Dans la plaine Inondée Au gre de ma fantaisie vues de Charrat Les singesjntelligents Choses Gare frontiere Jusqu'à présent, fai toujours trouve un peu vexant qu' on fit descendre l'homme du à Fully el Martigny Voici la gare de singe, parce que celui-ci passe plutót pour Hehnstedt, à la fron- notre imitateur. J'aimais tout autant venir tière des zones anglai- du- lion, parce qu' on lui accorde la noblesse, la plaine de Charrat- la peine à s'apercevoir de tout cela que le — Va dono voir se et russe. Le trofie ou da renard, par ce qu'il passe pour très nous avait dit hindi matin un ami de train stoppe. Fully, allant se rétablir, la inaliti. On dit bien parfois « malin comme un peine. Nous descendons : le chef de train qui nous là-bas. Le spectacle en vaut la gare-frontière va de sing e », mais les pouvoirs publics, qui nous écrit un reportage connait bien nous dit familièrement : Nous avions en effet nouveau jouer son imposent les jougs les plus lourds inclinent par personne interposées. Nous- — Inutile de passer derrière la gare. Les en partie ròle. davantage à nous assimiler au bceuf. méme n 'avions vu ce que nous décrivions que canards d'imprimerie ne savent pas nager. ' ^^^ *t Mais les sing.es ont eu leur revancke, et ¦ ' ** *» *K^ ' dans la région de Chippis à Sion. Le reste Mais il semble qu'on ait prévu la circons- * précisément datts un domaine qui dépend des n'était pas de la fantasie, mais fonde sur tance. Un petit raidillon nous conduit au pouvoirs publics. C'était à Ugines, en Sa- de précieux renseignements fournis par des pont sur voie de la route Charrat-Fully. voie. Un cirqtie avait dressé là ses tentes. Un témoins oculaires, notamment par notre direc- Et nous voilà sur un belvedére d'autant spécialiste y faisait travailler des ckimpanzés, tsar M. Georges Gessler. plus impressionnant que sa faible hauteur un bipede qui apprettali aux quadrumanes Mais tout de méme, im journaliste qui se ne permet pas de voir l'étendue du lac étran- » ce qu'il tiommait sans aucun doute des « sin- respecte devait, après une telle catastrophe, ge place sous nos yeux : celui-ci paraìt illi- Le «véritabie amour est inaitérable est de tous les temps. Meme De son coté, la jeune fille restait inconsolable. geries» , mais que les primates pltts pertinents faire ce qu 'un de nos interloeuteurs de la mité, sauf par les montagnes qui barrent L'Amour, le vrai, Par bonheur un ami amena Jimmy à la T. S. F. devaient appeler entre eux des « kommeries ». journée appellerà plusieurs fois avec une l'horizon. Etrange, étrange : c'est comme qa du nòtre. , A Freemantle (Australie) un cargo norvégien qui transmit cet appel : Or nos frères lointains, les descendants de complaisanee non dissimulée : un « vision lo- que nous imaginions des paysages d'étangs voulurent mon- voyageusc clandestine. « Le jeune marìn Jimmy Cochram fut naufra- nos àieux en ligne collaterale, cale ». japonais. a débarqué une jeune fille, Les policiers ont surpris le mess-boy, le garcon gé en 1944 et perdit la mémoire. Jimmy Cochram trer de quoi ils étaient capables quand ils C'est pourquoi nous avons pris à Sion le H y a les peupliers qui paraissent plantes étaient livres à leur propre initiative. Tout qui servait à table, au moment où il l'aidait à ga- recherche sa fianeée qu'il a connue dans le mè- train pour Charrat. C'est en tout temps, le sérieusement : tout le reste semble fletter. 'évadèrent ce qui est une preuve gner la terre ferme. tro... » d'abord, Us s , moyen le plus simple, mais c'est aussi, dans Sur les rives de cette digue que forme la de sagesse. Moins que les Iwtnmes les sitiges Le garcon, qui faisait la plonge dans la cam- Gràce à la radio, Frances et Jimmy ont repris , la circonstance présente, le plus sur, si l'on route, arrivent des pommes qui flottent en sont faits pour vivre derrière des barreaux. buse et le lit du capitaine, était un authentique contact. veut aboutir à la gare. quantité, des cageots, des planches, des cour- Arrivés dans la, rue ils virent une pancarte capitaine de fregate et la resquilleuse sa fianeée. Que dire de cette idylle de John Madson, le , Car la gare de Charrat-Fully est dans mie ges semblables à des corps d'animaux gonflés sur une maison : Office du ravitaiUement. — C'était, pour nous, le seul moyen d'émigrer chercheur d'or, du territoire du Yukon et de la ile. Disons une « presqu'ìle » à moins de con- par l'eau, et cette fleur de regain si dense « C'est bien là que l'on doit entrer, se dirent- en Australie et de sauver notre amour, expliqua célèbre danseuse du music-hall des prospecteurs : aidérer comme un pont la voie ferree, non qu 'on croirait plutót voir de minuscules plan- si l'on veut se ravitailler ! » Mais entrés l'homme. Klondyke Kate Rockwell ? Us , , submergée, qui relie la gare à l'est et à tes aquatiques. L'eau est verte, un peu glau- dans la demeure ils ne trouvèrent qu' une de- Ces amours marines sont sans doute moins re- John tomba amoureux d'elle en 1900, mais , l'ouest. que. Hier elle devait ètre limoneuse, mais elle moiselle au unilieu de papiers. Les ckimpan- ni anesques que les amours de mètro de Jimmy elle en aimait un autre. Il s'effaca, perdu dans les Nous ne sommes pas seul à descendre à la a eu le temps de se décanter. On voit aux zés n'étant pas antkropopkages mème