Centuriations Romaines Et Dynamique Des Parcellaires
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View metadata, citation and similar papers at core.ac.uk brought to you by CORE provided by Archive Ouverte a LUniversite Lyon 2 CENTURIATIONS ROMAINES ET DYNAMIQUE DES PARCELLAIRES. UNE APPROCHE DIACHRONIQUE DES FORMES RURALES ET URBAINES DE LA PLAINE CENTRALE DE VENISE (ITALIE) Robin Brigand To cite this version: Robin Brigand. CENTURIATIONS ROMAINES ET DYNAMIQUE DES PARCELLAIRES. UNE APPROCHE DIACHRONIQUE DES FORMES RURALES ET URBAINES DE LA PLAINE CENTRALE DE VENISE (ITALIE). Sciences de l'Homme et Soci´et´e. Universit´e de Franche-Comt´e;Universit`adegli Studi di Padova, 2010. Fran¸cais. <tel-00551273> HAL Id: tel-00551273 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00551273 Submitted on 3 Jan 2011 HAL is a multi-disciplinary open access L'archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destin´eeau d´ep^otet `ala diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publi´esou non, lished or not. The documents may come from ´emanant des ´etablissements d'enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche fran¸caisou ´etrangers,des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou priv´es. Université de Franche-Comté ECOLE DOCTORALE « LANGAGES, ESPACES, TEMPS, SOCIETES » Università degli Studi di Padova SCUOLA DI DOTTORATO IN STUDIO E CONSERVAZIONE DEI BENI ARCHEOLOGICI E ARCHITETTONICI Thèse en vue de l’obtention du titre de docteur en ARCHEOLOGIE CENTURIATIONS ROMAINES ET DYNAMIQUE DES PARCELLAIRES. UNE APPROCHE DIACHRONIQUE DES FORMES RURALES ET URBAINES DE LA PLAINE CENTRALE DE VENISE (ITALIE) VOL. 1 : TEXTE Présentée et soutenue publiquement par Robin BRIGAND Le 9 décembre 2010 Sous la direction de François FAVORY et la co-direction de Guido ROSADA Membres du jury : M. Jean-Loup ABBE, Professeur, Université de Toulouse II – Le Mirail, Rapporteur M. Gérard CHOUQUER, Directeur de recherches au CNRS, UMR 7041 (Paris I – Nanterre) M. François FAVORY, Professeur, Université de Franche-Comté M. Ricardo GONZALES VILLAESCUSA, Professeur, Université de Reims, Rapporteur M. Bruno MARCOLONGO, Directeur de recherches au CNR – IRPI (Padoue, Italie) M. Guido ROSADA, Professeur, Université de Padoue (Italie) « La terra, sotto i miei piedi, non è altro che un immenso giornale spiegato. A volte passa una fotografia, è una curiosità qualunque e dai fiori nasce uniformemente il profumo, il buon profumo dell’inchiostro di stampa ». André Breton, Poisson soluble, 1924 Trad. F. Careri, Walkscapes. REMERCIEMENTS Dès les prémisses de cette recherche, François Favory s’est positionné en tant que soutien indéfectible. Les échanges constants que nous avons eus m’ont permis de progresser et de mener à terme ce travail. Je le remercie pour la disponibilité et l’écoute dont il a toujours fait montre. En m’interdisant le doute, je lui dois d’avoir pu conclure cette recherche. Ce travail n’aurait pas pu aboutir hors le cadre formel qui lui a été donné par une co-tutelle entre les universités de Padoue et de Besançon. Aussi, je suis particulièrement redevable à Guido Rosada du département d’archéologie de l’Université de Padoue d’avoir accepté d’héberger cette recherche et de m’avoir intégré avec sympathie au sein de la Cattedra di Topografia Antica. Gérard Chouquer est à l’origine de mon Master puis de ce doctorat engagé auprès de l’Université de Besançon. Je lui suis reconnaissant d’avoir par ses propres recherches, toujours stimulé les miennes. En me soumettant ce dossier nord-italien, il ne doutait pas de ce qui pouvait en sortir. J’ignorais encore tout. Aussi, je lui suis gré de m’avoir encouragé dans cette voie et d’avoir soutenu mon approche cartographique de l’espace vénitien. A Padoue, je tiens à remercier Bruno Marcolongo de l’Istituto Regionale per la Prevenzione Idrogeologiche qui a accueilli mes premières démarches en Vénétie. Je lui suis particulièrement reconnaissant pour la gentillesse avec laquelle il m’a facilité l’accès à une documentation planimétrique de première main mais aussi pour les agréables échanges scientifiques fructueux que nous avons pu avoir. J’ai été amené à plusieurs reprises à collaborer avec le département de géographie G. Morandini de l’Université de Padoue. Les discussions que j’ai pu avoir avec Paolo Mozzi et Andrea Ninfo m’ont toujours été utiles et je les remercie pour leur accueil au sein de cette unité de recherche. Enfin, avec Antonio Marchiori, du département d’archéologie, l’échange a été constant et stimulant. Je lui dois, en sus de l’ouverture qu’il m’a permise vers les univers vénitiens et istriens, d’amicales conversations toujours enrichissantes. J’ai eu avec le cartographe Massimo Rossi de la Fondation Benetton Studi Ricerche de Trévise des échanges particulièrement intéressants et j’ai largement bénéficié de ses savoirs, tant dans les domaines de la cartographie historique de