UNIVERSITÉ PALACKÝ À OLOMOUC FACULTÉ DES LETTRES DÉPARTEMENT DES ÉTUDES ROMANES

MARTIN KU ČERA

LA MISE EN SCÈNE DES PIÈCES DE EN RÉPUBLIQUE TCHÈQUE ET DANS LE MONDE (1912-2012)

OLOMOUC 2013

1

Je, soussigné, Martin Ku čera, déclare avoir réalisé ce travail par moi-même et à partir de tous les matériaux et documents cités.

À Olomouc, le 11 juin 2013

2 REMERCIEMENT

Ce travail est le résultat des recherches effectuées grâce au soutien financier inscrit dans le cadre du projet scientifique de l’Université Palacký à Olomouc. Je remercie également le Ministère de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports de la République tchèque et le Gouvernement français de m’avoir accordé les bourses pour pouvoir mener notre recherche dans les archives et institutions en France (notamment au Département des Arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France à et au Centre Jacques-Petit à Besançon). Il y a lieu de remercier tous les conseillers et tous les membres du personnel de certaines institutions scientifiques, centres de recherche et théâtres, car le rassemblement des matériaux n’aurait pas été possible sans leur collaboration disons directe ou indirecte, car sans leur assistance et complaisance il aurait été presque impossible de le réaliser. Je voudrais plus particulièrement adresser mes remerciements à Marie Voždová pour m’avoir donné la possibilité de découvrir le monde universitaire, c’est ainsi grâce à elle que j’ai pu participer activement à ses deux grands projets de recherche, l’un portant sur l’identification des pièces d’auteurs français et italiens sur la scène des théâtres de Moravie et de Silésie et l’autre, réalisé quelques années plus tard, avait pour objet d’identifier les livres d’auteurs français déposés dans la bibliothèque archiépiscopale du Château de Krom ěř íž. Je ne peux pas manquer de remercier Jarmila Misárková de l’Intitut de théâtre de Prague et aussi les directeurs et personnels de la Bibliothèque nationale de Prague, de la Bibliothèque scientifique d’État à Olomouc, de la Bibliothèque municipal de Prague, du Musée des Archives littéraires de Prague-Strahov, du Musée Rostoky, des archives du Théâtre de Prague, du Théâtre de Vinohrady à Prague, du Théâtre de Bohême du Sud à České Bud ějovice et du Théâtre de J. K. Tyl à Plze ň. Ma gratitude personnelle va à Martin Malínek qui m’a permis d’étudier plusieurs documents déposés dans son archive privée. Grâce à son hospitalité, j’ai pu entrer dans le monde théâtral de sa compagnie d’amateurs de la ville Ústí nad Orlicí. Je remercie aussi Frederika Smetanová, Doubravka Svobodová, Miroslav Částek, Ji ří Kraus, Ji ří Svítil, Jana Pato čková, Danièle Jobertová, Marie Victoire Nantet-Claudel, Brigitte Brauner et Alain Beretta. Également Sylva Tesa řová du Musée de Horácko à Nové

3 Město na Morav ě et Martin Rudovský de l’Orchestre philharmonique de la capitale de Prague. Merci pour la patience et gentillesse à répondre à mes questions et pour avoir été toujours tous prêts à mettre d’innombrables documents et informations à ma disposition. Toutes ces personnes ont joué un rôle inestimable pour mener ce travail à bien. Je voudrais également exprimer ma plus vive reconnaissance à Pierre Curatolo, directeur du Centre Jacques-Petit à Besançon et à sa collègue Maryse Bazaud pour leur accueil chaleureux et inoubliable dans ce centre de recherche et pour leur aide dans la recherche d’un complément de sources disponibles dans ce centre. Je dois aussi remercier Jaroslav Someš parce qu’il m’a aidé à éclaircir la mise en scène de la pièce L’Échange réalisée à Cheb en 1979. J’adresse mes plus sincères remerciements à Marie-Louise Scheidhauer pour avoir consacré son temps à la relecture minutieuse et très précise de ce travail. Il faut aussi réserver une mention particulière à Tereza Nedorostková et Zuzana Kebzová pour avoir corrigé, du point de vue linguistique, mes résumés en langue espagnole et anglaise. Je suis plus que redevable à ma famille et également à ma chère femme Elisabeth.

4 « Il n’est pas de vivre, mais de mourir ! et non point de charpenter la croix, mais d’y monter et de donner ce que nous avons en riant ! Là est la joie, là est la liberté, là la grâce, là la jeunesse éternelle ! »

(Paul Claudel, L’Annonce faite à Marie)

5 « I. L’acteur est un artiste et non pas un critique. Son but n’est pas de faire comprendre un texte, mais de faire vivre un personnage. Il doit donc totalement se pénétrer de l’esprit et du sentiment du rôle qu’il incarne, que son langage sur la scène n’en paraisse plus que l’expression naturelle. Il ne s’agit donc pas de détailler et de nuancer, de colorier tout le rôle également et indifféremment, mais de s’attacher dans chaque scène aux sommets d’expression qui commandent tout le reste. Souvent ce qui émeut le plus chez un acteur, ce n’est pas tant ce qu’il dit, c’est ce qu’on sent qu’il va dire. […] »

(Paul Claudel, Mes idées sur le Théâtre)

6 « Il y a une nécessité d’ordre absolu : le tout ne saurait être sans ses parties »

(Paul Claudel, Art poétique)

7 Table des matières

Avant-propos………………………………………………………………………….10-13 Introduction…………………………………………………………………………...14-19 1. Sources et méthode de recherche………………………………………………….20-29 2. Diffusion de la pensée claudélienne……………………………………………….30-36 3. Monde théâtral claudélien...... 37-49 4. Personnage claudélien...... 50-62 5. Mise en scène des pièces de Claudel en République tchèque et dans le monde...... 63-118 5.1. Claudel et le théâtre tchèque…………………………………………………….63-89 5.1.1. Présence des pièces d’auteurs français en Bohême, en Moravie et en Silésie……………………………………………………………………………….63-73 5.1.2. Première rencontre avec le texte claudélien (1914)……………………………..73-76 5.1.3. Claudel dans l’âge d’or du théâtre français en Tchécoslovaquie (1918-1938)….76-77 5.1.4. Claudel à l’époque communiste (1948-1988)…………………………………...77-78 5.1.5. Paul Claudel à Cheb (1978)……………………………………………………..78-79 5.1.6. Renaissance claudélienne (1989-2000)………………………………………….79-80 5.1.7. Récital du texte claudélien……………………………………………………....80-81 5.1.8. Claudel et le théâtre actuel (2001-2011)……………………………………...... 82-83 5.1.9. Claudel et le théâtre amateur………………………………………………….....83-89 5.2. Représentations étrangères choisies…………………………………………...90-118 5.2.1. Claudel et le monde théâtral slovaque…………………………………………..90-91 5.2.2. Claudel et le monde théâtral français……………………………………………91-95 5.2.3. Claudel et le monde germanophone………………………………………...... 96-100 5.2.4. Claudel en Belgique………………………………………………………...... 100-110 5.2.5. Claudel en Hollande…………………………………………………………..110-113 5.2.6. Claudel en Norvège………………………………………………………...…113-114 5.2.7. Claudel en Pologne…………………………………………………………...114-115 5.2.8. Claudel en Ex-Yougoslavie...... 115 5.2.9. Claudel en Rusie……………………………………………………………...115-116 5.2.10. Claudel en Amérique du Nord et en Angleterre…………………………….116-117

8 5.2.11. Claudel en Amérique Latine……………………………………………………...117 5.2.12. Claudel en Afrique…………………………………………………………..117-118 Conclusion…………………………………………………………………………..119-121 Répertoires……………………………………………………………………….....122-503 Répertoire des principales représentations tchèques des pièces de Paul Claudel…...123-146 Répertoire des principales représentations slovaques des pièces de Paul Claudel….147-149 Répertoire des principales représentations des pièces de Paul Claudel dans le monde…………………………………………………………………….…150-506 Archives et bibliographie...... 507-522 Résumé en tchèque………….……………………………………………………...523-527 Résumé en espagnol...... 528-532 Résumé en anglais……………………………..…………………………………...533-538 Images………………………………………………………………………………539-582 Annexes……………………………………………………………………………..583-624 I. Extrait du texte inédit « Paul Claudel par lui-même »…………………………………584 II. La brève biographie de Claudel – sa vie et son œuvre………………………...... 585-590 III. Principales éditions de l’œuvre de Paul Claudel………………………………...591-594 IV. Principales traductions des textes claudéliens en langue tchèque et slovaque….595-606 V. Choix de traductions en langues étrangères……………………………………...607-611 VI. Bibliographie sélective………………………………………………………….612-618 VII. Choix des premières études françaises et étrangères consacrées à Paul Claudel…………………………………………………………...619-620 VIII. Noms d’époque des théâtres tchèques…………………………………………621-624

9 AVANT-PROPOS

Nous pensons que Claudel est le sujet d’une recherche perpétuelle. Divers savants, analystes, spécialistes et chercheurs du monde entier ont déjà consacré sa vie à l’étude de l’œuvre monumentale de Paul Claudel. Ce perpétuel intérêt peut être expliqué par une certaine intemporalité de son œuvre. Mais Claudel représente aussi une source inépuissable en matière des thèmes d’analyse, car c’est le côté du fort symbolisme qui attire la majeure partie des chercheurs et lecteurs. Ses sujets nous dépassent toujours sans cesse. La forte vision claudélienne est toujours liée à la pensée moderne, elle est toujours attractive. Il existe plusieurs monographies, articles critiques (soit positifs ou négatifs), comptes- rendus, bilans de répertoires incomplets qui ont été consacré au théâtre de Claudel. Il y avait aussi plusieurs claudéliens qui ont déjà prononcé diverses contributions à l’occasion des conférences nationales ainsi qu’internationales à sujet claudélien. En plus, le fervent et attentif claudélien voit naître de nouvelles et nouvelles études ou des rééditions de son œuvre. La richesse du patrimoine que présente l’œuvre littéraire de Claudel est également (depuis la mort du poète) défendue et cultivée (et toujours reste), disons sauvegardée par diverses « sociétés » qui réunissent les chercheurs à sujet claudélien. Rappelons surtout la Société Paul Claudel qui est en collaboration perpétuelle et très étroite avec la famille du poète et dont l’objectif est de veiller au patrimoine claudélien ; ou bien l’existence d’autres sociétés ou centres de recherche universitaires qui se spécialisent dans la problématique claudélienne, et qui existent soit en France soit à l’étranger (notamment en Belgique, en Suisse ou au Japon). 1 Sans oublier le monde théâtral, il faut dire que les diverses

1 Notamment la Société Paul Claudel est ouverte à tous les chercheurs qui s’intéressent à l’œuvre claudélienne, elle siège dans un appartement à Paris (13, rue Pont-Louis-Philippe), et depuis sa fondation, elle publie même le Bulletin de la Société Paul Claudel ; citons ensuite l’Association des Amis du Château de Brangues qui a pour objectif d’étudier, de réaliser et de favoriser les échanges culturels (siège : Château de Brangues, Morestel, département Isère), puis l’Association pour la Recherche Claudélienne existant auprès du Centre Jacques-Petit de la Faculté des Lettres de l’Université à Besançon (30, rue Mégevand) ou bien la Société des Amis de Paul Claudel en Belgique (Hannut) qui avait pour le but de grouper sous le patronage de la Reine Elisabeth tous ceux qui s’intéressaient à la vie et l’œuvre de Claudel ou bien le Centre International

10 compagnies des théâtres du monde entier ne cessent de présenter des adaptations des textes claudéliens qui sont soumis constamment à la critique. Parmi les ouvrages disons plus « claudéliens » nous rangeons deux monographies de l’un des plus grands érudits actuels de la thématique claudélien, professeur honoraire, toujours très actif, Michel Lioure, dont L’esthétique dramatique de Paul Claudel et Claudeliana présentent des études de haute valeur retraçant d’une manière complète l’œuvre dramatique de Claudel. 2 L’un des chapitres de L’esthétique de Lioure est même consacré aux spectacles de Claudel. 3 Une autre spécialiste, le professeur Anne Ubersfeld, est auteur d’une importante monographie Paul Claudel poète du XXème siècle qui mérite d’être mentionnée. 4 Ubersfeld y a pour objectif d’analyser la vie et la conception du théâtre du poète. Comme elle le constate dans sa préface, Claudel est un « poète de la planète : il est l’homme que son travail de diplomate conduit à travers le monde, d’un pôle à l’autre ». 5 Enfin il est utile de mentionner son ouvrage Paul Claudel. Partage de Midi 6 qui est consacré à la pièce « autobiographique » du même titre. Parmi d’autres sources relatives à Claudel nous pouvons encore citer un admirable livre du théologien Jean Calvet Le Renouveau catholique 7 qui initie son lecteur à la problématique de la naissance du mouvement de la littérature catholique de la fin du de recherches claudéliennes de l’Université de Zürich qui possède un fonds Claudel très important, sans oublier le Cercle d’études claudéliennes au Japon. Il faut encore noter que la revue Claudel Studies est éditée par les membres de l’Université de Dallas. 2 Cf. Lioure, M., L´Esthétique dramatique de Paul Claudel , Armand Colin, Paris 1971 ; Claudeliana , Université Blaise Pascal à Clermont-Ferrand, Clermond-Ferrand 2001 (dans ce second cas, il s’agit de la rédaction des textes et études antérieurs). 3 Nous renvoyons encore le lecteur aux ouvrages suivants (signalons qu’il s’agit des études qui ne sont pas directement utilisées dans ce travail) : Chonez, C., Introduction à Paul Claudel , Michel, 1946 ; Fumet, S., Claudel , Gallimard, 1958 ; Samson, J., Paul Claudel, poète-musicien , Milieu du Monde, 1947. 4 Ubersfeld, A., Paul Claudel, poète du XX e siècle , Actes Sud-Papiers, 2005. 5 Ibid., p. 5. 6 Ubersfeld, A., Paul Claudel. Partage de Midi , Presses Universitaires Franc-Comtoises, 1999. 7 Calvet, J., Le Renouveau Catholique , éditeur F. Lanore, Paris 1927. Calvet est aussi auteur du Manuel illustré d’histoire de la littérature franaçaise , J. De Gigord, Paris 1923 (troisième édition).

11 XIXème et du début du siècle dernier et qui apporte quelques belles réflexions sur la génération des écrivains convertis ; ou bien l’ouvrage de Joseph Boly Paul Claudel. L’Annonce faite à Marie. Étude et analyse publié chez l’École en 1957. C’est la publication intitulée Paul Claudel de Louis Barjon qui aborde partiellement la question du théâtre claudélien. 8 Lorsque nous parlons de ces publications, et nous n’osons pas dire que leurs auteurs appartiennent au côté des vrais « claudélistes » (il s’agit des fervents admirateurs de Claudel), à vrai dire, il faut noter qu’il existe quelques études représentant le côté des esprits-opposants, nous pensons surtout aux auteurs de premiers articles critiques et aussi à trois études concernant la critique radicale de l’œuvre claudélienne dont les auteurs prenaient le contre-pied. Donc dans l’axe de cette critique impitoyable, pour ainsi dire littérairement, un certain cas Claudel est né. Les auteurs de ces études parlent de « compilation » en citant quelques exemple du vers claudélien dont la forme graphique et le contenu ressemblent aux textes bibliques, et continuent ensuite de parler de « l’un des pires parmi les mauvais maîtres de notre époque », du langage « déformé » et « inanalysable » et du « pathos fluvial » ou bien que ses pièces étudiées « offre une doctrine fausse ». 9 Nous ne voulons point être arbitraire de ces interprétations (à chacun son opinion) ; nous ne voulons que proposer aux lecteurs un autre regard qui démontre la richesse des points de vue sur Claudel, que cette personnalité soit admirée ou rejetée. Quant aux autres sources d’information, le lecteur doit encore penser aux riches relations épistolaires qui ont eu lieu entre le poète et ses amis (notamment avec Philippe Berthelot, Jean-Louis Barrault, Henri Pourrat, Jacques Rivière, André Gide ou avec les Tchèques Miloš Marten et Zdenka Braunerová, etc.), car cette riche correspondance qui explique d’une certaine façon la pensée claudélienne, est devenue l’limage fidèle des activités diverses, le patrimoine et trésor inépuisable de la vie, l’un des témoignages du mûrissement de la pensée claudélienne et même une certaine clé découvrant le mystère de son théâtre. 10

8 Barjon, L., Paul Claudel , Editions universitaires, Paris 1958. 9 Voir à ce sujet notamment l’ouvrage Claudel, Mauriac et C ie « Catholiques de Littérature » publié chez l’Ermite en 1951. 10 Parmi d’autres sources indispensables citons encore Mémoires improvisés dits par Claudel à Jean Amrouche et même Mes idées sur le théâtre .

12 Il est dommage que le monde culturel tchèque ne dispose d’aucune monographie en langue tchèque à sujet claudélien. En dépit de ce constat, le chercheur et lecteur tchèque intéressé par le théâtre claudélien peut puiser dans les études, articles et surtout comptes rendus de l’époque qui ont été publiés dans la presse nationale ainsi que locale et même dans plusieurs revues scientifiques tchèques. Rappelons les premiers efforts de Marten de nous faire approcher l’œuvre dramatique de Claudel. À part l’étude sur l’Arbre , notons son cycle de treize études consacrées aux artistes français, publiées d’abord séparément dans Moderní revue et ensuite regroupées dans Kniha silných [Le Livre des Forts] 11 dont l’une des plus complètes études fut celle consacrée à Claudel. Mais n’oublions point de mentionner le fameux numéro 9 des Cahiers de Paul Claudel intitulé « Prague » qui était du à la plume du professeur Václav Černý, épuisant le sujet des relations réciproques entre Claudel et ses amis tchèques. 12 Ensuite, il faut compter avec d’autres sources importantes qui étaient consacrées à la vie de Zdenka Braunerová car sa vie nous semble indissociable du duo Claudel-Marten. Mais nous ne renvoyons qu’à l’une des plus récentes monographies intitulée Zdenka Braunerová du professeur d’histoire Milena Lenderová, dont l’un des chapitres renvoie au séjour de Claudel en Bohême. 13 Un autre document qui mérite d’être mentionné présente le numéro spécial de la revue Rencontres publiée en tant qu’« Hommage de la Bohême à Paul Claudel » et éditée par Jaroslav Trnka à Paris en 1965. 14 Enfin grâce aux souvenirs des témoins directs des mises en scènes, sans oublier la richesse d’articles et « d’échos » qui ont été publiés en Bohême qu’à l’étranger, nous connaissons en détail l’ambiance dans laquelle se déroulaient plusieurs spectacles claudéliens.

11 Le livre est publié en 1909 chez Kamilla Neummanová à Prague. 12 Cf. Cahiers Paul Claudel 9 . Gallimard, Paris 1971, p. 23-70. 13 Le séjour de Claudel en Bohême et même ses amitiés ont devenue déjà l’objet de plusieurs études et articles. 14 Trnka, J. (éd.), « Hommage de la Bohême à Paul Claudel », Rencontres , Paris, 1965.

13 INTRODUCTION

La vie scénique des pièces de Paul Claudel commence à partir de l’année de la première mondiale de l’une de ses pièces, les plus connues, les plus réputées, les plus goûtées et les plus souvent représentées sur la scène tchèque, française et mondiale, L’Annonce faite à Marie . Pour la première fois, cette pièce est représentée comme une « expérience » en 1912 sur la scène « intime » de la Salle Malakoff du Théâtre de l’Œuvre à Paris dans la mise en scène d’Aurélien Lugné-Poe. 15 En réalité, il s’agissait de la troisième refonte du texte La Jeune Fille Violaine et la première de cette troisième version ouvre (après neuf reprises et un succès relatif) une longue ère de la mise en scène des textes claudéliens en France ainsi qu’à l’étranger. Si on considère la date d’édition des premiers textes claudéliens et la date de leurs réalisations scéniques (cela fait presque un intervalle de 20 ans), on peut dire que son œuvre n’est acceptée qu’assez tardivement. Claudel doit attendre longtemps pour être joué « constamment » sur la scène des théâtres français et étrangers, car au début, son œuvre est considérée comme « livresque » et presque injouable. 16 Les réalisations hors de France ne tardant pas les premières françaises. La richesse des premières traductions du théâtre claudélien et le nombre des premières mises en scène des

15 N’oublions pas de mentionner également les efforts de l’actrice hollandaise Marie Kalff dans le cadre de sa tournée européenne, elle présentait l’œuvre claudélienne avant 1912 déjà. 16 C’est notamment la pièce L’Annonce faite à Marie qui connaît un grand succès, car depuis sa première édition, elle a été traduite dans plusieurs langues ce qui facilitait aussi sa représentation à l’étranger. Notamment, la pièce est successivement traduite dans des dizaines de langues, notamment en italien (1912, Francesco Casnati, L’Annunzio a Maria ), tchèque (1913, Miloš Marten, Zv ěstování Panny Marie ), polonais (1914, Edward Leszczynski, Zwiastowanie ), anglais (1916, Louise Morgan Sill, The Tidings brought to Mary ), hongrois (1919, Irén Reti et Pal Szines, Angyali üdvözlet ), russe (1919, Vadim Cherchenevitch, Izveschenie Marii ), suédois (1916, L. Akerman, Budskapet till Maria ), danois (1921, Anna Saxild, Budskabel, der bragles Maria ). Nous rappellons encore d’autres traductions, notamment celle en espagnol (Victor de La Serna, La Annunciation a Maria ), en grec (Murtotissas, Ο ΕΥΑΓΓΕΛΙΣΜΟΣ ), en japonais (Yoshio Yamanouchi), en catalan (Joan Oliver et F. Canyameres), en néerlandais (Ellen Russe, De Boodschap aan Maria ), en portugais (Sophia de Mello Breyer Andresen, A Annunciação a Maria ), en roumain (Ion Pillat, Ingerul a vestit pe Maria ) ou par exemple en slovène (Isidor Stefik).

14 textes claudéliens illustrent un fort « claudélisme » qui s’est formé dans la première moitié du 20ème siècle. Parmi les premières mises en scène « officielles » qui ont été adaptées hors de France, nommons, au moins, la réalisation « germanisée » de L’Annonce faite à Marie qui s’est déroulée à l’Institut de Hellerau (près de Dresde) en 1913. Notons aussi la fameuse mise en scène pragoise de 1914 17 ; dans ce second cas, les spectateurs ont pu assister à la première adaptation du texte claudélien sur la scène du grand théâtre européen. En France, la première représentation de L’Annonce faite à Marie est bientôt suivie par d’autres spectacles des textes claudéliens, notamment par L’Otage , L’Échange , La Ville (1914). Mais il nous semble que Claudel ne soit accepté qu’à partir de la mise en scène de son chef-d’œuvre Le Soulier de Satin en 1943. Elle est réalisée sur la scène de la Comédie- Française. Notre thèse souhaite montrer, mais dans une certaine mesure, un exemple de la richesse dans le domaine de la mise en scène d’un auteur dramatique mondialement connu, Paul Claudel. Suivant cet axe, elle est consacrée à la réception de la mise en scène du théâtre de Claudel en République tchèque, en France et aussi dans les pays étrangers qu’on a choisis.18 C’est également grâce à ce travail que nous voulons aussi rendre hommage à ce poète à l’occasion du centenaire de la première réalisation parisienne de L’Annonce faite à Marie (1912).

17 Notons encore qu’à Vienne (à l’époque, la capitale de la monarchie austro-hongroise) la pièce n’est donnée, à cause du climat politique et de la forte censure, qu’au cours de l’année 1918 pour la première fois. 18 Nous avons déjà consacré deux études à la mise en scène des pièces claudéliennes en Pays tchèques, pour plus de renseignements voir les articles « Autour de la mise en scène de l’œuvre claudélienne en Bohême, en Moravie et en Silésie » ( Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 194, juin 2009, p. 53-61) ou bien notre étude « Claudelova dramatická tvorba v kontextu spole čensko- politických zm ěn » de l’ouvrage collectif Církev a spole čnost , édité sous la direction de Miroslav Nedorostek et publié par l’Université Charles de Prague en 2010 (notre contribution comprend pp. 42-52). Nous attendons encore la publication des Actes Paul Claudel dans la collection « Rencontres » chez Classiques Garnier avec notre contribution « La place de Claudel dans le monde théâtral tchèque ». Les actes comprennent aussi le bilan des pièces de Claudel jouées en Pays tchèques depuis 1914 ainsi que la riche liste des traductions des textes claudéliens en langue tchèque et slovaque.

15 Cet ouvrage de documentation veut remplir le vide qui existe dans le domaine de la réception du théâtre de Claudel. Jusqu’à présent, il n’existe aucune monographie qui puisse épuiser ce sujet abordé dans la complexité et dans l’étendue que nous proposons dans ce travail. Le manque d’une monographie consacrée au théâtre claudélien peût être causé par une forte dispersion des documents et de la richesse des informations ainsi que par la richesse des représentations données partout dans le monde. Il est évident que dans le cas de Claudel, la quête d’informations est assez compliquée et que la dispersion de données peût épuiser certains chercheurs. Un tel travail est toujours en cours ; il est sans frontières. Pour la première fois, on veut proposer une image la plus complète possible des principales représentations des pièces claudéliennes dans différents mondes culturels. Ce travail souhaite constituer le premier véritable pas vers une aide pour compléter le répertoire des représentations claudéliennes données dans le contexte du théâtre européen et mondial. Dans sa majeure partie, cet ouvrage se base sur le résultat d’un travail de recherche mené durant cinq ans. Il est divisé en plusieurs chapitres. Nous commencerons par aborder l’aspect méthodologique de la recherche en exposant la méthode utilisée au cours de travaux de recherche ainsi que les problèmes rencontrés durant cette recherche. Le premier chapitre veut ainsi résumer les principales études et documents d’archives ainsi que la littérature secondaire indispensable pour la rédaction finale de ce travail. Dans le second chapitre, l’accent sera mis sur la diffusion de l’œuvre claudélienne à travers les premières études à sujet claudélien et surtout à travers les premières traductions de son théâtre. Dans le troisième chapitre, nous résumons le monde théâtral claudélien, car la personnalité du poète-ambassadeur et ses voyages se reflètent non seulement dans l’étendue et la variété mais aussi dans l’originalité de son ouvrage dramatique, lyrique et exégétique. Son travail de diplomate influence la renommée de ses pièces à l’étranger et provoque probablement leurs mises en scène. Le quatrième chapitre est consacré au personnage claudélien. Le monde claudélien est fondé sur les relations réciproques entre les personnages féminins et masculins. Ses drames mettent en scène des dizaines de types de personnages et leur nombre varie. Chez Claudel, le nombre de personnages est, soit limité, sois « sans frontière ». Dans les pièces disons « classiques » on rencontre un quatuor de personnages. Il s’agit de deux femmes et deux

16 hommes le plus souvent (tels Sichel, Lumîr, le père Toussaint et son fils Louis dans la trilogie L’Otage , Le Pain dur et Le Père humilié ). Dans L’Annonce faite à Maire , l’histoire se réalise entre deux sœurs (Violaine et Mara) et deux jeunes hommes (Jacques Hury et Pierre de Craon). 19 Claudel peut au contraire nous proposer une vaste liste de personnages ce qui est si caractéristique dans son théâtre « cosmique » (notamment voir la distribution du Soulier de Satin ). Les personnages claudéliens sont les représentants du bien (les bons, les saints) ou du mal (les jaloux, les ambitieux, les intrigants). En général, il s’agit des filles, sœurs, femmes mariées, mères, pères, enfants, rois et reines ; mais aussi des types allégoriques ou surnaturels (la Lune, la Terre, ou bien les anges - L’Ange Raphaël, L’Ange Gardien, les saints - Saint Boniface, Saint Adlibitum, etc). Le texte suivant est divisé en deux parties, dont la première est consacrée à la réception de la mise en scène des pièces de Claudel en République tchèque (depuis 1914 jusqu’à la dernière mise en scène en 2011). L’autre partie résume les principales représentations claudéliennes montées dans les pays étrangers qu’on a choisis (notamment Slovaquie, France, Allemagne, Autriche, Belgique, etc.). C’est grâce aux perpétuels voyages et aux multiples traductions des textes claudéliens que le poète laisse ses traces, disons directes ou indirectes, dans plusieurs littératures nationales. Ainsi, nous voulons savoir, si le théâtre de Claudel est devenu la composante stable ou le phénomène occasionnel dans le répertoire des théâtres des pays en question. Enfin, il faut noter que l’art du spectacle est une source relative de la connaissance de l’époque en question, de la situation socio-politique. Il est utile de signaler que le texte évite le côté des troupes amateurs, car nous ne disposons que d’informations restreintes (sauf pour ce qui concerne la mise en scène tchèque). On évite aussi les festivals, les lectures et les récitals. Les diffusions de radio et de télévision n’y sont pas non plus analysées ; même si toutes ces créations sont inscrites dans trois bilans de répertoire où elles ont une place estimable et irremplaçable. La

19 Anne Ubersfeld rappelle que Claudel âgé de dix ans a déjà une expérience théâtrale. Accompagné par son père, il assiste au spectacle Hernani donné au Théâtre français. Ubersfeld se demande ainsi si le quatuor de la pièce (le Puissant, le Légitime, l’Amant de cœur et la Femme) pouvait laisser une certaine trace dans la création littéraire claudélienne, car les actants correspondent bien au modèle claudélien.

17 recherche se situe entre la première réalisation claudélienne française (1912) et les dernières mises en scène de la saison 2011/2012.20 Le travail contient aussi le catalogue qu’on a divisé en trois parties. La première aura pour objet d’identifier la mise en scène des pièces de théâtre de Claudel sur la scène des théâtres de Bohême, de Moravie, de Silésie ; la deuxième reflète les réalisations sur la scène slovaque. La troisième partie, qui est la plus vaste, comprend les représentations des théâtres et des compagnies des pays choisis du monde entier (tels que la France, l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, la Belgique, l’Italie, l’Espagne, le Canada, la Russie, la Pologne, le Japon et bien d’autres.). Enfin on trouve encore trois résumés (en langues tchèque, espagnole et anglaise) et une riche annexe photographique. La première liste de l’annexe est consacrée à la brève vie du poète, l’autre est destinée aux traductions et éditions tchèques et slovaques des textes claudéliens. On pense aussi à la liste de la bibliographie sélective concernant les études et les articles à sujet claudélien qui peuvent être utiles aux autres chercheurs. Le travail se termine par une liste apportant les noms de théâtres tchèques en question, ce qui peut nous aider à imaginer et à mieux illustrer les changements de l’atmosphère politique et culturelle de la nation tchèque. Nous signalons encore qu’en matière d’usage typographiques des titres d’ouvrages on préfère utiliser les formes les plus usitées, soit les formes dont le composant inséparable constitue l’article défini dans sa forme majuscule (par exemple L’Annonce faite à Marie , Le Soulier de satin ) ou bien ce composant en est absent, notamment quand il s’agit des pièces telles que Partage de midi , Tête d’Or ou bien Protée ; dans ce second cas nous préférons écrire le nom des pièces de théâtre avec l’article en minuscule (comme par ex. le Partage de midi ) ou dans le cas particulier sans article (notamment la pièce Protée ). Nous mentionnons encore que le lecteur peut remarquer dans ce travail deux formes possibles d’écriture de la pièce L’Annonce faite à Marie , il s’agit de la forme déjà citée ou bien celle abrégée, L’Annonce .

20 Signalons une nouvelle mise en scène de la pièce le Partage de midi qui a eu lieu le 12 avril 2011 au théâtre « Divadlo v Dlouhé » à Prague dans la traduction de Vladimír Mikeš et dans la mise en scène de Hana Burešová. Nous avons eu la possibilité d’assister à une reprise. Il faut noter que l’évêque auxiliaire d’Olomouc, Josef Hrdli čka, connu grâce aux traductions de la poésie d’inspiration spirituelle d’auteurs anglais, avait écrit un livret de l’opéra inspiré par le texte de la pièce L’Annonce faite à Marie .

18 En guise de conclusion, il ne nous reste qu’à demander aux admirateurs, chercheurs et fervents claudéliens et surtout à tous les lecteurs leur indulgence en cas de désordres éventuels trouvés dans ce travail ardent de recherche.

19 1. SOURCES ET METHODE DE RECHERCHE

Dans ce chapitre on mettra en exergue la majorité des documents d’archives ainsi que la littérature secondaire qui traitent, directement ou non, de la réception de la mise en scène du théâtre claudélien. Donc, on essaie de résumer la plupart des recherches récentes et antérieures qui ont été menées à propos de la mise en scène des pièces de Claudel. Dans ce travail nous puisons dans plusieurs documents d’archives et de littérature secondaire que nous avons réussi à découvrir et à étudier au cours de nos séjours dans diverses institutions scientifiques en République tchèque ainsi qu’en France. En terme de méthode de travail, notre choix s’est porté sur nos propres recherches systématiques dans le domaine de plusieurs archives et institutions scientifiques en République tchèque ainsi qu’en France. Mais il est bien clair, que dans ce travail nous reprenons aussi les informations déjà publiées dans les monographies, études ou articles antérieurs à sujet claudélien. Notre méthode consiste ainsi dans le rassemblement des documents d’archives et des sources relatives à notre sujet, leur analyse et intégration parmi les informations déjà connues. Dans cette recherche sur le théâtre de Claudel, notre premier but était de collecter ou bien rassembler les informations nécessaires pour comprendre plus en profondeur ce phénomène que présente le théâtre claudélien. Avant de présenter nos sources de la réception de la mise en scène du théâtre de Claudel, il faut ajouter que le drame claudélien traite des grands thèmes universels de la vie humaine, c’est une mosaïque, un puzzle où tous les éléments s’emboîtent. C’est ainsi que dans les premiers chapitres on se concentre sur le drame et le personnage claudélien. Dans cette partie, nous puisons dans plusieurs études consacrées à la théorie du récit non- dramatique mais surtout dans les théories du théâtre et de ses personnages. 21 C’est dans cet axe que nous ne rappelons que Les trente-six situations dramatiques 22 de Georges Polti où son auteur reconstitue les situations dramatiques à partir d’un riche champ de textes

21 Anne Ubersfeld rappelle son double aspect, et pour cela nous distinguons entre le personnage textuel (disons fictif) lié au texte littéraire et le personnage scénique qui est réservé à la représentation. 22 Polti, G., Les trente-six situations dramatiques (troisième édition révisée et augmentée comportant trois index bibliographiques des œuvres et des auteurs cités), Mercure de France, Paris 1980.

20 littéraires (roman, épopée, histoire, drame) 23 ou encore un ouvrage dont le titre est Les deux cent mille situations dramatiques 24 d’Étienne Souriau qui s’oppose non seulement à l’ouvrage de Polti mais même à la pensée de ses prédécesseurs Gozzi, Goethe et Lessing. En s’opposant à un chiffre « fatidique » des situations dramatiques qui nous est proposé par Gozzi et Polti et qui limite le nombre des situations dramatiques, Souriau crée son propre inventaire de fonctions dramatiques. Ensuite le lecteur est même renvoyé aux théories du récit, notamment à celle de Vladimir Propp dont les contes merveilleux russes deviennent la source des commentaires et analyses des actants. 25 Propp nous propose 31 fonctions du conte populaire ce qui lui permet de reconstruire l’inventaire de sept catégories des actants. Les modèles actantiels sont même l’objet d’analyse et de réflexions de A.-J. Greimas qui accorde son attention aux hypothèses des auteurs précédents. 26 Ensuite, c’est justement ici et dès à présent, qu’il est important de tirer les lecteurs d’une incompréhension qui existait et exite toujours autour de Claudel, car on pensait longtemps (et probablement on pense toujours) que ce poète était destiné à être lu et présenter dans de petits cercles de lecteurs et spectateurs. On pense même souvent que son théâtre était/est très peu joué chez nous et à l’étranger. Mais comme le relève notre recherche, le nombre de représentations change par rapport à la situation socio-politique du pays en question, et les centaines de représentations dans d’innombrables pays du monde entier montrent que Claudel n’appartenait jamais aux auteurs négligés. Mais d’un autre côté, il est aussi vrai, que c’est à cause de la catholicité, de la complexité de son œuvre et des difficultés scéniques rencontrées souvent au cours de la préparation des représentations; à cause de cette « totalité » et « globalité » de son œuvre que les premiers rejets du théâtre de Claudel s’expliquent en France ainsi qu’à l’étranger.

23 L’auteur puise, entre autres, dans la production théâtrale de la période de 1881-1890. 24 Souriau, É., Les deux cent mille situations dramatiques , Flammarion, Paris 1950. 25 Propp, V., Morfologia skazki , Leningrad 1928 (Moscou 1969). Nous puisons dans la traduction tchèque Morfologie pohádky a jiné studie publié par la Maison d’édition H&H en 2008. 26 Greimas, A.-J., Sémantique structurale , Larousse, Paris 1966.

21 En République tchèque, le rassemblement des matériaux a été réalisé pour l’essentiel à partir des fonds d’archives des théâtres tchèques, moraves et silésiens 27 , des fonds du Musées des Archives littéraires à Prague-Strahov (on a puisé dans les fonds « Miloš Marten », « Zdenka Braunerová », « prof. Václav Černý » ; en majorité il s’agissait de la correspondance expédiée ou reçue, divers articles de critique, études, réflexions et photographies), ensuite nous avons dépouillé les archives de l’Institut de théâtre de Prague 28 , les archives du Département des Arts du spectacles du Musée national à Prague ainsi que les archives de la Bibliothèque nationale de Prague, de la Bibliothèque municipal à Prague, de la Bibliothèque scientifique d’État à Olomouc et les archives de l’Orchestre symphonique de la capitale de Prague (FOK) et de l’Orchestre philharmonique tchèque. Nous avons encore consulté la monographie de Marie Voždová et de Ji ří Špi čka Francouzská a italská dramatická tvorba na moravských a slezských divadelních scénách [Les pièces de théâtre françaises et italiennes sur les scènes de Moravie et de Silésie ]29 , qui fut le résultat du projet de créer le répertoire de la mise en scène des pièces françaises et italiennes ainsi que des adaptations dramatiques dans treize théâtres permanents de la

27 À consulter le programme de la pièce de théâtre « Zv ěstování Pann ě Marii » [ L’Annonce faite à Marie ] et le riche dossier de presse « Saténový st řeví ček aneb Nejhorší není vždy nejjist ější » [Le Soulier de satin ou le Pire n’est pas toujours sûr ] déposés dans les archives du Théâtre national de Prague ; un programme de la mise en scène de l’Échange qui se trouve dans les archives du Théâtre de Vinohrady à Prague ainsi que la documentation des archives du Théâtre de J. K. Tyl à Plze ň et du Théâtre de Bohême du Sud à České Bud ějovice. On signale qu’on n’y trouve qu’un nombre de documents assez restreint. 28 Dans le Département de bibliographie de l’Institut de théâtre à Prague nous avons consulté notamment les dossiers suivants : K 209 P – Zv ěstování Pann ě Marii (1968); K 5 129 P – Kniha o Kryštofu Kolumbovi (1969); K 20 220 – Tutuguri (1991); K 20 582 P – Zv ěstování Pann ě Marii (1991); K 21 532 P - Próteus (1992); K 21 533 P - Saténový st řeví ček (1993); K 21 884 P - Zv ěstování Pann ě Marii (1993); K 22 450 P – Próteus (1995); K 22 880 P – Jana z Arku na hranici (1995); A 1 857 P - Něco za n ěco čili Vým ěna II (1997); K 24 937 P – Kniha o Kryštofu Kolumbovi (2000); K 26 554 P – Zv ěstování Pann ě Marii (2002); A 3 211 P – Saténový st řeví ček (2003); A 3 379 – Jana z Arcu (2004); K 27 862 P – Vým ěna (2006) et dans le Cabinet pour les études du théâtre tchèque on a étudié le fond du théâtre « Deklarace » - MS 72. 29 Publiée en 2007 par la maison d’édition de l’Université Palacký à Olomouc.

22 Moravie et de la Silésie, sans oublier les répertoires fragmentaires des théâtres allemands existant sur le même territoire pendant presque d’un siècle et demi. Pour les représentations des théâtres amateurs tchèques, nous profitons de la documentation obtenue des archives privées du metteur en scène Martin Malínek, de l’acteur Miroslav Částek et de Doubravka Svobodová et Frederika Smetanová et de la base du théâtre amateur « ARTAMA ». Enfin nous nous inspirons même des bases de données d’Internet tels que « ANL » et « Kramerius » (Bibliothèque national de Prague), « ANAL » (Bibliothèque d’État à Olomouc), de la base des pièces de théâtre de l’Institut de théâtre de Prague et du Département des Arts du spectacle au Musée nationale de Prague, des bases du répertoire du Théâtre national de Prague et du Théâtre national de Brno. La partie consacrée au théâtre slovaque est fondée sur le livre Paul Claudel: Hry [Paul Claudel : Pièces] et également sur le résultat de notre recherche menée dans la base de données disponible sur le site officiel de l’Institut de théâtre de Bratislava. Pour la mise en scène française et celle hors de France, la recherche a été menée dans le Département des Arts du Spectacle à Paris et au Centre Jacques Petit à Besançon. Notre recherche réalisée dans ces deux institutions présentait une occasion exceptionnelle pour étudier les riches fonds Paul Claudel. 30 Notamment dans les archives du Département des Arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France, on trouve les riches dossiers de coupures d’articles critiques d’époque et aussi plusieurs informations concernant la mise en scène des pièces en question (par ex. la première du Soulier se satin en 1943 ou bien la réalisation de la même pièce dans le cadre du Festival d’Avignon en 1987 ont été saluées en tant que deux créations exceptionnelles). N’oublions pas de mentionner les archives du Centre Jacques Petit à Besançon 31 et même quelques documents déposés dans la

30 Dans les dossiers on ne trouve que des informations restreintes concernant la mise en scène, les réalisateurs et enfin les coupures de presse d’époque collées. 31 Ce centre a été fondé en 1969 et il existe auprès de l’Université de Besançon (rue Mégevand). Son principal objet d’étude concerne les auteurs d’inspiration spirituelle de la première moitié du 20ème siècle, notamment des auteurs catholiques tels que Paul Claudel, François Mauriac ou bien Jules Barbey d’Aurevilly. Dans ce centre nous avons trouvé des coupures d’articles d’auteurs tchèques et slovaques, notamment ceux de Václav Černý ou d’Émile Boleslav Luká č. Le chercheur y relève encore quelques microfisches concernant les coupures d’articles

23 Bibliothèque nationale de France et surtout la base de données « Spectacles » (voir Catalogue général de la Bibliothèque nationale de France, recherches spécialisées). Nous voudrions également mentionner le rôle-clé de l’édition complète du Bulletin de la Société Paul Claudel , car la majorité des numéros résume la plupart des réalisations des pièces de Claudel depuis la fondation de la Société Paul Claudel jusqu’à nos jours (1958- 2010). Il faut signaler que les Bulletins ont été une source importante pour la recherche, car plusieurs articles et études publiés dans cette revue comprennent les informations concernant la mise en scène du théâtre claudélien. Dans le Centre Jacques Petit à Besançon, notre attention s’est aussi portée sur les Œuvre(s) complète(s) de Paul Claudel (tome I-IX) car elles recensent les premières réalisations scéniques françaises et étrangères. Nous avons aussi étudié plusieurs documents déposés dans les archives de la Bibliothèque Georges Pompidou à Paris. Nous tenons à signaler que ce travail et les deux bilans ont encore été établis grâce aux listes de répertoire incomplètes publiées dans plusieurs revues et monographies consacrées à Paul Claudel. Le lecteur est renvoyé à la revue Europe, revue littéraire mensuelle (n° 635, mars 1982) où Jacqueline Veinstein offre un tableau élémentaire de la mise en scène française et partiellement étrangère des drames de Claudel (mais ces données sont assez incomplètes, Veinstein ne mentionne que la date de la représentation, le nom du metteur en scène et le lieu de la représentation du spectacle en question). Parmi les ouvrages considérés comme étant des documents très importants pour la mise en scène du théâtre claudélien nous rangeons aussi la thèse La vie scénique d´une pièce de

critique de la mise en scène de L’Annonce au Théâtre de J. K. Tyl à Pilsen, coupures de traductions des poèmes tels que « Saint André », « Saint Jacques », « Saint Thomas » (et bien d’autres) publiés dans la revue catholique tchèque Katolické noviny . Mais les archives contiennent aussi quelques articles consacrés aux manifestations commémoratives vingt ans après la mort du poète et qui ont été prévues par les pays divers. Il s’agit notamment d’une lettre de l’Ambassade française de Prague qui découvre un peu les plans pour la Tchécoslovaquie. Signalons encore que pendant notre séjour nous avons eu la possibilité de dépouiller quelques documents d’archives (microfiches), et même des documents de la riche bibliothèque, notamment tous les numéro du Bulletin de la Société Paul Claudel , les Cahiers Paul Claudel et même les Œuvres complètes (I-V, VII-IX), car ces documents nous ont aidé à découvrir la plupart des représentations des textes de Claudel.

24 théâtre: L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel 1912-1995 d’Alain Beretta 32 qui répertorie la mise en scène de toutes les versions de L’Annonce en France et même dans différents pays étrangers, mais ce bilan « se borne aux mises en scène réalisées par des professionnels ». Il faut aussi souligner l’effort de René Farabet qui a établi une statistique (mais assez incomplète) des représentations des textes dramatiques de Claudel en France et partiellement à l’étranger. Son ouvrage a été publié sous le titre Le jeu de l’acteur dans le théâtre de Claudel (Paris, Lettres modernes, 1960). Les « Christophe Colomb » de Paul Claudel 33 de Jacqueline de Labriolle apporte une courte liste informative des réalisations de la pièce Le Livre de Christophe Colomb depuis la première réalisation en 1930 jusqu’au 1968 (réalisations sous forme du concert, d’opéra, d’oratorio et du drame). Labriolle est aussi l’auteur d’une importante monographie intitulée Claudel and the English-speaking world: a critical bibliography publiée à Londres en 1973. Cet ouvrage apporte la liste des principales réalisations scéniques depuis 1912 jusqu’en 1972 dans le monde anglo-saxon. Dans cet ouvrage, l’auteur relève 25 mises en scène données en Grande-Bretagne et 48 représentations réalisées aux États-Unis. Il faut réserver une mention particulière à la récente monographie Paul Claudel i jevropejskaja scena XX vjeka [Paul Claudel et la scène européenne du XXème siècle] due à Inna Nekrassova (St. Petersbourg, 2009). Nekrassova aborde partiellement le thème de la mise en scène des pièces de Paul Claudel en Europe. La question de la place de Claudel dans le monde théâtral belge et hollandais est bien décrite dans le livre Paul Claudel et la Belgique (Victor Martin-Schmets, tome I, Lille 1981) et dans l’ouvrage Claudel et la Hollande (Poussière d’Or, Besançon 2009). N’oublions pas de mentionner encore le catalogue complet établi par les chercheurs suisses - Edwin Marie Landau, Jacqueline Jung et Sven Siegrist - publié en 1977. Cet ouvrage, élaboré à partir des documents d’archives déposés au Centre International de

32 Beretta, A., La vie scénique d’une pièce de théâtre: L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel (1912-1995) , thèse de doctorat soutenue à l‘Université de Nancy II, Nancy 1996; publiée ensuite sous le titre Claudel et la mise en scène: Autour de l’Annonce faite à Marie (1912-1955) , Presses Universitaires Franc-Comtoises, Besançon 2000. 33 Labriole, J. de, Les „Christophe Colomb“ de Paul Claudel , Librairie C. Klincksieck, Paris 1972.

25 recherches claudéliennes à l’Université de Zürich, est consacré aux réalisations en langue allemande. 34 Mais dans ce cas, les données bibliographiques ont été inscrites de manière très incomplètes (notamment on ne renvoie qu’au nom, la date et l’endroit de la publication des articles critiques). Il est également nécessaire de citer d’autres documents qui nous ont aidé à compléter surtout la liste des représentations allemandes, suisses et autrichiennes, notamment on rappelle l’excellent ouvrage Claudel et l’Allemagne (M. Andersen, Ottawa, 1965) et le fameux Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen (E. M. Landau, München, 1986). Mais il faut penser aussi aux autres documents 35 ayant pour but la mise en scène des pièces de Claudel (voir la bibliographie finale). Enfin, ce travail a été complété par les informations obtenus sur divers sites internets. Notamment les collections de la Comédie-Française sont accessibles en ligne. 36 On peut encore citer la base de données « Spectacles » de la Bibliothèque nationale de France et même la base du site « Les Archives du Spectacle » qui présente une mémoire des spectacles passés et présents. 37 Ce gros travail doit être compris comme étant un premier essais pour identifier et répertorier le corpus étudié, qui, sans aucun doute, va être toujours complété par d’autres chercheurs et fervents claudéliens intéressés par le théâtre claudélien. Nous n’avons pas eu

34 Landau, E.-M., Jung, J., Siegrist, S., Centre international de recherches claudéliennes Université de Zurich. Catalog complet , Les Belles-Lettres, Paris 1977. 35 Nous renvoyons le lecteur aussi aux ouvrages que nous n’avons pas eu la possibilité d’étudier, notamment il s’agit des études tels que « Claudel en Allemagne » (Landau, E. M., Entretiens sur Paul Claudel , La Haye, 1968), « Die Paul-Claudel-Aufführungen in Wien » (Fontana, O. M., Maske und Kothurn , Wien, nº 4, 1960), « Claudel en Russie dans les années 1910 et 1920 » (Galtsova, G., Cahiers d’histoire culturelle , Tours, nº 10, p. 75-98), et des livres de Corvin, M. Le Laboratoire de théâtre « Art et Action » : Etude sur le théâtre de recherche entre les deux guerres (Lille, 1973); Lenormand, H.-R., Les Pitoëff (1943) ou bien ses Confessions d’un auteur dramatique (tome 1, 1949). 36 La base est appelée « La Grange » en hommage à ce comédien et fidèle compagnon de Molière. Cette base donne surtout la date de la première réalisation à la Comédie Française des pièces au répertoire ; et parfois aussi leur distribution, mais de façon limitée, car ce catalogue propose un accès non exhaustif des représentations. 37 Voir la base www.lesarchivesduspectacle.net.

26 la possibilité d’étudier les archives du Centre International de recherches claudéliennes à l’Université de Zürich ainsi que les fonds de plusieurs Société des Amis de Paul Claudel à l’étranger (notamment en Belgique, au Japon ou bien aux États-Unis) sans oublier les riches fonds d’archives des théâtres et institutions scientifiques étrangères. Enfin, pour faciliter l’orientation dans les trois bilans de la mise en scène, nous signalons que les spectacles des répertoires sont rangés par ordre alphabétique des titres et par ordre chronologique des mises en scène. D’abord nous citons le titre du texte original et ensuite celui de l’adaptation ; pour le troisième bilan nous respectons encore l’ordre alphabétique des noms de pays. La plupart du temps, les renseignements concernant les représentations concrètes sont divisés en trois parties et proposent trois sortes d’informations : 1) nom du théâtre en respectant le nom de théâtre de l’époque 38 ; ou nom de la troupe théâtrale ; à défaut, le lieu de la représentation ; la date de la réalisation et les noms des réalisateurs (traducteur, metteur en scène, auteur(s) des décors et costumes, de la musique et le nom du chef d’orchestre) – ; 2) les noms des acteurs principaux ; 3) bilan des compte rendus et articles critiques de l’époque (ces articles sont rangés par ordre alphabétique d’auteurs, suivis des articles signés par un chiffre, puis des compte rendus anonymes avec la mention « non-signé » ; au cas où on a réussi à repérer le nom de l’auteur, il est signalé entre parenthèses). On constate qu’un certain problème réside dans l’identification des dates de premières représentations et de leurs reprises, donc, à l’exception de la liste de la mise en scène tchèque qui apporte toujours les dates des premières (les reprises n’y sont pas indiquées), nous préférons utiliser la mention « date de représentation » pour les réalisations étrangères et le terme « date de diffusion » pour les mises en ondes et émissions de télévision (ensuite nous utilisons le terme « date du concert », « date de lecture »). Nous constatons qu’à cause du temps limité de nos séjours de recherche en même temps que de l’étendue de la recherche, nous avons été capable de réunir seulement une minorité d’articles critiques. Nous signalons aussi que les données bibliographiques comprennent les renseignement suivants : le nom d’auteur, le titre du texte, le titre de la revue ou du journal, le lieu et la

38 Pour les noms des théâtres tchèques nous puisons dans le dictionnaire Česká divadla – encyklopedie divadelních soubor ů [Théâtres tchèques – encyclopédie des troupes théâtrales] publié par l’Institut de théâtre à Prague en 2000.

27 date d’édition et les pages. Pour une revue on n’oublie pas d’ajouter son numéro. L’absence d’information signifie qu’elle n’a pas été trouvée ou vérifiée, donc, il y a des données qui restent incomplètes et qui doivent être encore identifiées (dans ce cas, on note le signe [?]). Nous signalons aussi qu’il peut arriver que le bilan comprenne quelques spectacles de théâtres étrangers annoncés mais qui n’ont pas été réalisés. Il est notoire que la collecte de données n’est pas encore aisée et que les documents dispersés forment un groupe insaisissable qu’il est, par nature, difficile de retrouver. Conscient de l’étendue du champ scientifique de la recherche, de l’énergie et du temps d’un chercheur (il nous faudrait encore étudier en détail d’autres matériaux et documents d’archives ou bien dépouiller les archives d’autres centres dramatiques) 39 , prenant en considération quelques difficultés concernant l’accès compliqué à diverses sources d’informations et l’état des documents d’archives, certains fonds étant incomplets, ou détruits par plusieurs catastrophes tant naturelles que sociales (notamment en République tchèque pendant l’occupation nazie, la Seconde Guerre mondiale, l’incendie à Prague, à Olomouc, l’inondation à České Bud ějovice, l’absence des répertoires ou bien les coupures de presse incomplets, etc.) 40 , ou bien certains documents étant incommunicables à cause de leur déménagement ou pour leur mauvais état; pour ces raisons notre répertoire n’a pas

39 Nous avons rencontré personnellement Mme Nantet dans le siège de la Société Paul Claudel, mais nous avons pu y revenir et dépouiller les riches archives de la Société. Ensuite nous renvoyons le chercheur intéressé aux documents d’archives déposés au Centre International à Zürich et dans bien d’autres instutions scientifiques. 40 Cette situation est bien illustrée dans l’article de Ta ťana Lazor čáková « Dostupnost divadelních pramen ů. N ěkolik poznámek k výzkumu novodobých d ějin českého divadla » publié dans l’ouvrage collectif intitulé O divadle na Morav ě a ve Slezsku (Univerzita Palackého, Olomouc 2004, p. 125-130). Même notre recherche relève que certains journaux publiés dans les années 1913-1914, 1922-1927, 1933-1937 et en 1947 et déposés dans la Bibliothèque nationale de Prague et même dans la Bibliothèque scientifique d’État à Olomouc ne sont pas disponibles aux chercheurs ; la plupart attendent d’être numérisés. Notre recherche était encore antravée par la fermeture provisoire des Archives littéraires du Mémorial national de Prague-Strahov. De la problématique de la recherche théâtrale tchèque et de l’état de plusieurs archives en République tchèque voir aussi l’ouvrage collectif O divadle 2008 , Štefanides, Ji ří (éd.), UP v Olomouci, Olomouc, 2009.

28 prétention à être exhaustif. On veut proposer pour la première fois la liste retraçant l’histoire de la mise en scène des drames de Paul Claudel en Pays tchèque ainsi que dans les pays choisis. On veut donner au présent travail une applicabilité plus large, pour ainsi dire, on souhaite que ce document de référence devienne un outil pour approfondir les études du théâtre claudélien dans le contexte des cultures tchèque, européenne et mondiale. Il est aussi utilisable pour les diverses études comparatives de n’importe quel point de vue applicatif. Pour clôre, nous aimerons ajouter qu’un chercheur ne peut pas nécessairement toujours savoir dans quelles directions les découvertes vont le mener, mais il est évident qu’on doit être capable de réagir aux nouveaux problèmes et axes que lui apporte une telle recherche. Étudier le théâtre claudélien, cela signifie, avant tout, pénétrer dans de très riches dossiers de documents, mais cela signifie aussi - vivre avec un sentiment du travail infini, mais qui peut être finalement orné du bon sentiment que présente le travail mené à bien.

29 2. DIFFUSION DE LA PENSÉE CLAUDÉLIENNE

Dans ce chapitre nous tenons à signaler que les textes dramatiques de Claudel furent, au début, plus découverts et reconnus à l’étranger qu’en France. En effet, à l’étranger, ses textes sont compris et acceptés plus facilement. Le poète commence notamment à être signalé dans les milieux lettrés grâce aux premières études qui paraissent en Europe (notamment en langue néerlandaise, tchèque et allemande), sans oublier l’autre axe de sa reconnaissance – celle de la traduction, plus précisément celle qui présente l’imprimérie et l’édition. Mais d’autre part, la production du poète était diffusée même par une autre voie - via la traduction qui occupait une place éminente dans la diffusion de son ouvrage, elle aidait à agrandir les champs soit des admirateurs soit des « ennemis » de la forte pensée claudélienne dans d’autres mondes culturels. La naissance des « versions nationales » des textes claudéliens nous semble être très rapide, car il arrive souvent que son œuvre (ou bien leurs extraits) soit traduite, peu de temps, après l’édition française, et souvent, les traductions sont dues à la plume des admirateurs de Claudel. Dans l’enquête littéraire, intitulée La Littérature contemporaine – opinion des écrivains de ce temps 41 , recueillie par Georges Le Cardonnel et Charles Vellay (publiée en 1905 chez Mercure de France), l’un des romanciers questionnés, Charles-Louis Philippe, reconnaissait qu’il était difficile de parler de Claudel, l’un des « plus grands génies vivants » (Claudel est comparé à Dante et Shakespeare) et constatait qu’il est même « extraordinaire » que les Français le connaissent si peu. « Il y a à peine trois cents personnes qui connaissent le plus grand écrivain d’aujourd’hui », souligna Philippe. 42

41 L’enquête est centrée autour de quatre questions destinées à relever les opinions des auteurs contemporains de l’époque sur les tendances actuelles qui se manifestaient dans les domaines de la poésie, du roman, du drame et enfin de la critique littéraire. La recherche était effectuée à partir de quatre-vingt-dix-sept artistes-répondeurs tels Henry Bataille, Léon Bloy, Léon Daudet, Henri Ghéon, J.-K. Huysmans, Maurice Maeterlinck, André Rivoire, Edmond Sée ou bien Émile Verhaeren etc. Même Claudel formula ses idées dans une lettre adressée à ces auteurs. 42 Le Cardonnel et Vellay effectuent l’entretien avec le romancier Philippe dans son appartement parisien et dans une ambiance assez poétique : « [P]ar la fenêtre ouverte, nous regardions glisser la , une Seine toute sombre et toute triste dans le demi-jour d’un après-midi pluvieux. Le jeune romancier du Père Perdrix et de Marie Donadieu se plaît dans le décor pénétrant et mélancolique des quartiers solitaires et antiques, où les maisons semblent toutes avoir

30 Même six années plus tard dans Histoire de la Littérature Française : du Romantisme à nos jours ; son auteur Józef H. Retinger, se demandait pourquoi les lecteurs les plus variés ne le connaissaient presque pas du tout. 43 Malgré le génie du poète, ajoute encore Retinger, nous ne trouvons aucune référence, aucun article publié, ni dans les journaux ni dans les revues les plus renommées. Mais ce qui est encore plus triste et inexcusable, c’est la réalité que les anthologies littéraires les plus complètes ne le mentionnent point. « […] Claudel serait-il un méconnu ? », se demande-il. 44 Il apparaît donc que les admirateurs fervents de l’œuvre claudélienne ne forment qu’une petite « secte 45 » dans la première décennie du siècle dernier et que la position du poète converti semble être influencée par son âme errante, donc que le silence autour de Claudel est peut-être motivé par son absence dans le pays natal et même par son catholicisme ardent. Mais nous nous posons la question de savoir si le nombre de lecteurs des ouvrages de Claudel en tant que le nombre des spectateurs des représentations claudéliennes change en général ; imaginons notamment la situation actuelle, les préférences et les intérêts de notre génération et la position de l’auteur auprès des jeunes lecteurs et spectateurs.46 Ensuite, nous tenons à signaler que les textes dramatiques de Claudel furent, au début, plus découverts et reconnus à l’étranger qu’en France. En effet, à l’étranger, ses textes sont gardé les traces d’une tragique destinée. Nous causions. D’une voix chantante, animée et grave, M. Charles-Louis Philippe nous expliquait sa pensée. […] ». (Cf. Le Cardonel, G., Vellay, Ch., La Littérature contemporaine : opinions des écrivains de ce temps , Mercure de France, Paris 1905, p. 166-170.) 43 Mais il faut ajouter qu’en dépit de ce bel ouvrage, Retinger ne reprend que les résultats de l’enquête citée. 44 Voir Retinger, J. H., Histoire de la Litérature Française : du Romantisme à nos jours , Grasset, Paris 1911, p. 284-294. 45 Terme usité par Maaike Koffeman. 46 La réponse doit-elle être plus ou moins négative (et nous savons que notre point de vue ne peut être que subjectif, car notre seule source d’information présente les opinions de nos étudiants), en réalité, il nous semble que les jeunes tchèques n’ont pas beaucoup conscience de l’ouvrage de Claudel, mais nous savons qu’à notre époque qui est tant nourrie par l’idée de l’incroyance générale, la forte vision catholique de l’auteur peut provoquer une certaine distance vis-à-vis de l’ouvrage claudélien, ou bien au contraire son œuvre peut devenir l’une des réponses possibles aux questions concernant la quête de ce monde.

31 compris et acceptés plus rapidement (une belle illustration : un jour, Claudel écrivait que c’était dans un pays inconnu et dans une incertaine ville, Prague, qu’un incertain jeune poète lui consacrait l’une de ses études, et qu’il était plus connu dans ce pays étranger que dans sa propre patrie). Le poète commence notamment à être signalé dans les milieux lettrés grâce aux premières études qui paraissent en Europe (notamment en langue néerlandaise, tchèque et allemande), sans oublier l’autre axe de sa reconnaissance – celle de la traduction, plus précisément celle qui présente l’imprimérie et l’édition. Donc, en ce qui concerne les premières études, il faut noter que la primauté appartient au Néerlandais W.G.C. Byvanck 47 qui en tant que l’un des premiers critiques s’intéresse au jeune poète, notamment il en publie quelques articles en 1892 et 1894 déjà.48 Ensuite disons, qu’une certaine primauté est même due à un Tchèque, Miloš Marten, car le monde culturel tchèque commence à être « claudélisé » à partir de l’une de ses premières études claudéliennes. Cette première étude marténienne étant consacrée aux premiers textes du poète (publiés sous le nom commun - l’Arbre ) a paru dans la revue tchèque Moderní revue 49 au début du XXème siècle et pour la première fois, cette étude éclaircit la pensée de l’auteur et les motifs des drames en questions. 50

47 Willem Geertrudus Cornelis Byvanck, né le 10 novembre 1848 à La Haye et décédé le 6 novembre 1925 à Amsterdam. 48 À ce sujet voir leur traduction en langue française de Bertrand Abraham dans l’ouvrage Claudel et la Hollande , Besançon 2009, p. 23-144. Les articles publiés dans De Nederlandsche spectator (n° 34, le 20 août 1892) comprenaient les citations originales des extraits des pièces claudéliennes, au contraire ceux qui ont paru dans De Gids ont été traduits dans une langue « difficilement accessible ». La traduction de l’un des articles est même publiée dans l’ouvrage de Victor Martin-Schmets Paul Claudel et la Belgique (tome II, l’annexe II, p. 4-16) qui a paru en 1981 (il s’agit de la thèse publiée par l’Université de Lille III, ce tome ne comprend que la majeure partie de la correspondance entre Claudel et ses correspondants belges). 49 Le titre entier est Moderní revue pro literaturu, umění a život [Revue moderne pour la littérature, les arts et la vie], il parait à Prague entre les années 1897 et 1925. L’article est publié en 1902. 50 Même si la première étude française est déjà publié par Rémy de Gourmont en 1898 dans Le Livre des Masques , le véritable « boom » d’articles critiques français ne commence qu’à partir de 1911. (Voir Gourmont, Rémy de, Le Livre des Masques , Mercure de France, Paris 1898, p. 163- 175.)

32 Restons encore chez Marten qui pendant un certain temps occupait même un rôle majeur dans la vie de Claudel. Avec Braunerová, un rôle d’initiateur à la culture et l’histoire tchèque et d’autre part, un rôle d’amis intime. 51 Il parait ainsi que ce jeune essayiste découvre l’œuvre dramatique claudélienne grâce à Zdenka Braunerová, qui a séjourné longtemps à Paris et qui a bien connu le monde culturel français au sein duquel elle jouait un rôle du pivot, celui d’un ambassadeur officieux au niveau des relations culturelles franco-tchèques, mais il est possible aussi que sa sœur Anna Braunerová ait eu une certaine influence car elle était l’épouse de l’écrivain français Élémir Bourges qui fut l’un des premiers lecteurs fervents et l’ami proche de Claudel (entre autres, son roman Les Oiseaux s’envolent et les Fleurs tombent 52 est inspiré par son séjour pragois et dans ses personnages féminins nous pouvons reconaître les sœurs Brauner), donc, tout cela renforce l’idée que Braunerová connaissait les livres claudéliens et qu’elle les a communiqués à son ami Marten. Au contraire, ce qui est bien connu et clair, c’est la date du commencement de la riche correspondance entre Claudel et Marten, qui tombe dans l’année 1907. Marten, fasciné par la profondeur et la pureté du vers claudélien (voir les premières lettres échangées entre Marten et Claudel), demande à l’auteur de lui passer sa nouvelle pièce le

51 Marten initiait Claudel à l’histoire tchèque pendant sa courte mission pragoise, au contraire, leur fidélité est attestée par un autre voyage en Bohême effectué par le poète en juillet 1912 à l’occasion du mariage de Marten avec Anna (surnommée A ťa) Kopalová dans le village P řepe ře (situé non loin de la ville Turnov) ; Claudel était son témoin. Ajoutons encore que le second voyage de Claudel est souvent estimé comme son dernier séjour en Bohême, mais à vrai dire de Ji ří Bedná ř (voir son article « Básník lidského úd ělu Paul Claudel a Nové M ěsto », Novom ěstský zpravodaj , 14, novembre 1990, p. 21) le poète (accompagné par Zdenka Braunerová et Hanuš Jelínek) visite le medecin-écrivain Josef Svítil-Karník de Nové M ěsto na Morav ě en été 1930, au moins, il y admire une belle église. Mais il faut dire que malgré tous nos efforts, malgré nos contacts avec les descendants du médecin et malgré les réponses que nous avons obtenues des musées de la région (notamment du Musée de Horácko), nous n’avons pas réussi à retrouver le moindre document qui pourrait vérifier ce séjour morave (même si Bednář parle d’une carte postale que Claudel aurait envoyée à Karník après sa visite, il ne mentionne aucune réference qui pourrait nous aider à la retrouver). 52 Ce roman a été traduit en tchèque par Marten sous le titre Ptáci odletí a kv ěty opadají et a été publié chez J. Otto à Prague en 1905.

33 Partage de midi dont la première édition limitée paraît presque clandestinement et cent cinquante exemplaires ne sont réservés qu’à ses amis. 53 Mais nous tenons à signaler encore une fois, ce dont nous avons déjà dit un petit mot, que d’autre part, la production du poète était diffusée même par une autre voie - via la traduction (et conséquement via d’innombrables représentations) qui occupait une place éminente dans la diffusion de son ouvrage, elle aidait à agrandir les champs soit des admirateurs soit des « ennemis » de la forte pensée claudélienne dans d’autres mondes culturels. La naissance des « versions nationales » des textes claudéliens nous semble être très rapide, car il arrive souvent que son œuvre (ou bien leurs extraits) soit traduite, peu de temps, après l’édition française, et souvent, les traductions sont dues à la plume des admirateurs de Claudel. Donc la pensée du poète commence à entrer dans le monde germanique grâce au traducteur Franz Bley ainsi qu’au monde culturel tchèque grâce aux traductions de l’essayiste et fidèle ami de Claudel, Miloš Marten, dont il était déjà question. Rappellons ensuite, pour le monde germanophone surtout, les traductions de la pièce L’Annonce faite à Marie , l’effort d’Ernest Hegner (1913, Verkündigung ), de Jakob Hegner (1928, Verkündigung ), de Maria Berman (1930, Maria Verkündigung ) ou bien celle publiée sous le même titre que la traduction précédente en 1946 et due à la plume d’un homme éminent, Hans Urs von Balthasar. 54 En Bohême, mentionnons encore une fois le nom du premier traducteur de Claudel en langue tchèque, Miloš Marten, grâce à qui le nom du poète commence peu à peu à circuler dans le monde culturel tchèque. Celui-ci débute avec le Tête d’or [Zlatohlav] 55 , continue

53 Cette édition comprenait 150 exemplaires, dont Marten a reçu le numéro 90. 54 Claudel est même remarqué dans le cadre de la littérature allemande grâce aux efforts d’un viennois Jakob Hegner qui en tant qu’un libraire-éditeur s’installe en 1912 à Hellerau en Saxe où il traduit ou édite plusieurs textes de Claudel, notamment L’Annonce faite à Marie (déjà mentionnée), Tête d’Or (1915), Le repos du Septième Jour (1916), L’Échange (1920) ; parmi les éditions citons le Partage de midi (1918), L’Otage , Le Pain dur , le Père humilié ainsi que Protée (1926-1927) et enfin l’éditon de l’Art poétique [Ars poetica mundi] (1926) ou la traduction des Connaissance de l’Est (1914). 55 Ce texte est traduit en 1906 déjà, mais il n’est publié qu’en 1918.

34 par Camille Claudel statuaire [Socha řka Kamila Claudelová, 1907] 56 , le Magnificat [Magnificat, 1910], le Partage de midi [Polední úd ěl, 1910] 57 et la fameuse pièce L’Annonce faite à Marie [Zv ěstování Pann ě Marii, 1913] 58 . Mais sa mort prématurée brise tous ces efforts, elle ne lui permet de traduire que l’un des « éloges » aux Saints tchèques, le poème « Saint Venceslas » tiré du recueil poétique Images saintes de Bohême ; en Bohême tardivement publié sous le titre Svaté obrázky české .59 Il faudrait encore souligner le dialogue de Marten Nad m ěstem [Au dessus de la ville] 60 , ou Michel et Alain, ainsi que Claudel et Marten contemplent l’avenir de la nation tchèque. Ensuite les lecteurs tchèques ont pu lire aussi des textes claudéliens dans la traduction postérieure d’Arnošt Procházka (mais ses traductions étaient réconnues moins sensibles au vers claudélien par la critique tchèque) ou dans celle d´Otto František Babler, de Ji ří Kon ůpek et de Jan Čep (à ce propos voir même l’annexe consacrée aux éditions tchèques et slovaques des traductions de l’œuvre de Paul Claudel »). 61

56 C’est même Anne Delbée qui était fascinée par cette femme particulière, voir son livre Une femme , Presse de la Renaissance, Paris 1982. 57 Cette pièce est publiée chez Kamilla Neumannová à Prague. 58 La traduction marténienne est publiée chez Scéna à Prague. Le livre a paru sous le nom « Zv ěstování Panny Marie ». Contrairement, la version de Ji ří Kon ůpek porte pour son titre « Zv ěstování Pann ě Marii » ; la pièce existe même en langue slovaque « Zvestovanie ». Nous y voyons le double sens de la pièce, d’un côté, du point de vue biblique, en tant que l’Archange Gabriel annonce l’Immaculée Conception, même dans cette pièce un miracle est annoncé et est-il accompli grâce à la vocation à la sainteté de Violaine, mais par contre, nous pensons même que Violaine seule annonce son pur abandon à Dieu. 59 Ce recueil poétique comprend quatre poèmes, « Saint Venceslas », « Sainte Ludmila », « Saint Jean Nepomucène » et le dernier est dédié à l’Enfant Jésus de Prague. L’ouvrage les Images saintes de Bohême était notamment traduit en 1933 par Bohuslav Reynek et en 1958 par Jan Čep et Miroslav Šašek (publié à Rome). Voir même notre annexe. 60 Pour la première fois publié chez Ludvík Bradá č à Prague, ensuite chez Ladislav Kuncí ř (1918, 1924). L’édition française a apparu en 1935 dans la traduction de A ťa Martenová- Klecandová et Vladimír Klecanda. 61 Après Marten et d’autres artistes tchèques qui ont pu connaître personnellement l’auteur pendant son séjour à Prague (notamment le sculpteur Bílek, le poète B řezina, etc.), il n’y eut ensuite qu’un seul traducteur qui eut un certain privilège de rencontrer Claudel, il s’est agi de

35 N’oublions pas le côté slovaque, surtout le travail d’Emil Boleslav Luká č qui a même rencontré personnellement la fille de Claudel, Reine, et qui, en tant que traducteur devient l’un des diffuseurs du « claudélisme » poétique en langue slovaque. 62

l’exilé Jan Čep qui a visité le vieux Claudel dans son appartement parisien. Signalons encore qu’au cours du siècle dernier, les traductions de plusieurs textes claudéliens et même des études à sujet claudélien d’auteurs français (mais même tchèques) étaient publiés dans les revues tchèques, notamment voir la revue pour la culture catholique Archa (1912-1948), ou nous renvoyons le lecteur à l’article de F. Odvalil « Sv ěcení dne sedmého » ( A II, 1913-1914, p. 4-14, 56-60, 74-75) et même à la traduction de l’étude de Georges Duhamel « Paul Claudel » dans la traduction du même traducteur ( A XVI, 1928, p. 19-34, 162-172) ; et ensuite aux traductions des poèmes tels que « Svatý Bartolom ěj », « Svatý Václav, král a mu čedník », « K řížová cesta », « Svatý Filip » ou bien « Svatý Josef ». 62 Aux archives du Centre Jacques Petit à Besançon nous trouvons quelques coupures de traductions de quelques extraits de poèmes claudéliens qui témoignent d’un vif intérêt pour la poésie claudélienne de la part de la revue Katolický týdeník .

36 3. MONDE THÉÂTRAL CLAUDELIEN

Ce chapitre n’a qu’un seul objectif. Il veut mettre en contact la vie de Claudel et sa création littéraire. La vie de ce voyageur errant (ou bien de ce personnage double, terme qui charactérise bien la tâche de sa vie) est inséparable de son ouvrage littéraire. Nous commençons par retracer les premiers efforts artistiques du poète, nous reprennons notamment les moments qui ont causé sa conversion subite et même ceux qui ont dirigé ses pas suivants. Ensuite nous n’oublions pas de rappeler le combat intime du poète et même ses voyages et séjours à l’étranger qui ont influencé directement ou indirectement son théâtre. Pierre Claudel écrivait dans une préface qu’un jour son vieux père constata avoir passé beaucoup de temps à « noircir beaucoup de papier » dans sa longue vie de poète et d’ambassadeur. 63 Comme l’appelle Ubersfeld, Claudel est un « poète de théâtre », « poète total », car son œuvre, lyrique, dramatique, critique et exégétique atteint une renommée universelle grâce à son inspiration, à son importance et aussi à son étendue et sa variété. Et comme ajoute encore son fils, son œuvre est l’ « une des plus considérables de la littérature française, comparable à celle d’un Balzac et d’un . » 64 Ajoutons encore que selon les dires d’un auteur d’article critique de l’époque, Claudel était reconnu comme « le plus grand auteur catholique » français. L’auteur lui-même caractérise son œuvre comme « une énorme mascarade, un mélange de tragique, de mysticité et de bouffonnerie qui le perdra définitivement dans l’esprit des gens de goût. » 65 Au niveau des thèmes, Claudel privilégie le sentiment pur – celui de l’amour, qui peut se produire dans ses formes positives mais même négatives (dans ses drames nous trouvons par ex. l’amour-passion, l’amour pour autrui, l’amour céleste mais aussi l’amour adultère, etc.) mais son œuvre traite avant tout de sujets tels que la joie, la pitié, la sainteté, l’espérance, la question de la déchristianisation, le mélange des origines et des cultures, la question du règne de l’économique, enfin la haine, la souffrance humaine

63 Cette richesse peut s’expliquer par la forte discipline de l’auteur qui se levait très tôt et qui consacrait deux heures tous les matins à son travail poétique. 64 Claudel, P., Préface, Catalogue complet , Centre international de recherches claudéliennes, Zürich 1977, p. 5. 65 Claudel, P., Correspondance Paul Claudel – Darius Milhaud , Gallimard, Paris 1961, p. 77.

37 ou la mort, pour ainsi dire des thèmes universels, toujours attractifs et fascinant les lecteurs de ses drames ; au moins c’est ce message intemporel qui correspond aux questions du monde moderne ; selon Calvet, il s’agit de la littérature qui a une « résonance chrétienne », « le sens et le goût du mystère ». 66 Donc Claudel appartient à cette littérature, dont Jean Calvet disait qu’il s’agissait d’une littérature née dans un « grand siècle littéraire et catholique » et qu’il reconnaissait à ce poète comme à quelques autres auteurs convertis, un talent « spontané », « vivant » et « ardent ». « Je [Claudel] vis, comme vous savez, loin de Paris, et je suis mal placé pour me faire une opinion sur des questions de modes, qu’il s’agisse de littérature ou de chapeaux de femmes. Personnellement, je m’efforce d’exprimer mes idées, sous la forme qui leur est la mieux appropriée. […] En d’autres mots, je n’ai aucune conception générale du Théâtre ou de la Poésie, mais je considère les formes dramatique (sic!) ou poétique (sic!) comme des moyens qui conviennent à exprimer certaines de mes pensées. […] Penseur, il a charge de penser, et, écrivain, d’écrire, pour le public, pour le peuple […]. On écrit toujours à quelqu’un, l’écrivain est celui qui écrit à personne. » 67 Nous voyons que Claudel « loin de Paris » (Claudel voyage d’un continent à l’autre ; sa carrière de diplomate qui dure presque quarante ans l’amène sur tous les continents et au moment de la rédaction de ces mots, il est chargé de mission en Chine) souligne que sa pensée qui est une vision du monde spirituel ne peut qu’être chantée par la poésie (son vers particulier est inspiré par les anciens chants liturgiques des bénédictins et même par le ton des textes bibliques, la forme de sa poésie est très proche de la prose, nous pouvons parler du « verset de prose rythmée » ou du « vers libérés ») 68 et encadré dans le drame. La poésie incarne pour notre poète, comme notamment pour le couple Suzanne Renaud et Bohulav Reynek « l’expression par

66 Calvet, J., Le Renouveau catholique , 1927, p. 13. 67 Le Cardonnel, G., Valley, Ch., La Littérature contemporaine , Mercure de France, Paris 1905, p. 170-171. 68 L’abbé Calvet ajoute que le jeune Claudel n’avait pas de temps, aucune possibilité de former une autre poésie, car il débute à l’époque où le symbolisme est à son apogée et même les influences artistiques sont interrompues à cause de ses voyages et séjours à l’étranger. « De la chapelle Symboliste, il passait sans transition dans cette sorte d’exil qu’est la vie des consulats et des ambassades, emportant une image définitive de la poésie. […] Il n’avait pas eu le temps de s’habituer à une image du monde, […] », Calvet, J., Le Renouveau catholique , p. 191.

38 excellence de la prière ». Et comme le constate un critique après une conférence prononcée par F. X. Šalda, c’est la foi qui est un élément indispensable de la création poétique claudélienne et la réligion de l’auteur est considérée comme une chose évidente dont on ne discute pas. « […] Ce n’est pas seulement un simple renouveau de l’ancien, où joueraient un rôle cardinal le décor, les bougies, l’encens, il s’agit d’une création réelle et véritable […]. 69 » L’héritage tant littéraire que humain que ce créateur nous a laissé est sans doute énorme et très varié. Cet auteur de la vision « universelle », « royaliste », « catholique » était tout au long de sa carrière inépuisable en ce qui concerne les sujets, il composait des textes poétiques, réflexions, essais et vers la fin de sa vie il devient aussi un pur commentateur des textes bibliques. En général, nous pouvons même dire, qu’il s’agit toujours d’une synthèse de deux arts, ce qui nous permet de parler, nous l’espérons ainsi, du théâtre-musique (rappelons les oratorios de Claudel), du théâtre-poésie (voir toute la production théâtrale) et du théâtre-danse unissant l’art du théâtre et celui de la danse (notamment nous pensons aux ballets pour Nijinski). Mais sans doute nous pouvons dire que son théâtre constitue la partie principale de son héritage littéraire. Jacques Madaule disait que pour Claudel le théâtre représentait « la première forme sous laquelle s’est exprimé son génie, et la principale pendant quarante ans, […]. » 70 Les pièces de théâtre de Claudel remplissent ainsi deux éditions complètes de la Pléiade, regroupées par Jacques Madaule sous le titre Théâtre I et Théâtre II . En général nous pouvons diviser le théâtre claudélien en quelques groupes. D’abord, il s’agit des premiers essais dramatiques tels que l’Endormie et Fragment d’un drame et d’une série de drames réunies sous le titre l’Arbre qui comprend les pièces Tête d’Or , La Ville , La Jeune Fille Violaine , L’Échange et Le Repos du Septième Jour . Ensuite nous rangeons une par une les pièces de théâtre le Partage de midi et L’Annonce faite à Marie qui méritent notre attention en tant que textes ouvrant une nouvelle « vague » de son théâtre. Suivent la trilogie des Coûfontaine représenté par les drames L’Otage , Le Pain dur et Le Père

69 Citation originale : „U Claudela je podmínkou tvorby víra v cosi, co je samoz řejmé a o čem se již nediskutuje. Není to tedy pouhý návrat k něč emu starému, kde by hrály hlavní roli dekorace, svíce, kadidlo, nýbrž jde zde o skute čnou, opravdovou tvorbu […] (Cf. [Non-signé], Zájem o náboženství stoupá, Archa , II, 1913-1914, p. 139.) 70 Voir notamment Œuvres complètes (tome I), Gallimard, Paris 1954, p. 7.

39 humilié , ensuite le Protée et L’Ours et la Lune . Enfin il faut citer le chef d’œuvre claudélien Le Soulier de satin , sans oublier La Lune à la recherche d’elle-même et divers oratorios et ballets. Mais n’oublions pas non plus Claudel traducteur (influence d’Eschyle), les petits textes de méditations (notamment sur l’art de la peinture, etc.) et même plusieurs remaniements de ses drames. Nous pouvons constater que les premiers textes dramatiques date de l’époque de la conversion de l’auteur. 71 « C’est à ce moment que j’écrivis les premières versions de mes drames Tête d’Or , et la Ville .72 » C’est ainsi grâce à l’expérience mystique que le jeune Claudel peut se consacrer entièrement à la poésie spirituelle. Même la Bible lui sert en tant que point de départ, elle reste pour lui la source de base tout au long de sa vie, la religion chrétienne est une inspiration vive et perpétuelle, pour ainsi dire « fons vivus » pour Claudel. André Alter constate que la conversion et surtout la lecture des Illuminations et d’Une saison en enfer de Rimbaud 73 deviennent pour le poète « la base du langage » et « le pivot autour duquel se développeront tous les drames claudéliens. » 74 Pour Claudel la rencontre avec les livres rimbaldiens présente une « première lueur de vérité » qui joue dans sa jeune vie et même dans sa conversion artistique un rôle « prépondérant ». Mais avant cette première conversion, disons, que depuis l’enfance jusqu’à l’âge de ses dix-huit ans, Claudel est indifférent aux questions spirituelles, il reste pour ainsi dire «

71 Étant doué, il compose de petits textes depuis l’enfance. 72 Cf. Claudel. Œuvre en prose , Gallimard, Paris 1965, p. 1012. 73 L’abbé Calvet voit la première source de ce courant de renouveau, dans la poésie de Rimbaud. Il en disait que dans ses vers il y a « les plus rigides trop d’équivoques souplesses, et trop de fièvres et trop de poisons. Mais cet enfant prodigue de la poésie, qui aimait faire des saisons en enfer, sentit jusqu’à la nausée l’amertume du péché, il découvrit la douleur et la mort qui nous ont été données pour en guérir et il rêva de la maison du Père […] Il y avait quelque chose de nouveau, que Baudelaire avait crée, le frisson religieux et la nostalgie du divin ». Voir Le Renouveau catholique , p. 14. Claudel trouve les Illuminations dans la revue La Vogue en juin 1886, ensuite en automne, la revue contient même le texte d’ Une Saison en Enfer . 74 Voir Alter, A., Essai d’une chronologie de l’œuvre théâtrale de Paul Claudel, Cahiers de la Compagnie Madelaine Renaud – Jean-Louis Barrault (Paul Claudel et Christophe Colomb), Julliard 1953, p. 89.

40 muet » aux gestes du Seigneur. 75 « A la fin du XIX e siècle, le matérialisme scientifique était maître du terrain ; on le monnayait, on le vulgarisait, on l’insérait dans les institutions et dans les faits sous le nom de laïcité, et pour lui donner plus de prestige aux yeux du peuple, on le transformait en une sorte de religion. 76 » Comme toute sa génération, même Claudel dans ce temps d’athéisme est pleinement nourri par la non-croyance, d’abord, il écoute les théories comme celles de Renan ou Taine, c’est-à-dire celles de la génération qui a remplacé la religion par la science. La science devient la méthode de vie, constate Calvet. « Après avoir absorbé le poison comme tous ses contemporains, il l’a rejeté violemment, il est revenu au catéchisme de son enfance et il a retrouvé, avec une plénitude qu’on rencontrerait difficilement ailleurs, l’état de la vieille France croyante et riante. » 77 Les principaux moments de sa conversion sont bien racontés par étapes dans le texte « Ma conversion ». Le ton de ce texte intime montre, d’une manière poétique, une métamorphose, une transfiguration de l’état d’un être mort à l’état d’un être vivant. 78 Mais

75 Comme disait l’auteur, sa communion de 1880 fut « le couronnement » et en même temps « le terme » de ses pratiques réligieuses. 76 Calvet, J., Le Renouveau catholique , p. 143-144. Dans l’ouvrage en question, le lecteur interessé peut trouver des études consacrées aux poètes suivants : Paul Verlaine (considéré en tant qu’un premier initiataire), J.-K. Huysmans, Maurice Barrès, Paul Bourget, René Bazin en tant que des initiataires du mouvement littéraire catholique ; ensuite Charles Péguy, Ernest Psichari, Paul Claudel, Francis Jammes, Louis Mercier, Émile Baumann, Louis Le Cardonnel et de Georges Goyau en tant que des grands réalisateurs. La quatrième partie de l’ouvrage en question est réservée notamment aux autres poètes et dramaturges et aux vies des saints. Il faut même pointer que Calvet parle plutôt de « belles vocations individuelles, religieuses ou artistiques » qu’un courant général de spiritualité. 77 Calvet, J., Le Renouveau catholique , p. 144. 78 « […] J’ai été élévé, ou plutôt instruit, d’abord par un professeur libre, puis dans des collèges (laïcs) de province, puis enfin au lycée Louis-le-Grand. Dès mon entrée dans cet établissement, j’avais perdu la fois, qui me semblait inconciliable avec la pluralité des mondes. […] Je vivais d’ailleurs dans l’immoralité et peu à peu je tombai dans un état de désespoir. La mort de mon grand-père, que j’avais vu de longs mois rongé par un cancer à l’estomac, m’avait inspiré une profonde terreur et la pensée de la mort ne me quittait pas. J’avais complètment oublié la religion et j’étais à son égard d’une ignorance de sauvage. […] Tel était le malheureux enfant qui, […] se rendit à Notre-Dame de Paris pour y suivre les offices de Noël. […] C’est dans ces dispositions

41 ce « baiser du papillon », cette « conversion subite 79 » qui s’est produite « près du second pilier à l’entrée du chœur à droite du côté de la sacristie » en 1886 80 , ne retrace qu’un plus ou moins long « chemin de la croix » intime, car Claudel doit encore attendre quelques années pour entrer pleinement et éternellement au sein de l’Église catholique. 81 Et comme il le dit, « [C]ette résistance a duré quatre ans. J’ose dire que je fis une belle défense et que la lutte fut loyale et complète. 82 » Or, Claudel rentre « par les rues pluvieuses » chez lui où il ouvre la Bible qu’ une amie protestante a donnée à sa sœur aînée Camille. Il lit le texte très attentivement et conste : « [C’]était l’homme nouveau en moi qui parlait ainsi, mais l’ancien résistait de toutes ses forces et ne voulait rien abandonner de cette vie qui s’ouvrait à lui. 83 » Pendant cette résistance, Claudel cherche le courage pour réussir et résister. Enfin, le trouvant, il entre dans l’église de Saint-Médard où il rencontre selon son que, coudoyé et bousculé par la foule, j’assistai, avec un plaisir médiocre à la grand’messe. Puis, n’ayant rien de mieux à faire, je revins aux vêpres. (nous ajoutons qu’en ce moment les enfant de la maîtrise et les élèves d’un séminaire chantaient le Magnificat ) […] Et c’est alors que se produisit l’événement qui domine toute ma vie. En un instant mon cœur fut touché et je crus . […] C’est vrai ! Dieu existe, il est là. C’est quelqu’un, c’est un être aussi personnel que moi ! Il m’aime, il m’appelle. » (Voir le texte « Ma Convertion » tiré du recueil Contacts et Circonstances ; nous puissons du texte publié dans Claudel. Œuvre en prose , Gallimard, Paris 1965, p. 1008-1014.) 79 Il parait que cette conversion sentimentale subite est un cas très fréquente dans cette époque- là. 80 L’année avec un fort symbolisme pour le jeune poète, Claudel est né en 1868. Le même symbolisme relève le titre Une Saison en enfer et le nom de la rue « D’Enfer ». 81 Il faut mentionner l’un des doubles rôles du poète, l’un du converti et l’autre du convertisseur, car Claudel lui-même est plus tard l’instrument fructueux (qu’il soit réussi ou non) de la conversion de plusieurs amis à travers son œuvre et son active correspondance. À ce sujet des multiples conversions d’intélectuels, écrivains et artistes français (Jammes, Frizeau et tant d’autres) au cours de la fin du 19ème et au début du 20ème siècles voir un joli et précieux ouvrage La conversion des intellectuels au catholicisme en France 1885-1935 de Frédéric Gugelot. Nous signalons encore un autre récent ouvrage consacré à la conversion de Joris-Karl Huysmans qui aborde partiellement la conversion de Paul Claudel et de Paul Verlaine - La Conversion de Joris- Karl Huysmans de Václava Bakešová (pour les données bibliographiques complètes voir le bilan final de la littérature étudiée). 82 Cf. Claudel. Œuvre en prose , Gallimard, Paris 1965, p. 1011. 83 Ibid., p. 1012.

42 propre souvenir, d’abord, un vieux, et plus tard, deux jeunes prêtres « miséricordieux et fraternels ». Son combat intime est terminé pour l’instant (Claudel devient un catholique ardent, qui est connu pour son haut crédit moral, en plus, il devient l’instrument de la conversion aux mains de Dieu), on peut dire que sa lutte se termine à l’intérieur de la même église et le jour même (Notre-Dame, le 25 décembre), ou le jeune poète fait sa seconde communion (1890), ce qui lui permet de rétablir pleinement sa vie. Mais nous savons que dans la vie de chaque personne (et qu’il s’agisse d’un non- chrétien ou d’un fidèle catholique), il y a des moments forts et faibles, surtout s’ils succèdent à une nouvelle étape de la vie. Donc, même la nouvelle vie de Claudel est très fragile, elle est tentée par un démon, car il nous semble que la vie de ce converti endurci parraît perturbée ou osons même dire paralysée à un moment vécu en plein maturité, au moment de ce « Media vita » (comme est appelé un poème d’auteur anonyme du moyen âge) et qui a été, au moins, éternisé dans sa pièce le Partage de midi , pièce pour ainsi dire écrite sous « l’impression toute vivante ». Donc Claudel vivant dix ans dans un calme relatif et menant une honnête vie, entre dans la plus grande crise de sa vie, il doit subir presque une épreuve diabolique qui lui coute presque son âme et sa vie. 84

84 Depuis 1896 la vocation religieuse de Claudel s’approfondit, il doute plus fortement de sa vie de fonctionnaire, il désire tout quitter, se séparer de ce monde, et pendant son retour en France 1989-1900) il effectue un pèlerinage aux Lieux saints (Syrie et Palestine), retrouve Paris, Villeneuve, ensuite il fait même sa retraite dans l’abbaye de Solesmes et ensuite à celle de Ligugé en septembre-octobre de 1900. Et c’est dans ce second couvent que Claudel fait le choix (entre la vie dans le couvent et dans le monde) et décide de continuer sa vie d’ambassadeur et en même temps de poète. « Après que j’eus été reçu oblat au monastère de Ligugé, mes supérieurs, probablement pour m’éprouver davantage, ont jugé que je devais revenir en Chine. C’a été un grand déchirement pour moi, parce qu’un sacrifice comme celui que j’avais fait ne se refait pas deux fois dans l’existence. Je me rappelle qu’à ce moment-là, je suis monté dans la chapelle des novices, à Ligugé, et je suis resté là en grande perplexité pour savoir ce que je devais faire. Alors j’ai reçu une réponse très nette, très catégorique et parfaitement simple : non . » (Cf. Claudel, P., Mémoires improvisés , p. 150.) Donc, l’un des douloureux combats se termine pour l’instant. Mais, l’autre, encore pire que le premier, est en train de naître en 1901, quand Claudel quitte la France sur l’Ernest-Simons pour reprendre son poste en Chine. C’est à ce moment qui s’est passé la rencontre avec Rosalie Vetchs ; cette amitié pasionnée se passe dans l’abri du consulat et dure jusqu’au départ subit de Rosalie en 1904 (son marie est ruiné, Claudel l’apprend de la commission

43 Le livre en question est publié anonymement en 1906 (l’action met en scène une femme et trois hommes), et décrit cette lutte entre la chair et l’esprit de l’homme. Elle aborde le combat intime et le souvenir personnel du poète, elle l’aide à surmonter les obstacles du monde terrestre. Mais il s’agit aussi d’une pièce disons « frontière » qui autorise et ouvre une nouvelle vision d’art poétique de Claudel, une vision qui n’est plus intime, personnelle mais qui lui permet de regarder les choses d’une façon universelle, plus complète, de voir le monde de manière « deus ex machina » et de proposer des personnages « objectifs » et « extérieurs ». Pour ce qui concerne cette pièce, Claudel n’a laissé publier qu’un nombre limité d’exemplaires, cette édition anonyme et privée (presque clandestine) n’est destinée à circuler que dans le cercle de ses proches amis. En plus, au départ, le poète hésite à autoriser l’adaptation de ses pièces pour le théâtre. 85 Quels peuvent être les raisons d’une telle décision ? C’est l’auteur lui-même qui nous simplifie la réponse dans ses entretiens avec Jean Amrouche : « Parce que ça touchait à des questions très intimes, dont les acteurs étaient encore vivants, et s’était quelque chose d’encore très personnel, et une souffrance qui n’était pas encore complètement apaisée. Et en plus j’avais consulté un ecclésiastique qui m’avait dissuadé de le publier. » 86 Donc, la publication anonyme de cette pièce est presque impossible à cause de l’intimité du sujet traité et de la forme biographique de la pièce (la passion reconnue pour une Étrangère, une d’enquête). Pendant le voyage Rosalie rencontre un nouveau homme Linther sur le bateau et cesse de répondre aux lettres de Claudel. Même lui, il revient en France en avril 1905 (pour un an). Marten-Schmets ajoute qu’il est possible que Claudel poursuit Ysé. Claudel est retourné chez les Bénédictins (souvent on pense qu’il revient à Ligugé ou au couvent à Herck-la-Ville en Belgique), mais selon Marten-Schmets, le poète doit séjourner à Chevetogne en Belgique en 1905, car les moines étant expulsés de France, trouvent leur nouveau asile en Belgique, d’abord dans un ancien couvent de Herck-la-Ville (Limbourg, ils y sont regroupés en 1901) mais deux ans plus tard, la communauté s’installe à Chevetogne (dans ce cas, cet asile dure vingt ans, et ce n’est qu’en 1923 que les Bénédictins retournent à Ligugé). Donc si Claudel reprend le contact avec les moines, ce n’est qu’à Chevetogne. (Cf. Marten-Schmets, V., Paul Claudel et la Belgique (tome I), Service de reproduction des thèses, Université de Lille III, 1981, p. 186-195.) 85 Notamment c’est l’actrice Marie Kalff d’origine hollandaise qui en collaboration avec son futur mari le littéraire Lenormand veut mettre en scène le drame claudélien dans la première décennie du siècle dernier. Mais Claudel refuse longtemps toutes ces activités scéniques. 86 Cf. Mémoire improvisés , Gallimard, Paris 1954, p. 174.

44 Slave d’origine polonaise Rosalie Vetsch, vécue en 1900 pendant le voyage du jeune Claudel en Extrême-Orient, revécue au consulat jusqu’en 1904, il s’agissait d’une femme mariée et mère de quelques enfants) 87 , ensuite imaginons aussi le statut de sa fonction (Claudel n’est pas trop aimé au Ministère à cause de sa religiosité). Il faudrait même penser aux questions que posait la morale et aux réactions des milieux ecclésiastiques, mais d’un autre côté, disons que la parution d’un tel sujet est peut-être nécessitée par le besoin d’oublier, de tirer un trait sur cette tragédie intime et de continuer la vie. C’est aussi le second récit fictif de l’ouvrage marténien intitulé Fons amoris. Lettres de Desmond Benson ,88 écrit sous forme épistolaire de Prague en fin d’été, qui peut nous éclaircir quelques questions du sujet traité. 89 Sans doute, le lecteur fervent peut trouver entre les lignes de ce petit livre un message caché. 90 Dans les sept lettres fictives signées le

87 Bien des années plus tard, le souvenir de Claudel revient fortement à cause d’une lettre que Rosalie Vetch adresse au poète. Enfin Claudel rencontre Mme Vetch et sa fille à Londres en 1921. 88 Cf. Marten, M., Dravci [Les rapaces ], éd. Hovorka, Praha 1913. Le recueil contient trois nouvelles : Ran ěná Amazonka. Z papír ů Mariana C. [L’Amazone blessée. Tiré des papiers de Marian C. ], récit inspiré par Camille, sœur chérie de Claudel (Camille vivait dans l’amour de Rodin, elle est enceinte, mais le sculpteur refuse de quitter sa vieille compagne, pourtant Camille prend peur du scandale, et il est même possible qu’elle ait peur d’élever seul son enfant ; elle décide de subir un avortement ; donc ces expériences peuvent sans doute provoquer l’instabilité dans une jeune âme ; enfin elle est arrêtée et internée après la mort de son père, qui, de son vivant le refusait) ; Fons Amoris. Listy Desmonda Bensona [Fons Amoris. Lettres de Desmond Benson] et Dravci : Rozhovor jedné noci [Les rapaces. Dialogue d’une nuit]. Seul le premier récit a été récemment traduit par Jean Gaspar Pálení ček (à ce sujet voir Bulletin , n°190, p. 31-47). 89 Dans le premier récit nous pouvons reconnaître les traces de l’inspiration de Camille Claudel statuaire (voir à ce sujet l’article de Marie-Victoire Nantet publié dans le Bulletin , n°190) ainsi que dans le second celle de la pièce le Partage de midi . 90 La date de la publication de ce recueil (1913) et même le ton de ces lettres fictives n’empêchent pas de faire quelques réflexions à ce sujet. Nous pouvons y suivre deux axes d’inspiration qui influençait Marten. D’abord il s’agit de l’influence disons indirecte qui se réalise à travers la passion du jeune essayiste tchèque pour les textes claudéliens, cette passion grandit sous l’influence de la correspondance échangée depuis 1907 ; ensuite on ne peut point écarter le point principal qui concerne la traduction de la pièce le Partage de midi en 1910 et le séjour personnel de Claudel à Prague entre les années 1909 et 1911. Et comme le duo Marten-Braunerová (un duo inséparable de Claudel, qui est malheureusement terminé à la mort prématurée de Marten) aide

45 plus souvent Desmond ou Desmond D. (une lettre reste anonyme), le personnage fictif parle de « […] l’un de "ses livres", dans lequel l’amour et la pitié fusionnent à l’unisson de la tendresse si poignante. » 91 L’un de ces livres est sans doute le Partage de midi , mais dans ce cas, Ysé, cette femme « grande », « blonde », « belle », est appelée Liane et Mesa alias Desmond Benson ne peut lui proposer qu’un simple vertige, une simple ivresse au lieu du bonheur capable d’assouvir le démon dans son âme. Desmond parle de « l’amour- jeu », de « l’amour-drogué » pour oublier la vie et de « l’amour-le faux de la vie » dont la vérité est si affreuse. 92 Enfin il avoue que ce n’était pas cette femme qui était l’objet de sa passion mais un grand mystère de la vie qui s’incarnait dans son corps. Claudel fait dire par la voix de son personnage fictif Mesa qu’il est perdu et déchiré par l’appel de la chair et de l’esprit. Il considère la vie sur terre et celle cachée, menée dans le monastère ; il hésite entre l’amour pour la bien-aimée bien interdite et la dévotion pour Dieu. Deux axes mais une seule solution possible – c’est-à-dire rester dans ce monde matériel ou bien le quitter. Claudel-Mesa choisit la première possibilité, c’est-à-dire rester dans ce monde et vivre sa vie. Si le lecteur nous permet de citer pour la dernière fois le recueil Les rapaces de Marten, son personnage Desmond Benson esquisse les émotions finales de cette tragédie. « Je ne regrette point cette femme, mais cette illusion cruelle et tout ce qui était dévoré en moi. Une énorme obscurité, un caractère douteux, un acte d’hostilité, tout m’a tué. La fin ? J’entends – en moi ou dans l’immense lointain ? – un doux, fervent Non ! Je recommence à vivre mon propre destin, le destin de l’homme étant la souffrance, la lutte et la purification. […] Mais je suis satisfait ! Parce qu’elle m’a ouvert un fond d’amour pour que je puisse reconnaitre qu’elle n’est point la source de l’amour ? […] Je suis jeune, je sens la vérité de

Claudel à découvrir l’histoire nationale tchèque, notamment le règne de Charles IV ou bien la défaite de la Montagne-Blanche, il est très probable que le poète lui-même initie ses amis à sa tragédie de jeunesse, à sa tragédie intime et qui fut même bien incarnée par le personnage de Mesa du drame en question. 91 Citation originale : „Sed ěla p řed plavým trávníkem, v ohni západu, s knihou v ruce. Byla to náhoda? Ona kniha byl Neznámý Eros (víte ješt ě?), jedna z „mých“ knih, v níž láska a zbožnost splývají v unissono tak pal čivé n ěhy.“ (Marten, M., Dravci , p. 28). 92 Ibid., p. 40, citation originale : „[…]láska-hra, láska-sebeomámení, aby se zapomn ěl život, vniknuvší do duše jako jed, láska-lež života, jehož pravda je p říliš hrozná […].

46 la vie comme un buisson rouge devant mes yeux et une certaine possibilité de renaissance de mes veines ! Tout m’attend. Des villes et gens, pensées, actes, […]. » 93 Ainsi, pour Claudel ce douloureux combat se termine ou bien semble finir au moment du mariage avec Reine Sainte-Marie Perrin en 1906 (mais nous pensons, que quelque chose de plus qu’un simple souvenir, qu’un simple vertige, demeure éternellement dans l’âme du poète, il parait que Claudel sera poursuivi par le passé pour le reste de sa vie). Pour Mesa, le mariage est toujours impossible, il ne peut se réaliser qu’après la mort des protagonistes, c’est-à-dire que leurs corps s’unissent dans le monde céleste. Parmi d’autres moments, il faut encore mentionner le commencement de sa carrière diplomatique, car les voyages de Claudel ne peuvent pas être isolés de la vie et de la création du poète, il s’agit des séjours en Amérique du Nord et du Sud (États-Unis, Brésil), en Asie (Chine, Japon), ensuite en Europe (notamment le premier poste sur ce continent est celui du consulat de Prague ainsi que le dernier Bruxelles), toutes ces expériences influencent son œuvre. « La beauté du monde, sa richesse liée à l’économique, ses conflits et son tragique, c’est ce que montre au poète son voyage à travers les continents. » 94 Donc toutes les expériences nouvelles lui permettent d’absorber toutes les particularités découvertes dans les pays visités que l’auteur est capable de réfléter dans son monde théâtral, disons, que chaque étape de sa vie correspond à une étape de création. Nous osons dire que Claudel doit beaucoup à son travail de diplomate, car ses postes déterminent directement ou indirectement son œuvre, et précisément, comme le poète parcourt ce monde, ce sont même ses personnages qui vivent leurs propres tragédies, leurs fatalités, presque dans toutes les époques et dans tous les continents. Dans ce sens, il faut parler de théâtre « total » ou bien de « théâtre cosmique », ce qui est si parfaitement visible dans son chef d’œuvre Le Soulier de Satin qui incarne cette expérience de la poésie totale. Jean-

93 Marten, M., Dravci , p. 44, citation originale : „Neželím této ženy, ale krutého klamu a toho, co ve mn ě zni čil. Velký černý stín, pochybnost o všem, cit nep řátelství všeho padl mi na duši. Konec? Slyším – v sob ě či v nesmírné dáli? – tiché, horoucí Ne! Za čínám žíti sv ůj osud, lidský osud, který je strast, boj a o čistný ohe ň! […] Ale jsem vd ěč en! Protože mn ě otev řela pramen lásky, bych poznal, že není pramenem života? […] Jsem mlád, cítím pravdu života jako ho řící ke ř p řed sebou, a možnost znovuzrození ve všech žilách! Všecko mne o čekává. M ěsta a lidé, myšlenky, činy, […].“ 94 Ubersfeld, A., Paul Claudel, poète du XX e siècle , p. 5.

47 Louis Barrault, cet excellent metteur en scène de Claudel, comprend un théâtre cosmique comme une synthèse de plusieurs éléments (spatiaux, physiques, corporels, temporels, musicaux, etc.), notamment il s’agit de la synthèse de la voix, des gestes, des mouvements corporels des comédiens, de la synthèse de la musique et de la danse, mais il est même question de grandes constructions du décor ou bien de vidéo projetant l’atmosphère du lointain. Donc il s’agit du théâtre qui aspire à cette « cosmicité », à cette « globalité », pour ainsi dire il s’agit de transformer une petite scène de théâtre en un lieu non-limité - le monde. 95 Et nous osons dire que cette aspiration à la cosmicité se reflète même dans la typologie des personnages, qui va des gens ordinaires (femme, mère, homme, père, amant,) jusqu’aux types disons exotiques tels que le Chinois ou bien la Négresse Jobarbara, ou bien des êtres surnaturels, notamment L’Ange Gardien ou plusieurs saints qui unissent le monde terrestre avec le monde céleste. En guise de conclusion de ce chapitre résumons dans le tableau suivant quelques moments décisifs qui ont formé l’âme du poète et influençé même la phase finale de sa poésie. Premièrement, il s’agit de la lecture de Rimbaud. Dans sa poésie Claudel trouve son modèle. Ensuite nous pensons aux mardis de Mallarmé où l’auteur peut confronter ses idées, puis à l’influence disons indirecte de ses proches (la mort pénible de son grand-père, la mort du père, enfin la grande douleur de l’internement de Camille), ensuite à la conversion de Notre-Dame qui commence sa transfiguration, sa purification mentale et physique, la rencontre avec la parole du Seigneur, mais n’oublions pas non plus le moment où le jeune homme passe le concours du Ministère des Affaires étrangères, qui est pour ainsi dire, un moment qui lui permet d’accomplir son œuvre.

95 Pavis sous le terme « théâtre total » dit qu’il s’agit de la «[R]eprésentation qui vise à utiliser tous les moyens artistiques disponibles pour produire un spectacle faisant appel à tous les sens et créant ainsi l’impression d’une totalité et d’une richesse de signification subjuguant le public. []. » (Cf. Pavis, P., Dictionnaire du théâtre , Armand Colin, Paris 2009, p. 380.)

48 Moments capitaux de la vie du poète

1880 première communion 1881 Grand-père agonie sous les yeux de Claudel âgé de treize ans 1882 vocation d’écrivain lecture des Illuminations et d’Une Saisons en Enfer 1886 conversion pendant les vêpres à Notre-Dame lecture de la bible protestante 1888 fréquente le sallon de Mallarmé année-clef, seconde communion, le combat intime se termine, retour à la pratique réligieuse 1890 concours au Ministère des Affaires étrangères Départ pour l’Amérique, une nouvelle vision du monde 1894 Nommé en Chine 1895 doutes, voyage en Extrême-Orient 1897 Une nouvelle vocation réligieuse, question du désir de se séparer de ce monde 1896-1899 relecture des textes bibliques, lecture de saint Thomas d’Aquin voyage en France, pèlerinage aux Lieux saints, Paris, Villeneuve, retraite à l’abbaye bénédictine de Solesmes, puis de Ligugé, question du choix 1899-1890 entre le couvent et la vie dans ce monde : « Rester ou quitter ce monde ? », la réponse ne tarde pas, « Continue dans la vie du fonctionnaire et en même temps du poète » 1900 arrivée en France, retraites (septembre-octobre) à Solesmes et Ligugé 1901 retour en Chine sur l’Ernest-Simons, « l’heure de midi », rencontre avec Rosalie Vetch 1904 Départ de Rosalie Vetch 1905 l’année frontière, décissive, débarquement en France, séjour chez les Bénédictins, solution, fiançailles 1906 Mariage à Lyon dans l’intimité, départ à Peking 1913 mort de Louis-Prosper Claudel, internement de Camille 1917 Première lettre de Rosalie Vetsch après treize ans, compréhension, réfonte du Partage de midi 1921 Nommé ambassadeur au Japon, rencontre avec sa fille Louise

49 4. PERSONNAGE CLAUDÉLIEN

Dans ce chapitre nous voulons définir un personnage claudélien. Quel(s) type(s) de personnage(s) est-il possible découvrir dans l’œuvre dramatique claudélienne ? Vladimir Propp dans son travail éminent Morphologie du conte populaire russe mettait au point la conception « fonctionnelle » du modèle actantiel et même des fonctions du récit. Dans cet ouvrage qui est consacré à l’analyse des types de caractères et d’actions dans la multitude du conte merveilleux russe, Propp constate, que ce sont les noms et les attributs des personnages qui changent, mais qu’au contraire les fonctions ne changent pas. Il a même constaté que le nombre des fonctions est limité, elles sont constantes, il les dénombre et s’arrête au chiffre de 31 fonctions (sans oublier leurs variations, mais il faut aussi penser à leur caractère binaire, car dans ce cas, nous n’obtenons qu’un nombre de 20 fonctions). La fonction est, aux dires de Propp, la plus petite unité narrative. La combinaison de ces unités forme des séquences. Dans sa conception, il détermine sept types de personnages ou plus précisément disons sept « sphères d’action » ou bien « sphères d’activités » (l’utilisation du terme « personnage » nous semble être problématique, il faudrait plutôt parler des actants) attribuées aux personnages auxquelles Propp donnent les noms suivants : l’Agresseur, le Donateur, l’Auxiliaire, le Mandateur, l’Objet de la quête (La Princesse), le Héros et le Faux Héros 96 , c’est-à-dire sept sphères d’action qui peuvent aussi être appliquées aux drames en général et qui ont été même soumises aux regards

96 Propp a crée cette liste de fonctions ou bien situations : dans la séquence préparatoire l’auteur range les fonctions d’une façon suivante - absence, prohibition ou interdiction, violation ou transgression, enquête ou interrogation, renseignement, déception, soumission ou complicité; ensuite dans la première séquence – traîtrise, manque, mandement, décision du héros, départ, assignation d’une épreuve (première fonction du donnateur), affrontement de l’épreuve (réaction du héros), réception de l’adjuvant (transmission), transfert spatial, combat, marque, victoire; finalement dans la seconde séquence - liquidation du manque, retour du héros, persécution (poursuite), délivrance (secours), arrivée incognito du héros, traîtrise (imposture), assignation d’une tâche, réussite, reconnaissance du héros, révélation du traître, révélation du héros, punition et mariage. Un inventaire trop large qui est encore réduit en couple (par ex. prohibition vs violatio; déception vs soumission, combat vs victoire).

50 critiques et reprises par plusieurs chercheurs, nous pensons notamment aux modèles actantiels de Greimas ou bien d’Anne Ubersfeld. 97 Avant de parler des modèles actantiels que nous découvrons dans le théâtre de Claudel, il nous semble utile de rappeler la riche liste des situations dramatiques qui était proposée par Georges Polti, même si, l’autre théoricien, Étienne Souriau, dans son ouvrage Les deux cent mille situations dramatiques exprime une opinion opposée à celle du quator Gozzi- Goethe-Eckermann-Polti. 98 Mais en tout cas, il nous semble important de rappeler l’ouvrage de Polti intitulé Les Trente-six Situations dramatiques (au moins, l’auteur y fait référence aux quatre pièces de Claudel) qui représente un vaste catalogue des 36 situations dramatiques reconstruites à partir de deux cents ouvrages étudiés. Parmi les livres cités, le lecteur trouve ces textes claudéliens : d’abord la pièce le Partage de Midi (XVe, A1) 99 , ensuite La Jeune fille Violaine (XIVe, A4), L’Otage (XXe, B1) et enfin nous y trouvons encore le Tête d’Or (XXVIIIe, A2). 100 Dans la conception de Polti, la pièce de théâtre le Partage de midi qui met en scène quatre personnages, une femme (Ysé) et trois hommes (De Ciz – le mari, Amalric – l’amant et Mesa – la passion) et dont le thème unificateur est celui de l’amour-passion ou disons l’amour-adultère, est rangée par l’auteur dans la

97 Greimas le considère en tant qu’un précurseur « considérable ». 98 Souriau se pose ces questions : Qu’est-ce qu’une fonction ou des fonctions ?, ou bien dans quelle mesure nous pouvons parler de la situation, des situations ? Souriau propose de parler des forces thématiques ou bien comme dit Ubersfeld, il s’agit des actions, de suite de sujets dramatiques (citons quelques exemples de ces forces – conspiration, amour (sexuel ou familial), cupidité, avarice, désir (des richesses, du luxe, du plaisir, de la beauté, etc.), envie, jalousie, haine, patriotisme, besoin (de repos, de paix, d’asile, etc.), les craintes (notamment de la mort, du péché, de la douleur, de la maladie, etc.). 99 Le premier symbole renvoie à la situation dramatique et l’autre à sa sous-catégorie. 100 Polti propose la liste de ces situations : implorer, le sauveur, la vengeance poursuivant le crime, venger proche sur proche, traqué, désastre, en proie, révolte, audacieuse tentative, enlèvement, l’enigme, obtenir, haine de proches, rivalité de proches, adultère meurtrier, folie, imprudence fatale, involontaire crime d’amour, tuer un des siens inconnu, se sacrifier à l’Idéal, se sacrifier aux proches, tout sacrifier à la Passion, devoir sacrifier les siens, rivalité d’inégaux, adultère, crimes d’amour, apprendre le déshonneur d’un être aimé, amours empêchées, aimer ennemi, l’ambition, lutte contre Dieu, jalousie erronée, erreur judiciaire, remords, retrouver, perdre les siens.

51 catégorie - « Adultère meurtrier », plus précisément elle appartient à la première sous- classe intitulée « Tuer ou laisser tuer son mari par adultère ». Cette passion vécue tout au long du voyage et ensuite en Extrême-Orient se transforme en mal, en poison ; l’adultère devient douleur et mort pour les protagonistes, l’amour-adultère tue (mais il faut dire indirectement), au moins, l’un des protagonistes de la pièce. Mais dans ce cas-là nous pouvons même parler d’une certaine rivalité vive qui se produit entre les protagonistes masculins, entre Amalric, De Ciz et Mesa, car « […], la Victime sera, je suppose, l’objet d’une ancienne rancune, dans un cas de la part de son conjoint, dans un autre de la part de l’Etranger ; cette rancune aura pour origine l’une des offenses imaginables envers un être humain, qu’il ait été blessé dans ses affections familiales, amoureuses, humanitaires, religieuses, idéales, etc., dans ses fiertés (pudeur, titre de naissance, gloire…), dans ses intérêts (argent, biens, pouvoir, liberté), dans n’importe lequel, enfin, de ses rayonnements extérieurs. » 101 Ensuite l’autre pièce La Jeune fille Violaine qui est la version antérieure de la pièce plus connue et plus célèbre publiée sous le titre L’Annonce faite à Marie (dans la première version les noms de quelques personnages diffèrent, et notamment le rôle de Pierre de Craon y est encore absent, ce personnage n’y apparaît qu’à partir de la seconde version en tant que constructeur de ponts, et dans la troisième version en tant qu’architecte, constructeur des cathédrales) fait partie de la situation « Rivalité de proches ». Cette rivalité qui se produit entre deux soeurs (Mara est dans la première version appelée Bibiane) « ne constitue dans une telle lutte qu’un prétexte, un masque à la haine plus sombre, plus ancienne, physiologique […]. » 102 La deuxième sous-catégorie de la XXème situation (« Se sacrifier à l’Idéal ») qui est intitulée « sacrifier, avec sa vie, son amour à sa foi » correspond bien à la suite des événements de l’action de la pièce précédente mais aussi à la pièce L’Otage . Cet idéal (soit politique ou religieux) appelé par Polti « honneur ou piété domestique » « exige le sacrifice de tous liens : intérêt, vie, passion, - bien mieux, idéal même, sous telle autre forme voisine, pour peu qu’elle paraisse entachée du moindre encore que du plus sublime égoïsme ! » 103 L’une des premières pièces de Claudel Tête d’or est rangée par Polti dans le groupe de la situation l’« Ambition séditieuse », mais peut

101 Polti, G., Les Trente-six Situations dramatiques , éditions d’Aujourd’hui, Mercure de France, Paris 1980, p. 86. 102 Ibid., p. 80. 103 Ibid., p. 110-111.

52 aussi être rangée dans la catégorie A1 de la situation numéro VIII (« Révolte », « Conspiration d’un individu surtout »). Et comme il l’ajoute encore, il s’agit d’une intrigue, qui était « si chère au public des trois derniers siècles […]. » 104 L’ambition, dit Polti, « […] une fois née dans un homme, ne peut plus mourir qu’avec cet homme. Et que d’objets elle convoite ! La tyrannie, un rang élevé, des honneurs, une fortune (par héritage, mariage, vol, etc.), la conservation intacte des richesses (avarice), la gloire (politique, scientifique, littéraire, inventive, artistique), la célébrité, la vanité (coquetterie, distinction). » 105 Mais cet ouvrage de Polti qui en réalité ne représente qu’un inventaire des situations dramatiques, est mal reçu surtout par Étienne Souriau, qui, comme nous l’avons déjà dit, s’oppose non seulement à cette conception de Polti, mais formule sa propre conception. (Comme le constate Greimas, nous ne savons pas si Souriau connaissait l’ouvrage de Propp). Ainsi Souriau propose son propre inventaire des actants qu’il réduit (contrairement à Propp) au nombre de six fonctions (chez Souriau actant = fonction106 ; l’auteur même critique la terminologie de Polti ; la fonction poltienne présente à vrai dire la force thématique, une situation dramatique). 107 Souriau critiqué comme étant « subjectif » et non-concret par Greimas, c’est ce second qui reprend les modèles actantiels dans son étude Sémantique structurale . Greimas à l’aide du récit de la Quête du Saint-Graal montre que les quatre actants peuvent former deux catégories, dans ce cas-là, les sphères d’actions sont les suivantes : le Sujet se présente en tant qu’Héros, qui désire ou plutôt qui est en quête du Saint-Graal (Sujet/Objet = Héros/Saint-Graal), ensuite il faut ranger Destinateur – Dieu, Destinataire – Humanité (Destinateur/Destinataire = Dieu/Humanité). Puis l’auteur reprend même le terme de

104 Polti, G., Les Trente-six Situations dramatiques , éditions d’Aujourd’hui, Mercure de France, Paris 1980, p. 54. 105 Ibid., p. 171. 106 Nous pouvons la comprendre en tant qu’inventaire limitatif des actants. 107 Souriau s’inspire de la terminologie prise des noms de planètes et signes du zodiaque, il y manifeste sa notion des forces thématiques, donc, il parle des actants tels que Lion (La Force thématique orientée), Soleil (le Représentant du Bien souhaité, de la Valeur orientante), Terre (l’Obtenteur virtuel de ce Bien, c’est celui pour lequel travaille le Lion), Mars (l’Opposant), Balance (L’Arbitre, attributeur du Bien), et le dernier actant est présenté comme Lune (la Rescousse, redoublement d’une des forces précédentes).

53 Souriau - l’Opposant, au contraire, au lieu du terme « Rescousse » il préfère utiliser celui de l’Adjuvant dû à Guy Michaud. « Le modèle actantiel est une construction syntaxique sur le modèle linguistique de la syntaxe structurale […], dont le but est de rendre compte d’une manière aussi simple et directe que possible de l’action dramatique avec ses divers facteurs. » 108 Donc, le domaine du théâtre présente un système des liaisons structurales qui est fondé sur un certain nombre d’éléments. Nous pouvons les illustrer à l’aide du schéma suivant :

Modèle actantiel ubersfeldien n° 1

Destinateur (D1) Destinataire (D2)

Sujet (S)

Objet (B)

Adjuvant (A) Opposant (Op)

Dans ce schéma nous découvrons six fonctions des personnages, six actants et comme nous le voyons, les actants se groupent en couples acteurs (dans le théâtre de Claudel il s’agit des couples mari-femme, soeur-soeur, père-fille, père-fils, mère-fille, fiancé-fiancée, etc). L’élément essentiel de la distribution des actants présente le combat du héros avec le traître. Donc, d’abord, les premiers actants (ou disons la première catégorie actantielle) sont formés par le couple Sujet et Objet - Sujet (S) en terme d’Ubersfeld est en principe non-abstrait, c’est-à-dire concret et individualisé. Le Sujet se voit être en quête (action- désir) d’un Objet (B, qui peut être soit animé ou non) et cette quête représente une seule ou plusieurs rencontres d’un ou plusieurs Adjuvant(s) (A), disons des auxiliaires et de l’autre côté du/des Opposant(s) (Op), c’est-à-dire d’adversaires. Ce schéma doit être complété

108 Ubersfeld, A., Les termes clés de l’analyse du théâtre , Seuil, 1996, p. 7.

54 encore par deux composants. Le premier est celui de la race du Destinateur (D1), car selon Ubersfeld, la recherche de l’Objet parait être « programmé par un ensemble d’éléments qui le conditionnent » et d’autant plus que le Sujet « n’est ni seul, ni autonome » dans sa quête. 109 L’autre composant concerne le Destinataire, car l’action se fait à son intention. Donc, le destinateur peut être représenté par un ordre social, par Dieu ou bien par une valeur.

Modèle actantiel ubersfeldien n° 2

D1 D2 (L’ordre social, Dieu, valeur, force, etc.) (Sujet, Cité, l’Humanité, etc.)

S (l’homme, objet, etc.)

B (l’homme, objet matériel, etc.)

A Op (homme, chose divine, etc.) (homme, force divine, etc.)

Le destinateur peut être représenté par un ordre social, Dieu, une valeur ou bien par une force individuelle, sociale ou politique, c’est-à-dire par un ensemble abstrait ou pluriel ; et dans le destinataire se reflète notamment le Sujet, la Cité ou bien l’Humanité. Appliquons ce schéma aux pièces de théâtre de Claudel, dont l’action se déroule non seulement dans les conditions spatiales limitées (comme notamment présente la grange de Combernon dans la pièce L’Annonce fatie à Marie , le pont du bateau dans le Partage de midi ) mais aussi selon une idée supérieure qui est de placer l’action dans des conditions plus ouvertes qui permettent de voir notamment renaître la France vers la fin du Moyen- Age, voir la résurrection de la nation, de l’humanité, pour ainsi dire voir tout ce qui est bien illustré et accompli par le miracle de Violaine, ou bien par un pèlerinage effectué par

109 Ubesfeld, A., Les termes clés de l’analyse du théâtre , Seuil, 1996, p. 7.

55 Anne Vercors, donc il s’agit du « monde » qui présente la scène de nombreuses pièces (nous pensons notamment au chef d’œuvre Le Soulier de Satin , ou bien à L’Annonce faite à Marie , au Partage de midi , au Tête d’Or , etc.). Mais prenons l’exemple de la pièce L’Annonce faite à Marie , ou Anne Vercors destine sa fille ainée Violaine (S) à un jeune homme Jacques Hury (B). Ces deux jeunes s’aiment sans doute, mais Anne Vercors agit au nom d’une idée supérieure, disons pour le bon destin de la grange, et même, plus généralement, en faveur du destin de la nation, de l’Humanité (D 2). Mais Violaine (S) qui aime ce jeune homme de la grange Combernon Jacques Hury, est confrontée aux obstacles qui sont causés par sa sœur cadette Mara, qui aime le même homme, donc elle devient son Opposant (Op). Le vrai Adjuvant est absent, d’un côté ce rôle est réservé à l’héroïne. Signalons encore que le rôle de la Mère est arbitraire, d’un côté, c’est elle qui veille silencieusement au fonctionnement domestique, c’est elle qui calme et moralise Mara au moment du départ d’Anne Vercors (dans ce cas-là elle est Adjuvant) mais de l’autre côté, sa faiblesse, sa passivité fait d’elle une sorte d’Opposant. Disons encore un petit mot de la catégorie du personnage. Le lecteur a pu lire dans plusieurs publications que cette catégorie provoquait quelques polémiques, ce qui veut dire que ce sujet soulève toujours quelques questions. Dans cette partie nous essayons de définir les composants stables du théâtre claudélien, mais avant, il serait utile de proposer la définition du personnage. Nous pouvons dire qu’à côté de l’action, c’est justement le personnage qui occupe la deuxième place, ce qui veut dire qu’il s’agit du second élément le plus important de la structure du texte théâtral ; car comme disait déjà Aristote, la tragédie est une représentation de l’action, c’est-à-dire des acteurs. Et il suffit de consentir à dire que le drame reflète au mieux la tragédie de la vie réelle, c’est ce genre qui peint la richesse des caractères avec leurs fatalités, la richesse des conflits du monde, etc. Les caractères des gens sont assez spécifiques, mais ce sont leurs actes qui les rendent heureux ou au contraire malheureux. Donc posons la question : Qu’est-ce qu’un personnage théâtral ? Pavis dans son dictionnaire caractérise le personnage comme « élément structural organisant les étapes du récit, construisant la fable, guidant la matière narrative autour d’un schéma dynamique, concentrant en lui un faisceau de signes en opposition avec deux des autres

56 personnages». 110 Dans le dictionnaire Les termes clés de l’analyse du théâtre , Anne Ubersfeld distingue les termes « héros » et « personnage ». Le « héros » y est compris en tant qu’un « personnage central », « l’individu fort », donc il s’agit d’un terme lié à la tragédie grecque. « Le mot [Héros] garde un sens fort dans le théâtre classique français, mais dans la comédie, il prend, peut-être abusivement, le sens de personnage principal […], sens qu’il garde jusqu’à nos jours. 111 », dit Ubersfeld. Ensuite le « personnage » est une « notion clef du théâtre, particulièrement difficile à cerner dans la mesure où le personnage, notion textuelle dont la fonction est d’être un élément dans une séquence narrative, est aussi le personnage, ‘support’ d’un être humain, partie d’un ensemble de signes complexe, la représentation. 112 » Ainsi, Ubersfeld propose que le personnage soit, primo (du point de vue narratif) le composant du modèle actantiel – « actant », avec un certain rôle (ou bien avec des rôles) qui relève dans ce système (il est soit S, B, Ad., ou bien Op., etc.) et secundo que, du point de vue de l’action, il s’agisse d’un « acteur 113 », c’est-à-dire d’un personnage ayant un « procès principal » (selon Ubersfeld le guerrier a pour procès – se battre, l’amoureux – désirer sa belle, etc.), ce qui veut dire que l’acteur « adopte un rôle » (par ex. celui de valet). Troisièmement, Ubersfeld voit le personnage comme un « individu » qui se caractérise par les traits distinctifs, notamment par les traits d’âge, par les traits physiques, de famille, d’histoire ; et finalement « […] il [le personnage] a en général ce qui fait l’individu dans l’espèce humaine, un nom. 114 » N’oublions pas non plus que c’est le discours d’un groupe, d’une classe sociale, c’est-à- dire « idiolecte d’un individu » qui illustre aussi le personnage. 115

110 Pavis, P., Dictionnaire du théâtre , Armand Colin, Paris 2009, p. 249. 111 Ubersfeld, A., Les termes clés de l’analyse du théâtre , Seuil, 1996, p. 46. 112 Ibid., p. 65. 113 Ce terme a un double statut, d’abord il s’agit de l’acteur-artiste (comédien, praticien, qui travaille avec son corps-voix), c’est quelqu’un qui agit, qui parle ; de l’autre côté, l’acteur est un élément de l’univers fonctionnel, en terme d’Ubersfeld, c’est un personnage, un « processus » (acteur-amoureux), avec des traits différentiels (jeune ou vieux, ect.). 114 Ibid., Les termes clés de l’analyse du théâtre , p. 65. 115 Ubersfeld ajoute encore qu’il faut penser aux rélations réciproques, car le personnage « […] n’est pas seul, il fait partie d’une configuration de personnages, avec lesquels il a des traits communs et des traits individualisants. » (Cf. Ibid., p. 66.)

57 Signalons encore que nous comprenons les termes tels que héros, personnage principal, caractère, type, personnage central, protagoniste, en tant que synonymes du personnage principal de même que les autres protagonistes sont reconnus comme des personnages secondaires. 116 Le personnage organise les étapes du récit, construit la fable, il est en opposition avec deux autres personnages … Mais le personnage peut même être même caractérisé à travers ses traits binaires. C’est ainsi que Claudel oppose soit deux femmes, soit le duo « opératique » éternel tel qu’une femme et un homme (ce schéma se trouve presque dans tout son théâtre) mais plus spécialement, ce qui est bien visible notamment dans L’Annonce faite à Marie , le conflit peut se réaliser entre deux femmes, l’une martyre et l’autre méchante, amoureuse et jalouse. D’un certain point de vue, le lecteur peut imaginer le drame claudélien comme un triangle qui est composé de trois élements

- féminin - masculin - divin.

Mais comme constate Dominique Millet-Gérard, ces éléments peuvent encore être compris comme trois images de l’Église : l’Église patiente, l’Église militante et l’Église triomphante, car Violaine, dona Prouhèze et même Sygne de Coûfontaine jouent un rôle mystique de l’Église souffrante ou patiente (« Ecclesia patiens ») (l’élément féminin) (l’asile présenté par la grotte de Geyen dans L’Annonce , ou bien Modagor dans Le Soulier de satin sont des endroits de sacrifice), ensuite le caractère de l’Église militante (« Ecclesia militans ») est tenu notamment par Pierre de Craon, Jacques Hury, don Rodrigue et don Camille, George de Coûfontaine, Turelure (l’élément masculin), et enfin la triade - la

116 En ce qui concerne le personnage, nous pouvons même dire que les héros sont moins en moins héroïques, c’est surtout au XIXème et XXème siècle que les personnage viennent des milieux sociaux défavorables et qu’ils sont souvent des représentants de la faiblesse du monde.

58 Vierge Marie, l’Ange Gardien et les saints, forment le corps de l’Église triomphante (« Ecclesia triumphans ») (l’élément divin). 117 Il faut ainsi constater que c’est la femme qui occupe une place éminente parmi ces éléments de base, c’est elle qui est une composante primondiale du théâtre claudélien. Ensuite rangeons l’élément masculin – l’homme (ou plusieurs hommes) et enfin en tant que Dieu a envoyé l’archange de l’Annonciation saluer la Vierge Marie : « Ave Maria gratia plena, Dominus tecum […] Ne timeas Maria, invenisti enim gratiam apud Deum. Et ecce concipies in utero et paries filium et vocabis nomen eius Iesum. » 118 , c’est Dieu lui- même qui représente une composante non-séparable de son théâtre, car il agit à travers les personnages, à travers les anges ou la Sainte Marie. Et comme Marie répond à l’ange Gabriel, à ce Messager céleste : « Ecce ancilla Domini; fiat mihi secundum verbum tuum. 119 », ce sont même les femmes claudéliennes qui deviennent servantes de la Rédemption. 120 Donc les personnages de Claudel sont « prédestinés » et « ne vivent que pour Dieu et s’abandonnent à toutes les suggestions les plus dures de la grâce, non seulement ils font le signe de la Croix et prient en latin, non seulement les idées qui dominent le drame mettent notre esprit en face de la Providence gouvernant le monde dans le moindre détail, mais encore le sentiment religieux a tellement pénétré la terre et le paysage, que tout, le vent qui pleure dans les arbres, l’oiseau qui chante, la branche qui fleurit, le fruit mûr qui tombe, semble jouer un rôle et remplir une fonction dans cet office, dans ce sacrifice liturgique offert à Dieu par la terre. 121 » Nous pouvons même dire que les personnages de Claudel sont vus du point de vue de leurs vices et vertus. Résumons-nous en disant que les points du rectangle claudélien présentent ces éléments : une ou quelques jeunes filles ou femmes, plusieurs hommes, Dieu représenté

117 Voir même la traduction de l’étude de Millet-Gérard publiée dans la revue Communio , n° 1, 2001. 118 Cf. Lc , 1,28-31. 119 Cf. Lc , 1,38. 120 Nous citons de La Sainte Bible qui est disponible sur le site officiel du Saint-Siège, source : http://www.vatican.va/archive/bible/nova_vulgata/documents/nova-vulgata_nt_evang- lucam_lt.html, consulté le 29 mars 2011. 121 Calvet, J., Le Renouveau Catholique , Lanore, Paris 1927, p. 206.

59 par une force divine et enfin n’oublions pas encore le dernier élément qui est remplacé par le monde en tat que scène du spectacle.

Les éléments-bases du monde théâtral de Claudel

Dieu Monde

Femme(s) Homme(s)

Le modèle qui suit nous aide à imaginer plus concrètement les trois éléments qui sont confrontés à partir des relations de réciprocité, notamment la relation de la rivalité, de la quête, du désir, de l’ambition, etc. Il nous semble que ce triangle est applicable à tout le théâtre de Claudel.

Triangle claudélien général

Dieu (grâce, amour, pitié)

Femme(s) Homme(s) Violaine, Mara Jacques Hury, Pierre de Craon Prouhèze Don Rodrigue Ysé Mesa, Amalric, De Ciz

60 Marthe, Lechy Louis Laine, Thomas Pollock Nageoire Sygne de Coûfontaine Georges de Coûfontaine, Toussaint Turelure Sichel, Lumîr Louis, Turelure

Comme nous l’avons déjà indiqué dans notre introduction, l’un des schémas claudéliens est basé sur le nombre de quatre personnages ; le plus souvent, son théâtre voit agir deux femmes et deux hommes, comme par exemple dans les pièces Le Pain dur (une Juive Sichel et une Polonaise Lumîr, le père Toussaint et le fils Louis Turelure), L’Échange (Marthe et Lechy, Thomas Polock Nageoire et Louis Laine) ou bien une seule femme entourée de quelques hommes (telle est la distribution de la pièce le Partage de midi , une femme Ysé et trois hommes, son mari De Ciz, son amant Amalric et sa passion Mesa ; ou bien le rôle de Sygne de Coûfontaine et deux hommes dans la première partie de la trilogie, ou bien Dona Prouhèze et ses poursuivants, etc.). Notons encore que les personnages claudéliens (prenons l’exemple biblique des sœurs Marie et Marthe) 122 incarnent des crédits moraux positifs ou bien négatifs. Les caractères des héros claudéliens peuvent même être symbolisés par plusieurs couleurs, le plus souvent se proposent les blanche, rouge, grise ou bien noire. Le blanc est toujours considéré comme un symbole de l’innocence ou bien de l’amour pure (cette couleur est atribuée le plus souvent à la Vierge Marie, qui est, selon le pape Benoît XVI., celle qui domine parmi les autres saints et qui incarne toutes les grâces de la sainteté, elle incarne le « miroir de toute la sainteté ») 123 , et donc, cette couleur peut être opposée au

122 Rappelons que c’était Marie qui s’occupait de la nourriture, disons « spirituelle », c’est elle qui écoute Jésus attentivement, au contraire, sa sœur Marthe a pris en charge des choses « ordinaires » (préparation du repas, leur service), et même si cela était de la même importance que le silence de Marie, malgré tout cela, Marthe devient jalouse. 123 Dans l’article 53 du chapitre VIII de la constitution du pape Léon XIII Lumen Gentium , la Vierge Marie est « reconnue et honorée comme la véritable Mère de Dieu et du Rédempteur. » Elle présente un « don exceptionnel de grâce qui la met bien loin au-dessus de toutes les créatures dans le ciel et sur la terre. » Elle est même « saluée comme un membre suréminent et absolument unique » et elle est même reconnue en tant qu‘ « modèle et exemplaire admirable ». (À ce sujet voir les documents du concile Vatican II, source : http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vatii_const_19641121_l umen-gentium_fr.html, consulté le 29 mars 2011.

61 noir, qui évoque la mort, l’angoisse, la tristesse, le mal, la résignation ou bien la jalousie. Le couple blanc-noir est même utile pour faire la distinction entre le crédit moral des deux sœurs, Violaine et Mara dans la pièce L’Annonce faite à Marie , car la première représente le côté du bien (elle est la Bonne), contrairement à Mara (ce qu’annonce déjà son nom) qui relève de l’esprit opposé (elle est la Mauvaise).

62 5. LA MISE EN SCÈNE DES PIÈCES DE CLAUDEL EN RÉPUBLIQUE TCHÈQUE ET DANS LE MONDE

5.1. CLAUDEL ET LE THÉÂTRE TCHÈQUE

En Bohême, l’œuvre dramatique claudélienne attire fortement la critique, les réalisateurs et les spectateurs depuis presque un siècle déjà. La correspondance entre Paul Claudel et ses amis tchèques – surtout Miloš Marten et Zdenka Braunerová 124 –, les souvenirs des témoins directs de plusieurs mises en scène tchèques et les nombreux articles publiés en Bohême depuis 1914, nous permettent de reconstruire l’atmosphère des mises en scène du théâtre de Claudel sur la scène tchèque (voir notamment notre bilan de répertoire). Nous souhaitons ainsi proposer grâce au recul certain dans le temps quelques points concernant la place des pièces de théâtre claudéliennes dans un contexte politique et culturel plus large des Pays tchèques, sans oublier le contexte de la présence de la culture française dans les trois régions géographiques tchèques. Notons encore qu’on se concentre sur les réalisations des théâtres permanents ainsi qu’amateurs.

5.1.1. Présence des pièces d’auteurs français en Bohême, en Moravie et en Silésie

La présence des cultures romanes, surtout française, dans les répertoires des théâtres permanents des régions historiques tchèques (Bohême, Moravie, Silésie) évolue

124 Le sujet des amitiés entre Claudel et ses amis tchèques est épuisé : O.F. Babler, « Paul Claudel, básník a dramatik », Divadlo , n° 6, juin 1968, p. 6-20; J. Trnka (éd.): « Hommage de la Bohême à Paul Claudel », Rencontres , Paris, 1965; V. Černý, « Prague », Cahiers Paul Claudel 9 , Gallimard, Paris, 1971, s. 23-70; F. Kožík, Neklidné babí léto , Československý spisovatel, Praha, 1979; M. Lenderová, « Francouzský konzul v Českém ráji: P řátelství P. Claudela, Z. Braunerové a M. Martena », Z Českého ráje a Podkrkonoší 8, 1995, s. 81-96; M. Lenderová, « Česká zkušenost Paula Claudela: Sv ět depeší , sv ět deníku », Český časopis historický , n° 3, 1999, s. 539-565; M. Lenderová, Zdenka Braunerová , Mladá Fronta, Praha, 2000; V. Bakešová, « Deux amitiés artistiques reliant la France et les pays tchèques », Europe centrale, carrefour des cultures dans la tradition littéraire , Université Masaryk, Brno, 2010, p.7-15; B. Brauner, « Zdenka Braunerova, amie de Paul Claudel à Prague », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 199, 2010, p. 29-37.

63 sur un siècle et demi. La présence tant qualitative que quantitative des auteurs français change en fonction de la situation sociopolitique du pays, comme en témoignent les statistiques suivantes. 125

Relevé statistique des premières dans les périodes choisies (avec les dates de fondation des théatres en question) 126

Théâtres Saisons théâtrales 1865/66- 1918/19- 1948/49- 1970/71- 1989/90- 2000/01- Bohême 1917/18 1947/48 1969/70 1988/89 1999/00 2008/09 (1) Théâtre de J.K. Tyl de Pilsen (1865) 1792 410 918 107 242 18 163 4 77 8 48 3 (2) Théâtre national de Prague (1881/1883) 1034 239 801 146 185 11 134 4 84 8 79 4 (3) Théâtre de Vinohrady (1907) 230 60 643 121 219 16 114 6 60 8 51 7 (4) Compagnie de l’Est de Bohême/Théâtre de l’Est de Bohême à Pardubice (1905/1948) 219 41 463 83 301 39 195 18 114 16 73 9 (5) Théâtre de la Bohême du Sud à České Bud ějovice (1919) X X 799 119 278 24 173 15 96 11 58 6

125 À ce sujet voir aussi Voždová, M., « Première République – âge d’or du théâtre français en Moravie », Romanica Olomucensia , vol. 21, 1/2009, p. 71-79. Voir aussi du même auteur « Le théatre français en Moravie de 1948 à nos jours », Europe centrale, carrefour des cultures dans la tradition littéraire , Faculté de Pédagogie de l’Université Masaryk de Brno, Brno 2010; ou bien sa monographie Francouzská a italská dramatická tvorba na moravských a slezských divadelních scénách [Les pièces de théâtre françaises et italiennes sur les scènes de Moravie et de Silésie], UP v Olomouci, Olomouc 2007. 126 La première colonne indique le nombre total de premières dans les théâtres tchèques en question, la seconde le nombre d’auteurs français (en caractère gras). Le relevé, au résultat non exhaustif (notamment la statistique du Théâtre municipal à Olomouc entre les années 1942 et 1945 reste incomplète), a été effectué à partir de bilans, brochures, statistiques, rapports annuels de tous les théâtres mentionnés, ainsi que de diverses bases de données.

64 (6) Théâtre de Klicpera à Hradec Králové (1949) X X X X 301 26 215 14 100 14 69 4 (7) Théâtre de Bohême de l’Ouest à Cheb (1961) X X X X 116 17 166 11 90 11 76 5 Moravie (8) Théâtre national à Brno (1884) 1617 302 931 148 254 19 271 16 120 15 69 10 (9) Théâtre morave à Olomouc (1920) X X 599 90 247 24 135 14 82 11 56 7 (10) Théâtre régional de Horácko à Jihlava (1940) X X 192 15 256 27 201 20 90 13 70 13 (11) Théâtre municipal à Brno (1945) X X 59 6 235 21 186 12 51 8 35 4 (12) Théâtre municipal à Zlín (1946) X X 26 5 265 19 241 24 131 18 105 10 (13) Théâtre de la Moravie slovaque à Uherské Hradišt ě (1945) X X 40 5 209 24 192 21 93 10 65 5 Silésie (14) Théâtre national morave-silésien d’Ostrava (1919) 228 32 728 105 225 19 263 22 83 16 54 6 (15) Théâtre silésien à Opava (1945) X X 54 7 243 20 186 19 105 14 50 7 (16) Théâtre à Český Těšín (la scène tchèque) (1945) X X 68 4 203 11 153 12 74 8 53 4 (17) Théâtre à Český Těšín (la scène polonaise) (1955) X X X X 121 15 151 18 76 4 54 2 (18) Théâtre de Petr Bezru č à Ostrava (1945) X X 47 3 228 14 204 19 80 14 58 3 Au total 4901 1043 5797 872 2877 232 2271 175 1059 144 733 80

65 Parité du nombre de premières dans les époques choisies (nombre total/nombre de pièces d’auteurs français) Théâtres depuis la époque fondation 1989/90-2008/09 communiste Bohême jusqu’en 1947/48 (1) Théâtre de J.K. Tyl de Pilsen (1865) 2710 517 405 22 125 11 (2) Théâtre national de Prague (1881/1883) 1835 385 319 15 163 12 (3) Théâtre de Vinohrady (1907) 873 181 333 22 111 15 (4) Compagnie de l’Est de Bohême/Théâtre de l’Est de Bohême à Pardubice (1905/1948) 692 124 496 57 187 25 (5) Théâtre de la Bohême du Sud à České Bud ějovice (1919) 799 119 451 39 154 17 (6) Théâtre de Klicpera à Hradec Králové (1949) X X 516 40 169 18 (7) Théâtre de Bohême de l’Ouest à Cheb (1961) X X 282 28 166 16 Moravie (8) Théâtre national à Brno (1884) 2548 450 525 35 189 25 (9) Théâtre morave à Olomouc (1920) 599 90 382 38 138 18 (10) Théâtre régional de Horácko à Jihlava (1940) 192 15 457 47 160 26 (11) Théâtre municipal à Brno (1945) 59 6 421 33 86 12 (12) Théâtre municipal à Zlín (1946) 26 5 506 43 236 28

66 (13) Théâtre de la Moravie slovaque à Uherské Hradišt ě (1945) 40 5 401 45 158 15 Silésie (14) Théâtre national morave- silésien d’Ostrava (1919) 956 137 488 41 137 22 (15) Théâtre silésien à Opava (1945) 54 7 429 39 155 21 (16) Théâtre à Český T ěšín (la scène tchèque) (1945) 68 4 356 23 127 12 (17) Théâtre à Český T ěšín (la scène polonaise) (1955) X X 272 33 130 6 (18) Théâtre de Petr Bezru č à Ostrava (1945) 47 3 432 33 138 17 Au total 11498 2048 7471 633 2729 316

Diagramme du nombre total de représentations et des pièces d’auteurs français

3500

3000

2500

2000 au total 1500 pièces d'auteurs français

1000

500

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

67

Nombre de premières dans les théâtres choisis

Théâtres Nombre de premières Bohême d’auteurs français au total Théâtre de J. K. Tyl de Pilsen (1865) 550 3240 Théâtre national de Prague (1881/1883) 412 2317 Théâtre de Vinohrady (1907) 218 1317 Compagnie de l’Est de Bohême/Théâtre de l’Est de Bohême à Pardubice (1905/1948) 206 1365 Théâtre de Bohême du Sud à České Bud ějovice (1919) 175 1404 Théâtre Klicpera à Hradec Králové (1949) 58 685 Théâtre de Bohême de l’Ouest à Cheb (1961) 44 448 Moravie Théâtre national à Brno (1884) 510 3262 Théâtre morave à Olomouc (1920) 146 1119 Théâtre régional de Horácko à Jihlava (1940) 88 809 Théâtre municipal à Brno (1945) 51 566 Théâtre municipal à Zlín (1946) 76 768 Théâtre de Moravie slovaque à Uherské Hradišt ě (1945) 65 599 Silésie Théâtre national morave-silésien d’Ostrava (1919) 200 1581 Théâtre silésien à Opava (1945) 67 638 Théâtre à Český T ěšín (la scène tchèque) (1945) 39 551 Théâtre à Český T ěšín (la scène polonaise) (1955) 39 402 Théâtre de Petr Bezru č à Ostrava (1945) 53 617 Au total 2997 21688

68 Nombre de premières des pièces d'auteurs français

Théâtre à Český T ěšín (scène polonaise) (1955)

Théâtre à Český T ěšín (scène tchèque) (1945)

Théâtre municipal à Brno (1945)

Théâtre Petr Bezru č à Ostrava (1945)

Théâtre de Moravie slovaque à Uherské Hradišt ě (1945)

Théâtre silésien à Opava (1945)

Théâtre municipal à Zlín (1946)

Théâtre de Bohême de l'Ouest à Cheb (1961)

Théâtre Klicpera de Hradec Králové (1949)

Théâtre régional de Horácko à Jihlava

Nom du théâtre du Nom (1940)

Théâtre morave à Olomouc (1920)

Théâtre de Bohême du Sud à České Bud ějovice (1919)

Théâtre national morave-silésien d'Ostrava (1919)

Compagnie de Bohême de l'Est/Théâtre de Bohême de l'Est à Pardubice (1905/1948)

Théâtre de Vinohrady (1907)

Théâtre national de Prague (1881/1883)

Théâtre national à Brno (1884)

Théâtre de J. K. Tyl de Pilsen (1865)

0 100 200 300 400 500 600 Nombre de premières

69 Diagramme de l'abaissement du nombre de premières d'auteurs français

450

400

Théâtre de J. K. Tyl de Pilsen (1865)

350 Théâtre national à Brno (1884)

Théâtre national de Prague (1881/1883)

Théâtre de Vinohrady (1907)

Compagnie de Bohême de 300 l'Est/Théâtre de Bohême de l'Est à Pardubice (1905/1948) Théâtre national morave-silésien d'Ostrava (1919)

Théâtre de Bohême du Sud à České Bud ějovice (1919)

Théâtre morave à Olomouc (1920) 250

Théâtre régional de Horácko à Jihlava (1940)

Théâtre Klicpera de Hradec Králové (1949)

Nombre de premières de Nombre Théâtre de Bohême de l'Ouest à 200 Cheb (1961)

Théâtre municipal à Zlín (1946)

Théâtre silésien à Opava (1945)

Théâtre de Moravie slovaque à 150 Uherské Hradišt ě (1945)

Théâtre Petr Bezru č à Ostrava (1945)

Théâtre municipal à Brno (1945)

Théâtre à Český T ěšín (scène 100 tchèque) (1945)

Théâtre à Český T ěšín (scène polonaise) (1955)

50

0 depuis la 1918/19-1947/48 1948/49-1969/70 1970/71-1988/89 1989/90-1999/00 2000/01-2008/09 fondation - 1917/18 Saisons

70 Proportion des premières au total et d’auteurs français (depuis la fondation des théâtres jusqu’à nos jours)

au total pièces d'auteurs français

La culture romane et particulièrement française gagne une place éminente à l’époque de la fondation des premiers théâtres permanents (au cours du XIXe siècle), mais aussi pendant l’entre-deux-guerres, où la Première République tchécoslovaque entretient des relations très étroites avec la France. Cet essor cesse après la Seconde Guerre mondiale. Le régime communiste perturbe cet épanouissement qui s’est réalisé dans tous les domaines de la vie de la nation tchèque. Nos recherches montrent que la situation politique rompt les liens avec le monde culturel français, et que la Révolution de Velours ne parviendra pas à recréer la situation d’avant-guerre. Le rayonnement du répertoire français de cette époque ne se renouvellera jamais. 127 Nous proposons deux figures de la mise en scène des pièces claudéliennes dans les régions tchèques.

Nombre de représentation des pièces claudéliennes dans les régions géographiques de la République tchèque

127 Voždová, M., « Le théatre français en Moravie de 1948 à nos jours », Europe centrale, carrefour des cultures dans la tradition littéraire, Faculté de Pédagogie de l’Université Masaryk de Brno, Brno 2010.

71 Région Au Nom de la pièce Bohême Moravie Silésie total L’Annonce faite à Marie 10 2 x 12 L’Échange 4 1 x 5 Le Chemin de la Croix x 1 x 1 L’Impossible partage 1 x x 1 Jeanne d’Arc au bûcher 5 2 1 8 Le Livre de Chris toph Colomb/Christoph Colomb 2 1 1 4 L’Otage 1 x x 1 le Partage de Midi 2 x x 2 le Protée 4 x x 4 Le Soulier de satin 2 1 x 3 Au total 31 8 2 41

Nombre de mises en scène des pièces claudéliennes dans les saisons choisies Saisons Nom de la pièce 1913/14- 1948/49- 1989/90- 1947/48 1988/89 2008/09 L’Annonce faite à Marie 3 1 8 L’Échange 2 1 2 Le Chemin de la Croix x x 1 L’Impossible partage x x 1 Jeanne d’Arc au bûcher x 4 4 Le Livre de Christoph Colomb/Christoph Colomb 1 1 2 L’Otage x x 1 le Partage de Midi 1 x 1 le Protée 2 x 2 Le Soulier de satin x x 3 Au total 9 7 25

72

Nombre de premières des pièces de Paul Claudel

L'Annonce faite à Marie Figure - Nombre de premières des pièces de Paul Claudel

L'Échange

Le Chemin de la Croix 12 L'Impossible partage 10

8 Jeanne d'Arc au bûcher

Pièce de théâtre 6 Le Livre de Christoph Colomb/Christoph Colomb 4 L'Otage

2 le Partage de Midi 0 1 le Protée Nombre Le Soulier de satin

Nous y voyons la position de tête de la pièce L’Annonce faite à Marie . Les pièces de Claudel sont plus souvent montées en Bohême qu’en Moravie et Silésie. La plupart des pièces de l’époque communiste ne peuvent se réaliser qu’au moment du Printemps de Prague.

5.1.2. Première rencontre avec le texte claudélien (1914)

Les deux premières expériences étrangères avec L’Annonce faite à Marie réalisées au Théâtre de l’Œuvre (1912) et à l’institut expérimental à Hellerau (1913) encourage les réalisateurs tchèques. Le directeur du Théâtre National de Prague Gustav Schromanz demande à l’auteur d’adapter la pièce. Le poète encourage cette initiative de son nouveau poste à Hambourg, mais ne pouvant pas assister aux répétitions, il passe tous les droits de réalisation de la pièce à son ami Marten. 128

128 Comme ajoute notamment le professeur Černý, Claudel autorisait les réalisateurs allemands de « germaniser », c’est-à-dire de placer l’action dans les conditions allemandes. Claudel a exprimé

73 La première tchèque est en tant qu’« événement primordial de la saison théâtrale » présentée sur la scène du Théâtre national à Prague en 1914 (nous pouvons discuter de la question de savoir si les amitiés et les séjours de l’auteur en Bohême ont influencé l’adaptation de la pièce). 129 Le spectacle est préparé avec soin par le metteur en scène Jaroslav Kvapil (avec l’assistance de Marten et Braunerová). Mais la pièce provoque l’incompréhension des spectateurs tchèques, bien que la distribution ait annoncé des noms célèbres (notamment le rôle de la Mère Elisabeth, incarné par l’actrice pragoise Marie Hübnerová). C’est dommage encore car la pièce était le fruit direct du séjour pragois influencé par plusieurs voyages du poète dans le paysage tchèque (accompagné par Zdenka Braunerová, Claudel découvre les beautés de la campagne tchèque, pour ainsi dire le paysage romantique et pittoresque du « Paradis de Bohème », avec sa forêt mystique, ses lacs, ses rochers, ses grottes, ses vestiges du château fort de Trosky « métamorphosé » en Monsanvierge - montagne monumentale de Combernon, d´autre part la visite de plusieurs villes et villages pittoresques, le carillon des églises). Notre recherche (voir les annexes) relève que la première de L’Annonce résonnait dans la presse nationale ainsi que locale tchèque, notamment dans Národní listy , Venkov , Čas , Lumír , Scéna , České slovo . La critique discutait le plus souvent le décor inspiré par le paysage tchèque (notamment Trosky). En plus, le décor de la troisième scène « provoquait la moquerie ». Il semble que le « copiage » du décor parisien pouvait causer, dans une certaine mesure, l’incompréhention de cette première réalisation tchèque. 130 La plus mauvaise critique était publiée par Jind řich Vodák sous le titre « Proti claudelovštin ě » [Contre Claudel] dans la revue tchèque Čas . « Sommes-nous les

le même opinion même par rapport de la première pragoise, mais heureusement, la « tchéquisation » ne s’est point réalisée. 129 Notons que cette ville n’était qu’une ville de province et qu’à Vienne la pièce n’est jouée qu’en 1918 pour la première fois (les auteurs avaient de grandes difficultés à convaincre la censure autrichienne). 130 Karel Stapfer a réalisé (avec Braunerová) des maquettes du décor du spectacle pragois. Il s’agissait du décor que Braunerová avait la possibilité de voir à l’occasion de la première parisienne. Dans une lettre adressée à Braunerová, le metteur en scène Kvapil demande de lui communiquer quelques photographies de la réalisation parisienne. Enfin il refuse la critique défavorable.

