2019/011

PROCES-VERBAL

Le vingt-huit février deux mille dix-neuf à dix-neuf heures, le Conseil de la Communauté de Communes Pays d’Opale s’est réuni à la salle des fêtes de sous la Présidence de Monsieur Marc MEDINE à la suite de la convocation adressée à domicile le dix-huit février dont un exemplaire a été affiché à la porte du siège de la collectivité. ______

Etaient présents :

Mmes et MM.

Thierry GUILBERT (DT ) Marc MEDINE (DT Guînes), ayant procuration F.Ponthieu Jacky DUBOIS (DT Andres) Eric BUY (DT Guînes), ayant procuration Y.Lefebvre Christiane GLORIAN (DT Andres) Daniel DARCHEVILLE (DT Guînes), Ludovic LOQUET (DT ), Eugénie PIERRU (DT Guînes) Pierre PREVOST (DT Ardres), Laurence CHARPENTIER (DT Guînes), Gilles COTTREZ (DT Ardres), ayant procuration Anne DECAESTECKER (DT Guînes) S.Bonnière Nathalie MERLEN (DT Guînes) Christiane SPRIET (DT Ardres), ayant procuration Eric HOUDAYER (DT Guînes) T.Vasseur Blaise de Saint Just d’ (DT Autingues), Nathalie TELLIEZ (DT ) ayant procuration F.Delabasserue Yves LE BERRE (DT Hardinghen) Thierry TERLUTTE (DT ) Marie-Andrée ROHART (DT Herbinghem) Jean Claude VANDENBERGUE (DT ) Matthieu CANLER (DS ) Jacqueline LEPRINCE (DT Balinghem) Gabriel BERLY (DT Landrethun les Ardres), ayant procuration Christian SALVARY (DT Bonningues-lès-) V.Franque Antoine PERALDI (DT ) Brigitte HAVART, (DT Licques) Claude KIDAD (DT ) Delphin BOULOGNE (DT Licques) Thierry POUSSIERE (DT Brêmes) André (DT Nielles les Ardres) Jean-François LACROIX (DT ) Brigitte MARCQ (DT Brêmes) Hubert HAMAIN (DS Pihen les Guînes) Pascal GAVOIS (DT ), Bruno DEMILLY (DT Campagne-les-Guines), Guy VASSEUR (DT Rodelinghen), Jean Luc LECOINTE (DS Fiennes) François LE GALL (DT Saint-Tricat) Nicole WIDENT (DS )

Etaient excusés :

Véronique FRANQUE (DT Ardres), ayant donné procuration à M. Gabriel BERLY Thérèse VASSEUR (DT Ardres), ayant donné procuration à C.SPRIET Sylvie BONNIERE (DT Ardres), ayant donné procuration à G.COTTREZ Clothilde ROBERVAL (DT Fiennes), remplacé par J.L LECOINTE (DS Fiennes) Yves LEFEVBVRE (DT Guînes), ayant donné procuration à E.BUY Christophe DUPONT (DT Hermelinghen), remplacé par M.CANLER (DS Hermelinghen) Franck DELABASSERUE (DT ), ayant donné procuration à B.de St JUST Christian ANDRIEU (DT ), Fabrice PONTHIEU (DT Guînes), ayant donné procuration à M.MEDINE Jean-Luc MAROT (DT Pihen-les-Guînes), remplacé par H.HAMAIN (DS Pihen-les-Guînes) Jean-Pierre DOYE (DT Sanghen), remplacé par N.WIDENT (DS Sanghen)

Secrétaire de séance : Ludovic LOQUET

Monsieur Médine accueille l’assemblée.

Madame Havart souhaite la bienvenue à Licques aux conseillers communautaires au nom de la municipalité.

Monsieur le Président constate le quorum, qu’il n’y a pas de question écrite et ouvre donc l’ordre du jour.

Monsieur le Président demande au conseil communautaire l’autorisation d’ajouter 1 délibération à l’ordre du jour s’agissant d’une question survenue après l’envoi des convocations et qu’il importe de traiter séance tenante :

- FINANCES : Autorisation ventes aux enchères d’un camion

Le procès-verbal de la séance en date du 22 janvier 2019 ne soulevant pas de remarque, il est adopté à l’unanimité.

AMENAGEMENT DE L’ESPACE

Question n°16 : - AMENAGEMENT DE l’ESPACE Programme « Habiter mieux » - Solde dossiers

Rapporteur : Thierry POUSSIERE

Vu les délibérations communautaires n° 37 en date du 19 décembre 2012 et 68 en date du 26 juin 2014 du conseil de la communauté de communes des Trois-Pays décidant :

➢ De conventionner avec l’ANAH la participation communautaire au programme Habiter Mieux au bénéfice des propriétaires du territoire sous conditions de ressources.