quand Cochram. Jeune marìn américain en congé à New- sciiludes à la recherche de l'or. , gare isolée : de nombreux eurieux comme troncs d'arbres, aux feuillages qui trempè- l\ amtkropos » (l'iwmme) prend la forme York, Jimmy prit le metro. Arrèt brusque : il Trente-trois ans plus tard, John appri|t que nous s'y arrètent, et d'autres prennent nos rent et qui restent maculés, que l'eau a baissé d'wie « partkénos » (vierge) dont rien ne recut dans ses bras une ravissante jeune fille. Il Kate était veuve. Il lui écrivit une lettre brève et places laissées vides dans la volture. Gomme de près d'un mètre. ' elle fùt ravissante et ravissable la garda dans les bras quelques jours, puis lui simple : notis dit qu , il y a un croisement de trains au moment La route elle-mème de Fully se perd dans d' anitre part le papier n'étant pas pltis co- demanda sa main. Hélas ! un ordre urgent de « Je f alme toujours. , où nous arrivons, nous pouvons constater que l'eau, exactement comme une grève de plage. mestible pour les singes que pour les kommes départ le fit embarquer pour les pays lointains. « Signé : John. » , les eurieux viennent et s'en vont d'en haut Des camions, des autos, passent tout de méme, nos cousins germains s' apergurent qu'ils é- canots dont l'étrave C'était en 1944; un avion japonais bombarda son Us se rencontrèrent Kate avait changé, mais et d'en bas. trop large fait jaillir taient dupés. Quant à tious, nous ne nous en l'eau en paraboles jumelées. Mais voici navire. Avec quelques camarades, Jimmy se re- John se croyait toujours en 1900. Il I'épousa et, Mais uéjà nous avions été saisi. Au départ d'un serions i>as douté. Nous aurions empoché les autre sport. : la bicyclette nauti tro-uva balance par les vagues accroché à une malgré ses soixante-dix ans, repartit prospecter : de Saxon, toutes les fenètres de la volture que. Des hom- cortes d'alimenta tion avec ravissement : eux, mes planche. — Il me faut de l'or, beaucoup, pour toi, ma avaient été prises d'assaut. Doué par la na- , des femmes, en enfants surtout, pédalent se mirent à tacerei- les tickets sans se deman- là-dedans, Quand il fut sauvé, par miracle, il avait tout reme. ture d'ime taille suffisante, nous regardions les premiers parfois munis de bot- der si ceux-ci étaient konorables ou non; ils se tes de eaoutchouc oublié; le choc en avait fait un amnésique. De Le jour de son quatre-vingt-troisième anniver- par-dessus les tétes. Le paysage était bien tei , ou les salopettes inutile- firent des tabliers et des couvre-ckefs avec les ment serrées à la eheville retour à New-York, il guérit, redevint, méme pour saire John annonca à Kate qu'ils étaient riches. qu'on nous l'avait décrit et que nous l'avions , souriant générale- classeurs, cassèrent les porte-plumes en petit ment aux spectateurs d'un air contraint. Les lui, Jimmy Cochram, mais « sans pouvoir se rap- Une dernière fois, il voulut partir à la chasse. présente dans notre compte rendu. Il va se bois pour allumer le feu, lancèrent les en- femmes, c'est plus simple : elles sont jambes peler le prénom ni mème le nom de sa fianeée. » Comme il ne revenait pas, Kate partìt le cher- préciser seulement. efiers cantre les mwailles pour donner là nues. L'une perd une sandale qui flotte. Elle Dès lors Jimmy se mit à róder jour et nuit cher. Mais la mort avait trouve John avant elle. — Pour ime fois, nous dit quelqu'un, les celles-ci un peu de vernis, bref se comportè- joumalist.es n s'en revient la ramasser sous les quolibets. dans New-York, dans l'espoir de retrouver Frances La main de John s'était fennec sur la photo de 'ont rien exagéré. rent en vrais singes, ce qui, de la part des Elle rit d'abord, piiis se fàche humiliée : Moscovitz, sa fianeée. Kate. — Us sont méme restés au-dessous de la , hommes, eùt passe pour se conduire en gar- vérité, nous dit un autre. — Vous pouvez bien rire, bande de «gnafs» neinents. (c'était un autre mot mais notre piume se Si nous ne redoutions une digression , nous , TI falliti, pour que ce jeu prit ftn, leur refuse à l'écrire ) ! pourrions nous étendre ici sur les misères de Vous ne feriez pas tant donner des cacahuètes. Comme quoi, les ce métier. , les malins si vous liabitiez à Fully. Dans la nàte d'une première -ré- singes, moins bètes que nous, trouvèrent à Les rires n daction , on ne peut tout voir et tout ecrire. 'avaient pourtant rien de mé- l'Office de ravitailletnent ce qui justifiait chant Chaque lecteur, qui garde dans ses yeux et , mais on comprend la jeune fille vexée. son titre et qu 'ils étaient venus y ckerclier. sa mémoire la vision de son secteur, trouve Pour les gamins, c'est une fète : ils tachent qu'on ne lui a pas fait la part assez grande. de s 'éclabousser mutuellement à qui mieux Jacques TRIOLET Parbleu ! c'est notre raison d 'étre ici. mieux. - - Dès qu 'on appi-oche, on voit le canal qui — Alors, on y va ? TT rWrnrrTnrTlìWWiTi iWrTiTTlTl rlmr! rtriTTTnTiTTTTm longe la voie, démesurément grossi. Les eaux Deux jeunes gens retroussent leurs panta- moliteli!, monteiit, à mesure que le train des- lons, enlèvent souliers et chaussettes. Vètus iK ¦¦£! ' .:- LE PRIX DES POMMES DE TERRE oend. Elles paraissent bientót immobiles, à d'imperméables ils en relèvent les pans pour Dans sa séance de vendredi, le Conseil fe- peine