74 farceurs ! Aujourd’hui on a dans le répertoire de notre plus grande scène, qu’on appelle Nationale, le clérical Paul Claudel avec un long mystère. Jusqu’à présent, on ne pouvait jouer cette chose sans grand succès que dans deux théâtres » (comme nous l’avons déjà mentionné à Paris et à Hellarau) « seulement en tant qu’expérience »131 . Jaroslav Hilbert parle « d’une méprise littéraire ». « En bref, les cloches résonnaient, les articles faisaient du bruit, les revues se surpassaient, […] et la chose était faite », écrivait-il dans le journal Venkov . Il termine par la constatation que Claudel est « un auteur faible »132 . La pièce est aussi résumé par un journaliste local Jindra Imlauf. Nous avons réussi à trouver une lettre adressée à Miloš Marten. Dans cette lettre, Imlauf parle de son article analytique consacré à la mise en scène pragoise de L’Annonce . Mais il constate que son article n’était publié ni dans la revue locale Ratibor (à cause d’une grève typographique), ni accepté par le journal national Národní politika . « […] Vous allez comprendre, cher Monsieur (Miloš Marten), quel objectif était poursuivi : il y avait des comptes rendus quelconques, mais celui de la revue Čas était tout à fait négatif ce qui a déjà évoqué son titre ´Contre claudel´. » 133 Imlauf pensait que c’était le catholicisme du poète qui était tant discuté. Malgré le refus de la critique officielle, Imlauf souligne l’effort de Miloš Marten de faire découvrir la forte pensée claudélienne aux lettrés tchèques (d’après Imlauf - traducteur « sympathique » et meilleur analyste de l’œuvre de Zeyer).134 En général, la mise en scène de L’Annonce est critiquée pour le fort catholicisme de l’auteur. Quelques années plus tard, on parle encore « de la transmission répugnante des effets spirituels sur la scène 135 » et on souligne aussi que Henri Béraud dans Mercure de France estime L’Annonce faite à Marie comme la pièce la plus mauvaise de l’auteur.

131 Citation originale : « […] Jsme my chlapíci! Dnes máme v repertoáru našeho nejv ětšího jevišt ě, jemuž říkáme Národní, klerikála Paula Claudela s dlouhým mysteriem! Dosud se ta v ěc mohla hrát bez velkého úsp ěchu jen ve dvou divadlech jako pouhý pokus. » (Cf. Vodák, J., « Proti claudelovštin ě », Čas , le 8 février 1914, p. 6-7). 132 Cf. Hilbert, J., « Zv ěstování », Venkov , le 8 février 1914, p. 7. 133 Citation originale : (…) Pochopíte, vážený pane (…), o co mi šlo: byly referáty všelijaké, le č v „ Čase“ p římo zamítavý hned titulem „Proti claudelovštin ě“. (Cf. la lette du 2 mars 1914, Nové M ěsto nad Metují, fond « Miloš Marten », dossier « Imlauf Jindra », Archives littéraires du Mémorial National à Prague-Strahov. 134 Voir F. U. Almi, « Nové M ěsto n. Met. », Ratibor , p. 4. 135 Voir la revue Jevišt ě, juin 1921, p. 382.

75 On critique aussi la distribution du spectacle. Seul, Miloš Marten souligne l’interprétation parfaite d’Elisabeth incarnée par l’actrice Marie Hübnerová. 136 Enfin on parle aussi de l’incompréhension de la pièce à cause du brillant succès de Parsifal de Richard Wagner. Tandis que l’opéra de Wagner reste sur le répertoire du Théâtre national une année et quart, Claudel n’est joué que trois soirées. Du point de vue de la quantité des articles critiques trouvé dans la presse tchèque, cette première réalisation tchèque d’un texte claudélien est beaucoup résumée par la presse locale ainsi que nationale. Donc du côté quantitatif, un intérêt sans précédant. On peut constater que le public tchèque n’était pas tout à fait prêt à accueillir la première réalisation claudélienne. Malgré la critique négative, il nous semble, que cette mise en scène de Jaroslav Kvapil dans la traduction très réussie de Miloš Marten était une action courageuse qui a fait entrer l’œuvre dramatique de Claudel en Bohême.

5.1.3. Claudel dans « l’âge d’or » du théâtre français en Tchécoslovaquie (1918-1938)

Sous la Première république, les auteurs français sont nombreux au répertoire des théâtres tchèques. « Ce sont surtout des pièces de théâtre comique et de boulevard qui

136 « Chère Madame, au nom de l’auteur de "L’Annonce", je tiens à vous remercier pour le style et la finesse avec laquelle vous avez incarné le personnage d’Elisabeth. Vous lui avez donné une telle tendresse tragique des mots et la beauté et les gestes rythmiques […] – quelque chose qui souligne merveilleusement la pensée du poète et qui touche l’essence du "mystère", comme il se doit de la comprendre et de la sentir. Et c’est ce fort attachement artistique dont vous avez fait preuve tant de compréhension et d’amour pour l’œuvre d’art, aujourd’hui, peut-être encore intemporelle. » (Lettre signée par Miloš Marten, datée à Hradchine le 7 février 1914). Citation originale : „Milostivá paní, dovolte, abych Vám za autora ‘Zv ěstování’ pod ěkoval za stilovost a jemnost, s níž ve Vašem pojetí ožila postava Alžb ětina. Dala jste jí takovou tragickou n ěhu slova a krásu a rytmická gesta jak starých obraz ů – n ěco, co podivuhodn ě vyzdvihuje básníkovu myšlenku a dotýká se samé podstaty ‘mysteria’, jak t řeba jí rozum ěti a ji cítiti. A je v tom velká um ělecká oddanost, že jste projevila tolik pochopení a lásky pro um ělecké dílo, dnes snad ješt ě na[sic!] časové.“ Il s’agit d’une courte lettre adressée à l’actrice du Théâtre national de Prague Marie Hübnerová que nous avons trouvée dans le fonds Jaroslav Kvapil (numéro du document 1565/117). La lettre est déposée au Département de l’Art du Spectacle du Musée national de Prague.

76 deviennent les plus fréquentes dans les répertoires des théâtres moraves. » 137 Parmi les centaines de pièces d’auteurs français, on trouve cinq mises en scène du théâtre de Claudel. Le Théâtre de Vinohrady donne L’Échange en tant que première tchécoslovaque en 1922. L’autre pièce, L’Annonce faite à Marie , est reprise en 1927 par le cercle des étudiants du Conservatoire d’Art dramatique à Prague, mais cette réalisation reste sans succès. Dans les années trente, Claudel est joué en Moravie pour la première fois. Le Théâtre tchèque à Olomouc inscrit dans son répertoire la pièce L’Échange . Mais ce projet, qui ambitionnait de faire passer le texte claudélien d’une « scène intime » à une « scène officielle » est un échec : la pièce n’est jouée qu’une seule fois, même si elle était aux dires d’un critique, « l’une des soirées les plus poétiques » dans ce théâtre. 138 Notons encore la mise en scène de la pièce Protée (1935) et du Partage de midi (1937). Ces deux pièces sont réalisées dans le cadre du cycle littéraire organisé par le Théâtre de chambre de Prague. La seconde guerre mondiale interrompt le développement des activités culturelles entre la France et la Tchécoslovaquie. Elle perturbe la longue tradition de la mise en scène des pièces françaises sur le territoire tchèque (sans oublier la censure). Dans les années 1946 – 1948 un seul texte claudélien est présenté par le théâtre pragois Disk.

5.1.4. Claudel à l’époque communiste

Après le putsch communiste de 1948, le répertoire français est remplacé par « des morceaux révolutionnaires de provenance soviétique et il est presque toujours de très mauvaise qualité. » 139 Ce répertoire ne subsiste qu’à travers les auteurs « canoniques » et des pièces qui ne troublent pas la censure communiste. La majorité des textes d’auteurs

137 Cf. M. Voždová, « Première République – âge d’or du théâtre français en Moravie », Romanica Olomucensia , vol. 21, 1/2009, p. 74. En Moravie, ce sont notamment les pièces d’Eugène Scribe qui « connaissent un immense succès ». 138 „[…] Dosud toho litujeme, nebo ť šlo o jeden z nejbásni čtějších ve čer ů, […]“ (Voir V.H. Jarek, « Pohled nazp ět, pohled dík ů », Výro ční zpráva Družstva českého divadla v Olomouci za sezonu 1932/1933 , Olomouc, p. 26-29). 139 Cf. Voždová, M., « Première République – âge d’or du théâtre français en Moravie », Romanica Olomucensia , vol. 21, 1/2009, p. 77.

77 français, y compris le théâtre claudélien et les pièces d’inspiration spirituelle sont interdites. Le « Printemps de Prague » libère la censure des théâtres. Ainsi le centenaire de la naissance de Claudel permet à certains textes du poète de revenir sur la scène tchèque, mais pour peu de temps : on donne L’Annonce faite à Marie , Jeanne d’Arc au bûcher ou encore Le Livre de Christophe Colomb . Les motifs de la sainteté, le sacrement du roi à Reims, les pèlerinages, Jeanne d’Arc, la découverte du monde, représentent des manifestations courageuses contre le communisme. Le début de la normalisation, période de reprise en main totalitaire de la société après l’invasion de la Tchécoslovaquie en août 1968 par les forces armées du pacte de Varsovie, est marqué par « [des] épurations et [des] changements de la direction des théâtres, et même de leurs noms », qui aboutit notamment au changement de nom du Théâtre de Vinohrady, devenu le Théâtre de l’Armée tchécoslovaque. Le nombre de pièces diminue encore : on préfère « les auteurs de qualité éprouvés par le temps », notamment au Théâtre national de Prague où on ne donne que quatre pièces d’auteurs français et au Théâtre de Vinohrady on joue six pièces d’origine française. Jusqu’à la Révolution de Velours de 1989, la plupart des auteurs français disparaissent définitivement de nos théâtres.

5.1.5. Paul Claudel à Cheb

Claudel quitte complètement notre scène jusqu’à la révolution de 1989. Mais une pièce de Claudel est cependant étudiée à Cheb en 1979. Il s’agit d’une mise en scène d’un metteur en scène débutant Josef Lédl. Ce jeune metteur en scène décide d’adapter L’Échange sur la scène intime appelée -d- du Théâtre de Bohême de l’Ouest. Le spectacle n’est pas mentionnée dans le répertoire du théâtre en question. Heureusement, on a trouvé un article critique qui décrit l’atmosphère de la première représentation. L’article a été rédigé par Jaroslav Someš (qui a personnellement assisté à la représentation) et il a été publié clandestinement dans la revue Dialog .140 Le metteur en scène a travaillé avec la traduction assez expurgée de la plume de Karel Kafka. Aux dires de Someš, le traduction a changé le texte lyrique en un texte difficile à

140 Lédl nous a dit que cette réalisation n’a pas eu le grand succès et que la revue en question se trouve aux archives de l’Institut de théâtre à Prague.

78 comprendre (contrairement à l’ancienne traduction de Procházka). 141 Le ton du texte était plus familier. Le spectacle raccourci ne durait que cinquante minutes. Même si le travail de Lédl était très précis, on a constaté que « […] le sens du drame était perturbé et déformé. »142

5.1.6. Renaissance claudélienne (1990-2000)

En novembre 1989, période révolutionnaire, les théâtres deviennent le lieu de nombreuses discussions et manifestations. À ce moment, la composition des répertoires change radicalement : pourtant, les spectacles de pièces d’auteurs français demeurent minoritaires. « Dans le cas du drame français, il s’agit avant tout de la grande diversification et stratification du choix des pièces soit d’auteurs "classiques", soit d’auteurs d’avant-garde connus, mais jusqu’alors peu mis en scène, ou bien évidemment aussi d’auteurs nouveaux, qui n’avaient jamais été mis en scène auparavant en Tchéquie, et même jamais traduits en tchèque. 143 » Les théâtres présentent des textes d’auteurs français jusqu’alors souvent méconnus, et on préfère des pièces d’auteurs contemporains. L’imortante diminution du nombre total de représentations se répercute aussi sur la présence du théâtre français dans le monde culturel tchèque. Paradoxalement, la position de Claudel est à cette époque assez forte : on parle du « boom » claudélien en Tchéquie et de la « renaissance » de Claudel. Les théâtres réalisent L’Annonce faite à Marie , L’Échange , Le Livre de Christophe Colomb , Protée , etc. La pièce Le Soulier de satin est jouée dans deux théâtres presque au même moment (à Brno et à Prague, en janvier 1993). 144

141 Voir l’article de Lédl, p. 26. 142 Ibid., citation originale : „[…] smysl celého dramatu byl nejen narušen, ale dokonce zkreslen.“ 143 Ibid., p. 209. 144 Les documents retrouvés aux archives de l’Institut de théâtre à Prague mentionnent pour date de la première représentation pragoise le 29 janvier, mais en réalité, la date de la première avait été remise (peut-être à cause de la blessure du metteur en scène Ján Závarský) au 31 janvier 1993. Le spectacle repris 25 fois resta au répertoire jusqu’au 29 novembre 1994.

79 Jean-Louis Barrault disait que le théâtre actuel aspire à profiter de tous les moyens artistiques, il aspire à créer un spectacle qui doit frapper tous les sens humains. Il s’agit d’un théâtre qui a une apparence de complexité, de totalité. Le théâtre de Claudel dispose des moyens qui subjuguent son spectateur. Il est même question des moyens techniques que nous propose l’époque actuelle, il s’agit de la disposition technique, de la variabilitée du plateau, et même de la technique audio-visuelle. C’est notamment la mise en scène du Livre de Christoph Colomb et du Soulier de satin dui répondent parfaitement à toutes les conditions en question. Mais pensons aussi à l’importance des gestes des acteurs. Nous avons déjà dit que la pièce Le Soulier de satin a été étudiée par le Théâtre national à Brno et à Prague presque au même moment. Le Théâtre national de Prague annonçait la première représentation pour le 29 janvier. Mais la date de la première réalisation a été remise. À cause de cette remise, c’est le Théâtre national à Brno qui a donné Le Soulier de satin en tant qu’une première tchèque. 145 En France, la pièce est montée en 1943 pour la première fois. 146 Rappelons encore le projet intitulé Tutuguri - une réalisation libre inspirée par Le Livre de Christophe Colomb et quelques textes d’ et par l’œuvre de Vincent van Gogh.

5.1.7. Récital du texte claudélien

Les activités de l’acteur tchèque Miroslav Částek mérite aussi notre attention. En 1962, Částek termine ses études à JAMU 147 . Il avait de riches expériences avec le théâtre stable et depuis 1976, sa vie professionnelle est consacrée au genre particulier, au « récital » - le

145 L’Institut de théâtre de Prague donne la date fautive de la première pragoise (le 29 janvier 1993). Nous l’avons trouvé dans un document déposé dans le fond des archives du Théâtre national de Prague. 146 La pièce n’est jouée qu’en 1943, ensuite elle est donnée en 1963 à la Comédie-Française, et l’intégrale est présentée en 1987 dans la mise en scène d’ dans le cadre du Festival d’Avignon. Ce spectacle était beaucoup applaudie par la critique française. Parmi les dernières mises en scène ajoutons encore celle d’Olivier Py de 2006. 147 L’Académie des Arts musicaux de Janá ček.

80 genre souvent réprouvé par la critique. 148 C’est à partir de 1991 que Částek est connu surtout pour ses projets spirituels, notamment il est fasciné par les textes de la Citadelle d’Antoine de Saint-Exupéry et L’Homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Inspiré aussi par le sujet claudélien, en tant que « trouvère » contemporain, il réalise des récitals du Chemin de la Croix dans la traduction d’Ivan Slavík. Il est même auteur des costumes et du décor minimaliste. Souvent, il se laisse accompagner par la musique de Zden ěk Pololáník Le théâtre de Částek a une forme spécifique, « il est possible qu’il s’agisse d’une seule forme, dont sa popularité n’est limitée, … ». 149 Chez Částek nous parlons du récital ou théâtre-récital, il s’agit d’une synthèse des éléments scéniques. « Je mentirais en disant maintenant qu’il est fantastique d’être moi-même le tout (auteur, comédien, manager, accessoiriste, costumier, technique, etc.) […] Le rôle du coureur isolé, comme m’avait appelé un critique pragois, il y a quelques années, n’est point facile. 150 Ainsi, grâce à Miroslav Částek, le public tchèque a la possibilité d’entendre un spectacle spirituel réalisé à partir du texte du Chemin de la croix depuis 1994. Ce texte spirituel se compose de quatorze stations de la contemplation des derniers moments de Jésus jusqu’à mort. Et comme le constate P řemysl Rut, on ne comprend pas ce « théâtre d’un acteur comme une nouvelle discipline artistique avec des règles spécifiques, […] il s’agit d’un cas limité et particulier du drame ; du drame dont les deux bases minimales présentent deux êtres humains. 151 »

148 À ce sujet voir notamment le recueil Divadlo jednoho herce , Divadelní ústav, Praha 1980. 149 Citation originale : „Je to snad jediná forma, pro jejíž oblibu neplatí hranice.“ (Cf. Rut, P., Divadlo nejednoho herce, Divadlo jednoho herce , p. 9.) 150 Citation originale : „Lhal bych, kdybych te ď vypráv ěl, jak je to všechno fantastické být sob ě vším (autorem, hercem, manažerem, rekvizitá řem, kostymérem, techniká řem atd.). (…) Role osam ělého b ěžce, jak mne nazval p řed lety jeden pražský kritik, není jednoduchá.“ (Cf. Justl, V., « Miroslav Částek », Divadlo jednoho herce , p. 187.) 151 Citation originale : „nepovažujeme Divadlo jednoho herce za novou um ěleckou disciplínu se specifickými pravidly, (…). Je pouze mezním, krajním, zvláštním p řípadem dramatu; dramatu, jehož nejmenší stavební jednotkou jsou dva lidé.

81 5.1.8. Claudel et le théâtre actuel (2001-2012)

Après les dernières mises en scène de L’Annonce faite à Marie au Théâtre morave à Olomouc (2002) et de L’Échange au Théâtre de Vinohrady (2006), Claudel continue sa vie scénique avec la pièce Partage de midi . Le spectacle est réalisé le 12 avril 2011 au théâtre intime appelé « Divadlo v Dlouhé » à Prague. 152 La pièce est jouée pour la deuxième fois sur la scène tchèque. Le texte dans la traduction de Vladimír Mikeš est mise en scène par Hana Burešová. La distribution de la pièce était parfaite. L’acteur Marek N ěmec, vêtu d’une robe noire évoquant une soutane de prêtre, a interprété le personnage du jeune et errant Mesa - l’homme déchiré et porteur de grandes questions concernant la quête de ce monde. Le rôle de la seule femme de la pièce, Ysé, cette femme mariée a été exécuté par l’exellente Helena Dvo řáková. La critique a dit qu’elle était séduisante et forte, elle dominait la scène. Le troisième acteur, Miroslav Hanuš, incarnait Amalric. Ce « cow-boy » était la source innattendu de l’humour de la pièce. Le dernier personnage de De Ciz a été joué par Miroslav Táborský. Il présentait l’élément de stabilité de l’histoire. Il faut beaucoup apprécier le travail des auteurs du décor et des costumes, car les spectateurs pouvaient devenir presque participants directs de ce voyage. La scène de la salle était transformée en auditorium accueillant le public. Tout cela facilitait l’application des principes du théâtre « total ». Les spectateurs devenaient les témoins de la mer démontée ainsi que des effets sonores, audio-visuels et de lumières (l’éclairage sous le drap blanc évoquait le cimetière, on a imité aussi le ciel nocturne). Avec la musique, tous ces éléments intensifiaient le vers claudélien. On apprécie beaucoup cette nouvelle mise en scène tchèque, même si le texte méritait d’être raccourci, car la forte pensée claudélienne exige un spectateur attentif. Ce qui est à discuter, c’est la question du niveau de langage des protagonistes, qui semblait être plus

152 Nous avons eu la possibilité d’assister à la reprise du 26 avril 2011. Le spectacle a été beaucoup apllaudi par la critique ; dans l´enquête de la revue Divadelní noviny cette réalisation a reçu le Prix Alfred Radok pour le meilleur spectacle 2011 et aussi pour la mise en scène de Hana Burešová et aussi pour le décor et les costumes. L’actrice Helena Dvo řáková jouait excellement Ysé. Elle a reçu le Prix Alfred Radok et Thálie pour la meilleure actrice du monde théâtral tchèque 2011.

82 familier que soutenu. On pense aussi à la scène finale de la représentation, car Mesa évoquait Jésus Christ marchant sur la mer, ce qui provoquait l’étonnement des spectateurs. En général, cette mise en scène montre que Paul Claudel reste le sujet constant de la scène tchèque et que le théâtre de Claudel passionne toujours non seulement les metteurs en scène mais aussi le public tchèque. Sans doute, l’œuvre claudélienne va continuer sa vie scénique et on espère qu’on le jouera plus souvent en Bohême ainsi qu’en Moravie. 153

5.1.9. Claudel et le théâtre amateur

Les drames de Paul Claudel sont adaptés par les compagnies professionnelles le plus souvent. Mais parfois, Claudel devient le sujet du monde théâtral d’amateurs : deux jours seulement après la première de L’Annonce faite à Marie au Théâtre national de Prague, le même texte était monté par une troupe d’acteurs ambulants 154 de l’ancien théâtre « Deklarace » à Nové M ěsto nad Metují, un village de Bohême du nord. 155 Le seul article

153 Le théâtre morave à Olomouc a inscrit dans son programme un oratorio intitulé « Noc plná sv ětla ». Inspirée par L’Annonce faite à Marie ; sa première représentation mondiale se déroulera le 28 juin 2013. Le texte du libretto est dû à Josef Hrdli čka, l’évêque auxiliaire à Olomouc, mise en scène : Michael Tarant, décors et costumes : Petr Hloužek, musique : Zden ěk Pololáník, chef d’orchestre : Petr Šumník. Acteurs : Violéna (Violaine) : Lea Vítková, Petr z Craonu (Pierre de Craon) : David Szendiuch, Matka (La Mère) : Zde ňka Mollíková, Otec (Anne Vercors) : Ji ří P řibyl, Mara : Barbora Polášková, Jakub Hury (Jacques Hury) : Petr Martínek. 154 C’est notamment Dagmar Trnková ([Dag Mar], « L’Annonce faite à Marie en Bohême », Rencontres , p. 40), et aussi Otto F. Babler qui parlent d’un spectacle amateur. Mais à cause du manque des documents, il est douteux s’il s’agissait d’une réalisation purement non- professionnelle, car les acteurs avaient probablement des expériences avec le théâtre permanent. 155 Ce « théâtre populaire » existait dans le quartier pragois appelé « Žižkov », mais il n’avait jamais assez de spectateurs. Dans l’encyclopédie du théâtre tchèque publiée par l’Institut du théâtre de Prague, l’histoire de ce théâtre commence le 28 janvier 1910 dans une ancienne salle de danse qui se situait sur la place de Komenský et son intérieur a été adapté pour les activités théâtrales. C’est en avril 1910 que la scène est offerte à A. Marek, l’ancien directeur du Théâtre de Pišt ěk, qui tient le théâtre jusqu’à la fin de la même année. Ensuite trois années plus tard, le théâtre est fermé en avril 1913. La vie théâtrale n’y revient qu’en décembre 1916. À partir du mois de septembre 1917, la concession est attribuée à K. Želenský, qui dirige ce théâtre jusqu’en 1919. Ensuite, la

83 critique qui rapporte cette aventure théâtrale a été publié dans la revue locale Ratibor le 21 février 1914 (signé par F. U. Almi - Jindra Imlauf). Imlauf constate que l’ensemble de Marek fils a préparé cinq « beaux » spectacles « bien » joués, y compris L’Annonce faite à Marie . La salle où le spectacle se déroulait n’était pas comble, ce qui a été probablement causé par le rejet de Claudel à Prague.156 Mais selon Jindra Imlauf, la réalisation de Nové M ěsto nad Metují était une « vrai fête spirituelle ». La pièce est mise en scène dans une ancienne salle des Sokols. Imlauf avait beaucoup approuvé le décor minimaliste de la pièce et même la distribution. 157 L’actrice J. A. Marková incarnait Violaine. Pierre de Craon a été joué par V. Kostelecký. Jacques Hury était interprété par le metteur en scène Marek. Mara de Madame Kostelecká était reconnue comme « séduisante et répugnante ». Enfin on a constaté qu’on n’avait vu aucune copie des images bibliques et que peut-être le latin pouvait évoquer un texte d’auteur catholique. Cette mise en scène peut être considerée comme une prémière représentation du texte claudélien montée par une troupe d’acteurs ambulants. Il semble que Claudel ne soit plus étudié par aucune troupe d’amateurs jusqu’au moment de la fameuse réalisation de L’Annonce par les amateurs du metteur en scène Martin Malínek.

concession n’est plus accordée. (Voir l’article signé [ad], « Deklarace », Česká divadla , p. 43-44.) D’après les documents du Cabinet du théâtre tchèque de l’Institut de théâtre à Prague, ce théâtre fut suspendu en 1914 et 1915 ( Lidové divadlo Deklarace na Žižkov ě 1910-1919 , fond « Deklarace », dossier n° MS 72). 156 Voir F. U. Almi, « Nové M ěsto n. Met. », Ratibor , p. 4. 157 « Un simple plateau de dimensions modestes ; sans coulisses ni accessoires ; pour la mise en scène ; pas question ; bien entendu ; de décors spéciaux : il faut se débrouiller avec les moyens du bord. La seule richesse ; c’est l’électricité qui permet de distiller quelques effets lumineux. Une salle à tout faire : la veille encore, les Sokoles y dansaient, avant de céder la place à des tréteaux découvrant des banderoles armoriées aux couleurs nationales et s’apprêtant à recevoir les interprètes d’un mystère au sujet duquel un esprit de prévention a été répandu. » (Cf. Dag Mar, Rencontres , p. 41.)

84 Avant cette nouvelle réalisation, Claudel est « célébré » à l’occasion d’une soirée consacrée à la poésie claudélienne. 158 Cette soirée poétique s’est déroulée le 10 avril 2000 dans la Bibliothèque municipale de la ville Ústí nad Orlicí. Cette soirée ouvre une nouvelle ère d’adaptation des pièces claudéliennes par les troupes d’amateurs. C’est grâce à l’association O.S.D.O. qu’on joue trois grand textes claudéliens. On commence par étudier L’Annonce faite à Marie (2000), ensuite on continue avec le Partage de midi (2002) et la triade claudélienne se termine par la pièce L’Otage (2004). 159 Quel était l’objectif du metteur en scène Martin Malínek ? Au début, il voulait adapter le chef d’œuvre de Claudel Le Soulier de satin . Mais finalement, le projet a changé sous l’influence d’une bibliothécaire de la Bibliothèque municipale de la ville Ústi nad Orlicí qui a recommandé un autre texte de Claudel. Enfin, Malínek a adapté L’Annonce faite à Marie ce qui fut difficile pour lui. Il devait bien comprendre la vie du poète ainsi que la genèse de la pièce en question. Il s’est plongé dans l’étude des matériaux disponibles pour pouvoir bien comprendre Claudel. Il a aussi contacté un curé paroissial qui a répondu aux questions concernant l’Église catholique. Sans cette phase préparatoire, Malínek n’aurait point été capable d’adapter les pièces de Claudel en connaissance de cause et avec une telle sensibilité. En ce qui concerne L’Annonce faite à Marie , le metteur en scène savait qu’il s’agissait d’un texte qui datait de la fin du 19ème et du début du siècle dernier. C´est pourquoi on a modifié le spectacle pour qu’il devienne plus « compréhensible » pour la génération de l’époque actuelle. D’après Malínek, notre société n’est plus capable d’absorber cette forte pensée philosophique concernant la quête du monde. 160 La pièce a été préparée dans une version raccourcie, elle durait 80 minutes (sans entracte). Elle est présentée avec un grand succès en Bohême ainsi qu’en France. La critique a souligné l’adaptation de la pièce dans une langue plus « familière », si proche

158 À la fin de cette soirée poétique composée à partir des récitals originaux et même en tchèque de l’œuvre claudélienne, fut même présente L’Annonce faite à Marie . 159 Il s’agit de l’Association du Théâtre amateur qui a été fondée le 20 janvier 2000. 160 Dans un entretien Malínek disait aussi : « Si on quitte la poésie et la philosophie, on peut même jouer une histoire, […] »; citation originale : „Když člov ěk opustí básnictví a filosofování, tak se dá hrát p říb ěh, …“.

85 des gens de l’époque actuelle (la traduction marténienne est publiée en 1913 déjà, celle de Kon ůpek en 1968). Malínek a parlé aussi de la nécessité de « quitter Claudel en tant que mystique », c’est-à-dire quitter son catholicisme. On a seulement gardé les objets qui évoquent la vie quotidienne des paysans, c’est-à-dire les objets avec le symbolisme chrétien. On pensait que notre vie était accompagnée par la présence divine (notamment au moment de la naissance et de la mort). Trois objets dominaient la scène - une porte, un puits et une grande table. Ces trois objets symbolisaient notamment le savoir, les origines de la famille et même la présence divine. La porte fonctionnait en tant qu’entrée et sortie, elle a servi aussi comme une porte symbolique pour entrer au royaume céleste. Le puits évoquait la vie sur terre, c’est-à-dire la source revifiante, c’est ici que s’est déroulée la résurrection de la fille Aubaine. Enfin la table avec le corps de Violaine à demi-morte, symbolisait l’autel. Les réalisateurs ont travaillé aussi avec le symbolisme des couleurs des robes. Le vêtement de Violaine brillait parmi les personnages, Mara était au contraire noire et leur mère, grise. On a même applaudi l’effort de Malínek pour « matérialiser » le personnage de la Vierge Marie et créer de nouveaux personnages - la petite Violaine et le chœur des religieuses de la Monsavierge. 161 La Vierge, « jeune et belle » « revêtue d’une longue robe bleue et d’un voile rouge » était présente sur la scène tout au long du spectacle, elle ne parlait point, elle avait une seule tâche, veiller sur le destin des protagonistes. C’était elle enfin qui a réalisé le miracle de la résurrection. Le décor qu’on a réalisé dans cette pièce permettait de présenter le spectacle sur les parvis des églises et des lieux saints mais aussi aux centres de villes, c’est-à-dire devant un public hétérogène.

161 Le metteur en scène « a souhaité la présence du chœurs : six jeunes filles vêtues de bure noire, comme des nonnes, portaient dans le creux de leurs mains des veilleuses représentant la flamme vigilante, elles déambulaient en procession de jardin à cour sur le plateau assombri, chantant le Salve Regina , accompagnées par une musique métallique Apocalyptica . » (Cf. Montmartre, D., « Martin Malínek et Ústí nad Orlicí pour L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 163, 2001, p. 34.)

86 Danielle Monmartre parlait d’un metteur en scène « très charismatique » et d’une « véritable révélation-illumination ». 162 On disait aussi qu’il s’agisait d’une « renaissance claudélienne » en Tchéquie, de la « célébration » de l’auteur et de la « superbe mise en scène ». 163 La mise en scène de Malínek est devenue ainsi objet de discussion pendant une conférence étant organisée au Centre Tchèque de Paris en 2001. 164 C’est au moment de cette réussite que la famille de Claudel demande à Malínek d’adapter l’autre pièce de Claudel – le Partage de midi . Un devoir assez pénible, car le metteur en scène savait, que ce texte ne proposait pas un sujet « léger » mais, au contraire, qu’il s’agissait d’une pièce qui traite un sujet intime destiné à être présenté dans les conditions particulières. 165 La pièce est finalement donnée en 2002 avec le sous-titre « drame d’une femme et de trois hommes entre l’Existence et le Trépas ». Cette fois-ci, le metteur en scène a décidé d’affaiblir le rôle de deux personnage - de De Ciz et de Dieu, personnage caché mais toujours présent sur la scène. Il a voulu se limiter à une histoire simple, à une légende qui évoque une grande passion de Tristan et Iseult. Cette version se terminait par une explosion et par les funérailles des protagonistes, ce qui était accentué par la personnification de La Mort présentée par une jeune danseuse. 166

162 Voir Montmartre, D., « Martin Malínek et Ústí nad Orlicí pour L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 163, 2001, p. 33-34. 163 Cf. [Non-signé], « Renaisance de Claudel en République Tchèque à travers L’Annonce faite à Marie », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 163, 2001, p. 32. 164 D’abord c’était François Claudel qui résumait le séjour et les activités diplomatiques de Claudel à Prague et l’inspiration tchèque dans son ouvrage. Ensuite Alain Beretta, grand spécialiste du théâtre de Claudel, évoquait la genèse des réfontes de la pièce L’Annonce faite à Marie , il a constaté la fascination de Claudel pour le mystère pascal, qu’il a vu au couvent d’Émmaüs, et même a résumé aussi la question de la mise en scène pragoise. Le dernier orateur, le metteur en scène Martin Malínek, a évoqué cette expérience unique de réaliser Claudel (sa contribution a été accompagné par les diapositives). 165 Cf., Zahálka, M., « Polední a krásný úd ěl, entretien avec le metteur en scène », coupure de presse déposé dans les archives de Martin Malínek. 166 Le metteur en scène Semerád du Théâtre municipal de Zlín demanda même le texte de la pièce. Mais la pièce n’y est pas réalisée.

87 Le décor évoquait un grand bateau avec un pont, une rampe et une ceinture de sauvetage. Les conditions spatio-temporelles de l’Extrême-Orient étaient évoquées par les voiles sans mouvement. Enfin, la triade claudélienne se termine en 2004 au moment de la mise en scène de L’Otage . La critique considère cette pièce comme la plus réalisable, jouable. Le spectacle est monté à Česká T řebová pour la première fois. La scène a été dominée par une grande Croix - symbole des gestes divins. Enfin, la Croix symbolisait la mort. 167 Cette adaptation était aussi applaudie grâce à son décor et même grâce aux costumes historiques. La distribution était même applaudie. La critique soulignait le courage du metteur en scène d’étudier le troisième texte de Claudel. Dans le journal local Orlické noviny (du 2 avril 2005), le critique Mirek N ěmec constate qu’il a participé à la meilleure réalisation de Malínek. La pièce avait enrichi le répertoire des théâtres amateurs en République tchèque à l’époque où on prèférait surtout les comédies. N’oublions pas un projet international ayant pour titre L’Impossible partage 168 . En 2003, on réalise ce projet grâce à Catherine Arnault. Son objectif était de composer une soirée à partir des textes de Karel Čapek (« Apocryphes ») et d’extraits des pièces de Claudel. 169 Cette première mondiale regroupait deux cultures, celle de l’Europe de l’Est et de l’Europe de l’Ouest. Le projet était réalisé par seize étudiants de l’association du Théâtre de Recherche Universitaire de Chambéry (présenté à Česká T řebová) et même par la troupe de Malínek (présenté à Chambéry). 170 La scène présentait une image, dont les

167 La pièce est même présentée dans le cadre du festival à Levo ča en 2005. 168 Le titre est choisi par hasard. 169 « L´impossible Partage est un véritable chassé-croisé entre des textes choisis de Paul Claudel et certains „récits apocryphes“ de K. Čapek. […]. Si pour K. Čapek, c´est avant tout l´aventure de l´Homme, au travers de la Bible, puis au travers de héros mythiques, réels ou imaginés, (Napoléon, , Roméo et Juliette, Goneril, fille du Roi Lear, …) ; aventure empreinte d´un certain détachement, d´un humour, voire satirique ; qui nous amène à nous ressaisir, à nous recentrer sur ce que nous sommes, nous, simples occupants de la Terre; Pour Paul Claudel, c´est la lutte sans merci entre le corps et l´esprit ; … ( L´Annonce Faite à Marie , le Partage de midi , L’Otage , L’Échange , [...]) », souvenir de Catherine Andrault, document déposé aux archives de M. Malínek. 170 Martin Malínek a choisi les textes de Čapek suivants : « Uk řižování », « Svatá noc », « Lazar », « Pseudo-Lot čili o vlastenectví », « Marta a Marie », et autres.

88 deux seuls composants incarnaient Claudel l’écrivain lui-même et une jeune danseuse « un peu fantomatique », c’était peut-être sa sœur chérie Camille. Les activités artistiques de Malínek méritent notre attention, car il s’agit des mises en scène respectant la forte pensée claudélienne. La réussite de sa mise en scène est illustrée par la statistique suivante : L’Annonce jouée 53 fois, Partage de midi 10 fois, L’Otage repris 18 fois. Ce nombre de reprises illustre que le décor somptueux des théâtres stables ne peut pas être la garantie du succès. Claudel mérite d’être présenté dans les conditions particulières, sur une scène intime.

89 5.2. REPRÉSENTATIONS ÉTRANGÈRES CHOISIES

Dans ce chapitre nous nous orientons vers les principales mises en scène des troupes professionnelles étrangères. Nous allons aborder la vie scénique du théâtre claudélien dans le monde culturel français et allemand sans oublier le monde anglophone et francophone, ensuite la Hollande, les pays Scandinaves et même l’Amérique Latine.

5.2.1. Claudel et le monde théâtral slovaque

Claudel n’a jamais visité la Slovaquie. La relation de Claudel avec la Slovaquie se réalise indirectement à travers une légende traduite par Zdenka Braunerová. Claudel reprend le sujet dans un nouveau conte populaire publié sous le titre Le Cheval qui apportait le soleil . Ensuite, à partir des années vingt du siècle dernier, les lecteurs slovaques commence à connaître le nom du poète. Il entre dans la littérature slovaque grâce aux traductions de Boleslav Luká č ( Le Chemin de la Croix , 1924, 1929, 1948 ;« Magnificat », 1908), de Ján Haranta (« Notre-Dame auxiliaire », 1939). Parmi les autres traducteurs, on peut citer Pavol Gašparovi č Hlbina (« La vierge à midi », 1935) et Karol Strmeň ( Cantate à trois voix , Chemin de la Croix ). Mais n’oublions pas l’effort de Ladislav Franek ou de Michaela Jurovská (voir Paul Claudel : Hry ). Dans l’article intitulé « Čekanie na Claudela », 171 So ňa Šimková constate que les textes de Claudel commencent à être joué en Slovaquie au moment de la chute du communisme dans l’Europe de l’Ouest. Avant 1989, Claudel était inscrit au programme pour la saison 1937/1938. Le chef du Théâtre national de Bratislava voulait réaliser L’Annonce faite à Marie , mais la pièce n’a pas été jouée finalement. Du temps de la Tchécoslovaquie, le Théâtre de marionnettes d’État de Bratislava inscrit dans son répertoire la pièce Le Livre de Christophe Colomb dans la mise en scène d’Ondrej Špi čák. Mais cette première réalisation slovaque donnée sous le titre « Christophe Colomb » était une réalisation plus scénique qu’un théâtre de marionnettes. On

171 Voir le livre Paul Claudel : Hry publié par l’Institut de théâtre de Bratislava en 2007.

90 critiquait aussi le raccourcissement du texte et la « slovaquisation » de la traduction tchèque de Babler. La pièce était traduite en 1968 et publiée par la revue Divadlo . L’année suivante, L’Annonce faite à Marie est donnée au Théâtre de Spišská Nová Ves (dans la traduction de Ladislav Franek). La dernière traduction de la pièce en langue slovaque date l’année 1940. Les spectateurs slovaques voyaient la même pièce grâce à une tournée réalisée par la troupe du Théâtre national de Brno (la mise en scène de Zden ěk Kalo č). La pièce L’Échange est donnée en langue slovaque en 1998 (dans la traduction de Michaela Jurkovská). La dernière création slovaque à sujet claudélien a été la réalisation de Jeanne d’Arc au bûcher avec Emília Vášáryová et Anna Šišková. Le monde théâtral slovaque n’a pas beaucoup l’expérience de l’univers claudélien. On attend toujours que Claudel trouve sa place dans cette région de haute religiosité. La profonde religion catholique de la Slovaquie peut finalement faciliter l’accueil des pièces claudéliennes sur la scène slovaque.

5.2.2. Claudel et le monde théâtral français

Claudel est présenté pour la première fois au Théâtre de l’Œuvre à Paris en 1912. 172 Mais avant cette première réalisation française, Henri-René Lenormand et Marie Kalff 173 voulaient adapter La Jeune fille Violaine 174 au Nouveau Théâtre d’Art d’Alphonse Séché en 1909 déjà. Au moins, Lenormand encourage Marie Kalff à réaliser une tournée

172 Ce théâtre était fondé en 1903 avec Camille Mauclair et durant son existence le répertoire comprend les pièces d’auteurs tels que Maeterlinck, Ibsen, Wilde, Annuzio, Verhaeren, Strindberg, Gogol, Gide, Francis Jammes ou bien de Henry Bataille. 173 Cette actrice d’origine hollandaise est née en 1874 dans une famille aisée et s’installe à Paris pour pouvoir travailler avec le metteur en scène Lugné-Poë. C’est en 1908 qu’elle rencontre son futur mari le dramaturge Henri-René Lenormand, le mariage se réalise en 1911. 174 La première version est écrite en 1892, la seconde version « corrigée » est publié en 1901 et la troisième est d’abord publiée en cinq livraisons dans La Nouvelle Revue Française entre 1911- 1912 et l’édition originale date 1912. (Cf. Œuvres complètes de Paul Claudel , Gallimard, Paris 1955, p. 251.)

91 européenne avec les textes claudéliens. Enfin, elle se décide à organiser une tournée des récitals poétiques composés à partir de quelques extraits des textes de Paul Claudel (voir auasi le chapitre « Claudel et les Pays-Bas »). « J’essayai d’enflammer le comité pour la Jeune Fille Violaine qui, publiée depuis 1901 dans L’Arbre , avait fait naître en moi l’un de ces enthousiasmes de jeunesse devant lesquels mes ambitions personnelles pouvaient s’abolir. Je nourris quelque fierté d’avoir été le premier homme de théâtre à sentir que les tragédies de Paul Claudel incluses dans l’édition du Mercure de France étaient jouables et qu’elles seraient, un jour, tenues pour l’évangile d’un art scénique régénéré. Marie Kalff, qui n’était pas encore ma femme, avait entrepris une tournée de récitals où elle divulguait le message claudélien. Elle fut ainsi la première Marthe, la première Ysé, la première Violaine, qu’elle brûlait d’incarner à la scène. […] » 175 Maaike Koffeman parle même d’ « une campagne d’évangélisation » vu les efforts de ce couple actrice-dramaturge pour monter une pièce claudélienne. Cette initiative surprend sans doute Claudel, mais pour l’instant, il ne peut que « garder l’anonymat » ce qu’exige son statut de fonctionnaire. Claudel résiste et refuse d’adapter l’un de ses premiers textes la Jeune Fille Violaine . Nous pouvons ajouter que l’un des motifs essentiel résidait, aux dires de Joseph Boly, dans le fait que l’auteur considérait ses premiers textes comme trop intimes, trop personnels pour être présentés devant les spectateurs. Ainsi le public et même les réalisateurs doivent attendre encore quelques années pour pouvoir réaliser ses projets et satisfaire ses désirs, mais nous devons ici souligner les efforts de Marie Kalff dans le domaine de la préparation de l’accueil public des drames de Claudel. Donc, si nous évitons les lectures et récitals des premiers textes claudéliens, c’est la pièce L’Annonce faite à Marie qui ouvre la longue et riche vie scénique des pièces claudéliennes, aux dires du poète, cette première réalisation « a commencé à prendre son vol à travers le monde et à travers la France ». Ensuite ce texte est très vite adapté par différents théâtres européens. Joseph Boly dans son livre consacré à l’analyse de L’Annonce faite à Marie constate qu’entre les années 1945 et 1955 « il serait

175 Voir Lenormand, H.-R., Les Confessions d’un auteur dramatique , vol. I, Albin Michel, Paris 1949, p. 127, mais ne disposant pas de cet ouvrage, nous reprenons cette citation du livre Claudel et la Hollande , textes réunis par Marie-Victoire Nantet, Poussière d’Or, Besançon 2009, p. 225-226.

92 presque plus facile d’énumérer les pays où L’Annonce n’a pas été montée. » 176 Il est vrai que dans la longue histoire de la mise en scène des pièces claudéliennes, son œuvre avait accompli un voyage à travers le monde entier et grâce aux diverses réalisations effectuées par les compagnies professionnelles et amateurs soit françaises ou étrangères, son théâtre est petit-à-petit connu et célèbre dans le monde entier. « La critique est unanimement élogieuse », constate Joseph Boly. Il énumère même les signataires des principaux articles critiques notamment d’Henry Bidou, Adolphe Brisson, Robert Brunelles, , Régis Gignoux ou bien Romain Rolland, Edmond Sée etc. Claudel, ayant déjà une longue carrière diplomatique, débute dans le domaine du théâtre à l’âge de quarante-quatre ans. En ce qui concerne la première réalisation parisienne, Claudel a autorisé de monter L’Annonce faite à Marie à condition que le rôle de Violaine soit incarné par son « admiratrice dévouée », l’actrice Marie Kalff. Jean Variot, l’auteur du décor du spectacle disait que c’était cette actrice, cette « interprète idéale » des drames claudéliens avait « converti » Lugné-Poë à ce sujet. 177 Mais ce désir du poète ne se réalise pas finalement. La distribution change à cause d’une maladie de Kalif. Lla première Violaine est finalement incarnée par la sociétaire du théâtre et directrice du laboratoire de théâtre, par Madame Lara. Les difficultés continuent car Madame Lara avait l’autorisation de jouer seulement pendant trois soirées. Le rôle de Violaine est ensuite tenue par Andrée Méry. L’Annonce est ensuite montée sur la scène de la Comédie Montaigne en 1921 et c’est dans la mise en scène de Gaston Baty et Firmin Gémier. 178 Les réalisateurs ont dû

176 Voir Boly, J., Paul Claudel. L’Annonce faite à Marie. Étude et analyse , L’École, Paris 1957, p. 114. 177 « Il est naturel qu’alerté par Marie Kalff, cette femme supérieure, Lugné-Poe ait décidé de monter l’Annonce , version nouvelle de la Jeune Fille Violaine . La forme de ce mystère était en opposition formelle avec le théâtre digestif et conformiste du trio Bataille-Porto Riche-Bernstein ; également en opposition avec le théâtre de pensée de François de Curel […]. Le style et la forme même des phrases (le fameux verset claudélien) purement lyriques, présentaient les caractéristiques d’une véritable révolution dramatique. » (Cf. Variot, J., L’Annonce faite à Marie au Théâtre de l’Œuvre, 20 décembre 1912, La Table ronde , n°88, avril 1955, p. 63-73 ; nous reprenons cette citation de l’étude de M. Koffeman réunie dans Claudel et la Hollande , p. 227.) 178 Il s’agit de la future Comédie des Champs-Elysées.

93 raccourcir le texte. L’acte IV semblait trop difficile à être joué. Cette expérience oblige Claudel à écrire une nouvelle variante, plus scénique. Après la seconde guerre mondiale et au moment de la mort du poète, L’Annonce est donnée dans de nombreuses villes françaises. Mais la Comédie-Française n’accepte cette pièce qu’en 1951. La générale (le 17 février) s’est déroulée dans la Salle Richelieu en présence du président de la république Réné Coty. Elle a été jouée en tant qu’hommage au poète qui a activement assisté aux répétitions. « Le succès de l’Annonce faite à Marie à la Comédie-Française fut considérable auprès du public et la cinquantième fut rapidement dépassée. » 179 Alain Beretta constate que Claudel est auasi souvent choisi par les compagnies amateurs mais ces réalisations ne sont pas toujours recensées ce qui complique l’identification de ce répertoire. Le texte de la Jeune fille Violaine a aussi sa propre existence scénique. Le Partage de midi n’est représenté dans son intégralité qu’en 1921 par les acteurs de la troupe Art et action (en 1916 on interprète deux scènes de la première version au Théâtre du Gymnase). En 1928, Antonin Artaud joue le troisième acte de la pièce au Théâtre Alfred Jarry sans autorisation. La pièce est véritablement adaptée par Jean-Louis Barrault au Théâtre Marigny en 1948 (dans sa deuxième version). La pièce L’Otage est réalisé par le Théâtre de L’Œuvre en 1914 pour la première fois. La pièce rencontre un grand succès et elle est reprise au Théâtre de l’Odéon. En 1916 on donne une série de représentations de la même pièce au Théâtre Antoine. Le Théâtre de l’Œuvre reprend la pièce en 1923 et Firmin Gémier laisse jouer la pièce à l’Odéon en 1926. C’est en 1933 que la pièce est acceptée par la Comédie Française. La pièce est reprise en 1950 dans une nouvelle mise en scène de Henri Rollan. L’édition originale du Pain dur est finie en 1918. Le texte est lu par Ève Francis et Jean Hervé au Théâtre du Gymnase en 1919. La pièce a connu un grand succès dans la mise en scène d’André Barsacq au Théâtre de l’Atelier en 1949 (avec 93 représentations pendant deux mois).

179 P.C., « Chronique théâtrale », Bulletin de la Société Paul Claudel , n°I, Paris 1958, p. 15.

94 La censure allemande interdit la mise en scène du Père humilié aux cours des répétitions en 1941. La pièce est finalement donnée en 1946 par le Théâtre des Champs- Elysées. 180 La première version de L’Échange est adaptée par le Vieux Colombier dans la mise en scène de Copeau en 1914. Ensuite elle est présentée avec succès à Paris en 1939 dans la mise en scène de Georges Pitoeff. Entre les années 1940 -1944, à l’époque de l’occupation allemande, la pièce n’est réalisée qu’en Suisse et au Canada. « ... Les Allemands avaient donné l’autorisation de monter L’Échange , en France, à condition que l’action, au lieu de se situer aux États-Unis, fut placée soit en Norvège, soit au Portugal. » 181 La seconde version de la pièce est réalisée par la Compagnie Madeleine Renaud-Jean-Louis Barrault au Théâtre Marigny en 1951. La même compagnie monte aussi Le Livre de Christophe Colomb en 1953 (la première mondiale de l’opéra est donnée à en 1930). L’Opéra de Paris réalise Jeanne d’Arc au bûcher en 1951 (Théâtre municipal d’Orléans en 1939 déjà), mais la première mondiale a lieu à Bâle en 1938 avec Ida Rubinstein dans le rôle de Jeanne. Le chef d’œuvre – Le Soulier de satin - n’est joué qu’en 1943 pour la première fois. Claudel a voulu voir adapter la vraie version de cette pièce (publiée en 1928-29) mais le comité de lecture de la Comédie Française demande une verstion plus courte. Finalement, la pièce est jouée dans une version réduite dans la mise en scène de Jean-Louis Barrault. Le spectacle reste au répertoire trois années. La mise en scène de la même pièce est renouvelée et réalisée au Théâtre du Palais-Royal à Paris en 1958. L’Odéon Théâtre donne la pièce en 1963 en présence du général de Gaulle. On note encore les réalisations de la compagnie du Théâtre d’Orsay (1980) et celle du Festival d’Avignon (1987, mise en scène par Antoine Vitez). En France, le théâtre claudélien ne cesse d’être présenté jusqu’à nos jours. Chaque année on annonce plusieurs pièces qui sont réalisées par les diverses compagnies françaises. Mais il nous semble que Claudel soit réalisé surtout par les admirateurs du théâtre claudélien.

180 Entre les années 1954-1955, la pièce est montée en Suisse, au Luxembourg, en Belgique, en Afrique du Nord, à Lyon, Bordeaux, et Toulouse. 181 Voir Théâtre , tome huitième, Gallimard, 1954, p. 390.

95 5.2.3. Claudel et le monde germanophone

Après un long séjour en Chine, le combat intime et le départ de Prague, Claudel obtient un nouveau poste en Allemagne, à Frankfort sur Main. Dans une lettre, Claudel écrit que « Hegner fut un des tout premiers en Allemagne à percevoir la grandeur de Claudel et à comprendre que son œuvre pouvait pénétrer l’âme allemande [...] » 182 En Allemagne, Claudel commence à être connu grâce à une troupe française qui réalise quelques représentations de son œuvre en français au cours de l’année 1913 (notamment à Francfort sur Main et à Strasbourg 183 ). La version allemande de L’Annonce faite à Marie est réalisée dans le cadre du Festival d’Art dramatique de Hellerau, près de Dresde. La première représentation a lieu en présence du poète. Ce premier « point de cristallisation » des mises en scène de L’Annonce se réalise devant un grand public. Le spectacle avait « réuni, intéressé, sinon bouleversé un public choisi de lettrés et d’artistes : ils étaient séduits par l’idée-force concrétisée dans le théâtre du Festival qui voulait transformer Hellerau en un centre d’art neuf, analogue au Bayreuth wagnérien (…), pour y créer un autre (…), un nouveau „chef-d’oeuvre intégral“, axé essentiellement sur la poésie, la danse et l’art dramatique. » 184 Le spectacle est vu par des hommes éminents représentant surtout l’élite intellectuelle et artistique allemande. 185 L’action est placée au bord du Rhin allemand, à Spire, car ce fleuve évoquait la Loire. Ce sont aussi les noms des protagonistes qui changent - Andreas Grandherz ou bien Peter von Ulm. Mais plus tard, le traducteur a constaté qu’il a poussé « trop loin » cette germanisation. Au début de son travail, il avait la « bénédiction et l’accord » du poète mais Claudel regrette ensuite cette germanisation.

182 La Maëstre, A. E. de, « Autriche », Bulletin de la Société Paul Claudel , n°10, juin 1962, p. 12. 183 En 1913, ville allemande. 184 La Maëstre, A. E. de, Paul Claudel et le monde germanique. « L´Annonce faite à Marie » , Vienne, Février 1918, Institut Autrichien de Paris, Paris, 1966, p. 9. 185 La liste contenait les noms célèbres tels que R. M. Rilke, Lou Andréas Salomé, Sidie Nadherny, Anna von Münchhausen, Helene von Nostitz, Annette Kolb, Ellen Delp. Anton, Katharina Kippenberg, Henry van de Velde, Franz Werfel, , Robert Grosche et probablement aussi Max Scheler, Eduard Strauss, Martin Buber, Max Reinhardt, E.R. Curtius, Karl Muth, Hermann Platz.

96 Le premier contact avec le monde autrichien se réalise pendant le séjour du poète à Prague dans les années 1909-1911. Consul de la République française à Prague ( à l’époque de la Monarchie austro-hongroise) il doit communiquer avec l’ambassade française à Vienne. L’œuvre claudélienne commence à entrer en contact avec le monde théâtral autrichien à partir de la fin de la première guerre mondiale. Mais ce premier contact est compliqué par les circonstances politiques internationales, ainsi que par les difficultés suscitées par la Censure autrichienne. Aux dires d’André Espiau de La Maëstre, ils « donnent en effet une valeur de symbole à la représentation unique, à Vienne, au mois de Février 1918, dans les mois les plus sombres de la première guerre mondiale, ( ...) » 186 Donc, c’était au début de l’année 1918 que le théâtre populaire viennois la Wiener Volksbühne voulait présenter l’un des textes claudéliens pour la première fois. Avant cette date, l’œuvre de Claudel reste méconnue en Autriche. « La censure préalable est alors en vigueur dans l’Autriche impériale et elle est encore renforcée par l’état de guerre. La direction du théâtre introduit donc auprès du Président de la Police de Vienne une demande en bonne et due forme, pour obtenir l’autorisation de jouer la pièce de Claudel et elle joint à sa requête le texte de „L’Annonce faite à Marie“. » 187 On voulait présenter la version de 1911 de la pièce dans la traduction allemande due à Jakob Hegner. Mais cette traduction était « un cahier broché », une « copie correcte, ne présentant aucune altération, aucune omission du texte édité. » 188 Le théâtre viennois voulait donner une série de représentations de la pièce à partir de la fin du mois de janvier 1918. La Police ne tarda pas, la censure prépara une expertise détaillée de la pièce. 189 Le document de la censure contenait une analyse complète de la pièce avec les caractéristiques psychologiques des personnages. Le problème vint de la description du 3ème acte de la pièce. Les censeurs avait souligné le moment de la venue de Mara avec l’enfant mort chez Violaine, car la prière de Violaine « possède la puissance de lui faire enfanter, sans aucun contact charnel avec un homme, un

186 La Maëstre, A. E. de, Paul Claudel et le monde germanique. « L´Annonce faite à Marie » , Vienne, Février 1918, Institut Autrichien de Paris, Paris, 1966, p. 5. 187 Ibid. 188 Ibid. 189 Le dossier de la Censure avec le cahier est déposé aux Archives du Gouvernement de Basse- Autriche (L. A. III/3-a-59 – 14. II. 1962).

97 enfant qu’elle donne à Mara à la place de sa petite fille morte » 190 . On cite encore le dernier paragraphe du texte de la censure. « [L’] action de la pièce, aussi vide de substance que pauvre en puissance dramatique, présente une forme lyrique et allégorique qui en rend fort difficile une interprétation satisfaisante et définitive. Le grand public la comprendra d’autant moins que le texte, farci de citations latines et de formules liturgiques, a une structure „ecclésiastique“ qui est fondamentalement étrangère à la majorité des spectateurs d’aujourd’hui. Indépendamment de ce fait, le thème scénique évident (…) de la naissance d’un enfant, - qui ne peut manifestement pas être autre chose qu’une allégorie de la naissance du Christ -, suscite de graves objections du point de vue religieux. »191 Et comme le constate André Espiau de La Maëstre, cette lecture « trop rapide ou négligente du texte et des indications de scène avait sans doute introduit les censeurs dans l’erreur : la version allemande de Hegner est absolument conforme à l’original français et les indications scéniques y sont traduites littéralement, sans donner lieu à aucune équivoque. »192 Le texte avec le dossier critique sont ensuite transmis par le Gouvernement de Basse- Autriche aux Membres du Comité de Censure. La réaction est négative et le 25 janvier « l’interdiction du Gouvernement de Basse-Autriche était notifiée à la Direction de la Police de Vienne. » 193 La situation de la direction du théâtre était assez précaire, mais la question de l’arrêté d’interdiction restait encore discutable, grâce à la possibilité de sa transmission à l’instance supérieure, au Ministère de l’Intérieur. Dans le document de la direction du théâtre adressé « respectueusement » à la Présidence du Gouvernement de Basse-Autriche, on priait « de bien vouloir lever l’interdiction qui vient de lui être signifiée de jouer „L’Annonce“, pièce religieuse de P. Claudel. » On constate que l’auteur « est reconnu comme un des plus grands poètes européens. » et qu’« [E]ntre son œuvre „L’Annonce“ et les autres pièces, aujourd’hui jouées sur les scènes de théâtre, entre Claudel lui-même et les

190 N’ayant pas eu la possibilité d’étudier le dossier de la censure, nous citons ce texte d’après La Maëstre, A. E. de, Paul Claudel et le monde germanique. « L´Annonce faite à Marie » , Vienne, Février 1918, Institut Autrichien de Paris, Paris, 1966, p. 6. 191 La Maëstre, A. E. de, Paul Claudel et le monde germanique. « L´Annonce faite à Marie » , Vienne, Février 1918, Institut Autrichien de Paris, Paris, 1966, p. 6-7. 192 Ibid., p. 6. 193 Ibid., p. 7.

98 auteurs dramatiques les plus en vogue actuellement, il y a une telle différence de niveau et de valeur (…) ». On constate aussi que le pièce « est sans aucun contenu politique et elle est tout entière inspirée par l’esprit d’un profond idéal humain universel. » Elle « constitue une apothéose de l’idée du sacrifice : à cet égard, et surtout en ces jours tragiques de guerre, elle peut exercer une influence particulièrement élevante (…). » 194 Malgré l’arrêté du 25 janvier 1918, la direction du Théâtre Populaire de Vienne, à la demande directe d’autorisation, pouvait organiser (à titre exceptionnel) une représentation de la pièce « à l’une des soirées prévues et devant un cercle de spectateurs individuellement invitées. » La première viennoise de L’Annonce était un « symbole particulièrement caractéristique de la pénétration claudélienne dans le monde germanique. » 195 La pièce est devenue « une création originale entièrement allemande » avec une mention « Version allemande de J. Hegner, d’après le texte français. » 196 On disait aussi qu’ « Entièrement „recréée“, cette „Annonce“ était née d’une inspiration entièrement germanique, d’une conception du monde germanique, elle était le reflet exclusif de l’âme germanique. » 197 La première fut donnée le 27 février 1918 dans les conditions prévue et en présence de l’Inspecteur de Police qui était chargé de surveiller le déroulement de la soirée et d’en faire un rapport. Dans ce rapport on peut lire notamment que le spectacle (de Pierre (sic!) Claudel) était joué « devant une salle comble de spectateurs invités » et que cette pièce « aussi poétique que profondément religieuse d’inspiration, avait remporté un remarquable succès artistique. » Ce fonctionnaire de service a noté aussi que « [d]u point de vue de la censure, cette représentation, dans une mise en scène artistique de fort bon goût, d’une grande fidélité historique, et pourvue d’une distribution tout à fait satisfaisante, n’avait donné lieu à aucune remarque particulière. » 198 Après cette première rencontre de Claudel avec le monde autrichien, le théâtre autrichien doit attendre plusieurs années, car

194 La Maëstre, A. E. de, Paul Claudel et le monde germanique. « L´Annonce faite à Marie » , Vienne, Février 1918, Institut Autrichien de Paris, Paris, 1966, p. 7, 8. 195 Ibid., p. 13. 196 Ibid., p. 18. 197 Ibid., p. 18. 198 Nous reprenons les citations d’André de la Maëstre, p. 21.

99 L’Annonce n’est plus jouée qu’en 1948 par la troupe du Burgtheater au Théâtre de l’Académie. Mais cette reprise est un demi-échec. Après la première réalisation de L’Annonce , avant la seconde guerre mondiale, les spectateurs du monde culturel autrichien ont aussi vu et admiré d’autres textes claudéliens, notamment L’Échange (1921), le Partage de midi (1924), Le Pain dur (1930) ou bien L’Otage (1937).

5.2.4. Claudel en Belgique

La Belgique est devenue la dernière mission diplomatique du poète dans sa vie d’ambassadeur. Dans ce pays, Claudel termine sa longue et féconde vie professionnelle. Victor Martin-Schmets dans son ouvrage Paul Claudel et la Belgique relève qu’il n’existe pas moins de 375 représentations belges qui furent données entre les années 1920 et 1955 à Bruxelles ainsi qu’en province flamande et wallonne (voir la fin de ce sous- chapitre). 199 L’Annonce faite à Marie est souvent jouée sous le titre De Boodschap aan Maria par la troupe de Vlaamsche Volkstooneel à Bruxelles ainsi qu’en provinces flamande dans la saison 1927-1928. En 1931 les acteurs de la troupe Rataillon présentent une des scènes du Soulier de satin . En 1933, la troupe intitulée Van onzen tijd donne Protée dans la mise en scène de De Meester. 200 En 1934, la troupe La Caravelle donne une Annonce faite à Marie dans la mise en scène de Paul Collaer à Bruxelles. La musique de Milhaud est reconnue par l’auteur

199 La recherche était éffectuée par Martin-Schmets à partir des documents dépouillés dans les archives de la S.A.C.D. (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) et Martin-Schmets relève depuis la première représentation ce nombre des représentations : L’Annonce faite à Marie (218), L’Otage (39), L’Echange (29), Le Pain dur (18), Le Soulier de Satin (18), Le Père humilié (13), Jeanne d’Arc au bûcher (11), Les Choéphores (8), Partage de midi (7), La Ville (6), L’Histoire de Tobie et de Sara (4), Protée (2), La Femme et son ombre (1), Le Livre de Christophe Colomb (1). 200 Martin-Schmets, V., Paul Claudel et la Belgique , p. 454.

100 comme délicieuse mais le spectacle est critiqué. Dans son Journal , Claudel parle d’une « effroyable représentation 201 » réalisée par des amateurs.

Liste des représentations proposée par Martin-Schmets par ordre historique 202 Lieu de Date de Nombre de Sous le titre représentation représentation représentation 1920 L’Annonce faite à Marie Liège Janvier 1 1922 L’Otage Bruxelles Décembre 1 1928 L’Annonce faite à Marie Ibid. le 4 janvier 1 Ibid. Anvers le 10 1 Ibid. Courtrai le 15 1 Ibid. Bruxelles le 24 1 Ibid. Ostende le 28 1 Ibid. Bruges le 6 février 1 Ibid. Anvers le 11 1 Ibid. Ibid. le 25 1 Ibid. Louvain le 29 1 Ibid. Gand Mars 2 Ibid. Bruxelles le 1er 1 Ibid. Saint-Nicolas le 11 1 De Boodschap aan Maria (Rurale) le 11 avril 1 Ibid. Zlost le 17 1

201 Claudel, P., Journal , II, p. 50. 202 Nous reprenons des informations des pages 420-429 et même une note explicative de la page 492. « Ces registres donnent parfois les titres en néerlandais, mais aussi en français, suivi de la mention : 'en flamand'. Quand nous avons trouvé cette dernière mention, plutôt que de la reprendre, nous avons traduit le titre français. Une date entre crochets correspond à la date de perception des droits, lorsque manque la date de représentation. Le chiffre entre parenthèses à la suite de certains titres indique le nombre de représentations, toujours d’après les registres de la S. A. C. D. »

101 L’Annonce faite à Marie Malines le 29 1 Ibid. Termonde le 24 septembre 1 Ibid. Lierre le 23 décembre 1 1929 Ibid. Bruxelles le 28 janvier 1 Ibid. Maeseyck le 28 février 1 De Boodschap aan Maria Liège le 28 avril 1 Ibid. Anvers le 30 1 L’Annonce faite à Marie Ibid. le 15 août 1 Ibid. Verviers le 29 décembre 1 1930 Ibid. Ibid. le 17 février 1 1931 La Ville Saint-Trond le 12 février 1 De Stad Saint-Nicolas le 22 1 La Ville Bruxelles le 25 1 De Stad Bruges Ibid. 1 La Ville Courtrai le 26 mars 1 Ibid. Gand le 1er avril 1 1933 L’Annonce faite à Marie Bruxelles le 8 février 1 Ibid. Louvain le 8 mars 1 Ibid. Bruges le 25 1 Protée Bruxelles le 28 1 Protheus Courtrai le 30 1 L’Otage Bruxelles les 15.-16. décembre 3 1934 L’Annonce faite à Marie Bruxelles les 22-23 janvier 2 1937 L’Otage Ibid. le 8 février 1 L’Annonce faite à Marie Ibid. le 20 mars 5 De Gijzelaar Zottegem le 5 décembre 1 1938

102 Ibid. Anvers le 14 février 1 L’Annonce faite à Marie Bruges le 24 avril 1 De Gijzelaar Anvers le 18 mai 1 De Boodschap aan Maria Ibid. le 27 novembre 1 1939 L’Annonce faite à Marie Merksen les 25-26 février 1 Ibid. Deurne le 4 décembre 1 1940 Ibid. Gand le 26 janvier 1 Ibid. Anvers janvier-février 8 Ibid. Louvain le 4 février 1 Ibid. Courtrai le 13 1 1942 Ibid. Bruxelles les 18-22 février 8 Le Soulier de satin Ibid. le 7 octobre 1 1943 L’Annoce faite à Marie Ibid. le 4 mars 1 De Boodschap aan Maria Boom le 2 mai 1 L’Annonce faite à Marie Bruxelles le 20 novembre 1 De Boodschap aan Maria Anvers le 30 1 Le Soulier de satin Bruxelles le 15 décembre 1 1944 L’Échange Bruxelles les 13-15 janvier 2 Ibid. Ibid. le 17 février 1 De Boodschap aan Maria Saint-Trond le 12 mars 1 Le Soulier de satin Anvers le 19 2 L’Échange Bruxelles le 10 mai 2 1945 L’Annonce faite à Marie Ibid. le 13-18 mars 9 Ibid. Ibid. les 31-4 avril 7 Le Soulier de satin Ibid. les 25-26 septembre 2 L’Annonce faite à Marie Anvers le 12 novembre 1 Ibid. Bruxelles les 16-19 novembre 5

103 Ibid. Charleroi le 20 2 Ibid. Namur le 21 2 Ibid. Liège le 22 2 Ibid. Gand le 24 1 Ibid. Bruges le 25 1 Ibid. Anvers le 27 2 Ibid. Louvain le 29 1 Ibid. Ibid. Ibid. 1 De Boodschap aan Maria Bruxelles le 10 décembre 1 Ibid. Anvers les 15-22 1 Ibid. Bruxelles les 20-25 1 1946 L’Otage Ibid. les 16-18 février 5 Ibid. Louvain le 20 2 Ibid. Anvers le 26 2 Ibid. Gand le 27 1 Ibid. Verviers le 27 1 Ibid. Liège le 28 1 De Boodschap aan Maria Eekloo le 26 mars 1 L’Otage Bruxelles le 18-25 avril 1 L’Annonce faite à Marie Ibid. le 19 mai 1 Ibid. Anvers le 12 1 Ibid. Arlon le 27 1 De Boodschap aan Maria Lebbeke le 13 octobre 1 L’Annonce faite à Marie Hasselt le 7 novembre 1 Ibid. Verviers le 25 1 De Boodschap aan Maria Beveren Waas le 4 décembre 1 Ibid. Dinant le 8 1 Ibid. Saint-Nicolas le 19 1 Ibid. Gand le 20 1 Ibid. Ostende le 21 1 Ibid. Courtrai le 23 1 1947

104 De Boodschap aan Maria Ekeren le 29 janvier 1 L’Annonce faite à Marie Ciney le 12 février 1 L’Echange Bruxelles le 17 1 L’Annonce faite à Marie Liège le 27 2 Ibid. Anvers le 16 mars 1 L’Echange Bruxelles les 21-27 4 L’Annonce faite à Marie Welkenraedt le 23 1 Ibid. Verviers le 26 1 L’Histoire de Tobie et de Sara Gand le 1er avril 1 De Boodschap aan Maria Hasselt les 10-17 août 1 Ibid. Lier le 21 septembre 1 L’Histoire de Tobie et de Sara Saint-Nicolas le 15 octobre 1 De Boodschap aan Maria Torhout le 28 1 L’Otage Gand le 10 novembre 1 De Boodschap aan Maria Neerpelt le 14 novembre 1 Ibid. Zlost le 23 1 Ibid. Anvers le 29 1 L’Annonce faite à Marie Courtrai le 30 1 De Boodschap aan Maria Aarschot le 9 décembre 1 Ibid. Menin le 16 1 1948 L’Otage Bruxelles le 11 janvier 1 L’Annonce faite à Marie Bruges le 23 1 L’Otage Dour le 29 1 De Boodschap aan Maria Malines le 3 février 1 L’Otage Bruxelles les 13-17 6 Ibid. Namur le 3 mars 2 De Boodschap aan Maria Anvers les 7-13 1 Ibid. Baveren Waas le 7 avril 1 Le Soulier de satin Bruxelles le 27 1 Christoph Colomb Ibid. le 4 mai 1 L’Annonce faite à Marie Namur le 8 1 De Boodschap aan Maria Bruges le 13 1

105 L’Annonce faite à Marie Namur le 1er juillet 1 L’Otage La Louvière le 25 novembre 1 1949 La Femme et son obre Bruxelles le 24 janvier 1 De Boodschap aan Maria Anvers le 21 février 1 L’Echange Bruxelles les 5-15 mai 11 Partage de midi Mons le 17 mai 1 Ibid. Bruxelles les 18-19 2 Ibid. Ibid. les 8-9 juin 2 Ibid. Anvers le 10 juin 1 Ibid. Liège le 11 juin 1 L’Annonce faite à Marie Diest le 7 août 1 L’Echange Bruxelles les 24-30 octobre 5 Ibid. Ibid. le 1er novembre 2 De Boodschap aan Maria Gand le 13 1 Le Pain dur Courtrai le 8 décembre 1 Ibid. Mons le 9 1 Ibid. Ostende le 11 1 Ibid. Verviers le 15 1 Ibid. Gand le 16 1 1950 L’Otage Bruxelles le 4 mai 1 Le Pain dur Ibid. le 5 1 Le Père humilié Ibid. le 5 1 Le Pain dur Ibid. les 1-7 septembre 8 L’Annonce faite à Marie Verviers le 20 novembre 1 Ibid. Mons le 21 1 Ibid. Liège le 22 1 Ibid. Bruxelles les 24-26 novembre 4 Ibid. Gand le 28 2 De Boodschap aan Maria Anvers le 27 décembre 1 L’Annonce faite à Marie Louvain le 29 1 1951

106 Le Pain dur Bruges le 14 février 1 Ibid. Louvain le 15 1 Ibid. Bruxelles les 15-17 1 Ibid. Tournai le 16 1 Les Choéphores Bruxelles les 20-24 3 Ibid. Namur le 23 1 Ibid. Gand le 1er mars 1 Ibid. Namur le 2 1 Ibid. Anvers le 3 1 Le Soulier de satin Mons le 7 1 Les Choéphores Louvain le 8 1 Le Soulier de satin Ibid. le 9 1 Ibid. Anvers le 12 1 Ibid. Gand le 13 1 Ibid. Bruxelles le 16 1 Ibid. Charleroi le 17 1 L’Annonce faite à Marie Saint-Nicolas les 1er-15 avril 3 Ibid. Knokke le 14 août 1 Ibid. Bouillon le 10 novembre 1 Ibid. Nivelles le 13 1 Ibid. Verviers le 14 1 Ibid. Morialmé le 25 décembre 1 1952 Ibid. Boussu le 6 janvier 1 Ibid. Tournai [février-mars] 1 Ibid. Bruxelles le 19 février-6 mars 8 Ibid. Hasselt le 21 février 1 Ibid. Couvin le 27 1 Ibid. Chimay le 28 1 Ibid. Ath le 4 mars 1 Ibid. Charleroi le 5 1 Ibid. Ibid. Ibid. 1 Ibid. Bruges le 7 mars 1

107 De Gijzelaar Zlost les 8-10 1 Le Soulier de satin Liège le 17 1 L’Annonce faite à Marie Arlon le 18 1 Le Soulier de satin Bruges le 19 1 Ibid. Bruxelles les 21-23 3 L’Annonce faite à Marie Binche le 25 1 Ibid. Waterschei le 8 avril 1 Ibid. Bruxelles les 22-23 1 Ibid. Ibid. les 5-10 mai 6 Ibid. Namur le 9 1 Ibid. Ibid. Ibid. 1 L’Echange Bruxelles le 30 1 L’Annonce faite à Marie Beauraing le 3 juillet 1 De Boodschap aan Maria Rotselaar les 3-10 septembre 1 Ibid. Aarschot le 26 octobre 1 Jeanne d’Arc au bûcher Bruxelles les 12-18 novembre 7 L’Annonce faite à Marie Auvelais le 15 1 Ibid. Renaix le 16 1 De Boodschap aan Maria Lebbeke les 16-23 1 L’Annonce faite à Marie Malonne le 28 1 Ibid. Namur le 15 décembre 1 1953 Jeanne d’Arc au bûcher Bruxelles les 3-5 janvier 1 De Boodschap aan Maria Melderen [sic] les 11-18 1 Ibid. Ibid. le 25 1 L’Annonce faite à Marie Gand le 22 mai 1 Ibid. Bruxelles le 2 juillet 1 Jeanne d’Arc au bûcher Ibid. les 18-20 décembre 3 1954 L’Otage Liège les 9-14 janvier 1 Ibid. Ibid. le 15 1 L’Annonce faite à Marie Bruxelles le 29 1 L’Histoire de Tobie et de Sara Anvers le 2 février 1

108 L’Otage Charleroi le 21 mars 1 De Boodschap aan Maria Merksen les 10-13 avril 1 De Geschiedenis van Tobias en Sara Anvers le 20 1 L’Annonce faite à Marie Dinant le 13 juillet 1 Ibid. Neufchâteau le 18 1 Ibid. Ibid. le 2 octobre 1 Ibid. Dinant le 24 septembre 1 Le Père humilié Bruxelles les 3-7 novembre 6 Ibid. Namur le 8 1 Ibid. Huy le 9 1 Ibid. Bruges le 10 1 Ibid. Anvers le 11 1 Ibid. Châtelet le 16 1 L’Annonce faite à Marie Liège les 20-25 7 Le Père humilié Mons le 22 1 les 24-26, 2-17 L’Annonce faite à Marie Liège décembre 4 1955 le 26 janvier - 2 Ibid. Saint-Trond février 1 Ibid. Bruxelles les 5-6 1 Au total 375

Depuis la première réalisation jusqu’à l’année 1940, on présente quatre pièces de Claudel en Belgique. On joue L’Annonce faite à Marie qui devient le texte le plus souvent présenté dans cette période (Bruxelles 12 représentations, Province flamande 35 représentations, province wallonne 4 représentations). On donne L’Otage le plus souvent (la pièce est présentée 9 fois). On voit quasi naître des réalisations de La Ville (6 fois) et du Protée (2 fois). Après la seconde guerre mondiale on joue douze pièces claudéliennes, dont la plus représentée est L’Annonce faite à Marie (167 fois). Un phénomène intéressant, les pièces La Ville avec Protée ne sont plus présentées à cette époque-là. Les pièces claudéliennes

109 sont plus présentées en province qu’à Bruxelles (210/165), la primauté appartient à la région flamande (130/80).

5.2.5. Claudel en Hollande

La présence « physique » de Claudel en Hollande se limite au moins à une courte visite de la ville Utrecht en 1905 et à quelques voyages qui sont bien notés dans son Journal où le poète évoque le paysage néerlandais et quelques souvenirs de la visite des beaux musées. La presse hollandaise remarque aussi sa présence dans ce pays au moment de ses conférences données à La Haye et à Amsterdam où l’auteur exprime quelques idées sur l’art néerlandais. Mais tout se passe à l’époque de sa dernière mission diplomatique en Belgique, c’est-à-dire entre les années 1933-1935. Nous avons des informations assez restreintes concernant la mise en scène du théâtre claudélien aux Pays-Bas. On s’inspire surtout de la profonde étude de Maaike Koffeman intitulée « La réception de Paul Claudel aux Pays-Bas ». Cet article renvoie à cinq représentations des compagnies professionnelles néerlandaises et aussi à la base de données de l’Institut du théâtre néerlandais (Theater Institut Nederland).203 Cette base relève « une petite dizaine de représentations étrangères aux Pays-Bas » 204 . La première rencontre du monde culturel néerlandais avec l’œuvre claudélienne se réalise à travers trois admirateurs de Claudel. Marie Kalff organise une tournée de récitals composée à partir des extraits de textes claudéliens en 1911. Ensuite la troupe de Lugné- Poë du Théâtre de l’Œuvre organise une tournée européenne en 1913 et la réputation de l’œuvre littéraire de Claudel commence à être signalée grâce au premiers articles de W.G.C. Byvanck. Le trio - Kalff-Poë-Byvanck, constitue le groupe des « premiers apôtres de l’évangile claudélien ». Ils inaugurent le nom du poète en Hollande. Maaike Koffman rappelle l’importance primordiale de l’initiative de Kalff et de Lugné-Poë. Elle souligne le travail « pionnier » de ces deux personnes parce que le nom du poète « commence à apparaître régulièrement dans la presse néerlandaise. » 205

203 Il faut consulter www.tin.nl. 204 Cf. Koffeman, M., Claudel et la Hollande , p. 221. 205 Ibid., p. 229.

110 La première rencontre avec Claudel se réalise en 1911 déjà. 206 Dans un article de Top Naeff (publié en 1923) on parle d’une soirée organisée en 1913. Cette soirée était destinée à un public qui ne connaissait pas le nom de Claudel (parmi dix auditeurs, il y en avait deux qui « n’avaient jamais entendu parler de Claudel » et le reste ne savait « rien de lui »). On a récité quelques extraits de quatre textes de Claudel : L’Annonce faite à Marie , Tête d’Or , L’Échange et Partage de midi .207 En général, le théâtre de Claudel est aimé par les fervents de la pensée claudélienne, de par ailleurs il y a aussi une opposition qui réfuse tout ce qui évoque Claudel. « À cause du catholicisme fervent de l’auteur, le processus de réception reproduit les clivages idéologiques […]. Les critiques catholiques sont en principe favorables à l’œuvre de Claudel, tandis que les autres se sentent mal à l’aise devant son catholicisme intégral ou même ne le supportent pas du tout. » 208 Claudel entre dans le monde culturel néerlandais grâce à une fervente claudélienne, car elle prépare « les esprits aux premières représentations intégrales » 209 . Mais le véritable accueil se réalise en 1918. On adapte L’Otage en langue néerlandaise (sous le titre De Gijzelaar dans la traduction d’Hendrik Minne Merkelbach) 210 dans la mise en scène d’Eduard Verkade. 211 La pièce fut réalisée par les acteurs de la Compagnie Koninklijke Vereeniging het Nederlandsch Tooneel. On rappelle encore les deux autres Annonces , la première est jouée en 1920 dans la mise en scène de Willem Royaards 212 et l’autre en 1941.

206 Cette tournée est remarquée par quelques critiques hollandais. Voir [W.], « Soirée Paul Claudel. Optreden van Marie Kalif », Het Vaderland , le 19 décembre 1911; J.H. Rössing, « Mad me Marie Kalif », Het Nieuws van den Dag , le 21 décembre 1911. 207 Maaike Koffman renvoie à l’article de Top Naeff publié dans la revue De Groene Amsterdammer le 27 janvier 1923 dont elle traduit un extrait. 208 Koffman, M., « La réception de Paul Claudel aux Pays-Bas », Paul Claudel et la Hollande , Poussière d’Or, Besaçon 2009, p. 217-218. 209 Ibid., Claudel et la Hollande , p. 226. 210 D’après la critique c’était la mauvaise traduction. 211 (1878-1961). 212 (1867-1929).

111 L’Otage est repris en 1952 par la troupe De Nederlandse Comedie. Mais après la guerre « l’intérêt porté aux drames de Claudel diminue très vite » 213 . On constate aussi que le drame claudélien « n’est plus capable de nous émouvoir. » 214 La dernière réalisation du drame claudélien est le Pain dur au Zuidelijk Toneel en 1999. 215 Parmi les mises en scène à sujet claudélien on range encore trois réalisations des étudiants, notamment Protée à Groningue (1929) comme « toute première représentation de ce drame », ensuite on adapte L’Ours et la Lune à Amsterdam (1933). On pense aussi à la mise en scène de L’Histoire de Tobie et de Sara à Wageningen (1958). Dans ce répertoire il est même très utile d’ajouter plusieurs tournées de troupes flamandes réalisées dans les Pays-Bas, notamment deux réalisations de Johan Meester, d’abord L’Annonce faite à Marie (Eindhoven, 1928) et ensuite Protée (Amsterdam, 1933) en collaboration avec Van Onzen Tijd; sans oublier la possibilité du public néerlandais de voir plusieurs représentations de L’Annonce données en tournée par le Théâtre de L’Œuvre en 1913 ou bien par la troupe du Théâtre Hébertot en 1951. 216 La pièce L’Annonce faite à Marie devient la pièce la plus jouée sur le territoire néerlandais. 217 Le nombre de mises en scène des textes claudéliens réalisées aux Pays-Bas montre que les drames claudéliens sont moins connus en Hollande. Dans ce pays il y avait une certaine distance entrée le public néerlandais et la pensée spirituelle du fervent catholique Claudel. Koffeman constate encore que Claudel « […] s’est volontiers laissé enfermer dans un ghetto religieux. C’est sans doute la raison pour laquelle sa réputation n’a pas survécu au

213 Claudel et la Hollande , p. 232. 214 van Lokhorst, E., Toneelkroniek , janvier-mars 1952, p. 358-361 ; cette citation est tirée de Claudel et la Hollande , p. 232. 215 Voir notamment l’article de Wijbrand Schaap publié dans Algemeen Dagblad le 6 avril 1999. 216 Victor Martin-Schmets dans son ouvrage Paul Claudel et la Belgique (Université de Lille III, 1981) mentionne qu’il existe pas moins de 375 représentations belges qui furent données entre les années 1920 et 1955. 217 En 1999 on monte Le Pain dur mais « les Néerlandais ne sont plus capables d’apprécier et de comprendre » les pièces de Claudel.

112 grand mouvement de sécularisation de la seconde moitié du vingtième siècle : aujourd’hui, la croyance claudélienne n’a pratiquement plus d’adeptes aux Pays-Bas. » 218

5.2.6. Claudel en Norvège

Le petit nombre de représentations des pièces de Paul Claudel dans les pays scandinaves montre que ce grand poète n’a pas connu un grand renommée dans ce monde culturel. Le chercheur Lars Roar Langslet 219 a constaté qu’avant la fin de la seconde guerre mondiale, le nom du poète ne résonnait que dans les milieux littéraires lettrés. Le théâtre de Claudel trouve ses spectateurs assez tardivement en Scandinavie. En 1936, une pièce claudélienne est présentée pour la première fois sur la scène norvégienne ( L’Annonce faite à Marie , le Théâtre radiophonique). La guerre « rendit impossible la plupart des contacts littéraires. Dans les premières années d’après la guerre, les rares comptes rendus en norvégien de la vie culturelle française focalisaient surtout leur attention sur Sartre et l’existentialisme. De plus grands écrivains, qui étaient depuis longtemps des autorités dans leur pays, allaient attendre encore longtemps avant d’être découverts chez nous. » 220 En réalité, Claudel doit attendre dizaine d’années pour pouvoir être joué devant le public norvégien. Ce long silence qui entoure Claudel se termine dans les années soixante-dix du siècle dernier, car le théâtre claudélien rencontre un grand succès sur la scène norvégienne. Il s’agit d’une véritable entrée claudélienne dans ce pays, car le Nouveau Théâtre inscrit dans son programme le Partage de midi en 1965. C’est un „événement mémorable“ de la saison théâtrale. Cette pièce est ensuite donnée par le Théâtre radiophonique au cours de l’année 1968. Le Partage de midi est finalement repris en 1988 sur la scène du Théâtre national et dix ans après, le Théâtre norvégien le donne dans une nouvelle traduction „en nouveau norvégien“.

218 Koffeman, M., « La réception de Paul Claudel aux Pays-Bas », Paul Claudel et la Hollande , Poussière d’Or, Besaçon 2009, p. 244. 219 Voir Langslet, Lars Roar, « Paul Claudel et la Norvège », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 190, juin 2008, p. 2-6. 220 Cf. Langslet, Lars Roar, « Paul Claudel et la Norvège », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 190, juin 2008, p. 3.

113 On adapte aussi L’Annonce faite à Marie . La pièce est donnée par le Théâtre norvégien en 1967 et sa reprise a lieu en 1993. La représentation de 1967 a été « une rencontre saisissante avec une version moderne du genre théâtral médiéval du mystère, qui pouvait à bonne raison sembler insolite dans un pays au lourd passé luthérien, mais qui fut un triomphe de par sa haute qualité artistique. » 221 On joue aussi avec grand succès la pièce L’Échange . Elle est réalisée sur la scène du Théâtre du Rogaland à Stavanger en 1989. Les auditeurs applaudissent aussi la version orchestrée de Jeanne d’Arc au bûcher exécutée à Oslo en 1967. Notre recherche montre que les pièces Le Soulier de satin et Christophe Colomb n’ont pas été présentées en Norvège.

5.2.7. Claudel en Pologne

En Pologne, le premier texte claudélien est joué sous le titre Zwiastowanie à Cracovie en décembre 1924 (mise en scène Teofil Trzcinski). Mais paradoxalement, la version intégrale n’est donnée que deux fois sur la scène professionnelle polonaise. On présente encore Le Repos du septième jour au Théâtre National de Pologne à Varsovie le 15 décembre 1928. La pièce devient une « manifestation remarquable du théâtre religieux ». Pendant le communisme, Claudel est interdit pour des raisons politiques. Il est adapté occasionnellement par les émigrés ou par les organisations associées à L’Eglise catholique (notamment à l’Université de Lublin). En 1968, on célèbre l’année Claudel. La censure politique interdit la réalisation du Partage de midi dans la capitale de la Pologne. La pièce est finalement réalisée à Gdansk. Les Varsoviens la voient en 1973 pour la première fois (dans la mise en scène de Jerzy Kreczmar). Ensuite le théâtre polonais donne aussi L’Échange en 1977 à Sopot et en 1982 à Varsovie. On considère la réalisation de Sopot comme « un événement important dans l’histoire du théâtre polonais ».

221 Langslet, Lars Roar, « Paul Claudel et la Norvège », Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 190, juin 2008, p. 4.

114 Après la chute du communisme on monte les autres pièces de Claudel, notamment Le Livre de Christophe Colomb ( Gdynia, 1991) et Jeanne au bûcher (la première réalisation a eu lieu à Poznan en 1979). En 2002 le metteur en scène Marek Pasieczny étudie l’intégrale de L’Annonce faite à Marie à . Le Partage de midi est repris à Opole dans la mise en scène de Marek Pasieczny en 2003. La pièce la plus jouée sur la scène polonaise reste L’Échange . Il est probable que Le Soulier de satin n’a jamais été adapté en Pologne.

5.2.8. Claudel en Ex-Yougoslavie

Au début des années soixante du siècle dernier, on réalise L’Échange en Yougoslavie. La pièce est adaptée par la compagnie du Théâtre 212 à Belgrade. Quelques années après cette réalisation, on donne encore le Partage de midi à Zagreb.

5.2.9. Claudel en Russie

Le théâtre de Claudel avait séduit les spectateurs russes « par l’ampleur de sa tonalité » dans la première moitié du 20ème siècle déjà. Valery Briussov, le rédacteur en chef de la revue littéraire Vessy , découvre le nom du poète en 1904. Six années après, les textes de Claudel sont lus dans les cercles littéraires. La première pièce claudélienne donnée en Russie est L’Échange . La pièce est présentée en février 1918 (avant cette représentation, on voulait monter Tête d’Or dans le nouveau théâtre révolutionnaire de Meyerhold). L’Échange est inscrite dans le programme du théâtre Kamerny (théâtre de chambre) à Moscou. Ekaterina Bogopolskaia constate que « cette première adaptation du drame claudélien à la scène russe coïncida avec la Révolution et le changement total de la vie et les arts […]» 222 La critique est impitoyable, la pièce quitte la scène russe comme une « des premières expériences d’une scénographie constructiviste ».

222 Voir Bogopolskaia, E., « Claudel et la Russie », source : www.paul-claudel.net, consulté le 7 mars 2013.

115 La deuxième pièce claudélienne montée en Russie était L’Annonce faite à Marie . Le texte est donné dans la mise en scène de Taïrov par le Théâtre de Chambre en 1920. Son symbolisme chrétien a été réduit au mystère d’un amour humain ; mais « la connotation religieuse du texte avait choqué les officiels présents à cette première, et, jusqu’à tout récemment, l’œuvre de Paul Claudel disparut du champ culturel russe. » 223 En 1922, ce sont de jeunes acteurs des Ateliers libres de mise en scène qui préparent un projet contenant la Trilogie de Coûfontaine (sous le titre La Tiare du siècle ). Les représentations sont annoncées pour octobre 1922 mais finalement le projet n’est pas réalisé. On présente seulement un extrait de la pièce Le Pain dur au début de l’année 1923. Dans les années suivantes; la censure refuse les textes de Claudel comme « mystiques » et « religieux ». Claudel est oublié dans la culture russe pour des raisons idéologiques. On voit un certain dégel dans les années soixante et soixante-dix, la critique littéraire peut commencer à étudier Claudel sérieusement. Mais Claudel – auteur chrétien – reste toujours inconnu du public soviétique. Son théâtre revient avec le Christophe Colomb pendant une tournée de la compagnie Renaud-Barrault organisée en 1976. La vrai découverte de Claudel se fait à l’époque de l’ouverture du pays, c’est-à-dire à la fin des années quatre-vingts. On donne le Partage de midi dans la mise en scène de Vladimir Mirzoeff (la troisième version). La première est un grand succès. Claudel triomphe sur la scène russe, disait la critique. Au début des années quatre-vingt-dix on prépare aussi Le Soulier de satin . La pièce dans la traduction de Ekaterina Bogopolskaia et dans la mise en scène du jeune metteur en scène Vladimir Kosmatchevsky est bien applaudie par la critique et aussi par les spectateurs.

5.2.10. Claudel en Amérique du Nord et en Angleterre

En Amérique du Nord, les chercheurs qui s’intéressent à l’œuvre de Paul Claudel sont regroupés dans la société Paul Claudel Society. Cette société a été fondée en 1968 à New York et représente le centre d’intérêt et d’activités le plus important en Amérique du Nord. Les admirateurs de Claudel se recrutent dans les milieux intellectuels et universitaires le

223 Cf. Frioux, C., « De Claudel présenté en russe par Agueev, une aventure francorusse », Bulletin de la Société Paul Claudel , n°190, juin 2008, p. 64.

116 plus souvent. Mais le théâtre de Claudel est présenté surtout dans les établissements d’enseignement catholique. Dans le monde nord-américain on joue L’Annonce faite à Marie le plus souvent. Notamment, la pièce est donnée à Broadway et elle est souvent étudiée par les ensembles scolaires catholiques. Elle est jouée soit en anglais soit en original. On adapte quasi le Partage de midi et Le Livre de Christophe Colomb . Leonard Bernstein réalise avec un grand succès Jeanne au bûcher à New York. Le Chemin de la croix est souvent réalisé pendant les fêtes de Pâques. La société Paul Claudel Society nord- américaine avait organisé plusieurs représentations; notamment L’Ours et la lune (1973), L’Échange (1974) et le Partage de midi (1981). En Angleterre, on commence à présenter les textes claudéliens en 1915. C’est ainsi que L’Échange ouvre la vie scénique des pièces claudéliennes dans ce pays. On donne aussi le Partage de midi qui « rencontre le plus grand succès. »

5.2.11. Claudel en Amérique Latine

En Amérique Latine, Claudel est présenté surtout grâce aux multiples tournées réalisées par les compagnies françaises pendant la seconde guerre mondiale. La guerre entraine la fermeture des théâtres partout en Europe. Louis Jouvet décide de quitter la France et sa Compagnie prépare une série de représentations à partir de l’année 1946. « Le soir de la quatrième représentation […], une heure avant le lever du rideau, la cage de scène prend feu et est détruite de fond en comble. Les décors et tout l’équipement de scène sont brûlés. Seuls les costumes et les disques sont sauvés. » 224 Après cette catastrophe, on reconstruit le décor et le spectacle peut être repris dans un petit théâtre de l’hôtel Alvear.

5.2.12. Claudel en Afrique

Claudel reste longtemps absent du continent africain. Notre recherche montre que son théâtre est monté dans le cadre des tournées réalisées par les troupes françaises le plus

224 Voir Œuvres complètes de Paul Claudel. Théâtre (neuvième tome), Gallimard, Paris 1955, p. 284.

117 souvent. Mais quelques spectacles sont aussi donnés par les amateurs venant de différents pays.

118 CONCLUSION

Au moment de la naissance d’une œuvre d’art, sa vie artistique commence à briller. Si elle n’est pas directement oubliée, elle se trouve dans le centre d’intérêt de la critique ainsi que des spectateurs. Chaque représentation théâtrale devient universelle, disons unique, car sa reprise ou bien sa nouvelle adaptation représente, à notre avis, une autre et unique mise en scène. Et on pense aussi au théâtre spirituel de Paul Claudel, car le poète est considéré comme l’un des plus importants dramaturges du siècle dernier. Pendant un siècle, les pièces de théâtre de Claudel connaissent leur propre vie scénique et ne cessent toujours d’attirer les spectateurs, réalisateurs et la critique dans le monde entier. En 1968, on a célébré le centenaire de la naissance du poète. En 2012, on a célébré le centenaire de la première représentation d’une pièce de Paul Claudel, L’Annonce faite à Marie . Nous espérons ainsi que cet « anniversaire » va montrer l’importance du théâtre claudélien pour le théâtre actuel. Claudel est un auteur dramatique ; les thèmes de son théâtre sont l’amour, la foi, la pitié, la haine, l’indulgence mais aussi les thèmes spirituels. Ses premiers écrits sont des confessions de sa longue vie et c’est à cause de cette intimité que Claudel refuse d’abord l’adaptation scénique de ses premiers textes. On le considère aussi comme « livresque » et « injouable ». L’œuvre claudélienne a besoin de lecteurs et spectateurs attentifs et respectant la pensée spirituelle du poète. En Bohême et dans bien d’autres milieux culturels, les obstacles sont aggravés par l’appartenance de Claudel à la culture française qui est assez différente des autres. On constate aussi que les drames de Claudel restent longtemps centre d’intérêt pour de petits cercles d’admirateurs. Le théâtre de Claudel commence à être connu en France ainsi qu’à l’étranger (surtout en Allemagne et en Bohême) grâce au succès de la première réalisation de L’Annonce faite à Marie à Paris. Entre les années 1912 et 1930, les théâtres affichent plusieurs premières des pièces de Claudel. La pièce L’Annonce faite à Marie est jouée dans plusieurs pays du monde entier, en France, en Allemagne, en Bohême ; la version anglaise est introduite en 1916, suivent les mises en scène en Hollande, en Suisse, en Hongrie, en Autriche, etc.

119 Mais au début, la critique est souvent impitoyable. Claudel doit attendre longtemps pour être vraiment accepté par les théâtres et surtout par la critique. Son théâtre triomphe au moment de la mise en scène de son chef d’œuvre Le Soulier de satin en 1943. En Bohême, il semble que le nom de Claudel soit oublié totalement après la première pragoise en 1914. Mais heureusement, le théâtre claudélien est toujours joué en Tchéquie. Interdit à l’époque communiste en République tchèque et dans plusieurs pays (notamment en Russie, en Pologne, etc.), son théâtre est définitivement rétabli après la chute de la dictature communiste. C’est aussi l’année Claudel de 1968, qui encourage plusieurs institutions, centres culturels et les théâtres à commémorer Claudel. Durant cette année, on organise plusieurs manifestations en France ainsi qu’à l’étranger. Notamment en Roumanie, en Pologne, en Tchécoslovaquie mais aussi au Sénégal ou à Madagascar. Dans un dossier trouvé dans le Département des Arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France (site Richelieu), on trouve l’article intitulé « Claudel, toute l’année… » (il est daté le 10 janvier 1968). Publié dans le journal L’Est Republicain , il a été consacré aux diverses spectacles et manifestations qui ont été réalisés dans le monde culturel et théâtral français. Ainsi en France, Claudel était officiellement célébré pendant le mois d’août. On a reprit quelques textes claudéliens tels que Tête d’Or (L’Odéon Théâtre de France, msc. Jean-Louis Barrault), on a joué aussi la trilogie L’Otage , Le pain dur et Le père humilié dans une nouvelle adaptation scénique (la Comédie-Française, msc. Jean-Marie Serreau). Le T.N.P. adapte La Ville (interprétation par Maria Casarès et Georges Wilson). À part ces spectacles, c’est aussi L’O.R.T.F. qui a proposé de multiples émissions de radio ainsi que des films à la télévision. Il faut encore mentionner qu’on a organisé quelques rencontres de tous ceux qui étaient en cours d’écrire les thèses sur Claudel. La Bibliothèque nationale de Paris voulait rendre hommage à l’auteur par une exposition qui devait être reprise aussi par les Maisons de la Culture. Enfin, cette année littéraire, culturelle et théâtrale, c’est-à-dire cette « année-souvenir » de Paul Claudel, fut solennellement terminée par une cérémonie à Notre-Dame, à l’endroit même qui avait joué un rôle prépondérant dans la vie du jeune poète. Nous pouvons constater que Claudel devient le sujet constant du répertoire des théâtres, mais il est souvent représenté par ses admirateurs.

120 Nous pensons enfin que Claudel va toujours enrichir le répertoire des théâtres tchèques ainsi que ceux des étrangers. Sa vie scénique continue, sa place stable est indiquée par de nouveaux projets à sujet claudélien qui naissent toujours dans le monde entier.

121

RÉPERTOIRES

122 RÉPERTOIRES DES PRINCIPALES MISES EN SCÈNE DES PIÈCES DE CLAUDEL EN RÉPUBLIQUE TCHÈQUE ET DANS LE MONDE

Les spectacles sont rangés par ordre alphabétique des titres et par ordre chronologique des mises en scène. Pour les raisons d’économie, le texte est en interligne simple. D’abord nous citons le titre du texte original et ensuite celui de l’adaptation ; pour le troisième bilan nous respectons encore l’ordre alphabétique des noms de pays. La plupart du temps, les renseignements concernant les représentations concrètes sont divisés en trois parties et proposent trois sortes d’informations : 1) nom du théâtre ; ou nom de la troupe théâtrale ; à défaut, le lieu de la représentation ; la date de la réalisation et les noms des réalisateurs (traducteur, metteur en scène, auteur(s) des décors et costumes, de la musique et le nom du chef d’orchestre) – ; 2) les noms des acteurs principaux ; 3) bilan des compte rendus et articles critiques de l’époque (ces articles sont rangés par ordre alphabétique d’auteurs, suivis des articles signés par un chiffre, puis des compte rendus anonymes avec la mention « non-signé » ; au cas où on a réussi à repérer le nom de l’auteur, il est signalé entre parenthèses). On constate qu’un certain problème réside dans l’identification des dates de premières représentations et de leurs reprises, donc, à l’exception de la liste de la mise en scène tchèque qui apporte toujours les dates des premières (les reprises n’y sont pas indiquées), nous préférons utiliser la mention « date de représentation » pour les réalisations étrangères et le terme « date de diffusion » pour les mises en ondes et émissions de télévision (ensuite nous utilisons le terme « date du concert », « date de lecture »). Les données bibliographiques comprennent les renseignement suivants : le nom d’auteur, le titre du texte, le titre de la revue ou du journal, le lieu et la date d’édition et les pages. Pour une revue on n’oublie pas d’ajouter son numéro. L’absence d’information signifie qu’elle n’a pas été trouvée ou vérifiée, donc, il y a des données qui restent incomplètes et qui doivent être encore identifiées (dans ce cas, on note le signe [?]).

123 V. Répertoire des principales représentations tchèques des pièces de Paul Claudel

L’Annonce faite à Marie (Zv ěstování Pann ě Marii) Théâtre royal et national tchèque (Královské zemské národní divadlo) (Prague) date de représentation : le 6 février 1914 225 , traduction : Miloš Marten, mise en scène : Jaroslav Kvapil, décors et costumes : Karel Štapfer, Zdenka Braunerová, musique : František Picka

Violaine (Violaina, Violena) : Eva Vrchlická, Pierre de Craon (Petr z Craonu) : Ji ří Steimar, La Mère (matka Alžb ěta) : Marie Hübnerová, Anne Vercors (Otec, Anne Vercors) : Florentin Steinsberg, Mara (Mara) : Leopolda Dostalová, Jacques Hury (Jakub Hury) : Rudolf Deyl

[Fr. Sekanina=Sekanina, František], Dv ě cizí knižní dramata, Národní politika (annexe 1 du n° 31) (Prague), le 1er février 1914, p. 1. Jelínek, Hanuš, L’Annonce faite à Marie de M. Paul Claudel, au Théâtre National, Comœdia (Paris) le 17 février 1914, p. 9. [Jelínek, H.=Jelínek, Hanuš], Claudelovo Zv ěstování, Lumír (Prague), XLII, n° 4, le 13 mars 1914, p. 185-186. Jelínek, Hanuš, Dr., Claudelovo Zv ěstování, Národní Politika (Prague), le 8 février 1914, p. 8-9. [Kamínek, K.=Kamínek, Karel], Paul Claudel, Zv ěstování, Divadlo (Prague), XII, n° 7-8, le 10 mars 1914, p. 116-118. Kodí ček, Josef, Činohra. Národní divadlo, Přehled 12 (Prague), n° 17, le 13 décembre 1914, p. 301-304. Krej čí, František Václav, [?], Doba (Prague), 1915, [?]. [Langer, Frant.=Langer, František], Paul Claudel, Zv ěstování, Samostatnost , XVIII, n° 38, le 8 février 1914, p. 9. Reichmann, Jan, Paul Claudel (feuilleton), České slovo (Prague), VIII, n° 30, le 4 février 1914, p. 1-2. Šorm, František, Zv ěstování Panny Marie, Našinec (Olomouc), le 6 février 1914, p. Taussig, Ervín, Claudel: Zv ěstování, Scéna (Prague), II., n° 6, le 25 février 1914, p. 154- 156. Taussig, Ervín, O režii Claudelova Zv ěstování, Scéna (Prague), II., n° 6, le 25 février 1914, p. 157. Tille, Václav, Claudelovo Zv ěstování, Národní listy (Prague), février 1914, p. 5. Tille, Václav, Paul Claudel, Národní listy (Prague), février 1914, p. 7. 226 Vodák, Jind řich, Proti claudelovštin ě, Čas (Prague), n° 32, le 8 février 1914, p. 6-7. [A.+Z.=Braunerová, Anna, Braunerová, Zdenka], Dramatické um ění, Národní Listy (Prague), le 16 janvier 1913. 227 [J.=Hilbert, Jaroslav], Zv ěstování, Venkov , Prague, le 8 février 1914, p. 7.

225 Ce spectacle n’est présenté que trois fois, la reprise date du 10 février et la dernière avait lieu le 19 février la même année. 226 Il s’agit du texte de télégramme que Claudel avait adressé à la direction du Théâtre national de Prague. 227 La coupure d’article retrouvée dans le fond « Zdenka Braunerová », source : Musée des Archives littéraires à Prague-Strahov.

124 [K.=Krej čí, F. V.], Zv ěstování, Právo lidu (Prague), annexe 2, n° 38, le 8 février 1914, p. 1. [-kšk-=Košek, Karel], Paul Claudel, Zv ěstování, České slovo (Prague), le 8 février 1914, p. 9. [M.M.=Marten, Miloš], Zv ěstování, Divadelní oznamovatel (denní v ěstník Nár. divadla v Praze), [Národní Divadlo v Praze], Prague, janvier 1914, p. 1-3. 228 [T.=Tille, Václav], Paul Claudel. Zv ěstování Panny Marie, Národní listy (Prague), le 8 février 1914, p. 2. [-ež-], Zv ěstování, Čech (Prague), n° 33, le 8 février 1914, p. 12. [-rt], Böhmisches Landestheater, Prager Abendblatt (Prague), le 9 février 1914, p. 6. [-šl.-], Novinka Národního divadla…, Ratibor (Hradec Králové), le 16 février 1914, p. 1. [T], Paul Claudel, Zv ěstování Panny Marie, Národní listy (Prague), le 8 février 1914, p. 2. [-zž-], [?], Čech , n° 33, le 8 février 1914, [?]. [Non-signé], Divadla, České slovo (Prague), le 6 février 1914, p. 11. [Non-signé], Divadla. Král. České zem. Národní divadlo v Praze, České slovo (Prague), n° 31, le 5 février 1914, p. 11. [Non-signé], Divadla. Král. České zem. Národní divadlo v Praze, České slovo (Prague), n° 30, le 4 février 1914, p. 10. [Non-signé], Z Kancelá ře Národního divadla, Národní listy (Prague), le 31 janvier 1914, p. 4. 229 [Non-signé], Z kancelá ře Národního divadla, Venkov , IX, n° 32, le 6 février 1914, p. 8. [Non-signé], Claudelovo Zv ěstování, Jevišt ě (Prague), II, n° 24, le 16 juin 1921, p. 382- 383. [Non-signé], Claudelovo „Zv ěstování Panny Marie“…, Archa (Prost ějov), II, 1913-1914, p. 63. [Non-signé], První p ředstavení mysteria Zv ěstování, Venkov (Prague), IX, n° 23, le 27 janvier 1914, p. 7. [?], Claudelovo „Zv ěstování Panny Marie“, Archa , II, Prost ějov, 1913-1914, s. 63.

(Nové M ěsto nad Metují) 230 date de représentation : le 8 février 1914, traduction : Miloš Marten

228 La coupure du bulletin de théâtre a été trouvée dans le fond « Miloš Marten », document déposé au Musée des Archives littéraires à Prague-Strahov. L’article en question a été récemment traduit en langue française par la Sœur Barbora Turková et publié dans le Bulletin de la Société Paul Claudel n° 199 en 2010 (p. 38-40). 229 Les répétitions de la pièce ont été annoncées presque tout au long du mois de janvier, notamment voir les numéros du journal du 4, 12, 14, 17 et du 21 janvier (entre autres, nous pouvons y lire que la première tarde à cause des problèmes techniques) ; ensuite le lecteur est renvoyé aux numéros du 22 jusqu’au 25, et du 27 jusqu’au 30 janvier ; pour le mois suivant il faut consulter les numéros du 6 et du 7 février (voir surtout p. 2 qui apporte le texte du télégramme de l’auteur adressé à Prague par le poète); enfin les journaux datés du 8 et du 10 du même mois abordent la reprise de la pièce. 230 Le spectacle est réalisé à Nové M ěsto nad Metují par les acteurs de l’ancienne compagnie théâtrale appelée « Deklarace » (direction d’Adolph Marek jeune). (À ce sujet voir aussi l’article signé « Dag Mar » [Dagmar Trnková] « L’Annonce faite à Marie en Bohême » et publié dans le numéro spécial de la revue Rencontres à Paris en 1965, p. 36-44).

125 Violaine : A. Marková, Pierre de Craon : V. Kostelecký, La Mère : Mme Chlumská, Anne Vercors : [?], Mara : Mme Kostelecká, Jacques Hury : Adolf Marek

[F. U. Almi=Imlauf, Jindra], Nové M ěsto n. Met., Ratibor (Hradec Králové), XXXI, n° 8, le 21 février 1914, p. 4. 231

Conservatoire d’art dramatique (Dramatická konzervato ř) (Prague) 232 date de représentation : le 13 février 1927, traduction : Miloš Marten, mise en scène : Josef Schettina, décors : [Idlap] Krimodrin ?, musique (piano) : [?] Grieg

[Schz.], Z malých pražských divadel, Lidové noviny (Prague), le 15 février 1927, p. 7. [vr.], Mysterium o zázraku, Právo lidu (Prague), le 15 février 1927, p. 5.

Théâtre de E. F. Burian (Divadlo E. F. Buriana) (Prague) 233 date de représentation : le 18 décembre 1968, traduction : Ji ří Kon ůpek, mise en scène : Evžen Sokolovský, décors : Vladimír Nývlt, costumes : Irena Nývltová, musique : Ji ří Srnka

Violaine : Miriam Hynková, Pierre de Craon : Bohumil K řížek, La Mère : Lída Burešová, Anne Vercors : Ji ří N ěme ček, Mara : Viola Zinková, Jacques Hury : Ji ří Vala

Beránková, Jana, Hrajeme dál, Zít řek (Prague), le 22 janvier 1969, [?]. Beránková, Jana, Poslední p ředstavení, Zít řek , le 22 janvier 1969, [?]. Císa ř, Jan, Návrat P. Claudela, Rudé právo (Prague), le 24 janvier 1969, [?]. Grym, Pavel, Zv ěstování Pann ě Marii, Lidová demokracie , le 20 décembre 1968, [?]. Křovák, Miroslav, Vybráno z pražských divadel, Svoboda (Prague), le 17 janvier 1969, p. 5. Machonin, Sergej, Dv ě režie Evžena Sokolovského, Listy (Prague), le 24 avril 1969, [?]. Makrot, Jaroslav, Mysterium Paula Claudela, Sokolovská Jiskra (Sokolov), le 11 juin 1969, [?]. Pato čková, Jana, Claudelovo mystérium, Divadlo (Prague), 20, n° 4, avril 1969, p. 45-49. Smetana, Miloš, Nebo je však prázdné, Mladá fronta (Brno), le 14 janvier 1969, p. 4. Srbová, Olga, Claudelovo váno ční mysterium, Divadelní noviny 4 (Prague), n° 9, le 15 janvier 1969, [?]. Stránská, Alena, Š ťastn ější Claudel ův návrat, Svobodné slovo (Prague), le 10 janvier 1969, [?]. Št ěpánek, Bohuš, Báse ň rozpjatá na k říži, Ve černí Prague (Prague), le 19 décembre 1968, [?].

231 Dans les fonds du Musée des Archives littéraires à Prague-Strahov on trouve une lettre de Jindra Imlauf adressée à Miloš Marten. Imlauf lui communique son propre article consacré au spectacle de Marek et il y aussi exprime sa désillusion, car ce compte-rendu n’est accepté ni par la rédaction de la revue locale Ratibor ni par celle du journal national Národní listy . Mais il faut signaler que nous n’avons pas réussi à retrouver le texte original ; mais ajoutons que quelques extraits étaient probablement traduits et cités par Trnková dans son article, mais auquel elle ne renvoie plus. 232 Spectacle joué à « Um ělecká beseda » par les anciens élèves du Conservatoire d’État de Prague. 233 Ce spectacle est aussi repris le 15 mai 1969 à Olomouc dans le cadre d‘une tournée.

126 Uhlí řová, Eva, Návrat Paula Claudela, Studie, Divadelní noviny 12 (Prague), n° 1, septembre 1968-69, p. 9. Wenigová, Michaela, Recenze 1968-1969, Zv ěstování Pann ě Marii, Acta scaenographica , 9, n° 7, février 1969, p. 127. [-b-], Nejpopulárn ější drama Paula Claudela, Jiskra Jihlava (Jihlava), le 13 mai 1969, [?]. [cl], Claudelovo Zv ěstování, Naše rodina (Prague), le 5 février 1968, [?]. [ju], Biskup dr. F. Tomášek v Divadle E. F. Buriana, Lidová demokracie (Prague), le 14 janvier 1969, [?]. [vk], Zv ěstování Pann ě Marii, Lidová demokracie (Brno), le 7 mai 1969, [?]. [Non-signé], Zv ěstování Pann ě Marii, Katolické noviny (Prague), le 26 janvier 1969, [?].

Théâtre de la rue Řeznická (Divadlo v Řeznické) (Prague) 234 date de représentation : le 13 mai 1990, traduction : Ji ří Kon ůpek, mise en scène et adaptation : Doubravka Svobodová, décors et costumes : Martin Kurel, musique : Václav Kopta

Nezval, Martin, Paradox Řeznická, Mladá Fronta Dnes (Prague), le 27 février 1991, p. 4. (nez), Bi ľak ho nepovolil, Mladá fronta (Brno), le 18 mai 1990, p. 4.

Théâtre de la rue Řeznická date de représentation : 1992 (première renouvellée)

Mikulka, Vladimír, Zv ěstování a míjení, Metropolitan (Prague), le 24 novembre 1992, [?]. Sommer, Ji ří , Temné tóny st ředov ěkých mystérií, PL (Pražské listy? ), le 14 novembre 1992, p. 10.

Théâtre du pays (Zemské divadlo) (Brno) 235 date de représentation : le 15 novembre 1991 236 , traduction : Ji ří Kon ůpek, mise en scène : Zden ěk Kalo č, décors et costumes : Albert Pražák 237 , musique : Zden ěk Pololáník

Violaine : Zuzana Čisáriková, Pierre de Craon : Igor Bareš, La Mère : Drahomíra Hofmanová, Iva Valešová, Anne Vercors : František Derfler, Mara : Magdaléna Kirchnerová, Jacques Hury : Ji ří Dvo řák

Čech, V., Paul Claudel na Vinohradech, Noviny (Prague), le 23 avril 1992, p. 13. Čech,Vladimír, Ú činnější než mnohé kázání, Moravskoslezská orlice (Brno), le 19 novembre 1991, [?]. Doležel, Pavel, Na p ůl cesty ke Claudelovi, Právo lidu (Prague), le 29 novembre 1991, p. 6.

234 Spectacle réalisé par le Théâtre Pive čko et donné au club du théâtre en question. Doubravka Svobodová a adapté le texte à partir de trois versions de la pièce. 235 Présenté sur la scène du théâtre de Mahen de Brno. La pièce est ensuite donnée dans le cadre d‘une tournée en Slovaquie. (Voir l’article « Čakanie na Claudela – na Slovensku », Paul Claudel: HRY , Bratislava 2007, p. 546-550.) 236 Il s’agit de la mise en scène réalisée dans le cadre du festival « Desetiletí duchovní obnovy ». 237 En tant qu‘hôte.

127 Doležel, Pavel, Po dlouhém, dýmem prostoupeném klidu…, Rovnost (Brno), 1/205, le 26 novembre 1991, p. 7. Outlík, Jan, Znovu Zv ěstování, Katolický týdeník , 3, n° 48, 1992, p. 5. Holman, Miroslav, Zv ěstování Pan ě Marii, Lidová demokracie (Brno), le 29 novembre 1991, [?]. Kopá čová, Ludmila, Brn ěnský Claudel, Lidová demokracie (Brno), le 15 mai 1992, p. 4. Kříž, Ji ří P., Na po čátku je slovo, Lidové noviny (Brno), le 18 novembre 1991, p. 4. Palkovi č, Pavol, Stavitelia chrámu iba hos ťami v SND, Slovenský denník (Bratislava), le 16 octobre 1992. Pato čková, Jana, Návrat bílého slona, Sv ět a divadlo , n° 9-10, 1992, p. 34-40 ; The return of the white elephant, Czech ∂ slovak theatre , 1993, p. 2-13. 238 Srna, Zden ěk, Aktuální mystérium, Ve černík (Brno), le 19 décembre 1991, [?]. Švanda, Pavel, O minulé sezón ě v Mahenov ě činoh ře, Lidová demokracie (Brno), le 16 décembre 1992, [?]. Švanda, Pavel, Riziko a zisky, Divadelní noviny 2 (Prague), n° 4, 1993, p. 7. Švéda, Ji ří, Mystérium zv ěstování, Český deník (Prague), F/36, le 25 novembre 1991, p. 5. Teš, Ji ří, A slovo t ělem stalo se…, Svobodné slovo (Brno), le 8 janvier 1992, [?]. Vl ček, Old řich, Dvojí hostování, Český denník (Prague), le 7 mai 1992, [?]. [vp], Činohra Zemského divadla v Brn ě…, Ve černí Praha (Prague), le 28 avril 1992, [?].

Théâtre « Divadlo za brannou » (Divadlo za brannou) (Prague) 239 date de représentation : le 29 mars 1993, mise en scène : Philippe Adrien, décors et costumes : Pierre Dios

Violaine : Béatrice Delavaux, Pierre de Craon : Alain Macé, La Mère : Annie Mercier, Anne Vercors : [?], Mara : Magali Magne, Jacques Hury : Frédéric Sauzay

Pato čková, Jana, Pozemské mystérium, Navštívili nás, Zprávy Divadelního ústavu (Prague), mars-avril 1993, p. 32-39.

Théâtre de Bohême du Sud (Jiho české divadlo) ( České Bud ějovice) date de représentation : le 26 novembre 1993, traduction : Ji ří Kon ůpek, mise en scène : Ji ří Šesták décors : Petr Pe řina, costumes : Kristina Novotná, musique : Pavel Malhocký

Violaine : Kate řina B řezinová, Pierre de Craon : Radek Žák, La Mère : V ěra Papírková, Anne Vercors : Petr Šporcl, Mara : Dana Pešková, Jacques Hury : Martin Hruška

Holub, Zbyn ěk, Slovo k realizaci Claudelova Zv ěstování Pann ě Marii, Divadlo, Um ění a divadlo , 2, janvier 1994, p. 32-33. Píhová, Ivana, Legenda o dvou sestrách, Českobud ějovické listy ( České Bud ějovice), le 24 novembre 1993, p. 17.

238 Il s’agit du même article publié en version anglaise, l’auteur résume l’histoire de la mise en scène des pièces claudéliennes en République tchèque, elle se concentre surtout sur L’Annonce faite à Marie (Théâtre national à Brno, 1991) et sur Le Soulier de Satin (Théâtre national de Prague, 1993). 239 Tournée de l’Atelier de Recherche et de Réalisation Théâtrale, troupe française invitée par l’Institut français de Prague et le théâtre « Divadlo za branou II ».

128 Velemanová-Měščerjakovová, V ěra, Zv ěstování koneckonc ů slyšitelné, Divadelní noviny 3, n° 1, le 11 janvier 1994, p. 5.

(Prague) date de radiodiffusion : décembre 1996, adaptation : Jan N ěme ček, réalisation : František Derfler

Faltýnek, Vilém, Nejznám ější p říb ěh, Prosincový rozhlas, Divadelní noviny , 6, n° 2, le 21 janvier 1997, p. 6.

(Prague) 240 date de représentation : le 25 février 1998, mise en scène : Frédéric Fisbach, musique : Darius Milhaud

[ej=Jeníková, Eva], Claudelovo Zv ěstování Pann ě Marii, Slovo , 90, n° 47, le 24 février 1998, p. 12. [kla=Klapalová, Martina], Francouzi budou hrát v refektá ři, Mladá fronta Dnes (Prague), le 17 février 1998, p. 5. 241 [Nak, im, čtk], Opera ve slovech, Hospodá řské noviny (Prague), 42, n° 36, le 20 février 1998, p. 4. [nej=Jen čík, Karel], V Emauzích zazní scénická pohádka, Zemské noviny , le 21 février 1998, p. 7. [Non-signé], Zv ěstování Pann ě Marii, mluvená opera, Št ěpánská 35 , n° 1-3, 1998, p. 41.

Association OSDO (Ústí nad Orlicí) 242 date de représentation : le 20 novembre 2000 243 , traduction : Miloš Marten, adaptation, mise en scène et musique 244 : Martin Malínek, décors : Vladimír Langr, costumes : Ludmila Pacalajová

Violaine (Violena) : Linda Kaplanová 245 , Pierre de Craon (Petr z Craonu) : Ján Masaryk, La Mère (Alžb ěta Vercors) : Jana Sta ňková 246 , Anne Vercors : Martin Zahálka, Mara : Pavlína Kova říková, Jacques Hury (Jakub) : Petr Žitný, La Vierge Marie (Panna Maria) : Mariana Kuldová, La Petite Fille (Sen) : Denisa Langrová

240 Réalisé dans le réfectoire du Couvent d’Emmaüs, sous forme d’opéra et avec les concours des acteurs professionnels et amateurs tchèques et français. 241 Annonce de la représentation. 242 Aux dires du metteur en scène, il s’agissait de la première représentation de cette pièce en pays tchèque, mais c’est douteux, au moins, il faut penser au spectacle de Nové M ěsto nad Metují réalisé en 1914 déjà. Le spectacle en question est présenté pour la première fois à Dolní Dobrou č, ensuite à Letohrad et enfin au théâtre « Roškotovo divadlo » le jour du premier dimanche de l’avent. 243 Repris ensuite le 21 juin 2001 dans le cadre du programme Open air du festival « Divadla Evropských region ů » à Hradec Králové. 244 La musique composée à partir de la musique de la groupe Apocaliptika et la musique religieuse. 245 Dans le cadre du festival à Chambéry le rôle est interprété par Hana Krásová. 246 Dans le cadre du même festival, le rôle est joué par Eva Malinková.

129 Hájek, Petr, Hra o smyslu ob ětování a odpušt ění, Orlické noviny (Ústecko, Rychnovsko), le 29 novembre 2000, p. 18. 247 Malá, Martina, Úste čtí sehrají Claudelovu legendu o vin ě a odpušt ění, MF Dnes (Východní Čechy), le 24 novembre 2000, p. 3. 248 Montmarte, Danièle, Martin Malínek pour L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, Bulletin de la Société Paul Claudel (Paris), n° 163, 2001, p. 33-34. Martincová, Zdena, Úste čtí herci slavili v Pa říži úsp ěch s inscenací Zv ěstování Pann ě Marii, le 13 juin 2001, archives privés de Martin Malínek. Strotzer, Milan, Zv ěstování v Ústí nad Orlicí, Amatérská scéna , 38, n° 2, 2001, p. 18-19. [mag], Ochotníci otev řeli srdce Francouz ů, Ústecké noviny (Ústecko), [?] 2003, [?]. [mag], Ochotníci poprvé zahráli st ředov ěkou legendu o čistot ě dívky Violeny, Orlické noviny (Ústecko), le 27 novembre 2007, p. 7. [mag], Premiéra Claudelova dramatu, [?], archives privés de Martin Malínek, [zr], Zv ěstován Pann ě Marii v televizi, Orlické noviny (Ústecko), le 18 février 2004, [?]. 249

Théâtre morave (Moravské divadlo) (Olomouc) 250 date de représentation : le 11 octobre 2002, traduction : Ji ří Kon ůpek 251 , mise en scène : Jakub Kor čák , décors et costumes : Milan David et Eva Bellefeuille, musique : Zbyn ěk Mat ějů

Violaine : Vladimíra V čelná, Pierre de Craon : Petr Fran ěk, La Mère : Ivana Plíhalová, Anne Vercors : Mikuláš Pánek, Mara : Evellyn Čapková-Pacoláková, Jacques Hury : Filip Čapka

Kerbr, Jan, Paul Claudel, Zv ěstování Pann ě Marii, Reflex , 13, n° 41, le 10 octobre 2002, p. 52. 252 Kolá ř, Bohumír, Tvorba Paula Claudela se po sedmdesáti letech vrátila do Olomouce, Olomoucké listy (Olomouc), le 17 octobre 2002, p. 14. Kříž, Ji ří P, Hra o mu čednictví stavitel ů chrám ů, Právo (St řední a Východní Morava) (Prague), le 23 novembre 2002, p. 14. Lazor čáková, Ta ťána, Claudel ochuzený o divadelní rozm ěr, Divadelní noviny (Prague), 11, n° 19, le 12 novembre 2002, p. 6. Lazor čáková, Ta ťána, Slovo z ůstalo osamocenou výzvou, Moravské divadlo Olomouc uvedlo Claudelovo málo hrané dílo, Lidové noviny (Prague), le 19 décembre 2002, p. 25. Lehotský, Tomáš, Paul Claudel: Zv ěstování panně Marii, Scena.cz. 253 [Non-signé], Paul Claudel, Zv ěstování Pann ě Marii, Reflex , n° 41, 2002, [?].

247 L’article a été écrit de la reprise du 26 novembre 2000 au théâtre « Roškotovo divadlo » à Ústí nad Orlicí. 248 L’article est incorect. 249 Le spectacle fut aussi enregistré par Česká televize le 5 mars à Jamné nad Orlicí. 250 Ce spectacle avait 16 reprises, la dernière représentation s‘est déroulée le 30 mars 2003. Le 28 décembre 2002, la Télévision tchèque a diffusé une émission consacrée aux premières représentations dans les théâtres tchèques, notamment une partie a été consacrée à la réalisation de la pièce L’Annonce faite à Marie . 251 Avec la collaboration textuelle de Daniela Jobertová. 252 Il s’agit d’une carte d’invitation. 253 Voir : http://www.scena.cz/index.php?o=1&d=1&r=10&c=1345

130 [Non-signé], Moravské divadlo Olomouc, premiéra v říjnu 2002, Aplaus , 3, n° 10, octobre 2002, p. 9.

Télévision tchèque 254 date de diffusion : le 28 décembre 2002, mise en scène : Jan Prichcín

Télévision tchèque (Brno) 255 date de diffusion : août 2007, mise en scène : Vladimír Fanta

L’Échange (Vým ěna) Théâtre municipal de Vinohrady (M ěstské divadlo na Král. Vinohradech) (Prague) 256 date de représentation : le 16 mars 1922 257 , traduction : Arnošt Procházka, mise en scène : Karel Dostál, décors et costumes : Vlastislav Hoffman

Marthe : A. Iblová, Louis Laine : R. T ůma, Lechy Elbernon : Leopolda Dostálová, Thomas Pollock Nageoire : V. Vydra

Engelmüller, Karel, [?], Národní politika (Prague), [?] 1922, [?]. Fischer, Otokar, Vým ěna, Národní listy (Prague), [?] mars 1922. Kolman, Jaroslav, Paul Claudel, Vým ěna, Venkov (Prague), le 18 mars 1922, p. 3. Lom, St., [Stanislav?], České slovo , [?] 1922, [?]. Novotný, Miroslav, Divadlo, Cesta , n° 4, 1922, p. 724-727. 258 Svoboda, Karel, Nová doba , n° 29, 1922, p. 575. Vodák, Jind řich, Zrcadlo kritik ů a kritik, Vým ěna…, Jevišt ě (Prague), III, n° 13, le 23 mars 1922, p. 196. 259 [if=Fischerová, Irma Jarmila], Divadelní dojmy, Jevišt ě (Prague), le 30 mars 1922, III, n° 14, p. 210-211. [Kazetka=Karel Zden ěk Klíma], Claudel. Vým ěna, Lidové noviny (édition matinale, Brno), le 18 mars 1922, p. 7. 260 [M.M.=Majerová, Marie], Literatura, divadlo, um ění. Vým ěna, Rudé právo (Prague), le 18 mars 1922, p. 6-7. [-or=Vodák, Jind řich], Claudel-mravokárce, Jevišt ě (Prague), le 9 mars 1922, III, n° 11, p. 161-162. [Ot.F=Fischer, Otokar], Erotická symfonie, Národní listy (Prague), le 18 mars 1922, [?]. [jv.], Claudelovština, Čas (édition matinale, Prague), le 18 mars 1922, p. 3-4.

254 La durée de cette émission 57 minutes, spectacle présenté dans le cadre du programme « Divadlo žije!». 255 L’émission appelée « To je náš mecenáš » [C’est notre mécène], qui durait 30 minutes, dont 6 minutes était réservées à la réalisation de la pièce. 256 Pour la genèse du nom du théâtre en question voir notre dernière annexe. 257 Le spectacle avait 9 reprises. 258 Voir surtout les pages 726-727. 259 On y cite des extraits de la plupart des articles critiques publiés par la presse tchèque : Právo lidu (-MV), Čas (jv), Rudé právo (M.M.), Československá republika (Hasková Zdenka), Národní listy (Ot.F.), Prager Presse (V.T.), Tribuna (K-ček), České slovo (St. Lom), Lidové noviny (Kazetka), Venkov (Jaroslav Kolman). 260 Le texte a été daté de Prague le 17 mars 1922.

131 [K-ček], [?], Tribuna , [?] 1922, [?]. [-nv], [?], Právo lidu , [?] 1922, [?]. [R], Claudelovština, Jevišt ě (Prague), III, n° 42, le 6 janvier 1922, p. 58-59.261 [V.T.], [?], Prager Presse , [?] 1922, [?]. [Non-signé], M ěstské divadlo Král, Vinohrad, Venkov (Prague), le 1er janvier 1922, p. 12. 262 [Non-signé], M ěstské divadlo na Král, Vinohradech, Venkov (Prague), le 2 octobre 1921, p. 8. 263

Théâtre de Vinohrady (Divadlo na Vinohradech) (Prague) 264 date de représentation : le 26 janvier 2006, traduction : Michal Láz ňovský, mise en scène : Jan Novák, décors : Ivo Žídek (jeune) 265 , costumes : Tomáš Kypta, musique : Pavel Malhocký

Marthe (Marta) : Petra Hobzová, Louis Laine : Daniel Bambas, Lechy Elbernon (Lecky Elbernonová) : Zlata Adamovská, Thomas Pollock Nageoire (Thomas Pollock Kosatka): Pavel Rímský

Hrbotický, Saša, Na Vinohradech řeší manželský čty řúhelník, Hospodá řské noviny (Prague), 50, n° 24, le 2 février 2006, p. 12, Christov, Petr, Vým ěna po claudelovsku, Divadelní noviny (Prague), 15, n° 6, le 21 mars 2006, p. 5. Kerbr, Jan, Když se omamn ě básnivý jazyk prom ění v exhibici, Mladá fronta Dnes (Prague), le 31 janvier 2006, p. C/8. Šrámková, Vít ězslava, Hrátky pár ů a politik ů na Vinohradech, Týdeník Rozhlas (Prague), 16, n° 13, le 20 mars 2006, p. 4.

Théâtre tchèque (České divadlo) (Olomouc)266 date de représentation : le 16 janvier 1933 267 , traduction : Arnošt Procházka, mise en scène : Old řich Stibor, décors et costumes : Josef Gabriel

Marthe : Kleinová, Louis Laine : Raušer, Lechy Elbernon : Švabíková, Thomas Pollock Nageoire : Karel

261 L’auteur parle fautivement de la pièce Tête d’Or ! 262 Annonce que la pièce va être donnée. 263 Petite nouvelle, le théâtre a obtenu l’autorisation d‘adapter cette pièce. 264 Avec le sous-titre « Z ruky do ruky » présenté sur la scène de l’Atelier du Théâtre de Vinohrady. 265 Lire « en tant que hôte ». 266 Le spectacle n’est présenté qu’une seule fois au Théâtre de chambre. Dans l’article de O. Hlinecký intitulé « Za t ěžkých pom ěrů » qui a paru dans Výro ční zpráva Družstva českého divadla v Olomouci za sezonu 1932/1933 (p. 5-16), nous pouvons lire (page 9) que ce théâtre a commencé sa deuxième saison, entre autres, même par la pièce de Claudel. La liste des articles ne comprend pas celui de V. H. Jarek « Pohled nazp ět, pohled dík ů » (publié dans le même ouvrage, p. 26-29), où on ajoute que la première de L’Échange a été étudiée, mais la transposition de cette pièce de la scène intime sur la scène d’un grand théâtre ne s’est point réalisée, même s’il s’agissait de l’une des soirées les plus poétiques. (Voir Výro ční zpráva Družstva českého divadla v Olomouci za sezonu 1932/1933 , p. 27.) 267 Spectacle qui n’est présenté qu’une seule fois.

132

[-J.M.P.], Paul Claudel, Vým ěna v Komorním divadle v Olomouci, Našinec (Olomouc), le 22 janvier 1933, p. 4. [-m-], Z olomoucké činohry, Paul Claudel Vým ěna, Moravský deník (Olomouc), le 18 janvier 1933, p. 2.

Atelier –d- du Théâtre de Bohême de l’Ouest (Studio -d- Západo českého divadla) (Cheb) 268 date de représentation : octobre 1979, traduction : Josef Kafka, mise en scène : Josef Lédl

Marthe :, Louis Laine :, Lechy Elbernon :, Thomas Pollock Nageoire :

[-vš- = Someš, Jaroslav], Paul Claudel, Vým ěna, Dialog , 3, n° 3-4, le 5 janvier 1980, p. 26- 27.

Compagnie « Divadlo » ? date de représentation : printemps 1988 269 sous le titre L’Échange II (Něco za n ěco čili Vým ěna II )270 Théâtre sur le radeau (Divadlo Na voru) (Prague) 271 date de représentation : le 8 juin 1997 272 , traduction : Michal Láz ňovský, mise en scène : Michal Láz ňovský a Frederika Smetana, décors et costumes : Karolína Kriseová

Marthe : Frederika Smetana (Smetanová), Louis Laine : František Kreuzmann, Lechy Elbernon : Magdalena Platzová, Thomas Pollock Nageoire : Adda Kedam

Knopp, František, Claudelova Amerika aneb V ěč ný spor o člov ěka, Denní telegraf , le 16 juin 1997, p. 13. Stanislav čík, Tomáš, N ěco za n ěco aneb Vým ěna II, Lidové noviny , le 18 juin 1997, p. 11. Tichý, Zden ěk A., Divadlo na voru táhne do hlubin náklad stati čnosti, Mladá fronta Dnes , le 1er juillet 1997, p. 17. [Non-signé], Claudelova hra m ěla premiéru, Boleslavský deník , le 9 juin 1997, [?].

268 Cette mise en scène est ombrée d’un mystère, car elle n’est pas citée dans l’almanach officiel du théâtre en question. C’est grâce à l’auteur d’article critique qu’on a pu trouver les informations concernant cette réalisation. Le seul article critique a été publié clandestinement dans la revue Dialog ; la revue est déposée aux archives de la bibliothèque de l’Institut de théâtre à Prague. 269 Cette donnée n’a pas été vérifiée, elle est citée d’après un numéro du Bulletin de la Société Paul Claudel . 270 Il s’agit de la deuxième version de la pièce. Le spectacle a été aussi présenté le 28 mai 1998 au théâtre « Divadlo pod čepicí » dans le cadre de la 6ème année du festival de théâtre « P říjemné setkání » à České Bud ějovice. (Voir notamment les articles : [non-signé], P říjemné setkání, LN , le 28 mai 1998, p. 13 ; Malina, V., P říjemné setkání, MFD , le 2 juin 1998, p. 18 ; (san), P říjemné setkání, MFD , le 27 mai 1998, p. 22.) 271 Représentation donnée sur la scène du théâtre « Dejvické divadlo » de Prague ; avec 60 reprises, jouée jusqu’en 2000. Le spectacle était aussi présenté en langue française au Festival d’Avignon en juillet 1998. 272 La seconde première se déroule le 27 septembre de la même année.

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(L’Enfant Jésus de Prague) 273

(Divadlo nad Labem) (Cheb) date de représentation : le 6 décembre 2009

Récitants : Stanislav Oubram, Jan Beneš

Le Chemin de la Croix (Nap řed je t řeba unést k říž ) (Brno) 274 date de représentation : le 3 septembre 1992, traduction : Ivan Slavík, adaptation, mise en scène, costumes et récital : Miroslav Částek, musique : Zden ěk Pololáník

Mare ček, Petr, Částek dnes uvede k řížové cesty podle Claudela, MF Dnes , [?].

Télévision tchèque (Chaîne 2) (Brno) date de l’émission : 1994

L’Impossible partage (Nemožný úd ěl)275 (Česká T řebová) 276 date de représentation : le 13 septembre 2003 (création mondiale), mise en scène : Catherine Andrault

Navrátilová, Magda, Sv ětová premiéra Apokryf ů, Orlické noviny , le 13 septembre 2003, p. 9. Špaisová, Lenka, Francouzský soubor zahájil festival české a slovenské dramatické tvorby, www,ceska-trebova,cz/kultura, le 18 septembre 2003. [mal], Festival zahájí francouzský soubor, MF Dnes (Kraj Pardubický), le 16 septembre 2003, p. C/4. [s č], Čapek a Claudel zahájili letošní mezinárodní festival, Orlické noviny (Ústecko), le 18 septembre 2003, p. 8.

Jennne d’Arc au bûcher (Jana z Arku na hranici )

273 Il s’agissait du concert littéraire et musical intitulé « Malé adventní zastavení », il fut composé à partir de différents textes tchèques, latins, français et anglais d’auteurs connus ou anonymes. Présenté dans différentes églises de la région de la ville Most, notamment à l’église Saint Wenceslas à Most (le 6 décembre), dans la salle de prières protestante (le 13 décembre), au Château de Korozluky (le 19 décembre) et à l’église à Vtelno (le 20 décembre). 274 Récital à l’église Saint Michel à Brno. L’article a été écrit de la représentation de Hradec Králové. 275 En collaboration avec l’ensemble théâtral universitaire T.R.U.C. de Chambéry et avec les amateurs de OSDO d’Ústí nad Orlicí. Le spectacle qui a été joué en français, a ouvert le Festival International du théâtre tchèque et slovaque (du 16 septembre jusqu’au 28 novembre 2003). 276 Représenté dans la Maison de culture.

134 Philharmonie tchécoslovaque de Prague (Československá filharmonie Praha) 277 date de représentation : les 26 et 27 février 1959, traduction : Kamil Bedná ř et Zden ěk Knittl, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Jean Giardino

Jeanne d’Arc (Jana z Arku, Johanka) : Jana Vymazalová, Frère Dominique (Bratr Dominik) : Josef Chvalina

Philharmonie tchécoslovaque de Prague 278 date de représentation : les 12 et 13 février (janvier?) 1970, traduction : Karel Kraus, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Václav Neumann

Récitant : Radovan Lukavský, Jeanne d’Arc : Jaroslava Vymazalová, Frère Dominique : Vlastimil Fišar

Philharmonie tchécoslovaque de Prague date de représentation : les 17 et 18 octobre 1974 279 , musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Serge Baudo

Jeanne d’Arc : Nelly Borgeaud, Frère Dominique : Michel Favory

Théâtre d’État (Státní divadlo) (Brno) 280 date de représentation : le 27 juin 1969, traduction : Karel Kraus, mise en scène : Miloš Wasserbauer, décors : Vojt ěch Štolfa, costumes : Inez Tuschnerová, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre: Václav Nosek

Jeanne d’Arc (Jana z Arku) : Jana Hlavá čová, Frère Dominique (Bratr Dominik) : Otakar Dadák

Fuka č, Ji ří, Dlouho o čekávaná premiéra, Rovnost (Brno), le 2 juillet 1969, [?]. Herrmannová, Eva, Dívka jménem Jana…, Divadelní noviny (Prague), le 22 octobre 1969, [?]. Heererová, Petra, O Heneggerovu oratoriu, Mladá fronta (Prague), le 28 juin 1969, [?]. Heerenová, Petra, Rozhovor p řed premiérou, Rovnost , Brno, le 26 juin 1969, [?]. Hrabal, František, Schönbergovo O čekávání, Hudební rozhledy (Prague), février 1970, p. 5, 49? Št ědro ň, Miloš, Nová koncepce dramaturgie?, Mladá fronta (Prague), le 17 juillet 1969, p. 4. [Trojan, J.=Trojan, Jan], Arnold Schönberg – O čekávání, Práce (Brno), le 8 juillet 1969, [?]. Trojan, Jan, Jana z Arcu na hranici, Práce (Brno), le 4 juillet 1969, [?].

277 Réalisé dans le monument national pragois – dans la Maison municipal (Obecní d ům) ; en collaboration avec le Chœur tchèque et le Chœur puéril de Kühn. 278 Réalisé dans la salle de Dvo řák. 279 Avec la collaboration du Chœur Philharmonique de Prague et le Chœur d’enfants Kühn. La seule réalisation en français motivée par l’enregistrement du 14 au 20 octobre à Supprafon (éditions : Supraphon S.112 1651-52, 33 tours). Elle fut applaudie comme une grande réussite. 280 Il s’agit de la première réalisation scénique tchécoslovaque, donnée sur la scène du Théâtre de Janá ček.

135 [JF], O čekávání, Československý rozhlas (Prague), le 13 avril 1970, [?]. [ph], Honegger a Schönberg, Práce (Brno), le 25 juin 1969, [?]. [Non-signé], Moderna na záv ěr, Svobodné slovo (Brno), le 17 juillet 1969, p. 8?

Orchestre symphonique de la capitale de Prague (Symfonický orchestr hl. m ěsta Prahy FOK) 281 date de représentation : les 10 et 11 mars 1992 282 mise en scène : Jan T ůma, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Serge Baudo

Jeanne d’Arc : Marcela Pe ňázová, Frère Dominique : Stanislav Zindulka

[čas], Koncertní život (Programová brožura), Prague, mars 1992.

Théâtre national (Národní divadlo) (Brno) 283 date de représentation : le 3 novembre 1995, traduction : Karel Kraus, mise en scène : Libor Vaculík, décors : Vladimír Soukenka, costumes : Josef Jelínek, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Jan Zbavitel

Jeanne d’Arc : Hana Litterová, Eva Šeneklová (danse), Magdaléna Kirschnerová (rôle parlé), Frère Dominique, Cauchon : Karel Littera, Ivan P říkaský (danse), Ladislav Lakomý (rôle parlé)

Borková, Alena, Me č jménem láska, Lidové noviny (Brno), le 5 décembre 1995, p. 10. Čech, Vladimír, Jana z Arku zá řnou inspirací, Rovnost (Brno), n° 259, le 6 novembre 1995, p. 11. Závodský, Aleš, Jana z Arku podruhé, Brn ěnský ve černík (Brno), le 7 décembre 1995, p. 3. [tn], Johanka z Arcu na hranici, Rovnost (Brno), 5, n° 207, le 5 septembre 1995, p. 13. [Non-signé], Jana z Arku na hranici, Rovnost (Brno), 5, n° 254, le 31 octobre 1995, p. 13.

(Ostrava) 284 date de représentation : le 15 juin 2000, traduction : Karel Kraus, mise en scène : Michal Láz ňovský, décors : Alexander Babraj, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Serge Baudo

Jeanne d’Arc : Frederika Smetanová, Frère Dominique : Wiliam Mesguich

[?], Jeanne d´Arc à Ostrava/Jana z Arku v Ostrav ě, Št ěpánská 35 , n° 4-6, 2000, p. 41.

281 Dans la salle Smetana de la Maison municipale de Prague. Dans le cadre du concours du Chœur philharmonique de Prague et du chœur puéril Bambini di Praga. 282 Dans le cadre du programme musical du Centenaire d’Arthur Honegger. 283 Musique originale d’Arthur Honegger, l’auteur du texte Paul Claudel. Il s’agissait du projet collectif reliant les ensembles de l’opéra et du ballet réalisé sur la scène du Théâtre de Janá ček. Dernière le 14 novembre 1997. 284 Réalisé par la Philharmonie de Janá ček d’Ostrava dans la maison de la culture de Vítkovice dans le cadre de la 25ème année du Festival International organisé du 25 au 15 juin 2000. En collaboration avec l’Institut français de Prague et l’Alliance française et avec les concours du Chœur philharmonique de Prague et du Chœur puéril « Permoník » et même avec les acteurs du théâtre en question.

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Orchestre Philharmonique Tchèque/Orchestre Philharmonique de Pilsen (Prague/Pilsen) date du concert : les 17 et 18 janvier 2009 285 , traduction : Karel Kraus mise en scène : Karel Weinlich, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Ji ří Malát

Jeanne d’Arc : Markéta Hrubešová, Frère Dominique : Otakar Brousek sous le titre Jeanne d’Arc (Jana z Arcu) Théâtre sur le radeau/Orchestre symphonique de la capitale de Prague (Divadlo na voru Prague/Symfonický orchestr hl. m. Prahy FOK) 286 date de réalisation : les 15 et 16 juin 2004, mise en scène : Frederika Smetanová, Michal Láz ňovský, décors : Ji ří Voves, costumes : Petra Hábová, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Serge Baudo Jeanne d’Arc : Frederika Smetana, Frère Dominique : Michel Favory

Baran čicová, Svatava, Jana z Arku na hranici, Time in Prague , n° 6, juin 2004, p. 166-167. Drápelová, V ěra, Dnes by Jana z Arku zastavila tank, Mladá Fronta Dnes (Prague), le 15 juin 2004, p. C/10. Drápelová, V ěra, Jana z Arku jako tablo s kousky divadla, Mladá Fronta Dnes (Prague), le 17 juin 2004, p. C/9. Machá ček, Ji ří, Sugestivní Jana z Arku, Mladá Fronta Dnes (Prague), le 20 juin 2000, p. 23. Šerých, Anna, Serge Bando diriguje Janu z Arku, Lidové noviny , le 15 juin 2004.

Le Livre de Christoph Colomb (Kniha o Kryštofu Kolumbovi ) Théâtre de J. K. Tyl (Divadlo J. K. Tyla) (Pilsen) date de représentation : le 25 mai 1969, traduction : Otto František Babler, mise en scène : Svatoslav Papež, décors et costumes : Vladimír Heller, musique : Miloš Vacek

L’Explicateur (Hlasatel) : Miloslav V čala, Christoph Colomb I (Kolumbus I) : Milan Vlachovský, Christoph Colomb II (Kolumbus II) : Ji ří Kostka, La Reine Isabelle (Královna Isabela) : Eva Wimmerová, Le Roi d’Espagne (Král špan ělský) : Jaroslav Kníže

Caltová, Marie, Československá premiéra Claudelova Kolumba, Pravda (Plze ň), le 23 mai 1969, [?]. Holubová, Helena, Kniha o Kryštofu Kolumbovi, Pravda (Plze ň), le 10 juin 1969, [?]. Maršík, Karel, Boj o Claudela, Ve černí Plze ň, (Plze ň), le 30 mai 1969, [?]. Pato čková, Jana, Obtížnost antiiluzionismu”, Divadlo (Prague), 20, n° 9, novemb re 1969, p. 74-76.

285 Concert dans le cadre de la commémoration de la mort de Jan Palach. Avec les concours des Chœur philharmonique de Prague (direction Lukáš Vasilek) et le Chœr puéril de Kühn (direction Ji ří Chvála). Le concert fut même enregistré par la Télévision tchèque. 286 Deux représentations en langue française de l’oratorio de Claudel données dans la salle de Smetana de la Maison municipale de Prague. Avec les concours des acteurs du théâtre « Divadlo na voru » de Prague.

137 [kk], Paul Claudel, jeho vztah k hudb ě, Pravda (Plze ň), le 30 mai 1969, [?]. [šn], Hra o Kryštofu Kolumbovi, Ve černí Plze ň, le 21 mai 1969, [?]. [-šn-], Kniha o Kryštofu Kolumbovi, Škodovák (Plze ň), le 27 mai 1969, [?].

Théâtre silésien (Slezské divadlo) (Opava) 287 date de représentation : le 30 janvier 2000, traduction : Otto František Babler , mise en scène : Bed řich Jansa, décors : Martin Víšek, costumes : Eliška Zapletalová

L’Explicateur : Petr Klimeš, Christoph Colomb I : Martin Valouch, Christoph Colomb II : Drahomír Ožana, La Reine Isabelle : Jana Paroulková, Le Roi d’Espagne : Petr Houska

Bohutínská, Jana, P říliš velké sousto, Cavea , 4, n° 6, novembre 2000, p. 23. Čulíková, V ěra, Jevištní inscenace Kolumba v podob ě bohoslužby, Ostravský den (Olomouc), les 19-20 février 2000, p. 6. Hrušková, Jitka, Dramatický osud jednoho života, Svoboda (Ostrava), le 29 janvier 2000. Jindrová, Zuzana, Claudel ův Kryštof Kolumbus v Opavě, Divadelní noviny (Prague), 9, n° 11, le 30 mai 2000, p. 5. 288 Knížátko, Ladislav, Nápaditá kniha o Kolumbovi, Moravské noviny Svoboda (Ostrava), le 4 février 2000, p. 8. Reissner, Martin, Claudel ův Kolumbus jako vrchol sezony, Slovo (Prague), le 30 août 1999, p. 6. [sl=Slíva, Ladislav], Kniha o Kryštofu Kolumbovi, Slezské divadlo v Opav ě uvádí zítra další premiéru, Moravské noviny Svoboda , Ostrava, le 29 janvier 2000, p. 8. Soprová, Jana, Listování Kolumbem, Cavea , 4, n° 6, novembre 2000, p. 23. [LS], Kolumbus, Moravskoslezský den (Ostrava), le 29 janvier 2000, [?]. [Non-signé], Kniha o Kryštofu Kolumbovi, Cavea , Noviny p řehlídky České divadlo 00-01, 4, n° 5, octobre 2000, p. 17-18. sous le titre Christoph Colomb (Krištof Kolumbus ) (Prague) 289 date de diffusion : 1938 (première tchèque), traduction : Ferdinand Pujman, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Dr. Otakar Jeremiáš

Míšek, Ji ří, Krištof Kolumbus na vlnách radia, Divadlo (Prague), n° 37-38, 1938, p. 111, 131. sous le titre Tutuguri 290

287 Cette pièce est mise en scène par le Théâtre silésien dans le cadre du 6ème Festival « České divadlo, Praha, regiony » [Théâtre tchèque, Prague, régions], réalisé entre les 18 septembre 2000 et 24 juin 2001 au théâtre Divadlo pod Palmovkou, la pièce a été représentée le 29 octobre 2000. 288 Écrit de la reprise du 28 mars. 289 Réalisé par l’Orchestre symphonique de la Radio tchécoslovaque (SO ČR). 290 Il s’agit d’une réalisation onirique créée à partir de textes de Paul Claudel, Antonin Artaud, de l’œuvre de Vincent van Gogh et de la poésie indienne et de Maya. Le spectacle était présenté 22 fois sur la scène expérimentale du Cabinet des Muses du théâtre « HaDivadlo » (à l’époque, la

138 HaThéâtre (HaDivadlo) (Brno) date de représentation : le 20 mai 1991, adaptation et mise en scène : Jan Antonín Pitínský, décors et costumes : Tomáš Rusín, musique : Zden ěk Plachý a Luboš Malinovský

Christoph Colomb I (Mladý Kolumbus) : Michal Zavadil, Christoph Colomb II (Starý Kolumbus) : Ján Sedal

Bergmann, Aleš, Zah řívací kolo, Revue otev řené kultury , 2, n° 5, 1991, p. 64-68. Ho řínek, Zden ěk, Hadi v nové k ůži, Literární noviny , 3, n° 21, le 28 mars 1992, p. 6. Mikulka Vladimír, Kabinet múz, Metropolitan , II, n° 97, le 12 mai 1992, p. 16. Pato čková, Jana, Dvakrát v novém sídle brn ěnských múz, Zprávy Divadelního ústavu , juin 1991, p. 43-56. Pato čková, Jana, 2 krát v novém sídle brn ěnských múz, Scéna , 16, n° 20, le 26 septembre 1991, p. 3-4. Vorá č, Ji ří, Pokus o divadlo nové generace, Sv ět a divadlo , n° 6, 1991, p. 58-65.

L´Otage (Rukojmí ) OSDO (Ústí nad Orlicí) date de représentation : le 11 décembre 2004 291 , traduction : Miloš Marten, adaptation et mise en scène : Martin Malínek, décors : Zden ěk Velebný, František Be čka, Jaroslav Junek, Václav Hájek, costumes : M ěstské divadlo Kolín, musique : Vít Mazánek

Sygnie de Coûfontaine (Sygnie Coufontaine) : Anna Chasáková, Georges de Coûtontaine (George Coufontaine) : Roman Cach, Le pape Pie (Papež) : Ji ří Čtrnáct, Toussaint Turelure (Turelure Toussaint) : Petr Žitný, Le Curé Badillon (Fará ř Badillon) : Pavel Rittich, Le Roi de France, le Vicomte (Jeho veli čenstvo, francouzský král) : Martin Zahálka

Cach, Roman, Úste čtí hostem na Slovensku, Orlické noviny , [?] mai 2005, [?]. Němec, Mirek, Úste čtí p ředvedli Rukojmího poprvé domácímu publiku, Orlické noviny , le 2 avril 2005, p. 9. Němec, Mirek, T řetí Claudel je nejlepší, [?]. [ca], Cesta od pytláka k hrab ěti, Orlické noviny (Ústecko), le 10 décembre 2004, [?]. [?], Dv ě hodiny osobitého sv ěta, [?].

