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Reconnue d'Utilité Publique par Décret du 2 janvier 1957 Agrréée par lo Ministère des Affaires Culturelles et le Secrétariat d'Etat à la Jeunesse et aux Sports Affiliée à la Confédération Internationale journal de la des Sociétés Populaires de Musique Membre du Comité National de la Musique

Directeur-Gérant : M. A. EH RM ANN

Abonnement (10 n°») FRANCE un an 4 F ETRANGER .... un an 5,50 F onfédération t« oct. au 30 sept. C LE NUMERO : 0,50 F

Compte Chèque Postal 463145 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE 121, rue La Fayette, PARIS-10* Tel. 878.39.42 Musicale de DIX NUMEROS PAR AN : Octobre — Novembre Décembre — Janvier Février Mars Avril Mai Juin - Juillet Août - Septembre. rance N” 183 F ORGANE MENSUEL DES 44 FEDERATIONS, DES 6.000 SOCIETES, ECOLES ET DES 600.000 MUSICIENS FEDERES MAI 1965

Pour le local de la CM F SONS ET COULEURS MONTANT DES SOMMES DEJA PARUES 23.229.02 F. 52“CONGRÈS delà C.i.F. Trichromie harmonique des jonctions tonales M. Gadenne, Ncuilly-Plaisance ( S.-et- (SUITE DU NUMERO PRECEDENT) O.) : 10 F. Les 12 et 13 juin 1965 à LUCHON (Haute-Garonne) TOTAL GENERAL A CE JOUR : ORDRE DU JOUR DU CONGRES HAQUE couleur, qu'elle soit fondamentale (rouge, jaune ou bleue) ou composée 23.239.02 F. 1) Appel des délégués (orangée, verte ou violette) possède son « complément au blanc», c'est-à- 2) Allocution du président dire qu'elle est accouplée par la nature à une couleur opposée qui, mélangée avec 3) Rapport du secrétaire général elle, reconstitue automatiquement la lumière blanche, notre lumière solaire. Autre­ 4) Rapport du trésorier ment dit, après l'analyse spectrale du prisme qui a décomposé le rayon solaire 5) LE THEATRE Colloque sur l'enseignement musical dans nos sociétés, sur les examens en ses six ou sept couleurs constitutives de l'arc-en-ciel, la synthèse se fait tout fédéraux et sur toutes les questions artistiques aussi simplement en reconstituant cette lumière blanche par le mélange de ses 6) Examen du vœu de la délégation de l'arrondissement de Valenciennes en éléments. DE LA CULTURE faveur de l'organisation d'un concours national de classement Dans la Fig. 3 ci-contre, qui n'est que le schéma simplifié de notre « étoile 7) Stages en France et stage C.I.S.P.M. des couleurs » (Fig. 2 présentée précédemment), nous trouvons la «couleur com­ de l’Ile-de-France 8) Journal plémentaire » diamétralement opposée à chacune des autres couleurs fondamen­ 9) Exposé sur les décisions prises par le Ministère de l'Education Nationale tales ou composées correspondantes. Par exemple, nous trouvons le jaune opposé Sous l’égide du Conseil Général concernant l'enseignement de la musique à la suite des démarches entreprises au violet ; le vert fait vis-à-vis au rouge et le bleu à l'orangé : de la Seine et puis, aussi, grâce depuis plusieurs années par le Comité National de la Musique, le Comité au dévouement magnifique des de la C.M.F. et les Fédérations régionales /4'Toci- municipalités, comme /v°,~ 10) Divers les-Moulineaux, par e* avons pu assister à fS » Samedi 12 juin, de 9 h. à 10 h. : réunion du bureau, ensuite Congrès manifestations qui f« a Dimanche 13 juin, concours de 8 h. à 12 h. leurs organisateurs -ac4tent, Tous les membres de la C.M.F. qui désirent assister aux travaux du Congrès avec nos vives félk s, un pi-o­ seront les bienvenus. fond sentiment de et .„ude et de reconnaissance. urs Notre époque acsscrtè. qui tend Disons de suite tous nos compli­ de plus à ouvrir les portes de nos ments à M. José Beckmans pour théâtres subventionnés (Opéra et sa mise en scène si vivante, à la JACQUES CHAILLEY Opéra comique) aux productions Chorale Elisabeth Brasseur pour FETE COMME OFFICIER contemporaines et d’avant-garde, sa mise au point des nombreux DE LA LEGION D’HONNEUR d'un abord souvent difficile pour chœurs qui parsèment la partition, $ Vi le grand public non initié, ne donne à Maia Malanova qui régla les dan- La cérémonie, organisée par plus, comme autrefois, sa part de scs. enfin et surtout à Robert Blot l’Institut de Musicologie, qui s’est Fig. 3. Complémentaires répertoire courant à de nombreux qui. à la tête de L'Orchestre Pas- déroulée le samedi 20 octobre, à la auditeurs. très friands d’entendre déloup, fit un travail de montage Schola Cantorum pour la remise C'est très simple et cela revient à dire qu'en ajoutant une projection lumi- des ouvrages de Bel Canto-4&iaz— yi?i!gsal rer??vT~ Tîle_tant ap­ . 2, JtVCMurs Ohâiïleÿ de la ro.-? -'U mélange violet — ou inversement — nous reconstituerons le blanc, prêtés par des artistes de valeur et point de vue technique que musi- d’officier de la Légion d’Honneur, De ndrons toujours le blanc — la lumière originelle — en mélan- dotés de la voix qui s’impose pour cal. Cet admirable chef d’orchestre, a présenté un caractère de chaleur g*ant . les paires complémentaires vert-rouge ou bleu-orangé. Cela se les chanter. Ainsi un grand nom- qui dirige à l’Opéra et enseigne son de cœur qui a frappé les assis­ comprt-.:'* bisn puisque, par le simple mélange de deux rayons lumineux appro­ ore d'œuvres célèbres se trouve mis art aux jeunes baguettes du tants. Il ne s’agissait pas. en ef­ priés renfermant en fait les trois couleurs fondamentales, on reconstituera forcé­ en quarantaine au profit de produc­ Conservatoire National Supérieur fet. d’une simple formalité offi­ ment la lumière blanche. Exemple: Vert + Rouge =r (J -f B) -f R = BLANC. tions qui sont loin d'atteindre le de Paris, a donné une vie et un cielle : on se sentait en famille, chiffre impressionnant de leurs mouvement au chef d’œuvre de heureux de pouvoir fêter un ser­ ainés et qui coûtent, pour les mon­ Rossini qui dénote une belle cul­ viteur exceptionnel, non seulement ter. des sommes parfois astronomi­ ture et un sens inné de l'orchestre, de la musique, mais de l’esprit. ques. car ces ouvrages tendent des piè­ Ainsi tout s’est déroulé sous le Je n’ose dire, devant cette ca­ ges redoutables avec les traditions double signe de la sincérité et de LES TENDANCES rence, mais plutôt cette indiffé - à observer et le dosage à mesurer l'affection et cela ne saurait être rence. le Théâtre de la Culture de suivant le grave ou l’aigu du chant trop souligné. ille-de-France s'est ému de ce re­ à accompagner. Nous sommes donc Après une heureuse allocution SE LA MUSIQUE NOUVELLE grettable état de choses et décida heureux de le féliciter très chaude­ de M. Max Duval, président des d’organiser des spectacles à la por­ ment. comme l’a si bien fait un Amis de la Schola (cette Schola tée de tous, musiciens compris. Et public qui a compris -sa valeur et sur laquelle plane toujours le grand Tous les critiques, tous le6 musi­ 1946-1948. Nouvelles Directives ; c’est ainsi que le Théâtre Munici­ ses efforts. souvenir de dTndy et de Bordes !)! cologues connaissent bien cette 1958-1960, Nouveaux Problèmes pal d’Issy-les-Moulineaux entreprit et l’hommage touchant d’Edith thèse , qui s’affirme très clairement Que dire de l'interprétation scé­ Sonores. de monter le fameux Guillaume nique rassemblant les meilleures Weber au nom de l’Institut de Mu­ dans quantité de publications : la Ces « points de jonction» situent Tell, de Rossini, avec une distribu­ voix de l’opéra, de l’opéra comique sicologie. René Dumesnil prit la muique nouvelle se développe dans très exactement dans le temps des tion de qualité et très homogène. parole avant de procéder lui-même une seule direction. Elle suit la li­ et de nos grandes scènes ? Il fau­ compositeurs de tendances extrê­ Devant un parterre de 1.300 places, drait une place qui nous manque à la remise de la rosette d’officier gne qui conduit de Schoenberg à mement diverses. Ils nous aident toutes occupées, une dizaine de re­ à Chailley. R excusa d’abord avec Boulez et à Stockhausen, en pas­ pour rendre justice à leur talent et à mieux dégager, en même temps, présentations amenèrent, non seu­ à la beauté de leurs voix. Autour du humour Emmanuel Bondeville, en­ sant par Webern. On prétend, en plusieurs lignes bien clairement lement les dilettantes d'Issy, mais core absent de Paris, puis sut dé­ même temps, que cette évolution fameux Tony Poucet, de l’Opéra, et tracées, dans la Musique Moderne, aussi de Paris avec ses critiques et d'Angelo la Fozese. de la Scala de finir excellemment la personnalité est tout à fait rationelle. On par­ surtout ses amateurs de prouesses si riche de Chailley, professeur en tait du chromatisme post-romanti­ (Suite page 4) Milan, qui partagea avec lui le rôle vocales. épuisant d'Arnold truffé des nom­ Sorbonne, directeur de l’Institut de que.. l'on découvrait l'atonalité et Musicologie, directeur de la. Schcla ses conséquences inéluctables, le breux contre-Ut (qui sont en réa- §§ lité des Ut dièse avec le diapason Cantorum. président du Comité dodécaphonisme, la musique sé­ 1 nnitn National de la Musique, et d’autre rielle. la musique électronique, la moderne), nous citons pêle-mêle musique concrète, le bruitisme, etc. ; tous ceux qui prirent part à ce (Suite page 3) Tous ces états se suivent les uns . s . - S - merveilleux tournoi de chant : les autres, en vertu d'une logique ; . - Mmes Jacqueline Brumaire. Si- — distingue le. rôle et l’ennoblit. Nep­ I mone Couderc. Yvette Perrin, inattaquable. Toutes les autres mu- L OPfcr.A ] Claude Bergeret ; MM. Pierre Savi- siques qui respectent le principe de . _ nrT„„n ^,llf tune, lui, est soutenu à l'orgue. MUSIQUE MODERNE la tonalité, toutes celles qui obéis- "F LE RE1°UR D ULYSSE : gnol. René Bianco. Gérard Ser - Le petit orchestre n'intervient que koyan. André Jonquères, Xavier pour les Ecoles sent aux lois de la construction I On connaissait déjà au disque dans les sinfonias, en général très Smati, José Tyssens. Michel Delau- pour les Amateurs traditionnel* istra winsky Bairok. ; . Orfco, e, « L'incoronaziora di Pop- courtes d'ailleurs, mais admirables. Prokofiev. Hmdemith, Orff, Schos- , nay. René Berge. René Hémon. Le premier acte voit le retour d'U­ Louis Duranton et Christian Por- Le compositeur danois Per Nor- takowitsoh, Britten) son affublées ! f0 ms,s "f P°^ds" P« *"“re gard vient d’écrire un Oratorio, de qualificatifs peu flatteurs. El s'a- i • enregistrement de « Il ritorno d Ulisse lysse à Ithaque ; le second consomme tanie. A toutes et tous notre grande satisfaction et un non moins grand «Le Jugement», pour soliste», girait là d’un art conservateur, néo- in Patrîa »» ce troisième grand chef- sa victoire sur les prétendants ; dans chœurs d’élèves et orchestre. L’or­ classique. vieux-jeu. réactionnaire. : d'œuvre de Monteverdî. C'est mainte* le troisième éclate sa reconnaissance merci. Pour terminer, mentionnons les décors et costumes de Jedrinsky chestration comporte des flûtes, des ... .. , i nam chose faite. Et bien faite. par la fidèle Pénélope. Chacun d'eux Instruments Orff. bandes magné­ Cette these en question releve de , „ très bien réussis et disons notre dé­ ■ comporte plusieurs tableaux qui ne res­ tiques et haut-parleurs. Une place la polémique, puisqu’elle mécon - ! . La part,t on. C’U1 da,e ,de l641 . (f,n sir de revoir bientôt un spectacle : nait l’extrême diversité de la mu- ' de carnere> fut retrouvée grâce a un pectent pas exactement l'unité de lieu. d'un goût aussi parfait. est laissée à l'improvisation des sique nouvelle. Ce sectarisme pour- : manuscrit non autographe La restitu- exécutants, par ailleurs. ; rait nous amener à considérer com- ; tien présentée semble respectueuse et (Suite page 2) Robert BREARD Per Norgard souligne très nette­ me autant de contre-arguments la ‘ pertinente, ment le but qu’il s’est fixé: son î oratorio n'est pas destiné à la salle simple reconnaissance de formes ;t Le livret s'inspire des derniers chants de concert. Il a pensé aux écoles, :: d'arts différentes ! i de l'Odyssée ; à son sujet, observons aux dilettantes. Dans ses ouvrages Il semble donc nécessaire de ré- : °*uc personnage cocasse d'Iro est J L précédents, il avait déjà cherché à. viser cette thèse, ce credo esthéti- superflu, son comique de mauvais goût rendre plus facile, mieux adaptée que en dehors duquel il n’y aurait coupe l'action sans l'égayer, aux moyens des non-proXtsionn.eC® pas de salut, à croire certains mu- Peu importe. La musique est merveil- ! « Syncope ». Note émise sur régulières ou irrégulières. mais « Si •la notation même de ses partition*. siciens. Sur quels argumente S'ap- |euse. Pas d'airs véritables, mais un j mi temps faible ou la partie faible nous envisageons les syncopes com- ! Les ter prêtes pouvaient prendre d'un temps et prolongée sur un me des éléments de la vie musicale des libertés avec le texte, il leur ont,cs,.d rrCuS t/Jlur^frai“ récitatif dont les modulations prosodi- res ? Sur quols faits historiques , , . J temps fort. (Petit Larousse). Un et que nous les interprétons com­ était permis d’improviser, par mo­ fondent-ils leur point de vue ? 4uej sont calque» sur le langage perle, exemple musical illustre cette déii- me telles, nous nous trouvons en ments. Celte notation était plutôt) et dont les souples inflexions demeurent nition, mais chaque syncope est présence de nombreuses syncopes « optique » que strict nt 2Î1C6U- II apparaît que la musique peut constamment soumises à la signification surmontée du petit soufflet d'ac­ différentes. accentuées ou non, par ree. se laisser diviser depuis 1910, en du texte et aux divers sentiments centuation. D'autres définitions anticipation ou par retard, La syn­ Avec cet oratorio, notre composi­ phases de développement bien ca­ qu'exprime chaque personnage. j parlent, ou ne parlent pas. de celte cope peut rendre la surprise, le teur a montré qu'il était temps, ractérisées : Monteverdi a donc «typé» chaque I accentuation. Dans « Le. Rythme comique, la maladresse, la lourdeur, maintenant, d'utiliser cette noS®. Musical» d’Edgard Willems (Pres­ la gène. la timidité ; de meme la tion plus libre, conjointement avec 1911-1913, Poussée révolution­ rôle d'une façon caractéristique. Sa violence, la brutalité, la révolte et naire : ses Universitaires) un chapitre sur la notation stricte. Et les raisons musique est toujours « en situation », la syncope explique bien ce qu’il bien d'autres états d'âme ». Par de cela sont évidentes. Les exécu­ 1923-1925. Consolidation. L’Ordre très vivante, très jeune, très humaine. faut savoir sur cet artifice qui a les Negro-Spirituals elle a accès i tants. les choristes seront très jeu­ Nouveau se manifeste; Notons que le fait de soutenir le chant envahi la musique et qui ne con­ dans la musique religieuse. Il faut nes. plus ou moins exercés, et les 1935*1939, Théories esthétiques ; de Pénélope à la harpe — et lui seul ■ I sis te pas sentement en syncopes '(Suite page 5) I 'Suite page 3)1 • .r- --- «: • »

,'rV MAI 1965 2 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE t . L'ORCHESTRE DE CHAMBRE + DE FALLA : DEUX BALLETS populaire, et nous n'aurons pas besoin k * d'analyser les œuvres 1 Quel avantage de posséder sur le + TELEMANN D'abord deux pièces classiques, origi­ même disque « L'amour sorcier » et k nellement destinées au clavecin : « Le La Suite pour flûte et cordes en la « Le tricorne » ! D'une part, l'Espagne SS coucou » de Daquin, pièce imitative bien : mineur vous fut déjà présentée, mais sombre et capiteuse ; de l'autre, une connue, construite sur les deux notes dans une version destinée à la flûte Espagne claire et badine. Que préférer ? ► (Suite de la 1™ page) non un simple dialogue, mais une lutte en tierce évoquant traditionnellement ie à bec ; ici, on a opté pour la traver- (N.B. : Ces œuvres sont assez connues véritable entre soliste et orchestre. chant de l'oiseau ; « Rondo alla turca » Nous n'allons pas, bien entendu, les sière. L'œuvre est charmante, estivale. pour que nous n'en rappelions pas les détailler, mais mentionner rapidement Le Concerto de piano en si bémol de Mozart, qui clôt, on le sait, la La flûte prend tout de suite la tête du arguments. D'ailleurs, la notice les in­ K. 456 porte le n° 18. ( 1 - La fermeté sonate en la mineur. les plus beaux passages, à notre avis cortège instrumental ; tantôt elle flâ­ dique). Notre pianiste montre dans la pre­ du moins : dans l'Acte I, le dialogue n'exclut nullement l'élégance. 2 - Thème nera dans des chemins ombragés et La partition de « L'amour sorcier », mière de la finesse et une virtuosité Minerve-Ulysse avec scs jubilations fi­ et variations allant en s'assombrissant ; rêveurs, tantôt bondira avec agilité sur écrite d'après une troublante légende an- de bon aloi ; son interprétation de ia nales ; dans l'Acte II la tendresse, l’élan l'orchestre n'est plus seulement accom­ des sentiers escarpés et fleuris. des retrouvailles entre Télémaque et son pagnateur, il y concerte agréablement dalouse, est absolument envoûtante, seconde est fort distinguée. (Ouverture lulliste. « Les plaisirs » : père, et surtout la scène de l'arc où avec le soliste. 3 - Le soliste attaque d'une saisissante vérité psychologique et Au verso deux pages romantiques . vif et mousseux. « Air à l'italien » : chaque tentative est ponctuée par une d'emblée, le développement court avec d'une sensualité vibrante. Le climat « l'impromptu hongrois » de Schubert mélodie azurée, coupée d'épisodes gais sinfonia, et qui se termine par le triom­ légèreté ; l'écriture, qui paraît toute musical est double : debussyste et ibé­ — en réalité le troisième (et le plus et sautillants. Menuets coquets. « Ré­ phal essai d'Ulysse ; dans l'Acte III, si simple à l'audition, est pourtant auda­ rique ; et si l'œuvre n'est pas folklori­ joué) des « Moments musicaux » — est jouissances » : entrain, vélocité endia­ la scène entre les Dieux paraît bien cieuse, voire géniale). que, elle n'en est pas moins, cependant, délicatement rythmé et mérite sa popu­ blée pour le soliste. Passepieds distin­ d'une authenticité ethnique fort persua­ conventionnelle, par contre le dialogue Anda est un pianiste mozartien ; son larité. Par contre moins pratiquée que gués. Polonaise dont la partie centrale sive. Ulysse-Pénélope se gonfle à la chaleur jeu est fin et lié. Bien que dirigeant certaines de ses sœurs, cependant très permet une dernière fois au flûtiste de toute amoureuse de leur enthousiasme. lui-même l'orchestre au piano un (Introduction et veillée chez les gi­ belle, la «valse posthume» (nc 14) de briller). Chopin est coquette, tantôt passionnée Voyons les chanteurs. Mme Lehane orchestre de chambre qui le sert atten­ tans. Chanson du chagrin d'amour. Le Jurgen-Mohring, dont la sonorité est tantôt caressante. (Pénélope) a une voix au timbre délicat, tivement — il l'équilibre bien. D'autre revenant : tragique danse de la frayeur. plaisante, la virtuosité légère, est ap­ Celle-ci est jouée par Geoffroy avec souple dans tous les ornements expres­ part, il sait « timbrer » sa partition Le cercle magique, les sortilèges de mi­ prouvé par l'Ensemble des « Solistes de une fougue non exempte de tondre poé­ sifs, capable d'une grande ampleur et (exemple : la « trompette » de sa ca­ nuit. Incantatoire danse du feu. Scène, Cologne », fin et précis. La direction de sie, alors que l'exécution de celle-là d'accents douloureux] Belle aussi, jeune, dence). Version intime et franche. chanson du feu follet. Pantomine, lyri­ Müller-Brühl équilibre et surveille tout. n'avait manqué ni de souplesse ni d'élé­ colorée, vaillante, est la voix de English que 'danse du joli jeu d'amour. Scène, Le Concerto de piano en ré mineur Cette version est une perfection et un gance. (Ulysse) et son chant a du style et de chanson du pêcheur. Les cloches du ma­ K. 466 porte le n° 20. ( 1 - L'orchestre régal. En conclusion, ces versions de bonne la noblesse. Ardeur juvénile chez White- tin : joyeux et franc carillon). impose d'emblée un ton de grandeur L'Ouverture-suite en fa dièse mineur tenue ne sont pas indignes de figurer sides (Télémaque). Neptune est repré­ parfois dramatique ; par contre, le so­ L'orchestre de l'Opéra possède des pour cordes seules (avec clavecin) se aux côtés de celles proposées par d'il­ senté par une basse très profonde : liste expose doucement son thème per­ solistes exceptionnels dont les interven­ déroule sous le signe des « Goûts réu­ lustres aînés. Wollitz, et Minerve par un fier soprano : sonnel. L'un et l'autre entrent en conflit tions sont imbattables sur le double nis ». Ant. Fahberg. Pal. Savridi (Junon) a dans un développement contrasté et plan de la beauté et de la virtuosité. La reproduction apporte de bonnes un aigu aisé et brillant; Michaelis (Iro) véhément. 2 -‘ Romance où l'on retrouve (La majestueuse ouverture à la fran­ La voix grave et rauque de Isabel Ri­ sonorités, avec légère tendance à « pla­ sait être cocasse ; les trois prétendants sérénité et tendresse, sérieusement trou­ çaise est suivie de très courtes danses : vas se fait entendre avec chaleur dans nifier » les nuances (parfois petits gré­ sont également « à la hauteur », etc... blées cependant dans l'épisode central. « Les plaisirs » — encore ! pièce ses trois agréables chansons. Nous avons sillements de surface). (9) Le « Santini Kammer orchester » a 3 - Commence dans l'agitation fébrile ; souplement balancée ; « Angioise » scan­ peut-être entendu version plus « espa­ un profond respect de l'instrumentation un des thèmes secondaires apporte un dée mais digne ; « La badineric ita­ gnole » que celle de Benzi, mais elle -4 L'ORGUE d'époque, qu'il utilise autant que faire éclairage plus doux et souriant, mais il lienne » pétillante ; « Loure » d'une est élégante (trop racée?) et ner « Œuvres d'orgue pour Noël » de J.-S. se peut (régal, luth, chitarrone, viola ne parvient pas toujours à dissiper les grâce un peu langoureuse ; menuets veuse. Bach : point ne sera besoin de détail­ da gamba...). Sa valeur égale sa dis­ ombres qui se profilent dans le déve­ nobles ; courante avec violon solo ; « La Aussi célèbre est la partition du « Tri- ler beaucoup ce disque pour le recom­ crétion. La direction de Ewerhart im­ loppement ; il n'en triomphe qu'à la batelage » danse vive et brève). . corne », saine, pittoresque et colorée, mander chaudement. prime à tous maîtrise et vie. Les grandes fin). Mêmes Qualités chez les cordes. Cet.te dynamique et trépidante. En effet, il se trouve que nous avons qualités de cette version sont le sens Orchestre comme soliste traitent le version___ gP.^légante. Peut-être quelques (Prélude: courte fanfare. Après-midi. récemment parlé de la délicieuse Pas­ de la mesure, l'équilibre, l'unité. sujet avec la vigueur, la fougue, l'élo­ tempi insuffic S(jpent nerveux ? Gracieuse danse de la meunière : fan­ torale BWV 596 (Cf. numéro de mars). La réalisation stéréophonique apporte quence qu'il mérite ; avec la poésie Voici pour i er le Concerto pour dango. Le Corregidor : basson ; la meu­ D'autre part, les chorals de l'Orgel- une acoustique bien cernée, juste et aussi (2’ volet). Cette version, qui a violon et corele‘sorm’ la mineur ( trois nière ; les raisins : scène. Danse des büchlein sont connus pour la plupart. précise ; elle est très scénique : ainsi vraiment du souffle, se caractérise en mouvements: 1 " -*r 2- expressif, voisins : séguédille. Balourde danse du Quinze d'entre eux sont ici présentés la voix de Jupiter vient-elle de loin , outre par une forte unité conception- avec une conclusions'obscurcit con­ meunier : farrucca. Danse finale : jota (des numéros 599 à 615, sauf les BWV le chœur céleste et le chœur marin nelle entre les deux protagonistes. tre toute attente. 3- gai et bavard). souple et brillante, rutilante et cam­ 602 et 613). Tour à tour recueillis, sont-ils différemment localisés. joyeux, concentrés, rayonnants, délicats, La reproduction stéréophonique est La prestation du soliste Gehriog se brée). allègres, naïfs, fiers, doux, majestueux, Les trois disques s'emboîtent dans un discrète mais présente, complétée par recommande par sa pureté. Mêmes qualités d'exécution. Cette ver­ implorants, triomphaux, poétiques, coffret sobrement élégant, où s'inclut un usinage parfait. (3) sion a de la vie, de la franchise et du Claire, fidèle, délicate, la réalisa­ émouvants, ils forcent l'admiration par aussi une brochure avec le livret tri­ tion stéréophonique nous fait pénétrer relief. La danse finale est particulière­ leur unité (parce qu'engendrés en une lingue. A connaître. ( 1 ) MUSIQUE DE CHAMBRE dans ce délicieux univers « sans for­ ment bien « amenée », et enlevée avec foi sincère) dans leur diversité (due cer la porte ». Une gravure sans dé­ une verve infaillible (...et pourtant elle 4- VIVALDI aux différentes façons dont ils sont LA CANTATE------faut, une^pirésentation soignée, une no-, est, quoique géniale, musicalement iné- tracés). > -, tice intéressante (elle cherche .à définir gale), Les plus beaux ? Bien difficile à ' + DEUX ŒUVRES DE BACH « Musique sur le Grand Canal », an­ nonce la pochette. Voici encore un le Baroque, à déterminer l'importance Signalons enfin la qualité de la sté­ dire... Peut-être pencherions-nous (mais La- Cantate BWV 67 pour le diman­ disque enchanteur à recommander sans exacte de Telemann) achèvent d'en faire réophonie, très aérée et d'une présence le domaine de la préférence est telle­ che de Quasimodo est connue. Ample réserve, et qui de surcroît a l'avantage le type du disque de haute qualité. (5) sûre ; ainsi que la pureté de la gra­ ment subjectif) pour les numéros 603 et puissante, elle jouit d'un équilibre de présenter des œuvres inédites pour vure. (7) («Puer natus in Bethlehem ») d'une structurel parfait. la plupart. L'ORCHESTRE SYMPHONIQUE pureté hiératique, 607 («Du ciel est (Nous ne l'analysons pas, mais insis­ Le Concerto à quatre P 322 pour MUSIQUE DE BALLET venue une légion d'anges » ) au char­ tons néanmoins sur le n° 6 : air de flûte, hautbois, violonceMe et clavecin 4- STRAWINSKY : mant symbolisme — les gammes des­ EXPERIMENTALE i basse avec flûte, combiné avec le chœur. est vraiment concertant. ( 1 - gai et APOLLON MUSAGETE cendent tels les anges ! — et 614 («La Cette ^alternance réalise de saisissantes vif. 2 - totale opposition : lent et mélan­ 4- PIERRE HENRY vieille année s'en est allée ») dans le­ Ce ballet s'inspire d'un argument my­ oppositions entre la fière réjouissance colique. 3 - de nouveau, joyeux et volu- quel une prenante et sublime cantilène thologique : « Apollon instruit les Mu­ « La Mort vainc l'Homme. Mais, par de celuî-ci et la douceur consolatrice de bile). s'élève sur un fond d'accords fuyants. ses de leur vocation ». Ecrite pour or­ son incessant renouvellement, l'Homme celui-là. Cette page est un aboutisse­ Il entame le disque, lequel s'achève Voici enfin les Prélude et fugue en ut chestre à cordes seulement, la partition vainc la Mort». Tel est ' l'argument qui ment et un sublime sommet). par un autre Concerto à quatre P 404, majeur (BWV 547) formant un ensem­ .! se signale par le dépouillement des li­ inspira le « spectacle total » monté par L'olto Liliane Benningsen accorde dans œuvre de charme débordante de ri- ble grandiose. (Prélude : le motif dé­ gnes, la sobriété de l'harmonie, l'épure­ Béjart à Hébertot en 1963 : La Reine . ses inflexions beaucoup d'importance au chesses musicales ( 1 - guillerette vita­ roule sa forte joie sur un balancement ment de l'instrumentation. Tout cela verte. sens . du texte ; le ténor Pears a une lité. 2 - pudique tendresse : ô le chant ternaire. Fugue à cinq voix sur un sujet n'est pas sans engendrer quelque mo­ Pierre Henry, un de nos meilleurs ex­ émission un peu nasale ; noblesse et de la flûte sur spiccati du clavier ! 3 - serein ; l'intensité de la méditation croît notonie ; cependant on ne saurait par­ périmentateurs en matière de musique bonté transparaissent dans le chant de franchement dansant). peu à peu). la basse Engen. Le « Bach Cher. » de Entre ces pièces s'inscrivent quatre ler de musique « désincarnée », elle de­ concrète et électronique, en composa Une révélation : l'orgue historique de la partition. En voici 22 séquences. Munich chante les vocalises en notes sonates pour divers instruments. La meure humaine, assez sensuelle. Grossmünster (Zurich) sur lequel ces Convenons que, malgré son pouvoir évo­ détachées, d'où moins d'élégance mais sonate en sol mineur (opus 5 n° 6) (Naissance d'Apollon. Variation alan­ pièces furent. enregistrées, plonge l'ouïe cateur, poétique même, la réalisation plus de netteté. pour flûte, hautbois et basse, demeure guie commençant par une cadence au dans un bain de fraîcheur. Les timbres perd à être ainsi isolée de son objet. L'Orchestre, dirigé par Richter, est proche de la suite. (Preludio: rêverie violon solo. Pas d'action. Variation de sont clairs délicieux et légers (on au­ Les voix de l'au-deià semblent parfois ferme et stylé ; un peu dommage que de plein air, automnale. Air : évoque chacune des trois muses : musicalement rait aimé, qu'une notice donnât les ren­ s'exprimer dans cette musique. Voici le savoureux « corno da tirarsi » ait quelque noble danse de cour. Alle­ plus vivantes, très spirituelles, gracieu­ seignements historiques et techniques quels extraits nous « accrochent » le été remplacé par une trompette mo­ mande : provoque une conversation di­ ses et féminines. Deuxième variation sur cet instrument). Devons-nous dire derne. Impression d'ensemble : version serte entre les instruments). d'Apollon. Pas de deux avec la Muse plus : que la Pastorale et les chorals convien­ « Prélude » : la voix envoûtante des fougueuse et grandiose, conférant à La sonate (op. 5 n° 6) s'adresse à préférée. Coda, par le tutti : rythmique­ nent mieux encore à scs jeux que le ondes, les bruissements de notes accé­ l'œuvre ses véritables dimensions. la même formation (Preludio : dialo­ ment intéressante. Apothéose conçue diptyque ! lérées mêlées à des vocalises humaines, Autre cantate pascale, pratiquement gue charmant et tout pastoral des deux non sur ie plan de l'intensité ni du Marchai propose évidemment une in­ nous font d'emblée pénétrer dans un inconnue celle-ci, la Cantate BWV 108 vents. Allemande : voltigeuse et « frou­ tempo, mais sur celui de la beauté ; terprétation limpide et vivante. Bonne est moins glorieuse et plus tendre. Elle froutante ». Courante scandée mais co­ elle reprend le thème initial en une monde étrange et mystérieux. « Marche réalisation stéréophonique. A de rares du jeune homme » : voix féminine sur est nourrie de foi assurée et pétrie quette). agogique élargie. Très « plastique grec­ moments, la surface racle un peu. L'é­ d'inébranlable tendresse. Il faut considérer la Sonate en mi que ». c'est une page exhaussive ot pre­ fond rythmique exacerbé. « Les insec­ tude jointe se donne la peine d'analy­ (Confiant air de basse avec haut­ mineur pour violoncelle et clavecin, nante). tes » : cris et appels stridents, frémis­ ser — intelligemment — chaque choral. sements d'ailes impalpables, indéfinis­ bois d'amour. L'air de ténor avec violon comme une grande page très inspirée. A l'actif de l'Orchestre de Londres, Tant par la qualité des œuvres ..que sables claquements, bourdonnements in­ exprime aussi la sereine confiance. Ré­ (Entre deux largos où ie cello se mon­ on retiendra la richesse des» sonorités, par la beauté de l'orgue et la valeur saisissables, souffles impondérables : citatif. Chœur en très vivant contre­ tre « large » et émouvant, se place un parfaitement amalgamées. Sous la ba­ de l'exécution, vous serez ravis. (10) voilà une suggestion réussie. « Eblouis­ point ; d'une énergique assurance, ce allegro dans lequel le clavecin participe guette experte de Markevitch, à la dé­ sements de la Reine » : terrifiant déchaî­ chœur — un très haut moment — cons­ plus activement au jeu. Un quatrième licatesse clos intentions fait pendant la FOLKLORE nement, vibrations lointaines, ricane - titue le centre et le point culminant et saltatoire mouvement clôt l'œuvre). souplesse des rythmes. ments démoniaques... « Rock électroni­ 4- CHANSONS ESPAGNOLES de l'œuvre. Air d'alto précédé, ponctué Quant à la Sonate en ut majeur pour On trouvera au verso les œuvres sui­ et suivi d'expressifs commentaires des hautbois et clavecin, elle établit de que » : obsédant, magistralement orga­ « Canciones dei Rey, canciones del vantes, du même auteur : cordes que coupent d'interregatifs si­ bout en bout un dialogue captivant entre nisé, il offre une originalité exception- pueblo ». Quelle opposition de carac- lences exprimant les secrètes et arden­ les deux*instruments. (1: rôle différent La Suite n° 1 et la Suite n° 2 consis­ nelle. « L'heure exquise » : ravissants tire fondamentale entre les deux caté- tes aspirations de l'Sme, cette page et complémentaire des deux protagonis­ tent en transcription et groupement cbatoiements et zébrures. « Funnmbu- gories ! Les unes sont anciennes, nobles représente l'épisode musicalement ro­ tes : à l'un la douceur plaintive, à l'au­ nouveau de petites pièces pianistiques. les » : distille des vapeurs de musique ; ct tristes, les autres récentes, populai- mantique de la cantate. Chaud choral tre la ponctuation inéluctable. 2 - aisé Pittoresques, sympathiques, ces pages s'envole vers les éthers célestes. « Le res et (a une exception près) gaies, conclusif). et spirituel. 3- Expression poétique pro­ demeurent assez russes. L'orchestration jardin » : il est enchanté. « Voyage à 1 ) Chansons du Roi « l a manana Mêmes artistes. Si le timbre du té- fonde. 4 - Gracieux tourbillon de notes- mordante sert leur humour, car elles la mer » : avec le vent et les embruns. de San Juan » : romance du XVI' siècle. Evidemment certains autres passages nor est moins agréable que celui de papillons ). ne se prennent point au sérieux ! ( 1 sorte de déploration sur la perte d’une ses partenaires, il faut tout de même Ce sont les artistes du Quatuor ins­ marche, valse, galop, polka. 2. Andantc, appartiennent sans doute à une symbo­ ville « Conde niüo » (XV') sans accorn- JS reconnaître l'exactitude de ses accents trumental Larrieu : beauté du son, soin, Napolitana, Espanola, Balalaïka). lique plus obscure et peut-être pli aagnement : ivoque un drame d'nmcur. L'orchestre sonne rond et homogène ; esprit, aisance dans la virtuosité, in'cl- Le chef nous les sert « sans façon », gratuite (Les servantes et la Mort, La < Al a.lba vo.nid buen a mi go ■> (XV') l beauté du hautbois solo. Impression prison, La vieillesse, La Mort, ce ). chante l'amitié « Levaysme amer *. ligonce de l'interprétation, nuance dans très simplement, mais avec relief et des générale : version poétique et pénétrante. Il faut néanmoin connaître ce nouveau terra ï mélancolique plainte ’• l'expression, tout y est Inutile de dé­ saillies spirituelles. Enregistrement en mono, mais excel­ mode d'expression, dans lequel P. Hei amour eu: Milan. » Triste estaba * tailler pour chaque œuvre : la qualité Lr-s quatre impressions norvégiennes, lent vraiment. (2) est passé maître. ei rey David » : romanche biblique du de ces versions est haute et constante. olus parodiques que folkloriques, fu­ 1 Techniquement excol disque XVI*. 7 Celles des doux concerti et de la sonate rent déjà étudiées. Il les mot bien « en s- MU3JGUE CONCERTANTE pour hautbois sont particulièrement di­ a bénéficié d'un usinage impeccable. (3) 2 ) Chansons du peuple « Riberana » V place », en les prenant plus au sérieux gnes d'admiration. (Salamanque) histoire d'un petit âne. v -j- MOZART que les précédentes. La réalisation (.mono ou stéréo) est MUSIQUE INSTRUMENTALE «; No hay teros madré » (Ségovie) avec Nous avons déjà parié également de tambourir castayi ‘ttes et mortier : à y Ces -deux concerti de piano nous librement aérée et parfaitement équili­ la cocasse Circus-Polka, que voici, in­ 4 LE PIANO l'origine, certainement une chanson à présentent doux visages différents du brée. La notice nous intéresse sur Vi­ V terprétée avec une truculence sans excès. Le programme que défend le symp danser, k Los mozos de Monleon » ( Sa­ génie de Mozart. Le premier est essen­ valdi, après avoir montré comment lamanque) complainte mi-chantéc, mi- ' tiellement un jeu, un divertissement ; le Venise pouvait « expliquer » cette mu­ Réalisation stéréophonique très « fon­ thque jeune pianiste Geoffroy dans ce disque titré « panorama musical », est parlée, racontant la tragique aventure ton change avec le second, où s'engage sique. (4) due ». (6) V