ridées par un soufflé qui en caresse la que ceux-ci ne traìnent pas dans l'eau. C'est derai a fixé les prix à la production des pom- surfaee. On a l 'impression que dans un mo- bien le plus simple de revenir ainsi à l'an- mes de terre potagères entre 17 et 20 fr. par ment on va pénétrer dans le canal. Mais cien gué. 100 kg. selon les variétés, franco gare de dé- celni-ci s'étend en un étang démesuré d'où Nous allons nous y résigner à notre tour, part. Pour la Bintje, la règie des alcools pour- fmergent arbres fruitiers et peupliers. Re- nialgré ce spectateur qui photographie. Mais ra autoriser un supplément de qualité de 2 gardons à droite : un garage est construit une camionnette survient : fr. par 100 kg. au maximum à partir d'une dans les flots : à la surfaee de l'eau se trou- —• Qui veut monter ? date qu 'elle fixera ultérieurement. Comme vent les toits de cabines de plusieurs camions. Le pont est aussitòt recouvert d'ime grappe ces dernières années, la règie accorde des Et ce commerce de fruits de M. Cretton , humaine. Nous voiei transportés à notre tour subsides pour le transport des pommes de curieusement installé dans une maison qui sur eette machine amphibic à l'entrée du pont terre par wagons entiers. En outre, des me- sort de l'eau ! La route cantonale passa.it au- de Fully. sures ont été prises en vue de Putilisation ttefois devant : on ne la voit plus. On a de (Suite en 2me page) rationnelle des exeédents par l'affouragement et la féculerie. .. ET CELUI DU GIBIER ET DES LAPINS Par ordonnance de l'Office federai du contròie des prix, la formatimi des prix du Avant son abdication, la reine Wilhelmine (aujourd'hui princesse de Hollande), la princesse gibier et des lapins est libérée. Demeurent ré- Juliana (aujourd'hui reine), le prince Bernard et la princesse Beatrice (actuellement héritière du servées les dispositions sur l'introduction des tróne) traversent en volture les rues d'Amsterdam et recoivent l'hommage du peuple. bénéfices illicites et l'interdiction d'entraver SION l'approvisionnement régulier du marche par NOS AR1 ISTES A L'ÉTRANGER nes, l'Etat n'étant qu 'un intermediaire, et le les transactions écoiiomiquement injustifia- Grande fète de l'air, Le duo Lola et Jean-Sébastien Benda, 1/3 par les assurés eux-mémes. C'est le Dé- bles. bien connu en Suisse romande nous écrit- partement charge du service des foréts qui les 26 et 26 septembre 1 948 , on. vient de remporter un grand succès à exéeutera cette décision. UN KÈGNE DE 50 ANS la Semaine internationale de musique oon- Durant un demi-sièele, la sage reine Wilhelmine tem ucraine 1948 à Darmstadt. Le duo Ben- a régno sur les Pays-Bas. Au moment où elle abdi- da presenta des ceuvres suisses pour vio- que en faveur de sa fille, L'Illustre consacre à la lon et piano de Beck Geiser rlonegger vieille souveraine un reportage de deux pages, fort , , vivant giace à ses nombreuses photos de diverses et Vuataz. La presse allemande écrit: L'e- epoques. Voir ausai dans le mème numero une re- xécution de toutes ces ceuvres fùt absio - nuu quable carte documentaire de la Chine en cou- lunient remarquable. leurs, des instantanés de la crise frangaise, une in- d'alertes photos de UNE MESURE SOCIALE DE L'ETAT terview du professeur Piccard, Les mulets eux-mémes se Maurice Chevalier, un papier sur la prestidigita- DU VALAIS tion et un roman inédit de Jean Maurinais : « Les senten t des ailes... cr3 Agissant au nom des communes du Valais blouses blanches ». C3 et profitant de la participation accordée par la Confédération, le Conseil d 'Etat du Va- lais à décide de contraete!- une assurance-vie pour les gardes-forestiers des communes. Les "^* Av-vCrv $,i ^ 2/3 des primes seront payées par les commu- IMPRIMÉS EN TOUS GENRES Emery Joseph, Ledergerber Paul; 78: Bon- Arrètée par les fortifications de St-Mau- taient au Hornli. U repartaient mardi à 4 Etudes classiques, vin Marius. rice dans la région de Charrat-Fully, elle heures, arrivaient sur les lieux à 7 h. Avec THÉÀTRE DE SION scientifiques et commercia les M. Viscolo Ernest gagne pour une an- {ente de franchir les Alpes bernoises pai d'infinies précautions, dans des sacs spéciaux, née le challenge offert par le cap. Lii- le Sanetsch, qu 'un de ses détachements ils descendirent les corps intaets, et arrivè- Maturile federale ginbuhl. a déjà atteint. L'armée de la défense, Bleu rent à Zermatt à 15 h. 30. Dans la chapelle, MICHEL SIMON et sa compagnie Écoles Polytechniques Mentions c antonales. — 77 points: Leya (Régiment fribourgecis 7) s'efforoe d'ar- on les mit en bière, et le CAS de Zermatt les René : 76: Hilty Hans : 75: Ccrdonier Oliv., rèter sa progression Baccalaureato francais dans la région de accompagna à la gare avec son fanion, or- joueront le de Chastonay Raphy; Taillens Oscar. Gsteig, afin de couvrir les deux routes nant les cercueils de magnifi Technicum ques couronnes. dimanche 12 sepi VERCORIN — Un vieillard du Pays d'En-Haut et du :Simmenthal, qui Le triste convoi arriva à Sierre à 20 h. se fracture la à 20 h 30 banche bifurcruent à Gstaad. Les Rouges ont déta- Les cercueils sont dans une chapelle ardente Olplómes de commerce ehé le bataillon 6 à travers le glacier de M. Daniel Doit, àgé de 72 ans a été chez M. Leon Zufferey, d'où ils partiront Sténo-Dactylographes , Zanfleuron tandis : que le 11 et le 12 avan- bousculé par un veau et est tombe si demain pour le cimetière de Sierre. Marqué caient directement" sur Gsteig. - Un glisse- Secrétaire • Comptable malencontreusement qu'il se fractura une La Feuille d'Avis du Valais s'imit à tous ment de terrain a ralenti, le déyeloppement Défendu Baccalauréat commercial banche. Mandé d'urgence le Dr Maurice . ceux qui, dans ce deuil tragique, présentent , de la manceuvre. Franchissant le glacier Luyet fit conduire le patient à l'Hópital aux familles leurs témoignages de fervente piece gaie en de Zanfleuron, le bat. 6 a rejoint la vallee 3 Classes -pròparatoires régional de Sion. sympathie. s. m. actes de dès l'àge de 12 ans de l'Audon et poussé ses éléments avan - EVOLÈNE — Les dégàts dm mauvais temps cés jusque sur la route du Pillon. Ralentìs Marcel Rosset Ala A la suite du mauvais temps, un éboule- par les difficultés du terrain, les deux bat. Location comme Cours de jour Cours du soir ment s'est produit sui- la route d'Evolène 11 et 12 qui devaient descendre du Sa- d'habitude. près de Praz-Jean, causant un retard de plu- netsch sur Gsteig, n'ont pas pu attein- Grappe Romande sieurs heures à la poste descendant dimanche dre cette localité avec .des forces- suffi- Radette — Spécialités du pays — Vins fins santes pour resister au bataillon frihour- matin. Café National, Sion M. Follonier, tèi. geois 14. qui- ' , Un autre éboulement s'est produit près de s y est'installé. Ce ne .sont 2 11 35. là la Luette précipitant dans le lac de l'Alumi- que dès manceuvres prélimihàires d'ap- pour dame Pauline L. de 6 mois de prisou . qui ' nium, des blocs de rochers, ainsi qu 'un tas de proche, n ont fait que préparér là pha- sans sursis et 5 ans de privation des droits se principale qui se déroulera jusqu'à jeu- ON VA CONSTRUIRE A FULLY UNE bois préparé_ pour la construction d'une DOUVE PROVISOIRE civiques. Sa fille Marie avait été condamnée Dans la plaine inondée grange. di. Les manceuvres sont placées sous la à 4 mois avec sursis. direction generale ' dd- oolisnel aivisionnai- Le niveau des eaux ayant baissé. de 50 A l'Hotel des Alpes aux Haudères il a fallu Me Desfayes demande pour la De chaque coté, en amont et en aval, des re" "Montfoft assistè d' cm., l'Etat du Valais, d'accord avec 1? principale mobiliser des ouvriers , un nombreux arbi- accusée 3 mois hommes, des jeunes gens abattent à grands et travailler la moitié trage. commune de Charrat, va tenter de cons- de prison et pour sa fille 2 eoups de hache les arbustes de la rive droite. de la nuit pour empècher le débordement de truire une douve proviisioire avant la té- mois avec sursis, soit réduction de la peine à — Que veut-on faire, demandons-nous 1 la Borgne QUATRE SIERR0IS MEURENT AU paration de la djgue rompue. Si ces tra- moitié. Les avocata demandeurs préconisent CERVIN confiramtion pure et simple — On va faire de grandes « fascines ». On BRAMOIS vaux réussissent, la brèehe pourrait è- du jugement. — Une noignée de main trop Me de Riedmatten plaide les piacerà dans la brèehe pour qu'elles tien- vlflo-upeiuse. Trop tard pour que nious puissions la tre aveuglée, espère-t-on, vendredi: Cette éloquemment nent les pierres et le sable de la digue qu 'on mesure sauverait certainement les arbres l'acquittement de ses elientes. Il invoque no- Voulant imiter les Anglais ìun ami de donner succinctemient dans notre dernier va élever. , fruitiers de dépérissement. tamment le défaut de preuves formelles, con- M. Philippe Mayor lui serra la main si numero, nous avons appris lundi l'affreu- Nous nous dirigeons par la berge vers cette testant la valeur de tous les témoignages, y énergiquement qu'il s'en suivit une luxa- se nouvelle. M. Leon Zuffrey, lui-mè'ne, brèehe trop fameuse. L' compris la valeur de l'expertise graphologi- animatici! est extra- tion de l'épaule. L'infortuné « salile » dut avocai et notaire à Sjerre, parent direct que du Dr Bischof. Subséquemment, il ordinaire. Bùcherons, ouvriers qui consolident ètre admis à la Clinique generale de Sion ou indirect de toutes les victimes, as- UN SÉDUNOIS PRÉFET DE LAUFON de- f le chemin de la berge, eurieux qui circulent sistait ce matin-là à Sion aux obsèques mande de ne pas tenir compte de l'accusatimi et soigné par le Dr de Preux. , , A la suite de la démission de M. Ad. dans les deux sens forment une cohue. du regretté M. Rémy Mounier sans se diolii- de faux. On , Walther, président du Tribunal et préfet ' CHAMOSON — Bleissée en sautant d'iun ter qu' sortir du cimetière il rentrerait Le Tribunal n'a pas rendu son jugement s empètre dans les fils de fer. Un ouvrier au du district de Laufon une lu t te ardente char à Sierre pour y "apprendre la fin tragique , à l'heure où nous mettons sous presse. jure : il faut le comprendre. Pas commode s'était engagée autour de sa succession. de son fils de son gendie et de ses deux de travailler dans une telle pagaille. Deux Mme Alice May©, de Chamoson, se ren- , Le parti catholique-oonservatenr presen- UNE PREMIÈRE A SION ! ¦—• dali aux Mayens sur un char que tirait un neveux. camions pas moyen de tourner sur l'étroit tai! la candidature de M. Melchior Kunt- Dimanche prochain, 12 septembre, se cheval. Arrivé vers le chalet l'animai M. Albert Lathion. àgé de 31 ans, fils