Numéro 41 17 Février » 1922 = Abonnements - Étranger - 5 | an : 55 fr. ! 6 mois : 3& fr. S a France a ■ 1 an : 45 fr. ] 6 mois • mt> ir-

r neDOOmafla,re ulU8t ;.,"„„. 1„ " "L "V. ! ^ - Louis DELL4JC, Directeur ^ Notre Concours L. U,« « «H» H'»S"»«»«« : PARIS, io, Rue de l'Elysée - Téléph. : Elvsées 58-8-< U * " ^ de .?. J»?..t?HÎ.A«î..?.ÎSSÎλ:..* J ^""res : A, . ROSE Représentative, «a, Cbaring Cross Rcad. W C. F 2 projets d'Affiches

BETTY BLYTHE dans La Glorieuse Reine de Saba. l'HOTO FOX Kll.M I De Qùeen oj bheba (La Glorieuse Reine de Saba) (ut un des plus grands succès cinégraphiques de New-York l'hiver dernier et sans doute le même accueil sera-t-il lait par Paris à sa prodigieuse mise en scène et à l'interprétation hardiment' harmonieusement plastique de la belle Betty Blythe dans cette œuvre somptueuse que le Gaumont-Palace réserve à son public' cinéa 1

The Cinéma Coneours de projets d'flffiehes 1921 Bilan français 1921 Sous toutes réserves

M hebdomadaire M La Terre, d'André Antoine, d'après Zola Cinéa fait appel à tous les peintres, décorateurs, El Dorado, de Marcel L'Herbier, avec Eve Une lettre nous parvient, signée avec Alexandre, Hervé, Armand Bour, dessinateurs, caricaturistes de toutes tendances Francis, Marcelle Pradot et Jaque Ca- d'un des noms visés sous la présente Le plus important Berthe Bovy, etc.. telain. et de toutes nationalités et leur demande — Le Pire Goriot, dej. de Baroncelli, d'après rubrique et où l'on nous affirme Le Lys de la Vie, de Loïe Fuller et Gaby avoir « ri de bon cœur de notre entre- organe de lindus= Balzac, avec Signoret. Sorère, d'après S. M. Marie de Rou- comme un grand service à rendre au Cinéma filet ». Le Rêve, dej. de Baroncelli, d'après Zola, manie. trie cinématogra= français — de prendre part au Concours de avec Signoret, Andrée Brabant, Erick L'Eternel Féminin, de Roger Lion, avec Nous attendons, avant de publier phique à travers projets d'affiches que nous organisons. Barclay. Gina Pâler me. Marthe Lenclud et Rolla le nom, d'avoir vérifié si ce n'est pas L'Atlantide, de Jacques Feyder, d'après Normand. là l'œuvre d'un faussaire ou d'un le monde. M M 1° Les inscriptions seront reçues à Cinéa Pierre Benoît, avec Napierkowska, Marie- La Terre du Diable, de Luitz-Morat, d'après mystificateur. 10, rue de l'Elysée, jusqu'au 1er jïars prochain. Louise iribe, Angelo, Melchior. Luitz-Morat et Alfred Vercourt, avec La plus large cir= L'Homme qui vendit son âme au diable, et Yvonne Aurel. 2° Trois films français seront soumis de Pierre Caroy, d'après Pierre Veber, Pbroso, de Louis Mercanton, d'après An- Nous tenons à la disposition de nos culation. M M avec David Evremont. thony Hope. avec Capellani, Paoli, Mal- confrères de la Presse cinématogra- spécialement aux concurrents : L'Autre, de Roger de Chateleux, avec vina Longfellow et Jeanne Desclos. phique l'adresse d'une firme qui a La plus grande DON JUAN, de Marcel L'Herbier. Elmire Vautier. Blanchette, de René Hervil, d'après Brieux, fait établir, sur timbre en caout- La belle Dame sans merci, de Germaine avec Maurice de Féraudy, Thérèse Kolb chouc, une formule ainsi conçue : influence. M M Interprété par Vanni-JVIareoux, Jaque Gâte- Dulac, d'après Irène Hillel-Erlanger, et Pauline Johnson. « Très bon film dont l'interprétation avec Tania Daleyme. Denise Lorys et Le Crime de Lord Arthur Savile, de René est excellente et la photographie très lain, parcelle Pradot, Lerner, Philippe flériat, Jean Toulout. 30, Gerrard Street, 30 Hervil, d'après Oscar Wilde, avec André soignée» franco, 5.80. Le timbre pou- J. Sutter, etc. La mort du Soleil, de . Nox. vant servir au moins deux cents fois, LONDRES W d'après André Legrand, avec André La Maison vide, de Raymond Bernard, JOCELYN, de Léon Poirier. Nox. et Denise Lorys. avec Andrée Brabant, Henri Debain et le prix de revient de l'article tombe interprété par IViyrga, , Tailler, Fièvre, de Louis Delluc, avec Eve Francis, Alcover. à moins de trois centimes (0.03). Blanchar, S. Blanchetti, etc. Héléna Sagrary, Van Daële, Modot, L'Ombre déchirée, de Léon Poirier, d'après O Footitt, Yvonne Aurel, Brunelle. etc. Jeanne-Léon Poirier, avec Suzanne Des- Madame... mettons Dubois, femme ÉDITIONS de la LAMPE MERVEILLEUSE LA FEMME DE NULLE PART, de Louis Delluc. Le Tonnerre, de Louis Delluc. d'après près, Myrga et Roger Karl. d'un metteur en scène peu connu, n'a Mark Twain, avec Lilv Samuel et Mar- Le Coffret de Jade, de Léon Poirier, d'après droit officiellement à ce nom que 29, Boulevard Malesherbes - PARIS Interprété par , Roger Karl, cel Vallée. Pierre Victor, avec Myrga, Roger Karl depuis deux mois; mais elle donne Gine Avril, floéml Seize, André Daven, JVIichel La Femme de Nulle part, de Louis Delluc, et Mendaille. avec Eve Francis, Roger Karl, Gine Jocejyn, de Léon Poirier, d'après Lamar- au sacrement une valeur rétroactive, Vient de paraître Duran, Denise, Edmonde Guy, etc. Avril, André Daven, Noémi Seize, etc. tine, avec Myrga. Roger Karl, Tallier et et, racontant un séjour qu'elle fit à 3" Il sera fait de ces films une présentation Les Trois Mousquetaires, de Henri Diamant- Blanchar. Nice l'année dernière, ne manque pas Berger, d'après Alexandre Dumas père, La Nuit du î ?, de Henri Fescourt. avec une occasion de se faire nommer — spéciale aux concurrents. En outre, des séries avec Aimé Simon-Girard, Desjardins. Yvette Andréyor, Jean Toulout et Ver- « Le préfet me dit : « Je suis sûr, Ma- J'ACCUSE de photos des interprètes et des prineipales Jeanne Desclos, Claude Mérelle, etc. moyal. « dame Dubois... » — « Le patron de d'après le film d' scènes seront publiées dans les prochains Cbicbinetle et Cie, de Henri Desfontaines, L'Empereur des Pauvres, de René Leprince, l'hôtel demanda : « La limousine de avec plus de 90 illustrations d'après Pierre Custot. d'après Félicien Champsaur, avec Henry « Madame Dubois...» — « Nalpas, Krauss, Léon Mathot, Gina Rellv et Prix : 4 fr. 50 — Franco 5 fr. numéros de Cinéa. Marie cbeç les loups, de Jean Durand, avec s'adressant à moi : « Madame Dubois, Berthe Dagmar. Andrée Pascal. Jettatura, de Serge Véber, avec Héléna « que pensez-vous de Shakespeare? » 4° Les concurrents ont le droit de présenter Paiisel/e, de Louis Feuillade. Sagrary, Jean Dehelly et Nino Véber. etc. LES AVENTURES DE un projet pour chaque film ou pour deux films ou Les Ailes •s'ouvrent, de Guy du Fresnay, Visages voilés, âmes closes, de Henry-Rous- Quand le récit fut terminé, M. A..., avec Marie-Louise Iribe, Madys, Mau- trois projets selon leur goût. Chaque maquette sell, avec Emmy Lynn et Marcel Vibert. les yeux mi-clos, et ayant l'air de Ioy, Genica Missirio, etc. sera jugée isolément. La Vérité, de Henry-Roussell, avec Emmy penser à autre chose : Robinson Crusoé La Roue, d'Abel Gance, avec Séverin Mars. Lynn et Maurice Renaud. « Où donc est l'histoire du Neuf Jean Dax, de Gravone et Ivy Close. Le Crime du Bouif, de Henri Pouctal. d'après le film de O.-J. MONAT 5° Les maquettes seront en couleurs. Le thermidor racontée par Fouché, vous Margot, de Guy du Fresnay, d'après Alfred d'après G. de la Fouchardière, avec un volume de 200 pages savez : « Robespierre me dit : « Duc nombre de couleurs est laissé au choix des de Musset, avec Gina Païenne et Genica Tramel. avec plus de 100 illustrations d'Otrante... » concurrents, flous leur recommandons seule- Missirio. L'Accusateur, de E.-E. Violet, d'après Jules Et l'on dit que les milieux cinéma- Prix : 5 fr. — Franco 5 fr. 50 ment, et ils comprendront pourquoi, la plus L'Agonie des Aigles, de Bernard Des- Claretie. champs, d'après Georges d'Esparbès. La Petite Fadetle, de Raphaël Adam, avec tiques manquent de culture...! grande sobriété matérielle possible. avec Séverin Mars, Desjardins et Gabv Déjà paru Jeanne Van Elsche et Jeanne Ronsay. • 6° Le format des maquettes doit être une Morlay. Don Juan, de Marcel L'Herbier, avec Un excellent acteurde cinéma dont Le Cœur magnifique, de Séverin Mars et Vanni Marcoux, Jaque Catelain, Marcelle le visage tourmenté, les yeux per- Jean Legrand, d'après Séverin Mars, EL DORADO demi-grandeur d'affiche normale 120 x 160. Pradot, etc. çants, la silhouette légèrement voû- avec Séverin Mars, France Dhélia et Le Jockey disparu, de Jacques Riven, avec Mélodrame cinématographique tée, composent un ensemble frappant, 7° Le premier prix recevra une somme de Tania Daleyme. Louise Golliney. de Marcel L'HERBIER 500 francs de Cinéa. Fromoiit jeune et Rissler aîné, de Henry L'Epingle rouge, de E.-E. Violet, d'après est las d'entendre répéter qu'il res- Prix : 3 fr. 75 Krauss, d'après Alphonse Daudet, avec P. Bienaimé, avec Tsin-Hou, Donatien. semble à M. Mandel. Les amis et Trois seconds prix seront reproduits dans Parisys. F. Ford et Suzanne Vaudrv. admirateurs de M. V. .. feront donc La Collection la plus luxueuse Cinéa. La Ferme du Choquait, de Kern m, d'après Pour Don Carlos, de Jacques Lassevne, bien de modifier leur formule et V. Cherbuliez. avec Marie Marquet et d'après Pierre Benoit, avec Musidora. de dire désormais que M. Mandel - . = LA MOINS CHÈRE - - » Toutes les œuvres primées seront présentées Geneviève Félix. Le Pauvre Village, de Jean Hervé, avec lui ressemble. La plus magnifiquement illustrée par Cinéa aux maisons d'édition. Le Roi de Camargue, d'après André Hugon Maxudian, Rouer et Edith Blake. Fox DU-EN CHAÎNÉ. ■ - des plus beaux iilms • » ALLEZ ADMIRER A PARTIR DE CE SOIR