JS MAI 1965 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE

survenue au jeune téméraire affrontant le taureau. « Morito pititon * (Castille) .avec guitare, castagnettes et tambourin: SONS ET COULEURS alerte sérénade. ( Suite de la page 1 ) Ismael chante et s'accompagne lui- éléments de l'accord, et même. Sa prononciation est impeccable, rX„ L T . S q“e f pr",c,pe ‘>uî »'.*IR,wr. égarement et natu- les deux seuls : l'habillement instrumental simple. Tout dalt TëLé 3 rSiqUV 17 r0î0 U,,0nî na,Uroll,:5 d» «“'«"--a complémentaires cela relève d'un talent franc, direct, dans dans I mité supérieure du blanc sont comparables à la résorption, à la résolution lequel toute recherche qui ne s'impose naturelle d une note sensible sur une tonique, ou à celle d'une septième de demi- LA QUINTE JUSTE : pas absolument est bannie. L'artiste liante sur une mediante. C'est tout simplement la résolution naturelle, dans ’ la n'hésite pas à rapprocher par.‘ois son •tonalité d ut majeur, par exemple, de la quinte diminuée SI-FA sur la tierce UT-MI : chant du « parlando » et ce sans partant de PUT grave dans le sens supérieur. affectation, avec la plus grande sincé­ ou celle du triton FA-SI sut la sixte mineure MI-UT. rité : on sent que sa gorge se serre — Pour mieux fixer les Idées, nous allons représenter cet accord parfait ma* pour mieux transmettre l'émouvant mes­ jour sous la forme d'un triangle équilatéral pour la quinte juste ayant à sa base sage. le trapèze de la tierce majeure, ,soit .i .. aLa lum,ere blanche, c'est la cadence parfaite dos couleurs. : Enregistrement présent, réaliste. (11) Nous verrons bientôt comment tout cela s'explique aisément dans le cycle de la Roland CHAILLON. So tonalité. Cette cadence parfaite devient d'ailleurs plagale lorsqu'il s'agit du mode A (1) Vox ST DL BX 5 211 (33/30). mineur conçu dans le sens contraire selon la théorie du « dualisme >». Nous y arri­ (2) Decca 154 086 S (33/30). (3) D.G.G. 138 917 (33/30). verons avant qu'il soit longtemps. (4) Critère SCRD 5 188 (33/30). En attendant, et pour varier les distractions, nous allons examiner soi­ (5) Critère SCRD 5 185 ( 33/30). AV (6) Philips 835 255 LY (33/30). gneusement la question des mélanges des couleurs « composées » qui reste encore (7) Philips 835 263 LY (33/30). un peu confuse pour beaucoup de personnes. Il faut d'abord marquer la diffé­ (8) Unidisc UD 30 137 M (33/30). rence très nette qui existe entre les mélanges additifs et les mélanges soustractifs. (9) DM.F. (Le Colibri, Cléon) 16 361 "Pc \ m q UT (45/17). Tout le monde sait, bien entendu, qu'en ajoutant une couleur fondamentale à une Fig. 4 (10) Guilde M 2 377, (33/30). autre, par exemple du jaune au rouge, on obtient de l'orangé; qu'en mélangeant (11) B.A.M. LD 406 ( 33/25). du jaune au bleu, on aura du vert et que le violet résultera du mélange rouge- bleu. Un enfant sait cola qui ne concerne d'ailleurs que des « mélanges additifs »». Mais répond-on avec autant d'assurance quand il s'agit de mélanges de couleurs JACQUES CHAILLEY composées ? Et, pourtant, la question n'est pas plus compliquée quand on connaît quinte juste et d une tierce majeure mais dans le sens Inférieur, la pointe tourné* vers le bas. Le son prime, au lieu d'être l'UT, sera le Ml de la même le principe des « mélanges soustractifs ». Nous ne parlons pas ici des mélanges de tierce ma- (Suite de la page 1) jeure, et nous aurons en sens contraire : part musicologue de haute valeur couleurs picturales ou pigmentaires. Il ne s'agit que de rayons lumineux comme et compositeur de grand talent. Il dans la projection ou dans la photographie des couleurs (trichromie). Les pein­ souligna le côté bienfaisant do tres, quand ils mélangent leurs couleurs pigmentaires sur leur palette, suivent cette activité multiple et rappela d'assez près la théorie des mélanges additifs mais il n'en est pas toujours de que Chailley n’est pas de ceux-ci meme quand il s'agit de mélanges soustractifs. Restons donc dans le domaine qui confondent cosmopolitisme et des couleurs de projections, dans la lumière pure. esprit international, ceci dans son œuvre comme dans son enseigne­ Que se produit-il donc quand on mélange sur un écran une projection de lumière composée verte, par exemple, et une projection de lumière composée vio­ ment et dans son action. Puis il 1 lui donna l’accolade. Jacques Chail- lette ? Autrement dit, que va-t-il se passer si l'on superpose dans la lanterne de ley. visiblement ému, remercia projection une plaque colorée en vert et une autre colorée en violet? Cela sera chaleureusement les orateurs, puis très simple car un mélange soustractif s'opérera : seule ne passera sur l'écran, Fig. 5 dans une éloquente improvisation à travers les deux plaques, que la couleur qui leur est commune : en l'espèce, ce ■ rendit successivement hommage à sera le bleu qui est l'un des constituants des deux couleurs composées. Les rayons ses parents et à ses maîtres (parti- soit LA QUINTE JUSTE : et la TIERCE MAJEURE ■ culièrement Maurice Emmanuel), à jaunes et les rayons rouges s'éteindront d'eux-mêmes mutuellement, ils s'annule­ son collaborateur de l’Institut et ront et ne passeront pas étant totalement soustraits. Il ne subsistera donc sur I écran que la couleur commune aux deux mélanges et qui se trouve ainsi doublée : de la Schola, à ses amis présents en partant du Ml dans le sens inférieur. ou excusés. H tint ensuite à rappe­ le bleu. ler l’inquiétante situation faite en Voici d'ailleurs un court tableau des « mélanges soustractifs » : Ainsi, en nous servant de la simple tierce UT-MI, nous avons construit France à la musique, en s'appuyant deux accords parfaits opposés, l'un majeur, l'autre mineur, en utilisant successive­ sur des faits hélas ! connus : mais Ve = J -f B ment comme son prime chacun des deux sons de la tierce, la note inférieure UT il conclut en exprimant son espoir Vi = R + B en un meilleur avenir, grâce à et la note supérieure Ml en ayant soin d'adopter chaque fois le sens opposé. Le bleu, commun et renforcé, subsiste, une plus juste compréhension des Nous allons voir d'ailleurs comment il est possible d'obienir par l'échelle Mélange Ve-Vi = — B les 2 autres couleurs s'éteignent. « pouvoirs publics » et à une fé­ des harmoniques inférieurs l'accord parfait mineur LA-UT-MI ou plus exactement conde action en commun. Il fut MI-UT-LA dans le sens descendant en partant de la prime. Quand on se sert du O = J + R i* largement applaudi, tandis que monocorde pour obtenir les harmoniques naturels supérieurs, on divise successi­ Raymond Lyon lui remettait un Ve = J -f B beau présent au nom du Comité Le jaune, commun et renforcé, subsiste, vement la longueur de la corde en 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, etc... parties aliquotes. National. Puis, entouré de sa fa­ Mélange O-Ve = J les 2 autres couleurs s'éteignent. Si, au contraire, on veut obtenir des harmoniques naturels inférieurs, il faut suc- mille : Mme Jacques Chailley et cessivement multiplier la longueur initiale nécessaire à la fondamentale par les leurs enfants ; Mme Marcel Chal- Vi = R -f B mêmes coefficients et l'on aura des harmoniques doubles, triples, quadruples, ley, sa mère (elle-même musicienne O = R -f J quintuples, sextuples, etc... Evidemment, cela nécessiterait d'énormes longueurs de beau talent qui fut une parte­ Le rouge, commun et renforcé, subsiste, de corde pour obtenir de nombreux harmoniques mais l'expérience démontre que, naire d’élection de Georges Enesco) Mélange Vi-O = R les 2 autres couleurs s'éteignent. mathématiquement, la même échelle d'harmoniques se produit exactement et symé­ sa sœur Marie-Thérèse Chailley, triquement en sens contraire. Nous allons représenter ces harmoniques inférieurs, artiste de juste célébrité ; il fut Dans les 3 mélanges des couleurs composées ci-dessus, les 3 fondamentales dans l'ordre négatif, par des chiffres romains. félicité avec chaleur par les per­ Bleu, Jaune, Rouge ont été ainsi sélectionnées séparément. Et si l'on mélange : sonnalités présentes. Parmi celles- Si donc nous partons des deux sons primes fondamentaux UT et Ml (les ci nous avons notamment reconnu Ve = B -j- J deux sons de la tierce majeure) nous obtiendrons dans les deux sens contraires O - J + R d'abord, représentant la Sorbonne, on aura au total, et doublées, les harmoniques suivants : le doyen Durry et plusieurs mai- Vi = B + R les 3 fondamentales réunies, tres. collègues de Chailley ; puis, VI V IV III II PRIMES 2 3 4 5 6 représentant l'Institut musicologue soit ...... B + J -j- R -Reconstitution du BLANC. LA UT Ml LA Ml MM. Petit-Dutaillis et Weber, Ro­ Ml ger Cotte ; l'UNESCO : de Azevedo De même que, dans la fig. 3 (résumé de la fig. 2) nous trouvons entre UT UT SOL UT Ml SOL etc... et J. Bornoff ; le Comité National deux couleurs fondamentales le mélange qu'elles composent, nous trouvons pareil­ <

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* MAI 1965 p: 4 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE t *. tonique (sa complémentaire) et que le FA rouge de la T dominante viendra tout naturellement se fondre dans le vert de la médiante (également complémentaire). f En mineur plagal, ce sera fout pareil, le violet montrera au jaune et le rouge CONCOURS D'EXCELLENCE 1965 descendra sur le vert, les rapports seront inversés mais concorderont exactement. Ce qu'il faut remarquer, c'est que l'arc-en-ciel normal présente ses couleurs DIMANCHE 24 OCTOBRE dans l'ordre suivant : le violet en bas, h la partie concave, puis viennent successive­ ment le bleu (en admettant qu'on ne tienne pas compte de l'indigo), le vert, le TITRES DES MORCEAUX AUTEURS EDITEURS jaune, l'orangé et le rouge en haut à la partie convexe. Ce qui est curieux, quand il y a un arc-en-ciel double — ce qui se produit parfois — c'est que l'ordre des PIANO couleurs se trouve inversé dans cette seconde écharpe d'iris, le rouge est en bas INVENTIONS A DEUX VOIX (N° 6) ...... J.-S. BACH DURAND puis viennent l'orangé, le jaune, le vert, le bleu et le violet en haut. On trouve SONATE PATHETIQUE (l«r mouvement) ...... BEETHOVEN Au choix donc sur chaque arc l'ordre du majeur et du mineur, l'arc extérieur indiquant VIOLON l'ordre ascendant du majeur et l'arc intérieur exposant l'ordre descendant du ETUDE (au choix du professeur) ...... KREUTZER DURAND mineur. Mais cela n'a pas grande importance. L'essentiel est de se souvenir de CONOERTO EN LA (1 Le «Groupe des Six» pro différentes : chaque compositeur a une structure plus solide, plus par­ dame très nettement la nécessité été amené à prendre position sui­ marque de cet « art vivant » : Suivant une vole analogue à Werll, Blacher, Orff, Egk, Fortner, faite (Marienleben, Cardillac). celle de P. Claudeil, Messiaen crée d'un «nouveau classicisme ». Les des questions bien autrement im­ Schostakowitsch, Chatschaturian, romantiques ont trop demandé aux portantes. Comment se comporte­ Kabalewski, Copland. Schuman, Après 1945 les échanges interna­ un «style vitrail» haut en cou­ séductions de la sonorité, ils ont rait-on vis-à-vis de la tradition du Barber, Walton, Tippett, Badings, tionaux reprirent leur cours nor­ leurs, qui convient aux extases (laissé se diluer la ligne. Il faut re­ du principe nouveau, du contre­ Su'termeister, Burkhard. Dallapic- mal, et on voulut se familiariser imystiques. aux visions d’Apoca­ venir aux anciennes formes, en les point des problèmes de forme ? cola. Peragollo, Petrassi. Seiber, avec les œuvres nouvelles. Une lypse. Ce style fait appel à des adaptant au style nouveau. Et cela En dernier lieu, il y avait aussi' Liebermann. J oli v e t, Messiaen, constatation s’imposa: aucun chan­ modes nouveaux, il tire un parti suppose le respect de la tonalité. des questions sociales que l’on de­ Hailffter, Kadosa. Szervanskv, Sza­ gement notable n’était intervenu insoupçonné des données rythmi­ On "tend, par ailleurs, à citer des vait envisager. Pour qui, au juste, bo. Saeverud, Lutostawski. dans la grande production musi­ œuvres avec beaucoup d'esprit, on devait-on écrire de la musique ? cale. On avait seulement consolidé ques de la musique de l'Inde, qui sont employées d'une façon toute \ ; adopte volontiers un tour populaire Sous ce dernier rapport, la Musi­ Il faut dire que cette deuxième les positions acquises. Les musicolo­ qui correspond, aussi, à la tradi­ que Nouvelle sembla évoluer très phase de la Musique Nouvelle doit gues pouvaient déceler la route personnelle. Dans l'œuvre de Mes­ » tion française. Il nous faut citer franchement, pendant cette pre­ se diviser en deux périodes. Ces suivie depuis 1911. malgré l'ambi­ siaen on trouve de longs monolo­ Honegger. Miilhaud. Poulenc et mière phase. On passa de l'expres­ périodes sont délimitées par les tieuse proclamation «Mort au sys­ gues inspirés par des chants aussi Prokofiev ; tous ces îmisicier. s sionnisme brutal, radical, à l’ex­ événements de la politique mon­ tème tonal » ; l'année 1911 il'arrê­ d'oiseaux à côté de structures ma­ ' sont à l'origine de ce grand cou­ pressionnisme évolué. Dans ces mê­ diale. Nous parlons des années qui tait pas le développement normal rant international qu’est le « Vita- mes années viennent au jour, d'ail­ précèdent 1945, et des années qui de la musique européenne, de Ma- thématiques, sérielles. Des inspira­ lismus». Il est remarquable de leurs. des œuvres aussi dissembla­ suivent 1945. chaut à Boulez. tions supra - humaines voisinent constater chez quelques musiciens bles que «Moïse et Aaron» <1932) avec des tableaux orgiaques. Un d’avant-garde, en 1923. cette même c-t «Mathias le Peintre» (1934). Dans la période 1939-1945 des Quelque chose de -changé, pour­ ■fait d’extrême importance s'im­ tendance à adopter «l’Ordre Nou­ Mais Schoenberg et Hindemith ont faits très importants se produisent: tant : les dodéeaphonistes avaient pose de plus en plus à l'attention veau » : Schoenberg. Berg et We­ suivi la même pente, encore que les représentants les plus éminents beaucoup travaillé, beaucoup évo­ des musicologues : le jazz. Des bern donnent à la dodécaphonie ses dans des voies bien différentes. de la Musique Nouvelle doivent lué : Schoenberg n'était plus le compositeurs de jazz se révèlent, lettres de noblesse, Strawinsky im­ Dans les deux œuvres nous relevons émigrer