de chemin — circulent lentement en marche ar- , schen. avocai à Berne et le parti radicai déroulera à Sion, à l'ancien Stand, la pre- s'est emballé et Mme May© M. Lucien Lathion, chef de gape à Sierre, rière, fendant la fonie qui dégringole sur , effrayée, a celle de M. Fritz Mathys, avocai à Berne mière journée cantonale de tutte libre par sauté hors du char. Malheureusement el- dernier président du Grand Conseil avant chaque talus. , également, et qui était solitemi , en mitre, catégories. le se fit une lésion à la colonne vertebra- l'actuel, avait épouse Mlle Bernadette Zuf- Enfm nous voici près de la fameuse rup- par les socialistes. Celle importante manifestatici!, qui ver- le. Le Dr Delaloye d'Ardion la fit trans- ferey fille de M. Leon Zufferey, avocai et ture. On n 'a rien exagéré en parlant de 120 , , Or, dimanche dernjer, le corps électo- rà la participation de plus de 100 lutteurs notaire. il avait ouvert une étude à Sion mètres : nous estimons qu'il y en a plutót porter à la Clinique generale de Sion, où ral du district de Laufon a rendu son ver- est placée sous le patronage d'un oomité M. le Dr Leon de Preux lui et à Nendaz. Une petite Danielle, encore davantage. Imaginez que le Elione se fend prodigne ses dict en élisant M. Melchior Kuntschen, qui d'honneur compose de MM. Cyrille Pitte - soins. ! au berceau, était venne égayer le jeune et s 'écoule par deux lits : l'un, l'ordinaire, a obtenu 26 voix de plus que son concur- loud , conseiller d'Etat; Adalbert Bacher. foyer. étroit, bien limite dans ses digues l'autre BOUVERET — Un cadavre parmi les épa- . rent. président de la Municipalité; Raymond Cla- , M. 1 Urbain-Jérohre Zufferey, àgé de 24 large, permettant les divagations parmi les ves Nous relevons avec d'autant plus de vien , président de la Bourgeoisie ; Cha- ans, beau -frère du précédent, était licen- arbres plaisir le succès de M. Kuntschen, que le noine Brunner, Rd cure de la paroisse; , dans la vaste plaine. Et le fleuve ne Gomme toujours, lorsque le Rhòne dé- cié en droit stagiaire chez son pére. C'é- , nouveau préfet n'est autre que le fils de personnalités qui témoignent sans cesse serait pas l'enfant terrible que l'on sait, s'il borde de son lit nonnal, il a abandonné tait le seul célibataire de la cordée. M. l'ingénieur Francois Kuntschen, de Sion beaucoup de sympathie à la cause de la ne préférait ce chemin. beaucoup d'épaves sur ses rives, et les M. Constant Zufferey. àgé de 30 ans, chef du Service federai des Eaux, et le gymnastique. C'est mème ime .chose extraordinaire : les gens s'affairent à ramasser le bois inuti- organiste et directeur de la siociété de flots qui suivent la route normale nous pa- lisable qui a été charrié par les haute? neveu de M. Joseph Kuntschen, ancien La présidence du cornile d'oi'ganisatkriW chant paroissjiale de St-Luc, était marie a été confiée à M. raissent mi peu « bètes », tant ceux qui va- eaux. président de la ville de Sion. Louis Rohler, à Sion, et et pére de deux enfants. Il habitajt rao- qui la direction technique à M. Raymond Da- gabondent montrent de malice. Décidément, Mais nulle part cette recherche n'est L'heureux candidai, est àgé de 31 mentanément Sierre. ans qui au militaire collimando une noli, de Charrat. De lente évidence tout aux enfants sages, nous préférons ceux qui plus fructueuse qu'au Bouveret, où le Rhò- - , et , M.- René Zufferey, àgé de 30 ans, com batterie valaisanne d'artillerie de monta- est mis en oeuvre pour assurer la eéus-*- ont l'audace de faire l'école buissonnière. Ceux- ne debordo de son lit nonnal, il a aban- mercant à Sierre, était marie et pére de où il ne comp- site de cette grande fète. ci s'inquiètent fort peu des donné beaucoup d'épaves sur ses rives et gne, est bien connu à Sion, poteaux électri- quatre enfants. que Au cours de cette manifestation nous les gens s'affairent à ramasser le bois Tous quatre -^— les deux premiers faisaient ie des amis. Nos chaleureuses félicita- ques placés sur leur route. Si fait, pourtant : aurons l'occasion d'assister à des luttes ' utilisable qui a été charrié par les hautes tions. comme tous les galopins du monde, ils ont partie du CAS de Sierre — étaient partis palpitantes entre les meilleurs valaisanfr- casse des « tasses » — est-ce en lancant des eaux. / jeudi pour faire l'aseension du Cervin. Us se RENTRÉE : 15 SEPTEMBRE Mais nulle part, cette recherche n'est et invités, panni lesquels fi gnrent les cailloux ? — et l'un de ces isolateurs pend rendirent par chemin; de fer à Zermatt, et Sclilitter plus fructueuse qu'au oBuveret, où le Rhó- , Hildebrand. Friand , Hagen, Knò- misérablement aux càbles qui se croisent. Les de là, à pied, le rnèftiè soir à la cabane Hórnli. ringoi- ne, se j e tant dans le lac, n'entraìne plus insinui de commerce de Sion , Fernand Darioli, Monnet, cham- énergumènes ont mème arra che un poteau Ils en repartaient vendredi matin à 5 heures, Cours Commerciaux complets de 6 et 9 mois le bois qu 'il a transporté et où l'on peut pion valaisan des nalionaux, etc. Les lut- qui reste suspendu. pour entreprendre l'aseension. Six autres Cours I pour débutants alors le repècher en toute tranquillile. teurs seront groupes en 3 catégories de Mais si l'on veut poursuivre cordées, avec guides les précédaient. Cours II pour élèves