Vu la délibération n°195 du 04 décembre 2017 portant prorogation de la politique d’abondement communautaire au programme Habiter Mieux aux bénéfices des propriétaires du territoire réalisant des travaux de rénovation énergétique de leur patrimoine, sous conditions de ressources, dans les mêmes termes que précédemment et ce, jusque la mise en œuvre opérationnelle de l’Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat Pays d’Opale.

Considérant la mise en œuvre du projet d’OPAH communautaire dont l’étude pré- opérationnelle est actuellement en cours,

Vu les dossiers de demande de subvention instruits par l’ANAH en relation avec la Maison de Services au Public communautaire,

Considérant que le bénéficiaire a 3 ans pour finaliser ses travaux,

Après en avoir délibéré, le Conseil communautaire, à l’unanimité,

➢ Décide de proroger la politique d’abondement communautaire au programme Habiter Mieux afin de solder les dossiers instruits en 2018,

➢ Autorise Monsieur le Président à signer tout document à cette fin et à mettre en application la présente délibération.

➢ Décide d’inscrire la somme de 6.000 € au budget 2019 à cette fin.

2019/012

ENVIRONNEMENT

Question n°17 : - ENVIRONNEMENT Convention de financement avec le SYMPAC pour l’entretien des canaux du Calaisis

Rapporteur : Monsieur Bruno DEMILLY

Monsieur Demilly rapporte cette délibération qui vaut pour 2018 et précise qu’une nouvelle sera à délibérer pour 2019, dans l’attente que cette compétence soit transférée à l’Institution Intercommunale des Wateringues à l’horizon espéré de 2020.

Monsieur Kidad demande l’explication de la distorsion entre le linéaire concerné et la quote-part du coût supporté par la CCPO.

Monsieur Lacroix constate effectivement que la CCPO est concernée par 3,6% du taux horaire et 39,85% du taux horaire.

Monsieur Demilly répond que la question a été posée plusieurs fois au Sympac et qu’il en ressort que l’association des pêcheurs du Calaisis qui gère effectivement la prestation à l’aide de bateaux faucardeurs allègue que les canaux de Guînes et Ardres sont plus compliqués à entretenir que les autres canaux.

Monsieur Loquet précise que les têtes de canaux situés en pied de coteaux comme Ardres et Guînes collectent beaucoup plus d’alluvions que le canal d’ qui est moins concerné.

Monsieur Poussière le confirme à tel point que les bateaux faucardeurs ne peuvent aller jusque Brêmes et Ardres.

Considérant que le Sympac depuis 2007 assure le suivi administratif, technique et financier pour les travaux d’entretien des canaux du Calaisis,

Considérant que l’association des Pêcheurs du Calaisis réalise les travaux d’entretien des canaux du Calaisis au moyen de bateaux faucardeurs (coupe, ramassage des herbes aquatiques et flottants),

Considérant que le coût total prévisionnel s’élève à 68 684 €/an,

Considérant que cette action est financée à hauteur de 12 840 € par l’Agence de l’Eau Artois Picardie, de 5 865 € par l’association des Pêcheurs du Calaisis et que le solde restant de 49 979 € est à couvrir par les collectivités,

Considérant que la Communauté de Communes Pays d’Opale est agrégée de 43.45 % de la totalité du solde soit 3.60 % du linéaire et 39.45 % du taux horaire,

Considérant la participation de la Communauté de Communes s’établit pour l’année 2018 à 21 715.88€.

Après en avoir délibéré, le Conseil communautaire, à l’unanimité,

➢ Autorise Monsieur le Président à signer la convention de financement jointe pour l’entretien des canaux du Calaisis pour l’année 2018.

VIE INSTITUTIONNELLE

Question n°18 : - VIE INSTITUTIONNELLE - FINANCES Débat d’orientations budgétaires 2019

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur le Président rappelle que le Rapport d’Orientations Budgétaires s’inscrit depuis deux ans dans une procédure formelle qui intègre une prospective à la fois financière et en matière de ressources humaines. Une délibération spécifique du conseil communautaire doit prendre acte de ce document et de la tenue du Débat d’Orientations Budgétaires en séance.

Le ROB est structuré en deux parties décrivant le contexte national pour la première et spécifique à la collectivité pour la deuxième.

Ainsi il apparaît par exemple que la dépense de ressources humaines représente environ 27% des recettes réelles de fonctionnement pour la CCPO alors qu’elle se situe autour de 37% pour les intercommunalités à l’échelle nationale.

Le document retrace l’historique financier récent de la collectivité car il est important de savoir de quelle situation on part pour expliciter le présent et faire de la prospective.

A l’heure où une décision préfectorale importante doit intervenir pour l’avenir du territoire, il est apparu pertinent de rappeler comment ont évolué les ressources des deux EPCI qui constituent aujourd’hui la CCPO. Il en ressort que lors de la fusion, la CCSOC disposait d’une épargne brute et nette négative malgré des recettes fiscales très importantes (autour de 9 millions d’euros) et très supérieures à celles de l’ex-CCT-P dont la gestion générait quant à elle une épargne brute annuelle de l’ordre de 800.000 €, car celle-ci redistribuait historiquement beaucoup moins d’argent que la CCSOC.