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■ < 5 ■.'i MAI 1965 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE : ;$ : i mais ça n'est pas suffisant et la liberté de se servir sans parte de : 1 gain des chants populaires est LISTE DES CONCERTS PUBLICS avantageux pour le compositeur, ;• comme pour le folklore américain. DONNES PAR LA MUSIQUE DES GARDIENS DE LA PAIX • : ; * « (Suite de la pape 1) rium était entièrement occupé et Est-ce parce qu'il m’avait de­ MOIS DE MAI le succès a été considérable. il a les jouer, les chanter, avec aisance mandé d’harmoniser « Le P’tit Bois-Colombes (Musique et Batterie) et précision, ce qui n'est pas facile confirmé le talent remarquable de Quinquiii)) que j’avais fait naître Mercredi 12 de 21 h. à 22 h. dans lcs débuts. Il ne faut pas les cette artiste, prémices d'une très Raymond Le Gay à Lille ? Je dois Jeudi 13 de 20 h. 30 Square d'Anvers (Musique et Batte­ belle carrière artistique. considérer comme uniquement ac­ rectifier car sa ville natale est à 21 h. 30 rie) centuées et les travailler dans la Les Petits Chanteurs de Saint- Arras ; son aïeul, avec cinq joyeux Square du Champ-de-Mars (Batterie- i douceur, mais rigoureusement à Laurent sont les messagers de l'al­ drilles, a fondé, à l’époque de Ro­ Samedi 22 de 17 h. à 18 h. leur place dans la duiéc. Trop ac­ légresse et de la paix qui devraient bespierre, les Rosati (le l’Artois, Fanfare) centuée, la syncope est souvent habiter dans notre cœur et qui devenus les Rosati de France sous Jardins du Luxembourg (Musique). émise un peu en avance ; c’est nous font signe du fond de très l’égide du Bâtonnier Kah. Jeudi 27 de 17 h. à 18 h. ainsi qu’on arrive. sans s’cn rendre anciens mondes, et de Vautre MOIS DE JUIN ! compte, à presser le mouvement ce monde. Cette phrase de Jacques * * qui est une faute très grave dans Maritain est reproduite dans le J’ai entendu, à la Radio une Square du Temple (Batterie-Fanfare) la danse. Souplesse, relaxation et programme de leur concert annuel. chorale chanter en chœur « L’eau Jeudi 10 de 21 h. à 22 I*. V précision, rendent facile et agréa­ Le 21 mars dans la salle des Con­ vive » avec accompagnement de Mercredi 16 de 21 h. à 22 n. Bois^Çolombes (Musique et Batterie) : ble le jeu des syncopes indispen­ servatoires, nous avons entendu guitare. Ce que je n’ai pas compris Jardins du Luxembourg sables à notre époque. cette excellente manécanterie dans c'est la raison pour laquelle les Samedi 26 de 17 h. à 18 b. un programme très varié dont les voix ont chanté les contre-temps * * deux œuvres importantes furent, doublant ainsi la guitare ; celle-ci MOIS DE JUILLET dans la partie religieuse, la Messe doit libérer les voix de l’accompa­ Vers la fin de 1964. est reparue, 1 de 21 h. à 22 h. Square d'Anvers (Musique et Bat­ i après quelques mois d’arrêt, la des Piroguiers (thèmes africains gnement. surtout lorsqu'il, est ryth­ Jeudi revue « Guitare et Musique ». Ce avec accompagnement de tam-tam mique ; on trouvera sans peine à terie) silence était motivé par la création parlant) d'Elaine Barat, qu’ils ont mieux les utiliser. Jeudi 8 de 21 h. à 22 h. Square des Buttes-Chaumont (Bat­ d’un Centre d’Art, un foyer rayon­ enregistré sur disque Erato LDEV * * terie-Fanfare) 2019. L'auteur était dans la salle nant. autour de la guitare à Pal- Un lecteur de Vichy m’écrit pour Samedi 10 de 17 h. à 18 h. Jardins du Luxembourg (Musique) licrcs (Gard) ; 147 hectares qu'il et a été très applaudie car cette me dire son approbation sur le faut aménager pour qu’il soit au œuvre est. très curieuse et très chant choral accompagné, mais il Le Chef de Musique service de toutes les formes d’art : émouvante. En seconde partie, sous pense que le chant sans accompa­ arts plastiques, artisanaux, chant, le signe du Rythme. les 4 Danses gnement a du bon. et la pratique D. DONDEYNE danse, folklore, chanson, poésie, etc. Polovtsiennes (du Prince Igor) de du solfège pourrait décourager cer­ ! Toujours dans la même tradition Borodine furent très appréciées par tains choristes. Pour si intéressant : on y trouve des articles intéres­ le public qui remplissait la salle. que soit le chant par. audition, j’ai sants, de la musique, des chansons, Les motets du début furent soute­ dit et je répète que c’est un stade de la poésie, des illustrations. Le nus avec une discrétion parfaite par qu'il faut rapidement dépasser. N” 47-48 de janvier-février contient un orgue électrique grâce à la sou­ Quant au solfège, mot rébarbatif l’historique d’Anduse. en plus de plesse d’intensité de ces instru­ pour certains, on peut le pratiquer Vient de psae-caitre cSies o. m« f. l ses rubriques coutu',nières et dans ments ; je les préfère dans cet sans le nommer ; avec un tableau la partie Chansons, des articles il­ emploi alors que pour des parties noir dans la salle de répétition, lustrés sur Georges Brassens ; indépendantes du chant, rien ne partitions en mains, il est facile L,L « Auprès de mon arbre » et « Les vaut l'orgue à tuyaux. Pour com­ d'amener le-s choristes à la lecture jean ; Le p’tit prince a dit..., Robert Clérisse: Nuages, Django Remhardt. sabots d’Hélène » deux chansons de pléter cet ccho je signale la revue de la musique, perfectionnée plus Georges Brassens et une chanson trimestrielle « Manérama», 20. rue tard par le solfège qui n'effarou­ SAX OÜXRTET DE PARIS (N<* 14.118). de la Musique de l'Air. Don Le- de Jean Ferrât « A Brassens » com­ du Terrage, Paris-10e qui rend cherait plus personne. Si les ac­ teMier. Amusette, Pierre Drucbert ; Ducasse Waltz, Pierre Drucoett. I plètent cet hommage à ce grand compte de la vie des Petits Chan­ teurs savent lire pour apprendre bonhomme de la chanson. teurs de Saint-Laurent et contient LE SAX QU A RTE T DE PARIS <‘N° 14.119). çle la Musique de l'Air Don des articles éducatifs. leur rôle, les chanteurs, tout com­ * * me les instrumentistes, doivent sa­ Letellier. Quatre saxophones s’amusent, Pierre Devevev ; bolitudc, voir lire la musique et déchiffrer Eüingon ; A la claire fontaine ; L’Alouette. Pour la 13' fois le Centre Musi­ pour une pratique consciente de cal Cammac va sc tenir en juil­ 16.52G). Culs- let dans les Laurentidcs Québécoi­ En écoula ni à la Radio quatre leur art. QUATUOR DE CLARINETTES DE STRASBOURG 3. quatuor en sol min.. F.-P. pour les adultes : chant, choral, zonelia Veneziano, chantés par Un critique d'avant-garde, ayant Loup et Ch. François ; Charlcslon, Xavier Moquey ; Klarmctten- musique de chambre et. d'ensemble, Dictrich Fischer-Dieskau dans une découvert Berlioz écrit ceci : Komik, Alb. Braü. guitare, solfège, flûte à bec. musi­ harmonisation de Beethoven avec « Qu'on le veuille ou. non, Berlioz que vocale, enseignement de la Mé­ accompagnement du trio classique est le seul grand compositeur fran­ CHANT CHORAL 16.474). Ensemble Lucien Brasseur. Poèmes de thode Orff, piano (accompagne­ piano, violon. violoncelle, j'ai cons­ çais du 19* siècle, et son « Requiem » Maurice Carême. Musique E. Allant. Château d’Epinal, Ma Chanson, ment) et activités diverses; les taté une fois de. plus une certaine un des plus formidables monuments Lolito. Le Chardon, Le Faisan, Soldats de Cocagne, Le Bonheur. Au enfants ont en plus des danses insensibilité des classiques au char­ de l'histoire de la musique. Cela folkloriques. Le stage UFOLEA de me des chants populaires. Ils les dit. on n'empêchera pas les gens Royaume du Trèlle. ' Caen (Pâques) est consacré à la traitent comme des thèmes de leur qui souffrent d'un complexe de cas­ guitare, la flûte à bec ci l'ensei­ invention ; il faut les isoler pour tration de préférer celui de Fauré, CHORALE LUCIEN BRASSEUR fN« 16.496). Il court il court le furet, gnement de la Méthode Orff. Pour mieux sentir leur origine ancienne, au nom d'un certain bon goût. La Marc de Ranse T Plantons le Ma*, A. de Baïf-P. Ladmirault ; Le Nid le stage «Créativité». dont j’ai adoptés. au besoin déformés. rodés castration donne bon goût, cela est de la Caille, E. Passiani ; Il était un Petit Navire, Harm. M. Perissas ; parlé il y‘ a deux mois et. qui ins­ par le peuple. Henri Davenson dans bien connu... ». C’est sans aucun Maritehou, Harm. Carlo Boller. truira de l’enseignement Orff. on « Le livre des chcmsons » (Editions complexe que j’aime le « Requiem » refuse du monde. J’y assisterai et du Seuil) a très bien étudié dans de Fauré, comme j'aime celui de CHORALE MIXTE DE PETIT-QUEMLLY réaction de la musique de culture, Georges AUBANEL la musique classique, de style inter­ : W:i Le 4G-‘ concert annuel de l’Har­ national. Il y a une vertu dans N.R. Nous avons encore le i?.. monie du Chemin de. Fer du les chants populaires puisque seuls plaisir de signaler la parution, pjr" (Division d'excellence) a eu lieu au les nationaux peuvent exceller dans aux Editions Françaises de Musi­ Théâtre de la Cite Universitaire, ce travail. Si Maurice Ravel a par­ que. Maison de la Radio, 116, \ ' "M; le 2'ù murs. Cette bonne Harmonie faitement traité les théines espa­ avenue du Président-Kennedy, H .m était dirigée pur Georges Amelro gnols. c'est grâce à son hérédité ; Paris < 16“)- de deux recueils «Au -?■ • (sous-chef de. bureau à La SNCF, exactement comme Chopin et la fil des chants » de 10 chœurs â 3 • y», 4 .; mai s aussi chef de V Harmonie Mu­ Pologne. H est impossible de con­ voix égaies et 10 chœurs à voix nicipale de. Scünt-Oven) et le pré­ cevoir un super-génie qui. serait, à d’hommes, ainsi qu’un solfège . sentateur Jean. Houülon n'a pas ki fois, aussi russe que Moussorgslci, rythmique à 3 voix «adopté dans manqué de signaler l’état dans le­ aussi espagnol que Granados, aussi les classes de la Maîtrise de l'O.R. --f; quel se trouve la Musique en hongrois que Bartok, aussi brési­ T.F.» de notre ami Georges Au- France, dernier pays d'Europe en lien que Villa-Lobos, etc... Un pays banel toujours soucieux d'aider les ce domaine. Voici les auteurs joués, qui monte dans le domaine des jeunes musiciens. B v ,■ .B B; arec succès : Mendelssohn, Masse- chants folkloriques c’est l'Améri­ A.E. net Lalo. Lohmaim, Wagner, Blè- que avec scs « hootennany » sortes . ? y. ■ : maht, Luncen et Rossini ; pro­ de «jam-sessions » folkloriques dont j gramme très varié où la Musique les disques nous apportent des SALLE DU CONSERVATOIRE, 2 bis, me \française et les auteurs vivants échos. Nul doute qu'avant nous les du Conservatoire. Paris-IXe n’ont pas été oubliés. En inter­ Américains auront leur musique JEUDI G MAI, à 21 h. mède : Marches de l’Empire exé­ nationale... Pour les compositeurs, Concert du Cinquantenaire cutées au tambour par MM. Pro­ ce pays (comme la Finlande). est de l’Association bant et Hess, de l’Harmonie SNCF privilégié car le domaine public des Anciens Elèves « La Renaissance ». le ténor Raoul n’existe pas pour les droits d’exé­ du Conservatoire V almon i et le chansonnier Léo cution ; ainsi un compositeur ga­ : Avec le concours de Jean DOYEN. — —___^.-4 Campion. gne autant en inventant, le thème BENVENUTI, Béatrix DUS- — A l'ORTF. l'Orchestre Philhar­ musical qu’en employant un thème SA NE. .sociétaire honoraire de la monique dirigé, par Georges Hust populaire. Pour les autres pays le Comédie Française : André NA- a exécuté « La grande. Pâques Russe compositeur qui emploie des thèmes VARRA. Camille MORANE, Jac­ de. RimskyKorsakov, la Symphonie populaires ne perçoit qu'une part queline DUSSOL. Michel ET- i N" 1 de Brahms, ce s deux œuvres d’arrangeur, qui varie encore selon CHEVERRY. sociétaire de la Co­ g encadrant le Concerto pour vio­ les pays. On ne peut pas en vouloir médie Française ; Maurice BA­ lon et orchestre de Mcndelsshoa au compositeur qui devant le man­ QUET, avec en soliste : Claire Bernard. que â gagner ne. s'intéresse pas au C'est la. jeune, violoniste qui a folklore... Cela explique sans doute et do Pierre AMOYAL, Nadine DEN1ZE. obtenu le Prix Georges Enesco à pourquoi le folklore français n'est Catherine SJ1.IK. Bucarest et. dont l’accueil en France pas très exploité pur les Français. La Chorale du Conservatoire, sous MANUrACTURE D1NSTRWMCNTS DE MUSIQUE} ^ n'a pas eu le même, retentissement, Pour être complet, il est à remar- la direction d’Elisabeth BRAS- 4. place Charles.Dullin, PARIS IIS ) que celui réservé à. Christine Ca­ quer que les droits de reproduc- SEUR. T*l « OKN. I7.*0ct 21 4! ron ; j'en avais parlé, et. n’avais lions sur papier et. sur disque ne j places d« 5 h 50 F. Location 2 bis. j AhlNTU .0 > f! fARlS. SA R*W;rma i pu J été le seul... Le grand Audito- connaissent pas le domaine public ; I rue du Conscivatoire tro Montmartre) i A 4 -

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> : : » ► • * 6 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE MAI .1965 V , * VIENT DE PARAITRE ANNECY i D’illustres musiciens dont le î talent est né au sein des Chantiers TOULOUSE PYRÉNÉES (318 m.) INTRODUCTION A L’ÉTUDE DE LA PERCUSSION de Jeunesse veulent faire un pèle­ MOIS DE MAI 1965 de Jean COURTIOUX rinage aux sources. Editions LEMOINE et Cie, 17, rue Pigale, Paris Cette information nous vient « BAL CHAMPETRE DE JEAN BENTABERRY » d’Annecy, niais en vérité elle pour­ Tous les mardis, do 19 h. 40 à 19 h. 55 ' VIntroduction à l'Etude de la Pei-cussion met en évidence la com­ rait aussi bien être datée de Paris, plexité de l'écriture moderne dans les princijxiux instruments de la Bat­ de Chambéry, de Dole, ou de Cler­ 3 MAI, à 21 heures : terie ; clic est dojic destinée à tons les élèves désirant avoir des connais­ mont-Ferrand, voire de Toulon. Simone-Yvonne, polka pour 2 cornets (solistes : A. Calvayrac et A. Philibert), sances de base en matière de Percussion, afin d’être en mesure, par la (L. Canivez). suite, d'assimiler les disciplines des Conservatoires de Musique. Les anciens de la Musique Natio­ 4 MAI, à 19 h. 40 : nale des Chantiers de Jeunesse ont De par son universalité, je suis amené à considérer qu’elle per­ essaimé en effet, à travers toute la Petit amour, polka pour clarinette (soliste: Gilbert Voisin) (F. Deydicr ; La met Ira aux futurs instrumentistes de se spécialiser dans la musique de Frileuse, mazurka (Ch. Lambert - Z. Bajus ; Flambcrgc au vent, quadrille, France, et sont devenus pour cer­ (Ziegler - Lamothe). variété ou la musique symphonique, tout en gardant une optique géné­ • i tains d’illustres virtuoses de la 10 MAI, à 21 heures : rale. des difficultés techniques de l’art contemporain. Musique... GEORGES CARRERE Le grand Casimir, quadrille tiré par M. Siéger de l'opérette do Ch. Lecocq. Directeur du Conservatoire Municipal Formés à l’école de cette magni­ 11 MAI, à 19 h. 40 : de Musique de BORDEAUX fique phalange, qui fut l’une des Irma, polka peur 2 cornets (solistes : A. Calvayrac et A. Philibert) (A. dernières grandes formations de Machu) : Souvenir de Luna-Gardcns, schottisch (Alf. Bériot) ; Au Cap Roux, U est toujours agréable à un père d'avoir à donner un satisfecit musique militaire de France, ils mazurka (F.-P. Loup) ; Rose-Mousse, valse (A. Bosc). >. ? ■ à son 'fils. surtout lorsque' c'est pour reconnaître qu'il a fait œuvre utile. veulent aujourd’hui constituer une 17 MAI, i 21 heures : amicale dont le premier geste se­ C'est, à la suite dp ma longue expérience, de musicien et de chef Bal champêtre, polka pour 2 clarinettes (A. Monestès). d’Orchestrc que j’ai reconnu la nécessité de lui faire travailler en dehors rait un «pèlerinage aux sources», de ses autres éLudes musicales, la discipline particulière des instruments c’est-à-dire sur les lieux mêmes où 18 MAI, à 19 h. 40 : à percussion. ils furent instruits durant les an­ La jolie Rougiéroise, polka pour clarinette (soliste : Gilbert Voisin) (R. Rc-vest) ; Jaloux et coquette, mazurka (A. Corhln) ; La fille du tambour- nées sombres, à Châtel-Guyon. i1 La base meme.d’un bon musicien et d'un instrumentiste est. d'avoir major, quadrille tiré par Millot de l'Opéra-Ccmique do J. Ofîenbach. en eux ci d'acquérir à nn suprême degré le se?is, la précision et la qualité C’est dans cette ville, donc qu’ils 24 MAI, à 21 heures : du rythme. se retrouveront en août 1965, afin Ma Reine (My Quccn), valse (V/ohanka-Coote). Il est tout dans la vie et devant la complexité de la musique contem­ de se regrouper en dehors, bien poraine. qu'elle soit légère ou symphonique, je ne saurais trop conseiller entendu de toute préoccupation 25 MAI, à 19 h. 40: d'ordre politique — et de fixer en Gouttes d'or, polka pour clarinette (soliste: Gilbert Voisin) (F. Sressy) ; 1 r à vos jeunes musiciens, quel que soit leur instrument de base, de per- commun un programme d’action Henriette, schottisch (A. Leducq) ; Bouton do rose, mazurka (F. Anclricu) ; jeciionner leurs études musicales par une connaissance meilleure de la L'ange des concerts, valse (E. Marsal). percussion — objet de « L'Introduction à l’Etude de la Percussion » de musicale populaire dont :1s se­ Jean Courtioux venant de paraître aux Editions Lemoine. raient les promoteurs et les orga­ Les 3, 10 et 17 mai , participation de l'orchestre champêtre à une nisateurs. « mosaïque musicale » du lundi, entre 21 h. et 21 h. 30. AIMÉ-COU RTIOUX Des noms tels que ceux de Jean- ! Secrétaire administratif du Syndicat National Pierre Ranjpal. qui est aujourd'hui des Chefs d’orchestre un flûtiste de renommée mondiale ; Trésorier du Comité de Liaison Louis de Froment, chef d'orchestre die de Bourges... et bien d’autres Tous les huit mois, le contingent • pour la sauvegarde de la Musique1 à l'O.R.T.F., qu: dirigea il y a une encore, permettent de penser quelle (une centaine d’exécutants envi­ semaine à peine «Benvenuto Ccl- éblouissante harmonie pourrait ron) se renouvelait. Le répertoire lini » à Genève ; M. Lombard, l’ac­ prendre corps dans une amicale qui était bien entendu le répertoire tuel directeur du Conservatoire de réunirait tous ces talents. classique des Musiques Militaires Chambéry ; MM. Bonfi'ls, musico- C’est un peu un autre annécien, mais avec des morceaux souvent !SV8!»R@MF>Yy EN SS £SJ logue très connu dans les milieux professeur d’anglais au lycée de difficiles, comme les ouvertures de d'organistes de la capitale ; Four- jeunes filles : M. Salle, qui est à Berlioz, l’ouverture de Guillaume SI chaque musicien professionnel, soit choisie pour intéresser la nier, cor solo de l’Orchestre Natio- l’origine de cette initiative et qui Tell, celle du roi d’Ys, etc... amateur oubliait pendant un masse et non pour placer une nad : Dastros, directeur du Conser- a pns les premiers contacts avec Ces souvenirs, on en parlera sans moment sa propre personne et vedette déjà consacrée, que vatoire Municipal de Dole : l’orga- les (< anciens ». doute longuement cet été, à Chatel- songeait que chaque «compa­ cela se passe, non pas à 23 li.. Guyon où. poiu* la première fois gnon d’arme » est un frère et mais dans les horaires possibles niste annecien Joseph Ruscon : Resté deux ans, en effet au sein / / Emile Vernet, cor solo de la Musi- de la Musique Nationale des Chan- une rencontre entre musiciens se non un rival : aux travailleurs, que ce quart que de la Flotte à Toulon ; Ga- tiers de Jeunesse, oii il était clari- déroulera sans orchestre, mais n’en SI chaque musicien, malgré les dif­ d’heure glissé entre deux « ye- Zeaux, professeur de flûte au nettiste, M. Salle v connu tous éveillera pas moins pour autant, ficultés qu’il rencontre et. juste­ yé » soit exécuté par un jeune Conservatoire de Clermont-Fer- ceux dont nous venons de citer les pjr son originalité, beaucoup d’é­ ment parce qu’il les rencontre, ou des jeunes musiciens "pour chos... plaçait l'amour de la musique les faire connaître ; rand et même l’ex-annecien Gabv noms. Le concours d’entrée nous Monnet qui abandonna la clarinette a-t-il rappelé, était difficile et l’on Pour tous renseignements, on assez haut pour ‘ le prêcher SI la musique n’était plus un ac­ des Chantiers de Jeunesse un beau ne recrutait que les meilleures mu- autour de lui et le communiquer cessoire. un luxe, un passe- peut écrire à M. Salle, 6, avenue jour de 1943 pour gagner le maquis siciens des groupements locaux, Mandallaz Annecy Haute- aux autres ; temps mais une nourriture et qui dirige actuellement la Corné- existant dans la « zone sud ». SI tous ceux qui sont valides, au indispensable de l’âme comme Savoie. lieu de s’enfermer dans la tié­ la nourriture du corps (que deur d’un doux confort pour l'on se garde bien de négliger...) absorber des conserves de gran­ SI 'les compositeurs modernes son­ des marques, allaient commu­ geaient au fossé qui se creuse nier dans les temples de la entre eux qui ne dépassent pas musique vivante là où elle se Beethoven (ils sont mie foule) ï donne, grâce aux sacrifices ët les quelques « initiés » qui Statistique des Examens Fédéraux 1964 hebdomadaires des artistes de (pas toujours sincèrement) sui­ nos associations ; vent'' leurs créations : si ces C.M.F. — 44 Fédérations — 5.225 Sociétés SI l’on s’imposait de fermer les ■compositeurs, sans renier leur t 20.000 Elèves ont été présentés aux Examens Fédéraux yeux un moment, en écoutant génie, travailaient aussi pour par 37 Fédérations se répartissant ainsi : un morceau de choix dans une élever la Masse ; période difficile (physique ou SI messieurs les Critiques, au lieu morale) et que l’on s’aperçoive de démolir systématiquement NOMBRE NOMBRE du bienfait survenu ; certains spectacles qui compor­ FEDERATIONS DE SOCIETES NOMBRE DELEVES SI l’on respectait suffisamment la tent peut-être des erreurs (en DE SOCIETES AYANT PRESENTE PRESENTES Musique pour éviter de parler banlieue par exemple), encou­ DES ELEVES quand elle s’adresse à nous, rageaient ces manifestations et pour éviter d’arriver systémati­ apportaient des remarques à la Aisne ...... 105 quement en retard au concert fois pertinentes i et construc­ 20 830 Alpes-Maritimes ...... 16 7 232 et une fois installé, éviter de tives : Alsace chorales ...... faire un vacarme épouvanta­ SI on pensait quelques fois à nos 86 ble en toussant à gorge dé­ grands maîtres oubliés volon­ Alsace musique ...... 330 ployée ; tairement ou non ; Alsace mandolines ...... 35 SI au lieu de se presser au récital SI tous ceux qui peuvent et doi­ Ardennes ...... 71 11 134 de Balaam Maohinsky (et seu­ vent le faire s’opposaient à ce Aube et Haute-Marne ...... 92 17 133 lement à ce récital), on allait que l’on profane les grands maî­ Basses Alpes ...... 1 7 écouter également Jean 3a y- tres (Bach en ce moment) et Bouches-du-Rhône ...... 93 26 355 rien qui n’a pas moins de valeur exigent qu’on les fasse connaî­ Bretagne Anjou ...... 140 parce qu’il (n'J est (que) fran­ tre et aimer par l’original et 33 252 Région de Brioude ...... 16 1 21 çais. Et si surtout on s’y ren­ non par la caricature ; Centre ...... dait pour écouter un pro- SI tant de portes, fermées par va­ 164 35 . 692 O gramme, tout en renier ciant nité, paresse ou indifférence, Champagne et ...... 109 5 105 l’interprète (au lieu de faire s'ouvraient soudain par amour ; Charente ...... 66 9 156 l’inverse) avec le sentiment ré­ SI les portes de l’Administration Corse ...... 8 ceptif et non critique : se trouvaient forcée parce Côte-d’Or ...... 74 28 480 SI chaque mélomane, au lieu de qu’une majorité de convaincus, Franche-Comté Belfort ...... 136 goûter seul sa joie musicale 38 812 ardents, unis s’impose et ne se Gers ...... 58 6 177 songeait à inviter un ami non laisse pas entamer par quelques Haute-Garonne ...... converti pour la partager ; refus : 35 1 14 SI nous mettions, dans l’éduca­ SI l’on songeait d’abord à servir Hautes-Pyrénées ...... 34 13 398 tion de nos enfants, la musique la musique avant de s’en ser­ Ha u te-Vienne ...... 24 à égalité avec les autres disci­ vir ; Indre ...... 34 15 126 plines bien qu’elle soit reléguée SI tous ceux qui vivent par la mu­ Indre-et-Loire ...... 121 30 207 loin des soucis de renseigne­ sique, sans forcément l’aimer, Loire et Haute-Loire ...... 109 33 320 ment officiel ; sans forcément la pratiquer, la Midi ...... 15G 29 1.256 SI nous donnions plus d’impor­ connaître ou l’aimer, soudain et Meurthe-et-Moselle 161 19 683 tance. aux yeux de l’enfant, à l’aimaient autant que l’argent ; Nord et Pas-de-Calais ...... ses professeurs d'éducation mu­ SI tous ces SI mineurs devenaient 682 115 914 sicale dont la tâche est si ma­ des SI majeurs, alors parodiant Normandie ...... 306 66 2.111 laisée et qui, malgré leur Paul Fort, on pourrait faire une Oise ...... 50 valeur, se débattent dans l’in­ ronde dans les lieux où il est Orléanais-Berry ...... 209 59 820 différence (si ce n’est pas nécessaire de se faire entendre Ouest ...... 238 55 1.191 différence 'si ce n'est l'opposi­ pour guérir notre malade, on Saône-et-Loire ...... 130 17 639 tion) dey Pouvoirs Publics. pourrait faire une ronde autour -et-Mayenne ...... 116 24 474 SI des appels suffisamment nour­ cie la France (où l’on naît mu­ Seine-et-Marne ...... 53 2 51 ris (comme celui de notre cher sicien autant qu’ailleurs). On Seine et Seine-et-Oise ...... directeur) touchaient la Direc­ pourra faire une ronde... 163 26 568 Somme ...... 126 10 96 tion des Emetteurs très écoutés, SI tous les musiciens veulent se Sud-Est ...... des Emetteurs de T.V. pour qie donner la main. 474 132 3.360 l’on veuille bien faire une petite Sud-Ouest ...... 198 62 1.049 place à la musique, que celle-ci Pierre PAUBON Tarn ...... 47 13 426 Tarn-et-Garonnc ...... Var ...... 47 14 236 Vauoluse ...... 43 11 361 Vosges ...... 55 8 122 Yonne ...... Manufacture d’ÆNCHES :l 46 18 196 5.225 POUR INSTRUMENTS DE MUSIQUE % 1.009 20.004

■ r* ' INSTRUMENTS JOUÉS PAR LES ELEVES t y ' Clarinette. 2429 ; saxophone, 1519 ; trompette, 98 ; danse. 89 ; violoncelle, 76 ; pipeau, 58 ; chant, 57 : r - 1029 ; piano, 795 ; violon. 690 ; accordéon, 690 ; bugle, tuba, 12 : percussion. 12 ; fifre, 12 : contrebasse à 489 ; cornet, 460 ; flûte, 420 ; instruments à plectres. cordes, 10 : violon alto, 9 ; basson, 9 : contrebasse. 7 ; r ' 419 ; clairon, 235 : trombone. 211 ; cor alto. 181 ; basse. caisse claire. 7 ; trompette de cavalerie, 2 : liélicon, 1 ; Y ' Ets DERU, I0,r.de la Fontaine-du-Bu'r Paris 606-33-41 / ' 157 ; tambour, 147 ; hautbois. 141 ; cor, 113 : baryton, harpe, 1 ; orgues électriques, 1. Y ' / ' ■ AU TOTAL : 10.586 ELEVES / *

, t r . 1__ ,.7i H i >< •< 7 MAI 1965 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE n •• <