plus avancés 'à le symbole, On nous citait le cas d'un citoyen du Haut- poids — jusqu 65 kg., de 65 à 75 kg. on voit ici le ravage Arrivés au refuge Solvay, deux des Sier- Renseignements auprès de la Direction ' que cause une eonduite Valais qui avait perdu 700 billes emportées et plus de 75 kg. — La pesée s effectuera rois se sentirent fatigués et renoncèrent à sans discipline. Tous ces arbres arrachés, par les eaux. Les fùts de sapin ne fu- Dr A. Théler, Professeur, Rue du Collège. sur la place de fète, dès 8 h., et les pas- • poursuivre l'aseension pour ne pas mettre en ' ceux qui sont noyés sur pied avec leurs ré- rent certainement pas perdus pour tout Téléphone 2 23 84 ses débiiteront aussitòt. Il n y aura pas Les deux autres s'en- col tes opulentes; ce limon, ce sable qui foi-me le monde. •» perii leurs camaradés.j moins de 350 combats! ., ,..**» . cordèrent et montèreiit jusqu'aux cordes. A DE LA FAMILLE A 10 h., sera célèbre au Vieux Stand des bancs où, quarante-huit heures aupara- Or, tandis que les habitants du Bouve- AU SERVICE , une cordée qui avait fait l'aseen- l'Office divin. à l'issue duquel les luttes vant il y avait une herbe abondante, tout ce ret pèchaient ainsi rondins et billes, dé- 14 heures, Notre auxihaire familiale, jeune et de- se poursuivront. A 13 h. 15, un oortège dépot sans fecondate — le Rhóne n'est pas daignant le menu fretin, et chargeaient ou sion avec le guide Elias Julen et qui redes- vouée. se tient à la disposition des famil- s'ébranlera de la Pianta, pour conduire le Nil ! — qui va, se former et qu 'il fandrà remosquaient les plus belles pièces, il? cendait les y rencohtra. Le guide leur les pour dépanner les mamans siurchar- cette belle phalange de lutteurs en blanc, coùteusement éliminer... C'est iei que l'ama- découvrirent un cadavre humain. conseilla de rebroussei' chemin, car le temps gées de travail. Il y a encore des jour- à la Place de Fète. Dès 14 h., on pourra sement cesse et qu 'il faut tristement réflé- Celui-ci devenait menagant. C'est alors que les deux nées de libre et nous invitons les person - , ramené à bord, fut identifié assister à de magnifiques combats qui se chir. comme étant celui de M. - Gratieh Gay. alpinistes décidèrent de redescendre et an- nes qui auraient besoin d'un coup de main lermineront par les finaies, dès 16 h. 30. Sylvain If aquignaz. de Leytron. disparii le 20 juillet qui noncèrént que probablément ils s'ai-rèteraient pour: les racoomodages (preparatici! pour , et Chers lutteurs, qui vous ètes annion- (A suivre) 'é- au refuge Solvay, où les attendaient leurs entrée des écoles); les petits travaux de inconscie de la mort de sa femme, s cés de toutes les régicns du canton et tait volontairement ieté au Rhòne. Le corps deux compagnons. ménage: la surveillance des enfants, etc, à On ne s'inquieta donc pas de ne pas les s'inserire chez Mme Emilie Perrier, rue de la Romandie, nous vious réservons mi a été leve r>ar le Tribunal de Monthey, en - à voir arriver à Zermatt. Entre-temps l'orage de la Porte Neuve, ou chez familles àccueil chaleiireux et nous travaillons présence de M. le Dr Mariéthod , médeciii vous offrir une journée incubliable. à Vouvrv. éclata, et le samedi, il était impossiblc de Loutan Alphonse, Oggier René, Pitteloud J. ;M LE CABINET SCHUMANN NE TIENI PAS sortir de la. cabane de Hornli. On pensa que Evenor, Theytaz Georges. L'ASSEMBLÉE DES MATCHEURS DE TIR Le nouveau gouvernemènt forme par M. les touristes étaient restés au refuge Solvay, Le payement des journées effectiuées a ENCORE UNE ARRESTATION valaisanne des matcheurs de Robert Schumann n'a pas resistè au pre- La Société où ils pouvaient attendre la fin de l'orage. lieu selon les pcssibilités financières des Après un ìnterrogatoire de M. Caprez, tir rappelle à ses membres que l'asseni.- 30 à 1 fr. 20 à mier contact de l'Assemblée nationale. Il C'est. le dimanche que l'on commenga- à familles intéressées (0, juge d'instruction extraordinaire, M. Hen- blée generale est fixée au dimanche 19 a été battu par 295 voix contre 289. s'inquiéter. Le' temps était redevenu suffi- l'heure). ri Calpmi a été mis en état d'arrestatiov septembre à Sion et qu'à oette occasion, Nous rappelons d'autre part, quo le Dans la nuit de mercredi, le présiden/ samment beau mais les alpinistes ne reve- , preventive à Lausanne, pour les besoins se disputerà le match jnter-régions. , oours gratuit de tricotage aura lieu dès-ce de la République a fai t appel à M. E- naient pas. On tira du mortier au Homli et de l'enquète sur les àffaires de devises. doiiard Herriot, président de la Chambre^ Les inscriptions doivent parvenir au jour, le mercredi et le vendredi, chez au Belvedére, mais on ne rec.ut aucune Vé- D'autre part M. Caprez était de nouveau pour se mettre à la disposition du pays plus tòt à M. Fernand Diubois, secrétaire ¦; Mme Perrier Emile. à Sion, dans la journée de mardi et il a '• --- ponse.. ..,.,.- ,, - - .; $ afin de mettre sur pied un ministère de à St-Maurice-. -- - Mouvement populaire des familles procède a l'interrogatoire de nombreuses Horaire: 8 à 10 h., 11 h. à 12 h. 14 On téléphona alors de -Zermatt à M. André salut public. , . Section de Sion. personnes, inculpées ou non, dans oette li. à 16 h. 30: tir. 12 h. 15 dìner (caserne), Pont, hótelier à St-Luc. Aussitòt — dimanche à midi — M. Pont, partit en volture avec M. UNE AFFAIRE DE LETTRES ANONYMES affaire. 