Il est également important de rappeler que les ressources fiscales de l’ex-CCSOC ont été très inégalement réparties entre Grand Calais et la CCPO au détriment de cette dernière, du fait de l’imputation du prélèvement au titre du Fonds National de Garantie Individuelle des Ressources issu de la réforme de la taxe professionnelle au détriment quasi-exclusif des bases implantées sur la commune de Bonningues-lès-Calais (IFA 2000). Ainsi, alors que la CCSOC disposait de ressources de fiscalité professionnelle grossièrement comparables sur les communes de Bonningues-lès-Calais (2,6M€) et Fréthun (3 M€), la répartition entre les nouveaux EPCI de rattachement des communes a généré une fiscalité nette de 2,9M€ issus des bases implantées sur Fréthun pour Grand Calais (prélèvement FNGIR 88.000 €) contre 1 M€ issus des bases implantées sur Bonningues-lès-Calais pour la CCPO (prélèvement FNGIR 1,6M€).

Ceci a généré la nécessité de retravailler l’équité fiscale et le pacte financier local internes au territoire puisqu’il était non soutenable pour la CCPO de distribuer sous forme d’attributions de compensation de l’argent dont elle n’a pas bénéficié.

Depuis 2017, la CCPO conjugue ainsi une obligation de gestion budgétaire rigoureuse avec le déploiement d’un plan pluriannuel d’investissement ambitieux, sans alourdir la pression fiscale en dehors de la taxe GEMAPI. Cette gestion s’appuie notamment sur les excédents antérieurs issus de l’ex-CCT-P et ce, dans l’attente des ressources fiscales nouvelles attendues à l’horizon 2021 issues du projet Eleclink en cours de déploiement sur la commune de Peuplingues qui sont estimées autour de 1,5M€ / an.

2019/013

La perspective de la gestion 2018 avait été appréhendée avec prudence lors du débat d’orientations budgétaires de l’année dernière avec la perspective d’une épargne brute quasiment nulle. La réalisation budgétaire s’est avérée bien meilleure que prévue du fait de marges de manœuvre dégagées sur la gestion de l’exercice de l’ordre de 450.000 €, mais surtout grâce à une recette fiscale exceptionnelle et non renouvelable de 882.441 €, qui permet d’envisager les gestions 2019 et 2020 avec sérénité.

Il reste toutefois clair qu’au-delà de cet horizon, l’avenir serait beaucoup plus compliqué à partir de 2021 sans les ressources fiscales issues d’Eleclink et que la décision préfectorale à intervenir sera donc très lourde de sens pour les budgets communautaires et tous les nouveaux projets imaginés.

Monsieur le Président invite le directeur des services à présenter le diaporama suivant, résumant le rapport d’orientations budgétaires et support du débat.

2019/011

2019/014

2019/015

2019/016

2019/017

A l’issue de cette présentation, Monsieur Médine souligne combien la connaissance de l’histoire éclaire la situation présente et les enjeux à venir.

Monsieur Loquet ajoute que la perspective dessinée intègre la perpétuation du pacte financier local dans les termes actuels, qui représentent une ressource annuelle de 300.000 € dérogatoire au droit commun pour la communauté de communes.

Monsieur Berly reconnaît le travail d’une communauté de communes bien vivante mais il souligne le fait qu’outre les conséquences fiscales initiales défavorables pour la CCPO, la fusion a entraîné une diminution des recettes pour un certain nombre de communes membres qui ont perdu leur dotation de péréquation. Il propose donc que le pacte financier soit revu en conséquence pour voir si, après analyse par les services communautaires, il est possible de compenser en tout ou partie dès 2019 cette perte de recette communale, eu égard à la recette fiscale communautaire exceptionnelle intervenue en 2018.

Monsieur le Président agrée pour une analyse de la situation mais il rappelle la nécessaire prudence à faire valoir sur les deux exercices à venir et possiblement au-delà, si la décision préfectorale s’avérait défavorable à la CCPO.

Il précise qu’au-delà de 2021 et si la situation financière le permet durablement, il n’y aura pas d’intérêt pour la CCPO à thésauriser et que l’argent sera alors investi dans des projets nouveaux au bénéfice de la population et des communes.

Monsieur le Président rappelle que l’incertitude qui pèse sur les finances communautaires n’est en aucun cas liée à une mauvaise gestion interne et que la prudence dont il a été fait preuve permet d’assurer la gestion communautaire jusque 2021 ; échéance à laquelle de nouvelles et importantes ressources fiscales étaient promises qui devaient assurer le développement des projets communautaires et repartir vers les communes d’une manière ou d’une autre. L’hypothèque actuelle sur l’arrivée effective de ces ressources au bénéfice du territoire impose de rester prudent quant à toute démarche de redistribution anticipée.