Partage de midi (Polední úd ěl)292

scène du Théâtre du pays de Brno). (Cf. HaDivadlo , ALE, Praha 1996 ; voir même J. A. Pitínský, J. A., Od Ameriky k Daliborovi , Pražská scéna, Praha 2001, p. 188) 291 La première de la pièce a eu lieu à Dolní Dobrou č, ensuite le 17 mars 2005 devant le public de la ville. 292 La pièce a été annoncée en 1923 déjà. (Voir Zv ěř ina, L. N., Divadlo, hudba, literatura, um ění, Venkov , le 20 janvier 1923.) Le répertoire du Théâtre municipal de Vinohrady signale la nouvelle mise en scène de la pièce le Partage de midi , mais ce « répertoire signalé est plus une démonstration de nos archives qu’une proposition définitive. » Citation originale : „[…], ohlašovaný repertoár je spíše ukázkou našich zásob než našim slovem posledním.“

139 Théâtre de chambre (Komorní divadlo) (Prague) date de représentation : le 8 avril 1937 293 , traduction : Miloš Marten, adaptation et mise en scène : Bohuš Stejskal, décors et costumes : František Zelenka, musique : Hanuš W. Süsskind

De Ciz : Vít ězslav Bo ček, Ysé : Marie Brožová, Mesa : Otomar Korbelá ř, Amalric : Ji ří Plachý

[B=Bass, Eduard], Claudel ův Polední úd ěl, Lidové noviny (édition matinale), le 10 avril 1937, p. 9. [Brousil, A. M.=Brousil, Antonín Mat ěj], Paul Claudel. Polední úd ěl, Venkov (Prague), le 10 avril 1937, p. 9. [ri.], Polední úd ěl, Rudé právo (Prague), le 10 avril 1937, p. 4. [vl], Polední úd ěl, Lidové noviny (édition matinale), le 14 mars 1937, p. 9 [V.R.], Československé divadlo (Prague), XX, n° 4, le 20 avril 1937, p. 47. [Non-signé], Co p řipravuje Vinohradská činnohra, Venkov (Prague), le 4 mars 1937, p. 7. 294

Association OSDO (Ústí nad Orlicí) 295 date de représentation : le 30 octobre 2002, première tchèque, traduction : Miloš Marten, adaptation et mise en scène : Martin Malínek, décor : Vladimír Langr, costumes : Františka Bart ůň ková, musique : Vít Mazánek

Almaric : Jan Vav řín, Mesa : Petr Žitný, Ysé : Simona Podzimková, De Ciz : Martin Zahálka

Zahálka, Martin, Polední a krásný úd ěl, [?]. [alá], Polední úd ěl bude v Čechách uveden poprvé, MF Dnes (Z Pardubického kraje), le 13 juin 2001, p. 3. Théâtre « Divadlo v Dlouhé » (Divadlo v Dlouhé) (Prague) 296 date de première : le 12 avril 2011, traduction : Vladimír Mikeš, adaptation : Hana Burešová, Št ěpán Ot čenášek, mise en scène : Hana Burešová, décors : Martin Černý, costumes : Kate řina Štefková

293 Le spectacle avait 7 reprises. 294 Il s’agit d’une annonce. 295 Adapté par l’Association de théâtre des amateurs d’Ústí nad Orlicí, avec l’autorisation de la Société Paul Claudel de Paris. 296 Ce spectacle fut récompensé par les prix de théâtre suivants : Cena Thálie/Prix Thálie – pour Helena Dvo řáková incarnant Ysé – Actrice tchèque de l’année 2011 (la cérémonie s´est déroulée au Théâtre National de Prague le 24 mars 2012, soirée diffusée par la Télévision tchèque), puis Cena Divadelních novin/Prix du journal de théâtre (Helena Dvo řáková – Actrice de l´année 2011, Réalisation de l´année 2011). Dans l’enquête i-divadlo.cz (www.i-divadlo.cz/ankety) – Réalisation de l’année 2011, Actrice de l’année 2011 (Ysé, Helena Dvo řáková) Notons encore le prix Cena Alfreda Radoka/Prix d´Alfred Radok (enquête de la critique du théâtre tchèque) : Helena Dvo řáková – Actrice de l’année 2011; Hana Burešová – Mise en scène de l’année 2011 et en même temps Réalisation de l’année; Martin Černý – Scénographie de l’année 2011.

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Amalric : Miroslav Hanuš, Mesa : Marek N ěmec, Ysé : Helena Dvo řáková, De Ciz : Miroslav Táborský

Drtilová, Zuzana, D ěsivé divadlo o nás samých : Polední úd ěl dramatika Paula Claudela byl u nás uveden poprvé a je dob ře, že se tak stalo, Mladá Fronta Dnes (Olomoucký kraj), n° 88, le 14 avril 2011, p. B 11. 297 Ho řínek, Zden ěk, Poledne našeho života, Divadelní noviny , n° 9, le 3 mai 2011, p. 6. Hrbotický, Saša, Herci mluví a čekají na okamžik slávy, B ůh ml čí, aktualne.centrum.cz/kultura/umeni/clanek.pht.phtml?id=697810 , le 20 avril 2011. Kerbr, Jan, Mámení dálek i hlubin, Sv ět a divadlo , n° 4, 2011, p. 10-13. Kříž, Ji ří P., Neapoštolské obrácení ces ťáka Mesy, Literární noviny , n° 14, le 5 avril 2011,p. 12-13 Kříž, Ji ří P., Za vším hledej ženu nebo boha, Právo (Prague), n° 88, le 14 avril 2011, p. 17. Machalická, Jana, Claudel v Dlouhé se vymyká b ěžné produkci: Um ění odejít, mrtvá dívka s ikonou a chvála Poledního úd ělu, Lidové noviny , n° 115, le 17 mai 2011, p. 8. Machalická, Jana, Claudelova „zkouška srdce“, Lidové noviny , n° 82, le 7 avril 2011, p. 9. Pato čková, Jana, Hra, kterou rozví řili t ři muži okolo jedné ženy, Lidové noviny (Prague), [?] avril 2011, [?]. Pato čková, Jana, Moderní lidé ve „stavu zrodu“: Š ťastný návrat Paula Claudela v Divadle v Dlouhé a petrohradský týden div ů, Lidové noviny , n° 92, le 19 avril 2011, p. 8. Pato čková, Jana, The Break of Noon, Czech Theatre , n° 28, 2012, p. 21-22. Pražan, Bronislav, Od frašky po mystérium, Týdeník Rozhlas , n° 22, 2011, p. 18. Reslová, Marie, Polední úd ěl: Divadlo v Dlouhé uvádí autobiografickou hru básníka Paula Claudela. Povedená inscenace řeší rozpolcenost mezi láskou a Bohem, Hospodá řské noviny , n° 75, les 15-17 avril 2011, p. 13. [rs=Sikora Roman], Claudel v Dlouhé uzav ře triádu, www.denikreferendum.cz/clanek/10005-claudel-v-dlouhe-uzavre-triadu , le 10 avril 2011. Soprová, Jana, Polední úd ěl – recenze novinky Divadla v Dlouhé, ČRo 3 – Vltava , le 21 avril 2011. Soprová, Jana, Polední úd ěl v Dlouhé, Scena.cz , le 2 mai 2011. Steffanová, Veronika, Polední úd ěl: nádherná inscenace o lásce a nenávisti k ženám, studentpoint.cz , 2011. Suková, Anna, Polední úd ěl: náro čný, intenzivní a skv ělý, informuji.cz , 2011. Varyš, Vojt ěch, Panic u vytržení, Týden , n° 16, le 18 avril 2011, p. 76. Váchová, Michaela, Polední úd ěl na palub ě Divadla v Dlouhé, www.nekultura.cz/divadlo- recenze/poledni-udel-na-palube-divadla-v-dlouhe.html, le 6 mai 2011. http://www.divadlovdlouhe.cz/repertoar.html?repertoarId=140 http://www.rozhlas.cz/mozaika/divadlo/_zprava/poledni-udel-recenze-novinky-divadla-v- dlouhe--882458 http://www.i-divadlo.cz/divadlo/divadlo-v-dlouhe/poledni-udel http://art.ihned.cz/c1-54569280-divadlo-v-dlouhe-a-ti-druzi-nominacim-na-radoky-vevodi- poledni-udel-o-podobach-lasky http://www.divadelni-noviny.cz/anketa-dn-inscenaci-roku-je-poledni-udel/ http://www.studentpoint.cz/236-starsi-clanky/3428-poledni-udel-nadherna-inscenace-o- lasce-nenavisti-k-zenam/#.T4XTJFsuxsg

297 Le titre est incorrect, la pièce est étudiée en 1937 pour la première fois.

141 http://www.ceskatelevize.cz/ivysilani/10396472867-ceny-alfreda-radoka-2011/

Protée (Proteus )298 Théâtre de chambre (Komorní divadlo) (Prague) date de représentation : le 1er octobre 1935, traduction : Jind řich Ho řejší 299 , mise en scène : František Salzer, décors et costumes : František Zelenka, musique : H. W. Süsskind

Nymfa Vrbi čka : Sv ětla Svozilová, Proteus : V. Řepa, Menelaos : V. Mayer, Helena Trojská : J. Skorkovská, Satyr Majordomus : V. Boček

[Jelínek, H.=Hanuš Jelínek=jv], Divadlo, Po čátek sezóny, Lumír (Prague), 62, n° 1, 1935/36, p. 61-68. Jelínek, H., [?], Europe centrale , n° 10, 1935, p. 650. Tetauer, Frank, Do nového období, Městské divadlo na Král. Vinohradech , 1935-36, II A 6/6 (salle d’étude du Département des Arts du spectacle du Musée national de Prague). [äg], Divadlo, Od slib ů k čin ům, Panorama (Prague), XIII, n° 9, novembre 1935, p. 130. [-ff-], Stálá divadla, MDP, Československé divadlo (Prague), XVIII, n° 10, le 20 octobre 1935, p. 152. [-kov-=Koval, Karel], Komorní divadlo na cest ě pokání, Venkov (Prague), le 3 octobre 1935, p. 6. [od], Novinky Komorního divadla, Lidové noviny , le 1er septembre 1935, p. 9. 300 [Ot.F.=Fischer, Ot.], Z pražské činohry, Lidové noviny (édition matinale, Brno), le 3 octobre 1935, p. 9. 301 [rk], Claudel v rozhlase, Lidové noviny , [?] septembre 1935, [?] [-vd-], Z pražských divadel, Rudé právo , le 4 octobre 1935, p. 4. [Non-signé], Literární cyklus v Komorním divadle, Venkov (Prague), le 14 septembre 1935, p. 5. [Non-signé], Proslov ředitele dra Bed řicha Jahna v Československém rozhlase, Divadlo za čne, Pražská m ěstská divadla , 1935-36, A 6/6, (document déposé aux archives du Département des arts du spectacle du Musée national de Prague). 302 [Non-signé], Zahájení literárního cyklu Komorního divadla Claudelovým Proteem, Pražská m ěstská divadla , 1935-36, A 6/6, (document déposé aux archives du Département des arts du spectacle du Musée national de Prague)..

Théâtre Disk (Disk) (Prague) 303 date de représentation : le 21 mai 1947, traduction : Arnošt Procházka, mise en scène : Ji ří Šotola, décors et costumes : Vladimír Šrámek, musique : František Kova říček

298 Première pièce du cycle littéraire (jouée tous les mardis, à partir du mois de septembre jusqu’au mars), jouée 9 fois. 299 Il s’agit de la seconde version de l’année 1926. 300 Une annonce. 301 L’article du 2 octobre, daté de Prague, Fischer aborde aussi la pièce dans l’article « Dramatik touhy » (voir LN du 21 septembre 1935, p. 9). 302 L’auteur résume la question du cycle de sept pièces intimes et d’avant-garde. 303 Il s’agit du spectacle des anciens élèves de 4ème année sur la scène de l’Atelier de l’Académie des Arts, la pièce fut étudiée sous la conduite de S. Neumann et F. Tröstr.

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La nymphe Brindosier : Z. Božínová

[er], Dv ě krásné Heleny, Rudé právo , le 23 mai 1947, p. 2.

Théâtre Labyrinthe (Labyrint) (Prague) 304 date de représentation : le 3 décembre 1992, première tchécoslovaque, traduction : Michal Láz ňovský et Tomáš Vondrovic, mise en scène : Ji ří Fréhar, décors et costumes : Eva Brodská, musique : Ji ří Cerha

La Nymphe Brindosier (Nymfa Proutnice) : Vanda Hybnerová, Ménélas (Meneálos) : Tomáš Pet řík, Protée (Próteus) : Ji ří Wohanka, Hélène (Helena) : Hana Doulová, Les Satyres et Phoques (Saty ři, Tuleni): C. K. Vocal

Hrabák, Martin, Claudel Satyrský, Telegraf , 1, n° 90, le 12 décembre 1992, p. 13. Kubí čková, Blanka, Tam uvnit ř Labyrintu, Mladý sv ět, 35, n° 3, le 15 janvier 1993, p. 60. Michalická, Jana, A až praskne celý sud, Markytko má, zdráva bu ď, Prostor , le 8 décembre 1992, p. 10. Mlejnek, Josef, Claudelova divadelní teodicea (a Próteus v Labyrintu), Sv ět a divadlo , 3, n° 9/10, 1992, p. 41-43. Mlejnek, Josef st., Próteus v Labyrintu, Český deník , 2, le 19 décembre 1992, p. 14. Poch, Ji ří, Z pražských premiér, P ředstavení první velikosti, Divadlo Labyrint, nebo Švandovo divadlo?, Reportér , 50/92, le 17 décembre 1992. 305 Polednová, Vlasta, Nymfy, polobozi a smrtelníci, Svobodné slovo , XLVIII, n° 296, le 17 décembre 1992, p. 7. [oba], Satyrskou komedii Próteus…, LN , 5, n° 302, le 24 décembre 1992, p. 5. [vš], Próteus aneb Malý žert velkého básníka, ZN , 3, n° 67, le 23 mars 1993, p. 6.

Théâtre Labyrinthe date de représentation : le 16 janvier 1995 306

Horký, Lud ěk, Poznáte nejkrásn ější ženu sv ěta? SS ( Svobodné slovo ?), le 16 février 1995, p. 8. Chobotová, Dagmar, P řed oponou – za oponou? Táborské listy , le 15 octobre 1996, [?]. Tichý, Zden ěk A., Lyrická fraska se satyry a tuleni, Mladá Fronta , le 18 janvier 1995, p. 19.

Le Soulier de Satin (Saténový st řeví ček )

304 Studio Labyrinthe. 305 Le titre de l’article fait allusion à la restitution du théâtre qui devait être rendu à sa propriétaire. 306 Il s’agit de la première renouvelée.

143 Théâtre national (Brno) 307 date de représentation : le 30 janvier 1993, première tchèque, traduction : Ji ří Kon ůpek, adaptation et mise en scène : Zden ěk Kalo č, adaptation : Václav Cejpek, décors et costumes : Jana Zbo řilová j.h., musique : Zden ěk Pololáník

Doležel, Pavel, Procházení řadou stvo řených v ěcí, Rovnost 3 (Brno), n° 52, le 4 mars 1993, p. 5. Ho řínek, Zden ěk, Tajemství saténového st řeví čku, Divadelní noviny 2, n° 6, le 20 mars 1993, p. 4. 308 Kříž, Ji ří P., O poko ře a o veliké touze, Mladá fronta Dnes (Jižní Morava), 4, n° 26, le 2 février 1993, p. 11. Pato čková, Jana, Zápas s Claudelem, Sv ět a divadlo , 4, n° 3, 1993, p. 6-17. Pokorná, Terezie, Zajímaví nejsme my sami, Literární noviny 7 (Prague), n° 28 (14), le 8 avril 1993, p. 14. Svobodová, Jana, O v ěcech saténových aneb konverzace pro pokro čilé, Moment , I, n° 7, le 29 mars 1993, p. 18, 20. Veselá, Ji řina, Spor duše s tělem, Lidové noviny (Brno), le 4 février 1993, p. 4. [rbl], Drama vášn ě a sv ědomí, Rovnost 3 (Brno), n°21, le 27 janvier 1993, p. 5.

Théâtre national (Národní divadlo) (Prague) 309 date de représentation : le 31 janvier 1993 310 , traduction : Ji ří Kon ůpek, adaptation et mise en scène : Roman Polák, décors : Ján Zavarský 311 , costumes : Peter Čanecký 312 , musique : Juraj Beneš

Le Père Jésuite (Otec jezuita) : Old řich Vl ček, Don Pélage (Don Pelagio) : Radovan Lukavský, Don Balthazar : Josef Vinklá ř, Do ňa Prouhèze : Libuše Šafránková, Don Camille (Don Camillo) : Miroslav Etzler, Do ňa Isabel (Do ňa Isabela): Hana Šev číková, Don Rodrigue (Don Rodrigo) : Boris Rösner, Le Chinois ( Číňan) : František N ěmec, Don Fernand : David Matásek, Do ňa Musique (Do ňa Muzika) : Barbara Kodetová, Do ňa Honoria : Blanka Bohdanová

Beránek, Václav, Paul Claudel, Saténový st řeví ček, Ndi ( Národní divadlo uvádí ), avril 1993, p. 18-19. Císa ř, Roman, Dramatické okolnosti Claudelova života a Saténového st řeví čku, Saténový st řeví ček, Programová brožura , Národní divadlo, Prague 1993, p. 52-56. Dušek, Václav, Maratón saténového st řeví čku, Rudé právo (Prague), le 11 février 1993, p. 7. Fuchs, Aleš, Polákov stvorhodinový Claudel, Javisko , n° 3, 1993, p. 32-33. Ho řínek, Zden ěk, Lidská srdce a sv ět, Lidové noviny (Prague), le 3 février 1993, p. 5.

307 Sur la scène du Théâtre de Mahen. 308 Dans ce journal, l’article a été publié pour la première fois, ensuite voir aussi Duchovní dimenze divadla aneb Vertikální p řesahy (Pražská scéna, Praha 2004, p. 143-147). 309 La première est remise du 29 au 31 janvier. Le spectacle reste au répertoire jusqu’au 29 novembre 1994 avec 25 représentations au total. 310 L’Institut de théâtre de Prague marque incorrectement la date de la première - le 29 janvier 1993. Le théâtre prévoyait une soixantaine de reprises. 311 Dans quelques documents signés Závarskij. 312 On trouve aussi la signature Čan ěcký.

144 Ho řínek, Zden ěk, O p řesahování aneb Tajemství Saténového st řeví čku, Duchovní dimenze divadla aneb Vertikální p řesahy , Pražská scéna, Prague 2004, p. 145-?. Ho řínek, Zden ěk, Redukce a plnost, Zamyšlení nad divadelní sezónou, Literární noviny , Prague, ro č. 4, č. 24, 17. 6. 1993, p. 11. 313 Ho řínek, Zden ěk, Tajemství saténového st řeví čku, Divadelní noviny , 2, n° 6, 1993, p. 4. Hrabák, Martin, Propasti rozumu a citu, Telegraf (Prague), n° 30, le 6 février 1993, p. 13. Jane čková, Milena, Claudel ův Satinový st řeví ček na první české scén ě, Český dialog (Prague), n° 9, 1993, [?]. Kříž, Ji ří P., O poko ře a o veliké touze, Mladá fronta Dnes , le 2 février 1993, p. 11. Lehuta, Emil, Slovenský režisér v Prahe už zahrani čnej, Práca (Bratislava), le 12 mai 1993, p. 7. Malé řová, Zuzana, Myšlienka spoji ť svet, Smena (Bratislava), le 11 janvier 1993, [?]. Mechalická, Jana, Rizikové povolání scénograf aneb Sádrový st řeví ček Jána Zavarského, Lidová demokracie (Prague), le 27 janvier 1993, [?]. 314 Paterová, Jana, Událost pražské divadelní sezóny na scén ě Národního divadla, Práce , le 10 février 1993, p. 7. Pato čková, Jana, Zápas s Claudelem, Sv ět a divadlo (SAD) (Prague), n° 3, 1993, p. 6-17. Pokorná, Terezie, Zajímaví nejsme my sami, Literární noviny (Prague), 4, n° 1?14, le 8 avril 1993, p. 14. Pokorný, Marek, Claudelovo chef ďoeuvre, Lidová demokracie , le 3 février 1993, [?]. Polednová, Vlasta, O inscenaci Claudelova Saténového st řeví čku s J. Rajmontem, Svobodné slovo , le 17 février 1993, [?]. 315 Prchalová, Radka, Studivý satén, Ve černík (Prague), le 4 février 1993, p. 6. Rázníková, Hana, Mystérium o lásce, Vlasta (Prague), le 29 février 1993, [?]. Strnad, Ji ří, Divadlo, Tvar (Prague), le 18 février 1993, [?]. Tichý, Zden ěk, Tóny Ďábelské i nebeské, PRO (Prague), 3, n° 10, les 4 et 10 mars 1993, p. 40. Trenský, Pavel, Poznámky k sezón ě Národního divadla 1992-1993, Sv ět a divadlo (Prague), n° 6, 1993, p. 76-82. Ťapajová, Elena, O hriešnej láske, Nové slovo bez rešpektu , n° 21, 1993, p. 17. Vl ček, Old řich, Rozhovor s Romanem Císa řem, dramaturgem činohry, o inscenaci Saténový st řeví ček v historické budov ě Národního divadla, Tvar (Prague), 4, n° 16, le 22 avril 1993, p. 6. 316 [im], Projekt sezóny, Paul Claudel v Národním divadle, Hospodárské noviny (Prague), le 1er février 1993, [?]. [ješ], Dva Saténové st řeví čky tvo ří kompletní pár, České a Moravskoslezské Zem ědělské noviny (Prague), le 30 janvier 1993, p. 3. [JLa], V ned ěli premiéra v Národním divadle, Čty řhodinový Saténový st řeví ček, Špígl (Prague), le 30 janvier 1993, p. 1, 4. [mich], Hostova čka aneb čty ři hodiny se saténem…, Expres (Prague), le 4 février 1993, [?].

313 L’article est consacré aussi à la pièce Les Possédés de Camus et à L’Avare de Molière. 314 Il s’agit de l’entretien qui a été éffectué à l’hôpital avec l’auteur du décor de la pièce après son grave accident. On y constate aussi que Claudel vit sa grande renaissance en 1993; on y cite aussi une nouvelle première de Christoph Colomb à Cheb, mais à dire vrai il s‘agissait de la pièce de Ghelderode. 315 L’entretien avec le chef de la troupe de théâtre. 316 L’entretien avec le dramaturge.

145 [-mpo-], Pozoruhodné naštudovanie neznámeho Claudela, Slováci v pražskou Národnom, Národná obroda (Bratislava), le 20 mars 1993, p. 6. [mt], Claudel ův Saténový st řeví ček poprvé na našich jevištích, Lidová demokracie (Prague), le 30 janvier 1993, [?]. [vš], Celý sv ět je scéna…a B ůh je její režisér, České a moravskoslezské zem ědělské noviny (Prague), le 17 février 1993, p. 6. [zat], Roman Polák, Optimismus ze dna, Ve černík (Prague), le 29 janvier 1993, [?]. [zat], Roman Polák, Optimismus ze dna, Mladá fronta Dnes (Prague), le 29 janvier 1993, p. 11? [Non-signé], Šepoty, Smena (Bratislava), le 18 janvier 1993, [?]. sous le titre Le Soulier de Satin ou le Pire n’est pas toujours sûr (Saténový st řeví ček aneb Nejhorší není vždy nejjist ější) (Prague) 317 date de représentation : le 28 octobre 2003, deuxième première le 2 novembre 2003 318 , traduction : Ji ří Kon ůpek, adaptation et mise en scène : Doubravka Svobodová, marionnettes : Vladimír Šatava, costumes : Milan Ježek

L’Annoncier (Hlasatel) : Jakub Škorpil, Le Père Jésuite, L’Ange Gardien : Vladimír Bodlák, Don Pélage, Le Roi d’Espagne : David Korecký, Don Balthazar, Don Ramiro : Ji ří Turek, Do ňa Prouhèze : Hana Šedová, Don Camille (Don Camillo) : Martin N ěmec, Do ňa Isabel, Do ňa Honoria : Kristýna Gerychová, Don Rodrigue : Ond řej Kope čný, Don Fernando, Almagro… : Robert Müller, Do ňa Musique, Do ňa Délices (Do ňa Rozkoš)… : Tereza Gebouská

317 Spectacle représenté par la Compagnie d’amateurs « P říšerné d ěti » sur la scène de l’Atelier du Théâtre « Divadla Na zábradlí » (place Anenské). Cette compagnie a été fondée par les élèves du lycée Boti čské en octobre 1985. Mais le nom de la compagnie ne naît qu’avec la première réalisation en 1986 et fonctionnait auprès du Théâtre de la rue Řeznická sous Doubravka Svobodová, depuis 1995 l’ensemble joue au Théâtre « Divadlo Na zábradlí », voir http://www.amaterskedivadlo.cz/main.php?data=soubor&id=8855. 318 La première représentation dans la saison 2003/2004. La dernière a eu lieu le 15 mai 2004, spectacle joué huit fois.

146 Répertoire des principales représentations sur la scène slovaque

(Cette liste a été effectué à partir du catalogue général de la Bibliothèque nationale slovaque et du livre Paul Claudel : Hry publié par l’Institut de théâtre de Bratislava en 2007, p. 596-599.)

L’Annonce faite à Marie (Zvestovanie) Théâtre de Spišská Nová Ves (Spišské divadlo) (Spišská Nová Ves) date de première représentation : le 17 décembre 1992, traduction : Ladislav Franek, mise en scène : Michal Spišák, en tant qu hote, décors et costumes : Vladimír Čáp

Violaine (Violena) : Marta Piczeková, Pierre de Craon (Peter de Craon) : Albín Medúz, La Mère (Matka) : Eva Zboinská, Anne Vercors : Štefan Labanc, Mara : Anna Vallová, Jacques Hury (Jakub Hury) : Milan Revaj

Lapšanský, Josef, Podobenstvo o človeku, Práca [?], le 12 janvier 1993, p. 7. Palkovi č, Pavol, Zvestovanie v Spišskom divadle, Slovenský denník [?], le 26 janvier 1993, p. 8.

(Zvestovanie Panne Márii) Radio Slovaque (Košice) date de diffusion : juin 1993, mise en ondes : Juraj Svoboda

Palkovi č, Pavol, Nerovný boj s Claudelom : Po čuli sme na rozhlasových vlnách, Práca , n° 140, le 18 juin 1993, p. 4.

L’Échange (Výmena) Théâtre « Astorka Korzo ´90 » de Bratislava (Divadlo Astorka Korzo ´90) (Bratislava) date de première représentation : le 21 février 1998, traduction : Michaela Jurovská, adaptation et mise en scène : Roman Polák, décors : Ján Zavarský, costumes : Simona Vachálková, musique : Juraj Beneš

Marthe : Silvia Šuvadová, Louis Laine : Branislav Matu čšin / Marek Majeský, Lechy Elbernon (Lechy Elbernonová) : Anna Javorková, Thomas Pollock Nageoire (Thomas Pollock Plutva) : Vladimír Černý

Grusková, Anna, A mohlo to byt´krásne…! : Polákov Claudel v bratislavskom Istropolise, Domino fórum 7, n° 12, 1998, p. 15. Inštitorisová, Dagmar, Rozprava vody a oh ňa, Javisko , n° 4, 1998, p. 12-13. Podmaková, Dagmar, Sympatická váše ň zla, Literárny týždenník 11, n° 11, le 12 mars 1998, p. 13. Subyllyová, L´ubica, Nel´ahkovážne zahrávanie s putom, Pravda [?], n° 54, le 6 mars 1998, p. 13. Šimková, So ňa, Claudelova Výmena po prvý raz na Slovensku, KULTÚRA 2, n° 14, le 7 avril 1999, p. 10. Uli čianska, Zuzana, Zakerná túžba po slobode: Sme, Smena , n° 53, le 5 mars 1998, p.8.

147 Uli čianska, Zuzana, Sydróm bielej farby; Divadlo v medzi čase 3, n° 3, 1998, p. 8.

Section littéraire de la Radio Slovaque à Bratislava (Literárna redakcia Slovenského rozhlasu v Bratislave) date de diffusion : le 2 janvier 2002, traduction : Michaela Jurovská, mise en ondes : Vladimír Rusko

Zdenka Gruberová, Viera Richterová, Karol Machata, Boris Farkaš, Jozef Šimonovi č

La Femme et son Ombre Télévision de Bratislava date de diffusion : 1971, musique : Cerepin

Jeanne d’Arc au bûcher (Jana z Arcu na hranici ) Philharmonie Slovaque de Bratislava (Slovenská filharmónia Bratislava) date de réalisation : les 25 et 26 février 1965, traduction : Jela Kr čméry-Vrtelová, mise en scène : Karol L. Zachar, chef d´orchestre : Ladislav Slovák

Jeanne d’Arc (Jana z Arcu) : Emília Vášáryová, Frère Dominik (Brat Dominik) : Gustáv Valach

Philharmonie Slovaque de Bratislava 319 date de représentation : les 19 et 20 février 1998, traduction : Jela Kr čmery-Vrtelová, mise en scène : Ján Zeman, chef d’orchestre : Ondrej Lenárd

Jeanne d’Arc : Anna Šišková, Frère Dominique : Marián Slovák

Bulla, Marián, Honeggerova Jana z Arku po rokach opä ť v Redute, Literárny týždenník , n° 10, 1998, p. 15. Javorský, Igor, Sviatok v Redut ě, Hudobný život 98 , n° 6, 1998, p. 6. Ursínyová, Terézia, Výzva pre divadlo : Jana z Arcu na hranici v Slovenskej filharmónii, Teatro , n° 4, 1998, p. 35-36.

Le Livre de Christophe Colomb (Krištof Kolumbus ) Théâtre marionettes d’État de Bratislava (Štátné bábkové divadlo Bratislava) date de représentation : 1991, adaptation, mise en scène : Ondrej Spišák, décors : František Lipták, Ivan Hudák (en tant qu’hote), costumes, marionnettes : Hana Cigánová

Christoph Colomb le vieux (Krištof Kolumbus I.) : Pavol Fejér, Christoph Colomb le jeune (Krišfof Kolumbus II.) : Andrej Pachinger, La Reine Isabelle (Izabela, španielska krá ľovná) : Marta Sádecká

319 Spectacle réalisé avec la collaboration de l’Institut français de Bratislava, avec les concours de l’Orchestre de la Philharmonie Slovaque.

148 Lehuta, Emil, Oklieštený Paul Claudel, Práca , le 9 avril 1991, p. 6. Rundes, Josef, Ako objavi ť Ameriku: O inscenácii K řištofa Kolumba v ŠBD s režisérom Ondrejom Spišákom, Pravda , n° 72, le 26 mars 1991, p. 7. Rusnák, Igor, Zem je len gu ľa na úpätí kríža? : Paul Claudel po prvý raz, Čas , le 10 avril 1991, p. 3. Vrbka, Stanislav, Predloha pre ve ľké divadlo : Claudelova Kniha o Krištofovi Kolumbovi v ŠBD, Národná obroda , le 24 avril 1991, p. 11. F-a., Krištof Kolumbus v bábkovom divadle, Hlas ľudu , le 11 mai 1991, p. 3. (psl.), Claudel ův Krištof Kolumbus v Bratislavském ŠBD, Československý loutká ř, XLI, n° 6, 1991, p. 141.

149 Répertoire des principales représentations dans le monde

(Le répertoire suivant ne peut pas prétendre à l’éxhaustivité en raison de l’étendue du sujet abordé et du temps limité de la recherche. Ce bilan doit être compris en tant qu’un premier essaie d’identifier et d’énumérer les principales mises en scène réalisées par les diverses compagnies professionnelles et même partiellement amateurs en France et dans différents pays du monde entier, sans oublier les lectures, les récitals et les réalisations dans le cadre des concerts. On renvoie aussi à quelques radiodiffusions et émissions de télévision. Nous espérons que cette liste va être utile aux chercheurs et fervents claudéliens. On espère qui va nous aider à créer l’image plus complète de la vie scénique des pièces claudéliennes non seulement en France mais aussi hors de la frontière française.

L’âme et le verbe 320 France Théâtre de la Butte (Cherbourg) date de représentation : le 13 novembre 2008, mise en scène : Nâzim Boudjenah

Céline Carrère, Mireille Herbstmeyer, Nâzim Boudjenah

L’Annonce faite à Marie Allemagne (Verkündigung, Mariä Verkündigung ) Neues Theater (Francfort-sur-le-Mein) 321 date de représentation : le 31 mars 1913, mise en scène : Aurélien Lugné-Poe

Violaine : Madame Lara reprise (Stadttheater de Strasbourg) date de représentation : le 2 avril 1913

Théâtre Jacques-Dalcroze, Festspielhaus (Hellerau bei )322 date de représentation : le 3 octobre 1913 (première en langue allemande), traduction et adaptation : Jakob Hegner, mise en scène : Paul Claudel, Wolf Dohrn, Alexander von Salzmann, décors : Adolphe Appia

Violäne (Violaine) : Eva Martersteig, Peter von Ulm (Pierre de Craon) : Karl Ebert, Elisabeth (La Mère) : Lisa Hohorst, Andreas (Anne Vercors) : Bruno Decarli, Mara (Mara) : Mary Dietrich, Jakobäus (Jacques Hury): Werner Lotz (Moissi?)

Binding, Rudolf G., [?], Frankfurter Zeitung , le 6 octobre 1913. Comert, P., L’Annonce faite à Marie, de M. Paul Claudel, à Hellerau, Le Temps , le 7 octobre 1913,

320 Spectacle réalisé d’après les écrits de Claudel et Rimbaud. 321 Spectacle présenté par le Théâtre de l’Œuvre dans le cadre des Frankfurter Kammerspiele, puis réalisé aussi dans plusieurs villes de la Rhénanie, joué en français. 322 Première représentation en langue allemande et même à l‘étranger.

150 Dohrn, W., Claudels Verkündigung in Hellerau, Claudel Programmbuch , Hellerau, 1913, p. 82. Düssel, Friedrich, [?], Westtermans Monatshefte , décembre 1913. Hart, J., Paul Claudels Verkündigung in Hellerau, Der Tag (Berlin), le 10 octobre 1913, Haas, Willy, Die Verkündigung und Paul Claudel, Der Brenner , 3. Jahr, H. 19, Innsbruck, le 1er jullier 1913. Kummer, F., Claudels Verkündigung, Dresdner Anzeigers , octobre 1913, Marten, Miloš, Claudelovo mysterium v Hellerau, Scéna , II, n° 3-4, 1913, p. 92-97. Micinski, Tadeusz, Tygodnik illustrowany , n° 43, 1913, [?]. Wendriner, Karl Georg, [?], Breslauer Zeitung , le 7 octobre 1913. Wollf, J. F., Claudel in Hellerau, Dresdner Neueste Nachrichten , le 7 octobre 1913, Zweig, S., Triumph der Kathedrale, März , nº VII, 1913, p. 418 (419?). [?], L’Annonce faite à Marie de M. Paul Claudel au Théâtre d’Hellerau, Comoedia , le 4 octobre 1913, [?]. [?], Sur le théâtre d’Hellerau, La Nouvelle Revue Française , septembre 1913, [?].

Théâtre universitaire (Cologne) date de représentation : 1917

Münchner Kammerspiele () date de représentation : le 19 novembre 1919 323 , mise en scène : Otto Falckenberg

Theater der Stadt (Mönchen-Gladbach) date de représentation : le 22 décembre 1927, mise en scène : Dr. Paul Legband, décors : Hellmuth Jürgens

Andreas Grandherz : Hans Brackebusch, Jakobäus : Rudolf Greving, Peter von Ulm : Volke Soetbeer, Die Mutter : Helene Westphal, Violäne : Eleonore Mendelssohn a. G., Mara : Herta Reiß

Schmid, F., [?], Westdeutschland Landeszeitung , le 23 décembre 1927, [?].

Théâtre d’Allenstein (Allenstein) date de représentation : avril 1931, mise en scène : Fritz Leo Liertz, décors : M. Bertz

Violaine : Mme Wodrich, Mara : Mme Klingstroem

Schauspielhaus (Nüremberg) date de représentation : avril 1932, mise en scène : Clemens Schubert, décors et costumes : Heinz Gretes

Violaine : Barbara Uth, Mara : Marianne Miersch, Pierre : Romane Merk

Bühnen der Stadt (Cologne) date de représentation : 1935, mise en scène : Doct. Alexandre Schum

323 D’après Andersen la première représentation se déroule le 13 novembre.

151 Stadttheater Rheydt date de représentation : 1946

Städtische Bühnen (Flensbourg) date de représentation : 1946

Bühnen der Stadt (Cologne), opéra, création mondiale date de représentation : le 4 avril 1948, traduction : Jakob Hegner, adaptation : Walter Braunfels, mise en scène : Alexander Schum, décors et costumes : T. G. Pilartz

Andreas Gradherz : Gerhard Gröschel, Die Mutter : Irmgard Gerz, Violaine : Trude Eipperle, Mara : Walburga Wegner, Jakobäus : Felix Knäpper, Peter von Ulm : Wilhelm Otto

Jarnach, W., [?], Zeitung unbekannt , [?].

Städtische Bühnen (Dortmund) date de représentation : le 18 décembre 1949, mise en scène : Herbert Junkers reprises? (Hall) date de représentation : décembre 1949

Städtische Bühnen (Münster) date de représentation : 1949, repirs 1951

Landesbühne (Hanovre) date de représentation : 1949

Städtische Bühnen (Flensbourg) date de représentation : 1949

Theater Der Stadt (Bonn) date de représentation : mars 1950, mise en scène : Karlheinz Gaspari reprise date de représentation : 1951 reprises? Stadttheater (Würzbourg) 324 date de représentation : 1951 325

Zimmertheater (Aachen) date de représentation: 1951

324 Alain Beretta cite encore les noms des autres théâtres : Theater der Stadt de Trèves, Stadttheater à Regensbourg, Theater der Stadt à Coblence, Intimes Theater à Göttingen, Grenzlandtheater à Aix-la-Chapelle, Städtebundtheater à Hof, Hessisches Landestheater à Darmstadt, Städtebundtheater à Landshut. 325 D’après Andersen la première réalisation se déroule en avril 1950.

152

Städtebund Theater (Hof) date de représentation : 1951

Städtische Bühnen (Augsbourg) date de représentation : 1951 nouvelle reprise date de représentation : 1954

Neues Theater Felkirch (Bayreuth) date de représentation : 1952

Städtische Bühnen (Gelsenkirchen) date de représentation : 1953

Theater der Stadt (Baden-Baden) date de représentation : 1954 326

Landestheater (Tübingen) date de représentation : 1954

Landestheater (Linz) date de représentation : 1954, mise en scène : Alfred Stegmüller reprise date de représentation : 1955

(Collège de Limburg) 327 date de représentation : 1955

[?], Limburger Neue Presse , le 23 décembre 1955, [?]. [?], Limburger Zeitung , le 4 décembre 1955, [?].

Zimmertheater (Heidelberg) date de représentation : 1956

Landestheater (Tübingen) Date de représentation: 1956

Freies Theater (Münich) date de représentation : 1957

Städtebundtheater (Lansdhut) date de représentation : 1957

326 D’après Andersen le 26 mars 1955. 327 Spectacle réalisé par les élèves.

153 Landesbühne (Bruchsall) date de représentation : 1958 Hessisches Staatstheater () date de représentation : avril 1958

[?], Neue Presse , le 6 juin 1958, [?]. [?], Wiesbadener Kurier , le 8 avril 1958, [?]. [?], Wiesbadener Tagblatt , le 8 avril 1958, [?].

Theater am Niederrhein (Cleves) date de représentation : le 5 mars 1959 reprises (Theater am Domhof, Osnabruck) (Neues Theater, Bad Kreuznach) (Pikkolo-Komödie, Wuppertal) (Städtisches Theater Münster)

Dramatugisches Institut (Düsseldorf) date de représentation : 1960

Stadttheater, Studio (Constance) date de représentation : le 30 septembre 1960

Bamberger Stadttheater (Bamberg) date de représentation : le 1er novembre 1960, mise en scène : Gerd Gutbier, décors et costumes : Domi Hahn a. G.

Andreas Grandherz : Günter Langenbeck, Jakobäus : Dietrich Straß, Peter von Ulm : Edgar Maschmann, Die Mutter : Theodora Porst-Blesch, Violäne : Claudia Losch a. G., Mara : Dana Dorer

[?], Fränkischer Tag , le 3 novembre 1960, [?]. [?], Volksblatt , le 3 novembre 1960, [?].

Theater in der Brenner Strasse (Münich) date de représentation : le 15 février 1961

Schauspielensemble (Cologne) date de représentation : le 28 novembre 1962

Zweites Deutsches Fernsehen (Hambourg) date de diffusion : le 18 décembre 1963, adaptation : Gerd Rösler, mise en ondes : Oswald Döpke, décors : Dieter Reinecke

Violäne : Maria Emo, Peter von Ulm : Karl Heinz Fiege, Mutter Elisabeth : Lina Carstens, Andreas Gradherz : Heinz Klevenow, Jakobäus : Günther Strack, Mara : Claudia Wedekind

154

[?], Az-Mainz , le 20 décembre 1963, [?]. [?], Feuerreiter , le 14 décembre 1963, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 23 décembre 1963, [?]. [?], Gong , le 15 décembre 1963, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 20 décembre 1963, [?]. [?], Nürnberger Nachrichten , le 20 décembre 1963, [?]. [?], Rheinische Post , le 20 décembre 1963, [?]. [?], Stuttgarter Nachrichten , le 20 décembre 1963, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 20 décembre 1963, [?]. reprise Date de l’émission : le 8 décembre 1965

Kongreshalle (Berlin) date de représentation : 1963, mise en scène : Ursula Zajonc

(Cologne) date de représentation : le 14 février 1964

Stadttheater (Klagenfurt) date de représentation : 1964

Diözesanspielschar (Stuttgart) Date de la tournée : 1964

Schauspielensemble de Cologne (Fribourg) date de représentation : mars 1966 reprises (Bocholt) (Séminaire de Passau)

Zweistes Deutsches Fernsehen, Télévision suisse allemande date de l’émission : le 19 mars 1967

Düsseldorfer Schauspielhaus (Düsseldorf) date de représentation : le 14 octobre 1967, mise en scène : Jean-Pierre Ponnelle

Andreas, der Vater : Otto Rouvel, Elisabeth : Gerda Maurus, Jacobus : Manfred Paethe, Peter von Ulm : Gunther Malzacher, Violäne : Veronika Bayer, Mara : Christiane Hammacher

Müller-Gast, Alfred, [?], NRZ an Rhein und Ruhr , le 17 octobre 1967, [?]. Wohlgemuth, Johann, [?], Westfälische Rundschau , le 17 octobre 1967, [?].

Kurtheater (Garmisch-Partenkirchen) date de représentation : le 5 décembre 1967, mise en scène : Fritz Rohrbeck

155

Radio Berne date de diffusion : le 25 décembre 1967 reprise date de diffusion : 1969

Schauspielhaus Düsseldorf date de représentation : 1968, mise en scène : Jean-Pierre Ponnelle, décors et costumes : Jean Pierre Ponnelle

Violaine : Veronika Bayer, Peter von Ulm : Gunther Malzacher, Elisabeth : Gerda Maurus, Andreas Grandherz : Otto Rouvel, Mara : Christiane Hammacher, Jakobäus : Manfred Pacthe

[?], Düsseldorger Nachrichten , [?]. [?], Kirchenzeitung für das Erzbistum Köln , [?]. [?], Neue Ruhr Zeitung , [?]. [?], Rheinische Post , [?]. [?], Ruhrnachrichten , le 17 décembre 1967, [?].

Stadttheater de Constance (Constance) date de représentation : le 20 mars 1975

Theater der Stadt (Coblence) date de représentation : 1976

Télévision allemande (Cologne) date de l’émission : le 4 avril 1982

Argentine Théâtre Odéon (Buenos Aires) date de représentation : 1940, mise en scène : René Rocher

(Théâtre Atenéo, Buenos Aires), v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : septembre 1942, mise en scène : Louis Jouvet reprises (Hôtel Alvear) 328 date de représentation : 1942 (Mendoza, Théâtre Independencia) date de représentation : 1942

328 Après un grand incendie qui a détruit les maquettes du décor, le spectacle a été donné dans cet hôtel.

156 Télévision argentine 329 date de diffusion : 1961 Australie « Edouard Grantham’s Singers of Saint Cecilia » (Sydney), projet d’opéra date de représentation : 1980, adaptation : Adouard Grantham

Autriche Wiener Volksbühne (Vienne) date de représentation : le 27 330 février 1918, traduction : Jacob Hegner, mise en scène : Herbert Ihering, Décors : Hoenig, Musique: Julius Bittner

Peter von Ulm (Pierre de Craon) : Fritz Kortner, Jakobäus : Wilhelm Momber, Violäne : Agens Strub, Mara : Lily Karoly

Akademietheater Karlsruhe, Kammertheater Überlingen, Stadttheater (Vienne) date de représentation : le 20 octobre 1948, mise en scène : Josef Friedrich Fuchs a. G., décors : Emil Pirchan, costumes : Christiane Reuther, musique : Hans Trotzauer

Andrea Vercors: Hans Marr, Jacques: Oskar Werner, Pierre de Craon: Fred Liewehr, Die Mutter: Hedwig Blibtreu, Violaine: Solveig Thomas, Mara: Beatrix Degenschild

Holzer, Rudolf, Die Presse , Morgenblatt, le 22 octobre 1948, [?]. Tassiée, Franz, Weltpresse , le 22 octobre 1948, [?]. [?], Wiener Kurier , le 22 octobre 1948, [?]. [?], Wiener Zeitung , le 20 octobre 1948, [?].

Landestheater (Linz) date de représentation : décembre 1955, mise en scène : Alfred Stogmuller

Vereinigte Bühnen (Graz) date de représentation : 1957 reprise (Grazer Schauspiel) date de représentation : février 1958

[?], Die Furche , le 19 avril 1958, [?]. [?], Kleine Zeitung , le 15 mars 1958, [?]. [?], Neue Zeit , le 8 février 1958, [?]. [?], Südost Tagespost , le 8 février 1958, [?].

Studenten Theater (Vienne) date de représentation : 1961

329 Diffusé en espagnol avec une autre pièce, Le Pain dur . 330 Landau donne la date du 28 février 1918, voir Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen , p. 61.

157

Klagenfurter Stadttheater (Klagenfurth) date de représentation : décembre 1964 [?], Express , le 24 février 1965, [?]. [?], Kleine Zeitung , le 2 décembre 1964, [?]. [?], Neues Oesterreich , le 25 février 1965, [?]. [?], Salzburger Volksblatt , le 6 avril 1965, [?]. [?], Volkszeitung , le 2 décembre 1964, [?].

Akademietheater (Vienne) 331 date de représentation : le 23 février 1965

Théâtre des étudiants (Linz) date de représentation : 1966

Radio Vienne date de diffusion : le 17 mai 1975, en langue allemande

Cathédrale Saint Maurice (Vienne) 332 date de représentation : le 10 juin 1977, mise en scène : Pierre Casari, orgues : Joseph Reveyron

? Max Roire, André Maurier, Pierre Casari, Suzanne Chavance, Geneviève Carlen, Meiryem Calarié

[?], Lyon-Poche , 273, 274, [?]. [?], Résonnance , 157, [?].

Belgique (Bruxelles) date de représentation : le 25 février 1913 333

Théâtre Royal (Liège) date de représentation : décembre 1919 334

Nouveau Théâtre (Anvers) date de représentation : le 10 décembre 1927 335

Vlamsche Volkstooneel ( De Boodschap aan Maria ) 336

331 Donné par la troupe de Klagenfurt, ensuite joué à Innsbruck, Graz, Linz et à Salzbourg. 332 Présenté dans le cadre d’un festival dans la Cathédrale St. Maurice. 333 Première réalisation étrangère, adaptée par le Théâtre de l’Œuvre de Lugné-Poe. 334 Dans la mise en scène de Lugné-Poe. Martin-Schmits ajoute le mois de janvier 1920. 335 Dans la mise en scène de Lugné-Poe.

158 date de représentation : hiver 1927, traduction : Hein Boeken, mise en scène : Johan de Meester, décors et costumes : René Moulaert, musique : Karel Albert

Mme Demoor, M. de Meester reprise : (Théâtre populaire flamande, Salle Patria, Bruxelles) 337 date de représentation : le 13 janvier 1928 338

Equipe A (salle Saint-Julienne, Verviers), première version date de représentation : le 29 décembre 1929, mise en scène : Oscar Lejeune et Georges Delhougne, décors : Laurent-Léon Herve

Violaine : Lucienne Viance, Pierre de Craon : Georges Delhougne, La Mère : Cécile Viance, Anne Vercors : G. Wintgens, Mara : E. Schwachhofer, Jacques Hury : W. Labaye

La Caravelle (Palais des Beaux-Arts, Bruxelles) 339 , concert date de représentation : le 22 janvier 1934, 340 mise en scène : Paul Collaer, décors : Irène Vander Linden, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Arthur Prévost

Violaine : Andrée-Claire Jacques, Mara : Madeleine Barrès

Collaer, Paul, Une nouvelle œuvre de Darius Milhaud – La musique de L’Annonce faite à Marie, Les Beaux-Arts , n° 108, le 12 janvier 1934, p. 4. 341 P. [Paul] Werrie, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel joué par la Caravelle, Le XXe siècle , le 11 février 1933, [?]. [Non-signé], Les Beaux-Arts , n° 110, le 26 janvier 1934, [?].

Théâtre Populaire Flamand date de représentation : 1934, mise en scène : René Noulaert

Théâtre du Parc (Bruxelles) date de représentation : le 16 mars 1937 342 , mise en scène : André Gobert, décors : L. Ch. Crespin, musique : Darius Milhaud, études musicales : Paul Collaer, chef d’orchestre : Arthur Prévost

336 Il s’agit de la première mise en scène en flamand et présentée dans plusieurs villes et villages de Flandre. 337 Présenté ensuite à Anvers, Gand mais aussi dans d’autres villes et villages du pays flamand. 338 Dans la mise en scène de Lugné-Poe. 339 Présenté par la Troupe de la Caravelle. Avec la collaboration de l’Orchestre Pro Arte, sous la direction d’Arthur Prévost. 340 Comme on peut le lire dans le livre Paul Claudel et la Belgique (tome I, p. 458), le metteur en scène mentionne comme date de la première le 21 janvier. Ensuite la pièce est aussi présentée le 23 janvier. 341 Annonce de presse. 342 Le spectacle de cette soirée a été aussi radiodiffusée par l’Institut National de Radiodiffusion et ensuite mise en ondes par Radio-Paris, Bordeaux, Nice et Montpellier.

159 Violaine : Michèle Alfa, Pierre de Craon : Pierre Morin, La Mère : Renée Beaufre, Anne Vercors : Fernand Morenne, Mara : Madeleine Barrès, Jacques Hury : André Berger

Colard, A., Un quart d’heure avec Jean Meer – C’est au directeur musical de Radio Catholique Belge qu’est due l’initiative de l’hommage à Paul Claudel, Le XXe siècle , mars 1937, [?]. 343 Lejeune, Honoré, Au Parc – L’Annonce faite à Marie, Bruxelles-Théâtre 37 , Nautet-Hans, Verviers, p. 120-123. Werrie, Paul, Les Spectacles – L’Annonce faite à Marie, La Revue générale , tome 137, avril 1937, p. 519-23 ; l’article repris aussi dans Théâtre de la fuite , Les Ecrits, Bruxelles- Paris, 1943, p. 9-13. [Non-signé], Au théâtre du Parc – Hommage à Paul Claudel – L’Annonce faite à Marie, Le XXe siècle , mars 1937, [?].

Théâtre du Parc date de représentation : 1943 344 , mise en scène : De Meester

Werrie, Paul, « L’Annonce faite à Marie » au théâtre du Parc. Un mot de réponse à M. Henri de Montherlant, Cassandre , le 28 février 1943 (p. 19-21) 345 .

(Bruxelles) 346 date de représentation : le 18 avril 1946, traduction : Hein Bœken, musique : Darius Milhaud, direction musicale : Paul Collaer

Studio de la radio (Bruxelles) 347 date de diffusion : le 23 décembre 1948

Violaine : Yvonne Garden, Pierre de Craon : Henri Billen, La Mère : Eve Francis, Anne Vercors : André Berger, Mara : Carmen Duparc, Jacques Hury : Georges Génicot

[?], Micro-Magazine , n° 193, le 19 décembre 1948, p. 2. 348

Théâtre Hébertot 349 date de représentation : 1950 – 1951, mise en scène : Jean Vernier

Émission parlée date de représentation : le 25 décembre 1951 350 , traduction : Hein Bœken, mise en scène : Frans Roggen et Robert Bernaerd

343 Annonce de presse. 344 La pièce est présentée sous la direction de Johan De Meester dans les campagnes flamandes par le Vlaamsche Volkstooneel dans les années 30-35. 345 Entre parenthèses, on cite toujours les pages d’après les côtes du Département des arts du Spectacle de la Bibliothèque nationale de Paris. 346 Concert public. 347 À vrai dire de Martin-Schmets, il s’agissait d’une adaptation radiophonique de Carmen Duparc. 348 Annonce de presse. 349 Tournée en Belgique, Hollande et Luxembourg.

160

Spectacles d’Art (Hasselt) date de représentation : février 1952, mise en scène : Paule Dockx

Théâtre du Gymnase (Liège) date de représentation : novembre 1954, mise en scène : Pierre Liote, musique : Maria Scibor

Violaine : Arlette Biernaux

Palais des Beaux-Arts (Bruxelles) 351 date de représentation : le 21 février 1956, en flamand, traduction : Hein Bœken, mise en scène : Frans Roggen, direction musicale : Pieter Leemans

[?], Gazet van Antzerpen , le 23 février 1956, [?]. [?], Het Nieuwsblad , le 24 février 1956, [?]. [?], Het Volk , le 23 février 1956, [?]. [?], Nieuwe Gids , le 23 février 1956, [?]. [?], De Periscoop , le 1er avril 1956, [?].

Télévision flamande date de diffusion : le 22 avril 1960, traduction : Ben Royaards, mise en scène : Mauritz Balfoort, musique : Darius Milhaud

(Royaumont) 352 date de représentation : le 27 mai 1962, direction musicale : Léon Barzin

Théâtre des Galeries (Bruxelles) 353 date de représentation : le 26 mars 1963, mise en scène : Pierre Franck

4Sw 188 354 Jans, Adrien, L’Annonce faite à Marie en présence du Roi et de la Reine, Le Soir , le 28 mars 1963 (p.52). - P., Galeries, « L’Annonce faite à Marie », Dernière heure, 25 mars 1963 (p. 51). - R.P., Les spectacles à Bruxelles, Théâtre des Galeries « L’Annonce faite à Marie » (Soirées Françaises), La dernière heure, le 26 mars 1963 (p. 51).

Radio Télévision belge date de diffusion : le 22 février 1964 Arrangement : Carmen Duparc

350 En flamand. 351 En flamand. 352 Concert à l’occasion des 70 ans de Milhaud effectué à partir des textes de Claudel, tels que L’Annonce faite à Marie , La Cantate des Deux Cités , le Cantique du Rhône , Pan et la Syrinx . Concert fut retransmis le 15 juillet sur France III. 353 Tournée Herbert du spectacle créé en 1961 à Paris, présenté même à Namur et autres villages. 354 Numéro de la côte.

161

Théâtre Royal du Gymnase (Liège) date de représentation : le 7 mars 1964 355 mise en scène : Paul Libon

Théâtre des Galeries (Bruxelles) 356 date de représentation : décembre 1964 mise en scène : Vanderic et Gérard Vivane décors : Jacques Joël 4Sw 7986 - R. P., L’annonce faite à Marie, La Dernière Heure , le 20 novembre 1964 (p. 5). Tordeur, Jean, L’Annonce faite à Marie. Un nouveau ton de vérité..., Le Soir , le 20 novembre 1964 (p. 3).

Palais des Beaux-Arts (Bruxelles) 357 date de représentation : février 1965

4 Sw 10807 (4) - B., Hommage à Paul Claudel, Dernière Heure (Bruxelles), le 4 février 1965 (p. 3) ; L’Eventail (Bruxelles), le 12 février 1965 (p.3). Cattaui, Georges: Le drame de Paul Claudel, Tribune de Genève , le 20 février 1965 (p. 19). Greindl, Denyses, Tête-à-tête avec Jean-Louis Barrault, L’Eventail (Bruxelles), le 5 février 1965 (p. 15). LL., Hommage à Paul Claudel, L’Eventail (Bruxelles), le 5 février 1965 (p. 5). [Non-signé], Au palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Le Figaro , le 4 février 1965 (p. 12) ; L’Espoir (Nice) 3 février 1965 [Non-signé], Hommage à Claudel, L’Indépendant du Louhannais du Jura Louhans , le 6 février 1965 (p. 5). [Non-signé], L’ambassadeur Paul Claudel, Miroir de l’Histoire , février 1965 (p. 65). [Non-signé], Paul Claudel et ses interprètes ont été à l’honneur Madeleine Renaud décorée, La Depeche du Midi (Toulouse), le 3 février 1965, L’Echo ; La Liberté (Lyon), le 4 février 1965 ; La Montagne (Clermont-Ferrand) le 4 février 1965 (p. 11).

R.T.B. (Bruxelles) date de diffusion : février 1965, adaptation radiophonique : Carmen Duparc, mise en ondes : Georges Génicot

4 Sw 10807 (4) [Non-signé], Dixième anniversaire de la mort de Paul Claudel, La Libre belgique (Bruxelles), le 22 février 1965 (p. 21).

355 Spectacle ensuite présenté les 8, 9, et 12 mars. 356 Ensuite présenté à Anvers et à Namur et au Théâtre Montansier de Versailles (le 27 novembre). 357 Dans la production de la Compagnie Renaud-Barrault organisée dans le cadre du 10e anniversaire de la mort de Claudel, récital des poèmes par Madeleine Renaud et récital d’extraits du Soulier de Satin et du Partage de midi par Edwige Feuillère, Geneviève Page, Jean-Louis Barrault et Samy Frey. En présence du roi Baudoin et de la reine Fabiola.

162 Radio Bruxelles date de diffusion : le 27 décembre 1965, mise en ondes : Georges Génicot

Pierre de Craon : Jean Nergal

Institut de l’Enfant-Jésus (Bruxelles) date de représentation : janvier 1967, mise en scène : Paule Dockx

Théâtre de l’Alliance date de représentation : 1968

Télévision flamande 358 date de diffusion : le 24 décembre 1970, traduction : Rose Gronon, réalisation : Yvonne Lex

Violaine : Marilou Mermans, Pierre de Craon : Ton Lensink, La Mère : Gella Allaert, Anne Vercors : Gaston Vander, Mara : Lieve Moorthaemers, Jacques Hury : Rik van Huffelen

Compagnie Charles Martique (Théâtre d’Art, Bruxelles) 359 date de représentation : le 9 octobre 1975, mise en scène : Charles Martigue

4 Sw 7986 M. Ef., A l’église Notre-Dame du Sablon L’annonce faite à Marie, La Libre Belgique , le 15 octobre 1975 (p. 47). [Non-signé], Claudel au Sablon, La Libre Belgique , le 23 septembre 1975 (p. 45). reprise (Couvent des Dominicains, Bruxelles) 360 date de représentation : le 9 décembre 1975

[Non-signé], Le Théâtre d’art chez les Dominicains, La Libre Belgique , le 29 novembre 1975 (p. 49).

(Centre théâtral de Walonie) date de représentation : décembre 1975

Théâtre Molière (Bruxelles) 361 date de représentation : le 10 janvier 1980, mise en scène : Jacques Joël

Violaine : Lidia Zainski, Pierre de Craon : Ciaude Vignot, La Mère : Irène Laurent, Anne Vercors : Ralph Darbo, Mara : Georgia Valmont, Jacques Hury : Alain Gilles

358 Diffusion du Théâtre royal de Bruxelles. 359 Dans le cadre des festivités organisées au Sablon joué dans l’Église Notre-Dame des Victoires. Les représentations suivantes : les 10, 15, 16 et 17 octobre (à Bruxelles, Hannut et Antheit et dans diverses églises). En français. 360 Avec la collaboration des Cordes Mosanes. 361 Par la Compagnie du Théâtre des Galeries.

163

Palais des Beaux Arts (Bruxelles) 362 date de représentation : le 17 février 1981, mise en scène : Pierre Franck

Neerwinden 363 date de représentation : mars 1989, traduction : Ben Royaerts, mise en scène : André Loriers

Théâtre de Banlieu (Bruxelles) date de représentation : le 13 décembre 1989 364 , mise en scène : Frédéric Dussenne 365 reprises (Festival de SPA) 366 date de représentation : le 15 août 1990 (Namur) date de représentation : février 1991 (Bruxelles) date de représentation : mars 1991 (Dinant) date de représentation : mars 1991 (Bertrix) date de représentation : 1992 (Tournai) date de représentation : 1992 (Roubaix) date de représentation : 1992 (Charleroi) date de représentation : 1992 (Arlon) date de représentation : 1992

(Limbourg) 367 date de représentation : le 14 août 1990, mise en scène : Guy Bréban

Violaine : Annemarie Renwart, Pierre de Craon : François Rosmeulen, Elisabeth : Idaline Vandeweyer, Anne Vercors : Harry Plessers, Mara : Sigrun Jorissen, Jacques Hury : Johan Gerits

Boly, Joseph, De Boodschap aan Maria (L’Annonce faite à Marie en néerlandais), Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 121, Paris 1991, p. 26.

Théâtre de la Place (Liège) 368

362 Tournée Baret à travers Bruxelles et autres villes. 363 Par les Gezellen van Haspengouw, en néerlandais. 364 Tourné à Bertrix, Tournai, Roubaix, Charleroi à Arlon. 365 Par l’Atelier de l’Échange. 366 Présenté en français. 367 Spectacle donné en plein air en langue néerlandaise ; en salle repris en janvier 1991. 368 Par la Compagnie du Théâtre du Groupov de Liège.

164 date de représentation : février 1991, mise en scène : Jacques Delcuvellerie

Boly, Jacques, L’Annonce faite à Marie à Liège..., Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 122, Paris 1991, p. 25. reprise (Théâtre Varia, Bruxelles) date de représentation : le 26 mars 1992 sous le titre De Boodschap aan Maria Vlaamsche Volkstooneel (Bruxelles et privince flamande) 369 date de représentation : saison 1927-1928, traduction : Hein Boeken, mise en scène : Johan De Meester, décors : René Moulaert, musique : Karel Albert

Violaine : Yonnie Selma, Pierre de Craon : Johan De Meester, La Mère : Emerence De Moor, Anne Vercors : Jan Plaat, Mara : Tilly Van Speybroeck, Jacques Hury : Staf Bruggen 370

Coune, Léon, Le Vlaamse Volkstooneel à Liège, La Scène , 2 e année, n° 15, mai 1929, p. 111-2. H. H., Het Vlaamse Volkstoneel : [...] De Boodschap aan Maria, van Paul Claudel, Opbouwen , 1ère année, 1928-1929, p. 97. Poupeye, Camille, Brussel – Vl.[aamsche] Volkstooneel. [...] De Boodschap aan Maria, van Paul Claudel, Toneelgids , 14 e année, n° 1-2, janvier-février 1928, p. 13-4. Putman, Willem, De Boodschap aan Maria van Paul Claudel, Willem Putman, Tooneeldagboek 1928-1938 , Globus-Uitgaven Antwerpen 1938, p. 24-30. reprise (Salle Patria, Liège) date de représentation : le 28 avril 1929

Brésil Teatro municipal de Rio de Janeiro (Rio de Janeiro) 371 date de représentation : le 19 juin 1942, mise en scène : Louis Jouvet, décors : Christian Bérard a Edouardo Anahory, costumes : Christian Bérard a Ana-Iñes Carcano, musique : Renzo Massarani

369 Le texte du programme a repris le texte de l’article « De symboliek in Claudel’s Maria boodschap » d‘Ellen Russe qu’elle l‘a publié dans Toonelgids , n° 11-12, 1927, p. 281-4. 370 Dans les souvenirs de Johan de Meester cet acteur était la « vedette de la troupe », qui « déchaînait les applaudissements quand il entrait en scène. » (Cf. Martin-Schmets, V., Paul Claudel et la Belgique , p. 434.) 371 Il s’agissait d’une tournée de la Compagnie de Jouvet en Amérique du Sud dans la saison 1941-1942, ensuite présenté au théâtre de l’Athénée (le 11 juin 1946) et au Grand-Théâtre de Genève.

165 Jacques Hury : Régis Outin Violaine : Madeleine Ozeray, Pierre de Craon : Stéphane Audel, La Mère : Henriette Risner-Morineau 372 , Anne Vercors : Louis Jouvet, Mara : Wanda Kérien reprises (Teatro municipal, Saô Paulo) date de représentation : 1942 (Buenos Aires), v. Argentine, Théâtre Ateneo date de représentation : 1942 (Montevideo), v. Uruguay, Estudio Auditorio date de représentation : 1942 (Mendoza), v. Argentine, Théâtre Independancia date de représentation : 1942 (Santiano du Chili), v. Chili, Théâtre municipal date de représentation : 1942 (Viña del Mar), v. Chili date de représentation : 1942 (Lima), v. Pérou, Théâtre municipal date de représentation : 1943

Violaine : Monique Mélinand, La Mère : Annie Cariel

(Bogota), v. Colombie, Théâtre de Colon date de représentation : 1943 (Medellin), v. Colombie, Théâtre Bolivar date de représentation : 1943 (Caracas), v. Venezuela, Théâtre municipal date de représentation : 1943 (La Havana, v. Cuba, Théâtre Auditorium date de représentation : 1943 (Port-au-Prince), v. Haiti, Théâtre Rex date de représentation : 1943 (Mexico), v. Méxique, Palacio de Bellas Artes date de représentation : 1944

Pierre de Craon : Jacques-Michel Clancy, La Mère : Annie Cariel, Anne Vercors : Louis Jouvet, Jacques Hury : Léo Lapara

(Guadalajara), v. Méxique, Théâtre Degellado date de représentation : 1944 (Fort-au-France), v. Martinique, Théâtre municipal date de représentation : 1944 (Basse-Terre), v. Guadeloupe, Théâtre d’Arbaud date de représentation : 1944 (Paris), v. France, Théâtre de l´Athénée date de représentation : le 11 juin 1946

372 Elle décède à Santiago-du-Chili.

166

Pierre de Craon : Jean Dalmain, La Mère : Suzanne Courtal

(Genève), v. Suisse, Grand Théâtre date de représentaiton : le 3 septembre 1946

Théâtre de Goiánia date de représentation : 1960

Canada

Church of the Messiah (Montreal) date de représentation : le 26 mars 1939, 373 mise en scène : Eric Stangroom, musique : George M. Brewer

[?], The Standard (Montreal), le 25 mars 1939, [?]. 374

Télévision canadienne 375 date de diffusion : 1961

Trétaux de Paris 376 date de représentation : novembre 1965

Violaine : Danielle Delorme

4 Sw 7986 [Non-signé], La toupe du..., Le Monde , le 21 février 1965 (p. 13).

Théâtre expérimental de femmes (Montréal) 377 date de représentation : mai-juin 1989

Colombie (Théâtre Colon, Bogota), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : le 30 mars 1943

(Medellin), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : 1943

373 Joué jusqu’au 2 avril 1939. 374 Publication d’une photographie. 375 Diffusé avec l’autre texte - le Partage de midi . 376 Cette troupe a organisé aussi une tournée de trois mois à travers les universités américaines. 377 Par le Théâtre expérimental des femmes.

167 Côte d’Ivoire (Abidjan) 378 date de représentation : automne 1977, mise en scène : Pierre Casari

Cuba (Théâtre Auditorium , La Havane), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : 1943

Danemark Théâtre Betty Nansen (Copenhague) date de représentation : automne 1919

Radio danoise date de diffusion : octobre 1981

Egypte (Le Caire) 379 date de représentation : 1947

Espagne (La Annunciation a Maria) date de représentation : 1941 380 , reprise, v. msc. Eve Francis, Lyon, 1940

(Barcelone) date de représentation : 1955

Palacio de la Musica (Barcelone) 381 date de représentation : le 7 mars 1956, traduction : J. Olivier et F. Canyameres, mise en scène : Montserrat Julio

Foyer culturel de l´Ateneo de Madrid 382 date de lecture : le 19 mars 1965

Télévision espagnole date de diffusion : 1966

Radio Peninsular (Barcelone)

378 Il s’agit de la tournée du spectacle créé à Lyon. 379 Par la troupe Marchat, présenté même à Alexandrie. 380 Tournée. 381 Par La Agrupacion Dramatica de Barcelone, en langue catalane. 382 Lecture de plusieurs scènes des pièces suivantes : L’Otage , L’Annonce faite à Marie et Le Soulier de Satin , organisé dans le cadre d’une conférence de Juan Guerrero Zamora.

168 date de diffusion : le 25 décembre 1971, adaptation : Miguel Bernury

Théâtre Prado (Barcelone) 383 date de représentation : le 16 février 1975, mise en scène : Joan Toldra

1ère chaîne ddate de l’émission : le 11 avril 1979, réalisation : Luis Enciso

Estonie (Tallinn) date de représentation : décembre 1988 384 , traduction : Tonu Onnepalu, mise en scène : Adres Hoormets États-Unis (The Tidings brought to Mary )

Little Cornish Theatre (Seattle) date de représentation : 1921, traduction : Louise Morgan Sill, mise en scène : Maurice Browne

[?], Drama (Chicago), mars 1922, p. 200. Garrick Theatre (New York) 385 date de représentation : le 25 décembre 1922, mise en scène : Theodor Komisarjevski, décors : Theodor Komisarjevski et Lee Simonson

Violaine : Jeanne de Cazalis, Pierre : Ch. Francis, Mara : Mary Fowler, Jacques : Percy Waram

Lewisohn, L., [?], The Nation , le 24 janvier 1923, [?]. [?], Daily News, le 28 décembre 1922, [?]. [?], Globe , le 26 décembre 1922, [?]. [?], New York Herald , le 25 décembre 1922, [?]. [?], New Republic , le 10 janvier 1923, [?]. [?], New York Times , le 26 décembre 1922, [?]. [?], Sun , le 26 décembre 1922, [?]. [?], Telegraph , le 27 décembre 1922, [?]. [?], Theatre Arts , VII, nº 2, avril 1923, p. 99-100, 104-105 (photos). [?], Theatre Magazine , mars 1923, [?]. [?], Vogue , le 1er mars 1923, [?]. 386

Théâtre d’Art (San Francisco) date de représentation : le 26 décembre 1927, 387 mise en scène : André Ferrier

383 Par le Grup Teatral E. P. M. d’El Vendrell. 384 Réalisé par les étudiants dans une église de la ville. 385 Spectacle joué jusqu’en janvier 1923, réalisé par le compagnie „The Theatre Guild“. 386 Publication des photographies. 387 Joué jusqu’au 31 décembre de la même année.

169 Violaine : I. Bietry, Pierre : André Ferrier

Carnegie Institute of Technology (Pittsburgh) date de représentation : 1928, décors et costumes : E. Martin-Browne

E.M.B., [?], Drama Critique , IV, nº 1, février 1961, p. 31-37. [?], Theatre Arts , XII, nº 9, septembre 1928, p. 636.

(Goodman Theatre , Chicago) ? date de représentation : octobre 1928, mise en scène : George Cauvet

Ferrier’s Theatre of Art (San Francisco) 388 date de représentation : mai 1928 389 , mise en scène : André Ferrier, décors : Simeon Pelenc Violaine : Irène Biétry, Pierre de Crâon : André Ferrie, La Mère : Georgette Szoke, Anne Vercors : Georges Simondet, Mara : Jeanne G. Ferrier, Jacques Hury : Léon Harraut

Alliance Française 390 date de lecture : 1928-1929

Lecture : M. Mespoulet

Hunter College (New York City) 391 date de représentation : 1929 ou 1932?

(?) date de représentation : le 24 décembre 1929 392

Goodman Theatre (Chicago) 393 date de représentation : le 7 décembre 1931 394 , mise en scène : Maurice Gnesin, décors et costumes : V. Roediger

Rosary College date de représentation : 1939, mise en scène : David Itkin

Barbizon Plaza Theatre (New York) Date de représentation : le 20 mai 1942

Violaine : Ludmilla Pitoëff, Pierre, Jacques : Youl Bryner, Mara : Varvara Pitoëff, The Mayor (Le maire) : Pierre Claudel, Apprentice (L’apprenti) : Georges Pitoëff fils

388 En français. 389 D’après Fabaret le spectacle est réalisé en décembre 1927 déjà. 390 Lecture aussi de Claudels Gallery of Saints. 391 Il s’agissait de l’initiative de l’ami de Claudel et du fondateur du Lycée Français, Ch. de Fontnouvelle. 392 La représentation non-identifiée, citéé dans le Journal , I, p. 894 et reprise par Labriolle, Claudel and the English-speaking world … , p. 67. 393 Une illustration publiée in Theatre Arts , XVI, nº 7, juillet 1932, p. 582. 394 Présenté jusqu’au 10 décembre.

170

[?], New York Times , le 21 mai 1942, [?]. 395

The Art Institute, Goodman Memorial Theatre (Chicago) date de représentation : le 2 décembre 1943, 396 mise en scène : Maurice Gnesin, décors et costumes : Blair von Albrecht

Violaine : Marty O’Brien/Helen Johnston, Pierre : John X. Padovano; Mara : Barbara Berger/Lillian Meyers, Jacques : Lloyd Marvin West

Catholic University of America (Washington, D.C.) date de représentation : le 8 février 1945 397

[?], National Catholic Theatre Conference (Production Calender) , IV, nº 5, février 1945, p. 3. Loras College (Dubuque, Iowa) date de représentation : le 2 avril 1949, 398 mise en scène : Père Karl Schroeder

[?], Catholic Theatre , VIII, nº 7, avril 1949, p. 7.

La Salle College (Philadelphia) date de représentation : le premier week-end du mois de mars 1950

[?], Catholic Theatre , IX, nº 6, mars 1950, p. 4.

Catholic Drama Associates (Salt Lake City) Date de représentation : le 31 mars 1950

[?], Catholic Theatre , IX, nº 9, juin 1950, p. 3.

Mount Marty College (Yankton, South Dakota) date de représentation : le 7 décembre 1952, 399 adaptation : soeur Jeannette, OSB

[?], Catholic Theatre , IX, nº 5, décembre 1952, p. 2.

Immaculate Heart College (Hollywood) 400 date de représentation : 1953

[?], Catholic Theatre , XI, nº 8, mars 1953, p. 3.

Academy of Our Lady (Chicago) date de représentation : mai 1956, adaptation et mise en scène : Thérèse Marie Cuny

395 Voir aussi Aniouta Pitoëff, Ludmilla, ma mère, Julliard, Paris 1955, p. 252. 396 Réalisé jusqu’au 19 décembre 1943. 397 Réalisé par le Département de l’art du spectacle, joué jusqu’au 3 mars 1945. 398 Repris le 3 avril. 399 Reprise le 8 décembre. 400 Réalisé par les étudiants sous la direction de Joseph Rice.

171

[?], Catholic Theatre , XIV, nº 8, mai 1956, p. 4.

(Barry College) (Miami) 401 date de représentation : mai 1956

[?], Catholic Theatre , XIV, nº 8, p. 4.

Nazareth College (Rochester, New York) 402 Date de représentation : le 8 avril 1956, mise en scène : soeur Mary Pius, RSM

[?], Catholic Theatre , XIV, nº 9, juin 1956, p. 3.

Mount Saint Scholastica College (Atchinson, Kansas) date de représentaiton : décembre 1957

Paterson, Janet, Claudel in Kansas, Catholic Theatre , XVI, nº 4, décembre 1957, p. 6.

College of St Mary (Omaha) date de représentation : décembre 1957

[?], Catholic Theatre , XVI, nº 5, janvier 1958, p. 17.

St Catherine College (St Paul, Minna) date de représentation : l’hiver 1959

[?], Catholic Theatre , XVII, nº 1, janvier 1959, p. 15.

(Academy of the Holy Angels) (Minna) 403 date de représentation : février 1959

[?], Catholic Theatre , XVII, nº 2, février 1959, p. 10.

Immaculate Heart College (Los Angeles) date de représentation : le 12 mai 1959 404 , traduction : Robert Spaight 405

[?], Examiner , [?] 1959, [?], [?], New York Times , [?] 1959, [?].

Blackfriars Théâtre (San Francisco) date de représentation : décembre 1959 406

401 Il est probable qu’il s’agit de la reprise. 402 L’extrait du texte, réalisé dans le cadre du „Catholic Drama Festival“. 403 Il s’agit probablement d’une reprise. 404 Joué par les amateurs avec quelques professionnels jusqu’au 21 mai 1959. 405 Traduction reste inédite, version pour les étudiants de Immaculate Heart College de Los Angeles. En septembre 1961 réalisé aussi à l’Abbaye Bénédictine Belge de Californie. Voir par exemple une lettre inédite de Speaight adressée à Jacqueline de Labriolle.

172

[?], The Professional West Coast Première of PC’s Miracle Play, The Tidings, Official Amusement Guide , le 10 décembre 1959, [?].

River Forest (Rosary College) date de représentation : 1962, traduction : Wallace Fowlie, mise en scène : Robert Thompson

Skidmore Little Theatre (Skidmore College, Saratoga Springs) date de représentation : avril 1963, traduction : Wallace Fowlie, mise en scène : Dorothy Chernuck, décors et costumes : John Workmann

Violaine : Rosemary Shevlin, Pierre : Richard Cuyler, Mara : Elizabeth Berger, Jacques : Dale Helward 407 Lynch Hall (University of Dallas, Dallas, Texas) 408 date de représentation : le 15 décembre 1963, mise en scène : Rev. Moses Nagy

(New-York) 409 date de représentation : 1963

Fine Arts Center, Roberts Theatre (Grinnell College, Iowa) date de représentation : le 22 février 1964, 410 traduction : Wallace Fowlie, mise en scène : Ned Danahoe, décors : Will M. Sherman, musique : James Yannatos

Tournée de la Compagnie Tréteau de Paris 411 date de la tournée : février-mai 1965, mise en scène : Pierre Franck, décors : Pierre Simonini, costumes : Marie-Hélène Dasté

Violaine : Danièle Delorme, Pierre : Paul Descombes, Mara : Madeleine Vîmes, Jacques : Jean-Claude Bercq

Alphand, Hervé, 412 [?], Bulletin de la Société Paul Claudel , nº 28, octobre 1967, [?]. [?], Christian Science Monitor , le 10 avril 1968, [?]. [?], Journal , le 6 mai 1968, [?]. [?], Montreal Star , le 8 février 1968, [?].

406 Spectacle annoncé jusqu’au janvier 1960. 407 Les rôles masculins joués par les acteurs professionnels et les rôles féminins par les étudiantes. 408 Spectacle joué en français, repris le 17 décembre. Deux représentations données, spectacle adapté par les étudiants de la section française de l’Université de Dallas. 409 Tournée Herbert dans la mise en scène de Pierre Franck. Présenté aussi à Montréal. 410 Reprise le 23 février, il s’agit de l’adaptation de la traduction de Wallace Fowlie. 411 Il s’agit de plusieurs représentations dans le cadre d‘un tournée Rigault, le spectacle est représenté dans les villes universitaires au Canada (30 représentations données) et en Amérique du Nord-Est, notamment au Québec, à Ottawa, à Montréal (le 6 février 1965) et aux Etats-Unis, à Dallas et à Princeton (le 6 mai 1965), 85 représentations données, et à Barbizon Plaza de New York (du 5 jusqu’au 18 avril 1965, 21 représentations données). 412 Il a été l’ambassadeur de la France à Washington.

173 [?], Morning Telegram, le 7 avril 1968, [?]. [?], New York Herald , le 6 mai 1968, [?]. [?], New York Post , 1968, [?]. [?], New York Times , le 6 mai 1968, [?]. [?], World , le 6 mai 1968, [?].

(West Virginia Wesleyan College) 413 date de représentation : le 28 novembre 1967, mise en scène : Pr Calvin Claudel

[?], Claudel Newsletter , nº 1, [?].

Catholic University of America (Washington, D.C.) 414 date de représentation : le 3 avril 1968

Université Marquette date de représentation : décembre 1968 (Dallas) date de représentation : février 1985, mise en scène : Michaël Gillespie

(Chicago) 415 date de présentation : le 28 décembre 1990, mise en scène : Frédéric Dussenne reprise (Univesité de l’Utah, Salt Lake City) date de présentation : le 8 janvier 1991

[Non-signé], L’Annonce faite à Marie, mise en scène de Frédéric Dussense. Vidéo et table ronde à Chicago et Salt Lake City, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 121, Paris 1991, p. 25. sous le titre Unto us a child is born 416

Mills College (Oakland, California) date de représentation : le 8 décembre 1943, mise en scène : Marian Long Stebbins, chef du choeur : Luther B. Marchant, musique : Darius Milhaud

[?], Leaves from the College Calender (Mills College, Oakland), séries 14, nº 7, [?].

Finlande ( Lapsi on meille syntynyt ) Compagnie d’Amateurs de Théâtre Français date de représentation : 1950, mise en scène : Jean-Marie Chapeau

413 Représentation des actes choisis, dans le cadre du The Chapel Program. 414 Joué avec Le Soulier de satin . 415 Il s’agit de la présentation des extraits de la pièce en vidéo. 416 Représentation de la scène « du miracle ».

174

Radio Finlandaise date de diffusion : 1951, traduction : Marja Rankkala, mise en scène : Urpo Lauri reprises (Radio Finlandaise) date de diffusion : 1952 (Radio Finalandaise) date de diffusion : 1965

France Salle Malakoff, Théâtre de l’Œuvre (Paris) date de représentation : le 22 décembre 1912 417 , mise en scène : Aurélien Lugné-Poë, décors : Jean Variot, musique : Vincent d’Indy

Violaine : Mme Lara, Mme Andrée Méry, Pierre de Craon : Victor Magnat, La Mère : Mme Franconi , Anne Vercors : Aurélien Lugné-Poe, Mara : Mme Marcelle Frappa, Jacques Hury : Roger Karl

Bidou, H., Semaine dramatique, Jouranl des Débats , le 23 décembre 1912, [?]. Boissard, M., Théâtre de l’Œuvre : L’Annonce faite à Marie, Mercure de France , nº 374, le 16 janvier 1913, p. 409, 411. Brunelles, R., Décors nouveaux, Gil Blas , le 17 décembre 1912, [?]. Gignoux, R., Avant le Rideau : L’Annonce faite à Marie, mystère en quatre actes et un prologue de M. Paul Claudel au théâtre de l’Œuvre, Figaro , le 20 décembre 1912, [?]. Launey, G., A L’Œuvre : L’Annonce faite à Marie : mystère de M. Paul Claudel, Le Matin , le 23 décembre 1912, [?]. Miomandre, F. de, L’Annonce faite à Marie, L’Art moderne , décembre 1912, [?]. Nozière, L’Annonce faite à Marie, Intransigeant, le 23 décembre 1912, [?]. Variot, J., L’Annonce faite à Marie au théâtre de l’Œuvre, La Table ronde , nº 88, 1955, p. 63-65. reprises (Comédie des Champs-Elysées, Paris) date de représentation : le 7 mai 1913, Violaine : Andrée Méry, Jacques : José Savoy (Cercle catholique du Luxembourg) date de représentation : le 3 décembre 1913 (Châtelet-Théâtre) date de représentation : le 18 décembre 1913 418 (Maison de l’Œuvre, Paris) date de représentation : le 9 octobre 1927 (Strasbourg) date de représentation : février 1928

417 Répétition générale le 20 décembre, ensuite joué le 22 et 23 décembre, puis on organise une tournée en province (décembre 1913) et l’année suivante à Mulhouse, Grenoble et à Lyon. 418 D’après Fabaret le 13 décembre.

175

Grand Théâtre de Lyon date de représentation : le 26 mai 1914, mise en scène : Gaston Baty 419

Violaine : Suzanne Després

Comédie Montaigne (Paris) date de représentation : le 2 mai 1921, mise en scène : Gaston Baty et Firmin Gémier, décors : Emile Bertin, Gaston Baty, musique : l’abbé Brun

Violaine : Ève Francis, Pierre de Craon : Henri Rollan, La Mère : Charlotte Clasys, Mara : Madeleine Geoffroy, Jacques Hury : Charles Dullin

Béraud, Henri, [?], Mercure de France , [?]1921, [?]. [?], Les Avant-premières : L’Annonce faite à Marie à la Comédie-Montaigne, Comœdia , le 2 mai 1921, [?].

Salle Patria du Théâtre de l’Œuvre date de représentation : 1926

Violaine : Yvette Pierryl, Pierre de Craon : V. Magnat, Jacques Hury : Serra, Anne Vercors : Albert Reyval, Mara : Suzanne Gonnel reprises date de représentation : le 9 octobre 1927 date de représentation : 1933

Comédie-Française date de représentation : 1938?, mise en scène : Jacques Copeau

Trianon-Théâtre (Bordeaux) date de lecture : le 13 avril 1940 420

Théâtre des Célestins (Lyon) 421 date de représentation : décembre 1940 422 , mise en scène : Ève Francis 423 , décors : Wakhévitch

Violaine : Ève Francis, Pierre de Craon : Jean Clarens, La Mère : Mme Dubuisson, Anne Vercors : Jean Toulour, Mara : Paula Régnier, Jacques Hury : Beauchamp reprises (Casino de Vichy) date de représentation : le 9 mai 1941

419 Avec les décors de Lugné-Poe. 420 Lecture dialoguée. 421 Ensuite une tournée dans le Sud de la France, en Espagne et au Portugal. 422 Avec une tournée dans la zone libre (Espagne, Portugal). 423 Avec la consultation de Claudel.

176 (Théâtre des Célestins) date de représentation : juin 1943

Théâtre de l’Œuvre (Paris) 424 date de représentation : le 23 octobre 1941 425 , mise en scène : Pierre Franck, décors : Jacques-Armand Bonnaud, musique : Maria Scibor

Violaine : Juliette Faber, Pierre de Craon : Alain Cuny, La Mère : Gabrielle Fontan, Anne Vercors : Pierre Latour, Mara : Gilberte Terbois, Jacques Hury : Michel Auclair

Kemp, Robert, Combien de temps,..., Le Temps , le 6 décembre 1941 (p. 3 -5). Laubreaux, Alain : Le mal de la jeunesse, Je Suis partout , le 8 novembre 1941 (p. 7-9). Pisch, Georges, Quand, en 1912, ..., Oeuvre , le 1 novembre 1941 (p. 11). Rebatet, Lucien, Au Théâtre de L’oeuvre L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, Cri du peuple , le 27 octobre 1941 (p. 15). [Non-signé], De Claudel à Cocteau et Roger Ferdinand, Comoedia , le 1er novembre 1941 (p. 13). reprise (Théâtre Saint-Georges) 426 date de représentation : le 1 er décembre 1941 (Théâtre de Louis Jouvet), v. Rio de Janeiro, 1942

Les Escoliers de Guyenne (Salle Franklin) date de représentation : 1942

Violaine : Jacqueline Aublant, Pierre de Craon : Marc Oraison

Théâtre des Célestins (Lyon) 427 date de représentation : le 12 mai 1944 428 , mise en scène : Pierre Bertin mozna Christian Casadessus, décors et costumes : Félix Labisse, musique : Maria Scibor

Violaine : Hélène Sauvaneix, Pierre de Craon : Jean-Henri Chambois, Anne Vercors : Georges Vitray, Mara : Geneviève Bray

[Non-signé], « La sainte du théâtre », Paris-Midi , le 20 mai 1944 (p. 25).

Théâtre Charles de Rochefort (Paris) 429

424 Spectacle joué par la compagnie Rideau des Jeunes. Le spectacle fut aussi présenté au Théâtre Saint-Georges, du 1er décembre à février 1942. 425 La générale de presse aura le lieu le 24 octobre. Ensuite 20 représentations en octobre et en novembre 1941. 426 Le théâtre retient un autre spectacle, pour cela la pièce L’Annonce faite à Marie est jouée sur la scène du Théâtre Saint-Georges jusqu’en février 1942. 427 Le directeur était Charles Gantillon. Réalisé par la Compagnie du Regain. 428 Sous la présence de Paul Claudel. 429 Par la Compagnie de la Roulotte.

177 date de représentation : juin 1946, mise en scène : André Clavé, décors et costumes : Betholle

Anne Vercors : Francis Darbon, Violaine : Jeanne Le Gal, Jacques Hury : Pierre Garin

(Grand Théâtre, Théâtre de l’Athénée), reprise, v. Teatro municipal de Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : le 11 juin 1946 430 , mise en scène : Louis Jouvet, musique : Massarani, décors : Eduardo Anahory, costumes : Inès-Ane Carcaro

Violaine : Monique Mélinard, Anne Vercors : Louis Jouvet, Jacques Hury : Léo Laparra, Mara : Wanda, Pierre de Craon : Jean Dalmain

G. H., « L’annonce faite à Marie » Mystère en 4 actes de Paul Claudel, Journal de Genève , le 6 septembre 1946 (p. 31). R. Mh., La Compagnie Louis Jouvet joue « L’Annonce faite à Maire », Tribune de Genève , le 5 septembre 1946 (p. 29-30).

Fontaine de l’Adoue (Ain) 431 date de représentation : le 26 mai 1947

Radiodiffusion française date de diffusion : le 12 septembre 1947 432

Violaine : Ludmilla Pitoëff, Pierre de Craon : Jean Chevrier

Théâtre Hébertot (Paris) 433 , version définitive pour la scène date de représentation : le 12 mars 1948 434 , mise en scène : Jean Vernier 435 , décors : Laverdet et Streiff, costumes : Moncorbier, musique : Maria Scibor

Violaine : Hélène Sauvaneix, Pierre de Craon : Alain Cuny, La Mère : Ève Francis, Anne Vercors : Jean Hervé, Mara : Carmen Duparc, Jacques Hury : Robert Hébert

Mazars, Pierre; Paul Claudel donne une forme définitive à l’Annonce faite à Marie, Le Figaro Littéraire , le 6 mars 1948. [?], La dernière forme de l’Annonce faite à Marie, la Croix , les 7-8 mars 1948. reprise (Chaîne parisienne) date de diffusion : le 15 août 1948 (Théâtre Hébertot)

430 Joué dans le cadre des Rencontres Internationales. Chez René Faberet on trouve le 10 juin. 431 Présentation de la scène 3 de l’acte II, réalisé par le Cercle Régina de Genève. 432 Diffusion du prologue. 433 Présenté aussi en province et à l’étranger (en Italie) jusqu’en 1951. Deuxième représentation a eu lieu le 14 mars et la générale de presse le 20 mars. 434 Chez Fabaret le 2 mars. 435 Avec l’assistance de Paul Claudel et Eve Francis.

178 date de représentation : le 19 septembre 1950 436

Violaine : Janine Clairval, Anne Olivier, Pierre de Craon : François Perrot, La Mère : Denise Bailly, Suzanne Demars, Anne Vercors : Allain-Dhurtal, Mara : Évelyne Langey, Monique Montivier, Jacques Hury : Roland Rodier, Patrick Roussel

Grand théâtre romain de Fourvière, Festival de Lyon-Charbonnières (Lyon) 437 date de représentation : 1950, mise en scène : Jean Vernier, musique : Maria Scibor

Violaine : Hélène Sauvaneix, Pierre de Craon : Michel Herbault, La Mère : Ève Francis, Anne Vercors : Allain-Dhutal, Mara : Arlette Granger, Jacques Hury : Robert Hébert Chaîne nationale date de diffusion : le 13 juin 1950, direction : Henri Barraud, réalisation : Maurice Cazeneuve, musique : Maria Scibor

Violaine : Maria Casarès, Pierre de Craon : Alain Cuny, Jacqueline Morane, Bernard Noël, Martine Sarcey, Fernand Ledoux

Télévision date de diffusion : le 17 avril 1954, réalisation : Maurice Cazeneuve, décors : E. Delfau

Cloître Saint-Séverin (Paris) date de représentation : le 28 mai 1954, mise en scène : Bernard Jenny

France Descaux, Roger Bret reprise (Festival de Royaumont) date de représentation : 1954 438

Comédie de Saint-Etienne (Saint-Etienne) 439 date de représentation : novembre 1954, mise en scène : Jean Dasté, décors et costumes : Jean Le Moal

Violaine : Catherine de Seynes, Mara : Françoise Bertin, Anne Vercors : Jean Dasté

Compagnie Jean Dasté (St.-Etienne) date de représentation : janvier 1955, mise en scène : Jean Dasté

Salle Richelieu , Comédie-Française (Paris) 440 date de représentation : le 17 février 1955 441 , mise en scène : Julien Bertheau 442 , décors et costumes : Georges Wakhévitch, musique : Maria Scibor

436 Ensuite tournée en province, en Suisse, dans le Luxembourg, en Belgique et en Hollande. 437 Dans la production du Théâtre des Célestins, avec deux 2 reprises. 438 Du 18 juin au 3 juillet. 439 Présenté dans le cinéma Eden, ensuite repris dans les départements voisins. 440 Spectacle réalisé sous la direction de Claudel qui meurt quelques jours après la générale. 441 Chez René Fabaret le 18 février.

179

Violaine : Éliane Bertrand, Pierre de Craon : Paul-Émile Deiber, La Mère : Line Noro, Anne Vercors : Jean Yonnel, Mara : Denise Noël, Jacques Hury : André Falcon

[?], Combat , le 23 février 1955, [?]. [?], La Croix , le 12 août 1955, [?]. [?], Echo der Zeit , le 20 mars 1955, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , février 1955, [?]. [?], Le Monde , le 19 février et le 20 février 1955, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 11 mars 1955, [?]. [?], Les Nouvelles Littéraires , le 24 février 1955, [?]. [?], Paris-Presse , le 24 février 1955, [?]. [?], Le Populaire du Centre , le 26 janvier 1966, [?]. reprise (Chaîne nationale) 443 date de diffusion : le 30 mars 1955

Ambrière, Francis, [?], Les Annales , avril 1955, [?]. Couhier, J., [?], La Vie intellectuelle , 1955, [?]. Dussane, [?], Le Mercure de France , 1955, [?]. Gautier, J.-J., [?], Le Figaro , 1955, [?]. Lemarchand, [?], Le Figaro littéraire , 1955, [?]. Marcel, Gabriel, [?], Les Nouvelles littéraires , 1955, [?]. Triolet, Elsa, [?], Lettres françaises , le 24 février 1955, [?].

Festival d’Angers, Château du Roi Réné (Angers) 444 date de représentation : le 25 juin 1956, mise en scène : Jean Marchat, décors : Roger Harth

Mara : Marcelle Ranson

[?], [?], Le Courrier de l’ouest , le 22 juin et le 28 juin 1956, [?]. [?], [?], Le Parisien Libéré , le 25 juin 1956, [?].

Théâtre Romain de Fourvière (Lyon) 445 date de représentation : le 4 juillet 1959, mise en scène : Ève Francis

Théâtre de l’Oeuvre (Paris) date de représentation : 1959, mise en scène : Pierre Franck, décors : Pierre Simonini, costumes : Marie-Hélène Dasté

442 Avec Paul Claudel. 443 Il s’agit de la diffusion de la dernière scène en direct de la Comédie-Française. 444 Spectacle représenté en plein air dans l’espace de la cour du Château du roi René. 445 À l’occasion du XVIIe Congrès international, le spectacle est ensuite donné le 5 juillet.

180 Violaine : Danièle Delorme, Pierre de Craon : Rony Taffin; repris par Jacques Harden, La Mère : Germaine Delbat, Anne Vercors : Michel Etcheverry, repris par Jean Davy, Mara : Loleh Bellon, Jacques Hury : André Oumansky, repris par Roland Rodier

Compagnie Henri Doublier (Annecy) 446 date de représentation : le 19 août 1960, mise en scène : Henri Doublier, musique : Maria Scibor

Violaine : Michèle Alfa, Pierre de Craon : Henri Doublier, La Mère : Ève Francis, Anne Vercors : Maurice Escande, Mara : Madelaine Marion, Jacques Hury : Paul Escoflard reprises (Théâtre Municipal, Metz) date de représentation : le 24 septembre 1960

[?], Combat , les 20 et 27 septembre 1960, [?] [?], Figaro , les 10/11 septembre 1960, [?]

(Radio France III) 447 date de diffusion : le 14 octobre 1960 Tournée Ch. Baret 448 date de la tournée : du 5 février au 30 avril 1961

Théâtre de L’Œuvre (Paris) 449 , nouvelle représentation de la verstion 1948 date de représentation : le 21 janvier 1961, mise en scène : Pierre Franck, décors : Pierre Simonini, costumes : Marie-Hélène Dasté, musique : Maria Scibor

Violaine : Danièle Delorme, Pierre de Craon : Antoine Taffin, Elisabethe (la Mère) : Germaine Delbat, Anne Vercors : Michel Etcheverry , Mara : Loleh Bellon, Jacques Hury : André Oumansky

(8Sw 297) Alter, André, Violaine et Mara face à face, Témoignage chrétien , le 10 février 1961 (p. 37 -38).

446 Joué sur le parvis de la Basilique de la Visitation, puis aussi dans le cadre du Festival International de Metz et en tournée du 5 février au 31 avril 1952 à travers la France. 447 Mise en onde différée de la mise en scène d’Annecy. 448 Tournée dans les principales villes de France. 449 Première représentation. Le 19 mars 1962 monté aussi dans le théâtre Piccadilly Theatre à Londres dans le cadre du festival „A Festival of Franch Theatre“ et ensuite au Théâtre Municipal le 14 novembre 1966 à La Rochelle. Après les vacances, dans le rôle de Pierre de Craon Jacques Harden et à partir du 20 novembre Jacques Hury interprété par Raland Rodier, puis par Michel Etcheverry et après son départ du théâtre, il a été remplacé par Jean Davy. Les articles critiques ont été publiés aussi dans Combat , le 4 janvier 1961, le 23 janvier 1961, le 25 janvier 1961, le 14 février 1961, le 23 août 1961, le 25 août 1961 et dans le Figaro , les 24/25 décembre 1960, le 24 janvier 1961. Ensuite dans le cadre des Tournées Herbert en 1963 (en France, Belgique, Maroc, Suisse, Liban et au Portugal), en 1965 par le Tréteau de Paris (U.S.A. et Canada), en 1966 par le Théâtre d’Action Culturelle de Paris (province) et à partir 1980 par les Tournées Baret.

181 D. D., Claudel revient au théâtre de l’Oeuvre, Le Figaro , le 23 janvier 1961 (p. 11). Ferjac, Pierre, Cinquante ans après sa création..., L’Information , le 15 février 1961 (p.39). Fournier, Thérèse, Le comédien doit être dans la vie sociale, avec les autres, Libération , le 22 janvier 1961, p. 2 (p. 7). Gautier, Jean-Jacques, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, Le Figaro , le 25 janvier 1961 (p. 14). Grosrichard, Yves, Au Théatre de l’Oeuvre « L’Annonce faite à Marie » (Le baiser au lépreux), France-Soir , le 25 janvier 1961 (p. 16). G. V., Il y a vingt ans, le miracle de « L’Annonce faite à Marie », Figaro littéraire , le 21 janvier 1961 (p. 6). H. R., Reprise de L’ANNONCE FAITE A MARIE, La Croix , le 24 janvier 1961 (p. 12). J.-C. J., Danièle Delorme jouera « l’Annonce faite à Marie », Le Parisien libéré , le 20 janvier 1961 (p. 3). Joly, G., L’Annonce faite à Marie, L’Aurore , le 25 janvier 1961 (p. 17). Kanters, Robert (nebo Ranters), Bonne occasion d’aller voir..., L’Express , le 2 février 1961 (p. 32). Lemarchand, Jacques, J’ai vu, en quelques années,..., Figaro littéraire , le 4 février 1961 (p. 33-34). Lerminier, Georges, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, avec Danièle Delorme, Parisien libéré , le 25 janvier 1961 (p. 15). Morelle, Paul, L’Annonce faite à Marie à l’Oeuvre, Libération , le 25. janvier 1961, p. 2 (p. 18). Olivier, Claude, L’Annonce faite à Marie au théâtre de L’Oeuvre, Lettres Françaises , le 2 février 1961 (p. 29-31). Poirot-Delpech, B., « L’Annonce faite à Marie », de Paul Claudel, Le Monde , le 25 janvier 1961 (p. 13). Rabine, Henry, L’Annonce faite à Marie, La Croix , le 31 janvier 1961 (p. 23-24). Sarraute, Cl., L’Annonce faite à Marie. A mi-chemin entre le mystère et le fabliau, France- Observateur , le 2 février 1961 (p. 28). Spiraux, Alain, Danièle Delorme n’a plus peur de Claudel, Paris Jour , le 21 janvier 1961 (p. 5). Verdot, Guy,[?], Journal de Genève , le 4 février 1961 (p. 35). [Non-signé], « L’Annonce faite à Marie » continue de triompher à « l’Oeuvre », Parisien Libéré , le 22 septembre 1961 (p. 43). [Non-signé], La 200 e de « l’Annonce faite à Marie », Parisien Libéré , le 6 octobre 1961 (p. 45). [Non-signé], L’Annonce faite à Marie, un Claudel embaumé, Arts , le 1er février 1961 (p. 27). [Non-signé], Succès oblige, Danièle Delorme jouera toute la saison « L’Annonce faite à Marie » au théâtre de l’Oeuvre, Parisien Libéré , le 5 février 1961 (p. 36). [Non-signé], Théatre, « L’Annonce faite à Marie », France-Soir , le 31 janvier 1961 (p. 25). reprises date de représentation : le 25 août 1961

Mara : Dominique Blanchard

182 (R.T.F.) 450 date de diffusion : le 24 août 1963 (Théâtre Munsicipal , La Rochelle) 451 date de représentation : le 14 novembre 1966

[?], Culture Magazine , n° 2, novembre 1966, [?].

(Toulouse) date de la lecture : le 19 février 1961 452

Lecture : Alain Cuny

Théâtre de Poche (Rouen) date de représentation : le 2 mars 1961

Yvette Petit, Laura Parmes, René Farabet, Alexis Nitcher

Télévision française 453 date de diffusion : le 7 mars 1963, réalisation : Roger Stéphane, Roland Darbois et Jacques Demeure Théâtre de Montansier (Versailles), v. Théâtre Royal des Galeries de Bruxelles date de représentation : décembre 1964, mise en scène : Vendéric et Gérard Vivane

Violaine : Christiane Lenain, Mara : Gysèle Oudart

(4 Sw 7986) T. M., Au Montansier L’Annonce faite à Marie par la troupe des Galeries de Bruxelles, Le Figaro , le 1 décembre 1964 (p. 9). [Non-signé], Les Marocains applaudissent Claudel, Le Figaro , le 21 novembre 1964 (p. 7).

France-Culture 454 date de diffusion : 1965, adaptation : Carmen Duparc, mise en ondes : Georges Génicot, musique : Maria Scibor

Violaine : Marie-Paule Mestral, Pierre de Craon : Jean Nergal, La Mère : Eve Francis, Anne Vercors : Vandéric, Mara : Carmen Duparc, Jacques Hury : Christian Bure

Petit Théâtre du Pont-Neuf (Lille) 455 date de représentation : le 15 février 1966, mise en scène : Cyril Robichez

Compagnie de la Voide

450 Il s’agit de la retransmission différée de la mise en scène de Franck. 451 Reprise de Franck de la représentation de 1961 du Théâtre de L´Œuvre, en collaboration avec Les Amis Théâtre Populaire. 452 Lecture des extraits des pièces L’Annonce faite à Marie et de La Ville . 453 Diffusion des répétitions présentées à l’occasion du Portrait-souvenirs de Claudel. 454 Reprise d’une diffusion belge de la pièce. 455 Dans la production du Théâtre Populaire des Flandres.

183 date de représentation : le 20 mars 1966

Stage Jeunesse et Sports Saint-Flour date de représentation : le 13 août 1966, mise en scène : Jean Lagénie reprise (La Tour-de-Peilz, Suisse) 456 date de représentation : août 1967, musique : Maria Stibor

(4 Sw 7986) Vogel, Eric, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel par le Stage franco-suisse d’art dramatique, La Tribune de Genève , le 17 août 1967 (p. 19).

Esplanade du château de Josselin 457 date de représentation : le 15 août 1966, mise en scène : Guy Mairesse

Tournée du Théâtre d’Action culturelle 458 date de la tournée : octobre-décembre 1966

Salle Saint-Pierre (Neuilly) 459 date de représentation : le 22 février 1966 (1967 ?), mise en scène : Marcel Thierry

Segrestaa, Jean-Noël, Claudel demain, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°27, juillet- août-septembre 1967, p. 21-22.

(Auvers) 460 date de représentation : le 19 mai 1967

Théâtre Graslin (Nantes) 461 date de représentation : octobre 1967

Compagnie d´Art Dramatique (Sarlat) 462 date de représentation : le 30 juillet 1968

[?], Figaro , le 22 mars 1968, [?]. [?], Figaro , le 18 juillet 1968, [?]. [?], Figaro , le 5 août 1968, [?].

Stage national d´Art dramatique 463

456 Spectacle créé par les amateurs du Stage franco-suisse d’art dramatique, festival organisé du 16 juillet au 22 août par le Ministère de la jeunesse et des sports de France et la Fédération suisse des société théâtrales d’amateurs. 457 A l’occasion du Festival d’art dramatique de Josselin. 458 Tournée en France. 459 Réalisé par un groupe d’élèves de Janson et d’étudiants de propédeutique. 460 Par les élèves de l’école du Sacré-Cœur. 461 Présenté par la Compagnie du Petit Couturier. 462 Grande Place, dans le cadre du XVIIème festival Jeux de Théâtre.

184 date de représentation : le 13 août 1968, mise en scène : Jean Favarel, décors : Jean-Pierre Dezaire, musique : Marc Eychenne

[Non-signé], Une représentation de..., Le Figaro , le 13 août 1968 (p. 23).

(Festival de Metz) date de représentation : septembre 1969, mise en scène : Henri Doublier

Théâtre de l’Opéra-Comique (Paris) 464 date de représentation : le 30 octobre 1970, adaptation : Renzo Rossellini, mise en scène : Pierre Franck, décors : Pierre Simonini, costumes : Pierre Simonini, musique : Renzo Rossellini, chef d’orchestre : George Sebastian

Violaine : Elyane Manchet, Pierre de Craon : Jean-Pierre Laffage, La Mère : Berthe Monmart, Anne Vercors : Julien Haas, Mara : Christiane Sturzmann, Jacques Hury : Charles Burles

Franck, Pierre, Propos du metteur en scène. L’Annonce faite à Marie à l’Opéra Comique, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 41, 1971, p. 29-30. [?], Tribune de Genève , le 27 novembre 1970, [?]. [?], Une semaine de Paris-Parisc. , n° 131, les 28 octobre – 3 novembre 1970, [?]. reprises (Théâtre de l’Opéra, Nice) 465 date de représentation : jenvier 1973, réalisation : Pierre Médecin, chef d’orchestre : Manno-Wolf Ferrari

(4 Sw 7986) Dechamps, Eric, L’Annonce faite à Marie inspire à Renzo Rossellini une éclatante version d’opéra, Le Soir , le 11 janveier 1973 (p. 31).

France-Culture date de diffusion : le 4 octobre 1971

Théâtre San Carlo de Naples ? date de représentation : les 6, 9, 13 et 15 avril 1972

(Rennes) date de représentation : avril 1970 466 reprise (Saint Malo)

463 Présenté à Nancy, Epinal et Sion dans le cadre du Festival « Fêtes et jeux des terres lorraines ». 464 Le directeur du théâtre Jean Giraudeau. Texte composé à partir du texte de Claudel mis en musique par Renzo Rossellini. 465 Présenté aussi à l’opéra de Monte Carlo. 466 Il s’agissait de neuf veillées organisées par le Comité Départemental.

185

Foyer socio-éducatif du C.E.S. de Fontenay-le-Comte (Outreau) 467 date de représentation : les 4 et 7 mars 1970, mise en scène : M. Costes

[?], Nord-Matin , le 21 mars 1970, [?].

France Culture 468 date de diffusion : le 4 octobre 1971

Violaine : Eliane Manchet, Pierre de Craon : Jean-Pierre Laffage, La Mère : Berthe Monmart, Anne Vercors : Julien Haas, Mara : Christiane Stutzmann, Jacques Hury : Charles Burles

Théâtre Graslin (Nantes) date de représentation : 1971, mise en scène :

(Asnières) 469 date de représentation : les 4, 5, 9 et 11 mai 1972

Théâtre municipal (Saint-Malo) 470 date de représentation : les 25 et 30 juin 1972

Compagnie du Théâtre de Midi (Narbonne) 471 date de représentation : le 8 juillet 1972, mise en scène : Hubert Gignoux, décors : William Underdown, costumes : Maryvonne Schiltz

Violaine : Nicole Jamet, Pierre de Craon : Daniel Sarky, La Mère : Françoise Bertin, Anne Vercors : Hubert Gignoux, Mara : Nita Klein, Jacques Hury : Jacques Roux

[?], ATAC Inf ., n° 42, [?]. [?], Figaro , le 15 juin 1972, [?]. [?], T.M. , juillet-août 1972, [?].

Compagnie du Hennin (Saint-Emillion) 472 date de représentation : les 20, 22 et 24 juillet 1972

Compagnie du Théâtre Ballet Pamplemousse de Saint-Malo (Chateaubriand, Dinard) 473 date de représentation : les 2 et 5 décembre 1972

467 Réalisé par les élèves de 3e du C.E.S. d’Outreau. 468 Il s’agit de la transmission différée de l’opéra de Rossellini avec l’O.R.T.F. sous la direction de George Sébastien. 469 Spectacle présenté par les élèves de l’Ecole Saint-Joseph d’Asnières. 470 Réalisé par le Théâtre Breton Populaire des Corsaires malouins. 471 Dans le cadre du Festival de la Cité et du Festival de la Mer, présenté à la Cour de la Madeleine par la Compagnie du Théâtre du Midi. Ensuite donné à Béziers, Sète, Carcassonne, Marcillongue, Prades et Saint Guilhem-le-Désert entre le 8 juillet et le 15 août 1972. 472 Puis présenté à Montpazier et à Sainte-Foy-le-Grande (Gironde). 473 Tournée du Théâtre Ballet Pamplemousse, puis en 1973-74.

186

(Nantes) date de représentation 1972, mise en scène : Pierre Franck

Troupe du Centre Culturel de Meudon 474 date de représentation : novembre-décembre 1973

Théâtre des Arts date de représentation : décembre 1973, mise en scène : Roland Jouve

(4 Sw 7986) F.V., Au Théâtre des Arts, L’Annonce faite à Marie Une très limpide et très bouleversante Violaine, Paris – Normandie , le 14 décembre 1972 (p. 27).

Théâtre Rive-Gauche (ex-Théâtre de l’Alliance française, Paris) 475 , version de 1912 date de représentation : le 6 février 1974, mise en scène : Jean Térensier, décors et costumes : Georges Wakhevitch

Violaine : Maud Rayer, Pierre de Craon : Jacques Le Carpentier, La Mère : Nathalie Nattier, Anne Vercors : Robert Party, Mara : Aravni Merian, Jacques Hury : Christian Buhr

(4Sw 7985) De Rosbo, Patrick, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel. Cela s’appelle la grâce, Combat , 14 février 1972 (p. 13). Le Figaro , le 29 août 1973. Chabanis, L’Annonce faite à Marie ou l’invincible espérance, France Catholique-ecclesia , le 22 février 1974 (p. 19). Information du Spectacle , n° 96. Marcabru, Pierre, « L’Annonce faite à Marie », un miracle, France-Soir , le 13 février 1974 (p. 9). Mazars, Pierre, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, Le Figaro , le 16 février 1974 (p. 15). Penot, Andrée, Au Théâtre Rive-Gauche L’Annonce faite à Marie, La Croix , le 24 février 1974 (p.21). Ransan, André, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, L’Aurore , le 13 février 1974 (p.11). R. K., L’Annonce faite à Marie, L’Express , le 25 février 1974 (p. 23). R. M., L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel (Se crucifier soi-même), L’Humanité , le 5 avril 1974 (p. 27). [?], Une Sem. De P.-P. , n° 312, n° 316, [?]. [Non-signé], L’Annonce faite à Marie, Le Figaro , le 14 mars 1974 (p. 25). [Non-signé], L’Annonce faite à Marie Jean Terensier veut réhabiliter la première version, Combat , le 5 février 1974 (p.3). [?], L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel, Le Figaro , le 21 février 1974 (p. 17).

474 Présenté à Clamart et à Meudon. 475 Représentations réalisées par le Théâtre de l’Animation Culturelle Théâtrale.

187 [Non-signé], Un Claudel de Legende au Théâtre Rive-Gauche, L’Aurore , le 6 février 1974 (p. 3).

France Culture date de diffusion : le 9 mars 1974, adaptation : Philippe Guinard

Violaine : Claire Vernet, Anne Vercors : Jean-Roger Caussimon, Mara : Danièle Girard, Jacques Hury : Denis Manuel

Compagnie des Amis de l’Art Dramatique (Avignon) 476 date de représentation : juin 1974

Inter Europe Spectacles , tournée date de représentation : 1974

[?], Corriere del Ticino , le 28 décembre 1974, [?]. [?], L’Est Vaudois , le 13 novembre 1974, [?]. [?], Giornale del Popolo , le 28 décembre 1974, [?]. [?], L’Impartial , le 22 novembre 1974, [?]. [?], Journal du Haut-Lac , le 12 novembre 1974, [?]. [?], Der Landbote , le 22 novembre 1974, [?]. [?], Tiroler Tageszeitung , le 29 novembre 1974, [?]. [?], Weinländer Tagblatt , le 28 novembre 1974, [?].

Théâtre Montansier 477 (Braine) date de représentation : le 20 avril 1975, mise en scène :

Violaine : Pia Courcelle, La Mère : Marcelle Tassencourt, Anne Vercors : Jean Davy, Mara : Nita Klein, Gérard Coeur Devey ?

(4 Sw 7986) [Non-signé], Claudel en Picardie, Le Figaro , les 19/20 avril 1974 (p. 43). [?], Sécrétariat d´Etat à la culture , bulletin d´inf., n° 54, [?]. reprises (Compagnie Marcelle Tassencourt, église d’Orgerus) date de représentation : le 9 octobre 1976 (Théâtre Montansier , Versailles) date de représentation : le 13 novembre 1976 (Brangues) 478 date de représentation : le 31 août 1980

[?], Le Figaro , le 2 septembre 1980, [?].

476 Par la Compagnie des Amis de l’art dramatique. 477 Spectacle joué à Braine le 20 avril et à l’église Saint-Quentin le 22 avril; à l’occasion de l’Année Gothique en Picardie. Repris en 1980 à Brangues et en 1986 à Versailles. 478 Dans le cadre des Journées Claudéliennes au Château de Brangues.

188 (Eglise Notre-Dame, Versailles) 479 date de représentation : le 19 novembre 1986 ? Martine Mongermont, Catherine Salviat, Jean Davy, Marcelle Tassencourt, Hervé Bellon, Bernard Lanneau

[Non-signé], A l’affiche des théâtres, Le Quotidien de Paris , n° 2204, le 23 décembre 1986 (p. 45). [?], Le Figaro , le 24 novembre 1986, [?]. [?], Le Figaro , le 15 décembre 1986, [?]. [?], Une Sem. de P.-P. , 968, 980, [?]. [?], La Lettre de Loisirs-Jeunes , 1448, [?].

(Théâtre Montansier, Versailles) date de représentation : le 12 décembre 1986 date de représentation : 1987

Compagnie de la Mandragore 480 date de représentation : septembre 1975

(Bayonne) 481 date de représentation : le 20 décembre 1976

Troupe de la Mandragore (Paris) 482 date de représentation : le 20 juin 1977

Violaine : Sylvie Mazin, Pierre de Craon : Didier Bailly, La Mère : Brigitte Boy, Anne Vercors : Pierre Alain, Mara : Dominique d´Estre, Jacques Hury : Jean-Louis Mercuzot

(Primatiale Saint-Jean à Lyon) 483 date représentation : juin 1977, mise en scène : Pierre Casari reprises (Cathédrale Saint-Maurice à Vienne) (Saint-Raphaël) (Abidjan) (Rouen) date de représentation : juin, juillet, automne 1977 (Festival du prieuré de Chirens, Isère) date de représentation : juillet 1978

Comapagnie 73 de Cannes 484

479 À l’occasion du troisième anniversaire de l’église. 480 Spectacle amateur, représenté à Vézelay, Montréal et Avallon. 481 Pièce Jouée dans la cathédrale par la Comité d’Action Culturelle de la Côte Basque sous la direction d’Erik Krüger, ensuite reprise le 27 décembre à Bordeaux. 482 Dans le cadre du XIVème Festival du Marais à l‘église St. Nicolas-des-Champs. 483 Joué dans la cathédrale Saint-Jean, repris en tournée à Vienne. 484 Présenté à Nice, à Cannes et aussi dans plusieurs villes de Provence.

189 date de représentation : décembre 1977

(Cannes) 485 date de représentation : 1978 mise en scène : Brigitte Boy reprises (Côte d’Azur) date de représentation : 1979 (Festival médiéval de Moirans) date de représentation : le 9 mai 1980 (Chapelle Saint-Roch, Paris) date de représentation : le 13 mai 1980

Compagnie du Trèfle (Vence) 486 date de représentation : le 28 juillet 1978, mise en scène : Alain Bethunes

? Brigitte Boy

[?], Sem. Spectacle C. d´Az. , 305, [?]. [?], Inf. du Spectacle , 143, juillet 1978, [?].

Mai de Bordeaux date de représentation : le 13 mai 1979, mise en scène : Jacques Albert-Canque

? Emmanuelle Riva, Alain Cuny Tournée Ch. Baret date de la tournée : novembre 1980-février 1981 487 , mise en scène : Pierre Franck, décors : Pierre Simonini

Violaine : Anne-Marie Philipe, Pierre de Craon : Daniel Sarky, La Mère : Monique Mélinand, Anne Vercors : Jean Davy, Mara : Lissa Pilla, Jacques Hury : Bruno Pradal

Chapelle Saint-Roch (Paris) date de représentation : mai 1980 mise en scène : Brigitte Boy

(Brangues) date de représentation : le 31 août 1980, mise en scène : Marcelle Tassencourt

Violaine : Maria-Pia Courcella, Pierre de Craon : Gérard Cœurdevey, Elisabeth (La Mère) : Marcelle Tassencourt, Anne Vercors : Jean Davy, Mara : Nita Klein, Jacques Hury : Louis Besançon

485 Par la Compagnie du Trèfle. 486 À la Cour de l´Evêché. 487 Tournée dans toutes les régions de France.

190 (Maison de la Culture de Nantes) date de représentation : 1982 488 , mise en scène : Nicole Mérouze

(Orléans) 489 date de représentation : le 22 mai 1986

Compagnie Le Polles 490 date de représentation : juin 1987

Compagnie du Théâtre de la Fontenelle (Théâtre 14-Jean Marie Serreau, Paris) date de représentation : le 23 février 1988, mise en scène : Jean-Pierre Rossfelder, décors : Muriel Trembleau, costumes : Anne Berger

Violaine : Catherine Benamon, Pierre de Craon : Daniel Znyk, La Mère : Josette Boulva, Anne Vercors : Michel Etcheverry, Mara : Flore Lefebvre des Noëttes, Jacques Hury : Xavier Brière

[?], Entr´Act , 23, [?]. [?], Maison de la Culture de Bourges , février/mars 1988, [?].

Compagnie du Trèfle (château de Lourmarin) date de représentation : le 4 août 1979, mise en scène : Gérard Saintfort-Paillard

[?], Le Mois à Aix , 188, [?].

Galas Euro théâtre (Limoges) date de représentation : le 18 novembre 1979

[?], Le Mois à Limoges , 11, [?]. [?], Limoges-Loisirs , 1,2, [?].

(Clamart) date de représentation : le 18 décembre 1979, mise en scène : Cécile Montéchiési

[?], Une Sem. de P.-P. , 603, [?]. [?], Inf. du Spectacle , 158, [?].

Compagnie du Trèfle (Paris) date de représentation : le 13 mai 1980, mise en scène : Brigitte Boy

[?], Le Figaro , le 7 mai 1980, [?]. [?], Le Figaro , le 21 mai 1980, [?]. [?], Le Figaro , le 5 septembre 1980.

488 Il s’agit d‘une tournée réalisée dans les églises de la région nantaise, à partir d’octobre. 489 Présenté par les élèves des collèges de St-Euverte et St-Charles. 490 Réalisé à Nantes et Saint-Philibert de Grandlieu.

191 [?], Une Sem. de P.-P. , 624, 628, 629, [?]. [?], Inf. du Spectalce , 163, [?].

Tournée Ch. Baret (Arras) date de représentation : le 25 novembre 1980, mise en scène : Pierre Franck, décors : Pierre Simonini

[?], A Avignon , 78, [?]. [?], Orléans-Culturel , 82, [?]. [?], Semaine d´Aix , 192, [?].

Abbatiale Saint-Philbert de Grand Lieu (Nantes) date de représentation : le 16 octobre 1982, mise en scène : Nicole Merouze, décors et costumes : Joël Dabin

[?], Maison de la Cult. de Loire Atlantique , septembre/octobre 82, [?]. [?], Inf. du Spectacle , 190, [?].

Les Trois Coups (Bordeaux) date de représentation : mai 1983, mise en scène : Christian Sandrey

[?], Bordeaux-Actualités , 82, [?].

Théâtre 14 (Paris) date de représentation : le 17 février 1988 491 , mise en scène : Jean-Pierre Rossfelder

Compagnie du Théâtre des Cévennes (Festivals d’Albi et d’Aigues-Mortes et de Lattès) 492 date de représentation : juillet-août 1989

Théâtre de la Tempête (Vincennes) date de représentation : le 15 novembre 1990 493 , mise en scène : Philippe Adrien, décors : Pierre Dios

Violaine : Béatrice Delavaux, Pierre de Craon : Jean-Pol Dubois, La Mère : Annie Mercier, Anne Vercors : Jean Dautremay, Mara : Hélène Lapiower, Jacques Hury : Jacques Gamblin

Segrestaa, Jean-Noël, Réflexions sur trois mises en scène, Bulletin de la Socété Paul Claudel , n° 122, Paris, 1991, p. 19-24. reprise (Théâtre de la Tempête, Vincennes)

491 Ensuite en tournée, janvier-avril 1988. Réalisée par la Compagnie du Théâtre de la Fontanelle. 492 Par la Compagnie du Théâtre des Cévennes. 493 À partir de l’automne 1991 en tournée à Perpignan, Bayonne, Bordeaux, Lyon, Meylan et Marne-la-Vallée.

192 date de représentation : le 11 septembre 1991 494

La Sept, Sofica Lumière, Pax Film International 495 date de la sortie : le 18 décembre 1991, adaptation et réalisation : Alain Cuny, décors : Hervé Baley, Bernard Lavoie, Jacques Mizrahi, costumes : Anne le Moal et Elaine Ethier, musique : François-Bernard Mâche

Violaine : Ulrika Jonsson, Pierre de Craon : Roberto Benavente, La Mère : Cécile Potot, Anne Vercors : Alain Cuny, Mara : Christelle Challab, Jacques Hury : Jean des Ligneris

Salle du Centre 6 (Paris) 496 date de représentation : le 18 décembre 1994, mise en scène : Catherine Roquefeuil

Violaine : Marie Ployé, Pierre de Craon : Jean-Paul Nicolaï, La Mère : Nita Alonso, Anne Vercors : Jacques Roux, Mara : Carole Benz, Jacques Hury : Yvan Dobrev reprise (Champagne-en-Valromey) date de représentation : le 26 mai 1995

Centre d’Animation du Haut-Doubs (Cour du château de Joux, près de Pontarlier) 497 date de représentation : le 3 août 1995, mise en scène : Pierre Louis 498 reprise (Théâtre du Lavoir de Pontarlier) date de représentation : le 28 décembre 1995 499

Compagnie « Les Nuits de Joux »500 date de représentation : du 25 octobre – 1 er décembre 1996

Compagnie Ensemble Atopique (Creuse) date de représentation : décembre 1996, mise en scène : Frédéric Fisbach, décors : Emmanuel Clolus, musique : Darius Milhaud

[?], L’Annonce faite à la Creuse, Libération , le 7 février 1997, [?].

494 Présenté jusqu’au 10 novembre 1991. Ensuite en tournée en Pologne, en Hongrie, en République tchèque, en Ukraine, en Estonie et en Russie. 495 En co-production franco-canadienne, il s’agit de l‘adaptation de la première version pour le cinéma. Le début du projet était prévu pour 1968, finalement le tournage n’est réalisé qu’à partir de septembre 1988 (jusqu’en octobre). 496 Par la Troupe du Regain. 497 Dans le cadre du Festival des Nuits de Joux, on a donné sept représentations en plein air. Ensuite le spectacle fut repris dans une nouvelle distribution les 28 et 29 décembre 1995. 498 Par les Comédiens des Nuits de Joux, présenté aussi les 4, 5, 9, 10, 11 et 12 août avec les répétitions à la Saline d’Arc-et-Senans (2-15 juillet) et au Théâtre du Lavoir (Pontarlier). 499 Avec la nouvelle distribution, le spectacle a été repris aussi le 29 décembre 1995 et le 6 janvier 1996, ensuite le 13 janvier à Morteau, le 19 janvier à Ornans, le 3 février à Bart, les 8 et 9 février à Vercel et le 20 mars à Genève et même à la Cathédrale Saint-Jean de Besançon. 500 Tournée, présenté à Epinal, Lyon.

193 [?], L’énigme du succès, Magazine Centre France , le 5 janvier 1997, [?]. reprise (Compagnie Ensemble Atopique) date de représentation : 1997 501 , mise en scène : Frédéric Fisbach, décors : Emmanuel Clolus, musique : Darius Milhaud

Violaine : Valérie Blanchon, Pierre de Craon : Christian Montout, La Mère : Claire Aveline, Anne Vercors : Antoine Caubet, Mara : Céline Cholet, Jacques Hury : Bertrand Bossard

Dreyfus, Alain, [?], Libération , le 18 février 1997, [?].

Compagnie Théâtre francophone de Paris (Crypte de l’Eglise St. Sulpice) date de représentation : février-mars 1999, amteur

Compagnie d’animation du Haut Doubs date de représentation : 1999 502 , mise en scène : Pierre Louis

(Montpellier) date de représentation : juillet 2000

Centre d’Animation du Haut-Doubs 503 date de représentation : 2001, mise en scène : Pierre Louis

[?], L’Est Républicain , le 20 février 2001, [?].

Atelier du Rhin à Colmar date de représentation : le 8 novembre 2001 504 , mise en scène : Matthew Jocelyn , décors : Alain Lagarde , costumes : Zaïa Koscianski , musique : Philippe Boesmans

Violaine : Catriona Morrison, Pierre de Craon : Bruno Pesenti, Elisabethe Vercors (La Mère) : José Drevon, Anne Vercors : Lionnel Astier, Mara : Marie-Eléonore Pourtois, Jacques Hury : Hervé Gaboriau

Compagnie de l’Écharpe Blanche (Abbaye Saint Michel de Frigolet) 505 , version définitive pour la scène

501 Spectacle créé en décembre 1996 dans le Limousin (à Creuse), ensuite en tournée, Evreux (6-17 janvier), Louviers (20-24 janvier), Dieppe ( 3 et 4 février), Prague (28 février), Brno (3 mars), Saint-Denis (10-28 mars), Marne-La-Vallée (31 mars-5 avril), Caen (10-16 mai) et Aubussen (20 juin). 502 Reprises à Villers le lac (les 17 et 18 septembre 1999), à Chaux-neuve (les 24 et 25 septembre), à Pontarlier (le 15 octobre) et à Besançon au CDN (le 21 octobre). 503 Présenté à Lons-le-Saunier, à Levier, à Giromagny près de Belfort. 504 Dans la production de l’Atelier du Rhin – Théâtre de la Manufacture de Colmar. Ensuite présenté du 22 novembre au 23 décembre dans la Grande salle du Théâtre de l’Athénée de Louis- Jouvet de Paris, le 11 janvier 2002 au Théâtre de Poissy et le 15 janvier sur la Scène Nationale du Théâtre de Cherbourg.

194 date de représentation : le 11 juillet 2001, mise en scène : Jean-Louis Sol, décors : Didier Lagana, costumes : Laurence Magnanelli, musique : Julien Valette

Violaine : Delphine Maurel, Pierre de Craon : Ludovic Luchez, Elisabeth Vercors (La Mère) : Gaëlle Lévèque, Anne Vercors : Damien Alibert, Mara : Marion Coutarel, Jacques Hury : Didier Lagana

Macé-Barbier, Nathalie, A la redécouverte..., Bulletin de la Société Paul Claudel , n°168, 2002, p. 42-43.

Studio-Théâtre de Vitry (Vitry) date de représentation : le 16 septembre 2002, mise en scène : Frédéric Fisbach, décors et costumes : Emmanuel Clolus, musique : Darius Milhaud

? Valérie Blanchon, Bertrand Bossard, Sylvie Levesque, Christian Montout, Marys Schwartzbrod, Fred Ulysse

(Colmar, Mulhouse, Issoudun) date de représentation : janvier-mars 2003, mise en scène : Matthew Jocelyn

Compagnie du Théâtre en Pièces (Crypte de la cathédrale de Chartres) date de représentation : novembre-décembre 2003 506 , mise en scène : Emmanuel Ray reprises (Festival de théâtre francophone de Braila en Roumanie) date de représentation : septembre 2004 (Collégiale Saint-André à Chartres) 507 date de représentation : les 15 et 17 avril 2006 508 (Église Saint-Séverin à Paris) date de représentation : le 30 octobre 2005 509 , mise en scène : Fabrice Nicot

505 Ensuite présenté à Montpellier, Béziers, Lodève, Agde, St-Pont de Thomières, à St.-Maurice Lavacelle, Soubès, au château de Portes, au château de Beaucaire (festival d’été) et dans les églises de La Grande-Motte, Lunel et St-François (Montpellier). 506 Treize représentations données entre le 28 novembre et le 24 décembre 2003. 507 Réalisé dans le cadre du Festival de Pâques. 508 Ce spectacle a été ensuite présenté (du 2 juin au 29 juillet, 40 représentations) dans divers lieux (églises, cryptes, halles, caves, châteaux de la route de Saint-Jacques de Compostelle, notamment à l’église de Danjeau (Eure-et-Loir), à l’église de Saint-Jean-Pied-de-Port (Pyrénées- Atlantiques), à la chapelle Saint-Jacques à Vendôme, au cloître de la Psalette à Tours, à l’église Saint-Hilaire de Poitiers, à l’abbaye royale de Saint-Jean à Angély, dans la crypte de l’église Sainte-Eutrope de Saintes, au couvent des minimes de la citadelle de Vautan à Blaye et même au cloître de la collégiale de Saint-Émilion. En août donné en Espagne (quinze représentations), notamment au cloître de la cathédrale de Santiago de Compostela et puis en Italie et en Roumanie. Voir l’article d’Alain Beretta, L’Annonce faite à Marie sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle pendant l’été 2006, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 183, septembre 2006, p. 53-55. 509 Spectacle a été repris les 1er, 12 et 14 décembre, réalisé avec le concours de comédiens amateurs formés au centre d’animation Saint-Michel.

195 Brun, Christelle, Spectacles, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 180, p. 90-91. reprises (Centre Mathis) date de représentation : juin 2005 (Studio Raspail)

Théâtre National Populaire de Villeurbanne (Lyon) 510 date de représentation : le 2 novembre 2005, mise en scène : Christian Schiaretti, décors : Renaud de Fontainieu, costumes : Thibaut Welchlin, musique : Yves Prin, marionnettes : Antonin Bouvret

Violaine : Jeanne Brouaye, Pierre de Craon : Serge Maggiani, La Mère : Anne Benoît, Anne Vercors : André Falcon, Mara : Laurence Besson, Jacques Hury : Olivier Borle

Nelly, Gabriel, Le mystère et le dénuement, Lyon, Le Figaro , le 5 novembre 2005, [?]. reprise Théâtre des Gémeaux à Sceaux date de représentation : le 9 décembre 2005 511

(Cirque de Consolation, Doubs) date de représentation : 2006, mise en scène : Pierre Louis

Violaine : Pauline Jambet, La Mère : Hélène Guéhéry, Anne Vercors : Patrice Mouton, Mara : Julliette Armanet, Jacques (Jacques Hury) : Yannick Rosset

Lécroart, Pascal, L’Annonce faite à Marie en scène par Pierre Louis, dans le cardre du site du Cirque de Consolation (Doubs), Bulletin de la Société Paul Claudel , n°183, septembre 2006, p. 56-57.

(Casa Velázquez) , opéra 512 date de représentation : 2006, adaptation et musique : Olivier Kaspar Navone, Marion, L’Annonce faite à Marie, un opéra d’Olivier Kaspar, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°183, septembre 2006, p. 57-60.

(Église Saint-Martin d’Ainay, Lyon) date de représentation : juillet 2007, mise en scène : Michel Béatrix

Comédie de Valence (Valence), Festival d’Alba la Romaine (Alba la Romaine) date de représentation : le 15 juillet 2008 (?), mise en scène : Christophe Perton, décors : Christophe Perton, Christian Fenouillat, costumes : Alexandra Wassef

510 Il s’agit des marionnettes en collaboration avec Les Gémeaux de Sceaux. Repris du 17 novembre au 4 décembre aux Gémaux de Sceaux et du 9 décembre au 22 décembre au Théâtre national populaire de Villeurbanne. 511 Présenté jusqu’au 22 décembre. 512 L’opéra a été composé dans la résidence de Kaspar à la Casa Velázquez (1995-1997).

196 Violaine : Juliette Delfau, Pierre de Craon : Vincent Garanger, La Mère : Christiane Cohendy, Anne Vercors : André Marcon, Mara : Pauline Moulène, Jacques Hury : Olivier Werner

Troupe de « La Godriolle » (Parvis Saint-Pierre de Montmartre) date de représentation : mai 2009

(Crypte St Joseph-des-Brotteaux, Lyon) date de représentation : le 7 juillet 2010, mise en scène : Michel Béatrix

Compagnie Porte au Trèfle (Centre culturel des Halles, Paris) date de représentation : le 31 mars 2011, mise en scène : Grégory Barco reprises (Théâtre Mouffetard, Paris) date de représentation : le 5 avril 2011, mise en scène : Grégory Barco (Théâtre Monsigny, Boulogne-sur-Mer) date de représentation : le 15 avril 2011 (Cathédrale de Boulogne-sur-Mer) date de représentation : le 10 septembre 2011

Grande Bretagne (The Tidings Brought to Mary )

Pioneer Players, Strand Theatre (Londres) 513 date de représentation : le 10 juin 1917, traduction : Louise Morgan Sill, mise en scène : Edith Craig

Violaine : Cathleen Hazel-Jones, Pierre : Wm. Stack, Mara : Mona Limerick, Jacques : Henry Oscar

[?], New Statesman , [?], IX, le 16 juin 1917, p. 254-256. [?], New York Review , [?], le 28 juillet 1917. [?] [?], Times , [?], le 4 juin, 1917, p. 3b. Arts Theatre Club (Londres) date de représentation : mars 1929, traduction : Louise Morgan Sill, mise en scène : Henry Oscar

Violaine : Jeanne de Cazalis, Mara : Joyce Kennedy

[?], Times , [?], le 21 mars 1929, p. 14b. [?], Spectator , [?], nº 142, [?], le 30 mars 1929, p. 503. [?], New Statesman , [?], nº 32, le 30 mars 1929, p. 792.

513 Dans la réalisation des Pioneer Players. Dans quelques documents on trouve aussi la date de la première 1916 mais nous croyons plus Jacqueline de Labriolle. Cette pièce a aussi été présentée en tournée (avec Suzanne Després) entre 1913 et 1921 en Hollande, en Serbie, en Suisse, en Hongrie et même en France et en Russie soviétique.

197 Chichester Diocesan Players, Ralli Hall (Brighton, Hove, Sussex) date de représentation : les 19-21 javier 1933, traduction : Louise Morgan Sill, mise en scène : E. Martin-Browne

Violaine : H. Raebury, Jacques : R. Speaight

[?], Times , [?], le 12 janvier 1933, p. 10c. 514

Catholic Stage Guild, Chelsea Palace Theatre (Londres) date de représentation : les 25-26 janvier 1934, traduction : Louise Morgan Sill, mise en scène : Robert Speaight

Violaine : Veronica Turleigh, Pierre de Craon : R. Speaight, Mara : Patricia Hayes, Jacques : Eric Portman

[?], Pax , [?], septembre 1934, p. 137-140. [?], Times , le 26 janvier 1934, p. 10e.

Irving Theatre date de représentation : janvier 1953, traduction : Louise Morgan Sill

[?], Times , le 28 janvier 1953, [?].

(Belfast) date de représentation : 1953? , traduction : Louise Morgan Sill

[?], Times , le 23 mai 1953, p. 8g.

Third Programme date de diffusion : le 6 novembre 1955, 515 réalisation Michael Bakewell, musique : Norman Demuth

Irving Theatre (Londres) date de représentation : le 27 janvier 1957

(Londres) 516 date de représentation : avril 1957, mise en scène : Olga Zeromska

Piccadilly Theatre, Festival of Franch Theatre (Londres), voir Théâtre de l’Œuvre, le 21 janvier 1961 date de représentation : le 19 mars 1962 517

514 Voir aussi R. Speaight, Nouvelles Littéraires , le 17 mars 1955. 515 Reprises : le 8 novembre 1955 et le 28 janvier 1956. 516 Spectacle réalisé par la troupe du Teatr Pro Arte, présenté en polonais. 517 Reprise de la mise en scène de L’Annonce de 1961 realisée au Théâtre de l’Œuvre. Dans la réalisation de Michael Dorfman et les Productions théâtrales Georges Herbert. Présenté en français pour la première fois dans le cadre du Festival du théâtre français. Spectacle joué jusqu’au 25 mars de la même année par la troupe du Théâtre de L’Œuvre.

198

Violaine : Danièle Delorme, Mara : Loleh Bellon

Hobson, H., [?], Sunday Times , le 25 mars 1962, p. 41c. Wardle, Irwing, [?], Observer , le 25 mars 1962, [?]. [?], Daily Telegraph , le 20 mars 1962, [?]. [?], Evening News , le 20 mars 1962, [?]. [?], Figaro , le 8 février 1962, [?]. [?], Plays & Players , mars 1962, [?]. [?], The Stage Year Book , 1963, [?]. [?], Times , le 20 mars 1962, p. 15a.

B.B.C. 518 date de diffusion : le 26 mars 1967

Grèce (O EY ΑΓΓΕΛΙΣΜΟΣ ) Institut français d’Athènes 519

Milliex, Roger, L’œuvre de Claudel, Aktines [Rayons], mai 1944, p. 139-140.

Théâtre National d’Athènes (Royal) date de représentation : le 23 mai 1947, mise en scène : Jean Marchat 520

Théâtre National d’Athènes (Athènes) 521 date de représentation : le 2 mai 1952 522 , mise en scène : Al. Solomos, décors : C. Clonis, costumes : A. Phocas, chef d’orchestre : Lykoudis

Violaine : Rita Myrat, Pierre Craon : Georges Pappas, Mara : Elsa Vergi, Jacques Hury : Thanos Kotsopoulos

Terzakis, Anghelos, Le Poète de l’Annonce faite à Marie, To Vima , le 30 avril 1952, [?]. 523 Thrylos, Alkis, Paul Claudel : L’Annonce faite à Marie, pièce religieuse en quatre actes, Nea Hestia , le 15 mai 1952, p. 697-698. reprise date de représentation : le 8 avril 1955

Théâtre Chrétien 524

518 Spectacle mis en ondes en polonais sur le programme polonais. 519 Réalisation de quelques cours de Milleux sur le théâtre de Claudel. 520 Dans la réalisation d’une troupe française. 521 Pour les articles de presse voir la Bibliographie grecque Paul Claudel de Georges Catsimbalis (Athènes, 1959). 522 Présenté jusqu’au 5 juin 1952. 523 L’article a été repris en 1989 dans le recueil d’essais Avant la levée du rideau (Athènes, Castaniotis, p. 200-205).

199 date de représentation : ? Guadeloupe (Théâtre d’Arbaud , Basse-Terre), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : septembre 1944

Compagnie Jean Gosselin date de représentation : saison 1960-1961

Haïti (Théâtre Rex, Port-au-Prince), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : 1943

Compagnie Jean Gosselin date de représentation : saison 1960-1961

(Port-au-Prince) date de représentation : le 30 décembre 1973

Hongrie Théâtre de Székesfehévár date de représentation : décembre 1996, mise en scène : Andras Dér

Violaine : Denisa Dér, La Mère : Vera Venezel, Anne Vercors : Péter Blasko, Mara : Eszter Nagy-Kalozy, Jacques Hury : Karoly Eperjes

P. Moses M. Nagy, L’Annonce faite à Marie en Hongrie, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 147, 1997, p. 10-11.

Chili (Théâtre municipal , Santiago du Chili), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : décembre 1942, mise en scène : Louis Jouvet

(Viña del Mar), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 (Valparaiso) date de représentation : janvier 1943

Teatro munisipãl Santiago du Chili 525 date de représentation : 1949, traduction : Etienne Frois, mise en scène : Fernando Debesa nebo Etienne Frois

524 Réalisé dans plusieurs villages grecs. 525 Par le El Teatro de Ensayo.

200 [?], L’Annonce faite à Marie va être jouée à Santiago, Le Figaro , le 23 septembre 1949, [?].

Irlande Radio irlandaise 526 date de diffusion : le 14 mars 1961

Italie (L’Annunciazione , L´Annunzio a Maria )

Théâtre Manzoni (Milan) 527 date de représentation : le 26 janvier 1933, traduction : Ugo Nanni, mise en scène : Gualterio Tumiati, décors et costumes : Beryl Tumiati

Violaine : Wanda Bermini

Théâtre Quirino (L’Odéon de Milan) date de représentation : avril 1950, mise en scène : Pavolini

Simoni, Renato, Dramma , le 15 mars 1950, [?].

(Rome) 528 date de représentation : le 29 avril 1950, mise en scène : Jean Vernier

Teatro Sant´Erasmo, Teatro Grande (Milano) 529 date de représentation : novembre 1956, mise en scène : Carlo Lari

[?], Corriere dell’Adda , [?]. [?], La Voce del Popolo , le 19 janvier 1957, [?]. [?], La Prealpina , le 8 janvier 1957, [?]. [?], Sicilia del Popolo , le 14 février 1957, [?].

(Rome) 530 date de représentation : les 17 et 18 mai 1966 Télévision italienne 531 date de diffusion : le 26 mars 1970, traduction : Italo Alighiera Chiusano

Théâtre San Babila (Milan) date de représentation : mai 1971, traduction : Francesco Casnati, mise en scène : Fantasio Piccoli

526 Diffusé en langue gaélique. 527 Ensuite en tournée en Italie. 528 Il s’agit d’une tournée du Théâtre Hébertot à Rome (lectures de poèmes), Florence et dans d’autres villes en Italie du Nord, donnée jusqu’au 12 mai. À Rome présenté devant le pape Pie XII. 529 En 1957 tournée à Varèse, Brescia et à Palerme en Sicile. 530 Adapté par les élèves du Lycée, par la Compagnie Renaud-Barrault. 531 Il s’agit de l’adaptation allemande du 1963.

201

Radio italienne date de diffusion : le 12 février 1972

Radio Trieste date de diffusion : 1972

Théâtre San Carlo (Naples) 532 date de représentation : avril 1973, mise en scène : Pierre Franck, musique : Renzo Rossellini

Reprise (Théâtre de la Fenice, Venise)

R.A.I. (poste de Trieste) 533 date de diffusion : 1976, en langue slovène

Radio italienne date de diffusion : 1983, traduction : Francesco Casnati

R.A.I. date de diffusion : décembre 1985, adaptation : Carlo Orsini, mise en scène : Sabatino Ciocca

R.A.I. date de diffusion : 1986, traduction : Francesco Casnati

R.A.I. 3 date de diffusion : le 15 avril 1995, traduction : Francesco Casnati mozna J.

R.A.I. date de diffusion : le 30 mai 1998

Compatnie Teatro Perché de Bologne (Cloître San Stefano de Bologne) date de représentation : août 1999, mise en scène : Silvana Strocchi

Irlande Radio Date de radiodiffusion : le 14 mars 1961 534 (?)

Japon

532 Il s’agit de la reprise de l’opéra de Renzo Rossellini (Paris, 1970). 533 Diffusé en langue slovène. 534 En langue gaëlique, retransmis ensuite les 21, 28 mars et le 4 avril.

202 (Tokyo) 535 date de représentation : novembre 1947, traduction : Tarô Kimura

Théâtre Bunraku (Osaka) 536 date de représentation : le 17 décembre 1949, mise en scène : Chikoa Tamaka reprise (Kyôto) 537 date de représentation : le 29 avril 1950

(Nagoya) 538 date de représentation : le 10 octobre 1951, mise en scène : Yoshimasa Matsumoto reprise (Yokkaïchi) date de représentation : le 2 décembre 1951

(Nagoya) 539 date de représentation : mai 1957, mise en scène : Hiromitsu Kurimoto

(Osaka) 540 date de représentation : le 27 septembre 1960, traduction : Tarô Kimura, mise en scène : Masao Tsuji reprise (Nagoya) 541 date de représentation : le 18 décembre 1960

Sankei Hall (Osaka) date de représentation : le 28 octobre 1968

Laboratoire de Bungaku-za (Tokyo) 542 date de représentation : le 18 février 1964, traduction : Rikié Suzuki et Isao Yamamoto, mise en scène : Shinya Andô (Tokyo) 543 date de représentation : le 27 janvier 1968, traduction : Tarô Kimura, mise en scène : Michiko Nishio

535 Réalisé à la salle de conférence de l’Université Jôchi par son club de théâtre. En japonais. 536 Par la Compagnie Aoneko, présenté même le 18 décembre, en japonais. 537 Dans la maison Kouraku. 538 Présenté dans la salle de conférence de l’Université Nanzan par son club de théâtre. 539 Réalisé à la salle de conférence de l’Université Nanzan, ensuite présenté même à Nagasaki (salle de conférence de Nanzan Gakuen) et Hiroshima (salle de conférence de Seishin Gakuen). 540 Réalisé dans la Maison Sankei par la Compagnie Aoneko. 541 Repris dans la salle de conférence de l’Université Nanzan à Nagoya. 542 Réalisé par le cercle Atelier de la Compagnie de Bungaku-za. Joué jusqu’au 23 février. 543 Réalisé par le club de théâtre japonais de l’Université de filles Seishin à marian Hall de cet établissement.

203 Chûbu-Denryoku Hall (Nanzan) 544 date de représentation : le 30 octobre 1968, mise en scène : Tarô Kimura

Mainichi Hall (Osaka) 545 date de représentation : le 29 janvier 1972, traduction : Tarô Kimura, mise en scène : Isomi reprises (Salle Kamakura) date de représentation : le 20 juin 1972 (Nihon Toshi Center Hall) date de représentation : le 27 juin 1972 (Kannaï Hall, Yokohama) date de représentation : le 4 juillet 1972

Liban Pensionnat Notre-Dame de Nazareth (Beyrouth) date de représentation : le 7 mai 1966

Luxembourg Radio Luxembourg date de diffusion : le 25 mars 1965, mise en ondes : Jean Lafond

? France Descaut, Alain Cuny, Henri Rollan, André Salé

Maroc ? date de représentation : 1963 546

(Rabat) 547 date de représentation : novembre 1964, mise en scène : Maurice Germain (4 Sw 7986) [Non-signé], Les Marocains applaudissent Claudel, Le Figaro , le 21 novembre 1964 (p. 7). Martinique (Théâtre municipal , Fort-de-France), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : le 7 septembre 1944

Compagnie Jean Gosselin

544 En français, joué par les étudiants de l’Université Nanzan. 545 Par la Compagnie de Kuruma-za. 546 Dans la mise en scène de Pierre Franck, dans le cadre d’une tournée Herbert, présenté même au Liban. 547 Tournée de la troupe des Amis du Théâtre de France, présenté même à Marrakech, Oujda, Tanger, Fès et Casablanca.

204 date de représentation : saison 1960-1961

Mexique (Palacio de Bellas Artes, Mexico), reprise, v. Rio de Janeiro, 1942 date de représentation : 1944, mise en scène : Louis Jouvet

(Théâtre Degollado, Guadalajara), ibid. date de représentation : 1944

Nigeria Université de Zaria date de représentation : le 9 décembre 1964, traduction et mise en scène : Arthur Creedy

Norvège Théâtre radiophonique date de représentation : 1936

Norske Teatret (Oslo) date de représentation : automne 1967, traduction : Halldis Moren Vesaas, mise en scène : Claes Gill date de représentation : 1993, mise en scène : Kjetil Bang-Hansen

Pays Bas (De Boodschap aan Maria, Maria Boodschap ) Stadsschouwburg (Amsterdam) 548 date de représentation : le 27 février 1913

Coenen, Frans, Dramatisch Overzicht, Groot Nedeland , mars 1913, p. 496-501. Van Hall, J. N., Dramatisch overzicht : Stadsschouwbourg. Théâtre de l’Œuvre : Paul Claudel, L’Annonce faite à Mari e., De Gids , mars 1913, p. 160-164.

K.V. het Nederlandsch Tooneel date de représentation : 1920, traduction : Hein Boeken, mise en scène : Willem Royaards

Vlaamsch Volkstooneel (Eindhoven) date de représentation : janvier 1928, mise en scène : Johan de Meester

Toneelgroep Studio date de représentation : 1941, traduction : Hein Boeken, mise en scène : Albert van Dalsum

[Non-signé], Modern mirakelspel, Rotterdamsch Nieuwsblad , le 17 mars 1941, p. 13.

548 Tournée de Lugné-Poe.

205

Pérou Théâtre municipal (Lima) date de représentation : janvier 1943

Pologne Teatr J. Slowackiego (Cracovie) date de représentation : le 13 décembre 1924, traduction : Edwqrd Leszczynski, mise en scène : Teofil Trzcinski

Mara : Stanislawa Wysecka

Institut Théâtral à Varsovie 549 date de représentation : 1938

Teatr Akademicki, Université Catholique de Lublin date de représentation : le 25 mars 1954 550

(Teatr Pro Arte), v. Grande-Bretagne, msc. Zeromska, 1957

Portugal (O Anuncio feito a Maria , A Annunciação a Maria ) ? date de représentation : 1941 551 , reprise, v. msc. Eve Francis, Lyon, 1940

Tournées Herbert date de représentation : mars 1963, mise en scène : Pierre Franck

(Lisbonne) 552 date de représentation : mai 1968

Théâtre du Dona Maria II (Lisbonne) date de représentation : le 2 juillet 1983 553 , mise en scène : Jorge Listopad, musique : Filipe de Sousa Violaine : Manuela de Freitas

Jourdan, Pierre, O Anuncio feito a Maria, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 93, Paris 1984, p. 25-26.

549 Réalisation d’école à l’institut Théâtral, présentation de quelques scènes fondamentales de la pièce. 550 Mise en scène par les étudiants de l’Université. 551 Tournée. 552 Par la Compagnie Mocidade Portuguesa Feminina. 553 Ce même spectacle est repris au printemps en 1984.

206 reprise date de représentation : 1984

(Braga) 554 date de représentation : le 25 mai 1990

République de Saint-Marin Teatro nuovo di Dogana date de représentation : le 22 août 1995 555 , mise en scène : Antonio Syxty

Roumanie (Ingerul a vestit pe Maria ) Théâtre Natina 556 (Bucarest) date de représentation : le 4 avril 1939, traduction : Ion Pillat, mise en scène : Ion Sava, musique : Al. Barcanescu

Violaine : Aura Buzesci, Pierre de Crâon : E. Botta, La Mère : Getta Kernbach, Anne Vercors : G. Storin, Mara : Marietta Anca-Sadoveanu, Jacques Hury : M. Gingulescu

Rusie Théâtre Kamiernyj (Théâtre de Chambre, Moscou) date de représentation : le 16 novembre 1920, mise en scène : Alexandre Taïrov, costumes (pour la rôle de Violaine) : Alexander Vesnin

Suède Théâtre Royal Dramatique de Stockholm date de représentation : avril 1974, mise en scène : Alf Sjöberg

Suisse (Genève) 557 date de représentation : mai 1913

Comédie de Genève 558 date de représentation : le 12 janvier 1914

554 Par la Compagnie du Teatro de Braga à l’occasion du 900 e anniversaire du Siège épiscopal de Braga. 555 Jusqu’au 25 août. 556 Théâtre National. 557 Tournée de Lugné-Poe. 558 Par la Troupe helvétique.

207 Zürcher Kammerspiele (Zürich) 559 date de représentation : le 28 octobre 1919, mise en scène : Lévy 560

Andreas : Hardt, Jakobäus : Hess, Peter von Ulm : Rainer, Violäne : Clarens, Mara : Kinz

Birchler, Linus, [?], Neuen Zürcher Nachrichten , le 3 décembre 1919, [?]. [Dr. Isler ?], Neue Zürcher Zeitung , le 1er décembre 1919, [?].

Casino de Berne (Berne) 561 date de représentation : décembre 1925, mise en scène : M.-L. Herking

Stadttheater (Saint-Gall) date de représentation : le 18 décembre 1941

(Genève) 562 date de représentation : le 4 septembre 1946, v. Rio de Janeiro, 1942, mise en scène : Louis Jouvet Stadttheater (Coire) date de représentation : le 6 décembre 1946

Stadttheater Basel (Bâle, Basel) date de représentation : le 27 décembre 1946 563 , traduction : Hans Urs von Balthasar, mise en scène : Werner Kraut a. G., décors et costumes : Eduard Gunzinger

Violaine : Margrit Winter, Pierre de Craon : Bernhard Wicki, La Mère (Die Mutter) : Elisabeth Barth, Anne Vercors : Kurt Horwitz, Mara : Maria Becker, Jacques Hury : Erwin Kohlund

[?], Basler Nachrichten (Abendblatt), le 17 décembre 1946, [?]. [?], National-Zeitung , le 17 décembre 1946, [?].

Stadttheater (Lucerne) date de représentation : 1948

Institut Baldegg 564 date de représentation : 1953

Théâtre de Siviriez 565 date de représentation : 1958

559 Présenté en allemand dans le cadre des Zürcher Kammerspiele. 560 Edwin Maria Landau donne le nom Révy, voir Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen , p. 62. 561 D’après Landau réalisé sur la scène du collège. 562 Présenté à l’occasion des Rencontres internationales. 563 Edwin Maria Landau donne cette date le 16 décembre 1946, voir Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen , p. 64. 564 Réalisé par les étudiants du collège. 565 Réalisé sur la scène du collège.