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en excliasivité

Prochainement UN FILM SPLENDIDE

LA GLORIEUSE REINE DE SABA KISMET , d'après la pièce célèbre d'Edward KNOBLOCK Le film prodigieux de la Fox-Film qui fut interprétée au « Gymnase» par Lucien GUITRY et dont le protagoniste à l'écran sera qui a fait courir tout New-York pendant plus d'un an. OTIS SKINNER La mise en scène la plus audacieuse qu'on ait vue à l'écran,

ROBERTSON COLE la splendide reconstitution de l'Orient Antique. PICT. CORP. Exclusivité 6aCin>oi)t Sélection Thomas-Film

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Programmes des Cinémas de Paris | LES FILMS DE LA SEMAINE \ M M du Vendredi 17 au Jeudi 23 Février M M La Fille du Loup. L'Aiglonne. de départ, en signalant les princi- Il est vraiment regrettable que les m " Delta-Palace, 17 bis, boulevard Rochechouart. — Il y a dans la vie de Bonaparte une paux interprètes. Et tout d'abord Chariot ne s'en fait pas. — Reine-Lumière. 12- épisode. maisons d'édition cinématographi- période indécise, charmante, ardente, l'Empereur : M. Drain, spécialiste du DU — L'Aiglonne, premier épisode. — La Femme et le que ne s'arrangent pas pour sérier THÉÂTRE COLISÉE j Pantin. | G AU MONT-PAL ACE j où l'admirateur de Rousseau n'a pas rôle, Napoléon majestueux, Bona- jtt M M CINÉMA JS j& jtr a a \, rue Caulaincourt 0 O \ et « rythmer » si l'on peut dire, leurs 10* Arrondissement été tué par l'ambitieux, où le rêve a parte un peu lourd qui, comme tous 38, Av. des Champs-Elysées : :-: UN SPECTACLE SENSATIONNEL :-: \ présentations. Après le bel et puis- autant de force que la réalité, ou 19, faubourg du Temple. — L'Aiglonne, les acteurs d'ailleurs qui jouent Bo- Direction : P. MALLEVILLE Tél. : ELYSÉES 29-46 Tivoli, ■ — ■ ■I sant effet de Kazan chien-loup, après ■ premier épisode. — Chariot fait du Ciné. — Un charmeur. \ EN EXCLUSIVITÉ à PARIS | l'art, la poésie même, vivent à côté naparte, semble toujours songer ï L'Histoire d'Amour la plus Fastueuse S ce second poème de la neige, Isobel, Chariot fait du Ciné Pathé-Temple, faubourg du Temple. — Reine- des préoccupations guerrières ou po- qu'il mourra à Sainte-Hélène M. Mar- \ o o o de tous les temps o o o S dont l'effet était déjà diminué par la ■ o o o o o o Comédie o o o o o o ï Lumière, 12' épisode, lin. — L'Aiglonne, premier épisode litiques ; où ce froid mépris des nay, qui fait évoluer de manière vi- — L'aviateur masqué, o- épisode. — Un charmeur. comparaison, La fille du Loup restant femmes, qui diminue la figure de vante son personnage de Fouché au j L'INFANTE A LA ROSE | LA GLORIEUSE REINE DE SARA j dans la même donnée, risquerait de 11' Arrondissement l'Empereur (que l'on aime César duc d'Otrante ; Mlle Suzie Prim, dont o o o Comédie dramatique avec o o o j f 6-000 personnages £ \ paraître monotone. Ce serait dom- Voltalre-Aubert-Palace, 93. rue de la Roquette. 5 o o La tragique Course de chars o o pour ses faiblesses I) n'a pas encore la silhouette gracieuse et distinguée GABR.IELLE DORZIAT j mage, car il y a beaucoup de bonnes — La Fille de la Camargue. — Les Parias de l'Amour, Les fêtes grandioses à la Cour du Roi Salomon apparu. C'est Auxonne, c'est Va- disparaît trop tôt à notre gré. M. ; == Gaumont-Actualités ===== 3- épisode. — Fatly et sa bonne. — Un charmeur. ■ La plus extraordinaire réalisation choses dans ce film ; les paysages lence... Le premier épisode de YAi- Poggi, amusant et souple Grippe- o o présentée à l'écran o o sont réussis, les scènes de contre- î L'APPARTEMENT N 13 j 131 Arrondissement sols; M. Andrew Brunelle enfin qui, Grand Orchestre, Soti et Chœurs :-: 5 5 Drame joué par PAULINE FREDERICK bande vivantes ; il y a des courses ■ ■ Gobellns, oo bis. avenue des Gobelins. — Reine- Location ouverte de I I à I 7 h. — Marcadet I 6-73 pâle gigolo dans Silence, « petit fonc- ■ épiques, en raquettes sur la neige, ^ i i ,,,»,„! Lumière, 12" épisode, lin. — L'Aiglonne, premier épisode. tionnaire » sournois et sanguinaire — L'aviateur masqué, 5* épisode. — L'agonie des Aigles, des luttes parfaitement réglées, et »• chapitre. dans Fièvre, Buckingham pimpant 2' Arrondissement 17- Arrondissement Lila Lee, qui n'est pas la banale jolie 14' Arrondissement dans Les Trois Mousquetaires, in- Salle Marivaux, 15, boulevard des Italiens. — Cinéma Demours, 7, rue Demours. — Les rives femme trop souvent exhibée sur carne ici un type réussi de conspira- Louvre 06-99. — Chariot fait du Ciné. — l.a Mort du Gaîté, rue de la Gailé. — Beancilron imprésario du Loing. — L'Aiglonne, premier épisode. — Chariot fait l'écran américain, joue bien son rôle Soleil. d'occasion. — L'Aiglonne, premier épisode.— L'aviateur du Ciné. — L'Infante à la Rose. teur républicain. masqué, 5 épisode. — L'agonie des Aigles, 2-chapitre. complexe — encore qu'on soit un peu Parisiana, 27, boulevard Poissonnière. — Gutenberg Villiers-Cinéma, 21, rue Legendre. — Cauterels. LIONEL LANDRY. 56-70. — Fleurs d'été. — Le cheval pie de Rio Jim. - Grenelle-Aubert-Palace, tu. avenue Emile- — Cliarlol voyage. — Une excursion au Siimmerland. — étonné de voir la fille d'un contre- Fatty et sa bonne. — L'Ile déserte. — Pompon cireur. Zola (30 et 42, rue du Commerce). — L'éternelle sirène. Gustave est médium. — Folie d'élé, bandier, à demi bandit, porter avec — Èn supplément, de 19 h. 30 à 20 h. 30, excepté — Les Parias de l'Amour, .'»• épisode. — L'agonie des Cinéma Legendre, 128, rue Legendre. — La ville dimanches et fêtes : L'Infernal. Aigles, 2- époque. — Reï-Gl'ss aux bains de mer. tant d'aisance, à la conclusion, la L'Appartement n° 13. défendue. — Paris Mystérieux, "■ épisode. — L'Aiglonne, toilette de soirée. Omnia-Pathé. — 5, boulevard Montmartre. — premier épisode. — Pour Don Carlos. Deux situations intéressantes qui Un charment. — L'hôtel du chahut-bahut. — Supplément 15' Arrondissement • ne suffisent pas comme éléments de Maillot-Palace, 74, avenue de la Grande-Armée. ne passant pas le dimanche en matinée : L'Epouse. Grenelle, 122, rue du Théâtre. — Reine-Lumière, — Programme du vendredi 17 au lundi 20 février. — Entre le marteau et l'en- I2- épisode, lin. — L'Aiglonne, premier épisode. — film parfait. La lenteur est l'ennemi Electrio-Palace 5, boulevard des Italiens. — La route des Alpes, (Cluses). — Toute une vie. — L'éveil L'aviateur masqué, 3- épisode. — L'agonie des Aigles, clume. du bon film. On ne la regrette pas Le golfe de Porto. — L'Infante à la Rose. — Chariot de la liète.— Programme du mardi 21 au jeudi 23 février. 2" chapitre. fait du Ciné. — En supplément facultatif : Shéiilf à — Reine-Lumière, 11- épisode, lin. - Paysages. — Un Quand on est joli garçon comme lorsque la fin comporte des scènes quatre paltes. 16' Arrondissement charmeur. — Marines. — L'Aiglonne, premier épisode. Wallie Reid, qu'on se trouve égaré magistrales. Le dénouement de l'Ap- 3' Arrondissement Le Régent, 22, rue de P.issy. - Auteuil 15-40. — 18' Arrondissement dans une forêt avec une dame plan- partement n° 13 est bien mené, sans Palais des Fêtes, 8, rue aux Ours. — Arcli. 37-39. Les aventures de Sherlock Holmes. — Le Masque tureuse qui vous dévore du regard, plus, mais interprété d'une façon re- d'Amour. — Vers la Lumière. — Monsieur Lapipe Théâtre Montmartre, Cinéma Music-Hall, — Salle du rez-de-chaussée — L'Infante à la Rose. — place Danrourt et rue d'Orsel, 43. — Nord 49-S4. — photographe. déclare que la forêt est celle des marquable par Pauline Frédérick. Le Mystère de U Chambre Jaune. Jubilo. — Durlule dans la misloulle. — Les coulisses du Salie du premier étage. — La Clef de l'Appartement Mozart Palace, 49, 51, tue d'Anteuil. — Pro- Cinéma. — Le Pont des Soupirs, 7- époque. Ardennes, qu'elle est Rosalinde et Elle joue le rôle de la femme d'un n° 13. — Un Charmeur. — L'A'glonne, premier épisode- gramme du vendredi 17 au lundi 20 février. — Reine- Chantecler, 72, avenuede Clichy. — Reine-Lumière. que l'on est Roméo, la situation est commissaire de police noceur qu'elle Lum'ère, 12' épisode, lin. — Paysages. — Un charmeur. 4" Arrondissement 12- épisode, lin. — L'Aiglonne, premier épisode. — en vérité inquiétante. Et l'inquiétude surprend dans son propre domicile — Marines.—L'Aiglonne, premier épisode. — Programme L'aviateur masqué, o- épisode. — Un charmeur. Saint-Paul, 73, rue Saint-Anloine.— Reine-Lumière, du mardi 21 au jeudi 23 février. — La route des Alpes. redouble lorsqu'on apprend que la amenant une amie qu'elle ne connaît H- épisode. — [Hulule dans la mistoulle. — L'Aiglonne, 2- étape. — Toute une vie. — L'éveil de la bêle. Palais Rochechouart, 56, boulevard Roche- dame veut divorcer et qu'on peut, par pas. Divorce. Elle se remarie. Ab- premier épisode. — L'admirable Ciicbton. chouart. — Le golfe de Porto. — Entre le marteau e 50 bis, avenue Mala- Théâtre des Etats-Unis, l'enclume.— L'Aiglonne, premier épisode. — Un charineiir. son témoignage, faire condamner le sence du nouveau mari, un peu ja- 5' Arrondissement kolf. — Le Pont des Soupiis, o- époque. — La Mort de Rio-Jim. — Les Aventures de Sherlock Holmes. — Satan; Gaumont Palace, 1, rue Caulaincourt. — La Glo- mari. Le mieux est de se déclarer CLIC1IÉ UN1TE0 ART1STS loux, qui charge un détective privé Mésange, 3, rue d'Arras. — Reine-Lumière, 12' épi- — Les avatars de Chariot. rieuse Reine de Saba. malade; une garde est convoquée — CAROL DEMPSTER dans La Rue des Rêves. de surveiller sa femme. Ce policier, sode, fin — L'Aig'onne, premier épisode. — L'aviateur masqué, 5- épisode. — L'agonie des Aigles, 2- chapitre. 