PIERRE AUCLERT

i > PETITES ANNONCES 1 à ia radio Hommage à J.-Guy ROPARTZ Payables d’avance à raison de 2 F la ligne de 32 lettres, signes ou intervalles. Dites, grands vents d’Armor, vents de terre et de nier Ce 23 avril, nous venons d'entendre OFFRES D’EMPLOIS ■ Retraité 52 ans, ex-flûte solo le Concerto pour piano et orchestra de Qui hantez les vieux monts et les hauts promontoires, Marine ; 1er prix conservatoire. Pierre Aucfert ; nous n'en parlerons que Pourquoi, ce soir, ordonnez-vous vos cris amers ■ Offre d-emploi, tous corps d’état Solides réf. Connaissant accords- brièvement si nous voulons que le pré­ En un hymne éclatant comme un chant de victoire ? à bons musiciens, tous instruments pianos, vernis, tampon. Assurerait (pour harmonie), niveau musical place soliste contre logement ville sent compte-rendu ne soit pas reculé Dites, toutes les fleurs, orgueil changeant des prés, de fla société, division supérieure. ou proximité (3 enfants âge sco­ d'un mois, mais nous tenons à dire Genêts dont l’or léger frisonne au long des plaines, Bientôt sera vacant (pour la vilile) laire secondaire). Réponds toute l'intérêt que nous avons porté à l'œuvre: Violiers, jasmins, beaux œillets diaprés, lin poste de garde-champetre et proposition. Urgent. Ecr. Journ. Pourquoi doubler, ce soir, l’ardeur de vos haleines? mie_ création (jardinier) (privé) un s/No 328. Il y a deux climats dans ce concerto ; ménage, logé'et chauffé, pour en­ l'un, poétique et mystérieux, s'impose Et vous, granits polis par la pluie et les ans, tretien propriété, jardin, verger. ■ Cherche Ecole de Musique à dès l'entrée du cor, du cor anglais ; le V.ous aussi, nids cachés où tant d’ailes tressaillent, S'adresser au maire de SAINT- créer ou à diriger, ou direction bruissement des cordes et les effleure­ Pourquoi tant de rayons au long des rocs luisants, FLORENTIN (Yonne), ville en d’Harmonie. plus leçons de solfège ments du piano ne le démentent pas ; Et tant de chants joyeux qui sortent des murailles ? grande expansion. dans écoles ou autre emploi. Ecr. l'autre, puissant et heurté, domine dans au journal sous n" 331 qui transm. — Pourquoi, vents de terre et de mer, parfum des fleurs, ■ On demande couple de gardiens la 2* partie, sorte de capricieux scherzo- d’usine, logé, etc. Mari travaillant ■ Trompette 27 ans, cherche place valse. Clartés sur les granits, délicieux ramage, Donner à vos accents une si noble ampleur à l’usine, la femme employée quel­ de pupitre dans orchestre de danse En vérité, voilà autant une sympho­ Qu’un prince, seul, justifierait un tel hommage ? ques heures au nettoyage des lo­ à PARIS. Ecr. M. C. FAUGEROU, nie qu'un concerto. Il se déroule dans caux sociaux. Mari bon clarinet­ 6, allée des Pyrénées. Log. 351, tiste. Région Sologne. Ecr. journal un raffinement de subtiles sonorités. * ANTON Y (Seine). Jamais le chant n'est étouffé, jamais S/N° 325. B Trompettiste. 1er Prix Conser­ Ah ! mon cœur vous comprend : votre communion l'expression ne perd ses droits (qualité vatoire prêterait concours à société Rejoint l’émoi profond dont nos fronts sont si pâles. ■ Municipalité vosgienne (station actuellement si rare!). Louanges à thermale) offre place chef maçon région SABLE. DURTAL, LE < Aux présents que viennent d’offrir mes compagnons et 2 emplois de mécaniciens auto, LUDE. procurant chasse à louer, Piero Bellugi qui dirigeait l'Orchestre 60 ha. Ecr. M. Claude THEROU, philharmonique de l'O.R.T.F., ainsi qu'à S’ajoute le tribut de la terre natale. tous munis du C.A.P. à très bons musiciens jouant de préférence 89 av. Victor-Hugo, FRESNAY- la soliste Janine Fournier, car le Leau La race, — le pays, — le passé sont d’accord basse, contrebasse ou trombone. Lo­ sur-SARTHE (Sarthe). concerto de Pierre Auclert fait partie Pour honorer celui qui fit chanter leur âme. gement assuré. Ecr. au joumaü de ces œuvres qui semblent faciles mais Du fond du temps, le Roi Arthur lève son cor : s/Nu 326 qui transmettra, en indi­ OCCASIONS dont l'exécution réclame des miracles Cette fraternité royale, il la proclame. quant âge, situât, famille, réfé­ B A vendre olar. basse si b, c3ar. d’équilibre et des trésors de délicatesse. Et, parmi les vivants, ceux qui n’ont pu venir rences musicales, etc... sopr. si b et la. bon état. Prix inter. Ecr. M. MAUBERT, 79, av. Roland CHAILLON Sont présents cependant de tous les points de France 0 Fanfare municipale de CHA­ Haubert, ROUEN, 71.13.22. Ils sont la gratitude, ils sont le souvenir, LON-SUR-SAONE serait intéressée de l'Académie Charles CROS Debout à nos côtés comme un public immense. par accueil d'une vil.e à l’occasion □ Soubassophone « Lignatone » de fêtes musicales pour effectuer mi b argenté Importé récemment:, Maître, que nous avons élu pour suzerain, concert et défilé. S’adresser au pre­ neuf. 1.800 F’. Ecr. M. FOREST, 7, Notre cœur ne va pas qu’au créateur sublime : sident M. Claudius DALOZ, 20, boul. Soult, Paris-12*. Nat. 04.17. Nous vous aimons d’être, en tant, qu’homme, un souverain, Doteur-Mauchamp, CHALON. rue S Vends clar. alto mi b. Leblanc CARNET DU MOIS Et nous vous admirons d’être en art, une cime. Tél. 48.22.06. (avec étui) état neuf. Prix intéres­ Le Goffie et Le Braz, Renan, Chateaubriand, J Ville de JOINVILLE (Haute- sant, Ecr. journ. s/N« 330 qui trans­ m mettra. NECROLOGIE Tous les Celtes que baise au front la gloire ailée, Marne) recherche Directeur Har­ Rejoignent au-dessus de vous Franck souriant... » monie Municipale, susceptible d’as­ La Confédération Musicale de DTudy tend dans l’azur une palme étoilée. surer formation de jeunes musi­ S A vendre 1 Bugle. 1 Clarinette France profondément émue par le ciens et de remplir, en même temps (si b), 2 cornets. 1 Trompette d’Hie, deuil cruel qui vient d'atteindre la Et leurs voix, proclamant les mots essentiels, et éventuellement fonction de 1 Baryton, 1 Basse 4 pistons, 1 Fédération des Sociétés Musicales S’unissent, instruments d’une ample symphonie, garde-champêtre. Ecr. au journa. Saxo-soprano. Tout remis à neuf. de la Côte-d’Or, la prie de trouver Aux hymnes de la mer, de la terre et^ du ciel qui transmettra ou directement en VILIEGIATURE ici l'expression de ses bien vives Pour saluer en vous leur fraternel génie. Mairie de JOINVILLE. □ Chefs de Musique, à l'occasion1 condoléances. Nous garderons un Jacques FESCIIOTTE. □ Emploi administratif offert à de déplacements de vos sociétés-: en souvenir fidèle et reconnaissant à Si voie ou vers l’Italie, faites étape ce dévoué collaborateur que fut M. Paris. — Lanloup. 7 juillet 1951. trompettiste de 20 à 30 ans. Loge­ ment assuré. 4 Devra tenir place à ITIôtel Bellevue, JARRIER (Sa­ Jarrot, pendant 40 ans. A Mme Pour la remise de l’épée d’académicien à J. Guy Ropartz et dit voie) (Tél. 2-90) à 6 km de la jarrot et à sa famille si douloureu­ Chef de Puuitre à la Société de le 10 février 1965, en hommage à Ropartz, par Henri Rollan, de la Musique (Yonne). Ecr. Journ. sous R.N. 6. Relais gastronomique, vue 4 * sement éprouvées, nous adressons Comédie Française. panoramique, meilleur accueil du toute notre sympathie en souhai­ n- 332. propriétaire. Chef de îa « LYRE tant que notre témoignage leur -OO-Qr GREGORIENNE ». apporte un adoucissement et un DEMANDES D’EMPLOIS réconfort à leur peine. O Chef de musique, lür prix vio­ DIVERS A. E. lon Paris, clarinette, saxo, piano ; r- Classements homologués ex-violon des Concerts Poulet, cher­ DISTINCTIONS che direction harmonie. Ecr. joum. ■q Confiez vos travaux har­ HONNEUR s/N° 327. monisation. orchestration, à Nous apprenons avec un vif plai­ Fédération du Midi : Réveil Carcassonnais (Aude). êî3 Clarinettiste, célibataire 28 ans, un spécialiste. Devis sur pré­ sir la nomination au grade de Che­ désireux de jouer dans très bon sent-ition manuscrits. F.-P. valier dans l'Ordre de la Légion EXCELLENCE B d’Honneur de M. André Ameî’.er. milieu musical pour perfectionne­ LOUP. Rocquefor.t - les - Pins, membre du Comité de la Confédé­ Fédération du Centre: Philharmonique Municipale do Nevers (Nièvre). ment, envisage logement, place de (Alpes-Maritimes). ration Musicale de France, prési­ jardinier, possède permis B.C.D. dent de la Fédération des Sociétés SUPERIEURE • Section A Ecr. s/N° 329. Musicales de la Côte-d’Or et direc­ rvHfîrntion du Centre : Société des Concerts Nivernais à Nevers (Nièvre). teur de l'Ecole Nationale de Mu­ Fédération de Franche-Comté Belfort : Harmonie Municipale de Besançon (Doubs). sique de Dijon, ainsi que la nomi­ Fédération de Franche-Comté Belfort : Harm. de la Société Peugeot. e((Loire)' de et Folklorique ■pvvîémTinn dé Lo;re et Haute-Loire : Chorale « Les Amis Reunis » de St-Etienne (Loire). nation au grade de Chevalier dans de Nancy. l'Ordre des Arts et des Lettres de Fédération de l'Ouest: Société Philharmonique de La Roche-sur-Yon (Vendée). Chûteaudun (Eure-et-Loir) ; Harmonie M. Roger Thirault, secrétaire géné­ Fédération du Nord et Pas-de-Calais: Chorale Mixte Claudm-ie-Jeune, a Valenciennes Fédération de Normandie : Le Réveil Dunois de ral de la Confédération Musicale Fédération du Sud-Est : Académie jeunes accordéonistes de Lyon (Rhône). Fédération0 del'O^t : ' F^nfar^Municipale de la Mothe-Saint-Heray (Deux-Sèvœs) ; de France, directeur artistique de Fédération de Sarthe-et-Mayenne : Harmonie de Saint-Calais, à Saint-Calais tSar,he), la Fédération des Sociétés Musi­ SUPERIEURE Section B cales de l’Aisne, directeur du Con­ Fédération de la Côte-d'Or : Batterie-Fanfare de la Jeunesse Bourguignonne, Dijon de la Valide (Meule. (Seine-e.-Oise. servatoire municipal de Laon. Nous (Batterie-Fanfare). leur adressons nos plus chaleureu­ Fédération Franche-Comté Belfort : Quatuor de Saxophones de l'Harmonie « La Fra- ses félicitations. TROISIEME DIVISION - Deuxième Section Fédération du Nord^etJdu Pas-de-Calais: Société Chorale de Lcns (P.-de-C.). Féde^atiorTde ^Normandie ^HpnSonie Municipale de Chartres (Eure-et-Loir). DÉFINITIONS PREMIERE DIVISION • Première Section Fédération du Midi : Réveil du Minervois (Batterie-fanfare, trompettes de cavalerie, DE : Le Ralliement “ugeoie «anlare. tant- bours. clairons et trompettes). Fédération de la Normandie: Batterie d'accompagnement de l'Harmonie_ Municipale DUDULE LE CANCRE de Chartres (Eure-et-Loir); Société Philharmonique de Vf mon (Eure) :ASf spor^y Gmiw . Fanfare qui n’ont pu jusqu'à* présent être Fédération Orléanais-Berry : l'Espérance {Batterie-Sonnerie) Artenay (Loiret) ; codifiées officiellement dans les traités de théorie musicale : Bémol : C dur à avaler. «4SI. Dièse : En forme de portique de SS £ : -H- de rugby, mais quel sport ! Féd^raUon ^du^Sud-lîst^0 Fanfare Union Laroche: te (Rhône); Orchestre a Plectres de Bécarre : Ne tourne pas rond dans ma tête. Saint-Florentin (Yonne). TROISIEME DIVISION - Troisième Section Clé tic sol : N’ouvre pas ma cer­ velle. DEUXIEME DIVISION - Première Section Ton : pas moyen do le mettre er. Fédération de Bretagne-Anjou : Amicale dos Accordéons Lorientais de Lorient (Mor- *§SS Salle. Nantes (Lohc-Atlantiquc). ^ , Puy-de-Dvnte) boite bihan). , Fédération du Contre : Fanfare Mim.c.pale « Chanlccle. >i de Lïeaumon: Fédération du Nord et Pas-dc-Ca.ai.s : Batterie de l'Harmonie Municipale à Auchel Comma : Morte) en effet (Batterie-Fanfare). ( Pas-de-Calais •* Charentes : Batterie Harmonie ïouillac ; Lyre Mur.icip La ronde : Carrosserie Simca. Fédération Orléanais-Berry : Bat t prie de l’Harmonie Municipale de Blois (Loir-et Cher). Fédération des Harmonie Municipale do L.ois (Loiret ( Un. lème ; Lyre de Cnnbaaais lociété Juniors), Fédération de la Côte-d'Or: Fanfare de Broci Le soupir : Perpétuel chez moi. Fédération de Seine et. Seine'■ct-Oise : <-ub Musical d Orly < ■* ?Tl {Harmonie) î Chorale « A Voix Libre » (ie 1 Lu.on artistique et inlollcc- Fédération rie l'indre-el-Loire : Musique Mumcii-. La pause : Si ça pouvait durer. Fédération du Sud-E>:t : . Société Sainte Cécile de M>mt,oms-sur-f,o.te Harmonie.' ; Musique ur.icipaic do tue!le des Cheminots de Lyon (Rhône). Double barre. : La tant désirée. Joue-les Tours : Musiqta Viu de Cor? A l'Accord. Fédération (•C Point d’orque : Les grandes vacar. j M, DEUXIEME DIVISION • Deuxième Section Fédération du Midi : Cn moi ■*am (Àriè ces. Saint-Quentin < Aisne J. Pamlei < Ariège » ( s ntion lj StX’ié PI Fédération do l'Aisne : ( La Vaillante a Cu •go). Armure : Vieille ferraille. • Harmonie Mumcip: Cognacatee t Chu rent c ). Batterie t Tambours O. a de Fc Fédération des Charente de Fédération de l’Indre-et-Loire : Les Mcr.e.st de; Touraine, Chorale mixte. Rotho- Fédération du Normand Mineur : Houille, houille, houille, j Fanfare Municipal* loin iînors corbon. . t». » . *. * w-,.i ’.e de Triguèi (Loire ) • Muni* Chromatique : De quoi en voir de Fédération du Midi: «Avenir Pal a va s: en ^ o,. I - a a ( Hérault ). Fédération do Orléans: Berrv : Al'.iatioo ? •nt. Orléans (Loiret). eipaio de Montoirt ir-le-Loir (Lon Cher) toutes les couleurs. Fédération de Orléanais-Berry: J-anhire. sam.-.d i... -San. • (( P.éveil ( Saône-et-Loire ). Fédération de l'Ouest Batterie -Fanfare de Bouhet Fédération de Saône-et-Loire; Fa.ulare d> s -T n inie). Noire ; Une blanche dans la nuit Fédération de l'Aisne : Groupe vocal :mx a d'Aul: ,ur ion (Aisne). Aunisien < Batterie-Fanfare) do Surceros (Chaient africaine. Fédération de Saône et Ivoire : Ix-.s C ... Ma voix : La faux du chant. Fccl.'-rution du Sarthe-et-Mayenne : Fanfare de ('reacu Loinue TROISIEME DIVISION • Première Section Fédération du Sud-Est : l’Avenir clique de Saint-Bonnet-de Mure Justesse : Hypocrisie des bons élè­ Fédération de Sarthc-et-Maycnne: Harm on: ■ale de Fresnay sur-s Fédération du Sud-Ouesl : l-Iannonic d And* sru E ves. Fédération du Sud-Fat : Réveil Okai<'>L Rhône). ’Yonne : Fanfare c Toucy. ut s S.N.C.F., Dijon (Côte-d'Or). Férié tic D. PAQUETTE. Fédération de la Côte-d’Or : Ilannonio de. a

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. 8 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE MAI 1965 : i ■ : y bémol ; ou op. 26 en la bémol ; ou op. 8 sur le programme. Mais il va de soi que bémol'; ou op. 110 laméboll ;et2d' le chanteur (cantatrice) d’opéra présen­ » AVIS DE CONCOURS la en mi bémoF; ou op. 1-10 en la bémol ; tera aussi un air d’oratorio ou un lied, Le Ministère d’Etat chargé des Affaires ou Mozart en si bémol KV 333 ; ou que le chanteur (cantatrice) d’oratorio Haydn, Thème et variations en fa mi­ présentera un air d’opéra ou un lied, M ï culturelles et la ville de Reims présen­ AUX SOCIÉTÉS - HARMONIES MUNICIPALES tent le neur ; ou Schubert, Sonate op. 164 en que le chanteur (cantatrice) do lied pré­ la mineur. sentera un air d’opéra ou d’oratorio. FANFARES - CHORALES : 3« CONCOURS D) Mendelssohn, Prélude et fugue en N.B. — Dans lo genre «lied», lo concur­ fa mineur, op. 35 No 5 ; Schumann. So­ rent (e) peut présenter le lied qu’il a : INTERREGIONAL nate en sol mineur op. 22 ; Chopin, 2* choisi pour l’examen avec orchestre SÉJOUR A PARIS JL96C Ballade en fa majeur ou Sonate en si (Brahms, Wagner, Duparc, Debussy. Ra­ mineur, op. 58 ; Liszt, Polonaise en mi vel, Mahlelr, Strauss, Berg, Martin, Ma- lor jour : Le matin, visite de PARIS. Flûte, clarinette, trompette ouvert aux ou 12e Rhapsodie hongroise ; Brahms, recotti, etc.). lauréats titulaires d'un premier prix des Scherzo op. 4 ou Rhapsodie en mi bémol, L’après-midi, les grands magasins. En principe, la durée du récital sera Ecoles nationales de musiques do France. op. 119 ; Fauré, Thème et variations 2* jour : Le matin, excursion à VERSAILLES. Troix prix de 2.000 francs (200.000 an­ op. 73 ; Balakirew, Islamey ; Prokofiev, de 20 à 25 minutes (au maximum). ciens francs). Epreuves éliminatoires : du Suggestion diabolique, op. 4 N° 4. III) Examen public (avec orchestre). L’après-midi, visite des installations d’Orly. 10 au 12 mai inclus. Epreuve finale : E) Albeniz, Triana ; Debussy, Toccata Chaque candidat (e) chantera un morceau 25 mai. Au Grand Théâtre de Reims. ou Feuilles mortes (Prélude 2e livre) ; des groupes A ou B ou C ou un lied y jour : Montée à la Tour Eiffel - Tour en bateaux-mouches. PROGRAMME Ravel, Sonatine ou Jeux d’eau ; Berg, avec orchestre des groupes D ou E. en Possibilité de soirée au théâtre. Sonate op. 1 : Bartok, Out of doors ; accord avec le genre dans lequel il se Le programme des épreuves élimina­ With drums and pipes, Musiques-Noctur­ présente. Prix : Frs 98 par personne pour groupe de 40 personnes toires, qui se dérouleront à huis clos, nes, The Chase (éd. Boosey and Hawkes, Avis important. Sur son bulletin minimum. Ce prix comprend le logement à Paris, les repas au Théâtre municipal de Reims, du 10 au Londres) ; Samuel Barber, Sonate op. 22 mai 1965, ©st le suivant : d’inscription (ou en tout cas avant le l«r et les visites mentionnées ci-dessus. 26 (éd. Schirmer, New-York) ; Alfredo septembre 1965), le candidat (e) fora con­ Flûte. — 1) Adagio ma non tanto et Casella, Sonatina (éd. Ricordi, Milan)'; Allegro de la Sonate pour flûte et piano naître l'œuvre (titre, compositeur, édi­ Mcssiaen, 2 pièces à choisir parmi ; Iles teur) qu’il se propose de chanter à l’exa­ en Mi Mineur. J.-S. Bach (Edition Du­ de feu 1 ou 2, ou Neumes rythmiques ou Congrès C. M. F. à LUCHON Hte-Garonne ► . rand) (Révision Fleury) ; 2) Concerto en men III (avec orchestre) et éventuelle­ Modes de valeurs et d'intensité ; Eugen ment au concert final des lauréats. Si Ré Majeur pour flûte et orchestre, W.-A. Kuru, Motivations (éd. Jobcrt, Paris) ; Mozart (1er Mouvement) (Cadence Ph. cette œuvre n’appartient pas au réper­ Excursions aux Châteaux de la Loire - Côte d'Azur, Alsace Roger Vuataz, Suite espagnole (s'adresser toire international courant, il est tenu Goubert) (Accompagnement pianistique) au secrétariat du concours); Walter Lang, Bord du Rhin - Hollande et tous autres programmes chez : (Edition Leduc (Révision F. Caratgé). d’en apporter lui (elle)-même la - parti­ Clarinette. Sonate N<* 2, op. 70 (Universal- Ed., 1 ) Adagio du Premier Vienne). tion et le matériel d’ovehestre. Concerto, Spohr (Edition Peters) ; 2) Air F) Mozart, Concerto en mi bémol KV varié pour clarinette et piano, Jean Hu- 482 ; Beethoven, 3- Concerto en do mi­ VIOLON beau (Edition Durand). TRANSATOUR S. C.T.T.V. neur ; Chopin, 1er Concerto en ml mi­ I) Examen éliminatoire. Chaque candi­ Trompette. — 1) Concerto pour trom­ neur ; Schumann, Concerto en. la mi­ dat (e) préparera 7 (sept) œuvres choi­ Agence officielle de la Confédération Musicale de France pette on Ré Majeur. G. Torclli (Editions neur ; Listz, Danse macabre ; Brahms, Transatlantiques) ; 2) Etudes numéros 2 sies de la manière suivante : une sonate 2° Concerto en si bémol ; Grieg, Con­ du groupe A; un concerto du groupe B ; et 16 des 20 Etudes pour trompette solo, certo en la mineur ; Prokofiev, 3' Con­ 34, rue de Lisbonne, PARIS-80 Téléphone : LAB. 83.37 Marcel Bitsch (Edition Leduc). deux caprices du groupe C ; deux mor­ certo op. 26 ; Ravel, Concerto pour la ceaux du groupe D ; un concerto du Le programme de l'épreuve finale, qui main gauche ; Fauré, Ballade ; Henri Ga- groupe E, et sc tiendra prêt (c) à exé­ aura lieu, le 25 mai 1965, au Théâtre, gnebin. Concerto (éd. Ricordi) ; J.-F. à 20 h., comprend : cuter ce que le jury lui demandera. Zbinden. Concerto da caméra op. 16 F) Œuvres modernes. B. Martinu, deux REGLEMENT Flûte. ■— Concerto pour flûte et or­ N. B. — Sur son programme, le can­ pièces pour clavecin (Universal - Ed., (éd. Breitkop et Haertol, Wiesbaden). 1. Le 4' Concours International de chestre. J. Ibert, avec accompagnement II) Examen public (récital). Chaque didat (e) soulignera le titre de l’œuvre Vienne) ; Donati, Doubles esercizi per orchestral (Audition intégral) (Edition Le­ qu’il (elle) considère comme sa meilleure olavicembalo (éd. Zerboni) ; J.-J. Grunen- Composition 1965, subdivisé en six caté­ duc). candidat (e) jouera 4 des 7 morceaux gories, prévoit un prix en argent il l’au­ préparés pour l’éliminatoire et choisis de chance de réussite ; le jury la lui deman­ wald, trois pièces à choix de la Suite Clariiiette. — lor Concerto en Fa mi­ dera en tout ou partie. de dandes (éd. Snlabert) ; J. Françaix, teur de l’œuvre gagnante dans chaque neur pour clarinette et orchestre. C.-M. la manière suivante : le morceau imposé catégorie : lr<‘ Catégorie : Opéra en un du groupe A ; une sonate du groupe C ; A) J.-S. Bach, Sonate I en sol mineur L'insectarium (éd. Schott) ; Peter Micg, Von Weber (Audition intégrale) avec ac­ acte ou semblables formes nouvelles de une œuvre de chacun des groupes D et E. (BWV 1001), ou Sonate I en la mineur Pour le clavecin (s’adresser au secrétariat théâtre musical. compagnement orchestral (Edition Le­ (BWV 1003), ou Sonate III en do majeur du concours) ; R. Vuataz, Suite d'après duc). N.B. — Si l’œuvre du groupe D est. de longue durée, l’œuvre du groupe E (BWV 1005). Rembrandt (s'adresser au secrétariat du Prix de Lit. 1.000.000 du Ente Auto­ Trompette. — Concertino (en entier), peut être remplacée par l’étude de De­ concours). nome Tcatro Comunale de Floience. André Joüvet. (avec B) Haydn, Concerto en do majeur : ou accompagnement bussy du groupe B : inversement, si Mozart. Concerto en sol majeur No 3 G) J.-S. Bach, Concerto en la majeur 2; Catégorie : Chœur (même avec so­ piano principal et orchestre à cord s) (BWV 1055) ou en fa mineur (BWV 1056); (•Edition Durand). l’œuvre du groupe E est de longue durée, KV 216, ou en ré majeur No 4. KV 218, listes) et orchestre ou ensemble instru­ celle du groupe D peut être remplacée ou en la majeur No 5, KV 219. ou Haydn, Concerto en ré majeur ; ou mental. Le concours est ouvert à tous les lau­ par l’étude de Chopin du groupe B. Poulenc, Concerto champêtre (éd. Sala- réats des disciplines intéressées ayant ob­ C) Paganinl, Caprices No 2 (si mineur), Prix de Lit. 500.000 de la ..AI-Radio- La durée du récital sera de 45 minutes bert ) ; ou B. Martinu, Concerto (Univer- televislone Italiana. tenu un premier prix dans une école na­ environ. ou No 4 (do mineur), ou N° 15 (mi sal-Ed., Vienne) ; ou G. F. Malipiero, 6e mineur), ou No 17 (mi bémol majeur) tionale de musique de province, l'année III i Examen public avec orchestre. des « Dialoghi » (éd. Ricordi); ou M. 3' Catégorie : Orchestre symphonique, ou No 24 (la mineur). A jouer sans ac­ du concours ou au cours des cinq années Chaque candidat (e) jouera tout ou partie Martin, Concert pour clavecin et petit même avec solistes. précédant, celle du premier concours au- compagnement. orchestre ( Universal-Ed. ). Prix de Lit. 500.000 de la RAI-Radio- quel ils participent. du concerto qu’il (elle) aura choisi dans le groupe F. D) Ysaye, une Sonate pour violon seul ; II) Examen public (récital). Chaque televisione Italiana. Les élèves faisant partie de la division Bartok, Sonate pour violon seul ou candidat (e) jouera 5 œuvres, soit une 4' Catégorie : Orchestre de chambre supérieure de l’une des classes du Con­ CIIANT une des 2 Rhapsodies ; E. Bloch, Nigun ; de chacun des groupes B. C, D, E et F. servatoire national supérieur de musique Brahms, Danse hongroise No 17 ; Saint- (même avec solistes) jusqu'à 36 exécu­ Suivant la durée, il (elle) ne jouera tants. de Paris, concernant la discipline qui fait Il est recommandé de choisir un pro­ Saëns, Rondo capriccioso ou Havanaise ; qu’une ou deux parties de l'une ou l’au­ l'objet du présent concours, peuvent y gramme où le candidate) peut chanter Wieniaski, Scherzo-Tarentelle ; De Falla, tre des ces œuvres. Prix de Lit. 500.000 de la RAI-Radio- prendre part, s’ils ne sont pas encore dans plusieurs langues (au moins deux), Suite populaire espagnole. La durée du récital sera de 40 à 45 televisione Italiana. titulaires d’une récompense. et de présenter chaque œuvre dans sa E) Beethoven. Concerto en ré majeur; minutes- au maximum. 5e Catégorie : Ensembles instrumentaux, Les candidats doivent adresser leur de­ langue originale ; mais chacun est libre Mendelssohn, Concerto en ml ; Vieux- III) Examen public avec orchestre. Cha­ vocaux ou mixtes, de 6 à II exécutants. de chanter dans la langue qui lui con­ mande d’inscription, accompagnée d’un temps. Concerto N" 4 en ré mineur, op. que candidat (e) jouera tout ou partie certificat de récompenses obtenues dans vient. 31 ou No 5 en la mineur, op. 37 ; Brahms, Prix de Lit. 250.000 de la RAI-Radio- du concerto qu'il (elle) aura choisi ..ans televisione Italiana. l’école d’origine, au secrétariat de l’Ecole La liste des œuvres donnée ci-dessous Concerto en ré ; Lalo. Concerto en fa ; le groupe G. nationale de musique de la ville où a est établie de telle sorte que tous les Khachaturian, Concerto ; Prokofiev. Con­ G" Catégorie : Musique de chambre, de lieu le concours. Faire figurer la mention candidats (es) qu’il (elles), soient chan­ certo No 2 (1935) ; O. Schœck, Concerto COR 1 à 5 exécutants. teurs (cantatrices) d'opéra ou d’oratorio en si bémol majeur, op. 21 (éd. Hug. DExamen éliminatoire. Chaque c.ir.di- Prix « CONCOURS INTERREGIONAL » sur ou de lied, peuvent composer un oro­ Zurich) ; W. Burkhard, Concerto, op. 69 de Xit. 250.000 de In RAI-Radio- toute correspondance. dat préparera 3 morceaux : soit celui du televisione Italiana. gramme à leur convenance. Chaciui indi­ (Uni versai-Ed., Vienne). groupe A, puis une œuvre du groupe B. Les frais de voyage et de séjour des quera le genre (opéra — oratorio — lied) Il» Examen public (récital). Chaque Un premier prix absolu de LU. ôüO.OUO candidats se présentant à la première par­ et un concerto du groupe C ; il se tien­ dans lequel il entend se présenter. Le candidat (e) jouera (dans l’ordre qui lui dra prêt à exécuter ce que le jury lui pourra être décerné à la meilleure dés­ tie c:u concours (éliminatoires) sont à la Jury considérera ces trois genres sur le convient) 4 (quatre) des 7 (sept) mor­ œuvrés gagnantes dans les différentes ca­ Charge de ceux-ci. demandera. même plan. ceaux préparés pour l’éliminatoire, û sa­ N. B. — Sur son programme, le can­ tégories. Une indemnité de 250 francs attribuée Le choix des compositeurs étant consi­ voir : la sonate qu’il (elle) a choisie du Il n'y a pas de limites en ce qui a titre de défraiement, sera remise à didat soulignera le titre de l’œuvre qu’il dérable, le candidat (e) r.c doit nas en groupe A (en tout ou en partie) ; un ou considère comme sa meilleure chance de concerne le nombre d’exécutants pour chaque candidat admis à passer les épreu­ présenter d’autres. deux mouvements du concerto du groupe les trois premières catégories. Pour la ves de la seconde partie du concours (fi­ réussite ; le jury la lui demandera en I) Examen éliminatoire. Chaque candi­ B ; l’un des deux caprices qu’il aura tout ou partie. 4 catégorie, les solistes éventuels ne nale). Le nombre des candidats admis dat (e) présentera au total 7 (sept) mor­ choisis dans le groupe C ; une des deux sont pas compris dans la limite. a passer les épreuves finales, no pourra A) Morceau imposé (il sera expédié au ceaux de 5 compositeurs différents au œuvres choisies dans le groupe D. candidat — a l'adresse indiquée sur sa 2. Le Concours est ouvert à tous les etre supérieur à neuf. (Répétition égale moins, à raison : d’un morceau du groupe La durée du programme n’excédera pas compositeurs italiens et étrangers. ou. inégale entre les trois disciplines). feuille d’inscription — sitôt après la clô­ A, d’un ou deux morceaux du groupe B, 40 minutes. ture des inscriptions, soit le 2 juillet 3. Les concurrents devront envoyer Les candidats sont tenus d’exécuter d’un, deux ou trois morceaux du groupe III) Examen public (avec orchestre). 1965). leurs œuvres à la S.l.M.C.-Segrcteria ciel tous les morceaux de MEMOIRE. C, d’un ou deux morceaux du groupe D, Chaque concurrent (e) jouera un ou deux B) Christoph TForster 1693-1745), Con­ Concorso - Via Flaminin, 111 Roma, d'un ou deux morceaux du groune E, jusqu’au 31 décembre 1965. Les candidatures doivent être déposées mouvements du concerto qu’il aura choisi certo en mi bémol (éd. Hofmeistcr. et se tiendra prêt (e) à exécuter les dans le groupe E. Francfort Leipzig) ; Teiemann, Concerto au secrétariat du CONCOURS INTERRE­ œuvres désignées par le jury. Sur GIONAL : Ecolo nationale de musique de son en ré majeur (éd. Pegasus. WilheJmsha- | programme, chacun soulignera le titre de CLAVECIN Reims, 14. me Carnot < tel. -17.45.07), l'œuvre qu’il considère ven-Locarno) ; Léopold Mozart. Concerto j INVITATION avant le 20 avril 1965, dernier delai. comme sa meil- DExamen éliminatoire. Chaque candi­ en ré majeur (éd. KaWe, Amsterdam) ; leure chance de réussite ; le jury la lui Pour tous renseignements complémen­ dat te) préparera 7 œuvres à raison d'une Fr. A. Rosetti (1750-1792), Concerto en AU STAGE MUSICAL demandera en tout ou partie (suivant la de chacun des groupes, soit : l’œuvre taires, les candidats doivent s'adresser durée ). mi bémol (éd. KaWe, Amsterdam) ; de la jeunesse, franco-allemande à Klostcr au secrétariat de l’Ecole nationale de unique du groupe A ; une des œuvres Haydn. Concerto N>- 1 en ré majeur (éd. de Bach du groupe B (les repris Lorch près de Schwabisch-Gmünd (Wur­ musique de Reims. A) Un air de J.-S. Bach (Cantate ou es non Breitkopf et Hacrtel. Wiesbaden) ; Ros- temberg) du 8 au 15 août 1965. (Direc­ indispensables seront supprimées) ; une Oratorio ou Passion) ou un air de Gluck sini. Prélude, thème et variations, en fa tion : Alexander von Ilamni, Michelstadt. O ou de Haydn. œuvre du groupe C ; une œuvre (compre­ majeur (éd. Fondation Rossini. Pesaro). nant un ou plusieurs titres) du groupe Collaboration : Raymond Gros. Chàlons/ B) Un air d’opéra ou d’oratorio ou C> Kurt Atterbcrg. Concerto en la mi­ Marne — Albrecht Tunger, Soest. GENEVE de concert d'un compositeur italien ou D ; une sonate du groupe E ; une des neur. op. 23 (éd. Breitkopf et Haertel) ; français ou allemand ou anglais, des 17e œuvres modernes du groupe F. et un H. Tomasi. Concerto (éd. Leduc. Paris) ; En collaboration avec l’office Franco- 27 Concours International ou 18' siècles : Mon te verdi, Carissimi, concerto du groupe G. Il (elle) se tien­ Peter Joua Korn, Concertino (éd. Boosey Allemand pour la jeunesse nous invitons Scarlat'ti. Pergolèse, Luili, Rameau, Caïn- dra prêt (e) à exécuter ce que le jury lui et Hawkes. Londres ou Benjamin. Ham­ des jeunes musiciens' français et alle­ du 18 septembre au 2 octobre demandera. pr». Monsigny. Grétry. Schùtz, Bach, bourg) ; E. Pauer, Concerto (éd. Baeren- mands. de 15 à 20 ans. à ce stage mu­ PIANO Haydn. Mozart, Ilaendcl, Purcel. N. B. — Sur son programme, le can­ reiter, Kassel ou Bâle) ; R. Glière, Con­ sical où l’on chantera des œuvres cho­ didat (e) soulignera le titre de l’œuvre certo en si bémol, op. 91 (éd. Interna­ rales et fera de la musique instrumen­ 2 ) Examens éliminatoires. Chaque can­ C) Un air d’opéra extrait d’œuvres de qu'il (elle) considère comme sa meilleure tiona! Music Company, New York, ou tale. didat! e) préparera 7 morceaux de musi Beethoven, Weber, Wagner, Richard chance de réussite ; le jury la lui de­ éd. d’Etat. Moscou); Kasimir Sikorski,. Strauss, Rosisni, Donizetti, Bellini, Verdi, Pour les instruments (cordes, vents en que. choisis de la manié)e suivante : le mandera en tout ou partie. Pour toutes Concerto (éd. d’Etat. Krakow) ; Otlunar bois, flûte U bec) on a prévu des œuvres >• Puccini, Auber. Gounod, Saint-Saôns, les œuvres anciennes et classiques, il morceau du groupe A ; deux études cou­ Schoeck, Concerto (éd. Boosey et Hawkes de différentes formations orchestrales de plé:* du groupe B ; puis une œuvre de Lalo. Déliées, Bizet, Massenet, Glinka, (elle) indiquera, sur .son programme, l’é­ ou Benjamin). Moussorgsky, Rimsky - Korsakov. Boro- Bach. Hiiendol. Teiemann, Hindenv.rh et chacun des groupes C. D. F. et. F et se dition utilisée. Il est recommandée d’uti­ II) Examen public (avec accompagne­ autres compositeurs. On fera de la mu- tiendra prêt(e) à exécuter ce que le dine. Tchaîkovsky, Smetana, Dvorak. Ja- liser les éditions connue* pour leur fidé­ ment de piano). Chaque candidat jouera naeek, Moniuzko, Prokofiev. Stravinsky sique en orchestre et en groupe de mu­ jury lui demandera. lité aux textes originaux. (dans l’ordre qui lui plaira) l’œuvre sique de chambre. D) Un lied tiré des œuvres de Schu­ Les concurrents auront à leur dispo­ choisie dans le groupe B (ou un frag­ N.B. — Sur son Dans le chœur nous chanterons des programme, le candi - bert. Schumann. Liszt. Wagner, Brahms. sition un clavecin Pleyel et. un clavecin ment) et un mouvement du concerto du datée j soulignera le titre de l’œuvre Wolf, Grief, Gounod, Neupert. œuvres chorales et des chansons fran­ Bizet. Duparc, groupe C. Lorsque tous les concurrents çaises et allemandes ainsi qu’une mo­ qu'ilt e'.'e) considère comme sa meilleure Fauré, Moussorgsky, A) J.-S. Bach, Prélude et Fugue en ré auront passé cette première partie de : Rachmaninoff, lette de Heinric-h Schütz et le magnifi­ chance de réussite ; le jury la lui deman­ Tchaîkovsky. majeur, Clavecin bien tempéré, vol. II l’examen, chacun reviendra devant le pu­ dera en tout ou partie. (BWV 5174). cat à cinq voix de Diotrich Buxtehudc. E) Un lied tire des œuvres de Debussy, blic pour jouer le morceau imposé A> J.-S. Bach, Toccata (ou Prélude) B» J.-S. Bach Suite anglaise en la >upe A.). En dehors do la musique le but de ce Ravel. Caplet, Roussel, Poulenc, Messiaen. j stage est la rencontre entre jeunes fran- de ia G' Partit» en mi mineur (BWV mineur (BWV 807) ou en sol mineur III) Examen public (avec orchestre), j 620). Dut i lieux, Mahler, Reger, Iî. Strauss, (BWV 803) -, ou Suite française en ré I çais et Jeunes allemands. Berg, Webern. Krenek, Joseph Marx, Chaque concurrent jouera le concerto (ou B< Chopin et Debussy, deux études cou­ mineur (BWV 812) ou en si mineur un fragment) qu’il a choisi dans les j Par sa situation historique et ses beaux Gretchaninow, Szymanovski, Prokofiev, (BWV 814); j environs garnis de bois Klostcr Lorch est plées iî choisir dc.n.s les groupes sui- Khatchaturian, Bartok. Pizetti, Casella, ou Partita en si bémol groupes B ou C. (BWV 825); ou on la mineur (BWV 827) ; un lieu de rencontre particulièrement var.ra : Chopin op. 25 No 10 et Debussy Ghedini, Dallapiccotfa, Britten. Delius, ou Toccata en ré majeur (BWV 912) : ou charmant. Pour les soirées on a prévu I N 6 pour les 3 doigts ; ou Chopin E'.gar, Ireiand. Williams, Schoeck, Honeg- O Concerto italien (BWV 971); ou des représentations où l’on jouera des op. ïû N'* 1 et Debussy II N« 7 pour ger, Biner. Mnrescotti, Martin, Wissmer. Fan- • îe.-. (iegré.s chromatiques ; ou Chopin op. taisie chromatique et fugue (BWV 903). CALENDRIER œuvres typiques des deux pays, ainsi que 10 -v* 5 et Debussy II N,j fi pour les II) Examen public (avec accompagne­ C» Sweelinck, « Mein Junges Leben hat des discussions et un échange de con­ agréments ; ou Chopin op. 10 No 2 et ment de piano). Chaque candidat (c) pré­ ein End» iéd. Schott, Mayence); Pur- (lu 8" Concours International naissances. sentera 4 (quatre) morceaux de trois Debussy Il N-* 10 pour les sonorités cclî. 7>- Suite en ré mineur (éd. Chester) ; (le Musique de Budapest On parlera allemand et français. Il compositeurs différents au moins, pris opposées. Froberger, ira suite en mi mineur (éd. souhaitable que les participants parmi les 7 préparés pour l’examen éli­ Peters); Frescobaldi, Toccata N° t, vol. 1965 C« Beethoven, une de*. Sonates op. 2 français sacnent la •1 ------allemande et minatoire. et en accord avec le genre 2 (ed. De Santls, Rome). 1) CHANT. Mélodies. 18-27 No 3 en do majeur ; ou op. 22 en ai septem- les participant ■ opéra, oratorio, lied) qui sera indique D) François Couperin (édition Au gê­ bre ; airs. 20-29 {Septembre. •nie française. ner i. livre 1. ordre II «La laborieuse, la 2) INSTRUMENTS A VENT, Tous les fraïr. Florentine, ies idées heureuses, les ce voyais seront rem­ s papil- rinette. 11-19 sey‘ . 12-21 I bon ! Pour Ions»; ou livre 2. ordre VIII is p upants au .stage « Pasj-a- septembre ; flûte. 14 tembre ; quin- : 1 sou; que d 40 DM. G. GUERAULT N caille » ; ou livre 2. ordre XI « Les fastes «ette à vent. 15-19 s !•])* de la grande et ar, u •r Lorch près de Schwa .donne Ménestrandic » ; CONCERTS DES LAUREATS. - ’■ * J. GUERAULT ou livre 3, ordre XIII Inst ru- L'a Lorch a une gare t»* se Fils et Cie, Suce. ------« Les Folios fran- mc-nt s à ve ! çais. es : ou J.-Ph. Rameau (éd. Baerén- opt ombre ligne Stuttgnr-Schwûbisch . FABRICANT - EDITEUR reiter de 30 [en r -- préférence ou éd Durand», de i la Suite on ré mineur « L’entretien dos Tout ren: T. t ri'.manche 8 août. 2‘après-midi, VOUS MES INSIGNES Mtn.-s », les Tourbillons, ciii i’*" cor un souper commun vers 19 h. ou de la Suite lu majeur « Gavotte Budapest Y D, i 15 août, le matin : varice»; ou de Suite mini ;ir Veu . .cz envoyer les METAL, METAL ÉMAILLÉ, BRODERIE tUï Arbeitskreis 1 ; tienne ». i COUPES, MEDAILLES, BRELOQUES u: 35 Kassel- r ■. E ) Dont •nico Snu latti mu CONCOlHS Iî NA 11' Ileinrich - r (ETUDE DE TOUS PROJETS) ■ choix ; en cio mai éd Kir ki \. i ,-e sera ► •Sahirm. r. New Yoi 1 or )!'. COMPOSITION •arvoîute, ■ les éd. I ongo. Rici: 'li' DRAPEAUX DE SOCIETES, BRASSARDS i X N" 1965 ca: ription pourra être ou on ni m leur nd. Kirki i I epri- ■OU lu:...... i cas d’em- V 4: 119, rue Saint-Denis - PARIS-!1' u Long.» vol ,o* a personne kï rriajim K.! kl»:. [mise une indem- p v Tel. 236.47.33 . Te d< ;< m Tarif et album illustré franco ■ v 111 ?■'*, ( éd I S. ors lie. ' V '"WBÊÊÊÊtÊÊÊÊKÊÊÊÊmmÊmaÊKsm :v: r. y f i,