208

(Genève) 566 date de représentation : février 1963, mise en scène : Pierre Franck

L’Institut Ste Ursule (Brig, Valais) 567 date de représentation : Noël 1963

(La Tour-de-Peilz), reprise, v. msc. Jean Lagénie, Saint-Flour, 1966 date de représentation : le 15 août 1957

(Bulle) 568 date de représentation : le 18 février 1967

Télévision suisse-allemande 569 date de diffusion : le 19 mars 1967

Théâtre 58 (Zürich) 570 date de représentation : 1969, traduction : Edwin Maria Landau, mise en scène : André Revelly reprise date de représentation : saison 1978-1979

Galas Eurothéâtre (Lucerne) date de représentation : le 30 octobre 1973, mise en scène : Roland Jouve

Théâtre Seefeld (Zurich) date de représentation : le 28 février 1986 571 , traduction : Edwin-Maria Landau Compagnie Jean Davy (Festival d’Art Sacré de Genève), voir msc. Jean Davy, France date de représentation : le 18 mai 1996

Suède (Budskapet till Maria ) Lilla scenen , Royal Dramatic Theatre (Stokholm) date de représentation : le 25 april 1974, mise en scène : Alf Sjöberg, décors : Agneta Pauli, costumes : Lennart Mörk, musique : Daniel Bell

566 Dans le cadre de la tournée Herbert. Présenté même à Lausanne et à Valais. 567 Réalisé par les élèves. 568 Par la Compagnie des Tréteaux de Chalamale de Boulle. Ensuite présenté les 19, 23 et 26 février. 569 Retransmission du film de L’Annonce faite à Marie réalisée par les Productions Zweiten Deutschen Fernsehens. 570 Ensuite tournée en 1970, en allemand. 571 En octobre, le spectacle est présenté dans différentes villes et églises de Suisse allemande.

209 Violaine : Gunilla Olsson, Pierre de Craon : Jan-Olof Strandberg, Modern : Birgitta Valberg, Anne Vercors : Andres Ek, Mara : Gerthi Kulle, Jacques Henry : Mathias Henrikson [?], Aftenbladet , le 26 avril 1974, [?]. [?], Arbetet , le 3 mai 1974, [?]. [?], Dagens Nyeter , le 26 avril 1974, [?]. [?], Expressen , le 26 avril 1974, [?]. [?], Göteborgs-Posten , le 27 avril 1974, [?]. [?], Svenska Dageblat , le 26 avril 1974, [?]. [?], Sydsvenska Dagbladet , le 26 avril 1974, [?].

Uruguay Studio Auditorio del Sodre (Montevideo) date de représentation : novembre 1942, mise en scène : Louis Jouvet

Studio Auditorio del Sodre (Montevideo) date de représentation : le 18 novembre 1943, traduction : Roman Vinoly Baretto, mise en scène : Juan José Severino reprise (San José, Costarica) date de représentation : le 24 août 1944

(Montevideo) 572 date de représentation : juillet 1971, mise en scène : Bernard Scherb

Venezuela Théâtre municipal (Caracas) date de représentation : 1943

Yougoslavie Compagnie Zupe Marko Krizevcanin (Zagreb) date de représentation : 1970 573 , mise en scène : Janko Marinkovic

Radio Trieste date de diffusion : 1972 sous le titre Légende du miracle Japon

572 Il s’agit de la tournée du Théâtre de l’Alliance française. 573 Spectacle présenté dans diverses salles à Zagreb et en province.

210 Star Dancers Ballet (Tokyo) date de représentation : ?, mise en scène : Tomoji Shakuta sous le titre Mara Violaine Belgique Théâtre Océan Nord de Bruxelles date de représentation : le 22 janvier-2 février 2008, mise en scène : Guillemette Laurent

Camille Claudel 1864-1943 France (Centre culturel de la Clef à Paris) date de représentation : novembre-décembre 2004 sous le titre Une Femme, Camille Claudel France Théâtre du Chaudron à la Cartoucherie de Vincennes date de représentation : le 23 septembre 1981 574 , adaptation : Anne Delbée et Jeanne Fayard, mise en scène : Anne Delbée, décors : Jean-Pierre Regnault, musique : Bruno Bontempelli

Pascaline Pointillard, Silvie de Meurville, Nathalie Alexandre, Micheline Attal

La Cantate à trois voix Belgique Nouveau Théâtre de Belgique (Bruxelles) date de représentation : le 23 février 1984, mise en scène : Henri Ronse reprise (Nouveau Théâtre de Belgique, Bruxelles), v. Suisse, msc. Ronse, 1986

Nouveau Théâtre de Belgique (Bruxelles) date de représentation : décembre 1989 575

France Château des Allymes près d’Ambérieu 576

574 Spectacle présenté jusqu’au 24 octobre, réalisation créée à partir des textes de Claudel et l’oeuvre de Auguste Rodin, Camille Claudel, Mathias Monthardt et Camille Mauclair. 575 Ensuite tournée à Beauvais et à Lyon. 576 Avec les textes L’Homme et son désir et La Femme et son ombre .

211 date de représentation : 1965, mise en scène : Gérard Maré (Lyon) 577 date de représentation : le 25 février 1966

Théâtre du Ranelagh (Paris) date de représentation : le 3 février 1979, mise en scène : Jean-Pierre Dusseaux, décors et costumes : Alain Batifoulier, piano : Jean-Louis Caillard

[?], Le Figaro , le 5 mai 1978, [?]. [?], Le Figaro , le 10 janvier 1979, [?]. [?], Le Figaro , le 9 février 1979, [?]. [?], Le Figaro , le 13 février 1979, [?]. [?], SPP , 558, 562, 563, [?]. [?], Inf. du Spectacle , 149, [?].

? Catherine Davenier, Martine Pascal, Christiane Rorato

Eglise Saint-Merre (Paris) date de représentation : le 25 septembre 1979, mise en scène : Alexis Tikovoï, costumes : Loris Azzaro, musique : Alain Savouret

Leata : Carole Chauvet, Beata : Estella Blain, Fausta : Marika Green

[?], Le Figaro , le 2 octobre 1979 (phot.), [?]. [?], Une Sem. de P.-P. , 591, 592 (phot.), 593 (phot.), 594, [?]. [?], Inf. Culturelle Régionale , 53, [?].

? date de représentation : 1984, mise en scène : Henri Ronse

France-culture date de diffusion : le 2 novembre 1984, mise en onde : Gérard Herzog

Laeta : Martine Sarcey, Fausta : Danièle Condamin, Beata : Nathalie Nerval

Atelier Régional d’Acteurs (Clermon-Ferrand) 578 date de représentation : le 16 janvier 1986, mise en scène : Josette Jeunet

Laeta : Nathalie Rebreget, Fausta : Marike de Bussac, Beata : Josette Jeunet

Lioure, Michel, Théâtre universitaire : La Cantate à trois voix à Clermont-Ferrand, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 101, Paris 1986, p. 16-17.

Théâtre Cypris (Alès) 579

577 Réalisé par la troupe de Gérard Maré avec d’autres textes L’Homme et son désir et La Femme et son ombre . 578 Joué à la Maison des Congrès de la Ville de Clermont-Ferrand, le spectacle fut repris à la Faculté des Lettres de Clermont et dans les environs de Lyon.

212 date de représentation : le 21 juillet 1986, mise en scène : Madeleine Marion

[?], Calades , 71, [?]. reprises (Théâtre Cypris, Rennes) 580 date de représentation : le 4 novembre 1986

? Hélène Avice, Erika Vandelet, Passiflore Baldassari

[?], Une Sem. de P.-P. , 967, 968, [?]. [?], Le Grand Huit , 2 (foto), [?]. [?], Contact , 363, [?].

(Salle Le Terrier, Théâtre Gérard Philipe, Saint-Denis) date de représentation : décembre 1987

(Avignon) date de représentation : 1987 ?, mise en scène : Josette Jeunet

(Clermont-Ferrand) date de représentation : 1988, mise en scène : Josette Jeunet

Théâtre du Nord-Ouest à Paris date de représentation : le 26 mars 2002, mise en scène : Édith Garraud

Beata : Édith Garraud, Leata : Axelle Petersen, Fausta : Cécile Tournesol

Studio-Théâtre, Comédie-Française date de représentation : janvier-mars 2003, mise en scène : Madelaine Marion

Leata : Rébeca Convenant, Beata : Céline Samie, Fausta : Cécile Brune

Nuits de Fourvière date de représentation : juillet 2003, mise en scène : Fioramante

Compagnie L’Heautontimorouménos (Crypte de Saint-Sulpice de Paris) date de représentation : du 12 septembre au 14 octobre 2006, mise en scène : Jean-François Mariotti

Leata : Camille Cobbi, Fausta : Clémentine Marmey, Beata : Clémetine Pons

Emin, Charlotte, Spectacles, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 185, mars 2007, p. 71- 72.

579 Dans le cadre du 9 Festival du Jeune Théâtre aux Terrasses Vauban, par la Compagnie Madeleine Marion. 580 Realisé dans la Maison de la Culture, Théâtre de la Parcheminerie.

213

Compagnie « Le Théâtre du Lion vert » (Festival d’Avignon) date de représentation : juillet 2007, mise en scène : Nazim Boudjenah

Leata : Julie Pilod, Fausta : Céline Carrère, Beata : Emmanuelle Lafon

Macé, Nathalie, L’Échange de Paul Claudel, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 187, octobre 2007, p. 70-71. reprise (Maison de la Poésie à Paris) date de représentation : le 10 mars 2008

(Crypte St-Joseph-des-Brotteaux, Lyon) date de représentation : juin 2011, mise en scène : Michel Béatrix reprises (Château d’Hostel, Belmont-Luthézieu) Date de représentation : juin 2011 (Carmel de la Paix de Mazille) date de représentation : le 24 juillet 2011, mise en scène : Michel Béatrix reprise (Église St Martin, Senncey-le-Grand) Date de représentation : le 28 juillet 2011

Suisse Centre dramatique de Lausanne date de représentation : du 9 au 13 juin 1987 reprises (Théâtre poétique de Genève) date de représentation : du 27 juin au 3 juillet 1987 (Nouveau Théâtre de Belgique, Bruxelles) 581 date de représentation : 1987, mise en scène : Henri Ronse

Cantique de l’Espérance

Palais des Beaux-Arts (Bruxelles) date de représentation : le 9 juillet 1953 Musique et chef d’orchestre : Paul Hindemith

Cent phrases pour éventail

581 Ensuite tournée en Belgique et en France entre juin et août 1988.

214 France Mai de Bordeaux date de lecture : le 13 mai 1979 582 , mise en scène : Jacques Albert-Canque

Emmanuelle Riva, Alain Cuny

(Maison de la Poésie à Paris) date de représentation : septembre-octobre 2001, mise en scène et interprétation : Dimitri Rataud

Maison du Japon à Paris , danse de Nô, création mondiale date de représentation : le 26 février 2004, adaptation et mise en scène : Moriaki Watanabe, musique : Hideo Kanze

Italie (Milan) 583 date du concert : 1962, réalisation : M.-C. Brero sous le titre Sept Phrases pour Eventails France Salle Cortot (Paris) date de représentation : le 21 mars 1986, musique : Guy Sacre sous le titre La Cantate Lyrique France (Beaubourg) , première audition date du concert : le 19 février 1996, adaptation : Michel Decoust 584

Cinq Grandes Odes Grande Bretagne (Five Great Odes)

Third Programme 585 date de diffusion : novembre 1955, traduction : Geoffrey Brereton

582 Il s’agissait d’une lecture-dramatique. 583 Ce compositeur avait déjà mis en musique 8 poèmes de ce recueil. 584 Composé à partir du texte Cent phrases pour éventails . 585 Le programme était suivant : « The Muses » le 7 novembre (reprise le 11 février 1957), puis « The Spirit and the Water » le 10 novembre 1955 (reprise le 16 février 1957), ensuite « Magnificat » le 14 novembre 1955 (reprise le 21 février 1957), puis « The Muse who is Divine Grace » le 16 novembre 1955 (reprise le 23 février 1957, et finalement « The Closed House » le 19 novembre 1955 et repris le 27 février 1957.

215

France Festival d’Avignon 586 date de lecture : le 22 juillet 1992

Connaissance de l’Est

États-Unis

(Boston) date de lecture : novembre 1968

Lecture : Henri Peyre

France L’Odéon Théâtre de France date de représentation : le 2 avril 1952

Théâtre Marigny date de représentation : le 3 mars 1955

Compagnie Laurence Février (Paris) date de lecture : les 15, 22 et 29 janvier 1999 587 sous le titre Connaissance de Paul Claudel 588 Belgique Théâtre du Rideau de Bruxelles 589 date de représentation : mai 1965

France (Lyon) date de représentation : 2 avril 1952 (avec l’Échange ) reprise

586 Lecture de « Sainte Thérèse d’Avila » et de « l’Esprit et l’Eau » sous la direction de Maurice de Gandillac. 587 Lecture composée à partir des textes suivants : Connaissance de l’Est , Cinq grandes odes et Poèmes retrouvés . 588 Montage de J.-L. Barrault à partir des extraits des textes Conversations dans le Loir-et- Cher , des poèmes de Connaissance de l’Est , Feuilles de saints et des extraits des pièces Partage de Midi , L’Annonce faite à Marie , l’Echange et Le Soulier de satin . 589 Il s’agit du montage de J.-L. Barrault.

216 (Tournée Bruxelles, Hambourg, Montréal) date de la tournée : le 15 octobre – 2 novembre 1952

Théâtre Marigny date de représentation : le 3 mars 1955 sous le titre Connaissance de Paul Claudel (New- York, Boston, Univesité d’Harvard, Princeton, Yale), tournée date de la tournée : novembre 1952

(Amérique du Sud - Mexique, Pérou, Equateur, Colombie, Venezuela, Guadeloupe et Martinique, Haïti) Date de la tournée : avril – juillet 1956

Grande Bretagne 590

Lyceum Theatre (Edinburgh) date du récital : 1957

[?], Times , le 5 septembre 1957, p. 4g.

Conversation sur France Cloître du Palais Vieux, Festival d’Avignon (Avignon), lecture date de lecture : le 23 juillet 1991, direction artistique : Jean-Claude Carrière

Lecture : Didier Sandre

Conversation dans le Loir-et-Cher Belgique Théâtre des Martyrs (Bruxelles) date de représentation : le 13 novembre 2002 591 , adaptation : Hélène Theunissen, mise en scène et décors : Daniel Scahaise

Furius : Jaoued Deggou, Acer : Christophe Destexhe, Palmyre : Nicole Madimer, Civilis : Laurent Tisseyre, Florence : Hélène Theunissen

Boly, Joseph, Théâtre, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°168, 2002, p. 40-41.

590 Cité dans l’ouvrage de Jacqueline de Labriolle Claudel and the English-speaking world : a critical bibliography , p. 60. Récital de J.-L. Barrault et de la compagnie Renaud-Barrault, en 2 matinées. 591 Presenté jusqu’au 21 décembre 2002.

217

France ? date de représentation : avril 1972, mise en scène : Roland Monod, adaptation : Silvia Monfort, décors et costumes : André Acquart

Interprétation : Silvia Monfort

Carré Thorigny (Paris) 592 date de représentation : le 7 septembre 1973, création mondiale, adaptation : Silvia Monfort, mise en scène : Guy Lauzin, décors et costumes : Jacques Noël, musique : Henri Sauguet

Furius : Gabriel Jablour, Acer : Patrick Lancelot, Civilis : Philippe Brigaud, Florence : Silvia Monfort, Le Jeune Homme au livre : Gilles Lanoue, Le Jeune Homme à la guitare : Jean-Louis Feldmann, Raphaël Andia

(4Sw 7983) Curtiss, Thomas Quinn, Variations on Claudelian Themes of the 1920s, Herald Tribune , le 14 septembre 1973 (p. 11). Dunoyer, Jean-Marie, « Conversation dans le Loir-et-Cher », Le Monde , le 13 septembre 1973 (p. 27). Galey, Matthieu, Conversation dans le Loir-et-Cher de Paul Claudel, Combat , le 12 septembre 1973 (p. 25). Galey, M., Un théâtre inspiré, Nouvelles Littéraires , le 24 septembre 1973 (p. 47-48). Jamet, Dominique, « Conversation dans le Loir-et-Cher de Paul Claudel, L’Aurore , le 13 septembre 1973 (p. 29). J.M. (Monteaux, Jean), Paul Claudel, auteur comique, Elle , le 17 septembre 1973 (p. 39- 42). Kanters, Robert, Claudel parle et même bavarde, Le Soir , le 19 septembre 1973 (p. 43). Le Marchand, J., Une pièce, Le Nouveau Journal , le 15 septembre 1973 (p. 37). Lerminier, Georges, Conversations dans le Loir-et-Cher au Carré Thorigny, Le Parisien , le 14 septembre 1973 (p. 35). Leusse, Marc de, Reconstruire l’architecture Paul Claudel et les camelots de l’architecture, Combat , le 8 novembre 1973 (p. 53-56). Marcabru, Pierre, « Conversation dans le Loir-et-Cher ». Un éblouissant causeur, France Soir , le 13 septembre 1973 (p. 31). Maria, Roger, « Conversation dans le Loir-et-Cher » (d’un autre Claudel), L’Humanité , le 28 novembre 1973 (p. 61). Mazars Pierre, Conversation dans le Loir-et-Cher de Paul Claudel, Le Figaro , le 13 septembre 1973 (p. 33). Santerre, François de, Claudel, juge de son époque, Le Figaro , le 27 août 1973 (p. 7). Varenne, Françoise, Ceux qui préféraient..., Le Figaro , le 8 septembre 1973 (p. 19). Vigneron, Jean, Au Carré Thorigny Conversations dans le Loir-et-Cher de Claudel, La Croix , le 23 septembre 1973 (p. 45).

592 Version pour la scène.

218 [Non-signé], Carré Thorigny Théâtre Silvia Monfort, Alpha , septembre 1973 (p. 13). [Non-signé], Conversations Claudéliennes au Carré Thorigny, Le Figaro , 28 juin 1973 (p. 5). [Non-signé], On rira avec Claudel au Carré Thorigny, Le Parisien , le 8 septembre 1973 (p. 21). [Non-signé], Paul Claudel, un monologue à quatre voix, France Catholique-Ecclesia , le 21 septembre 1973 (p. 15-16). [Non-signé], Sylvia Monfort au Carré Thorigny, par amour pour Claudel, L’Aurore , le 7 septembre 1973 (p. 17). [Non-signé], Une soirée Claudel, Le Figaro , le 18 octobre 1973 (p. 49). [?], Combat , le 17 janvier 1974 (p. 71), [?]. [?], Deutsche Tagespost , le 26 septembre 1973, [?]. [?], L’Express , le 17 septembre 1973, [?]. [?], Le Figaro , le 25 mai 1972, [?]. [?], Le Figaro , le 28 juin 1973, [?]. [?], Le Figaro , le 27 septembre, [?]. [?], Le Figaro , le 12 décembre 1973, [?]. [?], Die Furche , le 18 janvier 1975, [?]. [?], Der Landbote , le 6 octobre 1973, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 27 septembre 1973, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 16 novembre 1973, [?]. [?], Une Sem. de P.-P. , n° 279, 282, 299, [?]. [?], G.O.S. , 168, [?]. [?], Le Point , le 3 septembre 1973, [?]. [?], St. Gallen Tagblatt , le 25 octobre 1973, [?]. [?], Trierischer Volksfreund , le 26 septembre 1973, [?].

Carré Thorigny (Paris) date de représentation : mars 1974, mise en scène : Guy Lauzin reprise (3ème chaîne) date de diffusion : le 9 mars 1974 593 , réalisation : Daniel Georgeot

(4Sw 7983) Kanters, Robert, Conversations dans le Loir-et-Cher, L’Express , le 4 mars 1974 (p. 75). Larue, Dominique, Un Claudel enchanteur, « Conversation dans le Loir-et-Cher, Le Parisien , le 8 mars 1974 (p. 77). Marquis, Jacques, Conversation dans le Loir-et-Cher, Telerama , le 9 avril 1974 (p. 83). R. M., Conversations dans le Loir-et-Cher, L’Humanité , le 8 mars 1974 (p. 79). Sarraute, Claude, Des mots, des mots..., Le Monde , le 12 mars 1974 (p. 85). Walter, Georges, Conversation dans le Loir-et-Cher, Le Figaro , le 9 mars 1974 (p.81). [Non-signé], Retransmission dramitique..., Le Monde , le 3 mars 1974 Théâtre de Nice, Théâtre du Palais de la Méditerranée (Nice) date de représentation : le 18 janvier 1975 594 , mise en scène : Guy Lauzin

593 Cette émission fut enregistrée au Carré Torigny. 594 Deux reprises.

219

(4Sw 7983) H. L., Conversations dans le Loir-et-Cher, Résonance , le 31 janvier 1975 (p. 87).

Théâtre des Célestins (Lyon) date de représentation : le 23 janvier 1975, adaptation : Silvia Monfort

Furius : Gabriel Jabbour, Acer : Michel Herbault, Civilis : Philippe Grigaud, Florence : Suzanne Flon, Le Jeune Homme au cire : Edgar Givry, Le Jeune Homme à la guitare : Jean-Louis Feldmann

[?], Lyon-Poche , 134, 138, 157, [?]. [?], Résonance , 82, 96, 98, [?].

Carré Sylvia Montfort (Paris) date de représentation : le 3 novembre 1980, adaptation : Silvia Monfort, mise en scène : Christian Benedetti, décors et costumes : Françoise Darne et Roger Maily

? Silvia Monfort, Daniel Gelin, Georges Geret, Robert Rimbaud

[?], Le Figaro , le 4 septembre 1980, [?]. [?], Le Figaro , le 10 novembre, [?]. [?], Une Sem. de P.-P. , 649, 658, [?]. [?], ATAC , zá ří 80, 112, [?]. reprise (Antenne 2) date de diffusion : le 6 septembre 1981, adaptation scénique : Silvia Monfort, mise en scène : Christian Benedetti

France-Culture 595 date de diffusion : 1983, mise en scène : Jean-Pierre Rey

Théâtre de l’Atelier 596 date de représentation : janvier 1997, mise en scène : Pierre Franck, décors : Jacques Noël

Furius : Jean-Paul Muel, Acer : Jacques Spiesser, Civilis : Laurent Malet, Florence : Marianne Basler,

Cournot, Michel, [?], Le Monde , 1997, [?]. Daudrie, Laurent, Conversation dans le Loir-et-Cher, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 147, 1997, p. 12-16. Ferney, Frédéric, [?], Le Figaro , 1997, [?].

595 Il s’agit du texte JEUDI, ensuite le 6 novembre (DIMANCHE), le 25 mars 1984 (MARDI), diffusion enregistré par les Comédiens Français. 596 Il s’agit de l’adaptation à huit voix interprétée par 4 acteurs.

220 reprise (Journées Claudéliennes) date de représentation : 1997

Civilis : Philippe Bouclet La Martinique Fonds-Saint-Jacques (Fort de France) date de représentation : le 10 avril 1972, adaptation : Sylvia Montfort, musique : Michel Legrand

(4Sw 7983) [Non-signé], Un Claudel inedit a la Martinique..., L’Aurore , le 14 avril 1972 (p. 3). reprise (Paris) date de représentation : juin 1972

La Danse des morts (Der Totentanz ) Allemagne Festival de Hagen date de représentation : novembre 1964 (?), direction musicale : Berthold Lehmann

Belgique B.R.T. date de représentation : 1947, musique : Honegger, chef d’orchestre : Franz André

? Date de radiodiffusion : le 21 décembre 1949

? Date de radiodiffusion : le 3 mai 1959

Brésil (Rio de Janeiro) 597 date de réalisation : les 13, 14 et 15 octobre 1964, chef d’orchestre : Jacques Pernoo

Récitant : Henri Doublier

France T.N.P. (Paris) 598

597 Concert réalisé par l’orchestre symphonique du Brésil.

221 date de représentation : le 3 mars 1963, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Richard Blareau

Récitant : Jean Vilar Théâtre des Champs-Elysées (Paris) 599 date de représentation : le 6 avril 1967, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Jean Fournet

Récitant : Michel Favory

Collège Calvin date de représentation : mai 1973, chef d’orchestre : Paul-Louis Siron

(4 Sw 8009) Ed. M.- M., Au Victoria-Hall La Danse des morts d’Arthur Honegger, La Tribune de Genève , le 7 mai 1973 (p. 23).

Orchestre philharmonique des Pays de Loire 600 date de représentation : juin 1984, chef d’orchestre : Soustrol (Soustroi ?)

Monaco ? date de représentation : le 8 août 1962 601 , musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Louis Frémaux

Récitant : Jean-Louis Barrault

Roumanie Orchestre symphonique « Georges Enescu » (Bucarest) date du concert : les 3 et 4 mars 2005, musique : Arthur Honegger

Suisse

Basler Kammerchor Basler Kammerorchester , création mondiale en oratorio, en français date de représentation : le 1 mars 1940, chef d´orchestre : Paul Sacher

Récital : William Aguet, Sopran : Ginevra Vivante, Alt : Lina Falk, Bariton : Hughes Cuénod

598 Concert réalisé par l’orchestre Pasdeloup. 599 Audition réalisée par l’orchestre national et les chœurs de l’O.R.T.F. 600 Tournée dans plusieurs villes de la région. 601 Concert qui a été aussi radiodiffusé.

222 Magg, Otto, [?], Nationalzeitung Basel , le 3 mars 1940, [?]. Merian, Wilhelm, [?], Basler Nachrichten , le 3 mars 1940, [?]. date de représentation : 1940, chef d’orchestre : Paul Sacher

Stadttheater Zürich, création mondiale sur scène date de représentation : le 2 juin 1950, mise en scène : Hans Macke, décors et costumes : Max Röthlisberger, chef d’orchestre : Victor Reinshagen

Récital : Arthur Burdan, Sopran : Monica Huber, Alt : Ira Malaniuk, Bariton : Willi Wolff Schuh, Willi, [?], Neue Zürcher Zeitung , le 6 juin 1950, [?]. Schneider, Peter Otto, [?], Die Tat , le 6 juin 1950, [?]. [?], Volksrecht , le 10 juin 1950, [?].

(Bâle) date du concert : les 22, 23 avril 1998

L’Échange Afrique du Nord Petit Théâtre du C.R.A.D. (Alger), voir msc. Théâtre des Mathurins, le 17 novembre 1937 date de reprise : mai 1953 602

Marthe : Carmen Pitoëff, Louis Laine : Sacha Pitoëff, Lechy Elbernon : Alice Sapritch, Thomas Pollock : Raymond Raynal

Allemagne ( Der Tausch ) Frankfurter Schauspielhaus (Francfort-sur-le-Main), création en langue allemande de la première version date de représentation : le 24 juin 1922, mise en scène : Richard Weichert, décors : Ludwig Sievert

Louis Laine : Jakob Feldhammer, Thomas Pollock Nageoire : Robert Taube, Lechy Elbernon : Gerda Müller, Martha : Fritta Brod

Diebold, Bernhard, [?], Frankfurter Zeitung , le 25 juin 1922, [?], *(p. 68-69). Weltmann, Lutz, [?], Vossische Zeitung , le 14 juillet 1922, [?], *(p. 69). [?], Berliner Börsen Zeitung , le 29 juin 1922, [?]. [?], Frankfurter Nachtausgabe , le 26 juin 1922, [?]. [?], Frankfurter Volkszeitung , le 27 juin 1922, [?], *(p. 69). [?], Kunst und Bühne , le 5 juillet 1922, [?].

Theater am Schiffbauerdamm – Volksbühne Berlin (Berlin), prémière version

602 Tournée organisée par Sacha Pitoëff dans la mise en scène, décors et costumes de Georges Pitoëff. Puis le spectacle est donné aussi à Clermont-Ferrand et au Capitole de Toulouse.

223 date de représentation : le 8 mars 1926, mise en scène : Fritz Holl, décors : Edward Suhr

Louis Laine : Gillis von Rappard, Thomas Pollock Nageoire : Heinrich George, Lechy Elbernon : Gerda Müller, Martha : Elisabeth Lennatz

Jhering, Herbert, Der Tausch, Börsenkurier , Berlin, le 11 mars 1926, *(p. 70-71). Kerr, Alfred, [?], Berliner Tageblatt , le 10 mars 1926, [?], *(p. 71-72).

Bühnen der Stadt (Cologne) date de représentation : mars 1950, mise en scène : Karl Pempelfort reprise : juin 1950 Stadttheater (Sarrebruck), le 4 octobre 1950 Zimmertheater (Aix-la-Chapelle), novembre 1950 Westdeutsches Zimmertheater (Düsseldorf), 1955 Pikkolo-Komödie (Wuppertal), avril 1955 Zimmertheater (Heidelberg), le 17 novembre 1960 Lesebühne (Dinslaken), 1960

Die Vaganten (Berlin) date de représentation : 1958, mise en scène : Günther Hess, décors : Peter Switalla

Louis Laine : Günther Richardt, Martha Laine : Rosemarie Weber, Thomas Pollock Nageoire : Fred Heck, Lechy Elbernon : Vera Kluth

[?], Der Kurier , le 12 octobre 1958, [?]. [?], Der Tag , le 12 octobre 1958, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 12 octobre 1958, [?]. [?], Telegraf , [?]. [?], Die Welt , le 13 octobre 1958, [?].

Compagnie Sophie Laurence (Duisburg) 603 date de la tournée : le 13 mai 1959 (1960?) reprise (Tübingen) date de représentation : le 14 mai 1959 (1960?)

(Mannheim) date de représentation : le 11 avril 1961, mise en scène : Heinz Opfinger reprises (Manheim), le 9 août 1961 KellerTheater « Die Boten » (Cologne), le 31 octobre 1961 Städtische Bühnen (Flensbourg), le 17 décembre 1961 Städtische Bühnen (Neuss), le 5 mai 1962

603 Spectacle présenté en français, il s’agit d’une tournée dans les villes de l’Allemagne fédérale (Berlin, Hambourg, Stuttgart) et dans les principales villes de la Ruhr ; cette compagnie donne quelques représentations en Bulgarie. Présenté même à Etampes le 11 janvier 1961.

224

(Francfort) ? date de représentation : 1961 reprise (Bonn) Schauspielhaus Dortmund date de représentation : le 23 juin 1962 [?], Ruhr-Nachrichten , le 25 juin 1962, [?]. [?], Saarbrücker Landeszeitung , le 18 juillet 1962, [?]. [?], Théâtre heute , août 1962, [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine , le 25 juin 1962, [?]. [?], Westdeutsches Tageblatt , le 25 juin 1962, [?]. [?], Westfälische Rundschau , le 25 juin 1962, [?].

Tournées Reinscheld Westdeutsches (Paderborn) date de représentation : le 8 octobre 1963, mise en scène : Hermann Kurtendach reprise (Solingen) date de représentation : le 20 novembre 1963

Marburger Schauspiel (Marbourg) 604 date de représentation : le 8 avril 1963, mise en scène : Henrich Buchmann

[?], Oberhessische Presse , le 10 avril 1963, [?]. [?], Siegener Zeitung , le 13 mai 1963, [?]. [?], Westfalenpost , le 14 mai 1963, [?]. [?], Wetzlarer Neue Zeitung , le 16 avril 1963, [?].

Städtische Bühnen , Nouveau Théâtre (Francfort) date de représentation : le 3 janvier 1964, traduction : Edwin Maria Landau, mise en scène : Henrich Koch, décors et costumes : Franz Mertz

Marthe : Johanna Wichmann, Louis Laine : Joachim Böse, Lechy Elbernon : Lola Müthel, Thomas Pollock Nageoire : Franz Kutschera

Rüble, Günther, [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 6 janvier 1964, [?]. [?], Frankfurter Nachtausgabe , [?]. [?], Frankfurter Neue Presse , le 6 janvier 1964, [?]. [?], Christ und Welt , le 24 janvier 1964, [?]. [?], Göttinger Tageblatt , le 7 janvier 1964, [?]. [?], Kölner Stadt-Anzeiger , le 26 septembre 1964, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 9 janvier 1964, [?]. [?], Neue Württembergische Zeitung , le 18 janvier 1964, [?]. [?], Saarbrücker Zeitung , le 9 janvier 1964, [?].

604 Joué aussi à Bad Godesberg.

225 [?], Der Sonntag , le 19 janvier 1964, [?]. [?], Der Taunusbote , [?]. [?], Die Welt , le 8 janvier 1964, [?]. [?], Westdeutsche Rundschau , le 9 janvier 1964, [?]. [?], Wiesbadener Kurier , le 6 janvier 1964, [?]. [?], Wiesbadener Tageblatt , le 6 janvier 1964, [?]. Atelier Theater de Münich date de représentation : novembre 1966

Théâtre de Chambre (Karlsruhe) date de représentation : mars-avril 1966

Staatstheater Braunschweig date de représentation : octobre 1966, mise en scène : Claus-Henning Bachmann

[?], Braunschweiger Presse , le 3 octobre 1966, [?]. [?], Braunschweiger Zeitung , le 3 octobre 1966, [?]. [?], Hannoversche Allgemeine Zeitung , le 3 octobre 1966, [?].

Deutsches Schauspielhaus date de représentation : le 9 juin 1968 605 , mise en scène : Oscar Fritz Schuh, décors et costumes : Ursula Schuh

Marthe : Ruth Niehaus, Louis Laine : Heinz Ehrenfreund, Lechy Elbernon : Lola Müthel, Thomas Pollock Nageoire : Hubert Suschka

Ferber, Christian, [?], Die Welt , le 10 juin 1968, [?]. Tristram, Richard E., [?], Grenzland-Kurier , le 22 novembre 1968, [?]. [?], Die andere Zeitung , le 20 juin 1968, [?]. [?], Bild , le 10 juin 1968, [?]. [?], Göttinger Tageblatt , le 17 juin 1968, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 10 juin 1968, [?]. [?], Hannoversche Rundschau , le 12 juin 1968, [?].

Zweites Deutsches Fernsehen date de diffusion : le 29 janvier 1969, mise en scène : Oskar Fritz Schuh, décors et costumes : Ursula Schuh

Louis Laine : Heinz Ehrenfreund, Martha : Ruth Niehaus, Thomas Pollock Nageoire : Hubert Suschka, Lechy Elbernon : Lola Müthel

Paul, Wolfgang, [?], Kölnische Rundschau , le 31 janvier 1969, [?]. [?], Aachener Volkszeitung , le 31 janvier 1969, [?]. [?], Allgemeine Zeitung , le 31 janvier 1969, [?].

605 Le spectacle a été aussi présenté en tournée dans 40 villes allemandes. Voir Grenzland- Kurier (le 22 novembre 1968), Hanauer Anzeiger (le 14 novembre 1968), Remscheider Generalanzeiger (le 2 décembre 1968), Schwäbische Zeitung (le 12 novembre 1968), Soester Anzeiger (le 23 novembre 1968), Westdeutsche Zeitung (le 15 novembre et le 22 novembre 1968).

226 [?], Frankfurter Allgemeine , le 3 février 1969, [?]. [?], Hör zu , le 25 janvier 1969, [?]. [?], Müncher Merkur , le 31 janvier 1969, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 31 janvier 1969, [?].

Théâtre Bonn-Center date de représentation : mai 1973

Theater in der Westentasche (Ulm) date de représentation : mars 1974

Autriche ( Der Tausch ) Burgtheater (Vienne) date de représentation : juin 1921, mise en scène : Albert Heine, décors : Alfred Roller

Louis Laine : Raoul Aslan, Thomas Pollock Nageoire : Albert Heine, Lechy Elbernon : Lotte Medelsky, Martha : Else Wohlgemuth

Fontana, Oskar Maurus, Der Tausch : Claudel in Burgtheater, Berliner Börsen-Courier, le 4 mars 1921, [?], *(p. 68).

Theater im Esterhazy Palais (Vienne) date de représentation : 1953

[?], Die Furche , le 3 octobre 1953, [?]. [?], Die Union , le 3 octobre 1953, [?]. [?], Weltpresse , le 23 novembre 1953, [?]. [?], Wiener Kurier , le 23 septembre 1953, [?]. [?], Wiener-Zeitung , le 26 septembre 1953, [?].

Tournée Charaire date de la tournée : 1971

Bulgarie Teatrul Nottara (Bucarest) date de représentation : mars 1971, mise en scène : Teodora Dinulescu

Belgique (Théâtre du Parc , Bruxelles), reprise, v. Comédie des Champs-Elysées, 1946 date de représentation : 1947

Claudel, Paul, Le Figaro Littéraire , le 25 janvier 1947, [?].

227 Le Rideau de Bruxelles date de représentation : mai 1949

(Verviers, Belgique), v. msc. Guy Suarès, 1957 date de représentation : le 5 avril 1960 606 reprise (I.N.R.) date de diffusion : le 18 mai 1960

(Festival international de Spa) 607 date de représentation : août 1960

Théâtre Daniel Sorano de Vincennes date de représentation 1966, mise en scène :

Théâtre des Rues (Bruxelles) 608 date de représentation : mai 1973, mise en scène : Madeleine Fabrice

Madeleine Fabrice, Madeleine Rivière

L. H., « L’Échange ». Pour le texte de Claudel..., Le Soir , le 19 mai 1973 (p. 5). [Non-signé], A partir du 16 mai « L’Échange », de Claudel, au Théâtre des Rues, Libre Belgique , le 10 mai 1973 (p. 3).

Théâtre royal des Galeries (Bruxelles) date de représentation : mars 1979, mise en scène : Jacques Joël, décors : Daniel Scahaise

Jacques Monod, Colette Emmanuelle, Lidia Zibinski, Olivier Monneret

Boly, Joseph, L’Échange aux Galeries (Bruxelles), Bulletin de la Société Paul Claudel , n°75, 1979, p. 15-16. [?], 4 Millions 4 , Bruxelles, le 29 mars 1979, [?].

Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve (Louvain-la-Neuve), toto bude Belgie date de représentation : le 8 septembre 1982, mise en scène : Armand Delcampe, décors : Joseph Svoboda, costumes : Jan Skalicky

Marthe : Sylvie Genty, Louis Laine : Flaminio Corcos, Lechy Elbernon : Fanny Delbrice, Thomas Pollock Nageoire : Armand Delcampe reprises (Théâtre national de l’Odéon, Paris) 609

606 Ce spectacle fut même enregistré par l’I.N.R. 607 Par la Comédie de l’Est de Strasbourg. 608 Réalisé au Château de Crupet.

228 date de représentation : le 1 er octobre 1982

Barthomeuf, José, L’échange (On y perd), Le Parisien , le 7 octobre 1982 (p. 63). Casanova, Nicole, Claudel-Beckett : les deux camps de Delcampe, Le Quotidien de Paris , le 4 octobre 1982, n° 888 (p. 53). Gauville, Hervé, Échange Claudel contre Dieu, Libération , le 4 octobre 1982 (p. 57). Chalais, François, « L’Échange » Mea culpa, France Soir , le 4 octobre 1982 (p. 61). Lebrun, Jean, L’artisan et les génies, La Croix , le 7 octobre 1982, p. 21, (p. 65). -M.C., Un déplorable échange, Le Monde , le 4 octobre 1982 (p. 59). Nerson, Jacques, « L’Échange » et « Le Pain dur » de Paul Claudel. Variations sur l’argent, Le Quotidien de Paris , le 9 octobre 1982 (p. 69). Stricker, Jean-Marc, L’Échange, Interminuit , France Inter , le 2 octobre 1982 (p. 51). [Non-signé], Le cri de « L’échange », Le Figaro , le 1er octobre 1982 (p. 47). [?], Le désert de l’amour. Giraudoux, Claudel, Arbusov : trois pièces sur la séparation du couple, Valeurs Actuelles , le 11 octobre 1982 (p. 71). [Non-signé], L’Échange, Valeurs actuelles , 1982 (p. 43). [Non-signé], L’Echnage » de Paul Claudel à Paris par l’Atelier de Louvain-la-Neuve, Agence France Presse , Informations mondiales, Paris, octobre 1982 (p. 49).

(Théâtre de la Place, Liège) 610 date de représentation : le 23 novembre 1983

Compagnie Antoine Bourseilller 611 date de la tournée : janvier-février 1983

Nouveau Théâtre de Belgique (Bruxelles) date de représentation : le 15 avril 1986, mise en scène : Henri Ronse

Marthe : Marie Poumarat, Louis Laine : Julien Roy, Lechy : Catherine Bady, Thomas Pollock : René Hainaux

Théâtre Arsenal du Charroi (Bruxelles) date de représentation : septembre – octobre 1986, mise en scène : Frédéric Dussenne

Théâtre Varia (Bruxelles) date de représentation : le 20 mars 1991 (1990?), mise en scène : Philippe Sireuil, décors : Didier Payen

Marthe : Sylvie Debrun, Louis Laine : Laurent Manzoni, Lechy : Janine Godinas, Thomas Pollock Nageoire : Gil Lagay

Segrestaa, Jean-Noël, Réflexions sur trois mises en scène, Bulletin de la Socété Paul Claudel , n° 122, Paris, 1991, p. 19-24.

609 Avec 9 reprises. Du 1er au 10 octobre. Joué par l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve, sur le répertoire même Beckett. Ensuite une tournée à Anthony, Toulouse, Troyes, Nevers, Evry, Perpignan, Lyon et Saint-Quentin. 610 Joué deux fois. 611 Présenté à Montpellier, Nîmes, Orléans, Nancy, Thionville, Metz et Strasbourg.

229

Compagnie de La Chose Incertaine (Théâtre de la Place, Liège) date de représentation : le 5 décembre 2007 612 , mise en scène : Yves Beaunesne, décors : Damien Caille-Perret, costumes : Patrice Cauchetier

Marthe : Julie Nathan, Louis Laine : Jérémie Lippmann, Lechy Elbernon : Nathalie Richard, Thomas Pollock Nageoire : Alain Libolt reprises (Théâtre de la Place à Liège) date de représentation : du 5 au 15 décembre 2007 (Scène Watteau de Nogent-sur-Marne) date de représentation : le 18 décembre 2007 (TOP - Théâtre de l’Ouest Parisien, Boulogne-Billancourt) 613 date de représentation : du 10 au 20 janvier 2008 (Théâtre national de Marseille - La Criée) 614 date de représentation : du 23 au 27 janvier 2008 (La Passerrelle de Saint-Brieuc) 615 date de représentation : le 31 janvier et le 1 er février 2008 (Sortie Ouest à Béziers) 616 date de représentation : du 6 au 9 février 2008 Théâtre des 13 vents (Montpellier) 617 date de représentation : le 6 février 2008 (Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau) 618 date de représentation : les 12 et 13 février 2008 (Théâtre de Perpignan) date de représentation : le 15 février 2008 (Grande salle, Théâtre d’Angoulême) date de représentation : le 4 mars 2008 (Grande salle, Scène nationale) 619 date de représentation : les 11 et 12 mas 2008 (Le Parvis, Scène nationale d’Ibos-Tarbes) date de représentation : le 18 mars 2008 (Salle rouge, Théâtre national de Narbonne) date de représentation : les 25 et 26 mars 2008 Le Théâtre Na Loba (Pennautier) date de représentation : le 25 mars 2008 (Hémicycle, La Halle aux Grains de Blois) date de représentation : le 1 er avril 2008 (Association ABC de Dijon)

612 9 reprises. Dans la production de la Chose Incertaine-Yves Beaunesne de Paris. 613 10 reprises. 614 4 reprises. 615 2 reprises. 616 4 reprises. 617 4 reprises. 618 Spectale joué deux fois. 619 Ibid.

230 date de représentation : le 4 avril 2008 (Théâtre de la Butte, Le Trident, Scène nationale de Cherbourg-Octeville) 620 date de représentation : les 8 et 9 avril 2008 (Théâtre des Louvrais, L’Apostrophe, Scène nationale de Cergy-Pontoise) 621 date de représentation : les 15 et 16 avril 2008 (Le Salmanazar, Théâtre d’Épernay) date de représentation : le 22 avril 2008 (Grande Salle, Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre) 622 date de représentation : les 13 et 14 mai 2008 (Grand théâtre, Maison de la Culture de Bourges) 623 date de représentation : les 20 et 21 mai 2008 Grand Théâtre, Théâtre National de la Colline (Paris) date de représentation : le 12 novembre 2008

Grande Salle, Théâtre de la Place des Martyrs (Bruxelles) 624 date de représentation : le 12 novembre 2010, mise en scène : Elvire Brison, décors : Philippe Hekkers, costumes : Myriam Deldime

Marthe : Anne-Pascale Clairembourg, Louis Laine : Itsik Elbaz, Lechy Elbernon : Muriel Jacobs, Thomas Pollock Nageoire : Idwig Stéphane

Canada Théâtre du Nouveau Monde (Montréal) date de représentation : avril 1955, mise en scène : Jean Gaston

Radio Ottawa date de diffusion : 1959

Théâtre Amateur de Montréal date de représentation : avril 1988

Théâtre du café de la place (Montréal) 625 ? date de représentation : le 31 octobre 1990, mise en scène : J.-P. Tailhade

(Montréal) date de représentation : 2002

Danemark

620 2 reprises. 621 Spectacle joué deux fois. 622 Spectacle joué deux fois. 623 Ibid. 624 Dans la production du Théâtre du Sygne de Bruxelles, 27 reprises. 625 Spectacle realisé dans la co-production du Théâtre bourgeois de Colomier, du Centre culturel de Moissac et du Théâtre Garonne de Toulouse.

231 Usset Teater (Copenhague) date de représentation : le 22 octobre 1981, mise en scène : Birgitte Price

Espagne (Centre Théâtral de Limousin , Barcelone) 626 date de représentation : le 11 mai 1970, reprise, voir msc. Henri Régnier, le 5 novembre 1968

Centre dramatique de la Geralitat de Catalunya (Théâtre Romea de Barcelone) date de représentation : 1988, traduction : Jordi Sarsadenas, mise en scène : Ariel Garcia Valdès, décors : Jean-Pierre Vergier

Estonie Théâtre de Talinn date de représentation : novembre-décembre 1999, mise en scène : Katribaasik Aaslay

États-Unis (The Exchange)

Dept. of French (Yale University) date de lecture : 1942

Lecture : Ludmilla Pitoëff 627

Tournée Dorsay 628 date de la tournée : avril-mai 1969

Louis Laine : Laurent Terzieff, Marthe : Pascale de Boysson, Léchy : Madeleine Marion, Thomas Pollock : Michel de Ré

[?], Bulletin de la Société Paul Claudel , nº 33, 35, 1969, [?].

(New-York) date de représentation : décembre 1974 629 , traduction : Louise Witherell et Lawrence Zillmer reprise

626 Tournée, le spectacle a été présenté à Barcelone, Bilbao et à Valadolid. 627 Ludmilla a été invitée par le Département du français. 628 20 représentations, spectacle donné au Canada et aux Etats-Unis, à Amherst College (Mass., le 9 avril 1969), à l’Université de California (Los Angeles, le 11 avril 1959), ensuite Fort Wayne (Indiana, le 15 avril), New York (Fashion Inst. Of Technology, les 18 et 19 avril; Newport, R.I., Salve Regina College, le 19 avril, Brown University, Providence, R.I, le 1er mai), Washington, D.C. (Lisner Auditorium, le 3 mai), Boston (le 5 mai). 629 Spectacle réalisé dans le cadre de la réunion de la société « Paul Claudel Society ».

232 (Dallas) date de représentation : avril 1975

Université de Warwick, Drama Society date de représentation : mai 1975, mise en scène : John Arthur

French Troup of Harvard University (Boston) date de représentation : mai 2004, mise en scène : Guila Clara Kessous reprise (Avignon) date de représentation : le 17 juillet 2005

Martin, Hubert, Festival d’Avignon, Bulletin de la Société Paul Claudel, n° 179, p. 79.

Ex-Yougoslavie Atelier 212630 ? date de représentation : décembre 1962, mise en scène : Predrag Bajcelic

S.L.G. – Celje date de représentation : mars 1971, mise en scène : Zvone Sdelbauer

Finlande ( Vaintajat ) Théâtre Etudiant d’Helsinki , première version date de représentation : 1958, traduction : Lasse Heikkila et Kari Salosaari, mise en scène : Kari Salosaari, décors et costumes : Esko Lehesma

Drama-Studio Théâtre de Tampere date de représentation : 1985, traduction : Lasse Heikkilä et Kari Salosaari

France Théâtre du Vieux-Colombier (Paris), première version date de représentation : le 23 janvier 1914 631 , mise en scène : Jacques Copeau, (Paul Claudel), décors : Doucet, costumes : Val-Rau

Marthe : Marie Kalff, Louis Laine : Charles Dullin, Lechy Elbernon : Louise Marion, Thomas Pollock Nageoire : Jacques Copeau

Aubry, Jean, L’Art moderne , le 25 janvier 1914, [?]. Baujeu, Léonce, Chronique dramatique, L’Action française , le 1er février 1914, [?]. Bayard, Jean, L’Échange au Vieux-Colombier, L’Intransigeant , le 24 janvier 1914, [?].

630 Il s’agit d’une compagnie de Belgrade. 631 16 reprises. Répétition générale le 22 janvier.

233 Boissard, Maurice (Paul Léautaud), Chronique théâtrale, Mercure de France , le 1er avril 1914, [?]. Brisson, Adolphe, Croniques théâtrales, Le Temps , le 2 février 1914, [?]. Casella, Georges, Au Théâtre du Vieux-Colombier : l’inteprétation, Comœdia , le 23 janvier 1914, [?]. Claudel, Paul, Comœdia , le 23 janvier 1914, [?]. Daudet, Léon, Paul Claudel et les auteurs rares, L’Action française , le 25 janvier 1914, [?]. Duprey, Paul, L’Information , le 23 février 1914, [?]. Ed. S. [Edmond Sée ?], Le Journal des Débats , le 25 janvier 1914, [?]. Flers, Robert de, La Semaine dramatique, Le Figaro , le 1er février 1914, [?]. Fresnois, André du, Revue critique des idées et des livres, le 10 février 1914, [?]. Galgier, Joseph, L’Échange , trois actes de M. Paul Claudel, Excelsior , le 23 janvier 1914, [?]. Gaultier, Paul, La Revue bleue , le 7 février 1914, [?]. Ghéon, Henri, L’Échange au Vieux-Colombier, Nouvelle Revue française , mars 1914, [?]. Gourmont, Jean de, Les Marges , février 1914, [?]. Chavanne, René, Avant-première, Gil Blas , le 22 janvier 1914, [?]. La Flize, Louis, La Grande Revue , le 7 février 1914, [?]. La Jeunesse, Ernest, Comœdia illustré , le 5 février 1914, [?]. Laloy, Louis, La Grande Revue , le 10 février 1914, [?]. Launay, Guy, Le Matin , le 24 janvier 1914, [?]. Lenouvel, Jules, La Revue hebdomadaire , le 31 janvier 1914, [?]. Misme, Jane, La Française , le 31 janvier 1914, [?]. Muller, Charles, L’Homme libre , le 24 janvier 1914, [?]. (voir Introduciton ) Nozière, La France , le 25 janvier 1914, [?]. Patte, Les Nouvelles , le 26 janvier 1914, [?]. Pawlowski, G. de, Au Théâtre du Vieux-Colombier : l’Échange , comédie en trois actes de Paul Claudel, Comœdia , le 23 javier 1914, [?]. Pioch, Georges, Les premières, Gil Blas , le 24 janvier 1914, [?]. Reuillard, Gabriel, Les Hommes du jour , le 14 février 1914, [?]. Saix, Guillot de, L’Illustration , le 31 janvier 1914, [?]. Sauvebois, Gaston, La Critique indépendante , le 1er février 1914, [?]. Masques et Visages , le 31 janvier 1914, [?]. Schayé, Paul-Adrien, Les avant-premières : M. Paul Claudel et l’Échange , Comœdia , le 22 janvier 1914, [?]. Souday, Paul, L’Échange, de Paul Claudel, L’Éclair , le 24 janvier 1914, [?]. E. B., Paris-Journal , le 28 janvier 1914, [?]. G. B., La Démocratie , le 14 février 1914, [?]. G. V., L’Événement , le 26 janvier 1914, [?]. J. V., La République , le 23 janvier 1914, [?]. La Revue , le 1er février 1914, [?]. Le Bonnet rouge , le 31 janvier 1914, [?]. Le Correspondant , le 25 février 1914, [?]. Le Courrier politique et financier , le 28 février 1914, [?]. Le Cri de Paris (voir l’Introduction ), le 1er février 1914, [?]. Le Figaro , le 22 janvier 1914, [?]. Le Radical , le 27 janvier 1914, [?]. Lettre d’avant-première à Régis Gignoux, Le Figaro , le 22 janvier 1914, [?].

234 M. Paul Claudel au Vieux-Colombier, Le Journal des Débats , le 23 janvier 1914, [?].

(Thonon-les-Bains) , première version date de représentation : le 3 décembre 1917, mise en scène : Georges Pittoëff

Théâtre du Vieux Colombier (Paris) date de représentation : 1920, mise en scène : Jacques Copeau Les Amis du théâtre (Montpellier), première version date de représentation : le 18 février 1929, décors : Charles Eymer

Thomas : Chabrol, Louis : Jean Cartel

Théâtre des Mathurins (Paris), première version date de représentation : le 17 novembre 1937 632 , mise en scène et décors : Georges Pitoëff, décors : Georges Pitoëff, Léon Gaudeaux (réalisation), costumes : Paul Poiret

Marthe : Ludmila Pitoëff, Louis Laine : Georges Pitoëff, Léchy Elbernon : Ève Francis, Thomas Pollock Nageoire : Louis Salou

A.B., L’Échange de M. Paul Claudel aux Mathurins, Presse , le 22 décembre 1937 (p. 51). Brisson, Pierre, THEATRE DES MATHURINS (Compqgnie Pitoeff) « L’Échange » pièce en trois actes de Paul Claudel, Le Figaro , le 21 novembre 1937 (p. 21-23). Castelot, André, Avant-première, « L’Échange » de M. Paul Claudel est la tragique histoire de la vie nous dit M. Georges PITOEFF, Petit Journal , 13 novembre 191937 (p. 9). Claudel, Paul, L’ÉCHANGE PAR Paul Claudel,[?], (p.5), Dubech, Lucien, « L’Échange », Action Française, le 26 novembre 1937 (p. 47). Du Gard, Maurice Martin, L’Échange, Nouvelles Litteraires , le 4 décembre 1937 (p. 49- 50). Frank, Andre, Ecrit à New-York en 1893, crée par Jacques Copeau en 1914, enfin repris par Pitoeffe en 1937, « L´Échange » vu par Paul Claudel, L’Intransigeant , le 8 novembre 1937 (p. 3), Gros, G.-J., L’Échange Pièce en trois actes de Paul Claudel, Paris soir , le 22 novembre 1937 (p.25). Houville, Gérard d’, Théâtre des Mathurins (Compagnie Pitoeff) : L’Échange, pièce en trois actes de Paul Claudel, décor et mise en scène de Pitoeff, costumes de Paul Poiret, – (…), Comédie Française (p. 43-44). Kemp, Robert, AU THEATRE DES MATHURINS, - Reprise de « L’Échange », pièce en trois actes, de M. Paul Claudel, Le Temps , le 22 novembre 1937 (p. 27-29). Le Cardonnel, Georges, L’Échange au théâtre des Mathurins, Journal , le 21 novembre 1937 (p.19). Lievre, Pierre, Aux Mathurins, L’ÉCHANGE de Paul Claudel, Le Jour , le 20 novembre 1937 (p. 17). Orthys, Fred, L’Échange, pièce en trois actes de M. Paul Claudel, Matin , le 27 novembre 1937 (p. 39). P.M., Reprise de « L’Echanche » Trois actes de Paul Claudel, Liberté , le 27 novembre 1937 (p. 37).

632 Ludmila Pitoeff a repris ce spectacle pour une tournée à l’étranger.

235 Sée, Edmond, « L’Échange » de Paul Claudel, aux Mathurins, L’Oeuvre , le 3 decembre 1937 (p. 45-46). Warnod, André, (A.W.), La première de « L’Échange » a été un hommage à Paul Claudel, Figaro , 18,2,1937 (p. 15). [Non-signé], En causant avec M. Paul Claudel, Le Matin , le 13 novembre 1937 (p. 7). [Non-signé], La Semaine dramatique, THEATRE DES MATHURINS (Compagnie Pitoeff) : L’Échange, pièce en trois actes de M. Paul Claudel, – (…), Feuilleton du Journal des Debats, Journal des Debats , le 22 novembre 1937 (p. 31-33). [Non-signé], L’ÉCHANGE de M. Paul Claudel, Marianne , le 25 novembre 1937 (p. 41). [Non-signé], « L’ÉCHANGE » VA ETRE JOUE AU THEATRE DES MATHURINS, Excelsior, le 13 novembre 1937 (p. 11). [Non-signé], Le Théâtre à Paris, Compagnie Pitoeff, « L’Échange », de Paul Claudel, Progrès de Lyon , le 23 novembre 1937 (p. 35-36). reprises (Théâtre des Mathurins) 633 date de représentation : 1940 date de représentation : 1941 634

Marthe : Ludmilla Pitoëff, Louis Laine : Sacha Pitoëff, Michel Simon, Lechy Elbernon : Germaine Tournier, Thomas Pollock : Alexandre Blanc date de représentation : 1943 635

Marthe : Ludmilla Pitoëff, Louis Laine : Jean-Louis Roux, Lechy Elbernon : Varvara Pitoëff, Thomas Pollock : Jean Gascon

(Comédie des Champs-Elysées, Paris) date de représentation : le 29 décembre 1946

Marthe : Ludmilla Pitoëff, Louis Laine : Sacha Pitoëff, Lechy Elbernon : Varvara Pitoëff, Thomas Pollock : Pierre Risch

Gautier, Jean-Jacques, A LA COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, L’ÉCHANGE, de Paul Claudel, Figaro , le 3 janvier 1947 (p. 7). Heriat, Philippe, « ÉCHANGE DE VALEURS », Bataille , le 8 janvier 1947 (p. 15). Huisman, Georges, « Ludmilla Pitoefe, qui nous... », France au Combat , le 9 janvier 1947 (p. 17). Joly, G., L’ÉCHANGE à la Comédie des Champs-Elysées, Aurore , le 3 janvier 1947 (p. 9). Kemp. Robert, « L’échange » à la Comédie des Champs-Elysées », Le Monde , le 5 janvier 1947 (p. 13). Lagarde, Pièrre, A la Comédie des Champs-Elysées, Liberation , le 29 décembre 1946.

633 Tournée de Ludmilla Pitoëff à travers la Suisse et le Canada. 634 Nouvelle tournée en Suisse. 635 Tournée au Canada.

236 Lerminier, Georges, A LA COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, « L’ÉCHANGE », L’Aube , le 3 janvier 1947 (p. 11). Touchard, Pierre-Aimé, Nos animateurs vienent..., Parisien libéré , le 2 janvier 1947 (p.5).

(Théâtre des Mathurins, Paris) date de représentation : le 14 janvier 1947 (Alger), v. Tunisie, 1960

Centre dramatique de l’Ouest (Rennes) date de représentation : juillet 1949, mise en scène : Hubert Gignoux, décors et costumes : Serge Creuz

Catherine Arley, Jacques Duval, Jean Gascon (Gascou?), Marie Merget nebo Mergey reprises (Théâtre Montparnasse) 636 date de représentation : le 24 juin 1950

(8 Sw 233) Alter, André, Jeunes comediens de province à la conquete de Paris. Le Centre de l’Ouest, L’Aube , le 4 juillet 1950 (p. 17). Beigbeder, Marc, Au Théâtre Montparnasse-Baty. Le Centre dramatique de l’Ouest rend à César ce qui est à César, Parisien libéré , le 3 juillet 1950. INTERIM., Georges Dandin et L’Échange par les comediens du « Centre dramatique de l’ouest », Le Matin – Le Pays , le 3 juillet 1950 (p. 14). L. E., La représentation de L’échange..., La Croix , le 15 juillet 1950 (p. 21). Saurel, Renée, « L’Échange » de Paul Claudel », Combat , le 7 juillet 1950 (p. 17). Triolets, Elsa, Est-ce l’absence..., Les Lettres françaises , le 6 juillet 1950 (p. 16). [Non-signé], Hubert Gignoux va nous présenter les spectacles du Centre dramatique de l’Ouest au Théâtre Montparnasse, Combat , les 24 et 25 juin 1950 (p. 9).

(Chaîne nationale) date de diffusion : le 14 février 1950

Maria Casarès, Germaine Montero, Paul Bernard, Marcel Herrand

(Radio Maroc) date de diffusion : 1950

(Radio Madagascar, Radio France-Asie, Radio Saint-Pierre-et-Miquelon, Radio Léopoldville, Radio Dakar, Radio Nouméa) date de diffusion : 1951

(Radio Toulouse, Radio Maroc, Radio Clermont, Radio Lugano) date de diffusion : 1953

636 Dans la production du Centre dramatique de l’Ouest. Joué aussi le 25 juin.

237 Théâtre Marigny (Paris), seconde version, nouvelle et première réalisation 637 date de représentation : le 13 décembre 1951 638 , mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Georges Wakhévitch

Marthe : Madeleine Renaud, Louis Laine : Jean-Louis Barrault, Lechy : Germaine Montero, Thomas Pollock Nageoire : Jean Servais

Kemp, R., Au Théâtre Marigny : L’Echange et On ne badine pas, Le Monde , le 17 décembre 1951, [?].

Cloître Saint-Séverin (Paris) 639 , première version date de représentation : le 16 juin 1957, mise en scène : Guy Suarès, décors et costumes : José Quiroga

Marthe : Pascale Boysson, Louis Laine : Laurent Terzieff, Lechy Elbernon : Renée Barell, Thomas Pollock Nageoire : Claude Martin

(8 Sw 233) Monod, Roland, L’Échange de Paul Claudel, Réforme (Réfonne), le 19 juillet 1958 (p. 31). reprises (Cloître St-Séverin) date de représentation : juin 1958 (Théâtre de Lutèce, Aix-en-Provence)640 date de représentation : mars 1959, première version

Laurent Terzieff

(8 Sw 233) Berger, Pierre, L’Échange, Paris Journal , le 19 mars 1959 (p. 38). Jamet, Dominique, « L’Échange » de Claudel au Théâtre de Lutèce, Combat , le 24 mars 1959 (p. 39-40). J. L. (Lemarchand), Figaro littéraire, le 28 mars 1959 (p. 41). Morelle, Paul, « L’Échange » au Théâtre de Lutèce, Parisien Libéré, le 1er avril 1959 (p. 43). S. V., L’Échange, de Paul Claudel, Lettres Françaises, le 26 mars 1959 (p. 41). [Non-signé], Reprise de L’Échange avec Laurent Terzieff au Théâtre de Lutèce, Le Monde , mars 1959 (p. 37). [Non-signé], Théâtre de Lutece « L’Échange » de Paul Claudel » (Maldonne), France- Soir , le 15 mars 1959 (p. 37).

(Aix-en-Provence)

637 Version définitive dans la création Compagnie Renaud-Barrault, vingt-huit représentations (Paris, Lyon, Bruxelles). 638 Fabaret donne le 12 décembre. 639 Puis, la tournée en Belgique (à l’occasion de l’Exposition universelle), au Maroc et au Liban. 640 Dans le cadre du Festival de plein air.

238 date de représentation : le 30 novembre 1959 (Théâtre de Poche de Bordeaux) date de représentation : le 26 mars 1960 641 (Verviers, Belgique) date de représentation : le 5 avril 1960 642 (Barantin) date de représentation : le 1 er mai 1960 (Bouisseville) 643 date de représentation : le 23 août 1960

(Théâtre Hébertot, Paris) date de représentation : le 7 septembre 1962, mise en scène : Guy Suarès, décors et costumes : José Quiroga

Marthe : Pascale de Boysson, Louis Laine : Laurent Terzieff, Lechy Elbernon : Renée Barell, Thomas Pollock Nageoire : Michel de Ré

A. A., L’échange, Témoignage Chrétien , le 21 septembre 1962 (p. 8). Ferjac, Pierre, Les Spectacles, Information , le 9 octobre 1962 (p. 11). Gautier, Jean-Jacques, Au Théâtre Hébertot « L’Échange », de Claudel, Figaro , le 15 septembre 1962 (p. 3). J.C., Hébertot, « L’échange » de Paul Claudel, France Soir , le 16 septembre 1962 (p. 4). - J. P., Au Théâtre Hebertot reprise de « L’Échange » de Paul Claudel, Combat, 24 septembre 1962 (p. 9). Lerminier, Georges, Reprise de « L’Échange » de Paul Claudel au théâtre Hébertot, Parisien Libéré , le 18 septembre 1962 (p. 5). Rabine, Henry, Reprise de l’Échange de Claudel au Théâtre Hébertot, La Croix , le 20 septembre 1962 (p. 6-7). [Non-signé], L’échange de Claudel à Hebertot, Libération , le 15 septembre 1962 (p. 4).

(France III) date de diffusion : le 7 octobre 1962 (Festival de Josselin, Morbihan) date de représentation : août 1967 (Aix-en-Provence, Marseille) date de représentation : le 20 mars 1969 644

[Non-signé], « L’échange » aux États-Unis en avril, France Soir , le 13 février 1969, [?].

Centre Dramatique de l’Ouest (Théâtre Montparnasse, Paris) date de représentation : le 28 juin 1959, mise en scène : Hubert Gignoux, décors et costumes : Serge Creuz

641 Joué jusqu’au 3 avril. 642 Ce spectacle fut même enregistré par l’I.N.R. 643 Dans le Foyer des Adolescents. 644 Tournée commence dans le Midi de la France à Aix-en-Provence et à Marseille (spectacle joué à partir du 20 au 30 mars chez Antoine Bourseiller), à partir du mois d’avril présenté aux Etats-Unis et au Canada.

239

Marthe : Marie Mergey, Louis Laine : Jacques Duval, Lechy Elbernon : Catherine Arley, Thomas Pollock Nageoire : Jean Gascon

Théâtre Municipal de Lunéville , seconde version 645 date de représentation : le le 1 er octobre 1959, mise en scène : Hubert Gignoux, décors et costumes : Serge Creuz

Marthe : Sophie Marin, Louis Laine : Jacques Born, Lechy Elbernon : Catherine Sauvage, Thomas Pollock Nageoire : Hubert Gignoux

(8Sw 233) Besse, J., [?], Les Lettres françaises , le 5 novembre 1959, [?]. - J. L. (Jean Lemarchand), « L’Échange », de Paul Claudel à la Comédie de l’Est, Figaro littéraire , le 17 octobre 1959 (p. 50). Lebesque, Morvan, [?], Carrefour , le 12 novembre 1959, [?]. Sarraute, Claude, « L’Échange », de Paul Claudel au centre dramatique de l’est, Le Monde , le 15 octobre 1959 (p. 47). [Non-signé], Les Représentations de l’Échange , Mercure de France (Chroniques), novembre et décembre 1959, [?]. reprise (Théâtre Récamier, Paris) date de représentation : le 16 juin 1960, mise en scène : Hubert Gignoux, décors et costumes : Serge Creuz

Pollock Nageoire : Hubert Gignoux

(8Sw 233) Alter, A., L’Échange, Témoignage chrétien , le 24 juin 1960 (p. 59). Lerminier, Georges, Le T.N.P. reçoit la Comédie de l’Est et Ibsen au Théâtre Récamier, Gazette de Lausanne , le 4 juin 1960 (p. 43-44). Favalelli, Max, Max Favalelli a vu « L’Échange », Paris Presse l’Intransigeant , le 22 juin 1960 (p. 55). J.V., L’Échange au T.N.P., La Croix , le 1er juillet 1960 (p.63). Lerminier, Georges, Hubert Gignoux joue « L’Échange » de Paul Claudel au Théâtre Récamier (T.N.P.), Le Parisien libéré , juin 1960 (p. 56). Lerminier, Georges, L’Échange de Paul Claudel par la Comédie de l’Est, Gazette de Lausanne , le 25 juin 1960 (p. 60-62). Morelle, Paul, L’Échange de Paul Claudel par le Centre dramatique de l’Est à la salle Récamier, Libération , le 24 juin 1960 (p. 58).

645 Réalisé par le plus ancien centre dramatique régional français La Comédie de l’Est (appelé même Centre dramatique de Strasbourg). Ensuite en tournée en Alsace et en Lorrain du 1er octobre jusqu’au 10 novembre (Lunéville, Epinal, Sarrebourg, Forbach, Dieuze, Phalsbourg, Metz, Strasbourg, Saint-Dié, Jarny, Vitry-le-François, Châlons-sur-Marne, Verdun, Bar-le-Duc, Nancy, Chaumont, Mâcon, Chalon-sur-Saône, Belfort, Dijon, Besançon, La Chaux-de-Fonds, Grenoble, Genève, Dôle, Gray, Colmar, Sélestat, Remiremont, Montbéliard, Haguenau).

240 Paris, André, La Comédie de l’Est présente « L’Échange », de Claudel, Le Soir (Belge), le 21 juin 1960 (p. 53-54). Poirot-Delpech, B., Au T.N.P. – Recamier « L’Échange » ; de Paul Claudel, par la Comedie de l’Est, Le Monde , le 18 juin 1960 (p. 51). [Non-signé], L’Échange. Salle Récamier, Aurore , le 20 juin 1960 (p. 52).

(Poitiers) 646 date de représentation : le 28 août 1961, mise en scène : J.-P. Larruy reprises (Maison du Brésil, Cité Universitaire) date de représentation : le 9 janvier 1962 (Les Spectacles Jeune Théâtre) 647 date de représentation : le 1 er mai 1962 (?) date de représentation : février 1964 648

Théâtre de Bourgongne , Festival d’été (Beaune), seconde version date de représentation : 1964, mise en scène : Maurice Jacquemont, décors : José Quiroga, costumes : Max Ingrand

Gros, D., La Compagnie Jacques Fornier propose « L’Échange » de Paul Claudel, au bastion des Hospices », Le Bien Public , le 22 juillet 1964 (p. 9). J.S., « A bâtons rompus avec... Jacques Fornier, animateur du théâtre de Bourgogne, (Le point après « L’Échange » de Claudel », Le Bien Public (Dijon), le 2 septembre 1964 (p. 13-14). Mahert, Rodo, « A Beaune, L’Échange se fait dans les entrailles de la terre », La Tribune de Genève , festival d’été, le 21 août 1964 (p. 11-12).

Nouvelle compagnie d’Avignon date de représentation : le 25 mars 1964

Centre dramatique national du Nord (Tourcoing), seconde version 649 date de représentation : le 7 novembre 1964, mise en scène : André Reybaz, décors et costumes : Jean Pommier

Marthe : Eva Reybaz, Louis Laine : Bruno Sermone, Lechy Elbernon : Catherine Rethi, Thomas Pollock Nageoire : Fred Ulysse

Comédie de la Loire (Grand Théâtre de Tours)

646 Réalisé par la Compagnie Régnier-Larruy dans le cadre du 9ème Festival International culturel des Jeunes Compagnies (sous le patronage de l’U.N.E.F.), cette mise en scène a obtenu le prix du meilleur spectacle du festival. 647 Huit représentations données du 1er au 10 mai dans les villes suivantes : Limoges, Bellac, Saint-Léonard, Saint-Sulpice les Feuilles, le Dorat, etc. 648 Spectacle présenté à Châteauroux (le 15 février), Chaillac (le 20 février) et à Limoges (le 28 février). 649 Ensuite présenté en tournée dans l’Aisne, le Pas-de-Calais et l’Yonne.

241 date de représentation : le 12 février 1965

Compagnie Les Vaguants de Nice650 date de représentation : février 1965

Théâtre d’Orléans date de représentation : mai 1965, mise en scène : Olivier Katian

Centre Dramatique National du Sud-Est , première version date de représentation : novembre-décembre 1965 651 , mise en scène : Claude Engelbach Théâtre Daniel Sorano de Vincennes (Festival du château de Careil) date de représentation : les 3-8 août 1966 reprise (Théâtre Daniel Sorano, Vincennes), seconde version date de représentation : le 10 octobre 1966, mise en scène : Jean Lavelli, décors : Jacques Camurati

Marthe : Catherine Desbois

Dutourd, Jean, « L’échange » (révélation d’une actrice) », France-Soir , le 14 octobre 1966 (p. 33). J.L., « L’Échange de Paul Claudel au Théâtre Daniel-Sorano », Le Figaro litteraire , le 20 octobre 1966 (p. 39). Marcel, Gabriel, « L’Échange de Paul Claudel », Les Nouvelles Littéraires , le 27 octobre 1966 (p. 43). Paget, Jean, « L’Échange » de Paul Claudel », Combat , le 17 octobre 1966 (p. 35). Poirot-Delpech, B,, « L’Échange, de Paul Claudel », Le Monde , le 14 octobre 1966 (p. 31). Sandier, Gilles, « L’Échange de Paul Claudel (Th, Daniel-Sorano) », Arts , le 19 octobre 1966 (p. 37). [Non-signé], « Deux riches soirées », Les Lettres Françaises , le 27 octobre 1966 (p. 45).

(Annecy) 652 date de représentation : le 15 juillet 1966, mise en scène : Henri Doublier

Marthe : Pascale de Boysson, Louis Laine : Laurent Terzieff, Lechy Elbernon : Madeleine Marion, Thomas Pollock Nageoire : Sébastine Kéran

Reprise (France-Culture) date de diffusion : le 20 juillet 1966

Théâtre du tertre (Paris)

650 Spectacle présenté à Nice, Monaco et Cannes. 651 Présenté entre le 24 novembre et le 15 décembre dans plusieurs villes du Sud-Est, direction du centre Philippe Thiry. 652 Présenté sur le parvis de la Basilique de La Visitation, dans le cadre du Festival international de Théâtre sacré.

242 date de représentation : octobre 1966, mise en scène : Georges Charaire

Centre dramatique national du Sud-Est (Aix-en-Provence) date de représentation : décembre 1966

H.R., L’Échange de Paul Claudel, La Croix , le 23 décembre 1966 (p. 69).

Compagnie « Les Vaguants » (Théâtre du Vieux-Nice) date de représentation : le 13 janvier 1967, mise en scène : Michel Hart

Marthe : Anne Marie Ferrieux, Louis Laine : Michel Hart, Lechy Elbernon : Eliane Boeri, Thomas Pollock Nageoire : Jean-Gérard Rey

Compagnie Pierre Roudy (Paris) 653 date de représentation : le 5 juin 1967

Maison des Jeunes et de la Culture (Athis-Mons) date de représentation : octobre 1967, mise en scène : Jean-Pierre Bisson

Théâtre du Cothurne (Lyon) date de représentation : le 27 novembre 1967, mise en scène : Marcel Maréchal, décors et costumes : Jacques Angeniol

? Tatiana Moukhine, Bernard Ballet, Marcel Bozonnet

Inter Variétés date de diffusion : février 1967

[Non-signé], « L’Échange », une œuvre de jeunesse de Paul Claudel, Le Parisien , le 9 février 1967, [?].

France-Culture date de diffusion : le 8 juin 1967, mise en scène : Jorge Lavelli

Jorge Lavelli, Pierre Claudel, Jean-Noël Segrestaa

Théâtre de l’Épée de Bois (Paris) date de représentation : 1968, mise en scène : Michel Ormon

Compagnie de Raymonde Lecomte, Compagnie Fêtes (Festival de Sarlat) date de représentation : juillet 1968 reprise (Vaudemont) date de représentation : août 1968

653 Au Centre Américain du boulevard Raspail.

243 Théâtre du Tertre 654 date de représentation : avril 1968 [Non-signé], « L’Échange de Paul Claudel au Théâtre de Tertre », La Croix , le 18 avril 1968 (p. 63).

Centre théâtral du Limousin (Limoges) 655 date de représentation : le 5 novembre 1968, mise en scène, décors et costumes : Georges- Henri Régnier

[Non-signé], « Héléna Bossis, … », L’Aurore , le 9 octobre 1968 (p. 81). [Non-signé], « Héléna Bossis : « L’Échange » dans le Sud-Ouest », France-Soir , le 30 octobre 1968 (p. 83). reprise (Théâtre poétique de Paris, 656 Théâtre de l’Alliance Française), seconde version date de représentation : le 7 janvier 1969, mise en scène : Georges-Henri Regnier, décors : Pierre Esnault, costumes : Monique et Sylvain Deschamps

Marthe : Claire Deluca, Louis Laine : G.H. Regnier, Léchy Elbernon : Hélèna Bossis, Thomas Pollock : Claude Titre

Baron, Jeanine, L’Échange, de Claudel, La Croix , le 18 janvier 1969 (p. 39). Cartier, Jacqueline, Six ans après avoir joué un vaudeville, Héléna Bossi et C. Titre se retrouvent dans Claudel, France Soir , Hier Soir, le 9 janvier 1969 (p. 15). Colle, Jean-Pierre, Centenaire de Paul Claudel, Reforme , le 1 février 1969 (p. 45). Dutourd, Jean, « L’échange ». Héléna Bossis, grande interprète de Claudel, France Soir , le 11 janvier 1969 (p. 27). Galey, Matthieu, L’Échange de Paul Claudel. Les défauts de la jeunesse, Combat, le 10 janvier 1969 (p. 19). Galey, Matthieu, Pour un théâtre du langage, Les Nouvelles Littéraires , le 16 février 1969 (p. 37). Gautier, Jean-Jacques, A l’Alliance Française, L’Échange, de Claudel, Le Figaro , le 10 janvier 1969 (p. 17). Julien, Pierre, « L’Échange » à l’Alliance, L’Aurore , le 3 janvier 1969 (p. 7). Laubreaux, Raymond, « L’Échange », Les Lettres Françaises , le 15 janvier 1969 (p. 33). Le Marchand, Jacques, C’est ce que semblent..., Le Figaro Littéraire , le 20 janvier 1969 (p. 41). Lerminier, Georges, L’Échange » de Claudel, Le Parisien , le 13 janvier 1969 (p. 29). Lorne, Claude, Chaque soir, L’Échange..., Rivarol , le 16 janvier 1969 (p. 35). Madral, Philippe, « L’Échange » de Paul Claudel, L’Humanité , le 11 janvier 1969 (p. 25). Megret, Christian, Claudel ou le mépris des conventions, Carrefour , le 22 janvier 1969 (p. 43-44). Poirot-Delpech, B., « L’Échange », de Paul Claudel, Le Monde , le 10 janvier 1969 (p. 21).

654 Par la Compagnie Jean-Pierre Bisson. 655 Dans le cadre d’une tournée donnée dans les principales villes du Sud-Ouest. 656 Le directeur de ce théâtre était Serge Ligier.

244 Ransan, André, Au Théâtre de l’Alliance Française « L’Échange » de Claudel, L’Aurore , le 10 janvier 1969 (p. 23). [Non-signé], L’échange de Paul Claudel, Valeurs Actuelles , le 3 février 1969 (p. 47). [Non-signé], Helena Bossis, héroine de Claudel, Le Parisien , le 8 janvier 1969 (p. 9). [Non-signé], Pour le Centenaire ..., Le Monde , le 9 janvier 1969 (p. 13). [Non-signé], Pour le centenaire de Claudel « L’Échange » à l’Alliance, L’Aurore , le 8 janvier 1969 (p. 11).

Théâtre Le Kaléidoscope (Paris), seconde version date de représentation : le 30 juillet 1968, mise en scène : Jean-Pierre Bisson

Louis Laine : Jean-Pierre Bisson, Valérie Quincy, Paule Forte, Raphaël Delpard Fournier, Thérèse, Le « Kaléidoscope » : Claudel dans une cave , Paris-Presse , le 1er août 1968 (p. 53). Leonardini, Jean-Pierre, « Pour une grande tragédienne, L’Échange de Paul Claudel au Kaléidoscope », L’Humanité , le 29 août 1968 (p. 55).

L’Autre Théâtre ( Théâtre de Châteauvallon, Ollioules) 657 date de représentation : le 27 juillet 1968, mise en scène : Jean Gillibert

Marthe : Elisabeth Hollier, Louis Laine : Jean de Conninck, Lechy Elbernon : Lucie Arnold, Thomas Pollock Nageoire : Jean Gillibert reprises (Festival de Carennac) Date de reprise : le 20 août 1968 (Château de Grezeis) Date de reprise : le 25 août 1968 (Maison de la Culture d’Amiens , Amiens) date de représentation : le 17 janvier 1969

Compagnie Hermon (Festival de Guérande) date de représentation : le 10 août 1968 reprise (Théâtre des Arts de Rouen) Date de la représentation : le 13 février 1969

Troupe du Foyer rural de Saint-Martin-en-Bresse date de représentation : 27 octobre 1968

O.R.T.F. Télévision 2 e chaîne (Paris), seconde version date de représentation : le 22 février 1969 658 , réalisation : Jean-Paul Carrère

657 Le spectacle est présenté dans le cadre des Rencontres de Châteauvallon, ensuite joué encore dans la Maison de la Culture d’Amiens à partir du 17 janvier 1969. 658 Réalisation de Jean-Paul Carrère.

245 Brincourt, André, « L’Échange ». Une mauvaise farce de J.-P. Carrère, Le Figaro , le 24 février 1969 (p. 89). Favard, Jérôme, « L’Échange », L’Humanité , le 24 février 1969 (p. 87). Fontaine, Michèle, Incantation à quatre autour de la question clé du couple « L’Échange » de Claudel, L’Humanité , le 22 février 1969. J. A., Drame, L’Échange, Le Monde , le 14 février 1969 (p. 77). Jeanson, Henri, Ah ! comme Claudle m’ennuie, L’Aurore , le 25 février 1969 (p. 91-93). Vigneron, Jean, L’Échange de Claudel, La Croix , le 22 février 1969 (p. 85). [Non-signé], Edwige Feuillère joue « L’Échange », Le Figaro , le 22 février 1969 (p. 79).

Compagnie du théâtre du Tertre (Orléans) date de représentation : les 9 et 10 mai 1970 reprises (Paris) date de représentation : le 12 mai 1970 (Budapest) date de représentation : les 22 et 23 mai 1970 (Vienne) Date de représentaiton : le 26 mai 1970.

Théâtre Permanent des Pyrénées 659 date de représentation : décembre 1971, mise en scène : Michel Touraille, décors et costumes : A.M. Lazarini

Salle Copeau, Comédie de Saint-Etienne (Saint-Étienne) date de représentation : le 16 janvier 1975, mise en scène et décor : Anne Delbée, Louis Bonnet, décors : Anne Cronély, costumes : Paule Delporte

Marthe : Claire Weingarten, Anne Cornaly, Abbès Faraoun, Christian Roth

Vareille, Jo : « L’Échange » de Paul Claudel à la Comédie de Saint-Etienne, L’Humanité , le 3 février 1975 (p. 13). [Non-signé], L’Échange de Paul Claudel, Journal du Théatre de la Ville, octobre 1975 (p. 19-21). [Non-signé], Le Lieu est trop étroit pour moi ! Atac-informations , janvier 1975 (p. 9).

Théâtre de la Ville (Paris), seconde mise en scène 660 date de représentation : le 9 janvier 1976, mise en scène : Anne Delbée, décors et costumes : Jean-Pierre Regnault, musique : Gruno Bontempelli

Marthe : Martine Chevallier, Louis Laine : Jean-Claude Durand, Lechy Elbernon : Geneviève Page, Thomas Pollock Nageoire : Jean-Claude Dreyfus, Christophe Colomb, Blackwell : Al Lirvat

659 Présenté à Dax, Perpignan et Montpellier, Le Ciotat. 660 Spectacle réalisé à partir de deux versions.

246 Alter, André, L’échange de Paul Claudel, Témoignange chrétien , le 5 février 1976 (p. 69). De Nussac, Patrice, Au Théâtre de la Ville. Une nouvelle Marthe pour « L’Échange » de Paul Claudel : Martine Chevalier, France Soir , Spectacles, le 10 janvier 1976 (p. 43-44). Dumur, Guy, [?], Nouvel Observateur , le 26 janier 1976. Galey, Matthieu (M.G.): « L’Échange » de Paul Claudel à la lumière noire, Le Quotidien de Paris , le 20 janvier 1976 (p. 53). Galey, Matthieu, L’Echante de Claudel Théâtre de la Ville, Le Quotidien , Les Nouvelles Littéraires , le 22 janvier 1976 (p. 57). Godard, Colette, « L’Échange » au Théâtre de la Ville, Le Monde , le 18 janvier 1976 (p. 45). Gros, Georges, L’Échange de Paul Claudel. Un théâtre royal, Le Courrier Genève , novembre 1976 (p. 16). 661 G.D., L’Échange de Paul Claudel, Le Nouvel Observateur , le 26 janvier 1976 (p. 63-64). H.R., L’Échange, La Croix , le 24 janvier 1976 (p. 61). Chabanis, Christian (C.C.), L’Échange de Claudel, France Catholique Ecclesia , le 23 janvier 1976 (p. 59 -60). Chabanis, Christian (C.C.), L’Échange de Claudel, La France Catholique , le 19 janvier 1976. Chambrillon, Paul, L’Échange pièce de Paul Claudel, Valeurs Actuelles , le 8 février 1976 (p. 71-72). Jamet, Dominique, Au Théâtre de la Ville « L’Échange » (Le dernier quart h’heure), L’Aurore , le 19 janvier 1976 (p. 47 -48). Leonardini, J.-P., Passes d’armes « L’Échange » de Paul Claudel au Théâtre de la Ville, L’Humanité , le 21 janvier 1976 (p. 55). Lerminier, Georges, L’Échange, Le Parisien Libéré , le 26 janvier 1976 (p. 65). Khera, J.-M., Claudel au Théâtre de la Ville, La Presse Française , le 30 janvier 1976, p. 16 (p. 20). Marcabru, Pierre, « L’échange » acrobatique et passionné, France Soir , le 20 janvier 1976 (p. 51). Marquet, Pierre-Bernard, L’échange, ..., Education , le 5 février 1976 (p. 21). Nourissier, François, L’échange. Le vieux roi Claudel, Le Figaro , le 19 janvier 1976 (p. 49). Rabine, Henri, [?], La Croix , le 20 janvier 1976. Surgers, Anne, « L’Échange » au Théâtre de la Ville. Une soirée qui saigne, Le Quotidien de Paris , le 9 janvier 1976 (p. 41). Tremois, Claude-Marie, L’Échange, Telerama , le 28 janvier 1976 (p. 67). [Non-signé], L’argent ne fait pas le talent, Le Nouvel Observateur , [?] (p. 17). [Non-signé], L’Échange, Le Nouvel Observateur , le 5 janvier 1976 (p. 17). [Non-signé], L’Echante au Théâtre de la Ville, La Vie quotidien , le 11 février 1976 (p. 22). [Non-signé], Eternel Claudel, Le Soir (Marseille), le 24 janvier 1976, p. 2 (p. 15). [?], Neue Zürcher Zeitung , le 1er juin 1976, [?]. [?], Sur les scènes parisiennes. Peu de nouveautés, quelques brillantes reprises, Nord Eclair (Lille), le 3 mars 1976 (p. 3). reprise

661 Cet article a été écrit à partir de la représentation à la Maison des arts et loisirs de Thonon- les-Bains.

247 (Théâtre de la Ville, Maison des arts et des loisirs de Montbéliar) date de représentation : le 19 novembre 1977 662

Barthelemy, Cécile, Anne Delbée, « je me battrai jusqu’au bout pour le théâtre », Marie France , mars 1977 (p. 107). Chabanis, Christian (C.C.), Reprise de L’Échange, France Catholique Ecclesia , le 10 décembre 1976 (p. 79-80). Khera, J.-M., Bilan d’une Année, Presse-Française, le 31 décembre 1976 (p. 33). Milhaud, Marianne, Anne Delbée son amour du théâtre est communicatif, Heures Claires , avril 1977, p. 29-31 (p. 37-38). Pradeau, Janine, Anne Delbée, Flash-informations, [?] (p. 39). [Non-signé], L’Échange de Paul Claudel, Le Nouvel Observateur , le 8 novembre 1976 (p. 91). [Non-signé], « L’Échange » de retour à la Ville, L’Aurore , le 9 novembre 1976 (p. 93). (Centre Culturel, Garches) date de représentation : le 22 novembre 1977, mise en scène : Serge Krakowski

Théâtre Marie Stuart (Paris) date de représentation : novembre 1978, mise en scène : Maurice Attias, décors : Yannis Kokkos

Marthe : Marie-Hélène Giry, Louis Laine : Alexis Danavaras, Léchy Elbernon : François Felguirolle, Thomas Pollock Nageoire : Stéphane Dhausse

Studio-théâtre de Vitry (Théâtre de Gennevilliers) 663 date de représentation : le 15 mars 1979, mise en scène : Alain Ollivier, décors et costumes : Benoist Demoriane

Marthe : Laurence Roy, Louis Laine : Thierry-Gabriel Fortineau, Lechy Elbernon : Martine Drai, Thomas Pollock Nageoire : Alain Ollivier

Théâtre Marie Stuart (Paris) 664 , seconde version date de représentation : le 29 octobre 1980, mise en scène : Antoine Bourseiller, décors et costumes : Bernard Dayde reprises (Théâte municipal de Rennes) date de représentation : le 29 avril 1982 (Théâtre municipal d’Orléans) date de représentation : le 28 janvier 1983

Théâtre de Poche de Mulhouse (Mulhouse) date de représentation : avril 1981

662 22 représentations supplémentaires du 9 novembre 1976 au 11 février 1977. 663 Dans la production du Studio-théâtre Vitry de Vitry-sur-Seine. 664 Dans la production de la Compagnie Antoine Bourseiller.

248 Nouveau Théâtre de Nice (Nice) 665 date de représentation : le 3 mars 1982, mise en scène : Jean-Louis Thamin, décors : Jean Haas, costumes : Patrice Cauchetier

Monique Brun, Abdelatif Kechiche reprise (Théâtre National de Strasbourg, Strasbourg) date de représentation : le 17 mars 1982

(Paris) 666 date de représentation : les 16, 17 et 18 avril 1982, mise en scène : Patrick Kerbrat

Compagnie de Lorraine (L’Atelier, Nancy) date de représentation : le 17 avril 1984, mise en scène : Jacques Hadjaje, décors et costumes : Michèle Degoutin, musique : Eric Fisher

Théâtre Quotidien de Lorient (Théâtre de la Ville, Rennes) date de représentation : le 13 juillet 1984 667 , mise en scène : Pierre Spadoni

Louis Laine : Jean Le Scouarnec

Temkine, Raymonde, L’Échange au Théâtre Quotidien de Lorient. Juillet 1984, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 97, Paris 1985, p. 17-18 ; Acteurs , n° 21, octobre-novembre 1984.

Centre Théâtral du Maine (Le Mans) date de représentation : 1986, mise en scène : Didier-Georges Gabily, musique : Isabelle Van Brabant

? Catherine Baugué, Marc Bodnar, Alexandra Scicluna, Jean-François Sivadier

Compagnie du Théâtre Pourpre (Brangues) date de représentation : le 23 août 1986

Théâtre National de Chaillot (Paris) 668 date de représentation : le 6 novembre 1986, première version 669 , mise en scène : Antoine Vitez, décors : Hervé Boutard, Yannis Kokkos, costumes : Yannis Kokkos

665 Dans la production du Théâtre National de Strasbourg et du Nouveau Théâtre de Nice. 666 Réalisé par les élèves. 667 Du 13 juillet au 4 août 1984. 668 Joué du 6 novembre au 25 décembre, dans le cadre d’une tournée, ce spectacle était présenté dans les villes suivantes : Strasbourg (7 au 10 janvier), Amiens (14 et 15 ), Grenoble (19 au 21), Montpellier (28 au 30), Marseille (du 3 au 8 février), Caen (12 et 13), Villeneuve-d’Ascq (du 18 au 20) et enfin Bordeaux (du 25 au 28). 669 Du 6 novembre jusqu’au 25 décembre, puis tournée à Strasbourg, Amiens, Grenoble, Alès, Montpellier, Marseille, Caen, Villeneuve-d’Ascq, Bordeaux.

249 Marthe : Dominique Reymond, Louis Laine : Jean-Yves Dubois, Lechy Elbernon : Claude Degliame, Thomas Pollock Nageoire : Andrzej Seweryn

A.S., Claudel relu par Vitez, L’Express , le 21 novembre 1986 (p. 26). Barlier, Michel, Chaillot, très libre « Échange », Gal Pied , le 5 decembre 1986 (p. 38). Boué, Michel, Du grave a l’aigu, L’Humanité , le 13 novembre 1986 (p. 13). Boquet, Guy, Histoires et Géographes , n° 312. C.J., Claude Degliame aux sources de Claudel, Le Figaro , le 6 novembre 1986 (p. 3). Costaz, Gilles, Le Matin , le 13 novembre 1986. Cournot, Michel, Trois ans avant d’aimer, Le Monde , le 10 novembre 1986 (p.7). Dumur, Guy, Claudel et Brecht dans l’espace, L’Observateur , le 21 novembre 1986 (p. 27). Dumur, Guy, Invitation, Le Nouvel Observateur , le 31 décembre 1986 (p. 54). Dumur, Guy, Vitez, Antoine, Claudel dans le texte, Le Nouvel Observateur , le 31 octobre 1986 (p. 55). Gastellier, Fabian, Le troc ? L’Unité , le 14 novembre 1986 (p. 16). G. C., Pitoyable et grandiose, Le Matin , le 13 novembre 1986 (p. 14). G.J., Le laboratoire Claudel, Impact médecin , Air du Temps , le 29 novembre 1986 (p. 32). Gresh, Sylviane, Chacun ses rêves..., Révolutions , le 2 décembre 1986 (p. 35-36). Héliot, Armelle, Questions de frontières, Le Quotidien de Paris , le 18 novembre 1986 (p. 22). Hérliot, Armelle, Vitez dans la lumière de Claudel, Le Quotidien de Paris , le 7 novembre 1986 (p. 6). Chambrillon, Paul, L’Échange. La Presse Française , le 14 novembre 1986 (p. 17). Lebrun, Jean, Vitez, l’ode à Claudel, La Croix, L’Evénement , le 4 novembre 1986 (p. 2). Lebrun, Jean, Vetez revient à Claudel, La Croix, L’Evénement , le 14 novembre 1986 (p.15). Léonardini, Jean-Pierre, Rencontres au sommet, L’Humanité , le 17 novembre 1986 (p. 19- 20). Marat, Pierre, « L’échange », Charente Libre , le 12 décembre 1986 (p. 40). Marcabru, Pierre ( P.M.), L’Échange, Elle , décembre 1986 (p. 34). Marcabru, Pierre, Un beau vide, Le Figaro , le 11 novembre 1986 (p. 9). Nataf, André, Théâtre Chaillot « L’Échange » de Claudel mis en scène par A. Vitez, Le Nouveau Biologiste , décembre 1986 (p. 46). Pascaud, Fabienne, L’Échange, Télérama , le 17 décembre 1986 (p. 43). Pascaud, Fabienne, L’Échange, Télérama , 19 novembre 1986 (p. 23). Pascaud, Fagienne, Vitez, agent d’échange, Télérama , le 13 novembre 1986 (p. 11). Pidoux, Jean-Yves, D’un arbre, avec éloignement en trois cercles. L’échange, Théâtre/ public , n° 75, mai-janvier 1987 (p. 52-53). Quidel, François, L’Échange, de Paul Claudel, L’Express , le 21 novembre 1986 (p. 25). Rosbo, Patrick de, Andrzej Seweryn, Pollock ou la pétamorphose, Le Quotidien de Paris , n° 2165, le 6 novembre 1986 (p. 5) ; Le Quotidien du Medecin , le 12 novembre 1986 (p. 10). Le Roux, Monique, Dans la famille Vitez, La Quinzaine littéraire , le 16 décembre 1986 (p. 41). Salino, Brigitte, Vitez voyage avec Claudel, L’Evenement du jeudi , le 20 novembre 1986 (p. 24). Senart, Philippe, Paul Claudel..., Revue des deux Mondes , janvier 1987 (p. 48-49).

250 Soriano, Jacinto, « L’Échange » de Claudel-Vitez, la palabra encarnada, El Publico , 53, febrero 1987 (p. 50-51). Suarès, Guy, Lettre ouverte à Antoine Vitez, La Nouvelle république du Centre-Ouest , le 21 novembre 86 (p. 28). Thibaudat, Jean-Pierre, « L’Échange » libre, Libération ; le 13 novembre 1986 (p. 12). Tian, Renzo, Tra lirismo e razionalismo, Il Messaggero (Roma), le 16 novembre 1986 (p. 18). V.B., « L’Échange », de Paul Calduel mise en scène Antoine Vitez, Panorama du Medecin , le 11 décembre 1986 (p. 39). [Non-signé], A l’affiche des théâtres, Le Quotidien de Paris , n° 2204, le 23 décembre 1986 (p. 45). [Non-signé], Bel Échange, Télérama , le 26 novembre 1986 (p. 31). [Non-signé], Ce jeune homme..., Historiens-Géographes, n° 312, janvier-février 1987 (p. 47). [Non-signé], L’Échange de Paul Claudel, Le Point , le 2 décembre 1986 (p. 37). [Non-signé], Sous les feux de la rampe, Pèlerin Magazine , le 6 novembre 1986 (p. 4). reprise (Opéra Comédie, Théâtre des 13 vents, Montpellier) date de représentation : le 28 janvier 1987 670

Compagnie Le Portique (Théâtre municipal de Quimper) date de représentation : les 23-30 janvier 1988, mise en scène : Jacques Guimet, décors : Michel Pagnoux, costumes : Nathalie Holt

Francis Arnaud, Jean-Yves Crochemore, Christine Guillou, Karin Romer

Compagnie Christine Narovitch (Théâtre Roseau, Paris, Festival de Bellac) date de représentation : le 2 juillet 1988, mise en scène : Christine Narovitch

Théâtre fragil (Festival d’Avignon) date de représentation : juillet-août 1989, mise en scène : Jean Négroni

Mathe : Virginie Lacroix, Louis Laine : David Négroni, Lechy Elbernon : Maïa Simon, Thomas Pollock Nageoire : Michel Lonsdale reprise Théâtre Renaud-Barrault (Paris) date de représentation : le 3 décembre 1991 671

( ?) date de représentation : 1991 (1990 ?), v. Théâtre Varia (Bruxelles), msc. Philippe Sireuil

Groupe théâtral du Crédit Lyonnais 672 date de représentation : le 13 mars 1991

670 Joué trois fois. 671 Joué jusqu’au 31 janvier 1992. 672 Il s’agit d’une troupe d’amateurs.

251

Compagnie du Théâtre Amateur de Nanterre (Nanterre) 673 date de représentation : le 22 juin 1991

Théâtre du Rond-Point date de représentation : décembre 1991, mise en scène : Jean Négroni

Segrestaa, Jean-Noël, Nouvelles variations sur l’Échange, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 126, p. 17-20.

Théâtre Renaud Barrault date de représentation : le 3 décembre 1992, mise en scène : Jean Negroni, décors : Jacques Noël

? Maïa Simon, Michael Lonsdale, Virginie Lacroix, David Negroni

Centre Culturel de l’Albigeois (Albi) date de représentation : le 17 janvier 1992, mise en scène : Jean-Pierre Tailhade

Hélène Didier, Frédéric Sentein, Jean-Pierre Tailhade, Marie-Angèle Vaurs reprise Théâtre Sorano (Toulouse) date de représentation : le 4 février 1992

(Paris) ? date de représentation : 1993

Théâtre 13 de Paris date de représentation : le 17 mars 1992 674 , mise en scène : Gilles Bouillon, décors : Nathalie Holt

Martine Pascal, Aude Briant, Antoine Basler, Gérard Chaillou

Segrestaa, Jean-Noël, Nouvelles variations sur l’Échange, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 126, p. 17-20. reprise (Théâtre Louis Jouvet, Centre dramatique régional de Tours, Tours) date de représentation : le 5 mai 1992 675

Théâtre Gyptis (Marseille) 676 date de représentation : le 12 mars 1993, première version, mise en scène : Françoise Chatot, décors et costumes : Claire Belloc, musique : Claude Debussy

673 Joué à la Maison des Jeunes Daniel Fery, reprise le 23 juin. 674 Joué jusqu’au 18 avril 1992. 675 Joué jusqu’au 14 mai 1992. 676 Par la Compagnie Chatot-Vouyoucas.

252

Marthe : Agnès Audiffren, Louis Laine : Orazio Massaro, Lechy Elbernon : Danielle Stephan, Thomas Pollock : Alain Choquet

Alexandre, Didier, L’Échange à Marseille, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 130, Paris 1993, p. 34-35.

Comédie-Française date de représentation : le 21 octobre 1995, mise en scène : Jean Dautremay, décors : Henri Cueco

Marthe : Muriel Mayette, Louis Laine : Eric Ruf, Lechy Elbernon : Claire Vernet, Thomas Pollock Nageoire : Bruno Raffaelli

Antoine, Gérald, L’Échange, deuxième version à la Comédie-Française, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 140, 1995, p. 1-12. 677 Billard, Pierre, [?], Le Point , le 4 novembre 1995, [?]. Coppermann, Annie, [?], Les Echos , le 30 octobre 1995, [?]. Ferney, Frédéric, [?], Le Figaro , le 21 octobre 1995, [?]. Julliard, Jacques, [?], Le Nouvel Observateur , le 9 novembre 1995, [?]. La Bardonnie, Mathilde, [?], Libération , le 28 octobre 1995, [?]. Léonardini, Jean-Pierre, [?], L’Humanité , le 30 novembre 1995, [?]. Pascaud, Fabienne, [?], Télérama , le 7 novembre 1995, [?]. Schmitt, Olivier, [?], Le Monde , le 21 octobre 1995, [?]. Thomas, Bernard, [?], Le Canard enchaîné , le 8 novembre 1995, [?]. J.-P.H., [?], La Croix , le 31 octobre 1995, [?]. [Non-signé], [?], Le Parisien , le 31 octobre 1995, [?]. reprise (France-Culture) date de diffusion : le 7 janvier 1996

Théâtre Gyptis de Marseille (Marseille, Lyon) date de représentation : 1996, mise en scène : Françoise Chatôt, décors et costumes : Claire Belloc

Marthe : Agnès Audiffren, Louis Laine : Orazio Massaro, Lechy Elbernon : Danielle Stafan, Thomas Pollock : Alain Choquet

Théâtre du Pavé de Toulouse (Toulouse) date de représentation : 1996, mise en scène : Paul Berger

Marthe : Juliette Ubersfeld, Louis Laine : Eric Saujeri, Lechy Elbernon : Elsa Berger, Thomas Pollock Nageoire : Christian Marc

Comédie Française , seconde version

677 L’auteur de cet article renvoie à cette mise en scène.

253 date de représentation : 1997, mise en scène : Jean Dautremay, décors : Henri Cueco

Segresta, Jean-Noël, Retour sur un Échange et une trilogie mémorable : vers un Claudel « classique » ?, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 147, 1997, p. 20-23.

Compagnie Celia Faivre d’Arcier (Festival d’Avignon) date de représentation : juillet 1998

Nouveau Théâtre d’Angers (Angers) 678 date de représentation : 1998, mise en scène : Bernard Lévy

? Catherine Pietri, Marc Berman, Marthe : Marie Matheron, Pierre Louis-Calixte

Compagnie du Théâtre en Diagonale de Limoges (Théâtre de la Grange de Brive) date de représentation : le 30 janvier 1999 reprise (Théâtre Expression 7, Limoges) date de représentation : du 23 février au 7 mars 1999

Compagnie Lire aux éclats date de représentation : janvier-mars 1999 679

Théâtre en diagonale (Brive) date de représentation : janvier 1999 reprise (Limoges) date de représentation : février-mars 1999

Lycée Saint-Exupéry de Lyon date de représentation : les 16 et 17 décembre 1999, mise en scène : Monique Stalens

Ecole du Théâtre National de Chaillot (Galerie du Théâtre du Rond-Point), première version date de représentation : le 15 mars 2000 680 , mise en scène : Elisabeth Drulle

Compagnie ICARE de St. Nazaire 681 date de représentation : le 4 avril 2000, mise en scène : Christophe Rouscal

(Amiens) date de représentation : 2000 682 , mise en scène : Bernard Lévy

678 Dans la production de la Compagnie Lire aux éclats de Paris. 679 Tournée (8 janvier-8 mars), Châlons en Champagne, Mulhouse, Nancy, Angers, Suresnes, Beauvais, Alençon, Flers, Epernay. 680 Réalisé par les élèves de troisième année, par la Compagnie Si Adelita. 681 Donné jusqu’au 11 avril, présenté à Château-Gontier, Redon, La-Chapelle sur Erdre et à Saint-Barthélemy.

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Théâtre Nanterre-Amandiers (Nanterre) date de représentation : le 28 septembre 2001, mise en scène : Jean-Pierre Vincent, décors : Jean-Paul Chambas, costumes : Patrice Cauchetier

Marthe : Julie Brochen, Louis Laine : Jérôme Huguet, Lechy Elbernon : Élizabeth Mazev, Thomas Pollock Nageoire : Jean-Marie Winling

Le Roux, Monique, L’Échange, mise en scène de Jean-Pierre Vincent au Théâtre des Amandiers à Nanterre, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°165, 2002, p. 52-54.

Ponts levants Théâtre de Martigues date de représentation : 2001, mise en scène : Dominique Chante

Compagnie Didascalie and C° (Théâtre 14 à Paris) date de représentation : 2001-2002, mise en scène : Renaud-Marie Leblanc Théâtre Gyptis à Marseille date de représentation : le 15 octobre 2002 683 , mise en scène : Françoise Château

Compagnie Les Labyrinthes (Théâtre du Pont Tournant à Bordeaux) date de représentation : le 10 décembre 2002 684

Théâtre des 13 vents (Montpellier) date de représentation : le 29 janvier 2003 685 , mise en scène : Julien Bouffier, décors : Emmanuelle Debeusscher

Marc Baylet, Ladji Diallo, Dominique Jacquet, Vanessa Liautey, Yanecko R. P. Romba

Théâtre Ajmer (Marseille) date de représentation : le 21 janvier 2003, mise en scène : Franck Dimech reprise (Friche la Belle de Mai à Marseille) date de représentation : du 25 au 29 mars 2003

(Sète, Montpellier, Cavaillon) date de représentation : février 2003, mise en scène : Julien Bouffier

Compagnie Les Ponts Levants (Théâtre des Salins à Matigues) date de représentation : les 26 et 27 mai 2003, mise en scène : Dominique Chante

Nuits de Fourvière date de représentation : juin 2003, mise en scène : Emmanuel Daumal

682 Tournée, présenté même à Suresnes, reprise a été prévue pour l’automne 2001. 683 Présenté jusqu’au 26 octobre. 684 Présenté jusqu’au 14 décembre 2002. 685 Dans la production de la Compagnie Adesso e Sempre de Montpellier, 4 reprises. Présenté même sur la scène nationale de Sète, sur la scène nationale de Cavaillon et à Saint-Yrieix.

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Théâtre du Nord-Ouest date de représentation : juin 2003, seconde version, mise en scène : Édith Garraud

Marthe : Florence Tosi, Louis Laine : Pascal Guignard, Lechy Elbernon : Marie de Baillencourt, Thomas Pollock Nageoire : Eliezer Mellul

? date de représentation : octobre 2003, mise en scène : Charlène Lyczba

Atelier-Théâtre de Monique Stalens (Espace Bernanos) date de représentation : le 5 juin 2004, seconde version, adaptation et mise en scène : Monique Stalens

Whitaker, Marie-Joséphine, Annonces de théâtre, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 175, 2004, p. 73.

Compagnie des Feuillants (Lyon) 686 date de représentation : novembre 2004, mise en scène : Emmanuel Daumas

Théâtre de la Rampe de Caen (Caen) 687 date de représentation : novembre-décembre 2004, mise en scène : Anne Pican

Théâtre du Nord-Ouest (Montmartre à Paris) date de représentation : le 22 mars 2005, mise en scène : Édith Garraud

Théâtre de la Croix-Rousse (Lyon) 688 date de représentation : 2005, mise en scène : Vincent Roumagnac, décors : Franck Cazenave

Gilles Chabrier, Muriel Coadou, Denis Lejeune, Nathalie Ortega

Compagnie Agitakt (Paris) 689 date de représentation : mai-juin 2005, mise en scène : Emmanuel de Sablet, décors et costumes : Marie Maffray, musique : Bonoist Faure

Igor Mendjisky, Camille de Sablet, Magali Bouze, Christian Gaitch

Compangie Présence (Théâtre de la Pergola à Bordeaux) date de représentation : mai 2005

Festival de Cormatin 690 , première version date de représentation : le 6 août 2005, mise en scène : Hervé van der Meulen

686 Organisé dans le cadre de l’ENSATT. 687 Ensuite à Granville et Argentan. 688 Dans le cadre du Collectif 7. 689 Dans la production du Chant des Cigales. 690 Réalisé dans le cadre du festival du château de Cormatin en Bourgogne.

256

Sophie Stalport, Chatal Deruaz, Damien Ferrette, Patrick Simon reprises (Festival d’Izieu) date de représentation : le 22 août 2005 (Studio-Théâtre d’Asnières) date de représentation : le 11 octobre 2005

Claudel, François, Festival de Cormatin et d’Izieu, Bulletin de la Société Paul Claudel, n° 179, p. 79-80.

Studio-Théâtre d’Asnières date de représentation : le 11 octobre 2005, mise en scène : Hervé van der Meulen, décors et costumes : Claire Belloc

Louis Laine : Damien Ferrette, Lechy Elbernon : Chatal Deruaz, Thomas Pollock Nageoire : Patrick Simon

Théâtre d’Auxerre (Auxerre) date de représentation : le 23 novembre 2005, mise en scène : Joséphine de Meaux, Mériam Korichi, décors : Constance Arizzoli

? Caroline Binder, Daniela Labbé, Servante Ducorps, Vincent Macaigne, Robert Hatisi, Joséphine de Meaux reprise (Compagnie Jean-Louis Martin Barbaz , Studio Théâtre d’Asnières) date de représentation : le 19 novembre 2006, reprise, mise en scène : Hervé Van der Meulen)

Forum (Flers) date de représentation : le 12 janvier 2006, mise en scène : Annie Pican, décors et costumes : Pascale Mandonnet, musique : Etienne de la Sayette et Isaac Azoula

Salle Anacaona, L’Artchipel (Basse-Terre) 691 date de représentation : le 10 novembre 2006, mise en scène : Sarah Sanders, décors : Pierre Attrait, costumes : Élisabeth Dallier

? Vincent Byrd le Sage, Laurence Février, Martine Maximin, Jean-François Prévand

Compagnie « Les Compagnons de Jeu » (Festival d’Avignon, Cloître des Célestins Avignon) 692 , première version de 1893 date de représentation : le 8 juillet 2007, mise en scène : Julie Brochen, décors : Marc Puttaert, costumes : Sylvette Dequest

691 Dans la production de la Compagnie de la Comédie Noire de Paris. 692 Dans la production du Théâtre de l’Aquarium de Paris, 9 reprises. Ensuite tournée.

257

Marthe : Julie Brochen, Louis Laine : Antoine Hamel, Lechy Elbernon : Cécile Péricone, Thomas Pollock Nageoire : Fred Cacheux, Christophe Colomb Blackwell : Frédéric Le Junter reprises (Opéra de Rennes, Théâtre national de Bretagne, Rennes) date de représentation : septembre-octobre 2007 (« Théâtre en Dracénie », Draguignan) date de représentation : le 11 décembre 2007 (« Théâtre de l’Olivier », Istres) date de représentation : le 16 décembre 2007 (Scènes du Jura, Théâtre municipal de Lons-le-Saunier, Lons-le-Saunier) date de représentation : le 19 décembre 2007 (Centre culturel Joël Le Theule, Sable-sur-Sarthe) date de représentation : le 11 janvier 2008 (Théâtre de l’Idéal, Théâtre du Nord, Lille) date de représentation : le 16 janvier 2008 693 (Grande Salle, La Comédie de Reims, Reims) date de représentation : le 23 janvier 2008 694 (Théâtre du Beauvaisis, Espace Jean Legendre, Compiègne) date de représentation : le 8 février 2008 (Théâtre de la Croix-Rousse, Lyon) date de représentation : le 12 février 2008 695 (Théâtre des Deux Rives, Rouen) date de représentation : le 11 mars 2008 696 (Parvis Saint-Jean, Théâtre Dijon Bourgogne, Dijon) date de représentation : le 23 septembre 2008 697 (Théâtre de l’Aquarium, Paris) date de représentation : le 3 octobre 2008 (Salle Bernard-Marie Koltès, Théâtre National de Strasbourg, Strasbourg) date de représentation : le 10 décembre 2008 698 (Salle Bernard-Marie Koltès, Théâtre National de Strasbourg, Strasbourg) date de représentation : janvier 2009

Compagnie de la Comédie Noire (Vingtième Théâtre à Paris) date de représentation : janvier-février 2007, mise en scène : Sarah Sanders

Théâtre de l’Ouest parisien Date de représentation : janvier 2008, mise en scène : Yves Beaunesne

Compagnie « Que Sera » de Laurent Contamin 699

693 Spectacle avec 5 reprises. 694 Spectacle joué trois fois. 695 Spectacle représenté 4 fois. 696 Avec 10 reprises. 697 Spectacle joué 4 fois. 698 Spectacle joué jusqu’au 10 janvier 2009, 15 reprises.

258 date de représentation : le 12 juin 2009

Théâtre La Friche (Marseille) 700 date de représentation : le 11 janvier 2010, mise en scène : Franck Dimech reprise (Komaba Agora, Tokyo), v. Japon

Compagnie de l´Explique-Songe date de représentation : le 3 mai 2010, mise en scène : Valérie Castel Jordy reprise (Théâtre de Chatillon) Date de représentation : le 29 avril 2011

Athénée, Théâtre Louis Jouvet (Paris) , seconde version date de représentation : le 3 mars 2011, mise en scène : Bernard Lévy, décors : Giulio Lichtner, costumes : Elsa Pavanel

Audrey Bonnet, Pierre-Alain Chupuis, Aline Le Berre, Pierrick Plathier

Théâtre Mouffetard, Compagnie des Larrons (Paris) Date de représentation : le 19 mai 2011, mise en scène : Xavier Lemaire, décors : Caroline Mexme, costumes : Virginie Houdinière

Xavier Lemaire, Isabelle Audréani, Grégori Baquet, Gaëlle Billant-Danno reprise (Théâtre de la Luna à Avignon) date de représentation : juillet 2011

Grande Bretagne ( The Exchange )

Pioneer Players, Little Theatre (Londres) date de représentation : le 2 mai 1915, traduction : Rowland Thurnam, 701 mise en scène : Edith Craig

Marthe : C. Nesbitt

[?], Times , le 3 mai 1915, p. 11e.

Elizabethan barn next to Ellen Terry’s old home (Tenterden)

699 Spectacle réalisé dans le cadre du festival Passe-Portes dans la cour de la salle des fêtes des Portes en Ré (Île de Ré). 700 Représenté en japonais avec sous-titrage. 701 La traduction reste inédite.

259 date de représentation : le 7 mai 1939, traduction : Rowland Thurnam, mise en scène : Edith Craig

[?], Times , le 2 mai 1939, p. 12e.

The Échange Theatre Company (Jermyn Street Theatre de Londres) 702 , seconde version date de représentation : juillet 2006, traduction : Louise Witherell 703 , mise en scène : David Furlong

Marthe : Fanny Dulin, Louis Laine : Toby Manley, Lechy Elbernon : Anna Ruben, Thomas Pollock Nageoire : Kevin Golding

Guadeloupe La Comédie noire date de représentation : mai et novembre 2001, mise en scène : Sarah Scanders reprise (Théâtre Alexandre-Dumas de Saint-Germain-en-Laye, France)

Italie Théâtre Eliseo (Rome) date de représentation : le 19 décembre 1946, mise en scène : C. Pavolini

Teatro della Basilica de Milan date de représentation : novembre 1948, mise en scène : E. D’Alessandro

Festival international de Parme date de représentation : le 17 avril 1953

(Palerme) 704 date de représentation : le 3 mars 1963 705 , v. msc. Guy Suarès

Laurent Terzieff

(Milan) 706 date de représentation : le 18 avril 1964

702 Spectacle a été présenté dans le cadre du „London Fringe Festival of Theatre dans un petit „studio theatre“. 703 L’oeuvre est traduite en 1974. Le metteur en scène s’est aussi inspiré d’une autre traduction faite par France Herfé et Stephan Baine en Nouvelle Zélande en 1997-1998. 704 Ensuite joué même dans quelques villes de Sicile. 705 Spectacle présenté en version originale dans plusieurs villes italiennes. 706 Réalisation de la Trilogie dans la production de la Compagnie du Vieux-Colombier

260 Japon (Nagoya) 707 date de représentation : le 3 novembre 1968, traduction et mise en scène : Tarô Kimura

(Komaba Agora, Tokyo) 708 , reprise, v. msc. Franck Dimech, 2010 date de représentation : le 6 avril 2011

Liban Théâtre du Liban (Beyrouth) 709 date de représentation : le 8 avril 1960

Luxembourg Compagnie « Théâtre du Centaure » (Studio théâtre à Luxembourg) date de représentation : 2007, mise en scène : Marja-Leena Junker reprise date de représentation : juin 2009

Martinique Compagnie Jean Gosselin 710 Date de la tournée : 1960/1961

Norvège Rogaland Teater (Stavanger) date de représentation : janvier 1989, traduction : Lars-Roar Langslet, mise en scène : Kjetil Band-Hansen

Pays-Bas (Oirschot) 711 date de représentation : le 11 février 1962, traduction : Victor E. Vriesland

Institut Français d’Amsterdam date de représentation : le 26 avril 1984 712

707 Par les étudiants de l’Université Nanzan. 708 Le spectacle a été donné en japonais. 709 Par la Compagnie Guy Suarès, présenté à l’occasion de la fondation de la Société des Amis de Paul Claudel au Liban. 710 Tournée organisée du 15 novembre 1960 jusqu’au 15 avril 1961. Ensuite présenté en Guadeloupe et à Haïti. 711 Réalisé par la troupe R. K. Toneelvereniging Sancta Maria.

261

Pologne Teatr Maly 713 (Varsovie), première version date de représentation : le 20 février 1925 714 , traduction : Jaroslaw Iwaszkiewicz, mise en scène : Alexander Wegienko

Marthe : Maria Malicka, Lechy : Mlle Bronisz, Louis : M. Malsgewski, Thomas : M. Samborski

Teater Wybrzeze (Gdansk) date de représentation : décembre 1977, mise en scène : Jerzy Kreczmar

Teatr Ludowy (Nowa-Huta) 715 date de représentation : le 27 juin 1981, traduction : Jaroslaw Iwaskiewicz, mise en scène : Wlodzimierz Nurkowski, décors : Anna Sekula, musique : Jolanté Szczerba-Kanik Teatr Maly (Varsovie) date de représentation : le 28 août 1982, traduction : Jaroslaw Iwaszkiewicz, mise en scène : Maciej Slowinski, décors : Xymana Zaniewska

? Tomasz Budyta, Justyna Kulczycka, Jerzy Prsybylski, Ewa Zikowska

Théâtre Populaire de Cracovie , première version date de représentation : 1982, mise en scène : M. Nurkowski

Kaczmarek, Wojciech, L’Échange à Cracovie, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 88, 1982, p. 33-34.

(Katowice) date de représentation : février-avril 2005

Portugal (Lisbonne) 716 date de représentation : 1985

Lechy : Manuela de Freits

[Non-signé], L’Échange à Lisbonne. Quelques réflexions d’un spectateur, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 97, Paris 1985, p. 17.

712 Joué aussi le 27 par la troupe universitaire. 713 Il s’agit d’une scène intime du théâtre Polski dans l’ancien bâtiment de la Philharmonie de Varsovie. 714 Chez Fabaret juin 1925. 715 Théâtre Populaire. 716 Dans le cadre de la chapelle du Couvent de Nossa Senhora da Conceiçào dos Cardais.

262

Roumanie Théâtre Nettaru (Bucarest) date de représentation : le 22 février 1971, traduction : I. Igirocianu reprise date de représentation : 1972/1973

Suisse Salle des Amis de l’Instruction (Génève) , première version date de représentation : le 3 décembre 1917, mise en scène : Georges Pitoëff

Louis : Georges Pitoëff, Marthe : Ludmilla Pitoëff

Stadttheater Basel (Bâle, Basel) 717 Date de représentation : le 2 décembre 1920, mise en scène : Oskar Wälterlin

Louis Laine : Josef Keim, Thomas Pollok Nageoire : Johannes Heinz, Martha : Martha Ziegler, Lechy Elbernon : Anny Romang

[?], Basler Nachrichten , le 1 er décembre 1920, [?]. [?], Basler Nachrichten , le 3 décembre 1920, [?]. [?], Basler Volksblatt , le 3 décembre 1920, [?]. [?], Nationalzeitung , le 2 décembre 1920, [?].

Grand Théâtre de Genève 718 date de représentation : le 19 décembre 1950

Stadttheater Luzern date de représentation : le 2 avril 1958, première création en langue allemande de la nouvelle version, mise en scène : Christoph Groszer, décors : Susy Hauser, costumes : Renate Linke

Louis Laine : Georges Weiß, Martha Laine : Lucia Scharf, Thomas Pollock Nageoire : Fritz Pfister, Lechy Elbernon : Eva Portmann

Gröger, Herbert, [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 8 avril 1958, [?]. [?], Der Bund , le 10 avril 1958, [?]. [?], Deutsches Volksblatt , le 9 avril 1958, [?]. [?], Freie Innerschweiz , le 3 avril 1958, [?]. [?], Luzerner Neueste Nachrichten , le 5 avril 1958, [?].

717 Deutschsprachige Erstaufführung. 718 Création de la compagnie du Centre Dramatique de l’Ouest, présenté à Coutances, Granville, Fougères, Bagnoles-de-l’Orne, Vitré, Mayenne, Le Mans, Nantes, Angers, Vannes, Pontivy, Auray, Morlaix, Guingamp, Lannion, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Rennes.

263 [?], Luzerner Tagblatt , le 5 avril 1958, [?]. [?], National-Zeitung , le 22 avril 1958, [?]. [?], Neues Winterthurer Tagblatt , le 8 avril 1958, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 23 avril 1958, [?]. [?], Die Schweizerin , mai 1958, [?]. [?], Tages-Anzeiger , le 12 avril 1958, [?]. [?], Vaterland , le 5 avril 1958, [?]. [?], Weltwoche , le 11 avril 1958, [?]. [?], Die Woche , le 20 avril 1958, [?].

Théâtre Komödie Basel (Bâle) date de représentation : le 23 septembre 1961 719 , traduction : Edwin Maria Landau, mise en scène : Curt Bock

? Werner Englert, Silvia Glogner, Johannes Killert, Agnes Verena

[?], Arbeiter Zeitung , le 2 octobre 1961, [?]. [?], Basler Nachrichten , le 29 septembre 1961, [?]. [?], Basler Volksblatt , le 30 septembre 1961, [?]. [?], Basler Woche , le 6 octobre 1961, [?]. [?], Landbote , le 28 septembre 1961, [?]. [?], National-Zeitung , le 29 septembre 1961, [?]. [?], Neues Winterthurer Tagblatt , le 27 septembre 1961, [?]. [?], Oberrheinische Zeitung , le 4 octobre 1961, [?].

Nouveau Théâtre de Poche date de représentation : le 8 octobre 1964, mise en scène : Richard Vachoux, décors : Bodjol

Fabre, Eugène, Le Nouveau Théâtre de Poche joue « L’Échange » (1 re version) de Paul Claudel », Journal de Genève , le 9 octobre 1964 (p. 21). Mahert, Rodo, « L’Échange », de Claudel , La Tribune de Genève , le 10 octobre 1964 (p. 23). Mahert, Rodo, « L’Échange, un Claudel d’une bonne année », La Tribune de Genève , le 9 octobre 1964 (p. 19).

Stadttheater St. Gallen date de représentation : 1967

[?], Ostschweiz , le 14 octobre 1967, [?]. [?], St. Galler Tagblatt , le 13 octobre 1967, [?]. [?], Volksstimme , le 19 octobre 1967, [?].

Théâtre du Vieux-Quartier de Montreux 720

719 Le spectacle a été aussi présenté en tournée dans la Suisse allemande. Landau donne la date du 26 septembre 1961. 720 Par la Compagnie de l’Avant-Scène de Bâle

264 date de représentation : le 3 mars 1967

Trois P’tits Tours (Morges) 721 date de représentation : avril 1968, mise en scène : Jacqueline Gionannoni

E,V., « L’avant-scène » de Bâle joue à Morges, « L’Échange », de Paul Claudel, La Tribune de Genève , le 1er avril 1968 (p. 25).

Troupe du Théâtre 58 de Zürich 722 date de représentation : le 12 octobre 1968, en langue allemande

Compagnie de l’Avant-scène de Bâle (Saint-Imier) date de représentation : le 11 mars 1969 reprise (Fribourg) date de représentation : le 13 mars 1969

Suisse Romande date de diffusion : le 24 août 1971

Centre Culturel Neuchâtelois (Neuchâtel) date de représentation : août et septembre 1972, mise en scène : François Fluhmann

Radio de SRG date de diffusion : 1976, première version

Centre dramatique de Lausanne date de représentation : octobre 1980, mise en scène : Michel Soutter

Théâtre de Vidy (Lausanne) date de représentation : octobre 1981, mise en scène : Franck Jotterand

Compagnie du théâtre Pourpre (Annecy) date de représentation : mai 1986 723 , mise en scène : André Cazalas

Marthe : Sylvie Bondier, Louis Laine : Franck Berthier, Lechy : Christine Bury, Thomas Pollock Nageoire : Emmanuel Patron reprises (Festival d’Avignon) date de représentation : 1986 (Brangues)

721 Spectacle présenté par les acteurs la Compagnie de l’Avant-scène de Bâle qui est une troupe d’amateurs d’expression française. 722 Spectacle joué dans plusieurs villes de la Suisse. 723 Tournée des anciens élèves de l’école Charles Dullin. Spectacle présenté dans les campus américains.

265 date de représentation : le 23 août 1986

Compagnie « Faire, voir et Réciproquement » date de représentation : avril 1988

Groupe Eugène-Marie de Genève (Carouge) 724 date de représentation : le 6 avril 1991

Théâtre Populaire Romand de la Chaux-de-Fonds 725 date de représentation : septembre 1991 Théâtre de Carouge , Atelier de Genève date de représentation : le 7 mars 2006 726 , mise en scène : Lorenzo Malaguerra

Marthe : Ania Temier, Louis Laine : Matteo Zimmermann, Lechy Elbernon : Caroline Cons, Thomas Pollock Nageoire : Edmond Vullioud

Genecand, Marie-Pierre, Le fric se défroque, l’âme s’enflamme, Le Courrier , le 18 mars 2006, [?]. Chaix, Benjamin, Il n’y a rien à changer dans l’Échange, La Tribune de Genève , le 16 mars 2006, [?].

Salle Charles Apothéloz, Théâtre Vidy-Lausanne (Lausanne) date de représentation : le 13 janvier 2009, reprise de Brochen 727

Tunisie (Alger) , première version date de représentation : 1960, reprise, v. msc. Pitoëff, 1937

Ex-Yougoslavie Atelier 212 date de représentation : ?, en langue serbe

Théâtre National de Celge date de représentation : le 12 mars 1971

L’Endormie Allemagne Studio-Bühne, Teater Der Neun (Freiburg i. Br.), création mondiale

724 Présenté par la troupe d’amateurs, jusqu’au 27 avril. 725 Présenté à Neuchâtel, Bienne et Délémont. 726 Spectacle présenté jusqu’au 9 avril 2006. 727 Avec 6 reprises.

266 date de représentation : juillet 1965, mise en scène : Ricardo Nastasi, décors : W. A. Heckmann, costumes : Uta Huffschmid

Tanzt-die-Nacht : Joachim von der Thüsen, Volpilla : Karola Kätsch, ein Dichter : Jürgen Schwalbe, Strombo : George Friedrich

[?], Allgemeine Zeitung , le 8 juillet 1965, [?]. [?], Badische Zeitung , le 9 juillet 1965, [?].

France Compagnie Anne Delbée (Maison de la Culture Beauperaire, Angers) date de représentation : le 15 février 1983, mise en scène : Anne Delbée

(Toulouse) date de représentation : novembre 2000-novembre 2001, mise en scène : Philippe Bussière

(Tremblay) date de représentation : été 2001, mise en scène : André Jarril sous le titre L’Endormie : Fragment d’un drame Belgique Compagnie Ateliers de l’Échange (Bruxelles), création mondiale date de représentation : les 9-28 mai 1988

La Femme et son Ombre

Allemagne (Die Frau und ihr Schatten) Theater der Stadt Trier, première allemande date de représentation : le 4 décembre 1957, adaptation : Ursula Schulbin, musique : Otto Söllner, décors : Jo Giersch, costumes : Ingeborg Heimann Der Schatten : Ursula Schulbin, Der Mann : Johannes Kolberg, Die Brant : Alice Kabus, Der Freund : Erwin Kritzel P.B., [?], Trierischer Volksreund , le 6 décembre 1957, [?].

Japon Théâtre Impérial de Tokyo 728 , sous forme du ballet date de représentation : le 26 mars 1923 729 , traduction : Yoshio Yamanouchi, musique : Kineya Sakichi

728 Réalisé par un cercle de danse des acteurs de kabuki « Hagoromo-kai », en japonais.

267

Festival d’Osaka 730 date de représentation : le 5 octobre 1968, adaptation : Tarô Kimura, mise en scène, musique et choréographie : Yoshio Izumi reprise (Chûbu-Denryoku Hall, Nagoya) date de représentation : le 17 octobre 1968

Espace Pierre Cardin Théâtre des Ambassadeurs 731 date de représentation : le 3 juin 1972, traduction et adaptation : Tarô Kimura, musique et chorégraphie : Yoshio Izumi

(4 Sw 8009) Cartier, Jacqueline, Un nô japonais écrit par Claudel avec des saints sans auréole, France- Soir , le 5 juillet 1972 (p. 33). Mazars, Pierre, La Femme et son Ombre de Paul Claudel, Le Figaro , le 5 juillet 1972 (p. 35). [Non-signé], Un Nô claudelien, Le Figaro , le 14 juin 1972 (p. 29).

(Tokyo) dte de représentation : le 28 novembre 2005, mise en scène : Nakamura Fukusuka

France Théâtre de Marigny date de représentation : 1948

(Ballets Modernes de Paris, Lyon), voir La Femme et son Ombre – L’Homme et son désir date de représentation : mars 1968 reprises (Laon) date de représentation : le 29 septembre 1968 (Festival International de la danse, Théâtre des Chamts-Elysées, Paris) Date de représentation: novembre 1968.

Château de Brangues (Brangues), deuxième version date de représentation : juillet 1972, traduction et adaptation : Tarô Kimura, mise en scène : Taro Kimura 732 , musique : Yoshio Izumi

Shité (L’ombre) : Yoshio Izumi, Tsuré (la femme) : Yasutaka Izumi, Waki (le guerrier) : Minoru Hashimoto

729 Présenté jusqu’au 31 mars. 730 Par la Compagnie de nô de Yoshio Izumi (école Kanzé). 731 Adaptation de la troupe japonaise (le Nô). En 1968 Izumi joue le rôle de l’Ombre dans le cadre des Rencontres Internationales Claudéliennes à Brangues. 732 Mise en « espace » sous chapiteau.

268

Kimura, Taro, La Femme et son Ombre, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 47,48, 1972, p. 26-28.

Théâtre du Rond-Point Renaud-Barrault 733 date de représentation : le 8 mai 1993 sous le titre La Femme et son Ombre – L’Homme et son désir Ballets Modernes de Paris (Festival de Besançon) date de représentation : le 7 septembre 1968, musique : Jacques Charpentier (La Femme et son Ombre), Darius Milhaud (L’Homme et son désir)

Histoire de la Passion (Vendredi-Saint) Belgique ? date de représentation : le 12 avril 1940 , traduction : Anton Van De Velde , musique : Bach

L’Histoire de Tobie et de Sara Allemagne [ Die Geschichte von Tobias und Sara ] Deutsches Schauspielhaus (Hambourg) date de représentation : le 15 mars 1953

Collège des Pères Bénédictins d’Ettal (Bavière) date de représentation : 1953 734

[?], Garnisch-Parkenkirchner Tagblatt , le 17 juin 1953, [?].

Nationaltheater Mannheim date de représentation : 1956

[?], Badische Volkszeitung , le 20 mars 1956, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 19 mars 1956, [?].

Bühnen der Stadt (Köln) 735 date de représentation : le 23 juin 1961, mise en scène : Hans Lietzau, décors et costumes : André Acquart

733 Dans la production du Théâtre Nô Onna Kage dirigé par Hidéo Kanzé, ensuite présenté les 9 et 10 mai. 734 Réalisé par les élèves. 735 Dans le cadre d’une Semaine Paul Claudel organisée par l’Institut français, la pièce a été présentée dans les ruines de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption (Kirche St. Maria Himmelfahrt).

269 Tobie le vieux : Kaspar Brüninghaus, Tobie le jeune : Peter Brogle, Anna : Angela Salloker, Azarias, l’Ange Raphaël : Hans-Dieter Zeidler, Sara : Solveig Thomas

[?], Basler Nachrichten , le 6 juillet 1961, [?]. [?], Deutsche Zeitung , le 24 juin 1961 et le 26 juin 1961, [?]. [?], Düsseldorfer Allgemeine , le 29 juin 1961, [?]. [?], Echo der Zeit , le 25 juin 1961, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 29 juin 1961, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 27 juin 1961, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 15 juin 1961 et le 26 juin 1961, [?]. [?], Der Mittag , le 28 juin 1961, [?]. [?], Münstersche Zeitung , le 29 juin 1961, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 14 juillet 1961, [?]. [?], Rheinische Post , le 26 juin 1961, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 27 juin 1961, [?]. [?], Der Tag , le 2 juillet 1961, [?]. [?], Theater heute , [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine , le 28 juin 1961, [?]. [?], Westfälische Zeitung , le 12 juillet 1961, [?].

Compagnie d’amateurs de la chorale paroissiale d’Hersbach date de représentation : avril 1974, mise en scène : Ernest Lenhardt

(Festival de Salzbourg) date de représentation : août 1975, traduction : E. M. Landau

Autriche Steintheater, Fest in Hellbrun (Salzburg) date de représentation : le 2 septembre 1975, mise en scène : Oscar Fritz Schuh, costumes : Ursula Schuh

Der alte Tobias : Friedrich Maurer, Anna, seine Frau : Angela Salloker, Der junge Tobias : Peter Dirschauer, Sara : Ruth Niehaus, Erzengel : Manfred Tümmler, Erzähler : Gerd Rigauer

Grimme, Karl Maria, [?], Die Furche , Wien, le 16 août 1975, [?]. Russ, Bruno, [?], Wiesbadener Kurier , le 9 août 1975, [?]. [?], Aufbau , le 22 août 1975, [?]. [?], Israel Nachrichten , le 22 août 1975, [?]. [?], Rupertusblatt , le 17 août 1975, [?]. [?], Salzburger Nachrichten , le 4 août 1975, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 26 août 1975, [?].

Belgique

270 Théâtre du Rideau de Bruxelles 736 date de représentation : avril 1968, mise en scène : Pierre Laroche, adaptation et mise en scène : Pierre Laroche, décors et costumes : Germinal Casado, musique : Darius Milhaud

Gysèle Oudard

(4Sw 8009) Lobet, Marcel, L’histoire de Tobie et de Sara, Le Soir , le 20 avril 1968 (p. 41). - R.P., « L’histoire de Tobie et Sara », La dernière Heure , le 20 avril 1968 (p. 43). Tordeur, Jean, Le Rideau de Bruxelles va créer « L’histoire de Tobie et de Sara », Le Soir , le 12 avril 1968 (p. 39). [?], La Cité , le 20 avril 1968, [?]. [?], La Libre Belgique , le 20 avril 1968, [?]. [?], Pourquoi pas , le 25 avril 1968, [?]. reprise (Strasbourg) date de représentation : du 3 au 8 décembre 1968.

Finlande ( Tobiaan ja Saaran tarina ) Théâtre Etudiant Finlandais date de représentation : 1958, traduction : Kari Salosaari, décors et costumes : Tapio Periainen

Théâtre Etudiant d’Helsinki (Helsinki) date de représentation : le 14 mars 1960, traduction et mise en scène : Kari Salosaari

France Salle du Central Théâtre (Roubaix)737 date de représentation : le 28 février 1947

Cercle d’échanges artistiques internationaux (Avignon) 738 date de représentation : le 5 septembre 1947 739 , mise en scène : Maurice Cazeneuve, costumes : Mario Prassinos, musique : Gaston Litaize

736 Ensuite joué en tournée au Centre Dramatique de l’Est à Strasbourg. 737 Présenté par la troupe des Francs-Alleux. M. Andersen considère la réalisation de Hambourg (1953) comme la véritable création mondiale de ce texte. À Roubaix « il s’agissait d’une mise en scène incomplète, étant donné que les scènes de pantomime, les scènes à projection, ainsi que le choeur avaient été omis. » (M. Andersen, Claudel et l’Allemagne , p. 132). Le spectacle est donné avec plusieurs reprises, notamment à Zürich. 738 Spectacle a été présenté au Verger d’Urbain V dans le cadre du 1er Festival d’Avignon, avec 2 reprises. En 1950, Jean Vilar voulait monter la pièce à Avignon. Voir M. Andersen, Claudel et l’Allemagne , 1965, s. 132. 739 Ensuite le 8 septembre.

271 Tobie le Vieux : Jean Vilar, Tobie le Jeune : Jean Negroni, Anna : Béatrix Dussane, Azarias, l’Ange Raphaël : Alain Cuny, Sara : Silvia Monfort, La ronce : Jacques Buttin, La rose : Léone Nogarède, L’Olivier : Jean Violette, La vigne : Jeanne Moreau, La pomme- grenade, le poisson : Anna Paglieri, Le saule : André le Berre, Récitant : Jean Leuvrais, Récitant et le figuier : Bernard Noël, Le chien : Maurice Coussonneau

Chaîne nationale date de diffusion : le 13 décembre 1951, réalisation : Alain Trutat, musique : Gaston Litaize

? Raymond Pellegrin, Jean Vilar, Bernard Noël, Raymond Faure, Jacqueline Morane, Jean Claudio, Martine Sarcey, Pierre Reynal, Anne Capril

Palais Synodal de Sens date de représentation : juin 1955, mise en scène : Georges Vitaly

L’Ile Saint Louis (Paris) 740 date de représentation : juillet 1955, mise en scène : Serge Ligier, costumes : Andrée Vilar, sculptures : Seleguel, musique : Cœurdevey

Anna : Lucienne Lemarchand, Azarias : André Reybaz

[?], Bulletin de Paris , le 29 juillet 1955, [?]. [?], La Croix , le 5 août 1955, [?]. [?], Dimanche Matin , le 7 août 1955, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , le 30 juillet 1955, [?]. [?], France catholique , le 29 juillet 1955, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 6 août 1955, [?]. [?], La Gazette de Lausanne , le 30 juillet 1955, [?]. [?], L’Information , le 26 juillet 1955, [?]. reprises (Théâtre du Tertre Paris) date de représentation : mars 1957, mise en scène : Serge Ligier

Sara : Denise Bose, Azarias : Serge Lhorca, Anna : Rena Land

[?], Carrefour , le 20 mars 1957, [?]. [?], Combat , le 15 mars 1957, [?]. [?], Education nationale , le 23 mai 1957, [?]. [?], Le Figaro , [?]. [?], France-Soir , le 15 mars 1957, [?]. [?], Le Monde , le 21 mars 1957, [?]. [?], Parisien-Libéré , le 18 mars 1957, [?].

Théâtre de l’Œuvre (Paris) 741

740 Le spectacle a été représenté par la Compagnie Serge Ligier.

272 date de représentation : le 21 décembre 1959, mise en scène : Serge Ligier

Tobie le jeune : Pierre Peyrou, Tobie le vieux : Jacques Mignot, Anna : Rena Land, L’Ange Raphaël autrement Azarias : Serge Lhorca, Sara : Denise Bosc

(Théâtre de l’Œuvre, Paris) date de représentation : 1960

(Dijon) 742 ? date de représentation : le 8 juin 1965, mise en scène : Georges Vitaly

Sylvia Monfort, Jean Martinelli

(Bordeaux) date de représentation : 1970 ?, mise en scène : Jean Lagenie

Lagenie, Jean, Propos du metteur en scène. L’Histoire de Tobie et de Sara à Bordeaux, Bulletin de la Société Paul Claudel, n°40, octobre-décembre 1970, p. 28-29.

Comédiens du Sentiers 743 date de représentation : août 1975 Théâtre de l’Etincelle (Théâtre Paris-Nord) date de représentation : le 2 avril 1977, mise en scène : Yann Philip

Gilles Geisweiller, Marie Gwenn reprise (Woluwé Saint-Pierre, Belgique) date de représentation : octobre 1977

Théâtre du Mailler de Strasbourg , opéra de chambre date de représentation : mai 1982, mise en scène : Bernard Jenny, musique : Darius Milhaud

Théâtre de l’Est (Strasbourg) 744 date de représentation : le 22 novembre 1984

Compagnie du Théâtre Régional de Béziers date de représentation : 1989, mise en scène : Marc Baylet

Compagnie Espace 3

741 Par la Compagnie de Ligier. 742 Ensuite à Sens. 743 Réalisé par les amateurs, le spectacle a été présenté à Alise Sainte Reine, Levens, La Turbie, Entrevaux et à Nice. 744 Présenté aussi les 23 et 24 novembre, puis en tournée à Mulhouse (les 6 et 8 décembre), à Colmar (le 11 décembre), enfin à Nancy, Orléans et Aix-en-Provence.

273 date de représentation : les 11 et 12 juillet 2000745 , mise en scène et musique : Jean-Maire Despeyroux

Sara : Clémence Paquier

Saint-Aubert, Hélène de, L’Histoire de Tobie et de Sara à Pujols, Bulletin de la Société Paul Claudel, n°160, 2000, p. 29-30.

Pays-Bas (Wageningen) date de représentation : 1958, mise en scène : Adriaan Hooykaas

Suisse Schauspielhaus (Zürich), première mondiale de la version définitive en langue allemande 746 date de représentation : le 8 décembre 1953, mise en scène : Karl Heinz Streibing, décors et costumes : Max Sulzbahner

Tobie le jeune : Paul Bösiger, Tobie le vieux : Carl Kuhlmann, Anna : Traute Carlsen, Azarias, l’ange : Stig von Nauckhoff, Sara : Beatrice Föhr-Waldeck [?], Basler Nachrichten , le 15 décembre 1953, [?]. [?], Bremer Nachrichten , le 23 décembre 1953, [?]. [?], La Croix , le 15 janvier 1954, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 19 décembre 1953, [?]. [?], Die Furche , le 6 février 1954, [?]. [?], Israelitisches Wochenblatt , le 18 décembre 1953, [?]. [?], Luzerner Tagblatt , le 18 décembre 1953, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 22 décembre 1953, [?]. [?], National-Zeitung , le 14 décembre 1953, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 12 décembre 1953 et le 14 décembre 1953, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 13 décembre 1953, [?]. [?], Die Ostschweiz , le 30 décembre 1953, [?]. [?], Schweizer Illustrierte , le 12 décembre 1953, [?]. [?], Schweizer Rundschau , le 8 novembre 1953, [?]. [?], Sie und Er , le 17 décembre 1953, [?]. [?], St. Galler Tagblatt , le 18 décembre 1953, [?]. [?], Stuttgarter Nachrichten , le 23 décembre 1953, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 17 décembre 1953, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 12 décembre 1953, [?]. [?], Die Tat , le 14 décembre 1953, [?]. [?], Volksrecht , le 17 décembre 1953, [?]. [?], Die Weltwoche , le 18 décembre 1953, [?].

745 Présenté en plein air à Pujols, à l’Abbaye de la Sauve Majeure(Gironde) les 19 et 20 juillet et à Malagar (Gironde) les 13 et 14 septembre. 746 En présence de Claudel, 10 représentations données.

274 [?], Zürcher Woche , [?]. sous le titre Tobie et Sara Allemagne [ Tobias und Sara ] Deutsches Schauspielhaus Hamburg (Hamburg), création en langue allemande en présense du poète date de représentation : le 15 mars 1953, mise en scène : Henrich Koch, décors et costumes : Ita Maximovna

Der junge Tobias (Tobie le jeune) : Wolfgang Arps, Der alte Tobias (Tobie le vieux) : Joseph Offenbach, Anna, seine Frau (Anna) : Ellen Waldeck, Azarias, auch Raphael (Azarias, l’ange Raphaël) : Will Quadflieg, Sara : Anneliese Römer

Bachmann, Claus-Henning, [?], Echo der Zeit , le 29 mars 1953, [?]. Dallontano, E.R., [?], Rheinischer Merkur , le 27 mars 1953, [?]. Lomov, O.B., [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 17 mars 1953, [?]. Sanden, Gerhard, [?], Die Welt , le 16 et le 17 mars 1953, [?]. Stobbe, Rudolf, [?], Hamburger Echo , le 16 mars 1953, [?]. [?], Allgemeine Wochenzeitung der Juden in Deutschland , le 27 mars 1953, [?]. [?], Combat , le 2 avril 1953, [?]. [?], Deutsche Tagespost , le 16 octobre 1953, [?]. [?], Die Deutsche Zukunft , le 28 mars 1953, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 18 mars 1953, [?]. [?], Hamburger Anzeiger , le 16 mars 1953, [?]. [?], Hamburger Morgenpost , le 16 mars 1953, [?]. [?], Holsteinischer Kurier , le 17 mars 1953, [?]. [?], Der Mittag , le 18 mars 1953, [?]. [?], National-Zeitung , le 23 mars 1953, [?]. [?], Neue literarische Welt , le 10 avril 1953, [?]. [?], Neue Tagespost , le 19 mars 1953, [?]. [?], Die Neue Zeitung , le 17 mars 1953, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 5 octobre 1953, [?]. [?], Norddeutsche Rundschau , le 17 mars 1953, [?]. [?], Nordwest-Zeitung , le 18 mars 1953, [?]. [?], Rheinische Post , le 17 mars 1953, [?]. [?], Die Rheinpfalz , le 17 mars 1953, [?]. [?], Rhein-Zeitung , le 12 juin 1953, [?]. [?], Der Sonntag , le 19 mars 1953, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 28 mars 1953, [?]. [?], Welt am Sonntag , le 15 mars 1953, [?]. [?], Westdeutsche Neue Presse , le 18 mars 1953, [?]. [?], Westdeutsches Tagablatt , le 17 mars 1953, [?]. [?], Westdeutsche Zeitung , le 17 mars 1953, [?]. [?], Die Woche , le 5 avril 1953, [?]. [?], Die Zeit , le 19 mars 1953, [?].

275 Theater Der Stadt date de représentation : le 4 avril 1954, mise en scène : Hans Buehl, décors : Helmut Obstfelder

Der alte Tobias : Karl Albert, Anna, seine Frau : Olga Hagebauer, Der junge Tobias : Hermann Schlögl, Sara : Gisela Stein, Der Engel Raphael, Azarias : Robert Remmler

Dablke, Liselotte, [?], Rhein-Zeitung , le 6 avril 1954 et le 14 avril 1954, [?]. [?], Rheinpost , le 9 avril 1954, [?].

Bühnen Der Stadt (Köln), Kirche St. Mariae Himmelfahrt date de représentation : le 23 juin 1961, mise en scène : Hans Litezau, décors et costumes : André Acquart

Der Erzengel Raphael : Hans Dieter Zeidler, Der alte Tobias : Kaspar Brüninghaus, Anna, seine Frau : Angela Salloker, Der junge Tobias : Peter Brogle, Sara : Solveig Thomas, Erzähler : Charles Regnier

Beckmann, Heinz, [?], Rheinischer Merkur , le 17 juillet 1961, [?]. Sazatzki, Günter, [?], Theater heute , septembre 1961, [?]. Stephan, Heinz, [?], Kölnische Rundschau , le 26 juin 1961, [?].

Belgique (Rideau ?) date de représentation : 1968, mise en scène : Pierre Laroche ? (Maison de la Culture , Woluwe-St.-Pierre), reprise, v. msc. Yan Philip, Théâtre de l’Etincelle, 1977,

France Théâtre National de Strasbourg (Strasbourg) 747 date de représentation : 1968, mise en scène : Pierre Laroche, décors et costumes : Germinal Cassado, musique : Darius Milhaud

Théâtre Paris-Nord 748 date de représentation : avril 1977, mise en scène : Yan Philip

(4Sw 8009) Cournot, Michel, A quoi nous sert Claudel ? Le Monde , le 14 avril 1977 (p. 49-50). Marcabru, Pierre, L’Histoire de Tobie et Sara, Le Figaro , le 6 avril 1977 (p. 45). R.K., L’Histoire de Tobie et de Sara, L’Express , les 18, 24 avril 1977 (p. 51). Rosbo, Patrick de, Histoire de Tobie et de Sara, Quotidien de Paris , le 13 avril 1977 (p. 47).

747 Présenté par le Rideau de Bruxelles. 748 Joué par la Compagnie du Théâtre de l’Etincelle.

276 P.Lo., Tobie et Sara de Claudel, La Libre Belgique , le 18 octobre 1977 (p. 53).

Finlande Théâtre des Étudiants de Helsinski date de représentation : 1960, mise en scène : Kari Salosaari

Suisse Stadttheater (Zürich) date de représentation : juin 1950, mise en scène : Hans Macke

Schauspielhaus (Zürich), date de représentation : le 10 décembre 1953, mise en scène : Karlheinz Streibing, décors : Max Sulzbachner

Der alte Tobias : Carl Kuhlmann, Anna, siene Frau : Traute Carlsen, Der junge Tobias : Paul Bösiger, Sara : Beatrice Föhr-Waldeck, Der Engel Raphael, Azarias : Stig von Nauckoff, Erzähler : Hermann Brand

Humm, R.J., [?], Die Welt Weltwoche , le 18 décembre 1953, [?]. Welti, Jakob, [?], Neue Zürcher Zeitung , le 13 décembre 1953, [?]. Zimmermann, Wilhelm, [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 12 décembre 1953, [?].

sous le titre L’Invocation à l’Ange Raphaël 749 Belgique ? Salle Pleyel date de représentation : le 21 mai 1962, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Pierre Dervaux

L’Homme et son désir

Allemagne (Hellerau) date de représentation : 1926

Belgique N.I.P. date de représentation : 1929, adaptation : Paul Collaer, en concert

749 Concert composé à partir du texte L’Histoire de Tobie et de Sara . Puis radiodiffusé sur la France III le 18 juin.

277

(Bruxelles) date du concert : le 27 avril 1992, chef d’orchestre : Bernard de Kaisse

Canada (Montréal) date du concert : le 4 avril 1992 750 , chef d’orchestre Me Gill

États-Unis

(Mills College) 751 date de représentation : le 25 avril 1967

[?], Claudel Newsletter , nº 1, [?].

France (Théâtre des Champs Elysées, Paris) , ballet 752 date de représentation : le 6 juin 1921, choréographie : Rolf de Maré, décors et costumes : Andrée Parr, musique : Darius Milhaud

(Aulnay-sous-Bois) date du concert : le 9 février 1992 753 , chef d’orchestre : Léonard Vandenborgverde

(Maison de la poésie à Paris) date du concert : le 3 mars 1992 754 , chef d’orchestre : Bernard Desgraupe

Conservatoire de Montpellier (Montpellier) 755 date du concert : le 14 mai 1992

Orchestre philharmonique de France (Paris) date du concert : le 27 novembre 1992, chef d’orchestre : Sylvio Guelda

Suisse (Gevève) date du concert : le 31 janvier 1992 756

750 Dans le cadre du programme musical du Centenaire de Darius Milhaud. 751 Réalisé par les étudiants, Darius Milhaud a été professeur dans ce collège. 752 Réalisé par les Ballets suédois. 753 Dans le cadre du programme musical du Centenaire de Darius Milhaud. 754 Dans le cadre du programme musical du Centenaire de Darius Milhaud. 755 Réalisé avec le texte Les Chœphores , organisé par l’Université Paul Valéry. 756 Dans le cadre du programme musical du Centenaire de Darius Milhaud, réalisé par l’orchestre des élèves du conservatoire.

278

États-Unis Groupe théâtral de Mills College 757 date de représentation : le 25 avril 1967

Japon Compagnie Star Dancers Ballet (Kôsei-Nenkin Kaïkan) 758 date de représentation : le 30 novembre 1968, adaptation japonaise et mise en scène : Jirô Amano, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Akéo Watanabé

Maroc Radio-Maroc date de diffusion : le 6 juin 1951 sous le titre L’Homme et la forêt Ballet moderne de Toshiko Okuda (Bunka-Kôdô de la Préfécture d’Aichi à Nagoya) date de représentation : le 29 octobre 1967, adaptation : Tarô Kimuro

Un homme sous influence France ? date de représentation : 2001, mise en scène : Laure Saupique

Le Chemin de la Croix Allemagne (Osnabruck) 759 date d’audition : le 10 mars 1967

Belgique ? date de représentation : 193 ?

757 Concert. 758 Cette même compagnie a aussi créé un ballet « Récit d’un miracle » (inspiré par L’Annonce faite à Marie ), musique : Ako Yashiro. 759 Il s’agit d’une fantaisie pour orgue de Marcel Dupré et Lucienne Antonini qui fut organiste de la cathédrale d’Avignon.

279 Marie-Louise Van Veen, Claire Jacques, Madeleine Renaud

(Salle Patria, Bruxelles) date de représentation : le 5 avril 1950

Récitant : Albert Lepage

Collège Sainte-Croix de Hannut 760 date de représentation : le 6 avril 1960

Robert Delieu, Paul Bouveroux

Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles (Bruxelles) 761 date d’audition : le 19 mars 1967, chef d’orchestre : R. P. F. Picard

Claude Nollier

Télévision flamande date de diffusion : le 12 avril 1967

B.R.T. date de diffusion : 1970, traduction : Anton Van de Velde

Compagnie « Le Masque de Sable » (Bruxelles, province) date de représentation : mars, avril 1977 Ensemble Poésie-guitare de Bruxelles (Liège) date de représentation : le 4 avril 1980

Eglise Saint-Lambert de Leuven date d’exécution : le 28 mars 1981, en néerlandais, traduction : Anton van De Velde

Exécutant : Rik Haesen

Eglise Saint-Pierre de Uccle date de représentation : le 30 mars 1984

Récitant : Francis Besson

Eglise Saint-Julien (Auderghem) 762 date de représentation : le 18 mars 1977

(4Sw 8009)

760 Récitals réalisés par l’Ensemble Crescendo de Bruxelles. 761 Concert avec interludes symphoniques de Dom Clément Jacob et l’ensemble instrumental et la chorale Massilon. 762 Par la compagnie « Le Masque de Sable ». Ensuite en tournée à Liège (les 30 et 31 mars), à Spa (le 2 avril), à Verviers (le 4 avril), à Stavelot-Wavreumont (le 6 avril), à Huy (le 8 avril), à Hannut (le 19).

280 [Non-signé], « Le chemin de la croix » de Claudel à Auderghem, La libre Belgique , le 17 mars 1977 (p. 17). [Non-signé], Le Chemin de la Croix, de Claudel, Le Soir , le 25 mars 1977 (p. 19).