Vénétie que dans celui de la compréhension des dynamiques spatiales de l’époque moderne. C’est à ce niveau que la 1 rencontre avec l’architecte Sergio Pratalli Maffei du département de Progettazione Architettonica e Urbana de Trieste a été déterminante. Sa parfaite connaissance des implications territoriales de la colonisation patricienne de la terre ferme vénitienne pendant l’époque moderne m’a permis d’engager, grâce au concours de l’Istituto Regionale delle Ville Venete de Venise, un discours critique sur la part romaine des formes agraires visibles dans les planimétries. L’utilisation de la documentation aérophotographique est à la base de cette recherche. Aussi, je tiens à remercier les personnels de l’Istituto Geografico Militare de Florence et ceux de l’Aerofototeca Nazionale de Rome. Si ces deux institutions ont été visitées à plusieurs reprises, c’est tout particulièrement la documentation disponible au Centro per la Cartografia de Mestre que j’ai pu explorer avec assiduité. J’y ai toujours été reçu avec amabilité et professionnalisme. Je tiens à remercier plus précisément Claudio De Conto. C’est lui qui m’a donné accès, toujours avec la même sympathie, aux archives cartographiques et photographiques de la Région. Dans un même registre, je remercie le personnel des Archivi di Stato de Vénétie, en particulier celui des archives de Padoue, Trévise et Vicence (section de Bassano del Grappa) pour les facilités qu’il a systématiquement accordées à mes démarches. Leur patience a parfois été mise à rude épreuve et je leur suis reconnaissant de m’avoir toujours permis d’accéder aux documents recherchés et ce, malgré des délais souvent difficiles à tenir. Je tiens également à souligner ici l’aide que m’ont apportée les directeurs et techniciens de plusieurs Consorzi di Bonifica de la plaine centrale de Venise. Umberto Niceforo, Marco Tamaro et Massimo Boesso tout particulièrement ont prêté écoute à mes travaux et m’ont apporté une aide précieuse en me facilitant l’accès aux cartes techniques et hydrauliques. Deux institutions sollicitées m’ont été d’une aide précieuse. Un financement de l’Université franco-italienne accordé dans le cadre du programme d’aide aux thèses en co-tutelle (Prog. Vinci, Chap. II) a rendu possible de nombreuses missions de terrain. C’est grâce à ce soutien substantiel que j’ai pu approfondir l’exploration des institutions publiques et privées de Vénétie. Ensuite, deux bourses consécutives de l’Ecole Française de Rome m’ont offert un cadre de travail remarquable. La richesse des fonds documentaires et l’environnement historique et social de l’Urbs ont été un stimulus de plus à cette recherche. A Besançon, je remercie l’équipe de la Maison des Sciences de l’Homme et de l’Environnement qui a toujours apporté son soutien à cette recherche. Marion Landré, Soizic Viaouet, Isabelle Mouret et Mattieu Lattroy sont tout particulièrement remerciés pour leur 2 sympathique contribution à l’expérience vénitienne : en facilitant l’accès au parc technologique mais aussi par une aide logistique décisive, ils ont concouru à ce qu’est devenu ce travail. Je remercie également Laure Nuninger pour m’avoir donné une place au laboratoire de Chrono-environnement de Besançon ainsi que permis l’accès aux infrastructures indispensables. Elise Fovet, du laboratoire de Chrono-environnement, doit également être remerciée. Parce qu’elle a été ma comparse et complice de thèse, parce que nous avons ramé sur la même barque, souvent échangé nos façons d’appréhender l’espace, elle m’a été d’un soutien indéniable. Bien plus, parce que nous avons régulièrement partagé nos doutes, elle m’a permis de dépasser les miens. Depuis cinq ans, je partage avec Olivier Weller une aventure scientifique en Moldavie roumaine des plus encourageantes. Il m’a offert la possibilité d’ouvrir mon champ d’investigation à l’archéologie spatiale et à l’ethnoarchéologie tout en affinant ma connaissance de la langue et de la culture roumaines. Je lui suis particulièrement reconnaissant de m’avoir fait entrer, avec Marius Alexianu de l’Université de Iasi, dans l’univers de l’archéologie du sel. Je n’oublie pas de solliciter dans ces remerciements Jonathan Desmeulles. Il a contribué par sa disponibilité, par des échanges scientifiques pertinents et par une aide technique de qualité, ponctuelle et nécessaire, à l’avancement significatif de mon travail. Qu’Alvise le Vénitien et Marko l’Istrien soient tout autant remerciés. Ils m’ont apporté un soutien remarquable et ont grandement participé à ma découverte des cultures nord-adriatiques. Ils m’ont donné des souvenirs souvent chargés de soleil et d’air marin. A Pise, c’est Giacomo le Sicilien que je remercie. Parce qu’il m’a toujours reçu avec amitié, il a contribué à l’exploration méthodique des fonds de l’Istituto Geografico Militare de Florence. Merci à Nathalie, ma mère, d’avoir accepté d’assumer la charge, parfois ingrate, de relectrice.