19' Arrondissement pourrenforcerl'impression. La garde c'est le premier mari, qui a changé Chez Nous, 76, nie Montfelard. — l.a Petite Secrétan, 7, avenue fecrétàn. — Reine-Lumière, est Bébé Daniels. Voilà qui devient alonne nous montre — ou cherche à de nom. Voilà une situation possible, Fadelle. — Un beau coup de lllct. — Malhias Sandorf, 12- épisode, lin. — L'Aiglonne, premier épisode. — grave I nous montrer — ce lieutenant Bona- et neuve. Le premier mari devient L'aviateur masqué, 0-épisode. — Un charmeur. 9- épisode- | LE RÉGENT j Ce film, encore qu'alourdi de trop parte. De ses amours avec une la cause d'un meurtre perpétré par 7' Arrondissement : d 0 22, rue de Passy s) 0 : 20* Arrondissement de texte, est vraiment amusant. Les grande dame naît une fille, qu'il est le second et à la suite d'une erreur Régina-Aubert-Palace, 155, rue de Rennes. — ■ Direction : Georges FLACH Tél. : AUTEUIL 15-40 ; Paradis-Aubert-Palace, 42, rue de Bclleville.— adaptateurs, estimant que la forêt un peu prétentieux d'appeler une ai- Le Menlor. — L'agonie des Aigles, »• époque. — Le calvaire d'une mère. - La Fille de la Camargue. — de personne. Deuxième situation L'Aiglonne, premier épibode. — Gustave est médium. : Çaumont-Actualités : Les Parias de l'Amour, »• épisode. des Ardennes, Rosalinde et Orlando glonne; en telle matière, la loi sa- neuve: la femme reconnaît son adul- étaient des denrées inconnues du lique conserve toute sa force et per- tère (alors qu'elle est irréprochable) 8' Arrondissement \ Les Aventures de Sherlock Holmes Banlieue public français ont substitué à ces sonne n'a songé à appliquer aux pour que son mari, qu'elle aime, ait Théâtre du Colisée, 38, avenue des Champs- Levallois. — L'agonie des Aigles, premier chapitre. Elysées. — Elysées 29-46. — Chariot fait du Ciuè. — j LE MASQUE D'AMOUR j — L'aviateur masqué, 4- épisode. — Héliotrope. personnages — est-ce très heureux? filles — existantes — de Napoléon, la des chances d'acquittement, (crime L'Infante à la Rose. — L'Appartement n° 13. Eagnolet. — Reine-Lumière, 12- épisode, lin. — Héloïse et Abélard. Mais il reste les même dénomination qu'à Napo- passionnel). Acquittement, en effet, L'Aiglonne, premier épisode. - l.'avialeur masqué, médecins fantoches, et le petit jeu léon II. puis découverte de la vérité grâce à £)• Arrondissement j VERS LA LUMIÈRE j 0' épisode. — Un charmeur. MadeleineCinéma, 14, boulevard de la Madeleine. du thermomètre et Wallie Reid, et Le propre d'un film à épisodes, la femme qui se trouvait avec l'homme avec VA R VA R A Y A NO VA ■ Vanves. — Beaucitron imprésario d'occasion. — — L'Atlantide. L'aviateur.masqué, o- épisode. - Un chevalier de grand Bébé Daniels; on ne saurait deman c'est de ne pouvoir se raconter. In- tué depuis et que l'on croyait être la Cinéma Rocheohouart, oo, rue de Rochcchouart. j Monsieur Lapine Photographe j chemin. — L'agonie des Aigles, 2 époque, der davantage. diquons-en donc seulement le point première. — Un joyeux anniversaire. — Un cas d'identité. — La J 000000 Comique o o o o o o J Montrouge. — Reine-Lumière, 12" épisode, lin — route des Alpes (Cluses . — Paris Mystérieux, 7- épisode. Zigoto homme de ménage. — L'Aiglonne, premier épisode. — Miss Futuriste. — L'admirable Crichton. 6 cinéa cinéa 7 Le Magasin d'antiquités. morte au grand-père qui va la suivre Polichinelle et les hommes de cire On ne se lassera pas d'affirmer, dans l'anéantissement offre une allure ne sont pas beaucoup moins expres- pour un film, la nécessité d'un scéna- prenante ; un exode, quelques minu- sifs que les bonshommes en chair et rio intéressant. Voilà le principal, le tes auparavant aussi, dans un pay- en os, sauf la femme de l'avoué et le plat, l'indispensable. Tout de même, sage de neige un peu bleui de lu- bossu (joué par un Italien), qui, mal- menu ou consistant, il lui faut un mière . gré ses efforts, ne semble pas sincère. convenable assaisonnement, qu'il ait Le marchand d'antiquités, c'est Le meilleur tableau est celui de la du goût, de préférence un bon goût. John Trent, vieillard, qui vit auprès diligence arrivant devant l'hôtel, les Le roman de Dickens fournit donc un de sa petite-fille Nell. Il joue dans voyageurs, les clients, etc. scénario excellent, comme son autre, l'espoir de lui amasser une dot. La S'il n'y avait pas du Dickens dans l'Ami commun. Or, celui-ci est un ruine, puis la fuite, tous deux, sur l'histoire, nous nous montrerions des meilleurs films que nous connais- les routes de misère tandis que le moins difficiles peut-être sur la qua- sions, tandis que le Magasin d'anti- mr-gasin reste entre les mains d'un lité d'interprétation. Voyez les acteurs quités fade, se déroule, malgré le bossu cupide, marié à une jolie de l'Ami commun, comme chacun caractère particulier de chacun de femme. Trent a un frère, qui, enrichi, offre sa note originale et variée! Et ses types, avec monotonie. dans les Amériques, revient à sa re- combien de directeurs l'avaient mis On ne doit pas le considérercomme cherche et ne le retrouve qu'au jour à leur programme ? Deux ? Trois?... un mauvais film, mais combien il eût de la mort de Nell et dans une dé- été meilleur si les acteurs qui l'inter- mence causée par cette fin lamenta- prètent l'avaient animé de puissantes ble. « Pauvre petite Nell, voici ses La Rue des Rêves. personnalités T Et nous voilà obligés souliers, usés troués, elle avait trop Un violoniste des rues personnifie de préférer Dickens joué par des marché sur la pierre et pourtant elle l'esprit du mal. Pour jouer, il adapte Danois plutôt que par des Anglais. soutenait encore les pas vacillants de à sa figure un masque. Quand seul, Il ne suffit pas de « se faire une l'aïeulI » Il semble que ces mots, ap- il l'ôte, apparaît sa très haïssable tête » pour traduire un rôle, il ne proximativement reproduits sur face. Un évangéliste des rues symbo- faut pas seulement se mettre dans les l'écran, auraient dû se matérialiser lyse l'esprit du bien. Ceux qui écou- habits, dans l'enveloppe du person- par Limage d'une façon dramatique. tent le premier éprouvent de vilains nage, il faut s'installer dans sa peau, En vérité, ce film ne manque pas désirs. Ceux qui entendent le second il faut s'assimiler à lui. d'intérêt. Seulement l'émotion qui sentent la foi, l'espérance, le besoin Même les décors, justes, du Maga- devrait s'y étaler presque sans arrêt de charité. Ces deux personnages sin d'antiquités manquent souvent est retenue par la correction un peu allégoriques, de temps à autre, nous flegmatique des acteurs. de cette âme nécessaire aux choses sont montrés, en leit motiv. La lutte La Rue des Rêves de D.-W. GRIFFITH CLICHÉ C\ITFJ> ARUSTS révélatrices. Pourtant pas tous et, 11 y a là un montreur de marion- des deux esprits a inspiré ou paru i entre autres, le dénouement avec nettes et, d'autre part, une proprié- inspirer de nombreux films, par l'apparition fantômale de la petite taire de musée ambulant de cire. Or, exemple Révoltée, traité d'une façon plus terre à terre, au surplus, que la alors que d'autres ne l'estimaient vraisemblable de la plus belle venue Rue des Rêves, tirée par Griffith de pas. On osera, ici, dire un sentiment Le public se bouscule à la vue des deux nouvelles de Thomas Burke, de juste milieu, en respectant les flammes surgissant du plateau ; il est l'auteur du conte d'où nous est venu avis extrêmes, puisqu'ils sont Sin- prêt à se battre, il se bat, tandis que le Lys brisé et qui a été traduit en cères aussi. le directeur fait appel à un artiste français par M. Cecil-Georges Bazile. Si l'on regarde ce film avec atten- pour reparaître sur la scène ; la petite Dans la Rue des Rêves, donc, nous tion, on doit en vanter la mise en danseuse se propose et, à force de faisons la connaissance d'une petite scène, la photographie, en somme, la danses, de sourires, ramène le calme danseuse de pauvre music-hall qui technique. Mais on y retrouve la dans la salle où chacun se rassoit et habite avec son grand-père, de deux lenteur du Lys brisé, et ce quelque applaudit frères dont l'un est un béllâtre de chose de noble inspiration et de Avec deux minutes de moins, la carrefour, prêt à écouter le mal, et merveilleusement calculé qui semble scène où l'un des deux frères se pré- dont l'autre a de la douceur. Ils vouloir se souligner. Il y a de l'in- pare à tuer l'autre qui s'est livré à aiment l'un et l'autre la danseuse sistance dans certains détails d'ex- des violences sur la danseuse serait que convoite aussi un Chinois, tenan- pression de physionomie, qui risque supérieure. Telle quelle, elle peut cier d'une maison de jeux clandestine. d'agacer un peu, comme on en ren- compter parmi les meilleures que Comment le bien et le mal se com- contre, par exemple, en littérature l'on ait vues au cinéma. Le plus jeune battront-ils ? Ils auront souvent chez Péguy, et peut-être l'émotion en a juré qu'il tuerait celui qui nuirait maille à partir et les faits eux-mêmes est-elle beaucoup amoindrie ou s'en à la jeune fille. Or, c'est son frère, ce ne nous surprendraient sans doute trouve-t-elle suspendue. Il y a des quelqu'un. 11 va tirer, mais ne peut pas du tout si Griffith, avec un art styles personnels qui côtoient le pas tuer son grand frère qui, enfant, complété par un métier extraordi- procédé. le protégeait et qui alors, l'arme naire, n'insufflait pas à ses types, L'insistance est plus juste, plus étant abandonnée, montre ses poings hommes et femmes, des expressions admissible et même plus désirable énormes, mais... mais ils