Etude Du Rôle De Protéines Apparentées Aux Cadhérines Dans Le Développement Des Interneurones Du Cortex Auditif Baptiste Libe-Philippot
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Etude du rôle de protéines apparentées aux cadhérines dans le développement des interneurones du cortex auditif Baptiste Libe-Philippot To cite this version: Baptiste Libe-Philippot. Etude du rôle de protéines apparentées aux cadhérines dans le développement des interneurones du cortex auditif. Biologie du développement. Université Pierre et Marie Curie - Paris VI, 2017. Français. NNT : 2017PA066112. tel-01666045 HAL Id: tel-01666045 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01666045 Submitted on 18 Dec 2017 HAL is a multi-disciplinary open access L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destinée au dépôt et à la diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, lished or not. The documents may come from émanant des établissements d’enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche français ou étrangers, des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou privés. Université Pierre et Marie Curie Ecole doctorale « Complexité du vivant » Unité de Génétique et Physiologie de l’Audition (Institut Pasteur) Etude du rôle de protéines apparentées aux cadhérines dans le développement des interneurones du cortex auditif Le développement des interneurones du cortex auditif met en jeu les protéines apparentées aux cadhérines qui sont essentielles à la transduction mécano-électrique des cellules sensorielles auditives Par Baptiste Libé-Philippot Thèse de doctorat de neurobiologie et biologie du développement Dirigée par Christine Petit Présentée et soutenue publiquement le 16 juin 2017 devant un jury composé de : Gaspar, Patricia présidente Directrice de recherche à l’INSERM (Institut du Fer à Moulin, Paris) Jabaudon, Denis rapporteur Professeur à l’Université de Genève (Suisse) Crépel, Valérie rapporteur Directrice de recherche à l’INSERM (Institut de Neurobiologie de la Méditerranée, Marseille) Mège, René-Marc examinateur Directeur de recherche au CNRS (Institut Jacques Monod, Paris) Renier, Nicolas examinateur Chef d’équipe à l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (Paris) Petit, Christine directrice de thèse Professeur au Collège de France (Institut Pasteur, Paris) II A Nathalie, III IV Remerciements Je remercie Christine Petit de m’avoir accueilli dans son unité et d’avoir dirigé ma thèse de doctorat, Nicolas Michalski d’avoir été mon co-encadrant. Je les remercie d’avoir rendu possible la publication de nos résultats ainsi que pour leur relecture de ce manuscrit de thèse. Je remercie les membres du jury et du comité de thèse d’avoir accepté d’évaluer et de suivre mon travail de thèse : Michel Cohen-Tannoudji (Institut Pasteur), Valérie Crépel (Institut de Neurobiologie de la Méditerranée), Marta Garcia (Institut du Fer à Moulin), Patricia Gaspar (Institut du Fer à moulin), Denis Jabaudon (Université de Genève, Suisse), Clément Léna (Ecole normale supérieure), René-Marc Mège (Institut Jacques Monod) et Nicolas Renier (Institut du Cerveau et de la Moelle épinière). J’adresse toute ma gratitude à Christine Métin (Institut du Fer à Moulin), pour l’aide précieuse qu’elle a apportée à la réalisation de ce projet, sa disponibilité et nos riches échanges sur les interneurones et la biologie, ainsi qu’à Paul Avan (Université d’Auvergne) pour les moments passés ensemble à mesurer les seuils auditifs de nos souris. Je tiens à exprimer ma reconnaissance à Jean-Pierre Hardelin pour ses relectures critiques du manuscrit de l’article et d’une partie de celui de thèse (ainsi que les transports à vélos de biopsies depuis l’Institut du Fer à Moulin !). Je remercie mon tuteur à l’Ecole normale supérieure, Michel Volovitch, pour ses conseils avant la thèse et pour son soutien à l’obtention de l’allocation spécifique. Je remercie chaleureusement Typhaine Dupont, Sébastien Le Gal et Céline Trébeau pour l’entretien des lignées de souris, Typhaine pour son aide apportée dans les premières expériences d’enregistrements extracellulaires in vivo, Sébastien pour des cryosections et des immuno-marquages, Céline et Typhaine pour les « missions » à l’animalerie Lwoff (!), Vincent Michel qui a pris de magnifiques images représentatives au microscope confocal et Jacques Boutet de Monvel pour son aide apportée lors de l’analyse d’image et la mise en place des stimulations sonores. Je remercie Victor Bénichoux et Amel El-Bahloul qui ont relu des parties de ce manuscrit de thèse. Je remercie les personnes qui ont généreusement accepté de discuter de ce travail à différentes étapes de sa maturation, et qui ont donc influencé sa mise en œuvre : Silvia Arber (Université de Bâle, Suisse), Batiste Boeda (Institut Pasteur), Mario de Bono (Laboratory of Molecular Biology, Cambridge, Royaume-Uni) qui m’a appris qu’il faut d’abord identifier la key question d’un travail de recherche, Sandrine Etienne-Manneville (Institut Pasteur), Sonia Garel (Ecole normale supérieure), Israel Nelken (The Hebrew University of Jerusalem, Israël), Dan Sanes (Université de New York, Etats-Unis). Je remercie Gabriel Lepousez (Institut Pasteur) pour sa relecture du manuscrit de l’article et ses conseils en électrophysiologie extracellulaire in vivo. Je salue mes camarades doctorants dans le laboratoire : Sophie Boucher, Charlotte Calvet, Matteo Cortese, Ménélik Labbé, Pranav Patni ; je remercie plus particulièrement Alice Emptoz de m’avoir montré ses injections de vecteurs lentiviraux ainsi qu’Elise Pepermans de m’avoir rapporté l’excitabilité accrue de ses souris hétérozygotes mutantes pour protocadhérine-15 et cadhérine-23. Je salue des camarades doctorants de l’Institut Pasteur : Marie Denizet, Allain-Thibeault Ferhat, Ophélie Foubet, Lauriane Harrington et Olivier Schiettekatte. Je salue Ambre Le Guirriec, stagiaire l’été 2014, avec qui j’ai réalisé mes premiers enregistrements extracellulaires in vivo et avec qui j’ai commencé à étudier le développement embryonnaire du cortex auditif, ainsi que Mathilde Gagliardini, stagiaire au premier semestre 2017 qui continuera l’étude du rôle des gènes dits de surdité périphérique dans le système nerveux central (je lui souhaite bon courage !). V Je tiens à remercier les autres membres du laboratoire pour leur générosité, leurs aides ponctuelles, leurs conseils et nos échanges : Chantal Archambeau, Estelle Atse, Yosra Bouyacoub, Danica Ciric, Jean Defourny, Sedigheh Delmaghani, Aziz El- Amraoui, Marie Renée Gillard, Boris Gourévitch, Ghizlene Lahlou, Gaelle Lefèvre, Jacqueline Levilliers, Andréa Lelli, Célia Loriette, Birame Mane, Alexandre Parrin, Isabelle Perfettini, Michèle Roa, Saaid Safieddine, Marie Strigalev, Fabienne Wong Jun Tai, Mei Xin ; et plus particulièrement, Michèle Barillot pour son travail de secrétariat, Montserrat Bosch Grau pour son enthousiasme et ses conseils, Sébastien Chardenoux et Sylvie Nouaille pour leur bonne humeur et le génotypages de quelques portées, Raphaël Etournay pour ses conseils concernant l’après thèse, Danuta Oficjalska pour son important investissement administratif et son intérêt pour les expériences menées et Elisabeth Verpy pour son soutien et ses conseils quant aux immuno-marquages pour la stéréociline et l’otogeline. Je remercie de même à l’Institut du Fer à Moulin Valentina Grampa, Claire Leclech et Maria Pedraza Boti pour leur aide apportée aux expériences de culture in vitro. Je remercie chaleureusement dans le département de neurosciences Elodie Ey pour avoir partagé avec nous sa pièce à l’animalerie Metchnikoff et salue Julie Catteau avec qui j’ai réalisé une expérience comparative de l’anesthésie de souriceaux. Je remercie l’animalerie centrale, le service vétérinaire de l’Institut Pasteur, le personnel des animaleries Monod, Metchnikoff et Lwoff, et la plateforme d’imagerie de l’Institut Pasteur, sans qui nous n’aurions pas pu travailler dans d’aussi bonnes conditions. Je salue Elise Caliot aux Ressources humaines pour son écoute et son aide à la construction d’un projet professionnel. Je remercie Colette Dehay (Institut Cellules souches et Cerveau), Makoto Sato (University of Fukui, Japon), Nicoletta Kessaris (University College London, Royaume-Uni) et Anna-Katerina Hadjantonakis (Memorial Sloan Kettering Cancer Center, New York, Etats-Unis) que je n’ai jamais vus mais qui nous ont généreusement donné, respectivement, des tranches d’embryons de macaque et les lignées de souris Adgrv1tm1Msat et Adgrv1YFP, Nkx2-1-cre et RFP+. La thèse n’aurait pas été aussi agréable sans les moments passés au Palais de la découverte, en particulier la formation à la médiation et le contact avec le public, la rédaction d’articles de vulgarisation dans Découverte et les Semaines du cerveau 2015-2017. Je tiens pour cela à remercier Jean-Philippe Bricka, Marie Canard, Gaëlle Courty, Elodie Ducasse, Stéphanie Kapler, Philippe Lavaivre, Yann Lefranc, Noëmie Lozac’h-Vilain, Aurélie Massaux et Tanguy Schindler. Je ne remercierai jamais assez ma famille, ma belle-famille et mes amis pour leur soutien et tout ce qu’ils ont pu m’apporter, en particulier Nathalie, mes parents, mes grands- mères, mon frère et ma sœur. -- Ce travail de thèse a été rendu possible grâce à une allocation spécifique du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, attribuée par l’Ecole normale supérieure, ainsi qu’aux financements propres au laboratoire, provenant de l’Agence Nationale pour la Recherche (ANR) dans le cadre du second programme d’Investissements d’Avenir, du Labex LIFESENSES, du Conseil européen de la recherche (ERC), de la fondation BNP