LE FANTÔME DE SHAKESPEARE De Et Avec Philippe Avron

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LE FANTÔME DE SHAKESPEARE De Et Avec Philippe Avron Saison 2003-2004 LE FANTÔME DE SHAKESPEARE de et avec Philippe Avron DOSSIER PÉDAGOGIQUE Sur la photo : Philippe Avron © Pascal Gély / Agence Bernand ING nous aide à initier les jeunes au théâtre dès l!école. LE FANTÔME DE SHAKESPEARE De Philippe Avron Distribution De et avec Philippe Avron Musique : Jean-Jacques Lemêtre Lumière : André Diot Avec l!aide de l!équipe technique de l!Atelier Théâtre Jean Vilar Molière 2002 Meilleur One Man Show un spectacle présenté par Acte 2 Acte 2 est un département d'Atelier Théâtre Actuel et Catherine de Courson en accord avec le Théâtre Le Ranelagh - Paris Dates : du 11 au 19 mars 2004 Lieu : Théâtre Jean Vilar Durée du spectacle : 1h25, sans entracte Réservations : 0800/25 325 Contact écoles : Adrienne Gérard : 0473/936.976 – 010/47.07.11 2 Avant-propos Philippe Avron nous offre par le biais de son spectacle une magnifique leçon de théâtre, d!humanité et de culture. En effet, ce spectacle, dont l!auteur, le comédien et le metteur en scène ne font qu!un, est une initiation au théâtre. Philippe Avron, monument qui a traversé toutes les œuvres et a côtoyé les plus grands metteurs en scène, revisite tous les événements, les personnalités du théâtre depuis les années !60. Philippe Avron est également un être humain exceptionnel, d!une générosité rare, ses multiples expériences théâtrales collectives le prouvent. Enfin, Philippe Avron est un homme de culture hors du commun, érudit et élégant, son œuvre est d!une grande poésie. Presse Philippe Avron propose « Le fantôme de Shakespeare », hymne au théâtre, au poète, le grand Will, et au public. Philippe Avron est un homme de finesse et d'espièglerie. Il traite ses nostalgies avec tendresse et livre au public ses souvenirs, ses joies, ses réflexions sur le théâtre, la planète des fantômes. Il les fait revivre d'un sourire, d'une démarche. De son professeur de philo aux cancres de la classe, ils sont tous là, ceux qui accompagnent Philippe Avron dans ses rêves. Après "Ma cour d'honneur", variation émouvante, farfelue, autour d'Avignon, de son festival et de cette fameuse cour, "Je suis un saumon" allégorie grave et malicieuse du passage de la vie à la mort, il propose "Le fantôme de Shakespeare", hymne au théâtre, au poète, le grand Will, au public, que Shakespeare conseille « soyez les ingénieux chimistes de nos métamorphoses ». Après un tel souhait, le public ne peut qu'avoir du talent. D'ailleurs, c'est tout l'art de Philippe Avron, donner des ailes au public. Lui qui joua en 1977 "Hamlet" dans "La cour d'honneur" sous la direction de Benno Besson - «Il me donne de l'énergie» - avoue avoir fait ses premiers pas shakespeariens avec Peter Brook. «C'était en 1968. Brook avait réuni un petit groupe de comédiens, dont Sami Frey, Delphine Seyrig, Michael Lonsdale. Peter Brook nous faisait travailler des improvisations, du style l'arme et la blessure. J'ai vu des meurtres au regard». Un spectacle qu'ils ont joué, non pas à Paris en pleine fièvre soixante-huitarde, mais à Londres, dans une gare désaffectée. Peter Brook fait d'ailleurs une apparition savoureuse dans le spectacle, tout comme Ariane Mnouchkine, Raymond Devos et Jacques Lecoq, le mentor ami, celui chez qui Philippe Avron fit ses classes à 19 ans. Il les évoque tous avec une amitié cocasse et sympathique. Parfois un grain de malice vient se glisser dans le voyage fraternel. Ainsi, chez Lecoq, Philippe Avron et ses condisciples apprennent à mimer le travail, prendre, recevoir une brique, la poser, et ils font et refont les gestes sans fin. Leurs camarades du Conservatoire déclament à tout va Racine ou Corneille et les interpellent : «Et chez Lecoq, ça va ?» «ça va» «Qu'est-ce que vous faites ?» Et les disciples du mime de répondre en chœur, sourire jusqu'aux oreilles : 3 «La brique !» Un ton amical et blagueur qui n'appartient qu'à Philippe Avron. Il vagabonde d'un personnage à l'autre, et démasque Shakespeare devant une classe de terminale. Il irradie, entre humour et grâce. Sa malice est jolie. En scène, il donne la parole aux accessoires de tragédies shakespeariennes : le poignard, le trône, le crâne. «Ce qui frappe dans le théâtre de Shakespeare, c'est la vie. Il donne de la vie au moindre objet, «le poignard regrette» «la lune rougit»… je m'amuse de ces trouvailles.» Il précise que le crâne tenu en main est en résine, acheté à deux pas de l'Ecole de médecine. C'est un farceur tendre. «J'écris tout le temps. Je crois aux rapports d'abeille entre les êtres, c'est-à-dire la rencontre informelle de deux êtres qui font leur miel de leur curiosité. Il faut être comme un pêcheur et attendre. Quand rien ne vient, je lis Montaigne. D'ailleurs, il intervient dans le spectacle. Il dialogue avec Shakespeare.» Quel générique ! Rien d'étonnant de la part de cet humoriste aristocratique, vrai prince sans rire. Marion Thébaud Le Figaro - Mercredi 30 Janvier 2002 4 I. La pièce « Philippe, me dit un jour Shakespeare, voudriez-vous que nous soyons tous les deux gamins éternels ? ». C!est ainsi que commence le spectacle du comédien et conteur Philippe Avron. Dans une classe de terminale de lycée, peuplée d!