s'embras- étonnantes. On voudrait admirer dans les scènes où ce n'est plus une sent. Tout de même, quand il y aura pleinement un tel film et, autant que physionomie d'homme ou de femme un classique du cinématographe, DOUGLAS FAIRBANKS dans Un Charmeur. r.uaw. PATHIÏ nous avons pu nous en rendre compte, qui parle, mais une physionomie de cette scène en sera. beaucoup de spectateurs en ont été, groupe. Par exemple, une panique La deuxième partie du film nous à la présentation enthousiasmés, dans un music-hall est une image réserve un meurtre à la suite duquel 8 cinéa cinéa 9 l'un des deux frères se sacrifie à et la Belle de Haguenau, complainte français. Les succès mondiaux de l'autre. Une scène de vengeance du ANGLETERRE M en quatre images, de M. Jean Variot. Madame Dubarry et de Danton sont Chinois (qui naguère fut dénoncé à En guise de lever de rideau, pour | DERRIÈRE \ • bien connus. Maintenant la « Ria- la police par la petite danseuse) est précéder la présentation de Le signe La Glorieuse Reine de Saba (The Jende-Filmgesellschaft » va tourner des plus importantes. La cour de HEUREUSE TENTATIVE ! sur la porte à l'Alhambra, M. Guy ■ ■ ! = L'ÉCRAN = ! Qaeen of Sheba), que nous verrons Ninon de Lenclos, avec Ria Jende ■ ■ justice et le triomphe du bien précé- ■ « Newal vient de produire une courte : j à l'IIippodrome-Gaumont,à partir du dans le principal rôle. L'acteur connu, dent un tableau de bonheur familial. allégorie à quatre personnages, qu'il 17 février, a été réalisée par J. Gordon Joe May, a choisi Le marquis de On doit rendre hommage au texte a intitulée La Belle et la Bête. Ce Edwards, d'après un scénario de Sade pour son prochain film. Une de ce film, qui est concis, correct, Une lettre que nous recomman- FRANCE M film fantaisiste fut fait, dit-on, en Virginia Tracy. Distribution : nouvelle Société « Internationale sans littérature. Les interprètes hom- dons à MM. les exploitants. huit jours sur la demande expresse Parmi la récente promotion de la La Reine de Saba. Betty Blythe. Film-A.-G »(If'a), a projeté comme pre- mes sont remarquables, ceux des de M Jeffrey Bernerd, directeur de Monsieur, Légion d'honneur du Ministère du La princssc Vashti Nell Craig. mier film : Marie-Antoinette, d'après deux frères surtout. Carol Dempster la Stoll Film Co. M. Guy Newall le Commerce, nous avons relevé avec Nomis Joan Gordon. le scénario d'Erwin Baron. joue fort convenablement, mais elle J'ai lu à diverses reprises et avec donne comme la plus mauvaise des grand plaisir le nom de M. Decaux, Salomon Fritz Leiber. 9 n'est peut-être pas aussi bien douée grand intérêt dans Cinéa, des ré- comédies qui fut jamais mise au Directeur général des Usines de la Adonias G. Raymond Nye. Heinz Schall, le metteur en scène que Mae Marsh et que Lilian Gish. flexions sur la routine du public et monde, je veux dire, à l'écran. Ga- Société des Etablissements Gaumont. Mentor Ilerschel. de Hamlet va maintenant tourner S'il fallait résumer une impression la timidité des directeurs en matière geons que Miss Ivy Duke, qui y per- M. Decaux, Léopold-René, est né Tamris Herbert Heyes. Macbeth, pour la«Koop-Film-Comp.» sonnifie la beauté, aura su, cependant aprèsle spectacle delà Rue des Rêves, de choix de films. le 11 mars 1889. Ancien élève de l'Ecole Le petit prince de • on dirait que, pendant toute sa pro- Toute tentative un peu neuve et lui donner de son charme. des Arts et Métiers d'Angers, il fut Saba Pat Moore. La Société « Terra-Film » va filmer jection, c'est-à-dire plus dé deux originale des metteurs en scène, di- attaché successivement au bureau • • L'Assomption de Hanele, du célèbre La compagnie Welsh Pearson, heures, on a été intéressé, on a siez-vous, est découragée par l'ac- d'études, de la Maison Carpentier Geneviève Félix que l'on a applau- Gerhart Hauptmann, titulaire du prix dont les derniers films vont être pré- examiné le film en le raisonnant, on cueil que lui font les exploitants, (ateliers Rumhkorf) de 1889 à 1893, et die dans Micheline, est en ce moment Nobel. Le metteur en scène sera sentés en France, vient d'agrandir l'a suivi sans une minute d'ennui et à la Maison Georges Richard, de 1893 paralysés par la crainte d'étonner à Saint-Jean-de-Luz, où elle tourne Urban Gad. ses studios de Willesden. Deux met- que l'émotion s'est manifestée à deux à 1895, comme ingénieur. ou de dérouter leurs habitués. un nouveau film, L'Absolution, de 9 teurs en scène y travailleront doré- reprises seulement et pour un temps Après une association avec Mme Vous avez remarqué, en particu- J.-J. Bernard. La production de film en masse en navant. D'une part, M. Pearson, qui très court. Mais la puissance d'émo- Tavernier-Gravet, M. Decaux entre lier, que El Dorado et La Charrette Allemagne souligne la difficulté de poursuivant la série de ses succès, tion n'est peut-être pas un critérium. le 1er décembre 1898 dans la Maison • Fantôme, ayant été sifflés dans quel- trouver des bons manuscrits d'une s'apprête à tourner une adaptation • - L. Gaumont et Cie. Il est un des pre- ALLEMAGNE M manière éclatante. Pour stimuler libre d'un livre de M. G. J. Bell inti- Un charmeur. ques salles, avaient aussitôt disparu miers et des plus actifs collabora- Le dernier film impressionniste l'intérêt des auteurs, deux grandes tulé, «Wee Mac Gregor Sweetheart», Les enfants de tout âge raisonnable des programmes, laissant la place à teurs de M. Gaumont, qui lui confie s'appelle Nosferatu, de la Société maisons annoncent des concours de avec la collaboration de l'auteur. Miss (de cinq à cent ans) seront ravis du l'abondante banalité de la production la création et la direction générale « Prana-Film » et semble, à en juger scénarios. La« Richard-Oswald-Film- Betty Balfour, étoile menue et char- spectaclede ce film aux couleurs opti- qui nous vient d'Amérique ou d'Italie. des Usines Gaumont. par les clichés, encore plus impres- A.-G. » offre 200.000 marks comme mante, en sera la vedette. D'autre mistes. Le charmeur, c'est Douglas Tout en assumant et menant à bien sionnant que Le Docteur Caligari. Je viens vous signaler ce fait qui prix, et la « Harry-Piel-Film-Comp. » part, M. Martin Thornton, précédem- Fairbanks qui se substitue à l'un de cette tâche considérable, M. Decaux • vous intéressera, je le crois. offre 150.000 marks. ment avec Stoll, qui tournera une ses camarades d'Oxford pour, en s'occupait également de l'organisa On a tourné un film, Seul dans la J'ai tenu, ayant constaté par moi- Aura-t-on enfin un film? Nous série de films dont Victor Mac Laglen Amérique, vivre dans la famille du tion technique des filiales Gaumont Jungle, avec tous les animaux sau- même dans ces deux films, l'intérêt sommes très curieux. sera le principal interprète. Le pre- dit condisciple. C'est facile, puisqu'on à l'étranger. vages de John Hagenbeck, le célèbre de la donnée, la valeur artistique de O mier a pour titre A Sailor Tramp, n'a pas vu l'autre depuis quinze ans. 11 est l'auteur de multiples inven- dompteur allemand. La ville de Hânau propose d'établir la réalisation, à les faire connaître d'après un livre de Bart Kennedy. Facile? Du moins, acceptons le tions concernant la photographie et un cinéma exclusivement pour des au public du Cinéma « Chez Nous », • • postulat. Le charmeur permet ainsi la cinématographie, et en particulier En Allemagne, on semble avoir une films d'enseignement. Une grosse entreprise vient de se rue Mouffetard, public essentielle- à l'absent de demeurer auprès de du système obturateur universelle- grande préférence pour des sujets T. D. former pour construire à Londres un la femme qu'il aime et, ayant appris ment populaire et peu cultivé. ment connu. l'identité de chacun des individus L'un et l'autre films ont été suivis e qu'il va voir, s'assimile bien à un avec attention, j'allais dire avec re- Jeanne Diris, qui vient de mourir, mode de vie factice. Il finit par déri- cueillement ; et dans cette salle, accou- ne fut pas seulement une des plus der l'oncle sévère et les tantes jusque- tumée aux critiques spontanées et belles comédiennes de Paris. Elle là revêches, grâce à l'intrusion dans aux réflexions les plus imagées, pas aima l'art muet, y fit une création de la famille d'une jeune fille jolie et de un coup de sifflet, pas un mot dé- haut goût dans La Femme inconnue ses cinq petits frères et sœurs. Il n'y placé n'ont troublé la représenta- de Gaston Ravel, organisa la réali- a pas là de quoi inspirer un poème tion. sation de L'Equipe d'après Carco, et épique ou une nouvelle théorie du Il me semble qu'en faisant connaî- s'apprêtait à continuer cet effort, temps et de l'espace, mais c'est plein dont sa beauté, sa volonté, sa dis- de sourires et de gentillesses que l'on tre ceci à vos lecteurs, vous contri- buerez à répandre cette idée : tinction passionnée assuraient la a l'illusion de croire sincères. Et réussite prochaine. c'est toujours ça, en passant. Qu'avec un peu de hardiesse de e LUCIEN WAHL. la part des directeurs d'exploita- Les Compagnons de « la Chimère » tion, le public français saura se retiennent pour leur premier spec- Alie z voir former un goût plus ouvert, et que tacle les dates des 21 et 22 février, s'il a été routinier Jusqu'ici,la faute en matinées,à la Comédie des Champs- Çueen of Sheba en est à la médiocrité des specta- Elysées, ex-Comédie-Montaigne, ai- cles qu'on lui a trop souvent pré- mablement prêtée par M. Jacques (La Glorieuse Reine de Saba) sentés. Hébertot. avec BETTY BLYTHE M. WALTER, Ils présenteront Haija, pièce en