Monsieur Berly déclare qu’il prêche bien sûr comme chacun pour sa commune qui a été affectée par des baisse de dotations et des charges nouvelles. Cette baisse de la dotation de péréquation n’avait été ni annoncée ni anticipée et s’ajoute aux précédentes.

Monsieur le Président en convient et rappelle que la variable d’ajustement en cas de difficultés budgétaires pour les communes comme pour l’intercommunalité réside dans l’impôt dont personne n’a envie d’activer le levier ; il propose donc d’attendre les décisions du Préfet qui conditionneront la capacité ou pas de redistribuer pour la communauté.

Monsieur Berly agrée à cette proposition sachant que l’étude des baisses de dotation enregistrées par les communes sera réalisée en amont. Il attire également l’attention sur le fait que la recette éventuelle issue d’Eleclink ne sera pas nette car il y aura un impact négatif sur le FPIC.

Monsieur Poussière rappelle que les communes sont effectivement souvent sur la corde raide et qu’il s’agit d’une stratégie d’assèchement qu’il faudra contrecarrer par de la redistribution pour qu’elles-mêmes puissent entretenir leur patrimoine. Dès lors, il s’interroge sur l’hypothèse de création d’une piscine évoquée dans le rapport d’orientations budgétaires qui lui apparaît décalée avec la réalité, alors que d’autres projets existent tels que l’atelier technique.

Monsieur Lacroix fait état du décès du directeur de la construction du projet Eleclink qui pourrait avoir des impacts sur le déroulement du chantier. Il précise que l’arrivée de cette recette pour le territoire est effectivement sous-tendue aux nouvelles décisions préfectorales à intervenir et estime pour sa part qu’elle devra être partiellement redistribuée aux communes dans le cadre d’un pacte financier révisé en 2021. Dans l’attente, il importe d’être prudent et de faire ce que l’on peut faire dans le contexte actuel.

Monsieur le Président confirme que cela sera rediscuté en fonction des décisions préfectorales à intervenir mais qu’en tout état de cause, la communauté de communes ne saurait se résumer à un distributeur bancaire, sachant que la moitié de ses recettes réelles de fonctionnement sont déjà redistribuées. Il est clair également que si des rentrées d’argent le permettent il n’y a pas de raison que celles-ci ne repartent pas également vers les communes si tant est que celles-ci portent également des projets, car elles n’ont pas davantage vocation à thésauriser que la communauté de communes. Concernant la mention d’un éventuel projet de piscine, il rappelle que celui-ci a déjà été évoqué à plusieurs reprises, y compris dans le cadre du projet de territoire, et est réclamé par la population et les écoles du territoire qui ont du mal à obtenir des créneaux extérieurs Il s’agit bien d’une hypothèse à ce stade et non d’un projet car la faisabilité dépendra des ressources communautaires et de la volonté politique ou non de porter un tel projet.

Monsieur Loquet rappelle à ce sujet qu’il importe de garder à l’esprit la contractualisation avec le Département en lien avec le projet de territoire. Le Département accompagne par exemple le plan « savoir nager » porté par la région et il importe d’examiner toutes les possibilités avant de déterminer ce qui est possible au-delà d’être souhaitable. Dans l’attente, il propose donc de ne pas se priver de réfléchir.

Monsieur de Saint-Just demande si le décès du directeur de projet est de nature à remettre en question le projet Eleclink et où en est rendu celui-ci.

Monsieur Lacroix répond par la négative au regard de l’ampleur de l’investissement (650M€). A ce jour, la partie visible du projet est réalisée (bâtiment d’1/2 hectare et agencement intérieur). La partie la plus complexe est en cours de réalisation et invisible puisqu’il s’agit de tirer 51 km de câbles dans le tunnel qui demeure en exploitation.

Monsieur Prévost demande quelle sera la puissance électrique concernée.

Monsieur Lacroix fait état de 1000 MW. 2019/018

Monsieur Houdayer demande si un éventuel recours de la CCPO sur une décision défavorable du préfet serait ou non suspensif.

Monsieur Loquet répond que le recours n’est pas suspensif mais qu’il peut être doublé d’un référé suspension que le juge apprécie en fonction du doute sur la légalité de la décision prise d’une part et des conséquences de celle-ci d’autre part.

Monsieur Kidad remarque qu’un contentieux au tribunal administratif dure au moins 3 ans.

Monsieur Loquet précise qu’un référé suspension est décidé dans les 15 jours.

Plus aucun conseiller ne souhaitant prendre la parole sur le débat d’orientations budgétaires, monsieur le Président clôt celui-ci et soumet au vote la délibération suivante :

Vu les articles L.2312-1 et L.5211-36 du Code Général des Collectivités Territoriales rendant obligatoire le débat sur les orientations générales du budget dans les groupements de communes comprenant au moins une commune de plus de 3 500 habitants,

Vu la loi n°2015-991 du 07 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République et notamment son article 106 relatif à la transparence financière,

Considérant que le débat d’orientations budgétaires doit se tenir dans les deux mois précédant l’examen du budget primitif,

Le DOB s’effectue sur la base d’un rapport élaboré par le Président sur les orientations budgétaires, les engagements pluriannuels envisagés, la gestion de la dette. Le rapport d’orientations budgétaires (ROB) doit en outre, comporter une présentation de la structure et l’évolution des effectifs, des dépenses de personnel et de la durée effective du travail.