Canada Radio-Canada date de diffusion : le 18 avril 1973, traduction et adaptation : Peter Haworth

(Church St Andrew & St Paul, Montréal) date de représentation : le 17 avril 2011, musique : Marcel Dupré, lecteur : Mario Paquet, organiste : Jonathan Oldengarm

États-Unis (Baltimore) ? date de représentation : 1986, traduction : Vincent Giroud et Père Bernard Aye, musique : Marcel Dupré

Chapelle du Couvent Saint-Joseph de Milwaukee date du concert : le 12 mars 1995, traduction : Judith Schweis et Gale Kramer, musique : Marcel Dupré

Récitant : Donne Woolweber

(Milwaukee, Wisconsin) date de représentation : le 18 mars 2001

Récitant : Peter Blewett

France Compagnie du Masque au Genêt (Saint Ferdinand des Ternes) date de représentation : le 22 mars 1947, mise en scène : René Rabault

Compagnie Madeleine Renaud – J. L. Barrault , émission de télévision date de diffusion : 1957

[?], L’Aurore , le 20 avril 1957, [?]. [?], Le Figaro , le 19 avril 1957, [?]. [?], Le Monde , le 21 avril 1957, [?].

Compagnie du Masque du Genêt d’Angers (Angoulême) 763 date de représentation : le 17 juin 1961

763 Spectacle présenté devant 1000 spectateurs sur le parvis de la cathédrale.

281 France II 764 date de diffusion : le 20 avril 1962 765 , réalisation : Fernand Guyot

France III date de diffusion : le 20 avril 1962, mise en onde : Ève Francis, musique : Dom Maxime Jacob

Alain Cuny, Jean Trocaz

Compagnie du Beffroy 766 date de représentation : le 3 août 1962, mise en scène : Michel Humbert, musique : Françoise Ripoll

Balavoine, Roger, [?], Paris-Normandie , 1962, [?].

Théâtre des Champs-Élysées 767 , première audition en France date de représentation : le 15 janvier 1963, adaptation et direction musicale : Antal Dorati

Segrestaa, Jean-Noël, « Le Chemin de la Croix », Cantate dramatique d’Antal Dorati, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°13, avril 1963, p. 14.

France Variétés, station Toulouse Pyrénées date de diffusion : le 27 mars 1964, musique : Dom Clément Jacob

Comédie de Rouen date de représentation : avril 1964, mise en scène : Michel Humbert

Paroisse Saint-Jean de Montmartre (Paris) 768 date de lecture : le 29 avril 1966

Lecture : Laurent Terzieff

Heures Musicales de Notre-Dame des Anges (Paris) date d’audition : le 4 mai 1966, mis en musique : Dom Clément Jacob, chef d’orchestre : P. François Picard

Claude Nollier

France-Culture date de diffusion : avril 1968

764 Le texte a été aussi retransmis le même jour à Bruxelles, à Monte-Carlo et même à Andorre. 765 Réalisation de l’œuvre en entier. 766 Présenté du 3 au 11 août dans la salle capitulaire de l’Abbaye de Saint-Georges de Boscherville. 767 Il s’agit d’une cantate dramatique de Dorati composée à partir du texte du Chemin de la Croix . Donné par l’Orchestre National et les Chœurs de la R.T.F. 768 Lecture accompagnée par un groupe de mimes.

282 (4Sw 8009) [Non-signé], France-Culture présente en nouvelle diffusion le « Chemin de Croix ». Le Figaro , le 11 avril 1968 (p. 15).

Festival Estival de Paris (Saint Séverin) date de lecture : le 2 septembre 1972 Lecture : Giani Esposito

Boulogne-sur-Mer 769 date de représentation : le 18 mars 1972, mise en scène : Jacques Cassar, musique : don Clément Jacob

(Église Saint-Roch) date de représentation : les 25 et 26 mars 1975, musique : Guy Bezançon

Récitant : Jean-José Fleury

Ensemble instrumental et vocal Massillon (Saint-Louis des Invalides, Paris) date de représentation : le 7 avril 1976 reprise (École Gerson) date de représentation : le 13 avril 1976

(Eglise de la Madeleine, Paris) date de représentation : mai 1981, musique : Marcel Dupré

Récitant : Monica Boucheix reprise (Notre-Dame, Paris) date de représentation : juin 1981

(Eglise Saint-Roch, Paris) date de représentation : mai 1981, musique : J.-P. Loré

Récitant : Claude Nollier

Festival d’Art sacré (Saint-Séverin) date de représentation : le 13 décembre 1983, musique : Marc Bleuse

Eglise Sainte-Odile (Paris) ? date de représentation : le 18 octobre 1986 770 , musique : Dom Clément Jacob, chef d’orchestre : Marc Carles

Récitant : Joseph Moreau

769 Texte présenté par les étudiants dans le choeur de la cathédrale Notre-Dame. 770 En collaboration avec l’Ensemble Instrumental du Haut-Languedoc.

283

(Paris) date de représentation : le 23 mars 1993, musique : Marcel Dupré

Récitant : Bruno Netter ?

(Cathédrale de Nantes) 771 date de représentation : saison 1996-1997

Récitant : André Lhopitallier

(Église Saint-Eustache) , création mondiale date de représentation : le 17 juin 1999, musique : Antoine d’Ormesson

Seiller, Jacques-Alexandre, Le Chemin de la Croix de Paul Claudel mis en musique par Antoine d’Omersson, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 156, 1999, p. 23-26.

Basilique d’Argenteul date de représentation : le 14 avril 2000, musique : Jean Giroud

Espace Bernanos (Paris) date de représentation : les 15, 16 et 21 avril 2000, adaptation : Jean-Pierre Nortel

Halles de Fère-en-Tardenois date de lecture : le 3 juin 2000

Récitant : Georges Wilson

(Eglise Saint-Eustache à Paris) , oratorio date de représentation : le 10 avril 2000, mise en scène : Antoine d’Ormesson

Compagnie du Sarment (Eglise Saint-Jacques du Haut-Pas) date de représentation : le 16 mars 2001, réalisation : Florence Folli, orgue : César Sfeir

Récitant : François Claudel Compagnie du Sarment (Saint-Nicolas des Champs à Paris) date de représentation : le 13 avril 2001, réalisation : Florence Folli, orgue : César Sfeir

Récitant : François Claudel

(Eglise Saint-Merri à Paris) date de représentation : le 30 mars 2001, musique : Marcel Dupré

Récitant : Mado Maurin

771 Tournée, ensuite présenté à la Basilique St-Sauveur de Rennes, Cathédrale St-Gratien de Tours.

284 Église Saint-Martin à Montigny le Bretonneux date de lecture : le 24 mars 2002

Lecture : François Claudel

Théâtre du Nord-Ouest à Paris date de lecture : le 16 avril 2002

Lecture : Paul Lera

(Eglise Sainte-Croix de Bernay) date de représentation : le 4 avril 2003 772

(Aix-les-Bains) date de lecture : le 21 mars 2005, orgue : Marcel Bertinotti

Récitant : François Claudel

Notre-Dame de Paris 773 Date de recital : le 25 mars 2005, musique : Marcel Dupré, orgue : Yves Castagnet

Récitant : Antoine Juliens

Brémeau, Catherine, Le Chemin de Croix par Paul Claudel et Marcel Dupré, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 177, p. 87.

(Abbaye aux Dames de Caen) 774 date de représentation : le 10 novembre 2005, mise en espace : Antoine Juliens

(Chapelle de l’Ecole militaire à Paris) date du concert : le 15 mars 2008, mise en espace : Antoine Juliens, musique (orgue) : Michel Boédec

(Primatiale Saint-Jean à Lyon) date du concert : le 16 mars 2008 775 , musique (orgue) : Emmanuel Le Divellec

Récitant : Michael Lonsdale

(Église des Billettes à Paris) date de représentation : le 18 mars 2008 Lecture : François Claudel, Chant : Nathalie Hamel

(Cathédrale Notre-Dame de Bonne-Nouvelle de Nancy) date de représentation : le 21 mars 2008, musique (orgue) : Pierre Cortelezzi

772 Concert composé à partir du Chemin de la Croix de Claudel. 773 Crée à partir du texte de Claudel et Marcel Dupré. 774 Réalisé dans le cadre du colloque sur la parole et la spiritualité à Caen. 775 Concert-projection.

285

Lecture : François Claudel

(Amphithéâtre B, Université Sorbonne Nouvelle, Paris) Date de représentation : le 22 mai 2010, mise en scène et création mime : Bernadette Plageman reprises (E.N.S., Salle Dussane) date de représentation : le 9 juin 2010 (Centre Européen de la Poésie d’Avignon, Avignon) 776 date de représentation : juillet 2010 (Club des Poètes, Paris) date de représentation : le 19 novembre 2010 date de représentation : le 4 février 2011 (Théâtre du Nord-Ouest, Salle Laborey, Paris) date de représentation : le 16 avril 2011 (Salle des Actes, Université Paris-Sorbonne) date de représentation : le 27 mai 2011 (Théâtre du Nord-Ouest, salle Laborey, Paris) date de représentation : juin 2011 (Théâtre au Chapeau Rouge, Avignon) 777 date de représentation : juillet 2011

Hongie Archevéché de Eger 778 date de représentation : le 24 mars 1999

Italie Compagnie VS Super date de représentation : 1989, mise en scène : Vincenzo Stornauiolo

Luxebourg Radio-Luxembourg date de diffusion : le 9 avril 1971

Lecture : Jean Rochefort

Norvège ?

776 Ce spectacle a été donné dans le cadre du Festival d’Avignon Off. 777 Il s’agit du Chemin de la Croix N° 2. 778 Réalisé par les étudiants des collèges de St-Elisabeth et St-Joseph.

286 date de représentation : décembre 1989 779 , musique : Marcel Dupré

Suisse (Fribourg) 780 date de représentation : mars 1967 overit

(Erienbach) date de représentation : mars 1981, musique : Marcel Dupré

Jeanne d’Arc au bûcher Algérie (Alger) 781 Date de radiodiffusion : le 30 avril 1960

Allemagne ( Die Heilige Johanna, Johanna auf dem Scheiterhaufen)

Bühnen Der Stadt () date de représentation : février 1948, mise en scène : Hans Hartleh

Städtische Bühnen Hannover date de représentation : 1948, mise en scène : Harro Dicks, chef d’orchestre : Franz Konwitschny

Jeanne d’Arc : Christine Kayssler, Frère Dominique : Friedrich Kazubko Opernhaus Frankfurt date de représentation : le 9 avril 1949, mise en scène : Harro Dicks, décors : Dominik Hartmann, chef d’orchestre : Bruno Vondenhoff

Johanna (Jeanne d’Arc) : Hertha Zietemann, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Otto Rouvel, Die heilige Jungfrau : Elisabeth Rosenkranz, Die heilige Margarethe : Edith Jäger, Die heilige Katharina : Margarete Lüddecke, Porcus : Kurt Marschner, Mühlenwind : Karl Stadi, Mutter Weinfaß : Marion Hunten

[?], Badische Zeitung , le 23 avril 1949, [?].

Hamburgische Staatsoper (Hambourg) date de représentation : janvier 1950, mise en scène : Günter Rennert, décors et costumes : Alfred Siercke, chef d’orchestre : Heinrich Hollreiser

779 Il s’agit de la lecture des plus grands acteurs, dans une dizaine d’églises luthériennes en Norvège. 780 Réalisé par la classe d’art dramatique du Conservatoire de Fribourg et ensuite aussi présenté à l’École normale libre de Neuilly. 781 Réalisé dans le cadre du Festival de Musique.

287

Johanna (Jeanne d’Arc) : Edda Seippel, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Bernhard Minetti, Die Jungfrau Maria : Elfriede Wasserthal, Die hl. Margarethe : Käthe Maas, Die hl. Katharina : Maria von Ilosvay, Porcus : Kurt Marschner, Der Esel : Adolf Meyer- Bremen, Mühlenwind : Fritz Göllnitz, Mutter Weinfaß : Charlotte Joeres

Frisé, Alfred, [?], Hamburger Abendzeitung , le 23 janvier 1950, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , [?]. [?], Hamburger Echo , le 23 janvier 1950, [?]. [?], Morgenpost , le 23 janvier 1950, [?]. [?], Norddeutsche Zeitung , [?]. [?], Sonntagsblatt , [?]. [?], Weser-Kurier , le 24 janvier 1950, [?].

Theater Der Staat Bonn date de représentation : octobre 1950, mise en scène : Hermann Wedekind

Bühnen Der Landeshauptstadt (Kiel) date de représentation : mars 1951, mise en scène : Alfred Noller

Württembergisches Staatstheater Stuttgart date de représentation : le 6 avril 1952, mise en scène : Kurt Puhlmann, décors et costumes : Leni Bauer-Ecsy, chef d’orchestre : Ferdinand Leitner

Johanna (Jeanne d’Arc) : Gisela Matthisent, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Fritz Albrecht, Die hl. Margarethe : Lore Wissmann, Die hl. Katharina : Hetty Plümacher, Porcus : Gustav Neidlinger, Mühlenwind : Stefan Schwer

Homolka, Kurt, [?], Stuttgarter Nachrichten , le 8 avril 1952, [?]. [?], Esslinger Allgemeine , le 8 avril 1952, [?]. [?], Ludwigsburger Kreiszeitung , le 19 avril 1952, [?].

Stadtische Bühnen (Münster) date de représentation : avril 1952, mise en scène : Hermann Wedekind Bayerisches Staatstheater im Prinzregenten Theater München (München) date de représentation : le 22. janvier 1953, mise en scène : Rudolf Hartmann, décors : Helmut Jürgens, costumes : Rosemarie Jakemeit, chef d’orchestre : Rudolf Kempe

Jeanne : Anna Dammann, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Hans Baur, Die heilige Jungfrau : Marianne Schech, Die heilige Margarethe : Elisabeth Lindermeier, Die heilige Katharina : Hertha Töpper, Porcus : August Seider, Mühlenwind : Robert Michal, Mutter Weinfaß : Tea Aichbichler

Ruppel, K.H., [?], Süddeutsche Zeitung , le 24 janvier 1953, [?].

Hessisches Staatstheater Darmstadt date de représentation : 1952

288 Stadtisches Teater (Mainz) date de représentation : 1953, mise en scène : Renate Mordo

Hessisches Staatstheater Wiesbaden date de représentation : 1953, mise en scène : Friedrich Schramm, chef d’orchestre : Ludwig Kaufmann

Jeanne d’Arc : Margritt Winter, Frère Dominique : Erwin Kohlund

[?], Wiesbadener Kurier , le 18 décembre 1953, [?].

Städtisches Theater Mainz date de représentation : 1953

[?], Allgemeine Zeitung Mainz, [?].

Deutsche Oper An Rhein, Städtische Bühnen Düsseldorf (Düsseldorf) date de représentation : septembre 1954, mise en scène : Günter Roth, chef d’orchestre : Karl Maria Zwissler

Jeanne d’Arc : Christine Kayssler, Frère Dominique : Friedrich Wilhelm Andreas

[?], General Anzeiger , le 14 septembre 1954, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 15 septembre 1954, [?]. [?], Rheinische Post , le 10 septembre 1954, [?]. reprises (Augsbourg), 1960 (Cologne), 1960 (Westdeutscher Rundfunk), réalisation de télévision date de diffusion : le 2 mars 1960, mise en scène : Gustav Rudolf Sellner, décors : Gerd Richter, chef d’orchestre : Paul Sacher

Jeanne d’Arc : Margot Trooger, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Hans Baur, Porcus : Kurt Wehofschitz, Esel : Kurt Zips reprise date de diffusion : le 7 mars 1962

Zimmermann, Wilhelm, [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 5 mars 1960, [?]. [Holm, ?], [?], Die Andere Zeitung , le 15 mars 1962, [?]. [?], Allgemeine Zeitung , le 9 mars 1962, [?]. [?], Arbeiter-Zeitung , le 1er mars 1963, [?]. [?], Deutscher Kurier , le 12 mars 1962, [?]. [?], Donau-Kurier , le 12 mars 1962, [?]. [?], Gong , le 4 mars 1962, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 12 mars 1960, [?]. [?], Solinger Tageblatt , le 8 mars 1962, [?].

289 [?], Trierische Landeszeitung , le 9 mars 1962, [?]. [?], Westfälische Rundschau , le 24 février 1962, [?]. [?], Wetzlarer Neue Zeitung , le 12 mars 1962, [?].

Bühnen Der Stadt (Koblenz) date de représentation : 1961/1962, mise en scène : Stephan Beini

Stadt Theater (Bremerhaven) date de représentation : février 1962, mise en scène : Werner Jacob

Bühnen Der Stadt (Essen) date de représentation : novembre 1965, mise en scène : Günter Roth

[?], Essener Tagblatt , le 9 novembre 1965, [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine , le 9 novembre 1965, [?].

(Gandersheim) 782 date de représentation : le 10 juin 1966, mise en scène : Helmuth Matiasek, chef d’orchestre : Robert Stehli

Jeanne d’Arc : Joana Maria Gorvin, Frère Dominique : Malte Jaeger

[?], Deister und Weserzeitung , le 14 juin 1966, [?]. [?], Goslarsche Zeitung , le 11 juin 1966, [?]. [?], Göttinger Tageblatt , le 13 juin 1966, [?]. [?], Hildesheimer Allgemeine Zeitung , le 15 juin 1966, [?]. [?], Nordwest-Zeitung , le 20 juin 1966, [?]. [?], Westdeutsche Rundschau , le 22 juin 1966, [?].

Städtische Bühnen Frankfurt date de représentation : le 14 novembre 1968, mise en scène : Friedrich Petzold, décors et costumes : Hein Heckroth, chef d’orchestre : Robert Satanowski

Johanna : Kirsten Dene, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Hannsgeorg Laubenthal, Stimme der Jungfrau : Daniza Mastilovic, Heilige Margareta : Marlise Wendels, Die heilige Katharina : Elsie Maurer, Porcus : Robert Moulson, Mühlenwind : Dieter Kreuzer, Mutter Weinfaß : Otti Ottmar

Teutebert, K., [?], Oper und Konzert , München, décembre 1968, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 16 juin 1968, [?]. [?], Frankfurter Neue Presse , le 16 novembre 1968, [?]. [?], Frankurter Rundschau , le 16 novembre 1968, [?]. [?], Neue Osnabrücker Zeitung , le 20 novembre 1968, [?]. [?], Der Sonntag , le 19 janvier 1969, [?].

782 Le spectacle a été représenté en plein air devant la Cathédrale de Gandersheim.

290 Deutsche Oper am Rhein Düsseldorf , version oratorio date de représentation : le 20 mars 1978, mise en scène : Gert Westphal, décors : Heinrich Wendel, costumes : Liselotte Erler, chef d’orchestre : Alberto Eredo

Johanna : Sonja Sutter, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Bruno Dallansky, Die hielige Jungfrau : Reingard Didusch, Die heilige Margarethe : Stella Axarlis, Die heilige Katherina : Keiko Yano, Porcus : Horst Hiestermann, Asinus : Karl Diekmann, Mühlenwind : Siegfried Siegert, Mutter Weinfaß : Ingrid Karrasch

[?], Bulletin de la Société Paul Claudel , numéro 71, 3 e trimestre, 1978, [?].

(Cologne) 783 date de représentation : le 20 février 1980, version oratorio

Festival international de Wiesbaden 784 date de représentation : le 5 mai 1984

Bayerische Staatsoper Nationaltheater München (Munich) date de représentation : le 26 mai 1984, mise en scène : August Everding, décors et costumes : Jörg Zimmermann, chef d’orchestre : Silvio Varviso

Jeanne d´Arc : Andrea Jonasson, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Christian Quadflieg, Stimme der hieligen Katharina : Cornelia Wulkopf, Stimme der heiligen Margarethe : Julie Kaufmann, Porcus : Norbert Orth, Esel : David Thaw, Mühlenwind : Alfred Kuhn, Mutter Weinfaß : Astrid Varnay

Kaiser, Joachim, [?], Süddeutsche Zeitung , le 28 mai 1984, [?].

reprise date de représentation : le 7 février 1986

(Berlin) , version oratorio, en français date de représentation : les 5, 6, 7 novembre 1998, musique : Arthur Honegger

(Kassel) date de représentation : juin-juillet 2005, mise en scène : Lorenzo Fioroni, chef d’orchestre : Roberto Paternostro et Andreas Wolf

Argentine (Théâtre Colon de Buenos Aires) date de représentation : mai 1974

783 Réalisé par l’Association des Artistes catholiques. 784 Dans la production de l’orchestre et de la troupe du Théâtre Wielki de Poznan.

291

Autriche Staatsoper im Theater an der Wien date de représentation : 1950 date de représentation : 1951 (version concert)

Staatsoper Wien im Theater an der Wien date de représentation : le 10 septembre 1952, mise en scène : Josef Gielen, décors et costumes : Robert Kautsky, chef d’orchestre : Clemens Krauß

Jeanne d’Arc : Alma Seidler, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Raoul Aslan, Die Jungfrau Maria : Gertrude Grob-Prandl, Die heilige Margarethe : Dorothea Siebert, Die heilige Katharina : Else Schürhoff, Porcus : Julius Patzak, Der Esel, Mühlenwind : Philipp Zeska, , Mutter Weinfaß : Auguste Pünkösdy

[?], Kleines Volksblatt , le 12 septembre 1952, [?]. [?], Weltpresse , le 12 septembre 1952, [?]. [?], Wiener Kurier , le 12 septembre 1952, [?]. [?], Wiener Zeitung , le 17 septembre 1952, [?].

Staatsoper Wien date de représentation : 1956

Witeschnik, Alexander, [?], Neue Österreichische Neue Tageszeitung , le 23 décembre 1956, [?]. [?], Wiener Zeitung , le 20 janvier 1957, [?].

Festival (Wien) 785 date de représentation : juin 1960 786

Witeschnik, Alexander, [?], Neue Österrreichische Tageszeitung , le 19 juin 1960, [?]. [?], Arbeiter Zeitung , le 19 juin 1960, [?]. [?], Kurier , le 18 juin 1960, [?]. [?], Die Presse , le 19 juin 1960, [?]. [?], Süd-Ost Tagespost , le 19 juin 1960, [?].

(Vienne) , version scénique, en allemand date de représentation : le 6 avril 1998, musique : Arthur Honegger

Belgique Palais des Beaux-Arts (Bruxelles, Anvers) date de représentation : le 1er mars 1940 787 , chef d’orchestre : Louis De Vocht, musique : Arthur Honegger

785 En plein air, réalisé sur le parvis de l’église des Jésuites. 786 Le spectacle a été donné en plein air devant l’ancienne église de l’Université.

292 reprises (Théâtre royal flamand de comédie, Anvers) date de représentation : le 2 mars 1940 Jeanne : Ida Rubinstein, Saint Dominique : Jean Hervé, La Vierge : Germaine Teugels, Porcus : José Lens, Le récitant : Georges Génicot

Angle, Pierre d’, Jeanne d’Arc au bûcher à la société philharmonique de Bruxelles, La Dernière heure , le 4 mars 1940, [?]. Claudel, Paul, [Fac-similé d’une lettre annonçant son arrivée], Agenda musical , n° 6, le 23 février 1940, p. 1. 788 Closson, Ernest, Encore Jeanne d’Arc au bûcher, L’Indépendance belge , le 6 mars 1940, [?]. Clausson, Hermann, Jeanne d’Arc au bûcher, Documents , le 8 mars 1940, [?]. Closson, Ernest, Jeanne d’Arc au bûcher de Claudel et Honegger, L’Indépendance belge , le 3 mars 1940, [?]. Collaer, Paul, La Musique, Agenda musical , n° 5, le 2 février 1940, p. 4. 789 Davenel, G., Au Théâtre Royal Français – Jeanne d’Arc au bûcher, oratorio dramatique de Paul Claudel et Arthur Honegger, Le Matin , le 4 mars 1940, [?]. De Geynst, J., Jeanne d’Arc au bûcher, Le Meuse , le 6 mars 1940, [?]. De Vocht, Louis, [Message], Agenda musical , n° 6, le 23 février 1940, p. 1. 790 Dewever, Franz, Jeanne d’Arc au bûcher de Paul Claudel et Arthur Honegger, Le Thyrse , n° 4, le 1er avril 1940, p. 104-5. Honegger, Arthur, [Fac-similé d’une lettre annonçant son arrivée], Agenda musical , n° 6, le 23 février 1940, p. 1. 791 Secrétain, Roger, Jeanne d’Arc au bûcher de Paul Claudel et Arthur Honegger, Agenda musical , n° 5, le 2 février, p. 4. 792 Tinel, Paul, Jeanne d’Arc au bûcher, Le Soir , le 5 mars 1940, [?]. Verschraeghen, Louis, Jeanne d’Arc au bûcher, La Cité nouvelle , le 3 mars 1940, [?]. Werrie, Paul, Une Grande oeuvre – Jeanne d’Arc au bûcher selon Paul Claudel, La Nation belge , n° 64, le 4 mars 1940, p. 1. A.M., Jeanne d’Arc au bûcher – La musique, La Gazette , le 2 mars 1940, [?]. G. F., Jeanne d’Arc au bûcher, Le Bien public , le 11 mars 1940, [?]. I. M., La Reine Elisabeth assiste à la première audition de Jeanne d’Arc au bûcher de P. Claudel et A. Honegger, La Nation belge , le 3 mars 1940, [?]. J. P., Une Oeuvre grandiose – Jeanne d’Arc au bûcher de Paul Claudel et Arthur Honegger, Le Pays réel , le 4 mars 1940, [?]. Rob. C., Jeanne d’Arc au bûcher – Le poème, La Gazette , le 2 mars 1940, [?]. S. Z., Jeanne d’Arc au bûcher à la philharmonique, Jouranl de Charleroi, le 6 mars 1940, [?].

787 Il s’agit du sixième concert réalisé par l’Orchestre national de Belgique, Chorale Coecilia et Petits chants de l’Institut Notre-Dame de Cureghem. Ensuite donné aussi les 2 (en présence de la reine Elisabeth, Sa Majesté a invité Claudel à s’asseoir dans royale) et 3 mars. 788 Annonce de presse. 789 Ibid. 790 Ibid. 791 Ibid. 792 Ibid.

293 [Non-signé], A propos de Jeanne d’Arc au bûcher, Agenda musical , n° 6, le 23 février 1940, p. 3. 793 [Non-signé], Ida Rubinstein, interprète de Jeanne d’Arc, Agenda musical , n° 6, le 23 février 1940, p. 2. 794 [Non-signé], Les Premières représentations en Belgique de Jeanne d’Arc au bûcher de Paul Claudel et Arthur Honegger, Agenda musical , n° 5, le 2 février 1940, p. 1. 795 [Non-signé], La préparation de Jeanne d’Arc au bûcher, Agenda musical , n° 5, le 2 février 1940, p. 3. 796 date de représentation : 1942 797

Jeanne : Marthe Dugard

(Palais des Beaux-Arts, Bruxelles), reprise, v. Théâtre National Populaire du Palais de Chaillot, 1942 date de représentation : le 2 février 1946 798 , chef d’orchestre : Louis de Vocht, Muqique : Arthur Honegger

Jeanne : Marthe Dugard, Saint Dominique : Raymond Gérôme, La Vierge : Renée Varly, Porcus : Frédéric Anspach, Le récitant : Georges Génicot

Théâtre royal de la Monnaie (Bruxelles) date de représentation : le 12 novembre 1952 799 , mise en scène : Georges Dalman, décors : Edmond Delescluze, costumes : Suzanne Fabry, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Corneil de Thoran, Chef de chant : Jules Vincent

Jeanne : Marthe Dugard, Frère Dominique : Claude Etienne

Festival des Flandres (Louvain) 800 , concert date de représentation : le 17 septembre 1972 801 , chef d’orchestre : Léone Gras

Jeanne : Dominique Labourier, Frère Dominique : Claude Etienne

Opéra National Théâtre Royal de la Monnaie (Bruxelles), date de représentation : avril 1975, mise en scène : Jo Dua

(4Sw 8005)

793 Ibid. 794 Ibid. 795 Ibid. 796 Ibid. 797 Enfin aussi enregistrée sur disque. 798 Ensuite les 3, 4, 5 février. 799 En présence de Claudel et de Honegger. Onze représentations. 800 Donné à l’église Saint-Pierre-de-Louvain. 801 L’auteur de l’article critique constate que l’acoustique de ce concert n’était pas trop favorable.

294 M.-P.C., « Jeanne au Bucher » d’Arthur Honegger et Paul Claudel, La Libre Belgique , le 7 avril 1975 (p. 27). Stehman, Jacques, « Jeanne d’Arc au bucher » à l’Opéra national : une fresque moderne et l’esprit du Moyen Age, Le Soir , le 31 mars 1975 (p. 23-24).

(Bruxelles) date du concert : le 30 avril 1992, chef d’orchestre : Rickenvacher 802

Espagne (Cuenta) 803 date de représentation : les 9, 10 et 11 avril 1971 chef d’orchestre : Odon Alonso

Jeanne : Claude Nollier, Frère Dominique : Henri Doublier

Compagnie Max Maravillas ? date de représentation : 1984?

Festival de Grenade date de représentation : le 21 juin 2003, mise en scène : Daniele Abbado

États-Unis (Boston) 804 date de représentation : les 6 décembre 1984, chef d’orchestre : Ozawa

Marthe Keller reprise (Carnegie Hall, New York) date de représentation : le 12 décembre 1984 (Philadelphie) date de concert : le 2 mars 1995 805 , chef d’orchestre : Charles Dutoit

Jeanne : Juloe Vincent

Finlande (Jeanne d’Arc roviolla )

802 Ce concert a été radiodiffusé et télévisé. Dans le cadre du programme musical du Centenaire d’Arthur Honegger. 803 Ensuite donné à Madrid et le 22 février au théâtre Graslin de Nantes. 804 Avec l’Orchestre philharmonique de Boston. Jusqu’au 12 décembre. 805 Présenté du 2 au 7 mars, puis le 9 mars à Carnegie Hall (New York), les 10 et 11 mars à Pittsburgh, les 14 et 15 mars à Montréal dans la réalisation des Orchestres symphoniques de Philadelphie, Pittsburgh et Montréal.

295 Opéra National Finlandais date de représentation : 1954, traduction : Jussi Jalas, mise en scène : Hartmut Boebel, chef d’orchestre : Jussi Jalas

Jeanne d’Arc : Ella Eronen, Frère Dominique : Ture Ara

France

Théâtre National Populaire du Palais de Chaillot (Paris) date de représentation : le 25 juin 1942, chef d’orchestre : Charles Munch, musique : A. Honegger, décors : Alexandre Benois

? Marie-Hélène Dasté, Jean-Louis Barrault, Julien Bertheau reprise (Bruxelles) date de représentation : févrie 1946

(Lyon) 806 reprise (Palais Garnier) date de représentation : 1950

Chaîne nationale date de diffusion : le 26 septembre 1952, réalisation : Arthur Hoérée

(Théâtre de l’Opéra, Paris) date de représentation : le 8 décembre 1962

Prieuré St-Cosme/Festival de Tours date de représentation : juillet 1959, mise en scène : Maurice Jacquemont

Mai de Bordeaux 807 date de représentation : juin 1964, mise en scène : Henri Doublier

France-Culture date de diffusion : le 3 février 1964, chef d’orchestre : Jacques Pernoo

Jeanne : Claude Nollier, Frère Dominique : Henri Doublier

Gavoty, Bernard, Jeanne au bûcher avant-première d’un concert J.M.F. (retransmis sur France Culture le 3 février à 20 h 50), Journal Musical , le 7 janvier 1964 (p. 5-8).

806 Pendant l´occupation le spectacles est scéniquement présenté à Lyon. 807 Monté dans la Cathédrale Saint-André.

296

Télévision 1 re chaîne (Paris) 808 date de représentation : le 21 janvier 1966 809 , mise en scène et réalisation : Roger Kahane, production : Robert Favre-Lebret, chef d’orchestre : Serge Baudo

[Arbois, Janick], [?], La Croix-Dimanche , le 30 janvier 1966, [?]. Arbois, Janick, « Jeanne au bucher », Le Monde , le 21 janvier 1966 (p. 25). Brincourt, André, Une admirable Jeanne au Bucher, Le Figaro , le 21 janvier 1966 (p. 19). Barenat, Jean, A mon avis ... Une reussite, L’ Humanité , le 22 janvier 1966 (p. 23). Gavoty, Bernard, Jeanne d’Arc au bûcher, Aux Ecoutes , le 27 janvier 1966 (p. 31). Hamon ; Jean, « Jeannne au Bucher » ... de la télévision, Combat , le 24 janvier 1966 (p. 29). Chatelain, Ami, Une Jeanne au bûcher style télévision, La Tribune de Genève , le 22 janvier 1966 (p. 21). J.-J. V., Pas de cécors à Joinville pour « Jeanne au bûcher »..., Le Parisien Libéré , le 8 novembre 1965 (p. 9). Le Cyclope, Jeanne au bûcher (vendredi, permière chaîne), une soirée qui fera date. Il me sembre..., Le Figaro Littéraire , le 27 janvier 1966 (p. 33). Michel, Marcelle, Entretien avec Roger Kahane qui présente vendredi « Jeanne au bûcher », Le Monde , le 21 janvier 1966 (p. 13). Rene-Roger, Merveilleuse Jeanne..., La Croix , le 23 janvier 1966 (p. 27). Saurel, Renée, « Jeanne au bûcher », Les Lettres Françaises , le 27 janvier 1966 (p. 35). Treich, Léon, L’Aurore , le 22 janvier 1966. Varoujean, J.-J., « Jeanne au Bucher », Le Parisien Libéré , le 21 janvier 1966 (p. 15). [Non-signé], Jeanne au bûcher, 24 heures , le 21 janvier 1966 (p. 11). [Non-signé], Que Claudel..., Réforme , le 29 janvier 1966 (p. 37). [Non-signé], Un spectacle complet, « Jeanne au Bucher », L’Humanité , le 21 janvier 1966 (p. 17).

Festival de Vichy date de représentation : 1958 ? Claude Nollier

(Théâtre des Champs-Elysées, Paris) date de représentation : le 3 février 1970 810 , musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Serge Baudo Jeanne : Ludmila Tcherina, Frère Dominique : Julien Bertheau

Orléans date de représentation : 1973, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Jean-Pierre Loré

Jeanne : Claude Nollier

808 Dans la réalisation de Roger Kahane. 809 Mise en ondes musicales Jean-Paul Saunieres, en collaboration avec L’Orchestre National, choeurs et maîtrises de L’O.R.T.F. 810 Présenté aussi au Théâtre de l’Est Parisien, le 5 février 1970.

297 Clarendon: Jean d’Arc au bûcher, Le Figaro , le 10 novembre 1973 (p. 5). Cotte, Jean, „Jeanne au bûcher“. La beauté de la sérénité, France-Soir , le 9 novembre 1973 (p. 3). [Non-signé], « Jeanne d’Arc au bûcher » : un poème mis en musique, Les Nouvelles Littéraires , le 19 novembre 1973 (p. 7). reprises (Reims) date de représentation : 1973 (Eglise Saint-Sulpice, Paris) 811 date de représentation : le 8 novembre 1973 (Caen) date de représentation : le 10 novembre 1973 (Rouen) date de représentation : le 11 novembre 1973

Opéra de Lyon (Lyon) date de représentation : le 16 janvier 1974 812 , mise en scène : Gaston Benham, décors et costumes : Jacques Rapp, chef d’orchestre : Serge Baudo

Jeanne : Claire Deluca, Frère Dominique : Hubert Laurent

[Non-signé], Jeanne au bucher de Claudel et Honegger à Lyon, Le Monde , le 17 janvier 1974 (p. 11).

Salle Pleyel (Palais des Congrès Centre International de Paris)813 date de représentation : saison 1974/1975

Théâtre municipal de Besançon 814 date de représentation : le 6 mars 1975, mise en scène : Jalio reprise (Théâtre de la Monnaie) date de représentation : avril 1975

(Basilique Saint-Seurin de Bordeaux) date de représentation : le 14 mai 1979 Jeanne : Geneviève Page

(Abbatiale de Saint-Ouen) date de représentation : le 25 mai 1979, mise en scène : Jean Giraudeau

811 Il s’agissait d’une série de galas de l’initiative de l’Association pour le développement de la recherche sur le cancer à Villejuif. 812 Présenté aussi le 18, 19, 22 et 23 janvier. 813 Dans le cadre du cycle de concerts publics radiodiffusés en collaboration avec l’Orchestre National, l’Orchestre Philharmonique et l’Orchestre Lyrique. 814 Il s’agit de la Création régionale.

298 (Strasbourg) date de représentation : le 25 mars 1982, chef d’orchestre : Jean-Sabastien Béreau

(Théâtre d’Essai, Paris) date de représentation : le 29 avril 1982, mise en scène : Marie-Hélène Cornebize reprise (Théâtre Montansier, Versailles) date de représentation : le 21 avril 1983

(Châtelet, Paris) date du concert : le 6 juin 1982

Orchestre du Capitole de Toulouse (Festival de la Cité de Carcassonne), concert date du concert : le 29 juillet 1982, décors : Georges Wakkevitch

Jeanne : Marie-Christine Barrault, Frère Dominique : Jean Deschamp

(Auditorium Maurice Ravel, Lyon) date de représentation : le 8 mai 1984, mise en scène : Jean Aster, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Serge Baudo

(Parc Baschet Théâtre de Verdure, Loches) 815 date de représentation : le 11 juillet 1987, mise en scène : Erik Kruger, chef d’orchestre : Dominique Rouits

Vilain, Gilbert, Jeanne d’Arc au bûcher à Loches, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°111, 1988, p: 30-31.

(Basilique de Saint-Denis) 816 date de l’éxécution : les 22 et 23 juin 1989, chef d’orchestre : Seiji Ozawa

Jeanne : Marthe Keller, Frère Dominique : Georges Wilson

(Le Havre) date du concert : novembre 1992 817 , chef d’orchestre : André Caplet

Comédie de Clermont-Ferrand 818 date de représentation : les 20, 21, 26, 27 et 28 mars 1999, mise en scène : Philippe Chemin, chef d’orchestre : Jean-Claude Amiot

Jeanne : Dominique Michel, Frère Dominique : Jean Bollery

815 Réalisé par les étudiants. 816 Organisé par Radio-France. 817 Dans le cadre du programme musical du Centenaire d’Arthur Honegger. 818 Réalisé par l’Orchestre du Conservatoire National de Région Emmanuel Chabrier.

299 Lioure, Michel, Jeanne d’Arc au Bûcher par la Comédie de Clermont-Ferrand, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°156, 1999, p. 27. Chœur et Orchestre Français d’Oratorio (Église de la Trinité à Paris) date du concert : les 2,3 et 4 juin 2005

(Opéra Berlioz le Corum, Montpellier) 819 , oratorio dramatique date de représentation : le 15 juillet 2005, mise en scène : Jean-Paul Scarpitta, chef d’orchestre : Emmanuel Krivine

Jeanne : Fanny Ardant, Frère Dominique : Gérard Depardieu reprise date de représentation : 2006

Palais de la musique et des congrès (Strasbourg) 820 date du concert : 2005, mise en scène : Nicole Aubry, chef d’orchestre : Fabrice Bollon

Romane Bohringer, Pascal Greggory

Compagnie Théâtre en pièces 821 Date de la tournée : mai-juillet 2010, mise en scène : Emmanuel Ray, musique : Olivier Messiaen

Grande-Bretagne (Joan of Ark at the Stake)

Home Service date de diffusion : le 4 février 1948, traduction : Dennes Arundell

Stoll Theatre (Londres) date de représentation : octobre 1954, réalisation : Rossellini, Bergman

[?], France Soir , le 21 octobre 1954, [?].

Cambridge U. Musical Society (Cambridge Guildhall) Date de réalisation : 1957, traduction : Dennis Arundell, mise en scène : Allen Percival

[?], Times , le 1er mars 1957, p. 3c.

London Symphony Orchestra 822

819 Dans la coproduction du Teatre La Fenice (Venise). Réalisé dans le cadre du Festival de Radio France. 820 Avec les concours du chœur de Colmar, du chœur et de l’orchestre de la Philharmonie de Strasbourg. 821 Il s’agit de la tournée sur la route de Saint Jacques de Compostelle. 822 Dans le cadre du Festival Hall.

300 date de représentation : le 5 juin 1966, chef d’orchestre : Seiji Ozawa

Jeanne : Vera Zorina

(Festival de Brighton) date du concert : le 4 mai 1992 823

Hongie Opéra de Budapest ? date de représentation : mars 1958

Opéra de Budapest date de représentation : juillet 1964 date de représentation : juin 1966 date de représentation : juillet 1969

(Budapest) , concert 824 date de représentation : 15 janvier 1992 , chef d’orchestre : Paul Sacher

Irlande (Dublin) date du concert : le 12 juillet 1992 825 , chef d’orchestre : Geoffrey Spratt

Italie (Giovanna d’Arco al rogo ) Teatro alla Scala Milano , concert date de représentation : le 4 février 1947, mise en scène : Hans Zimmermann, décors et costumes : Max Röthlisberger, chef d’orchestre : Paul Sacher

Jeanne d’Arc : Sara Ferrati, Frère Dominique : Salvo Randone

[?], Avanti , [?]. [?], Corriere della Sera , [?]. [?], Corriere Lombardo , [?]. [?], Italia , [?]. [?], Il Mattino d’Italia , [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 8 avril 1947, [?]. [?], Il Popolo , [?]. [?], Tages Anzeiger , le 14 avril 1947, [?]. [?], Il Tempo , [?].

823 Dans le cadre du programme musical du Centenaire d’Arthur Honegger. 824 Ibid. 825 Ibid.

301

San Carlo de Naples , version scénique date de représentation : juin 1953 826 , adaptation et mise en scène : Roberto Rossellini

Jeanne d’Arc : Ingrid Bergman, Frère Dominique : Tullio Carminati

Théâtre romain de Benevento , en langue italienne date de représentation : les 25-28 juillet 1988, chef d’orchestre : M. Piemontese

Japon Théâtre des habitants de Tokyo 827 date de représentation : le 3 novembre 1959, traduction et mise en scène : Shinya Andô

Pays-Bas (Amsterdam) 828 date du représentation : le 29 avril 1967, chef d’orchestre : Jean Fournet

Jeanne d’Arc : Claude Nollier, Frère Dominique : Michel Favory

Pologne (Poznan) 829 date de représentation : les 28-30 janvier 1966, chef d’orchestre : Witold Krzemiensk

(Poznan) date de représentation : décembre 1979, traduction : Maria Serga-Nowosad, mise en scène : Andrzej Sadowski, chef d’orchestre : Mieczyslaw Dondajewski

Suisse Basler Kammerorchester (Bâle, Basel), concert, konzertant, création mondiale en oratorio, en français date du concert : le 12 mai 1938, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Paul Sacher

Jeanne d’Arc : Ida Rubinstein, Frère Dominique : Jean Périer, La Vierge : Ginevra Vivante, Margueritte, Mère aux tonneaux : Berthe de Vigier, Herold, Porcus, Le Clerc, Tenorsolo : Ernest Bauer, Herold II : Paul Sandoz

[?], Basler Nachrichten , le 13 mai 1938, [?].

826 Présenté dans plusieurs villes. 827 Réalisé à la salle de Hibiya. 828 Réalisé avec l’orchestre symphonique de la radio hollandaise. 829 Concert.

302 [?], National Zeitung Basel , le 13 mai 1938, [?].

Stadttheater Zürich , création en langue allemande, szenisch, scénické provedení date de représentation : le 13 juin 1942, mise en scène : Hans Zimmermann, décors : Roman Clemens, costumes : Jürg Stockar, chef d´orchestre : Paul Sacher

Jeanne d’Arc : Maria Becker, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Heinrich Gretler, Die heilige Jungfrau : Julia Moor, Margarethe : Leni Funk, Katharina : Ilse Pormann, Porcus : Frank Linden, Esel : Heinz Rhoeden, Mutter Weinfaß : Christl Gianpietro, Mühlenwind : Heinz Rehfuß

Oboussier, Robert, [?], Die Tat , le 11 juin 1942 et le 16 juin 1942, [?]. Spelti, Hermann, [?], Neue Zürcher Zeitung , le 15 juin 1942 et le 13 octobre 1942, [?]. [?], Gazette de Lausanne , [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Tages Anzeiger , [?]. [?], Volksrecht , le 13 octobre 1942, [?]. reprise date de représentation : 1951/52, mise en scène : Hans Zimmermann, décors : Max Röthlisberger, chef d’orchestre : Paul Sacher

Jeanne d’Arc : Alma Seidler, Frère Dominique : Heinrich Gretler

[?], Neue Zürcher Nachrichten , le 11 décembre 1951, [?]. [?], Volksrecht , le 13 décembre 1951, [?].

Stadttheater Basel date de représentation : le 10 février 1951, mise en scène : Friedrich Schramm, décors : Eduard Gunzinger, costumes : Gundula Sigrist, chef d’orchestre : Paul Sacher

Johanna (Jeanne d’Arc) : Ursula Volkmar, Bruder Dominik (Frère Dominique) : Erwin Kohlund, Die Jungfrau Maria : Colette Lorand, Die hl. Margarethe : Else Böttcher, Die hl. Katharina : Ines Leuwen, Porcus : Joop de Vries, Esel : Klaus Steiger, Mühlenwind : Kurd Heine, Mutter Weinfaß : Sibylle Münch

[?], Basler Nachrichten , le 12 février 1951, [?]. [?], National-Zeitung , le 12 février 1951, [?].

Stadttheater Bern date de représentation : 1955, mise en scène : Stephan Beinl, décors et costumes : Lois Egg, chef d’orchestre : Paul Sacher

Jeanne d’Arc : Enzia Pircher, Frère Dominique : Hannes Schütz

[?], Basler Nachrichten , le 13 avril 1955, [?]. [?], Berner Tagblatt , le 12 avril 1955, [?]. [?], Der Bund , le 12 avril 1955, [?].

303 [?], National-Zeitung , le 15 avril 1955, [?]. [?], Neue Berner Zeitung , le 12 avril 1955, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 16 avril 1955, [?]. [?], Die Tat , le 16 avril 1955, [?].

(Internationale Musikfestwochen Luzern) date de représentation : 1963, chef d’orchestre : Ernest Ansermet

Jeanne d’Arc : Claude Nollier, Frère Dominique : Jo Excoffier

[?], Basler Nachrichten , le 27 août 1963, [?]. [?], Luzerner Neueste Nachrichten , le 26 août 1963, [?]. [?], Luzerner Tagblatt , le 10 août 1963 et le 26 août 1963, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 26 août 1963, [?]. [?], Vaterland , le 26 août 1963, [?]. [?], Zürcher Woche , le 30 août 1963, [?].

Grand Théâtre de Genève date de représentation : 1966, mise en scène : Herbert Graf, chef d’orchestre : Ernest Ansermet

Jeanne d’Arc : Claude Nollier, Frère Dominique : Henri Doublier

[?], Basler Nachrichten , le 28 janvier 1966, [?]. [?], Le Courrier , le 23 janvier 1966, [?]. [?], Gazette de Lausanne , le 1er février 1966, [?]. [?], Le Dauphiné libéré , le 28 janvier 1966, [?]. [?], Feuille d’Avis de Lausanne , le 22 janvier 1966, [?]. [?], Le Genevois , le 27 janvier 1966, [?]. [?], Journal de Genève , le 22 janvier 1966, [?]. [?], Le Journal Français , le 29 janvier 1966, [?]. [?], La Liberté , le 29 janvier 1966, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , janvier 1966, [?]. [?], Tribune de Genève , [?]. [?], Tribune de Lausanne , le 23 janvier 1966 et le 28 janvier 1966, [?]. [?], Voix ouvrière , le 22 janvier 1966, [?]. [?], Volksrecht , le 15 mars 1966, [?].

Télévision Suisse Romande (O.R.T.F.) date de diffusion : le 18 septembre 1967 ?

Edith Scob

(Junifestwochen Zürich) date de représentation : 1975, chef d’orchestre : Ferdinand Leitner

Jeanne d’Arc : Gabw Dohm, Frère Dominique : Karl-Heinz Martell

304 [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 26 mai 1975, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 24 mai 1975 et le 26 mai 1975, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 27 mai 1975, [?]. [?], Die Tat , le 25 mai 1975, [?].

Théâtre de la Cour St-Pierre (Genève) date de représentation : janvier 1968, mise en scène : Herbert Graf

Télévision suisse allemande date de diffusion : le 9 avril 1982, mise en scène : Werner Düggelin, décors : Jürg Weßbecher, musique : Hiroshi Wakasugi

Johanna : Annelore Sarbach, Dominik : Fritz Schediwy, Porcus : Horst Hiestermann, Esel : Paul Späni, Mutter Weinfaß : Rosalinde Renn

Fietz, Gerold, [?], Neue Zürcher Zeitung , le 16 avril 1982, [?]. Ringger, Urs Rolf, [?], Weltwoche , le 7 avril 1982, [?]. Schweizer, Klaus, [?], Basler Zeitung , le 8 avril 1982, [?].

Opernhaus Zürich im Kongreßhaussaal date de représentation : le 20 décembre 1983 830 , mise en scène : Claus Helmut Drese, décors : Josef Svoboda, costumes : Jan Skalicky, chef d´orchestre : Ferdinand Leitner

Jeanne d´Arc : Christine Ostermayer, Bruder Dominik : Rudolf Bissegger, Die Jungfrau Maria : Renate Lenhart, Die heilige Margarethe : Ruth Rohner, Die heilige Katharina : Charlotte Berthold, Porcus : Peter Keller, Der Esel : Fritz Peter, Mühlenwind : Werner Gröschel, Mutter Weinfaß : Yvonne Kupper

Briner, Andreas, [?], Neue Zürcher Zeitung , le 22 décembre 1983, [?].

Stadttheater Bern im Berner Münster date de représentation : le 8 mai 1983, mise en scène : Edgar Kelling, costumes : Bregitte Lenz, chef d´orchestre : Anton Knüsel

Johanna : Mijou Kovàcs, Bruder Dominik : Siegfried Meisner, Heilige Jungfrau Maria : Rosmarie Hofmann, Heilige Katharina : Klementyna-Alicija Pawlak, Heilige Margarethe : Barbara Martig-Tüller, Porcus : Ernst-Dieter Suttheimer, Der Esel : Rainer Schaub, Mühlenwind : Richard Bedel, Mutter Weinfaß : Vera Schweiger

Pfluger, Rolf, [?], Berner Zeitung , le 10 mai 1983, [?].

Grand Théâtre de Genève (Genève), oratorio date de représentation : le 7 mars 1987, mise en scène : Georges Wilson, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Silvio Varviso 831

830 Dans le B.S.P.C. (93) on ajoute que la pièce devait être jouée en tournée par la Compagnie Max maravillas en Espagne (traduction : Fernando Guttierez). 831 L’Orchestre de la Suisse romande.

305

Jeanne : Marthe Keller, Frère Dominique : Georges Wilson reprise (L’Abbaye de Saint-Denis) date de représentation : le 21 juin 1987

(Festival de Lucerne) date du concert : août 1992 832 , chef d’orchestre : Charles Dutoit reprise (Paris) date du concert : novembre 1992

Théâtre de Bâle date de représentation : mai-juin 2007, mise en scène : David Hermann, chef d’orchestre : Cornelius Meister

Jeanne : Marianne Dénicourt, Frère Dominique : Sébastien Durieux

Lécroart, Pascal, Jeanne d’Arc au bûcher à la reconquête de Bâle, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°188, décembre 2007, p. 59-62. sous le titre Jeanne au bûcher Allemagne (Münich) date de représentation : le 5 août 1960 833

Autriche ? date de représentation : juin 1963 834

Belgique (Émission radiophonique) date de diffusion : le 5 mars 1940 835 , mise en scène : Louis de Vocht, musique : Arthur Honegger reprises

832 Dans le cadre du programme musical du Centenaire d’Arthur Honegger. Réalisé par l’Orchestre philharmonique de France. 833 Dans le cadre du Congrès Eucharistique International, présenté avec la pièce le Partage de midi . 834 Concert organisé les 28 et 29 juin 1963 dans le cadre des Jeunesses Musicales. 835 Sous forme d’oratorio.

306 date de diffusion : le 27 juillet 1955 date de diffusion : le 17 avril 1957 Bozar (Bruxelles) date de représentation : le 2 février 1946 (1943?), musique originale : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Louis de Vocht

Jeanne : Marthe Dugard, Frère Dominique : Raymond Gérôme

Théâtre de la Monnaie date de représentation : 1952

Jeanne : Ingrid Bergman, Frère Dominique : Claude Etienne

(Collégiale Sainte-Gudule) 836 date de représentation : le 30 mars 1960 reprise Télévision flamande date de diffusion : le 14 avril 1960

Festival du pays sans frontières date de représentation : juillet 1967, mise en scène : Daniel Sternefeld 837

L’Opéra royal de Gand (Gent) date de représentation : décembre 1968, chef d’orchestre : Antonio Almeida

Jeanne : Claude Nollier, Frère Dominique : Claude Etienne

[Non-signé], « Jeanne au bûcher » à l’Opéra royal de Gand, Le Soir , le 4 décembre 1968 (p. 85).

Brésil (Rio de Janeiro), reprise, v. msc. Henri Doublier date de représentation : le 29 octobre 1960

Jeanne : Claude Nollier, Frère Dominique : Henri Doublier

États-Unis

Carnegie Hall (New York) 838

836 Réalisé par les chœurs Cæcília-koor et Xaverius-koor d’Anvers, il s’agit de l’exécution télévisée en direct et plus tard diffusée par la Télévision flamande et puis retransmise le 8 mai sur le réseau français. 837 Sternefeld remplace le malade De Vocht. En collaboration avec le choeur la Cecilia d’Anvers et l’Orchestre symphonique de la B.R.T.

307 date de réalisation : les 1er-2 janvier 1948, chef d’orchestre : Ch. Münch

Jeanne : Vera Zorina; Frère Dominique : Raymond Gerôme

Downes, Olin, [?], New York Times , [?] 1948?, [?]. [?], France-Amérique , le 11 janvier 1948, [?]. [?], New Yorker , le 10 janvier 1948, [?]. [?], The Sun , le 2 janvier 1948, [?].

Metropolitan Opera de New-York 839 date de représentation : le 10 août 1966

Jeanne : Elizabeth Taylor, Frère Dominique : Richard Burton

[Non-signé], Elisabeth Taylor dans « Jeanne au bûcher », le Figaro , le 18 janvier 1966 (p. 77). [Non-signé], Richard Burton …, Le Monde , le 14 janvier 1966 (p. 75).

Cathedral of the Holy Cross (Boston) 840 date du concert : le 22 novembre 1968

[?], Claudel Newsletter , nº 3, [?].

France Théâtre Municipal d’Orléans , oratorio 841 date d’auditon : le 6 mai 1939, décors : Alexandre Benois, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Louis Fourestier

Jeanne d’Arc : Ida Rubinstein, Saint Dominique : Jean Hervé 842

Théâtre National de l’Opéra (Paris Palias Garnier) date de représentation : le 18 décembre 1950, mise en scène : Jean Doat, décors et costumes : Yves Bonnat, musique originale : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Louis (Lodewyck) de Vocht? (Louis Fourestier?)

Jeanne : Claude Nollier, Frère Dominique : Jean Vilar reprises (Rouen) 843

838 Concert de l’orchestre New York Philharmonic Orchestra, avec colaboration de Westminster Choir. 839 En plein air du stade Lewishon, les rôles de Taylor et Burton sont parlés. 840 Réalisé par The University Chorale of Boston College. 841 Cet oratorio dramatique en XI scènes fut présenté par l’Orchestre philharmonique de Paris et des Chœurs Félix Raugel. 842 De la Comédie-Française.

308 date de représentation : le 30 mai 1954 (Metz) date de représentation : le 26 mars 1960 (Palais Garnier, L’Opéra de Paris) date de représentation : le 8 octobre 1962 844 , chef d’orchestre : Louis Fourestier

Jeanne : Claudel Nollier

Bourgeois, Jacques, Jeanne au Bucher une bonne oeuvre de répertoire, Arts , le 17 octobre 1962 (p. 5). Brillant, Marie, Autodafé à l’Opéra, La Croix , le 20 octobre 1962 (p. 8). Cotte, Jean, Discrète rentrée de « Jeanne au bûcher », France Soir , le 12 octobre 1962 (p. 21). Dumesnil, René, A l’Opéra Reprise de « Jeanne au Bûcher », Le Monde , le 10 octobre 1962 (p. 16). Gandray-Rety, Jean, Une mesure pour rien à l’Opéra ? Lettres Françaises , le 18 septembre 1962 (p. 13). G. L., A l’Opéra Reprise de « Jeanne au bûcher », L’Humanité , le 12 octobre 1962 (p. 19). Mistler, Jean, A l’Opéra « Jeanne au Bucher ». (Une reprise décevante), L’Aurore , le 10 octobre 1962 (p. 19). Pincherle, Marc, Jeanne au bûcher, Nouvelles Littéraires , le 18 octobre 1962 (p. 6). P. F., Reprise de « Jeanne au Bûcher » à l’Odéon, L’Intransigeant , le 18 octobre 1962 (p. 6). Samuel, Claude, Jeanne au Bucher ». Quand Honeggr se moque de la technique, Paris- presse-L’Intransigeant , le 19 octobre 1962 (p. 7). Schneider, Marcel, Reprise de « Jeanne au Bucher » au Palais Garnier, Combat , le 10 octobre 1962 (p. 15). [Non-signé], A l’Opéra, bonne reprise de « Jeanne au bûcher », Parisien Libéré , le 15 octobre 1962 (p. 5). [Non-signé], Reprise de « Jeanne au bûcher », Figaro , le 9 octobre 1962 (p. 17).

(Rouen) date de représentation : le 13 février 1962 (Festival du pays sans frontières), v. Belgique, 1967 date de représentation : juillet 1967, mise en scène : Daniel Sternefeld 845

Festival au Théâtre Romain de Fourvière date de représentation : le 21 juin 1956, mise en scène : Georges Hirsch, Louis Erlo, costumes : Yves Bonnat, chef d’orchestre : Georges Prêtre

Jeanne : Claude Nodier

Tricou, Paul, Le Festival au Théâtre Romain de Fourvière Jeanne au Bûcher de Paul Claudel et Arthur Honegger, Soir , le 22 juin 1956 (p. 55).

843 Présenté devant le Palais de Justice. 844 Sa centième représentation se déroule le 8 décembre 1962. 845 Sternefeld remplace le malade De Vocht. En collaboration avec le choeur la Cecilia d’Anvers et l’Orchestre symphonique de la B.R.T.

309

Grand Théâtre (Bordeaux) date de représentation : le 26 mai 1964 846 , direction dramatique : Henri Doublier, chef d’orchestre : Jacques Pernoo

Jeanne : Claude Nollier

B. G. (Bernard Gavoty), Bernard Gavoty vous raconte la petite (et la grande) histoire de « Jeanne au Bûcher », Elle , le 15 mai 1964 (p. 57). Opéra de Paris 847 date de représentation 848 : le 8 mars 1969, mise en scène : Jean Serge, chef d’orchestre : Jean Doussard

Récitants : Maud Rayer, Michel Etcheverry

Cotte, Jean, « Jeanne au bûcher » en banlieu, l’événement lyrique de la saison, France Soir , le 9 mars 1969 (p. 59). Gautier, Jean-Jacques, A Cachan, le T.R.P. présente Jeanne au Bucher de Claudel et Honegger, Le Figaro , le 10 mars 1969 (p. 61). Ransan, André, Au Gymnase de Cachan « Jeanne au Bucher » de Claudel et Honegger, L’Aurore , le 10 mars 1969 (p. 63). [Non-signé], Dernière de « Jeanne au bûcher » mercredi, à Villejuif, France Soir , le 1er avril 1969. [Non-signé], Le Théâtre..., Le Monde , 2 février 1969 (p. 67). 849

Théâtre des Champs-Elysées 850 date de représentation : le 3 janvier 1970 851 , chef d’orchestre : Serge Baudo

Jeanne : Ludmila Tcherina, Frère Dominique : Julien Bertheau

Clarendon, Jeanne d’Arc au bucher, Le Figaro , le 7 février 1970 (p. 43). Cotte, Jean, « Jeanne au bûcher », Tcherina émouvante et vulnérable, Paris Presse , le 5 février 1970 (p. 37). Hamon, Jean, « Jeanne au Bucher », Combat , le 6 février 1970 (p. 39). J. B., Jeanne d’Arc ressuscitée par Ludmilla Tcherina, Le Nouvel Journal , le 14 février 1970 (p. 47). Julien, Pierre, Au Théâtre des Champs-Elusées « Jeanne au Bucher » de Claudel et Honegger, L’Aurore , le 5 février 1970 (p. 35).

846 Le 3 juin à la cathédrale Saint-André dans le cadre du Festival de Bordeaux. 847 Spectacle donné dans plusieurs salles de la banlieue parisienne entre le 8 et 29 mars, à Cachan, Champigny, Stains, Saint-Quen, Suresnes, Saint-Denis, Boulogne et Puteaux. 848 Au Gymnase de Cachan. La dernière le 2 avril au Théâtre Romain Rolland de Villejuif. 849 Pour les raisons techniques le Théâtre communique que la dernière représentation du mercredi soir est annulée. 850 Avec l’Orchestre de Paris. 851 Il s’agit des concerts realisés au Théâtre des Champs Elysées et au Théâtre de l’Est Parisien. Ensuite exécutés le 4 et 7 février.

310 Lonchampt, Jacques, « Jeanne au Bucher » avec Ludmilla Tcherina, Le Monde , le 7 février 1970 (p. 41). Samuel, Claudel, « Jeanne au Bucher » d’Honegger par l’Orchestre de Paris. Ludmilla Tchérina porte « Jeann » aux cimes de l’épopée, Paris Presse , le 8 février 1970 (p. 45). Varenne, François, Ovations pour Tcherina et contestation réduite au silence, Le Figaro , le 5 février 1970 (p. 33). [Non-signé], « Jeanne au Bucher » à l’Orchestre de Paris avec Tchérina, Combat , le 31 janvier 1970 (p. 27). [Non-signé], Ludmilla Tcherina, après Bonaparte Jeanne d’Arc, Le Parisien , le 4 février 70, p. 11 (p. 31).

(Opéra de Marseille) date de représentation : le 12 décembre 1970, chef d’orchestre : Serge Baudo

Jeanne : Ludmila Tcherina

[Non-signé], « Jeanne » à Marseille, Le Figaro , le 16 décembre 1970 (p. 69).

Théâtre Graslin (Nantes) date de représentation : le 21 février 1971

Clarendon, Jeanne au Bucher, Le Figaro, le 22 février 1971 (p. 71). Orchestre philharmonique de L’O.R.T.F. date de diffusion : novembre 1974, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : Pierre Dervaux

Claude Nollier, Michel Bernardy, Françoise Garner

[Non-signé], Jeanne au bucher, L’Aurore, le 11 novembre 1974 (p. 17).

L’Opéra National date de représentation : mars 1975, mise en scène : Jo Dua, décors et costumes : Manfred Hürrig, chef d’orchestre : Nicolas Goldschmidt

Jeanne d’Arc : Claire De Luca

M.-P.C., « Jeanne au Bûcher » d’Arthur Honegger et Paul Claudel, La libre Belgique , le 7 avril 1975 (p. 27). Stehman, Jacques, « Jeanne d’Arc au bûcher » à l’Opera national : une fresque moderne et l’esprit du Moyen Age, Le Soir , le 31 mars 1975 (p. 23-24). Stehman, Jacques, « Jeanne d’Arc au bûcher » : une merveilleuse imagerie, Le Soir , le 5 avril 1975 (p. 25). [Non-signé], « Jeanne au bucher » à l’Opéra National, La Libre Belgique , le 26 mars 1975 (p. 21).

L’Orchestre philharmonique des pays de La Loire (Nantes) 852

852 Dans le Palais des sports de Beaulieu à Nantes.

311 date de représentation : juin 1976 853 , mise en scène : René Terrasson [Non-signé], « Jeanne au bucher » en pays de Loire, Le Quotidien de Paris , le 22 juin 1976 (p. 31).

Festival de Flaine en Haute-Savoie overit date de représentation : le 24 août 1990, mise en scène : Michaël Lonsdale, chef d’orchestre : Laurent Petit Girard

France-Musique 854 date de diffusion : le 18 juillet 2005, mise en scène : Jean-Pierre Scarpitta

Grande Bretagne London Symphony Orchestra, Festival Hall (Londres) date de réalisation : le 5 juin 1966, chef d’orchestre : Serji Ozawa

Jeanne : Vera Zorina

Albert Hall (Londres), version anglaise date de réalisation : le 7 (9?) février 1971, chef d’orchestre : André Previn 855

Jeanne : Helen Watts? Jeanne : Mia Farrow?

[Non-signé], Les Anglais ont aussi leur Jeanne d’Arc, Le Parisien , le 12 février 1971 (p. 91). [Non-signé], Mia Farrow dans Jeanne au bûcher, Le Figaro , le 10 février 1971 (p. 89).

(Festival d’Edimbourg) 856 date de représentation : le 15 août 2004, en concert d’ouverture 857 , mise en scène : Olivier Py, chef d’orchestre : Kwamé Ryan

Jeanne d’Arc : Jeanne Balibar Frère Dominique : Philippe Girard

Rondin, Madeleine, Paul Claudel au Festival international de théâtre et de musique d’Edimbourg, le 15 août- 4 septembre 2004, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°175, 2004, p. 71-72.

Grèce

853 Ensuite présenté le 23 juin dans la cathédrale d’Angers et le 25 à celle du Mans. 854 Enregistré dans le cadre du festival de Montpellier. 855 En collaboration avec London Symphony Orchestra. 856 Réalisé par le Centre Dramatique National d’Orléans, le festival a eu lieu du 15 au 26 août 2004. 857 Retransmission par la BBC en septembre.

312 (Athènes) date de représentation : le 1 er août 1964, direction dramatique : Henri Doublier, chef d’orchestre : Jacques Pernoo 858

Jeanne : Claude Nollier

Japon NHK Hall de Tokyo ? date de représentation : le 8 décembre 1989 Direction musicale : Iroshi Wakasuki

Jeanne : Anne Fournet, Frère Dominique : Dominique Leverd

Norvège Orchestre symphonique d’Oslo (Oslo) 859 date de représentation : printemps 1967, version orchestée intégrale

Jeanne d’Arc : Jeanne Liv Dommersnes

Pologne (Poznan) 860 Date de réalisation : le 28 janvier 1966, chef d’orchestre : Witold Krzemiensk

Portugal Théâtre San-Carlos (Lisbonne) 861 date de représentation : février 1964

Rusie Maison de la musique (Moscou) 862 date de représentation : novembre 2005, mise en scène : Cyril Serebrennikov

Jeanne : Fanny Ardant, Frère Dominique : Dmitri Nazarov, chef d’orchestre : Vladimir Spivakov

858 Dans la réalisation de l’orchestre Lamoureux et le chœur de Saint-Eustache. 859 Retransmission à la radio et à la télévision. 860 Réalisé par l’orchestre symphonique. 861 Par la Compagnie Henry Doublier. 862 Réalisé par l’Orchestre Philharmonique National de Russie.

313 Ignatov, Victor, Jeanne d’Arc au bûcher captive Moscou, Bulletin de la Société Paul Claudel , p. 62-63. Suisse (Festival de Lucerne) date de représentation : août 1963 nebo 62 ? reprise (France IV – Haute fidélité) date de diffusion : le 4 décembre 1963, chef d’orchestre : E. Ansermet

(Lausanne) 863 date de représentation : mai 1964, chef d’orchestre : Jean Mermoud

Jeanne : Claude Nollier, Frère Dominique : Henri Doublier

Grand-Théâtre date de représentation : le 21 janvier 1966, mise en scène : Herbert Graf ?, décors : Nicola Benois costumes : Carla Conconi, chef d’orchestre : Ernest Ansemet

Jeanne : Claudel Nollier

Ed. M.-M., Au Grand-Théâtre : Jeanne d’Arc au bûcher, La Tribune de Genève , le 22 janvier 1966 (p. 81-82). F.W., Aux Amis de l’Opéra Edouard Muller-Moor présente Jeanne au bûcher, Journal de Genève , le 21 janvier 1966 (p. 79).

La Jeune fille Violaine Belgique (Télévision) date de diffusion : le 6 octobre 1961 864

(Liège) 865 date de représentation : mars 1975, mise en scène : Nicole Bernard

France Les Jongleurs de Paris , représentation privée 866 date de représentation : mars 1939, mise en scène : Maurice Leroy

Salle d’Iéna (Paris), deuxième version 867

863 Réalisé par l’orchestre de la Suisse romande dans le cadre de l’exposition nationale. 864 Émission différée de la Suisse. 865 Il s’agit de la seconde version présentée par les Tréteaux sur-la-fontaine. 866 Voir le feuilleton de Gabriel Marcel qui faisait « quelque bruit en son temps ».

314 date de représentation : le 13 mars 1944 868 , mise en scène : Maurice Leroy Violaine : Madeleine Martel, Jacques : Paul-Émile Deiber, Anne : Georges Saillard, Pierre : Jacques Erwin, Mara : Alice Sapritch

Armory, Les « Jongleurs de Paris » …, Nouveaux Temps , le 11 mars 1944 (p. 5). Berland, Jacques, A la salle Iéna : La Jeune fille Violaine, Paris Soir , le 31 mars 1944 (p. 19). De Terssac, Faydit, Claudel Partout, Pays Libre , le 26 mars 1944 (p. 15-16). Méré, Charles, La Jeune fille Violaine, Aujourd’hui , le 25 mars 1944 (p. 13). Schaeffer, Louis Edouard, Un début de Paul Claudel, Pariser-Zeitung , le 2 avril 1944 (p. 21-22). [Non-signé], Avant « La jeune fille Violaine » de Paul Claudel, L’Echo , le 11 mars 1944 (p. 7). [Non-signé], La Scène, L’Echo , le 18 mars 1944 (p. 9). [Non-signé], Je ne suis pas très sûr…, Nouveau Temps , le 28 mars 1944 (p. 17). [Non-signé], La Jeune fille Violaine …, L’Appel , le 23 mars 1944 (p. 11).

Studio des Champs-Elysées , deuxième version date de représentation : 1958 ?, mise en scène : Maurice Jacquemont

Prieuré Saint-Côme (Tours), première version 869 date de représentation : le 3 juillet 1959, mise en scène : Maurice Jacquemont, musique : Francis Poulenc

Violaine : Loleh Bellon, Bibiane : Marie Leduc, Anne : Jacques Debary, Jacques : Mario Pilar, ?

Lemarchand, J., [?], Figaro littéraire , le 11 juillet 1959, [?]. reprise date de la tournée : septembre-octobre 1962 870

Radio France III date de diffusion : le 25 décembre 1961

Violaine : Irène Poujol, Anne Vercors : Fernand Ledoux

Télévision française date de diffusion : le 24 décembre 1963, adaptation et réalisation : Jean-Paul Carrère

Violaine : Edith Scob

Télévision française, 1ère chaîne

867 Par la troupe d’amateurs - Compagnie Les Jongleurs de Paris. 868 Joué les 13, 14 et 15 mars. 869 Présenté dans le cadre du Festival de Touraine. 870 Tournée en Argentine, au Brésil, au Chili, au Pérou et en Uruguay.

315 date de l’émission : le 24 décembre 1965 871 , réalisation : Jean-Paul Carrère, production : Georges Folgoas Violaine : Edith Scob, Mara : Maria Tamar

André, Jacques, [?], Midi-Libre , Montpellier, le 26 décembre 1965, [?]. Bourniquel, Jane, [?], Paris-Presse , Paris, le 27 décembre 1965, [?]. Brincourt, André, La jeune fille Violaine, Le Figaro , Paris, le 24 décembre 1965 (p. 11- 12). Emie, Louis, [?], Sud-Ouest , Bordeaux, le 25 décembre 1965, [?]. Lebesque, Morvan, [?], L’Express , Paris, le 3 janvier 1966, [?]. Lis, Michel, Edith Scob : « J’ai des affinités avec le personnage que j’incarne », Le Parisien Libéré , le 24 décembre 1965 (p. 9). Pailhes, Yvon, Paris-Normandie , Rouen, le 27 décembre 1965, [?]. Roger, René, La Croix , Paris, le 28 décembre 1965, [?]. Siclier, Jacques, Une soirée ennuyeuse, Le Monde , le 26 décembre 1965 (p. 15). Vigneron, Jean, Noël sur vos ecrans. La Jeune fille Violaine de Paul Claudel, La Croix , le 25 décembre 1965 (p. 13). [Non-signé], Avant-dernière version de « L’Annonce faite à Marie » : La Jeune fille Violaine, L’Humanité , le 24 décembre 1965 (p. 5). [Non-signé], Noël 1965 : un drame de Paul Claudel, Le Parisien libéré , le 13 avril 1965 (p. 3). [Non-signé], La pièce, Le Parisien Libéré , le 24 décembre 1965 (p. 9).

France Culture date de diffusion : 1965, réalisation : Alain Trutat

Anna Doat, Germaine Kerjean, Fernand Ledoux, Jean Levrais, Irène Poujol, Michel Piccoli, Lucien Raimbourg

2e chaîne Télévision française date de représentation : février 1966 872 , réalisation : Jean-Paul Carrère

Jean Davy, Marie-Hélène Dasté

[?], La Jeune fille Violaine, Les Nouvelles littéraires , le 3 mars 1966 (p. 19). [Non-signé], Un drame de Paul Claudel, Le Figaro , le 23 février 1966 (p. 17).

Grugé l’Hôpital 873 date de représentation : le 20 mars 1966

Théâtre municipal (Metz) 874 , première version date de représentation : le 8 mai 1966, mise en scène : P. Mambrino

Compagnie d’Orléans (Eglise Sainte-Euverte ), deuxième version

871 La seconde version, tournage réalisé au mois d’août. 872 Dans la production de Jean-Paul Carrère. 873 Présenté par une troupe d’amateurs. 874 Adapté par l’équipe théâtrale du collège Saint-Clément.

316 date de représentation : le 14 avril 1967, mise en scène : Olivier Katian 875

(Association d’éducation populaire, Ardoix) date de représentation : les 29 et 30 janvier 1972

Troupe du Foyer de l’éducation populaire de Gastins date de représentation : janvier-mai 1974

Biothéâtre Opéra (Paris), deuxième version 876 date de représentation : le 10 février 1977, mise en scène : Jean-Pierre Dusseaux, décors et costumes : Alain Batifoulier

Pierre de Craon : Marcel Dossogne, Violaine : Catherine Gandois, La Mère : Hélène Vallier, Anne Vercors : Marcel Imhoff, Mara : Chantal Bronner, Jacques Hury : Gérald Robard (puis Didier Sandré)

Cournot, Michel, « La Jeune fille Violaine » de Paul Claudel, Le Monde , le 11 février 1977 (p. 31), 24 février et le 3 mars 1977. F.S., …à Violaine, Le Figaro , le 5 janvier 1977 (p. 23). G.D., Une source de vie, Le Nouvel Observateur , le 28 février 1977 (p. 41-42). Jamet, Dominique, « La Jeune Fille Violaine » (grande musique), L’Aurore , le 25 février 1977 (p. 37). Lerminier, Georges, La jeune fille Violaine, Le Parisien , le 7 mars 1977 (p. 51). Marcabru, Pierre, La Jeune fille Violaine, Le Figaro , le 11 février 1977 (p. 29). M.G., La Jeune Fille Violaine de Paul Claudel, Une beauté mathématique, Le Quotidien de Paris , le 15 février 1977 (p. 33). R.K., La Jeune Fille Violaine, L’Express , le 28 février 1977 (p. 43). Tremois, Claude-Marie, La Jeune Fille Violaine, Télérence , les 26 fevrier-4 mars 1977 (p. 39). [Non-signé], Claudel au Bio-Théâtre Opéra, Le Quotidien de Paris , le 8 janvier 1977 (p. 25). [Non-signé], Claudel, toujours, France-Soir , le 10 mars 1977 (p. 53). [Non-signé], La Jeune fille Violaine au Biothéâtre, Le Monde , le 17 février 1977 (p. 35). [?], La France-Catholique , le 18 février 1977, [?]. [?], L’Heure République , le 3 mars 1977, [?]. [?], Humanité-Dimanche , le 2 mars 1977, [?]. [?], Loisirs Jeunes , le 22 février 1977, [?]. [?], La Nouvelle République , le 17 février 1977, [?]. [?], Le Point , le 28 février 1977, [?]. [?], Le Quotidien de Paris , le 15 février 1977, [?]. [?], Sélection du Monde , le 23 février 1977, [?]. [?], Tribune Socialiste , le 23 février 1977, [?]. reprise

875 Par la Compagnie d’Orléans. 876 Puis en tournée juillet, octobre et décembre 1977 : Angleterre, Belgique, France, Suisse et Turquie.

317 (Biothéâtre) date de représentation : le 9 septembre 1977 877 Bielski, Nella, La Jeune Fille Violaine de Paul Claudel. Une aventure d’esprit, Le Matin , le 12 septembre 1977 (p. 61). [Non-signé], Claudel, pour la réouverture du Biothéâtre, Le Quotidien de Paris , le 8 septembre 1977 (p. 59).

Faculté des Lettres (Brest), deuxième version 878 date de représentation : mai 1986, mise en scène : Yves Moraud

(Villeneuve-sur-Fère) 879 date de représentation : juillet 1990, mise en scène : Madeleine Rondin

Père (Anne Vercors) : Alain Cuny

(Théâtre de la Huchette, Paris) , deuxième version date de représentation : le 15 septembre 1998 880 , mise en scène : Marie Hermès, décors : Thierry Leproust, costumes : Claude Masson

Pierre de Craon : Daniel Sarky, Violaine : Maqrie Cuvelier, La Mère : Catherine Day, Anne Vercors : Bernard Jousset, Mara : Odile Roire, Jacques Hury : Bernard Bollet

Beretta, Alain, La renaissance scénique parisienne de La Jeune Fille Violaine, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°153, 1999, p. 11-14. reprise (Valréas) date de représentation : le 2 et 4 août 1999 881

Grèce Théâtre Panthéon d’Athènes (Athènes), deuxième version date de représentation : le 7 novembre 1944 882 , traduction : Stathis Spiliotopoulos, mise en scène : Jean Sarandidis

Pierre de Craon : Pappas, ? V. Manolidou, M. Aroni, D. Horn reprise date de représentation : le 16 janvier 1945 883

877 Joué jusqu’au 8 octobre. 878 Réalisé par le Centre Dramatique Universitaire. 879 Dans le cadre du festival d’Unité d’Art du 8 au 15 juillet. 880 Présenté jusqu’au 30 décembre 1998. 881 Ensuite repris à Versailles (janvier 2000), à Sèvres (février 2000) et à Antony (mars 2000). 882 Joué jusqu’au 4 décembre. Ce spectacle a été présenté au public à Radio Athènes par le poète Takis Papatzonis. 883 Joué jusqu’au 6 février 1945.

318

(Thessalonique) date de représentation : le 25 décembre 1957 Suisse Télévision suisse date de diffusion : décembre 1960, adaptation : Henri Guillemin reprise Télévision belge date de diffusion : le 6 octobre 1961

Radio Suisse Romande date de diffusion : le 24 décembre 1961, adaptation : Henri Guillemin, décors : Jacques Stern, réalisation : Claude Goretta

Pierre de Craon : André Faure, Violaine : Leyla Aubert, La Mère : Marguerite Cavadaski, Anne Vercors : Pierre Asso, Mara : Liliane Aubert, Jacques Hury : Gérard Carrat, Aubin : Michel Faure

Théâtre de Poche (Genève), deuxième version date de représentation : le 1er octobre 1968

Le Livre de Christophe Colomb (drame) Allemagne (Das Buch, Christoph Columbus ) Opernhaus Köln, oper date de représentation : le 21 octobre 1950, mise en scène : Erich Bormann, décors et costumes : Walter Gondolf, chef d´orchestre : Richard Kraus

Isabella, Königin von Spanien : Helmi Rau, Christioph Kolumbus : Peter Nohl, Christoph Kolumbus II : Felix Knäpper, Der Erzähler : Wilhelm Otto, Der Abgesandte der Matrosen : Alexander Schödler, Der Koch : Karl Buschmann, Der König von Spanien : Gerhard Gröschel

W.G., [?], Zeitung unbekannt , [?].

Schillertheater (Berlin) 884 , première en langue allemande date de représentation : le 5 octobre 1954, mise en scène : Hans Lietzau, décors et costumes : Leni Bauer-Ecsy, musique : Darius Milhaud

Der Erklärer : Arthur Schröder, Christoph Colombus : Hans-Dieter Zeidler, Christoph Colombus in der Nachwelt : Eduard Wandrey, Isabella, die Katholische : Joana Maria Gorvin, Der Verteidiger : Kurt Buecheler, Der Koch : Hans Heßling, Der Abgesandte der Mannschaften : Franz Nicklisch, Die Herzogin von Medina Sidonia : Luitgard Im

884 Par la Compagnie Renaud-Barrault, avec 46 représentations.

319 Hermann, Hilde, [?], St. Michael , Düsseldorf, le 24 octobre 1954, [?]. Ruppel, K.H., [?], Süddeutsche Zeitung , le 7 octobre 1954, [?]. [W.B.], Welt am Sonntag , Ausgabe Belin, le 10 octobre 1954, [?]. [?], Der Abend , le 6 octobre 1954, [?]. [?], Abendpost , le 9 octobre 1954, [?]. [?], Der Bund , le 18 octobre 1954, [?]. [?], Darmstädter Echo , le 9 octobre 1954, [?]. [?], Deutsches Volksblatt , le 14 octobre 1954, [?]. [?], Echo der Zeit , le 17 octobre 1954, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 8 octobre 1954, [?]. [?], Frankfurter Hefte , décembre 1954, [?]. [?], Frankfurter Nachtausgabe , le 14 octobre 1954, [?]. [?], Der Kurier , le 6 octobre 1954, [?]. [?], Nacht Depesche , le 7 octobre 1954, [?]. [?], Die Neue Zeitung , le 7 octobre 1954, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 25 octobre 1954, [?]. [?], Petrus Blatt , le 10 octobre 1954, [?]. [?], Rheinische Post , le 9 octobre 1954, [?]. [?], Schweizer Rundschau , janvier 1955, [?]. [?], Sonntag , le 14 novembre 1954, [?]. [?], Spandauer Volksblatt , le 7 octobre 1954, [?]. [?], Der Tag , le 7 octobre 1954 et le 21 novembre 1954, [?]. [?], Der Tagesspiegel , [?]. [?], Telegraf , le 7 octobre 1954, [?]. [?], Die Welt , le 9 octobre 1954, [?].

Bayerisches Staatsschuspiel Residenztheater (München) date de représentation : le 1er août 1956, mise en scène : Werner Düggelin, décors et costumes : Jörg Zimmermann, musique : Karl List

Der Ansager (L’Explicateur) : Kurt Stieler, Christoph Columbus I (Christophe Colomb I) : Hans Baur, Christoph Columbus II (Christophe Colomb II) : Hans Cossy, Königin Isabella (Isabelle) : Elfriede Kuzmany, Der Verteidiger : Hans-Reinhard Müller, Heiliger Jakob : Fritz Rasp, Der Schiffskoch : Wolfried Lier, Der Anführer der Mannschaft : Otto Mächtlinger

Braun, Hanns, [?], Rheinischer Merkur , le 10 août 1956, [?]. Drews, Wolfgang, [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 8 août 1956, [?]. [?], Abendzeitung , le 1er août 1956 et le 2 août 1956, [?]. [?], Darmstädter Echo , le 9 août 1956, [?]. [?], Deutsche Tagespost , le 14 août 1956, [?]. [?], Echo der Zeit , le 26 août 1956, [?]. [?], Hildesheimer Allgemeine Zeitung , le 9 août 1956, [?]. [?], Christ und Welt , le 16 août 1956, [?]. [?], Müncher Katholische Kirchenzeitung , le 12 août 1956, [?]. [?], Münchner Merkur , le 3 août 1956, [?]. [?], National-Zeitung , le 7 août 1956, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?].

320 [?], Schwäbische Landeszeitung , le 11 août 1956, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 3 août 1956, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 18 août 1956, [?]. [?], Die Welt , le 6 août 1956, [?].

Stadttheater Essen (Essen) date de représentation : le 23 février 1962 885 , mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Max Ingrand, costumes : Marie-Hélène Dasté, musique : Hans Martin Rabenstein

Der Ansager (L’Explicateur) : Helmuth Hinzelmann, Christoph Columbus des Dramas (Christophe Colomb I) : Günter Lampe (Tabor?), Christoph Columbus des Legende (Christophe Colomb II) : Hans Karl Friedrich, Königin Isabella (Isabelle) : Marie-Luise Etzel, Der hl. Jakobus : Günter Ziessler, Der Koch : Walter Stickan, Der Abgesandte der Matrosen : Günter Ziesler

Beckmann, Heinz, [?], Rheinischer Merkur , le 9 mars 1962, [?]. Haas, Helmuth de, [?], Die Welt , le 26 février 1962, [?]. Michaelis, Rolf, [?], Theater heute , avril 1962, [?]. Schulze-Vellinghausen, Albert, [?], Frankfurter Allgemeine , le 27 février 1962, [?]. [?], Abendpost , le 26 février 1962, [?]. [?], Echo der Zeit , le 25 février 1962 et le 4 mars 1962, [?]. [?], Essener Woche , le 27 janvier 1962, [?]. [?], Darmstädter Echo , le 28 février 1962, [?]. [?], Darmstädter Tagblatt , le 28 février 1962, [?]. [?], Die Deutsche Bühne , février 1962, [?]. [?], Deutsche Zeitung , le 24 février 1962 et le 28 février 1962, [?]. [?], Deutsche Woche , le 12 mars 1962, [?]. [?], Düsseldorfer Nachrichten , le 26 février 1962, [?]. [?], Der Feuerreiter, le 24 mars 1962, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 13 janvier 1962, [?]. [?], Frankfurter Neue Presse , le 28 février 1962, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 27 février 1962, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 26 février 1962, [?]. [?], Heidelberger Tageblatt , le 5 mars 1962, [?]. [?], Iserlohner Kreisanzeiger , le 20 janvier 1962, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 10 février 1962 et le 27 février 1962, [?]. [?], Der Mittag , le 26 février 1962, [?]. [?], Müncher Merkur , le 7 février 1962, [?]. [?], Neue Ruhr-Zeitung , le 24 février 1962 et le 26 février 1962, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 23 mars 1962, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 8 février 1962 et le 26 février 1962, [?]. [?], Saarbrücker Zeitung , le 28 février 1962, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 10 février 1962 et le 26 février 1962, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 1er mars 1962, [?].

885 Projet de Barrault et des Allemands. Avec très grand succès. D’après Andersen la première représentation est donnée le 24 février 1962. Avec 39 représentations.

321 [?], Theater Rundschau , avril 1962, [?]. [?], Welt der Arbeit , le 26 avril 1963, [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine Zeitung , le 26 février 1962, [?]. [?], Westdeutsche Rundschau , le 27 février 1962, [?]. [?], Westfälische Rundschau , le 27 février 1962, [?]. [?], Wiesbadener Tageblatt , le 5 mars 1962, [?]. [?], Die Woche , [?]. [?], Die Zeit , le 2 mars 1962, [?]. reprises (Internationale Maifestspiele Wiesbaden, Wiesbaden) date de représentation : le 24 mai 1962 886

[?], Wiesbadener Kurier , le 5 mai 1962 et le 25 mai 1962, [?]. [?], Wiesbadener Tagblatt , le 25 mai 1962 et le 26 mai 1962, [?].

(Théâtre Lycée, Limbourg), 1962 (Ruhrfestspiele) Date de représetation : le 28 juin 1963

[?], Echo der Zeit , le 21 juillet 1963, [?]. [?], Der Schlesier , le 25 juillet 1963, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 28 juillet 1963, [?]. (Kielfestspiele, Kieler Woche, Kiel) date de représentation : le 29 juin 1963

[?], Lübecker Nachrichten , le 1er juillet 1963, [?].

(Berliner Festwochen, Berlin) date de représentation : le 18 octobre 1963 887

[?], Kurier , le 10 octobre 1963, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 10 octobre 1963, [?].

(Stuttgart) 888 date de représentation : le 3 septembre 1964

Collège de Limburg (Limburg) 889 date de représentation : 1962

[?], Limburger Neue Presse , le 3 septembre 1962, [?]. [?], Nassauer Bote , le 4 septembre 1962, [?].

(Mayence)

886 Joué par la troupe d’Essen. 887 Adapté par la troupe d’Essen. 888 Concert. 889 Spectacle réalisé par les élèves.

322 date de représentation : 1967

Collège des Pères Bénédictins d’Ettal (Bavière) 890 date de représentation : 1968

[?], Münchner Merkur , le 14 mai 1968, [?].

Opéra de Berlin (Unter den Linden) date de représentation : les 6, 10, 12, 14 et 20 novembre 1999

Autriche Burgtheater Wien (Vienne) date de représentation : le 11 janvier 1957, mise en scène : Adolf Rott, décors et costumes : Robert Kausky, musique : Hans Totzauer

Der Ansager (L’Explicateur) : Albin Skoda, Christoph Columbus I (Christophe Colomb I) : Ewald Balser, Christoph Columbus II (Christophe Colomb II) : Reinhold Siegert, Königin Isabella (Isabelle) : Judith Holzmeister, Die Stimme des hl. Jakob : Raoul Aslan, Der Abgesandte der Matrosen : Stefan Skodler, Der Schiffskoch : Ulrich Bettac, Der Verteidiger : Felix Steinböck

Fontana, Oskar Maurus, [?], Die Presse , Wien, le 13 janvier 1957, [?]. Kindermann, Heinz, [?], Neue Tageszeitung , le 13 janvier 1957, [?]. [?], Arbeiter-Zeitung , le 13 janvier 1957, [?]. [?], Bildtelegraf , le 12 janvier 1957, [?]. [?], Die Furche , le 19 janvier 1957, [?]. [?], Das Kleine Volksblatt , le 13 janvier 1957, [?]. [?], Kurier , le 8 janvier 1957, [?]. [?], Neue Kurier , le 12 janvier 1957, [?]. [?], Neues Oesterreich , le 13 janvier 1957, [?]. [?], Tageblatt , le 28 février 1957, [?]. [?], Wiener Zeitung , le 13 janvier 1957, [?].

Theater an der Wien date de représentation : 1976

[?], Kurier , le 31 mai 1976, [?].

Belgique I.N.R. (Bruxelles) 891 date de représentation : 1940, traduction : Anton van de Velde, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Franz André

890 Réalisé par les élèves du collège. 891 Il s’agit de la radio flamande.

323

Récitant : Anton van de Velde, ? Franz André

(Bruxelles) 892 , reprise, v. France, msc. J.-L. Barrault, Bordeaux, 1953 date de représentation : le 28 (25?) septembre 1958893

(Limbourg) 894 date de représentation : le 1 er septembre 1962, mise en scène : Pr. Heinz Böhlen

(Liège) date de représentation : le 23 février 1969 895

(Bruxelles) 896 date de représentation : 1971

Sion, Georges, Claudel plus vivant que jamais, Revue Générale , mars 1971, [?].

(Bruxelles) 897 date de représentation : le 3 septembre 1992, mise en scène : Daniel Scahaize

Espagne (Barcelone) 898 date de représentation : le 2 juillet 1955

États-Unis

Winter Garden (Broadway) date de représentation : le 31 janvier 1957 899

Coleman, R., [?], Daily Mirror , le 31 janvier 1957, [?]. Matthews, Herbert L., [?], New York Times , le 31 janvier 1957, [?]. [?], Brooklyn Daily , le 4 février 1957, [?]. [?], Daily News , le 31 janvier 1957, [?]. [?], Herald , le 31 janvier 1957, [?]. [?], Christian Science Monitor , le 2 février 1957, [?]. [?], Morning Telegraph , le 1er février 1957, [?].

892 À l’occasion de l’Exposition universelle, présenté par la Compagnie Renaud-Barrault. 893 Il s’agit d’une représentation exceptionnelle à l’occasion de l’Exposition de Bruxelles. 894 Spectacle joué trois fois (ensuite les 2 et 4 septembre) par les étudiants du Gymnasium. 895 Dans le cadre des amateurs. 896 Spectacle réalisé par les élèves du collège Saint-Michel de Bruxelles et le Collège Saint- Servais de Liège. 897 Joué jusqu’au 12 octobre à la station de métro Albert. 898 Pièce présentée en espagnol. 899 Réalisation de la Compagnie de Barrault, jouée jusqu’au 2 février 1957.

324 [?], Women’s Wear Daily , le 31 janvier 1957, [?]. [?], World , le 31 janvier 1957, [?]. Opéra San Francisco date de représentation : le 8 octobre 1968, mise en scène : Adolf Rott, décors : Wolfram Skalicki et David West

Université du Connecticut date de représentation : le 23 avril 1992 ?

Brooklin Scholl de New-York , opéra date de représentation : le 3 mars 1992, musique : Darius Milhaud

Université de Santa Clara (Californie) ? date de représentation : 1992

(Hollywood) date de représentation : 2001, en français 900

Compagnie Continent II (Los Angeles), version en langue anglaise date de représentation : novembre 2000, adaptation : André Nerman 901 sous le titre Chritophe Columbus

Museum of Modern Art (New York), version opera 902 Date de récital : le 27 décembre 1940, musique (piano) : Darius Milhaud,

Récitant : Madeleine Milhaud

[?], New York Times , le 22 décembre 1940, p. 7.

Carnegie Hall (New York) 903 date du concert : les 6-7 novembre 1952, traduction : Arnold Perry, chef d’orchestre : D. Mitropoulos

Cowell, Henri, [?], Musical Quarterly , XXXIX, janvier 1953, p. 102-103. [?], New York Times , le 7 novembre 1952, p. 20.

War Memorial Opera House (San Francisco) 904 date de représentaiton : le 6 novembre 1968, mise en scène : Adolf Rott, décors et costumes : Wolfram Skalicki et David West

900 Série de représentations réalisées dans une petite salle. 901 Adaptation de la mise en scène de Gaël Robas jouée au Théâtre du Versant à Biarritz. 902 Version opéra, récital des tableaux choisis (I, 12 et II, 6). 903 Il s’agissait du premier concert du texte, réalisé par l’orchestre The Philharmonie Symphony Society et avec Schola Cantorum sous la direction H. Ross. 904 En version d’opéra, présentation de l’acte I.

325

Schonberg, Harold C., [?], New York Times , le 7 octobre 1968, [?]. [?], Bulletin de la Société Paul Claudel , nº 33, janvier 1969, [?].

Brooklyn School of Music (New York) date du concert : octobre 1992, opéra 905

(San Francisco) , opéra 906 date du concert : le 12 décembre 1992, chef d’orchestre : Kant Nagano

Finlande (Kulumbuksen kirja ) Radio Finlandaise date de diffusion : 1959, traduction et mise en scène : Marja Rankkala, musique : Einar Englund reprise date de diffusion : 1966

France Théâtre du Vieux Colombier (Compagnie les Feux tournants) date de représentation : le 2 juin 1947, mise en scène : Jean Doat

Isabelle : Marguerite Cassan, L’Explicateur : Jean Doat

Chaîne nationale 907 date de diffusion : le 10 octobre 1950, adaptation : Paul-Louis Mignon, réalisation : Maurice Cazeneuve, musique : André Jolivet

? Jean Vilar, Michel Bouquet, Marcel André, Marie-Hélène Dasté, Habib Benglia, Maurice Nasil, André Carnege, Roger Rudel, Pierre Morin, Charles Lemarchand, Yves Duchateau, Martine Diviero, Linette Lemercier, Pierre Prelier, Dino de Filippis, Jean Fabre-Bertin, etc.

Festival de Bordeaux, Grand Théâtre (Bordeaux) 908 , version scénique date de représentation : le 20 mai 1953 909 , mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Marc Ingrand (costumes en collaboration avec Marie-Hélène Dasté), musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Pierre Boulez

L’Explicateur : Pierre Bertin, Christophe Colomb du drame : Jean-Louis Barrault, Christophe Colomb de la légende : Jean Gilibert, La Reine Isabelle : Madelaine Renaud, Le Roi d’Espagne : Régis Outin

905 Réalisé dans le cadre du Centenaire de Darius Milhaud. 906 Ibid. 907 Orchestre de la R.T.F. 908 Par la Compagnie Renaud-Barrault. 909 Ensuite repris le 21 mai.

326 La Mère de Christophe Colomb : Marie-Hélène Dasté, Le Défenseur : Jean Desailly, L’Opposant : Jean-Pierre Granval

[?], Le Figaro , le 25 mai 1953, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , [?]. reprises (Théâtre Marigny, Paris) date de représentation : le 3 octobre 1953 910 , mise en scène : Jean-Louis Barrault, musique : Darius Milhaud

[?], L’Actualité , le 15 novembre 1953, [?]. [?], Annales , novembre 1953, [?]. [?], Antares , [?]. [?], Arts , le 8 octobre 1953, [?]. [?], Combat , le 7 octobre 1953 et le 27 octobre 1953, [?]. [?], La Croix , le 9 octobre 1953, [?]. [?], Dagens Nyheter , le 27 janvier 1954, [?]. [?], Le Dauphiné Libéré , le 16 octobre 1953, [?]. [?], Le Décor d’aujourd’hui , [?]. [?], La Dépêche , le 27 novembre 1953, [?]. [?], L’Echo-Liberté , le 13 octobre 1953, [?]. [?], Esprit , décembre 1953, [?]. [?], L’Europeo , le 18 octobre 1953, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , le 10 octobre 1953, [?]. [?], France-Asie-Saigon , décembre 1953, [?]. [?], France Illustration , novembre 1953, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 13 octobre 1953 et novembre 1953, [?]. [?], General Anzeiger , le 25 novembre 1953, [?]. [?], Hamburger Anzeiger , le 31 octobre 1953, [?]. [?], Juvénal , le 8 janvier 1954, [?]. [?], Les Lettres Française , le 8 octobre 1953, [?]. [?], Libération , le 5 octobre 1953, [?]. [?], Liberté , le 14 novembre 1953, [?]. [?], Luxemburger Wort , le 3 février 1954, [?]. [?], Mercure de France , le 1er décembre 1953, [?]. [?], Morgon-Tidningen , le 6 novembre 1953, [?]. [?], National-Zeitung , le 7 décembre 1953, [?]. [?], Die neue Zeitung , le 13 octobre 1953, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 30 novembre 1953, [?]. [?], La Nouvelle critique , février 1954, [?]. [?], Observateur , le 8 octobre 1953, [?]. [?], The Observer , le 25 octobre 1953, [?]. [?], L’Oeuvre de France , le 1er décembre 1953, [?]. [?], Paris-Casablanca , le 23 octobre 1953, [?]. [?], Paris Comoedia , le 7 octobre 1953, [?]. [?], La Parisienne , novembre 1953, [?].

910 Jusqu’au 30 mars 1954.

327 [?], Paris-Match , [?]. [?], Paris-Normandie , le 9 octobre 1953, [?]. [?], Il Popolo Nuovo , le 9 octobre 1953, [?]. [?], Plaisir de France , novembre 1953, [?]. [?], Revista Barcelona , le 3 décembre 1953, [?]. [?], La Revue des Deux-Mondes , le 1er novembre 1953, [?]. [?], Revue de Paris , novembre 1953, [?]. [?], Phare , le 25 octobre 1953, [?]. [?], Rheinische Post , le 15 octobre 1953, [?]. [?], Rivarol , le 9 octobre 1953, [?]. [?], Rivista italiana di filosofia , [?]. [?], Roma-Napoli , le 23 décembre 1953, [?]. [?], Preuves , novembre 1953, [?]. [?], Salzburger Nachrichten , le 17 octobre 1953, [?]. [?], Samedi-Soir , le 8 octobre 1953, [?]. [?], The Scotsman , le 31 octobre 1953, [?]. [?], Spectator , le 30 novembre 1956, [?]. [?], St. Galler Tagblatt , le 13 novembre 1953, [?]. [?], Stuttgarter Nachrichten , le 29 octobre 1953, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 7 novembre 1953, [?]. [?], La Table ronde , novembre 1953. [?], Der Tag , le 17 janvier 1954. [?], Témoignage chrétien , le 9 octobre 1953, [?]. [?], The Times , le 21 octobre 1953, [?]. [?], La Vie intellectuelle, janvier 1954, [?].

(Théâtre Marigny) date de la tournée : mai-juillet 1954 911 (Schiller Theater de Berlin) date de représentation : le 5 octobre 1954 (Chaîne nationale) 912 date de diffusion : le 11 mars 1954, réalisation : Eléonore Cramer, chef d’orchestre : Pierre Boulez

? Madeleine Renaud, Marie-Hélène Dasté, Anne Carrère, Marie-Louise Spaens, Pierre Bertin, Jean-Louis Barrault, Jean Desailly, Jean-Pierre Granval, Beauchamp, Régis Outin, Jean Juillard, etc.

(?) Date de la tournée : octobre-novembre 1956 913 (Londres) Date de la tournée : décembre 1956 (Tournée)

911 Spectacle présenté dans le cadre d’une tournée de mai à juin 1954 en Amérique du Sud : Rio de Janeiro (du 7 au 23 mai), Sao Paulo (du 26 mai au 3 juin), Montevideo (du 9 au 22 juin), Buenos Aires - au Théâtre Colon (du 25 juin au 14 juillet), Santiago-du-Chili (du 17 au 28 juillet). 912 Transmis sur les antennes de la R.T.F. (émission Théâtre et Université). 913 Tournée durant un mois, spectacle présenté à Lille, à Lyon et en Suisse.

328 date de la tournée : janvie-mars 1957 914 (Auditorium, Bruxelles), v. Belgique, 1958 date de représentation : le 25 septembre 1958 date de représentation : mai-juillet 1960 915 (L’Odéon Théâtre de France, Paris) 916 date de représentation : le 7 septembre 1960

Favalelli, Max, « Christoph Colomb », Paris-Presse l’Intransigeant , le 13 septembre 1960 (p. 5). Grosrichard, Yves, « Christoph Colomb » de Paul Claudel (Vent toujours en poupe), France-Soir , le 16 septembre 1960 (p. 6). Lerminier, Georges, Jean-Louis Barrault reprend « Le Livre de Christophe Colomb » de Paul Claudel au théâtre de France, Le Parisien Libéré , le 12 septembre 1960 (p. 4). Kanters, R. (Robert), Deux reprises, une pièce de Brecht, signée Claudel, et un « Mayerling » de luxe, L’Express , le 15 septembre 1960 (p. 11). Marcabru, Pierre, Christophe Colomb. Un divertissemnet royal, Arts , le 14 septembre 1960 (p. 7-8). Marcel, Gabriel, L’Amerique decouverte, Les Nouvelles littéraires , le 29 septembre 1960 (p. 13-16). Morelle, Paul, Reprise de Christophe Colomb au Théâtre de France, Libération , le 10 septembre 1960, p. 2 (p. 2). Poirot-Delpech, B., Reprise de « Christophe Colomb » de Paul Claudel, Le Monde , le 11 septembre 1960 (p. 3). [Non-signé], Au Théâtre de France, 200 e et dernière pour « Christophe Colomb »..., France Soir , le 5 janvier 1961 (p. 17). [Non-signé], 25 rappels au Théâtre de France pour la reprise de « Christophe Colomb », France-Soir , le 9 septembre 1960 (p. 1).

(Essen) date de représentation : 1962

(Château de Limbourg) 917 date de représentation : 1960

(Ajaccio) 918 date de représentation : août 1965, mise en scène : Henry Mary reprise (Collège de Juilly) date de représentation : le 5 février 1966

914 Montréal, Québec, Boston, New York (première le 1er février au théâtre Winter Garden de Broadway, ensuite présentée dans les principales universités américains). 915 Tournée de la Compagnie Renaud-Barrault au Japon, en Israël, en Turquie, en Grèce et en Yougoslavie. 916 Spectacle donné à l’occasion de la réouverture du théâtre. 917 Spectacles des lycéens. 918 Le spectacle a été aussi présenté à Calvi et à Bastia. La musique réalisée (avec l’accord de Milhaud) par un chœur parlé.

329

(Agen) 919 date de représentation : les 9 et 10 mars 1972

Théâtre d’Orsay (Paris) 920 , nouvelle mise en scène Date de première : le 5 mars 1975, mise en scène : Jean-Louis Barrault, chef d’orchestre : André Girard

Christophe Colomb : Laurent Terzieff, Christophe Colomb de la légende : Jean-Louis Barrault, La Reine Isabelle : Madeleine Renaud, La mère de Colomb : M.-H. Dasté, L’Opposant : J.-P. Granval

[?], Le Figaro , le 8 mars 1975, [?]. [?], Le Monde , le 8 mars 1975, [?]. [?], Vaterland , le 2 avril 1975, [?]. reprises (U.R.S.S.) 921 Date de la tournée : avril 1976

Theater 11 (Zürich) date de représentation : 1976, costumes : Marie-Hélène Dasté

L’Explicateur : Yves Gasc, Christophe Colomb du drame : Laurent Terzieff, Christophe Colomb de la légende : J. L. Barrault, Isabelle : Christine Guerdon

[?], Der Bund , le 12 mai 1976, [?]. [?], Der Landbote , le 11 mai 1976, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 11 mai 1976, le 26 mai 1976, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 11 mai 1976, [?]. [?], Zürichsee-Zeitung , le 11 mai 1976, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 11 mai 1976, [?]. [?], Die Tat , le 11 mai 1976, [?].

(Théâtre de la Comédie de Genève) date de représentation : le 18 mai 1976 922

[?], Le Courrier , le 20 mai 1976, [?]. [?], Tribune de Genève , le 20 mai 1976, [?].

Le Gueuloir (Grand-Quevilly) date de représentation : le 17 janvier 1977 923 , mise en scène : Claude Juin

919 Présenté par la troupe d’amateurs « L’Hermitage ». 920 Enregistré le 5 mars et diffusé le 19 février 1976 sur A.2 dans la réalisation de Jean-Paul Carrère. 921 Présenté à Leningrad et à Moscou. 922 Joué jusqu’au 24 mai. 923 Réalisé par les élèves de l’atelier-théâtre.

330

Théâtre d’Orsay (Paris) date de représentation : mars 1981 (1980?), mise en scène : Jean-Louis Barrault

Théâtre Municipal de Bayonne 924 date de représentation : le 22 octobre 1989, mise en scène : Gaël Rabas, musique : Pierre Cabalette

Christophe Colomb : Jean-Claude Durand, Isabelle de Castille : Maud Rayer reprise (Villejuif) date de représentation : le 8 janvier 1990 (Biarritz) date de représentation : le 29 mai 1990 925 (Bordeaux) date de représentation : le 7 juin 1990 (Festival d’Avignon) date de représentation : juin 1992

Théâtre des 13 vents (Montpellier) 926 date de représentation : le 27 (25?) janvier 1990 927 , mise en scène : Pierre Barrat, décors et costumes : Christian Olivares, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Luca Pfaff

Christophe Colomb : Frédéric Solunto, ? Philippe Girard, Jean-Marie Winling reprise (Colmar) date de représentation : le 28 mars 1990 928

Théâtre des Célestins (Lyon) date de représentation : le 4 mai 1992, mise en scène : Sylvie Mongin, musique : Darius Milhaud

Théâtre du Versant de Biarritz date de représentation : 1994 reprise date de la tournée : du 1 er mai au 31 juillet 1996 929 Théâtre du Versant de Biarritz date de représentation : le 16 mai 2000, mise en scène : Gaël Rabas

924 Présenté par les acteurs de la Compagnie du Théâtre du Versant de Biarritz. 925 Spectacle diffusé aussi sur le réseau câblé régional. 926 Production de l’Atelier du Rhin – Théâtre de la Manufacture de Colmar. 927 Avec collaboration de l’Opéra de Montpellier. 928 Joué de même le 29, 30, 31 mars et le 1er avril. 929 Tournée en Gironde et à Istres (Saint-Chamond, Sallanches, Soisson, Coye-la-Forêt).

331 Association Les Sarments (St.-Etienne du Mont à Paris) date de représentation : le 21 avril 2000

Théâtre Les Pont levants (Théâtre des Salins, Martiques) 930 date de représentation : les 18 et 19 décembre 2003, mise en scène : Dominique Chante, musique : Patrick Boronat

? Audrey Barrin, Anaïs Mahikian, Cécile Bouillot, Samuel Carneiro

Grande Bretagne

Maida Vale Studio (Londres), version concert, en anglais Date de réalisation : 1937, chef d’orchestre : Darius Milhaud

[?], Daily Telegraph , le 16 janvier 1937, [?].

Palace Theatre (Londres) date de représentation : novembre 1956 931

Hobson, Harold, [?], Sunday Times , le 25 novembre 1956, [?]. [?], Guardian , le 21 novembre 1956, [?]. [?], New Statesman , le 24 novembre 1956, [?]. [?], Times , le 20 novembre 1956, [?].

(Londres) 932 date de représentation : automne 1957 933

The Southampton Student Players (Southampton) 934 date de représentation : décembre 1964 ?, traduciton : Paul Claudel

Italie (Cristoforo Colombo) (Parco dei Nervi, Gênes) , créatin mondiale date de représentation : le 27 juillet 1951, traduction : Adriano Grande, mise en scène : Guido Salvini, décors : Giulio Coltellacci, costumes : Veniero Colasanti, musique : Fiorenzo Carpi

L’Explicateur : Carlo D’Angelo, Colomb I : Roldano Lupi, Colomb II : Arnoldo Foa, La Reine Isabelle : Evi Maltagliati, Isabelle jeune : Edda Albertini, Le Défenseur : Carlo Geri, L’Opposant : Vittorio Sanipoli

930 Dans la production de la Compagnie les ponts levants théâtre de Martigues. 931 Le spectacle a été présenté jusqu’en décembre de la même année, réalisé par la Compagnie Renaud-Barrault. 932 Dans la production de la Compagnie Renaud-Barrault. 933 Tournée au Canada et aux Etats-Unis en janvier. 934 Il s’agit d’une groupe de théâtre amateur.

332

Opéra de Rome date de représentation : 1953, mise en scène : Berbert Graf

Piccolo Teatro de Gènes ? date de représentation : 1992, mise en scène : Antoine Vitez

Japon Compagnie Renaud-Barraud (Osaka) date de représentation : le 28 avril 1960 reprise (Tokyo) date de représentation : le 4 mai 1960

Troupe ASK (Théâtre Honda de Yokohama) date de représentation : novembre 2001, traduction : Rikiei Suzuki et Isao Yamamoto

Pologne Rapsodyczny (Cracovie) ? date de représentation : 1961/1962 ?, traduction : Tadeusz Malak

(Gdynia) 935 date de représentation : le 7 août 1992, mise en scène : Adam Hanuszkiewicz, décors : Napiorkowski, costumes : Brygida Turowska

Christiophe Colomb : Daniel Olbrychski

Whitaker, Marie-Joséphine, Le théâtre de la ville de Gdynia met en scène Le Livre de Christophe Colomb, d’après Paul Claudel, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 127, Paris 1992, p. 12-14.

Portugal Oficina de Teatro (Coïmbra) 936 date de représentation : 1970, traduction : Antonio Tinoco de Almeida et José Carlos Seabra

Suède

935 Dans le cadre du programme maritime Opération Voile 1992, sur le voilier Dar Pomorza, bateau construit en 1909 et à partir de 1981 un musée flottant amarré à Gdynia. 936 Spectacle adapté par un groupe amateur (étudiants), repris en tournée dans plusieurs villes portugaises en 1971.

333 Agence Englind de Stockholm ? date de représentation : 1992

Suisse Collège Bénédictin d’Engelberg (Obwalden) date de représentation : 1949, traduction : P. Luitfried Marfurt

[?], Titlis-Grüsse , le 2 mars 1949, [?].

Schultheater « Betlehem » (Immensee) 937 date de représentation : 1960

[?], Neue Zürcher Nachrichten , le 19 février 1960, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 27 février 1960, [?]. [?], Schweizer Frauenblatt , le 26 février 1960, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 19 février 1960, [?]. [?], Die Tat , le 4 mars 1960, [?]. [?], Vaterland , le 19 février 1960, [?]. sous le titre Christophe Colomb (opera ou oratorio)

Allemagne Staatsoper Unter den Linden (Berlin), création mondiale de l’opéra date de représentation : le 6 mai 1930, mise en scène : Franz Ludwig Hörth, décors et costumes : Panos Aravantinos, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Erich Kleiber

Der Erzähler (L’Annonciateur) : Karl Armster, Kolumbus in der Zeitlichkeit (Colomb dans le temps) : Theodor Scheidl, Kolumbus in der Ewigkeit (Colomb dans l’éternité) : Max Roth, Isabella, Königin von Spanien (Isabelle) : Delia Reinhardt, Der König von Spanien (Le roi d’Espagne) : Emanuel List, Der Koch : Fritz Soot

Adams, Paul, [?], Germania , le 10 mai 1930, [?]. Bie, Oscar, [?], Berliner Börsen-Curier , le 6 mai 1930, [?]. Einstein, Alfred, [?], Berliner Tagblatt , le 6 mai 1930, [?]. Jhering, Herbert, [?], Tagebuch , Berlin, mai 1930, [?]. Kastner, Rudolf, [?], Vossische Zeitung , [?]. Marschalk, Max, [?], Berliner Morgenzeitung , [?]. Miomandre, Francis de, [?], Les Nouvelles Littéraire , Paris, le 19 avril 1930, [?]. 938 Petit, Raymond, [?], La revue Musicale , juin 1930, [?]. 939 Pisling-Boas, Nora, [?], Acht Uhr Abend Blatt , le 6 mai 1930, [?].

937 Réalisation de Claudel sur la scène du collège. 938 Voir la traduction sous le titre « Ein Skandal » de Edwin Maria Landau dans son livre Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen , p. 131. 939 Voir la traduction sous le titre « Ein Skandal » de Edwin Maria Landau dans son livre Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen , p. 132-133.

334 Sauguet, Henri, [?], Les Nouvelles Littéraire , Paris, le 17 mai 1930, [?]. 940 Stuckenschmidt, H. H., « Stürmische Premiere in der Lindenoper – Milhauds Columbus », B.Z. am Mittag , le 6 mai 1930 [?]. Zschorlich, Paul, [?], Deutsche Zeitung , [?]. [?], Lokal-Anzeiger , [?]. [?], Melos , [?].

(Cologne) date de représentation : 1950

Wuppertaler Oper date de représentation : le 12 avril 1969, mise en scène : Kurt Horres, musique : Reinhard Schwarz, décors : Wilfried Sakowitz

Kolumbus I : Willi Nett, Kolumbus II : Zsolt Ketszery, Königin Isabella : Barbara Rondelli, Schiffskoch : Siegfried Schmidt

[?], Badische Neueste Nachrichten , le 19 avril 1969, [?]. [?], Münstersche Zeitung , le 16 mai 1969, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 5 mai 1969, [?]. [?], Opernwelt , mai 1969, [?]. [?], Theater Rundschau , mai 1969, [?].

Opéra de Berlin Date de realisation : le 28 septembre 1998

Argentine (Buenos-Aires) date de représentation : 1953, chef d’orchestreire : A. Wolff

Autriche Opéra au Vereinigte Bühnen (Graz), création mondiale de la nouvelle version date de représentation : septembre 1966, musique : Darius Milhaud

[?], Neue Zürcher Zeitung , le 29 juin 1966, [?]. [?], Die Welt , le 5 juillet 1966, [?].

Vereinigte Bühnen Graz Steiermark (Graz) date de représentation : le 22 juin 1968, création mondiale de la nouvelle version de l´opéra, mise en scène : Adolf Rott, musique : Borislav Klobu čar, décors et costumes : Wolfram Skalicki

940 Voir la traduction sous le titre « Ein Skandal » de Edwin Maria Landau dans son livre Paul Claudel auf deutschsprachigen Bühnen , p. 133-134.

335 Kolumbus I : Wassilis Janulakos, Kolumbus II : Ferdinand Radovan, Der Erzähler : Jürg Holl, Der König von Spanien : Drago Ognjanovic, Der Koch : José-Maria Perez, Isabella : Althea Bridges, Abgesandter der Matrosen : Peter Pichler Menningen, Hans, [?], Die Welt , Berlin, le 5 juillet 1968, [?]. Schneider, Herbert, [?], Kurier , Graz, le 24 juin 1968, [?].

Belgique Radio Belge date de représentation : avant 1940 941

Radio nationale flamande date de diffusion : le 17 janvier 1940 942 , traduction : Anton Van de Velde, musique : Darius Milhaud, chef d´orchestre : Franz André reprise (Radio Belge) date de diffusion : le 20 novembre 1946 943 , chef d’orchestre : Franz André

N.I.R. date de représentation : le 19 janvier 1940 944 ? Paul Collaer date de représentation : 1946

Palais des Beaux-Arts (Bruxelles) 945 , version concert date de représentation : le 22 janvier 1973 946 , musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Léonce Gras

Christophe Colomb : Walter De Meesen

(4Sw 7984) A.F., En hommage à Darius Milhaud « Christophe Colomb » à la Philharmonique, Le Dernier Heure , le 25 janvier 1973 (p. 9). R., « Christophe Colomb » de Darius Milhaud, La Libre Belgique , le 25 janvier 1973 (p. 11). Stehman, Jacques,Une grande épopée lyrique, le « Christophe Colomb » de Milhaud et Claudel, Le Soir , le 24 janvier 1973 (p.7).

France (Nantes) , (sous forme d’oratorio)

941 En français et même en flamand. 942 Diffusé en flamand. 943 Grand Concert Général avec les Chœurs flamands, sous la direction de Jean Van Bouwel et les chœurs français sous René Mazy. 944 L’opéra en trois parties, présenté en version de concert et avec la collaboration de l’O.R.T.F., la R.T.B.-B.R.T. 945 Donnée dans le cadre de la « Reconnaissance des musiques modernes » 946 En présence de M. et Mme Milhaud.

336 date de représentation : le 30 novembre 1936, chef d’orchestre : P. Monteux reprise (Paris) date de représentation : le 6 décembre 1936

Radio française date de diffusion : le 1er février 1947, mise en scène : Vilar, musique : Jolivet, chef d’orchestre : Manuel Rosenthal reprise date de diffusion : le 10 octobre 1950

Mai de Bordeaux (Bordeaux) 947 date de représentation : le 21 mai 1953, mise en scène : Jean-Louis Barrault reprise (Théâtre Marigny) date de représentation : le 21 mars 1953

(Paris) Date de représentation: 1956, version oratorio

[?], Le Monde , le 4 juin 1956, [?].

Théâtre de France (Paris) date de représentation : 1961

Duvignaud, Jean de, [?], N.R.F. , novembre 1960, [?]. Kanters, Robert de, [?], l’Express , le 15 septembre 1960, [?]. Marcel, Gabriel, [?], Les Nouvelles Littéraires , le 29 septembre 1960, [?]. reprise (France III) date de diffusion : le 21 novembre 1961 date de représentation : 1961, v. Japon

Théâtre des Champs-Elysées date de représentation : juillet (juin ?) 1956, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Manuel Rosenthal 948

Christophe : Robert Massard

(4Sw 7984) Le Tilem, Paul, Christophe Colomb de Darius Milhaud, Rolet , juillet 1956 (p. 3).

947 Dans le cadre du festival Mai de Bordeaux. 948 Rosenthal dirigeait l’Orchestre Radio-Lyrique.

337

Compagnie Renaud-Barrault, L’Odéon-Théâtre de France (Paris) date de représentation : le 2 octobre 1960, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Max Ingrand, musique : Darius Milhaud

? Madelaine Renaud, Marie-Hélène Dasté, Françoise Golea, Jane Martel, Pierre Bertin, Jean-Louis Barrault, Jean Desailly, Jean-Pierre Granval, Edmond Beauchamp, Régis Outin, Michel Bertay reprise date de représentation : le 7 septembre 1961

Théâtre de la Ville (Paris), en version de concert 949 date de représentation : avril 1974, mise en scène : Léon Gras, chef d’orchestre : J.-P. Kreder (Gras ?) (4Sw 7984) A.F., En hommage à Darius Milhaud « Christophe Colomb » à la Philharmonique, Le Dernier Heure , le 25 janvier 1973 (p. 9). Clarendon (Bernard Gavoty), Christophe Colomb de Claudel et Milhaud, Le Figaro , le 25 avril 1974 (p. 19). Lonchampt, Jacques, « Christophe Colomb » de Paul Claudel et Darius Milhaud, Le Monde , le 24 avril 1974 (p. 17). M.C., « Christophe Colomb » un voyage accidenté, Le Quotidien de Paris , le 24 avril 1974 (p. 15). R., « Christophe Colomb » de Darius Milhaud, La Libre Belgique , le 25 janvier 1973 (p. 11). Stehman, Jacques,Une grande épopée lyrique, le « Christophe Colomb » de Milhaud et Claudel, Le Soir , le 24 janvier 1973 (p.7). Tellart, Roger, Christophe Colomb de Darius Milhaud, La Croix , le 2 mai 1974 (p. 21).

Compagnie Renaud-Barrault, Théâtre d’Orsay (Paris) date de représentation : le 5 mars 1975, mise en scène : Jean-Louis Barrault, costumes : Marie-Hélène Dasté, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : André Girard

L’Explicateur : Yves Gasc, Christiophe Colomb du drame : Laurent Terzieff, Christophe Colomb de la légende : Jean-Louis Barrault, Isabelle la catholique : Madeleine Renaud, La Mère de Colomb : Marie-Hélène Dasté, Roi d’Espagne : Pierre Boutron, Père de Colomb : Jean Hébert

(4Sw 7984) Alapetite, Bernard, Barrault découvre Christophe Colomb, Initiative , mai 1975 (p. 59). Cartier, Jacqueline, Théâtre d’Orsay, France Soir , le 6 mars 1975 (p. 31). Dumur, Guy, Saint Christophe Colomb, Le Nouvel Observateur , le 17 mars 1975 (p. 51). Dunoyer, Jean-Marie, « Christophe Colomb » de Claudel, au Théâtre d’Orsay, Le Monde , le 8 mars 1975 (p. 35).

949 L’Orchestre de l’Ile-de-France et L’O.R.T.F. Dans le cadre du Festival « Printemps musical de Paris ».

338 F. N. (François Nourissier), Christophe Colomb de Claudel. La joie d’admirer, Le Figaro , le 8 mars 1975 (p. 39). Chambrillon, Paul, Christophe Colomb spectacle de Paul Claudel, Valeurs actuelles , le 3 mars 1975 (p. 27). Jamet, Dominique, Au Théâtre d’Orsay « Christophe Colomb » de Paul Claudel, L’Aurore , les 8, 9 mars 1975 (p. 43). Kanters, Robert, Claudel, une messe pour le Nouveau Monde, L’Express , le 17 mars 1975 (p. 53). Lemaire, Norbert, La Caravelle de Barrault pour « Christophe Colomb » de Claudel, le théâtre d’Orsay, L’Aurore , le 7 mars 1975 (p.33). Lerminier, Georges, « Christophe Colomb », Le Parisien , le 12 mars 1975 (p. 47). Marcabru , Pierre, Deux pièces à signaler..., France Soir , le 9 mars 1975 (p. 45). Marcabru, Pierre, « Christophe Colomb » Toutes voiles dehors, France Soir , le 8 mars 1975 (p. 41). M.G., Christophe Colomb de Paul Claudel. Le grand jeu de la découvert, Le Quotidien de Paris , le 8 mars 1975 (p. 37). Pantel, Monique, Les Renaud-Barraul retrouvent Claudel et son « Christophe Colomb », France-Soir , le 5 mars 1975 (p. 29). Rabine, Henry, Christophe Colomb, La Croix , les 15, 16 mars 1975 (p. 49). [Non-signé], Christophe Colomb..., Le Figaro , le 3 mars 1975 (p. 25). [Non-signé], Christophe Colomb change de reine, France Soir , le 3 avril 1975 (p. 57). [?], Le Figaro , le 3 avril 1974, [?]. [?], Le Figaro , le 14 août 1974, [?]. [?], Le Figaro , le 5 septembre 1974, [?]. [?], Une Sem. de P.-P. , n° 354, 369, [?].

France-Musique date de l’émission : le 11 avril 1973 950 Antenne 2 (France 2) date de diffusion : février 1976, mise en scène : Jean-Louis Barrault, chef d’orchestre : André Girard, réalisation : Jean-Paul Carrère

(4Sw 7984) B.V., Christophe Colomb. Claudel, Darius Milhaud, Jean-Louis Barrault, Le Soir , le 19 février 1976 (p. 73). F.L., Les 2 visages de Christophe Colombe, Le Parisien , le 19 février 1976 (p. 67). Pantel, Monique, Claudel autorisa Jean-Louis Barrault à la récrire, France Soir , le 18 février 1976 (p. 65). [Non-signé], Ce soir sur l’A2 Christophe Colomb de Claudel, Le Quotidien de Paris , le 19 février 1976 (p. 71). [Non-signé], Christophe Colombe d’après Paul Claudel, Le Figaro , le 19 février 1976 (p. 69). [Non-signé], Christophe Colomb de Paul Claudel, Le Figaro , le 16 février 1976 (p. 63).

Théâtre Municipal de l´Opéra (Marseille), opéra, première nationale 951

950 Il s’agit de l’opéra enregistré à Bruxelles en janvier 1973, retransmis sur la B.B.C. le 3 juin de la même année.

339 date de représentation : le 5 octobre 1984 952 , mise en scène : Jacques Karpo, adaptation : R. S. Hoffmann, décors : Wolfram et Amrei Skalicki, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Henri Gallois Récitant : Jean-Pierre Aument

Atelier Théâtre Stanislas date de représentation : juin 1988 953

Ecole Saint Thomas de Pontcalée (Morbihan) date de représentation : le 7 mars 1998 954

Troupe de Regain (Eglise de la Madeleine) date de représentation : le 6-8 mars 1998, mise en scène : Catherine Roquefeuil

Christoph Colomb II : Jean-Paul Nicolai

Autrand, Michel, Le Livre de Christophe Colomb par la Troupe du Regain, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 150, 1998, p. 47.

Théâtre des Trois Pierrots à Saint-Cloud date de représentation : le 7 mai 1998 955

Grande Bretagne

Nuffield Theatre (Southampton) 956 date de représentation : décembre 1964, traduction : Paul Claudel, Agnes Meyer

Italie (Festival de Nervi) date de représentation : le 27 juillet 1951, mise en scène : G. Salvini

(Rome) date de représentation : 1954, chef d’orchestre : Darius Milhaud

Japon (Festival Hall , Osaka) 957 , v. même Essen 1962

951 Opéra en deux actes, à partir du texte de Paul Claudel, mise en musique par Darius Milhaud et dans la version allemande de R. S. Hoffmann. 952 Il s’agit de la création scénique en France. Ce spectacle fut même enregistré par FR 3. 953 Par les élèves de 6ème. 954 Réalisé par les élèves de terminale. 955 Réalisé par les élèves de 3ème de l’Institut Saint Pie X. 956 Réalisé par Southampton Student Players. 957 Dans la production de la compagnie Renaud-Barrault, en français.

340 date de représentation : le 28 avril 1960, mise en scène : Jean-Louis Barrault reprise (Sankei Hall, Tokyo) date de représentation : le 4 mai 1960 Luxembourg Radio-Luxembourg date de diffusion : 1937

Suisse Schuttheqter Bethlehem (Immensee) date de représentation : 1960

Service culturel Migros (Genève) 958 date de représentation : le 18 mai 1976, mise en scène : Jean-Louis Barrault

(4Sw 7984) Barrault, Jean-Louis, Colomb Barrault et la magie de l’enthousiasme, La Tribune de Genève, le 13 mai 1976 (p. 79). Brönnimann, Catherine, « Le livre de Christophe Colomb par la compagnie Barrault- Renaud à la Comédie, La Tribune de Genève, le 20 mai 1976 (p. 83-84). [Non-signé], Christophe Colomb découvrira l’Amérique pendant une semaine à la Comédie, Tribune de Genève , le 30 avril 1976 (p. 75). [Non-signé], Christophe Colomb par Jean-Louis Barrault, la critique rend les armes, La Tribune de Genève, le 6 mai 1976 (p. 77). 959

La Messe là-bas France (Église St-Germain-des-Prés, Paris) 960 date de représentation : le 14 mai 1971, mise en scène : René Bergil, musique : Max Pinchard

? Jean Devy, Daniel Sarky, Marcel Tristani, Marie-Rose Carlié, Madeleine Vimes

(4Sw 8009) Rey, Anne, « La Mess là-bas », Le Monde , le 27 mai 1971, p ; 61). [Non-signé], « La messe là-bas » de Claudel en l’église Saint-Germain-des-Prés, France Soir , le 13 mai 1971 (p. 59).

958 Le spectacle après avoir être donné devant les Bordelais, les Parisiens, les Russes et les Zurichois est même donné devant les spectateurs génevois. 959 L’auteur renvoie aux autres articles de critique, à celui de Robert Kanters publié dans L’Express , de Jean-Louis Gauthier dans le Figaro et de Mathieu Galey dans Les Nouvelles littéraires . 960 Présenté par les auteurs de la Comédie-Française dans le cadre des Journées de la paroisse.

341 [Non-signé], Une pièce de Claudel créée en l’église Saint-Germain, France Soir , le 6 mai 1971, P ; 57).

(Boulogne-sur-Mer) date de représentation : le 20 mai 1975, mise en scène : Jacques Cassar Compagnie Le Quartz (Brest) date de représentation : mars 2001 961 , mise en scène : Laure Saupique

Petit Théâtre, Les Gémeaux (Sceaux) date de représentation : le 27 novembre 2010 962 , mise en scène : Christian Schiaretti, direction musicale : François Martin

Interprétation : Didier Sandre

Suisse Aula de l’Université de Fribourg , oratorio date de représentation : le 10 novembre 1991, chef d’orchestre : Pierre Kaelin

La Mort de Judas Allemagne (Judas Verteidigt Sich, Der Tod des Judas ) Saarländischer Rundfunk, Fernsehen (ARD) date de diffusion : le 16 avril 1965, réalisation : Sylvain Dhomme, décors : E.W. Sautter

Judas : Heinz Bennent

Radio-Brême date de diffusion : le 1 er avril 1967

Deutsches Theater in Göttingen date de représentation : le 31 octobre 1971 963 , mise en scène : Günther Fleckenstein

Judas : Klaus Silcher

[Helweg, ?], [?], Göttinger Allgemeine , les 25-26 mars 1972, [?].

Ein-Mann-Theater Stuttgart-Hehenheim date de représentation : le 11 mars 1984, mise en scène : Alfred Peter Wolf

Resenberger, Sepp, [?], Süddeutsche Zeitung , le 3 avril 1984, [?].

961 Adaptation. 962 Dans la production du Théâtre National Populaire de Paris, 11 reprises. 963 À partir du 31 octobre 1971 présenté en tournée dans les églises d’Allemagne.

342 États-Unis (Death of Judas)

ABC-Network 964 date de l’émission : le 16 février 1962, réalisation : Frederick Rolf [?], Newsweek , LIX, nº 14, le 2 avril 1962, [?].

France Copagnie Adelbert (Journées Claudéliennes de Brangues) date de représentation : le 20 juillet 1985, mise en scène : Sophie Loucachevsky, décors et costumes : Sylvie Deldon

Judas : Philippe Fretun reprise (Théâtre national de Chaillot) date de représentation : le 6 novembre 1986

Comédie de Reims date de représentation : les 13, 14 mars 1998

Grande Bretagne (The Defence of Judas)

Third Programme date de diffusion : le 31 mars 1958, 965 réalisation : Christopher Sykes sous le titre Mort de Judas et Le point de vue de Ponce Pilat Belgique Nouveau théâtre de Belgique (Bruxelles) date de représentation : le 17 octobre 1995 966 , mise en scène : Fréderic Dussenne

France France-Culture date de diffusion : le 27 mars 1964

Lecture : Jean-Louis Barrault et Pierre Bertin

(Festival de Fougères) date de représentation : du 5 au 18 juillet 1987, mise en scène : Jean-Paul Dubois

Journées Claudéliennes de Brangues

964 Dans la production du National Council of Catholic Men, Directions 62. 965 Reprises le 10 mai 1958 et le 20 septembre 1958. 966 Jusqu’au 4 novembre.

343 date de représentation : le 20 juillet 1987, mise en scène : Sophie Loucachevsky

Compagnie « Les Amis de » date de représentation : février-avril 1988 967 reprise (Théâtre Paris-Vilette) date de représentation : 5 avril – 29 mai 1988, mise en scène : Sophie Loukachevsky

Judas : Philippe Fretun, Ponce-Polate : François Berléand

Théâtre de la Chrysalide de Lyon 968 date de représentation : octobre-avril 1991

Théâtre de la Comédie (Reims) date de représentation : le 7 décembre 1995 reprises (Sceaux) date de représentation : le 21 mai 1996 969 (Châlons-en-Champagne, Béthune, Talence, Rochefort) date de représentation : novembre – décembre 1996-1997

Compagnie Skéné-Production 970 date de représentation : avril-juin 2000

Théâtre du Nord-Ouest à Paris date de lecture : le 6 mars 2002

Lecture : Édith Garraud et Eliezer Mellul

Suisse

Schweizerische Radio und Fernsehgesellschaft date de diffusion : le 6 août 1968, mise en scène : Ettore Cella

Judas : Fred Haltinar

[?], Tele , le 1er août 1968, [?]. sous le titre La Mort de Judas – Le Baiser de Judas

967 Donné en province et à Milan. 968 Il s’agit de deux récits présentés entre le 11 octobre 1991 et le 17 avril 1992 à Bourg-en- Bresse, Bourgoin-Jallieu, Vienne, Bron, Salle à Chambéry, CAC Le Creusot et à Grenoble. 969 Ensuite joué les 22 et 23 mai. 970 Cette troupe a donnée15 représentations entre le 15 avril et le 30 juin à Nantes et à Angers.

344 France (Espace , Paris) date de représentation : le 3 octobre 1997, mise en scène : Jean-Pierre Nortel, décors : Xavier Laroyenne, costumes : Jean-Marie Roland ? Elizier Mellul, Thierry Laroyenne sous le titre Judas-Pilate France Théâtre Paris-Villette date de représentation : le 5 avril 1988, mise en scène : Sophie Laucachevsky, décors et costumes : Sylvie Deldon

Philippe Fretun, François Berléand

Une Mort prématurée 971 France Compagnie Anne Delbée (Maison de la Culture Beaurepaire, Angers) date de représentation : le 15 février 1983, mise en scène : Anne Delbée

La Nuit de Noël 1914 France Œuvre sociale du Chantier (Paris) 972 date de représentation : le 14 janvier 1917

Japon (Tokyo) 973 date de représentation : le 15 janvier 1921, mise en scène : Kunitarô Takahashi reprise date de représentation : novembre 1921 974

L’Otage Allemagne ( Die Insel, Der Bürge )

971 Une des premières versions du Partage de midi . 972 Il s’agit de la première représentation privée sous la présidence du cardinal Amette, archevêque de Paris. 973 Présenté par les étudiants de langue française de l’Université de langue étrangère Tokyo, réalisé au restaurant Ueno-Seiyô-Ken dans le cadre de la réunion de bienvenue pour Claudel. 974 Dans la salle de conférence de l’Université de langue étrangère Tokyo.

345 Nationaltheater Mannheim (Mannheim), première en langue allemande date de représentation : juin 1927, mise en scène : Heinz Dietrich Kenter, décors : Heinz Grete

Sygne de Coûfontaine : Hildegard Grethe, Der Graf Ulysse Agenor Georges de Coûfontaine und Dormant : Willy Birgel, Der Papst Pius (Le Pape Pie) : Ewald Schindler, Der Baron Toussaint Turelurem Präfekt des Marnespäter des Seinedistrikts : Ernst Langheinz, Der Pfarrer Badilon (Le Curé Badilon) : Johannes Heinz

Sonnemann, Kurt, [?], Dramaturgische Blätter (Nationaltheater Mannheim, [?]. Kantorowicz, Alfred, [?], Neue Mannheimer Zeitung , le 18 juin 1927, [?]. K-z., Claudel : « Der Bürge », Frankf. Zeitung , le 22 juin 1927 (p. 7).

Die Neue Bühne (Düsseldorf) Date de représentation : décembre 1927,

Sygne : Eleonore Mendelsohn

Residenztheater München?, Bayrisches Staatsschauspiel date de représentation : le 24 mars 1954, mise en scène : Kurt Horwitz, décors : Edwin Seiler

Sygne de Coufontaine : Maria Becker, Georges de Coufontaine : Hans Reinhard Müller, Papst Pius : Kurt Stieler, Toussaint Turelure : Gert Brüdern, Pharrer Badilon : Willy Rössner

[?], Frankfurter Allgemeine , le 29 mars 1954, [?]. [?], Hamburger Anzeiger ; le 29 mars 1954, [?]. [?], Morgenpost , le 27 mars 1954, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , [?], [?]. [?], St. Gallen Tagblatt , le 27 avril 1954, [?]. Brock-Sulzer, Elisabeth, [?], Die Tat , le 6 juillet 1954, [?]. Preiffer-Belli, Erich, [?], Die Welt , le 27 mars 1954, [?]. [?], Die Zeit , le 1er avril 1954, [?]. reprises (Stadttheater Sarrebruck), 1950 (Théâtre universitaire à Cologne), 1951 (Zimmertheater à Aix-la-Chapelle), le 1er octobre 1953 (Städtisches Theater Trier), 1956 (Stadttheater Rheydt), 1956 (Städtische Bühnen Fribourg), le 14 avril 1957 (Münster), 1960

Kammerspiele der Städtischen Bühnen Freiburg i. Br. Date de représentation : le 14 avril 1957, mise en scène : Günter Sauer, décors : Renate Riess

346 Der Papst Pius : Lothar Bühring, Der Pfarrer Badilon : Heinz Suhr, Der Graf von Coûfontaine : Josef Vandegen, Der Baron Toussaint Turelure : Wolfgang Molander, Sygne de Coûfontaine : Helga Pulmer

Giessler, Rupert, [?], Badische Zeitung , le 16 avril 1957, [?].

Städtische Bühnen Münster i. W. (Münster) date de représentation : le 30 novembre 1958, mise en scène : Gert Otmar Leutner, décors : Carl Wilhelm Vogel

Der Papst Pius : Otto Ernst Lundt, Pfarrer Badilon : Anton Duschek, Graf Ulysse von Goûntaine und Dormant, Turelure, Präfekt : Hans Hais, Sygne de Coûfontaine : Rena Liebenow

Gerstinger, Heinz, [?], Augsburger Allgemeine , le 9 octobre 1963, [?]. Gruna, Klaus, [?], Westfälische Nachrichten , le 2 décembre 1958, [?]. reprise (Schlosstheater à Celle), 1958

Städtische Bühnen Augsburg (Augsburg) date de représentation : le 10 octobre 1963, mise en scène : Heinz Gerstinger, décors : Heinz Gerhard Zilcher

Der Papst Pius : Jörg Schleicher, Der Pfarrer Badilon : Alfred Mendler, Der Graf von Coûntaine : Sepp Wäsche, Der Baron Toussaint Turelure : Klaus Bauer, Sygne de Coûfontaine : Anke Tegtmeyer

Hepp, Fred, [?], Augsburger Allgemeine , le 11 octobre 1963, [?].

Zweites Deutsches Fernsehen (Hambourg) date de représentation : le 26 avril 1964, mise en scène : Théodor Haerten, décors : Marlene Bode

Papst Pius VII : Hans Reitz, Pharrer Badilon : Siegfried Lorisch, Georges de Coûfontaine und Dormont : Arthur Burdan, Graf Turelure : Cay Calow, Sygne de Coûfontaine : Hildegard Franzmann

[?], Allgemeine Zeitung , le 28 avril 1964, [?]. [?], Kieler Nachrichten , le 28 avril 1964, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 28 avril 1964, [?]. [?], Stuttgarter Nachrichten , le 28 avril 1964, [?].

Laganten-Bühne de Berlin date de représentation : le 21 février 1964 reprise (Kammerspiele Oberhausen), le 12 avril 1964

347 (Mayance) 975 date de représentation : le 14 juin 1964 (Dortmund) date de représentation : le 19 mars 1965, mise en scène : Mertz

Bühnen Der Stadt Köln date de représentation : le 29 mars 1966, mise en scène : Jean Launay, décors et costumes : Max Fritzsche

Sygne de Coûfontaine : Renate Zillessen, Graf Ulysse Agenor Georges de Coûfontaine und Dormant : Peter Lieck, Baron, später Graf Toussaint Turelure Präfekt des Marne – späer des Seine-Distrikts : Traugott Buhre, Papst Pius : Alois Garg, Pfarrer Badilon : Georg Peter-Pilz, Der König von Frankreich : Heinz von Cleve

[?], Bonner Rundschau , le 25 février 1966, [?]. [?], Deutsche Tagespost , le 2 mai 1966, [?]. Schulze-Vellinghausen, Albert, [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 29 mars 1966, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 25 février 1966, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 6 mai 1966, [?]. [?], Saarbrücker landeszeitung , le 2 mai 1966, [?]. [?], Trierischer Volksfreund , le 1er mai 1966, [?].

Tournée « Médicus » Date de la tournée : 1967

Theater der Städt de Coblenz date de représentation : 1969

Austriche Théâtre Insel in der Komödie (Nouveau Théâtre de Vienne ) date de représentation : 1937

Akademie Theater (Vienne) 976 date de représentation : 1960

Vereinigte Bühnen de Gratz date de représentation : octobre 1968, mise en scène : Olaf Tschierschke

[?], Kronenzeitung , le 15 octobre 1968, [?]. [?], Obersteirische Volkszeitung , le 26 octobre 1968, [?]. [?], Obersteirische Zeitung , le 29 octobre 1968, [?]. [?], Südost-Tagespost , [?]. [?], Wahrheit , le 4 octobre 1968, [?]. [?], Neue Zeit , le 4 octobre 1968, [?].

975 Par la Compagnie du Vieux-Colombier. 976 Tournée du Vieux Colombier.

348

Innsbrucker Erstauffuhrung, Tiroler Landestheater Innsbruck date de représentation : mars 1975, traduction : E. M. Landau, mise en scène : Oswald Fuchs

[?], Die Furche , le 29 mars 1975, [?]. [?], Neue Tiroler Zeitung , le 18 mars 1975, [?]. [?], Tiroler Tageszeitung , le 17 mars 1975, [?]. [?], Wiener Zeitung , le 22 mars 1975, [?].

Belgique (Bruxelles) 977 date de lecture : le 17 février 1912

? Junia Jetty, Léopold Rosy, Arin, Bruyninckx, Franz Dewever

L.R. [Léopold Rosy], A travers les journaux et les revues, Le Thyrse , le 5 juillet 1912, p. 439. [Non-signé], Notes, NRF, 4 e année, n° 40, le 1 er avril 1912, p. 729. [Non-signé], Notre deuxième samedi, Le Thyrse , le 5 mars 1912, p. 268.

Théâtre du Parc ? date de représentation : 1923

? Eve Francis

Palais des Beaux-Arts (Bruxelles) 978 date de représentation : le 21 décembre 1933

? Ève Francis, Silvio de Pedrelli, Marloz, Balpêtré

Wolff-Fonson, Charles, [?], Le Figaro , le 22 décembre 1933, [?].

(Palais des Beaux-Arts , Bruxelles), reprise, v. Théâtre National du Palais de Chaillot, 1947 date de représentation : le 21 janvier 1948 979

L’Atelier du Théâtre de l’Alliance (Bruxelles) date de représentation : octobre 1964 980 , mise en scène : Maurice Sévenant

977 Il s’agit de la lecture à plusieurs voix. Organisée dans les locaux de la Fédération postscolaire, ensuite aussi à Liège. Un résumé d’une présentation qui précède la lecture se trouve dans Le Thyrse , le 5 mars 1912, p. 268. 978 En présence du roi Albert Ier et de l’ambassadeur à Bruxelles Paul Claudel. 979 6 représentations, le 21 janvier et ensuite du 13 au 17 février. 980 Du 17 au 23 octobre.

349 - H., A l’Atelier du Théâtre National « L’Otage », Dernière heure , les 20/21 octobre 1963 (p. 87). L. V., Au Théâtre de l’Allience L’Otage de Paul Claudel, Le Soir (belge), le 25 novembre 1962 (p. 34).

Gymnase (Liège) date de représentation : février 1965, mise en scène : Paul Libon

(Palais des Beaux-Arts, Bruxelles), reprise, v. msc. J.-M. Serreau, Comédie Française, Paris, 1968 date de représentation : le 20 novembre 1968

Alter, André, [?], Témoignage chrétien , 1968, [?]. M.O., « L’Otage » par la Comédie-Française, La Libre Belgique , le 22 novembre 1968 (p. 67). Paris, André, La Comédie-Française présente « L’Otage », de Paul Claudel. Admirable Christine Fersen..., Le Soir , le 22 novembre 1968 (p. 65). [Non-signé], Aux Beaux-Arts, le 20 novembre « L’Otage » par la Comédie-Française. Pour le 100 e anniversaire de Claudel, La Libre Belgique , le 16 novembre 1968 (p. 63).

(Atelier Théâtral de Louvain, Louvain-la-Neuve), reprise, v. Guy Rétoré, Théâtre de l’Est Parisien, 1977 date de représentation : le 24 mars 1977 981

Drossart, André, « L’Otage » de Claudel à Blocry, requiem pour un feu régime, Le Soir , le 26 mars 1977 (p. 73). Honorez, Luc, Le T.E.P. à Louvain-la-Neuve L’Otage : Claudel, la Révolution et les politiciens carriéristes, Le Soir , les 20/21 février 1977 (p. 71). J.C., Le Théâtre de l’Est Parisien à Louvain-la-Neuve L’Otage, La Libre Belgique , le 28 mars 1977 (p. 75-76). M. Ef., A Louvain-la-Neuve du 24 au 30 mars « L’Otage », par le Théâtre de l’Est Parisien, La Libre Belgique , le 21 mars 1977 (p. 67). [Non-signé], « L’otage » à L’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve, Le Soir , le 24 mars 1977 (p. 69).

Théâtre de l’Ancre Charleroi date de représentation : janvier 1979, mise en scène : Robert Delieu

Canada (Montréal) 982 date de représentation : 1929

981 Avant le Festival d’Avignon le T.E.P. invité par l’Atelier d’Armand Delcampe donne six représentations de cette pièce à la Ferme de Blocry. 982 Présenté par les comédiens français engagés par la Comédie des Champs-Elysées. La répétition générale en présence de l’auteur, ambassadeur à Washington.

350 ? Mlles Sicard, Lambert, Mme et Mlle Schmidt, MM. Ferny, Maupré, Richard Jacques et Fresnac CBC Radio (Vancouver) date de diffusion : 1968, en anglais

Radio-Canada date de diffusion : novembre 1971

Théâtre du Nouveau Monde (Montréal) date de représentation : novembre 1972, mise en scène : Jean-Louis Roux

Espagne Théâtre Roméo (Barcelone) 983 date de représentation : le 10 novembre 1959

L’Otage (The Hostage)

Phoenix Théâtre (New York) 984 date de représentation : le 26 octobre 1959

Sygne : Hélène Sauvaneix, Turelure :

Hart, Howard, [?], The Village Voice , le 4 novembre 1959, [?]. [?], Monitoring Telegraph , le 28 octobre 1959, [?]. [?], New York Times , le 28 octobre 1959, [?]. [?], New York World , le 27 octobre 1959, [?]. [?], Variety , le 4 novembre 1959, [?]. reprises (Lisner Auditorium, Washington) date de représentation : le 28 octobre 1959 (McArthur Théâtre, Princeton) date de représentation : le 29 octobre 1959

France Comédie-Française (Paris) 985 date de lecture : 1911

Théâtre des Poètes (Paris) date de lecture : septembre 1912

983 Joué par la troupe du Vieux-Colombier. 984 Tournée de la compagnie Rigault, Roger Dornès et la troupe du Vieux Colombier, spectacle ensuite repris dans le même théâtre le 2 novembre 1959. 985 La pièce n’est pas acceptée par le théâtre.

351

Bidou, Henri, [?], Journal des Débats , le 9 septembre 1912, [?]. Théâtre d’Astrée (Paris) date de lecture : le 16 décembre 1912

Lecteurs : Alice Tissot, Carlos Larronde, Xavier Lambert, Saint-Bris, Olivier Hourcade

Salle Malakoff, Théâtre de L’Œuvre (Paris) 986 date de représentation : le 6 juin 1914, mise en scène : Lugné-Poë, décors : Jean Variot

Sygne de Coufontaine : Ève Francis, Le Vicomte Georges de Coufontaine : Max Barbier, Le Pape Pie : José Savoy, Toussaint Turelure : Jean Froment, Le Curé Badilon : Aurélien Lugné-Poë

Delluc, L., [?], Comoedia , le 20 juin 1914, [?]. Fresnois, André du, [?], Revue critique , le 25 juin 1914, [?]. Loloy, Louis, [?], Grande Revue , le 25 juin 1914, [?]. reprises (Théâtre de l’Odéon, Paris) date de représentation : le 18 juin 1914 987 (Théâtre Antoine, Paris), avec nouvelle distribition date de représentation : le 11 décembre 1916 988

Sygne de Coufontaine : Ève Francis, Georges de Coufontaine : Jean Hervé, Le Pape Pie : José Savoy, Le Baron Turelure : Arquillière, Le Curé Badillon : Janvier

(Théâtre de l’Oeuvre, Paris) date de représentation : le 28 avril 1923 989

Sygne de Coufontaine : Ève Francis, Georges de Coufontaine : Roger Weber, Le Pape Pie : Allain-Dhurtal, Le Baron Turelure : Jean Froment, Le Curé de Badilon : Lugné-Poë

Beaunier, André, [?], L’Écho de Paris , le 30 avril 1923, [?]. Boissy, Gabriel, [?], Comœdia , le 30 avril 1923, [?]. Lugné-Poë, Aurélien, A l’Œuvre, « L’Otage » de Paul Claudel, L’Éclair , le 1er juin 1923, [?]. Sée, Edmond, [?], L’Œuvre , le 29 avril 1923, [?].

(Montpellier) 990 date de représentation : juillet 1926

986 Claudel adresse aussi une lettre au rédacteur en chef M. G. Pawlowski (voir Comœdia , le 9 juin 1914). 987 Repris les 19 et 20 juin. 988 Il s’agit d‘une série de 8 représentations du 11 au 17 décembre. 989 Il s’agit de la date de répétition générale. 990 Spectacle monté par les amateurs.

352

Sygne : Mlle Torelli - H. G. B., Informations, Nouvelles littéraires , le 17 juillet 1926 (p. 3).

Théâtre de l’Odéon (Paris) date de représentation : le 29 mars 1928 991 , mise en scène : Firmin Gémier, Paul Abram

Sygne de Coufontaine : Ève Francis, Georges de Coûfontaine : Paul Œttly, Le Pape Pie : Dumesnil, Le Baron Turelure : Balpêtré, Le Curé Badilon : Samson Fainsilber

Berton, Claude, [?], Les Nouvelles littéraires , le 28 avril 1928, [?]. Brisson, Pierre, L’Odéon enfin..., Le Temps , le 9 avril 1928 (p. 25). Daix, Didier, Mise en scène de Washington, L’Intransigeant , le 25 mars 1928 (p. 11). D’Houville, Gérard, Théâtre de l’Odéon, L’Otage, pièce en trois actes de M. Paul Claudel, Le Figaro , le 29 avril 1928 (p. 27-29). Grégorio, Paul, « L’Otage » à l’Odéon, Comoedia , le 1er avril 1928 (p. 21). F.-N. (Franc Nohain), L’Otage, pièces en trois actes de Paul Claudel (Odéon), Echo de Paris , le 6 avril 1928 (p. 23-24). Francis, Ève, Une grande reprise à l’Odéon. « L’Otage » de M. Paul Claudel », Paris-Soir , le 30 mars 1928 (p. 15). Laban, Maurice, A l’Odéon, L’Otage, pièce en 3 actes de M. Paul Claudel (reprise), Volonté , le 31 mars 1928 (p. 19). - P. G., « L’Otage » à l’Odéon, Comoedia , le 31 mars 1928 (p. 17). [Non-signé], Théâtre de l’Odéon. L’Otage. Pièce en 3 actes, de Paul Claudel, Soir , le 30 mars 1928 (p. 13).

Studio des Champs-Elysées (Paris) date de représentation : le 19 mai 1930 992 , mise en scène : Ève Francis, décors : André Boll

Sygne de Coufontaine : Ève Francis, Georges de Coufontaine : Silvio de Pedrelli, Le Pape Pie : Allain-Dhurtal, Le Baron Turelure : Philippe Richard, Le Curé Badilon : Georges Vitray

Brisson, Pierre, [?], Le Temps , le 2 juin 1930 ; le 9 juin 1930, [?]. Grégorio, Paul, [?], Comœdia , le 30 mai 1930, [?]. Rouveyre, André, [?], Mercure de France , le 1er juillet 1930 ; le 15 juillet 1930, [?]. Sée, Edmond, [?], L’Œuvre , le 21 mai 1930, [?]. Strowski, Fortunat, [?], Paris-Midi , le 25 mai 1930, [?]. Torrès, Henry, [?], Gringoire , le 13 juin 1930, [?]. reprise (Palais de la Méditerranée à Nice) 993 date de représentation : le 21 janvier 1931, mise en scène : Ève Francis

991 Date de la répétition générale, joué jusqu’au septembre. 992 Date de la répétition générale. La première représentation se déroule le 29 mai 1930. 993 Dans la distribution du Théâtre des Arts de Paris.