iJireclriçe du Cinéma « Chez .Vous ». ■ trois actes de M. Herman Grégoire, SUNSHINE GIRLS CUCUÊ fOX cinéa 10 cinéa 11

pas à dédaigner, puisque les 6 à nuages pourprés contre la splendeur Les champs bien mensurés de notre 7.000 places étaient toutes occupées j PARAPHRASE j hyacinthe de l'occident; pays natal comme à l'habitude. elle tombe sur la terre avide et affirment leurs limites par l'aligne- • j POUR L'ÉCRAN j lasse, ment des arbres La plus grande photographie du pluie (une clarté livide du sol dé- (vois frissonner la feuille argentée monde représente le petit Jackie trempé monte vers le ciel gris) du tremble). Coogan, l'admirable partenaire de ou neige (un vêtement toujours nou- Chariot dans Le Gosse. Elle est tirée Laudato sie mi signorc eiun tucte veau drape la splendeur polaire Sous l'ardeur meurtrière du soleil de son dernier film, My boy et me- le tue créature, des grands champs dont le traîneau jaillit du limon primordial l'armée sure 8.75 x 12 mètres. Elle sera fixée spetialmente messor lo frate sole glissant fait jaillir une gerbe pou- touffue des lianes aux larges fleurs sur le toit du cinéma à New-York, lo quale jorna et illumina noi pet- drée). qu'enserrent, lianes vivants, les rep- où on présentera ce film. loi; Les glaciers irrésistibles et lents, sil- tiles glauques et chatoyants. • ctellti èbellue radiante cum grande lonnés de gouffres noirs, Puis la jungle devient steppe, et le On sait que les prisonniers en Amé- splendore : fondent, deviennent le torrent qui steppe, désert. rique peuvent assister à des repré- de te, aitissimo, porta signi/ica- mugit, tourbillonne, écume, Sur le sable éternel se croisent les sentations spéciales pour eux. La tione. parmi les rocs déchiquetés. pistes. dernière nouvelle est qu'un prison- Le vent écrète les dunes que creusent Linceul transparent, l'eau des mers nier en Arizona a écrit un film qui les larges vestiges des chameaux. revêt de son apaisement vient d'être acheté par une grande Les flèches vibrantes du soleil ont et très loin, très loin, trois gommiers les cadavres de navires que rongent société connue. dessiné sur la pellicule translucide marquent le puits les algues. Bientôt on verra certainement les tout ce qui se déroule devant nous où peut-être il ne reste plus d'eau. Fluide et souple vêtement, elle coule prisonniers jouer des films I Quelles — grâce, émotion, beauté. sur la chair ambrée possibilités de réussite pour tous les Il n'est lumière qui n'émane de lui, Laudato si' mi signore per frate des jeunes hommes et des jeunes jeunes gens voulant faire du cinéma qu'elle sorte de son rayonnement focu, femmes dont la nudité radieuse et ne trouvant pas d'engagement ! immédiat, per lo quale enallumini la nocte resplendit sous les cieux qui virent Mais ce sera en Amérique... et le qu'elle s'exhale des forces obscures et ellu é bellu et iocundo et robus- émerger l'Anadyomène. billet de voyage est cher. par lesquelles reprend vie toso et forte. Mais aussi, vague déferlante, elle T. D. l'antique chaleur emprisonnée dans • l'arbre porte Une flamme dans la nuit... (ardente Daphné resurgissant de aux rocs de granit des Cornouailles (il fait meilleur maintenant; SUISSE S? l'écorce); jumelles et rivales le vent frais qui précède l'aube ne La Compagnie Générale du Ciné- qu'elle nous soit livrée par la chute le message que le cyclone lui confia, glace plus nos membres las). matographe annonce pour ses pro- icarienne là-bas Les dénions nocturnes, grand cirque semblable à l'Olympia, Il y a quelques années, le film de chains programmes plusieurs beaux de l'eau qui toujours veut monter où les barrières de coraux montent incubes, succubes, stryges, goules, le seul de son genre, actuellement, en propagande servit bien la cause de films, parmi lesquels Lily Vertu, avec vers l'astre la garde vampires, lamies, Angleterre. M. A. Cochran est l'une la guerre, principalement chez nos Mme Iluguette Duflos, de la Comédie et toujours retombe au gouffre des devant les cayes, parmi les ilôts ont peur de cette clarté (quatre des trois personnalités qui financent amis d'outre-Atlantique. Française. océans. éternellement bleus.. pierres, un fagot; l'affaire. Le cirque, qui coûtera Pendant la Conférence à Washing- Phroso (production Mercanton) ; Et j'aime surtout, aux portes de la mais un foyer c'est presque une niai- v 3.000.000, emplacement et salle, ton, M. Walter Wagner, célèbre dans Dream Street (production D. Grif- Mais le maître joue avec son œuvre. son). servira pour des exhibitions, combats le monde cinégraphique en Améri- ville, fith). Il jette sur le sable clair l'ombre de que, a fait un appel aux gouvernants le fleuve calme et nourricier que Forgeron des légendes d'Iràn, de boxe,etc. Il sera pourvu de sièges La Femme et le Pantin, avec la celui que nous ne voyons pas démontables, de façon à pouvoir être et aux diplomates pour que ceux-ci encore ; bordent Lug gaulois, Hephaistos hellène, célèbre Géraldine Farrar. les noyers, les ormes et les peupliers. transformé en cinéma, si besoin est. se rendent compte de l'importance Les Cinémas Lansac annoncent : il pose un front lumineux sur l'ar- Loge germain, M. C. B. Cochran en sera le premier et du pouvoir du film sur la question Les Nuits de New-York, L'Ile de la cade sombre d'une orbite mena- Laudato si' mi signore per sora nos- jette ta flamme claire, ouvrière, fé- conde T directeur. de paix. La paix mondiale peut être Terreur, avec Houdini, Quatrc- çante ; tra matre terra, A. F. ROSE. réalisée seulement si toutes les na- Vingt-Treize, d'après l'œuvre de il enflamme d'un reflet frissonnant la quale ne sustenta et guverna, (des pluies d'étincelles jaillissent du fer qu'écrase le marteau, tions se connaissent à fond. Par le Victor Hugo. l'ébouriffemcnt d'une chevelure et produce diversi fruefi et coloriti de la torche secouée au vent). AMÉRIQUE /f film on apprendra comment vivent, Et enfin, une œuvre depuis si long- dorée; flori et herba. s'habillent, demeurent et voyagent ...une flamme dans la nuit. En avril 1921,on aédité40 nouveaux temps attendue : La Dixième Sym- il plaque sur le mur grisâtre la tache Les noyers, les ormes et les peu- films américains, en mai 50, en juin 51, les peuples, et de cette façon une phonie, qui passera la semaine pro- blanche du berceau où repose atmosphère de compréhension .et pliers, Laudato si' mi signore per nora en juillet 39, en août 32, en septem- chaine à l'Omnia. Cet établissement l'enfant nouveau-né ; d'amitié sera créée. il incendie le couchant contre lequel les saules faits pour abriter la visible nostra morte corporale, bre (55 et en octobre 69. Cela fait s'est assuré le concours du célèbre fuite de Galatée, de la quale nullu homo vivente po 346 films en sept mois. Picture Play se découpe le cortège funèbre du • tzigane Rigo, afin de donner un plus le feuillage frémissant, vivant avec skappare... grand caractère d'art à la reprise héros mort. estime que 650 à 700 films sortiront Ce n'est pas seulement sur l'écran les créatures qu'il abrite, en 1922 — presque deux par jour Que du film d'Abel Gance. que se présentent des aventuriers Laudato .si" mi signore per sor aqua les branches touffues des buissons, Pourquoi