Sur le rapport de Monsieur le Président et sur sa proposition,

Après en avoir délibéré,

➢ Prend acte de la tenue du Débat d’Orientation Budgétaire 2019 sur la base du Rapport d’Orientation Budgétaire ci-annexé.

Le conseil communautaire, après en avoir délibéré à 45 voix pour, 1 abstention (H.HAMAIN).

VIE SOCIALE

Question n°19 : VIE SOCIALE Maison de Pays de Licques - Demande de subvention au titre de la Dotation de Soutien à l’Investissement local « DSIL »

Rapporteur : - Monsieur Marc MEDINE

Monsieur de Saint-Just demande la surface du terrain concerné et trouve que les études sont coûteuses.

Monsieur le Président répond que la surface est de l’ordre de 3.000 m2 et que le coût des études est de l’ordre relatif de celui de la maison de pays de l’Ardrésis, ce qui est normal pour un projet relativement complexe.

Le projet de la Maison de Pays de Licques vise à projeter les services communautaires de proximité au bénéfice de la population d’un bassin de vie rural de 3.000 habitants dans le cadre d’un bâtiment passif comprenant :

➢ Un pôle enfance composé d’une micro-crèche de 10 places, d’un relais- assistant(e)s maternel(le)s et d’un espace extérieur de jeux mutualisé.

➢ Un pôle culture structuré autour d’une antenne de l’école intercommunale de musique (2 salles instrumentales, une salle de solfège, une salle de percussions), d’un ensemble médiathèque-ludothèque avec salle d’activités mutualisée avec le RAM et d’une salle de spectacles de 300 places assises avec gradin rétractable.

➢ Un pôle santé-social composé d’une antenne locale de la Maison de Services au Public communautaire avec fonction d’accueil général du site, de renseignements juridiques, d’accès à internet et de permanences et un centre de Santé pluridisciplinaire permettant d’accueillir simultanément 4 professionnels de santé, dont au moins deux médecins permanents.

Vu la délibération n°10 du 22 janvier 2019 portant arrêt du programme de la maison multiservices du pays de Licques et arrêt du plan de financement prévisionnel comme suit :

Dépense HT Recette HT

Partenaires Etudes préalables et maîtrise d’œuvre 500 000 € 3.100.000 € (CAF/Etat/Région/Département/MSA) Charge foncière 100 000 € Mairie de Licques (terrain) 100 000 €

Travaux 4 500 000 € CCPO (emprunt) 1 900 000 €

5.100.000 € 5.100.000 € Total Total

Vu l’éligibilité de ce projet au dispositif de soutien à l’investissement public local dans le cadre de la « Réalisation d’hébergements et d’équipements publics rendus nécessaires par l’accroissement du nombre d’habitants,

Le Conseil communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité

➢ Décide de solliciter pour 2019 au titre de la dotation de soutien à l’investissement public local une subvention relative à la maîtrise d’œuvre de ce projet à hauteur 200.000 € pour une dépense évaluée à 500.000 € HT.

Autorise Monsieur le Président à signer tout acte en application de la présente délibération et à en faire application

2019/019

Question n°20 : VIE SOCIALE - CULTURE Demande d’aide à l’acquisition de documents pour la médiathèque auprès du Département du Pas-de-Calais

Rapporteur : - Monsieur Eric BUY

Monsieur Buy précise que le réseau de lecture publique communautaire est désormais fonctionnel et que la navette sera mise en œuvre prochainement.

Le Département du Pas-de-Calais renouvelle, pour 2019, son dispositif d’aide transitoire pour les acquisitions de documents des bibliothèques municipales et intercommunales.

Pour les EPCI, le seuil des dépenses pour être éligible est de 2.50€ par habitant et l’aide départementale est fixée à 50% du montant des dépenses d’acquisition, avec un plafond fixé à 30 000 euros.

La population prise en compte dans le calcul du montant minimum de dépenses d’acquisition correspond au nombre d’habitants de la communauté de communes Pays d’Opale hormis les communes de Alembon, Andres, Bouquehault, Fiennes, Guînes, Licques, Nielles-les-Ardres, Pihen-les-Guînes et Peuplingues qui disposent d’une bibliothèque ou médiathèque municipale et bénéficient du dispositif d’aide départementale à l’acquisition de documents, ce qui représente une population totale de 14.509 habitants.

Considérant le budget prévisionnel de l’opération :

Dépenses Recettes Acquisitions 36 273€ Département 15 000 € Autofinancement 21 273 € Total 36 273€ Total 36 273€

➢ Il est demandé au Conseil d’autoriser le Président à solliciter une aide d’un montant de 15 000 euros auprès du Département.

