Hors-Série Pendant 12 Mois Numéro 2 / Août1 20139 - Spécial Expositions De L’Été 2013 - * P.3 Paris * P.24 Île-De-France * P.26 Régions * P.75 Étranger

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Hors-Série Pendant 12 Mois Numéro 2 / Août1 20139 - Spécial Expositions De L’Été 2013 - * P.3 Paris * P.24 Île-De-France * P.26 Régions * P.75 Étranger Votre abonnement annuel pour €/mois pendant 12 mois hors-série numéro 2 / août1 20139 - spécial expositions de l’été 2013 - * p.3 paris * p.24 île-de-france * p.26 régions * p.75 étranger www.lequotidiendelart.com 2 euros édito le quotidien de l’art / hors-série / numéro 2 / août 2013 PAGE Expositions : 02 Gioni. Nous proposons aussi dans ce numéro un entretien avec l’artiste représentant la France dans les Giardini, Anri l’été de tous les arts ! Sala. Venise est encore marquée cette année par le remake de l’exposition mythique « Quand les attitudes deviennent La période estivale est toujours un moment riche pour les formes » d’Harald Szeemann imaginée par Germano Celant expositions. Beaucoup de musées proposent en effet durant à la Fondation Prada. Il faut encore souligner l’ouverture de cette période leur plus importante manifestation de l’année. la Herbert Foundation à Gand, en Belgique, un nouveau haut 2013 est bien particulière, notamment pour Marseille qui lieu pour l’histoire de l’art contemporain. Aussi, quelque soit dispose du label de capitale européenne de la Culture. Dans ce votre destination de villégiature, l’art et les artistes vont vous deuxième numéro hors-série du Quotidien de l’Art, qui réunit accompagner tout l’été ! les analyses et critiques des expositions estivales signées de philippe régnier nos critiques d’art et journalistes, en France et à l’étranger, le programme proposé par Marseille Provence 2013 est en Le prochain numéro du Quotidien de l’Art paraîtra le 28 août. bonne place. Du « Grand atelier du midi » aux céramiques de Picasso à Aubagne, du Prix de la Fondation d’entreprise Ricard le quotidien de l’art à la Vieille Charité à « Des images comme des oiseaux », un -- Agence de presse et d’édition de l’art 61, rue du Faubourg saint-denis 75010 p aris accrochage photographique original conçu par les artistes * éditeur : agence de presse et d’édition de l’art, sarl au capital social de 10 000 euros. 61, rue du Faubourg saint-denis, 75010 paris. rcs paris B 533 871 331. Patrick Tosani et Pierre Giner à la Friche la Belle de mai, sans * CPPAP : 0314 W 91298 * www.lequotidiendelart.com : Un site internet hébergé oublier l’ouverture du MuCem, nous proposons de découvrir par serveur express, 8, rue charles pathé à Vincennes (94300), tél. : 01 58 64 26 80 * Principaux actionnaires : nicolas Ferrand, guillaume houzé, Jean-claude Meyer les événements clés organisés pour cette saison phocéenne * Directeur de la publication : nicolas Ferrand * Directeur de la rédaction : exceptionnelle. Le Sud est encore à l’honneur plus à l’est, avec philippe régnier ([email protected]) * Rédactrice en chef adjointe : roxana azimi ([email protected]) * Marché de l’art : alexandre crochet « l’été Matisse » à Nice, « Les aventures de la vérité, peinture ([email protected]) * Expositions, Musées, Patrimoine : sarah hugounenq et philosophie : un récit » conçue par Bernard-Henri Lévy à la ([email protected]) * Contributeurs : sylvie Blin, clément dirié, ann hindry, emmanuelle lequeux, Bernard Marcelis, Julie portier, damien sausset, natacha Wolinski Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence, ou les travaux des * Maquette : isabelle Foirest * Directrice commerciale : Judith Zucca ([email protected]), tél. : 01 82 83 33 14 étudiants de la Villa Arson à Nice. La Normandie accueille * Abonnements : [email protected], tél. : 01 82 83 33 13 quant à elle la deuxième édition de son festival « Normandie * Conception graphique : ariane Mendez * Site internet : dévrig Viteau © ADAGP Paris 2012 pour les œuvres des adhérents impressionniste », de Caen à Rouen, en passant par Le Havre. -- À l’étranger, la Biennale de Venise est placée sous le signe du Visuel de Une : giuseppe penone, le foglie delle radici, Versailles, 2013. courtesy giuseppe penone. photo : tadzio. « Palais encyclopédique » par son commissaire, Massimiliano paris le quotidien de l’art / hors-série / numéro 2 / août 2013 PAGE 03 « nous avons besoin de signes de changement » erWan Bo UroUllec, designer Les frères Ronan et Erwan Bouroullec présentent actuellement l’exposition « Momentané » déployée sous une immense tenture blanche au musée des arts décoratifs à Paris. À l’occasion de cette manifestation qui revient sur quinze ans de création des designers, entretien avec Erwan Bouroullec. A. C. En proposant cette rétrospective au musée des arts décoratifs, après l’exposition « Bivouac » au Centre Pompidou- Metz en 2011-2012, n’aviez-vous pas peur de vous répéter ? E. B. Si une grande partie du contenu est le même [qu’à Metz], grâce au changement de lieu et au jeu des parois mobiles, la saveur est différente. De toute façon, cela ne me pose pas