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MAI 1965 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE 9

i -, v • Manifestations probables

- r DATES LOCALITES ET DEPARTEMENTS GENRE S'ADRESSER

CONCOURS 0 mai 1965 STRASBOURG (Bas-Rhin). 17* concours de chant scolaire. (Les chorales de chant scolaire des autres départe­ M. Nussbaum, 5, rue César-Julien, Strasbourg - ments peuvent concourir dans la limite des possibilités). KœnigShoffen (B.-R.). 13 mal 1965 MULHOUSE (Haut-Rhin). 17® concours de chant scolaire. (Los chorales de chant scolaire des autres départe­ M. Pfiimlin Rodolphe, l, rue Col-du-Linge. Mulhouse. ments peuvent concourir dans la limite des possibilités). 30 mai 1965 L'AIGLE (Orne). Concours, toutes sociétés fédérées. M. Potier, 24. rue Pierre-Chabaud, L’Aigle. Pentecôte 1965 LORIENT (Morbihan). Concours C.I.S.P.M. pour les harmonies. Une société d'excellence ou d'honneur Confédération Musicale de France, 121, rue La par pays. Classement homologué dans les 5 dernières années. Fayette, Paris-X*. Pentecôte 1985 MONTLUÇON (Allier) Concours international d’accordéon, toutes sociétés fédérées, toutes divisions. Société Accordéonistes Montluçonnais, 26. rue Stéphane-Servant, h Montluçon. 12 et 13 juin 1965 LUCHON (Haute-Garonne). Concours international pour toutes Sociétés. M. Ribis, 39, allées d'Etigny, Luchon. 12 et 13 Juin 1965 SAINT-LOUIS (Haut-Rhin) Grand concours international de chant. Docteur Mauz, h Saint-Louis (Haut-Rhin). 19 et 20 juin 1965 MARANS (Charente-Maritime). Grand concours national de musique. M. F. Bonnin, vice-président de la Fédération S.M. de l'Ouest, 27, rue d’Aligre, Marans (Ch.-Marlt.). . 19 et 20 juin 1955 AUDINCOURT (Doubs) Challenge Clerc (concours-festival régional). Harmonie Municipale d’Audincourt (Doubs). 20 Juin 1965 OHATEL-GUYON (Puy-de-Dôme) Concours de musique. M. Mallet Michel, président de « La Vigilante », Boulevard Thermal, Châtol-Guyon. 27 juin 1965 MACHELEN (Belgique) Concours international de Koninklijke Harmonie Saint-Cecilia de Machelen M. Laurent Kerremans, directeur Koninklijke - Har­ (Brabant). monie Saint-Cecilia, Machelen (Brabant) (Belg.). 4 Juillet 1965 ILE D’OLERON (Château-d’Oléron). Concours régional réservé aux harmonies et fanfares. M. Bourrasse, directeur, Chàteau-d’OIéron (Ile d’O- leron). 1er août 1965 EU (Seine-Maritime) Concours international - Toutes sociétés fédérées. M. Lemaire, 65, rue Paul-Bignon, Eu. 3, 10 et 17 octobre 1965 MACH ELEN ( Belgique ) Concours international de KoninkJijke - Harmonie Saint-Cecilia de Machelen M. Laurent Kerremans, directeur Koninklijke - Har­ (Brabant). monie Saint-Cecilia, Machelen (Brabant) (Belg.). 27, 28. 29, 30 mai 1966 LORIENT (Morbihan) Grand concours international de musique. M. Macé, 39, rue du Port, à Lorient. Juillet 1966 MACON (Saône-et-Loire). Concours international pour harmonies, fanfares et chorales. M. Combler, président, 72, r. de Lyon, Mâcon (S-et-L). 1966 AUCH (Gers) Concours international. M. Deltour, à Samatan (Gers). Environ 15 sept. 1966 VICHY (Allier). Concours C.I.S.P.M. Fanfares (Confédération internationale des sociétés populaires Confédération musicale de France, 121, rue La do musique). Une société de division d'honneur, d’excellence ou supérieure par Fayette, Paris-10*. pays. (La société désignée sera choisie parmi celle ayant obtenu le meilleur olassement dans la division la plus élevée, durant les trois dernières années). 1967 TOURS (Indre-et-Loire) Concours international de musique.

CONGRES 16 mai 1965 MULHOUSE (Haut-Rhin). Congrès annuel de l’Association des Chorales d’Alsace. M. Pfiimlin Rodolphe, 1, rue Col-du-Linge, Mulhouse. 27 mai 1965 REVIN (Ardennes) 46* congrès de la Fédération musicale des Ardennes. M. Georges Doridou, président de l’Union musicale Rovinoise, route des Mazures, Revin. 12 et 13 juin 1965 LUCHON (Haute-Garonne) Congrès d’été de la C.M.F. M® Verdier, notaire, à Saint-Lys (Haute-Garonne). 12 er 13 juin 1965 ORNANS (Doubs). Congrès de la Fédération Franche-Comté, Territoire de Belfort. M. A. Colomb, 58, cités Jardins, Omans (Doubs). 12 et 13 juin 1965 BELFORT (Territoire) Congrès fédéral organisé par la Fédération musicale de Franche-Comté et Territoire M. Richard Ciapolino, directeur du Conservatoire do Belfort, avec le concours de l’Harmonie Municipale d’Ornans (Doubs). Municipal de Musique, 8, rue de Mulhouse, Belfort. 27 juin 1965 SAINT-MARCEL (Saône-et-Loire). Congrès de la Fédération des Sociétés musicales de Saône-et-Loire. M. Berthaud, président de la Fanfare de Saint- Marcel (S.-et-L.). 3 et 4 juillet 1965 BOURG-DE-PEAGE (Drôme) Congrès de la Fédération du Sud-Est. M. Durand, maire et conseiller général à Bourg-de- Péage (Drôme). 1966 AUCH (Gers) Congrès d'été de la C.M.F. M. Deltour, â Samatan (Gers). 1967 TOURS (Indre-et-Loire) Congrès d’été de la C.M.F 1968 TARBES (Hautes-Pyrénées) Congrès d’été de la C.M.F. 1969 AJACCIO (Corse) Congrès d’été de la CAI.F FESTIVALS 16 mai 1965 S AN VIGNES-LES-MINES (S.-et-L.) Festival de batteries-fanfares. M. L.-B. Jean, Les Essarts, Sanvignes (S.-et-L.) 16 mai 1965 IZIEUX (Loire) Festival de musique. M. Berthet Pierre, 19, Cours Adrien-de-Montgolfier, à Saint-Chamond (Loire). 23 mai 1965 COZES (Charente-Maritime). Festival. M. Bonhln, vice-président de la F.S.M.O., 27, ruo d’Aligre, à Marans (Charente-Maritime). 23 mai 1965 PONT-A-MOUSSON (Meurthe-et-Mos. ) Festival de musique. M. Ovemey Michel, 35, rue Victor-Hugo, Pont-à* Mousson (M.-et-M.). 23 mai 1965 LE RUSSE Y (Doubs) Centenaire de ia « Philharmonique ». 23 mai 1965 A MANCE ( Haute-Saône ) Festival de l’Amitié. 23 mai 1905 ROCHECORBON (Indre-et-Loire) Festival du Canton de Vouvray. M. Cartier. 27 mai 1965, Ascension CAILLOUX-SOUS-FONTAINES ( Rh. ) Festival de l’Union des Sociétés musicales du Canton de Neuvi!le-sur-Saône (Rhône) M. Oderut Gabriel, secrétaire général, Société musi­ festival de l’Union départementale. cale de Cailloux-sous-Fontaines (Rhône). 30 mai 1965 LA RICHE (Indre-et-Loire) Festival cantons Tours Sud-Ouest-Est. M. Raguin. 30 mai 1965 BOURET (Charente-Maritime). Festival. M. Bonnin, vice-président de la F.S.M.O., 27, rue ■A d'Aligre, à Marans (Charente-Maritime). 31 mai 1965 SAINT-AVOLD (Moselle) Festival Les Compagnons de l’Accordéon Huchétois. M. Dietz Roger, secrétaire, 1, rue des Glaïeuls- Huchet. Saint-Avold (Moselle). 13 juin 1965 CHALAIS (Charente) Festival. M. Marcel Leemans, directeur de « La Fraternelle », Chalais (Charente). 13 juin 1965 AILLY-SUR-NOYE (Somme) Festival fédéral. Mairie d’Ailly-sur-Noye (Somme). 13 juin 1965 CHAVANAY (Loire) Festival et concours interrégional de batteries-fanfares, toutes catégories. M. René Crotte. Verlieu - Chavanay (Loire). 13 juin 1965 CHINON (Indre-et-Loire) Fes ti val coucour$ dépar tement al. Me Janvier, à Chinon - M. Dorizon.'-l, rue Grécourt, Tours. 19 et 20 juin 1S35 ANDINCOURT (Doubs) Challenge Clerc (concours-festival régional). Harmonie Municipale d’Audincourt (Doubs). 20 juin 1905 TOUCY (Yonne) Festival fédéral annuel. M. Mameron, secrétaire de la fanfare. 20 juin 1965 ETIVAL-CLAIRFONTAINE (Vosges) Festival fédéral annuel de la Fédération musicale vosgienne (Société d'honneur M. Henry, Ecole de musique d'Epinal (Vosges). invitée : l’Harmonie municipale de Besançon. 20 juin 1965 CHARBONNIERES-LES-BAINS (Rh. ) Festival musical annuel. M. Remo Bruni, administrateur, Casino de Charbon­ nières (Rhône). 20 juin 1965 CHATEL-GUYON (Puy-de-Dôme) Concours de musique. M. Mallet Michel, président de « La Vigilante », Boulevard Thermal, Châtel-Guyon. 20 juin 1965 VAUVERT (Gard). Festival de musique organisé par le Réveil Indépendant Vauverdois pour toutes M. Léon Richard, à Vauvert. sociétés musicales. 20 juin 1965 MONTMELIAN ( Savoie ) Festival départemental de la Savoie. M. le maire de Montmelian (Savoie). - 20 juin 1965 HOMBOURG-HAUT (Moselle) Festival de chant. M. le président de la Société. 27 juin 1965 WOIPPY (Moselle) Festival de musique. Fête des Fraises. M. René Thiriet, vice-président, 8. rue Général- Gibon, à VVoippy (Moselle). 1 27 juin 1965 ESVES-LE-MOUTIERS (I.-et-Loire > Festival canton de Ligueil. M. Berton Paul. 3 et 4 juillet 1955 BOURG-DE-PEAGE (Drôme) Festival international de musique. M. Durand, maire et conseiller général ù Bourg-de- Péage (Drôme). 4 juillet 1965 FAREBERSVILLER ( Mosel le ) Festival de musique. M. Louis Vasel, secrétaire, 12, rue du Dragon, Fare- bersviller. 4 juillet 1965 G EN ILLE (Indre-et-Loire) Festival canton de Montresor. M. Gauthier Louis. 4 juillet 1665 SAINT-PATERN E ( Indre-et-Loire ) Festival canton de Neuvy-le-Roi. M. Cally Ernest. 4 juillet 1965 MONTBAZON (Indre-ct-Loire ) Festival canton de Montbazon. M. Moreau Paul, fils. 5 juillet 1965 CREUTZWALD (Moselle) Festival de chant. M. Daniel Pierre, 4, rue de Wissembourg, Creutzwald. 10 cr. 11 juillet 1965 VILLEFRAN CH E-S UR-S AON E (Rhône ) Festival du Groupement Beaujolais-Villefranche et Centenaire de la Musique à M. Laumain, secrétaire, 1. boulevard Vermorel, à Salles-en-Beaujolais (Rhône). Villcfranche-sur-Saône (Rhône). 10 - 12 juillet 1965 GROSBLIEDERSTROFF Festival de chant. M. Ambos Albert, directeur. 11 juillet 1965 (j i LiTELAILLON t Ch .-Maritime ). Festival organise par la batterie-fanfare. M. Garraud, président. 11 juillet 1965 ARC-SENANS (Doubs» Festival des 4 Vallées. 18 juillet 1965 GEMOZAC iCharente-Maritime > Festival de musique. M. Durand, bijoutier, h Gcmozac (Ch.-M.) 20 juillet 1965 CREUTZWALD ( Moselle ) Festival de musique. M. Bailly Paul, 49, rue La Houve. 25 juillet 1965 FLEURIE (Rhône) Festival du Groupement musical des 3 cantons et Centenaire de la Fanfare de M. le comte Michel de Chabanncs, à Odenas (Rhône). Fleurie (Rhône). 25 juillet 1965 SAINT-MARTIN-LE-BEAU ( I.-et-Loire) Festival du canton de Bière. M. Courtcmanchc Norbert. 8 août 1965 LA CHAPELLE-SUR-LOIRE (I.-et-L.) Festival du canton de Bourgueil. M. Omasson André. 22 août 1685 ?. IONTHODON « In cire-e i -Loire ) Festival du- canton de Château-Renault. M. Raimbault René. 29 août 2y«:n LIMERA Y < Indre-et-Loire ) Festival du canton d’Amboise. M. Bonnigal Georges. i

à Schubert et Debussy principale­ <5-ev-Q- ment, lui a valu un triomphal suc­ LE CONCERT DE LA MAISON DES ÉLÈVES cès très mérité. STAGES 1SS5 Un grand Ravel annoncé, n’a » DE L'ÉCOLE CENTRALE l)u être entendu. Souhaitons qu’un Nous rappelons que nos stages nationaux d’Aix-en-Provence soir, plus heureux, nous vaille et d’Houlgate auront lieu, pour Aix, du 16 au 31 juillet, et pour cette audition rare pour laquelle Houlgate, du 23 ail 31juillet. Bel exemple de décentralisation, de choix qui mérite tous nos éloges. * ce concert donné devant un par­ Douée d’abord d’une musicalité tant de nous s'étalent déplacés. Les candidatures doivent être transmises par lettre : terre d’étudiants silencieux, dési­ faite de sensibilité et d'instinct, Mais ce qu’il nous faut dire, c'est Pour le stage d’Aix-eh-Provence, à M. Rolando. président de fortifiée par une technique, puisée le grand merci que nous devons au la Fédération du Sud-Est. 5. rue Charles-Plasse. Saint-Fons (Rhône». reux d'entendre de la musique. ■ aux meilleures sources de chez Directeur de ce centre intellectuel Pour le stage d''Houlgate. à M. Anne, président de la Fédération Non seulement, Mlle Selma Hers- nous, dont le programme a été très qui a permis à une virtuose de de Normandie. 8. rue du Maréchal-Leclerc. Lisieux (). > covici, premier. prix de piano du judicieusement composé et récité d'une façon magistrale et très per­ premier ordre de réaliser une Los inscriptions ne seront valables qu*après versement, par Conservatoire de Paris, et lau­ sonnelle. prouesse dans des conditions rare­ virement postal, d’une somme de 80 F pour \ix-en-Piove-nce, a réate d’autres Concours Interna­ M. Rolando. C.C.P. 1214-36 à Lyon, et de 4ü F nom- Houlgate. à Cette admirable artiste, profes­ ment possibles pour des artistes la Fédération Musicale de Normandie, 8. nu* du Maréchal-Leclerc. tionaux qui retiennent moins notre seur au Conservatoire Municipal ne diposant pas des moyens d’accé­ attention, du fait de leur nombre Lisieux ' e. accru, a pu donner son fait a Chopin une très belle part \ récital grâce à l’ac ueil de la Mai­ notamment avec une Ballade et En résumé, souhaitons que beau­ » ant concouru à PARIS en : quelques autres pièces, mais elle coup de groupements agissent do Tl est rappelé que les élèves son des Elèves de l’Ecole Centrale Excellence, de même ceux ayant obtenu une récompense dans le mais encore elle a pu le faire sur a donné du Carnavel, de Schu­ môme, par solidarité. Grâce i’i eux. < un instrument de location couvert mann une interprétation fulgu­ de nombreux virtuoses pourront degré supérieur des Fédérations, doivent se faire inscrire à un stage. avec une ai- •• par une très modeste redevance. rante. sans accrocs, désormais se faire connaître dans Il est recommandé aux Présidents et Directeurs de Sociétés de Sur ce très beau piano, dont je santé incomparable et très sentie, les meilleures conditions, pour no­ veux ignorer la marque, mais qu'un très personnelle, très profonde, en faire connaître a ces jeunes tout Ti t de ces stages. piano français aurait pu normale­ somme un genre de ces exécutions tre joie et au bénéfice de la Musi­ > ment concurrencer, Mile Hersco- rares qui laissent un durable sou­ que qu’ils servent si bien. 1 viei a pu dérouler un programme venir. Le reste du programme, voué R.B. i * 1

