’espace public de la ville de Cannes en un lieu situé de l’activité festivalière.
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    /(TO iThe Museum of Modern Art No. 37 Ml West 53 Street, New York, N.Y. 10019 Circle 5-8900 Cable: Modernart Tuesday, March 29, I966 FOR IMMEDIATE RELEASE The Museiim of Modem Art Film Library will present FILMS ON YOUTH, a series of feature films and shorts beginning April 7. The showings will be interspersed with a continued series of Russian films and the regular Wednesday programs of short subjects from the Collection at noon and afternoon showings of films from the Museum's Archives. FILMS ON YOUTH will include features and documentaries, dealing with young people from many nations,made during the last decade. Work by Felllnl, Godard, BCinuel, Olmi, and Satyajit Ray is Included. Wlllard Van Dyke, Director of the Museum's Film Library, says that to clarify the nature of these films^ one should keep in mind the dictionary definition of 'Youth*: "The time of life marked by growth and development, and the period between adolescence and maturity.** "This is a series of films about young people and how they feel about the important things in their lives: work, friends, parents, love and sex. The way they act; the way they feel; the way they grow; their successes and their failures -•* this is the concern of these films. They can help us to see youth as they are and as they might be. Perhaps we too will find ourselves revealed in the process," Van Dyke says. PROGRAM April 7: I VITELLONI (THE YOUNG AND THE PASSK)NATE) (1955). Directed by Federlco Felllnl; screenplay by Federlco Felllnl and Ennlo Flaiano; from a story by Tulllo Plnelll, Ennlo Flaiano, Federlco Felllnl; photographed by Martelli, Trasattl, Carllnl; score by Nino Rota; produced by Peg Film-Cite Film.
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