353 Sygne de Coufontaine : Ève Francis, Georges de Coufontaine : Silvio de Pedrelli, Le Pape Pie : Castelain, Le Baron Turelure : Froment, Le Curé Badilon : Allain-Dhurtal reprise (Théâtre des Arts, Paris) date de représentation : le 27 mars 1931 994

Comédie-Française (Paris) date de représentation : le 29 octobre 1934 995 , mise en scène : Goerges Le Roy, décors : Denis Charlemègne, costumes : Charles Bétout

Sygne de Coufontaine : Marie Ventura, Georges de Coufontaine : Jean Hervé, Le Pape Pie : Georges le Roy, Le Baron Toussain Turelure : Fernand Ledoux, Le Curé Badillon : André Bacqué, Un maréchal : Antoine Balpêtré, Le Roi de France : Georges Lafon, Lafleur : Jean Le Goff

Achard, Paul, [?], L’Ami du Peuple , le 30 octobre 1934, [?]. Bellessort, André, [?], Le Journal des Débats , le 5 novembre 1934, [?]. Bidou, Henry, [?], Le Temps , le 5 novembre 1934, [?]. Boissy, Gabriel, [?], Comœdia , le 30 octobre 1934, [?]. Bourdet, Édouard, [?], Marianne , le 14 novembre 1934, [?]. Brasillach, Robert, [?], 1934 , le 7 novembre 1934, [?]. Brisson, Pierre, [?], « Comédie-Française : L’Otage, de Paul Claudel », Le Figaro , le 5 novembre 1934, [?]. Catulle-Mendès, Jane, La semaine dramatique, Le Ménestrel , le 9 novembre 1934 (p. 63- 64). Claudel, Paul, « L’Otage » à la Comédie-Française, L’Excelsior , le 27 octobre 1934, [?]. Claudel, Paul, A propos de « L’Otage », Le Figaro , le 29 octobre 1934, [?]. Descaves, Lucien, [?], L’Intransigeant , le 31 octobre 1934, [?]. Dubech, Lucien, « L’Otage » à la Comédie-Française, Candide , le 8 septembre 1934 (p. 37-38). Colette, Excelsior , le 30 octobre 1934, [?]. Crémieux, Benjamin, [?], Je suis partout , le 3 novembre 1934, [?]. Du Gard, Maurice Martin, [?], « L’Otage, drame en trois actes, de Paul Claudel, à la Comédie-Française », Les Nouvelles littéraires , le 10 novembre 1934, [?]. Kemp, Robert, [?], La Liberté , le 31 octobre 1934, [?]. Le Cardonnel, Georges, [?], Le Journal , le 30 octobre 1934, [?]. Sorel, Georges, L’ « Otage » de Paul Claudel analysé par Georges Sorel, L’Ordre , le 30 octobre 1934 (p. 39-40). Treich, Léon, [?], L’Ordre , le 31 octobre 1934, [?]. [Non-signé], La mise en scène de « L’Otage » est modifiée au dernier acte, Comoedia , le 6 novembre 1934 (p. 41). reprises (Comédie-Française, Paris) date de représentation : 1936 996

994 Date de la répétition générale. 995 Ibid.

354

Sygne de Coufontaine : Marie Ventura, Georges de Coufontaine : Jean Hervé, Le Pape Pie : Georges Le Roy, Le Baron Turelure : Balpêtré, Le Curé Badilon : André Bacqué, Le Roi de France : Dorival, Un Maréchal : Le Marchand

(Comédie-Française, Paris) date de représentation : le 7 février 1938

Sygne de Coufontaine : Marie Ventura, Georges de Coufontaine : Jean Hervé, Le Pape Pie : Georges le Roy, Le Baron Toussain Turelure : Fernand Ledoux, Le curé Badilon : André Bacqué

Chaine nationale date de diffusion : avril 1947, mise en ondes : Suzanne Després

? Ève Francis, Jean Wall, Roger Weber, Jacques Baumer

Théâtre National du Palais de Chaillot (Paris) 997 date de représentation : 1947, mise en scène : Pierre Aldebert, décors : Émile Calvez, costumes : André Pontet

Sygne de Coufontaine : Geneviève Auger, France Noëlle, Georges de Coufontaine : Hubert Buthion, Le Pape Pie : Jean Couturier, Jean Marvil, Baron Turelure : Gautier-Sylla, Balpêtré, Georges Cusin, Pierre Lioté, Le Curé Badilon : Marcel Millet, Jean Cabanis, L’Estaffette : Norman, Anria reprises (v. Palais des Beaux-Arts, Bruxelles, 1948) (Palais de Chaillot, Paris) 998 date de représentation : le 12 novembre 1948 date de représentation : le 7 janvier 1949 999 (Casino des Fleurs, Vichy) date de représentation : le 11 juillet 1949 (Genève) date de représentation : le 12 décembre 1949 1000 (Lausanne) date de représentation : 1950 (Fribourg) date de représentation : 1950

Centre dramatique de l’Est 1001

996 Spectacle avec la distribution remaniée. 997 Ensuite présenté en Allemagne occupée (onze représentations), et à Gand en Belgique (une représentation). 998 Dans le cadre du Théâtre Sarah-Bernhardt le spectacle est repris les 19 et 26 novembre. 999 Repris les 31 mars, 18 avril, 29 mai et 18 décembre. 1000 Repris le 13 décembre.

355 date de représentation : 1949, mise en scène : François Darbon, décors et costumes : Coula Roppa

Sygne de Coufontaine : Jeanne Cerval, Georges de Coufontaine : Vandéric, Le Pape Pie : André Clavé, Le Baron Turelure : François Darbon, Le Curé Badilon : Charles Lavialle

Ambriere, Franci, Claudel visionnaire de l’histoire, Opéra , 16 mars 1949, [?]. reprises (Théâtre Montparnasse-Gaston Baty) date de représentation : juin 1950 (Chaine nationale) 1002 date de diffusion : le 14 novembre 1950 réalisation : Jean-Jacques Vierne

? Jean Hervé, Jean Marchat, Jean Vilar, Louis Arbessier, Sivia Monfort, Claude Aburbé, Paul Morin, Monireh, Georges Maljournal, Michel Chagnoux

Comédie-Française (Paris) date de représentation : le 20 mai 1950 1003 , mise en scène : Henri Rolland, musique : André Jolivet

Sygne de Coufontaine : Claude Nollier, Le vicomte Ulysse Agénor, Georges de Coufontaine et Dormant : Henri Rollan, Le Pape Pie : Jean Yonnel, Le Baron, puis Toussaint Turelure, préfet de la Marne puis de la Seine : Jean Davy, Le Curé Badilon : Georges Vitray, Lafleur : Roger Boyenval

[?], Revue Avant Scène , n° 356, [?].

Centre dramatique de l’Est (Colmar) ? Date de la realisation : 1950 ?

Centre dramatique de l’Ouest (Rennes) Date de la realisation : 1955 (1956 ?), mise en scène : Hubert Gignoux, décors et costumes : Serge Creuz

Sygne de Coûfontaine : Denise Bonal, Georges de Coûfontaine : Paul Descombes, Le Pape Pie : André Bugnard, Toussaint Turelure : Hubert Gignoux, Le Curé Badilon : Jean Schmitt, M. Lafleur : Guy Letort

[?], Le Courrier de l’ouest , le 7 mai 1956, [?]. [?], Echo de l’Ouest , le 19 mai 1956, [?].

1001 Ce centre fut inauguré le 11 janvier 1947, avec pour siège social le théâtre municipal de Colmar. 1002 Cette pièce a été mise en ondes sur toutes les antennes françaises depuis 1945. C’est même la Radio belge et Radio suisse qui ont donné plusieurs diffusions. 1003 Date de la répétition générale, 30 représentations. La première représentation est donnée le 23 mai.

356 [?], L’indépendant de château Goutier , le 5 mai 1956, [?]. [?], Presse Cherbourgeoise , le 29 mai 1956, [?]. reprise (Salle des Beaux-Arts, Caen) date de représentation : le 27 avril 1956

Théâtre du Vieux-Colombier (Paris) date de représentation : le 10 décembre1958 1004 , mise en scène : Roger Dornès, décors et costumes : Roger Harth

Sygne de Coûfontaine : Hélène Sauvaneix, Georges de Coûfontaine : Jacques Berthier (Jacques François), Le Pape Pie : Pierre Risch, Toussaint Turelure : Jean Le Poulain, Le Curé Badilon : Michel Gudin

Alter, A., [?], Témoignage chrétien , le 2 janvier 1959, [?]. Berger, Pierre, « L’Otage » servi par Jean-Louis Barrault, Paris Journal , le 13 décembre 1958 (p. 9). Capron, M., [?], Combat , le 13 décembre 1958, [?]. Dumoulin, J.-C., « L’Otage » au Théâtre du Vieux-Colombier, Libération, le 23 décembre 1958 (p.23). Gautier, Jean-Jacques, Au Vieux Colombier « L’Otage » de Paul Claudel, Figaro , le 12 décembre 1958 (p. 5). Gordeaux, Paul, Au Vieux-Colombier « L’Otage » Trois actes de Paul Claudel Un drame ecrit par un Balzac poète, France-Soir , le 12 décembre 1958 (p. 6). J. T., « L’Otage » quitte le Français pour le Vieux-Colombier, Libération , le 9 décembre 1958 (p. 2-3). Kemp, Robert, Au Vieux-Colombier « L’Otage » de Paul Claudel, Le Monde , le12 décembre 1958 (p. 7-8). Lemarchand, Jacques, L’Otage de Claudel au Vieux-Colombier, Figaro Littéraire , le 20 décembre 1958 (p. 18 -21). Lerminier, Georges, Au Vieux-Colombier L’Otage de Paul Claudel, Parisien libéré , le 13 décembre 1958 (p. 10-11). Marcabru, Pierre, L’Otage. Interprétation académique, Arts , le 17 décembre 1958 (p. 12). Marcel, Gabriel, L’Otage, un spectacle qui mérite d’être vu par tous ceux qui ont gardé le sens de la tragédie, Nouvelles Littéraires , le 25 décembre 1958 (p. 26-27). Massat, R., [?], Comoedia , 1958 (Noël), [?]. Mazars, Pierre, L’Otage de Claudel connaît la « centième »... tout comme un autre ! Figaro littéraire , le 14 mars 1959 (p. 29-30). Olivier, Claude, Pourquoi faut-il que..., Lettres Françaises , le 25 décembre 1958 (p. 25). Sabran, Béatrice, L’Otage ou les fidèlités devenuus folles, Aspects de la France , le 19 décembre 1958 (p. 16-17).

1004 Dans la saison 1959/1960 le théâtre organise une tournée internationale en Amérique et en Europe organisée par Jean de Rigault au Canada (Montréal, Ottawa, Québec), aux États-Unis (New York, Washington, Boston), en Espagne et au Portugal (Lisbonne, Barcelone), en Suisse (Jœuf, Zurich), Belgique (Bruges, Namur, Charleroi, Bruxelles, Anvers), Danemark (Copenhague), Allemagne (Cologne), Italie (Rome – une représentation officielle montée à Saint-Louis-des- Français, Florence, Gênes, Turin, Milan), et en Grèce (Athènes).

357 Vigneron, Jean, L’Otage de Claudel au Vieux-Colombier, La Croix , le 18 décembre 1958 (p. 14). [Non-signé], Au théâtre du Vieux-Colombier L’Otage de Paul Claudel, L’Humanité , le 18 décembre 1958 (p. 13). [Non-signé], La 100 e de « L’Otage », Parisien Liberé , le 13 mars 1959 (p. 31). [Non-signé], Pour ne pas quitter Claudel, ..., Nouveaux Jours , le 26 décembre 1958, p. 12 (p. 28). [Non-signé], Roger Dornès monte..., Figaro Littéraire , le 6 décembre 1958 (p. 1). [Non-signé], Le Vieux-Colombier reprend « L’Otage » de Paul Claudel, Parisien libéré , le 11 décembre 1958 (p. 4). [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 25 novembre 1959, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 18 novembre 1959, [?]. [?], Tages-Anzeiger , le 20 novembre 1959, [?]. [?], Tagesspiegel , [?]. [?], Die Tat , le 21 novembre 1959, [?].

C.R.A.D. (Afrique du Nord) date de la tournée : janvier-février 1959, mise en scène : Jean Davy

(Cour de l’Hôtel de Ville, Festival de Bellac) date de représentation : le 29 juin 1960, mise en scène : Jean Le Poulain

? Renée Devillers, Georges Chamarat, Dancel Lecourtois, Jean Le Poulain, Hélène Sauvaneix

Compagnie Huberty (Bordeaux) 1005 date de représentation : 1960 reprises (Colmar) date de représentation : 1961 (Hagueneau) date de représentation : le 11 octobre 1961

Tréteaux de France Date de la tournée : juin 1962 1006 , mise en scène : Jean Davy, décors et costumes : Odile Mallet

Théâtre du Vieux-Colombier (Paris), v. Le pain dur , Le Père humulié 1007 date de la représentation : le 27 novembre 1962, mise en scène : Bernard Jenny, décors et costumes : Pierre Simonini, musique : José Berghmans

1005 Ensuite le spectacle a été joué à Angoulême et à Poitiers. 1006 Tournée organisée dans les villes Angoulême (les 11 et 13 juin), Brantôme (le 15 juin), Riberac (le 16 juin), Périgueux (le 17 juin), Bergerac (le 18 juin), La Réole (le 19 juin), Duras (le 20 juin), Lalinde (le 21 juin, Libourne (le 22 juin), et Lormont (le 23 juin). 1007 La trilogie est présentée dans son ensemble pour la première fois, en trois soirées consécutives. Ensuite cette compagnie a donné dix représentations en octobre et novembre en France.

358

Sygne : Hélène Sauvaneix, Georges de Coufontaine : Renaud Mary, Le Pape Pie : Lucien Nat, Le Baron Toussain Turelure : Jean Le Poulain, L’abbé Badilon : Alexandre Rignault

A. A., En attendant « Le père humilié », Témoignage Chrétien , le 7 décembre 1962, p. 15 (p. 20). Alter, André, La marche vers la joie. Dans la trilogie de Claudel, le Père humilié est un véritable chant d’espérance. Témoignage Chrétien , 4.1.63, p. 33-34 de la cote Baignères, Claude, Au Vieux-Colombier « Le Pain dur » de Paul Claudel, Figaro , le 1er décembre 1962 (p. 11). Cartier, Jacqueline, Au Vieux-Colombier « Le Pain dur de Paul Claudel », France Soir , le 1er décembre 1962 (p. 11). Cartier, Jacques, « L’Otage » de Paul Claudel, au Vieux-Colombier, France-Soir , le 29 novembre 1962 (p. 5). C. C., Le trilogie de Claudel, Nouvelles Littéraires , le 29 novembre 1962 (p. 7). D.D ., « L’Otage » de Paul Claudel, Figaro , le 8 décembre 1962 (p. 20) Gautier, Jean-Jacques, « Le Père humilié » de Paul Claudel, Figaro , le 20 décembre 1962 (p. 28). G. M., Les grands de ce monde. La trilogie claudélienne, Nouvelles Littéraires , le 10 janvier 1963 (p. 35-36). J. L., Paris va découvrir un jeune premier, Daniel Sarky, 19 ans, L’Aurore , le 5 décembre 1962, (p. 17) - J. L., Le Père humilié de Paul Claudel au théâtre du Vieux-Colombier, Figaro Littéraire , le 29 décembre 1962 (p. 30). J. V., La Trilogie de Claudel au Vieux-Colombier, La Croix , le 12 décembre 1962 (p. 23) Kanters, Robert, Claudel un peu humilié, L’Express , le 6 décembre 1962 (p.18). Leclerc, Guy, Trilogie Claudel au Vieux-Colombier. L’Otage – Le pain dur le Père humilié (Histoire de deux familles en trois épisodes), L’Humanité , le 11 décembre 1962 (p. 21) Lerminier, Georges, Au Vieux-Colombier « L’otage » et « Le Pain dur » de Paul Claudel, Parisien Libéré , le 2 décembre 1962 (p. 14). Lerminier, Georges, Au Vieux-Colombier Le Père humilié de Paul Claudel, Parisien Libéré, le 26 décembre 1962 (p. 29). Marcabru, Pierre, Une admirable façon de bousculer les hommes et l’histoire, Paris Presse l’Intransigeant , le 2 décembre 1962, (p. 13). Morelle, Paul, Petite suite claudélienne..., Libération , le 1er décembre 1962 (p.12). Paget, Jean, Au théatre du Vieux-Colombier « L’Otage » de Paul Claudel. Une « geste » symbolique, Combat , le 29 novembre 1962 (p. 6). Paget, Jean, « Le pain dur » de Paul Claudel du Grand Théâtre, Combat , le 30 novembre 1962 (p. 9). Paget, Jean, « Le père humilié » de Paul Claudel entre le monolithe et le mélodrame, Combat , le 20 décembre 1962 (p. 26). Poirot-Delpech, B., « L’Otage » et « Le Pain dur » de Paul Claudel, Le Monde , le 30 novembre 1962, p. 20 (p. 8). Poirot-Delpech, B., « Le Père humilié » de Paul Claudel, Le Monde , le 20 décembre 1962, (p. 27). Rabine, Henry, L’Otage, La Croix , le 12 décembre 1962 (p. 23-24) Rabine, Henry, Le Père Humilié au Vieux-Colombier, La Croix , le 30 décembre 1962 (p. 31-32).

359 Ransan, André, Au Vieux-Colombier La Trilogie claudélienne, L’Aurore , le 3 décembre 1962 (p. 16). Verdot, Guy, La « trilogie » de Claudel. Une seule pièce en dix actes au Vieux-Colombier, Figaro Littéraire , le 24 novembre 1962 (p. 3-4) Vigneron, Jean, Le Pain dur, La Croix , le 12 décembre 1962 (p. 22). [Non-signé], Le dernier volet de la trilogie claudelienne au théâtre du Vieux-Colombier (Générale demain du « Père humilié », Combat , le 17 décembre 1962 (p. 25). [Non-signé], Hanin (« le gorille ») héros de Claudel (au Vieux-Colombier), L’Aurore , le 26 novembre 1962 (p. 5). reprises (Théâtre du Vieux-Colombier, Paris) date de représentation : mai 1964 1008 (Tournée du Théâtre du Vieux-Colombier) Date de la tournée : avril 1966 1009

Sygne : Hélène Sauvaneix

(Théâtre du Vieux-Colombier, Paris) date de représentation : juin 1966, décors : Claude Perset

Sygne de Coufontaine : Hélène Sauvaneix, Georges de Coufontaines : Robert Party, Le Pape Pie : Pierre Nègre, Turelure : Paul Ecoffard, Le Curé Badillon : Jean-Simon Prévost

Boillon, Colette, Au Vieux-Colombier « L’Otage », de Claudel, La Croix , le 11 juin 1966 (p. 83). Dutourd, Jean, Vieux-Colombier « L’Otage » (De l’eau-de-vie bouillante), Paris Presse , le 11 juin 1966 (p. 81).

(Théâtre Municipal, La Rochelle) date de représentation : le 21 novembre 1966

Festival d’Annecy (Annecy)1010 date de représentation : le 19 juillet 1963, mise en scène : Henry Doublier, Serge Bouillon

? Inès Lazaris, Fernand Ledoux, Jean Martinelli, Alain Durthal reprise (Festival Internacional d’Art sacré, Annecy) date de représentation : janvier 1968

France-Inter 1011

1008 Spectacle présenté à Bourges (le 23 mai), à Mâcon (le 24 mai) et à Saint-Etienne (le 25 mai). 1009 Tournée en Allemagne, Roumanie et Yougoslavie. 1010 Présenté par la Compagnie de Henry Doublier (les 19 et 21 juillet), dans le cadre du Festival de Théâtre Sacré. 1011 Spectacle fut retransmis par la radio belge.

360 date de diffusion : le 10 septembre 1964, mise en onde : Jacques Reynier

? Geneviève Casile, Henri Rollan, P.-E. Deiber, J.-L. Jemma

Tréteaux de France (Sarcelles) date de représentation : le 18 octobre 1965 1012 , mise en scène : Jean Davy, décors et costumes : Odile Mallet

Sygne de Coufontaine : Ines Nazaris, Georges de Coufontaine : Jean Danet, Toussaint Turlure : Dominique Rozan

(Théâtre Municipal de la Rochelle) date de représentation : le 21 novembre 1966, mise en scène : Bernard Jenny

Théâtre Mouffetard (Paris) 1013 date de représentation : mai 1966, mise en scène : Jacques Picard

Tournée Baret Date de la tournée : octobre-décembre 1966

Théâtre des Rues 1014 date de représentation : mai 1967

A.J., Au Théâtre de l’Alliance « L’otage » de Paul Claudel, Le Soir , le 4 mai 1967 (p. 89).

Comédie-Française (Paris) 1015 date de représentation : le 31 janvier 1968 1016 , mise en scène : Jean-Marie Serreau, décors et costumes : Claude Lemaire, musique : Gilbert Amy

Sygne de Coufontaine : Christine Fersen, Georges de Coufontaine : Jacques Toja, Le Pape Pie : Michel Etcheverry, Baron Toussaint de Turelure : François Chaumette, Le curé Badilon : Jean-Paul Zehnacker, Lafleur : Benjamin Jules-Rosette

Alter, André, « L’Histoire poétiquement réfléchie », Temoignage Chrétien , le 22 février 1968 (p. 51-52). Curtiss, Quinn Thomas, Two Revivals Hail Claudel’s Centenary, New York Herald Tribune , le 22 février 1968 (p. 53). G. M., Près du désastre, Les Nouvelles Littéraires , le 22 février 1967 (p 47-49). Guitton, Jean, L’Otage, Le Figaro , le 2 mars 1968 (p. 57). Boillon, Colette, Jean-Marie Serreau met en scène à la Comédie-Française la trilogie de Paul Claudel, « L’Otage », « Le Pain dur », « Le père Humilié », La Croix , le 21 janvier 1968 (p.9-11).

1012 Présenté dans 21 villes de la région parisienne (octobre-novembre). 1013 Par la Compagnie Arlequin. 1014 Par la Compagnie de l’Alliance. 1015 Nouvelle présentation. La présentation de la pièce à la presse s’est déroulée le 7 février 1968. 1016 Dans l’ensemble avec Le pain dur et Le père humilié .

361 Dumur, Guy (G. D.), « L’Otage » de Paul Claudel, La Gazette de Lausanne , le 17 février 1968 (p. 41-42). Gautier, Jean-Jacques, A la Comédie-Française L’Otage de Paul Claudel, Le Figaro , le 9 février 1968 (p. 27). Guilleminault, Gilbert, A la Comédie-Française « L’Otage » de Paul Claudel, L’Aurore , le 9 février 1968 (p. 29). Leclerc, Guy, Un Claudel brechtien à la Comédie-Fr. « L’Otage », L’Humanité , le 9 février 1968 (p. 23). Leconte, Claude-Henry, « L’Otage » (Claudel en superproduction), Le Nouveau Journal , le 10 février 1968 (p. 33-34). Lemarchand, Jacques, « L’Otage », de Paul Claudel à la Comédie-Française, Le Figaro littéraire , le 12 février 1968 (p. 35- 36). Lorne, Claude, Sur les planches. Théâtre de la Comédie-Française, L’Otage, Rivarol , le 29 février 1968 (p. 55). Megret, Ch., « L’Otage » n’a rein perdu de son extraordinaire pouvoir d’envoûtement, Carrefour , le 14 avril 1968 (p. 39). Olivier, Claudel, « L’Otage » du Français, Les Lettres Françaises , le 14 février 1968 (p. 37). P. J., Public estudiantin pour l’ »Otage » de Claudel, cette nuit, au français, L’Aurore , le 1er février 1968 (p. 13). Poirot-Delpech, B., « L’Otage », de Paul Claudel, Le Monde , le 9 février 1968 (p. 31). Vigneron, Jean, Reprise de L’Otage, La Croix , le 18 février 1968 (p. 45-46). Verdot, G., Paul Claudel, « L’Otage », Journal de Genève , le 2 mars 1968 (p. 59). Zand, Nicole, Entretien avec Jean-Marie Serreau « L’Otage », c’est la longue plainte d’une classe morte », Le Monde , le 3 février 1968 (p. 17-18). [Non-signé], Lanternes magiques à la Comédie-Française pour l’Otage », Le Parisein Libéré , le 3 février 1968 (p. 19). [Non-signé], Un ordinateur pour projeter 1000 images sur les 48 écrans du décor de « L’otage ». La Comédie-Française a repris la pièce de Claudel, France-Soir , le 2 février 1968 (p. 15). [?], La Gazette littéraire , le 17 février 1968, [?]. [?], Die Welt , le 2 avril 1968, [?]. reprises (v. Comédie Française, Belgique) (Emission de la Société des Comédiens-Français) date d’émission : mai 1969, réalisation : Jacques Reynier

[Non-signé], « L’Otage » de Claudel par les Comédiens-Français, Le Parisien , le 14 mai 1969 (p. 93). [?], Inter-Variétés , 1969, [?].

(Festival de Wiltz) 1017 date de représentation : le 4 août 1973, mise en scène : Henri Doubier

1017 Présenté sur la scène de l’amphithéâtre du château fort avec la participation de la Comédie- Française. Il s’agit de la nouvelle mise en scène spécialement conçue pour cette scène.

362 M. (A.), « L’Otage » de Claudel au Festival de Wiltz, Le Soir , le 4 août 1973 (p. 3). M. (A.), « L’Otage », de Paul Claudel, Le Soir , le 8 août 1973 (p. 5).

(Tournée des Tréteaux de France) date de la tournée : octobre 1975 1018 , mise en scène : Jean Davy, décors et costumes : Odile Mallet

Sygne de Coufontaine : Loleh Bellon, Coufontaine : Jean Danet, Turelure : Jean Davy reprise (France 3) date de diffusion : décembre 1976 1019 , réalisation : Guy Lessertisseur

Cotté, Jean, Ma soirée, avec Claudel, France – Soir , le 25 décembre 1976 (p. 15). M.B., Une oeuvre maitresse de Paul Claudel, Le Parisien , le 24 décembre 1976 (p. 11-12). Vigneron, Jean, « L’Otage » de Paul Claudel, La Croix , le 25 décembre 1976 (p. 13). [Non-signé], « L’Otage » La difficulté de pardonner, Le Soir , le 24 décembre 1976 (p. 9).

(Palais des Arts et de la Culture, Brest) date de représentation : le 7 janvier 1977

Théâtre de l’Est Parisien (Festival d’Avignon) date de représentation : le 15 juillet 1977 1020 , mise en scène : Guy Rétoré, décors : Christine Mandouze, Jean-Baptiste Manessier, costumes : Christine Mandouze, musique : Oswald d’Andrea

Synge de Coûfontaine : Sylvie Genry, Georges de Coûfontaine : Maurice Barrier, Pape Pie : André Reybaz, Toussaint Turelure : Gérard Darrieu, Georges Geret (en alternance), Curé Badilon : Claude Evrard, Roi de France : Fernand Guiot

Decaunes, Luc, L’athlete complet de l’art dramatique, TEP – Actualité , janvier 77 (p. 33 - 35). Delarue, Maurice, Le Théâtre français et l’histoire, TEP – Actualité , janvier 1977 (p. 31- 33). Delcampe, Armand, L’Otage de Paul Claudel, TEP – Actualité , janvier 1977 (p. 29 -31). Gautier, Jean-Jacques, L’Otage au T.E.P. Fidélité à Claudel, Le Figaro , le 4 février 1977 (p. 47). Godard, Colette, « L’Otage » , au TEP, Le Monde , le 4 février 1977 (p. 45). Grey, Michel, Guy Retoré veut faire aimer Claudel par son public..., L’Aurore , le 25 janvier 1977 (p. 21-22). Chabanis, Christian, La France-Catholique , le 8 février 1977. Chalais, François, « L’Otage » ... pitié, mon Dieu ! France Soir , le 4 février 1977 (p. 39). Chambrillon, Paul, L’Otage pièce de Claudel, Valeurs Actuelles , le 21 février 1977 (p. 61- 62).

1018 L’Otage figure dans le répertoire depuis treize ans déjà. 1019 Interprété par la troupe des Tréteaux de France, le spectacle était enregistré de la reprise en 1975. 1020 Jusqu’au 20 mars.

363 Jamet, Dominique, Au théâtre de l’Est parisien « L’otage » (le chant de Sygne), L’Aurore , le 4 février 1977 (p. 43). Lerminier, Georges, [?], Le Parisien Libéré , le 11 février 1977 (p. 51). Marcabru, Pierre, Le Point , le 14 février 1977. Masson, Jean-Michel, Au Théâtre de l’Est Parisien « L’Otage » de Claudel, Rouge , Montreuil, 12/13. février 1977 (p. 55). Masson, J.M, Petits propos pour un grand débat, Rouge , le 21 février 1977 (p. 63). M. G., (Matthieu Galey), L’Otage de Paul Claudel Droit sur le mélodrame, Le Quotidien de Paris , le 4 février 1977 (p. 41). Poulet, Jacques, Conflit de droits « L’Otage », de Claudel au T.E.P., L’Humanité , le 25 février 1977 (p. 65). Rabine, Henry, L’Otage, La Croix , le 12 février 1977 (p. 53). R.K., L’Otage, L’Express , le 21 février 1977 (p. 59). Surgers, Anne, Rétoré, jouer Claudel et non l’enseigner, Le Quotidien de Paris , le 26 janvier 1977 (p. 25). Villien, Bruno, [?], Le Nouvel Observateur , le 14 février 1977, [?]. [Non-signé], L’Otage au T.E.P. France-Soir , le 25 janvier 1977 (p. 27). [Non-signé], L’Otage, Valeurs Actuelles , le 14 février 1977 (p. 57). [Non-signé], L’Otage, Valeurs Actuelles , le 24 janvier 1977 (p. 19). [Non-signé], « La Résistible Acension de Toussaint Turelure », Le Figaro , le 25 janvier 1977 (p. 23). [?], France Catholique , le 18 février 1977, [?]. [?], Le Journal du Dimanche , le 6 février 1977, [?]. [?], Le Journal Républicain , le 12 février 1977, [?]. [?], Les Nouvelles Littéraire s, le 10 février et le 27 janvier 1977, [?]. [?], Le Nouvel Observateur , le 14 février 1977, [?]. [?], Le Point , le 14 février 1977, [?]. [?], Quotidien de Médecine , le 10 février 1977, [?]. reprises (Théâtre National de l’Est Parisien) date de représentation : le 25 janvier 1977 1021 (v. Atelier théâtral de Louvain, 1977, Belgique) (Chapelle des Cordeliers, Cour d’Honneur du Palais des Papes,Festival d’Avignon, Avignon) date de représentation : le 15 juillet 1977 1022

Clément, Catheine B., Claudel au Palais des Papes. De méchantes petites histoires de famille, Le Matin , le 3 août 1977 (p. 83). Cournot, Michel, « L’Otage », Tousaint Turlure. Sous les étoiles du midi, Le Monde , le 4 août 1977 (p. 87). Marcabru, Pierre, « L’Otage » par Rétoré, Le Figaro , le 19 juillet 1977 (p. 79). Perros, Christian, « L’Otage » de Claudel au Festival d’Avignon, La Tribune de Genève , le 29 juillet 1977 (p. 81-82). Poulet, Jacques, Au partage des eaux « L’otage » de Paul Claudel, L’Humanité , le 18 juillet 1977 (p. 77-78).

1021 Jusqu’au 20 mars. 1022 T.E.P., présenté même dans le cadre du Festival d’Avignon à partir du 15 juillet, 4 reprises.

364 (Festival de Dignes) 1023 date de représentation : le 22 juillet 1979, mise en scène : Robert Diet

Théâtre de l’Éventail (Théâtre de la Comédie, Reims) 1024 date de représentation : le 21 novembre 1984, mise en scène : Maurice Attias, décors et costumes : Claude Lemaire

Sygne : Laurence Roy, Georges : Jacques Brucher, Turelure : Jean-Baptiste Malartre, Le Pape : Henri Serre, Badillon : Philippe Minyana reprise (Théâtre de l’Athénée) date de représentation : saison 1984/1985

Compangie Christiane Marchewska (Théâtre Grévin, Paris) 1025 date de représentation : le 21 mars 1987, mise en scène : Ewa Lewinson, décors : Mechthild Kalisky et Michel Sprogis, costumes : Mechthild Kalisky

Centre Wallonie-Bruxelles de Paris 1026 date de représentation : le 20 mai 1991, mise en scène : Christian Barbier

Le Pape, Badilon : Christian Barbier, Turelure : Helman Le Pas de Sècheval reprise (Maison Heinrich Heine de la Cité Universitaire) date de représentation : le 27 mai 1991

Théâtre de Gennevilliers (Gennevilliers) 1027 date de représentation : le 17 mars 2001, mise en scène : Bernard Sobel, décors : Lucio Fanti, costumes : Cissou Winling

Sygne de Coûfontaine : Carine Baillod, Le vicomte de Coûfontaine : Gilles Masson, Le Pape Pie : Alain MacMoy, Toussaint Turelure : Carlo Brandt, Nicolas Bouchaud, Le Curé Badilon : Bernard Ferreira

Autrand, Michel, L’Otage à Gennevilliers, Bulletin de la Société Paul Claudel, n° 162, 2001, p. 24-25.

Salle Bernard-Marie Koltès, Théâtre National de Strasbourg (Strasbourg) date de représentation : le 17 avril 2002, reprise de 2002 1028 , mise en scène : Bernard Sobel

1023 Présenté sur le parvis de la Basilique Notre-Dame-du-Bourg. 1024 Réalisé en collaboration du Centre dramatique de Reims et la Compagnie Jean-Claude Drouot. 1025 Par la Compagnie Christiane Marchewska. 1026 Spectacle joué par l’Association des Elèves de l’Ecole Normale Supérieure. 1027 Présenté en alternance avec Le Pain dur . 1028 Présenté jusqu’au 24 août.

365 Grande Bretagne ( The Hostage, The Hostage, a drama ) Scala Theatre de Londres (Londres)? date de représentation : 1913, mise en scène : Édith Craig, décors : Clare Atwood

Sygne : Sybil Thorndike

Pioneer Players, Scala (Londres) date de représentation : le 13 mars 1919, traduction : F. Smith 1029 , mise en scène : Edith Craig,

Sygne : Sybil Thorndike

Bateman, May, [?], French Review , le 1 mai 1919, [?]. [?], New Statesman , [?], XIII, le 5 avril 1919, p. 16-17. [?], Times , [?], le 24 mars 1919, p. 15d. [?], Times , [?], le 2 mai 1939, p. 12e.

Home Service date de diffusion : le 20 février 1944, adaptation : Edward Sackville-West, réalisation : Robert Speaight

Sygne : Peggy Ashcroft

Third Programme, British Broadcasting Company date de diffusion : le 6 décembre 1953, réalisation : Raymond Raikes reprises date de diffusion : le 8 décembre 1953 date de diffusion : le 1er janvier 1954 date de diffusion : le 11 novembre 1955

Radio 4 date de diffusion : le 1er juillet 1968, réalisation : John Gibson

Grèce (Athènes) 1030 date de représentation : avant 1972

Hongie

1029 Claudel demande à Pierre Chavannes de surveiller sur la traduction anglaise faite sous la conduite de F. Smith.. Citation originale : « Pierre Chavannes was asked by C to supervise the translation, the work of a Yale U.P. team led by F. Smith.”(Cf. Labriolle, Jacqueline de, Claudel and the english-speaking world: a critical bibliography , London, 1973, p. 19.). 1030 Spectacle présenté par une troupe française.

366 Théâtre Merlin de Budapest date de représentation : le 15 avril 1998 - le 31 décembre 2000 1031 , mise en scène : Andras Der

Italie (L’Ostaggio ) Compagnie Gualtiero Tumiati (Turin) date de représentation : 1926, traduction : Alexandre Varaldo et Letizia Celli, mise en scène : Gualtiero Tumiati

(Florence) date de représentation : 1956

Chiesa di S. Francesco, San Miniato date de représentation : 1957

[?], Il Messaggero , le 27 septembre 1957, [?]. [?], L’Osservatore Toscano , le 22 septembre 1957, [?]. [?], Il Quotidiano , le 18 septembre 1957, [?]. [?], Il Tempo , le 27 septembre 1957, [?]. [?], L’Unità , le 26 septembre 1957, [?].

(Compagnie Bernard Jenny, Milan) 1032 , v. la trilogie, msc. Bernard Jeny, 1962 date de représentation : avril 1963

Télévision italienne date de diffusion : printemps 1968

Luxembourg Festival de Wiltz date de représentation : 1973

[?], Luxemburger Wort , [?].

Norvège (Oslo) 1033 date de représentation : le 11 mars 1964 1034

1031 20 représentations par an. 1032 Cette compagnie fut invitée par la Société Angelicum de Milan, la trilogie est jouée du 20 au 29 avril. 1033 Tournée de la compagnie du Théâtre du Vieux-Colombier. 1034 Voir à ce sujet BSPC , n°16, juin 1964, p. 25.

367 Pays-Bas ( De Gijzelaar ) Stadsschouwburg (Amsterdam) 1035 date de représentation : 1918, traduction : Hendrik Minne Merkelbach, mise en scène : Eduard Verkade

Toussaint Turelure : Louis Bouwmeester

Greshoff, J., Dramatisch overzicht. De Gijzelaar, Groot Nederland , avril 1918, p. 576-578. Naeff, Top, Dramatische Kroniek. K.V. Het Nederlandsch Tooneel : De Gijzelaar, door Paul Claudel., De Groene Amsterdammer , le 5 avril 1918, [?].

De Nederlandse Comedie date de représentation : 1952, traduction : Gabriël Smit, mise en scène : Johan de Meester

Lokhorst, Emy van, Toneelkroniek, De Gids , janvier-mars 1952, p. 358-361.

Pologne (Poznan) date de représentation : 1982

Suède (Stockholm) 1036 date de représentation : le 17 mars 1964 reprise (Malmoë) date de représentation : le 20 mars 1964

Suisse

Stadttheater Basel date de représentation : le 4 janvier 1945, mise en scène : Kurt Horwitz, décors : André Perrottet-von Laban

Sygne de Coûfontaine : Maria Becker, Georges Coufontaine : Heinz Woester, Der Papst Pius : Alfred Schlageter, Toussaint Turelure : Leopold Biberti, Der Pharrer Badilon : Arthur Fischer-Streitmann

1035 Compagnie Koninklijke Vereeniging het Nederlandsch Tooneel. 1036 Tournée de la compagnie du Théâtre du Vieux-Colombier.

368 [?], « Ein katholischer Laie zur Claudels Bürge », Basler Nachrichten , le 25 janvier 1945, [?]. [?], Basler Nachrichten , le 3 janvier 1945, [?]. [?], Basler Nachrichten , le 5 janvier 1945, [?]. [?], National-Zeitung , le 5 janvier 1945, [?].

Schauspielhaus de Zürich date de représentation : le 11 janvier 1945, mise en scène : Kurt Horwitz, décors : Robert Furrer

Sygne de Coufontaine : Maria Becker, Georges de Coufontaine : Heinz Woester, Papst Pius : Ernst Ginsberg, Toussaint Turelure : Leopold Biberti, Pharrer Badilon : Kurt Horwitz

Boesch, Walter, [?], Tages-Anzeiger, Zürich, le 13 janvier 1945, [?]. Zimmermann, Wilhelm, [?], Kulisse , février 1945, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 13 janvier 1945, [?]. [?], Die Tat , le 13 janvier 1945, [?]. [?], Die Weltwoche , [?].

Schauspielhaus de Zurich date de représentation : janvier 1954, mise en scène : Kurt Horwitz

(Lausanne, Fribourg), reprise; v. Théâtre national du Palais de Chaillot, 1947 date de représentation : 1950

Les Compagnons de Romandie date de représentation : 1956

[?], Journal de Genève , le 16 novembre 1956, [?].

Théâtre de la Comédie (Genève) date de représentation : novembre 1991 1037 , mise ens cène : Claude Stratz

Sygne de Coûfontaine : Mireille Perrier, Georges : Maxime Leroux, Le Pape : Daniel Filion, L’Abbé Badilon : Pierre Banderet

Dubor, Françoise, Claudel dans la cité de Calvin, Bulletin de la Société Paul Claudel, n° 126 , Paris 1992 ,p. 17-26.

Yougoslavie Théâtre de Doubrovnik (Doubrovnik) date de représentation : 1972, traduction : Frano Baras, mise en scène : Petar Selem

1037 Présenté du 7 au 25 novembre 1991.

369 sous le titre Lechy France ? date de représentation : 2008, mise en scène : Jean-Marc Avocat sous le titre Toussaint Turelure 1038 France (Maison de la Culture, Théâtre Mobile, Grenoble) , première mondiale 1039 date de représentation : le 6 octobre 1970, mise en scène : Hubert Gignoux, Pierre Lefèvre, décors et costumes : Roland Deville

Sygne : Françoise Meyruels, Lumîr : Marguerite Lefèvre, Georges : Jacques Born, Sichel : Renée Mohamed, Louis : Alain Rimoux, Le Pape Pie et Ali Habenicht : Pierre Lefèvre

(4Sw 8009) Gignoux, Hubert, Toussaint Turelure par le Théâtre National de Strasbourg, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°41, 1971, p. 7. Lemarchand, Jacques, Un Claudel balzacien, Le Figaro Littéraire , le 16 novembre 1970 (p. 131-132). Martial Paul, Toussaint Turlure Le caméléon boîteux de Claudel, Témoignage chrétien , le 22 octobre 1970. Petit, Jacques, Le problème posé [...], Bulletin de la Société Paul Claudel , n°41, 1971, p. 11-13. Place, Jacques, La double entreprise [...], Bulletin de la Société Paul Claudel , n°41, 1971, p. 8-11. Real, Philippe, « Toussaint Turlure » de Paul Claudel, Combat , le 16 octobre 1970 (p. 125). Rabine, Henry, Toussaint Turelure de Paul Claudel , La Croix , le 15 novembre 1970 (p. 129). reprise (Théâtre National de Strasbourg) date de représentation : le 21 octobre 1970 sous le titre Trilogie des Coûfontaine Allemagne ( Die Gottlosen )1040 Maxim Gorki Theater de Berlin

1038 Il s’agit de l’adaptation scénique de Hubert Gignoux, tirée des textes L’Otage et le Pain dur . Ensuite jouée à Montbéliard, Colmar, Strasbourg, Besançon, Lons-le-Saulnier, Reims, Thionville, Lunéville, Haguenau, Bourges, Laval, Angers, Nantes, Rennes, Le Mans, Nevers, Dijon, Châlon-sur-Saône, Mulhouse, Metz et Nancy. 1039 Version scénique à partir de l’Otage et du Pain dur. 1040 « Les Impies ».

370 date de représentation : avril 2007, traduction : Herbert Meier, mise en scène : Stefan Bachmann

France Théâtre National de Marseille date de représentaiton : 1984, mise en scène : Marcel Maréchal

Théâtre de Célestins de Lyon date de représentation : le 10 avril 1989, adaptation : Jean Lamiral, mise en scène : Jean- Paul Lucet

Gaulmyn, Pierre de, La trilogie des Coûfontaines, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 115, 1989, p. 13-15.

Théâtre du Rond-Point ? date de représentation : le 17 octobre 1995, mise en scène : Marcel Maréchal

Antoine, Gérald, L’Échange, deuxième version à la Comédie-Française, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 140, 1995, p. 1-12. 1041

Italie Compagnie du Vieux Colombier (Festival de San Miniato) date de représentation : du 18 au 26 septembre 1957 sous le titre Les Coûfontaine (Saint-Germain en Laye) 1042 date de la tournée : les 12-14 janvier 1996

L’Ours et la Lune Algérie (Alger) date de représentation : le 2 mai 1948

Allemagne

Puppentheater (Augsbourg)

1041 L’auteur de cet article renvoie à cette mise en scène. 1042 Dans le cadre de cette tournée, le spectacle a été aussi présenté à Saint Médard en Jalles (les 19 et 20 janvier), au Théâtre du Gymnase à Marseille (du 23 janvier au 11 février) et au Théâtre de Carquefou à Nantes (les 17-18 février).

371 Date de représentation : 1959 Schiller-Theater (Berlin) ? date de représentation : 1961 reprise (Kampirle de Münich)

Argentine T.A.F. 1043 date de représentation : 1962

Belgique Théâtre 140 (Bruxelles) 1044 date de représentation : le 11 décembre 1972 1045 , mise en scène : Anne Voisin, musique : Darius Milhaud (4Sw 8009) L.H., « L’Ours et la Lune » La lanterne magique de Claudel, Le Soir , le 13 décembre 1972 (p. 77). [Non-signé], L’Ours et la Lune de Claudel au Théâtre 140, La Libre Belgique , le 14 décembre 1972 (p. 79). [Non-signé], L’Ours et la Lune de Paul Claudel, Le Soir , le 1er décembre 1972 (p. 75).

Espagne Tercer Trofeo Barcelone (Barcelone) 1046 date de représentation : octobre 1960

[?], Noticiero Universal , le 4 octobre 1966, [?].

Compagnie Serge Ligier (Barcelon) ?

France Théâtre de l’Alliance Française (Paris) date de représentation : le 25 juin 1960, mise en scène : Serge Ligier

1043 Les comédiens français du Théâtre Alliance française n’ont présenté qu’une scène de ce texte. Organisé dans le cadre des conférences en Argentine. 1044 Réalisé par la Compagnie « Le Masque de sable » d’Anvers. 1045 Présenté même les 14, 15 et 16 décembre. 1046 Cycle du théâtre latin « Ciclo de teatro latino ».

372 Le Prisonnier : Henri Poirier, La Lune : Nelly Delmas, L’Ours : Raymond Jourdan, Le Chœur : Claude Evrard, Rodo : Mireille Calvo, reprises (Brangues) 1047 date de représentation : le 14 août 1960

Lune : Jenny Bellay

(Barcelone) 1048 date de représentation : le 30 septembre 1960

? Jacques Mignot, Claude Evrard

Compagnie du Jeune Théâtre (Antony) date de représentation : le 21 avril 1961, mise en scène : Jean-Pierre Lévy reprise (Festival de Cahors) date de représentation : le 26 avril 1961

T.N.P. (Paris) date de lecture : le 23 avril 1961

Lecture : Roger Mollien

Mantes-la-Jolie date de représentation : le 28 juin 1961

Théâtre des Nations (Paris) date de représentation : le 28 juin 1961

Festival d’Avignon , lecture date de lecture : 1961

Lecture : Roger Mollien

Festival de l’île St-Louis (Cloître St-Séverin) 1049 date de représentation : juillet 1966, mise en scène : Dominique Houdart, décors et costumes : Roberto Moscoso

Le Prisonnier : Gabriel Blonde, La Lune : Christiane Marchewska, L’Ours : Pierre François

1047 Cette compagnie a réalisé trois pièces en un acte d’Anton Tchékov, composé à partir des textes L’Ours , Une demande en mariage et Les méfaits du tabac . 1048 Dans le cadre du cycle du Théâtre Latin (Fiestas de la Merced). 1049 Festival organisé du 17 juillet au 31 août.

373 reprise (Théâtre du Kaleidoscope) date de représentation : le 7 septembre 1966

(4Sw 8009) Dutourd, Jean, L’Ours et la Lune (comique et poésie), Paris Presse , le 9 septembre 1966 (p. 71). [Non-signé], Claudel au kaléidoscope, Le Figaro , le 17 août 1966 (p. 69). [Non-signé], Quand Claudel était de l’avant-garde, Journal de Genève , le 24 septembre 1966 (p. 73-74).

(Rennes) 1050 date de représentation : 1970

Théâtre de Célestins (Lyon) date de représentation : le 1er mars 1986, mise en scène : Mireille Antoine et Jean-Paul Lucet, décors et costumes : Daniel Ogier, musique : Philippe Le Goff, marionnettes : Mireille Antoine

Le Prisonnier : Henri Osinski, L’Ours : Jacques Giraud

Compagnie « Corps et Ames » (Conservatoire Berlioz, Paris) date de représentation : le 2 juin 1996 reprise (Charource) date de représentation : le 15 juin 1996

Théâtre aux mains nues (Square des Cardeurs) date de représentation : juin 2000, mise en scène : Aurélia Guillet

Pays-Bas (Amsterdam) date de représentation : 1933, mise en scène : Adriaan Hookaas sous le titre La Lune à la recherche d’elle-même Belgique Radio-Bruxelles date de diffusion : le 23 juin 1964, mise en ondes : R. Georgin, décor sonore : Léo Souris

? Roger Francel, Claudine Nattier, Jacques Careuil, Guy Lesire, André Mairesse, Georges Bossair, Paul Roland

1050 Donné en même temps que l’Annonce faite à Marie .

374 Canada ? Date de radiodiffusion : 1971

Finlande ( Kuu etsii itseaan ) Radio Finlandaise date de diffusion : 1968, traduction : Leena Puputti, mise en scène : Tuomas Vesterinen

Italie Radiodiffusion italienne ? date de diffusion : le 1 er février 1965

Radio ? date de diffusion : 1969, traduction : M. Pavolini

? Date de radiodiffusion : 1971

Suisse [ Luna auf der Suche nach sich selbst ] Radio der deutschprachigen Schweiz, Studio Bern (Bern) date de diffusion : le 2 mai 1966, création mondiale en langue allemande, mise en scène : Matthias Wiemann

Der Chorus : Mathias Wiemann, Tanzt-die-Nacht : Erwin Parker, Volpilla : Doris Meyer, Ein Dichter : Rico Herold, M.B., eine Stimme : Günther Gube, Zwei Inspizienten : Friedhelm Becker, Klaus W. Leonhard

[?], Deutsche Tagespost , les 10-11 juin 1966, [?]. [?], Luzerner Tagblatt , le 18 novembre 1974, [?]. [?], Radio und Fernsehen , n° 17, les 1er-7 mai1966, [?]. 1051 [?], Volksrecht , le 6 mai 1966, [?]. [?], Vaterland , le 9 mai 1966, [?].

Le Pain dur Allemagne ( Das harte Brot ) Ladenstheater Holdenburg (Holdenburg) date de représentation : le 20 octobre 1926, mise en scène : Hans Pretz

Sichel : Käthe Grabs, Lumîr : Else York, Turelure . Immanuel Medenwaldt, Louis : Hans Sinshäuser, Ali Habenichts : Karl Heinz Worth, Mortdefroid : Gustav Rudolf Sellner

1051 Annonce de la pièce.

375 Schmittger, Gustav, [?], Brenner Nachrichten , le 22 octobre 1926, [?], *(p. 91). [?], Hamburger Nachrichten , le 22 octobre 1926, [?].

Nationaltheater Mannheim (Mannheim) date de représentation : le 30 décembre 1927, mise en scène : Heinz Dietrich Kenter, décors : Heinz Grete, costumes : Dr. Eduard Löffler

Sichel, seine Tochter : Ida Ehre, Lumîr, eine polnische Emigrantin : Elisabeth Stieler, Toussaint Turelure, Marschall Graf Coûfontaine : Ernst Langheinz, Louis-Napoleon, sein Sohn : Fritz Klippel, Ali Habenichts : Wilhelm Kolmar

Sonnemann, Kurt, [?], Dramaturgischen Blättern , numéro 41, 1926/1927, [?], *(p. 91-92). [?], Der Morgen , le 2 janvier 1928, [?]. [?], Neue Mannheimer Zeitung , le 21 décembre 1927, [?].

(Bonn) date de représentation : mai 1953, mise en scène : Hermann Kurtenbach

Zimmertheater (Aix-la-Chapelle) Date de représentation : le 20 mars 1954

Schauspielhaus Bochum (Bochum) date de représentation : le 24 mars 1956, mise en scène : Hanskarl Zeiser, décors : Max Fritzsche

Sichel : Trude Hajek, Lumîr : Anneliese Römer, Turelure : Claus Clausen, Louis : Manfred Heidmann, Ali Habenichts : Walter Maria Holetzko

Königsberger, Otto, « Ein Höhepunkt der französischen Woche in Bochum », Ruhr- Nachrichten , le 26 mars 1956, [?], *(p. 92). Schulze-Vellinghausen, Albert, [?], Frankfurter Allgemeine , le 29 mars 1956, [?], *(p. 92- 93). [?], Aachener Volkszeitung , le 28 mars 1956, [?]. [?], Die Abendpost , le 31 mars 1956, [?]. [?], Die andere Zeitung , le 5 mai 1956, [?]. [?], Echo der Zeit , le 8 avril 1956, [?]. [?], Deutsche Zeitung , le 4 avril 1956, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 5 avril 1956, [?]. [?], Hessische Nachrichten , le 29 mars 1956, [?]. [?], Christ und Welt , le 5 avril 1956, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 28 mars 1956, [?]. [?], Der Kurier , le 29 mars 1956, [?]. [?], Neue Ruhrzeitung , le 29 mars 1956, [?]. [?], Neue Volkszeitung , le 29 mars 1956, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 28 mars 1956, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 5 avril 1956, [?]. [?], Die Welt , le 27 mars 1956, [?]. [?], Welt der Arbeit , le 13 avril 1956, [?].

376 [?], Weser-Kurier , le 26 mars 1956, [?].

Städtische Bühnen in Münster i. W. (Münster) 1052 date de représentation : le 10 novembre 1959, mise en scène : Friedrich-Karl Wittich, décors : Carl Wilhelm Vogel, costumes : Rosemarie Hoppe

Turelure : Hans Hais, Sichel : Ilselore Mehne, Lumir : Ruthild Dörfler, Louis Napoleon : Günter Lampe, Ali Habenichts : Herbert Asmis, Notar : Kurt Lehnert

Gruna, Klaus, [?], Münster-Zeitung , le 12 novembre 1959, [?], *(p. 94).

Westfalische Kammerspiele (Paderborn) date de représentation : le 14 février 1961, mise en scène : Diter Geske

Schauspielensemble (Cologne) date de représentation : octobre 1961

Städtische Bühnen Friebourg i. Br. date de représentation : le 21 février 1962, mise en scène : Hans-Reinhard Müller, décors : Toni Businger, costumes : Ingeborg Graff

Turelure : Otto Nissl, Louis Napoleon : Winfried Görlitz, Lumir : Renate Heuser, Sichel : Berthe Trüb, Ali Habenichts : Franz Andermann, Mortdefroid : Bernd Schorlemet

Giessler, Rupert, [?], Badischen Zeitung , le 23 février 1962, [?], *(p. 94-95). [?], Allgemeine Zeitung , le 24 février 1962, [?]. [?], Schwarzwälder Bote , le 23 février 1962, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 7 mars 1962, [?]. [?], Theater heute , avril 1962, [?].

Kammerspiele Aachen date de représentation : le 30 septembre 1962

[?], Aachener Nachrichten , le 2 octobre 1962, [?]. [?], Echo der Zeit , le 25 novembre 1962, [?]. [?], Der Mittag , le 19 octobre 1962, [?]. reprise Kammerspiele (Fribourg) 1053 date de représentation : le 3 octobre 1963

Bayerischer Rundfunk (ARD) date de diffusion : janvier 1965, mise en scène : Hans-Reinhard Müller

[?], Gong , le 22 janvier 1965, [?].

1052 Le spectacle repris à Münster et à Soest en 1960. 1053 Joué avec Le Père humilié , le 20 octobre.

377 [?], Hamburger Abendblatt , le 7 janvier 1965, [?]. [?], Hör zu , le 1er janvier 1965, [?]. [?], TV – Hören und Sehen , le 1er janvier 1965, [?].

Städtische Bühnen Augsburg (Augsbourg) date de représentation : le 23 mars 1965, mise en scène : Heinz Gerstinger, décors : Heinz Gerhard Zilcher

Turelure : Klaus Bauer, Louis Napoleon : Arno Bergler, Lumir : Jutta Auerbach, Sichel : Anke Tegtmayer, Ali Habenichts : Jörg Schleicher

Hepp, Fred, [?], Augsburger Allgemeine , le 25 mars 1965, [?], *(p. 95).

Télévision allemande, Bayerischer Rundfunk, Fernsehen ARD date de diffusion : le 6 janvier 1966, mise en ondes : Hans-Reinhard Müller, Bühnenbild : Wolfgang Hundhammer

Turelure : Otto Nissl, Sichel : Ursula Lingen, Lumir : Renate Heuser, Louis : Paul Bösiger, Ali Habenichts : Hans Eskamp, Martdefroid : Adolf Ziegler

Pfeiffer, Trude, [?], Freie Korrespondenz , le 6 janvier 1966, [?].

Autriche Studio der Österreichischen Gesselschaft, Komödie 1054 (Wien) date de représentation : novembre 1930, mise en scène : Jo Lhermann

Grazer Schauspielhaus (Graz) date de représentation : 1970

[?], Kleine Zeitung , le 28 février 1970, [?]. [?], Kurier , le 16 mars 1970, [?]. [?], Murtaler Zeitung , le 16 mai 1970, [?]. [?], Neue Front , le 7 mars 1970, [?]. [?], Wahrheit , le 1er mars 1970, [?].

(Tournée du Vieux Colombier) date de représentation : 1966

Télévision autrichienne, 2 e programme date de diffusion : 1972

Belgique

1054 Studio de la Société autrichienne de Littérature.

378 Théâtre National Bruxelles (Bruxelles) date de représentation : décembre 1955, mise en scène : M. Vanderic

[?], Beaux Arts , le 4 novembre 1955, [?]. [?], La Cité , le 4 novembre 1955 et le 10 novembre 1955, [?]. [?], La Dernière Heure , le 10 novembre 1955, [?]. [?], La Meuse , le 22 octobre 1955, [?]. [?], Monimat , le 17 novembre 1955, [?]. [?], Nation Belge , le 4 novembre 1955, [?]. [?], Nouvelle Gazette , le 14 novembre 1955, [?]. [?], Phare , le 20 novembre 1955, [?]. [?], Le Soir , le 10 novembre 1955, [?].

Théâtre du Parc Date de représentaiton : janvier 1964 1055 , mise en scène : Bernard Jenny, décors et costumes : Pierre Simonini

Turelure : Fernand Ledoux

-R.P., « Le Pain dur » (Soirées Françaises), Dernière Heure , le 10 janvier 1964 (p. 75). Tordeur, Jean, Le Pain dur, Le Soir , le 10 janvier 1964 (p. 73). reprise date de représentation : mars 1967

Paris, André, « Le Pain dur ». Rigueur et talent, Le Soir , le 15 mars 1967 (p. 77). -R.P., Aux Galeries « Le Pain dur », La dernière heure , le 15 mars 1967 (p. 79).

Théâtre Royal des Galeries (Bruxelles) date de représentation : 1966

Nouveau Théâtre Mollière (Bruxelles) 1056 date de représentation : septembre 1968, mise en scène : Maurice Sévenant, décors : Jean- Claude Bodson

Sichel : Monique Verlay, Lumîr : Monique Fluzin, Turelure : Georges Jamin, Louis : Roland de Bièvre Jans, Adrien, Le Pain dur de Paul Claudel, Le Soir , le 22 septembre 1968 (p. 93). J. H., Une coproduction Molière-Alliance. Le Pain dur, La Libre Belgique , le 23 septembre 1968 (p. 95).

Théâtre des Rues (Bruxelles) date de représentation : février 1971, mise en scène : Madeleine Fabrice, décors et costumes : Manuelle Henri

1055 Avec la distribution du Théâtre du Vieux-Colombier dans la réalisation de la Compagnie des Galeries. 1056 En collaboration avec la Compagnie de l’Alliance.

379 Lûmir : Madeleine Fabrice

Sion, Georges, Claudel plus vivant que jamais, Revue Générale , mars 1971. -A.H., « Le Pain Dur », de Paul Claudel, La Dernière Heure , le 20 février 1971 (p. 103). Debefve, Silvio, Le Pain dur, de Paul Claudel. Une remarquable interprétation, Le Soir , le 19 février 1971 (p. 101). M. V., Au Théâtre des Rues Le Pain dur, La Libre Belgique , le 19 février 1971 (p. 99).

Théâtre du Méridien date de représentation : le 3 novembre 1973, mise en scène : Paul Florian, décors : Gérard Catoul

(4Sw 8009) [Non-signé], Le Pain dur au Théâtre du Méridien, La Libre Belgique , le 26 octobre 1973 (p. 85). [Non-signé], Le pain dur au théâtre du Méridien, Le Soir , le 28 octobre 1973 (p. 87). reprise (Centre intellectuel d’Anderlecht) date de représentation : le 9 novembre 1973

(4Sw 8009) - J. Dv., « Le Pain dur » Drame de la solitude et de l’argent, La Dernière Heure , le 8 novembre 1973, P ; 91). M. Ef., Le Pain dur, La Libre Belgique , le 10 novembre 1973 (p. 93). S.D., « Le Pain dur » de Paul Claudel, Le Soir , le 8 novembre 1973 (p. 89).

Compagnie Yvan Baudouin (Théâtre national) date de représentation : le 8 décembre 1987, mise en scène : Yvan Baudouin

Sichel : Martine Mompierre, Lumîr : Lesly Bunton, Toussaint Turelure : Henri Billen

De Decker, Jacques, [?], Le Soir , le 11 décembre 1987, [?]. Verdussen, Monique, [?], La Libre Belgique , le 12 décembre 1987, [?].

Compagnie « Le Collectif du Théâtre » (Théâtre de la Place, Bruxelles) date de représentation : du 21 novembre au 2 décembre 2000, mise en scène : Frédéric Dussenne

Canada ? Ludmila Pitoeff 1941?

Théâtre du Nouveau Monde (Montréal) date de représentation : avril 1963, mise en scène : Jean-Louis Roux

380 Radio-Canada date de diffusion : décembre 1971

Compagnie du Théâtre du Nouveau Monde (Montréal) date de représentation : octobre-novembre 1973 1057 , mise en scène : Jean-Louis Roux

Théâtre du Rideau Vert (Montréal) date de représentation : janvier 1991

France Théâtre du Gymnase date de lecture : le 30 mai 1919 1058

Lecteurs : Ève Francis, Jean Hervé

Théâtre de l’Atelier date de représentation : 1945 ? overit, mise en scène :

Théâtre de l’Atelier (Paris) date de représentation : le 12 mars 1949 1059 , mise en scène, décor et costumes : André Barsacq, costumes : Irène Karinska

Sichel : Germaine Montero, Lumîr : Jany Holt, Turelure : , Louis : Jean Servais, Ali Habenichts : Paul Œttly, Mortdefroid, notaire : Pierre-Jacques Moncorbier

(distribution de la tournée) Sichel : Nathalie Nerval, Lumîr : Claire Guibert, Turelure : Fernand Ledoux, Louis : René Arrieu, Ali Habenichts : Georges Saillard, Mortdefroid, notaire : Charles Nugue

Alter, André, [?], L’Aube , le 14 mars 1949, [?]. Ambrière, [?], Francis, Opéra , le 16 mars 1949, [?]. Beigbeider, Marc, [?], Le Parisien libéré , le 17 mars 1949, [?]. Cézan, Claude, Devant Paul Claudel on répète « Le Pain dur », Les Nouvelles littéraires , le 10 mars 1949, [?]. Claudel, Paul, Avant « Le Pain dur » à l’Atelier, Le Figaro , le 9 mars 1949, [?]. Claudel, Paul, Au sujet du « Pain dur », Opéra , le 9 mars 1949, [?]. Claudel, Paul, « Le Pain dur », Le Monde , le 12 mars 1949, [?]. Frank, André, [?], Le Populaire , le 15 mars 1949, [?]. Gandrey-Réty, Jean, [?], Ce Soir , le 26 mars 1949, [?]. Gautier, Jean-Jacques, [?], Le Figaro , le 15 mars 1949, [?]. Guilly, René, Combat , le 4 mars 1949, [?].

1057 Cette compagnie avait déjà monté L’Otage en novembre 1972. 1058 Lecture de la scène II de l’acte II, dans le cadre de la conférence de Paul Claudel « Introduction à quelques œuvres ». 1059 Date de la répétition générale.

381 Guth, Paul, Choses vues et entendues à la répétition du « Pain dur », Le Figaro littéraire , le 12 mars 1949, [?]. Kemp, Robert, [?], Le Monde , le 15 et 17 mars 1949, [?]. Lagarde, Pierre, [?], Libération , le 14 mars 1949, [?]. Lemarchand, Jacques, [?], Combat , le 15 mars 1949, [?]. Malraux, Clara, [?], L’Action , le 17 mars 1949, [?]. Marcel, Gabriel, [?], Les Nouvelles littéraires , le 24 mars 1949, [?]. Maulnier, Thierry, [?], Le Figaro littéraire , le 19 mars 1949, [?]. reprise (v. Suisse, Grand Théâtre de Genève, 1949) (Chaine nationale) date de diffusion : le 12 décembre 1950, direction artistique : Maurice Cazeneuve, réalisation : René Vilmet

? Germaine Montero, Denise Bosc, Pierre Renoir, Jean Servais, Paul Oettly, Yvon Farvel, Raymond Raure

Comédie de l’Ouest, Centre dramatique de l’Ouest (Théâtre Municipal, Fougères) 1060 date de la tournée : le 18 octobre 1959 1061 , mise en scène : Guy Parigot, décors et costumes : Claude Bessou

? Maurice Barrier, Anne Bertoli, Denise Bonal, Roger Guillo, Bernard Jousset, Pierre Nicolas

[?], [?], L’Eclair , le 31 octobre 1959, [?]. [?], [?], La Résistance de l’Ouest , le 2 novembre 1959, [?]. [?], [?], Ouest France , le 31 octobre 1959, le 5 novembre et le 23 novembre 1959, [?]. Théâtre du Vieux-Colombier (Paris), v. L’Otage , Le Père humilié , msc. Bernard Jenny, 1962 1062 date de représentation : le 1er décembre 1962, mise en scène : Bernard Jenny et Dirk Sanders, décors et costumes : Pierre Simonini, musique : José Berghmans

Sichel : Judith Magre , Lumîr : Nadine Basile, Turelure : Jean Le Poulain, Louis : Roger Hanin, Ali Habenicht : Jean Galland, Alexandre Rignault, Mortdefroid : Claude Evrard reprise (Tournée Herbert) 1063 date de la tournée : octobre 1963-mars 1964

Fernand Ledoux, Michel Auclair

1060 Tournée en Bretagne, à Anjou et en Vendée. 1061 Joué du 18 octobre au 2 décembre, présenté à Fougères, Laval, Saumur, Angers, Redon, Saint-Nazaire, les Sables-d’Olonne, La Roche-sur-Yon, Nantes, Rennes, Mayenne, Alençon, Le Mans, Saint-Brieuc, Lannion, Brest, Morlaix, Pontivy, Quimper, Auray, Vannes, Coutances, Caen, Bayeux, Lisieux, Saint-Lô, Granville, Cherbourg. 1062 La trilogie est présentée dans son ensemble pour la première fois. 1063 Spectacle dans la mise en scène de Jenny, donné en France, en Suisse, en Belgique, au Luxembourg et au Liban.

382 Grand Théâtre de Limoges, Centre théâtral du Limousin (Théâtre Municipal, Chatellerault) 1064 date de représentation : le 14 février 1966, mise en scène : Jean-Pierre Laruy, décors : Georges-Henri Régnier

Sichel : Moni Reh, Lûmir : Danielle Dubreuil, Turelure : Jean-Paul Moulinot, Louis : Georges-Henri Régnier

Baignères, Claude, « Le Pain dur » de Paul Claudel, Le Figaro , le 19 février 1966 (p. 85). Claudel, Pierre, Le Pain dur à Limoges, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°22, avril- mai-juin 1966, p. 10. Lemarchand, Jacques, Le Pain dur de Paul Claudel à l’inauguration du Centre théatral du Limousin, Le Figaro Littéraire , le 24 février 1966 (p. 87). reprises (O.R.T.F., station de Limoges) date de diffusion : le 6 mai 1966 (Limoges) date de représentation : le 16 février 1966 (Théâtre du château, Ludwigsburg) (Allemagne) date de représentation : le 20 mai 1968

Théâtre du Vieux-Colombier (Paris) date de représentation : 1966/1967, mise en scène : Bernard Jenny

Théâtre Montansier (Versailles) 1065 date de représentation : le 6 mars 1967

Compagnie Tissot (Annecy) date de représentation : mars 1969 1066

Comédie-Française (Paris) date de représentation : le 20 décembre 1969 1067 , mise en scène : Jean-Marie Serreau, décors et costumes : Claude Lemaire, musique : Jean-Pierre Drouet

Sichel : Alberte Aveline, Lumîr : Ludmilla Michael, Turelure : François Chaumette, Louis de Coûfontaine : François Beaulieu, Hebenichts : Michel Etcheverry Alter, André: „Le pain dur“ de Paul Claudel. Une dénonciation violente de l’exploitation de l’homme par l’homme, Témoignage Chrétien , le 15 janvier 1970 (p. 43). Lemarchand, Jacques, L’inimitable voix de Claudel, Le Figaro Littéraire , le 19 janvier 1970 (p. 47-48). Cornier, Jean-François, Avant-Première. Jean-Marie Serreau, « Le Pain dur » lève le masque d’une certaine bourgeoisie, Combat , le 30 décembre 1969 (p. 9).

1064 Présenté par la jeune compagnie de Régnier et de Laruy intitulée « Troupe nationale permanente de la décentralisation en Marche et Limousin ». 1065 Par la Compagnie des Galeries Saint-Hubert de Bruxelles. 1066 Puis présenté en Italie. 1067 Le 5 janvier s’est déroulé la présentation devant la presse.

383 Dumur, Guy, Pain complet, Le Nouvel Observateur , janvier 1970 (p. 55-56). Dumur, Guy, Un drame inconnu de Claudel, La Gazette de Lausanne , le 17 janvier 1970 (p. 45). Dutourd, Jean, « Le pain dur ». La sève puissante de Paul Claudel, France Soir , le 7 janvier 1970 (p. 25). E.F., « Le Pain dur » à la Comédie-Française. Une lettre de Paul Claudel à Eve Francis. Les Lettres Françaises , le 7 janvier 1970 (p. 27). Galey, Matthieu, « Le Pain dur » de Paul Claudel. Un drame du sang, Combat , le 7 janvier 1970 (p. 21). Galey, Matthieu, La Puissance dérisoire. Le Pain dur de Paul Claudel, Les Nouvelles Litéraires , le 15 janvier 1970 (p. 39-40). Gautier, Jean-Jacques, Le Pain dur de Paul Claudel, Le Figaro , le 7 janvier 1970 (p. 15- 16). Guilleminault, Gilbert, A la Comédie-Française « Le Pain dur » de Paul Claudel, L’Aurore , le 7 janvier 1970 (p. 23). J.F., Claudel chez Molière, six rappels, Le Figaro , le 6 janvier 1970 (p. 13). Kanters, Robert: Claudel chez les bourgeois, L’Express , le 19 janvier 1970 (p. 49). Leonardini, Jean-Pierre, Passé Recomposé. « Le Pain dur », de Paul Claudel à la Comédie- Française., L’Humanité , le 7 janvier 1970 (p. 19). Leconte, Claude-Henry: La Comédie-Française nous met au „Pain dur“ (mais pas au pain sec), Le Nouveau Journal , le 31 janvier 1970 (p. 53). Lerminier, Georges, « Le Pain dur » de Paul Claudel, Le Parisien , le 8 janvier 1970 (p. 29). Lorne, Claude: Un pain dur à avaler, Rivarol , le 15 janvier 1970 (p. 41). Marcabru, Pierre, « Le Pain dur », à la Comédie-Française. Pourquoi aborder Claudel en tremblant de respect ? Paris Presse , le 14 janvier 1970 (p. 33). Megret, Christine: „Le Pain dur“ à la Comédie-Française, Carrefour , le 14 janvier 1970 (p. 37-38). Olivier, C.: Un „Pain dur“ rassurant, Les Lettres Française , le 28 janvier 1970; ¨p. 51). Poirot-Delpech, « Le Pain dur », de Paul Claudel, Le Monde , le 7 janvier 1970 (p. 17). Rabine, Henry, A la Comédie-Française Le Pain dur de Paul Claudel, La Croix , le 11 janvier 1970 (p. 31-32). [Non-signé], Dans le jeu du whist, il y a un mort1, Les Etudes , Carnet de théâtre, mai 1970 (p. 57-59). [Non-signé], « Le Pain dur » au Français, L’Aurore , le 20 décembre 1969 (p. 5).

Comédie-Française (Paris) date de représentation : janvier 1970, mise en scène : Jean-Marie Serreau

[?], Gazette de Lausanne , le 18 janvier 1970, [?]. [?], Publik , le 27 février 1970, [?].

Théâtre National Strasbourg date de représentation : 1970

Compangie Jean Davy (Versailles) 1068

1068 Puis présenté à Cannes et à Aix-en-Provence.

384 date de représentation : le 20 février 1975

Théâtre de Bourges date de représentation : mars 1976, mise en scène : Georges-Henri Régnier

Maison de la Culture d’Amiens date de représentation : le 18 janvier 1978, mise en scène : Dominique Quéhec 1069

France-Culture Date de l’émission : le 22 avril 1979

Sichel : Geneviève Casile, Lumîr : Ludmilla Mikaël, Turelure : François Chaumette, Coûfontaine : François Beaulieu, Habenichts : Michel Etcheverry

Théâtre de l’Eventail (Théâtre du Hutième, Lyon) 1070 date de représentation : le 4 mars 1981, mise en scène : Maurice Attias, décors : Dominique Borg, Pierre-Yves Leprince

Monique Brun

Compagnie Roger Hanin (Festival de Pau) date de représentation : juin 1982, mise en scène : Roger Hanin, décors : Georges Toussaint

Turelure : Jean Le Poulain reprises (Carcassonne) date de représentation : juillet 1982 (TF 1) date de diffusion : septembre 1982

Centre Dramatique National de Reims (Eglise St Martin, Laon) date de représentation : le 23 septembre 1982, mise en scène : Jean Bollery, décors et costumes : José Quiroga reprise date de représentation : du 1 er octobre au 4 novembre 1982 1071

Théâtre de la Salamandre (Théâtre de la Porte Saint-Martin, Paris) 1072 date de représentation : juin 1984, mise en scène : Gildas Bourdet, décors : Gildas Bourdet, costumes : Françoise Chevalier

1069 Présenté aussi au Théâtre d‘Aubervilliers. 1070 Dans la production du Théâtre de l’Éventail. 1071 Spectacle a été repris les 23 et 24 septembre à l’Abbaye Saint-Martin à Laon. 1072 Dans la production du Théâtre de la Salamandre de Tourcoing-Lille.

385 Sichel : Marianne Epin, Lumîr : Brigitte Rouan, Turelure : Christian Blanc, Louis : Christian Ruché, Habenichts, Mortdefroid : Guy Perrot reprises (Théâtre de la Salamandre) 1073 date de représentation : mars 1984 (Théâtre de la Ville, Paris) date de représentation : le 2 décembre 1985 (Maison de la Culture, Le Havre) date de représentation : le 21 février 1985

Théâtre du Pavé de Toulouse date de représentation : le 9 novembre 1987, mise en scène : Paul Berger, décors : Jacques Aubinel et Paul Berger, costumes : Habiba Lahiani Sichel : Claire de Beaumont, Lumîr : Elsa Berger, Turelure : Hubert Kruczynski

Nouveau Théâtre d’Angers (Angers) date de représentation : le 3 mars 1992 1074 , mise en scène : Claude Yersin, décors : Charles Marty, costumes : Françoise Luro

Daniel Briquet, Catherine Gandois, Victor Garrivier, Yves Kerboul, Patrice Leroy, Cathrine Rétoré

? date de représentation : 2000 mise en scène : Dag Jeanneret décors : Pierre Heydorff costumes : Olivier Beriot

Agnès Belkadi, Nathalie Duverne, Richard Mitou, Jean Varela, Gérard Bayle

(Charleroi) date de représentation : février 2001, mise en scène : Frédéric Dusenne

Théâtre de Gennevelliers (Gennevilliers) date de représentation : le 14 mars 2002 1075 , mise en scène : Bernard Sobel, décors : Lucio Fanti, costumes : Cissou Winling

? Pascal Bongard, Cyril Dubreuil, Carlo Brandt, Flore Lefebvre des Noëttes

Compagnie In Situ (Languedoc-Rousillon) date de représentation : septembre 2001-juin 2002, mise en scène : Dag Jeanneret Studio-Théâtre de la Comédie de Béthune

1073 Ce tournée fut organisée au Havre, à Grenoble et à Lyon. 1074 17 reprises. Tournée à St.-Etienne, Aubusson, Thionville, Caen, Dijon, Orléans, La Rochelle (La Coursive de La Rochelle le 16 avril 1992), Le Mans, Arras. 1075 Ensuite à partir du 14 mars 2002.

386 date de représentation : le 29 novembre 2004 1076 , mise en scène : Alain Barsacq et Agathe Alexis, décors : Alain Barsacq, costumes : Dominique Louis

Sichel : Agathe Alexis, Lumîr : Tatiana Stepantchenko, Turelure : Christian Blanc, ? Gildas Bourdet

Dubar, Monique, Théâtre et Musique, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 177, p. 68- 77. reprises (Studio Le Phénix de Valenciennes) date de représentation : janvier 2004 (Théâtre Toursky de Marseille) date de représentation : janvier 2004

Compagnie « Théâtre et Compagnie » (L’Amphithéâtre, Pont-de-Claix) date de représentation : du 5 au 8 décembre 2006, mise en scène : Michel Belletante

? Renaud Dehesdin, Floriane Durin, Pierre Tarrare

Théâtre de l’Atalante (Paris) 1077 date de représentation : le 15 janvier 2010, mise en scène : Agathe Alexis, Alain-Alexis Barsacq, décors : Christian Boulicaut, costumes : Dominique Louis

Sichel : Agathe Alexis, Lumîr : Tatiana Stepantchenko, Turelure : Hervé Van Der Meulen, Louis : Robert Bouvier, Ali Habenichts : Georges Goubert, Mortdefroid : Grégory Fernandes

Liban Tournées Herbert (Beyrouth) date de représentation : le 6 et 7 mars 1964 ? nebo 63

Luxembourg Compagnie Jean Davy (Festival de Wiltz) date de représentation : le 27 juillet 1974 1078

(4Sw 8009) M. (A.), « Le Pain dur », de Claudel, au Festival de Wiltz, Le Soir , le 1er août 1974 (p. 95).

Pays-Bas ( Hard Brood )

1076 Joué jusqu’au 7 décembre 2004. 1077 Dans la production de la Compagnie Agathe Alexis et Compagnie Les Matinaux de Paris. 1078 Présenté par la Compagnie Jean Davy.

387 Het Zuidelijk Toneel (Lindhoven), en langue néerlandaise date de représentation : le 2 avril 1999, traduction : Eric de Kuyper et Céline Linseen, mise en scène : Johan Simons

Schaap, Wijbrand, Zuidelijk Toneel verslikt zich in Hard Brood, Algemeen Dagblad , le 6 avril 1999.

Suisse Théâtre de la Comédie Genève date de représentation : avril 1941, mise en scène : Georges Pitoëff et Michel François

(Grand Théâtre de Genève, reprise v. Atelier, Barsacq, 1949) date de représentation : le 2 septembre 1949 1079

Guth, Paul, Le Figaro littéraire , le 12 juin 1949.

(Genève), v. msc. Bernard Jenny date de représentation : décembre 1963 1080

Fabre, Eugène, Fernand Ledoux joue « Le Pain dur » de Claudel, Journal de Genève , le 12 décembre 1963, p. 13,14 (p. 67-68). R. Mh., La Comédie fait maigre avec« Le Pain dur », Tribune de Genève , les 12/13 décembre 1963 (p. 69-70).

Schauspielhaus Zürich (Zürich) date de représentation : le 30 janvier 1986, traduction : Albert Joseph, mise en scène : Ernst Wendt, décors : Johannes Schütz, costumes : Andrea Schmidt-Futterer, musique : Christoph Marthaler

Turelure : Hans Dieter Zeidler, Sichel : Anne-Marie Dermon, Lumir : Eva Rieck, Louis : Norbert Schwientek, Ali Habenichts : Kurt Kronlachner, Mortdefroid : Erwin Parker

Helbling, Hanno, « Durchgängige Ironie? », Neue Zürcher Zeitung , le 1er/2 février 1986, [?], *(p. 95-96). Müller, Peter, « Boulevard im Angesicht der Ewigkeit », Tages-Anzeiger , Zürich, le 1er février 1986, [?], *(p. 96-97).

Compagnie du Théâtre de l’Ephémère (Lausanne) date de représentation : février 1989

Théâtre de la Comédie (Genève) date de représentation : le 5 janvier 1992 1081 , mise en scène : Claude Stratz

1079 Dans le cadre des IVemes Rencontres internationales de Genève, dans la première distribution de l’Atelier. 1080 Dans la production de Georges Herbert. 1081 Présenté jusqu’au 23 janvier 1992.

388 Sichel : Yvette Théraulaz, Lumîr : Nathalie Lannuzel, Toussaint Turelure : Laurent Sandoz, Louis : Jean-Philippe Ecoffey, Ali Habenichts : Roland Sassi, Mortdefroid : Roland Sassi

Dubor, Françoise, Claudel dans la cité de Calvin, Bulletin de la Société Paul Claudel, n° 126 , Paris 1992, p. 17-26.

Pan et Syrinx Belgique (Salle de musique de Chambre du palais des Beaux-Arts, Bruxelles) 1082 date du concert : le 23 novembre 1934, musique : Darius Milhaud 1083 , chef d’orchestre : Franz André, piano : Paul Collaer

D. R. [Dupierreux Richard], Pan et Syrinx – Comment Paul Claudel et Darius Milhaud ont collaboré avec un poète du Premier Empire, Le Soir, n° 319, le 15 novembre 1934, p. 2.

France (Université de Besançon) date de lecture : le 12 juin 2003 1084

Lecteurs : Antoine Juliens, Isabelle Maudet

Partage de midi Allemagne (Mittagswende) Städtisches Opern- und Schauspielhaus (Hannover), création mondiale date de représentation : le 25 mai 1922 1085 , traduction : Roman Woerner, mise en scène : Dr. Rolf Roennecke, décors : Heinz Porep

Ysé : Friedel Mumme, Mesa : Martin Gien, Amalric : Hugo Rudolph, De Ciz : Max Reimer

Thiess, F., « Paul Claudels Mittagswende », Hannoverschen Anzeigen , le 27 mai 1922, *(p. 75-76). Sarter, E., « Paul Claudel : Mittagszende », Hannoverscher Kurier , le 27 mai 1922, [?].

Hessisches Landestheater Darmstadt (Darmstadt) date de représentation : le 7 mai 1929, mise en scène : Carl Ebert, décors : Schenk von Trapp

1082 Concert organisé par la Société des concerts anciens et la Maison d’Art. 1083 La musique composée à Malines. 1084 Lecture dans le cadre du colloque « Claudel politique », avec le texte Judith . 1085 D’après Andersen la pièce est réalisée en 1926.

389 Ysé : Gerda Müller, Mesa : Bernhard Minetti, Amalric : Fritz Valk, De Ciz : Hans Jungbauer

Berglar-Schröer, Paul, [?], Hessische Landeszeitung , le 9 mai 1929, [?], *(p. 77). Distelmann, Dietrich, [?], Hessischer Volksfreund , le 10 mai 1929, [?], *(p. 78-79). Kirchhoff, Paul, [?], Darmstädter Zeitung , le 10 mai 1929, [?], *(p. 78).

Reprises (Städtische Bühnen Oberhausen), le 4 octobre 1950 (Verreinigte Bühnen Crefeld), novembre 1950

Buhnen Der Stadt (Cologne) date de représentation : 1952, mise en scène : Anton Krilla, décors et costumes : Schenk von Trapp

Amalric : Fritz Valk, Mesa : Bernhard Minetti, Ysé : Gerda Müller, De Ciz : Hans Jungbauer

[?], Darmstädter Tagblatt , le 7 mai et le 9 mai 1929, [?]. [?], Darmstädter Zeitung , le 10 mai 1929, [?]. [?], Hessische Landeszeitung , le 9 mai 1929, [?]. [?], Hessischer Volksfreund , le 10 mai 1929, [?]. [?], Frankfurter Zeitung , mai 1929, [?].

Deutsches Schauspielhaus Hamburg (Hambourg), dernière de la première version date de représentation : le 9 février 1954, mise en scène : Heinrich Koch, décors et costumes : Ita Maximowna

Amalric : Volker von Collande, Mesa : Will Quadflieg, Ysé : Margot Trooger, De Ciz : Peter Schütte

Bachmann, Claus-Henning, « Leidenschaft der Sünde und des Glaubens », Die Kultur , Stuttgart, le 15 mars 1954, [?], *(p. 79-80). Beckmann, Heinz, « Totenblume für Gott », Rheinischer Merkur , le 19 février 1954, [?], *(p. 80-81). Sanden, Gerhard, [?], Die Welt , Hamburg, le 11 février 1914, [?], *(p. 80). [?], Aaachener Nachrichten , le 16 février 1954, [?]. [?], Echo der Zeit , le 21 février 1954, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 12 février 1954, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 10 février 1954, [?]. [?], Hamburger Anzeiger , le 10 février 1954, [?]. [?], Hamburger Anzeiger , le 22 avril 1954, [?]. [?], Hamburger Echo , le 9 février 1954, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 17 février 1954, [?]. [?], Norddeutsche Nachrichten , le 10 février 1954, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 19 février 1954, [?].

390 [?], Die Welt , le 8 février 1954, [?]. [?], Welt der Arbeit , le 19 mars 1954, [?]. [?], Die Zeit , le 11 février 1954, [?].

Städtische Bühnen (Oberhausen), création mondiale de la nouvelle version pour la scène date de représentation : le 4 octobre 1955, mise en scène : Alexander May, décors et costumes : Otto Werner Meyer, costumes : Ingeborg Schenk

Amalric : Josef Vandegen, Mesa : Günther Lürssen, Ysé : Ingeborg Arnoldi, De Ciz : Oskar Schättiger

[?], Essener Tageblatt , le 6 octobre 1955, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 27 octobre 1955, [?]. [?], General-Anzeiger , le 6 octobre 1955, [?]. [?], Neue Ruhr Zeitung , le 6 octobre 1955, [?]. [?], Ruhrwacht , le 6 octobre 1955, [?]. [?], Westdutsche Allgemeine Zeitung , le 6 octobre 1955.

Zimmer Theater Aachen date de représentation : 1956

[?], Aachener Volkszeitung , le 20 février 1956, [?]. [?], Aachener Zeitung , le 20 février 1956, [?]. 1086

Städtische Bühnen Frankfurt a. M. date de représentation : le 18 mars 1960 1087 , traduction : Edwin-Maria Landau, mise en scène : Heinrich Koch, décors : Ekkehard Grübler, costumes : Brigitte Erdmann

Amalric : Hannsgeorg Laubenthal, Mesa : Hans Caninenberg, Ysé : Lola Müthel, De Ciz : Michael Rueffer

Rüble, Günther, [?], Neue Presse , Frankfurt, le 21 mars 1960, [?]. Seelmann-Eggebert, Ulrich, [?], Darmstädter Echo , le 4 mai 1960, [?]. [?], Abendpost, [?]. [?], Allgemeine Zeitung , le 21 mars 1960, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 21 mars 1960, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 21 mars 1960, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 22 mars 1960, [?]. [?], Nachtausgabe , le 23 mars 1960, [?]. [?], Offenbach-Post, le 25 mars 1960, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 8 avril 1960, [?]. [?], Der Sonntag , le 3 avril 1960, [?]. [?], Saarbrücker Zeitung , le 4 mars 1960, [?].

1086 Landau ajoute encore quelques articles publiés dans Echo der Zeit (le 25 mars 1956 et le 29 avril 1962) et dans Aachener Nachrichten (le 20 février 1956 et le 1er mars 1962). 1087 Représentation de la nouvelle version.

391 [?], Stuttgarter Zeitung , le 22 mars 1960, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 25 mars 1960, [?].

(Francfort), voir Suisse date de représentation : le 25 mars 1960, traduction : Edwin-Maria Landau, mise en scène : Robert Freitag

Ysé : Maria Becker 1088 , ? Peter Schütte, Gert Westphal, Haldiner reprise (Radio Beromünster, Saarbrück, Münich) date de diffusion : 1961, mise en ondes : Robert Freitag

Münchner Kammerspiele (Münich) 1089 date de représentation : le 16 juin 1960, mise en scène : Hans Schweikart, décors et costumes : Jörg Zimmermann

Amalric : Rolf Boysen, Mesa : Peter Lühr, Ysé : Maria Wimmer, De Ciz : Alexander Kerst

Kaiser, Joachim, [?], Süddeutsche Zeitung , les 18-19 juin 1960, [?]. Kiaulebn, Walther, [?], Münchner Merkur , les 18-19 juin 1960, [?]. [?], Abendzeitung , le 18 juin et le 9 juin 1960, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 26 juillet 1960, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 20 juillet 1960, [?]. [?], Nürnberger Nachrichten , le 6 août et le 7 août 1960, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 9 août 1960, [?].

(Theater am Kurfürstendamm Berlin), 1961 (Kammerspiele Aix-la-Chapelle), le 24 février 1962

Theater der Stadt Bonn date de représentation : 1963

[?], General-Anzeiger für Bonn , le 7 décembre 1962, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 1er mars 1963, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 7 décembre 1963, [?]. [?], Der Mittag , le 12 décembre 1962, [?]. [?], Neue Rhein-Zeitung , le 1er mars1963, [?].

Zweites Deutsches Fernsehen (Mainz) 1090 , réalisation de télévision date de diffusion : le 27 octobre 1963, mise en scène : Wolfgang Liebeneiner, décors : Gerhard Zircher

1088 Claudel l’appelait « Ma grande Maria Becker ». 1089 Dans le cadre du Congrès Eucharistique International, présenté avec Jeanne au Bûcher . 1090 En Allemagne avec L’Annonce faite à Marie sur la deuxième chaîne de l’Allemagne fédérale.

392 Ysé : Hilde Krahl, Mesa : Pinkas Braun, Amalric : Werner Schumacher, De Ciz : Wolf Ackva

[?], Das Berliner Wort , le 2 novembre 1963, [?]. [?], Bremer Nachrichten , le 29 octobre 1963, [?]. [?], Funk-Uhr , le 27 octobre 1963, [?]. [?], Gong , le 27 1963, [?]. [?], Kölner Stadt-Anzeiger , le 29 octobre 1963, [?]. [?], Rheinische Post , le 29 octobre 1963, [?]. [?], Saarbrücker Zeitung , le 29 octobre 1963, [?]. [?], Stuttgarter Nachrichten , le 29 octobre 1963, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 30 octobre 1963, [?]. [?], Westfälische Rundschau , le 29 octobre 1963, [?].

Der grüne Wagen, tournée (Munich) date de la tournée : février-mai 1963 1091 , traduction : Edwin Maria Landau, mise en scène : Wolfgang Liebeneiner, décors et costumes : Gerhard Zircher

Amalric: Werner Schumacher, Mesa: Pinkas Braun, Ysé: Hilde Krahl, De Ciz: Wolf Ackva

[?], Abendpost , le 16 mars 1963, [?]. [?], Allgemeine Zeitung , le 9 mars 1963, [?]. [?], Basler Volksblatt , le 12 mars 1963, [?]. [?], Demokratisches Volksblatt , le 30 avril 1963, [?]. [?], General-Anzeiger für Bonn , le 22 mars 1963, [?]. [?], Hannoversche Allgemeine Zeitung , le 11 avril 1963, [?]. [?], Hannoversche Rundschau , le 11 avril 1963, [?]. [?], Kasseler Post , le 3 avirl 1963, [?]. [?], National-Zeitung , le 12 mars 1963, [?]. [?], Nordsee-Zeitung , le 8 avril 1963, [?]. [?], Oberösterreichische Nachrichten , le 29 avril 1963, [?]. [?], Remscheider General-Anzeiger , le 18 mars 1963, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 19 mars 1963, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 30 mars 1963, [?]. [?], Salzburger Nachrichten , le 30 avril 1963, [?]. [?], Schwäbisches Tagblatt , le 16 mars 1963, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 20 mars 1963, [?]. [?], Der Taunusbote , le 19 mars 1963, [?]. [?], Voralberger Volksblatt , le 14 mars 1963, [?]. [?], Wiesbadener Kurier , le 9 mars 1963, [?]. reprise (2 e chaîne, Hambourg) date de diffusion : le 27 octobre 1963

1091 La pièce est présentée en langue allemande dans 58 villes d‘Allemagne, en Suisse (à Bâle), et en Autriche (à Salzbourg), du 27 février au 8 mai.

393 Théâtre Keller (Neuss) date de représentation : décembre 1964

Théâtre municipal de Krefeld date de représentation : le 30 avril 1965

(Wupperthal) date de représentation : 1966

(Hanovre) date de représentation : 1967

Kleines Haus, Württembergische Staatstheater Stuttgart date de représentation : le 17 mai 1968, traduction : Edwin Maria Landau, mise en scène : Ime Moszkowicz, décors et costumes : Hanna Jordan

Amalric : Wolfgang Höper, Mesa : Peter Roggisch, Ysé : Ingeborg Engelmann, De Ciz : Ernst-August Schepmann

[?], Echo der Zeit , le 21 avril 1968, [?]. [?], Stuttgarter Nachrichten , le 8 avril 1968, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 6 avril 1968 et le 8 avril 1968, [?]. [?], Südwest Presse , le 8 avril 1968, [?]. [?], Theater heute , mai 1968, [?]. [?], Die Zeit , le 12 avril 1968, [?].

Stadttheater Würzburg date de représentation : 1968

[?], Main-Post , le 26 janvier 1968, [?].

Kammerspiel Bad Homburg date de représentation : avril 1973

[?], Der Sonntag , le 22 avril 1973, [?]. [?], Taunus-Zeitung , le 4 avril 1973, [?].

Deutsches Theater de Berlin Est date de représentation : septembre 1989, traduction : Edwin Maria Landau, mise en scène : Rolf Winkel

(Kammerspiele de Münich) , v. même Athènes 2009, en version allemande date de représentation : avril 2003, traduction : Edwin Maria Landau et Tilman Taabke, mise en scène : Jossi Wieler reprise (Theaterteffen, Festival de théâtre de Berlin) date de représentation : 2005

394 Argentine Teatro de Repertorio (Buenos Aires) date de représentation : avril 1969, mise en scène : Beatrix

Teatre Cervantes (Buenos Aires) 1092 date de représentation : le 21 mai 1977 (reprise, v. s. 1975, mise en scène : Antoine Vitez)

Australie Radiodiffusion date de diffusion : avril 1963, mise en ondes : Robert Speaight

Théâtre « The hole in the wall » (Perth) date de représentation : février 1989, traduction : Lisette Nigot, mise en scène : Raymond Omodei

Compagnie Thalia (Sydney), en langue anglaise date de représentation : mars 1989, mise en scène : Bogdan Koca

Autriche ( Mittagswende ) Burgtheater Kleines Haus (Akademie-Theater Wien) date de représentation : le 5 avril 1924, mise en scène : Hans Brahm, décors : Remigius Geyling

Amalric : Albert Heine, Mesa : Raoul Aslan, Ysé : Ida Roland, De Ciz : Philipp Zeska

Fontana, Oskar Maurus, « Claudels Mittagswende », Berliner Börsen Courier , le 15 avril 1924, [?], *(p. 76). Musil, Robert, « Mittagswende », Deutsche Allgemeine Zeitung , le 9 mai 1924, [?], *(p. 76). 1093 Polgar, Alfred, « Paul Claudels Mittagswende », Weltbühne , XX (25), le 19 juin 1924, p. 861 f., *(p. 76-77).

Theater im Esterhazy Palais (Vienne) date de représentation : septembre 1952

[?], Wiener Kurier , le 11 septembre 1952, [?]. [?], Kleines Volksblatt , le 11 septembre 1952, [?]. [?], Die Presse , le 11 septembre 1952, [?]. [?], Südost-Tagespost , le 12 septembre 1952, [?].

Théâtre municipal (Salzburg) date de représentation : 1960

1092 Il s’agit de la tournée en Amérique du Sud (Argentine, Uruguay et Brésil). 1093 Cet article se trouve dans les archives à Zürich.

395 Josefstadt Theater, Festival de Vienne date de représentation : mai 1984, mise en scène : Kurt Josef Schildknecht, décors : Gerhard Jax, costumes : Hanna Wartenegg

Ysé : Adelheid Picha, Mesa : Eugen Stark, Amalric : Franz Robert Wagner, De Ciz : Albert Rueprecht

Haider-Pregler, Hilde, [?], Wiener Zeitung , le 24 mai 1984, [?], *(p. 82-83). Reimann, Viktor, [?], Neue Kronenzeitung , Wien, le 24 mai 1984, [?], *(p. 83).

Theater in der Josefstadt Wien date de représentation : le 22 mai 1984

Belgique Théâtre du Gymnase date de lecture : le 4 novembre 1916 1094 , mise en scène : Jacques Copeau

Lecteurs - Mesa : Jean Hervé, Ysé : Ève Francis

Radio Bruxelles date de diffusion : 1950

Galeries date de représentation : 1967 1095

(4Sw 5008) Paris, André, Le Partage de midi avec Edwige Feuillère, Le Soir , le 27 janvier 1967 (p. 41). - R.P., Le Partage de misi (Galas Karsenty-Herbert), La dernière heure , le 27 janvier 1967 (p. 43).

Théâtre Royal du Parc (Bruxelles) date de représentation : février 1971, mise en scène : Pierre Laroche, décors : Serge Creuz

? André Oumansky, Dominique Rozan, Claude Kœrner, Ysé : Nicole Lepage

(4Sw 5008) -A.V., Au Théâtre du Parc « Partage de midi », La dernière heure , le 14 février 1971 (p. 59). J.H., Partage de midi dans une mise en scène de Pierre Laroche, La libre Belgique , le 13 mars 1971 (p. 57). Sion, Georges, Claudel plus vivant que jamais, Revue Générale , mars 1971. Vermeulen, Marcel, Une oeuvre dont la densité trouve ici sa juste expression, Le Soir , le 13 février 1971 (p. 55).

1094 Lecture des actes I et II. 1095 Joué par la Compagnie Renaud-Barrault.

396 Télévison flamande (B.R.T. 2) , avec sous-titres en néerlandais date de diffusion : le 17 décembre 1981, mise en scène : Antoine Vitez

Atelier Théâtral de Louvain (Louvain-la-Neuve) date de représentation : le 25 septembre 1984 1096 , mise en scène : Armand Delcampe, décors : Josef Svoboda

Amalric : Delcampe, Mesa : Stéphane Jobert, Ysé : Fanny Delbrice, De Ciz : Christian Crahay

Centre Culturel de Huy 1097 date de représentation : le 25 mars 1992, mise en scène : Alain Legros

Ysé : Mireille Bailly, ? Axel de Boosere, Alain Legros, Mathias Simons

Théâtre Varia à Bruxelles date de représentation : le 22 avril 1999 1098 , mise en scène : Philippe Sireuil Canada Télévision ? date de l’émission : 1961-1962 1099

Centre National des Arts, Studio (Ottawa) date de représentation : le 3 octobre 1977, mise en scène : Olivier Reichenbach, décors : Guy Neveu, costumes : François Barbeau, musique : Jean Sauvageau

? Sophie Clément, Jean-Marie Lamieux, Guy Nadon, René Gagnon

Théâtre du Rideau Vert à Montréal date de représentation : janvier-février 1997

Danemark Det Kongelige – Teater, Comediehuset (Copenhague) date de représentation : octobre 1979, mise en scène : S. Frandsen

États-Unis (Noontide , Break of Noon ) ? date de diffusion : 1951

Theatre Marquee (New York) 1100

1096 Tournée jusqu’au 2 décembre 1984, présenté à Namur, Liège, Bruxelles, Vienne, Budapest et Louvain. Ce spectacle fut même enregistré par la télévision belge. 1097 Spectacle créé par le Groupe Evora. 1098 Présenté jusqu’au 12 mai 1999. 1099 Avec L’Annonce faite à Marie .

397 date de représentation : le 1er juin 1961, traduction et adaptation : Howard Hart, 1101 mise en scène : Paul E. Davis

Mesa : Michael Wagner, Amalric : Martin B. Rudy, De Ciz : George Morgan, Ysé : Tani Seitz

Tallmer, Jerry, [?], Village Voice , le 8 juin 1961, [?]. [?], Commonweal , nº 74, le 28 juillet 1961, [?]. [?], Herald , le 2 juin 1961, [?]. [?], New Yorker , le 10 juin 1961, [?]. [?], New York Herald , le 14 juin 1961, [?]. [?], New York Journal , le 3 juin 1961, [?]. [?], New York Times , le 2 juin 1961, [?]. [?], Saturday Review , nº 44, le 17 juin 1961, p. 51. [?], Telegram , le 3 juin 1961, [?]. [?], Women’s Wear Daily , le 7 juin 1961, [?]. reprise (The Voice of America) date de diffusion : 1961

Université de Berkeley (Californie) 1102 date de lecture : 1961 (1962 ?), traduction : Wallace Fowlie

Mount St Anges College (Baltimore) date de représentation : le 8 décembre 1967, 1103 traduction : Wallace Fowlie, mise en scène : Dale E. Fern

[?], Claudel Newsletter , nº 1, [?].

Ipswich Arts Theatre date de représentation : 1972

University of Texas (Dallas) date de représentation : octobre 1976, mise en scène : Micael Gillespie

(New York) 1104 date de représentation : décembre 1981, mise en scène : Michael Gillespie

1100 Le B.S.P.C. (n° 8, octobre 1961) renvoie à deux journaux, notamment au New York Times et au Herald Tribune . Quelques passages de la pièces furent enregistrés par la Voice of America et cette émission fut diffusée en Europe. 1101 Texte inédit. 1102 Lecture de la traduction. 1103 Les représentations ont été précédées par une introduction concernant la pièce, le 8 décembre de W. Fowlie, le 9 de H. Waters, le 15 de R. Girard et le 16 de F. Vial. 1104 Présenté par les acteurs de la troupe de l’Université du Texas à Dallas.

398 Finlande (Keskipaivan taite) Théâtre national Finlandais (Helsinki) , deuxième version date de représentation : 1965, traduction : Tyyne Saastarmoinen, mise en scène : Jack Witikka

Amalric : Heikki Savolainen, Mesa : Matti Ranin, Ysé : Eeva Katarina Volanen, De Ciz : Matti Varjo

France Laboratoire de Théâtre « Art et Action » (Paris) 1105 date de représentation : le 12 novembre 1921, mise en scène : Madame Lara et Édouard Autant 1106 , décors : André Girard, décors mobiles : Claude Autant-Lara, Édouard Autant- Lara

Le récitant : Georges Polti, Amalric : Arnyvelde, Mesa : P. Lestringuez, Ysé : Mme Lara, De Ciz : F. Divoire, La voix du cantique : Marie Bourgeot reprises date de représentation : le 4 février 1922 1107 date de représentation : le 24 avril 1926 1108

Théâtre Alfred Jarry date de représentation : le 14 janvier 1928 1109 , mise en scène : Antonin Artaud

Théâtre Marigny (Paris) 1110 , création mondiale ? officielle (française?) date de représentation : le 17 décembre 1948, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors : Félix Labisse, costumes : Christian Bérard

Amalric : Pierre Brasseur, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Edwige Feuillère, De Ciz : Jacques Dacqmine

Marcel, G., « Partage de midi », Les Nouvelles littéraires , le 30 décembre 1948, [?]. Mauriac, F., « En écoutant Partage de midi », Le Figaro Littéraire , le 25 décembre 1948, [?].

1105 M. Andersen mentionne qu’il s’agissait de la lecture. Voir aussi notre note pour la pièce Tête d’Or en 1924. 1106 En collaboration avec Autan-Lara et Akakia Viala. 1107 Puis joué le 5 février. 1108 Repris le 25 avril. 1109 On a joué un acte par provocation et sans autorisation du poète, par Antonin Artaud. 1110 Version pour la scène, réalisée par la Compagnie Renaud-Barrault, ensuite en tournée en juin 1949 – Anvers et Liège. En août et septembre 1950 tournée en Amérique du Sud (Rio, Sao Paulo, Montevideo, Buenos Aires – avec une nouvelle distribution – Mesa : J.-L. Barrault, Ysé : M. Renaud, Amalric : J. Desailly, De Ciz : J. Dacqmine), ensuite tourné à Londres du 1er au 4 octobre 1951 (Mesa : J.-L. Barrault, Ysé : E. Feuillère, Amalric : J. Servais, De Ciz : J. Dacqmine).

399 reprises (Théâtre des Célestins, Lyon) date de représentation : le 23 février 1949 1111 (Théâtre municipal, Rio de Janeiro) date de représentation : le 24 mai 1950 1112 Amalric : Jacques Dacqmine, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Madeleine Renaud, De Ciz : Jean Desailly

(Buenos Aires) 1113 date de représentation : le 11 juillet 1950 (Théâtre Marigny) date de représentation : le 23 octobre 1951 1114 (Théâtre Marigny) 1115 date de représentation : le 21 janvier 1954

Amalric : Jean Servais, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Edwige Feuillère, De Ciz : Jean Desailly

[?], Corriere di Sicilia , le 20 avril 1954, [?]. [?], France-Soir , le 25 janvier 1954, [?]. [?], Gazzetta del Mezzogiorno , le 16 avril 1954, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 21 juin 1954, [?]. [?], Hamburger Anzeigen , le 21 juin 1954, [?]. [?], Hamburger Echo , le 21 juin 1954, [?]. [?], Hommes et Monde , avril 1954, [?]. [?], L’Italia , le 17 mai 1954, [?]. [?], Journal de Genève , le 24 avril 1954, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 3 mai 1954, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 29 avril 1954, [?]. [?], Norddeutsche Rundschau , le 22 juin 1954, [?]. [?], La Patria , le 7 mai 1954, [?]. [?], Il Popolo , le 7 mai 1954, [?]. [?], Il Sole , le 17 mai 1954, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 1er juin 1954, [?]. [?], Tages-Anzeiger , le 29 avril 1954, [?]. [?], Die Tat , le 1er mai 1954, [?]. [?], Die Welt , le 17 juin 1954, [?].

1111 Joué les 23 et 24. 1112 Dans le cadre d’une tournée en Amérique du Sud, joué aussi le 25 mai. 1113 Dans le cadre de la même tournée, joué aussi les 12 et 15 juillet. 1114 Réalisé dans la même distribution qu’à Londres. 1115 Présenté aussi au Théâtre des Célestins à Lyon, au Grand Théâtre de Bordeaux, aux Galeries Saint-Hubert à Bruxelles et à l’Opéra flamand d’Anvers, suivi aussi d’une tournée en avril, mai et juin 1954 en Suisse (Genève, Berne, Zürich), en Italie (Nouveau Théâtre de Milan, Grand Théâtre de Turin, Carlo Alberto de Gênes, Théâtre Eliseo à Rome), en Allemagne (Munich, Baden-Baden, Tübingen, , Hambourg). Avec la distribution suivante : Ysé : Edwige Feuillère, Mesa : René Arrieu, De Ciz : Jean Michaud, Amalric : Yves Vincent. (Voir Œuvres complètes (tome VI), p. 312).

400 [?], Die Welt , le 22 juin 1954, [?]. [?], Zürcher Woche , mai 1954, [?].

(Théâtre Sarah-Bernhardt, Paris) 1116 date de représentation : le 2 juin 1957

Amalric : Jacques Dacqmine, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Edwige Feuillère, De Ciz : Jean Desailly

[?], Arts , le 12 juin 1957, [?]. [?], L’Effort Algérien , le 13 juin 1957, [?]. [?], Le Figaro , le 12 juin 1957, [?]. [?], Der Kurier , le 15 juin 1957, [?]. [?], Le Nouveau Rhin Français , le 23 juin 1957, [?]. [?], Quand même , le 11 décembre 1956, [?]. (L’Odéon-Théâtre de France, Paris) date de représentation : le 15 septembre 1961

Amalric : Jacques Dacqmine, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Edwige Feuillère, De Ciz : Jean Dessailly

B. P., « Partage de midi » à l’Odéon », (suite de la douzième page), Figaro littéraire , le 23 septembre 1961 (p. 10). J.C., « Dix appels pour la reprise du Partage de midi », France-Soir , le 17 septembre 1961 (p. 7). Leon, Georges, Edwige Feuillère : « Je joue avec passion mais je craindrais de mettre en scèn », L’Humanité , le 9 octobre 1962 (p. 20). [Non-signé], Edwige Feuillère dans « Partage de Midi : 20 rappels, 1.200.000 A.F. de recette, France-Soir , le 5 octobre 1962 (p. 19). [Non-signé], « Edwige Feuillère entre Claudel et « Le Crime ne paie pas », Combat , le 12 septembre 1961 (p. 4). [Non-signé], J.-L. Barrault engage Edwige Feuillère pour « Partage de midi », la pièce de Paul Claudel qu’il créa, il a y 12 ans, au théâtre Marigny avec elle , France-Soir , septembre 1961 (p. 3). [Non-signé], « Pierre Brasseur a retrouvé Edwige Feuillère dans « le Partage de midi », Parisien libéré , le 4 octobre 1962 (p. 18). [Non-signé], Pierre Brasseur partenaire d’Edwige Feuillère dans « Le Partage de midi » à l’Odéon, Figaro , le 25 août 1962 (p. 13).

(Théâtre Marigny) date de représentation : 1968

[?], The Times , le 30 avril 1968, [?].

Radio-Lille

1116 Réalisé dans le cadre du Théâtre des Nations dans la même distribution qu’en 1948 à l’exception de l’interprète d’Amalric qui était tenu par Jean Desailly.

401 date de diffusion : 1950

Compagnie Pierre Assy date de représentation : mars 1952, mise en scène : Pierre Assy

Chaîne nationale date de diffusion : le 26 novembre 1953, réalisation : Maurice Cazeneuve

Edwige Feuillère, Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur, Jacques Dacqmine, Récitant : Claude Aburbé

Chaîne nationale date de diffusion : le 22 février 1956

Théâtre du Quotidien de Marseille, Festival de Cassis date de représentation : en été 1958, mise en scène : Roland Monod

Amalric : Antoine Vitez, Ysé : Madeleine Marion

Théâtre de France date de représentation : le 15 septembre 1961, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Félix Labisse, costumes : Christian Berard

Mesa : J.-L. Barrault, Ysé : Edwige Feuillère reprises (France III) date de diffusion : le 10 septembre 1961 1117 (Grand Théâtre Municipal, Festival des Nuits de Bourgogne, Dijon) date de représentation : le 22 juin 1963 1118 (L’Odéon – Théâtre de France, Paris) 1119 date de représentation : le 16 février 1966

Amalric : Jean Martinelli, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Edwige Feuillère, De Ciz : Jean Desailly, Jean Négroni?

(Sw 10808 (II), 4 Sw 4071) Fournier, Thérèse : Edwige Feuillère a joué « Le partage de midi » avec une sinusite, France Soir , Dernière Heure, le 19 février 1966 (p. 10). Julien, Pierre, Pour Malraux et Amiens Feuillère joue ce soir « Le Partage de midi », L’Aurore , le 13 février 1966 (p. 11). Pantel, Monique : -Mme Feuillère, on vous appelle la « Grande dame du théâtre... » - Peuh..., Paris Presse L’Intransigeant , le 22 février 1966 (p. 11).

1117 Extrait d’une des scènes de la pièce jouée par Edwige Feuillère. 1118 Dans le cadre du Festival des Nuits de Bourgogne en juin –juillet. 1119 Selon quelques articles « la vraie première » de cette pièce s’est déroulée le 12 février à l’occasion de l’inauguration de la Maison de la Culture d’Amiens. Tournée Herbert de janvier à mai à travers la France, la Belgique, la Hollande, le Luxembourg, la Suisse et le Portugal.

402 Pierre, Julien, Amiens ce soir « Le Partage de midi », L’Aurore , le 12 février 1966 (p. 2). Pierre, Julien, Pour Malraux et Amiens Feuillère joue ce soir « Le Partage de midi », L’Aurore , le 13 février 1966 (p. 11). P.J. [Pierre, Julien ?], Cette nuit à l’Odéon Feuillère, toujours aussi jeune, a retrouvé Claudel, L’Aurore , le 17 février 1966 ( p. 7). P.J., Feuillère, toujours aussi jeune, a retrouvé Claudel, L’Aurore, le 17 février 1966 (p. 7). Zind, Nicole, Amiens compte déjà 5000 adhérents, Le Monde , le 4 février 1966 (p. 2). [Non-signé], Dix representations de « Partage de midi » à L’Odéon, Combat , le 1er février 1966 (p. 5). [Non-signé], Edwige Feuillère à Barrault : « Alors, je n’ai pas vieilli ? », 24 Heures , le 18 février 1966 (p. 9). [Non-signé], Edwige Feuillere : Retour au Théâtre de France avec « Le Partage de midi », Parisien Libéré , le 15 février 1966 (p. 8). [Non-signé], Edwige retricote pour Claudel, Paris-Presse-L’Intransigeant , le 11 février 1966 ( p. 5). [Non-signé], Festations inaugurale « Partage de midi » par le Théâtre de France, Courrier Picard , le 10 février 1966 (p. 10). [Non-signé], « Le Partage de midi » au profit de l’enfance, Parisien Libéré (Paris), le 3 février 1966 (p. 6). [Non-signé], « Le Partage de midi » Barrault et Feuillère (diversement) aux prises avec Claudel et Dieu, Courrier Picard , Amiens, le 14 février 1966, (p. 3). [Non-signé] ; « Le Partage de Midi » repris à l’Odéon, Tribune de Genève , le 17 février 1966 (p. 10) ; Charleroi , le 13 février 1966 (p. 10). [Non-signé], « Partage de midi » de Claudel par le Théâtre de France, Le Courrier Picard , Amiens, le 10 février 1966 ( p. 1). [Non-signé], »Partage de midi », gala de bienfaisance, Le Figaro , le 1er février 1966 (p. 5). [Non-signé], Paul Claudel, « Le Partage de midi » (Odéon), Journal de Genève , le 26 février 1966 (p. 15).

Théâtre Quotidien de Marseille , Festival de Cassis (Cassis) date de représentation : ?, mise en scène : Roland Monod

Ciz : Antoine Vitez, Ysé : Madelaine Marion

Théâtre Récamier (Paris) date de lecture : le 27 janvier 1962 Lecure : Alain Cuny

France-Culture date de diffusion : le 12 juin 1966

Lecture : Alain Cuny

Comédie de la Loire (Tours) date de représentation : décembre 1966, mise en scène : Guy Suarès

Théâtre Municipal (Angers) date de représentation : avril 1967, mise en scène : Jean-Michel Sénécal

403 Comédie de la Loire (Grand Théâtre, Tours) date de représentation : le 22 mars 1968

Compagnie Dominique (Dinan) 1120 date de représentation : le 29 mai – 5 juin 1970

Théâtre des Mathurins (Paris), version pour la scène date de représentation : le 20 septembre 1971, mise en scène : André Oumansky, décors et costumes : Roger Harth, musique : Fred Kiriloff

Amalric : André Oumansky, Mesa : Denis Manuel, Ysé : Maryvonne Schiltz, De Ciz : Yan Brian

(4 Sw 4071) Galey, Matthieu, « Partage de midi » de Paul Claudel, Combat , le 29 septembre 1971 (p. 35). Gautier, Jean-Jacques, Partage de midi, Le Figaro , le 29 septembre 1971 (p. 37). Chabanis, Chr., Claudel, « ce nom qu’elle est seule à savoir », La France Catholique , le 15 octobre 1971 (p. 51). J. G., « Partage de midi » de Claudel aux Mathurins André Oumansky, « Une pièce baroque a partir d’un fait divers », Combat , le 18 septembre 1971 (p. 33). Mambrino, Jean, Partage de midi, Les Etudes , décembre 1971 (p. 55). Marcabru, Pierre, « Partage de midi », des épaules trop fragiles, France Soir , le 29 septembre 1971 (p. 39). M. G., Partage de Midi, L’Express , le 11 octobre 1971 (p. 43). Lemarchand, Jacques, Franchir les barbelés..., Le Figaro , le 29 octobre 1971 (p. 53-54). Lerminier, Georges, Le Partage de midi, Le Figaro , le 4 octobre 1971 (p. 45). Poirot-Delpech, Bertrand, « Partage de midi », de Paul Claudel, Le Monde , le 29 septembre 1971 (p. 43). Ransan, André, Aux Mathurins « Partage de midi » de Paul Claudel, L’Aurore , le 29 septembre 1971 (p. 41).

Compagnie Georges Henri Régnier (Théâtre de Bourges) date de représentation : mars-avril 1973, mise en scène : Georges-Henri Régnier

Ysé : Marie Laforêt

Troupe du Rondeau (Rambouillet) date de représentation : octobre 1974 1121

Théâtre Marigny, Comédie-Française (Paris) date de représentation : le 21 novembre 1975, mise en scène : Antoine Vitez, décors et costumes : Yannis Kokkos

1120 Présenté aussi à Doué-la-Fontaine, Le Mans, Nantes et Saumur. 1121 Cette compagnie d’amateurs avait déjà monté L’Otage .

404 Amalric : Michel Aumont, Mesa : Patrice Kerbrat, Ysé : Ludmila Mikaël, De Ciz : Jérôme Deschamps

Alter, André, Un chant d’amour et de mort, Témoignage chrétien , le 11 décembre 1975 (p. 43). Cartier, Jacqueline, Huées et bravos pour le « Claudel » de Vitez, France-Soir , le 23 novembre 1975 (p. 15). Cournot, Michel, Claudel le diable, Le Monde , le 29 novembre 1975 (p. 19-20). Dumur, Guy, le Le cantique de l’adultère, Le Nouvel Observateur , le 8 décembre 1975 (p. 37-40). Frossard, André, Des âmes, Le Figaro , le 29 novembre 1975 (p. 21). Galey, Matthieu (M. G.), « Le Partage de midi » de Paul Claudel Le grand large du génie, Le Quotidien de Paris , le 29 novembre 1975 (p. 23-24). Chabanis, Christian, Partage de Midi, France Catholique Ecclesia , le 12 décembre 1975 (p. 47-48). Chabanis, Christian (C.C.), Procès à Claudel, France catholique Ecclesia , le 26 décembre 1975 (p. 51-52). J.-P. L., Remous au « Français », un acteur de « Partage de midi » évincé !, L’Humanité , le 12 décembre 1975 (p. 45). Leblanc, Alain, « Partage de Midi » à la Comédie Française, le Le Quotidien de Paris , le 8 novembre 1975 (p. 3-5) Leonardini, J.-P., Le duel inexpiable « Partage de Midi », de Claudel à Marigny, L’Humanité , novembre 1975 (p. 25). Leonardini, le J.-P., « Partage de midi » à la Comédie-Française Antoine Vitez, « Claudel ou l’obscénité bourgeoise »., L’Humanité , le 22 novembre 1975 (p. 13). Lerminier, le Georges, Comédie Française Partage de Midi, Le Parisien , le 4 décembre 1975 (p. 29). Marcabru, P, « Le partage de midi » Eblouissant, France Soir , le 29 novembre 1975 (p. 17). Matignon, Renaud: Antoine Vitez entre politique et théologie, Le Figaro , le 20 novembre 1975 (p. 11). Nourissier, François, Partage de Midi Claudel indestructible, Le Figaro , le 29 novembre 1975, p. 21 (p. 22). R.K., « Partage de midi » rajeuni, L’Express , le 8 décembre 1975 (p. 41). Vitez, Antoine, Notes de travail sur « Partage de midi » Claudel n’est pas notre contemporain, Le Monde , le 19 novembre 1975 (p. 9-10). [Non-signé], Claudel et Strinberg à la Comédie-Française. Deux contresens, La Croix , le 7 décembre 1975 (p. 31). [?], [?], Herald Tribune , le 6 décembre 1975 (p. 30). [Non-signé], le Partage de midi, L’Express , le 8 décembre 1975 (p. 35). [Non-signé], Le Partage de midi, Le Nouvel Observateur , le 17 novembre 1975 (p. 7). [Non-signé], Partage de midi, Le Nouvel Observateur , le 29 décembre 1975 (p. 53). [Non-signé], Partage de midi, le pièce de Paul Claudel, Valeurs Actuelles , le 8 décembre 1975 (p. 33). [Non-signé], Partage de Midi par Antoine Vitez, Le Monde , le 18 décembre 1975 (p. 49). [?], L’Aurore , le 29 décembre 1975, [?]. [?], Le Canard enchaîné , le 3 décembre 1975, [?]. [?], Esprit , janvier 1976, [?].

405 [?], L’Humanité , le 29 décembre 1975, [?]. [?], L’Humanité-Dimanche , le 17 décembre 1975, [?]. [?], Le Journal du Dimanche , le 14 décembre 1975, [?]. [?], Le Journal du Dimanche , le 30 décembre 1975, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 1er juin 1976, [?]. [?], Nouvelles Littéraires , le 8 décembre 1975, [?]. [?], Quinzaine Littéraire , le 16 décembre 1975, [?].

reprises (Comédie-Française) date de représentation : 1976

Chambaz, Jacques, « Pour l’enrichisement de la vie culturelle l’urgence de l’heure est à l’union, L’Humanité , le 16 février 1976 (p. 63). (Ibis), Le Partage de midi de Paul Claudel au Théâtre Marigny, Les Etudes , mars 1976 (p. 65-66). Julien, le Pierre, A 26 ans, Anne Delbée se voit ouvrir les portes de la Ville..., L’Aurore , le 9 janvier 1976 (p. 57-58). [Non-signé], Antoine Vitez, prix Dominique, Le Figaro , le 30 janvier 1976 (p. 61).

(Comédie-Française, Paris) date de représentation : le 10 février 1977

Amalric : Michel Aumont, Mesa : Patrice Kerbrat, Ysé : Ludmila Mikael, De Ciz : Jean- Luc Boutté

[Non-signé], Reprise du « Partage de Midi » au Français, L’Aurore , le 4 février 1977 (p. 69).

(Théâtre des Célestins, Lyon) date de représentation : le 25 mars 1977

Perros, Christiane, La Comédie-Française présente « Partage de Midi » de Claudel au Théâtre de la Comédie, Tribune de Genève , le 22 avril 1977 (p. 81). [Non-signé], Partage de Midi, Resonnance , le 15 mars 1977 (p. 79).

(France-Culture) date de diffusion : juin 1977 1122 , réalisation : Jacques Audoir

Alter, André, Le Partage de Midi. A 37 ans, un « incurieux du prochain » rencontre Ysé..., Telerama , le 4 juin 1977 (p. 85-88). Alter, André, « Partage de midi » de Paul Claudel, Telerama , le 4 juin 1977 (p. 83).

(TF 1) 1123

1122 Le premier et le troisième acte de la pièce retransmis de la Comédie-Française. 1123 Joué par les Comédiens-Français.

406 date de diffusion : le 24 juin 1977

Debreuil, Laure, Partage de midi à la télévision, Le Matin , le 24 juin 1977 (p. 105). Gozard, Claudine, Pour Claudel le salut de tous les hommes passe par l’amour, TopTélé , le 15 juin 1977 (p. 91-92). Favard, Jerome, Claudel à vif, L’Humanité , le 24 juin 1977 (p. 101). Marcabru, Pierre, Ce soir, sur TF 1 « Le partage de midi » L’histoire d’une passion, Le Figaro , le 24 juin 1977. Megret, Christian, Claudel venait de traverser une crise morale lorsqu’il écrivit « Le Partage de Midi » (TF 1), Le Parisien , le 24 juin 1977 (p. 103-104). Schidlow, Joshka, Le Partage de Midi, Telerama , le 18 juin 1977 (p. 95). Thirifays, André, Le « Partage de Midi », Le Soir , le 26 juin 1977 (p. 115). [Non-signé], La Comédie Française présente, Le Partage de midi, Télé Journal , le 18 juin 1977 (p. 93). [Non-signé] Partage de midi entre la chair et l’esprit, La Libre Belgique , le 24 juin 1977 (p. 107). [Non-signé], « Le Partage de midi », Claudel mis en scène par Vitez, Tribune de Genève , le 24 juin 1977 (p. 109). [Non-signé], Le partage de midi, Telestar , le 18 juin 1977 (p. 97). [Non-signé], Le Partage de Midi, TopTélé , le 5 juin 1977 (p. 89). [Non-signé], le Retransmission théâtrale la comedie française presente, Le Partage de midi, Telehebdo , le 18 juin 1977 (p. 99-100). (Comédie-Française, Paris) date de représentation : 1978 date de représentation : le 19 novembre 1980

Théâtre du Pavé (Grenier de Toulouse) 1124 date de représentation : le 18 octobre 1979, mise en scène et décors : Paul Berger

Amalric : Jean-Paul Schack, Mesa : Paul Berger, Ysé : Elsa Berger, De Ciz : Jean Castellat reprise (Centre Culturel, St Médard-en-Jalles) date de représentation : le 16 janvier 1981

Centre National Dramatique des Pays de Loire (Les Sables d’Olonne) date de représentation : le 3 mars 1980 1125 , mise en scène : Jacques Goasguen

Amalric : Jacques Zabor, Mesa : Jean-Pierre Savinaud, Ysé : Rosine Proust, De Ciz : Alain Hitier

Comédie-Française (Théâtre Français, Paris)

1124 Présenté aussi à Albi, Cahors, Montauban, Rodez et en en juin et juillet à Moissac, Carcassonne et Avignon, en automne à Pau et Perpignan et en juillet 1981 au château de Rochechouart. 1125 Il s’agit de la tournée aux Sables-d’Olonne, Saumur, Segré, La Flèche et Cholet.

407 date de représentation : le 19 novembre 1980 1126 , mise en scène : Antoine Vitez, décors et costumes : Yannis Kokkos

Comapagnie Chatot-Youyoucas (Théâtre Espace Massalia, Marseille) date de représentation : le 8 janvier 1985, mise en scène : Françoise Charoi et Andonis Vouyoucas, décors et costumes : Claire Belloc

Amalric : Alexandre Fabre, Mesa : Bernard Montini, Ysé : Françoise Charoi, De Ciz : Serge Galibardy reprises (Théâtre des Mathurins, Paris) 1127 date de représentation : le 8 mai 1986

Amalric : Alain Choquet, Mesa : Bernard Montini, Ysé : Françoise Charoi, De Ciz : Jacques Fontanel

(Théâtre Espace Massalia, Marseille) date de représentation : le 4 mars 1986

(Théâtre Daniel Sorano, Grenier de Toulouse) 1128 date de représentation : le 14 janvier 1986, mise en scène : Gilles Atlan, décors et costumes : Charles Marty, costumes : Patrice Cauchetier, musique : Jean-Marie Senia

Amalric : Bernard Fresson, Mesa : Serge Avedikian, Ysé : Marie-Christine Barrault, De Ciz : Jacques Rosner

Reprise (Théâtre de l’Est Parisien) date de représentation : le 21 avril 1987 1129

Chapelle des Pénitents blancs, Festival d’Avignon (Avignon), lecture, v. Tête d’or , 1986, Festival d’Avignon date de lecture : le 27 juillet 1986

Lecture : Alain Cuny reprise (France-Culture) date de diffusion : le 23 août 1986

Radio 1130 date de diffusion : le 25 décembre 1989

1126 Ensuite tournée au Mexique (mai 1981). 1127 Dans la production de Compagnie Chatôt-Vouyoucas de Marseille. 1128 Ensuite présenté dans les grandes villes du Sud-Ouest. 1129 Par la Compagnie du Grenier de Toulouse, spectacle joué jusqu’au 30 mai. 1130 Radiodiffusion de la version de la Comédie Française.

408 reprise date de diffusion : le 3 mars 1990

Grenier de Toulouse et Centre Dramatique National (Théâtre de l’Est parisien, Paris) date de représentation : le 21 avril 1987, mise en scène : Gilles Atlan, décors : Charles Marty, costumes : Patrice Cauchetier

? Marie-Cristine Barrault, Bernard Fresson, Jacques Rosner

Compagnie Chatôt-Vouyoucas ( Théâtre Gyptis de Marseille) date de représentation : le 8 octobre 1985, mise en scène : Andonis Vouyoucas

? Françoise Chatôt, Alai Choquet, Jacques Fontanel reprise (Théâtre des Mathurins, Paris) date de représentation : le 8 mai 1986

Théâtre de l’Atelier (Paris) 1131 date de représentation : le 9 octobre 1990, mise en scène : Brigitte Jacques-Wajeman, décors : Roberto Plate, costumes : Emmanuel Peduzzi, musique : Marc-Olivier Dupin

Amalric : Jean-Pierre Marielle, Mesa : Didier Sandre, Ysé : Nicole Garcia, De Ciz : François Berléand

Segrestaa, Jean-Noël, Réflexions sur trois mises en scène, Bulletin de la Socété Paul Claudel , n° 122, Paris, 1991, p. 19-24. reprises (Paris) date de représentation : le 10 octobre 1990 (Salle Pierre Brasseur, Théâtre de Nice, Nice) date de représentation : le 24 janvier 1991 (Rennes) date de représentation : janvier 1991 1132 (Théâtre municipal, Nouveau Théâtre d’Angers, Angers) date de représentation : le 16 avril 1991 1133

(4Sw 11606) Bellamy, Olivier, « Le partage de midi » Des performances d’acteurs, Ouest France , le 19 avril 1991 (p. 235). B.G., « Partage de midi », la grâce par le péché, Le Courrier de l’Ouest , le 18 avril 1990 (p. 236).

1131 Tournée à Berne, Bruxelles, à La Haye, à Ludwigshaven, à Annecy, à Belfort, à Bourg-en- Breste, à Colmar, à Dijon, à Forbach, à Lyon, aux Maisons-Alfort, à Enghien, au Vésinet, à Saint- Germain-en-Laye, à Nice. 1132 Présenté aussi à Nice, à Lyon, à Enghien, à Sète. 1133 Après présenté à la Rochelle, à la Coursive.

409 Cournot, Michel, Barout à Fou-tcheou. « Ce n’est autre que l’histoire un peu arrangée de mon aventure » disait Claudel à propos du « Partage de midi », [?], 1991. Heliot, Armelle, Partage de midi La conquête du solei, Le Quotidien de Paris , le 17 octobre 1991 (p. 236). G.S., Partage de midi, Nouvelle Republique , le 11 avril 1991 (p. 233). Pasquet, Jacques, « Partage de midi » à Rennes et bientôt Angers. L’amour fou du jeune Paul Claudel, Ouest France , le 12 janvier 1991 (p. 229). Suares, Guy, La passion selon Claudel, Nouvelle Republique , le 15 juin 1991 (p. 236). [Non-signé], Il rest quelques places pour « Partage de midi », Le Courrier de l’Ouest , le 16 avril 1990 (p.232). [Non-signé], Le soleil en face, Angers Poche , n° 125 (p. 234). [Non-signé], Nicole Garcia à Angers pour une séance de plus, Le Courrier de l’Ouest , le 27 septembre 1990 (p. 231). [Non-signé], Partage de midi..., Ouest MagAnjou , mars 1991 (p.231). [Non-signé], Partage de midi au NTA, Ouest France , le 16 avril 1991 (p. 229). [Non-signé], Partage du midi de Claudel, Ouest France , le 9 avril 1991 (p. 230). [Non-signé], Partage de midi, de Paul Claudel avec Nicole Garcia et Jean-Pierre Marielle, Nouvelle Republique , le 10 avril 1991 (p. 233). [Non-signé], Pour trois soirs au théâtre, « Partage de midi », de Paul Claudel, Le Courreier de l’Ouest , le 9 avril 1991 (p. 231).

Théâtre de Grammont, Théâtre des 13 vents (Montpellier) 1134 date de représentation : le 14 octobre 1992, mise en scène : Juliette Reyniers

Ysé : Juliette Reyniers, ? Laurent Gersztenkorn, Olivier Mardi, Daniel Pepperosa

Whitaker, Marie-Joséphine, Partage de Midi à Montpellier, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 130, Paris 1993, p. 35. reprise (Théâtre Espace-Acteur de Paris) date de représentation : le 28 septembre 1993

Studio-Théâtre de Vitry date de représentation : le 24 mai 1993 (1994 ?), mise en scène : Alain Ollivier

Amalric : Philippe Girard, Mesa : Christian Cloarec, Ysé : Hélène Lausseur

Théâtre de la Métaphore (Lille) 1135 date de représentation : le 24 avril 1995, mise en scène : Tranvouez reprise (Thionville) date de représentation : le 6 mai 1995 1136

1134 Dans la production de la Compagnie Rumeurs des Sables ; 10 reprises. 1135 Joué jusqu’au 3 mai. 1136 Joué jusqu’au 15 mai.

410 Théâtre de Deux Rives (Rouen) date de représentation : les 3-28 novembre 1998, mise en scène : Jean-Pierre Rossfelder

Théâtre National de Chaillot, Salle Jean Vilar (Paris) date de représentation : le 14 janvier 1999, mise en scène : Gérard Desarthe, décors : Daniel Jeanneteau, costumes : Yvonne Sassinot de Nesle

Amalric : Jean-Pierre Malo, Mesa : Samuel Labarthe, Ysé : Valentine Varela, De Ciz : Réginald Huguenin

Théâtre de la Tempête (Paris) date de représentation : le 12 mars 1999, mise en scène : Jean-Pierre Rosfelder, décors et costumes : Malika Chauveau

Amalric : Régis le Rohellec, Mesa : Joseph Menant, Ysé : Muriel Piquart, De Ciz : François Grosjean

Théâtre Municipal de Tarascon date de représentation : les 4 et 5 avril 2003 1137 , mise en scène : Jean-Christophe Mast

Amalric : Michaël Abitboul, Mesa : Pierre Laneyrie, Ysé : Elvire Ferrand

Théâtre du Nord-Ouest date de représentation : le 21 mars 2004, mise en scène : Laurence Hétier

Théâtre du Fol Ordinaire (Théâtre Universitaire de Nantes) date de représentation : le 14 décembre 2004, mise en scène : Christian Rist et Lionel Monnier, décors : Tim Northam, costumes : Anne-Emmanuel Pradier

Mesa : Patrick Hautier, Ysé : Gaëlle Clerivet, De Ciz : Gilles Gelgon

Tremplin théâtre (Paris) date de représentation : le 11 mai 2006 1138 , mise en scène : Olha Kobryn

Amalric : David Le Bailly, Mesa : Nicolas Fréville, Ysé : Olha Kobryn, De Ciz : Michele Rizzello

Nantet, Marie-Victoire, Partage de Midi par la Compagnie Lilith s’envole, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 182, p. 64.

Centre Kazantsev de Moscou (Théâtre Phénix de Valenciennes), en langue russe date de représentation : le 14 février 2007, mise en scène : Vladimir Agueev reprises (Théâtre de l’Atalante à Paris)

1137 Ensuite repris à l’automne. 1138 Présenté jusqu’au 23 mai, réalisé par quatre étudiants de l’école Florent.

411 date de représentation : mai 2008 (Brangues) date de représentation : le 28 juin 2008

Comédie-Française (Salle Richelieu, Paris) 1139 date de représentation : le 31 mars 2007, mise en scène : Yves Beaunesne, décors : Damien Caille-Perret, costumes : Patrice Cauchetier

Amalric : Hervé Pierre, Mesa : Éric Ruf, Ysé : Marina Hands, De Ciz : Christian Gonon

Baron, Philippe, Partage de Midi à la Comédie-Française, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 186, juin 2007, p. 38-39. reprises (Théâtre Marigny, Paris) 1140 date de représentation : le 11 septembre 2009 (Théâtre Firmin Gémier, Théâtre La Piscine, Antony) date de représentation : le 9 octobre 2009 (Théâtre de Nîmes, Nîmes) 1141 date de représentation : le 5 novembre 2009 (Le Parvis, Tarbes-Ibos) date de représentation : le 9 novembre 2009 (L’Équinoxe, Chateauroux) 1142 date de représentation : le 13 novembre 2009 (La Coursive, La Rochelle) 1143 date de représentation : le 17 novembre 2009

Carrière de Boulbon, Festival d’Avignon (Avignon) 1144 date de représentation : le 4 juillet 2008, mise en scène : Gaël Baron, Nicolas Bouchaud, Charlotte Clamens, Valérie Dréville, Jean-François Sivadier, costumes : Virginie Gervaise

Amalric : Jean-François Sivadier, Mesa : Nicolas Bouchaud, Ysé : Valérie Dréville, De Ciz : Gaël Baron reprises (Grand Théâtre, Les Gémeaux, Sceaux) 1145 date de représentation : le 12 novembre 2008 (Salle Barrault, Carré Saint-Vincent, Centre dramatique national Orléans-Loiret-Centre, Orléans) 1146 date de représentation : le 27 novembre 2008

1139 Dans la production de la Compagnie de la Chose Incertaine-Yves Beaunesne de Paris. 1140 20 reprises, joué jusqu’au 3 octobre 2009. 1141 Joué deux fos. 1142 Joué deux fois. 1143 Ibid. 1144 18 reprises. 1145 11 reprises. 1146 3 reprises.

412 (Espace Malraux, Chambery) 1147 date de représentation : le 3 décembre 2008 (La Rose des Vents, Next Festival, Villeneuve-d’Ascq) 1148 date de représentation : le 10 décembre 2008

Le Préau (Vire) 1149 date de représentation : le 23 novembre 2009, mise en scène : Jean-Christophe Blondel, décors et costumes : Tormod Lindgren, musique : Wu Na

Ysé : Éléonore Joncquez-Simon, ? Marc Arnaud, Cédric Michel, Nicolas Vial

Théâtre de l’Aquarium (Paris) 1150 date de représentation : le 10 mars 2010, mise en scène : Antoine Caubet, décors et costumes : Isabelle Rousseau

Ysé : Cécile Cholet, ? Pierre Baux, Antoine Caubet, Victor de Oliveira reprises (Théâtre Jean Dasté, La Comédie de Saint-Étienne, Saint-Étienne) date de représentation : le 24 mars 2010 1151 (Théâtre de l’Aquarium, Paris) date de représentation : le 7 avril 2010

Compagnie Divine Comédie (Théâtre de l’Opprimé, Paris) date de représentation : le 16 mars 2011, mise en scène : Jean-Christophe Blondel

Fabrice Cals, Éléonore Joncquez-Simon, Cédric Michel, Nicolas Vial

Théâtre de la Tempête, Cartoucherie de Vincennes (Paris) date de représentation : le 9 juin 2011, mise en scène : Philippe Adrien et Daisy Amias

Ludivic Le Lez, Matthieu Marie, Mickaël Pinelli, Mila Savic

Grande Bretagne (Noonbreek , Break of Noon ) Radio 1152 date de diffusion : 1948, adaptation : Robert Speaight, traduction : Jonathan Griffin

Mesa : Robert Speaight

1147 4 reprises. 1148 Ibid. 1149 Dans la production de la Compagnie Divine Comédie de Rouen. 1150 Dans la production du Théâtre Cazaril de Paris. 1151 9 reprises. Dans la production du Théâtre Cazaril de Paris. 1152 La Radio BBC a diffusé notamment les pièces suivantes : le Partage de midi (dix fois), L’Otage (cinq fois), L’Annonce faite à Marie (trois fois), Protée (trois fois), Jeanne d’Arc au bûcher (deux fois), La défence de Judas (trois fois), Cinq Grandes Odes (trois fois). C’est la radiodiffusion de l’Otage qui avait le plus grand nombre d’auditeurs (71 %). Voir l’article de Leitgeber, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 47,48, 1972, p. 60-61.

413 (Saint James’s Theatre, Londres), reprise, v. msc. J.-L. Barrault, 1948 date de représentation : le 1 octobre 1951

Amalric : Jean Servais , Mesa : Jean-Louis Barrault , Ysé : Edwige Feuillère , De Ciz : Jacques Dacqmine

Hobson, Harold, [?], Sunday Times , le 7 octobre 1951, p. 2. Worsley, T.C., [?], New Statesman , le 6 octobre 1951. [?], Times , le 2 octobre 1951, p. 8e.

(Radio de Londres, reprise?) date de diffusion : 1951

(?) date du récital : le 13 mai 1952 1153

Récitant : Eve Francis

(Compagnie Renaud-Barrault, Adlwych Theatre, Londres) date de représentation : le 29 avril 1968, 1154 reprise, voir msc. Barrault, le 2 juin 1957

Ansorge, P., [?], Plays & Players , mai 1968, p. 52-55, 60. Bryden, Ronald, The Giant at a dead end, Observer , le 5 mai 1968, [?]. Hobson, Harold, [?], Sunday Times , le 5 mai 1968, p. 53. Kingston, J., [?], Punch , le 8 mai 1968, [?]. Spurling, H., French fix, Spectator , le 3 mai 1968, [?]. Wardle, Irving, C comes to puzzle, Times , le 30 avril 1968, p. 8c.

(Third Programme, reprise?) date de diffusion : le 9 août 1968, 1155 traduction : Adam Watson, réalisation : Christopher Holme

The Ipswich Arts Teater (Ipswich) date de représentation : le 15 mars 1972, traduction : Jonathan Griffin, mise en scène : Pierre Rouve, décors : Rosemonde Lawrence

Amalric : Kenton Moore, Mesa : Ben Kingsley, Ysé : Ann Firbank, De Ciz : Peter Badger

Billington, M., [?], The Guardian , le 27 mars 1972, [?]. Hobson, Harold, [?], Christian Science Monitor , le 24 mars 1972, [?]. Hobson, Harold, [?], Sunday Times , le 19 mars 1972, [?]. Marshall, Brenda, [?], Sunday Times , le 26 mars 1972, [?]. Shorter, Eric, [?], Daily Telegraph , le 22 mars 1972, [?].

1153 Récital à partir de la poésie de Baudelaire, Verlaine et Claudel, extraits du Partage de midi , du Soulier de satin et de la Cantate à troix voix ; etc. 1154 Spectacle joué jusqu’au 4 mai 1968 par la Compagnie Renaud-Barrault dans le cadre World Theatre Season. 1155 Reprise le 26 août 1968.

414 Trewin, J. C., [?], Birmingham Post , le 25 mars 1972, [?]. Wardle, Irving, [?], Times , le 17 mars 1972, [?]. [?], The Stage , le 23 mars 1972, [?].

Théâtre Artaud de l’Institut français de Londres 1156 date de représentation : le 16 novembre 1992 1157 , traduction : Susunnah York, mise en scène : Eloi Recoing

Amalric : Tim Woodward, Mesa : Michaël Thomas, Ysé : Susunnah York, De Ciz : Sam Cox

Billington, Michael, [?], The Guardian , le 25 novembre 1992, [?]. Longstaffe Moya, Chronique anglaise : Partage de Midi à Londres, dans la traduction de Susannah York, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 125, Paris 1992, p. 25-27. sous le titre The Divide of Noon

Third Programme date de diffusion : le 26 juin 1956, 1158 réalisation : Donald McWhinne sous le titre Meridian

[broadcasts, transmission?] date de retransmission : le 23 juillet 1950, 1159 traduction : Jonathan Griffin, adaptation : Robert Speaight, réalisation E. A. Harding

Mesa : Robert Speaight

Grèce Troupe Georgios Kipreos date de représentation : octobre 1998 – septembre 1999, mise en scène : Varvara Mavromati et Athènes Grèce

Théâtre national d’Athènes date de représentation : février-avril 2009, traduction : Stratis Pascalis, mise en scène : Jossi Wieler

1156 Deux reprises à Manchester. Voir l’article de Henri Claudel dans le Bulletin de la Société Paul Claudel (numéro 123) et aussi l’article « Un Événement à Londres … » du Bulletin n° 124 avec des extraits des critiques de la presse anglaise, notamment du Guardian (Michael Billington, le 25 novembre), du Financial Time et du Times . 1157 Avec deux reprises à Manchester. 1158 Reprises le 29 juin 1956 et le 23 juillet 1956. 1159 Reprises les 28 juillet, 14 août 1950 et le 18 mars et 13 octobre 1951.

415 Amalric : Lazaros Georgakopoulos, Mesa : Nikos Kouris, Ysé : Amalia Moutoussi, De Ciz : Nikos Karathonos

Italie (Crisi meridiana) (Eliseo de Rome) date de représentation : les 19 et 20 mai 1954, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors : Félix Labisse

Amalric : Yves Vincent, Mesa : René Arrien, Ysé : Edwige Feuillère, De Ciz : Jean Michaud

Petriccione, [?], Tempo di Roma , le 20 mai 1954, [?]. [?], La Fiera Letteraria , le 6 juin 1954, [?].

Compagnie Renaud-Barrault (Florence) 1160 date de représentation : les 13 et 14 juin 1963

Compagnie Renaud-Barrault (Teatro Lirico de Milan) date de représentation : février 1968 1161 , reprise, voir msc. Barrault, le 2 juin 1957

Amalric : Jean Dessailly, Mesa : Jean-Louis Barrault, Ysé : Edwige Feuillère

(4Sw 10810 [1]) L. Bar., Jean-Louis Barrault al P.T. : omaggio a Paul Claudel. Stasera va in scena « Partage de Midi », Presse Italienne (Milan) ; Corriere de la Sera , le 13 février 1968 (p. 48). Radice, Raul, « Partage de Midi » di Claudel al Lirico, Corriere de la Sera , le 14 février 1968 (p. 47). [Non-signé], « Partage de Midi » al Lirico, l’Unità (Milan), le 14 février 1968 (p. 47). [Non-signé], « Partage de Midi » per due sere al lirico, Corriere d’informazione , le 14 février 1968 (p. 48). [?], Il Giorno , le 13 novembre 1968, [?]. [?], Il Dramma , mai-avril 1968, [?].

Salone Pier-Lombardo (Milan) date de représentation : janvier 1988, mise en scène : Andréa-Ruth Shammah

Amalric : Teodoro Giuliani, Mesa : Franco Parenti, Ysé : Lucilla Morlacchi, De Ciz : Maurizio Schmidt

Bisicchia, [?], L’Avvenire , le 7 janvier 1988, [?]. Davico-Bonino, [?], La Stampa , le 20 janvier 1988, [?]. Ferrari, Adele, [?], Il Giornale di Bresteurs , le 21 janvier 1988, [?]. Paganini, Paolo, [?], La Notte , le 20 janvier 1988, [?]. Palazzi, Renato, [?], Corriere della Sera , le 20 janvier 1988, [?].

1160 Dans le cadre du Festival du Mai Florentin. 1161 Tournée de la Compagnie Barrault, invitée par le Piccolo Teatro.

416 Pensa, Carlo-Maria, [?], Famiglia Cristiana , le 5 mars 1988, [?]. Poli, Magda, [?], Il Giornale , le 9 janvier 1988 et le 20 janvier 1988, [?]. Ponte di Pino, Oliviero, [?], Il Manifesto , le 22 janvier 1988, [?]. Quadri, Franco, [?], La Republica , le 20 janvier 1988, [?].

Japon Maison franco-japonaise (Tokyo) 1162 date de représentation : le 22 octobre 1968, traduction : Hidéo Takahashi, mise en scène : Hideshige Suzuki

Maison franco-japonaise de Tokyo (Tokyo) 1163 date de représentation : le 24 octobre 1968

Parco Space part 3 (Tokyo) date de représentation : le 5 octobre 1988, traduction et mise en scène : Moriaki Watanabé reprise (Théâtre Piccoro, Amagasaki) date de représentation : le 14 octobre 1988

Luxembourg Théâtre des Capucins de Luxembourg date de représentation : 1989, mise en scène : Jean Perimony reprise (Théâtre Tristan-Bernard de Paris) date de représentation : mars-avril 1990

Martinique Radio-Martinique date de diffusion : 1950

Norvège (Middagshodje, Dagskilje, Dagen Vender ) Oslo Nye Teater 1164 date de représentation : le 31 janvier 1965 1165 , traduction et mise en scène : Claes Gill

Mesa : Espen Skjønberg, Ysé : Liv Dommersnes

1162 Réalisé par le groupe théâtral de la section de littérature française de l’Université Meiji- Gakuin. 1163 En français, réalisé par le groupe théâtral de L’Amicale de l’Institut franco-japonais. 1164 Nouveau Théâtre. 1165 Réalisé en langue norvégienne.

417 Théâtre radiophonique date de représentation : 1968

Torshov-teateret 1166 (Oslo) date de représentation : janvier, février 1988, traduction : Claes Gill, mise en scène : Eirik Nilsen

Det Norske teateret 1167 (Oslo) date de représentation : le 10 octobre 1998 1168 , traduction et mise en scène : Liv Ullmann, musique : Arne Nordheim

Ysé : Nina Woxholtt

[?], La voie vers Dieu, Dagbladet , 1998, [?]. [?], Värt Land , 1998, [?]. [?], Les débuts d’Ullmann, Aftenposten , le 12 décembre 1998, [?].

Pays-Bas (La Haye) 1169 date de représentation : décembre 2004, en langue allemande

Pologne ( Punkt przecieçia, Podzial poludnia ) Teatr Kameralny (Sopot, près Gdansk) date de représentation : le 14 septembre 1968, traduction : Julian Rogozinski, mise en scène : Piotr Paradowski, décors : Franciszek Starowieyski

Teatr Wspôlczesny (Varsovie) date de représentation : mars 1973 1170 , traduction : Julian Rogozinski, mise en scène : Jerzy Kreczmar

Mesa : Englet, Ysé : Halina Mikolajska

[?], Zycie Warzawy , 1973, [?].

Théâtre Jan Kochanowski (Opole) date de représentation : le 27 mars 2003, traduction : Mme Falska, mise en scène : Marek Pasieczny

Whitaker, Marie-Joséphine, Première de Partage de midi en Pologne [...], Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 170, juin 2003, p. 65-66.

1166 Théâtre Nationale Torshow d’Oslo. 1167 Théâtre norvégien. 1168 Joué jusqu’au 13 novembre. 1169 Réalisé par le Kammerspiel de Münich. 1170 Le spectacle a été repris en avril, mai et septembre.

418 Russie

? ?, mise en scène : Mirzoev

Théâtre « L’Entreprise russe » (Saint-Petersbourg) date de représentation : 2001 1171

Centre dramatique Kazansev-Rotchine (Moscou) 1172 Date de représentation : 2006, mise en scène : Vladimir Agueev, décors : Marina Filatova

Ysé : Tatiana Stepantchenko reprise (Théâtre de l’Atalante) 1173 , en russe, surtitré date de représentation : du 7 au 13 mai 2008

Suisse ( Mittagswende ) Théâtre Universitaire de Zofingue 1174 date de représentation : janvier 1944, mise en scène : M. Pasquier

[?], Gazette de Lausanne , [?]. [?], Nouvelle Revue de Lausanne , [?]. [?], Lausanne Curieux , [?]. [?], Tribune et Feuille d’Avis de Lausanne , [?].

(Genève) 1175 , reprise, v. France, Festival de Cassis, 1958 date de représentation : 1959, mise en scène : Roland Monod 1176

Ysé : Madeleine Marion

Schauspielhaus de Zürich , v. même Francfort, 1960 date de représentation : le 30 avril 1960, mise en scène : Robert Freytag, décors et costumes : Toni Businger

Amalric : Gert Westphal, Mesa : Peter Schütte, Ysé : Maria Becker, De Ciz : Wolfgang Haldiner

1171 Il s’agit d’une adaptation libre créée à partir de la version de 1949. 1172 Ce centre a été fondé en 1998 pour donner aux jeunes metteurs en scène « un espace d’expression et d’expérimentation ». 1173 Coproduction : Théâtre Le Phénix de Valenciennes. 1174 Sans autorisation du poète, le spectacle a été interdit après la première réalisation. 1175 Présenté à l’occasion des Rencontres Internationales. 1176 Par la compagnie du Théâtre quotidien de Marseille.

419 Brock-Sulzer, Elisabeth, [?], Die Tat , le 3 mai 1960, [?]. Krättli, Alfons, [?], Neues Winterthurer Tagblatt , le 3 mai 1960, [?]. [?], Aargauer Tagblatt , le 21 mai 1960, [?]. [?], Christliche Kultur , le 1 er juillet 1960, [?]. [?], Luzerner Tagblatt , le 17 mai 1960, [?]. [?], National-Zeitung , le 3 mai 1960, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 3 mai 1960, [?]. [?], Neuer Zurcher Nachrichten , le 10 juin 1960, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 2 mai 1960, [?]. [?], St. Galler Tagblatt , le 21 mai 1960, [?]. [?], Tagesanzeiger , le 4 mai 1960, [?]. [?], Volksrecht , le 4 mai 1960, [?]. [?], Die Weltwoche , le 6 mai 1960, [?]. [?], Die Woche , n° 20/60, [?]. [?], Zürcher Woche , le 6 mai 1960, [?]. [?], Zürichsee-Zeitung , le 3 mai 1960, [?].

Comédie de Génève ? date de représentation : avril 1967, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors : Félix Labisse

Amalric : Jean Martinelli, Mesa : Jean Négroni, Ysé : E. Feuillère, De Ciz : Claud d’Yd

(4Sw 5008) Bard, Daniel, Edwige Feuillère joue le « Partage de Midi » de Paul Claudel, La Tribune de Genève , 6.4.1967 (p. 27). B.S., A la Comédie, « Partage de midi », Journal de Genève , 6.4.1967 (p. 25).

Théâtre 58 de Zürich date de représentation : février-mars 1975

Schauspielhaus Zürich date de représentation : le 5 mars 1983, mise en scène : Werner Düggelin, décors : Wolfgang Mai, costumes : Franziska Loring

Ysé : Christiane Hörbiger, Mesa : Fritz Schediwy, De Ciz : Peter Brogle, Amalric : H.- Dieter Jendreyko

Krättli, Anton, [?], Aargauer Tagblatt , le 9 mars 1983, [?], *(p. 81-82). Kuhn, Christoph, [?], Tages Anzeiger , Zürch, le 7 mars 1983, [?], *(p. 81).

Théâtre Vidy-Lausanne date de représentation : le 26 mai-17 juin 1998, mise en scène : Gérard Desarthe reprises (Chaillot, Salle Gémier) date de représentation : janvier 1999 (Théâtre du Gymnase à Marseille)

420 date de représentation : février 1999

Tunisie Radio-Tunis date de diffusion : 1950

Yougoslavie Teatar ITD (Zagreb) , première représentation en langue croate date de représentation : le 26 avril 1969 1177 , traduction et mise en scène : Petar Selem

Selem, Petar, Susret s Claudelom, Kritika , Zagreb, XI-XII, 1969, [?]. reprises (Split) date de représentation : 1970 (Teatarit Zagreb) date de représentation : 1973

Théâtre National de Ljubljana date de représentation : 1989, traduction : Ales Berger

Le Père humilié Allemagne ( Der erniedrigte Vater ) Staatliches Schauspielhaus Dresden (Dresden), création mondiale date de représentation : le 26 novembre 1928, mise en scène : Josef Gielen, décors : Adolph Mahnke

Der Papst Pius : Erich Ponto, Franziskaner (Der Minoritenbruder) : Martin Hellberg, Der Graf de Coûfontaine, vormals Louis Turelure : Bruno Decarli, Orian Dall´Armi : Felix Steinböck, Orso Dall´Armi : Paul Haffmann, Pensée de Coûfontaine : Antonia Dietrich, Sichel : Stella David

Fantl, Leo, [?], Kölnische Zeitung , le 4 novembre 1928, [?]. Fantl, Leo, [?], Vossische Zeitung , le 29 novembre 1928, [?]. Schnack, Friedrich, [?], Neue Badische Landeszeitung , le 1er décembre 1928, [?]. Zimmermann, Félix, [?], Dresden Nachrichten , le 27 novembre 1928, [?].

Neues Münchner Theater date de représentation : novembre 1945, mise en scène : Hermann Schultze-Griesheim, décors : Wolf Panizza

Der Papst Pius : Adalbert Gausche, Der Franziskaner : Rudolf Helten, Der Graf de Coûfontaine, Botschafter Frankreichs in Rom : Jochen Hauer, Der Fürst Wronsky : Fritz

1177 Joué trois ans, jusqu’en 1971.

421 Walter, Orian Dall´Armi : Herbert Steininger, Orso Dall´Armi : Brenno Sterzenbach, Pensée de Coûfontaine : Inge Brikmann, Sichel : Paula Braendt, Lady U : Eva Fiebig

Groll, Gunter, [?], Neue Zeitung , [?].