s MAI 1965 10 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE

accompagné par M. Sylvain Da- gosto, apportait une note gaie avec LE RASSEMBLEMENT deux de ces grands succès: «Le fiacre» et «Madame Arthur». DES ANCIENS MUSICIENS DU 46e R. I. Nouveautés pour Le Docteur Gaiffe, interrompait, pour un court moment, la musique Ce «rassemblement» annuel des à base de camaraderie, l’on évoque pour procéder à la distribution de « Anciens et Jeunes » musiciens du d’autres souvenirs, d’autres évène­ diplômes et cadeaux à tous les 4G<- R.I. eut lieu à Paris le 1er ments lointains ! toujours bien; donneurs de sang. dimanche de mars dernier, anni­ ohers à nos cœurs... -et rappelé* PERCUSSION Pour terminer cette manifesta­ versaire des combats de Vau- avec joie !... Et c'est, enfin, la lé* tion artitisque, en tous points réus­ quois, en lesquels la Musique du paration, dans un fervent: au sie. l’ensemble à plectre jouait avec 40“ y conquit une belle citation voir, après d’heureux épanchement* brio la fameuse tarentelle « Les à l’ordre. Cette réunion tradi­ et de traditionnelles chansons. tionnelle devant le mur de Salut ! ô voix profondes ! et pit* Masques » de la Comtesse Olga J. DEL.ECL.USE Delys. Reuiily, sis en la dite Caserne res haleines ! vous qui venez & Tout le monde est à remercier et où sont apposés les plaques nous ! sortant de vos tombèaux ifl Méthode complète en un volume pour vibra­ et à féliciter pour cette agréable commémoratives de nos morts pour revivre en nos cœurs... dans! phone ...... F; 30,60 mâtinée musicale et artistique au champ d’honneur, est tou­ l’oubli de nos peines ! nous dispen­ qui a apporté une grande satisfac­ jours émouvante !... et tant le sou­ sant, à tous, vos forces souverai­ venir de nos camarades disparus nes !... ranimez nos flambeaux 1; 20 Etudes pour xylophone ...... F. 17,20 tion à toute l'assistance. reste profondément ancré en Capitaine F. BOYER nos cœurs émus !... Est-ce un effet ex-chef de Musique du 4©* R.L dû à la musique ?... Ce dic­ 20 Etudes d'après Kreutzer adoptées au tante de nos âmes ? qui rend xylophone ...... F. 19,90 La vie de nos orchestres nos cœurs plus sensibles à la vie... AMICALE comme à la mort ?... DES ANCIENS MUSICIENS à plectre MILITAIRES F. 12,00 Certainement !... et parce que 'e 12 Etudes pour caisse claire Dans mon article paru dans les jeu des arts est de rappro­ Siège social : colonnes de ce même journal je cher nos âmes en les faisant 42, rue de la Charbonnière faisais état de l’orientation des vibrer en les mêmes accents !... Paris-18* PASSERONE « O. A JP. » vers la musique mo­ renaître en les mêmes couleurs !... derne, la musique en vogue et à sourire à la lumière ou... pleu­ L’habitude est prise maintenant rer en les mêmes douleurs !... — A de consulter cette rubrique qui* Test, exercices d'épreuves de technique pour succès, sans pour cela, abandonner grâce à l’obligeance de la C.M.F.j le répertoire classique spécialement Reuiüly !... toujours le même cé­ représente pour nous, un trait d’u­ 4 timbales ...... F. 8,50 écrit pour eux. rémonial pour honorer* nos morts. Tout d'abord : le salut aux cou­ nion inestimable. Nombreux ont été les directeurs leurs devant le grand mât, rénové, Que chacun se rassure, le bulle­ Traits difficiles tirés d'œuvres symphoniques d’O.A.P. qui ont donné leur avis tin de l’Amicale est sous presse, il favorable pour inclure dans leur de la cour, et : le refrain du arrive, il est là. et dramatiques en un recueil ...... F. 6,60 46*' R.I.. exécutés, ce dimanche der­ programme des œuvres de variétés. nier, par* les tambours et clai­ Le secrétaire général demande ài Il m’est assez difficile de citer rons du 93f R.I., refrain tou­ tous nos amis de lui conserver leux Catalogue complet de musique pour ici tout le monde, la liste serait jours suivi du traditionnel ap­ confiance... et leur indulgcncé pour trop longue, mais je nommerai, pel » : «La Tour d’Auvergne»!... une tâche qui s’ajoute aux autres. instruments à percussion, franco sur demande tout de même, quelques O.A.P. pris Il les remercie pour leur précieux au hasard : l’Orchestre à Plectre «Mort au champ d’honneur*»!... concours qui se traduit- chaque de Marseille, -le Club des Mando- Après, c’est le dépôt d’une gerbe mois par de nouvelles adhésions à A. LEDUC, Editeur, 175, rue Saint-Honoré - PARIS linistes de Remiremont (Vosges), devant les plaques commémorati­ notre grande famille. l’Estudiantina Sottevillaise (Seine- ves, suivi de la sonnerie aux morts. Merci. A bientôt. Maritime), l’Estudiantina Biter- Les discours furent ensuite, pro­ roise (Hérault), les Mandolinistes noncés : h par notre cher prési­ Le S. G. de l’Avenir de Neuilly-sur-Marne, dent Caveut-Desgrange, par les Concert à l'hôpital Necker à Paris etc... personnalités qualifiées et en Je voudrais m’excuser auprès de présence des hautes autorités tous les autres que je n’ai pu citer militaires de la première région ; Le samedi 20 février, à 16 heures Adofe, Marthe Dagosto, Jacqueline et adresser à tous mes remercie­ de nos fanions ; dont celui de RÉAL dans l’Amphitéàtre de l’Hôpital Dansi, Rosette Saffar et MM. Jo­ ments pour leur contribution à Aisne et Vauquois de l’ami­ Necker à Paris, était donné un seph d’Abunto, Alain et Sylvain révolution de nos « O.A.P. » vers cale des Anciens du 46'- ; de MARCA - OLLIOULE5 ( Var) concert au profit des donneurs de Dagosto, Maurice Demory, Roger la musique de variétés. nos camarades représentant la sang immunisés. Masia et Jean-P. Yern, pour Musique du 7Ga R.I.. qui hono­ ANCHES Dès l’ouverture, de très impor­ l’ensemble à plectre. Puis, venait Déjà un effort a été fait du côté des éditeurs de musique et c’est rent également leurs morts au CLARINETTE - SAXOPHONE tants et intéressants discours ensuite une admirable interpréta­ ainsi que les éditions « L’Orchestre champs d'honneur, leur plaque étaient prononcés successivement tion de la « Sérénade de Don étant apposée sur le même mur. SOUS LE CONTROLE DE par Mme le Docteur Françoise Juan » de Mozart (transe, de jan­ à Plectre» (B.G. Adofe) ont édités deux premières œuvres de varié­ Toutes les Musiques Militaires M. R. FERRAND O Herzog, le professeur Souille, direc­ vier piétropertosa) par M. Jean- tés : Dia, Valse boston argentine de la région de Paris. Musique teur du C.N.T.S., M. Cours, direc­ Christophe Benoit, le merveilleux de la Garde en tête et Musi­ Clarinette solo teur de l'Hôpital Necker, le doc­ baryton de l’Opéra de Paris, ac- de Carlo Chica et Marco Lolez et Giemmyk, Boléro de Sam Walson que des Gardiens de la Paix de à l’Opéra de Marseille teur Charbonneau du Ministère de compagné par l’ensemble à plectre. et Marco Lolez. sur des arrange­ Paris, y étaient représentés. Cette la Santé Publique et le professeur On entendait aussi « Sérénata » ments pour «O.A.P.» que j’ai ef­ émouvante cérémonie était prési­ Debre. extrait de la «Petite Musique de fectué. dée par notre camarade : le Ca­ MUSIQUES De chaleureux remerciements Nuit» de Mozart (an*, de Mario Je pense que ces œuvres plai­ pitaine J. Gallet, le grand chef DES EQUIPAGES DE étaient adressés à tous les don­ Maciocchi) et Miléna, Czardas de de la Musique Principale de l'Ar­ LA FLOTTE i Mario Maciocchi. ront aux «O.A.P.» et leur apporte­ neurs de sang qui ont permis par ront une part de succès dans leurs mée de l'Air et Ancien Musicien Jeunes musiciens qui aimez les leur action bénévole de sauver de Jean-Christophe Benoit et sa concerts. cîu 46* R.I. Après cet hommage voyages, hàtez-vous de profiter de nombreux petits enfants malades sœur Denise Benoit, de l’O.R.T.F., Si ce premier pas vers la musi­ rendu à nos morts, l’on se ré­ la réorganisation des musiques de et d’aider la médecine dans ses interprétaient à leur tour, en- duo, que de variétés donne des satisfac­ fugie au Mess des Officiers de la marine. recherches. sur des harmonisations de leur tions aux directeurs d’O.A.P. et la caserne pour y recevoir les dites — Nombreuses places disponi­ Le dpeteur Gaiffe, transfuseur mère Mme Benoit-Granier, «L’Oc­ améliore la vie de leurs orchestres, autorités, ainsi que nos amis, et animateur de cette manifesta­ casion manquée » et le fameux nos invités nombreux et leurs bles (instruments à cordes et à d’autres œuvres suivront et les ef­ vent). tion. était parmi les personnalités « Mountabo la marmito ». M. Syl­ forts communs des O.A.P. et édi­ compagnes. du C.N.T.S.. les docteurs Cagnard vain Dagosto, qui avait fait les teurs de musique contribueront, Cette amicale réunion « in po- — Engagements par devance* et Hamouche s’étaient fait excuser. arrangements pour guitare, les ac­ j’en suis certain, au renouveau de culis» terminé, l’on se dirige vers ment d’appel, engagements ou Le concert débutait par le compagnait avec assurance. la musique à plectre et aux succès une table de choix pour y dégus­ rengagements de deux ou trois an* « Concerto en Sol Majeur » pour Le programme se poursuivait par des orchestres. ter un menu délicat, en compagnie (primes). flûte et O.A.P. de Johann Adolf l’inter.prétation d’Offenbach-Mélo- de nos chères compagnes, qui ont Ecrire avec références au cheî Hasse (1699-1783) avec la partici­ dien (an*, de Liénard) par tout Sylvain DAGOSTO bien voulu accompagner leurs de la Musique des Equipages de pation de M. Pierre-Alain Biget, l’ensemble. ex-directeur du « Mandolin’Club » époux, nos camarades. Là. dans une la Flotte, à Toulon (Var). Ou à flûtiste et de Mmes Bérangère Mme Denise Benoit, toujours d’Alger. ambiance chaleureuse et cordiale, Brest (Nord Finistère).

Dans nos Fédérations Régionales

recevoir les compliments des personna­ belle basse à 4 pistons et M. Fequant tion des Sociétés musicales de l’Aisne lités invitées h leurs agapes et dont les pour sa contribution personnelle à l’égard qui, après avoir assisté au concert a discours furent élogieux. M. Pichard, de la société. dû regagner Laon. « Comme vous pou­ maire, souligne la tenue parfaite des mu­ Le chef de musique, M. Jean-Louis Pe­ vez le constater, a t-il dit, nombreux sont AISNE tit, a complimenté les .musiciens pour encore, ceux qui s’intéressent à la musi­ ARDENNES siciens de l’Union musicale et l’attrait du programme qu’ils avaient exécuté, déplo­ leur exccuLion de l'après-midi. Il s’est que, tant délaissée en haut- lieu, si on CHATEAU-THIERRY rant toutefois que l’acoustique soit si déclaré satisfait du résultat mais enga­ la compare aux sports, sans vouloir pour Une société musicale qui doit êtro la mauvais clans la salle des Conférences gea les musiciens h compléter le travail cela faire de discrimination, chacune de première du genre est née à Carignan Harmonie Municipale et que les places d'honneur soient si fait aux répétitions par la pratique jndi- ces activités ayant sa raison d’être. Force (Ardennes): «l'Entente Musicale Frar.co-i près de l’orchestre. viducile. Il cite en exemple le pupitre nous est cependant de constater que nous Belge » qui groupe les trois hnnnoniea Le 13 décembre. 1964, l’Union musicale des petits cuivres qui se réunit à la salle sommes plus que jamais traités en pa­ françaises : « I.es Enfants cl’Yvôts ti<3 .1 Harmonie municipale de Chûteau-Tierry M. le sous-préfet, que la plupart des pour fignoler leur exécution. rents pauvres. Il nous appartient donc de Carignan (president : M. Gaston Foi rot)* fête avec la sainte Cécile !c 9tL anniver­ musiciens ne connaissaient pas encore, Pour tennir.er. M. Fequant, président maintenir le prestige, de recruter et édu­ « La Fraternelle » do Margut (président 5 saire de la fondation. A 15 h., salle des tint des propos qui le rendirent d’em­ actif, a remercié toutes les personnalités quer les jeunes, d’en faire des musiciens M. Robert Bielle) e* « Ln Mouzonnaisè » Confrences, 85 membres de l‘harmonie, et blée très sympathique. U conur.cr.ce par et la population pour le concours moral pour exécuter des concerts de qualité. » de Mouzon (urt-.-icien: : M. Geovgc-s Co-l de sa batterie-fanfare- accueillent M. le . déclarer qu’il y a de profondes affinités et souvent matériel qu’elles apportent M. Fequant termina en lançant un ap­ chardv et l’harmonie belge « Les Amis sous-préfet et M. le maire de Château- entre les cous-préfets et les musiciens l’Union musicale. Il a regretté l’ab­ pel : l’union de tous les efforts pour Réunis « de Muno, province de Luxera-: Thierry* par une vibrante «Marseillaise». des harmonies municipales parce que d'a­ sence de quelques invités dont M. Thi- continuer dans notre ville à faire de bourg (président • si. le Dr Jean Dessoy)j Parmi le nombreux public on remarque bord ils ont le même costume, qu’ils rauit, directeur artistique de la Fédéra­ la bonne musique. Ces quatre" prés dents sont devenus les Sî. Lomret, conseiller général ; M. Thi- défilent- ensemble et se retrouvent une vice-piésidents entourant le président Jac-i rutilt, directeur artistique de la Fédé­ fois Tari pour célébrer sainte Cécile. Puis quos Harbirîot, secrétaire ci sous-direoj ration des Sociétés musicales c- - l’Aisne. 1! félicite ses -auditeurs d’avoir choisi teur de û'harmonie de Cnrignon. Le concert débute par « Marching Tho l'effort, û un-3 époque oü la facilité il ce Ceorgia » qui met en valeur le travail résultat regrettable que tout, le monde Par autorisation du Ministre de l’In­ récent exécuté par M. Villain c. ia tête pouvant écouter de la bonne musique térieur français (cetle association étant do la batterie-fanfare. Puis sous la direc­ grâce à la radio et aux disques, per­ ALPES-MARITIMES considérée comme é: rang . vu la na* tion de son jeuv.o et talentueux directeur, sonne n’en fait plus. « Pourtant, a-t-il tionaüté de certains de ses membres et Jean-Louis Petit, l’Harmonie munici­ dit, l'activité artistique est essentielle NICE qui prennent une part très active à la \ rigear.fcs do oonsotl u*r.cmir,.i.v:tration pale exécute !’« Ouverture du Barbier do h l’homme et l'homme le plus savant Assemblée générale marche du groupement, lequel plus que compte six Belges pour ciixneu: FranS Séville », une fantaisie sur « Samson cr soit-il. s’il V'i étranger ù l’art manque jamais se trouve en plein essor. Puis il çais) — en date du 15 janvier 1965; Da'ica », de Snint-Saëns ; le « Ea'.lc-t do .de quelque chose. Je vous félicite, fai­ de l'Accordéon-Club a relaté les succès obtenus, dans les di- « F Entente MudC;.le Franco-Belge a été Sylvia». de Léo Delibes. Pendant Ten­ sant de la musique d’en faire profiter Nice - Côte-d’Azur manifestations organisées pour le | déclarée en préfecture des Ardennes le trophée de l’accordéon. j 10 février f9$?. . ou>: le numéro 2.047. ir'acte. le directeur distribue les diplû- les r.ntri Je souhaite que celle har- L’Accordéon-O’.v.b Nice • Côte d’Azur a mes et récompenses aux élèves de l’école monte dont vous fournissez de gi bons L’ordre du jour appelait le renouvelle- , tenu son assemblée générale statutaire ment du Conseil d'administration. lequel i de musique. ex< mples, vous .soit toujours donnée et les 7 et 14 février dernier, a son siège Avant été pub : r.u J o. le tj février que vous viviez toujours ea elle. » a été élu e* composé comme suit uour >65. elle a ci­ um existence U5- La deuxième partie du programme com­ social. 215. boulevard de la Madeleine, l’exercice 19G-1-19Ü5. prend la « Pavanne pour une Infante dé­ à Nice- gale après.... une wilo d‘exp€- funte », de R v: l ; « Porgy ar.d En-s», de Avant cas personnalités, M. Godbillon Président. M. Roger Apnlar.nl ; vice pré­ vicnce. figure depuis 1 : fin do c-3 R., secrétaire, avait fait un bref résumé Le président. Roger Appianat. a ouvert mois de mars 1965. sur les ic***Isîred lia Ôcrshwing, et pour terminer aivec le con- la séance, et a remercié les membres sidents, MM. Paul Victor. Paul Daibera. j cours de ia batterie-fanfare « La Marche de l'activité de la société au cours de Gaston Segsrd ; secrétaire général, M. la FM. Ardonnnlse et de la CL MF. nnée 1964 : 43 répétitions. 7 défilés, venus nombreux à cotte assemblée. des Tirailleurs » le « Fret:Tant ». Ce Aris Christ ides : secrétaire gêné: t:«- E’'e concert vigoureux-nienl. applaudi par î.-i retraites aux flambeaux. 7 concerts et Après avoir déclaré ouverte celle-ci, il joint, Mme Raymonde Perdigon ; tréso­ ente environ i."0 musiciens réception il la Pentecôte de l’Union mu­ n passé la parole au .secrétaire général de • ayant choisi fie S’épauler auditeurs a permis de faire apprécier rier général. Mme R?nette Daibera ; tré­ I pour no- rtîcs o.r commun (aux fèle3 la parfaire entente des musieie:.-, avec sicale de Mosbach. Sur les 72 inscrits pour la lecture du P. V. de la dernière sorier général adjoint, Mme Lai :ri : con- à l'harmonie le maximum des p rése.-its assemblée générale, lequel u été adopté les et. en qui Oi r lai leur directeur et les qualités personnelles trôleurs aux comptes, MM. Pic chi. Per-[ )* vitation». Elle tii-i des solistes : MM. Commun, à La clari­ a été de 66 au concert de printemps. à l'unanimité. digon ; connu. Mon technique, M:iv titi< :n gêné-: 1 | îaie par mois d i er afin de pré- nette; Prêt.’ au haptbois ;; Ilouréior. à la I; rappe .e le remplacement, pour cause Les rapporteurs aux comptes, après la M. Claude Noël. M Otclo Ch in rat lu. flûte ; Marcel' h la trompette ; Pou- de départ â la tête de la batterie-fan- vérification des pièces comptables ont son pro . v-‘gi ■ an ). Mercier M. I*equant, directeur de l’Usine Coties- Secrétaire général et trésorier ont reçu tion de cet nrî « !■ ia jeunesse amis sc retrouvaient autour des tab:<- nôr.,' qui a su concilier avec bonheur les félicitations après la lecture des .ut ), Paradzi: : (Mouzon) et Der-1 •En outre ont te ni ( I n (Muno). dressée.', à l’Hôtel Moderne pour un ban­ ses besoins en personnel avec ceux de la comptes rendus fi’ariivité et financier, bonnes relations Club quet de plus de 100 couverts présidé par société de musique. I! a ensuite remercié Le président dans son exposé moral, u Nice • Côte d'.A. iir. Fevl de Nos vœux

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ujiiiiiiiiiimmiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiir Roi René », Darius Milhaud (flûte, Jac- Ce fut une excellent soirée, un peu ques-P. Pottier ; hautbois, Robert Bidet : différente 'des séances habituelles de lit­ 5 tout ce qui concerne = clarinette, Jean-Olaude Antoine ; cor, Jac­ térature : des auditeurs en garderont un E CENTRE ques Pottier ; basson, Marcel Mercier) ; bon souvenir. 3) « Concerto » pour trombone (Claude (La Montagne 27-2-65). : = Burlat) Henri Tomasi. Piano d'accompa­ Examens d'élèves gnement : Madeleine Chacun. E L'HABILLEMENT VICHY Les examens d'élèves de la division Deuxième partie. — 1) « Suite Elisa- | supérieure auront lieu à Vichy, salle do bethaine », Jacques Ibert (I - Prélude ; Programme du 5* concert de la saison Adressez - vous à un SPECIALISTE l'Harmonie municipale (derrière T Hôtel- II - Dancerie ; III - Cortège ; IV - d’hiver 1964-1965 donné par l'Harmonlo de-Ville) le dimanche 30 mai 1965, h Scherzo) ; 2) « Petite suite », Claude De­ municipale (direction ; André Relîn), lo partir de 9 h. bussy (I - En bateau : II - Cortège ; dimanche 21 mars, à 17 h., au Théâtre UNIFORMES R E © M A R O A. R. III - Menuet); IV - Ballet); 3) «Pa­ du Centre culturel Valéry-Larbaud. E vane pour une infante défunte », Maurice Première partie: 1) « Juniorina (fan­ Ravel" (cor-solo, Jacques Pottier); 4) ALLIER taisie • ouverture) Commande de l'Etat, 30, rue de Lisbonne - PARIS-VIII* = « Suite Provençale », Darius Milhaudf en Jules Somlcr-Co’lery ; 2 ) « Toccata et ÏV- huit mouvements : I - Animé ; II - Très ! S. A. DENIAU-PIQUET Laborde 34-00. E BELLERIVE-SUR-ALLIER gue en Ré mineur», J.-S. Bach (trans­ modéré : III - Modéré ; IV - Vif ; V - cription: P. GoguiUot). Premier concert de printemps Modéré ; VI - Vif ; VII - Lent ; VIII - LA TENUE DE DRAP A PARTIR DE 185 F S Vif! Deuxième partie (sur le thème « Car­ de la Société musicale naval » : 3) «Le Carnaval Romain (ou­ (3 avril 1965) verture) cor anglais : Marcel Papon, H. ^miiiimimimiimmmitiiiimfimiimmmmimimimmmmmiimmimnT VICHY Berlioz (transcription: P. Dupont); 4) La Sociétés musicale a donné son pre­ « Carnaval », ballet extrait de « Miran- mier concert de printemps à la salle des Histoire e( littérature de la Mandoline par M. Snint-Glivier et Mme Andric-ux- doline ». comédie musicale en trois ac­ MARSEILLE fêtes de l’école J.-B.-Burlot. Legrand (directrice de l'Estudiantin» de tes, J. Mazollier (transcription, Th. Rot- Dans l'assistance assez nombreuse, on Vichy) le jeudi 25 février 1965, au Centre tien : 1) Marche burlesque; 2) Séré­ Au Théâtre Verdi remarquait la présence de M. Pierre Cor- culturel Valéry-Larbaud, sous les auspices nade, cornet-solo : Lucien Guyard ; 3) BOUCHES- Forlane ; 5) «Carnaval», numéro 4 de la niou, maire, ot Mme ; Mlle Marie Mar­ de l’Alliance française. Concert suite d’orchestre, E. Guiraud (transcrip­ quât, adjointe" MM. Rousseau, Nardet, La mort du colonel Delarcc, vice-prési­ Vexenat ; Mmes Basse et Pothier, conseil­ tion de L. Chic). de l’Harmonie des Cheminots dent de l’Alliance française, a été cruel­ lers municipaux ; MM. André Relin, di­ lement ressentie au sein de cette compa­ et do l'Orchestre Symphonique S.N.C.F. recteur de l’Harmonie municipale de Vi­ gnie et, jeudi après-midi, au centre cul­ DU-RHONE chy, et Mme ; le docteur Vincent et Bon- turel Valéry-Larbaud, M. Boutin, en l’ab­ Mercredi 31 mars écoulé, nous étions vin, vice présidents de la Société musi­ sence du président Benoit, souffrant, n'a Nécrologie conviés à un concert donné par deux cale de Vichy ; l'adjudant de gendarme­ pas manqué, au début du concert, de forma rions cheminotes : l'Harmonie des rie Vacher, chef de brigade ; Sivade, pré- rendre un délicat hommage nu disparu. Cheminots de Marseille et l’Orchestre sidont de la Délégation cantonale, et Lo Fédération des Sociétés musicales symphonique S.N.C.F. de Marseille. Mme ; Robert Pothier, président de la Il rappela avec émotion scs diverses des Bouches-du-Rhône et Fédération ré­ Ce concert commun, placé sous le haut BeT.erivoise-Gymnastique. et Mme ; Mme activités, tant dans le domaine littéraire gionale des Sociétés musicales Prover.ce- patronage de M. Martholot. directeur S.N. Vexenat, secrétaire de l’Amicale laïque ; que dans le service de santé. La-minute Côie-d'Azur - Corse font part à tous leurs C.F.. région de la Méditerranée, nous a MM. Malcyrat. Raoul Mandet et Roger de silence rituelle fut observée avec fer­ membre» du décès de Mme Ventron, permis d'entendre des œuvres de styles Moncourant, vice-présidents de la Société veur par une assistance recueillie qui sê époofe de leur très dévoué trésorier. très divers ainsi que l’indiquait le pro­ musicale, etc. souvenait des brillantes causeries, aussi En cette pénible circonstance, elles pré- gramme. spiritueles qu’érudites, de ce bon servi­ En première partie : par l’Harmonie M. Gabriol Péronnot, député, et Mme teur des lettres. sentent à leur omi Ventron, leur témoi- Auberger, conseiller général, s’étaient cx- 'gnr.ge de condoléances émues, .pour le des Cheminots (direction René Pal un) w M. Boutin présenta, ensuite le.s confé­ deuil cruel qui le trappe. Ouverture de la Cazza Laclra1», de Ros- casés. renciers - musiciens : Mme Andrieux - Le­ sini ; « Le Ballet d’Isoiine », de Messa­ SOIXANTE-DEUX ANS D’EXISTENCE grand, bien connue des Vichyssois pour ger ; « Le 2e Concerto pour clarinette », son dévouement à la cause musicale, et M. Hippolyte BLANC a reçu l'Ordre Avant que Tussent frappés les trois de Weber. coups, M. André Métot, président de la M. Saint-Clivier, artiste complet, venu à NIÈVRE des Arts et des Lettres au cours de Ces divers morceaux ont été interprétés Société musicale, vint remercier les per­ la mandoline par le violon. In réunion de la Fédération des avec maîtrise et sensibilité par des musi­ sonnalités et toule l'assistance. La mandoline est-elle un instrument NEVERS ciens attentifs h la baguette du chef et d’orchestre ? M. Saint-Clivier indiqua que Sociétés musicales des B.-du-Rh. Il exprima sa gratitude- à M. le maire, le Concerto a permis, notamment, aux ainsi qu’aux membres de son Conseil Mozart écrivit pour cet instrument. Il Programme du concert donné par la La Fédération. des Sociétés musicales solistes (clarinettes : MM. Patetta, Olive, municipal, pour toutes les améliorations le prouva en interprétant, accompagné Philharmonie municipale (direction, Geor­ des Bouches-du-Rhône, s’est réunie dans Badie, Franco), de faire apprécier leur d’installations mises à la disposition de au piano par Mme Andricux-Legrand, la ges Bardin) le mercredi 31 mars 19C5, à la salle des conférences de la Chambre talent éprouvé et de remporter un très l’Ecole de musique qui compte, cette première partie d’un allegro qui réclama, 21 h., au Théâtre municipal, avec le de Commerce de Marseille, sous la pré­ vif succès. année, trente-quatre élèves, garçons et de la part de l'artiste, une agilité sur­ concours de Claude Charles, clarinettiste, sidence de M. Hippolyte Blanc. Le public a réservé le meilleur accueil prenante. et de Michel Nounux, saxophoniste. à l’harmonie, en applaudissant chaleu­ filles. ■ - Le président e remercié les personna­ « Notre Société musicale, dit-il, a soi- Née en Italie, la mandoline a une dou­ Première partie. — « Arabesques », Jean- reusement René Palun, les musicien et xante-deux ans. II faut lui insuffler un lités présentes, ainsi que ses collabora­ les talentueux solistes. ble origine Elle peut-être milanaise ou jean ; « Récit et Polonaise », Weber, cla­ teurs du Conseil d’administration, pour sang nouveau afin de la renforcer pour napolitaine. Si l’on ignore sa date de rinette : Claude Charles, premier du Con­ En deuxième partie : par l’Orchestre en faire ur.e belle et forte phalange. leur dévouement. Symphonique S.N.C.F. de Marseille, di­ naissance, il est certain par contre servatoire national supérieur de Paris, Après la minute de silence observée â C’est pourquoi j’invite tous ceux qui ai­ qu'avant elle il existait un luth à 24 membre du Trio de Paris, soliste à la rection : Achille Santi : « Les Variations ment l’art musical h envoyer leurs en­ la "mémoire de tous les musiciens et Symphoniques », de Bollmann. pour vio- cordes et un théorbe qui en comportait Musique de la Garde Républicaine ; fants à cette école de musique où sont 15. Cotte famille d'instruments à plec­ « Canzonetta », Pierre ; « Berger, Bergè­ amis décédés dans l’année écoulée. M. lonelle et orchestre (soliste : Max De- dispensées diverses disciplines, notam­ Hippolyte Blanc a fait lin exposé pré­ han) ; «La 3i Symphonie» (l'Héroïque), tre était Incomplète : c'est la mando­ re », Rornby ; « Orphée », Gluck ; « Rap- ment solfège (cours élémentaire, moyen line qui, avec ses trémolos, vint complé­ sodie ». Piemé ; « Variations sur le Car­ cis du Congrès de la C.M.F. qui s’est de Beethoven. et supérieur) et instruments (saxo, bu- tenu à Paris en octobre, K «,Les Variations Symphoniques » ont ter le quatuor. naval do Venise », Viard, saxophone : Mi­ gle, trompette, clarinette, etc.). Les cours chel Nouaux, premier ^rix du Conserva­ De nombreuses questions ont été dis- permis à Max Dehan de donner une sont entièrement gratuits. » Pour interpréter la sérénade du « Don nouvelle fois la mesure de son talent ot Juan », de Mozart, les conférenciers fi­ toire national supérieur de Paris, pre-, [;• culées cl il a été surtout émis le voeu M. André Métot n’eut garde d’oublier m'.er prix du concours international de I que- nos conservatoires puissent créer des de recueillir les applaudissements ample­ de remercier le Conseil général de l’Ai­ rent appel à un Jeune corniste vichys- ment mérités du public. sois, M. J.-Cl. Pemot, qu’on applaudit Genève, soliste à la Musique de la Garde '• classes de guitare et d’accordéon. lier et tous les membres honoraires de Républicaine ; au piano. M. Lefîoc, pre­ ■_ Ï1 a éré fait appel, à nouveau, aux Quant à la « 3r Symphonie ». les divers la société, les représentants de la presse, comme il le méritait. i mier prix du Conservatoire national su­ mouvements bénéficièrent d'une execution les dirigeants ot exécutants de la Société La mandoline est-elle donc destinée au possibilités que devraient accorder les très soignée et un souoi de nuances tout périeur de Paris, membre de l'Associa­ maires des commîmes, pour mettre à musicale do Vichy, pour le concours qu'ils seul accompagnement? M. Saint-Olivier tion des Concerts Lamoureux. la disposition des élèves des locaux per­ à l’avantage de musiciens amateurs. avortent, et tou» ceux qui, par leur cita les compositeurs qui ont écrit pour L’auditoire a encouragé par scs ap­ collaboration, avaient permis de préparer Deuxième partie. — « Porgy and Bess », mettant l’étude du solfège et des instru­ plaudissements et ses rappels Achille cet instrument : I-laendei, Palmieri, Mo- ments. et de présenter ce spectacle. zart, sans oublier Vivaldi. Gershwin ; « Carmina Burona » (suite Santi et ses musiciens. n complimenta les membres exécutants d’orchestre) Cari Orff : I O Fort-una ; Le président a signalé le succès ob- Le programme était commenté avec En France, la mandoline s'imposa dès par deux élèves : Mlle Nalino-Baille, de la Société-musicale, les jeunes de l’E­ le XVIIF siècle. Les amateurs avaient II - Fortune Plango Vulnera ; III - Tanz tenu talent et gentillesse par Mile Eliane Rou- cole de musique pour les résultats qu'ils (fiûte solo, M. Ohicr) ; IV - Chramer. de 1’Harmonie des Tramways de Mar- baud. le choix entre la milanaise à 6 cordes seilîet i-r prix de solfège et 1er pnx ont obtenus et félicita leur directeur, M. doubles et, la napolitaine à 4 cordes. Gie Die Varwe Mir ; VI • Veni, Veni, Parmi l'auditoire choisi, nous avons Paul Rotin, qui a la plus large part du Venins ; V - Reie ; VII - In Trutlna de piano» et M. Atienzar, de la Lyre noté la présence de : MM. Marthelot, ‘C’est cette dernière qui triompha. Pour Gardarmoise (2e prix de solfège et 21 prix mérite. prouver les qualités de solistes de l'ins­ (cornet solo, M. Philip) ; VIII - Tcmpus directeur de la S. N. C .F., et Mme ; Présenté par M. Léon Corre, a la verve Est Jocundum (tuba, M. Gateau-Ravoile) ; de trombone), aux examens de la Confé- Vieuille. chef des Services sociaux S.N. trument. M. Saint-Clivier présenta une intarissable pour raconter de truculentes sonatine de Beethoven, très musicale, IX - Dulcrissiine (clarinette solo, M. Cail­ dëration musicale de France qui ont eu C.F.. et Mme ; Vidal et Grimaldi, ingé­ un*.- lot) X. Ave Fomiosissima ; «Fantaisie lieu a Paris. nieurs honoraires ; Jaunay, inspecteur histoires, le spectacle débuta par niais moins bien goûtée du public que partie musicale, au cours de laquelle la la suivante du même auteur qui, plus Tyrolienne ». Bruniau, soliste. Michel Le président a également mentionné principal à la Direction Méditerranée ; Société musicale, sous la baguette de Nouaux; « Erwin (fantaisie pour clari­ le nombre croissant des enfants dans Magnan, inspecteur principal, chef de la vive, semble.mieux correspondre aux pos­ son chef, M. Paul Rolin, exécuta avec sibilités de l’instrument. nette) Meister, soliste, Claude Charles ; les examens, puisqu’on 1964 plus de 450 gare de Marseille Saint-Charles ; Mine Ha- brio une marche, « Le cœur en bandouil- «Carnaval Romain» (ouverture) cor an­ élèves, ont été écoutés par les membres mon, assistante sociale principale ; M. lière », de R. Mawvell, suivie de l'« Ou­ Après un court entr'acte, M. Saint- glais solo, Roland Neuranter, Berlioz. du jury. BaiimeCle, vice-président du Comité ré­ verture provençale », d’A Toumel ; « Sur Chvier évoqua la mandoline au 19° siècle. Présentation de M. Bertin-Denis. gional U.A.I.C.F. ; M° Cassan. avocat, rc- C’est â cette époque qu’elle rencontre Fini cet exposé, M. Rouvière, vice- un marché persan », de Ketelbey ; « Le présentant la Fédération des Sociétés mu-. Petit Duc », de Ch. Lecocq ; « Moderne la guitare et de cette union naissent président de la Fédération, prit la pa­ sicales des Bouches-du-Rhône ; Mme Gi- les quatuors à plectres, les sociétés de PUY-DE-DOME role, et dans les termes les plus élo- Tempo », de J. Darbing ; « Marches et raud-Santi et Mlle Colle, professeur de refrains de l’Empire », de R. Fayeulle, mandoline et les estudiantinas. gieux, fit 2'historique de la Fédération. piano ; MM. le commandant Martin, di­ M. Saint-Clivier souhaita qu’un grand BILLOM Puis M Cassan. syndic, remit à M. et un twist-défilé bien connu de la « nou­ recteur de la Musique nationale des velle vague » : « L’école est finie », de compositeur veuille bien, un jour, écrire Hippolyte Blanc, l’ordre des Arts et Let­ Douanes ; Rouvière, président de l’Har­ Dour cet instrument afin de lui donner Compte-rendu de la Sainte-Cécile tres. au grade de chevalier. L. Delbecq. monie dés Tramways de Marseille ; Ri- La seconde partie du programme fut le lustre auquel elle a droit. Il inter­ à la Société Philharmonique Avant de lever la séance, le Conseil gaud, directeur de la Philharmonique de consacrée ù des productions variées qui préta en terminant, un passage de l’œu­ d’administration s’est réuni pour élire Sainte-Marthe ; Nicey. Latour, Battista. vre d'un compositeur italien moderne, C’est avec un peu de retord s.ir le ca­ permirent au public d'applaudir succes­ lendrier. que la Société philharmonique son' bureau, qui es*t constitué ainsi : Saetonne. Bérard. etc, présidents des di- sivement le comique troupier Marcel M. Arienzo ; triompha avec aisance, unis­ verses sociétés cheminotes de Marseille, sant ii la fois le rythme entraînant et de Billom fêtait la Sainte Cécile le di­ MM. Hippolyte Blanc, président ; Eu­ Léry dans son répertoire 1900 et son manche 17 janvier 1965. gène Lombard, Louis Rouvière et Gas­ ainsi que divers fonctionnaires supérieurs compère Roger Boncourant, le chanteur- le respect absolu des nuances. pard Resecco, vice-présidents ; Pierre Ma­ de la S.N.C.F. fantaisiste Jammes, la section féminine ria. secrétaire général : Gustave Balmelle, En résumé, concert très réussi pour des gymnastes de la Beîlerivoise et la secrétaire-adjoint ; Léon Ventron, tréso­ lequel les musiciens, leurs chefs respec­ section masculine présentées, l'une par rier général ; Armand Degan, trésorier- tifs et les administrateurs sont tous â Mlle Janine Billy, l’autre par M. Georges, adjoint et M' Cassan. syndic. féliciter. moniteurs de cette société ; ie chanteur- TROMPETTES imitateur guitariste Miichel Martin et les deux formations « Les Nomades » TROMBONES . f * (dans leur répertoire) et « Les Botty- Boys », un excellent orchestre de jeunes SAXOPHONES dans leur ambiance moderne. CORNETS Au cours de cette seconde partie, M, ÉDITIONS PHILIPPO ET COMBR le maire avait remis des diplômes et CORNETS-TROMPETTES récompenses aux élèves de l'Ecole de B U G L E S EN VENTE AU musique. Bonne soirée donc pour le public qui CORS D’HARMOHIE ne ménagea pas ses applaudissements, mais qui trouva le prognunme un peu BASSES VT trop copieux. ALTOS v CONSORTIUM MUSICAL LE PALMARES DE L’ECOLE DE MUSIQUE CORS ALTOS M 24, boulevard Poissonnière, PARIS-9* Tel. 324-89-24 Division préparatoire Inytruments. Jean Michalon (trom- petto ». Jean-Marcel Diot (bugle), Chris­ VIENT DE PARAITRE tian Roumaud (trompette) ou première mention. . *«•’ > 4 MERIOT : Le Saxophoniste. Méthode ...... 15,00 F Solfège. — Jcan-Marcol D:ot, Jean Mi­ £f chalon, Christian Roumaud, Rémy Cor- V/ORSCHECH : 9 pièces, 2' cahier guitare ...... 3,50 P nMl, Jean-Pierre Coriou, tous première mention. V/ORSCHECH : Les grands maîtres classiques (de Ra- Division aspirants miiiMRS meau à Tchaïkowsky). 10 transcriptions 3,50 F Instruments. — Michel Chambon (saxo­ guitare phone alto), première mention. Solfège. — Roger Gougat, Yolande V/ORSCHECH : 12 grands classiques. Transcriptions W ARTISTES 3,50 F Scnsi. Annie Audol>ert, Daniel Roumaud, pour flûte h bec et guitare ...... Max Po‘.r:cr. Michel Gougat, Didier Au- -• debert, Michel Chambon. André Diot, Mi- WWW' ONT i DONNÉ LEUR PRÉFÉRENCE C. NABERT : G L O C K ou l'Histoire d'un Clown ; 6,00 F hc-1 Roumaud, tous première mention. ^ AUX INSTRUMENTS I Recueil Piano ...... Pierre-Jean Poirier et, Farida Djaïda. 6,00 F deux ième ment ion. P. NERINI : 1 heure de technique journalière Violon . . (la Montagne 5 4 65). Loulou FARFAX et JONATO : Quand le cirque (marche), pour harmonie et fanfare. Existe également MOULINS pour orchestre de danse. Programme du concert de musique i française donné par l'Harmonie munici- | pale « Lyre Moulinoise » (direction: Emile EN PREPARATION Fosse ), U? dimanche 4 avril 1966 15 h. 15, uu Théâtre municipal avec le « • R. V/ORSCHECH : Solfège appliqué à la guitare. Volume 2 . j concours de Professcitrs et d’élèves d'­ :: * R. V/ORSCHECH : Méthode complète do guitare. Volume 2 l’Ecole municipale de musique. a, RUE DE NANCY, PARIS 10° - TEL.: NORD 77-85 Hors programme. — « SaiM-Cyr », Ma- ; i McR.IOT : Le Saxophone classique. Déjà paru. 1 /. ivd ; « Marche Suisse ». pour tambours, j i 1 ) « Concertino » Volume A. B. Chaque ...... 6,00 F P rcm ière partie. DEPUIS 1803 pour flûte, Henri Tomasi ; « .Syr irW » | DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE COMPLET pour flûte seule (Jacques-!*. Pottier). L—Spécialiste des Instruments de cuivre» Claude Debussy: 2) « La Cheminée du 5SSP ra_v V X