13 h. 15: assemblée. AU TRIBUNAL CANTONAL Programme de tir: 60 coups. 12 oolups Jean Zufferey, frère d'Urbain-'Jérome, mais DES DATES A RETENIR ! MONTANA-VERMALA-CRANS — Tirs o d'essai. 300 m., 20 dans chaque position. ne put monter plus haut que St-Nieolas, la Le Tribunal cantonal s'est réuni se matm C'est samedi 2 et dimanche 3 octobre blk)alo ires 1948 Les résultats seront proclamés à 1630 avec route étant coupée. D'autre part, le chemin en séance plénière pour connaìtre en appel qu 'aura lieu la grande fète d'automne La société de tir « Armes-Réunies » qui remise des ehallenges qui, en 1947 ont de fer était également hors service par les d'mie affaire pénale de lettres anonymes qui organisée par les sociétés de chant de groupe plus de 100 tireurs des 2 sta- été attribués comme suit: éboulements, et M. Pont et son compagnon à déjà été jugée par le Tribunal d'Entre- la ville de Sion, la « Chorale Sédunoise » tions de Montana-Vermala et Crans sur Challenge Mayor, Lausanne: Equipe du durent se rendre à pied à Zermatt, où ils mont. et le « Mànnerchor Harmonie». Nous re- Sierre, a termine ses tirs obligatoires Centre; challenge Provins, Sion : Equipe du arrivèrent à la tombée de la nuit. La, Obur est. présidée par M. Albert Dela- viendrons sur cette importante manifesta- 1948. Les résultats enregistrés cette année Bas-Valais; challenge Rey-Bellet, St-Mau - Lundi matin, le guide Ferrea partit avec loye. Me André Desfa.yes, substitut, fonction- tntion. sont d'autant plus satisfaisants que les Heinzmann Albert Viège; chal- ne comme ministère public. M. Victor de rice: M. , une patrouille. L'éqiùpe eut tòt fait de trou- ENCORE UNE SECOUSSE tireurs ne dispcsent d'aucun stand pour lenge Associatilo!! cantonale des tireurs va- ver les quatre jeunes gens tous à la mème Werra tient le greffe. Une brève secousse sismique a réveil- rentraìnement, et ou'ils ont l'obligation de laisans: M. Coppex Henri, Vouvry. corde, gelés. Us étaient à 3800 m. d'altitude, Les aceusés sont Mme Pauline L. et sa fille lé la populatiou sédunoise, ce matin yerg tirer au stand de Montana-Village, situé Les tireurs du Valais que le tir de en dessous du refuge Solvay, en un lieu Marie, d'Orsières. On leur, reproche d'avoir . , 6 li. 30. Ceci, probablément, pour se xap- à quelques trois-quarts d'heure de mar- match interesse peuvent, majntenant en- n ' écrit des- lettres anonymes, faisant de i'ausses offrant guère de danger. peler a notre mauvais souvenir... che de la station des hòtels. Voici les core, demander leur adhésicn et participer Albert Lathion était au sommet , la corde dénoiiciations et d'abus de signature au pré- meilleurs résultats : au match du 19 septembre. S'adresser au entre ses mains, la tète en avant. Vraisem- judice d'im tiers. THÉÀTRE DE SION Max. : 100 points. Programme federai. président, M. Oscar Rey-Bellet, à St-Mauri- blablement, ses camaradés avaient fait une Les plaigiiants sont MM. Francis Rausis, Le public de Sion et environs aura le pri- Mentions fédérales: ce, ou au secrétaire, M. Dubois F., St-Mau- glissade, et tous, épuisés, étaient restés ainsi Adrien Darbellay, Pierre Délèze et. Jean vilège de voir évoluer sur la scène de notre 93 pts. : Viscolo Ernest; 90 pts.: Lùgin- rice, qui donneront tous renseignements u- sans pouvoir se relever. Aucun n'était blessé. Crettex-Volluz, tous d'Orsières. Théàtre, le grand artiste Michel Simon dans hiihl Rodolphe, Barras Jérémie; 89 pts.: tiles. Vraisemblablement les alpinistes étaient Me Jacques de Riedmatten, de Sion, de- Ma rq ué défendu, pièce gaie de M. Marcel Srhiitz Erwin; 88 pts.: Vieux Felix ; 87 , repartis du refuge le vendredi soir pour ne fend les prévenus tandis que les plaignants Rosset. Cina Benjamin, Marfurt Joseph ; 86: Wille- LES MANOE UVRES DE NOTRE RÉGIMENT pas alarmer leurs familles. Le guide Per- ont confié leurs intérèts à Mes Jean Rieder Cette pièce vient de remporter un gros ner Samuel; 85: Bachmann Jacques, Su- Depuis dimanche après-midi, le Régi- et Adolphe Travelletti, de Sion, et Henri succès à Genève et Lausanne. ter Fridolin ; 84: Briitsch Jean, Carnevali ment 6 est entré en manceuvres contre ren, de retour à Zermatt téléphona à Sierre Gomme chacun ne voudra pas manquer une Marcel, Hugon Camillo; 83: Bey Marce- le Régiment fribourgecis, dans la haute d'où MM. Célien Balmer, beau-frère de René Chappaz, de Martigny. lin: 82: Felli Pierre; 81. Tenùd Rodolphe;.: vallèe de la Sarine. La supposition tacti- Zufferey, et Adelphe Salamin avocai, parti- Le rapporteur demande confirmation du telle occasion, nous recommandons de retenir 80: Due Algée, Diirig Gottfried, Gruber que est la suivante. Une armée rouge (Rgt reiit aussitòt pour Zermatt. premier jugement quant au fond , en admet- les plaees à l'avance à Magasin Tronchet, tèi. Meinrad; Kànel Hans; 79: Bonvin Richard, valaisan"! envahit la Suisse depuis l'Italie Lundi soir une équipe de 16 guides mon- tant une diminution de la peine. Celle-ci était No 2 15 50. # DIMANCHE 12 SEPTEMBRE # A SI O N Pour la cueillette des fruits Ire Journée cantonale de lutte libre Place de l'ancien Stand aECHELLES - avec . la participation d-'une centaine Vestons fantaisie de*meilleurs lutteurs Valaisans et Romands PANCueille-fruits IERS— Calibres 08.00 Début du Coneours; 10.00 Office divin sur la place de Complete sport fète ; 13.15 Cortège en ville ; 17.30 Prodamation des résultats.
