Portraits D'internautes Remarquables

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Portraits D'internautes Remarquables LeMonde Job: WMR3097--0001-0 WAS TMR3097-1 Op.: XX Rev.: 25-07-97 T.: 16:29 S.: 75,06-Cmp.:26,11, Base : LMQPAG 13Fap:99 No:0257 Lcp: 196 CMYK b TELEVISION a RADIO H MULTIMEDIA FILM 107.7 FM Qryo, ou le jeu « Louis enfant roi ». Fréquence unique pour Sous la Fronde, les radios d’autoroutes de massacre la formation politique qui guident vacanciers comme outil d’un monarque absolu. et voyageurs à travers Page 22 les bouchons. Page 29 de management Page 28 Portraits d’internautes remarquables Ils sont des précurseurs. Marie, Emmanuel, Jean ou Christine ont compris avec quelques années d’avance comment Internet pouvait changer la vie. Utilisateurs chevronnés du réseau, ils nous expliquent les raisons de leur passion. Marie Plassard, maîtresse d’école, inaugure cette série MICHEL FAINSILBER POUR «MICHEL FAINSILBER LE MONDE » de portraits. A suivre jusqu’au 31 août. Pages 26 et 27 Patrick Brion, l’homme invisible du cinéma à la télé Rencontre avec la voix sans visage du « Cinéma de minuit », l’« inventeur » français de Tex Avery, le chroniqueur très discret du « Bazar » de Ciné Cinémas. Pages 2 et 3 FRANCE 3 SEMAINE DU 28 JUILLET AU 3 AOÛT 1997 LeMonde Job: WMR3097--0002-0 WAS TMR3097-2 Op.: XX Rev.: 25-07-97 T.: 19:09 S.: 75,06-Cmp.:26,11, Base : LMQPAG 13Fap:99 No:0258 Lcp: 196 CMYK PORTRAIT Passion publique d’un passeur secret Depuis plus de trente ans, Patrick Brion transmet son insatiable amour du cinéma sur petit écran. Un prince de la modestie, travailleur acharné, qui cultive une très haute idée du service public ’EST l’enthousiasme voilà plus de trente ans que Patrick Brion siaste que celui des films, pour ce qu’il même, sous des est un acteur passionné, entêté, du service révèle parfois d’originalité dans le ton et de allures de grand public. L’un des rares, témoigne-t-on de liberté dans le traitement des sujets, sur- calme. Retranché à toutes parts à son sujet, à s’en faire encore tout du côté de certaines fictions améri- l’abri d’une chape de une très haute idée, en dépit de tous les caines où l’on ose, davantage qu’au modestie, dans glissements progressifs vers l’inanité cinéma, de plus en plus détaché de la réa- l’ombre des étoiles, sonore et visuelle, et à tenir les téléspecta- lité, se colleter aux problèmes et aux c’est l’exégète et teurs dans le plus grand res- tabous de la société. l’apologue des pect. Il préside aujourd’hui à la « Je suis L’unique chance de « voir » talents, des génies et des subtilités qui des- programmation des quelque Patrick Brion, c’est sur le câble Csinent la voie lactée du septième art. cent quatre-vingt-douze films convaincu où, deux fois par mois depuis L’homme d’une passion éclatante et décla- (« achetés » ou coproduits) deux ans, il distille quelques rée de longue date, tout entier saisi par une annuels de France 3 avec, à la que le public gouttes de son prodigieux débauche de discrétion. Le nom de Patrick clef, les fameuses contraintes est toujours savoir cinéphilique dans le Brion est étranger à la plupart des télé- de quotas et de budget (les « Bazar » de Ciné Cinémas, en spectateurs. Cet homme-là n’a pas de coûts de location d’un film mieux qu’on compagnie de Philippe Dana. visage, c’est d’abord une voix nocturne varient de un à dix, selon Et comme tout cela n’est sans − de plus en plus nocturne, bientôt mati- l’heure de diffusion et l’ancien- ne croit » doute pas suffisant, il a nale, qui sait ? –, celle du « Cinéma de neté du film). Cet ensemble accepté de s’occuper de la minuit » de France 3. Une manière de comprend les longs métrages diffusés en programmation et de la présentation de la mélopée dominicale, des intonations et première partie de soirée les lundis et jeu- case cinéma de la toute récente chaîne His- des rythmes si singuliers qu’elle a fait et fait dis, les perles dénichées pour « La Dernière toire (« Le Monde Télévision-Radio-Multi- encore les délices d’une foultitude d’imita- Séance » d’Eddy Mitchell et Gérard média » daté 20-21 juillet). A ses instants teurs de tout âge et de tout poil. Mais leurs Jourd’hui et celles des cycles proposés non perdus, cet insatiable trouve encore le prestations, souligne le facétieux, sont bien depuis vingt ans au « Cinéma de minuit », temps de rédiger une chronique mensuelle en deçà du talent avec lequel il s’imite lui- chefs-d’œuvre de la cinématographie pour La Revue des deux mondes (où l’on même depuis tant d’années. mondiale à laquelle le programmateur peut le lire depuis bientôt huit ans), et sur- Un presque inconnu, donc. Et pourtant, prend systématiquement le parti de mêler tout de publier de