ne la point évoquer, peut-on espérer comme qualité? audacieux — il se passe quelquefois • la quale è multo utile et humile et qui s'écartent, celle qui passe, flottant brouillard, • des événements palpitants même de La Radios-Film, à Genève, va tour- preziosa et casta. révélant les boucles blondes, les parmi les êtres qui croient vivre? On dit que D. W. Griffith va entre- l'autre côté de la rampe. Pendant ner toute une série de films documen- yeux troublés la voici traînant derrière elle (tel Elle est très bonne, en vérité prendre incessamment le film le plus une représentation au Capitol, à New- taires aux environs de Genève. des jeunes faunes et des nymphes... Hermès Convoyeur-des-Ames) cher du monde. Il aura six épisodes York,le plus grand cinéma du monde, • et très belle, notre sœur l'eau. la nef que surchargent les esprits avec soixante-douze parties au total. quatre hommes s'introduisirent dans Pola Negri, la célèbre actrice de La voici, dans les altitudes mysté- La terre nourricière porte l'ondula- embarqués pour les îles bienheu- Chaque partie doit coûter 100.000 dol- le bureau du directeur, où ils bâil- cinéma est actuellement à Saint- rieuses du ciel, tion des blés mûrs reuses, lars, ce qui fera une somme totale lonnèrent ce dernier et le personnel, Moritz. nuages blancs de neige contre la et la souple ivresse de la vigne en- la charrette qui va recueillir ceux de 7.200.000 dollars pour le film entier puis ils prirent la caisse, qui n'était G. DORSAZ. voûte sombre de la nuit, laçant l'olivier. que frappa la malemort. 12 cinéa cinéa 13 A la voir, le chœur frivole s'effare etc. — Mais les sous-titres, ah, les (Fox-trott, shimmy, jazz-band; sous-titres, le texte, vous verrez, la vie est déjà assez triste; j L'Écran fascinateur j quels textes. C'est à mourir de rirely> Nous n'aimons pas entendre rappeler Nous en sommes morts, ma foi. S ROBINSON CRUSOÉ 4 que notre amusement n'est pas tout au monde). Cette grosse bête blanche et noire, avec son regard glacé de beau ser- Que de mots I Et les images, où Nous avons donné dans notre nu- Pourquoi ont-ils une telle peur de sont les images ? Le commerce du Son ombre? pent strié, intimide, hypnotise. Il peut méro du 3 février les lignes géné- tout se permettre, on ne lui résiste cinéma paie les mots aussi cher que Quand Elle-même viendra, s'en dé- les images. Eh bienî il saura ce que rales du scénario, mais cependant fendront-ils en niant pas. trop succinctement. Il nous faudrait Le théâtre a des , mots malheu- ça lui coiite. la Maladie, la Souffrance et la Mort? un in-folio pour traduire fidèlement reux. Pas le cinéma. Quand le les détails abondants —d'une acuité Fin des doutes, abolition des craintes, patient se révolte, c'est la faute du Je viens de voir une scène muette Réponse par oui ou non à toutes les sous-titre. Le mot, le texte, le com- saisissante et d'un fouillé si sincère, où la protagoniste, abattue par le questions, mentaire bavard rompent le charme. si fin, si ingénieux — qui parent la désespoir, s'abat sur le plancher. Sœur redoutée du Sommeil apaisant On n'en connaît pas le danger. On charpente hardie de ce film. Je l'ai entendue tomber. ne sauras-tu gré à ceux-là qui n'ont continue de ne pas savoir quel fasci- Lorsque nous verrons sur l'écran point voulu bannir ton nom et ta nateur est ce sombre reptile qui dé- m les péripéties mouvementées de l'in- pensée. roule ses images avec une placidité constante fortune du héros de Daniel Vous connaissez Chariot voyage? de leurs troubles, de leurs extases, magistrale de monstre. de Foë nous ne pourrons nous dou- C'est délicieux. Et il y a l'épisode de de leurs joies? ter — en suivant avec émerveille- © la pièce tombée à terre. Quand Cha- Beatiquelli ke trovarà ne le tue ment la trame régulière, sans lon- On a donné ces jours-ci un film qui plin pose trop brusquement le pied sanctissime valuntati, dessus, nous entendons un bruit de gueurs, sans heurts et sans vides — promettait de nous faire rire: « Penh, La ta morte secunda nol farrà des indicibles difficultés et des obs- la vedette comique... — Penh, le scé- semelle lasse qui casse le rire en maie. tacles inouïs que rencontra l'exécu- nario.. — Peuh, la photographie.., deux. LIONEI, LANDRY. • tion magistrale de ce scénario, qui temps, au risque d'être déchiqueté ne demanda pas moins de un an et par les lames; sortir d'une grotte au L'image est tellement plus élo- demi de travaux patients, opiniâtres moment précis où on la faisait sau- quente que le mot. Elle suggère au et prodigieux. , ter à la dynamite, au milieu de la lieu de fixer. Elle frappe tous les terre soulevée et la pierraille pro- sens et les inspire. Tout se souvient Comment pourrions-nous dire le de soi-même au choc imprévu de régime de Spartiate auquel fut sou- jetée en l'air. Il y fut blessé. Au l'image. mis durant tout ce temps, Mario Dani, reste, Mario Dani, à la fougue endia- • le protagoniste de Robinson Cru- blée, ne comptait plus les blessures soé?... Incarnant son personnage reçues au cours du film, dans di- Un petit film, l'autre jour, -- oui, avec un dévouement et un souci in- verses circonstances : combats à nous voulions suggérer le bruit (en lassable de la vérité, le consciencieux bord de voiliers; courses dans les ayant l'air d'en rire pour ne pas scandaliser ces messieurs du bas de artiste fit l'admiration de ses met- ronces, le corps nu; escalades de ro- de l'écran) et ma foi, un anglais nous teurs en scène et de ses camarades, chers chaotiques; chutes d'arbres, a dit : « J'avais presque besoin de ne ménageant jamais ni sa peine ni de cheval, etc.. me boucher les oreilles. » S'il n'avait sa témérité : on le vit, à peine vêtu Combien de scènes recommencées, pas dit presque le^film était réussi. et pieds nus, courir dans les laves du durant lesquelles, sans défaillir, tou- Nous en reparlerons ailleurs. Vésuve, à travers les fumerolles et jours avec le même courage, il re- les parois de feu; se jeter à la mer, nouvela l'effort physique demandé sur des côtes rocheuses, par gros jusqu'à l'obtention de la perfection, Pour créer l'atmosphère qui mate exigée par le sujet captivant mais in- la foule, il faut beaucoup de science grat. En surcroît de ses prouesses en ou beaucoup de franchise — beau- r.Ltr.HFS quelque sorte acrobatiques, Mario MONAT coup de brutalité ou beaucoup de Dani, au jeu sobre, émouvant et sûr, confiance et d'aisance. Si vous savez est d'une parfaite tenue scénique : il où vous allez, si vous y allez réelle- porte avec la même aisance le feutre ment, tout le monde vous suivra. Là et le bonnet de peau de chèvre, et est la supériorité de tels films absolu- fait excellente figure entouré de ses ment idiots bâclés par des crétins convaincus : ils s'imposent mieux camarades Claude Mérelle, Numès et que ceux de l'artiste qui a cherché, Bénédict. hésité, réfléchi, rêvé, peiné profon- M. Monat peut se féliciter d'avoir dément. L'adjudant de la corvée de découvert l'interprète qui convenait patates a toujours eu plus d'autorité pour la réalisation cinégraphique de que les grands conquérants. l'éblouissant chef-d'œuvre qui fit les Louis DELLUC délices de notre jeune temps. PIERRE VÉRANS. 14 cinéa