,» s r ► “ 12 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE MAI 1965 : * •: » • - -*? • .* , » ' J ... / «.. *- ► ► A 11 h., nos musiciens se mettaient son cœur, M. Jacques Wegl, secrétaire les Pays »r Le programme très varié com­ V > $> en route pour lo traditionnel tour de général adjoint de la Fédération musi­ prenait des Noëls folkloriques, des Negro- ville et pour la première fois, les élèves cale du Centre, sut rendre un émou­ Spirituals, • interprétés en anglais « Stili de l'école de musique y ont pris part. vant hommage à notre ancien président NORMANDIE nacht » et‘un -Noël espagnol' chantés dans Ils étaient superbes ces jeunes avec leur M. Georges Sistau, trop tôt enlevé à leur langue-d'origine.. Le-concert se ter­ i .- joli calot blett fièrement campé sur l'o­ l'affection des siens et à l'estime de tous minait par un‘ extrait ' de l'« Enftmce du reille... ses camarades musiciens. Puis avec toute Votre fédération vous défend î Soyez lui TOURLAVILLE-MIELLES Christ », cle Berlioz et par l’« Alléluia du la flamme et toute l'ardeur que nous lui fidèles... Faites adhérer ceux qui n'en fe­ Messie », de Haendel. , - -, IM* Puisque nous en sommes à nos jeunes raient pas encore partie... Par esprit d’é­ Grâce au dévouement de M. Lerou- *■ - élèves, nous allons un peu vous parier connaissons il nous fit un tableau réel vreur, directeur d'école Groupe Voltaire, Le 27. octobre, les Chanteurs du Valois quipe. qui doit être celui de tous, pour donnèrent'' un nouveau, concert au cinéma '•» : d’eux. et vivant de la situation précaire actuelle vos manifestations, ne faites appel qu’à la Musique du patronage laïque a repris Ils sont quatorze à suivre régulière­ de la musique populaire. Il trouva en­ Eden, à . Creil. A cette ;occasion nous ■: •* - des sociétés fédérées ; do même, ne don­ vie. En deux ans, l'harmonie a vu son ment les cours d’instruments, après avoir suite les mots nécessaires pour remercier effectif porté à 25 membres et une bat­ avons choisi une formule mixte : concert les professeurs bénévols. pris dans les nez votre adhésion (sociétés et dirigeants) suivi pendant deux ou trois ans les cours qu'aux réunions d’ensemble (concours et terie de 6 tambours, 6 clairons, 6 trom­ vocal suivi dé la- projection d'un film *T * .• de solfège. rangs de la société qui, avec compétence festivals) organisés sous notre patronage pes l’accompagne. Les cours de solfège et sur un jétijet; musical, et dont le titre Deux flûtistes : Mlle Odile Bourgois et dévouement, s’occupent de nos jeunes instruments sont régulièrement suivis et était « Tu- seras un homme... mon fils ». > • _ ou celui de la C.M.F. Dans le doute, ques A côtéides choses sérieuses il y a aussi et M. Georges Leroux ; cinq clarinettes : élèves. tionnez votre président. tous les ans les épreuves fédérales sont Mlle Maria Piras et MM. Hubert Champ- M. Jean Bovlon qui, tout en assurant subies dans les meilleures conditions. l'agréable. * En - juin, les Chanteurs du dos, Georges Faron, Jean-Claude Foenard, la partie de piston solo et le rôle de Concerts do quartiers, sorties dans les Valois ont organisé une sortie culture’.'.o Pierre Guillon ; trois saxophones : MM. ' ü Reims,- avec, visite, guidée de la ville, secoixd chef à l’harmonie, se dévoue LISIEUX environs, tout cela témoigne d’une acti­ GiJes Berthon, Hubert Breuil, Jean-Paul corps et bien pour la clique comme vité non marchandée qui mérite d’ôt-re de la cathédrale et de l’église Salnt-Remi. - Gouvel ; un piston : Max Mure ; trois tambour-major et forme actuellement, Nécrologie signalée et serve d’exemple à ceux inféo­ Ia journée se termina.'très traditionnel­ barytons : MM. Daniel Carrier, Daniel trois jeunes élèves clairon. dés à un attentisme prolongé. Nous en­ lement par la-.visite des caves d'une Montorier, André Montorior. Leur âge va­ L’Harmonie Municipale vient de perdre registrons avec plaisir le programme d'un grande marqué de champagne. Qu'on £0 riant de 13 à 18 ans, nous dorme bon M. Henri Morel, qui assure en plus son doyen, M. Alcide Goupil, 83 ans. récent concert. rassure... - chacun sortit très ..dçoit. espoir pour l'avenir de la société. de sa partie de saxophone ténor solo et Jusqu'à l’an dernier, il tenait encore sa « Braves Turcos , pas redoublé, Meni- Autre manifestation qu’il ne faut pas A midi, à l’issue du défilé en ville, de ses cours de solfège, des leçons d'ins­ place au pupitre des basses, ancien mu­ chetti ; « Etoile d’Or », fantaisie; - « Au­ laisser-sbus-sHence : la- célébration de la nous nous retrouvons tous autour des truments aux élèves et la direction de sicien de régiment (avec Allier) toute gé » ; « A travers la Géorgie », marche. Sainte-Cécile. Notre patronne fut fêtéo tables do l’Hôtel des Voyageurs. De nom­ leur cours d’ensemble. vie a été partagée entre musique et son Miller ; « Les Lilas Blancs », fantaisie, fort dignement au cours-, d’un dîner du­ breuses dames sont venus nous y rejoin­ M. Jean Mouchet qui, bien qu’ayant métier : relieur-papetier, reporter-photo­ Fiîsfils ; « Alsace - », Marcoux ; rant lequel certains de nos choristes se dre et c’est dans une atmosphère joyeuse, une partie particulièrement délicate graphe à l’Imprimerie Morière, où il en­ « Défilé des Bataillons », Pihet ; « Sur firent entendre de façon fort agréable. amicale et je dirai môme familiale, que comme clarinette solo à l’harmonie, tra à l’âge de 13 ans, pour ne jamais la les flots bleus », valse, Augé ; « Scènes Il va sans dire qu,’on dansa après le diner, î- 6e déroula le banquet. Au dessert, M. Pai- prend sur son temps de nombreuses heu­ quitter jusqu'à son dernier souffle (en Champêtres », fantaisie, Labole « Les Al­ à la grande joie des jeunes. Lo succès rault, président cle la société, sut en res par semaine pour dresser cinq ou six met tant en page « son journal » Le Lexo- lobroges ». de ' ccs manifestations de détente aux­ termes choisis remercier les personnalités élèves à la clarinette. vien). Depuis son arrivée n Lisieux (11 quelles participent'1 les familles des chan­ présentes et nos invités. Il fit rapide­ y a 45 ans déjà) Alcide Goupil, mutilé de teurs prouve là vitalité et la bonne en­ ment, mais d’une façon complète, la M. Michel Leroux qui dirige les cours VALOGNES de solfège pour une trentaine d’enfants guerre, comme moi d’ailleurs, fut un ami tente de notre groupe: rétrospective des activités de la société, fidèle et qui m’aida à remettre sur pied A l'occasion de la remise des prix aux Un dernier nîot, enfin, le' 29 janvier, pendant l’aimée 19(14 et traça les gran­ avec une profonde connaissance de la l’harmonie municipale démantelée par la musique et de la pédagogie en y ajoutant éèves de l’Ecole de musique que dirige les Chanteurs du Valois ont tenu leur des lignes du programme de l’année nou­ grande guerre. Infatigable, ne sachant avec compétence M. Kcmblinsky aidé par assemblée 'générale. A la suite des rap­ velle. une patience inlassable et un dévouement sans limites. jamais dire non, c'est une figure légen­ son fils professeur de clarinette, la Mu­ ports moral et financier eut lieu un vote M. Coulaudon, maire de la ville, prit daire de la ville, où il est né, qui dispa­ sique municipale sous la direction de M. pour élire trois membres, du bureau en ù son tour la parole nous assurant de M. Wegl nous paria ensuite des exa­ rait... Il pleure dans mon cœur ! Seuls Granguillotte a d’abord fait entendre remplacement de ceux dont le mandat tout l'appui de la municipalité et nous mens fédéraux nous encourageant vive­ d'inoubliables souvenirs restent... quelques extraits de « La Petite Musi­ arrivait à expiration. A la suite de ce promettant que tous ses efforts ten­ ment à présenter tous nos élèves aux * que de Nuit », de Mozart. Puis furent vote la constitution du bureau est la draient à nous faciliter encore plus notre différents concours. Ce que nous ferons * * épinglées plusieurs médailles fédérales et suivante pour 1965. tâche. certainement d’ailleurs. L’I-Iarmonie municipale, sous la direc­ confédérales. Ensuite l'orchestre des ca­ Président : M. Dru : vice-président. M. _ Après lui, M. Begon, conseiller général Il leva son verre à Ja santé de tous, tion de M. André Petit, vient de donner dets sous la baguette de leur directeur Girault ; chef de chœur, M. Albert Bur- du canton, nous dit sa joie d'être parmi îat : secrétaire,' M. Éstignard : trésorier, nous à l’Harmonie de Billom et *k la musique. un superbe concert, prémice des gran­ interpréta « La Chanson de Solveig », un et l'affection toute particulière dioses manifestations musicales qui, pour « Largo ». de L. Kcmblinsky ; « Petit dé­ M. Ranc. Mmes Arnaud et Vin font éga­ £ qu’il porte à la musique en général et Puis M. GrLpcl Henni, représentant la Société chorale « Les Enfants d’Au­ célébrer son 75e anniversaire, réuniront filé », « Fête de nuit ». « Ce bon vieux lement partie du bureau. à l’Harmonie de Billom en particulier. au concours international du 2 mai 48 temps », de Delbccq. Pour terminer la Entre autres choses les Chanteurs du 11 nous assure de l’aide efficace du de­ vergne ». nous interpréta plusieurs mor­ ceaux do osn répertoire et ce fut dans sociétés... Voici le programme quj a été matinée, la musique fit entendre « De Valois participeront à la fête fédérale partement et va s'employer de son mieux Pigalle au Texas », de Deîbecq, et une qui aura lieu le 30 mai à Noyon. - au sein du Conseil général pour obtenir les chansons que se termina joyeusement offert au public nombreux et enthou­ cc-tte bonne joumé. siaste : Ou verture de « Tancrède », de suite de valses sur « La Veuve Joyeuse ». le plus possible en notre faveur. Rossini ; « Petite Suite », de César Cui ; ■; Robert MONTELEON, 11 va sans dire que chaque exécution Et maintenant, avec sa verve habituelle, Ballet des « Deux Pigeons », « 1er Con­ fut couverte de chaleureux applaudisse­ » - avec ses talents d’orateur et avec tout chef de musique. certo en la mineur», de Weber (soliste: ments. Pierre Antoine, lauréat du Conservatoire üoyveauté national Supérieur de Paris, accompagné YVETOT au piano par M. Muckensturm, directeur Pour vos Concerts, 1 Festivals, . Nécrologie de 1 école de musique) ; les Entr’actes morceaux d’ensemble, concours etc. de « Carmen »*; « Le Carnaval de Ve­ Au moment de mettre sous presse, nous Instruments de Musique ^ ||||| nise », variations pour clarinette (soliste: apprenons, avec stupeur, le décès acciden­ DEMANDEZ AUX P. Antoine, sus-nommé) Ouverture de tel de notre ami Boitard, vice-président « La Chauve-Souris ». de la Fédération, directeur de la Musique Municipale d'Yvetot. Éditions CHAMPEL 17, avenue Trudaine P A R I S - 9e * * >, .. à NEUVILLE-SUR-A1N (AIN) >* TOUS INSTRUMENTS CUIVRE ET BOIS Une semaine plus tard, l’Orchestre sym­ phonique sous la baguette de M. REPARATION de tous instruments quelle qu'en soit Muckensturm donnait au théâtre son 2e concert de la saison avec au programme : OISE iofre hymne la marque — Travail rapide — Exécution parfaite l’« Adagio », d’Albir.oni (violon, M. Pias- !.. sart) ; «La Symphonie Jupiter», de CREIL (GLOIRE A LA MUSIQUE) Prix consciencieux Mozart ; « Le Quintette avec piano en L'activité des Poème cle A. Faillet, musique de .DEMANDER NOS TARIFS INSTRUMENTS ET EDITION La majeur dit « La Traite » (violon, M. « Chanteurs du Valois » Fr. Menichetti pour HARMONIE, ? Plassart, alto. M. Casteran, violoncelle. M. Bar. contrebasse. M. Dumand, piano, en 1964 FANFARE .et CHORALE. ■ M. Muckensturm et « Le Lac des Cygnes ». La jeune chorale creüloise a donné en Cet hymne peut être exécuté aussi «î /- de Tchaïkovsky. Tout cela fut présenté ! de la meilleure façon et recueillit de cha­ janvier 1964 une série de quatre concerts par la chorale seule ou accompa­ à Chantilly, Creil. Senlis et Pont-Saint- et d’être agréable à tous aura été son leureux applaudissements du public... ce gnée par l'harmonie ou fanfare. 1 qui obligea de donner en « bis » un ex­ Maxence. Ces manifestations s'intitulaient. idéal.- II aimait de tout son cœur la mu- « Noëls de tous les temps et de tous sique et s’intéressait à toutes les manifes­ trait du « Lac des Cygnes ». COTE-D’OR tations, grandes ou petites, de nos socié­ tés. Rien ne le laissait indifférent et il * * La Fédération des Sociétés musicales participait de tout son être à la vie Pour compléter ce double compte musicale de notre région, jurys d'exa­ de la côte-d’Or est en deuil rendu il nous est agréable de préciser mens, classements, etc..., apprécié par que la présentation des œuvres aux deux la Confédération toute entière qui le Notre dévoué trésorier. Gabriel Jarrot, audition était assurée par notre collègue connaissait lors des congrès annuels de et ami, M. Aime. nous a quitté et un groupe d'amis lui Paris. adressait un adieu le jeudi 15 avril. ORLÉANAIS-BERRY Depuis 40 années. M. Jarrot servait Il laisse un grand vide parmi nous et LUC-S'JR-MER avec foi la Fédération musicale. Affable, dans nos mémoires restera gravé son sou­ Là aussi, vient de disparaître à 70 ans. VENDOME NOUAN-LE-FUZELIER calme et souriant, il n’y avait pour lui venir vivant, modèle pour les jeunes, un ancien camarade d'Ecole Normale : jamais de problème. Ses livres étaient avides de servir. Gabriel Jarrot a bien Abel Doucet. Bon musicien, bugle à la scrupuleusement et parfaitement, tenus mérité de tous les musiciens de France. Le 19 décembre. l’Union musicale a fanfare d’antan de l’Ecole, il fonda, dès Nécrologie donne dans la salle du Relais Solognot, et jusqu’au dernier moment il s'est soucié sa nomination à Luc, une société musi­ de faire pour le mieux. Quelques jours Sa fidèle compagne et sa famille trou­ Nous avons la douleur d’annoncer le son premier concert de la saison, sous veront auprès de tous la sympathie récon­ cale avec ses élèves. Il y a quelqutes an- décès de Mme Louise Barrué. Ses obsè­ la direction de son chef. M. Jacques avant sa mort, j’étais auprès de lui. et nées, on célébra le 25e anniversaire de Thierry. malgré les souffrances du mal qui devait fortante en ces tristes moments. ques ont eu lieu le jeudi 28 janvier 1965. l’emporter, il a tenu à m’expliquer les la société ; manifestation assombrie par Mme Louise Barrué était la femme de Le concert était p'aeë sous la prési­ André AMELLER, la maladie qui commençait son emprise M. Barrué André, ancien vice-président ultimes tractations, les attributions de sur lui. dence effective de M. de Laage de Meux, médailles et diplômes. La joie de servir président. de la F.M.O.B. pour le Loir-et-Cher et vice-président de la Société et maire de Aux deux sociétés endeuillées, à la fa­ actuellement membre d'honneur de la Nouan ; Mme et M. Robert do Vienne, mille du disparu, la grande famille des F.M.O.B. vice-président d'honneur, assistaient éga­ musiciens adresse ses sentiments de Nous renouvelons à M. Barrué, l’ex­ lement à ce concert. Le public fut sur­ condoléances et douloureuse sympathie. pression de nos sincères condoléances. pris dès son entrée par lo nouvel uni­ F. A. forme des musiciens : veste vert foncé, Le Nouvel An pantalon gris sombre, chemise blanche, Justesse absolue EVREUX cravate noire. L'Union musicale a inter­ L’Harmonie municipale, sous la ba­ salué en musique prété successivement : « La première mar­ guette de M. Lion, directeur simultané che militaire », de Frantz Schubert, Le réveil en fanfare. A 8 h., la batterie- transcription de Maveur ; « Lo menuet de l’Ecole de musique « Emilc-Clérisse », fanfare des sapeurs-pompiers et de l'har­ Splendeur du timbre vient d’offrir à ses membres honoraires d'Orphce », de Gluck, transcription de monie municipale effectuait ses premières Logeart ; « Toi et Moi », fantaisie, duo - un très beau concert ; ouverture d'« Eg- sonneries devant la sous-préfecture pour mont » et Andante Cor» moto de la « 5e clarinette d’Auguste Bruniau, puis en souhaiter ur.e bonne et heureuse année deuxième partie : « La Marche des Symphonie en Ut mineur », de Beetho­ à M. Max Lavigne, sous-préfet et à sa ven, puis deux extraits de « Casse Noi- Preux », de Gabriel Parés ; « Quatre des famille. puits ». chants populaires russes, d'Ana­ M. ÏÏre etClVaTre1erfeuk°UVertUrCniillia' Poursuivant son périple, elle se ren- tole Liadow, transcription Roger Eoquet ; ture et Valse d.s Leurs. dait chez M. Ynon, député-maire, ensuite «La Petite Pastorale sur do vieux Noëls», Le programme comportait ensuite le au centre de secours et dans plusieurs de Paul Despey. nom du Quatuor de Trombones des Con- quartiers. Chaque morceau était précédé d’un pe­ certs Lamoureux composé de MM. .Vilain, ' in h - -, tit texte de présentation. Les applaudis­ uia/iïijian sements enthousiastes saluèrent la bonne PARIS exécution de e? concert. &2Î3Î ittlffi “Ld° * Ufl CHECY Renouveau «Quatuor pour trombones», de Don- ‘ Tore, se retrouvèrent d’abord à lin • . vin d'honneur servi dans la salle du do l'Harmonie Municip-Me Au cours du concert. M. Azemia, maire- conseil municipal, et présidé par M. adjoint, remit à un vieux musicien chc- Ynon et ensuite dans un des suions de L’Harmonie municipale était en som­ vronné, M. Védic, la médaille gouver- l'hôtel de la sous-préfecture où M. Max meil depuis le 11 novembre 1961 date nementale des .Sociétés musicales et cho- Lavique offrait une réception de son dernier service. A la suite de dissension au sein de la société, les éléments do l’époque on1, cru iSt vnoi, A. *£ bon de se séparer, faisant air.îô sombrer mercier pour tout cc que vous m'avez cette dernière drms une profonde lé­ SAINT-SA’JVEUR-LENDELIN permis de vous exposer en ces dix mi­ thargie. nées et pour tout ce qui a été réalisé Mais depuis deux ans, M. Menon. pro­ saxophones Le 14 février dernier, la Musique can­ dans le domamc artistique musical par fesseur de solfège et clarinette, a réussi tonale organisait sa fête annuelle placée la municipalité. » par un travail persévérant c* laborieux, sous la présidence de M. Langevln, maire Dans sa réponse, M. le maire souligna a éduquer ur.e trentaine de jeunes élèves clarinettes et conseiller général du canton, et de dont la moitié e.>t en mesure, actuelle­ M. l'excellent travail accompli pendant les Léon Lesouhaltior, président de la dix ans do présence et de direction de ment, d«* figurer parmi V> exécutants hautbois société depuis «a fondation en 1924. M. Meunier, et félicita tous les musi­ A 15 h., dans la .salle dc-.s fêtes muni­ ciens pour leur dévouement à la cause En 1963. M » maire de CJu'vy chargea cors anglais cipale. le Cercle laïque et culturel de de la musique. M. Menon de contacter un chef de mu- Snint-Lû présentait au public la spiri­ relancer la société et oncou- A la sous-pivïectut«?. M. Ynon bassons tuelle comédie de Dominique Mcrande : en ternies chaleureux M. le sous-1 cei o pépinière de jeunes risquant > A voire santé, mon général ! » se félicitant des relations aimable d’ètr déçus de r.c- pouvoir évoluer au Au cours de entractes, la musique in- M. Max Lavigne et souhaitant que cc cin d’un groupement musical. flûtes p«;était sou la direction d<- M. LcthS- collabo:.U ion importante dure neorc Ce fut l'occasion do faire connaissance re à ia musique », de longtemps. de M. Cortès: Champel ; Apres la convocation des cléments qui Br u soir de Vienne ». valse M. le sous-préfet après avp! di- Léi ; « La Marche de.*. An- t:>: prune figuraient sur la liste ancienne des exé­ -, de Ch. : vzn ivour ; scs vœux a déclare : « Depuis eux ans cutants, ur.e vingtaine répondirent, et et demi que j’ai 1 itueur et i chance M. Cortès démarra. ■ cie Bouche Défilé cl» d’occuper • V' î h M. MoizaTd, maire, do Chécy. présidait cette «.Hui.ce, entouré ,de.s /membres du SrOr .- conseil municipal. Un., public nombreux était venu assister à ce nouveau démar­ TRES IMPORTANT rage. SEINE ET SEINE ET-OISE ï Des . morceaux . bien enlevés et bien interprété*:' sôus la direction de M. Cor­ Concert cataéômbe » d’où montaient encore, à tès ont permis d’assister au renouveau travers ies siècles, les litanies des an­ La première édition du Guide Pratique de la société. v* de l'Harmonie de la R.A.T.P. ciens martyrs, nous avons entendu chan­ 1. •Après une* courte allocution, M. le ter le rossignol au clair de lune sous et Annuaire du Musicien et de la C M F i maire remit à M. Oorlès sa baguette de Il convient d’insister tout particulière­ « Les Pins du Janicule », ce chant pur directeur en lui souhaitant la bienvenue ment sur le magnifique succès remporté enregistré supérieurement dans la nature - à Chécy. : par l'Harmonie de la R.A.T.P. et son par la grâce d’un disque mais qui est paraîtra prochainement Il est à souhaiter que les anciens mu­ éminent chef Georges Fossier, le 27 fé­ serti avec beaucoup d’art dans la poéti­ siciens. qui se sont abstenus jusqu’il ce vrier dernier, à la salle Pleyel. que partition d'orohestre. Et. enfin, nous i jour, «'nier,; vibrer en ’eùx une corde La première œuvre inscrite au pro­ avons entendu venir de loin et grandir sensible. L’Harmonie de .Chécy sera heu­ gramme était, selon la tradition établie, le pas martial et lourd des légions romai­ reuse d’accueillir les bonnes volontés qui une marche bien sonnante réunissant les nes qui faisaient vibrer Je sol sous « Les renforceront, ses rangs. ■% c importants effectifs de l’harmonie et de Pins de la Voie Applcnne ». Ce pas mar­ Nous souhaitons à M. 'Cortès et à ses la batterie-fanfare, sous la direction de telé, qu’on entend à peine au début, nous musiciens v.ne pleine réussite. l’un des sous-chefs (M. Masse, ce soir- impose peu à peu son rythme, jusqu'à i là) et du tambour-major M. Heuline. La l'obsession, et il nous rappelle ce que fut marche exécutée se présentait sous un la grandeur de la Rome des Césars. Les beau titre : « Honneur aux Braves Gens » buccins éclatent victorieusement en ruti­ Peur vos salles de ot elle était signée Charles Lhomme, un lantes fanfares et c'est sur cette grada­ nom bien connu qui porte témoignage tion impressionnante, artistement dosée Répétition et de Concert de la qualité d’écriture des œuvres soir par Georges Fossier, c’est sur cette gran­ lesquelles il parait. Cette marche fut cha­ diose vision que s’est terminé en beauté Pkques de Correction leureusement applaudie comme elle le mé­ ce splendide concert de la R.A.T.P. ritait. Quelques jours plus tard, le 6 mars. Acoustique Georges Fossier fut ensuite acclamé l’Orchestre symphonique de la R.A.T.P. dès qu’il monta au pupitre et 11 dirigea a donné un autre concert à la salle Ca­ « GLASAL-PERFORE » avec sa maîtrise coutumière la si belle veau, toujours sous la direction de l’infa­ ouverture de Mendelssohn : « La Grotte tigable Georges Fossier. Je n’ai malheu­ de Fingal », transcrite pour harmonie par reusement pas pu y assister, moi qui PHONELO le colonel Pierre Dupont. Ce fut un suc­ suis toujours fidèle à ces manifestations cès largement justifié qui se prolongea musicales. Je suis tombé malade la veille Salles d’exposition : par une autre belle page du même au­ et j’ai été immobilisé pondant trois se­ renvoyez teur romantique : « L'Andante de la Sym­ maines. Je l'ai d’autant plus regretté phonie Ecossaise », toujours dans l'arran­ que je me réjouissais d’avance d'enten­ sans tarder gement pour harmonie réalisé par le pres­ dre la délicieuse « Symphonie concer - tigieux chef honoraire de notre Musique tante », de Mozart, pour hautbois, clari­ votre bon de de la Garde Républicaine. nette, cor et basson, dans laquelle les solistes de l’orchestre : MM. Jacques Ro- Nous entendîmes ensuite les «Scènes gnié, Pierre Bilflaud, Roland Wallet et souscription Bohémiennes de la Jolie Fille de Perth », Ladislas Streba se sont, certainement dis- de Georges Bizet, ces pages si vivantes, si tingués. Il m’eut été si agréable de sou- colorées et si pittoresques. Ces danses ligner la valeur de leur interprétation, passionnées produisent toujours un eiret H y avait en outre, la pianiste Jacqueline irrésistible et la progression finale allant Delfino qui, je crois, a joué du Chopin, de plus en plus vite à partir d’une sim- et puis des œuvres do Roussel et de pie mélopée de flûte aboutissant au dé- Fauré. J’ai vraiment manqué là un beau chainement de tout l'orchestre, fut remar- concert, quablemcnt enlevée sous l’impulsion de André PETIOT. la trépidante baguette de Fossier. Cette œuvre, -transcrite pour harmonie par VINCENNES Lançon, fut saluée par une vibrante ova­ tion de l’auditoire. Musique Municipale Et la première partie du concert se Le concert annuel de cette excellente termina par l’interprétation extrêmement formation qui eut lieu le 4 avril, dans FIBRCKINENTkPOISSV soignée ot délicate d'une rapsodie sué­ la belle salle des fêtes de la Mairie, pré­ doise de Alfven : « Midsomarvaka ». Cette sidé par l'actif maire, M. Quinson, an­ TRI EL (Seine-et-Oise) Téléphone: évocation printanière de la claire lumière cien ministre, entouré de ses adjoints, 965-7E-80. Scandinave remporta un unanime succès. fut un succès par le choix des ouvrages PARIS . 17, rue Daunou, 2* Télé- La seconde partie nous offrait en son inscrits au iirogramme et par la mise en phone : OPEra 65.74. début le très beau « Divertissement sur place due nu nouveau chef. M. Lucien STRASECURG 13, rue du Vieux- des Chansons russes ». du si regretté Bonnet, un artiste, un technicien et une Marché aux Vins' Téléphone : maître Henri Rabaud. Félicitons de tout fine baguette, souple, sûre et toujours 32.31.24. cœur Georges Fossier d’avoir ainsi rendu au service d'une musicalité certaine. hommage à la mémoire d’un grand maî­ Il est vrai, qu’assisté par un président tre de la musique française que nos de la valeur de AT. Lucien Deray, la tâ­ concerts dominicaux et notre radio na- che lourde qu’il assume lui est considé­ tionale délaissent à qui mieux mieux, rablement allégée sous tous les rapports. d'une façon absolument scandaleuse. Un programme de choix, comprenant N<5us n’entendons plus jamais « La Proces­ « Une marche parade », du regretté L. sion nocturne », « Marouf ». les deux Manière, très musicale, suivie d’extraits symphonies’ la délicieuse « Eglogue » et de « Sigurd Jorsalfar », de Grieg ; de la OUEST d’autres chefs-d’œuvre encore. Il n’y a valse célèbre de Lehar, « L’Or et l’Ar­ COUHE-VERAC et C1VRAY pas si longtemps, Fossier nous a donné gent » ; du « Roi s’amuse » (six danses, « l'Eglogue » à d’un de ses concerts de du «Cortège de Bacchus (une figure), de Macr.îflq ue succès des concerts l’Orchestre symphonique de la R.A.T.P. Léo Delibes et de la « Marche du Sacre Il a mis tout son cœur dans l'interpréta- du Prophète », de Meyerbeer, tout cela ces Unions Musicales „ tloh de ce si beau « Divertissement sur fort bien exécuté, permettait de juger des des Chansons russes » et nous devons l'en Samedi, à Couhé-Vérac et dimanche progrès accomplis chaque année grâce nu remercier chaleureusement. C'est d’ail - travail, à la discipline et à l’assiduité des également. en soirée; à la salle des fêles leurs ce qu'a fait le public par ses applau­ so^sC de Civrey. les 70 exécutants constitués membres de cette belle phalange vincen- dissements prolongés. Georges Fossier noise. par la réunion des Unions musicales de n’oublie jamais d’honorer les grands mu­ ces deux cités, scus la direction de M. siciens injustement délaissés par ceux qui Le Club chorégraphique « Les Lutins de 1 Charles D* Cock, premier prix du Conser­ Vincennes », fort bien conduit par Mme ont séduit ont pourtant officiellement la charge de vatoire Royal de Bruxelles, perpétuer leur souvenir. Il y a malheu­ Bonhème, nous fit admirer de jeunes un sympathique public, qui aurait- pû reusement un certain nombre de ces danseurs déjà très expérimentés dans être toutefois encore plus nombreux, « proscrits » en France. On dirait vrai - deux figures du « Ballet Egyptien », de mais en revanche était constitué de mé- ment que nos concerts n'osent pas mon­ Luigini et de la « Houzarde », de Louis ionuir.*- nvèrtis. Cette assistance sut trer au monde, en pleine lumière, ce Ganne. Relevons parmi ces fines fleurs pleinement d’ailleurs apprécier le remar­ qu’est la richesse du répertoire de la mu­ de la danse : Mlles Mervant et Vanni. quable choix de ~ morceaux interprétés sique française. Georges Fossier, lui, n’hé­ Isa Baron. Miss Thomson, Susy Lair et s# avec un égal brio par les musiciens de dans le « Quatuor en couleurs », de Ros- rare site jamais et nous ne saurions trop ces deux villes conduits avec une l’encourager il continuer. sini, Mlles Pignot, Bonhème, Perrin, Mer- maitrise et- la compétence, qui lui est vant et Levasseur, qui ont droit à nos coutumière par M.. Charles De Cock. le Après le légitime hommage à Rabaud, éloges et à nos compliments. dévoué e* talentueux chef d’orchestre •'Harmonie exécuta û’admirable lu Ada­ La réunion comprenait encore, pour rie ces ceux associations. gio », d’Albinoni qui est maintenant de­ venu célèbre à juste titre. Notons en pas­ finir, « Les Jours heureus », line comé­ UN PROGRAMME DE CHOIX sant, lue cet adagio a été transcrit par die de Puget, présentée par le Théâtre Une fois encore les musiciens de l’Union Pierre Dupont, de même que le divertis­ de la Seine, de G. Lejeune, qui fut fré­ musicale de- Couhé Vérac et de celle de sement de Rabaud dont nous venons de nétiquement applaudie. Civray oTésentèrenti conduits par la ba­ parler et « Les Pins de Rome » qui al­ En résumé, belle journée, une de plus, guette rie M. Charles De Cock un concert ; laient terminer le concert en véritable à l’actif d’un groupement de valeur qui particulièrement apprécié de l’auditoire. apothéose. fait honneur à notre grande famille :.I Pierre Hérault, de Couhé-Vérac com- Cette œuvre de Respighi est extrême­ confédérale et qui mérite d’être cité com­ mentàn; les différentes œuvres présentées ment attachante et elle constitue un ad- me l’un des meilleurs de notre région. avec simplicité et compétence. symphonique si appréciée : « Les Fontai­ R. B. Le public fut ainsi à même d’applau­ nes de Rome ». Dans l’exécution des dir : «Marche polonaise»,K______de__ J Blan- « Pias de Rome ». l'harmonie et son chef LE BLANC-MESNIL genois ; l'ouverture.’du « Calife de Bag­ ont pu donner toute la mesure de leur dad ». ce Boiëidieu, _ sur une., transcrip­ valeur. La traduction de toute la partition Harmonie de Blanc-Mesnil tion de M. T. Prottièr. des scènes descrip­ a été exemplaire et nous avons été sé­ duits du commencement jusqu'à la fin L’Harmonie de Blanc Mesnil est en tives « d’image -d’Orient ». de F. Ruelle, deuli à la suite du décès de son prési­ une composition de M. Charles de Cock par les tableaux évocateurs de la Rome antique qui survivent dans notre ’-ie dent. M. Bernard Pierre (père) survenu c; Un Rêvé au bord du Tarn ». prélude et le 28 lévrier 1965. valse, ie « Retour au. Pays », de P- Gil­ moderne. Nous avons entendu les en­ son. « Danses Hongroises » numéros 5 et fants d’aujourd'hui s’ébattre joyeusement En peu de temps, à notre harmonie, 6 de Erahms et enfin « Cortège de bal- sous « Iæs Pins de la Villa Borghèse », trois autres décès ont été à déplorer. c'était la vie même, mais nous nvoas Ceux de MM. Mary, Jacquet et Bouille, Jet ». de 2. Avon. ensuite rêvé sous « Les Pins près d'une Avec le décès de M. Bernard, nous per- - dons le musicien excellent toujours sou­ BON DE SOUSCRIPTION cieux de parfaire ses connaissances dans l’emploi des instruments : la basse, le piano, la clarinette et toute la famille A la première édition du GUIDE PRATIQUE et des saxos ; le chef de musique à la ba- ANNUAIRE du Musicien et des Sociétés Musicales de I guette sûre et enfin le président idéal au j dévouement entier. Dans une autre bran- France édité sous le patronage de la C.M.F. ! che enfin, le bibliothécaire intègre et dévoué qui. pendant dix-sept ans a tenu Création et Edition exclusives la bibliothèque municipale à la plus grande satisfaction de tous. A signaler Société E.G.F.P., 48, rue de Berri, Paris-8C BAL. 43-88 que les œuvre* consacrées à la Musique et ii l’histoire de la Musique y étaient lar­ gement représentées et mises en valeur par notre regretté président. Je soussigné ...... Prénom Né en 1891, fi Piegut-Pluvicr (Dordogne) M. Bernard adhère à la société musicale Adresse complète ...... de Picgut et y reste de 1907 à 1913. La guerre de 1914-1918 vient le prendre agissant au nom de la Société et le voMà en uniforme de poilu » par­ tageant avec ses camarades les souffran­ ou à titre particulier (1 ) déclare souscrire exemplaires du ces et les privations. La paix le ramène à son foyer où il reprend ses activités Guide Annuaire proposé au prix de 25 F l'unité, à m'expédier et son « violon d’Ingres » : la Musique dès parution à l'adresse ci-dessus, franco de port et d'embal- et ses instruments. Comme soliste, dans la famille des lage. J'adresse (2) le montant total, soit F à la Société saxos, il participe aux sociétés suivan- tes : a l'Harmonie de Saint Ouen. de E.G.F.P., 48, rue de Berri, Paris-80, par virement postal, 1919 a 1921 ; aà J’Harmonie des Chemins C.C.P. Paris 88-08-00, par mandat ou par chèque barré (1). de fer du Nord Paris, de 1921 il 1937 ; à Blanc-Mesnil, de 1937 l'Indépendante de DATE SIGNATURE à 1939. Fort d<* l'expérience acquise, il va donner dai ce lie cl toute la mesure de j ses moyens et de son dévouement absolu. (1) Rayer les mentions Inutiles. Après le décès du regret!» président (2) Attention I Les Sociétés peuvent, si elle le préfèrent, adresser leur règlement. au Caviiion, M. Bernard est nommé prési - C.C.P. de leur Fédération respective en y joignant lo présent bulletin. Les Fédérations ! dent de l'Harmonie de Blanc-Mesnil, à transmettront èt l'éditeur. laquelle jusqu’à sa mort il va consacrer tout le reste de .sa vie. ■vjî&l