volumineux et passion- une rareté ou un film « moyen », histoire nants albums de belle facture butinant son de donner des éléments de comparaison. champ de prédilection, le cinéma holly- Tourneur, père et fils Trois lignes éditoriales spécifiques, dont woodien. celle, plus délicate dans un régime fréné- Comme il se montre infatigable, pour Jusqu’au 31 août, le « Cinéma de minuit » propose un tique de concurrence, de 20 h 30. « Après ainsi dire unique, dans l’exercice de sa pas- cycle Maurice et Jacques Tourneur, composé d’inédits une journée de travail, le public est fatigué sion, on aurait vite fait de lui accorder que l’on pensait perdus. Ainsi a-t-on pu découvrir, – ce n’est pas être démagogue que de l’existence quasi monastique du rat de dimanche 20 juillet, les deux versions des Gaîtés de prendre en compte cette réalité. Il est aussi cinémathèque. Mais non ! Ce monsieur-là l’escadron : le court-métrage muet que Maurice plus laxiste et tenté d’aller au plus facile, a une vie de famille, qu’il est loin de négli- Tourneur a tourné en 1912, d’après la pièce de commente Patrick Brion. Il faut donc ger, cajole trois chats, accepte les déjeuners Georges Courteline, et qu’il a repris en long-métrage essayer, et c’est la vocation du service public, en ville, voire quelques dîners (à condition vingt ans plus tard, avec notamment au générique de tenir une certaine exigence, sans pour de rattraper le lendemain les deux heures Raimu, Gabin et Fernandel. Ont suivi deux courtes cela exténuer le téléspectateur. On peut tou- d’écriture qu’il s’impose quotidienne- comédies dramatiques, Obsession (1934) et Le Friquet jours tirer vers le haut avec des choses très ment), et profite de ses trajets en bus pour (1913), un incunable muet interprété par Polaire. A agréables et très bien faites. Evidemment, ça lire ou travailler un peu plus. De surcroît l’affiche cette semaine, une des plus belles et la plus oblige à réfléchir un peu. Il y a de bonnes − et la chose épate littéralement lorsque fidèle des adaptations de Georges Simenon, Cécile est comédies, de bons westerns, comme il y en a l’on sait le nombre d’heures qu’il passe morte (1944 ; le scénario est signé Jean-Paul Le de mauvais. Ce dont je suis convaincu, c’est dans la salle de projection de France 3 –, Chanois), avec Albert Préjean en commissaire que le public est toujours mieux qu’on ne on peut le voir tous les jours, oui, sept Maigret. En clôture de l’hommage au père, le croit. A chaque fois que l’on se dit, ce qu’il jours sur sept, à l’affût des nouveautés pro- somptueux Koenigsmark (dimanche 10 août), une m’est malheureusement arrivé d’entendre en grammées dans l’un des cinémas de la comédie dramatique réalisée en 1935 d’après le réunion : ce n’est pas bon, ça va leur plaire, capitale. Non pas aux projections de roman de Pierre Benoit. De Jacques Tourneur, Patrick c’est un raisonnement fascisant, faux et presse, encore moins dans les clubs privés, Brion a choisi la version restaurée des Filles de la complètement idiot. Ceux qui pensent en ces mais dans cet anonymat qui le comble concierge (1934), le meilleur, selon l’auteur de La termes finissent toujours par se planter. Le d’aise, par pur plaisir de savourer cette Féline, des quatre longs-métrages français qu’il mépris revient toujours à son point d’émis- atmosphère particulière aux salles obs- tourna avant de partir pour les Etats-Unis. Le cycle se sion. » cures... boucle (dimanche 24 et 31 août) avec une sélection de A France 3 encore, il a pris en charge la Les journalistes qui ont affaire à lui, ses dix-sept courts-métrages, dont quelques vraies programmation des fictions étrangères partenaires de travail, tous ceux qui ont curiosités à teneur historique ou sociale, que Jacques − du haut de gamme, comme le superbe Au croisé ou croisent encore l’espace très Tourneur a réalisés dans des conditions idéales pour cœur des ténèbres, adapté de Joseph chargé de son terrain d’opération la MGM entre 1936 et 1942. Conrad par Nicolas Roeg. Un domaine l’accablent de compliments, avec les TELEVISION qu’il couvre avec un soin aussi enthou- accents de l’amitié et de l’admiration. Tra- 2 Le Monde b Télévision a Radio H Multimédia Dimanche 27 - Lundi 28 juillet 1997 LeMonde Job: WMR3097--0003-0 WAS TMR3097-3 Op.: XX Rev.: 25-07-97 T.: 19:11 S.: 75,06-Cmp.:26,11, Base : LMQPAG 13Fap:99 No:0259 Lcp: 196 CMYK DAVID BOUTARD DAVID Université d’été Chaque semaine sur Ciné Cinémas, Claude Chabrol analyse les scènes majeures de ses films d’élection ET été, le magazine bimensuel que Philippe Dana anime depuis trois C ans sur Ciné Cinémas s’est mis au diapason des amours cinéphiliques de Claude Chabrol.
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