Après en avoir délibéré, le conseil communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur. Question n°21 : VIE SOCIALE - CULTURE Appel à projet Action Culturelle 2019 – demande de subvention à la DRAC des Hauts de pour la mise en place et l’animation d’un fonds théâtre « Médiathèques en scène »

Rapporteur : - Monsieur Eric BUY

Monsieur Buy explique que la communauté œuvre à la constitution d’un fonds théâtre qu’elle valorise auprès de la DRAC et qui sera utile pour les écoles et les troupes d’amateurs.

Dans le cadre de la création du fonds théâtre au sein du réseau intercommunal de lecture publique, la CCPO propose le projet « Médiathèques en scène », avec le partenariat du Centre de Ressources du Théâtre en Amateur (Ligue de l’enseignement), l’Education Nationale, Canope, le Collectif Jeune Public, le Département du Pas-de-Calais.

Le projet consiste en une série d’actions culturelles et artistiques, ainsi que de la formation en lien avec le fonds théâtre dans le réseau de lecture publique intercommunal, élargi au territoire de l’Entente Territoriale.

Le projet d’animation du fonds théâtre entre dans les critères de financement de l’Appel à projet Action Culturelle 2019 initié par la DRAC des Hauts de France (APAC 2019)

Considérant le budget prévisionnel de l’opération :

DEPENSES RECETTES

Stage théâtre petite boîte 800 Communauté de Communes Pays d'Opale 5 000 Représentation "un président aurait pu dire ça" 3 900 DRAC 5 000

Représentation "crasse tignasse" 1 900

Stage théâtre La Fabrique de Théâtre 2 700 Communication 500 Accueil, défraiement, petits matériels 200 1/ TOTAL Dépenses 10 000 1/ Total Recettes 10 000 VALORISATION PARTENARIATS Département du Pas de Calais Acquisition fond théâtre 1500 (acquisitions) 450 Centre de Ressource du théâtre en Formation des artistes amateurs 1000 amateur (animation des formations) 1000

Centre de Ressource de Théâtre en Malles thématiques 300 Amateur (mise à disposition des malles) 300

Frais relatifs à la participation des collégiens 1 440 Département du Pas-de-Calais (collèges) 1 440 2/ Total dépenses valorisées 4 240 2/ Total recettes valorisées 4 240 TOTAL 1 + 2 14 240 TOTAL 1 + 2 14 240

➢ Il est demandé au Conseil d’autoriser le Président à solliciter une subvention d’un montant de 5 000 euros auprès de la DRAC des Hauts de France.

Après en avoir délibéré, le conseil communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur. Question n°22 : - VIE SOCIALE - ECONOMIE Valorisation par le SyMPaC des Certificats d’Economie d’Energie (CEE) pour les travaux réalisés par la CCPO

Rapporteur : Monsieur Bruno DEMILLY

Monsieur Leberre demande si les communes sont associées à la démarche

Monsieur Demilly explique qu’elles ont déjà délibéré pour ce qui les concerne et qu’il s’agit ici de valoriser les travaux effectués sur le patrimoine communautaire.

Monsieur Loquet précise que l’enveloppe valorisable par le Sympac dans le cadre de ce dispositif s’élève à 1,2M€.

La loi d’orientation énergétique de juillet 2005 a mis en place le dispositif des Certificats d’Economie d’Energie (CEE). Les collectivités locales sont des acteurs éligibles à ce dispositif et peuvent valoriser les économies d’énergie qu’elles ont réalisées par l’obtention de certificats.

2019/020

Le SyMPaC a la possibilité de jouer le rôle de tiers regroupeur des CEE et de mutualiser les économies d’énergie réalisées par les collectivités du territoire.

Considérant l’article 7 du décret n° 2010-1664 du 29 décembre 2010 « relatif aux Certificats d’Economie d’Energie » disposant que les bénéficiaires peuvent se regrouper ou désigner une tierce personne pour atteindre le seuil d’éligibilité ;

Considérant la réalisation par les parties d’opérations d’amélioration énergétique du patrimoine communal ou intercommunal pour lesquelles le SyMPaC pourra s’occuper de constituer le dossier et assurer la valorisation financière des certificats correspondants ;

Considérant que le SyMPaC est labelisé Territoire à Energie Positive pour la Croissance Verte (TEPCV),

Vu l’arrêté ministériel en date du 24 février 2017 relatif aux CEE dans les TEPCV,

Vu l’avenant à la convention TEPCV signée par le SyMPaC en date du 28 février 2017,

Vu la délibération du SyMPaC portant sur le programme « économie énergie » dans les Territoires à Energie Positive pour la Croissance Verte dans le cadre du dispositif des certificats d'énergie en date du 13 octobre 2017.