élèves répondant aux doux noms de Tête de Silex, Carbone 14, Black Hole ou Aurélia, le professeur essaie de faire partager à ses ouailles la certitude de l!existence des messagers de l!au-delà. Shakespeare et Einstein assistent au cours : les élèves voient le dramaturge et le savant, mais un député et un inspecteur ne parviennent pas à distinguer les illustres revenants. Les redoublants que le professeur nomme « ceux qui continuent avec moi le voyage », ne distinguent les fantômes qu!au bout de quelques années. Comment oser voir d!emblée ce qui relève de la poésie et d!un cheminement personnel ? Les élèves qui ont triplé leur niveau considèrent toute question brève comme une affirmation prétentieuse, alors que la lueur d!une réponse nécessiterait des années. Pour mieux expliquer son propos, Avron appelle à la rescousse, en un clin d!œil, Jacques Lecoq, Montaigne, Kant ou Nietzsche, Jean Vilar, des morts bien vivants et particulièrement drôles auxquels viennent répondre des vivants… bien vivants : Peter Brook, Raymond Devos, Ariane Mnouchkine… Philippe Avron choisit pour ce monologue d!explorer les recoins de ce qui l!entoure et le passionne : le théâtre. Le spectacle parle des fantômes qu!on ne voit pas, mais qui n!en existent pas moins, ce sont nos doubles, nos ancêtres, tous ceux qui nous habitent. Shakespeare est le roi des fantômes avec sa poésie et son panthéisme. Pour lui, la lune rougit, les étoiles se figent, le poignard regrette, le sang sort de la plaie pour voir qui l!a libéré. Tout vit au théâtre sous son regard. Ce qui frappe le comédien-auteur, c!est que depuis deux générations, on a éliminé les fantômes de notre vie. On ne trouve plus de greniers, de silence dans la nuit, de peurs ensemble : en échange, la confrontation solitaire avec l!angoisse. C!est pourquoi les fantômes se sont réfugiés au théâtre, là est leur place. Le théâtre fait venir les spectres et revenir au passé. L!homme, fort de son pragmatisme, a cru éliminer cette réalité, qui ne peut être radiée, puisqu!elle est. « Nous sommes tous les enfants d!un tel et d!une telle, issus d!une histoire, et lourds de tels poids, de telles joies ». 5 II. L!auteur Le père de Philippe Avron s!appelait également Philippe Avron. Il était administrateur maritime. Avant d!être nommé à Paris et à Bordeaux, il a bourlingué dans tous les ports bretons : le Croisic, le Guilvinec, Concarneau, Saint-Malo. A chaque escale, il déposait un enfant. C!est ainsi que Philippe Avron naît en 1928 près du port de Croisic. Philippe Avron fils grandit donc ici et là, en Bretagne et fréquente le collège de Saint-Malo. Ensuite, à Paris, au lycée Jacques Decour, il étudie et aime passionnément la philosophie ; pour la première fois, il va à l!école sans angoisse : « La philosophie, c!est la possibilité de poser toutes les questions, sans être obligé d!y répondre… ». Il est vrai que Montaigne lui est déjà familier ; son père, qui portait toujours dans son costume d!administrateur un petit exemplaire gris des œuvres du maître, le lui avait fait découvrir tout jeune. Encore le père ! Ce dernier, juriste de profession, était aussi philosophe et acteur dans l!âme. Philippe Avron père rêvait ainsi que son fils devienne comédien. Il lui dira plus tard : « Tu n!es pas allé vers le théâtre, c!est le théâtre qui est allé à toi ». Le chemin fut étrange en effet. Après des études de droit et de psychologie, Philippe Avron a maintenant 25 ans. Il choisit d!enseigner dans une école pour jeunes caractériels. Il écrit et illustre des textes, des livres pour enfants et les fait jouer par ses élèves. Il ne perdra d!ailleurs jamais son goût pour l!enseignement : durant toute sa carrière de comédien, il aura soin de donner des stages : « Lorsque je vais en province, même si je ne joue qu!une fois, je reste huit jours. Je donne des stages autour de Dom Juan, par exemple, à des gens qui ne sont pas obligatoirement des comédiens ». Cela dit, et pour perfectionner auprès de ses jeunes élèves des années 50 son travail d!expression corporelle, il entre à l!école de théâtre de Jacques Lecoq. C!est là qu!il connaît Pierre Richard, Claude Evrard et bien d!autres.
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