Reprises (Dramaturgisches Institut Düsseldorf), 1949 (Sarrebruck), 1950 (Stadttheater Aachen), le 28 février 1957

Teater der Stadt (Bonn) date de représentation : 1950/1951, mise en scène : Heinrich Troxbomker

Radio Cologne date de diffusion : 1951

Städtische Bühnen Freiburg i. Br. (Freiburg) date de représentation : le 23 mai 1963, mise en scène : Hans-Reinhard Müller, décors : Bert Kistner, costumes : Ingeborg Graff

Der Papst Pius : Franz Andermann, Der Franziskaner : Willi Schneider, Der Graf de Coûfontaine, vormals Turelure, Botschafter Frankreichs in Rom : Herbert Mandel, Orian Dall´Armi : Paul Bösiger, Orso Dall´Armi : Winfried Görlitz, Pensée de Coûfontaine : Christiane Bruhn, Sichel : Hetha Trüb

[?], Badische Neueste Nachrichten , le 6 juin 1963, [?]. Giesler, Rupert, [?], Badische Zeitung , le 25 mai 1963, [?]. [?], Südkurier , Konstanz, le 5 juin 1963, [?].

Städtische Bühnen Augsburg date de représentation : le 24 mars 1966, mise en scène : Heinz Gerstinger, décors : Heinz- Gerhard Zircher, costumes : Annie Keim-Strauß

Der Papst Pius : Jörg Schleicher , Der Franziskaner : Marianus März, Der Graf de Coûfontaine, vormals Louis Turelure, Botschafter Frankreichs in Rom : Walter Laugwitz, Orian Dall´Armi : Gregor Bals, Orso Dall´Armi : Horst Reckers, Pensée de Coûfontaine : Sylvia Ulrich, Sichel : Inge Conradi

Lethmair, Thea, [?], Augsburger Allgemeine , le 26 mars 1966, [?].

(Oberhausen) date de représentation : 1966 nebo 67

Stadtische Bunhen Oder Hausen date de représentation : mars 1967, mise en scène : Doct. Giselher Schweitzer

Belgique

422 Radio Bruxelles date de diffusion : 1950

Théâtre des Galeries (Bruxelles) date de représentation : novembre 1954, mise en scène : Pierre Franck

(Bruxelles) date de diffusion : le 11 novembre 1961 1178 Canada Radio-Canada date de diffusion : janvier 1972

Théâtre du Nouveau Monde (Montréal) date de représentation : octobre 1975, mise en scène : Jean-Louis Roux

France Théâtre des Champs-Elysées (Paris) date de représentation : le 10 mai 1946, mise en scène : Jean Valcourt, décors et costumes : Tahard, musique : Maria Scibor, chef d’orchestre : Nicolas Afonsky

Pensée de Coufontaine : Claude Nollier, Sichel : Andrée de Chauveron, Le Prince Wronsky : Pierre Magnier, Le Comte de Coufontaine : Camille Bert, Orian de Homodarmes : Jean Valcourt, Lady U : Lucienne Réal, Orso de Homodarmes : Nerbert Pierlot, Le Franciscain : Roland Keissler, Le Pape Pie IX : Georges Le Roy

(4Sw 7989) Alter, André, « Le Père humilié » de Paul Claudel, Aube , le 14 mai 1946 (p. 9). Beigbeder, Marc, Massacres d’aigles, Temps present , le 17 mai 1946 (p. 27-28). Bizet, René, Jeux de jupes..., Bataille , le 22 mai 1946 (p. 29). Cogniat, Raymond, La mise en scène, Arts , le 17 mai 1946 (p. 25). Gandrey-Rety, Jean, Au Th. Des Champs-Elysées Le Père humilié, Arts , le 17 mai 1946 (p. 23 -24). Huisman, Georges, France au Combat , le 23 mai 1946 (p. 33). Laborde, René, Le cas Claudel, Paysage , le 9 mai 1946 (p. 5). Lalou, René, Le père humilié, Gavroche , le 16 mai 1946 (p. 13-14). Lambert, Jean, Le Père humilié, Paysage , le 30 mai 1946 (p. 35-36). Kemp, Robert, « Le Père humilié », Le Monde , 18 mai 1946 (p. 19-20). Madaule, Jacques, De la scène à l’écran « Le Père humilié », au théâtre des Champs- Elysées, Ordre , le 16 mai 1946 (p. 17). Marcel, Gabriel, Le Père humilié, Nouvelles litterraires , le 23 mai 1946 (p. 31-32). Mignon, Paul-Luis, Petites notes sur un grand théâtre, Action , le 17 mai 1946 (p. 21). Thiebot, Marcel, On éprouve, devant..., Carrefour , le 16 mai 1946 (p. 15). Valogne, Cath. (Cathrine), Le Père humilié, Arts , le 3 mai 1946 (p. 3).

Chaine nationale

1178 Radiodiffusion du spectacle réalisé par la Compagnie de Guè Suarès.

423 date de diffusion : le 9 janvier 1951, direction artistique : Maurice Cazeneuve, réalisation : Henri Soubeyran

Jean Debucourt, Henri Rollan, Jean Desailly, Jean Hervé, Jacques Dufilho, Bernard Noël, Yolande Laffon, Claude Aburbé, Martine Sarcey, Louise Conte

Le Théâtre de l’Apollo date de représentation : 1953, répétition générale 1179

Tournée Georges Herbert 1180 date de représentation : 1954-1955, mise en scène : Pierre Franck, décors et costumes : Pierre-Louis Thévenet, musique : Maria Scibor

Pensée : Maria Casarès, Sichel : Marguerite Cavadaski, Germain Engel, Prince Wronsky : Georges Atlas, Coufontaine : Pierre Would, Orian : René Arrieu, Lady U : Lucette Stéphaine, Orso : Marc Cassot, Le Frère Mineur : Jean Malambert, Le Pape : Georges Hubert

[?], Frankfurter Allgemeine , le 24 juin 1955, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 12 juin 1955, [?]. [?], Tages-Anzeiger , le 3 juin 1955, [?]. [?], Die Tat , le 14 juin 1955, [?].

Centre Dramatique National du Nord (Tourcoing) 1181 date de représentation : le 10 avril 1961, mise en scène : André Reybaz, décors : Catherine Toth et Jean-Pierre Girard, costumes : Catherine Toth, musique : Maria Scibor

Pensée de Coûfontaine : Françoise Goléa, Sichel : Renée d’Yd, Prince Wronsky : Maurice Santal, Comte de Coufontaine : Michel Chasseing, Ladu U : Juliette Brac, Orian de Homodarmes : André Reybaz, Le Frère mineur : Fred Descamps, Le Pape Pie IX : Philippe Kellerson

(Cloître St-Séverin, Paris) 1182 date de représentation : le 18 juin 1961, mise en scène : Guy Suarès, décors et costumes : Domitilla Amaral, musique : Maria Scibor

Pensée : Domitilla Amaral, Sichel : Suzanne Stanley, Orian : Alain Mac Moy, Lady U : Alice Sapritch, Orso : Jean-Jacques Lagarde, Frère Mineur : Claude Evrard

1179 En tournée avec Maria Casarès. 1180 Spectacle présenté en Suisse (12 représentations, d’octobre 1954 à janvier 1955), Luxembourg (2), en Belgique (12), en Afrique du Nord (19) et en France (32, Lyon, Bordeaux, Marseille, Toulouse). 1181 Tournée du 10 avril au 15 mai, spectacle présenté dans les villes suivantes : Pas-de-Calais, Somme, Oise, Aisne, Ardennes, Seine-Maritime et bien en Belgique. La dernière représentation est donnée à Roubaix le 9 mai. 1182 Dans le cadre du Festival d’art dramatique, présenté du 16 juin au 2 juillet.

424 Alter, André, Le Père Humilié de Claudel au Cloître Saint-Séverin, Témoignage chrétien , le 30 juin 1961 (p. 10-11). Gordeaux, Paul, Au théâtre à ciel ouvert du cloître Saint-Séverin « Le Pere humilié » de Paul Claudel (Du Claudel aéré...), France-Soir , le 18 juin 1961 (p. 5). - J. L., « Le Père humilié » de Paul Claudel, au cloître Saint-Séverin, Figaro Littéraire , le 1er juillet 1961 (p. 13). J. P., Au cloître Saint-Séverin « Le père humilié » de Paul Claudel, Combat , le 19 juin 1961 (p. 5). Leclerc, Guy, « Le Père Humilié » de Paul Claudel au Cloitre Saint-Severin (The right man in the right place), L’Humanité , le 20 juin 1961 (p. 6). Lerminier, Georges, Le théâtre français..., Gazette de Lausanne , le 1er juillet 1961 (p. 14). P. M., « Le père humilié » , de Paul Claudel au Cloître Saint-Séverin, L’Information , le 21 juin 1961 (p. 7). Poirot-Delpech, B., Au Cloître Saint-Séverin « Le Père humilié », de Paul Claudel par la compagnie Guy Suarès, Le Monde , le 22 juin 1961 (p. 8). Sabran, Béatrice, Claudel sans ces gros sabots, Aspects de la France , le 29 juin 1961 (p. 9). [Non-signé], Au fil de la scène. Magie blanche au Cloître St-Séverin, L’Information , le 14 juin 1961 (p. 3). [Non-signé], « Le Père Humilié » au cloître Saint-Séverin, Le Monde , le 15 juin 1961 (p. 3). [Non-signé], Une tragédie de Claudel devant le Cloitre illuminé, Le Figaro , le 17 juin 1961 (p. 4).

Théâtre du Vieux-Colombier (Paris), v. L’Otage , Le Pain dur , msc. Bernard Jenny, 1962 1183 date de représentation : le 5 décembre 1962 1184

Pensée : Hélène Sauvaneix, Sichel : Jacqueline Morane, Le Prince Wronsky : Alexandre Rignault, Orian : Daniel Sarky, Lady U : Judith Magre, Orso : Roger Hanin, Le Frère mineur : Claude Evrard, Le Pape : Lucien Nat Association Populaire de la Doctrine Chrétienne (Nancy) date de représentation : le 27 mars 1971

Conservatoire de Clermont-Ferrand date de représentation : mai 1975, mise en scène : Guy Vignes

Cathédrale d’Antibes date de représentation : le 7 avril 1990, mise en scène : Jean Lamiral reprise (Atelier du Théâtre universitaire de Nice) date de représentation : mai 1989

(Collège Stanislas) date de représentation : 2000, mise en scène : Emeric Suarès-Pasos

1183 La trilogie est présentée dans son ensemble pour la première fois. 1184 À cause des difficultés techniques le théâtre a été forcé d’annuler la répétition générale.

425 Italie Chaîne nationale italienne date de diffusion : le 31 octobre 1952 sous le titre Roma 1870 (Sant’Erasmo de Milan) date de représentation : janvier 1954, mise en scène : Carlo Lari

Suède (Université d’Upsala) date de représentation : décembre 1987, en langue suédoise

Suisse Schauspielhaus Zürich date de représentation : le 29 mai 1946, mise en scène : Kurt Horwitz, décors : Theo Otto

Pensée de Coufontaine : Maria Becker, Sichel : Maria Fein, Der Fürst Wronsky : Fritz Delius, Graf von Coufontaine : Armin Schweizer, Orian Dall’Armi : Bernhard Wicki, Lady U : Traute Carlsen, Orso Dall’Armi : Robert Freitag, Der Minoritenbruder : Robert Bichler, Der Papst Pius : Hermann Wlach

Brock-Sulzer, Elisabeth, [?], Die Tat , le 1er juin 1946, [?]. Corrodi, Eduard, [?], Neue Zürcher Zeitung , le 31 mai 1946, [?].

[?], Neue Zürcher Nachrichten , le 1er juin 1946, [?]. [?], Tages-Anzeiger , le 31 mai 1946, [?].

Le Peuple des Hommes Cassés Japon (Nagoya) 1185 date de représentation : le 16 mai 1959, traduction : Tarô Kimura

Protée Allemagne Hellerau date de représentation : 1913 ?

Théâtre Die Tribune (Berlin) 1186

1185 Ballet, choréographie de Toshiko Okura. 1186 Par la compagnie d‘amateurs Die Vaganten.

426 date de représentation : le 14 mai 1957, mise en scène : Lothar Kompatzki, décors et costumes : Evamaria Schröder

Proteus : Toby Pagel, Menelaos : Joachim Nottke, Helena : Maria Axt, Die Nymphe Weidenrute : Maria Weilguny, Der Satyrhäuptling : Hans Georg Neuberth

Kiaulebn, Walther, [?], Der Kurier , le 15 mai 1957, [?]. [?], Der Tag , le 16 mai 1957, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 16 mai 1957, [?]. [?], Die Welt , le 16 mai 1957, [?].

Aachener Stadttheater Date de représentation : le 9 février 1958, mise en scène : Willi Rhode, décors : Erich Döhler

Proteus : Michael Bruckner, Menelaos : Hannes Andersen, Helena : Erica Thomsen, Die Nymphe Weidenrute : Hanni Seiffert, Der Satyrhäuptling : Wolfdieter Pahlke

Quadflieg, Eberhard, , [?], Aachener Nachrichten , le 11 février 1958, [?].

Bühnen der Stadt Essen (Essen) date de représentation : le 8 juin 1960, mise en scène : Heinrich Sauer, décors : Paul Walter, costumes : Ursula Amann

Proteus : Walter Stickan, Menelaos : Hans-Peter Thielen, Helena : Marie-Luise Etzel, Die Nymphe Weidenrute : Liselotte Quilling, Der Satyr-Majordomus : Alfred Hansen

Schön, Gerhard, [?], Stuttgarter Zeitung , le 14 juin 1960, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 18 juin 1960, [?]. [?], Neue Ruhrzeitung , le 10 juin 1960, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 10 juin 1960, [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine , le 10 juin 1960, [?].

Theater 53 (Hamburg) date de représentation : le 4 novembre 1961

[?], Die Andere Zeitung , [?]. [?], Bild , le 6 novembre 1961, [?]. [?], DPA , le 6 novembre 1961, [?]. [?], Frankfurter Abendpost , le 15 mars 1962, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 6 novembre 1961, [?]. [?], Hamburger Anzeigen und Nachrichten , le 6 novembre 1961, [?]. [?], Hamburger Echo , le 7 novembre 1961, [?]. [?], Hamburger Morgenpost , le 6 novembre 1961, [?]. [?], Holsteinischer Courier , le 11 novembre 1961, [?]. [?], Lübecker Nachrichten , le 9 novembre 1961, [?]. [?], Der Mittag , le 7 novembre 1961, [?]. [?], Norddeutsche Nachrichten , le 10 novembre 1961, [?].

427 [?], Saarbrücker Landeszeitung , le 17 novembre 1961, [?]. [?], Sonntagsblatt , le 12 novembre 1961, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , [?]. [?], Die Welt , le 6 novembre 1961, [?]. reprise (Münster), 1961

Zimmertheater de Tübingen date de représentation : mai 1965

Westfalische Ammerspiele (Paderborn) date de représentation : octobre 1965, mise en scène : Bernd Fischerauer

Autriche Landestheater (Linz) date de représentation : mars-mai 1998 Belgique Van onzen tijd (Palais des Beaux-Arts, Bruxelles), première version, soirée de gala date de représentation : le 22 mars 1933, traduction : J. W. F. Werumeus Buning, mise en scène : Johan De Meester, décors : Denis Martin, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Arthur Prévost (avec Paul Collaer)

La Nymphe Brindosier : Nini Logman, Les Satyres et phoques : Akarova et ses élèves, Ménélas : Ast Fonteyne, Protée : Leo Hens, Hélène : Orpha De Landsheer, Le Satyre- Major : Johan De Meester

Poupeye C. [Camille], Brussel – Van onzen tijd – Protée, van P. Claudel, Tooneelgids , n° 9, le 1er mai 1933, p. 137-8. Werrie, Paul, Claudel chez les Flamands – Protée – Une libre adaptation de cette farce lyrique à travers notre tempérament, Le XXe siècle , le 31 mars 1933. J. D., [sans titre], [coupure de presse non identifiée]. [Non-singné], Het Tooneel te Brussel – Van onzen tijd, Vlaanderen’s illustratie , n° 29, 1932, p. 783. [Non-singné], Vlaamsch geestesleven te Brussel – Proteus van Claudel in het paleis voor Scoone Kunsten, [coupure de presse non identifiée], le 30 mars 1933. reprises (Courtrai) date de représentation : le 30 mars 1933 (Opéra flamand, Anvers) Date de représentaiton : inconnue

Compagnie Volard-Rosny (Centre culturel d´Uccle)

428 date de représentation : le 18 février 1971 1187 , mise en scène : Jacques Martin?, décors et costumes : Jacques Mornas, musique : Darius Milhaud

Sion, Georges, Claudel plus vivant que jamais, Revue Générale , mars 1971. Vermeulen, Marcel, « Protée » de Paul Claudel, Le Soir , le 20 février 1971 (p. 11). J. S., « Protée » de Claudel par la Compagnie Volard-Rosny, La Libre Belgique , le 22 février 1971 (p. 13).

Théâtre Essaion à Paris date de représentation : janvier 1982, mise en scène : Michel de Maulne

Canada Pavillon français (Montréal) date de représentation : le 1 er août 1967 1188 , mise en scène : Jacques Rosny

Alain Geydeau, Nicole Mérouze Watteau, Jean Peimony, Jacques Rosny

[Non-signé], « Protée » de Claudel à Montréal, L’Aurore , le 29 juillet 1967 (p. 3).

États-Unis University of Wisconsin et Marinette Campus 1189 date de représentation : le 4 décembre 1968, traduction : Louise Witherell, Laurence Zillmer, 1190 mise en scène : Ivor A. Rogers, musique : F. W. Doverspike

Ménélas : Max Brothers

[?], France-Amérique [?], Bulletin de la Société Paul Claudel , nº 33, le 23 janvier 1969, [?]. [?], Claudel Newsletter , nº 3, [?]. [?], Daily Northwestern , le 29 novembre 1968, [?]. [?], Daily Northwestern , le 7 décembre 1968, [?]. [?], Green Bay Press-Gazette , le 22 novembre 1968, [?]. [?], Green Bay Press-Gazette , le 1er décembre 1968, [?]. [?], Green Bay Press-Gazette , le 5 décembre 1968, [?]. [?], Green Bay Press-Gazette , le 9 décembre 1968, [?]. [?], The Post-Crescent (Appleton, Wisc.), le 22 novembre 1968, [?]. [?], The Post-Crescent (Appleton, Wisc.), le 28 novembre 1968, [?]. [?], The Post-Crescent (Appleton, Wisc.), le 6 décembre 1968, [?]. [?], The Post-Crescent (Appleton, Wisc.), le 8 décembre 1968, [?].

1187 Présenté dans différents pays belges. 1188 Joué par les acteurs de la Comédie-Française jusqu’au 15 août à l’occasion de l’exposition universelle de Montréal. 1189 Réalisé par les étudiants. 1190 Traduction inédite. Reprises : Fox Valley College (le 6 décembre), Manitowoc College (le 7 décembre), Green Bay Campus ( les 8, 13 et 15 décembre).

429 Finlande Compagnie d’Amateurs de Théâtre Français date de représentation : 1950, mise en scène : Jean-Marie Chapeau

France 1191

Groupe Amphion date de représentation : le 28 avril 1938, décors : Jean Effel, musique : Darius Milhaud 1192

Comédie-Française (Paris) date de représentation : le 27 novembre 1943

Chaîne nationale , seconde version date de diffusion : le 16 mai 1950, mise en ondes : Maurice Cazeneuve, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : André Girard

? Delamare, Jean Hervé, Marcelle Derrien, Jean Marchat, Jean-Paul Coquelin, Teddy Bilis, Claude Aburbé, Pierre Leproux, Roger Bontemps

Comédie de Paris (Paris) 1193 date de représentation : le 26 février 1955, mise en scène : Raymond Gérôme, décors : Lucien Coutaud, musique : Darius Milhaud

Brind’osier : Jany Holt, Ménelas : Michel Piccoli, Protée : Henri Nassiet

[?], Echo der Zeit , le 3 avril 1955, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , le 2 mars 1955, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Les Nouvelles Littéraires , [?]. [?], Die Woche , mars 1955, [?].

Théâtre du Tertre (Paris) 1194 date de représentation : mai 1957, mise en scène : Serge Ligier 1195 , décors : Camurati, musique : Darius Milhaud

1191 Il avait aussi plusieurs projets d‘adapter la pièce Protée , notamment en 1913 (Lugné-Poë au Théâtre de l’Œuvre, à Hellerau, au Vieux-Colombier par Copeau), en 1914 (projets de la représentation dans un cirque de Lugné-Poë, à Salzbourg par Max Reihard, au Théâtre antique d’Orange par Lugné-Poë), dans la saisons 1915-1916, en 1919 au Théâtre de Gymnase, en 1929 au Théâtre Pigalle par Gaston Baty, en 1949 (projet de J.-L. Barrault au Théâtre Marigny) ou bien en 1953 le projet de Jean-Marie Serreau. La pièce était aussi jouée avec la partition de Groningen (v. Hollande) à la Sorbonne avec les décors de Jean Effel et sans orchestre au piano. Ensuite elle est donnée en Suisse par les Belletriens (réalisation Jean Binet, l’autorisation de Milhaud), la nouvelle partition inédite fut réalisée par Peyret Chapuis). 1192 Voir Fabaret. 1193 Monté par Jany Holt. 1194 Pièce est jouée en alternance avec Tobie et Sara . Puis une tournée en province.

430 Protée : Christian Marin, ? Julia Dancourt, Claude Evrad, Raymond Jourdan, Brindosier : Chantal Dauget

[?], Carrefour , le 19 juin 1957, [?]. [?], Combat , le 27 avril 1957, [?]. [?], Le Figaro , le 15 mai 1957, [?]. [?], Midi cinq , le 9 juillet 1957, [?]. [?], Le Monde , le 15 mai 1957, [?]. [?], Oran Républicain , le 26 juin 1957, [?]. reprises (Salle des Beaux-Arts de Rennes) date de représentation : le 23 février 1959 (Compagnie du Théâtre poétique de Paris, Liège) 1196 date de représentation : le 26 septembre 1959 (Tournée de la Compagnie des Renaudins) date de représentation : le 15 janvier 1961 1197

Compagnie « Théâtre pour tous » (Paris) 1198 date de représentation : le 25 novembre 1961, mise en scène : Samuel Ritz

Compagnie du Fol (Lille) 1199 date de représentation : novembre-janvier 1963, mise en scène : Pierre-Etienne Heymann

Festival de Vaison-la-Romaine date de représentation : juillet 1965, mise en scène : Michel de Ré

(Besançon) 1200 date de représentation : mai 1966, mise en scène : Jacques Petit

(Mirepoux) 1201 date de représentation : le 11 mai 1967 reprise (Auch) date de représentation : le 17 mai 1967

(Eu) 1202

1195 Directeur du Théâtre Poétique de Paris. 1196 Dans le cadre du Festival du Jeune Théâtre. 1197 Joué jusqu’au 8 février à Indre et à Creuse. 1198 Réalisé dans le Foyer International des Étudiantes. 1199 Il s’agit d’une compagnie des acteurs amateurs de Lille. Douze représentations dans les principales villes du département du Nord (Nontron, Bugeat, Brive et Carennac). 1200 Projet des étudiants de l’Université de Besançon, puis le spectacle a été donné à Pontarlier et à Montbéliard. 1201 Par le Théâtre de la Faculté des Lettres de Toulouse. 1202 Par les élèves du Lycée de Eu.

431 date de représentation : le 25 avril 1967

(Théâtre de Célestins, Lyon) date de représentation : le 15 mars 1968

? Nicole Merouze, Alain Feydeau

Centre dramatique de l’Ouest (Maison de la Culture, Rennes) 1203 date de représentation : le 17 avril 1970 (1969?), mise en scène : Georges Goubert, décors et costumes : Serge Creuz, musique : Darius Milhaud, marionnettes : Jean-Marie Fievez

La Nymphe Brindosier : Catherine Dagand, Un Satyre : Yann Le Bonniec, Ménélas : Sébastien Kéran, Protée : Jean-Claude Bouillaud, Hélène : Danièle Barraud, Le Satyre Majordome : Pierre Spadoni

[Non-signé], « Protée » de Claudel à la Comédie de L’Ouest, Combat , le 18 avril 1970 (p. 7). reprise (Théâtre Municipal, Laval) date de représentation : le 27 avril 1970

Centre d’initiation dramatique (C.I.D.) 1204 date de représentation : le 24 avril 1972, mise en scène : Jean-Louis Garet

Ransan, André, « Protée » de Claudel par le C.I.D., L’Aurore , le 29 avril 1972 (p. 17).

Centre Culturel des Dombes (Chatillon-sur-Chalaronne) date de représentation : les 1er et 2 juillet 1972

Théâtre Hébertot date de représentation : novembre 1973, mise en scène : Jacques Rosny

Théâtre Hébertot (Paris) date de représentation : le 9 mars 1974, mise en scène : Jacques Rosny, décors : Jacques Marillier, costumes : Marie Schwenke, musique : Darius Milhaud

La Nymphe Brindosier : Annick Blancheteau, Ménélas : Bernard Lavalette, Protée : Jacques Rosny, Hélène : Martine Sarcey, Le deuxième Satyre : Bernard Jourdain, Le Satyre-Musicien : Michel Lebret, Le Satyre-Majordome : Maurice Teynac

Alter, André, « Protée » de Claudel, Témoignage Chrétien , le 21 mars 1974 (p. 59-60).

1203 Spectacle donné entre le 17 avril et le 29 mai, joué à Alençon et ensuite à Angers, Brest, Châteaubriand, Cherbourg, Coutances, Dinan, Granville, Le Mans, Lorient, Morlaix, Nantes, Pontivy, Quimper, Redon, La Roche-sur-Yon, Les Sables-d’Olonne, Saint-Brieuc, Saint-Lô, Saint- Nazaire, Saint-Servan, Vannes. 1204 Spectacle présenté au Théâtre du Tertre.

432 De Beaugourdon, Renaud, Au théâtre de Hébertot « Protée » ou un Claudel inattendu, Combat , le 7 mars 1974 (p. 43). Cournot, Michel, « Protée », de Claudel, Le Monde , le 15 mars 1974 (p. 53). Gautier, Jean-Jacque, Protée de Paul Claudel, Le Figaro , le 13 mars 1974 (p. 51). Jamet, Dominique, Au Théâtre Hebertot « Protée » de Paul Claudel, L’Aurore , le 13 mars 1974 (p. 47). Kanters, Robert, Protée, L’Express , le 25 mars 1974 (p. 63). Kanters, Robert, Le retour de la vieille garde, Le Soir , le 4 avril 1974 (p. 65). Lerminier, Georges, « Protée » de Claudel, Le Parisien , le 15 mars 1974 (p. 55). Marcabru, Pierre, Nouveau, France-Soir , le 17 mars 1974 (p. 57). Marcabru, Pierre, « Protée » Claudel en belle humeur, France-Soir , le 13 mars 1974 (p. 49). Maria, Roger, « Protée » de Paul Claudel (dans les sandales d’Offenbach), L’Humanité , le 9 avril 1974 (p. 67). Mambrino, Jean, Protée de Paul Claudel au Théâtre Hébertot, Les Etudes , mai 1974 (p. 75- 78). Rabine, Henry, Au théâtre Hébertot Protée de Paul Claudel, La Croix , le 24 mars 1974 (p. 61). [Non-signé], Divertissemnet claudéline, Le Figaro , le 7 mars 1974 (p. 39). [Non-signé], Fin de Protée, Le Figaro , le 27 avril 1974 (p. 71). [Non-signé], Une farce de Claudel à L’ »Hebertot », Combat , le 4 mars 1974 (p. 41). reprise (FR3) date de diffusion : décembre 1975, réalisation : Jacques Duhen

[Non-signé], Protée, Telerama , le 10 décembre 1975 (p. 71).

(Aix-en-Provence) date de représentation : juillet 1977, mise en scène : Serge Ligier

Compagnie Centre de Rencontres de Châteauvallon (Festival de Chateauvallon, Ollioules, Toulon) date de représentation : juillet 1979, mise en scène : Bruno Sermonne

Protée : Jean Le Poulain

(Théâtre Essaïon-Valverde, Paris) date de représentation : le 20 janvier 1982, mise en scène : Michel de Maulne, décors et costumes : Valentine Favre, musique : Françoise Proust

Compangie Théâtrale de l’Onyx (Jardin des Enfeus, Festival des Jeux du Théâtre de Sarlat) date de représentation : le 31 juillet 1982

FR3 date de diffusion : le 27 mars 1989, mise en scène : Antoine Vitez

433 L’USAM (Centre Bazeilles de Toulon) date de représentation : 1989

Théâtre Populaire du Midi à Nimes date de représentation : mai-juin 1990, mise en scène : Bernard Gauthier

(Paris) 1205 date du concert : les 12, 14, 17 et 18 février 1992, chef d’orchestre : Jean-Sébastien Béreau

(Paris) 1206 date du concert : le 9 octobre 1992, chef d’orchestre : Marek Janowski

Compagnie Isidore (Espace Cévennes à Paris) date de représentation : du 13 au 16 mars, saison 1996-1997, mise en scène : Emmanuel Ducasse

Compagnie Saturne Pas Rond (Théâtre Hugo à Bagneux) date de représentation : du 18 au 23 mars 1997 1207 , mise en scène : Colette Tomiche

Théâtre du Versant à Biaritz 1208 date de la tournée : mai 1998 reprise Compagnie du Théâtre du Versant à Biaritz date de représentation : 1999 1209 mise en scène : Gaël Rabas

Théâtre de la Tempête, Cartoucherie de Vincennes, Théâtre à vif (Paris) date de représentation : le 17 juin 2011, mise en scène : Philippe Adrien, Clément Poirée et Jean-Pierre Dumas

Dominique Gras, Pierre-Alain Chapuis, Éléonore Joncquez, Matthieu Marie, Marie Micla

Grande Bretagne (Université de Manchester) date de diffusion : 1950

1205 Dans le cadre du programme musical du Centenaire de Darius Milhaud, réalisé au Conservatoire National Supérieur de Musique, 2 ème suite symphonique (inspirée par la pièce Protée). 1206 Ibid. 1207 Réalisé aussi à Avignon en juillet. 1208 Tournée, Biarritz (15-17 mai), Mugron (29 mai), St-Paul-les-Dax (30 mai). 1209 Présenté le 24 octobre à Le Haillan, le 25 octobre 1999 à Anglet, le 26 octobre 1999 à Antigues et le 11 mai 2000 à Arras.

434 date de diffusion : le 19 mars 1963, 1210 traduction : Nora Ratcliff, adaptation et réalisation : Raymond Raikes, musique : Anthony Hopkins Third Programme, B.B.C. (chaîne 3) date de diffusion : le 13 février 1963, traduction : Nora Ratcliff, mise en ondes : Raymond Raikes, musique : Antony Hopkins

Brindosier : Fenella Fielding, Ménélas : Tony Britton, Protée : John Sharp, Hélène : June Tobin, Le Satyre Majordonne : Denys Blakelock

[?], Listener , le 28 mars 1963, [?]. sous le titre Protée : Tobie et Sara Institut français (London) 1211 date de représentation : les 27 et 28 février 1959

Italie Compagnie Serge Ligier (Rome) date de représentation : avril 1959

Pays-Bas (Groningen) , en hollandais date de représentation : 1929, mise en scène : Adriaan Hooykaas

Van Onzen Tijd (Amsterdam) 1212 date de représentation : le 4 octobre 1933, traduction : J.W.F. Werumeus Buning, mise en scène : Johan de Meester

Radio date de diffusion : 1952

Suisse Grand Théâtre de Genève (Genève) date de représentation : juin 1948, mise en scène : André Reybaz

Radio date de diffusion : 1952

1210 Reprises le 7 avril 1963 et le 13 février 1964. 1211 Réalisation des pièces Protée et Tobie et Sara dans la production de Serge Ligier et du Théâtre poétique de Paris. 1212 Spectacle réalisé par la Société dramatique des étudiants d’Amsterdam.

435 Théâtre poétique de Genève ? date de représentation : mai 1960 Centre dramatique de Lausanne (Lausanne) date de représentation : le 5 décembre 1973 1213 , mise en scène : Charles Apothéloz, décors et costumes : Gilbert Koull

(SPS), A l’occasion de « Protée » Premier « cahier » du CDL : Claudel et la Suisse, La Tribune de Genève , le 19 décembre 1973 (p. 33). Unger, Catherine, A la Comédie « Protée », de Claudel par le Centre dramatique de Lausanne, La Tribune de Genève , le 7 décembre 1973 (p. 29-30). [?], Gazette de Lausanne , le 13 novembre 1973 et le 17 novembre 1973, [?]. [?], 24 heures , le 13 novembre 1973 et le 15 novembre 1973, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 1er décembre 1973, [?]. [?], Nouvelle Revue de Lausanne , le 15 novembre 1973, [?]. [?], Tribune de Lausanne , le 14 novembre 1973, [?].

Théâtre de l’Avant-Scène (Bâle) date de représentation : juin 1975, mise en scène : Marthe Matile

Tunisie Radio-Tunis date de diffusion : 1950

Festival de Carthage-Hammamet (Carthage) 1214 , tournée date de représentation : juillet 1972, mise en scène : Dominique Houdart, décors et costumes : Marcel Violette, musique : Marc Moro

Brindosier : Jeanne Heuclin, Ménélas : Dominique Houdart, Protée : Luc Delhumeau, Hélène : Antoinette Martin, Le Satyre Majordome : Marc Moro

[Non-signé], Dominique Houdart monte « Protée » de Claudel aux festivals de Carthage- Hammamet, Combat , le 4 juillet 1972 (p. 21). sous le titre Les vieux grecs et les jeunes femmes 1215 Autriche (Linz) date de représentation : 1998, traduction et adaptation : Baldain Sulzer

1213 Ensuite présenté le 6, 7 et 8 décembre. 1214 Tournée de la Compagnie de Dominique Houdart dans le cadre du festival qui s’est déroulé du 1er juillet au 20 août. 1215 Il s’agit de l’opéra-bouffe du compositeur Baldain Sulzer, une adaptation libre de la pièce Protée .

436 Nymphe Brindosier : Donna Ellen, Ménélas : Paul Oblasser, Protée : Franz Katchmair, Hélène : Stéphanie Houtzeel, Hyacinthe : Gottfried Stifter

Rosteck, Jean, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°153, 1999, p. 34-35.

Le Ravissement de Scapin 1216 France Compagnie de Serge Ligier (Théâtre de l’Alliance française, Paris) date de représentation : le 25 juin 1960

Stage Dramatique de Lyon 1217 ? date de représentation : le 7 août 1965, mise en scène : Gérard Maré

Théâtre des Célestins (Lyon) 1218 date de représentation : le 27 janvier 1967

Stage Jeunesse et Sports (Vichy) date de représentation : 1968, mise en scène : Jean Lagénie

Théâtre municipal de Grenoble 1219 date de représentation : le 18 juin et le 22 juin 1968

FR3 date de diffusion : le 25 décembre 1988, réalisation : Georges Folgoas

? Michel Galabru, Francis Perrin

France-Culture date de diffusion : le 22 août 1992

(Mérignac) date de représentation : le 3 novembre 2005 1220 , mise en scène : Jean-Marie Despeyroux

Le Repos du Septième jour Allemagne ( Der Ruhetag ) Bühne Der Morgenstern (Köln), première en allemand

1216 Composé à partir du texte Les Fourberies de Scapin de Molière. 1217 Spectacle composé à partir du Ravissement de Scapin et de la Cantate à trois voix , présenté dans le cadre du Festival du château des Allymes dans l’Ain. 1218 Présenté par la Compagnie de Dominique Houdart. 1219 Spectacle joué par les élèves du Lycée Stendhal de Grenoble. En mai la même pièce a été jouée par les élèves de l’école normale d’Aurillac dans plusieurs villes de la région. 1220 Joué jusqu’au 5 novembre.

437 date de représentation : le 25 avril 1952, mise en scène et décors : Doct. Reinhold Netolitzky, costumes : Berta Netolitzky

Kaiser : Gerold Heinrich, Engel des Reiches : Karl Ziehfreund, Dämon : Hans Werner Kock

Langer, Bernhard, [?], Echo der Zeit , Recklinghausen, [?]. [C.J.], [?], Kieler Nachrichten , le 1er mai 1952, [?]. [Dr. Fr.], [?], Kölnische Rundschau , le 27 avril 1952, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 29 avril 1952, [?]. [?], Neue Literarische Welt , Darmstadt, [?].1221 [?], Rheinische Post , le 25 mars 1955, [?].

reprises (Radio Bavière) date de diffusion : juin 1952 (Meldorf, Helstein), 1953 (Théâtre de Fulda Fulda) 1222 date de représentation : août 1954

[?], Fuldaer Zeitung , le 3 septembre 1954, [?].

Bühnen der Stadt Essen date de représentation : le 16 septembre 1956, mise en scène : Heinz Dieterich Kenter, décors et costumes : Alfred Siercke

Der Kaiser (L’Empereur) : Gerhard Just, Die Mutter (La Mère) : Hanna Brugwitz, Der Dämon (Le Démon) : Wolfgang Schirlitz, Der Angel des Reiches (L’ange de l’Empire) : Friedrich Gröndahl, Der Erbprinz (Le prince héritier) : Günther Tabor,

Beckmann, Heinz, [?], Rheinischer Merkur , le 21 septembre 1956, [?]. Landau, E.M., [?], Deutsches Volksblatt , Stuttgart, le 9 octobre 1959, [?]. [?], Aachener Volkszeitung , le 22 septembre 1956, [?]. [?], Echo der Zeit , le 23 septembre 1956, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 19 septembre 1956, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 26 septembre 1956, [?]. [?], Hamburger Nachrichten , [?]. [?], Kirchenzeitung , le 7 octobre 1956, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 21 septembre 1956, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 18 septembre 1956, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 19 septembre 1956, [?]. [?], Der Mittag , le 20 septembre 1956, [?]. [?], Neue Hohenlimburger Zeitung , le 21 septembre 1956, [?].

1221 Voir aussi les Œuvres complètes VIII, le 10 août 1954, p. 398. 1222 Dans le cadre du « Katholikentag ».

438 [?], Neue Ruhr Zeitung , le 18 septembre 1956, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , [?]. [?], Ruhr Nachrichten , le 18 septembre 1956, [?]. [?], Theater Rundschau , le 1er octobre 1956, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 20 septembre 1956, [?]. [?], Die Welt , le 20 septembre 1956, [?]. [?], Welt der Arbeit , le 5 octobre 1956, [?].

Théâtre Municipal d’Essen date de représentation : 1957, mise en scène : Serge Ligier ?overit

Belgique Radio belge date de diffusion : le 14 mars 1950 France Radio Marseille date de diffusion : le 2 novembre 1942

Chaîne nationale date de diffusion : le 14 mars 1950, musique : Darius Milhaud

? Lucienne Bogaërt, Balpêtré, Jean Hervé, Michel Vitold

Radio Française date de diffusion : 1954, musique : Darius Milhaud

Théâtre de l’Œuvre (Paris) date de représentation : le 27 octobre 1965 1223 , mise en scène : Pierre Franck, décors et costumes : Pierre Simonini, musique : André Boucourechliev

L’Empereur : Fernard Ledoux, Le Grand Empereur : Lucien Nat, La Mère : Jandeline, Le Démon : Maria Casarès, L’Ange : France Dalhalle, Le Prince héritier : Denis Manuel

Alter, André, « Le repos du septième jour » (L’Œuvre), Témoignage Chrétien , le 7 octobre 1965 (p. 49). Cartier, Jacqueline, Casarès, un démon à l’Oeuvre, Paris-Presse , le 29 septembre 1965 (p. 21). Copfermann, Emile, « Le Repos du septième jour » ou Claudel cinquante-trois ans après, Les Lettres Française , le 30 septembre 1965 (p. 23-24). Dutourd, Jean, Le repos du septième jour (Jésus en Chine), Paris-Presse , le 30 septembre 1965 (p. 29).

1223 50 représentations exceptionnelles. Générale le 28, spectacle donné aussi au cours des mois de novembre et décembre.

439 Faure-Geors, Hubert, Première à l’Oeuvre d’un Claudel écrit il y a 69 ans, L’Aurore , le 28 septembre 1965 (p. 15). F. Br. (Frank Bridel), « Le Repos du septième jour » Une pièce de Claudel créée dix ans après la mort du grand dramaturge, La Tribune de Genève , le 14 octobre 1965 (p. 57). Ferjac, Pierre, Les « claudéliens » applaudirions au spectacle,..., L’Information , le 6 novembre 1965 (p.67). Gautier, Jean-Jacques, Au Théâtre de l’Oeuvre Le Repos du septième Jour de Paul Claudel, Le Figaro , le 30 septembre 1965 (p.27). Gautier, Jean-Jacques, Théâtre, Elle , le 11 novembre 1965 (p. 71). Guilleminault, Gilbert, « Le Repos du septième jour » par Paul Claudel au théâtre de l’Oeuvre, L’Aurore , le 30 septembre 1965 (p. 33). H. R., Au Théâtre de l’Oeuvre Le repos du 7 e jour de Paul Claudel, La Croix , le 8 octobre 1965 (p. 51). Julien, Pierre, Fernand Ledoux reconnait : Pour jouer Claudel, la foi m’aide beaucoup !, L’Aurore , le 18 novembre 1965 (p. 73). Kyria, Pierre, « Le Repos du 7 e Jour » de Paul Claudel au Théâtre de l’Oeuvre, Combat , le 24 septembre 1965 (p. 13). Leon, Georges, « Le repos du 7 e jour » de Paul Claudel (Le partage de Minuit), L’Humanité , le 1er octobre 1965 (p. 35). Lemarchand, Jacques, Spectacles,..., Le Figaro , le 14 octobre 1965 (p. 59). Lerminier, Georges, Au théâtre de l’Oeuvre Le Repos du septième jour de Paul Claudel, Le Parisien Libéré , le 5 octobre 1965 (p. 37). Marcel, Gabriel, L’opéra de Claudel, Les Nouvelles Littéraires , le 7 octobre 1965 (p. 43- 44). Poirot-Delpech, B., « Le Repos du 7 e Jour », de Paul Claudel, Le Monde , le 30 septembre 1965 (p. 25). Rivollet, André, Le moulin à prières... de Paul Claudel, Aux Ecoutes , le 21 octobre 1965 (p. 63). Sandier, G., J’ai pris moins de plaisir, il faut bien le dirie, au Repos du septième jour, Arts , le 6 octobre 1965 (p. 39). Tilier, Maurice, Il restait une pièce de Claudel a créer. Fernad Ledoux et Maria Casarès joueront « Le Repos du septième jour » , Le Figaro Littéraire , le 23 septembre 1965 (p. 10-11). [Non-signé], Au Théâtre de l’Oeuvre « Le repos du septième jour » de Paul Claudel et « Les Justes » de Camus, Le Figaro , le 8 juillet 1965 (p. 5). [Non-signé], Le repos du septième jour, Les Lettres françaises , le 7 octobre 1965 (p. 41). [Non-signé], L’Œuvre, Le Repos du 7 e jour, de Paul Claudel, Rivarol , le 7 octobre 1965 (p. 47). [Non-signé], Pas de repos pour Claudel, Arts , le 3 novembre 1965 (p. 65). [Non-signé], Pour claudéliens, Reforme , le 9 octobre 1965 (p. 53). [Non-signé], Un empereur de Chine à l’Œuvre, Fernand Ledoux, Le Parisien Libéré , le 28 septembre 1965 (p. 17). [Non-signé], Un nouvel auteur nommé Claudel, Journal de Genève , le 9 octobre 1965 (p. 55). [?], Badische Volkszeitung , le 9 décembre 1965, [?]. [?], Echo der Zeit , le 9 janvier 1966, [?]. [?], Der Landbote , le 11 décembre 1965, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 10 décembre 1965, [?].

440 [?], Das Theater , février 1966, [?].

(Paris) 1224 date de représentation : le 9 septembre 1986, mise en scène : Camillo Racan, costumes : Jorge Otermin, musique : Martin Saint Pierre et Guedalia Tazartes

Le Salutateur : Serge Merlin, Le premier ministre : Bernard Hervé, Le premier prince : Grégoire Ingold, Le grand examinateur : Pierre Santons, Le nécromant : Serge Kochyn, Hoang-Ti : Bruno Sermone, La mère : Silvana Mangano, Le démon : Alain Libolt, L’Ange de l’empire : Bernard Ballet, Le prince héritier : Jean-François Bahon, L’eunuque : Alain Labaye

Théâtre 14 date de représentation : le 19 janvier 1993, mise en scène : Jean Bollery reprise (Radio France-Culture) date de diffusion : le 30 mai 1993

(Trioletto de Montpellier) date de représentation : mai 2009 1225

Japon (Tokyo) 1226 date de représentation : le 30 avril 1961, traduction : Isao Yamamoto et Tetsuo Toshimitsu, mise en scène : You Kimura et Tetsuo Tshimitsu

Pologne Teatr Narodowy (Varsovie), création mondiale date de représentation : le 15 décembre 1928 1227 , traduction : Stefan Godlewski, mise en scène : Waclaw Radulski, décors : Wincenty Drabik

Horzyca, W., Teatr: «Lelevel» S. Wyspia ńskiego i «Spoczynek dnia siódmego» P. Claudela w Teatrze Narodowum, Droga , nº 11, 1928, p. 1089. Łempicki, Z., «Spoczynek dnia siódmego Pawła Claudela», Kurier Polski , nº 347, 1928, p. 8.

Richard Wagner

1224 Dans le cadre du premier festival des Arènes de Lutèce. 1225 Réalisé par les étudiants de l’atelier théâtrale de l’université. 1226 Réalisé à la salle de conférence de Hitotsubashi par le cercle Dôjin-kai de la Compagnie de Haiyû-za. 1227 Chez Fabaret le 10 décembre. Dans un autre document la pièce est donnée en 1929, voir Œuvres complètes de Paul Claudel. Théâtre. Tome Huitième , Gallimard, 1954.

441 Allemagne Tournée de Jean Rougerie Date de la tournée : décembre 1978 1228

France (Lucernaire-Forum, Paris) date de représentation : le 27 septembre 1977, mise en scène : Michel Pereylon et Jean Rougerie, décors : Claude Baratin, musique : Richard Wagner

Le Conducteur : Jean Rougerie, Le Passager : Michel Pereylon,

(4Sw 8009) Chabanis, Christian, Un orage de mots et de notes, J’Informe , le 11 octobre 1977, P ; 105). Marcabru, Pierre, « Wagner » de Paul Claudel. Une certaine jubilation, Le Figaro , le 6 octobre 1977 (p. 103). [Non-signé], Richard Wagner de Paul Claudel, Les Nouvelles Littéraires , du 29 septembre au 6 octobre 1977 (p. 101). reprise (Comédie de Paris) date de représentation : le 25 février 1986

Le conducteur : Jean Rougerie, Le passager : Gérard Maro

(Brangues) date de représentation : le 18 juillet 1987, mise en scène : Jean Rougerie

Le Conducteur : Jean Rougerie, Le Passageur : Michel Peyrelon

Suisse Radio-Berne date de diffusion : mars 1983

Radio-Berne (Berne) date de diffusion : le 30 août 1980, en langue allemande

La Sagesse ou la Parabole du Destin ?Festin Belgique B.R.T.

1228 Spectacle présenté dans les Instituts français en Allemagne, en Autriche et en Italie du Nord.

442 date de représentation : le 22 mars 1946, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Paul Collaer 1229 Institut National Supérieur des Arts du Spectacle date de représentation : le 27 mai 1968, mise en scène : Victor Garcia 1230

France Théâtre de la Cité universitaire de Paris (Grand Théâtre, Nancy) date de représentation : avril 1968 reprise (Paris) 1231 date de représentation : le 27 mars 1969, mise en scène, décors et costumes : Victor Garcia et Jean Triffez

Michel Lowery, Chantal Ackermann, Michel Mabire, Cayotte Bissainthe, Jean-Edgard Bouvier, Zahira Lopez, Pierre Guillermo

(4Sw 8009) Delpech-Poirot, B., « La Sagesse » de Paul Claudel, Le Monde , le 30 mars 1969 (p. 112). Galey, Matthieu, La Sagesse ou la Parabole du festin de Paul Claudel, Combat , le 30 mars 1969 (p. 113). Galey, Matthieu, Spleundeur et misère de la critique, Les Nouvelles Littéraires , le 3 avril 1969 (p. 115). Matignon, Bernard, « La Sagesse, ou la Parabole du Destin », de Paul Claudel, Combat , 27 mars 1969 (p. 110). [Non-signé], Claudel au théâtre de la Cité universitaire, France Soir , le 23 mars 1969 (p. 109).

Italie (Rome) 1232 date de représentation : le 15 février 1950, musique : Darius Milhaud sous le titre Le Festin de la Sagesse France Théâtre de la Cité Universitaire (Paris) 1233

1229 Les chœurs dirigés par Jan van Bouwel et Léonce Gras. 1230 Avec les étudiants de l’I.N.S.A.S. 1231 Le spectacle a été réalisé par l’Atelier de l’Université Internationale du Théâtre qui regroupait 40 jeunes professionnels venant de tous les continents. 1232 Avec une avant-première au Théâtre Morlacchi à Pérouse le 22 décembre 1949. 1233 Spectacle présenté par les stagiaires de l’Université Internationale du Théâtre. Il s’agissait d’une « émanation directe du Théâtre des Nations. Sous le nom d’Université des Nations, elle fut créée en 1961 pour répondre aux vœux des jeunes professionnels qui gravitaient alors autour du Théâtre des Nations et qui souhaitaient rencontrer les metteurs en scène et les directeurs des

443 date de représentation : le 27 mars 1969, mise en scène : Victor Garcia

Nantet, Renée, Veinstein, Jacqueline, Entretien avec Perinetti, André, Une expérience : Le Festin de la Sagesse. Mise en scène de Victor Garcia, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°34, avril-juin 1969, p. 7-9.

Compagnie « Visages » (Antony) date de représentation : février-mars 1991 reprises (Courbevoie) (Le Raincy) (Pierrefitte) (Avignon) date de représentation : le 7 juillet 1991 (Théâtre Firmin Gémier, Antony) date de représentation : le 19 octobre 1991

Saint Louis 1234 Brésil (Rio de Janeiro) 1235 , création mondiale de l’opéra-oratorio date de représentation : le 14 avril 1972, mise en scène : Henri Doublier, musique : Darius Milhaud

La France : Micheline Grancher, La reine Marguerite : Françoise Garner, Saint-Louis : Pierre Thau Joinville : Michel Caron, Le Poète : Henri Doublier, Le chroniqueur : Jean Chevrin reprise (Théâtre des Arts, Rouen) date de représentation : février 1973

Six personnages en quête de 1236 ? date de représentation : 1993, mise en scène : Sophie Loucachevsky

différentes troupes afin d’obtenir des informations sur leurs méthodes de travail. [...] Chaque année les ateliers fonctionnent pendant une période de six mois divisée en trois sessions. [...]. Pour en savoir plus voir BSPC , n° 34, avril-juin 1969, p. 7. 1234 Spectacle créé à partir des textes les « Chroniques » de Joinville et des extraits des « Feuilles de Saints » de Claudel. 1235 Milhaud s’inspire de plusieurs textes de Claudel. Présenté avec les artistes de l’Opéra de Paris. 1236 Composé à partir du texte de Claudel.

444 Le Soulier de Satin Allemagne (Der Seidene Schuh ) Rheinische Kunstgemeinde Freie Volksbühne Köln in der Aula der Universität date de représentation : le 20 octobre 1946, mise en scène : Dr. Karl Pempelfort, décors : Erich Metzold, costumes : Wera Schawlinsky

Ansager : Hans Peter Thielen, Dona Proeza : Helena Klostermann, Don Rodrigo : Werner Hessenland, Don Camillo : Otto Collin, Don Pelayo : Richard Assmann, Chinesischer Diener : Rudolf Therkatz, Jobarbara : Emmy Graetz, Der Mond : Irmgard Först, Der Jesuitenpater : Friedrich Schütze, Schutzengel : Paul Bürks

Fechter, Paul, [?], « Transzendentes Theater », Neue Zeitung , le 12 décembre 1946, [?]. [A.S.], « Der Seidene Schuh », Kölnische Rundschau , le 22 octobre 1946, [?]. [?], Hochland , 1947, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 31 novembre 1946, [?]. [?], Der Rhein und Europa , 1947, [?]. [?], Studentische Blätter , avril 1947, [?]. [?], Die Welt , le 24 décembre 1946, [?].

Städtische Bühnen München Kammerspiele (München) date de représentation : le 15 octobre 1947, mise en scène : Friedrich Dornin, décors : Wolfgang Znamenacek, costumes : Liselotte Erler, musique : Mark Lothar

Der Ansager : Kurt Stieler, Jesuitenpater : Friedrich Domin, Doña Proeza : Inge Birkmann, Don Camillo : Peter Pasetti, Don Rodrigo : Peter Lühr, Don Pelayo : Fritz Reiff, Der Chinese : Otto Brüggemann, Der Schutzengel : Heinrich Sauer, Doña Musica : Marianna Probst, Die Negerin Jobarbara : Elisabeth Goebel

Braun, Hanns, « Münchener Aufführung von Paul Claudels Schauspiel Der Seidene Schuh », Rheinischer Merkur , le 25 octobre 1947, [?]. Werner, Bruno E., « Paul Claudels Der Seidene Schuh », Die Neue Zeitung , München, le 17 octobre 1947, [?]. [?], Echo der Woche , le 28 octobre 1947, [?]. [?], Fränkische Presse , le 14 octobre 1947, [?]. [?], Münchner Katholische Kirchenzeitung , le 11 janvier 1948, [?]. [?], Münchner Merkur , [?]. [?], Münchner Tagebuch , le 25 octobre 1947, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , octobre 1947, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 10 octobre 1947, [?]. [?], Die Welt , le 14 octobre 1947, [?].

Städtische Bühnen (Fribourg) date de représentation : juin 1949

Württembergische Staatstheater Schauspielhaus Stuttgart (Stuttgart) date de représentation : le 20 avril 1952, mise en scène : Erich-Fritz Brücklmeier, décors et costumes : Leni Bauer-Ecsy, musique : Helmut Löffler

445

Der Ansager : Max Mairich, Der Jesuitenpater : Karl Lange, Doña Proeza : Inge Birkmann, Don Camillo : Harald Baender, Don Rodrigo : Hans Caninenberg, Don Pelayo : Theodor Loos, Der Chinese : Karl Bockx, Der Schutzengel : Heinz-Dieter Eppler, Doña Musica : Karin Schlemmer, Die Negerin Jobarbara : Ursula Ludwig

Missenharter, Hermann, [?], Stuttgarter Nachrichten , le 21 avril 1952, [?]. R.B., [?], Stuttgarter Zeitung , le 21 avril 1952, [?]. [?], Neues Vaterland , le 23 avril 1952, [?]. [?], Rheinischer Merkur , [?].

Schillertheater Berlin (Berlin) date de représentation : le 2 septembre 1952, mise en scène, décors et costumes: Willi Schmidt, musique : Kurt Heuser

Der Ansager : Aribert Wäscher, Der Jesuitenpater : Wolfgang Kühne, Doña Proeza : Anna Dammann, Don Camillo : Kurt Meisel, Don Rodrigo : Erich Schellow, Don Pelayo : Erwin Kalser, Der Chinese : Clemens Hasse, Der Schutzengel : Kurt Buecheler, Doña Musica : Gudrun Genest, Die Negerin Jobarbara : Eva Bubat

Fiedler, Werner, [?], Der T AG , le 4 septembre 1952, [?]. Zivier, Georg, [?], Neue Zeitung, le 4 septembre 1952, [?]. [?], Berliner Anzeiger , le 4 septembre 1952, [?]. [?], Berliner Zeitung , le 26 septembre 1952, [?]. [?], Spandauer Volksblatt , le 4 septembre 1952, [?].

Hessisches Staatstheater (Wiesbaden) date de représentation : septembre 1952, mise en scène : Fritz Umgelter

Schauspielhaus Bochum (Bochum) date de représentation : le 11 octobre 1953, mise en scène : Hans Lietzau, décors : Paul Haferung, musique : Emil Peeters

Der Ansager : Hans Lietzau, Der Jesuitenpater : Walter Kaltheuner, Doña Proeza : Eva- Katharina Schultz, Don Camillo : Hans Messemer, Don Rodrigo : Andreas Wolf, Don Pelayo : Wilhelm Grimm, Der Chinese : Gustav Rothe, Der Schutzengel : Rainer Geldern, Doña Musica : Isolde Chlapek, Die Negerin Jobarbara : Liesel Alex

Schön, Gerhard, [?], Rheinische Post , Krefeld, le 13 octobre 1953, [?]. Schulze-Vellinghausen, Albert, « Paul Claudel und sein Drama Der seidene Schuh », Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 26 octobre 1953, [?]. [?], Freies Volk , le 15 octobre 1953, [?]. [?], Christ und Welt , le 5 novembre 1953, [?]. [?], Westdeutsche Zeitung , le 14 octobre 1953, [?].

Theater Der Stadt Bonn (Bonn)

446 date de représentation : le 14 novembre 1953 1237 , mise en scène : Dr. Karl Pempelfort, décors et costumes : Jean-Pierre Ponnelle

Ansager : Joachim Röcker, Doña Proeza : Erna Korhel, Don Camillo : Klaus Bauer, Don Rodrigo : Erich Musil, Don Pelayo : Walther Guberth, Der Schutzengel : Horst Frank, Doña Musica : Ida Krottendorf, Die Könige : Paul Gogel

Kraemer, H. J., [?], Bonner Generalanzeiger , le 4 janvier 1954, [?]. [?], Rundschau , le 16 novembre 1953, [?].

Städtische Bühnen (Ulm) date de représentation : 1956

Landestheater Hanover date de représentation : le 27 mars 1957, mise en scène : Karlheinz Streibing

[?], Abendpost , [?]. [?], Die andere Zeitung , [?]. [?], Hannoversche Presse , le 1er avril 1957, [?]. [?], Vorwärts , le 26 avril 1957, [?].

Städtische Bühnen Münster 1238 date de représentation : le 30 septembre 1957, mise en scène : Günther Fleckenstein, décors : Carl Wilhelm Vogel, costumes : Rosemarie Hoppe, musique : Heinz Sosnitza

Der Ansager : Theo Pöppinghaus, Der Jesuitenpater : Manfred Schott, Doña Proeza : Elisabeth Lothar, Don Camillo : Günther Lampe, Don Rodrigo : Günther Ziessler, Don Pelayo : Otto-Ernest Lundt, Der Schutzengel : Rena Liebenow, Doña Musica : Anke Tegtmeyer, Der Chinese : Hans Weicker, Die Negerin Jobarbara : Rosemarie Seehofer

Henze, Anton, [?], Echo der Zeit , Recklinghausen, le 17 octobre 1957, [?]. Schulze-Vellinghausen, Albert, [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 2 décembre 1957, [?]. [?], Frankfurter Abendpost , le 12 octobre 1957, [?]. [?], Münsterische Zeitung , le 30 septembre 1957, [?]. [?], Westfälische Nachrichten , le 23 novembre 1957, [?]. [?], Westfälische Nachrichten , le 30 septembre 1957, [?]. [?], Westfälische Rundschau , le 30 septembre 1957, [?].

Düsseldorfer Schauspielhaus date de représentation : le 14 février 1959, mise en scène : Karl Heinz Stroux, décors et costumes : Mario Chiari

Der Ansager : Otto Rouvel, Der Jesuitenpater : Otto Rouvel, Don Pelayo : Rudolf Therkatz, Doña Proeza : Maria Wimmer, Don Camillo : Wolfgang Arps, Don Rodrigo :

1237 Chez Andersen, la première est donnée le 14 novembre 1954. 1238 Pour la première fois dans une version intégrale de la Quatrième Journée de la pièce.

447 Werner Dahms, Der chinesische Diener : Walter Schmidinger, Die Negerin Jobarbara : Eva Böttcher, Doña Musica : Nicole Heesters, Der Schutzengel : Otto Rouvel

Hübner, Paul, [?], Rheinische Post , Düsseldorf, le 16 février 1959, [?]. Schulze-Vellinghausen, Albert, [?], Frankfurter Allgemeine , le 26 février 1959, [?]. [?], Abendpost , le 16 février 1959, [?]. [?], Abendzeitung , le 21 juin 1961, [?]. [?], Arbeiterzeitung , le 22 juin 1961, [?]. [?], Düsseldorfer Nachrichten , le 23 mai 1961, [?]. [?], Echo der Zeit , le 22 mars 1959, [?]. [?], Express , le 22 juin 1961, [?]. [?], Kölnische Rundschau , février 1959, [?]. [?], Kronenzeitung , le 22 juin 1961, [?]. [?], Kurier , le 22 juin 1961, [?]. [?], Der Mittag , le 16 février 1959, [?]. [?], Neue Oesterreich , le 22 juin 1961, [?]. [?], Neue Rhur Zeitung , le 16 février 1959, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 25 février 1959, [?]. [?], Oberösterreichische Nachrichten , le 23 juin 1961, [?]. [?], Oesterreichische Neue Tageszeitung , le 22 juin 1961, [?]. [?], Die Presse , le 22 juin 1961, [?]. [?], Rheinische Post , le 23 mai 1961, [?]. [?], Salzburger Nachrichten , le 26 juin 1961, [?]. [?], Südost-Tagespost , le 25 juin 1961, [?]. [?], Volksstimme , le 23 juin 1961, [?]. [?], Die Welt , le 17 février 1959, [?]. [?], Wochenpresse , le 1er juillet 1961, [?].

Stadttheater Augsburg (Augsbourg) date de représentation : octobre 1959, mise en scène : Karl Bauer

[?], Augsburger Allgemeine Zeitung , le 31 octobre 1959, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 31 octobre 1959, [?].

Deutsches Schauspielhaus (Hambourg) date de représentation : le 18 février 1960, traduction : Urs von Balthasar mise en scène : Kurt Horwitz, décors et costumes : Karl Gröning

Der Ansager : Richard Münch, Der Jesuitenpater : Hubert Hilten, Don Pelayo : E. F. Fürbringer, Doña Proeza : Joana Maria Gorvin, Don Camillo : Ullrich Haupt, Don Rodrigo : Will Quadflieg, Der Chinese : Joseph Offenbach, Die Negerin Jobarbara : Elizabeth Göbel, Doña Musica : Ursula Lillig, Der Schutzengel : Sebastian Fischer

Bachmann, C.-H., « Den Kosmos begreiflich machen… Eine Kathedrale von Werk : Paul Claudels Der Seidene Schuh in Hamburg », Westfälische Nachrichten , le 19 février 1960, [?]. Haas, Willy, [?], Die Welt , le 17 février 1960, [?]. Wagner, Klaus, [?], Frankfurter Allgemeine , le 22 février 1960, [?].

448 [?], Echo der Zeit , le 27 février 1960, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 24 février 1960, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 17 février 1960, [?]. [?], Hamburger Echo , le 17 février 1960, [?]. [?], Neues Winterthurer Tagblatt , le 1er mars 1960, [?]. [?], Sonntagsblatt , le 28 février 1960, [?]. [?], Stader Tageblatt , le 18 février 1960, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 24 février 1960, [?]. [?], Westdeutsche Rundschau , le 22 février 1960, [?].

Nürnberger Schauspielhaus (Nüremberg) date de représentation : le 19 février 1960, mise en scène : Karlheinz Streibing

[?], Acht Uhr Blatt , le 22 février 1960, [?]. [?], Fränkische Tagespost , le 20 février 1960, [?]. [?], Nürnberger Nachrichten , le 20 février 1960, [?]. [?], Nürnberger Zeitung , le 20 février 1960, [?].

Städtische Bühnen Bielefeld date de représentation : le 5 novembre 1959, mise en scène : Karl Pempelfort

[?], Aachener Nachrichten , le 16 février 1954, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 8 janvier 1954, [?].

Stadtisches Theater (Mainz) date de représentation : octobre 1961, mise en scène : Ludwig Schwartz

[?], Allgemeine Zeitung , le 16 septembre 1961, [?]. [?], Die Freiheit , le 19 septembre 1961, [?]. [?], Wiesbadener Kurier , le 16 septembre 1961, [?]. [?], Wiesbadener Tagblatt , le 16 septembre 1961, [?].

(Heidelberg) date de représentation : le 15 février 1961 reprise (Krefeld), 1961

Städtische Theater de Mayence 1239 date de représentation : le 14 septembre 1961

Städtische Bühnen Heidelberg (Heidelberg) date de représentation : le 31 mars 1963, mise en scène : Claus Helmut Drese, décors et costumes : Frank Schultes, musique : Johannes Zimmermann

1239 Précédé par une conférence de l’abbé Stegmiller au cours de laquelle furent joués quelques scènes.

449 Der Ansager : Günther Böhnert, Der Jesuitenpater : Günther Böhnert, Don Pelayo : Gert Tellkampf, Doña Proeza : Evelyn Matzura, Don Camillo : Günter Mack, Don Rodrigo : Peter Versten, Der Chinese : Welfgang Robert, Die Negerin Jobarbara : Hilde Büchel, Doña Musica : Karin Schröder, Der Schutzengel : Günther Böhnert Luckow, Heinz, [?], Heidelberger Tageblatt , le 2 avril et le 8 avril 1963, [?]. [?], Allgemeine Zeitung , le 2 avril 1963, [?]. [?], Deutsche Tagespost , le 19 avril 1963, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 2 avril 1963, [?]. [?], Rhein-Neckar Zeitung , le 2 avril et le 8 août 1964, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 2 avril 1963, [?]. [?], Wiesbadener Kurier , le 5 avril 1963, [?].

Stadtheater (Berlin) date de représentation : novembre 1964

Bühnen der Landeshauptstadt (Kiel) date de représentation : le 31 mars 1965, mise en scène : Joachim Klaiber

Festspiele Bad Hersfeld (Bad-Hersfeld) 1240 date de représentation : le 27 juin 1965, mise en scène : Werner Kraut, décors et costumes : Heinz Ludwig

Der Ansager : Gunther Malzacher, Der Jesuitenpater : Giselher Schweitzer, Don Pelayo : Gerhard Just, Dona Proeza : Antje Weisgerber, Don Camillo : Lothar Diettrich, Don Rodrigo : Günther Tabor, Der Chinese : Axel Bauer, Die Negerin Jobarbara : Jutta Auerbach, Dona Musica : Witta Pohl, Der Schutzengel: Günter König

Hübner, Paul, [?], Rheinische Post , le 29 juin 1965, [?]. Schulte, Hans Ludwig, [?], Kasseler Post , le 29 juin 1965, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 9 juillet 1965, [?]. [?], Giessener Freie Presse , le 30 juin 1965, [?]. [?], Höchster Kreisblatt , le 28 juin 1965, [?]. [?], Kurier , le 12 juillet 1965, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 3 juillet 1965, [?]. [?], Der Sonntag , le 9 août 1965, [?]. [?], Die Zeit , le 2 juillet 1965, [?].

Westdeutscher Rundfunk (OST) , en quatre émissions date de diffusion : avril 1965 1241 , mise en scène : Gustav Rudolf Sellner, décors et costumes : Gerd Richter

Dona Proeza : Johanna von Koczian, Don Rodrigo : Maximilien Schell, Don Camillo : Wolfgang Reichmann, Der König : Kurt Horwitz, Dona Musica : Heidelinde Weis

Böhm, Gotthard, [?], Rheinischer Merkur , le 23 avril 1965, [?].

1240 Dans le cadre d’un festival. 1241 Émission des Quatre Journées diffusée les 11, 13, 15 et 16 avril.

450 Guggenheimer, W.M., [?], Süddeutsche Zeitung , le 20 avril 1965, [?]. [?], Die Abendzeitung , le 30 mai 1964, [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 20 avril 1965, [?]. [?], Funk-Uhr , le 2 août 1964, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 27 juin 1964, [?]. [?], Rheinische Post , le 15 avril 1965, [?]. [?], Saarbrücker Zeitung , le 20 avril 1965, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 30 juin 1964, [?]. [?], Die Welt , le 20 avril 1965, [?]. [?], Westfälische Nachrichten , le 10 avril 1965, [?].

Stadttheater (Pforzheim) date de représentation : septembre 1966, mise en scène : Gerhard Jelen

Bayerisches Staatsschauspiel Residenztheater München (München) date de représentation : le 19 février 1967, mise en scène : Hans Lietzau, décors et costumes : Jürgen Rose, musique : Wilhelm Killmayer

Der Ansager : Max Mairich, Der Jesuitenpater : Hans Baur, Don Pelayo : Friedrich Maurer, Dona Proeza : Elisabeth Orth, Don Camillo : Martin Benrath, Don Rodrigo : Thomas Holtzmann, Der Chinese : Herbert Mensching, Die Negerin Jobarbara : Gaby Dohm, Dona Musica : Christine Ostermayer, Der Schutzelgel : Gerd Brüdern

Kaiser, Joachim, [?], Süddeutsche Zeitung , le 21 février 1967, [?]. [?], Abendzeitung , le 17 février 1967 et le 21 février 1967, [?]. [?], Echo der Zeit , [?]. [?], Frankfurter Allgemeine , le 23 février 1967, [?]. [?], Müncher Merkur , [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 20 mai 1966, [?]. [?], Schwäbische Donauzeitung , le 8 avril 1967, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 18 février 1967, [?]. [?], Theater-Runschau , avril 1967, [?]. [?], Die Welt , le 7 mars 1967, [?].

Hessisches Staatstheater Wiesbaden (Wiesbaden) 1242 date de représentation : le 18 mars 1967, mise en scène : Claus Helmut Drese, décors et costumes : Frank Schultes, musique : Johannes Zimmermann

Der Ansager : Günther Böhnert, Der Jesuitenpater : Günther Böhnert, Don Pelayo : Karl Supper, Doña Proeza : Anke Tegtmayer, Don Camillo : Hans Schulze, Don Rodrigo : Peter Neusser, Der chinesische Diener : Matthias Ponnier, Doña Musica : Karin Schröder, Der Schutzengel : Gregor Bals

Halbe, Thomas, [?], Allgemeine Zeitung, Mainz, le 20 mars 1967, [?]. [?], Höchster Kreisblatt , le 22 mars 1967, [?]. [?], Der Soontag , le 2 avril 1967, [?].

1242 Ensuite aussi joué à Pforzhei, et à Ulm.

451

Städtische Bühnen Krefeld/Mönchengladbach date de représentation : 1968, mise en scène : Hans Neuenfels Vielhaben, G., « Die Soufleuse als Madonna : Im Krefeld Claudels Seidene Schuh », Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 17 juillet 1968, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 25 avril 1968, [?]. [?], Theater heute , août 1968, [?]. [?], Westdeutsche Zeitung , le 22 avril 1968, [?].

Stadtshauspiel de Münich date de représentation : 1968

Bühnen der Stadt Essen date de représentation : 1968, mise en scène : Claus Leininger

Vielhaber, G., « Seidene Schuh : Claudel in Essen »[?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 7 novembre 1968, [?]. [?], General-Anzeiger , le 28 septembre 1968, [?]. [?], Neue Ruhr Zeitung , le 7 septembre 1968, [?]. [?], Recklinghäuser Zeitung , le 24 janvier 1969, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 27 septembre 1968, [?]. [?], Westfälische Rundschau , le 23 octobre 1968, [?].

Stadttheater Pforzheim date de représentation : 1968, mise en scène : Gerhard Jelen

[?], Stuttgarter Nachrichten , le 23 septembre 1966, [?]. [?], Pforzheimer Zeitung , le 19 septembre 1966, [?]. [?], Südkurier , le 4 octobre 1966, [?]. [?], Bietigheimer Zeitung , le 3 octobre 1966, [?]. [?], Schwazwälder Bote , le 20 septembre 1966, [?].

Badisches Landestheater de Karlsruhe date de représentation : 1969, mise en scène : Horst Braun [?], Badische Neueste Nachrichten , le 10 février 1969, [?]. [?], Oberbadisches Volksblatt , le 12 février 1969, [?]. [?], Offenburger Tageblatt , le 24 mars 1969, [?]. [?], Die Rheinpfalz , le 12 février 1969, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 14 février 1969, [?].

Nationaltheater Mannheim date de représentation : 1970, mise en scène : Ernst Dietz

[?], Heidelberger Tagblatt , le 19 juin 1970, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 19 juin 1970, [?]. [?], Rhein-Neckar Zeitung , le 19 juin 1970, [?].

452 Oldenburgisches Staatstheater (Oidenbourg) date de représentation : octobre 1975, mise en scène : Gerhard Jelen

[?], Bremer Nachrichten , le 19 septembre 1975, [?]. [?], Weser-Kurier , le 19 septembre 1975, [?].

Stadttheater Ingolstadt Date de représentation : le 19 octobre 1980, mise en scène : Volkmar Kamm, décors : Konrad Kulke

Der Ansager : Günter P. Fieber, Der Jesuitenpater : Wolfgang Werthenbach, Don Pelayo : Johann Kraus, Doña Proeza : Antonia Linder, Don Camillo : Hanslutz Hildmann, Don Rodrigo : Wolfgang Werthenbach, Der Chinese : Florian Münzer, Die Negerin Jobarbara : Gabriele Blum, Doña Musica : Gabriela Fritsche, Der Schutzengel : Peter Schenkelberg

Colberg, Klaus, [?], Donau Kurier , le 21 octobre 1980, [?].

(Mayence) date de représentation : octobre 1985, mise en scène : Dietrich Taube

(Berlin), reprise, v. Vitez, Festival d’Avignon, 1987 date de représentation : 1987

Autriche Burgtheater Wien (Vienne) date de représentation : le 14 mai 1949, mise en scène : Josef Gielen, décors et costumes : Teo Otto, musique : Alexander Steinbrecher

Der Ansager : Hermann Thimig, Dona Proeza : Maria Becker, Don Pelayo : Werner Krauss, Don Camillo : Albin Skoda, Don Rodrigo : Fred Liewehr, Der Jesuitenpater : Eduard Volters, Don Balthasar : Ewald Balser, Der Chinese : Heinz Moog, Die Negerin Jobarbara : Maria Eis, Dona Musica : Eva Lissa, Der Schutzengel : Felix Steinböck

Heer, Friedrich, Die Furche , mai 1949, [?]. Rollett, Edwin, « Der seidene Schuh », Kurier , Wien, mai 1949, [?].

Burgtheater (Vienne) date de représentation : le 20 juin 1961 1243 , mise en scène : Stroux

Basil, Otto, [?], Neues Oesterreich , juin 1961, [?]. Kauer, [?], Volksstimme , juin 1961, [?]. Rismondo, P., Katholizismus mit Verfremdung, Die Presse , juin 1961, [?].

1243 Dans le cadre de la tournée de la troupe du Théâtre de Düsseldorf, puis le spectacle a été repris le 21 juin.

453 Télévision autrichienne 1244 date de diffusion : le 19 mars 1967

Landestheater Linz date de représentation : 1968

[?], Amtliche Linzer Zeitung , le 13 décembre 1968, [?]. [?], Die Furche , le 21 décembre 1968, [?]. [?], Linzer Tagblatt , le 25 novembre 1968, [?]. [?], Mühlviertler Nachrichten , le 28 novembre 1968, [?]. [?], Wiener Zeitung , le 6 décembre 1968, [?].

Télévision autrichienne date de diffusion : mars 1982

Landestheater Salzburg (Festival de Salzbourg) date de représentation : juillet 1985, traduction : Urs von Balthazar, mise en scène : Hans Lietzhau, décors et costumes : Ezio Toffolutti, musique : Wilhelm Killmayer

Der Nicht-zu-Dämpfende, Don Balthasar, Der doppelte Schatten : Ernst Schröder, Der Jesuitenpater : Joachim Bissmeier, Don Pelayo : Kurt Meisel, Dona Proeza : Sibylle Canonica, Don Camillo : Lambert Hamel, Don Rodrigo : Maximilian Schell, Der Chinese : Jürgen Thormann, Die Negerin Jobarbara : Gabriele Schuchter, Dona Musica: Lena Stolze, Der Schutzengel : Carla Hagen, Dona Honoria : Marianne Hoppe, Der Bruder Leon : Joachim Bissmeier

Ruß, Bruno, [?], Wiesbadener Kurier , le 30 juillet 1985, [?]. Zamponi, Lina, [?], Arbeiter Zeitung , Wien, le 29 juillet 1985, [?].

Belgique Laboratoire de Théâtre - Le Rataillon 1245 (Salle de la cour d’Angleterre, Bruxelles), réalisation du prologue date de représentation : le 29 avril 1932 1246 , mise en scène : Albert Lepape, décors : Denis Martin

Dona Prouhèze : Anne-Marie Ferrières, Don Pélage : Albert Hubner, Don Balthazar : Fort. Dekegel, Don Camille : Louis-Philippe Kammans

Merget, Robert, Au Rataillon, La Revue nationale , n° 42, 1932, [?]. Poupeye, Camille, A Rataillon – Le Soulier de satin et Amal, [coupure de presse ?].

1244 Transmission du film réalisé par la Société allemande Bavaria, composé à partir du texte du Soulier de satin , présenté en quatre Journées (les 19, 21, 22 et 24 mars). 1245 Nom de la troupe. 1246 Il s’agit de la représentation des fragments (du prologue) de la pièce, elle est organisée par la Jeunesse Universitaire Catholique.. Ensuite présenté aussi les 1er et 2 mai.

454 A. C., Le XIIe spectacle du Rataillon – Paul Claudel et Rabindranath Tagore, L’Indépendance belge , le 24 avril 1932, [?]. 1247 L. P. [Louis Piérard], Au Rataillon – Le Soulier de satin – Amal et la lettre du roi, Le Peuple , le 1er mai 1932, [?]. P. W. [Paul Werrie], Claudel et Tagore au Rataillon, Le XXe siècle , le 1er mai 1932. [Non-signé], Claudel au Rataillon, Le Soir , le 29 avril 1932, [?]. 1248 [Non-signé], Claudel et Tagore au Rataillon, [coupure de presse non identifié ]. 1249 [Non-signé], Rabindranath Tagore, L’Horizon , le 30 avril 1932, [?]. 1250 reprise: (Salle Patria, Bruxelles) date de représentation : le 13 avril 1932 1251 (Bruxelles) 1252 date de représentation : le 23 mars 1933

Théâtre Royal de la Monnaie (Bruxelles), concert date de représentation : 1945, musique: Honegger

Pensionnat du Sacré-Cœur 1253 date de représentation : mars 1968, mise en scène : Mère Cassiers

(Théâtre National de Belgique, Bruxelles), reprise, v. Antoine Vitez, Festival d’Avignon, 1987 date de représentation : le 10 janvier 1988 1254 C.D. (Dion-Valmont), Soirée Claudel, Vlan, hebdomadaire , le 23 décembre 1987 (p. 3). 1255 Verhaeren, Carine, Le Marathon Claudel, [?], 1987 (p. 2). C. Le B., Une histoire d’amour longue de douze heures, La Dernière Heure , le 13 janvier 1988 (p. 29). C.D., « Le soulier de satin », ce que Vitez en dit, La Libre Belgique , le 9 janvier 1988 (p. 22). Cordier, Jean-Pierre, Le Soulier de satin Envoûtant Claudel, L’Echo de la Bourse , le 14 janvier 1988 (p. 33). De Decker, Jacques, Vitez : Claudel a tiré une légende de sa vie, Le Soir , le 31 décembre 1987 (p. 4). Degan, Catherine, Le Soir , le 14 juillet 1987. De Roeck, Jef, De Standaard , le 25 juillet 1987. Diez, Claire, Le bonheur magique du « Soulier de satin », La Libre Belgique , le 14 janvier 1988 (p. 34).

1247 Annonce de presse. 1248 Ibid. 1249 Ibid. 1250 Ibid. 1251 Présenté avec des poèmes claudéliens tirés des recueils L’Esprit et l’eau , Le Processionnal et Le Chemin de la croix . 1252 Dans le cercle artistique et littéraire. 1253 Présentation des extraits de la pièce. 1254 Présenté les dimanches 10, 17, 24 et 31 janvier. 1255 Ce bilan comprend même les articles consacrés à la mise en scène à Avignon.

455 Finet, Raymond, Le Soulier de satin, Bizz’art , le 5 janvier 1988, (p. 12). Hislaire, Jacques, La Libre Belgique , le 1 er août 1987. Hislaire, Jacques, La Libre Belgique, le 1 er janvier 1988. Chenot, Francis, Claudel, c’est trop ! Le Drapeau rouge , le 13 janvier 1988 (p. 28). Ch. S., Dion-Valmont, Claudel attire Claudel au Foyer culturel, Le Soir , le 11 janvier 1988 (p. 24). Ch. S., Le Soulier de satin ; de Paul Claudel, première approche, ce soir, à Dion, Le Soir , le 8 janvier 1988 (p. 20). (MR), Le Soulier de satin van Claudel, 12 uur teaterevenement in Brussel, de Morgen , le 5 janvier 1988 (p. 13). M.S., Antoine Vitez présente, « Le Soulier de Satin », La Wallonie , le 12 janvier 1988 (p. 27). Pantagruel, A propos du « Soulier de satin », Pan (Plumes de Pan), le 13 janvier 1988 (p. 30). Simon, Daniel, Le retour du baroque. Le Soulier de satin de Claudel-Vitez, Art & Culture , janvier 1988 (p. 7). Sion, Georges, L’insolence comme forme de la dévotion, [?] (p. 5). Van Hove, Jan: Woordenvloed verbergt Claudels levensdrama, De Standaard , le 12 januari 1988 (p. 25-26) Von der Speeten, Geert, « Le Soulier de Satin » te gast in Brussel. Op ontdekkingsreis met Paul Claudel, Gazet Van Antwerpen , le 15 januari 1988 (p. 38). [Non-signé], Au National à Bruxelles Le Soulier de satin de Paul Claudel, Vie et Culture , janvier 1988 (p. 8). [Non-signé], Bruxelles attend « Le Soulier de satin », Le Drapaeu rouge , le 9 janvier 1988 (p. 21). [Non-signé], En Belgique « Le Soulier de satin » de Paul Claudel Une représentation historique à Bruxelles jusqu’au 31 janvier, La Voix du Nord (France), le 15 janvier 1988 (p. 37). [Non-signé], Le soulier de satin, L’Evenement , le 15 janvier 1988 (p. 36). [Non-signé], Le Soulier de satin, Le Soir , le 7 janvier 1988 (p. 16). [Non-signé], « Le Soulier de satin » au National, La meuse , le 7 janvier 1988 ; La Lanterne , le 10 janvier 1988 (p. 23). [Non-signé], « Le Soulier de Satin » au T.N.B. à Bruxelles. Un voyage sans transition d’un continent à l’autre, [?], le 7 janvier 1988 (p. 17). [Non-signé], « Le Soulier de Satin » d’Avignon à Bruxelles, La Libre Belgique , le 2 janvier 1988 (p. 11). [Non-signé], Le Soulier de satin de Paul Claudel, La VIF , le 2 janvier 1988 (p. 10). [Non-signé], Le Soulier de Satin fait escale à Bruxelles, La Gazette (France), les 6-7 janvier 1988 (p. 15). [Non-signé], Le soulier de satin hernomen, Nieuwsblad , le 6 janvier 1988 (p. 14).

Canada Télévision canadienne date de diffusion : novembre 1963, mise en ondes : Mlle Kenderji, M. Jean Lebel

Théâtre National de Montréal

456 date de représentation : le mars 1967 1256 , mise en scène : Jean-Louis Roux, décors : Jean- Louis Garceau, costumes : François Barbeau

Dona Prouhèze : Francis Bergé, ? Jean-Louis Barrault

(4Sw 10809 [VII]) Dassylva, Martial, Le nouveau départ du Théâtre du Nouveau Monde, La Presse (Montréal), le 25 février 1967 (february 25) (p. 7). Dassylva, Martial, « Le Soulier » du Théâtre de France, La Presse (Montréal), le 4 mai 1967 ( may 4) (p. 27). L’Heureux, Robert, Expo 67, Ottawa Le Droit (Ontario), le 5 janvier 1967 (january 5) (p. 4). (PC), Le Soulier de satin, en version abrégée de 5 heures, Ottawa Le Droit , 14 janvier 1967 (january 14) (p. 3). Rudel-Tessier, « L’Exposition, le théâtre, le TNM, Photo-Journal (Montréal), le 16 décembre 1966 (december 14) (p. 4). Sauvage ; Léon, Expo-67 fait feu de toutes ses planches. Du « Soulier de Satin » à « Hello Dolly »..., Le Figaro , le 5 mai 1957 (p. 23). Viton, Jean-Jacques, A Montréal, La Marseillaise (Marseille), le 8 avril 1967 (p. 2). [Non-signé], L’Odéon-Théâtre à l’exposition de Montréal, Le Meridional (Marseille), le 22 mars 1967 ; Union , Reims, le 22 mars 1967 (p. 6). [Non-signé], L’Odéon-Théâtre de France à Montréal, Le Monde , le 28 mars 1967 (p. 7). [Non-signé], l’Odéno-Théâtre de France ouvrira le cycle dramatique de l’exposition de Montréal, Combar , Paris, 20 mars 1967 (p. 6). [Non-signé], Les spectacles à l’Expo 67, La Nouvelle République (Bordeaux), le 21 février 1967 (p. 3). [Non-signé], Le Théâtre de France à l’Exposition de Montréal, Nice Matin (Nice), le 19 mars 1967 (p. 5).

Université de Montréal date de représentation : les 18-21 novembre 1999

Espagne (El zapato de raso) Teatro Espagnol (Madrid) 1257 date de représentation : le 18 avril 1965, traduction : Antonio Gala, mise en scène : José Luis Alonso, décors : Francesco Nieva

(4Sw 866) Murciaux, Christian, Le Soulier de satin à Madrid, Rodrigue parle espagnol, Les nouvelles littéraires , le 13 mai 1965 (p. 7). Diez-Crespo, M., «El Zapato de raso», de Paul Claudel, constituyó un brillante acontecimiento escénico, Jornada , le 5 mai 1965, p. 33.

1256 Monté par la Compagnie Renaud-Barrault du 30 avril au 18 mai à l’occasion de l’Exposition universelle. 1257 Le Théâtre national de Madrid, première représentation en langue espagnole.

457 Muelas, F., Una vision personalísima de Paul Claudel, de nuestra aventura hacia terra de Indias, Ella , le 6 mai 1965, p. 23.

Gran Teatro del Liceo (Barcelone) date de représentation : septembre 1965, mise en scène : J.L. Alonso (4Sw 866) A. Martinez Tomas, « El zapato de raso » de Paul Claudel.-Realizacion escenica de J. L. Alonso, La Vanquardia Española , le 9 octobre 1965 (p. 45-46) Armenteras, Antonio de, Los estrenos. Gran teatro des Liceo.- Presentacion de la Compania del Teatro Nacional con « El zapato de raso » ; de Paul Claudel, en version de Antonio Gala, La Prensa , le 8 octobre 1965 (p. 29-30). Dalmau, J., « El zapato de raso », de Paul Claudel, en el Gran Teatro del Liceo. Un drama centrado en la España evangelizadora de los grandes imperios, Solidaridad Nacional , 30.9.1965 (p. 9). Gala, Antonio, Liceo, Antecritica de « El Zapato de Raso » de Paul Claudel, La Vanguarda Españolé , le 7 octobre 1965. J. M. J., El Estreno de « El zapato de raso » en el liceo constituyo el gran acontecimiento del año, Correo Catalan , le 8 octobre 1965 (p. 25). Junyent, José Maria, « El zapato de raso » de Paul Claudel, por la Compania del Teatro Nacional, Correo Catalan , le 9 octobre 1965 (p. 43-44). Manegat, Julio, En el Gran Teatro del Liceo, Moticiero Universal , le 8 octobre 1965 (p. 33-34). P. V., Brillantísima representación de « El zapato de Raso », en el Liceo, La Vanquardia Española , le 8 octobre 1965 (p. 23). S. C., El estrno de « El zapato de Raso » en Barcelona. Un deseo de Paul Claudel, Cumplido a los diez años de su muerte, Diario (Barcelona), le 3 octobre 1965 (Barcelono) (p. 15). Roda, F., «El zapato de raso» de Paul Claudel, Destino (Barcelona), le 23 octobre 1965. Sordo, Enrique, « El zapato de raso », Solidaridad national , le 9 octobre 1965 (p. 39 -41). [Non-signé], Don Carlos Rebles Piquer habla de la representación de « El zapato de razo ». Después de su éxito en Madrid era obligado traerlo a Barcelona, La Vanguardia Española , 9 octobre 1965, Barcelona (p. 37). [Non-signé], El estreno de « El Zapato de raso », de Paul Claudel, La Vanquardia Española (Barcelone), le 1er octobre 1965 (p. 13). [Non-signé], El masimo acontecimiento teatral del año, Hoja del lunes , le 4 octobre 1965 (Barcelona) (p. 17). [Non-signé], Homenaje de Barcelona al poeta Paul Claudel brillante gala en el Liceo con el estreno de « El Zapato de Raso », Solidaridad Nacional , le 8 octobre 1965 (p. 27). [Non-signé], Un zapato de raso, Hoja del Lunes , le 11 octobre 1965 (p. 49). [Non-signé], Disetacion de don Juan Guerrero Zamora sobre « Paul Claudel y el anillo de Dios », Heoliciero Universal , le 11 octobre 1965 (p. 51). [?], Aachener Volkszeitung , le 22 mai 1965,[?]. [?], Badische Zeitung , le 15 mai 1965, [?]. [?], L’Osservatore Romano , le 18 avril 1965, [?].

(Barcelone), reprise, v. Vitez, Festival d’Avignon, 1987 date de représentation : 1987

458

États-Unis (The Satin Slipper ) The Catholic University of America (Washington, D.C.) 1258 date de représentation : le 5 mars 1959, adaptation : Leo Brady, mise en scène : Rev. G. V. Hartke O.P.

[?], Catholic Theatre , XVI, nº 13, décembre 1958, p. 17.

The Little Theatre (Manhattanville College of the Sacred Heart, Purchase, New York) 1259 date de représentation : le 28 février 1960, 1260 traduction et adaptation : Mère Fiske et Léon Katz, 1261 mise en scène : Léon Katz, musique : Albert G. Rivett

Hart, Howard, [?], The Village Voice , le 2 mars 1960, [?]. [?], Catholic News , le 20 février 1960, [?]. [?], New York Times , le 29 février 1960, [?]. reprise (La Voix de l’Amérique) 1262 date de diffusion : le 14 avril 1960

(Washington, D.C.) , voir L´Annonce faite à Marie , Catholic Universtity of America, 1968

sous le titre Prouhèze in Hell & Heaven

NBC-TV & National Council of Catholic Men (Catholic Hour’s Dramatic Series) date de l’émission : le 23 août 1959, adaptation : Gereon Zimmerman, direction : Martin Hoade

Brady, L., The top of the tree, Notes on a production of the Satin Slipper; Drama Critique (Lancaster, New York, National Catholic Theatre Confederation), III, nº 1, février 1960, p. 19-24. Waters, Harold, Woman’s artistic function in the plays of Paul Claudel, Drama Critique (Lancaster, New York, National Catholic Theatre Confederation), III, nº 1, février 1960, p. 11-18. Zimmerman, G., Prouhèze in Hell & Heaven, Drama Critique (Lancaster, New York, National Catholic Theatre Confederation), III, nº 1, février 1960, p. 25-28. [?], The Catholic Theatre, Drama Critique (Lancaster, New York, National Catholic Theatre Confederation), III, nº 1, février 1960, p. 6-10.

1258 Joué jusqu’au 21 mars 1959. 1259 On a aussi publié quatre photos dans Manhattanville Alumnae Review . The Voice of America a aussi diffusé un interview à Manhattanville College avec J. P. Freysse. 1260 Spectacle a été représenté le 24 et les 26-28 février 1960. 1261 Traduction inédite. 1262 Il s’agit de la retransmission sur vingt stations européennes.

459 France ? date de lecture : 1940 1263 Radio France Libre (Marseille) Date de diffusion : 1942

Dona Prouhèze : Eve Francis

Salle Richelieu, Comédie-Française (Paris), création mondiale de la version réduite 1264 date de représentation : le 29 novembre 1943 1265 , mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Lucien Coutaud, musique : Arthur Honegger, chef d’orchestre : André Jolivet

L’Annoncier : Pierre Dux 1266 , Le père jésuite et Saint-Jacques : Maurice Donneaud, Jacques Dacqmine (en alternance 8 décembre), Don Pelage : Jean Yonnel, Don Balthazar : André Brunot, Pierre Bertin (en alternance 16 janvier 1944), Doña Prouhèze : Marie Bell, Don Camille : Aimé Clariond, Doña Isabel : Jeanne Sully, Mony Dalmès (en alternance 9 janvier 1944, Dona Musique en alternance 31 janvier 1944), Denise Bosc (en alternance 23 janvier 1944), Don Louis : Drancourt, Le roi d’Espagne : Maurice Chambreuil, Le Chancelier : Jean Le Goff, Don Rodrigue : Jean-Louis Barrault, Le Chinois : Julien Bertheau, La Négresse Jobarbara : Mireille Perrey, Le Sergent Napolitain : Michel Vadet, Don Fernand : Jean Deninx, Doña musique : Madelaine Renaud, L’Ange Gardien : Mary Marquet, L’Alférés : Lemarchand, Dona Honoria : Henriette Barraud, Saint Jacques Le Majeur : Maurice Donneaud, Le Capitaine : Balpêtré, Le Vice-Roi de Naples : Martinelli, La Lune : Clarisse Deudon, Almagro : Jean Chevrier, La Servante : Dehelly, Don Rodilard : , Don Ramire : Valcourt, Le Capitaine : De Rigoult, Soldats : Meyer et Charon, Le Frère Léon : Seigner, La Religieuse : Andrée de Chauveron

(4Sw 7596) Albérès, R.-M., [?], Méridien , janvier-février 1944, [?]. Berland, Jacques, A la Comédie-Française Le Soulier de satin, Paris-Soir , le 6 décembre 1943 (p. 59). Blanquie, Louis, A la scène. Comédie-Française, Le Matin , le 16 décembre 1943 (p. 87). Bonnissol, Marcel, « Si je devais refaire ma carrière je choisirais l’épicerie » nous dit Paul Claudel, qui ajoute : « Je suis un optimiste qui ne regarde jamais en arrière », Paris-Soir , le 30 novembre 1943 (p. 41). Bozonnat, Georges, [?], Combat , le 22 janvier 1944, [?]. Brasillach, Robert, [?], La Chronique de Paris , 1943, [?]. Bussche, Albert, Le Soulier de satin au Théâtre Français L’homme en quête de son salut, Pariser Zeitung , le 12 décembre 1943 (p. 83-86). Castelot, André, Le Soulier de satin à la Comédie-Française, La Gerbe , le 9 décembre 1943 (p. 71-73).

1263 Lecture commentée réalisée par la groupe d’étudiants catholiques bordelais, Marc Oraison. 1264 57 reprises. 1265 La générale date du 27 novembre. Ce spectacle reste au répertoire du 7 janvier 1943 en avril 1945. 1266 La distribution des autres représentations évite les rôles secondaires.

460 Claudel, Paul, « Le Soulier de satin » Au théatre-Français, Comoedia , le 7 janvier 1943 (p. 3). De Cotti, R., C’est ma vision poétique du monde nous confie M. Paul Claudel à propos du « Soulier de satin », La Gerbe ?, le 25 novembre 1943 (p. 33). Dumur, Guy, le Petit Journal , le 20 décembre 1943. Faydit de Terssac, Jean, Un monument au Théâtre contemporain, Le Pays Libre , le 26 décembre 1943 (p. 99). F.H., Avant « Le Soulier de satin », Paris-Midi , le 20 novembre 1943 (p. 27). G.C., Le Tout-Paris applaudit tout le « Français » dans « Le Soulier de satin », Le Cri du peuple , le 2 décembre 1943 (p. 43). Ghéon, Henri, [?], La Voix française , le 21 janvier 1944, [?]. Ghéon, Henri, Le Soulier de satin de Paul Claudel (1er article), La Voix française , le 17 décembre 1943 (p. 89). Ghéon, Henri, Le Soulier de satin de Paul Claudel à la Comédie-Française (2 e article), La Voix française , le 7 janvier 1944 (p. 107 -108). G.S., [?], l’Illustration , le 11 décembre 1943, [?]. Halévy, Daniel, En marge du Soulier de Satin. Analyse d’un succès, La voix française , le 18 mars 1944 (p. 119-121). Henriot, Emile, Poésie baroque, Le Journal , le 16 décembre 1943, [?]. Hertet, Paul, [?], Candide , le 12 décembre 1943, [?]. Chaperot, Georges, Le soulier de satin, Le cri du peuple , le 4 décembre 1943 (p. 49). Jamet, Claude, Shakespeare jésuite, Notre Combat , 1943, [?]. Laubraux, Alain, Dans la nuit de Paul Claudel, Je suis partout , le 10 décembre 1943, [?]. Laubreaux, Alain, Prologue au « Soulier de satin », Je suis partout , le 3 décembre 1943 (p.47-48). Laubreaux, Alain, A la Comédie-Fançaise, « Le Soulier de satin » action espagnole en 2 parties et 33 tableaux de M. Paul Claudel, Le Petit parisien , le 4 décembre 1943 (p. 51-52). Lenormand, H. (mozna A.), Le Soulier de satin à la Comédie-Française, Panorama , le 9 décembre 1943 (p. 75-77). Le Petit, [?], France , décembre 1943, [?]. Lhoste, Pierre, « Première du « Soulier de satin » à la Comédie-Française », Paris-Midi , le 28 novembre 1943 (p. 39). Loissy, Jean, [?], Demain , le 6 février 1944, [?]. Maulnier, Thierry, [?], l’Action fraçaise , le 12 février 1944, [?]. Maxence, Jean-Pierre, Le théâtre dans un fauteuil, Aujourd’hui , le 8 décembre 1943 (p. 65). Méré, Charles, Comédie-Française, « Le Soulier de satin », Aujourd’hui , le 4 décembre 1943 (p. 55). Neveu-Degas, Jean, « Le Soulier de Satin de Paul Claudel », Panorama , le 18 novembre 1943 (p. 19-21). Pelorson, Georges, L’impossible possible, La Revolution Nationale , le 18 décembre 1943 (p. 91). Pelorson, Georges, Un monument, Révolution nationale , le 11 décembre 1943 (p. 79-78). Rostand, Maurice, Au Théatre-Français « Le Soulier de satin », Paris-Midi , le 4 décembre 1943 (p 53). Purnal, Roland, « Que l’on me pardonne... », Comoedia , le 20 novembre 1943 (p. 23-24). Renaitour, Jean-Michel, A la Comédie-Française « Le Soulier de satin », L’Oeuvre , le 2 décembre 1943 (p. 57).

461 Ribadeau Dumas, François, Paul Claudel à la Comédie Française, La Semaine à Paris , le 8 décembre 1943 (p. 63-64). Ricou, Georges, Le Soulier de Satin ou Le pire n’est pas toujours sur (Action espagnole en deux parties et un épilogue (trente-trois tableaux) de M. Paul Claudel, Musique de M. Arthur Honegger). La France socialiste , le 8 décembre 1943 (p. 67-68). Roland-Manuel, Le Soulier de Satin à la Comédie Française, Information musicale , le 18 février 1944 (p. 113). Roy, Claude, [?], Candide , le 20 décembre 1943, [?]. Santelli, César, [?], L’École et la Vie , le 8 janvier 1944, [?]. Trintzius, René, La vérité nous vient de Claudel, La Gerbe , le 6 janvier 1944 (p. 105). Votel, Clément, [?], le Journal , décembre 1963, [?]. Wilmès, M., « Paul Claudel devant la réalisation du « Soulier de Satin », Panorama , le 25 novembre 1943 (p. 35-36). Wilmès, M., Paul Claudel nous parle du « Soulier de satin », Panorama , le 16 juillet 1943 (p. 7-9). [?], « Le Soulier de satin » de Paul Claudel va être créé au Français, Le Matin , le 20 novembre 1943 (p. 25). [Non-signé], Comédie-Française : Une interview de M. Jean-Louis Barrault à propos du « Soulier de satin », de M. Paul Claudel ; « Aimer », comédie en trois actes de M. Paul Géraldy », Je suis partout , le 5 novembre 1943 (p. 13-14). [Non-signé], « La première du « Soulier de satin » à la Comédie-Française a obtenu le triomphe attendu », L’Appel , le 18 novembre 1943 (p. 17). [Non-signé], « La rentrée de Paul Claudel d’ et de Jean Giono », Aujourd’hui , le 18 août 1943 (p. 11). [Non-signé], A la Comédie Française, Scène et Monde , décembre 1943 (p. 101). [Non-signé], Je ne sache pas..., Nouveau Temps , le 14 mars 1944 (p. 115). [Non-signé], La « bataille » du « Soulier de Satin », Cassandre , le 25 décembre 1943 (p. 97). [Non-signé], Le révérend Père du Micro, Je suis partout , le 17 mars 1944 (p. 117). [Non-signé], Le Soulier de satin, L’Atelier , le 11 décembre 1943 (p. 81-82). [Non-signé], « Le Soulier de Satin », Comoedia , le 18 novembre 1943 (p. 15). [Non-signé], Le Soulier de satin, à la Comédie-Française, L’Appel , le 9 décembre 1943 (p. 69-70). [Non-signé], « Le Soulier de satin » de M. Paul Claudel à la Comédie-Française. SUR LES SCENES DES CHAMPS-ELYSEES, Nouveau Temps , le 7 décembre 1943 (p. 61-62). [Non-signé], « Paul Claudel a reçu la Presse », Comoedia , le 27 novembre 1943 (p. 37). [Non-signé], Plein les bottes ! Je suis partout , le 14 janvier 1944 (p. 109). [Non-signé], Une grande semaine artistique, Claudel chez Molière – « Le Soulier de satin », L’Appel , le 2 décembre 1943 (p.45-46). [Non-signé], « Un spectacle de... longue durée à la Comédie-Française « Le Soulier de Satin », La France Socialiste , le 22 novembre 1943 (p. 29). [Non-signé], Claudel à la radio, Revolution nationale , le 18 mars 1944 (p. 123). 1267 reprises (Comédie-Française, Paris) 1268

1267 D’après cet article, le spectacle a été aussi radiodiffusé le 12 mars 1944. La transmission commentée par R. P. Roguet.

462 date de représentation : le 2 novembre (le 29 mars?) 1944 Doña Prouhèze : Marie Bell, Don Camille : Aimé Clariond, Don Rodrigue : Jean-Louis Barrault, L’Ange gardien : Maurice Donneaud, Le Roi d’Espagne : Jean Valcourt, Don Balthasar : Alfred Adam, Pierre Dux (en elternance à partir du 3 décembre 1944), Frère Léon : Gaston Girard, Doña Honoria : Louise Conte, Le père Jésuite, Almagro : Paul- Émile Deiber

(Comédie-Française, Paris) date de représentation : le 3 mars 1945 1269

Dona Sept-Epées : Jean-Louis Barrault, La Bouchère : Julien Bertheau

(France III) 1270 date de diffusion : 1945 (Comédie-Française, Paris) 1271 date de représentation : le 13 avril 1949, reprise de 1943

L’Annoncier : Jacques Charon, , Le père jésuite, Saint-Jacques : Paul-Émile Deiber, Don Pélage : Jean Yonnel, Henri Rollan, Don Balthasar : Jean Davy, Dona Prouhèze : Maire Bell, Don Camille : Aimé Clariond, Dona Isabel : Jeanne Boitel, Le Roi d’Espagne : Maurice Chambreuil, Don Rodrigue : Jean Chevrier, Don Fernand : Pierre Gallon, Dona musique : Mony Dalmès, Françoise Engel, L’Ange Gardien : Maurice Donneaud, Dona Honoria : Henriette Barreau, Don Ramire : Georges Poulot

(Théâtre du Palais-Royal , Paris) 1272 , mise en scène renouvellée date de représentation : le 18 décembre 1958, reprise de 1943, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : L: Coutaud, musique : Arthur Honegger

Le Père Jésuite, Don Rodrigue : Jean-Louis Barrault, Don Pelage : José Squinquel, L’Annonceur : Gabriel Cattand, Dona Prouhèze : Catherine Sellers, Dona musique : Simone Valère, L’Ange Gardien : Jean Desailly, Don Balthazar : André Brunot, Don Camille : Georges Aminel

Gautier, J.-J., « La Compagnie : Renaud-Barrault présente Le Soulier de satin de Paul Claudel », Le Figaro , le 21 décembre 1958, [?]. Kemp, R., « Le Soulier de satin de Paul Claudel », Le Monde , les 21-22 décembre 1958, [?]. Marcel, Gabriel, [?], Nouvelles Littéraires , décembre 1958, [?]. Morelle, Paul, [?], Libération , le 20 décembre 1958, [?]. [Non-signé], [?], Le Figaro , le 20 décembre 1958, [?]. [Non-signé], [?], Le Figaro Littéraire , décembre 1958 et le 3 janvier 1959, [?]. [Non-signé], [?], Neue Zürcher Zeitung , décembre 1958, [?].

1268 Il s’agit de la version qui était réduite à 5 heures. Au total 20 reprises. 1269 Dans le cadre d’une matinée poétique, présentation de la scène 10 de la Quatrième Journée 1270 Emission enregistrée en 1945, réalisation de la 4ème Journée par les acteurs du Théâtre Français. 1271 31 reprises. Le spectacle est repris sans Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault. 1272 Dans la production de la Compagnie Renaud-Barrault.

463 [Non-signé], [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 2 janvier 1958, [?].

Chaîne nationale de la Radiodiffusion française (Paris) date de représentation : le 10 juillet 1949 1273

Compagnie Marie Bell date de représentation : 1951, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : L. Coutaud, musique : Arthur Honegger

Le Père Jésuite : Jean Chevrier, Dona Prouhèse : Marie Bell, Don Camille : Aimé Clariond, Don Rodrigue : Jean Chevrier, Dona musique : Anik Mortane, L’Ange gardien : Paul Guers

[?], Abendpost , le 10 novembre 1951, [?]. [?], Combat , le 26 octobre 1953, [?]. [?], Freie Presse , le 25 avril 1951, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 25 avril 1951, [?]. [?], Hamburger Echo , le 25 avril 1951, [?]. [?], Die Neue Zeitung , le 14 avril 1951, [?]. [?], Neue Zeitung , le 18 avril 1952, [?]. [?], Norddeutsche Nachrichten , le 25 avril 1951, [?]. [?], Tagesspielgel , le 18 avril 1951, [?]. [?], Die Tat , le 8 novembre 1955, [?]. [?], Die Welt , le 18 avril 1951, [?]. [?], Wiesbadener Tageblatt , le 12 avril 1951, [?].

France II date de diffusion : le 19 janvier 1961

L’Odéon-Théâtre de France (Paris), nouvelle présentation de 1924 1274 date de représentation : le 17 octobre 1963, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : Lucien Coutaud, musique : Arthur Honegger

L’Annoncier : Jean-Louis Barrault, Le Père Jésuite : Henri Gilabert, Don Pélage : Jean- Roger Tandou, Don Balthazar : Pierre Bertin, Dona Prouhèze : Geneviève Page, Don Camille : Jean-Pierre Bernard, Dona Isabel : Sarah Sanders, Le Roi d’Espagne : Régis Outin, Don Rodrigue : Sami Fey, Dona musique : Anne Doat, Hona Honoria : Christine Carpentier, Saint-Jacques : Pierre Gallon

(4Sw 58, 4Sw 10806 [5]) Abram, Paul, « Le Soulier de Satin » de Claudel à l’Odéon-Théâtre de France, La Montagne (Clermont-Ferrand), le 6 novembre, 1963 (p. 131). Andreu, Anne: Barrault, Dieu Claudel et moi dans mes petits souliers, Paris Presse l’Intransigeant , le 1er novembre 1963 (p. 33-34).

1273 Mise en onde par Jacques Reynier. 1274 Nouvelle mise en scène de la Compagnie Renaud-Barrault. Le général de Gaulle a assisté à la représentation du 10 novembre 1963.

464 Barrault, J.L., Il y a vingt ans... « Le Soulier de satin » fut une révolution, Figaro littéraire , le 12 octobre 1963 (p. 5-6) ; Paris Soir , le 18 octobre 1963 (p. 35) ; Paris-Presse Intransigeant , le 18 octobre 1963 (p. 45) ; J.L., Il y a vingt ans..., L’Aurore , le 14 octobre 1963 (p. 29). Bauchere, Jacques, 1943-1963 Evénement toujours, « Le Soulier de Satin » de Paul Claudel, Reforme , le 2 novembre 1963 (p. 35-36). B.B., Au Théâtre de France, Sami Frey a envoyé (par erreur) des fleurs à André Malraux, France Soir , le 25 octobre 1963 (p. 71). Beer, Jean de, Claudel et Shakespeare, Notre République , le 1er novembre 1963 (p. 109). Beltrame, Carlo, Di grande leva il repertorio a Parigi, Il Popolo-Rome , le 11 novembre 1963 (p. 145). Burnat, André, Les de Gaulle au théâtre, Paris-Press , le 9 novembre 1963, p. 1,suite en dernière page (p. 25). Cartier, Jacqueline, Jean-Louis Barrault fêtait les 18 ans de sa compagnie avec la première du « Soulier de satin », de Claudel, France Soir , le 19 octobre 1963 (p. 9). Clavel, Maurice, Le « Soulier de satin » est-il hérétique ou masochiste ? Notre République , le 13 décembre 1963 (p. 171). Dars, Jean, A l’Odéon Le soulier de satin de Paul Claudel, L’Argus des Pharmaciens , le 1er décembre 1963 (p. 170). Dars, Jean, A l’Odéon Le Soulier de Satin de Paul Claudel, L’Officiel des spectacles , le 6 novembre 1963 (p. 127). Dumoulin, J.-C., « Le soulier de satin » à l’Odéon-Théâtre de France, Tribune des Nations , le 1er novembre 1963 (p. 119). Dutourd, « Le Soulier de satin » (Beau comme ), France Soir , les 27/28 octobre 1963 (p. 17). Dutourd, Jean, Le Soulier de satin, Tribune de Genève , le 19 décembre 1963 (p. 57). F. de S., Soirée de gala pour le « Soulier de Satin », Le Figaro , le 24 octobre 1963 (p. 15). Giannoli, Paul, L’autre chemin de Sami Frey, Le Nouveau Candide , le 31 octobre 1963 (p. 105). Fournier, Thérèse, « Le soulier de satin » a fêté hier ses 20 ans de théâtre, France-Soir , dernière heure, le 29 novembre 1963 (p. 164). Gautier, Jean-Jacques, Le Soulier de Satin de Paul Claudel, à l’Odéon, Le Figaro , le 28 octobre 1963 (p. 21). Gavoty, Bernard, « Le soulier de satin » et « ah ! les beaux jours », Musica (Saint-Quen), janvier 1964, p. 50-53 (p. 173). G. M. (Gabriel Marcel), Cherchez le message ! Nouvelles Littéraires , le 7 novembre 1963 (p. 41-42). G. R., Théâtre de l’Odéon, « Le soulier de satin », Affiches Parisiennes , le 19 novembre 1963 (p. 155). Guilleminault, Gilbert, A l’Odéon-Théâtre de France « Le Soulier de satin », L’Aurore , le 28 octobre 1963 (p. 25). Kanters, Robert, L’Express , le 31 octobre 1963. l.f., Dramma di Claudel ripreso a Parigi. La scarpetta di sata » allestita da Barrault, interprete Sam Frey.(Dal notro corrispondente), L’Italia-Milano , le 1er novembre 1963 (p. 110). Lalere, Max, Le Soulier de satin au Théâtre de France, La Vie judiciaire , le 30 décembre 1963, le 4 janvier 1964 (p. 175).

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1275 L’article informe que le spectacle va être diffusé sur R.T.F.-Promotion en deux émissions les 12 et 19 décembre.

466 [Non-signé], B.B. a boudé les débuts de Sami Frey à l’Odéon dans « Le Soulier de satin », Le Parisien Liberé , le 18 octobre 1963 (p. 7). [Non-signé], Brigitte et Sami, rupture consommée, Le Journal du Centre , Nevers, 19 octobre 1963 (p. 49) ; Republique (Toulon), le 19 octobre 1963 (p. 57). [Non-signé], C’est une excellente reprise..., La vie théâtrale , janvier 1964, n° 121 (p. 53). [Non-signé], França, Oseculo (Lisboa), le 22 août 1963 (p. 1). [Non-signé], Genevieve Page et Sami Frey decouvrent « Le Soulier de satin », France- Soir , Paris, le 18 octobre 1963 (p. 33). [Non-signé], Geneviève Page dans « Le Soulier de satin », France Soir , le 3 juillet 1963 (p. 2). [Non-signé], Chaussure a son pied, Point de Vue , le 26 octobre 1963 (p. 75). [Non-signé], Jean-Louis Barrault présente jeudi la nouvelle saison du Théâtre de France, Combat , le 3. septembre 1963 (p. 9). [Non-signé], J.-P. Bernard, « Le Soulier de satin » au Théâtre de France, France-Soir , le 22 août 1963 (p. 1). [Non-signé], La première du « Soulier de satin » a fêté un anniversaire, les 18 ans de la Compagnie Barrault-Renaud, Combat , les 19/20 octobre 1963 (p. 11). [Non-signé], Le camouflage n’a trompé personne, Paris-Presse L’Intransigeant , le 19 octobre 1963 (p. 47). [Non-signé], Le général de Gaulle, spectateur privé..., Le Figaro , les 9/10 novembre 1963 (p. 47). [Non-signé], Le Soulier de Satin, ..., Les Echos , le 31 octobre 1963 (p. 103). [Non-signé], Le Soulier de Satin, Loisirs Jeunes , le 6 novembre 1963 (p. 133). [Non-signé], Le Soulier de satin, Tribune Socialiste , le 2 novembre 1963 (p. 119). [Non-signé], « Le Soulier de Satin » a vingt ans..., La France Catholique , le 1er novembre 1963 (p. 63). [Non-signé], Le Soulier de satin de Paul Claudel au Théâtre de France, La Boucherie française , le 1er décembre 1963 p. 167). [Non-signé], Lucien Coutaud, décoratuer, Le Gard , novembre 1963 (p. 110). [Non-signé], Sami Frey à l’Odéon théâtre de France, Le Technicien du Film (Paris), le 15 septembre 1963 ; Echos , le 15 septembre 1963 (p. 31). [Non-signé], Soirée de gala à L’Odéon pour la reprise du « Soulier de satin », L’Espoir (Nice), le 24 octobre 1963 (p. 67). [Non-signé], Spectacles de Paris. Le Soulier de Satin à l’Odéon. Marie Stuart à la Comédie-Française, Le Grogres sprint , Lyon, le 3 novembre 1963 (p. 121). [Non-signé], Théâtre, L’Express , le 31 octobre 1963 (p. 103). [?], Der Kurier , le 4 décembre 1963, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Theater Mosaik , décembre 1963, [?]. reprises (R.T.F. – Promotion) date de diffusion : le 12 décembre 1963 (France-Culture) date de diffusion : le 26 janvier 1964 (Orange) date de représentation : le 25 juillet 1964

467 (Paris) 1276 Date du récital : 1964 (Théâtre de France) date de représentation : le 28 décembre 1966 1277

(4Sw 866) Cartier, Jacqueline, Barrault, le même costume pour sa dernière reprise du « Soulier de satin » qu’à la création (il y a 23 ans), France Soir , le 28 décembre 1966 (p. 73). Cartier, Jacqueline, On a refusé 150 personnes à la reprise du « Soulier de satin », France Soir , le 30 décembre 1966 (p. 75).

Comédie de l’Est (Théâtre de Comédie, Strasbourg) date de représentation : le 29 octobre 1965 1278 , mise en scène : Hubert Gignoux, décors et costumes : Sege Creuz, musique : André Roos

Prouhèze : Catherine Coderey, Don Rodrigue : Jacques Born, Don Camille : Claude Petitpierre, Don Pelage : Hubert Gignoux

(4Sw 866) Abirached, A., De Strasbourg à Aubervilliers, Le Nouvel observateur , le 10 novembre 1965 (p. 57). Alter, André, Le mal ou l’oubli du bonheur, Témoignage chrétien , le 2 décembre 1965 (p.65). Lemarchant, Jacques (J.L.), Le Soulier de satin à la Comédie de l’est, Le Figaro Litteraire , le 11 novembre 1965 (p. 59). Poirot-Delpech, Bertrand, Le « Soulier de Satin », de Paul Claudel par la Comédie de l’Est, Le Monde , le 18 novembre 1965 (p. 61). Rabine, Henry, Le Soulier de satin à la Comédie de l’Est, La Croix , le 5 novembre 1965 (p. 55). Saurel, Renée, Le Soulier de satin de Paul Claudel, Les Lettres françaises , le 25 novembre 1965 (p. 63 -64).

(Vence) 1279 date de représentation : le 7 mars 1967 reprise (Nice) date de représentation : le 9 mars 1967

L’O.R.T.F. date de diffusion : mai 1973 1280 , réalisation : Jean-Christophe Averty

1276 Représentation non jouée par les comédiens de ce théâtre à l’occasion du cocktail annuel de l’Union Catholique du Théâtre organisé à la Galerie Charpentier. 1277 Il s’agissait de dix représentations exceptionnelles, J.-L. Barrault pour la dernière fois dans le rôle de Rodrigue. 1278 L’adaptation de la version scénique de Barrault. Tournée octobre-novembre 1965. 1279 Représentation de quelques scènes de la pièce par les étudiants au sanatorium des étudiants de Vence.

468 (4Sw 8009) [Non-signé], Averty va tourner « Le Soulier de satin », Le Monde, le 2 mai 1973 (p. 121).

Théâtre de l’Escabeau (Condom, Gers) date de représentation : août 1979

Théâtre d’Orsay, Théâtre Renaud-Barrault (Paris) date de représentation : le 26 janvier 1980, adaptation : Jean-Pierre Granval, mise en scène : Jean-Louis Barrault, chef d’orchestre : André Guilbert

Dona Prouhèze : Hélène Arié, Don Rodrigue : Jean-Pierre Bouvier, Dona musique : Mireille Delcroix, L’Annoncier, etc. : Jean-Louis Barrault, Dona Honoria : Madeleine Renaud, Le Père Jésuite : Jean Martin reprises (Théâtre du Rond-Point, Paris) date de représentation : le 11 avril 1981 (F.R.3) date de diffusion : le 13 janvier 1985

Festival de Cannes 1281 date du film : juin 1985, mise en scène : Manoel de Oliveira

? Patricia Barzyk, Luis Miguel Cintra

Cour d’Honneur des Papes, Festival d’Avignon (Avignon) 1282 date de représentation : le 9 juillet 1987, mise en scène : Antoine Vitez, décors et costumes : Yannis Kokkos, musique : Georges Aperghis

L’Annoncier : Pierre Vial, Don Pélage : Antoine Vitez (statue de la Vierge), Dona Prouhèze : Ludmila Mikael, Don Balthazar : Alexis Nitzer, Don Camille : Robin Renucci, Don Rodrigue : Didier Sandre, Dona isabel : Anne Benoit, Dona Sept Epées : Valérie Dréville, Dona musique : Jany Gastaldi, Dona Honoria : Madelaine Marion, Roi d’Espagne : Jean-Marie Winling

(4Sw 9658) A.H., Avignon, L’autre versant, Le Quotidien , Paris, le 22 juillet 1987 (p. 126). A.H., Avignon, Le songe d’une longue nuit, Le Quotidien (Paris), le 13 juillet 1987 (p. 88). A. H., « Le Soulier de satin », Ouverture à grands pas, Le Quotidien , le 9 juillet 191987 (p. 50). Baron, Jeanine, Robin Renucci, un claudélien de plus, La Croix , le 14 juillet 1987 (p. 94). Baron, Jeanine, Sous le soleil de satin, La Croix , le 12 juillet 1987 (p. 79). Bernard, René, Renucci, un Soulier sur mesure, L’Express , le 3 juillet 191987 (p. 38-39). Boué, Michel, Et Ludmila fut, L’Humanité , le 11 juillet 191987 (p. 68).

1280 Avec la Compagnie de Barrault. 1281 Présentation du film, ensuite en octobre dans le cadre du festival de Venise. Avec la coproduction portugaise. 1282 Présenté par le Théâtre national de Chaillot de Paris. Texte intégral, 10 reprises.

469 Boué, Michel, Le gateau est consistant, L’Humanité , le 9 juillet 191987 (p. 51). Boué, Michel, Prouheze en Souliers plats, L’Humanité , le 17 juillet 1987 (p. 106). Bresson, Gilles, [?], Libération , le 13 juillet 1987 (p. 78-79). Brocard, Véronique, Vitez, cène de famille, Liberation , le 11 juin 191987 (p. 12-13). Camp, André, Le Festival d’Avignon a quarante ans, L’Avant scène théâtre , le 15 octobre 1987 (p. 97). Clément, Catherine, Le Paradis et l’hérétique, L’Ane , octobre 1987 (p. 141-142). Copin, Noël, Le mur des jubilations, La Croix , le 21 juillet 1987 (p. 120). Copin, Noël, Le Chave, P., « Le festival, un temps de liberté et d’écoute », La Croix l’Evénement , le 11 août 1987 (p. 143). Costaz, Gilles, Douze heures avec Claudel, Le Matin , le 13 juillet 1987 (p. 83). Cournot, Michel, La communion avec l’aurore, Le Monde , le 12 juillet 1987 (p. 71-72). Cournot, Michel, La mule de l’ogresse, Le Monde , le 11 juillet 191987 (p. 66 – 67). Dumur Guy, A savoir..., Nouvel Observateur , le 27 mars 191987 (p. 2). Dumur, Guy, Le baiser des frères ennemis, Le nouvel Observateur , le 31 juillet 1987 (p. 133). Dumur, Guy, Un révolutionnaire nommé Claudel, Le Nouvel Observateur , le 26 juin 191987 (p. 18). Dumur, Guy, Vitez grand V, Le nouvel Observateur , le 24 juillet 1987 (p. 128). Friedel, Christin, Gresh, Sylviane, Faire parler les pierres..., Révolution , le 10 juillet 191987 (p. 61-62). Gastellier, Fabian, Le Soulier de Satin. Antoine Vitez, Le cantique de la Rose, Acteurs , n° 49-50, juin-juillet 1987, p. 8-11 (p. 20-23). G.D., Des étoiles chez les papes, Le Nouvel Observateur , le 3 juillet 191987 (p. 40). G.D., Sandre avec feu, Le Nouvel Obsevateur , le 3 juillet 191987 (p. 41). Godard, Colette, Avignon, Le Monde , le 2 juillet 191987 (p. 36). Godard, Colette, Dans la maison du père, Le Monde , le 2 juillet 191987 (p. 32-33). Godard, Colette, Décalage horaire, Le Monde , le 24 juillet 1987 (p. 127). Godard, Colette, Nos grandes heures, Le Monde , le 30 juillet 1987 (p. 132). Godard, Colette, Redjep Mitrovitsa, jeune roi, Le Monde , le 16 juillet 1987 (p. 101). Gonzalo Pérez de Olaguer, Un Paul Claudel de siete horas abrirá el festival de Aviñón, El Periódico (Barcelona), le 7 juin 191987 (p. 43). Gresh, Sylviane, Un acte d’amour, Révolution , le 17 juillet 1987 (p.109). I.F., Douze heures de scène, ça use le... Soulier, Dauphiné , le 15 juillet 1987 (p. 98). Heliot, Armelle, Avignon, Sandre, le coeur de Rodrique, Quotidien , le 10 juillet 191987 (p. 63). Heliot, Armelle, Avignon tient d’un immense Luna Park durant le temps du Festival, Le Quotidien (Paris), le 11 juillet 191987 (p. 65). Héliot, Armelle, L’invitation aux voyages, Le Quotidien (Paris), le 13 juillet 1987 (p. 89). Heliot, Armelle, Ludmila Mikael, Le reve de Prouheze, Le Quotidien , le 9 juillet 191987 (p. 45). J.B., Trouver soulier à son pied, La Croix , le 14 juillet 1987 (p. 93). J.L. T-B, Le Soulier de satin à trois voix, l’Etudiant , juillet-août 191987 (p. 29). J. L., Une pièce écrite comme Dieu écrit le monde, La Croix , le 21 juillet 1987 (p. 120). Julliard, Jacques, Dieu est humour, Le nouvel Observateur , le 24 juillet 1987 (p. 129). J.-P.L, Douze heures à la file, L’Humanité , le 13 juillet 1987 (p. 86). Klausner, Emmanuelle, Lumières d’une nuit. 21 heures-6 heures, le parcours des claudéliens, La Croix , le 14 juillet 1987

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1283 Version intégrale dans la création de la Compagnie Renaud-Barrault. 1284 Du 6 novembre au 20 décembre. A cause de la grève l’intégrale était prévue pour le 14 novembre.

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(RF 3) 1286 date de diffusion : le 7 mars 1989, mise en scène : Antoine Vitez, réalisation : Yves-André Hubert

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1285 Ecrit d’Avignon. Après la tournée à Barcelone, Berlin, Clermont-Ferrand, repris à Paris et ensuite Bruxelles. 1286 Diffusion pendant toute la journée du Théâtre national de Chaillot enregistré au Théâtre national de Belgique et en réalisation avec la Sept.

474 [Non-signé], FR3 : demain le défi-record du « Soulier de satin », Midi Libre , le 26 mars 1989 (p. 18). [Non-signé], FR3 : « Le Soulier de satin ». Une folle journée Claudel en non-stop, Var matin , le 27 mars 1989 (p. 39). [Non-signé], FR3 : un vrai marathon culturel. « Le soulier de satin » de Claudel en intégrale aujourd’hui : près de dix heures de spectacle, Charente Libre , le 27 mars 1989 (p. 34). [Non-signé], Ludmila Mikael chausse son Soulier de satin, Le Méridional , le 27 mars 1989 (p. 36). [Non-signé], Paul Claudel, le frère de Camille, [?], le 20 mars 1989 (p. 21). [Non-signé], Le Soulier de satin, Tele K7 , le 20 mars 1989 (p. 7). [Non-signé], Le Soulier de satin, Tele 7 jours , le 20 mars 1989 (p. 9). [Non-signé], Théâtre : « Le Soulier de satin », de Paul Claudel, Le Point , le 25 mars 1989 (p.16). [Non-signé], Un pari audacieux, Le Soir , le 25 mars 1989 (p. 17). [Non-signé], Le soulier de satin, Libération , le 27 mars 1989 (p. 27).

(FR 3) date de diffusion : le 10 janvier 1982 1287 , mise en scène : Jean-Louis Barrault (pour les trois premières journées), Jean-Pierre Granval (pour la quatrième journée)

Théâtre du Vieux-Colombier date de représentation : le 2 décembre 1995 ? Jean Dautremey, Michel Robin reprise (France Culture) date de diffusion : le 21 janvier 1996 1288

« L’Irrépressible théâtre » (Lycée Lamartine) 1289 date de représentation : 1997, mise en scène : Anne Delbée, Marie-Françoise Vieuille

Comte, Alain, Paul Claudel au lycée, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 147, 1997, p. 24-25.

Compagnie du Chemin de Mer (Université Paris IV et Paris V) date de lecture : juin 1998

Centre dramatique national Orléans-Loiret-Centre, Carré Saint-Vincent (Orléans), version intégrale date de représentation : le 12 mars 2003 1290 , mise en scène : Olivier Py, décors et costumes : Pierre-André Weitz, Musique originale : Stéphane Leach, Gabriel Fauré, décors et costumes : Pierre-André Weitz

1287 Spectacle du Théâtre du Rond-Point. 1288 La scène II de la 3 ème Journée du Soulier de satin , avec la lecture de Conversations sur Jean Racine , Jules ou l’homme aux deux cravates . 1289 Réalisé par une troupe d ’élèves.

475 L’Annoncier, l’ange gardien : , Le père jésuite, Don Rodrigue : Philippe Girard, Dona Prouhèze : Jeanne Balibar, Sept-épées : Louise Bagot, Marie Bagot, Dona Honoria : Mireille Herbstmeyer, Don Camille : Liloud Khétib, Le roi d’Espagne : Christophe Maltot, Dona Isabel : Élisabeth Mazev, Don Balthazar, Don Fernand, Saint Jacques : Jean-François Perrier, Diego Rodriguez : Olivier Py, Dona musique : Alexandra Scicluna, Don Pélage, Almagro : Bruno Sermonne

Weber-Caflisch, Antoinette, Une nouvelle grande représentation du Soulier de satin, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°169, 2003, p. 5-18. reprise (Théâtre National de Strasbourg) date de représentation : du 22 mars au 5 avril 2003

Salino, Brigitte, [?], Le Monde , le 23/24 mars 2003, [?].

Théâtre de la Ville (Paris) Date de représentation : le 20 septembre 2003

Théâtre du Nort-Ouest date de représentation : juillet-décembre 2003, mise en scène : Pascal Faber

Lycée Montaigne de Paris 1291 date de représentation : le 2 juin 2004, mise en scène : Jeanne-Marie Bourdet et Isabelle Grellet

Claudel, François, Le Soulier de Satin par les élèves de l’atelier Symboliste du lycée Montaigne, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 175, 2004, p. 73-74.

Studio-Théâtre de Vitry date de représentation : le 9 octobre 2005 1292 , mise en scène : Frédéric Fisbach

Nantet, Marie-Victoire, Spectacles, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 180, p. 90.

Festival d´Avignon 2007 1293

(Odéon-Théâtre de l’Europe, Paris), reprise voir Centre Dramatique National d’Orléans, le 12 mars 2003

1290 Avec 4 reprises, présenté à Orléans (du 12 au 16 mars), au Théâtre National de Strasbourg (du 22 mars au 6 avril), Théâtre de Caen (le 13 avril), Théâtre de la Ville à Paris (du 20 septembre au 11 octobre 2003) et au Grand Théâtre de Genève (le 18 octobre). Ensuite ce spectacle est joué du 22 mars au 6 avril dans la Salle Bernard-Marie Koltès au Théâtre National de Strasbourg. 1291 Réalisé par les élèves de Première et de Seconde. 1292 Réalisé par les étudiants du DESS de l’Université de Nanterre. Douze scènes sans coordination, douze manières différentes. 1293 L’année du Soulier de Satin , avec commémoration du spectacle de Vitez donné dans le cadre du Festival d’Avignon en 1987.

476 date de représentation : le 7 mars 2009, mise en scène : Olivier Py, décors et costumes : Pierre-André Weitz, musique : Stéphane Leach

Grande Bretagne (The Satin Slipper)

Leeds U. Union Theatre Group, Riley-Smith Hall (Leeds) date de représentation : décembre 1952, traduction et mise en scène : John Boorman

Prouhèze : Joan Oldsfield, Camille : Malcolm Rogers

[?], Manchester Guardian , le 4 décembre 1952, [?]. [?], Yorkshire Post , le 3 décembre 1952, [?].

Aldwych Theatre (Londres) 1294 date de représentation : avril 1965

Prouhèze : G. Page, Rodrigue : S. Frey

Brien, Alan, [?], Sunday Telegraph , le 4 avril 1965, Hugh, L., [?], Plays & Players , juin 1965, p. 40-41. Lambert, J. W., [?], Sunday Times , le 4 avril 1965, [?]. Trewin, J. C., [?], Illustrated London News , le 17 avril 1965, p. 44. [?], Daily Telegraph , le 2 avril 1965, [?]. [?], Observer , le 4 avri 1965, [?]. [?], Times , le 2 avril 1965, [?].

(Festival d’Edimbourg) 1295 date de représentation : le 16 août 2004, mise en scène : Olivier Py

Grèce Théâtre National date de représentation : après la seconde guerre

Italie R.A.I. date de diffusion : décembree 1981

RAI date de diffusion : décembre 1985 1296 , traduction : Romeo Lucchese

1294 Réalisé par la Compagnie Renaud-Barrault dans le cadre du 2 ème « World Theatre Season ». 1295 Réalisé par le Centre Dramatique National d’Orléans, le festival a eu lieu du 15 au 26 août 2004.

477 Teatro Politecnico de Rome (Festival de San Miniato) date de représentation : 1990, mise en scène : Enio de Dominicis

Suisse Formes et Couleurs (Lausanne) date de représentation : mai 1943

[?], Gazette de Lausanne , 1943, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , 1943, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , 1943, [?]. [?], Le Monde , le 22 août 1943, [?]. [?], Das Reich , le 19 décembre 1943, [?]. [?], Tribune de Genève , 1943, [?].

Schauspielhaus (Zürich), première en langue allemande date de représentation : le 10 juin 1944, mise en scène : Kurt Horwitz, décors et costumes : Teo Otto

Ansager : Wolfgang Heinz, Jusuitenpater : Kurt Horwitz, Don Camillo : Ernst Ginsberg, Dona Proeza : Maria Becker, Don Rodrigo : Karl Paryla, Jobarbara : Therese Giese, Dona Musica : Hortense Raky, Der Schutzengel : Ulrich Marti, Dona Honoria : Traute Carlsen, Der König des 4. Tages : Leonard Steckel, Die Dlosterfrau : Angelika Arndts

Carrodi, E., « Der Seidene Schuh, Deutschsprachige Erstaufführung », Neue Zürcher Zeitung , le 13 juillet 1944, [?]. Kissel, B., « Der seidene Schuh », Tageszeiger Zürich , le 12 juillet 1944, [?]. [?], Basler Nachrichten , juin 1944, [?]. [?], National-Zeitung , juin 1944, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 2 juin 1944 et le 13 juin 1944, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 10 juin 1944 et le 13 juin 1944, [?]. [?], Schweizer Illustrierte , [?]. [?], Schweizer Rundschau , 1944, [?]. [?], Die Tat , le 6 juin 1944, [?]. [?], Die Tat , le 17 novembre 1944, [?]. [?], Die Weltwoche , le 9 juin 1944, [?].

Stadttheater Basel (Basel) 1297 date de représentation : 1952, mise en scène : Werner Kraut, décors et costumes : Max Bignens, musique : Roman Flury

Der Ansager : Rudolf Bechmann, Der Jesuitenpater : James Meyer, Don Pelayo : Raimund Bucher, Dona Proeza : Margrit Winter, Don Rodrigo : Richard Lauffen, Don Camillo :

1296 Pièce donnée en trois parties (24, 25 et 26 décembre). 1297 Landau mentionne qu’une lettre écrite par Claudel à Albert Béguin renvoie à un projet de monter ce sujet en 1940 au Stadttheater de Bâle.

478 Leopold Biberti, Der Chinese : Max Knapp, Die Negerin Jobarbara : Marianne Hediger, Dona Musica : Marie Ritter, Der Schutzengel : Heinz Bennent

[?], Basler Nachrichten , le 9 avril 1952 et le 17 avril 1952, [?]. [?], Basler Nationalzeitung , le 10 avril 1952, [?]. [?], National-Zeitung , le 10 avril 1952, [?].

Stadtheater Bern (Bern) date de représentation : le 16 novembre 1964, mise en scène : Robert Freitag, décors : Ary Öechslin

Der Ansager : Friedhelm Becker, Der Jesuitenpater : Fred Kretzer, Don Pelayo : Werner Leonhard, Dona Proeza : Maria Becker, Don Camillo : Herbert Steiniger, Don Rodrigo : Wolfgang Schwarz, Die Schauspielerin : Maria Becker, Der chinesische Diener : Helmut Pietz, Die Negerin Jobarbara : Hanni Seiffert, Dona Musica : Elisabeth Trissenar, Der Schutzengel : Fred Kretzer

Brock-Sulzer, Elisabeth, [?], Die Tat , le 21 décembre 1964, [?]. Landau, E.M., [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 19 novembre 1964, [?]. [?], Berner Tagblatt , le 18 novembre 1964, [?]. [?], Berner Tagwacht , le 19 novembre 1964, [?]. [?], Der Bund , le 18 novembre 1964, [?]. [?], National-Zeitung , le 25 novembre 1964, [?]. [?], Neue Berner Nachrichten , le 19 novembre 1964, [?]. [?], Neue Berner Zeitung , le 19 novembre 1964, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 4 décembre 1964, [?]. [?], Schweizerische Theaterzeitung , le 1er décembre 1964, [?]. [?], Tagesnachrichten , le 20 novembre 1964, [?]. [?], Theater Mosaik , décembre 1964, [?]. [?], Die Weltwoche , le 27 novembre 1964, [?].

Basler Theater (Grand Théâtre de Bâle) ( Seidene Schuh ), en version allemande date de représentation : le 29 mars 2003, traduction : Herbert Meier et Yvon Meier-Haas, mise en scène : Stephan Bachmann, en version allemand, décors : Barbara Ehnes

Dona Prouhèze : Maria Schrader, Roi d’Espagne : Peter Kern, Don Rodrique : Jens Albinus, Don Pélage : Claus Peymann

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479 sous le titre Sous le Vent des Iles Baléares 1298 Belgique (Tréteaux de France, Grand Sablon, Bruxelles), reprise, v. 1972 1299 date de représentation : les 6-9 mars 1973

-A.V., « Sous le vent des îles Baléares « par la Compagnie Renaud-Barrault, La Dernière Heure , le 8 mars 1973 (p. 77). J.H., Sous le vent des îles Baléares, La Libre Belgique , le 8 mars 1973 (p. 79). M.V., « Sous le vent des iles Baléares » Quatrième journée du « Soulier de satin », de Claudel, Le Soir , le 28 février 1973 (p. 75). Paris, André, «Au Sablon , sous chapiteau « Sous le vent des îles Baléares ». Un Claudel farfelu..., Le Soir , le 8 mars 1973 (p. 81).

France Groupe théâtral de la Faculté de Nanterre (Université de Paris X – Nanterre) 1300 date de représentation : le 13 mars 1967, mise en scène : Michel Autrand

Autrand, Michel, La 4 e Journée du Soulier de satin à la Faculté de Nanterre, Bulletin de la Société Paul Claudel , n°27, juillet-août-septembre 1967, p. 20-21.

Compagnie Renaud-Barrault, Château de Brangues 1301 date de représentation : le 27 juillet 1972 Adaptation et mise en scène : Jean-Pierre Granval Décor et costumes : Jean-Pierre Granval 1302 Piano : Jean Wiener 1303

Jésuite : Pierre Boutron, Dona Prouhèze : Judith Magre, Don Rodrique : Jean-Louis Barrault, Dona Sept-Epées : Christine Lauzanne, Don Balthazar, etc. : Jacques David, Don Camille : Pierre Gallon, Chinois, Japonais : Jean-Pierre Granval, La Religieuse : Marie- Hélène Dasté, Jo Barbara : Maddly Bami, Ange Gardien : Guy Michel, Dona Isabelle : Frédérique Tirmont

Barrault, Jean-Louis, « Sous le vent des îles Baléares » Claudel et la liberté d’inspiration, Le Figaro , le 22 juillet 1972 (p. 9). [Non-signé], La compagnie Renaud-Barrault, Claudel sous un chapiteau, France-Soir , le 13 juillet 1972 (p. 5)

1298 Il s’agit du dernier épisode du Soulier de Satin . 1299 Présenté du 6 au 9 mars sous le chapiteau à la place du Sablon, le 6 – gala du Conservatoire africain avec la participation de la princesse Paola, le 7 mars – soirée des Rendez-vous Jeunesse- Théâtre. 1300 Présenté par les étudiants de l’Université de Nanterre. 1301 Présenté sous le chapiteau. 1302 Inspiré par les éléments scéniques et costumes d’après Lucien Coutaud, en collaboration avec Marie-Hélène Dasté, Nanie Noël, Yvette Gorbatcheff. 1303 Musique inspirée par la partition de Honegger.

480 [Non-signé], La dernière journée du « Soulier de satin » representée pour la 1ère fois, Combat , le 12 juillet 1972 (p. 3). reprise (Gare d’Orsay, Paris) date de représentation : le 12 octobre 1972, mise en scène : Jean-Pierre Granval, costumes : Lucien Cautaud, musique originale : Arthur Honegger, adaptation musicale : Jean Wiener

Dona Prouhèze : Geneviève Page, Marie Sept Epées : Christine Lauzanne, Vieux Don Rodrigo : Jean-Louis Barrault, Chinois et Japonais : Jean-Pierre Granval, La Religieuse : Marie-Hélène Dasté

Benaderette, Serge, Voyage aux Baleares a la Gare d’Orsay, Combat , le 11 octobre 1972 (p. 21). Cezan, Claude, Barrault dans un hall de gare, Les Nouvelles Littéraires , le 9 octobre 1972 (p. 17). Dandrel, Louis, Sous le vent des îles Baléares, Le Monde , le 14 octobre 1972 (p. 33). De Santerre, François, Enthousiasme et bousculade chez Barrault, Le Figaro , le 13 octobre 1972 (p. 25). Galey, Matthieu, Rodrigue à la retraite, Les Nouvelles Littéraires , le 30 octobre 1972 (p. 55). Galey, Matthieu, « Sous le vent des iles Baleares » de Paul Claudel, Combat , le 25 octobre 1972 (p. 49). Gautier, Jean-Jacques, Sous le vent des îles Baléares de Paul Claudel, Le Figaro , le 14 octobre 1972 (p. 27). Chabanis, Christian, Claudel à la gare d’Orsay avec Jean-Louis Barraul, France Catholique , le 20 octobre 1972 (p. 43). J.-J. G., A propos de la dangereuse pagaille..., Le Figaro , le 20 octobre 1972 (p. 41). Kanters, Robert, Paul Claudel, « Sous le vent des îles Baléares », Le Soir , le 15 octobre 1972 (p. 35). Kanters, Robert, Robert Kanters a vu Sous le vent des iles Baléares, L’Express , le 30 octobre 1972 (p. 53). Lerminier, Georges, « Sous le vent des îles Baléares », Le Parisien , le 1er novembre 1972 (p. 57). Lorne, Claude, Claudel à la gare, Rivarol , le 9 novembre 1972 (p. 59). Mambrino, J., Sous le vent des Iles Baléares, Les Etudes , novembre 1972 (p. 67-70). Le Marchand, Jean, Sous le vent des iles Baléares, de Paul Claudel, Le Nouveau Journal , le 20 octobre 1972 (p. 45). Poulet, Jacques, Un show Barrault. « Sous le vent des îles Baléares », de Paul Claudel, L’Humanité , le 19 octobre 1972 (p. 39). Ransa, André, A la gare d’Orsay « Sous le vent des iles Baléares de Paul Claudel, L’Aurore , le 14 octobre 1972 (p. 31). [Non-signé], Cohue a la gare d’Orsay pour la première du spectacle Barrault, Combat , le 14 octobre 1972 (p. 29). [Non-signé], La gare-théâtre de Barrault comme si vous y étiez déjà, France Soir , le 7 octobre 1972 (p. 15). [Non-signé], Quand le vent du théâtre souffle dans un hall de gare..., Le Parisien , le 13 octobre 1972 (p. 23).

481 [Non-signé], Sous le vent des iles Baléares de Paul Claudel Gare d’Orsay, Le Nouvel Observateur , le 23 octobre 1972 (p. 47). [Non-signé], The theater has turned topsyturvy this week, Herald-Tribune , le 18 octobre 1972 (p. 37). [?], Berliner Morgenpost , le 29 avril 1973, [?]. [?], Le Dauphiné , le 28 juillet 1972, [?]. [?], Espresso , le 13 mai 1973, [?]. [?], Le Figaro , le 22 juillet, le 5 août 1972, [?]. [?], Frankfurter Rundschau , le 11 novembre 1972, [?]. [?], Gazette de Lausanne , le 21 octobre 1972, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 3 mai 1973, [?]. [?], Il Messaggero , le 10 mai 1973 et le 12 mai 1973, [?]. [?], Neue Zücher Zeitung , le 5 décembre 1972, [?]. [?], Les Nouvelles littéraires , le 7 août 1972, [?]. [?], Il Popolo , le 12 mai 1973, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 19 mai 1973, [?]. [?], Süddeutsche Zeitung , le 4 mai 1973, [?]. [?], Tages Anzeiger , le 28 avril 1973, [?]. [?], Der Tagesspiegel , le 26 avril 1973, [?]. [?], Telegraf , avril 1973, [?]. [?], Die Welt , le 28 avril 1973, [?].

(Tréteaux de France, Grand Sablon, Bruxelles), v. Grand Sablon, 1973, Belgique

Théâtre d’Orsay (Paris) date de représentation : janvier 1980, mise en scène : Jean-Louis Barrault

(Clermont-Ferrand) 1304 date de représentation : le 18 mai 1995, mise en scène : Dominique Descotes

Italie RAI 1305 date de diffusion : 1993, traduction : M. Lucchese

Japon Théâtre national de Tokyo 1306 date de représentation : le 11 mai 1977, mise en scène : J.P. Granval reprise (Théâtre Asahi, Osaka) date de représentation : le 1er juin 1977 1307

1304 Repris le 24 mai, réalisé à la Faculté des Lettres. 1305 Radiodiffusion en langue italienne. 1306 Dans la production de la Compagnie Renaud-Barrault, joué à Tokyo, Fukuoka et Osaka, en français.

482 Méxique (Mexico) 1308 date de lecture : le 5 août 1963

Lectures : Mlle Moulin, MM. Hourcade, André Rougon, Raoul Ortiz et André Coyné

Russie (Moscou) date de représentation : 1992 ?, traduction : Katia Bogopolska

Autrand, Michel, Le Soulier de satin à Moscou ..., Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 126, Paris 1992, p. 27.

Suisse (Vernets, Genève), reprise v. 1972, Trétaux de France date de représentation : 1973

G.B., Les Tréteaux de France aux Vernets « Sous le vent des îles Baléares, triomphe de la compagnie Barrault, La Tribune de Genève , le 14 avril 1973 (p. 85). F.T., Les Tréteaux de France présentent Sous le vent des îles Baléares de Paul Claudel, Journal de Genève , le 14 avril 1973 (p. 87). Truan, François (F. T.), Barrault entre l’ordre rigide et la liberté, Journal de Genève , le 17 avril 1973 (p. 89). sous le titre Je jette ce Soulier à la Mer – Petits voyages sur la grande mer du « Soulier de satin » France Salle de Saint Victor de Morestel date de représentation : le 2 septembre 1995, réalisation : Bernard Pigot sous le titre Un Noël à Prague 1309 Suisse (Delémont) 1310 date de représentation : mars 1969

Sous le Rempart d’Athènes

1307 Repris le 2 juin. 1308 Lecture de quelques scènes dans le cadre des conférences organisées à l’Institut français d’Amérique latine. 1309 Il s’agit de l’extrait de la troisième journée du Soulier de Satin . 1310 Spectacle présenté par les élèves de l’Ecole Normale de Delémont.

483 France L’Opéra date de représentation : le 25 octobre 1927, musique : Germaine Tailleferre

Palais d’Elysées date de représentation : le 26 octobre 1927, mise en scène : Louis Jouvet

Comédie-Française date de lecture : le 4 mai 1929

Mlle Ventura, Mrs Ledoux et Bacqué

Tête d’Or Algérie Compagnie de Denis Llorca 1311 date de la tournée : avril 1972

Allemagne Bühnen der Stadt Essen (Essen) , première mondiale en langue allemande date de représentation : le 26 avril 1959 1312 , mise en scène : Erich Schumacher, décors et costumes : Hans Aeberli

Cebes (Cébès) : Fritz Lichtenhahn, Goldhaupt, Simon Agnel (Tête d’Or, Simon Agnel) : Günther Tabor, Die Prinzessin (La Princesse) : Marie-Luise Etzel, Der König : Alfred Hansen, Der Bote, Cassius : Hans-Peter Thielen, Der Fahnenflüchtige : Rudolph Birkemeyer

Beckmann, Heinz, [?], Rheinischer Merkur , le 17 mai 1959, [?]. Königsberger, Otto, [?], Rheinischer Merkur , le 28 avril 1959, [?]. Schulze-Vellinghausen, Albert, [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 30 avril 1959, [?]. [?], Der Bund , le 11 mai 1959, [?]. [?], Deutsches Volksblatt , le 30 avril 1959, [?]. [?], Echo der Zeit , le 10 mai 1959, [?]. [?], Echo der Zeit , le 7 juin 1959, [?]. [?], Frankfurter Nachtausgabe , le 27 avril 1959, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 28 avril 1959, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 30 avril 1959, [?]. [?], Der Mittag , le 25 avril et le 29 avril 1959, [?]. [?], Neue Ruhr-Zeitung , le 25 avril 1959 et le 28 avril 1959, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 8 mai 1959, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 30 avril 1959, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 28 avril 1959, [?].

1311 Présenté au festival de Timgad et dans plusieurs villes. 1312 E. M. Landau donne la date du 23 avril 1959.

484 [?], Die Kultur , le 1er mai 1959, [?]. [?], Remscheider Generalanzeiger , le 30 avril 1959, [?]. [?], Rheinische Post , le 28 avril 1959, [?]. [?], Ruhr-Nachrichten , le 28 avril 1959, [?]. [?], Soester Anzeiger , le 9 mai 1959, [?]. [?], Die Welt , le 29 avril 1959, [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine Zeitung , le 28 avril 1959, [?]. [?], Die Woche , le 11 mai 1959, [?].

(Cologne) date de lecture : le 6 mars 1957 1313

Belgique Théâtre du Gymnase 1314 date de représentation : le 30 mai 1919

? Ève Francis, Max

Radiodiffusion date de diffusion : le 12 décembre 1961 1315

Auditorium 44 (Bruxelles) date de représentation : 1971

Denis Llorca

Sion, Georges, Claudel plus vivant que jamais, Revue Générale , mars 1971, [?].

Radio R.T.B. (Bruxelles) 1316 Date de l’émission : le 12 mai 1977, création mondiale (première version)

Tête d’Or : Jules-Henri Marchant, ? Bernard Damien , Pierre Pivin , Claude Etienne

[Non-signé], « Tête d’Or » à la R.T.B. en création mondiale le 12 mai, La Libre Belgique , les 7/8 mai 1977 (p. 51). J. T., Création sur les ondes : Tête d’Or, de Claudel, jeudi à la R.T.B., Le Soir , le 12 mai 1977 (p. 53).

Théâtre Royal de Parc (Bruxelles) date de représentation : 1985, mise en scène : Jean-Claude Idée

1313 Lecture de la troisième partie avec arrangements par Hans Joachim Weitz. 1314 Présentation de la scène finale de la deuxième version. 1315 Radiodiffusion du spectacle réalisé par la troupe du Théâtre de France. 1316 Mise en ondes enregistrée à la cathédrale Saint-Michel.

485 Canada Radio-Canada date de diffusion : le 17 mai 1971

États-Unis O. M. Theatre Workshop (Boston) date de lecture : les 7, 8 et 9 juin 1973

France Laboratoire de Théâtre « Arts et action » (Paris), deuxième version 1317 date de représentation : le 25 avril 1924, mise en scène : Mme Lara, décors et costumes : Georges Valmier

Cébès : Mme Lara, La princesse : Akalia Viala, Tête d’Or : Étienne Armand, La femme : Christel, Le Roi : Barthet, Le porte-étendard : Maxime, Quelqu’un : Leven, Le déserteur : Charny, Cassius : Pierre Marnès, Le veilleur : Solonce, Le frère du Roi : Doublet, Le pédagogue : Claude Autant-Lara reprise date de représentation : le 22 octobre 1927 1318

Chaîne nationale (Paris), deuxième version date de représentation : le 24 janvier 1950 1319 , direction : Henry Barraud, musique : Arthur Honegger

Martine Sacey, Michel Auclair, Jacques Clancy, Marcel Herrand, Michel Vitold, Jean Marchat, André Le Gall, Roger Pigaut, François Vibert, Bernard Noël, Jean Servais

(Collège de Roubaix) date de représentation : le 24 avril 1951

Théâtre d’Essaie 1320 date de représentation : 1954, mise en scène : Jean-Louis Barrault

L’Odéon-Théâtre de France (Paris) 1321

1317 Dans le livre Claudel et l’Allemagne de M. Andersen, on parle de la lecture et on ne considère pas cette représentation comme une création mondiale (voir p. 132). 1318 Ensuite joué aussi les 23 et 24 octobre. 1319 Dans la production de Maurice Cazeneuve. 1320 Théâtre Marigny. 1321 Spectacle donné par la Compagnie Renaud-Barrault à l’occasion de l’inauguration du théâtre, sous la présidence de Charles de Gaulle.

486 date de représentation : le 21 octobre 1959 1322 , adaptation : Pierre Boulez, mise en scène : Jean-Louis Barrault, décors et costumes : André Masson, musique : Arthur Honegger, adaptation musicale : Pierre Boulez, chef d’orchestre : André Girard

Cébès : Laurent Terzieff, Tête d’Or-Simon Agnel : Alain Cuny, Le Roi : Jean-Louis Barrault, La Princesse : Catherine Sellers, Cassius : Jean Desailly, Le Messager : Jean Dusailly

Alter, A., Les Deux « Naissances » de Tête d’Or, Mercure de France , novembre 1959, [?]. Blanchet, A., Tête d’Or est-il païen ? Les Études , décembre 1959, [?]. Carpon, M., [?], Combat , le 26 octobre 1959, [?]. Gautier, J.-J., [?], Le Figaro , le 28 octobre 1959, [?]. Jamet, D., [?], Écrits de Paris , décembre 1959, [?]. Kanters, R., [?], L’Express , le 29 octobre 1959 (voir même le 22 octobre) , [?]. Lemarchand, J., [?], Figaro littéraire , le 17 octobre 1959, [?]. Lemarchand, J., [?], Figaro littéraire , le 31 octobre 1959, [?]. Leresque, Morvan, Naissance du poète, Carrefour , le 28 octobre 1959, [?]. 1323 Madaule, Jacques, Un affrontement, Lettres françaises , le 29 octobre 1959, [?]. Marcabru, P., [?], Arts , le 28 octobre 1959, [?]. Marcel, G., Tête d’Or éblouit, bouleverse, Les Nouvelles littéraires , le 31 octobre 1959, [?]. Maulnier, Th., [?], Revue de Paris , décembre 1959, [?]. Mauriac, François, [?], L’Express , le 31 décembre 1959, [?]. Morelle, P., [?], Libération , le 26 octobre 1959, [?]. Poirot-Delpech, [?], Le Monde , les 25-26 octobre 1959, [?]. Roy, Cl., Un jeune homme nommé Claudel, L’Observateur , le 22 octobre 1959, [?]. Sarraute, Cl., Claudel ouvre aux jeunes les portes de l’Odéon, Le Monde , le 13 octobre 1959, [?]. 1324 Schlumberger, J., [?], Réforme , le 7 novembre 1959, [?]. Triolet, Elsa, Tête d’Or ou le Courage, Lettres françaises , le 29 octobre 1959, [?]. Verdot, G., Pourquoi Claudel n’a jamais voulu, de son vivant, laisser représenter Tête d’Or , Le Figaro littéraire , le 15 août 1959 et le 24 octobre 1959, [?]. 1325 Viala, Akakia, Quand Tête d’Or passait par le laboratoire, Figaro littéraire , le 17 octobre 1959, [?]. [Non-signé], Chronique de Tête d’Or, I, II, III, Mercure de France , octobre 1959, [?]. [Non-signé], Chronique de Tête d’Or, IV, Mercure de France , novembre 1959, [?]. [?], L´Avant-Scène , le 15 novembre 1959, [?]. [?], La Croix , le 30 octobre 1959, [?]. [?], Deutsche Tagespost , le 10 novembre 1959, [?]. [?], Dimanche Matin , le 1er novembre 1959, [?]. [?], Echo der Zeit , le 22 novembre 1959, [?]. [?], France-Observateur , le 22 octobre 1959, [?].1326 [?], France-Soir , le 23 octobre 1959, [?].