Au regard de la complexité technique et administrative relative au montage des dossiers CEE TEPCV, il est proposé que le SyMPaC se charge de l’ensemble des opérations administratives de montage des dossiers CEE pour tous les chantiers de la CCPO.

Une fois les CEE enregistrés au registre national, la prime correspondante sera versée au SyMPaC. Le SyMPaC s’engage à reverser à la CCPO la prime collectée pour un tarif de 3.47€ par MGW Cumac.

Après en avoir délibéré, le conseil communautaire à xxxxx décide,

- De confier la valorisation des CEE des chantiers de la CCPO au SyMPaC dans les conditions exposées dans la présente délibération.

- D’autoriser Monsieur le Président à signer la convention relative à ce dossier avec le Président du SyMPaC Question n°23 : VIE SOCIALE Contrat de ruralité « Entre caps et marais » - Demande de subvention au titre de la Dotation de Soutien à l’Investissement Local « DSIL » pour la mise en place du programme de micro-signalétique communautaire

Rapporteur : - Monsieur Ludovic LOQUET

Monsieur Loquet fait état de l’avancement de ce projet avec une cartographie en finalisation. Les marchés sont attendus pour l’été et le déploiement opérationnel à l’automne.

Monsieur Berly évoque l’épée de Damoclès représentée par la décision préfectorale attendue et préconise de ne pas déployer la signalétique avant que celle-ci n’intervienne sur les 4 communes de l’ex-CCSOC.

Monsieur Loquet répond que ces paramètres seront pris en compte mais qu’il importe en tout état de cause de répondre à l’appel à projet DSIL dans les délais impartis pour espérer

obtenir une subvention. Il précise que le marché peut intégrer des tranches fermes et optionnelles.

Vu les compétences communautaires dans les domaines de l’aménagement de l’espace, du soutien aux activités commerciales d’intérêt communautaire, de promotion du tourisme et de signalétique patrimoniale, économique et touristique,

Considérant que le projet de déploiement d’une micro-signalétique uniformisée et actualisée à l’échelle du territoire communautaire est une attente forte exprimée par les communes, les usagers, les activités touristiques et de loisirs et les commerces de proximité,

Vu l’éligibilité de ce projet au dispositif de soutien à l’investissement public local dans le cadre du contrat de ruralité « Entre caps et marais »

Le Conseil communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité

➢ Arrête le plan de financement du projet de micro-signalétique communautaire comme suit et décide de porter les crédits au budget 2019

Dépense HT Recette HT

Etudes préalables et maîtrise d’œuvre 25.000 € DSIL 150.000 €

Fourniture et pose 375.000 € Leader 30.000 € Participations des entités 10.000 € signalées Communauté de Communes Pays 210.000 € d’Opale

400.000 € 400.000 € Total Total

➢ Sollicite pour 2019 au titre de la dotation de soutien à l’investissement public local dans le cadre du contrat de ruralité « Entre caps et marais » une subvention pour la réalisation de ce projet d’un montant de 150.000 €

➢ Autorise Monsieur le Président à signer tout acte en application de la présente délibération et à en faire application.

Question n°24 : - VIE SOCIALE – TOURISME Convention avec l’ONF pour l’entretien et le balisage des sentiers de randonnées

Rapporteur : Monsieur Ludovic LOQUET

Le Président rappelle qu’au titre des compétences, la Communauté de Communes a en charge la création, l’équipement et l’entretien des chemins de randonnée.

Considérant la candidature au Plan départemental des espaces, sites et itinéraires (PDESI) du parcours de marche nordique en forêt de Guînes par délibération n°59 du 22 mars 2018,

Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,

2019/021

Vu le Code forestier,

Vu la sollicitation de l’avis de l’Office National des Forêts concernant le parcours de marche nordique et la nécessaire coordination avec cet établissement public gestionnaire de la forêt de Guînes,

Il est proposé à l’assemblée :

➢ De convenir avec l’ONF des modalités d’autorisation de passage, d’aménagement et d’entretien des sentiers situés en forêt de Guînes,

➢ De préciser les rôles de l’ONF et de la Communauté de Communes ainsi que les responsabilités de chacun.

Le conseil communautaire, après en avoir délibéré, à l’unanimité

➢ Accepte les termes de la convention ci-annexée

➢ Autorise Monsieur le Président à signer tout document à cette fin et à mettre en application la présente délibération

VIE INSTITUTIONNELLE

Question n°25 : VIE INSTITUTIONNELLE - FINANCES Autorisation ventes aux enchères d’un camion

Rapporteur : - Monsieur Antoine PERALDI

La Communauté de Communes souhaite organiser une vente aux enchères d’un camion de collecte de verre qui ne correspond plus aux besoins du service.

La vente de ce véhicule permettra de réaliser des économies en termes de coût de stockage d’un matériel inutile et de générer des recettes pour la collectivité.