LA i*lORT DU SOLEIL et la Naissance du Film

Cinéa m'a confié le soin d'aller in- sait admirer la supériorité des au- l'originalité des pensées et des con- terviewer Germaine Dulac, metteur tres... Une craintive surtout... Et ceptions se transformeront en or, il en scène, visualisateur de La Mort du puis en vain ai-je cherché les bagues... faut que son talent rapporte. Soleil qui passe cette semaine sur Tout juste au doigt une chevalière... Rapport égale, en Cinéma : écono- l'écran de Marivaux. Une chimère... Est-ce un symbole?... mie. Pourquoi ne sont-ils pas plus sen- A la chevilletoutde même une chaîne L'intérêt du metteur en scène n'est sationnels mes débuts de reporter d'or : « Un porte-bonheur, me confia donc pas de jeter l'argent à pleines dans Çinèa ? Germaine Dulac! Une Germaine Didac. J'ai la faiblesse de mains s'il veut vivre et surtout sur- femme prétentieuse a dit, à propos croire à la bonne où à la mauvaise vivre pour atteindre l'Eden futur. de La Jungle du Cinéma et de Ger- influence des gens, des choses, des Mais qu'on lui donne les moyens de maine Dulac un confrère, violent, animaux, des dates, des jours, des produire!... Les prodigues ne sont un bas bleu excentrique bagué d'or astres... Ainsi durant longtemps pas en cinéma ceux qui dépensent, aux mains et aux chevilles... n'ai-je jamais voulu commencer un mais ceux qui obligent à dépenser Je n'aime pas les poseurs, encore film un mardi... Pour La Mort du mal à propos... » moins les poseuses. Soleil j'ai fait exception... Croyez — Le Cinéma, madame, n'est pas que je m'en suis repentie... Que d'en- un simple problème d'intérêts... Vos J'ai sonné à la porte d'un apparte- nuis..Les Auspices de Mars!... Mau- idées !... ment situé au second étage d'une vais. .. Mais à la fin de chaque film — « Mes idées ?... Mon effort dans vieille maison, sise dans une rue au n'évoque-t-on pas toujours la guerre La Mort du Soleil... Décrire les mou- calme quasi-provincial... Pas d'as- que l'on a eu à soutenir. Lutter con- vements intérieurs de l'âme, dans le censeur... C'est une façon de se sin- tre l'élément humain et l'élément thème de l'action... Surtout l'au-delà gulariser et d'essouffler les visiteurs.. matériel qui résistent et diminuent des actes. Dans l'échelle des valeurs Un mauvais tour. Dans l'obscurité les forces de pensée du réalisateur, cinématographiques, ma vision est de l'entrée un chat siamois apeuré, au lieu d'être maniables entre les celle-ci ; le fait extérieur... l'âme... en fuyant, a failli me faire culbuter. mains. En cela nos confrères améri- la physionomie. L'impression réagis- Et puis quel froid!... Sur des murs cains sont enviables. Pour visualiser sant sur l'âme avant d'apparaître blancs, des meubles noirs austères, leur œuvre, ils ont un instrument sur le visage... » rigides... Une Sibérie morale... Un aussi souple qu'une plume entre les — Mais encore. . » genre. doigts de celui qui écrit. Discipline — « Etre simple, vraie, mobile dans Un chien aboie. Quelque lévrier des sous-ordres, perfection mécani- l'immobilité des chose» et le calme probablement... Ces bêtes à l'allon- que. Ici nous ne trouvons que de la apparent des êtres. » gement esthétique peuvent seules bonne volonté. Mais l'organisation — Et puis ? s'harmoniser avec des mains et des inexorable des moyens d'exécution — Et puis. .-.Mais vous me faites chevilles cerclées de bijoux... Un re- seule peut donner, par la discipline, penser à des choses auxquelles je ne niflement singulier sans élégance, la liberté et la plénitude à la pensée veux pas penser... Le bon drame, des pattes pesantes foulant le par- du metteur en scène. Que de temps bien commercial Jenny l'ouvrière quet... perdu, que d'argent gâché, que de par exemple. Tel est l'objet de mes L'arabesque légère du lévrier est sensibilité et de mouvements d'âme, préoccupations actuelles... Fini la remplacée par le col trapu, le mufle étiolés dans un film, parce qu'il lutte pour un idéal d'avant-garde. Le noir et plat d'un bon bull dog bien manque l'enclume pour frapper! » dieu du jour, l'argent nous invite à matériel Deux bons jeux accueil- — Les metteurs en scène font-ils d'autres plaisirs... lants, un museau dévoué et sympa- donc attention à l'argent qu'ils dé- L'argent donne la puissance, la thique. Un peu de chaleur et de sim- pensent ?... — force plicité dans ce bureau monacal. — « Soyez sûre qu'ils s'en préoccu- et Mais... pent étrangement. A l'heure actuelle Puissance, force == Réalisation de GKRMAINK DULAC le réalisateur Roi est celui qui devient soi-même plus tard. au premier rang des bons cinéastes français, continue un labeur d'art de haute qualité. Depuis Ames de Fous, La Cigarette, La Et bien, je ne croirai jamais plus l'habile multiplicateur des dividendes Pour le philosophe qui sait atten- Fête espagnole, elle a progressé lumineusement avec Malencontre, les feuilles de cinématographie ni d'une société financière. Le souci de dre... et grandir dans l'attente. La Belle Dame sans merci, et cette Mort du Soleil dont vous allez même Cinéa. l'Art entre pour une part minime Plus tard... » savourer la chaude et franche poésie. Au fond une déception ! Germaine dans l'offre des commandites. Or, L'interview prenait fin. Dulac n'est pas prétentieuse. Une pour que le metteur en scène vive Remarque : durant tout notre en- timide qui n'ose croire en elle. Une de son métier — car tous travaillent tretien Germaine Dulac n'alluma pas silencieuse qui n'ouvre jamais la pour vivre — et puisse gagner en une cigarette. bouche par crainte d'ennuyer et qui travaillant les temps plus heureux où L'intérim :