1322 La générale a été donnée le 23 octobre 1959. 1323 Études. 1324 Ibid. 1325 Ibid. 1326 Ibid.

487 [?], Frankfurter Allgemeine , le 26 octobre 1959, [?]. [?], La Gazette littéraire , le 27 janvier 1968, [?].1327 [?], L´Homme Nouveau , le 8 novembre 1959, [?]. [?], Juvenal , le 30 octobre 1959, [?]. [?], Kurier , le 4 novembre 1959, [?]. [?], Les Lettres Nouvelles , le 4 novembre 1959, [?]. [?], Les Lettres Nouvelles , le 11 novembre 1959, [?]. [?], Midi Libre , le 15 novembre 1959, [?]. [?], Mobilier et Décoration , décembre 1959, [?]. [?], Le Monde , le 17 novembre 1959, [?]. [?], National-Zeitung , le 8 novembre 1959, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , le 30 novembre 1959, [?]. [?], Pariser Kurier , le 6 novembre 1959, [?]. [?], Le Parisien Libéré , le 26 octobre 1959, [?]. [?], Paris Weekly Informations , le 18 novembre 1959, [?]. [?], Revue des deux mondes , le 15 novembre 1959, [?]. [?], Rivarol , le 29 octobre 1959, [?]. [?], Saarbrücker Zeitung , le 4 novembre 1959, [?]. [?], Le Soir , le 4 novembre 1959, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 5 novembre 1959, [?]. [?], Der Tag , le 10 novembre 1959, [?]. [?], Témoignage chrétien , le 30 octobre 1959, [?]. [?], Théâtre , le 28 octobre 1959, [?].1328 reprise (L’Odéon-Théâtre de l’Europe, Paris) 1329 date de représentation : le 25 janvier 1968

Alter, André, Claudel, le perturbateur, Temoignange Chrétien , le 15 février 1968 (p. 53- 54). Boillon, Colette, Jean-Louis Barrault reprend à l’Odéon « Tête d’Or », de Paul Claudel, La Croix , le 28 janvier 1968 (p. 33 -36). Brincourt, André, Claudel et le théâtre, Le Figaro , le 30 janvier 1968 (p. 39). Cartier Jacqueline, Rires au balcon pour la mort de « Tête d’or » : des étudiants trouvaient son agonie trop longue, France Soir , le 26 janvier 1968 (p. 25). Dumur, Guy, Un drame païen, La Gazette de Lausannes , le 27 janvier 1968 (p. 31-32) Guilleminault, Gilbert, A l’Odéon-Théâtre de France « Tête d’or » de Claudel, L’Aurore , le 26 janvier 1968 (p. 27). Jardin, Claudin, A l’Odéon anniversaires de Tête d’Or, Le Figaro , le 25 janvier 1968 (p. 21). Kanters, Robert, « Tête d’Or », de Paul Claudel, au Théâtre de France, L’Express , le 12 février 1968 (p. 49-51). Lemarchand, Jacques, « Tête d’Or », de Paul Claudel à l’Odéon-Théâtre de France, Le Figaro Littéraire , le 5 février 1968 (p. 47-48).

1327 Ibid. 1328 Études. 1329 Dans la production de la Compagnie Renaud-Barrault.

488 Madral, Philippe, Le bruit et la fureur « Tête d’oer » de Paul Claude, au Théâtre de France, L’Humanité , le 29 janvier 1968 (p. 37-38). Marcabru, Pierre, « Tête d’Or », à l’Odéon-Théâtre de France. Allez tout de même voir mourir, Paris-Presse , le 31 janvier 1968 (p. 41-42). P.J., Cette nuit à l’Odéon neuf ans apres « Tete d’Or » a retrouve ses createurs et son plublic », L’Aurore , le 25 janvier 1968 (p. 23). Poirot-Delpech, B., « Tête d’Or », Le Monde , le 26 janvier 1968 (p. 29). Rabine, Henry, A propos de la reprise de « Tête d’or » à l’Odéon. Les distractions du strapontin 88 bis, La Croix , le 4 février 1968 (p. 45-46). Verdot, Guy, Claudel : « Tête d’or » (Odéon). Journal de Genève , le 17 février 1968 (p. 55). [Non-signé], Au Théâtre de France Barrault reprend « Tête d’or » la pièce d’un jeune homme en colère : Paul Claudel, France Soir , le 24 janvier 1968 (p. 17). [Non-signé], L’Odéon reprend « Tête d’Or » pour célébrer le centenaire de Claudel, Combat , le 23 janvier 1968 (p. 15). [Non-signé], Reprise de « Tête d’or », Les Lettres françaises , le 31 janvier 1968 (p. 43-44).

(Villeneuve-sur-Fère) date de lecture : 1961 1330

Lecture : Alain Cuny

Salle Adyar (Paris) 1331 date de représentation : le 6 novembre 1970, deuxième version, mise en scène : Denis Llorca, décors : Philippe Gauguet, costumes : Dominique Borg

Cébès : Jean-Loup Wolff, Tête d’Or : Alain Dorval, Denis Llorca, Cassius : Philippe Gauguet, La Princesse : Arlette Bonnard, Le Roi : Denis Llorca

Galey, Matthieu : « Tête d’or » de Paul Claudel. Le baroque et la foi, Combat , le 26 novembre 1970 (p. 7). Lemarchand, J., Tête d’or de Paul Claudel au théâtre Adyard, Le Figaro litteraire , le 7 décembre 1970 (p. 15). Olivier, Claude, Claudel en sa jeunesse, Les Lettres françaises , le 9 décembre 1970 (p. 17). [Non-signé], Le Moyen Age à Saint Germain-des-Prés, France-Soir , le 25 novembre 1970 (p. 3). [Non-signé], La nouvelle génération des metteurs en scène interprete Claudel, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 41, 1971, p. 30. [Non-signé], Tête d’Or, L’Express , le 7 décembre 1970 (p. 13). [Non-signé], « Tête d’or », de Claudel, Le Monde , le 25 novembre et le 28 novembre 1970 (p. 9).

1330 Lecture réalisée à partir des passages du Tête d’Or et de L’Annonce faite à Marie à l’occasion d’un pelèrinage organisé par la Société des Amis de Paul Claudel en Allemagne aux sites claudéliens. 1331 Dans la production de la Compagnie Denis Llorca. Ensuite tournée commencée à Liège le 30 septembre à l’occasion du Festival du jeune théâtre, puis la pièce est présentée en Belgique, en France et en Suisse.

489 [Non-signé], Tête d’Or de Paul Claudel, Les Nouvelles Lettéraires , le 3 décembre 1970 (p. 11). [Non-signé], Tête d’Or salle Adyar, Combat , le 25 novembre 1970 (p. 5). [?], Neue Zürcher Zeitung , le 8 décembre 1970, [?]. reprises (Théâtre du Huitième , Lyon) date de représentation : le 20 janvier 1971 (Théâtre de Comédie de Caen) date de représentation : le 16 février 1971 (Théâtre des Ambassadeurs) date de représentation : le 10 mars 1971 1332

Varenne, Françoise, Un enthousiaste de « Tête d’or » en Bottes et maxi-manteau, Le Figaro , le 24 février 1971 (p. 21).

(L’Auditorium 44, Belgique ?) date de représentation : le 25 mars 1971 1333

Debefve, Silvio, Peut-on danser Tête d’or ?, Le Soir , le 27 mars 1971 (p. 25). J. P., A l’Auditorium 44 « Tête d’or » de Claudel par la troupe Denis Llorca, La libre belgique , le 29 avril 1971 (p. 27). J. S., « Tête d’Or » à l’Auditorium 44. Une rencontre entre le jeune Claudel et une jeune troupe, La Libre Belgique , le 24 mars 1971 (p. 23).

(Théâtre du Vieux-Colombier, Paris) date de représentation : le 7 avril 1971

Cartier, Jacqueline, « Tête d’Or ». Emerveille l’oeil et agace l’oreille, France Soir , le 9 avril 1971 (p. 39). G. D., Claudel marteau-pilon, Le nouvel Observateur , avril 1971 (p. 45). Gousseland, Jack, Le Vieux Colombier accueille Denis Llorca et « Tete d’Or », Combat , le 8 avril 1971 (p. 37). Leconte, Claude-Henry, Découvrez Maryvonne Schiltz !, Le Nouveau Journal , le 24 avril 1971 (p. 43) Mazars, Pierre, Tête d’or, Le Figaro , le 8 avril 1971 (p. 35). Ransan, André, Au Vieux-Colombier « Tête d’or » de Paul Claudel, L’Aurore , le 9 avril 1971 (p. 41). [Non-signé], « Tête d’or » au Vieux-Colombier, Le Monde , le 7 avril 1971 (p. 33) (Théâtre royal du Gymnase, Festival du Jeune Théâtre, Liège) date de représentation : le 1er septembre 1971

Le Roi : Daniel Berton, La princesse : Christine Locquin

(Théâtre de Nice) 1334

1332 Mise en scène les samedis et dimanches à partir du 10 mars en matinée. 1333 Joué du 25 mars au 4 avril par la Compagnie de Denis Llorca.

490 date de représentation : le 19 novembre 1971 (Maison des arts et loisirs de Thonon, Suisse ?) date de représentation : mars 1972

Rychner, Michel, « Tête d’Or » 80 ans après : c’est toujours « des coups de marteau sur la tête », Journal de Genève , le 10 mars 1972 (p. 47).

Théâtre de Lumière (Théâtre des Bouffes du Nord, Paris) date de représentation : août 1979, mise en scène : Dominique Leverd

Théâtre Gérard-Philipe (Saint-Denis) date de représentation : janvier 1980, mise en scène : Daniel Mesguich, décors : Thierry Delory, costumes : Madeleine Louys

? Michel Caccia, Anne Chaplet, Stéphane Dausse, Philippe Duclos, Éric Frey, Jean-Louis Grinfeld, Isabelle Lafon, Jean-Luc Paliès, Gérald Robard, Catherine Rougelin, Isabelle Weingarten reprise (Daniel Mesguisch, Saint-Denis) date de représentation : 5 décembre 1986 1335

Compagnie Anne Delbée (Maison de Culture Beauperaire, Angers) 1336 date de représentation : le 17 février 1983, mise en scène : Anne Delbée reprise (Grand Théâtre, Tours) date de représentation : le 22 février 1984

Chapelle des Pénitents Blancs, Festival d’Avignon (Avignon), lecture, v. Partage de midi, Festival d’Avignon, 1986 1337 date de lecture : le 26 juillet 1986

Lecture : Alain Cuny reprise (France-Culture) date de diffusion : le 16 août 1986

Théâtre national de l’Odéon (Paris) 1338 date de représentation : le 8 décembre 1988 1339 , mise en scène : Aurélien Recoing, décors : Thierry Delory, costumes : Christian Gasc, musique : Gérard Bourdieu

1334 3 reprises. 1335 Jusqu’au 15 décembre. 1336 Dans la production du Théâtre GO – Compagnie Anne Delbée de Paris. 1337 Avec la co-production de France-Culture. 1338 Dans la production de la Compagnie des Nyctalopes. 1339 Avec 31 reprises. Du 8 décembre au 12 janvier 1989.

491 Cébès : Thierry Frémont, Tête d’Or : Bernard-Pierre Donnadieu, Cassius : Aurélien Recoing, La Femme morte, La Princesse : Valérie Dréville

Festival de Poésie du Haut Allier date de représentation : le 1er septembre 1991, mise en scène : Mathilde Heizemann

Théâtre du Port de la Lune (Bordeaux) 1340 , première version date de représentation : le 4 mars 1994, mise en scène : Jean-Louis Thamin, décors : Jean Haas

Cébès : Renaud Danner, Tête d’Or : Raphaël Sikorski, Déserteur : Laurent Rogero

Cournot, Michel, [?], Le Monde , le 19 mars 1994, [?]. Meunier, Paul, [?], La Croix , le 19 mars 1994, [?]. Parenteau, Gilles, [?], Sud-Ouest , le 7 mars 1994, [?]. Tranot, Pierre, [?], Sud-Ouest , le 27 février 1994, [?].

Grand Théâtre, Le Quartz (Brest) 1341 date de représentation : le 3 octobre 2001, mise en scène : Claude Buchvald, décors : Yves Collet, costumes : Sabine Siegwalt

Tête d’Or : André Marcon, La Princesse, une femme : Carine Baillod, Le Roi : Michel Baudinat reprises (Théâtre des Bouffes du Nord, Paris) date de représentation : le 12 décembre 2001 (Théâtre de la Manufacture, Nancy) date de représentation : le 15 janvier 2002

Théâtre du Nord-Ouest date de représentation : le 25 juin 2003, mise en scène : Yvan Garouel

Comédie-Française, Salle du Vieux-Colombier (Paris) date de représentation : le 29 mars 2006, mise en scène : Anne Delbée, décors : Michael Simon, costumes : Mine Barral-Vargez

Cébès : Clément Hervieu-Léger, Simon Agnel, Tête d’Or : Thierry Hancisse, L’Empereur David : Andrzej Seweryn, La Princesse : Marina Hands, Cassius : Christian Gonon, ? Pierre Vial, Dorothée Dubus, Aurélio Amaury

Brun, Christelle, Lioure, Michel, Autour de Tête d’Or, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 182, p. 43-45.

1340 Par le Centre dramatique national Bordeaux-Aquitaine, joué jusqu’au 19 mars 1994. 1341 Dans la production de la Compagnie Claude Buchvald de Paris.

492 Japon Théâtre Bungaku-za (Tokyo) 1342 date de représentation : le 15 octobre 1968, traduction : Moriaki Watanabé, mise en scène : Alain Cluny reprises Théâtre de la Compagnie de Haïyû-za date de représentation : le 28 octobre 1968 (N.H.K., 2e chaîne) date de diffusion : le 8 décembre 1968

Yougoslavie Théâtre national de Maribor date de représentation : 1984, traduction : Stane Potisk sous le titre Rituel nègre de Tête d’or Sénégal Théâtre national Daniel Sorano (Dakar) date de représentation : fin 1976, mise en scène : Raymond Hermantier reprises date de représentation : novembre 1980 date de représentation : avril 1982

Trois histoires de Paul Claudel Compagnie Francs-Alleux date de représentation : 1947 1343

La Ville Allemagne (Berlin) date de représentation : octobre 1955, mise en scène : Hans Bernd Muller

Schauspielhaus de Bochum , 2 ème version date de représentation : le 12 octobre 1992, traduction : Edwin-Maria Landau, mise en scène : Rolf Winkelgrund

1342 Réalisé par le cadre de son théâtre de l’Atelier de la Compagnie de Bungaku-za (présenté jusqu’au 20 octobre dans cet atelier). 1343 Spectacle composé à partir des textes L’Histoire de Tobie et de Sara , Mort de Judas et Le Chemin de la croix .

493 Lambert : Wolf Redel, Lâla : Angela Schmid, Cœuvre : Oliver Nägele, Frère Isidore : Jochen Tovote

Landau, Edwin-Maria, La Ville, première version, dans la traduction d’E.-M. Landau au Stadtheater de Bochum, Bulletin de la Société Paul Claudel , n° 129, Paris 1993, p. 25-26.

Belgique ( De Stad) Salle Patria (Bruxelles) 1344 , première mondiale de la deuxième version 1345 date de représentation : le 25 février 1931, traduction : Urbain Van de Voorde, mise en scène : Antoon van de Velde, décors et costumes : Ast Fonteyne, musique : Karel Albert

Lambert : Jozef Contrijn, Avare : Emiel Barbaix, Lâla : Carly Ceurvels, Besme : Jan De Haen, Cœuvre : Ast Fonteyne, Gérin : Ernest Steenbrugge, Thyrsée : Jozef Contrijn, Ivors : Rik Haesen, Premier délégué : Ward Hens, Deuxième délégué : Germain Verholen, Troisième délégué : Leo Hens

Cantor [Herman Oosterwijk ?], Eerste opvoering van Paul Claudel’s drama De Stad vertaald door Urbain Van de Voorde – Fransche voordracht van de 2de akte, door Jacques Copeau, De Gazet van Antwerpen , le 28 février 1931, p. 10. Crokaert, Paul, Audace au théâtre, Le Soir , n° 51, le 19 février 1931, p. 1. 1346 Erkens, Rob, De Stad van Claudel, door Het Vlaamsche Volkstooneel, De Pelgrim , n° 2, mai 1931, p. 94-6. Poupeye, C. [Camille], Brussel – Het Vlaamsche Volkstooneel – De Stad, van P. Claudel, Tooneelgids , n°9, le 15 mai 1931, p. 136-7. Putman, Willem, [De Stad], Willem Putman, Tooneeldagboek 1928-1938 , Globus- Uitgaven, Antwerpen 1938, p. 67-70. D. R. [Dupierreux Richard], A Patria – Claudel, le Vlaamsche Volkstooneel et Copeau, Le Soir , le 27 février 1931. P. W. [Paul Werrie], Au Théâtre Patria, La Ville de Paul Claudel, Le XXe siècle , le 27 février 1931. Q., Te Brussel – De Stad door het Vlaamsche Volkstooneel, De Standaard , 1931. [Non-signé], Een voorname kunstgebeurtenis – Copeau en het Vlaamsche Volkstooneel – Schitterende opkomst te Brussel, Het Laatste Nieuws , le 27 février 1931. [Non-signé], Jacques Copeau et le Vlaamsche Volkstooneel dans la Ville de Paul Claudel, à Patria, La Libre Belgique , le 27 février 1931.

Le Rideau de Bruxelles (Bruxelles), deuxième version

1344 Joué en néerlandais par la troupe Nouvelle Équipe, par le Vlaamsche Volkstooneel. Dans le cadre de cette soirée Jacques Copeau a lu le deuxième acte en français. 1345 Cette séance de gala a été accompagnée par la lecture de Jacques Copeau – donc les spectateurs ont pu voir : l’acte I en néerlandais (par la troupe), lecture non-prévue de l’acte I en français (par J. Copeau), ensuite la lecture de J. Copeau de l’acte II en français et le même acte est aussi repris en néerlandais par le Vl. Volkstooneel, enfin l’acte III en néerlandais de la même troupe. 1346 Il s’agit d’une annonce de presse.

494 date de représentation : avril 1974, mise en scène : Pierre Laroche, musique : Daniel Dejean, décors et costumes : Jean-Marie Fievez

M.V., La Ville de Claudel, La Libre Belgique , le 23 octobre 1975 (p. 141). - R.P., « La Ville » au Rideau de Bruxelles, La Dernière heure , le 4 avril 1974 (p. 139). première Vermeulen, Marcel, « La Ville », de Claudel. Superbe !.., Le Soir , le 4 avril 1974 (p. 137). [?], La Libre Belgique , le 4 avril 1974, [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 11 mai 1974, [?]. [?], Réservation , le 19 avril 1974, [?]. reprise date de la reprise : octobre-novembre 1975

France Palais de Bois (Paris), seconde version date de lecture : le 14 décembre 1914

? date de représentation : le 27 novembre 1943, première

Festival de Strasbourg (Strasbourg) 1347 , création mondiale, version intégrale (deuxième version) date de représentation : le 20 juin 1955 1348 , mise en scène : Jean Vilar, décors et costumes : Léon Gischia, musique : Maurice Jarre

Lambert de Besme : Georges Wilson, Avare : Philippe Noiret, Lâla : Maria Casarès, Cœuvre : Alain Cuny, Gérin : Jean-Pierre Darras, Ivors : Roger Mollien, Thyrsée : Jean Topart, Isidore de Besme : Jean Vilar, Premier délégué : Jean-Paul Moulinot, Deuxième délégué : Lucien Arnaud

[?], Arts , le 3 août 1955, [?]. [?], Arts , le 7 décembre 1955, [?]. [?], Aspects de France , le 1er août 1955, [?]. [?], Aux Ecoutes , le 9 décembre 1955, [?]. [?], Bulletin de Paris , le 29 juillet 1955, [?]. [?], Carrefour , 27.7.1955, [?]. [?], Cahiers du Sud , n° 331, [?]. [?], Combat , le 22 juillet 1955, [?]. [?], Combat , le 7 décembre 1955, [?]. [?], Il Corriere di Trieste , le 4 août 1955, [?]. [?], Dimanche-Matin , le 21 août 1955, [?]. [?], Express , le 30 juillet 1955, [?].

1347 Spectacle présenté par le Théâtre National Populaire de Paris. À partir du 19 juillet joué dans le cadre du Festival d’Avignon (Cour d’Honneur du Palais des Papes), quatre reprises. 1348 Ensuite les 21 et 22 juin. Landau mentionne le mois de juillet.

495 [?], Fiera Letteraria , le 14 août 1955, [?]. [?], Le Figaro , le 6 décembre 1955, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , le 6 août 1955, [?]. [?], Le Figaro Littéraire , le 8 décembre 1955, [?]. [?], Franc-Tireur , le 7 août 1955, [?]. [?], Franc-Tireur , le 5 décembre 1955, [?]. [?], Forces Nouvelles , le 17 décembre 1955, [?]. [?], La Gazette de Lausanne , le 19 août 1955, [?]. [?], Il Gazzettino , le 1er août 1955, [?]. [?], La Giustizia , le 4 août 1955, [?]. [?], Homme et Monde , janvier 1956, [?]. [?], Les Lettres Françaises , le 4 août 1955, [?]. [?], Mercure de France , le 1 er août 1955, [?]. [?], Il Messaggero , le 3 août 1955, [?]. [?], Midi Libre , le 28 juillet 1955, [?]. [?], Le Monde , le 5 décembre 1955, [?]. [?], National-Zeitung , le 24 juin 1955, [?]. [?], Il Nuovo Corriere , le 2 août 1955, [?]. [?], L´Observateur , le 15 décembre 1955, [?]. [?], Pariser Kurier , le 17 septembre 1955, [?]. [?], Le Parisien Libéré , le 5 décembre 1955, [?]. [?], Paris-Presse , le 23 juin 1955, [?]. [?], Réforme , le 30 juillet 1955, [?]. [?], Réforme , le 17 décembre 1955, [?]. [?], République , le 30 juillet 1955, [?]. [?], Ridotto , août 1955, [?]. [?], Rivarol , le 15 décembre 1955, [?]. [?], Stampa , le 2 août 1955, [?]. [?], La Table Ronde , février 1956, [?]. [?], Témoignage Chrétien , le 9 décembre 1955, [?]. [?], La Tribune de Lausanne , le 11 décembre 1955, [?]. reprises (Cour d’Honneur du Palais des Papes, Festival d’Avignon, Avignon) date de représentation : le 19 juillet 1955 1349 , mise en scène : Jean Vilar, costumes : Léon Gischia, musique : Maurice Jarre

Lâla : Maria Casarès

(Biennale de Venise) 1350 date de représentation : le 1er août 1955 (Théâtre de Chaillot, Paris) date de représentation : le 1er décembre 1955 1351 (Cité Universitaire, Paris)

1349 Ensuite les 22, 25 et 28 juillet. Landau donne le mois d‘août 1955. 1350 Dans le cadre du XIVe Festival International de Théâtre. 1351 Ensuite les 2, 4, 10, 11, 16, 28 décembre 1955 et les 6 et 27 janvier 1956.

496 date de représentation : le 10 février 1956 1352

T.N.P. date de représentation : le 17 décembre 1955

? Maria Casarès, Georges Wilson

Centre George Pompidou (Paris) date de représentation : 1968, mise en scène : Anne Delbée

Théâtre l’Odéon , première version, création mondiale Date de représentaiton : saison 1973-1974, mise en scène : Henri Ronse

Château de Brangues (Brangues) 1353 , première version date de représentation : le 5 juillet 1978, mise en scène : Anne Delbée, décors : Jean-Pierre Regnault, costumes : Mine Varral Vergez, musique : Bruno Bontempelli

Baron de Besme : Michel de Ré, Avare : Philippe Bouclet reprise (Beaubourg) date de représentation : septembre 1979

Théâtre de Gennevilliers/Théâtre des Amandiers (Petite salle du Théâtre Nanterre- Amandiers), deuxième version 1354 date de représentation : le 27 février 1986, mise en scène : Bernard Sobel et Micheline Raoul-Davies, décors : Italo Rota, costumes : Jacques Schmidt

Lambert de Besme : Guy Tréjan, Avare : Jean-Baptiste Malartre, Lâla : Dominique Reymond, Cœuvre : André Marcon, Isidore de Besme : Henri Serre, Thyrsée : Jean Badin, Ivors : Pascal Bongard, Gérin : Christian Roy, Premier délégué : Jean-Claude Sachot, Deuxième délégué : Jean Tolzac, Troisième délégué : Michel Valette

Centre d’Action culturelle de Villeneuve d’Ascq , deuxième version date de représentation : le 9 mars 1993, mise en scène : Marc L ? reprise (Théâtre Nationale de la communauté française en Belgique) date de représentation : janvier 1994

Italie

1352 Repris le 28 février. 1353 Dans le cadre des Rencontres de Brangues, sous chapiteau. 1354 Du 27 février 1986 au 20 avril 1986 avec 44 reprises. Les articles concernant cette pièce ont été publiés dans Les Echos , Le Figaro , Le Monde , L’Express , La Croix .

497 TNP (Festival de Venise) date de représentation : le 1 er août 1955, mise en scène : Jean Vilar

Calendoli, G., [?], Fiera Letteraria , le 2 août 1955, [?].

(Festival de San Miniato) date de représentation : juillet 1998, mise en scène : Krzyoztof Zanussi

Suisse Nouveau Théâtre de Poche (Genève) date de représentation : 1984 ?

498 Réalisation des traductions de Claudel Les Choéphores – Les Euménides Belgique Théâtre royal français (Bruxelles, Anvers) 1355 , concert date du concert : les 27 et 28 novembre 1927, musique : Darius Milhaud , chef d’orchestre : Louis De Vocht

Electre : Claire Croiza, Athéna : Claire Croiza, A. Plato, M. Ségard, Oreste : Charles Panzera

Théâtre royal français (Anvers) 1356 date de représentation : le 17 décembre 1933, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Louis De Vocht

Electre : Claire Croiza, Athéna : Claire Croiza, Paula De Backer-Musters, J. van Hertbruggen, Oreste : Fr. Van Gerwen

Les Choephores d´Eschyle Belgique Théâtre Royal de la Monnaie (Bruxelles) 1357 date de représentation : les 27 et 28 mars 1935, mise en scène : Georges Dalman et Paul Claudel, décors : Jean Delescluze, costumes : Aadrée Parr, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Corneil de Thoran

Clytemnestre (rôle parlé) : Ida Rubinstein, Électre (rôle chanté et parlé) : Madeleine Vita, Oreste (rôle parlé) : Jean Hervé (en mars), Jean Marchat (en mai), Oreste (rôle chanté) : F. Toutenel, Pylade (rôle parlé) : R. Maricq

Closson, Herman, La Vie musicale – Les Choéphores, Cassandre, n° 21, le 25 mai 1935, p. 9. Detry, Georges-A., La Vie à Bruxelles, Le Temps , n° 26899, le 26 avril 1935, p. 1. Dupierreux, R. [Richard], Avec M. Paul Claudel, pendant une répétition des chœurs parlés des CHOÉPHORES, Le Soir , le 21 mars 1935. Dupeirreux, R. [Richard], L’Ambassade de France, maison des lettres françaises – Avec M. Paul Claudel, pendant une répétition des choeurs parlés des Choéphores, Le Soir , n° 79, le 20 mars 1935, p. 1. 1358

1355 Par la troupe Chorale Coecilia et sociétés des nouveaux concerts et royale d’harmonie. Dans le programme figuraient aussi des œuvres de Lully, Rameau et de Purcell. Les Choéphores étaient déjà créées à Paris, mais ce concert contient même le final des Euménides . 1356 Réalisé par Chorale Coecilia et Société royale des nouveaux concerts d’Anvers. La date de la répétition générale, ensuite le concert est donné le 18 décembre. Avec aussi Beethoven, Brahms; Schubert et Debussy. 1357 Repris le 28 mars et ensuite au Palais des Beaux-Arts le 17 mai. Par le Chœur et l’orchestre du théâtre royal de la Monnaie et Chœur parlé de Renaudins. 1358 Annonce de presse.

499 [Milhaud, Darius], Une Collaboration féconde, Les Beaux-Arts , n° 156, le 15 mars 1935, p. 9-10. 1359 Weterings, J., Les Spectacles à Bruxelles – Les Choéphores au théâtre de la Monnaie, Les Beaux-Arts , n° 159, le 5 avril 1935, p. 26-7. Ydewalle, Charles d’, Un quart d’heure chez M. Paul Claudel, La Nation Belge , le 26 mars 1935. 1360 C. d’Y. [Charles d’Ydewalle], Avant la première des Choé^hores – Un quart d’heure chez M. Paul Claudel, La Nation belge, le 26 mars 1935. 1361 G. K., Théâtres et concerts – A la Monnaie – les Choéphores de Paul Claudel et Darius Milhaud - […], La Libre Belgique , le 29 mars 1935, p. 6. R. M., S’il n’est pas trop tard … Les Choéphores à Bruxelles, Le Journal des poètes , n° 4, le 11 mai 1935, p. 4. Th.-N., Les Choéphores – Cinq minutes avec M. Claudel, L’Indépendance belge , le 9 mars 1935. 1362

Rideau de Bruxelles date de représentation : le 20 février 1951 1363 reprises (Théâtre royal de Namur) date de représentation : le 23 février 1951 (Théâtre communal de Louvain) date de représentation : le 8 mars 1951

États-Unis

New York Philharmonic Orchestra (New York) date du concert : le 12 octobre 1961, traduction : Paul Claudel, musique : Darius Milhaud

France Concerts Delgrange date d’audition : le 15 juin 1919, musique : Darius Milhaud

Chaîne nationale date de diffusion : le 29 mars 1949, chef d’orchestre : Tony Aubin

? Maria Casarès, Marie-Hélène Dasté, Jacqueline Morane, Louis Arbessier

Théâtre des Remparts (Provins) 1364

1359 Ibid. 1360 Il s’agit des interviews avec Claudel avant la première. 1361 Annonce de presse. 1362 Annonce de presse. 1363 Reprise les 22 et 24 février. 1364 Dans le cadre du Festival de Provins. Avec l’Orchestre et les chœurs de L’O.R.T.F.

500 date de représentation : le 9 juillet 1967, mise en scène : Henri Doublier, décors et costumes : Georges Douking, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Charles Bruck

Oreste : Laurent Terzieff, ? Pascale de Boysson, Tania Balachova, Claude Nollier

Stage Jeunesse et Sports (théâtre en plein aire de la Maison des Jeunes de Vichy) date de représentation : les 19, 20 et 21 août 1968, mise en scène : Jean Lagénie

Groupe théâtral de Passy (Paris) date de représentation : les 13, 14 et 15 juin 1969, mise en scène : Jacques Boulineau

Compagnie de la Pomme d’or 1365 et Ensemble vocal « Alborada » (Etampes) date de représentation : les 28 et 29 juin 1974, musique et chef d’orchestre : François Naturel reprise (Maison de l’Amérique, Paris) date de représentation : le 2 juin 1975

Les Compagnons de la Pomme d´or (Paris) 1366 date de représentation : le 2 juin 1975, mise en scène : Jacques Cornet, décors et costumes : Didier Equer, musique : François Naturel

François Rostain, Laure Casteil, Jacques Galland, Lola Maddalena, Annie Jonneret, Jeanine Mondon, John Naar, Jacques Cornet

[?], Inf. du Spectacle , 108, [?]. [?], SPP , 367-368, [?].

L’Orestie d’Eschyle 1367 Allemagne ( Die Orestie des Aischylos ) Deutsche Oper Berlin, première audition mondiale intégrale 1368 date de représentation : le 24 avril 1963, adaptation : Peter Funk, mise en scène : Gustav Rudolf Sellner, décors : Michel Raffaeli, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Heinrich Hollreiser

Klytämnestra : Gladys Kuchta, Elektra : Patricia Johnson, Pythia : Vera Little, Orest : Patricia Stewart, Apollo : William Dooley, Athene : Catherine Gayer

Joachim, Heinz, [?], Die Welt , Berlin, le 26 avril 1963, [?]. Oeblmann, Werner, [?], Der Tagesspiegel , le 26 avril 1963, [?].

1365 Il s’agit d’une compagnie amateur. 1366 Présenté au centre « Amarican Center for Students and Artists », en collaboration avec l‘Ensemble Alboroda. 1367 Il s’agit d’une vaste trilogie : Agamemnon , Les Chéophores et Les Euménides . 1368 Le spectacle a été réalisé en présence de Darius Milhaud.

501 Rostand, Claude, [?], Le Figaro Littéraire , le 4 mai 1963, [?]. Ruppel, K.-H., [?], Süddeutsche Zeitung , le 26 avril 1963, [?]. Siohan, Robert, [?], Le Monde , le 8 mai 1963, [?]. Stuckenschmidt, H.H., [?], Frankfurter Allgemeine Zeitung , le 26 avril 1963, [?]. [?], Allgemeine Wochenzeitung der Juden in Deutschland , le 10 mai 1963, [?]. [?], Allgemeine Zeitung , le 29 mai 1963, [?]. [?], Berliner Morgenpost , [?]. [?], Berliner Stimme , le 11 mai 1963, [?]. [?], Bild , le 26 avril 1963, [?]. [?], BZ , le 26 avril 1963, [?]. [?], Darmstädter Echo , le 1er mai 1963, [?]. [?], Deutsche Zeitung , le 22 avril 1963, [?]. [?], Düsseldorfer Nachrichten , le 1er mai 1963, [?]. [?], Frankfurter Nachtausgabe , le 26 avril 1963, [?]. [?], Frankfurter Neue Presse , le 26 avril 1963, [?]. [?], Hamburger Abendblatt , le 25 avril 1963, [?]. [?], Hildesheimer Allgemeine Zeitung , le 1er mai 1963, [?]. [?], Christ und Welt , le 3 mai 1963, [?]. [?], Kieler Nachrichten , le 27 avril 1963, [?]. [?], Kölner Stadtanzeiger , le 26 avril 1963, [?]. [?], Kölnische Rundschau , le 27 avril 1963, [?]. [?], Der Kurier , le 25 avril 1963 et le 26 avril 1963, [?]. [?], Mannheimer Morgen , le 26 avril 1963, [?]. [?], Neue Rhein-Zeitung , le 26 avril 1963, [?]. [?], Neue Zeitung für Musik , juin 1963, [?]. [?], Neue Zürcher Nachrichten , [?]. [?], Neue Zürcher Zeitung , le 1er mai 1963, [?]. [?], Nürnberger Nachrichten , le 26 avril 1963, [?]. [?], Opernwelt , juin 1963, [?]. [?], Oesterreichische Neue Tageszeitung , le 3 mai 1963, [?]. [?], Pariser Kurier , le 4 mai 1963, [?]. [?], Die Presse , le 27 avril 1963, [?]. [?], Rheinischer Merkur , le 3 mai 1963, [?]. [?], Salzburger Nachrichten , le 26 avril 1963, [?]. [?], Schwäbische Zeitung , le 24 avril 1963, [?]. [?], Solinger Tageblatt , le 27 avril 1963, [?]. [?], Spandauer Volksblatt , le 26 avril 1963, [?]. [?], Stuttgarter Zeitung , le 29 mai 1963, [?]. [?], Der Tag , le 26 avril 1963, [?]. [?], Telegraf , le 26 avril 1963, [?]. [?], Theater heute , juin 1963, [?]. [?], Westdeutsche Allgemeine , le 26 avril 1963, [?]. [?], Westdeutsches Tageblatt , le 1er mai 1963, [?]. [?], Westfälische Nachrichten , le 27 mai 1963, [?]. [?], Wiesbadener Tagblatt , le 27 avril 1963, [?]. [?], Die Zeit , le 10 mai 1963, [?]. reprises

502 (Deutsche Oper Berlin) date de représentation : septembre 1964

Bourgeois, Jacques, À 82 ans Strazinsky se renouvelle, Arts , le 30 septembre 1964 (p. 3). date de représentation : le 12 septembre 1965

Belgique Théâtre du Rideau de Bruxelles date de représentation : leden 1977 1369 , mise en scène : Bernard de Coster

Agamemnon : Gérald Marti, Oreste : Jules-Henri Marchant, Electre : Patricia Houyoux, Cassandre : Piroska Muharay, Apollon : Francis Besson, La Pythie : Carine Sombreuil

Arsinoë, [?], L’Eventail , le 21 janvier 1977, [?]. Boly, Joseph, [?], 4 millions 4 , n° 111, le 20 janvier 1977, [?]. Mitoy, Fernand, [?], Le Métropolitain , le 14 janvier 1977, [?]. A.A., [?], La Dernière Heure , le 10 janvier 1977, [?]. J.L., [?], La Cité , le 9 janvier 1977, [?]. J.S., [?], La Libre Belgique , le 9 janvier 1977, [?]. [?], La Cité , le 8./9. janvier 1977, [?]. [?], La Dernière Heure , le 10 janvier 1977, [?]. [?], Femmes d’aujourd’hui , janvier 1977, [?]. [?], La Libre Belgique , le 8./9. janvier 1977, [?]. [?], Pourquoi pas , le 13 janvier 1977, [?]. [?], Le Soir , le 8 janvier 1977, [?]. [?], Théâtre , le 20 janvier 1977, [?].

Orchestre du Concert-Gebouw (Amsterdam) date : le 25 juin 1988, concert, musique : Darius Milhaud

France France-Culture 1370 date de diffusion : le 9 novembre 1967 1371 , chef d’orchestre : Claude Roland Manuel

? Silvia Montfort, Nelly Borgeaud, Alain Cuny, Jean Négroni, Michel Vitold, Jean Topart, Roger Karl, Renaud Mary

Groupe théâtral de Passy (Paris) date de représentation : 1970 reprise (Crypte de l’église Notre-Dame de Grâce de Passy)

1369 Réalisé sans la musique de Darius Milhaud. 1370 Sans la musique de Milhaud. 1371 Repris le 14 décembre 1966 et le 11 janvier 1967.

503 date de représentation : les 6, 7, 8, 20 et 21 décembre 1970

Théâtre Antique de la Sorbonne (Paris) date de représentation : saison 1973-1974 1372 , mise en scène : Jean-Claude Devictor

Radio-France, France-Musique (Paris) date de l’émission : le 10 novembre 1976, chef d’orchestre : Alexandre Myrat 1373

Golea, Antoine, Révélation d’un chef-d’oeuvre, Carrefour , le 18 novembre 1976 (p. 27- 28). Jarry, Hélène, « Orestie » de Darius Milhaud, L’Humanité , le 12 novembre 1976 (p. 24). Lonchampt, Jacques, « L’Orestie » de Darius Milhaud, Le Monde , le 16 novembre 1976 (p. 25). Pascal, Claude, L’Orestie selon Milhaud, Le Figaro , le 12 novembre 1976 (p. 23) [Non-signé], A French Hearing for Milhaud’s « Orestie », Herald Tribune 9 novembre 191976, P ; 13 de la cote [Non-signé], « L’Orestie », de Darius Milhaud, dirigée par A. Myrat, L’Humanité , le 10 novembre 1976 (p. 17). [Non-signé], « L’orestie », oratorio de Claudel et Milhaud, Telerama , le 3 novembre 1976 (p. 11). [Non-signé], Un opéra de Darius Milhaud créé deux ans après sa mort: l’ « Orestie » de Paul Claudel, L’Aurore , le 9 novembre 1976 (p. 15).

Orchestre national de France (Studio 104 de la Radio) date de diffusion : le 26 novembre 1992, chef d’orchestre : Charles Dutoit

Théâtre des Amandiers (Nanterre) date de représentation : janvier - février 1997 1374 , traduction : Paul Claudel, mise en scène : Serge Transvouez

Cassandre : Nathalie Nambot, Clymnestre : Catherine Epars

Alexandre, Pascale, L’Orestie claudélienne au Théâtre des Amandiers, Bulletin de la Société Paul Claudel, n° 147, 1997.

Théâtre du Conservatoire de Paris date de représentation : le 21 septembre 2005, traduction : Paul Claudel, mise en scène : Anne-Lise Heimburger sous le titre L’Orestie – Agamemnon d’après Eschyle Allemagne

1372 Mise en scène des étudiants. 1373 Myrat d’origine grecque remplace « au pied levé » l’américain Maurice Abravanel (directeur musical de l’Utah Symphony Orchestra). Cette première intégrale française est réalisée par Le Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio France. 1374 Puis tournée – Mulhouse, Oullins, Strasbourg.

504 (Münich) 1375 date du concert : le 19 janvier 1962, chef d’orchestre : Darius Milhaud

France Conservatoire national supérieur d’art dramatique (Paris) date de représentation : le 21 septembre 2005 1376 , mise en scène : Anne-Lise Heimburger, décors : Luce Noyer, costumes : Pauline Kiefer, musique : Matthieu Bloch

Egisthe : Adrien Gamba-Gontard, Clytemnestre : Agathe L’Huillier, Cassandre : Lise Maussion, Agamemnon : Laurent Ménoret, Le Héraut : Stéphane Varupenne, Le Veilleur : Julin Villa sous le titre L’Orestie – Les Choéphores d’après Eschyle

Conservatoire national supérieur d’art dramatique (Paris) date de représentation : le 21 septembre 2005 1377 , mise en scène : Anne-Lise Heimburger, décors : Luce Noyer, costumes : Pauline Kiefer, musique : Matthieu Bloch

Egiste : Adrien Gamba-Gontard, Oreste : Frédéric Giroutru, Clytemnestre : Agathe l’Huillier, Pylade : Laurent Ménoret, Electre : Camille Schnebelen sous le titre L’Orestie – Les Euménides Belgique Radio belge date de diffusion : le 18 novembre 1929

B.R.T. , intégrale date de représentation : le 18 novembre 1949, chef d’orchestre : Franz André

Palais des Beaux-Arts date de représentation : le 30 avril 1950, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Franz André, Paul Collaer 1378

France Nouveaux Concerts (Anvers), opéra en trois actes date d’audition : le 27 novembre 1927, musique : Darius Milhaud

1375 Composé à partir de L’Agamemnon , de L’Homme de son désir et de la 2e suite symphonique d’après Protée . 1376 Ce spectacle est joué jusqu’au 23 septembre (2 reprises). 1377 Ibid. 1378 Direction des chœurs Jan Van Bouwel, Ben Van Lysebeth, Louis Weemaes.

505 Chaîne nationale date de diffusion : les 26 mai 1949

? Jeanne Boîtel, Jacqueline Morane, Louis Arbessier, Daniel Yvernel reprise date de diffusion : le 18 octobre 1950

(Paris) date de diffusion : le 5 mai 1960, musique : Darius Milhaud, chef d’orchestre : Charles Bruck

Théâtre des Champs-Elysées date du concert : le 27 février 1962 1379 , chef d’orchestre : Maurice Leroux

Conservatoire national supérieur d’art dramatique (Paris) date de représentation : le 21 septembre 2005, mise en scène : Anne-Lise Heimburger, décors : Luce Noyer, costumes : Pauline Kiefer, musique : Matthieu Bloch

Athéna : Judith Chemla, Oreste : Frédéric Giroutru, Le Spectre de Clytemnestre : Agathe l’Huillier, Apollon : Laurent Ménoret sous le titre Agamemnon d’Eschyle France Concerts Straram date d´audition : le 15 avril 1927, musique : Darius Milhaud

Chaîne nationale date de diffusion : le 13 décembre 1952, musique : Jean Wiener

? Louise Conte, Madeleine Robinson, Roland Alexandre, Jean Darcante, Pierre Dux, Jean Marchat

Théâtre de la Métaphore (Lille) date de représentation : janvier 1992, mise en scène : Xavier Maurel

? Catherine Berriane, Nathalie Grenat, Jean Damien Barlin, Hervé Furic

1379 Concert Darius Milhaud composé à partir Les Euménides (3 e partie de l’Orestie) et L’Homme et son désir .

506 ARCHIVES ET BIBLIOGRAPHIE

A. ARCHIVES

1. Archives et centres de recherche tchèques

Archives de l’Orchestre philharmonique de la capitale de Prague (FOK) Archives du Musée Rostoky - fond Zdenka Braunerová et sa famille, classé en 2009 Archives du Théâtre de Bohême du Sud à České Bud ějovice - fond Paul Claudel) Archives du Théâtre de J. K. Tyl à Plze ň - fond Paul Claudel Archives du Théâtre national de Prague - fond Zv ěstování Pann ě Marii (dossier n° 1352 a) - fond Saténový st řeví ček aneb Nejhorší není vždy nejjist ější (dossier n° 1528 a). Archives littéraires à Prague-Strahov - fond Miloš Marten, numéro de l’inventaire 786 - fond Zdenka Braunerová, numéro de l’inventaire 970, cartons n° 648-673, classé en 1997 - fond prof. Václav Černý, numéro de l’inventaire 490 Archive privé de Martin Malínek Bibliothèque nationale de Prague Bibliothèque scientifique d’État à Olomouc Département de la bibliographie et Cabinet des études du théâtre tchèque de l’Institut de théâtre à Prague - dossiers n° K 209 P, K 5 129 P, K 20 220, K 20 582 P, K 21 532 P, K 21 533 P, K 21 884 P, K 22 450 P, K 22 880 P, A 1 857 P, K 24 937 P, K 26 554 P, A 3 211 P, A 3 379, K 27 862 P - fond Deklarace MS 72. Département des Arts du Spectacle de la Bibliothèque municipale à Prague - fond Claudel

507 Département des Arts du Spectacle du Musée national de Prague - fond Claudel

2. Archives et centres de recherche français

Centre de Recherches Jacques-Petit à Besançon Département des Arts du spectacle, site Richelieu de la Bibliothèque nationale de France, fond Claudel, dossiers de presse : - L’Annonce faite à Marie , représentations diverses, 41-46, cote Sw 7991, - L’Annonce faite à Marie , représentations diverses, 1964 -1975, 4 Sw 7986, - Conversation dans le Loir-et-Cher , représentations diverses, 1972-1977, 4Sw 7983, - L’Echange , msc. Georges Pitoeff, Théâtre des Mathurins, 1937, 4Sw 7994, - L’Echange , diverses représentations de 1937-1960, 8 Sw 233, - L’Echange , msc. Ludmilla Pitoeff, Théâtre des Champs-Elysées, 1946, 4Sw 7993, - L’Echange , msc. Guy Suarès, Théâtre Hébertot, 1962, 8Sw 611 - L’Echange , représentations diverses, France et étranger, 1960-1969, 4Sw 2383 ; Centre dramatique national du nord, msc. André Reybaz, 1964, 4Sw 2383 (1), - L’Echange , représentations diverses, 1973-1977, 4Sw 7982 ; msc. Anne Delbée,Théâtre de la Ville, 1976, 1977, 4Sw 12195, - L’Echange , msc. Armand Delcampe, Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve, Théâtre National de l’Odéon, 1982, 4Sw 10822(1), - L’Echange , msc. Antoine Vitez, Théâtre National de Chaillot, 1986, 4Sw 9546, Exposition universelle de Montréal, don 1990 du Théâtre National de l’Odéon, 4Sw 10809 (7), - Christophe Colomb , musique D. Milhaud, représentations diverses, 1956-1976, 4Sw 7984, - Le Chemin de Croix , Belgique, 1968, 4Sw 8009, - Jeanne d’Arc au bûcher , oratorio d’Arthur Honegger. Représentation diverses. France et étranger, 1962-1971, 4Sw 3683, - Jeanne au bûcher , oratorio d’Arthur Honegger et de Paul Claudel, Télévision française, 1ère chaîne, 1966, 4SW 3684, - Jeanne d’Arc au bûcher , représentations diverses, 73-77, 4Sw 8005

508 - La Jeune Fille Violaine , Spectacle de la Compagnie des Jongleurs de Paris, Salle d’Iéna, 1944, cote 4Sw 7990, - La Jeune Fille Violaine , Représentations diverses, 65-77, cote 4Sw 7981, - Le Livre de Christoph Colomb , 1960, Jean-Louis Barrault, Odéon Théâtre de France, 8Sw 1157, Nouveau Théâtre d’Angers, Centre dramatique national, Association maison de la culture, saison 90-91, 4SW 11606, saison 90-91, - L’Orestie , Darius Milhaud, texte de P. Claudel, 1964-1976, 4Sw 8008 - L’Otage , msc. Guy Rétoré, T.E.P. (puis, Festival d’Avignon), 1977, 4 Sw 7980, - L’Otage , Le Pain dur , Le Père humilié , Théâtre du Vieux-Colombier, 1962, Bernard Jenny, cote 8Sw 345, - L’Otage , représentations diverses, 1926 – 1934, 4Sw 7992, - L’Otage , reprise, Vieux-Colombier, 1958, 8Sw 23, - L’Otage , représentations diverses, 1964 – 1968, 4Sw 1934, - Le Pain dur , représentations diverses : France et étranger, 1964-1971, 4Sw 2707, - Partage de midi , msc. Jean-Louis Barrault, L’Odéon Théâtre de France, 1961, 8Sw 1161, - Partage de midi , diverses représentations (France et étranger), 1963-1971, 4Sw 5008, - Partage de midi , 1966 (don du Théâtre National de l’Odéon, 1990), cote 4Sw 10808 (II), - Le Partage de midi , diverses représentations, 1966-1971, 4Sw 4071 - Partage de Midi , Tournée à Milan, L’année Claudel, cote Sw4 10810 (1-3), - Partage de midi , msc. Antoine Vitez, Comédie française, Théâtre Marigny, 1975-1977, 4Sw 7389, - Partage de midi , 1966 (don du Théâtre National de l’Odéon, 1990), Sw 10808 (II), - Le Père humilié, msc. Jean Valcourt, Théâtre des Champs Elysées, 4 Sw 7989, - Le Père humilié , msc. Guy Suarès, Cloître Saint-Severin, 1961, 8Sw 790, - Protée , Représentations diverses, 67-74, cote 4Sw 7979, - Le Repos du septième jour , Paris, Théâtre de L’Oeuvre, 1965, 4 Sw 867, - Sous le vent des Iles Baléares , Compagnie Renaud-Barrault, Gare d’Orsay, Jean-Louis Barrault, 1972, 4Sw 8007, - Tête d’Or , Paris, Odéon Théâtre de France, le 24 janvier 1968, cote 4Sw 1938, - Tête d’Or , Représentations diverses, 1970-77, cote 4Sw 8006,

509 - Le Soulier de Satin , msc. Jean-Louis Barrault, Odéon – Théâtre de France, 1963, 4 Sw 58, 4Sw 10806 (5), - Le Soulier de satin , Diverses représentations, 1964-1966, 4Sw 866, - Le Soulier de Satin , msc. J.-L. Barrault, Comédie Française, 4 Sw 7596, - Le Soulier de Satin , FR 3, 1989, 4Sw 9661, - Le Soulier de satin , msc. Antoine Vitez, Spectacle du Théâtre national de Chaillot, Festival d’Avignon, 1987, 4Sw 9658, - Le Soulier de Satin , Théâtre national de Chaillot, 87-88, 4Sw 9660, - Le Soulier de Satin , Antoine Vitez, revue de presse des représentations à Bruxelles, 4Sw 13213.

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520 LANDAU, Edwin Marie, JUNG, Jacqueline, SIEGRIST, Sven, Centre international de recherches claudéliennes Université de Zurich. Catalogue complet , Les Belles-Lettres, Paris 1977. NEKVINDA, Libor, NA HLUBINU 1926-1948. Bibliografie revue pro duchovní život , Gaudeamus, Hradec Králové 2000. PŘIKRYLOVÁ, Miroslava, KNOP, František, Bibliografie časopisu Divadlo 1949-1970 , Divadelní ústav, Praha 1998, p. 249. VEINSTEIN, Jacqueline, Théâtrographie. Chronologie des créations dans l’œuvre dramatique de Paul Claudel, Europe, revue littéraire mensuelle , 60, 635, mars 1982, p. 100-113.

Dictionnaire

« Claudel », Ott ův slovník nau čný nové doby , I/II, Nakladatelství J. Otto, Praha 1931, p. 908-909.

SITOGRAPHIE ET BASES DE DONNÉES www.lesarchivesduspectacle.net base « spectacles » de la Bibliothèque nationale de France. http://www.paul-claudel.net/, site officiel de la Société Paul Claudel ANAL, Bibliothèque scientifique d’Etat à Olomouc. ANL, Kramerius, Bibliothèque nationale de Prague. http://catalogue.bnf.fr/jsp/recherche_spectacles.jsp?nouvelleRecherche=O&host=catalogue http://db.divadelniustav.cz/fdb_biblio/index.php?typ=N&lang=cze&vyhl=V&rejst=&sezn =&PHPSESSID=lsb2kdvcqpcogimmvlucsaark2, base de la bibliographie de l’Institut de théâtre de Prague. http://db.divadelni-ustav.cz/inscenace.aspx, base des représentations de l’Institut de théâtre de Prague. http://osdo.ustinadorlici.cz/, site officiel de l’Association du théâtre amateur de Ústí nad Orlicí. http://www.amaterskedivadlo.cz/, base du théâtre amateur tchèque.

521 http://archiv.narodni-divadlo.cz/, base du répertoire du Théâtre national de Prague depuis sa fondation. http://www.castek.cz/, site officiel de l’acteur Miroslav Částek base « spectacles » de la Bibliothèque national de France. http://www.divadlo.cz/, site officiel de l’Institut de théâtre de Prague http://www.lesarchivesduspectacle.net/?IDX_Personne=1929, Archives du Spectacle. http://www.ndbrno.cz/online-archiv/repertoar-od-roku-1884-pdf; base du répertoire du Théâtre national de Brno depuis sa fondation. http://www.paul-claudel.net/, site officiel de la Société Paul Claudel http://www.ucl.cas.cz/cs/databaze/bibliograficke-databaze, bases de la bibliographie des articles dépouillés de la presse nationale de l’Institut de littérature tchèque de l’Académie des sciences de la République tchèque. www.regietheatrale.com

522 Résumé en tchèque

V předkládané práci identifikujeme a analyzujeme nejvýznamn ější inscena ční ztvárn ění dramatických text ů významného francouzského spirituálního autora první poloviny 20. století Paula Claudela, kterého francouzský myslitel Jean Calvet za řadil mezi přední p ředstavitele sm ěru katolicky orientované literatury, tzv. proudu „renouveau catholique“ (katolická obroda) z konce devatenáctého a po čátku minulého století. Claudel byl autorem divadelních her jako nap ř. Zv ěstování Pann ě Marii , Město , Sedmý den odpo činkem nebo Saténový st řeví ček . Rešerše v oblasti sb ěru pramenného materiálu a sekundární literatury probíhaly od roku 2007, p ředevším za pomoci nemalé finan ční podpory FF UP v Olomouci získané v rámci interního grantu pro doktorandy a v dalších letech na základ ě stipendií poskytnutých Francouzskou ambasádou a MŠMT ČR. Primárn ě v práci vycházíme z archivních dokument ů, dále pak z bohaté zahrani ční i domácí sekundární literatury, která je v ěnována divadlu Paula Claudela (nap ř. Ubersfeldová, Beretta, Labriolle, Boly, Farabet, atd.). Zainteresovaný badatel nebo laický čtená ř se m ůže také op řít o široké spektrum studií a recenzí publikovaných v novinách, odborných časopisech či sbornících. Blíže p řipome ňme alespo ň studie odborníka na claudelovskou problematiku, profesora na odpo činku, Michela Lioura. Jeho monografie s názvem L´Esthétique dramatique de Paul Claudel [Divadelní estetika Paula Claudela] a nedávná práce Claudelianna [Claudelovština] p ředstavují práce p řinášející fundované informace o dramatické tvorb ě tohoto básníka. Nemén ě významnou odbornicí je emeritní profesorka pa řížské univerzity Anna Ubersfeldová, která v roce 2005 vydala obdivuhodnou monografii s názvem Paul Claudel, poète du XX e siècle [Paul Claudel, básník dvacátého století]. Český čtená ř m ůže další informace čerpat nap ř. z Martenových studií publikovaných v časopise Moderní revue . Čtená ře vládnoucího francouzštinou odkazujeme také na publikaci o Claudelov ě vztahu k Čechám s názvem Cahiers Paul Claudel 9 [Sešity Paula Claudela 9], jejímž autorem byl profesor Václav Černý. Kniha obsahuje také komentovanou korespondenci trojice Claudel, Marten a Braunerová. Dále odkazujeme na speciální číslo časopisu Rencontres z roku 1965. K dalším d ůležitým pramen ům pat ří zajisté rozsáhlejší studie p řekladatele Otty F. Bablera nebo histori čky Mileny Lenderové.

523 Nutno podotknout, že je škoda, že v českém kulturním prost ředí neexistuje žádná česká monografie, která by p řinesla ucelený pohled na život a dílo autora. Je tedy budoucím úkolem českých badatel ů tuto mezeru vyplnit. Jak jsme již nazna čili, tématem doktorské práce je scénický život divadelních her Paula Claudela u nás a ve sv ětě, nebo ť dle našich rešerší a také na základ ě sd ělení odborník ů Michela Lioura a Alaina Beretty z ůstávalo toto téma na okraji badatelské pozornosti a je stále nep říliš probádanou a zmapovanou oblastí v rámci claudelovských studií. Proto si také tato práce klade za hlavní cíl co nejkompletn ěji zmapovat režijní zpracování claudelovské látky na českých a zahrani čních divadelních scénách. Sb ěr nezbytných archivních dokument ů a sekundární literatury prob ěhl jak ve Francii, tak především v českých v ědeckých institucích. Jednalo se zejména o rešerše v Divadelním odd ělení Národní knihovny v Pa říži (Département de l’Art du spectacle de la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu), kde se nachází bohatý fond zahrnující články o dramatikov ě život ě, ale p ředevším výst řižky recenzí realizovaných divadelních her. Konzultovali jsme také n ěkolik dokument ů v archivu Spole čnosti Paula Claudela se sídlem v Pa říži. Zásadním se ukázal studijní pobyt ve výzkumném ústavu v Besançonu (Centre Jacques Petit), kde jsme m ěli možnost pracovat s dokumenty nejr ůzn ější povahy, které se týkaly autorovy dramatické tvorby. Páte řním zdrojem informací se stal časopis Bulletin de la Société Paul Claudel , nebo ť v jednotlivých číslech jsou zachyceny základní údaje o scénickém provedení v ětšiny autorových her na francouzských a částe čně mimo francouzských divadelních scénách. Časopis vychází od roku 1958 a všechny výtisky jsou archivovány ve výše zmín ěném výzkumném ústavu. Domácí výzkum byl veden p ředevším v Divadelním ústavu se sídlem v Praze, dále nap ř. v Literárním archivu Národního památníku v Praze-Strahov ě, v Divadelním odd ělení Národního muzea v Praze, v archivech jednotlivých divadel a také v Národní knihovn ě v Praze a V ědecké knihovn ě v Olomouci. Práci d ělíme do šesti kapitol. V první části se v ěnujeme zvolené metodologii a dostupným archivním materiál ům a dalším zdroj ům, které sehráli klí čovou roli p ři sestavení této práce. V následující kapitole se krátce zam ěř ujeme na formy ší ření claudelovské myšlenky, nebo ť divadelní artefakt (neboli jev) je úzce spojen také s překladem p ůvodního textu. T řetí kapitola seznamuje čtená ře s genezí autorovy tvorby, a proto se zam ěř uje na nejr ůzn ější vlivy, které m ěly dopad na finální podobu v ětšiny

524 autorových text ů. Čtvrtá kapitola p řináší kompletní pohled na scénický život Claudelova díla v Čechách, na Morav ě a ve Slezsku. P řipome ňme, že byl básník krátce konzulem v Praze v letech 1909-1911, ale i to, že se zde jeho dílo nesetkalo s p říliš velkým porozum ěním z řad divák ů ani kritiky. Claudel byl dokonce zakázán v dob ě komunismu a o jeho skute čném návratu m ůžeme mluvit až po Sametové revoluci. Konkrétn ě si tedy všímáme prvního uvedení divadelní hry Zv ěstování Pann ě Marii v roce 1914 na scén ě Národního divadla v Praze, dále inscenování autorových text ů v dob ě mezi válkami, kdy je na našich scénách siln ě zastoupena francouzská dramatika. Mapujeme také krátkou Claudelovu divadelní renesanci v období tzv. Pražského jara. Dále se nám poda řilo zachytit unikátní studentské uvedení Josefa Lédla v dob ě tzv. normalizace. V záv ěre čných podkapitolách se zam ěř ujeme na Claudelovu tvorbu uvád ěnou v devadesátých letech minulého století a na po čátku 21. století. Významná je také podkapitola v ěnovaná amatérským nastudováním. Následující kapitola, ve které se v ěnujeme zahrani čním realizacím, je roz člen ěna podle stát ů uvedení jednotlivých inscenací. Zam ěř ujeme se nap říklad na inscenování Claudelovy tvorby ve Francii, N ěmecku, Rakousku, Švýcarsku, Belgii, Holandsku, ve státech jižní, severní, st řední a východní Evropy (Slovensko, Polsko, Rusko, státy bývalé Jugoslávie, Ma ďarsko, Švédsko, Norsko), v anglicky mluvících zemích a zajímavá jsou také nap ř. turné v zemích Latinské Ameriky. Záv ěre čná kapitola se krátce vrací k oslavám stého výro čí narození autora. V záv ěru práce řadíme katalog, který se skládá ze t ří samostatných soupis ů, mapujících divadelní tvorbu Paula Claudela v Čechách, na Morav ě a ve Slezsku, dále na Slovensku a třetí soupis obsahuje jednotlivá divadelní uvedení ve Francii a dalších zemích Evropy a sv ěta. Katalog tak p řináší p řehledný a ucelený soupis divadelních artefatk ů, které se nám poda řilo identifikovat od prvního uvedení v roce 1912 až do dnešních dn ů. Jelikož bychom čtená ři rádi usnadnili orientaci v soupisech, uvádíme zde následující základní instrukce. Jednotlivá hesla jsou řazena abecedn ě v chronologickém po řadí. V případ ě dohledání všech pot řebných informací se dané heslo skládá ze t ří částí. Nejd říve je zapsán název divadelní instituce, ve které byla divadelní hra uvedena, p řípadn ě zmi ňujeme jen název divadelní spole čnosti nebo místo uvedení hry. Následuje datum premiéry, p řípadn ě datum prvního známého uvedení nebo datum koncertní, rádiové či televizní realizace. První část dále obsahuje jména inscenátor ů konkrétního divadelního kusu (v četn ě autora/autor ů

525 překladu a hudby, p řípadn ě jméno dirigenta). V druhé části v ětšiny hesel p ředkládáme jména protagonist ů hlavních rolí a v t řetí pak soupis dohledaných kritických ohlas ů konkrétní divadelní hry. V této t řetí části hesel spat řujeme nejv ětší nedostatek celé práce, nebo ť se nepoda řilo (a je t řeba dodat, že to není v silách jednoho badatele) vyexcerpovat všechny dostupné archivní dokumenty, noviny a časopisy. Pokud tedy n ěkterá část či jen díl čí údaj v zápisech chybí, znamená to, že tato informace nebyla bu ď nalezena nebo ov ěř ena, a proto je zapsána následujícím symbolem [?], p řípadn ě zcela zápis chybí. Nejd říve řadíme kritické ohlasy autor ů známých, poté následují recenze podepsané šifrou, ale jejichž autory se nám poda řilo identifikovat (jméno autora uvádíme v závorkách), poté řadíme články s šiframi, jejichž auto ři nebyli odhaleni a záv ěrem řadíme zdroje anonymní nebo autor ů, jejichž jméno se nám nepoda řilo doposud vypátrat. Kompletní zápisy tedy obsahují jméno autora a název článku, zdroj, datum vydání (p řípadn ě místo vydání) a případn ě stranu, pokud se ji poda řilo ov ěř it. U časopis ů ješt ě uvádíme číslo a místo vydání. Dodejme, že žádná práce nem ůže podat informace zcela vy čerpávajícím zp ůsobem. Z důvod ů finan ční náro čnosti výzkumu, ší ře záb ěru a úskalím, které p řed nás takto pojatý projekt kladl, p ředevším jeho časová náro čnost nebo velká roztroušenost dostupných dokument ů a informací, p řípadn ě jejich nekompletnost v jiných sekundárních zdrojích, je třeba tuto práci chápat jako ne zcela definitivní. Ale jejím velkým p řínosem je to, že v ůbec poprvé (ale samoz řejm ě v jistých nazna čených omezeních) mapuje celý claudelovský divadelní korpus uvedený jak na českých, tak také zahrani čních divadelních scénách a všímá si tak odlišných národních p řístup ů k této látce. Sou částí práce je také bohatá obrazová p říloha, krátký autor ův životopis, p řehled českých a slovenských p řeklad ů Claudelova díla nebo soupis dohledaných studií a článku z českých novin a časopis ů pojednávajících o život ě autora a jeho tvorb ě. Práce obsahuje rejst říky, které se pojí ke katalogu a které taktéž usnadňují orientaci v soupisech. Záv ěrem nezbývá než pod ěkovat všem konzultant ům, rádc ům a pracovník ům vědeckých institucí a divadelních scén, bez jejichž pomoci a ochoty by tato práce nemohla vzniknout. D ěkuji p ředevším Martínku Malínkovi za uvedení do sv ěta divadelních ochotník ů z Ústí nad Orlicí (od rekvizit, p řes kostýmy až po video-dokumentaci), dále pak také za spolupráci a zaslání cenných informací Frederice Smetanové, Doubravce Svobodové, Miroslavu Částkovi, Jan ě Pato čkové, p řekladatelce Daniele Jobertové, Marie Victoire Nantet-Claudelové a Brigitte Braunerové. Je t řeba také pod ěkovat za milé p řijetí

526 řediteli výzkumného ústavu v Besançonu Pierru Curatolovi a jeho týmu. Jaroslavu Somešovi up římn ě d ěkuji za objasn ění záhady uvedení Claudelovy Vým ěny v roce 1979 v Chebu a „neexistenci“ Dialogu , neoficiálního samizdatového časopisu, ale také mnoha jiným, na které jsem v badatelském zápalu a mnohdy „boji“ pozapomn ěl.

527 Résumé en espagnol

En este tesis tratamos de la vida escénica del teatro de un gran poeta, dramaturgo y diplomático francés Paul Claudel, el autor brillante de la literatura espiritual de la primera parte del siglo XX. Este escritor fue denominado por el teólogo francés Jean Calvet cómo uno de los más grandes representantes del grupo titulado "renouveau catholique" (resurgimiento católico), podemos decir un gran autor de la literatura católica y moderna de su época, porqué su obra literaria contiene la poesía lírica, dónde podemos ver su verso especial que es parecido al verso bíblico en su ritmo libre, la obra dramática (por ejemplo El anuncio a María , La Ciudad , El reposo del séptimo día , El zapato de raso ) o numerosos comentarios de Sagrada Escritura (de la Biblia). Para obtener los numerosos documentos cómo la literatura secundaria de debido visitar muchos centros y bibliotecas en la República Checa, como también en Francia desde el año 2007. En principio me apoyaba la Facultad de Letras de la Universidad Palacký con la beca de estudio de Doctorado y también obtuve otras becas del Gobierno francés y del Ministerio de Educación de la República Checa. En este trabajo nos inspiramos de los documentos de numerosos archivos como los documentos relevantes de nuestras análisis, de la riqueza literaria extranjera y checa (cómo por ejemplo las obras de estos autores Ubersfeld, Beretta, Labriolle, Boly, Farabet, etc.). Además un lector interesado laico o erudito le sirve de apoyo un espectro rico de los artículos publicados en numerosos periódicos o almanaques. De esta riqueza literaria merece la pena recordar los textos del profesor emérito Michel Lioure, ante todo su monografía que se llama La estética teatral de Paul Claudel que presenta un trabajo importante para todos los científicos. Citamos un título más del otro especialista, Anne Ubersfeld, que escribió el libro admirable Paul Claudel, poeta del siglo XX . El lector checo puede extraer más información, por ejemplo de los estudios de Marten publicados en la revista “Moderní revue”. Marten comienza a difundir las ideas de Claudel en el primer decenio del siglo XX y este escritor checo es también el autor del primer artículo en la lengua checa dedicado al teatro de Claudel que fue publicado en Europa. El lector checo que entiende francés tiene a su disposición la publicación Carnetos de Paul Claudel del número nueve, con subtítulo "Praga" que representan una obra eminente de la

528 pluma del profesor checo Václav Černý (este libro contiene también la correspondencia comentada entre el trío Claudel, Marten y Braunerová). No podemos olvidar el número especial de la revista " Encuentros " (en original Rencontres ) publicada en Paris en el año 1965. A lo que se refiere a otros documentos, el lector checo puede inspirarse de los estudios del traductor checo Otto F. Babler o por los textos de la historiadora Milena Lenderová. Podemos decir que en el mundo artístico checo no hay ningún texto que llevaría una visión completa del autor y de su obra hasta el día y cabe mencionar que esto es la tarea de futuro para los científicos checos para llenar este vacío. Como ya hemos indicado, el tema de esta tesis doctoral es la vida escénica de la obra de Paul Claudel en nuestro país (República Checa) y en el mundo entero, porque el resultado de esta investigación indica - así como los expertos franceses Michel Lioure y Alain Beretta - este tema quedó en el borde de la atención académica y todavía queda mucho para explorar dentro de la problemática enfocada a la obra de Paul Claudel. Por lo tanto, este trabajo tiene como objetivo principal identificar de la manera más completa posible el teatro de Claudel en el ámbito teatral checo y mundial. Para recoger los documentos necesarios de archivo y bibliografía secundaria se llevó a cabo la investigación en Francia y en especial en las instituciones científicas checas. En particular hemos visitado el Departamento del Teatro de la Biblioteca Nacional de París, donde se encuentra el rico fondo que incluye artículos sobre la vida del dramaturgo, pero también numerosos revisiones recortes de obras de teatro de Claudel. También se consultaron varios documentos en los archivos de Paul Claudel, con sede en París. Un importante fuente de información para estudiar la obra de Claudel se encuentra en un instituto de investigación en Besançon (Centro Jacques Petit), donde se almacenan una variedad de documentos importantes, como por ejemplo todos números de la revista Bulletin de la Société Paul Claudel , donde se registran las informaciones básicas acerca del teatro de este autor representado en Francia y en el extranjero. La revista sigue siendo publicada desde el año 1958 y todos los asuntos se archivan en el instituto antes mencionado. En la República Checa, la colección de los documentos se realizó principalmente en el Instituto del Teatro de Praga, así como en los archivos literarios del Monumento Nacional de Praga-Strahov, en el Departamento de Teatro del Museo Nacional de Praga, en los

529 archivos de los teatros, también en la Biblioteca Nacional de Praga y en la Biblioteca Científica de Olomouc. Esta tesis está compuesta por seis partes. La primera parte se dedica a la metodología y análisis de los documentos de archivo y de la literatura secundaria necesaria para escribir la tesis. La segunda parte informa de los traductores de la obra de Claudel, la tercera parte se refiere a la historia de la obra de este autor, nos enfocamos en los momentos claves de la vida de Claudel porqué esta influyó mucho a su obra. La cuarta parte aporta la historia de la vida escénica del teatro de Paul Claudel en tres regiones históricas checas, en Bohemia, Moravia y Silesia. Recordamos que este escritor fue designado el cónsul en Praga durante los años 1909- 1911, pero cabe mencionar que su obra no fue bien aceptada por la mayoría de los espectadores o los críticos checos. La obra de Claudel fue prohibida incluso en la era del comunismo. Sólo después de la Revolución del Terciopelo podemos hablar de su renacimiento. En concreto, la tesis trata de la primera representación de la obra la Anunciación de la Virgen María en 1914 en el Teatro Nacional de Praga, así como de escenificación de varios textos del autor en el período entre las guerras mundiales, cuando en el repertorio de las escenas checas podemos ver una fuerte presencia de los dramaturgos franceses. Notamos también el renacimiento teatral de Claudel durante la Primavera de Praga en el año 1968 y la única representación teatral del estudiante Josef Lédl realizada en el momento de la normalización. Nos centramos también en las creaciones de la obra de Claudel que aparecen en los años noventa y a principios del siglo XXI. Muy importante es la parte dedicada a los producciones del teatro aficionado. El siguiente capítulo, en el que nos ocupamos de representaciones extranjeras, está dividido por países poniendo las producciones individuales. Nos enfocamos en los principales rendimientos en Francia, Alemania, Austria, Suiza, Bélgica, Holanda, en los estados del Sur, del Norte y del Centro de Europa (Eslovaquia, Polonia, Rusia, países de la antigua Yugoslavia, Hungría, Suecia, Noruega), en el mundo anglosajón, así como las piezas en América Latina. El capítulo final regresa brevemente para mencionar la celebración el centenario del nacimiento del autor. Al final, sigue el catálogo, que consta de tres inventarios separados, listando la producción teatral de Paul Claudel en Bohemia, Moravia y Silesia, así como en la

530 República Eslovaca y la tercera contiene una lista de representaciones teatrales de Claudel en Francia y otros países de Europa y del mundo. Este catálogo ofrece entonces un inventario claro y completo de representaciones teatrales de la obra de Claudel que hemos identificado desde la primera representación de su obra en 1912 hasta actualidad. Para facilitar la orientación en los inventarios, notamos estas instrucciones básicas. Las entradas (inscripciones) individuales son ordenadas alfabéticamente en orden cronológico. En el caso de rastreo de toda la información necesaria, la contraseña consta de tres partes. Primero, está escrito el nombre del teatro en el que se representó una obra de Claudel, o simplemente mencionamos el nombre de una compañía de teatro o el sitio de la representación. Sigue la fecha de la representación o la fecha de la primera representación conocida o la ejecución de la obra en la forma de concierto, en la radio o en la televisión. La primera parte contiene también los nombres de la puesta de escena de une pieza del teatro en particular (incluido el autor / autores de la traducción y la música, o el nombre del conductor). En la segunda parte de la mayoría de las entradas ponemos los nombres de los protagonistas de los papeles principales, y el tercero representa una lista de revisiones críticas encontradas en las revistas o diarios nacionales y regionales. Es importante señalar que es en esta tercera parte de las claves donde vemos el problema más grande de toda la obra, ya que no podría (y debería añadir que no resulta posible para un investigador) extraer todos los documentos de archivo disponibles, tampoco de periódicos ni de revistas. Si alguna parte o sólo información parcial en los registros han desaparecido, esto significa que esta información no fue encontrada o confirmada, y está registrada con el siguiente símbolo [?]. En primer lugar, clasificamos las respuestas críticas de compositores de renombre, seguidas por las revisiones firmadas con código, pero logramos identificar a los autores (el nombre del autor se indica entre paréntesis), después vienen artículos firmados con cifras, cuyos autores no fueron detectados, y finalmente rango de fuentes o autores anónimos, cuyo nombre no tenemos hasta ahora, no dejaron rastro. En las listas completas se pueden encontrar el nombre del autor y el título del artículo, el origen, la fecha de emisión (o el lugar de emisión) y el número de la página, si se ha verificado. Las revistas tienen también un número y lugar de edición. Es necesario tener en cuenta que ninguna obra puede proporcionar información de manera exhaustiva. Debido a las demandas financieras de la investigación, la extensión y

531 las dificultades encontradas durante este proyecto, en especial que requieren mucho tiempo y el carácter incompleto de los documentos y de la información disponible, este trabajo se entiende como no todo definitivo. Pero el gran beneficio es que por la primera vez (aunque, por supuesto, en ciertas limitaciones implícitas) sondeamos todo el corpus del teatro de Claudel tanto en la República Checa como los teatros extranjeros, teniendo en cuenta los diferentes enfoques nacionales a esta sustancia. El trabajo incluye también varias fotos, una biografía del autor, una lista de las traducciones de los textos de Claudel en la República Checa y Eslovaca, y también numerosos estudios y artículos publicados en las revistas y periódicos checos. La obra contiene registros que están relacionados con el catálogo para facilitar la orientación en los inventarios. Por último, no queda más que dar las gracias a todos los consultores, asesores y personal de las instituciones académicas y de los teatros, sin cuya ayuda y buena voluntad de trabajo, esto no podría llevarse a cabo. Gracias, sobre todo a Martin Malínek por la posibilidad de entrar en el mundo del teatro de la compañía de la ciudad de Ústí nad Orlicí (desde accesorios para los trajes hasta un video documental), y luego también a todos los siguientes: Federika Smetanová, Doubravka Svobodová, Miroslav Částek, Jana Pato čková, Danielle Jobertová, Marie- Victoire Nantet Claudel y Brigitte Brauner por la colaboración y valiosa información que me han enviado. También debe darle las gracias por la cálida bienvenida a Director del Instituto de Investigación en Besançon Pierre Curatolo y su equipo. Las gracias les doy sinceramente a Jaroslav Someš por aclarar el “misterio” de la representación de una obra de Claudel en 1979 en Cheb. Seguramente se me han olvidado algunos para agradecerles, entonces a todos ellos pertenecen mis gracias también.

532 Résumé en anglais

In the theses we identify and analyze the most important stage productions of Paul Claudel, a significant French spiritual author of the first half of the 20th century. Jean Calvet, a French thinker, ranked this writer among the top representatives of the Catholic Oriented Literature, the so-called "renouveau catholique" movement (Catholic Resurgence) of the late nineteenth and the beginning of the twentieth century. Claudel was the author of plays such as: Tidings Brought to Mary, the City, Salvation on the Seventh Day, the Satin Slipper. Literature searches in the field of collecting source material and secondary literature were taking place since 2007, primarily owing to the significant financial support of the Philosophical Faculty of Palacký University in Olomouc received within the bounds of an internal grant for doctoral students and in subsequent years, the searches were supported on the basis of the scholarships provided by the French Embassy and by the Ministry of Education of the Czech Republic. Our work is primarily based on archival documents, further on extensive foreign and domestic secondary literature which is devoted to Paul Claudel’s drama (eg Ubersfeldová, Beretta, Labriolle, Boly, Farabet, etc.). An interested scholar or a lay reader can also draw upon a wide range of studies and reviews published in newspapers, journals and anthologies. Let us mention in greater detail at least studies by Claudel’s expert, a retired professor, Michel Lioura. His monograph L’Esthetique dramatique de Paul Claudel [aesthetic drama of Paul Claudel] and also his recent work Claudelianna represent works bringing well- researched information on the drama of this poet. Another equally important expert is Anna Ubersfeld, an emeritus professor of the University of Paris, who, in 2005, published a remarkable monograph Paul Claudel, poète du siècle XXe [Paul Claudel, the poet of the twentieth century]. A Czech reader can draw further information upon e.g. Marten’s studies published in the journal “Moderní revue” (Modern revue). Readers understanding French can be also referred to the publication about Claudel’s relationship to Bohemia called Cahiers Paul Claudel 9 [The books of Paul Claudel 9] by Professor Václav Černý. The book also contains annotated correspondence of trio Claudel, Marten and Braunerová. In addition, we

533 refer the reader to the special issue of the Rencontres from 1965. And certainly, more extensive studies by translator Otto F. Babler or by historian Milena Lenderová are also very important sources. Unfortunately, it should be noted that there is no Czech monograph in the Czech cultural environment, which would bring a comprehensive perspective on life and work of the author. Therefore, it is the future task of the Czech scholars to fill in this gap. As already mentioned, the subject matter of this doctoral thesis is a stage life of Paul Claudel’s plays in our country and in the world, as according to our literature research, as well as on the basis of a report by experts, Michel Liour and Alain Beretty, this subject remained on the edge of scholars’ attention and it is still not very explored and mapped area within Claudel studies. For that reason, the main aim of this work is to map the stage adaptation of Claudel material in the Czech and foreign theatres in the most complete way. Collecting of the necessary archival documents and secondary literature was taken place not only in France, but mainly in the Czech scientific institutions. It concerned especially the literature search in the Theatre Department of the National Library in Paris (Département de l’Art du spectacle de la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu), where there is the rich collection including articles about the playwright’s life, but especially cuttings of reviews of realized plays. We also consulted several documents in the archives of Paul Claudel, based in Paris. The educational stay in the Research Institute in Besançon (Centre Jacques Petit) turned out to be essential. We had the opportunity to work there with various kinds of documents related to author’s theatrical works. The magazine Bulletin de la Societe Paul Claudel became a fundamental source of information, because odd issues record basic information about a stage performance of majority of author’s plays in French and partially outside French theatres. The magazine has been published since 1958 and all issues have been archived in the above-mentioned research institute. Domestic research was carried out primarily in the Theatre Institute in Prague, further in the Literary Archives of the Museum of Czech Literature in Prague-Strahov, in the Theatre Department of the National Museum in Prague, in the archives of individual theaters as well as in the National Library in Prague and the Scientific Library in Olomouc. The work is divided into six chapters. The first part is dedicated to methodology and to available archival materials and other resources, which played a key role in preparing this

534 work. The following chapter is briefly focused on forms of spreading Claudel’s message, for theatrical artifact (or phenomenon) is closely connected with the translation of the original text as well. The third chapter introduces the reader to the genesis of the author’s work and therefore it focuses on the various factors which had an impact on the final form of majority of his texts. The fourth chapter provides a complete view of the stage life of Claudel’s work in Bohemia, Moravia and Silesia. Let us recall that the poet was shortly a consul in Prague in 1909-1911, but also that his work did not meet a great understanding of the audience or critics. Claudel’s work was even banned in the Communist era and we can talk about his real comeback after the Velvet Revolution. The particular attention is paid to the first release of the play Tidings brought to Mary in 1914 in the National Theatre in Prague and to the staging of the author’s texts in the period between the wars, when French drama was strongly represented in our theatres. We also map short Claudel’s theatrical renaissance during the Prague Spring. Furthermore, we managed to capture a unique student stage of the play by Joseph Lédl in the time of normalization. In the final subsections we focus on Claudel’s work presented in the nineties and in the early 21st century. The subsection dedicated to amateur productions is also very significant. The following chapter, which is dedicated to foreign realizations of Claudel’s plays, is divided according to countries that put individual productions on the stage. For example, we focus on staging Claudel’s work in France, , Austria, Switzerland, Belgium, Holland, in the states of Southern, Northern, Central and Eastern Europe (Slovakia, Poland, Russia, countries of former Yugoslavia, Hungary, Sweden, Norway), in English speaking countries. Tours in Latin America are also very interesting. The final chapter briefly returns to the centenary of the author’s birth. At the end of the work I add a catalogue, which consists of three separate inventories, mapping the theatrical production of Paul Claudel in Bohemia, Moravia and Silesia, as well as in Slovakia and the third inventory contains a list of individual theatrical introductions in France, other European countries and in the world. In this way the catalogue provides clear and comprehensive inventory of theatrical artifacts which we managed to identify from the first introduction in 1912 to the present day. As we would like to facilitate readers the orientation in the inventories, we offer here the following basic instructions. Individual entries are sorted alphabetically in the chronological order. In case of searching out all the necessary information, the keyword consists of three parts. On the

535 first place there is a name of the theatrical institution, where the play was performed, or we just mention a name of the theater company or a place where the play was staged. Then there is a date of the premiere or a date of the first known performance or a date of concert, radio or TV realization of the play. The first part also contains names of stage directors of the particular play (including the author / authors of translation and music, or a name of the conductor). In the second part of most entries we present names of protagonists of the lead roles, and in the third part there is a list of found critical responses of particular plays. In this part of the entries, we see the biggest problem of the whole work, because we did not manage to excerpt all available archival documents, newspapers and magazines. (It should be added that it is not beyond the power of a single researcher). So if a part or a partial information of the records is missing, it means that this information either was not found or confirmed, and therefore it is recorded by the following symbol [?], or the record is completely missing. First, we rank the critical responses by renowned authors, then reviews signed by a cipher follow, however, we managed to identify their authors (the author’s name is given in brackets), then we rank articles with ciphers, whose authors were not detected, and finally we rank anonymous resources or resources by authors whose names have been failed to trace. Complete entries contain the author’s name and a title of the article, resource, a date of publication (or place of publication) and eventually the page, if it was verified. Concerning the magazines, issue and a place of publication is added. It is not necessary to add that no work can provide information in a complete exhausted way. We need to consider this work as not being completely final, due to the financial demands of the research, breadth of materials and difficulties, which were set by the conception of this project, especially its time-consumption, large spreading of available documents and information, appropriately their incompleteness in other secondary sources. However, the great benefit of this work is the fact, that it, for the first time ever (but of course in certain implied limitations) maps the entire corpus of Claudel’s drama presented in both Czech and foreign theaters, and it takes different national approaches to this substance in the account. A great number of pictures, a short author’s biography, an overview of Czech and Slovak translations of Claudel’s work and inventory of searched out studies and articles published in Czech newspapers and magazines relating to the life of the author and his

536 work are part of the work. The work contains registers that are linked to the catalog and these also facilitate the orientation in the inventory. In conclusion, I would like to thank all consultants, advisers and staff of academic institutions and theaters as this work could not be written without their help and willingness. In particular, I want to thank Martin Malínek for introducing me into the world of amateur theater in Ústí nad Orlicí (from stage properties through costumes to the video documentation), furthermore I must thank Frederika Smetanová, Doubravka Svobodová, Miroslav Částek, Jana Pato čková, translator Daniel Jobertová, Marie Victoire Nantet-Claudel and Brigitte Brauner for their cooperation and for sending me valuable information. I necessarily need to thank the director of the Research Institute in Besançon, Pierre Curatolo, and his team for the warm welcome. In all sincerity I thank Jaroslav Tomeš for clarifying mysteries of putting Claudel’s The Exchange on stage in 1979 in Cheb and for explaining the “nonexistence” of the Dialogue, a non-official samizdat magazine. And finally I would like also to thank those who I forgot to mention in the heat of my investigative zeal and sometimes “fight”.

537

IMAGES

538 I. Série des visages claudéliens du point de vue des auteurs belges

Visage I – Claudel en 1942 (source : Martin-Schmits, V., Paul Claudel et la Belgique , tome I, Lille 1981, p. 532)

Visage II (source : Ibid., p. 533)

539

Visage III (source : Ibid., p. 535)

Visage IV (source : Ibid., p. 536)

540

Visage V (source : Ibid., p. 537)

Visage VI (source : Ibid., p. 540)

541

Visage VII (source : Ibid., p. 539)

542

II. Photo de Claudel ambassadeur

Claudel en 1927, ambassadeur à Washington, photo de H. Manuel (source : Calvet, J., Le Renouveau Catholique , Paris 1927, p. 197)

543

III. Consul à Prague

Claudel dans son bureau à Prague (source : Sv ětozor , n°39, 1910, p. 913).

Salon d’accueil et la bibliothèque du Consulat de France à Prague (source : Sv ětozor , n°39, 1910, p. 913).

544

Photographie du consul à Prague (source : Český sv ět, Prague, VI, nº 20, le 11 février 1910)

545

VIII. Plan de la région natale

Région de Claudel (source : Boly, J., Paul Claudel. L’Annonce faite à Marie. Étude et analyse , L’École, Paris 1957, p. 20)

546

Le jeune Claudel (source : Cahiers Paul Claudel I , Gallimard, Paris 1959)

547

Claudel et Lugné-Poë (source : Cahiers Paul Claudel 5 , Gallimard, Paris 1964)

Claudel à l’église de Brangues (source : Commentaires et exégèses , Gallimard, Paris 1963)

548

Claudel et J.-L. Barrault en 1955 (source : Cahiers Paul Claudel 10 , Gallimard, Paris 1974)

Violaine et Jacques Hury, 2 acte, Hellerau (source : Ott ův divadelní slovník (A – Amálie), 1925, p. 423)

549

Rencontre de deux soeurs, Violaine avec l’enfant dans ses bras et Mara, acte III, Hellerau (source : Ot ův divadelní slovník (A – Amálie), 1925, p. 423)

L’Annonce faite à Marie , acte IV, esquisse originale de Salzmann (source : Cahiers Paul Claudel 5. Claudel homme de théâtre. Correspondance avec Lugné- Poë , Gallimard, Paris 1964, p. 128.)

550 IV. Première mise en scène de L’Annonce faite à Marie au Théâtre National de Prague

Décor critiqué en Bohême (source : Archives du Théâtre National de Prague, 1914, http://archiv.narodni- divadlo.cz/default.aspx?jz=cs&dk=Titul.aspx&ti=762&sz=0&fo=AUT&ju=1378&pn=456 affcc-f403-4000-aaff-c11223344aaa)

Le décor de la première parisienne de 1912 ; déposé aux Archives de la Société Paul Claudel (source : A. Beretta, Claudel et la mise en scène : autour de l’Annonce faite à Marie , Presses universitaires franc-comtoises, Besançon 2000, p. 65)

551

Décor d’un acte de L’Annonce , en arrière-plan les ruines de Trosky (source : Archives du Théâtre National de Prague, 1914, http://archiv.narodni- divadlo.cz/default.aspx?jz=cs&dk=Titul.aspx&ti=762&sz=0&fo=AUT&ju=1378&pn=456 affcc-f403-4000-aaff-c11223344aaa)

La grotte de Violaine lépreuse (source : Archives du Théâtre National de Prague, 1914, http://archiv.narodni- divadlo.cz/default.aspx?jz=cs&dk=Titul.aspx&ti=762&sz=0&fo=AUT&ju=1378&pn=456 affcc-f403-4000-aaff-c11223344aaa)

552 V. La distribution de la représentation pragoise de L’Annonce faite à Marie

L’actrice tchèque Leopolda Dostálová incarne Mara (source : Archives du Théâtre National de Prague, 1914, http://archiv.narodni- divadlo.cz/default.aspx?jz=cs&dk=Titul.aspx&ti=762&sz=0&fo=AUT&ju=1378&pn=456 affcc-f403-4000-aaff-c11223344aaa)

Rudolf Deyl dans le rôle de Jacques Hury (source : Archives du Théâtre National de Prague, 1914, http://archiv.narodni- divadlo.cz/default.aspx?jz=cs&dk=Titul.aspx&ti=762&sz=0&fo=AUT&ju=1378&pn=456 affcc-f403-4000-aaff-c11223344aaa)

553

Marie Hübnerová interprète le personnage de la Mère, Théâtre national de Prague, 1914 (source : Dějiny českého divadla III , Academia, Praha 1977, p. 321)

Violaine d’Eva Vrchlická, Théâtre national de Prague, 1914 (source : Dějiny českého divadla III , Academia, Praha 1977, p. 398)

554 VI. L’autre mise en scène tchèque

Le quator de L’Échange , Théâtre de Vinohrady, 1922 (source : Dějiny českého divadla IV , Praha 1983, p. 69)

Photo de la mise en scène de L’Annonce faite à Marie au Théâtre E. F. Burian en 1968 (source : archives privées de l’auteur)

555

Le Soulier de Satin au Théâtre National de Prague en 1993, dispositif scénique de Ján Závarský (source : http://archiv.narodni- divadlo.cz/default.aspx?jz=cs&dk=Titul.aspx&ti=761&sz=0&fo=AUT&ju=1378&pn=456 affcc-f403-4000-aaff-c11223344aaa)

Première de la pièce Partage de midi en 2011 (source : Divadlo v Dlouhé, photo Martin Špelda)

556

Ysé - Helena Dvo řáková (source : Divadlo v Dlouhé, photo Martin Špelda)

Mesa – Marek N ěmec (source : Divadlo v Dlouhé, photo Martin Špelda)

557

L’évocation du monde chinois (source : Divadlo v Dlouhé, photo Martin Špelda)

Mesa au cimetière (source : Divadlo v Dlouhé, photo Martin Špelda)

558

Sur le bateau (source : Divadlo v Dlouhé, photo Martin Špelda)

559 VII. Atelier de Zdenka Braunerová à Roztoky

Salle d’entrée (photo - archives de l’auteur)

Intérieur de l’atelier (photo - archives de l’auteur)

560

Dédicace de Claudel dans un exemplaire de Connaissance de l’Est, 1904 (source : fond Braunerová Zdenka a její rodina (Av 4/90, n° 8), St ředo české muzeum v Roztokách)

VIII. Mises en scène étrangères

Marie Kalff en 1916 (source : Claudel et la Hollande , Poussière d’Or, Besançon 2009, p. 224).

561

Affiche de la représentation de L’Annonce faite à Marie , msc. Johan De Meester, saison 1927-28, Bruxelles et province flamande (source : Martin-Schmets, V., Paul Claudel et la Belgique , Service de reproduction des thèses, Université de Lille III, Lille 1981, p. 435 bis)

562

Le décor de la mise en scène de L’Annonce en 1941 par Toneelgroep Studio (source : Claudel et la Hollande , Poussière d’Or, Besaçon 2009, p. 233)

Scène du Nô de la Femme et son Ombre (source : Moraly, Y., Claudel metteur en scène , Presses universitaires franc-comtoises, Besançon 1998, p. 65)

563

Page de titre du livret, Festival d’Avignon 1987 (source : http://www.paul- claudel.net/misesenscene/mise-en-scene-dantoine-vitez)

Dessins de Yannis Kokkos pour Le Soulier de Satin au Festival d’Avignon 1987 (source : http://www.paul-claudel.net/misesenscene/mise-en-scene-dantoine-vitez)

564

Programme du spectacle Le Soulier de satin présenté en 1943 (source : http://www.paul- claudel.net/misesenscene/mise-en-scene-de-jean-louis-barrault-1943)

Deux comédiens du Soulier de Satin dans la mise en scène de 1943 (source : http://www.paul-claudel.net/misesenscene/mise-en-scene-de-jean-louis-barrault-1943)

565

Comédienne Valérie Dréville incarne Ysé du Partage de midi , Festival d’Avignon 2008 (source : http://www.paul-claudel.net/misesenscene/mise-en-scene-collective-de-gael- baron-nicolas-bouchaud-charlotte-clamens-valerie-drevi)

Réalisation mimé du Chemin de la Croix de Claudel interprèté par Bernadette Plageman (source : Société Paul Claudel)

566 IX. Maquettes des costumes

Maquette de costume pour le Partage de midi en 1975 (source : http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00025377&id=554&p=1)

Maquette de costume pour la mise en scene L´Otage en 1968 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00013635&id=554&p=3)

567

Maquette de costume de Thomas Pollock Nageoire de L´Échange en 1995 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00020607&id=554&p=6)

Maquette de costume de Mesa de la pièce Partage de midi en 1975 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00025471&id=554&p=7)

568

Maquette de costume d´Ysé de la pièce Partage de midi en 1975 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00025478&id=554&p=7)

Maquette de costume d´Ysé dans Partage de midi en 2007 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00022249&id=554&p=7)

569

Maquette de costume de De Ciz de la pièce Partage de midi en 1975 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00025477&id=554&p=8)

Maquette de scene de Lechy Elbernon de L´Échange en 1995 (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00020604&id=554&p=11)

570

Louis et Sichel dans le spectacle Le Pain dur (source: http://www.comedie-francaise.fr/la-grange- notice.php?ref=BIB00025501&id=554&p=14)

571 X. Affiches (La reproduction des affiches a été autorisée par Danielle Mathieu-Bouillon, présidente de l´Association de la Régie Théâtrale.)

Affiche du Partage de midi au Théatre Marigny, msc. J.-L. Barrault, 1948 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

572

Affiche de la représentation de L´Annonce faite à Marie , msc. J. Vernier, 1948 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

573

Affiche de la représentation de L´Otage , msc. R. Dornès, 1958 (source: http://www.regietheatrale.com/index/ index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

574

Affiche de la représentation de L´Histoire de Fobie et de Sara , msc. S. Ligier, 1960 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

575

Affiche de L´Annonce faite à Marie , msc. P. Franck, 1961 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

576

L´Otage au Vieux Colombier, msc. B. Jenny, 1962 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

577

La Trilogie de Claudel au Vieux Colombier, msc. B. Jenny, D. Sanders, 1962 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

578

Affiche du Répos du Septième Jour , msc. P. Franck, 1964 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

579

Affiche de la représentation de la Conversation dans le Loir-et-Cher , msc. G. Lauzin, 1973 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

580

Affiche du Partage de midi au Théâtre de l´Atelier, msc. B. Jaques, 1990 (source: http://www.regietheatrale.com/ index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

581

Affiche de L´Échange de Claudel, msc. G.-H. Régnier, 1969 (source: http://www.regietheatrale.com /index/index/affiches_theatre/resultat_recherche_auteurs.php)

582

ANNEXES

583 I. Extrait du texte inédit « Paul Claudel par lui-même » 1380

« Paul Claudel, né le 6 août 1968 à Villeneuve-sur Fère (Aisne) entre Reims et Château- Thierry, pays tout voisin des lieux de naissance de La Fontaine, de Racine et du moine Gautier de Coincy qui écrivit au Moyen-âge de nombreux poëmes en l’honneur de la Vierge. Le père Lorrain des Vosges, la mère de vieille souche chapenoise. Le grand père originaire de Liesse, célèbre pelèrinage et l’un des sanctuaires de la légende Capétienne. Etudes au Lycée Louis-le-Grand, après une enfance passée dans les voyages d’une famille de fonctionnaires. La sœur, sculpteur bien connu, élève de Bouchet et de Rodin. Entrée au Ministère en 1890. En 1893, départ pour les Etats-Unis, où je reste 2 ans. Ce séjour me déplaît beaucoup et j’en rapporte la même impression que le poète Autrichien Lenau. – En 1895, départ pour la Chine où je reste 15 ans, sauf 2 congés. Séjour surtout à Foutchéou, et aussi à Shanghaï, Hankéou, Tientsin, un peu le Tonkin et le Japon. Là j’écris Connaissance de l’Est et le Repos du 7è Jour . Mes premiers ouvrages sont Tête d’Or et la Ville , versions aujourd’hui introuvables et très différentes de celles de l’Arbre . Mon attitude d’écrivain a été celle d’une réaction violente : 1. En philosophie, contre l’explication purement mécanique et scientifique de l’Univers qui prévalait au 19° siècle (Taine, Renan, Berthelot) – v. mon Art poétique , où je présente le monde non pas comme le résultat de forces aveugles, mais comme l’oeuvre d’un artiste, parfaite, limitée et inépuisable. A ce point de vue, j’ai beaucoup de traits communs avec le nouvel essayiste anglais G. K. Chesterton. […] »

1380 Voir « Paul Claudel par lui-même », Rencontres , n° 1, Paris 1965, p. 13.

584 II. La brève biographie de Claudel – sa vie et de son œuvre

(Cette liste est élaborée à partir de l’article « Essai d’une chronologie de l’œuvre théâtrale de Paul Claudel » d’André Alter publié dans le premier cahier de la compagnie Madeleine Renaud – Jean-Louis Barrault Paul Claudel et Christophe Colomb , Julliard 1953 ; ensuite à partir de l’étude de Joseph Boly, L’annonce faite à Marie , L’École, Paris 1957 et même des publications Paul Claudel de Louis Barjon, Éditions Universitaires, Paris 1958, Paul Claudel, poète du XX e siècle d’Anne Ubersfeld et enfin à partir du Théâtre I , Jacques Madaule (éd.), Gallimard, Paris 1947.)

1868 - naissance de Paul Claudel le 6 août (baptême le 8 septembre) à Villeneuve-sur-Fère en Tardenois (petit village du département de l’Aisne) d’un père d’origine lorraine (Louis- Prosper, conservateur en hypothèques) et d’une mère picarde (Louise-Athénaïs Cerveaux), frère aîné Henri est mort en bas age (*†1963), deux sœurs aînées Camille (1864) et Louise (1866), 1880 - première communion, 1881 - Claudel entre au lycée Louis-le-Grand, mort de son grand père, 1882 - étude à l’École de Droit et des Sciences politiques, L’Endormi 1886 - l’époque de la découverte de Rimbaud, - l’année décisive, convertion à Notre-Dame (le 25 décembre), confession à Saint-Médard, 1888 Une mort prématurée (on ne dispose qu’un fragment de ce drame), 1889 Tête d’Or (première version) 1890 - publication de la pièce le Tête d’Or , sans nom de l’auteur,

585 La Ville (première version), - premier au concours du Ministère des Affaires Étrangère, - confession à Saint-Médard - Claudel communie à Notre-Dame le 25 décembre 1892 La Jeune Fille Violaine (première version), 1893 - commencement de sa carrière diplomatique, départ pour les États-Unis, consul à New York, L’Echange (première version), 1894 - retour en France, - juin, départ pour la Chine, Tête d’or (deuxième version), 1895 - mission en Chine (Shangaï, Fou-Tchéou), 1896 Le Repos du 7 e Jour (à Shangai et FouTchéou), Agamemnon d’Eschyle (traduction), 1897 La Ville (deuxième version, à Hankéou), 1898-1900 La Jeune Fille Violaine (deuxième version, à Hou-Théou et Shangai), 1900 - retour en France (avec pèlerinage en Syrie et Palestine), - septembre, séjour à Ligugé 1900-1904 Art poétique (en France et en Chine) 1900-1905 Connaissance de l’Est (en Chine et en Indochine) 1901 - départ pour la Chine,

586 L’Arbre (œuvre complète qui contient le premier théâtre sauf des premières verions de Tête d’Or , de La Ville et de La Jeune Fille Violaine ), 1905 - retour en France - Partage de midi (première version, retour en France), 1905-1908 Cinq grandes Odes (en Chine), 1906 - mariage avec Reine Sainte-Marie Perrin, retour en Chine (Pékin, Tien-Tsin) 1907 - consul à Tientsin, naissance de Marie à Tientsin, 1908 - consul à Tientsin, naissaince du fils Pierre, L’Otage (commencement), 1909-1910 - consul à Prague (premier poste en Europe), L’Otage (achèvement à Prague), 1910 - Prague, naissance de la fille Reine, (Zdenka Braunerová sa marraine) L’Annonce faite à Maire (à Prague), 1911 - consul à Francfort-sur-le-Main, La Cantate à trois voix (en France), 1912 - première mise en scène de L’Annonce faite à Marie au Théâtre de L’Œuvre, mise en scène Lugné-Poe, 1913 - mort de son père Louis-Prosper, - arrestation et internement de Camille (trente ans d’internement) - poste à Hambourg, - représentation de L’Annonce faite à Marie à Hellerau près Dresde, Protée (première version, à Francfort),

587 Le Pain dur (commencement), 1914 - séjour à Bordeaux, Le Pain dur (achèvement à Bordeaux), 1915-1916 - poste en Italie, Le Père humilié (Rome), Choephores et Euménides d’Eschyle (traduction), 1917 - ministre plénipotentiaire à Rio-de-Janeiro, Darius Milhaud en tant que son sécrétaire - naissance du dernier enfant Renée (à Paris), L’Ours et la Lune , L’Homme et son désir , 1919 - retour en France par les Antille et New York, 1919 (1916) -1924 Le Soulier de satin , Paris (Rio de Janeiro) – Copenhague – Tokyo (1921), 1921 - ambassadeur au Japon, 1922-1923 La Femme et son Ombre (première version), 1923 - Tokyô, grand tremblement de terre, 1924 Le Soulier de satin (achèvement), 1381 1926 Protée (deuxième version, Océan Indien), 1927 - Washington et New York, premiers commentaires bibliques, Le Livre de Christophe Colomb (Château de Brangue), Sous le rempart d’Athènes ,

1381 Cladel perd la Troisième Journée de la pièce à cause d’un grand tremblement à Tokyo.

588 1929 - mort de sa mère Louise Athénaïse Cerveaux, 1930 - représentation du Livre de Christophe Colomb au Staatsoper de Berlin, 1933 - ambassadeur de France à Bruxelles, La Parabole du Festin (première version), 1934 Jeanne au Bûcher (Bruxelles), Le Festin de la Sagesse (deuxième version de La Parobole du Festin ), 1935 - retraite (Paris – bd Lannes, château de Brangues en Dauphiné) 1938 L’Histoire de Tobie et de Sara (première verstion) 1943 -première représentation du Soulier de satin à la Comédie-Française (version pour la scène), - mort de Camille Claudel (l’asile de Montdevergues), 1946 - élu membre de l’Académie française 1947 La Lune (à la recherche d’elle-même) 1948 L’Annonce faite à Marie (version définitive) Partage de midi (deuxième version) 1949 Tête d’Or (Ebauche d’une troisième version) 1951 L’Echange (deuxième version) 1952 Le Ravissement de Scapin 1953

589 L’histoire de Tobie et Sara (deuxième version) 1955 - mort d’une crise cardiaque (Paris, le 23 février) quelques jours avant la première de l’Annonce faite à Marie à la Comédie-Française ; enterré à Brangues, selon son veau avec inscription : « Ici reposent les restes et la semence de Paul Claudel ».

590 III. Principales éditions de l ’œuvre de Paul Claudel

(Cette liste est élaborée à partir de l’ouvrage Paul Claudel de Louis Barjon, Éditions Universitaires, Paris 1958.)

I. Théâtre

1911 L’Otage publié dans N.R.F., 1911-1912 - édition chez Mercure de France, 4 vol. - Tête d’Or (première et seconde version), La Ville (première et seconde version), La Jeune Fille Violaine , L’Échange , Le Repos du septième jour , l’Agamemnon d’Eschyle , 1912 - parution de L’Annonce faite à Marie dans N.R.F. (version pour la scène chez Gallimard 1949), 1918 - Le Pain dur (Gallimard) 1919 L’Ours et la Lune (Gallimard) 1920 - Le Père humilié (Gallimard) - Les Choéphores d’Eschyle (Gallimard) - Les Euménides d’Eschyle (Gallimard) - Protée (Gallimard) - Le Soulier de satin (Gallimard), version pour la scène 1944 (Gallimard) 1933 - Le Livre de Christophe Colomb (Gallimard) 1939 - Jeanne au bûcher (Gallimard) - La Sagesse ou la Parabole du festin (Gallimard) 1942

591 - L’Histoire de Tobie et de Sara (Gallimard) 1947-1948 - Théâtre , 2 vol. (Bibliothèque de la Pléïade, Gallimard) 1948 - Le Partage de midi (Mercure de France), version pour la scène 1949 (Gallimard)

II. Prose

1900 - Connaissance de l’Est (Mercure de France) 1907 - Art poétique (Mercure de France) 1929 - L’Oiseau noir dans le soleil levant (Gallimard) - Conversations dans le Loir-et-Cher (Gallimard) 1928-1934 - Positions et Propositions , 2 vol. (Gallimard) 1935 - Introduction à la peinture hollandaise (Gallimard) 1936 - Figures et Paraboles (Gallimard) 1940 - Figures et Circonstances (Gallimard) 1946 - L’Œil écoute (Gallimard) 1947 - Du côté de chez Ramuz (Neuchâtel, Ides et Calendes) - Discours et Remerciements (Galliamrd) 1948 - Sous le signe du dragon ( Ed. de la Table Ronde) 1949 - Accompagnements (Gallimard)

592 III. Poésie

1913 - Cinq grandes Odes (N.R.F.) - La Cantate à trois voix (Ibid.) 1915 - Corona benignitatis anni (Ibid.) 1919 - La Messe là-bas (Ibid.) - Ode jubilaire pour le sixième centenaire de la mort de Dante (Art Catholique) 1922 - Poèmes de guerre (Gallimard) 1925 - Feuilles de Saints (Ibid.) 1942 - Cent phrases pour éventails (Ibid.) 1945 - Poèmes et paroles durant la guerre de Trente-Ans (Ibid.) - Les Sept Psaumes de la Pénitence ( Ed. du Seuil) 1947 - Visages radieux (Fribourg, L.U.F.)

IV. Prose religieuses et écrits sur la Bible

1915 - Le Chemin de la Croix (Art Catholique) 1934 - Écoute, ma fille (Gallimard) 1937 - Toi, qui es-tu ? (Ibid.) 1938 - Introduction au livre de Ruth (Desclée)

593 - Un poète regarde la Croix (Gallimard) 1939 - L’Épée et le Miroir (Gallimard) 1942 - Présence et Prophétie (Fribourg, L.U.F.) - Seigneur, apprenez-nous à prier (Gallimard) 1946 - Introduction à l’Apocalypse (Egloff) - La Rose le Rosaire (Egloff) - Le Livre de Job (Plon) - Les Révélations de la Salette (Édit. de la Table Ronde) 1948 - Paul Claudel interroge le Cantique des Cantiques (Fribourg) 1949 - Emmaüs (Gallimard) 1950 - Une Voix sur Israël (Gallimard) 1951 - L’Évangile d’Isaïe (Gallimard) 1952 - Paul Claudel interroge l’Apocalypse (Gallimard).

594 IV. Principales traductions des textes claudéliens en langue tchèque et slovaque

Cette liste est élaborée à partir des catalogues complets des bases de données : « Česká národní bibliografie », « Souborný katalog ČR » (Bibliothèque nationale de Prague) et « Jednotná informa ční brána » (accessible sur l’Internet). Ensuite nous avons puisé dans le catalogue du Département des Arts du spectacle du Musée national de Prague et dans le catalogue général de la Bibliothèque nationale slovaque. Une liste des traductions tchèques a été publiée dans la revue Rencontres (Paris, 1965). N’oublions pas non plus la publication de l’Institut de théâtre de Bratislava intitulée Paul Claudel : Hry [ Paul Claudel : Pièces ] (Bratislava, 2007) consacrée aux principales traductions des textes claudéliennes en langue slovaque. On trouve aussi quelques coupures d’articles concernant la traduction des poèmes claudéliens aux archives du Centre Jacques-Petit à Besançon. Ce bilan relève aussi quelques extraits de poèmes publiés dans les revues catholiques Moderní revue (1900-1925, Prague), Archa (1912-1948, Prost ějov) et Na hlubinu (1926- 1948, Olomouc). La liste est rangée par ordre alphabétique et chronologique suivant les titres de traductions tchèques et slovaques de l’œuvre claudélienne, notamment il s’agit surtout d’extraits de poèmes mais aussi de quelques éditions des pièces de théâtre, etc. Enfin, il faut signaler que cette liste ne peut pas prétendre à l’exhaustivité.

[Balada ] (« Balade ») Luká č, Emil Boleslav, in Kultúrný život , le 9 août 1968, p. 7.

[Cesta krížová ] (Le Chemin de la Croix ) Luká č, Emil Boleslav, in Slovenské poh ľady , n° 40, 1924, p. 10. Ibid., L. Kuncí ř, Prague, 1928. Ibid., Spolek sv. Vojtecha, Trnava, 1948. Ibid., in Záhrada útechy , Tranoscius, Liptovský Sv. Mikuláš, 1949. [Křížová cesta ]1382 Babler, Otto F., in Archa , XXIV, 1936, p. 127-128. Ibid., Svatý Kope ček u Olomouce, 1936.

1382 Traduction des stations suivantes : I, II, V, VII, XIII, XIV.

595 [Krížová cesta: básnické rozjímania ] Strme ň, Karol, Slovák v Amerike, Chicago, 1954. [Křížová cesta : oratorium ] Slavík, Ivan, Sursum, Tišnov, 1994. [Nap řed je t řeba unést k říž ] Ibid., Karmelitánské nakladatelství, Kostelní Vyd ří, c1996. 1383

[Čínské divadlo ] Helm, Josef, in Divadlo, rozhledy po sv ětě divadelním , Prague, IX, 1910, p. 8.

[Čty ři tvá ře cherub ů] Babler, Otto F., Na hlubinu , XXI, n° 2, p. 41-42.

[Den sedmý odpo činkem ] (Le Répos du septième jour ) Odvalil, František, Družstvo p řátel Studia, Prague, 1920.

[Dobré slovo : poézia ]1384 Strme ň, Karol, Slovenský ústav sv. Cyrila a Metoda, Rome, 1968.

[Glória: básnický cyklus ] (tiré du recueil La messe là-bas ) Strme ň, Karol, in O tebe spieva zem: sbierka prekladov náboženskej lyriky , SSV, Trnava, 1943.

[Jana z Arcu na hranici ] (Jeanne d’Arc au bûcher ) Kraus, Karel, in Arthur Honegger – Paul Claudel, Jana z Arcu na hranici , Praha, 1964, s. 3-13. 1385

1383 Version sonore. 1384 Recueil de la poésie composé à partir des textes tirés des ouvrages : Connaissances de l’Est , La Cantate à trois Voix , Corona benignitatis anni Dei , Le Chemin de la croix , Poèmes de Guerre , etc.

596 [Jana z Arcu na hranici : Poéma ] Kr čméry, Jela, s.n., Bratislava, 1965. [Jana z Arku na hranici ] Kr čméry-Vrtelová, Jela, Slovenská filharmónia, Bratislava, 1998. Ibid., in Paul Claudel: Hry , Divadelný ústav, Bratislava, 2007. Kraus, Karel, in Česká filharmonie (programme du concert), Prague, 2008.

[Kantáta pre tri hlasy ] ( La Cantate à trois Voix ) Strme ň, Karol, Slovenský ústav sv. Cyrila a Metoda, Rome, 1986.

[Kniha o Kryštofu Kolumbovi ] ( Le Livre de Christophe Colomb ) Babler, Otto F., in Divadlo , n° 6, juin 1968, p. 84-101. Jurovská, Michaela, in Paul Claudel: Hry , Divadelný ústav, Bratislava, 2007. [Kryštof Kolumbus: opera o dvou dílech a 27 obrazech] ( Le Livre de Christophe Colomb ) Pujman, Ferdinand, [S.l.: s.n.], 19?.

[Kó ň, ktorý prinášal slnce ] (« Le Cheval qui apportait le soleil ») Ballo, Fedor, in Kulturný život , Bratislava, n° 29, juillet 1965, p. 8. [Kůň , který p řinášel slunce ] Zv ěř ina, F., in Zem ědělské noviny , le 10 août 1968.

[Magnificat ] (« Magnificat ») Marten, Miloš, in Moderní revue , n° 17, 1910, p. 1-15. 1386 Skomal, Aloys, in Na hlubinu , VI, n° 9, 1931, p. 514-516. Zahradní ček, Jan, Vyšehrad, Prague, 1970. [Magnificat: čás ť Tretej ódy z básnickej skladby Cinq Grandes Odes ] Luká č, Emil Boleslav, in Záhrada útechy , Tranoscius, Liptovský Sv. Mikuláš, 1949.

1385 Information citée d’après Kraus, K., Divadlo ve službách dramatu , Divadelní ústav, Praha 2001, p. 624. Il s’agit du programme de concert appellé Pringtemps de Prague, réalisé à l’occasion du concert dans la cathédrale St. Guy. Projet organisé le 23 mai 1964. 1386 Cette étude marténienne comprend aussi quelques extraits de ce poème.

597 [Matka Boží Pomocná ] (« La Vierge à Midi ») Babler, Otto F., in Na Hlubinu , Olomouc, XIV, n° 5, 1939, p. 265-266. [Matka Božia Pomocnica ] Haranta, Ján, in Kultúra , n°11, 1939, p. 6-8. [Matka Božia Pomocnica: Notre-Dame auxiliatrice: básnický cyklus Corona Benignitatis Anni Dei ] Haranta, Ján, in O tebe spieva zem: sbierka prekladov náboženskej lyriky , SSV, Trnava, 1943. [Svatá Panna o polednách ] Jelínek, Hanuš, Prague, 1925. Ibid., in Lumír , nº 52, 1925, s. 337-338. Ibid., in Ze sou časné poesie francouzské. Od symbolismu k dadaismu , Prague, 1925, p. 52- 53. Ibid., in Má Francie. Francouzští básníci nové doby , Prague, 1938, p. 81-82. 1387 [Panna na poludnie ] Hlbina, Pavel Gašparovi č, in Elán , n° 5, 1935, p. 8. Ibid., in Katolické noviny , le 18 aout 1968. [Panna na poludnie : La vierge à midi: básnický cyklus Poèmes de guerre ] Hlbina, Pavol Gašparovi č, in O tebe spieva zem: sbierka prekladov náboženskej lyriky , SSV, Trnava, 1943. [Panna v Poledne ] Babler, Otto F., in Na hlubinu , Olomouc, XII, n° 9, 1937, p. 633-634.

[Město: Druhá verse ] ( La Ville , seconde version) [Non-identifié], s.n., Hranice, 1931.

[Mé myšlenky o všeobecném zp ůsobu jak hrát dramata ] (Mes idées sur le théâtre )1388 Kon ůpek, Ji ří, in Divadlo , Prague, n° 6, juin 1968, p. 35.

1387 Ces trois données citées d’après l’ouvrage Hanuš Jelínek. Básnické p řeklady , Odeon, Praha, 1983, p. 843. 1388 Choix de quelques extraits.

598 Ibid., in Národní divadlo : činohra : P. Claudel : Saténový st řeví ček (programme), Národní divadlo, Prague, 1993, p. 59-60.

[Modlitba na ned ělní ráno ] (« Prière pour le Dimanche matin ») [Non-identifié], in Na hlubinu , Olomouc, XX, n° 8-9, 1946, p. 213-214.

[Musy ] (« Les Muses ») [Non-identifié], in Moderní Revue , Prague, 1917. [Múza Milost: Výbor z básní Paula Claudela ke 100. výro čí jeho narození ] Slavík, Ivan, Mladá fronta, Prague, 1969.

[Muž a jeho touha ] ( L’Homme et son désir ) Kon ůpek, Ji ří, in Divadlo , Prague, n° 6, juin 1968, p. 23-24.

[O francouzském verši ] ( Du vers français ) Dvo řák, Miloš, Melantrich, Prague, 1937.

[Pater noster: básnický cyklus ] (« Pater Noster ») Luká č, Emil Boleslav, in Trofeje: hrs ť prekladov z francúzskej lyriky , Marica slovenská, Tur čiansky Sv. Martin, 1933. [Pán s Vámi ] [Non-signé], in Na hlubinu , Olomouc, XII, n° 4, 1937, p. 227-228. [Pater noster ] Ibid., in Záhrada útechy , Tranoscius, Liptovský Sv. Mikuláš, 1949. [Ot če náš ] Ibid., in Katolické noviny , le 18 août 1968.

[Patero velikých ód provázených processionálem na pozdrav novému v ěku ] (tiré du recueil poétique Cinq grandes odes suivi par Processionnal pour saluer le siècle nouveau ) Reynek, Bohuslav, Družstvo p řátel Studia, Prague, 1920.

599 [Paul Claudel o svém díle: p řednáška 30. kv ětna 1919 pro La Maison des Amis des Livres ] Dostál, Josef, Družstvo P řátel Studia, Prague, 1923.

[Píse ň Epifanie ] (« Chant de l’Epiphanie ») Babler, Otto F., in Archa , XXVI, 1938, p. 1-3. Ibid., édition Bohuslav Durych et Vlastimil Vokolek, Pardubice, 1938.

[Pod hradbami athénskými ] (Sous les remparts d’Athènes ) Babler, Otto F., Svatý Kope ček u Olomouce, 1938.

[Podobenství o Animu a Anim ě ] ( Parabole d’Animus et d’Anima ) Babler, Otto F., S.n., Prague, 1948. [Animus a Anima] Kon ůpek, Ji ří, in Divadlo , Prague, n° 6, juin 1968, p. 33. Ibid., in Národní divadlo : činohra : P. Claudel : Saténový st řeví ček (programme), Národní divadlo, Prague, 1993, p. 7.

[Poko řený otec ] ( Le père humilié ) Nová ček, Otakar, Dilia, Praha, 1968.

[Polední úd ěl ] ( Partage de midi ) 1389 Marten, Miloš, Kamilla Neumannová, Prague Olšany, 1910. Mikeš, Vladimír, Artur, Pratur, 2012. [Poludnie životov] (version pour la scène) Jurovská, Michaela, in Paul Claudel: Hry , Divadelný ústav, Bratislava, 2007.

[Poznání Východu ] ( Connaissance de l’Est ) Heyduk, Josef, Atlantis, Brno, 1936.

[Pražské Jezulátko ] (« L’Enfant Jésus de Prague »)

1389 Traduction autorisée par Claudel.

600 Babler, Otto F., in Na hlubinu , Olomouc, VIII, n° 10, 1933, p. 593. Haranta, Ján, in Katolické noviny , le 18 aout 1968. (Non-identifié), Nový domov , n° 18, le 25 décembre 1971. [Pražské Jezulátko : Vánoce u Pražského Jezulátka s Paul [sic] Claudelem, Edith Steinovou, Ivanem Slavíkem ] Trinitas, Svitavy, K řes ťanská akademie, Rome, c1997 1390

[Próteus: Satyrské drama o dvou d ějstvích ] (Protée ) Procházka, Arnošt, K. Neumannová, Prague, 1920. [Próteus: Satyrská komedie ve dvou d ějstvích ] Láz ňovský, Michal, Vondrovic, Tomáš, Dilia, Prague 1992.

[Příroda a mravnost ] (« La Nature et la Morale ») Babler, Otto F., in Archa , XX, 1932, p. 262-263.

[Rozhovory o život ě a smrti ] ( Conversations dans le Loir-et-Cher ) Heyduk, Josef, Atlantis, Brno, 1939.

[Rukojmí ] ( L´Otage ) Kon ůpek, Ji ří, in Saténový st řeví ček a jiné hry , Orbis, Prague, 1968.

[Saténový st řeví ček ] (Le Soulier de satin ) Kon ůpek, Ji ří, in Saténový st řeví ček a jiné hry , Orbis, Prague, 1968. 1391 Navrátil, Evžen, ND Brno, Brno, 1993. [Saténový st řeví ček aneb Nejhorší není vždy nejjist ější ] (Le Soulier de satin ou le n’est pas toujours sûr ) Kon ůpek, Ji ří, in Národní divadlo : činohra : P. Claudel : Saténový st řeví ček (programme), Národní divadlo, Prague, 1993, p. 84-153. 1392

1390 Version sonore. 1391 Kon ůpek avait aussi traduit la première scène de la Troisième journée ; le texte a paru dans la revue Divadlo (Prague, n°6, juin 1968, p. 43-46) 1392 Version pour la scène.

601 [Saténová črievica ] (version intégrale) Strme ň, Karol, in Paul Claudel: Hry , Divadelný ústav, Bratislava, 2007.

[Skupina apoštol ů] (Groupe des Apôtres ) Babler, Otto F., Svatý Kope ček, 1937.

[Socha řka Kamilla Claudelová ] (« Camille Claudel Statuaire ») Marten, Miloš, in Moderní revue , n° 13, 1907, p. 268-273.

[Svaté obrázky české : k svatému Václavu léta Pán ě 1933 ] ( Images saintes de Bohême ) Reynek, Bohuslav, Stará Říše, 1916. Ibid., Ladislav Kuncí ř, Prague, 1933. 1393 [Svaté obrázky z Čech ] Babler, Otto F., Sv. Kope ček u Olomouce, 1934. Ibid., Lid. záv. tisk. a nakl., Olomouc, 1934. Ibid., Lid. záv. tisk., Olomouc, 1945. Ibid., édition Krystal, Olomouc, 1945. [Svaté obrázky české ] Čep, Jan, K řes ťanská akademie, Rome, 1958.

[Svatý Antonín Paduánský ] (« Saint Antoine de Padoue ») Babler, Otto F., in Katolické noviny , le 11 juin 1972, p. 3.

[Svatý Bartolom ěj] (« Saint Barthelemy ») Odvalil, František, in Archa , V, 1917, p. 15. Babler, Otto F., in Archa , XXIII, 1935, p. 145. Ibid., in Na Hlubinu , Olomouc, XII, n° 5, Olomouc, 1937, p. 297.

[Svatý Filip ] (« Saint Philippe ») Babler, Otto F., in Archa , XXV, 1937, p. 197.

1393 Il s ’agissait de l’édition privée.

602 [Svatý Jakub starší ] (« Saint Jacques le majeur ») Babler, Otto F., in Katolické noviny , Prague, le 23 juillet 1972, p. 3.

[Svatý Josef ] (« Saint Joseph ») Babler, Otto F., in Archa , XXVII, 1938, p. 73.

[Svatý Matouš ] (« Saint Mathieu ») Babler, Otto F., in Katolické noviny , Prague, le 17 septembre 1972, p. 1.

[Svatý Mikuláš ] («Saint Nicolas ») Babler, Otto F., in Na hlubinu , XIII, n° 10, p. 641-642.

[Svatý Ond řej ] (« Saint André ») Babler, Otto F., in Katolické noviny , le 26 novembre 1972, p. 3.

[Svatý Pavel ] (« Saint Paul ») Babler, Otto F., in Na hlubinu , Olomouc, XII, n° 10, 1937, p. 710-711. [Svätý Pavol: Saint Paul: básnický cyklus Corona Benignitatis Anni Dei ] Hlbina, Pavol Gašparovi č, in O tebe spieva zem: sbierka prekladov náboženskej lyriky , SSV, Trnava 1943.

[Svatý Tomáš ] (« Saint Thomas ») Babler, Otto F., in Katolické noviny , Prague, le 20 mai 1973, p. 1.

[Svatý Václav, král a mu čedník ] (« Saint Wenceslas, roi et martyre », tiré du recueil Images saintes de Bohême ) Marten, Miloš, Novoro čenka 1914 , 1914, p. 23. Ibid., in Archa , n° 11, 1923, p. 71. [Svatý Václav, král a mu čedník ] Babler, Otto F., in Archa , XVII, 1929, p. 103. [Svatý Václav král a mu čedník : ze svatých obraz ů českých ] Kon ůpek, Jan, Josef Portman, Litomyšl, 1929.

603 [Svatý Václav ] Slavík, Ivan, in Národní divadlo : činohra : P. Claudel : Saténový st řeví ček (programme), Národní divadlo, Prague, 1993, p. 71-72.

[Svítilna s pivo ňkami ] (« La Laterne aux deux pivoines ») Marten, Miloš, in Moderní revue , année XXII, n° 16, octobre 1910, p. 546

[Sv. Jan Nepomucký, mu čedník ] (« Saint Jean Népomucène ») Babler, Otto F., in Na hlubinu , Olomouc, VII, n° 6, 1932, p. 354-355.

[Špan ělským mu čedník ům] (« Aux martyrs espagnols ») 1394 Beránek, Jan, in Náboženské pronásledování ve Špan ělsku , édition Ladislav Kuncí ř, Prague, 1937.

[Temnoty ] (« Ténèbres ») Slavík, Ivan, in Národní divadlo : činohra : P. Claudel : Saténový st řeví ček (programme), Národní divadlo, Prague, 1993, p. 21.

[Tři básn ě z války ] (Trois poèmes de Guerre ) Bohuslav Reynek, L. Kuncí ř, Prague, 1921. [Vánoce 1940 ] Babler, Otto F., J. Banzet, Velké Mezi říčí, 1947. [Vánoce : báse ň] B.J.D., Prague, 1948.

[Verlaine slaboch ] (« Le faible Verlaine ») Luká č, Emil Boleslav, in Mati čné čitanie , n° 12, le 13 octobre 1969, p. 7. [Verlaine a jiné básn ě]1395

1394 Avant-propos écrit par Claudel. 1395 Le recueil contient les poèmes suivants : « Verlaine » ( Feuilles de Saints ), « Zdenka Braunerová » ( In Memoriam Zdenka Braunerová ), « Balada » ( Corona Benignitatis Anni Dei ), « Gloria » ( La Messe Là-Bas ), « Píse ň Epifanie » ( Corona Benignitatis Anni Dei ), « Matka Boží

604 Babler, Otto F., Svatý Kope ček u Olomouce, 1940. [Verše z vyhnanstva: siedma a ôsma báse ň z básnickej skladby Vers d´exil ] Luká č, Emil Boleslav, in Trofeje: hrs ť prekladov z francúzskej lyriky , Matica slovenská, Tur čiansky Sv. Martin, 1933. [Verše z vyhnanstva ] Ibid., in Záhrada útechy , Tranoscius, Liptovský Sv. Mikuláš, 1949.

[Vým ěna: Drama o 3 d ěj. ] ( L’Échange ) A[rn.] P[rocházka], Kamilla Neumannová, Prague, 1917. [Vým ěna: hra o 3 d ějstvích ] Kafka, Ji ří, Dilia, Prague, 1973. [Výmena ] Jurovská, Michaela, Petrus, Bratislava, 1998.

[Um ění básnické ] ( Art poétique , extrait) Franek, Ladislav, in Revue svetovej literatúry 3, Bratislava, 2009.

[Zdenka Braunerova ] (In mémoriam de Zdenka Braunerova ) Babler, Otto F., Jos. Portman, Litomyšl, 1938. [Pam ětní spis (na po čest Zdenky Braunerové) ] Kadlec, Svatopluk, Hollar, Prague, 1954.

[Zlatohlav ] ( Tête d’Or ) Marten, Miloš, Prague, 1906. 1396 Ibid., in Archa , VI, 1918, p. 11-24.

[Zv ěstování Panny Marie: Mysterium o 4 d ěj. a prologu ] ( L’Annonce faite à Marie ) Marten, Miloš, Scéna, Prague, 1913.

Pomocná » (Ibid.), « Svatý Josef » ( Feuilles de Saints ), « Svatý Mikuláš » ( Corona Benignitatis ), « Svatá Cecilie » ( Feuilles de Saints ), « Hymnus svatého Benedikta » ( Corona Benignitatis ), « Svatý Antonín Paduánský » ( Poèmes de Guerre ), « V čelka » ( La Cantate à trois Voix ). 1396 Le texte n’est publié qu’en 1918.

605 [Zv ěstování Pann ě Marii ] Kon ůpek, Ji ří, in Saténový st řeví ček a jiné hry , Orbis, Prague, 1968. [Zvestovanie ] Slavkovian, Matica slovenská, Tur čiansky Sv. Martin, 1940. Franek, Ladislav, LITA, Bratislava, 1992. Ibid., in Paul Claudel: Hry , Divadelný ústav, Bratislava, 2007.

[Žena a její stín ] ( Femme et son Ombre ) Kon ůpek, Ji ří, in Divadlo , n° 6, Prague, juin 1968, p. 21-23.

606 V. Choix des traductions des textes de Claudel en langues étrangères

Cette liste a été élaborée à partir des Œuvres complètes de Paul Claudel . Nous avons aussi consulté l’ouvrage de Jacqueline de Labriolle Paul Claudel and The English speaking world et également l’ouvrage Claudel et l’Allemagne de Margret Andersen. La liste contient les principales traductions des textes de Paul Claudel, elles sont rangées par ordre alphabétique ainsi que chronologique. Ce bilan ne prétend pas à l’exhaustivité.

L’Annonce faite à Marie 1912, traduction allemande, [Die Verkündigung], Jakob Hegner, Hellerau 1913, traduction allemande, Ernest Hegner 1397 1916, traduction anglaise, [The Tidings brought to Mary], Louise Morgan Sill, New Haven, Yale University Press. 1930, traduction allemande, [Maria Verkündigung], Maria Beerman, Bonn, Asclendorffs Moderne Ausland Bücherei. 1931, traduction italienne, [L’Annunzio a Marie], Francesco Casnate, Milan, Ed. Vita e Pensiero. 1934, traduction allemande, [Die drei Fassungen von Claudels « Annonce faite à Marie » (Les trois versions de « L’Annonce faite à Marie » de Claudel )], Hirschberger et Traute, Breslau. 1946, traduction allemande, [Maria Verkündigung], Hans Urs von Balthasar , Luzern.

Danemark 1398 Espagne Victor de la Serna Pays-Bas 1399 Russie 1400

1397 La pièce est traduite à l’occasion des représentations en langue allemande à Hellerau, mais le texte reste inédit. 1398 Il s’agissait d’une édition limitée. 1399 Texte à l’usage scolaire. 1400 Publication en revue.

607 Conversations dans le Loir-et-Cher 1936, traduction allemande, Gedanken und Gespräche, Eugen Gürster, Vita Nova, Lucerne.

L´Échange (première version) 1910, traduction allemande, [Der Tausch], Franz Blei, Hyperion, Munich. 1916, traduction allemande, [Der Tausch], Jacob Hegner, Hellerau. L´Échange (deuxième version) 1956, traduction allemande, [ibid.], Edwin Maria Landau, Hegner, Cologne.

L’Histoire de Tobie et Sara 1957, première version, traduction allemande, Edwin Maria Landau, Gesammelte Werke , tome III, Benziger-Kerle, Zurich-Heidelberg

Le Chemin de la Croix 1917, traduction anglaise, [Stations of the Cross], Rowland Thurnam, Westminster, Pamela Colman Smith 1927, traduction anglaise, [Stations of the Cross], Rev. John J. Burke, New York; Paulist Press. 1938, traduction allemande, Kreuzweg, Klara Maria Fassbinder, Schöningh, Paderborn.

Jeanne d’Arc au bûcher 1401 1938, traduction allemande, [Johanna auf dem Scheiterhaufen], Hans Reinhart, Benno Schwabe & Co., Bâle. 1939, traduction anglaise, [Jeanne d’Arc au bûcher], Dennis Arundell, Paris, New York, Salabert.

La Jeune Fille Violaine 1910, première traduction allemande, Franz Blei ; Munich 1920, deuxième traduction allemande, Jacob Hegner, Hellerau

1401 Une traduction en langue allemande est faite par Hans Reinhart, le texte a paru dans Das Dramatische Werk von Hans Reinhart , Tschudy-Verlag, St. Gallen.

608

Le Livre de Christophe Colomb 1930, traduction anglaise, [The Book of Christopher Columbus], Paul Claudel et Agnes Meyer, Newhaven-London, Yale U.P., Oxford U.P. 1930, traduction allemande, [Das Buch von Christoph Columbus], Stefan Rudolf Hoffmann, Universaledition, Vienne. 1957, traduction allemande, Edwin Maria Landau, Gesammelte Werke , tome III, Bezinger, Heidelberg.

La Messe là-bas 1939, traduction allemande, Die Messe, K. M. Fassbinder, Schöningh, Paderborn.

L’Otage 1917, traduction anglaise, [The Hostage], a drama, F. Smith, Newhaven, Yale U.P. 1926, traduction allemande, [Der Bürge], Albrecht Joseph, chez Jacob Hegner, Hellerau 1927, traduction anglaise, Pierre Chavannes, New Haven, Yale University Press ; Londres, Humphrey Milford, Oxford University Press (L’Otage, Le Pain Dur, Le Père Humilié) 1944, traduction anglaise, [Three Plays: The Hostage, Crusts, The Humiliation of the Father], J. Heard, Boston, John W. Luce.

Le Pain dur 1926, traduction allemande, [Das Harte Brot], Albrecht Joseph, éditions Jacob Hegner, Hellerau.

Partage de midi 1905, traduction allemande, [Mittagswende], Franz Blei, Weber, Munich. 1918, traduction allemande, ibid., Roman Woerner, Hegner, Hellerau. 1960, traduction anglaise, [Break of Noon], Wallace Fowlie, Chicago, H. Regnery.

Le Père humilié

609 1927, traduction allemande, [Der Erniedrigte Vater], Albrecht Joseph; chez Jacob Hegner, Hellerau

Protée 1921-1922, traduction anglaise [Proteus, a satiric drama in two acts], John Strong Newberry, Rome, Broom. 1926, première version, traduction allemande, [Proteus], Werner Hegemann, Hegner, Hellerau.

Le Répos du Septième Jour 1916, traduction allemande, [Der Ruhetag], Jacob Hegner, Hegner, Hellerau 1927, Traduction polonaise par le R. P. Burke, New York

Tête d’Or 1919, traduction anglaise, [Tête d’Or, a play in three acts], Strong Newberry, Newhaven- London, Yale U. P.-Oxford U.P.

Troisième volume de l’édition en langue allemande des œuvres complètes de Paul Claudel, publié sous le titre Dramen II, Heidelberg ; F.H. Kerle, Zurich , Benziger Verlag

La Ville 1910, seconde version, première traduction allemande par Franz Blei, Munich 1916, deuxième version, traduction allemande, [Goldhaupt], Jakob Heger, Hegner, Hellerau. 1920, seconde version, deuxième traduction allemande par Jacob Hegner, Hellerau 1920, traduction anglaise, [The City, a play], John Strong Newberry, Newhaven-London, Yale U.P.-Oxford U.P. 1944, deuxième version, traduction allemande, [Die Stadt], Hans Rudolf Balmer, Benno Schwaber & Co., Bâle.

610 Le Soulier de satin 1931, traduction anglaise, [The Satin Slipper; or The Worst is not Surest], version intégrale, Rev. John O’Connor et Paul Claudel, Newhaven, Yale U.P. 1939, traduction allemande, [Der Seidene Schuh], Hans Urs von Balthasar, Otto Müller, Salzbourg.

611 VI. Bibliographie sélective

Cette liste de la bibliographie sélective est le résultat du dépouillement dans les documents d’archives et aussi dans la presse tchèque et slovaque. 1402 Elle comprend surtout les études et articles à sujet claudélien qu’on a réussi à découvrir. Elle peut inspirer d’autres chercheurs intéressés par la problématique claudélienne. Ce rélevé peut servir comme liste de référence. Les données sont rangées par ordre alphabétique et rassemblées à partir des noms d’auteurs. D’abord on note les données complètes, suivent les articles signés par un chiffre d’auteur connu. Enfin, il reste le cas particulier que constituent les données incomplètes qui sont sans auteur.

AUDEJEAN, Christian, Paul Claudel dnes, Divadlo , Prague, n° 6, juin 1968, p. 36-42. ATTOUN, Lucien, Claudel ve Francii, Divadlo , Prague, n° 7, septembre 1968, p. 71-75. BABLER, Otto František, Paul Claudel, básník a dramatik, Divadlo , Prague, n° 6, juin 1968, p. 6-20. BITNAR, Vilém, Bibliografie díla Miloše Martena, Knižní kultura doby staré i nové , récueilli par Dr. Ant. Dolenský, Prague, 1926, p. 3-16. CASSOU, Jean, N ěkolik sou časných básník ů francouzských, Lumír , Prague, LIX, 1933, p. 72-75. ČEP, Jan, Básník a jeho inspira ční zdroje, Akord , Brno, n° 1, 1938, s. 49-60. ČEP, Jan, Setkání, Sv ědectví , Paris-New York, n° 16, 1961/1962, p. 324-326. ČEP, Jan, Um řel Paul Claudel, Nový život , avril 1955, p. 81-82. ČERNÝ, Václav, Barokismus Claudelova Saténového st řeví čku, Až do p ředsín ě nebes: Čtrnáct studií o baroku našem i cizím , Mladá fronta, Prague, 1996. ČERNÝ, Václav, Claudelovo výro čí, Literární listy 1, n° 22, juillet 1968, p. 13. ČERNÝ, Václav, Claudel ův lyrický verš, Studie ze starší sv ětové literatury , Mladá fronta, Prague 1969, p., voir même Souvislosti , n° 1, 1991, p. 105-109. ČERNÝ, Václav, Ješt ě jednou: Claudel a Čechy, Lidová demokracie , Prague, le 26 septembre 1965, p. 5.

1402 Nous y reprenons aussi la liste de données publiée dans l´ouvrage J. O. Fischer et coll., Dějiny francouzské literatury 19. a 20. stol. , Academia, Prague, 1966, p. 859-860.

612 ČERNÝ, Václav, Claudel ův lyrický verš, Tvorba a osobnost II , Odeon, Prague, 1993, p. 491-495. ČERNÝ, Václav, K výro čí Paula Claudela, Literární listy 1, n° 24, août 1968, p. 10. ČERNÝ, Václav, ‘Paul Claudel a Čechy’ v našich i cizích arichívech, Studie o rukopisech , Prague, tome 6, 1967, p. 129-146. ČERNÝ, Václav, Stavitel chrám ů, Tvorba a osobnost II , Odeon, Prague, 1993, p. 484-490. ČERNÝ, Václav, Zvonu: francouzští symbolisté, Z. B. a Český ráj, Lidová demokracie , Prague, le 13 février 1966, p. 5. DANIEL, Vojt ěch, Miloš Marten jako kritik, Česká literatura , n° 4, 1996, p. 359-393. DANIEL, Vojt ěch, Neviditelný chrám. Paul Claudel v Praze a situace moderny kolem roku 1910, Slovo a smysl 8 , n° 16, 2011, s. 47-61. DUHAMEL, Georges, Paul Claudel, traduction František Odvalil, Archa , tome 1, 2, 1928, s. 19-34, 162-172. FISCHER, Otokar, Feuilleton. (Zv ěstování), Národní listy , Prague, le 22 octobre 1913, p. 1-2. FRANEK, Ladislav, Druhá vlna francúzskeho symbolizmu, Paul Claudel, Modernita románských literatúr , Veda, Bratislava, 2005, p. 13-40. FRANEK, Ladislav, Slovenské preklady Paula Claudela : (Štylistický a ideovo-tematický rozbor), Slavica slovaca , n° 2, 1991, p. 111-124. FRANEK, Ladislav, Štýl prekladu: vývinovo-teoretická a kritická analýza slovenských prekladov Paula Claudela , Veda, Bratislava, 1997. FRANEK, Ladislav, Tvorivé krédo Paula Claudela a jeho vplyv na slovesnú poéziu, Romboid , n° 4, 1993, p. 80-92. HELLMUTH-BRAUNER, Vladimír, Paul Claudel a Čechy, Plamen , n° 9, septembre 1965, p. 171-172. HELLMUTH-BRAUNER, Vladimír, Paul Claudel v Čechách, Lidová demokracie , Prague, le 6 août 1968, p. 3. HELLMUTH-BRAUNER, Vladimír, Pam ěti rodu , H&H, Prague, 2000. HELLMUTH-BRAUNER, Vladimír, Poslední kniha Paula Claudela, Literární noviny 9, n° 10, 1937, p. 6. HELLMUTH-BRAUNER, Vladimír, Povahový dualismus Zdenky Braunerové, Hollar , n° 14, 1939, p. 73-85.

613 HORSKÁ, Pavla, České zem ě a francouzská diplomacie 1900-1914, Sladká Francie , Lidové noviny, Prague, 1996, p. 128-135. CHALUPNÝ, E., K charakteristice Miloše Martena. Vzpomínky a dojmy, Kmen , Prague, n° 32, septembre 1917, p. 1-4. CHUCHMA, Josef, Paul Claudel v roce 1910: Ateliér, Mladá fronta Dnes , Prague, le 15 juin 2000, p. 32. JANDEROVÁ, Drahoslava, Paul Claudel. Milovník českého baroka, Lidové noviny , Prague, le 7 août 1998, p. 11. JAREŠ, Michal, Čepovská výjimka, Aluze , n° 2, 1999, p. 252. JEŠT ĚDSKÝ, Jan, Básník pokory – Paul Claudel, Nový život , n° 3, mars 1954, p. 42-43. JEŠTĚDSKÝ, Jan, Claudel, muž neznámý, Nový život , n° 9, septembre 1959, p. 207-208. JUROVSKÁ, Michaela, Ko(z)mický optimista Paul Claudel, Vým ěna , Petrus, Bratislava, 1998. KAMÍNEK, Karel, Z p řekladové literatury dramatické II, Lumír , Prague, XXXVIII, 1910, p. 420-421. KENWORTHY, Carell, Básník a diplomat Paul Claudel o sob ě, Lidové noviny , le 2 mars 1930, p. 7. KINSKÝ, K., Zdenka Braunerová a Český ráj, Stráž severu , le 29 janvier 1950, p. 6. KNEIDL, Pravoslav, Setkání s Prahou: Vztahy mezi m ěstem a zahrani čními um ělci od Rancesca Petrarcy po Allena Ginsberga , Perseus, Prague, 2005. KON ŮPEK, Ji ří, Dramatická setba Paula Claudela, Divadlo , n° 6, juin 1968, p. 23-32. KOTRLÁ, Iva, Paul Claudel, K řížová cesta, Akord , n° 5, janvier 1995, p. 273 -275. KOŽÍK, František, Na k řídle v ětrného mlýna (Životní p říb ěh malí řky Zdenky Braunerové a lidí kolem ní, část první) , Československý spisovatel, Prague, 1989 (1977). KOŽÍK, František, Neklidné babí léto (Životní p říb ěh malí řky Zdenky Braunerové a lidí kolem ní. Část druhá) , Československý spisovatel, Prague, 1979. LENDEROVÁ, Milena, Česká zkušenost Paula Claudela: Sv ět depeší, sv ět deníku, Český časopis historický , n° 3, 1999, p. 539-565. LENDEROVÁ, Milena, Francouzský konzul v Českém ráji: P řátelství P. Claudela, Z. Braunerové a M. Martena, Z Českého ráje a Podkrkonoší , n° 8, 1995, p. 81-96. LENDEROVÁ, Milena, Paul Claudel, Zdenka Braunerová , Mladá fronta, Prague, 2000, p. 162-182.

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1403 Traduction de l’article qui a paru dans la revue polonaise Dialog (n° 1, 1963).

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1404 Cet article est consacré au mariage de Miloš Marten avec Anna (A ťa) Kopalová organisté dans le village P řepe ře, en présence de Claudel.

618 VII. Choix de premières études françaises et étrangères consacrées à Paul Claudel

Allemagne

Das Claudel Programmbuch , Hellerauer Verlag, 1913. 1405 GROSCHE, Robert, Paul Claudel , Jacob Hegner, Hellerau 1918? (1928). HATZFELD, Helmut, Paul Claudel und Romain Rolland, Philosophische Reihe , nº 30, Rosl et Cie Verlag, Muenchen, 1921.

Angleterre, Etats-Unis

CHAVANNES, Pierre, Paul Claudel , Yale University press, New-Haven 1914; Hunphrey Milford-Oxford University Press, London. 1406 RAWLINSON, G. C., Recent french tendencies from Renan to Claudel , Londres, 1917.

France

CLOUARD, Henri, La poésie française moderne , Gautier-Villars, Paris 1924, p. 301-309. DUHAMEL, Georges, Paul Claudel. Le philosophe – le poète – l’écrivain – le dramaturge , Paris, Mercure de France, 1913. GHÉON, Henri, Nos Directions , Nouvelle Revue Française, Paris, 1911, p. 80-94. 1407 GOURMONT, Rémy de, Le Livre des Masques , (livre II), Mercure de France, 1898, p. 163-175. 1408 HUBERT, Raymond, Neo-christianisme et dilétantisme , Nice, 1914. LALOU, René, Histoire de la littérature française contemporaine , Editions G. Crès, Paris 1924, p. 486-502.

1405 L’ouvrage contient un certain nombre de traductions de fragments de Claudel en Allemagne, des études de Martin Buber et de Wolf Dohrn. 1406 Cette préface de la traduction anglaise de l´ouvrage Connaissance de l’Est a été déjà publiée dans le New Statesman . 1407 Contient l’étude sur L’Échange . 1408 L’étude est accompagnée par le portrait de Claudel dû à Félix Valotton.

619 LEFÈVRE, Frédéric, Les Sources de Paul Claudel , Librairie Lemercier, Paris, 1927. MILHAUD, Darius, Ma collaboration avec Paul Claudel, Études , éditions Claude Aveline, chez André Delpech, Libraire, Paris, 1927, p. 27-34. L’Œuvre, revue mensuelle du théâtre , nº 9, octobre-décembre 1912. 1409 POIZAT, A., Le Symbolisme, de Baudelaire à Claudel , La Renaissance du livre, Paris 1919, p. 189-193. RIVIÈRE, Jacques, Études , Nouvelle Revue Française, Paris, 1911, p. 61-129. STROWSKY, Fortunat, La Vie Catholique dans la France Contemporaine , Bloud et Gay, Paris 1918, p. 465 et suivantes. TONQUEDEC , Joseph de, L’Œuvre de Paul Claudel, Etudes , mars et avril 1917.

Italie

CASNATI, Francesco, Paul Claudel e i suoi drammi , prefazione di Giusepe Ellero, V. Omarini Editore, 1919. CROCE, Benedetto, Paul Claudel, La Critica , le 20 mai 1918.

Japon

Le poète japonais, Shincho-Sha Tokio , le 1 er mai 1923.

Méxique

Efrain Gonzales luna notas para un ensayo sobre Claudel, Badiera de Provincias, Quincenal de Cultura , nº 15, Guadalajara, Jal, Mexique, le 15 décembre 1929. 1410

Suisse

Das Franzosische Buch , Neue Serie Heft, Basel, le 8 avril 1918. 1411

1409 Numéro spécial consacré à Claudel. 1410 Numéro spécial qui contient une traduction espagnole du Cantique de Mésa ( le Partage de midi ) et du prologue de L’Annonce faite à Marie .

620 VIII. Noms historiques des théâtres tchèques en question 1412

Cette liste comprend les noms des théâtres tchèques ou on a joué Claudel. Elle est rangée par ordre alphabétique (respectant l’ordre des noms de villes) et on respecte aussi l’ordre chronologique (suivant les dates des changements de noms de théâtre). Le nom actuel du théâtre est suivi par les noms historiques du théâtre en question.

BRNO Národní divadlo (Théâtre national) (depuis 2008) Národní divadlo v Brn ě (Théâtre national à Brno) (1881-1886, 1891-1914, 1919-1931, 1945-1946, 1992-2007) Prozatímní národní divadlo v Brn ě (Théâtre national ambulant à Brno) (1886-1891) České národní divadlo v Brn ě (Théâtre national tchèque à Brno) (1914-1919) Zemské divadlo v Brn ě (Théâtre du pays Morave à Brno) (1931-1941, 1990-1992) Zemské národní divadlo v Brn ě (Théâtre national et provincial à Brno) (1946-1947) Státní divadlo v Brn ě (Théâtre d’État à Brno) (1947-1990)

HaDivadlo (depuis 1990) Hanácké divadlo (également HaDivadlo) (1974-1990, Prost ějov)

ČESKÉ BUD ĚJOVICE 1413 Jiho české divadlo (Théâtre de Bohême du Sud) (1941-1944, depuis 1955) Jiho české národní divadlo (Théâtre national de Bohême du Sud) (1919-1929, 1931-1941, 1945-1948) Jiho české m ěstské a oblastní divadlo (Théâtre municipal et régional de Bohême du Sud) (1948-1949)

1411 Numéro spécial avec une partie consacrée à Claudel. 1412 Cette liste est élaborée à partir de l’encyclopédie : Šormová, E. (éd.), Česká divadla: encyklopedie divadelních soubor ů, Divadelní ústav, Praha 2000. 1413 Ce théâtre existait à České Bud ějovice, entre les années 1919 et 1929, ensuite à partir de l’année 1931 jusqu´à nos jours ; au moment de l’occupation des régions frontières elle avait pour siège la ville de Tábor (1941-1945).

621 Krajské oblastní divadlo České Bud ějovice (Théâtre régional de České Bud ějovice) (1949- 55), pobo čná scéna Tábor (scène collatérale de Tábor) (1949-1950)

CHEB Západo české divadlo Cheb (Théâtre de Bohême de l’Ouest de Cheb) (depuis 1967) Krajské oblastní divadlo Cheb (Théâtre régional de Cheb) (1961-1962) Divadlo pohrani ční stráže (Théâtre des gardes-frontière) (1962-1967)

OLOMOUC Moravské divadlo (Théâtre morave) (depuis 1992) České divadlo v Olomouci (Théâtre tchèque à Olomouc) (1920-1945) Městské divadlo v Olomouci (Théâtre municipal à Olomouc) (1945-1948) Krajské oblastní divadlo Olomouc (Théâtre régional d’Olomouc) (1948-1958) Divadlo Old řicha Stibora (Théâtre d’Old řich Stibor) (1958-1974) Státní divadlo Old řicha Stibora (Théâtre d’État d’Old řich Stibor) (1975-1991)

OPAVA Slezské divadlo Opava (Théâtre silésien d’Opava) (depuis 1990) Slezské národní divadlo (Théâtre national silésien) (1945-1949) Městské oblastní divadlo Zde ňka Nejedlého v Opav ě (Théâtre régional et municipal de Zden ěk Nejedlý à Opava) (1949-53) Divadlo Zde ňka Nejedlého v Opav ě (Théâtre de Zden ěk Nejedlý à Opava) (1953-1957) Slezské divadlo Zde ňka Nejedlého (Théâtre silésien de Zden ěk Nejedlý) (1957-1990)

PLZE Ň (Pilsen) Divadlo J. K. Tyla Plze ň (Théâtre de J. K. Tyl de Pilsen) (depuis 1955) Městské právováre čnické divadlo (Théâtre municipal de brassage de la bière) (1865-1902) Divadlo královského m ěsta Plzn ě/M ěstské divadlo v Plzni (Théâtre de la cité royale de Pilsen/Théâtre municipal à Pilsen) (1902-1949) Krajské oblastní divadlo Plze ň (Théâtre régional de Pilsen) (1949-55)

PRAHA (Prague)

622 Deklarace (Théâtre Deklarace) (1910-1913, 1916-1919) Lidové divadlo v Žižkov ě – Deklarace, Lidové divadlo Deklarace na Žižkov ě, Divadlo v Žižkov ě (Théâtre populaire à Prague-Žižkov – Deklarace ; Théâtre populaire Deklarace à Prague-Žižkov ; Théâtre à Prague-Žižkov) (1910-13, 1916-17) Žižkovská činohra (Compagnie de Prague-Žižkov) (1917-19)

Disk (Théâtre Disk) (depuis 1945)

Divadlo E. F. Buriana (Théâtre de E. F. Burian) (1960-1991)

Divadlo na Vinohradech 1414 (Théâtre de Vinohrady) (depuis 1966) Městské divadlo Král. Vinohrad (Théâtre municipal de Vinohrady) (1907-1922) Městské divadlo na Král. Vinohradech (Théâtre municipal de Vinohrady) (1922-1941, 1943, 1945-1950) + M ěstské komorní divadlo (Théâtre de chambre municipal) (1929- 1945, 1946-1950) Divadlo Československé armády (Théâtre de l’Armée tchécoslovaque) (1950-1954, 1960- 1966) Úst řední divadlo československé armády (Théâtre Central de l’Armée tchécoslovaque) (1954-1960)

Divadlo Na zábradlí (Théâtre « Na zábradlí ») 1415 (depuis 1958)

Divadlo pod Palmovkou (Théâtre « pod Palmovkou ») 1416 (depuis 1990) Městské oblastní divadlo Praha-Žižkov (1948/1949) Městské oblastní divadlo Praha-Libe ň (Théâtre régional et municipal de Prague-Libe ň) (1949-1951)

1414 Actuellement l ’un des quartiers pragois ; son nom est dérivé de la place couverte de vignobles médiévaux, la commune étant appelée « Monts Vinicoles » est conséquemment rebaptisée en faveur du roi sous « Vignobles Royaux ». 1415 Théâtre nommé à partir du titre de la ruelle pragoise « Na zábradlí » . 1416 Ce théâtre se trouve non loin de la station de métro et du carrefour du même nom « Palmovka ».

623 Divadlo S. K. Neumanna (Théâtre de S. K. Neumann) (1951-1990)

Divadlo za branou III (Théâtre « za branou III ») (1995) Divadlo za branou (Théâtre « za branou III ») (1965-1972) 1417 Divadlo za branou II – Otomar Krej ča (1990-1994)

Labyrint (Labyrint, um ělecké centrum na levém b řehu vltavském) (Théâtre Labyrinthe, centre artistique sur la rive gauche de Vltava) (1992-1998) Malé realistické divadlo (Théâtre de chambre réaliste) (1945) Realistické divadlo (Théâtre réaliste) (1945-1953) Realistické divadlo Zde ňka Nejedlého (Théâtre réaliste de Zden ěk Nejedlý) (1953-1991)

Národní divadlo (Théâtre national) (depuis 1930) Královské české zemské a národní divadlo (Théâtre royal et national de Bohême) (1883- 1918) České zemské národní divadlo (Théâtre national de Bohême) (1918-1930)

1417 Enfin dissout par le parti communiste.

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