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n'avait été fatte s'imposa sans répit à son créatures. et elles nOus manqueront de- tion de leurs arrangements, et, si son dé- Jim Airth se retourna pour mieux exami- esprit: « Ai-je bien agi, en le faisant at- main... Jim. dites bonsoir iien vite, et sir de le voir ressemblait le moins dn ner la « Lodge ». tendre, méme un jour? » laissez-moi ialler. monde à celui qu'il éprouvait de l'envi- Lliabitation était plus insignifiante qu'il Mais Jim, resseraant son étreinte sur les sager, Jim Airth eùt fort bien oompris un n 'avait imaginé. Ce fait ne parut nullement li li a I l^v"^ Florence Barclay * * * poignets de Myra, murmura: ch angement de programme. le deprimer. Au contraire, il sourit à une Dans le hall, près de la table de marbré, — Une fois déjà, nous ne mo|us hommes Mais Myra n'était pas là, et avec un sen- pensée qui l'amusait. Pendant qu'il observait où se trouvait le registro des voyageurs, dit ni bonsoir, ni bionjour. timent assez injustifié de désappointe- la maisonnette, une petite porte de coté s'ou- \j\' ils s'arrètèrent un moment pour - se dire — Jim, bien-aimé, répondit tendrement ment, le jeune homme donna son billet. vrit, et une personne vètue de noir, ayant £a CMtelame. bonsoir. Myra ne permettait jamais à Jim Myra. oette nuit-là, avant que je m'endor- traversa la petite gare, et trouva dehory« l'aspect d'une femme de chambre de bonne de monter l'escalier avant cpi'elle n'ait me, vous m'aviez dit : « Nous ne somme? l'attendant, un élégant petit équipage atte- maison, parut en haut d'un étroit perron et DE SHENSTON E ferm e sa porte de chambre. pas seuls, Dieu est présent ». Puis vou? lé de deux poneys en « tandem ». ; secoua une nappe, puis rentra dans la mai- — Si vous n'obéjssez pas alux règie? avez recite le cent trente-neuvième psau- Le groom, en faetion devant la téle du son. aue ie crois devoir impioser, Jim, avait- me. Et Jim. i'ai Senti que vous étiez le poney de volée, salua. meilleur et le plus loyal des hommes et — Pour Shenstone Park, sir ? Bientot, la belle vieille demeure se décou- — Et cpie pensez-vous de la décision elle déclare avec son petit scurire tendre, , que tonte ma vie. je pourrai me fier à — Oui, dit Jim, et il monta dans la légère vrit, et un moment après, la légère volture de lady Ingleby? je serai contrainte de m'assurer de miss Murgatroyd comme chaperon vous, oomme j'ai confiance en Dieu. volture. Jim Airth était connaisseur en che- s'arrètait devant l'entrée. — Je pense trae oette décision pro'uve , et imaginez Jim Airth relàcha les mains qu'il tenait Exceliente eonduite, dit Jim Airth en ciu 'elle est une femme d'esprit juste, ' et l'agrérment crue voUs auriez. , vaux, et admira les poneys. et les baisa très douoement : donnant un genereux pourboire au petit d'une nature peu ordinaire si ielle est fi- En conséquence, Jim s'était engagé à Ceux-ci volaient le long des routes campa- , — Bonsoir, ma « sweetheart », dit-il, e,+ groom, puis faisant volte-face, il vit que déjà dèle à sa résolution. Mais ce serait très rester en bas cina minutes après elle, et gnardes entre les haies d'aubépines (et de montait. ensuite l' que Dieu vous bénisse. Puis, il se détourna les grandes portes de la maison étaient ou- féminpi de prendre une telle décision dans escalier en sifflant l'air clématites. Les villageois étaient aux champs, Myra fut en un moment au haut de l'es- vertes, et sur le seuil un imposant butler, iet de se de « Nancy Lee », puis sa porte claqUait s'interpellant gaiement, tout en faisant les , un moment de violente émiotion, calier, gagnia sa chambre et ferma sa - bruvamment. ( , foins. C'était ime journée de juin, d'une avec de gros sourcils noirs, se tenait prét à laisser aller ensuite à échafauder des sup porte. positions sans fin. Mais cette soirée était la dernière avant beauté parfaite. le recevoir. Alors, elle se jeta à genoux auprès de — Avez-vous cionniu la raison 'elle a une separatici! et, dans le bosqluet de cliè- Cette course à travers un pays charmant — Si vous voulez bien, sir, venir dans le ciu Son lit, et sanglota, moitié de joie. ef pas vre feuille. il y avait ieu des moments ora- salon de Sa Seigneurie, dit le butler montrant donnée ? Elle a déclare ne vioulioir , moitié d'angoisse. La question déjà l'iob- dissipait peu à peu la mauvaise humeur de cm'il y eùt sur la face de la terre, un geux. Les yeux bleus de Jim pétillaient Jim Airth. le chemin. de révolte. Il se tenait oomnne le soir sédait: « Ai-je raison de le fai re atten- homme dont elle ne pùt serrer la main a- dile?» Après tout, il était préférable de s'en te- Jim Airth fut' introduit dans une pièce du grand perii, alors quo les vagues bat- vec amitiél Au bout d'un temps. elle souleva la tè- nir aux arrangements conclus ; le bruit joyeux charmante, et regarda autour de lui. My- taient leurs pieds, serrant contre sa poi- — Bonne àme loyale, dit Jim ému. te, respirant à peine. et ses regards plon- et rapide des sabots du poli attelage de po- La pièce était vide. 'il m'arriyait d' trine les deux mains de Myra, et