Vu la délibération n°7 du 09 janvier 2017 portant délégations du conseil communautaire au président et au bureau, et notamment l’article 8 portant sur l'aliénation de gré à gré de biens mobiliers jusqu'à 4 600 euros,

Conformément à l’article L. 2122-22 du CGCT, la décision de vente des matériels dont la valeur dépasse les 4 600 € revient au Conseil communautaire.

Considérant le prix plancher évalué à 29.000 € par le service

Il vous est donc proposé :

➢ D’approuver la vente aux enchères de ce véhicule dont la valeur dépasse le seuil de 4 600 €.

➢ De fixer le prix plancher à 29.000 €

➢ D’encaisser la recette par virement ou par chèque à l’ordre du Trésor Public après l’émission d’un titre.

Le conseil communautaire, à l’unanimité, adopte la proposition du rapporteur.

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Questions diverses

▪ Point sur l’organisation du grand débat citoyen

Monsieur Loquet fait le point sur le grand débat citoyen qu’il organise à l’échelle de la CCPO à la demande du Président dans le cadre de 5 réunions dont 3 ont déjà eu lieu à Licques, Guînes et Bonningues-lès-Calais. Il fait état d’un nombre de participants modeste mais d’échanges riches, intéressants, courtois et respectueux. Il précise que des rapporteurs thématiques issus des personnels communautaires et des communes de Guînes et Ardres consignent les débats qui sont animés par Monsieur Vincent Calais et que cela représente un ballon d’essai dans la démarche de démocratie participative que le groupe gouvernance, ressources et moyens du projet de territoire souhaite développer au niveau de l’intercommunalité sur des thématiques locales. Les deux prochaines réunions du grand débat auront lieu le 06 mars à Hardinghen et le 07 mars à Ardres.

Monsieur Loquet mentionne la diversité des publics et quelques propositions intéressantes comme par exemple celle formulée lors du débat de Guînes d’un label sur les produits d’électroménagers réparables pour lutter contre l’obsolescence programmée. Il se déclare persuadé que les débats à venir ultérieurement sur les thématiques locales donneront lieu à des idées et propositions intéressantes. Il souligne la très grande dignité qui aura marqué les échanges, le respect l’écoute et la compréhension affichée par tous les participants.

▪ Point sur le projet de territoire - Groupe gouvernance, ressources et moyens : Monsieur Loquet déclare que le groupe s’est réuni en décembre et qu’il a préconisé d’aller au-devant de la population sur les thématiques locales et d’associer également les techniciens communaux à la réflexion. De là sont nées les initiatives d’organiser le grand débat puis des réunions locales thématiques et également une démarche de concertation avec les techniciens communaux et départementaux dont la première réunion a eu lieu ce jour même avec un intérêt souligné des participants. Monsieur Loquet regrette toutefois que seules 10 communes sur 27 étaient représentées et interpelle les maires sur la mobilisation de leurs techniciens pour participer à ces échanges certes épisodiques mais néanmoins importants. Il précise qu’il prendra d’ailleurs l’initiative prochaine d’une rencontre de même nature entre les techniciens départementaux et les communes du Calaisis.

- Groupe environnement et risques : Monsieur Demilly explique que le groupe a organisé plusieurs réunions et un séminaire le 05 février avec 6 intervenants qui s’est avéré très intéressant pour les participants et a ouvert des pistes importantes pour le projet de territoire. Une réunion dans le cadre du plan climat aire énergie a eu lieu également lundi à Brêmes avec restitution de l’étude de programmation énergétique à laquelle seulement 9 communes ont été représentées alors qu’elles sont 41/44 à avoir répondu à l’enquête à l’échelle des deux EPCI (CCPO et CCRA).

2019/022

- Groupe santé et alimentation : Monsieur Lacroix informe l’assemblée que le groupe a organisé une conférence d’une naturopathe qui s’est avérée intéressante mais assez frustrante pour les gastronomes.

- Groupe économie, emploi, économie sociale et solidaire : Monsieur Prévost fait état de la réunion du 19 février avec la Fondation Agir Contre l’Exclusion et du déplacement à intervenir autour du projet « territoire zéro chômeur ». Monsieur Dubois complète en informant l’assemblée de la création de comités technique et de pilotage autour de la thématique de la restauration collective avec une première réunion le 12 mars.

- Groupe culture-citoyenneté-communication : Monsieur Buy explique que le groupe a d’abord procédé au listing de l’existant et travaillé sur les points d’amélioration. Concernant la communication, le manque d’un technicien professionnel est avéré et un important travail sera à développer sur la citoyenneté.

▪ Monsieur le Président salue le travail engagé et sollicite les conseillers communautaires et les maires pour assister ou se faire représenter dans les différentes réunions organisées à l’échelon communautaire car beaucoup d’information est diffusée mais elle n’est pas toujours répercutée vers les absents.

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L'ordre du jour étant épuisé et aucun Conseiller Communautaire ne demandant plus la parole, la séance est levée à 21h15 et Madame Havart invite les conseillers au verre de l’amitié.