de problème de répéter les choses. Le public n’est pas le même. Il faut aussi se réjouir que des designers vivants soient exposés dans une institution publique. Contrairement à l’art contemporain, c’est plutôt rare en Ronan et Erwan Bouroullec. © Studio Bouroullec. France, où on ne montre les designers que lorsqu’ils sont morts, ou presque. prennent du temps et deviennent définitives, il faut peut- A. C. Cette exposition revient sur quinze ans de être davantage réaliser des objets plus dynamiques. On création. Est-ce une étape ? joue sur le côté réversible. Un canapé alcôve est comme E. B. Finalement, nous le vivons peu comme cela, car un mur déplaçable. On n’est pas marié avec lui ! nous sommes pris dans un continuum de projets. Mais A. C. Comment travaille-t-on à deux ? les expositions sont pour nous une occasion de voir nos E. B. Dans la confrontation, la coopération permanente. créations réunies. Je constate ainsi une évolution allant Il n’y a pas de répartition des tâches. L’un ou l’autre peut du conceptuel vers le réel. Comment aménager l’espace à diriger un peu plus un projet, mais dans ce cas, l’autre partir du moins possible est l’un de nos axes principaux, joue un rôle critique accru. Dans le design, il faut tout le du lit clos au canapé alcôve. Je note d’ailleurs que ce type temps recouper les branches, alléger du superflu. de canapé à bords hauts, depuis, s’est imposé partout A. C. Une grande part est accordée aux croquis et dans les espaces publics : cela va plus vite que de créer dessins dans le parcours, mais avec peu d’explications. une nouvelle salle. La tendance ? Les gens deviennent Pourquoi cette profusion ? davantage urbains, ce qui entraîne une hyperdensité, E. B. Ce sont les outils les plus importants que nous à laquelle nous sommes tous confrontés. Les gens, en ayons. Beaucoup de choses se passent là. Ils ne sont pas parallèle, deviennent plus mobiles. En vingt ans, les explicités car, pour nous, une partie du travail se fait en bouleversements ont été considérables. Notamment la méditant, en divaguant. C’est cette partie du travail du mixité entre le travail et la sphère privée, inimaginable designer, ce tâtonnement, que nous voulions montrer auparavant. Plutôt que de construire des choses qui au visiteur. Pas celui de l’ingénieur SUITE DU TEXTE P. 4 paris le quotidien de l’art / hors-série / numéro 2 / août 2013 PAGE entretien avec 04 erwan Bouroullec SUITE DE LA PAGE 3 derrière son ordinateur, auquel déjà tant de gens associent notre métier. A. C. L’exposition « Martin Szekely » au Centre Pompidou en 2011 s’intitulait « Ne plus dessiner ». De votre côté, vous publiez un copieux recueil de dessins sans légendes... E. B. Derrière cette multitude de dessins se cache une question que ne veulent pas aborder beaucoup de designers car elle est contraire au dogme : pourquoi faire toujours de nouvelles choses ? Bizarrement, je pense que nous avons besoin de signes de changement. A. C. La France n’est pas un pays particulièrement propice aux changements... E. B. Vous avez raison. La France n’était pas prête à l’état du monde actuel, au moins sur le plan de l’objet. Je suis allé souvent en Scandinavie et j’ai mis longtemps à comprendre que depuis plus d’un siècle, ils dessinent des choses particulièrement adaptées en termes de production. Un jour d’hiver, je me suis retrouvé chez Iittala, en Finlande, usine perdue dans une grande forêt sombre, couverte de neige. Dans ces régions où on ne peut pas faire confiance à l’imprévu, l’hyper retenue est destinée à ne pas gaspiller les ressources. On retrouvait cette problématique chez mes grands-parents paysans, peut-être davantage à cause d’un catholicisme larvé, où il ne fallait surtout pas montrer son argent, faire avec peu de moyens, sans ostentation. La grande ébénisterie française vient des palais. Ce n’était pas l’idéal pour Vue des galeries latérales. © Studio Bouroullec. comprendre que dorénavant, il allait falloir faire plus simple, avec moins de moyens. Mais, tout de même, nous actifs aujourd’hui, les designers américains, la génération allons réaliser un lustre pour le château de Versailles ! des années 1950-1960 - celle des Eames, de Saarinen, de A. C. Quels designs, à part le scandinave, vous ont Nelson - a apporté le confort matériel, disant : « mettez influencés ? vous à l’aise, le monde matériel est là pour vous aider ». E. B. En pratiquant l’économie de moyens, les Enfin, Sottsass a utilisé le design à des fins subversives, Scandinaves avaient une longueur d’avance. Assez peu parlant de totems, d’animisme, bouleversant l’ordre bourgeois... A. C. Dans votre travail, vous semblez fuir les matériaux précieux. E. B. Nous utilisons des cuirs normaux, pas d’essences exotiques... Ce qui est précieux dans le monde actuel, c’est le temps, la main d’œuvre. Les longues recherches sur des pièces en éditions très limitées permettent parfois de déboucher sur des productions plus larges, à l’instar des lianes devenues les lampes Aim chez Flos.
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