GERMAINE DUI.AC 16 cinéa cinéa 17 Le Mariage d'AnnebelIe Gaby Printemps. (24 mars). Comédie dramatique, interprétée i Les Présentations j ■ j Comédie dramatique, interprêtée par Maria Jacobini. par Billie Burke. 0 a SPECTACLES a a du 4 au 10 février • La Fille des Monts. PATHÉ FOX-FILM Comédie sentimentale, interprétée Paul Mounet Il montra ce que c'est qu'un acteur Les scènes nouvelles de la Revue Quandlesfeuilles tomberont. par Mary Pickford. La Terreur. Paul Mounet sera plus heureux moins peut-être par les rôles qu'il Aventures,crime,accusation fausse, des Variétés valent les premières. De l'amour, du sacrifice, de la ma- tenait depuis quinze ans que par Un bon Tom Mix, plus acrobatique et une idylle charmante, avec Mary maintenant. Il est mort. Là aussi, on se console à louer les ladie, de la mort. Un peu trop d'in- que dramatique, mais amusant et Pickford,qui ne peut pas nous lasser. La grande Maison de Molière, qui l'enseignement savoureux prodigué acteurs (ah I sauf Galipaux, triste, sistance quant à la maladie (peut- plein de mouvement. L. L. L. W. calme les excès et endolorit la person- à tant de gigolos éberlués. Peu com- tristel...) Surtout Marnac et Signoret. être). Très bien, Mlle Pepa Bonafé et nalité, fit que ce grand taureau gascon, prenaient. Quelques-uns se souvien- Marnac est éclatante, magnifique • M. Georges Colin. L. W. déchaîné sur la piste du drame, n'eut dront. Nul ne s'imagina jamais que d'instincts, vivante cavale de race. Une Affaire passionnelle. • PARAMOUNT jamais le temps d'être lui tout à fait. Paul Mounet était un cabot. D'aucuns Elle chante sa scène de l'opérette Un comique de 600 mètres, dont 200 Le Sang des Finoël. L'Antiquaire (:îl mars). surent que c'était un homme. de sous-titres inutiles et stupides, et Sa tempétueuse révélation de l'Odéon dans un rythme étonnant; et l'on D'après Theuriet. C'est ravissant 400 d'une des charges les plus amu- En Chine, parmi des boutiques ancien prouva pour Shakespeare, Louis DELLUC déplore à peine la respiration, un peu au début, avec des types. Un parfum santes que j'aie vues à l'écran. L. L. étranges, des 'rickshaws et des robes Dostoïevsky, Becque ou F. Coppée sifflant, et le médium, parfois mal de sincérité, de bons acteurs. Mlle de soie, avec Ethel Clayton, bonne une nature d'interprète dont la puis- assuré. Mais quel style connaît désor- Gina Relly, charmante; MM. Dalleu, a son ordinaire. sance tiendrait sa haute place entre mais Signoret T Son La Fontaine, Georges Gautier, etc. L. W. Théâtre des Arts. — C'est une GRANDES PRODUCTIONS Guitry et Zacconi. Mais quoi, Barbe- coutume du jour, dès qu'une pièce quel chef-d'œuvre d'esprit, de goût CINÉMATOGRAPHIQUES • L'Arène conjugale (31 mars). rousse, Tirésias, Charlemagne, nobles de théâtre assemble le mélodrame, sûr, et, à la vérité, de culture! Le Les Roquevillard. têtes de vieillards, ne sont que des succès qu'il remporte chaque soir, Par la Force et la Ruse. Il ne faut pas chercher à dominer le lieu commun et l'effet facile, que Inspiré par M. Bordeaux. Défense pis-aller I Et voyez comme il est ori- aussi bien que son art même, sur- Ciné-roman en 12 épisodes, avec votre mari, Madame. Il ne faut pas la Critique y démêle, à défaut de qua- (longue) de l'honneur du nom. On Pearl White. embrasser sur le palier la jolie femme ginal de faire d'un athlète d'art et de lités premières, la sûreté de main du prend et instruit. Raimu se renouvelle voudrait mieux voir quelques sites O d'en face, Monsieur. Dorothy Gish vie une basse chantante. Mounet- dramaturge, sa science de fabricant, peu. Un bien aimable comédien est alpestres. Interprétation de premier vous le prouvera. Sully était là, et certes, Caruso de et je ne sais encore quelles autres Koval. AGENCE GÉNÉRALE ordre: MM. Desjardins, Van Daële, Ruy Blas, du Cid ou d'Hernani, il premières qualités. — Comme si, • CINÉMATOGRAPHIQUE Melchior, Alcover, Mmes Jeanne Des- Olympia.— Cariathys possède un n'avait pas à se démettre pour le vraiment, il n'y avait pas vingt ma- La Folle équipée (24 mars). clos, Kervich, etc. L. W. SELECT sens certain du modernisme et de la cadet. Paul se soumit. Il eut mieux nières plus nobles de faire pleurer • Destinée. caricature, mais ses moyens et son Que cette photographie est exacte, fait de s'enfuir et Sardou, Bernstein, Margot, et dont elle soit plus digne, précise et dure! L. L. La Terre du Diable. Grand drame moderne, avec Ga- art imprécis de danseuse confondent eussent mis à son rang l'intelligente et qui soient moins platement acces- Un volcan sert de cadre à la plus brielle Robinne. ses intentions. e animalité de son art. sibles. grande partie de ce film, où l'illo- Mme Robinne, toujours belle et La Goya, malgré ses dons solides La Vérité. Je ne l'ai vu tout à fait à son aise L'Autre Fils, s'il ne fait pas appel gisme zigzague pour se dénouer par bonne comédienne, et dignement en- et sa rondeur rurale, n'apporta point que dans les cadres énormes du théâ- aux instincts impurs du public, n'a Une belle œuvre, où une thèse une conclusion rationnelle. Le feu du tourée de MM. P. Guidé, Numès, Car- l'Espagne en ses chansons. Elle a du tre en plein air, où je l'ai souvent pourtant le mérite ni de l'actualité ni juste et sincère est prouvée par cratère,les fumées, les pierres. Alen- los Avril, Mmes Legrand et Dupey- mouvement et peu de caractère. des moyens artificiels. Un peu de tour, un peu de violence et de senti- ron. Elle est la femme qui se sacrifie accompagné, aimé, admiré. A Oran- de l'inédit. Un dialogue et des péri- Et la petite Isabelita Ruiz est déséquilibre de composition, l'inté- ment, — et M. Modot qui a du cran. au bien-être de l'aimé lequel, marié ge, surtout. Là, il secouait la tragédie péties prévus écartent du pathétique revenue. Mais elle est revenue avec rêt se concentrant, dans la première L. W. bêtement, la retrouvera. Les apho- comme Samson sa colonnade. Il fai- quelques-uns des plus hauts acteurs les mêmes danses sur la même musi- partie sur Irène, dans la seconde sur • rismes sur le destin n'étaient pas sait éclater les étais naïfs du mélo- de Paris : André Dubosc, intimement Colette. Excellente mise en scène, nécessaires. Le film est très soigné que et dans les mêmes robes. A peine SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES drame rimé avec une fougue étourdis- humain, simple et vaste; Andrée digne du grand artiste qu'est Henry et un peu candide. L. W. quelques pas se sont-ils un peu plus FILMS ARTISTIQUES sante. Son Héraklès d'Alkestis était Mégard, féminine toujours, et coura- Rous8ell; interprétation de premier adaptés au music-hall. Gare! La immense. Quelle fêtel On voyait l'ac- geuse de passer dans un emploi où ordre, où Emmy Lynn se montre La Contrition de Rio Jim. • petite bailerina des faubourgs de O teur qu'il fut malgré la destinée, par- sa beauté ne l'avait point mise encore ; belle, émouvante, pathétique et me- HARRY Madrid s'éloigne. Par bonheur, 8a Tug. fois. Tristesse, il était né grand comé- Frévalles, un peu sèche, mais active, surée, où Maurice Renaud conserve Le Tour du monde d'un gamin danse de coureuse de routes, robe Roman nègre, curieusement inter- dien — c'est un bon tragédien qui présente; Arvel, plein de tact; et dans son rôle muet le rythme et l'ac- irlandais (28 avril). flottante, cheveux à l'air, tambour cent d'une mélodie. L. L. prété par Sam Langfordet une troupe meurt. Charles Boyer, comédien jeune, qui Un ouvrier plombier hérite. Riche, aux doigts, reste pure de cadence et en grande partie colorée. L'homme concentra toutes les mé- sait élargir, pour l'aisance de ses il sauvera une jolie fille des griffes de ligne. 9 lancolies de l'artiste, et toutes les épaules, un rôle étroit, qui « tient » d'un vilain monsieur. Il a adopté un Thérèse Renz asservit avec goût UNION ÉCLAIR PHOCEA bontés lucides, aiguës, du héros. Il la scène, et, à de certains moments petit garçon. Voyage : Singapour, un éléphant malicieux. Le pauvre Village (31 mars). Abnégation. Venise, Suez. Pièce à tiroirs. Châte- aima la vie, la posséda plus qu'il ne de cette pièce, la sauve, comme on • let-cinéma. L. W. l'aima, la limita à sa saine verve sau- admirerait que le fît un artiste lon- J'ai dit, naguère, le bien que je Scène dramatique, interprétée par A l'AIhambra, deux américains, vage, qui créait autour de lui une guement éprouvé. pensais de cet excellent film. Je l'ai Sessue Hayakawa. The mijares and brother, présentent revu avec plaisir et intérêt. L'héroïsme d'un jeune peintre ja- intimité incomparable — où il restait, Chacun d'eux, positivement, créa un numéro mi-vaudeville et mi-pan- ponais qui, pour ne pas peiner la Le Triomphe de Francine. volontairement ou presque, tout à son personnage. Le public, au reste, 9 tomime anglaise, qui n'est qu'un femme qu'il aime, tait une vérité qui Même pour faire triompher votre fait seul. Un mot, une note, une applaudit au spectacle. Mais, encore GAUMONT prétexte aux exercices sur fil de fer l'absoudrait, et Sessue Hayakawa bonheur et la vertu, ce n'est pas beau plainte, toujours fugitivement, le un coup, l'on pourrait si bien faire Les nouveaux Riches, comédie de forcer des tiroirs, Mademoiselle les plus surprenants qui soient. comme interprète, acteur unique. trahissait çà et là au cours de ces qu'il applaudisse, aussi fort, et avec satirique (24 mars). L. W. Francine. L. W. Beau programme, d'ailleurs, com- nuits paternelles qu'il m'accorda et plus de raison. me le plus souvent. de ces voyages affectueux. RAYMOND PAYELLE. Cinéa. fondateurs : Louis DELLUC et A. ROUMA.NOFU. Cinéa. Envoyez lettres, mandats, abonnements à Louis DELLUC, Directeur. DUCHESNE Geor*s PEROL S •Je*?.

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