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14 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE MAI 1965

Après lo perte du regretté chef Richard, h l’O.R.T.F. à Paris, à «la B.B.C. de nolle réunion en la mairie du 12 arron­ le président Bernard reprend la baguette Londres et au Hilvcrsum de Hollande, ces jeunes firent preuve d’une technique Puis la soirée se termina avec l'immor­ dissement, en février dernier. toujours plus poussée de leurs instru­ en attendant la formation des .jeunes et Cette audition educative donnée dans Félicitons donc nos talentueux profes- telle valse de Strauss t une invitation stimulaniC a bles. par suite du peu d’intérêt qu’on Maurice GŒURY. honneur à leurs chers professeurs : Mme Se soMe prtatoS *” 00110 traquer la misère et le malheur. porte et par le mde coup norté à la Simone Garnier, MM. Michel Lainer et Puis deux trompettistes, les frères Me- Grâce à un choix des plus judicieux, « bonne » musique par la place faite un peu partout à la musique* « à la La vie musicale Gilbert Mayer, tous de l'Opéra de Paris. randa attaquèrent l’« Air d’Orphée », de Pierre Marolleau donna à ce concert le Glück, et bientôt avec l’aide de Guille- D^une endiablé, le tournoiement roman- mode ». de notre « Ecole Centrale »» Cette solennelle et fort intéressante dis­ tribution des prix et récompenses obte- mant Georges, au cornet à piston, et de tique de la « Chauve-Souris », de Johann La deuxième partie du programme avait des Arts et Manufactures nues par les élèves, au cours de la der- Carpentier Michel, au bugle, ils nous fi- Strauss, le charme impétueux, insaisis- clé confiée à l’Harmonie industrielle, nière année scolaire : 1963-1964, avait rent entendre un charmant petit prélude soUle et sensuel du « Gypsy-Camival » l’une des sociétés musicales les plus en .Ce vendredi 12 mars dernier les élèves d’ailleurs motivé la présence de M. Frey, spécialement composé à leur intention (fantaisie tziganej de Yascha Krein, vue do tout le Sud-Est, qui sut se mon- de notre école centrale assistaient, nom­ ministre de l’Intérieur ; du Mc Robert par M. Gadenne. i'exaltation et la vibration toute im- trer à la hauteur de sa réputation et breux, au « Récital » de piano, donné en Bréard, notre si sympathique Grand Prix Pour terminer cette audition un qua- presslonniste de la « Petite Suite pour récueillir les applaudissements du public. leur « Maison des Elèves », rue de Ci- de Rome, et de nombreuses personna­ tuor de saxophones composé de MM. Ca- Marionnettes » composée par R. Gallois- teaux, par Mlle Selma Herscovici, une lités des Arts, de la Musique et des Let­ chot (soprano), Gironta (alto), Marchand Montbrun (directeur du Conservatoire na- Le congrès de printemps de l'Union distinguée et remarquable pianiste, pro­ tres de la capitale. Claude (ténor) et Latouche Philippe (ba- «onal supérieur de musique). Pour « ce- fesseur au Conservatoire municipal du , ryton) exécuta la chanson de « Grand’ lui qui demeure au-dessus de tous les départementale des sociétés de mu- 12! arrondissement : premier prix de ka haute valeur de notre conservatoire Maman», de G. Pierré. maîtres, dans tous les siècles, ec-dans sique de l'Isère s'est -tenu le diman­ piano, première médaille de Musique de 111 ^ d’ailleurs reconnue par une attribu- Tous nos élèves méritèrent les chaleu- tous les arts », pour le divin Mozart, che 7 mars, à Grenoble. chambre et de solfège du Conservatoire t;on de médaillés diverses, toutes de reux applaudissements de l’assistance. Pierre Marolleau et son orchestre surent national supérieur de Paris Le grand et rho-x- attribuées au personnel enseignant : Puis un petit souvenir, un microsillon communiquer avec foi et maîtrise, les Dimanche 7 mars, en 1a saHe^des beau talent de Selma Herscovici fut éga- unc . P^iade de professeurs, tous de leur fut remis par le vice-président de notes transfigurées qui parlent à l’âme concerts à Grenoble et quelque peu en loment consaoré par le prix International grands talents, reconnus et consacrés, l’harmonie pour les remercier de leur tout au , " de la symphonietta « Lucio avance sur la saison, les représentants de Genève, le prix Marguerite-Long, le Ces médailles attribuées au « Alonde participation â notre fête et les cncou- Silla », l'alternance de gaieté cristalline do toutes les sociétés de musique de prix Maurice-Ravel. En plus de ses ac­ des Arts » furent officiellement remises rager à parfaire l'étude de leur instru- do mélancolie profonde du concerto en l'Isère s'étalent réunis pour leur congrès tivités au sein du Conservatoire de mu­ aux heureux promas par M. Darzacq lui- ment. Da majeur dont Bernadette Dubin( pre­ de printemps. w sique 12 arrondissement, elle est soliste même, notre cher maire, en une solen- mier prix du Conservatoire de Paris) — Le' président Revol étant fatigué il Remercions aussi les professeurs, MM. soliste — soutint remarquablement au devait revenir à M. Mouis, vice-prési­ Bourgeois, Dubrulle ot Duché pour la piano l'incomparable richesse mélodique. dent chargé des questions tcchnloues, de ' qualité de leur enseignement démontrée présider la séance. Il le fit avec son par les excellents résultats obtenus. Du Mozart, encore avec l'ouverture de autorité et son aisance habituelles, ayant La seconde partie de ce concert fut l’« Enlèvement au Sérail », ce Singspiel à ses côtés au bureau : AI. Boiton. vice- plus spécialement consacrée à l’audition enchanteur, annonciateur de la grande président ; Foulard, secrétaire ; Deson, d’œuvres interprétées par des profes­ floraison romantique. directeur de l’Harmonie de Laneey et, seurs de l’école de musique. Nous. ne saurions oublier la place de Boîze, de Saint-Priest Tout d'abord, M. Simon Dubrulle, pre­ choix au Bol Canto et à l’excellence des En cette première réunion, constructive mier prix du Conservatoire national de interprètes du passionné Verdi, du dra­ s’il en fut, MM. Mouis, Boiton. Foulard Paris, interpréta avec son aisance habi­ matique Puccini et séduisant Masseret : prirent successivement la parole, souli­ tuelle le « Concerto Da Caméra », de J. Jany Freval (soprano léger), Michèle gnant la belle vitalité dos sociétés musi­ Ibert ; il était accompagné au piano par Frank (soprano lyrique) et Enzo la cales de l’Isère et cernant avec les Mme Dubrulle. Puis M. Bourgeois, ex­ Sel va (ténor). congressistes, chacun des problèmes que soliste de la Musique principale de la Très finement commenté par Jean-Louis pouvaient susciter le fonctionnement de Flotte, nous charma avec la « Fantaisie chaque société, l’organisation des Pastorale Hongroise », de F. Doppler. M. Allibert (de l'Odéon), ce concert affirme exa- les qualités d’an orchestre qui, par la mens, la préparation des festivals et ia Gadenne l’accompagnait au piano. Le pu­ répartition des tâches entre les divers blic fit à nos deux virtuoses de longues musique, ouvre les chemins du cœur. dirigeants. ovations. Bemard BLANCOTTE. Parmi la nombreuse assistance, nous L’assemblée passa ensuite au calen­ avons remarque : M. Lolive, député-maire drier des manifestations de l’armée. Si de Pantin, entouré de la municipalité et CHEFS DE MUSIQUE la prochaine assemblée générale est fixée du conseil municipal ; M. Pellat, conseil­ à Vienne le 10 octobre, et le congrès ler général de la Seine ; M. le colonel pour vos FANIONS fédéra! prevu â Bourg-de-Péage le 3 juil- Cha roi lais, secrétaire généra! de la Fédé­ -et, les festivals départementaux auront ration musicale de Seine et Seine-et-Oisc, ECUSSONS - BRASSARDS lieu à La Tour-du-Pin, pour les adultes, qui nous fit l’honneur et Je plaisir d’as­ BRASSARDS le 23 mai et, à Bourgoin, pour les ju­ sister à tous no.s grands concerts ; M. Attributs brodés mains niors, le 27 mai (éventuellement le 30 pour certaines sociétés). Guy de Linières, représentant M. Ondu, métier suisse directeur (musique pittoresque) ainsi que Elle rappela aussi à ses membres que de nombreux directeurs de sociétés musi­ des stages de rorma fions auront lieu COMPOSITEURS, vos manuscrits sont précieux, uniques, cales. îLæs pour les jeunes à Maçon du 27 juillet irremplaçables. Vous ne craindrez plus de les perdre, de Noas avons bien regretté l’absence de Réunis au -i août et pour les chefs à Aix-en-’ notre président, M. Roger Laroche, qui Provence du 15 au 30 juillet. ' les détériorer, de les confier à un tiers puisque vous s’était tant dépensé pour la réussite de 84, rue des Archives, PARIS-3Î Quant aux examens, dont tout le poids retombe sur M. Foulard, certaines dates pouvez très aisément en faire tirer des copies parfaite­ ce concert et que la maladie avait con­ C.C.P. 76132 Tél. ARC. 62.50 traint à garder la chambre. Noas lui sont encore à débattre. Seule? .-ont dès ment fidèles. souhaitons un prompt rétablissement et Se recommander du journal lors inscrites au calendrier celles des espérons le revoir bientôt parmi nous. examens do niveau supérieur : Lvon lo LA NEOCOPIE MUSICALE, grâce au procédé héliogra­ Réjouissons-nous d’avoir à Pantin une 1 16 mai, et moyen, à Tuliins le 2Û mai. si bonne harmonie et une école de musi­ L’U.D des sociétés musicale oubliera phique permet une reproduction rapide, peu onéreuse et que animée par un directeur et des pro­ bientôt les autres dates. fesseurs qualifiés et dévoués, ne ména­ L’assemblée, avant de se séparer, vota à un nombre d'exemplaires plus limité que ne l'autorise geant. pas leur peine et procurant chaque a l’unanimité, un vœu pour un prompt l'édition classique. année â l’harmonie de nouveaux et ex- rétablissement cîo la santé du président exilent s « lémcr.î. Noc! Rvyol. Je p -siden? et le.-» .'(lû(libres SUD-EST ciu Comité directeur de la Fédération Mais n’oublions pas qu’une telle orga­ Vous pourrez diffuser votre œuvre auprès de vos relations, s associent affectueusement .à ce souhait nisation n’est possible que grâce à l’aide Union des sociétés musicales de la S.A.C.E.M., des interprètes, des chefs d'orchestre, généreuse d'une municipal:t.j soucieuse et lui renouvellent scs sentiments de vivo d'éducation artistique populaire et remer­ de la Drôme et sincère sympathie. des organes officiels, etc. cions M. Lolive et le Conseil municipal Gala de l’Harmonie Romanaisc G. EOLAXCO. de Pantin pour tout ce qu’ils font en Tous renseignements à l'adresse ci-dessous; envoi d'un Premier concert do gala de l’Harmonie CHAMBERY faveur de l'harmonie et de la jeunesse Romanaise au Foyer du théâtre ce jeudi pantinoise. •1 mars avec la participation du ténor Concert de gala annuel dépliant et d'un spécimen sur simple demande. Le secrétaire de l’harmonie, canadien, René Berge, accompagné par par l'Harmonie Municipale H4GANAU. ALIo Michèle Thivoîlc, premier prix du Conservatoire do Lyon. Depuis quelques !.. tradition a LA PLAI NE-SAINT-DENIS Ce fut un régal pour les auditeurs qui repris ses droits pour le grand plaisir manifestèrent leur contentement par de des amis de la musique, et cette soirée Plaine-Accordéons-Club nombreux rappels. fût on tous points remarquable Le 27 mars le Centre musical de la Au programme de cet artiste figurait : Une soirée lie gala de l'harmonie est □ Plaine Saint-Denis a présenté, .sous le « La Tosea ». « Werther », « Turandot ». lour i.i promesse (tenue) d'une a gréa- patronage de Plaine-Accordéon-Club, son « Roméo et Juliette », « Paillasse ». .« Ri- ble omble un nombreux deuxième concert de guitare. goletto » bien accompagné par lu char­ sociétaires et de mél< «mines. Place sous la présidence de AI. Roy, mante Mlle Michèle Thivoüe. pianiste re piartio. on nous invitait à de directeur du CAI.P. (remplaçant AI. Re­ de Valence. menndje à travers l’Europe » qui lier, président de Plaine Accordéon-Club, A son tour, l’Harmonie R orna a .aise connu . par l’Italie avec l'ouverture do excusé), le concert commença par , la sous la direction du sous-chef, A Rnlu- « Pie voleu.'o », de Rossini, ou nous présentation de trois élèves du premier neau. nous fit admirer une mari avt:*n> P11 apprécier les qualités de solis­ degré: AtM, Alain Boyart, Pierre Salkflza- I l'allure britannique : Tnmnvt ! >!on- te de Marcel Dnbonnet. à la clarinette, now et Michel Pepion qui exécutèrent : taiy •■■, de Tïcmy Pounv! de Bernard Faut, au hautbois, puis la «Marin». «Si tous les oiseaux» et. «Les Ensuite ce fut un ;:io Fr avec le « Ballet do Sylvîa ». de ‘ v Enfants du Pire» ». | bien exécuté par AIM •ai 'haut- TV ’:bes, l’Autriche avec « Chlt-Chat », Le trio-du deuxième degré comprenant bois», A. Zamora ici. J. GuiUc- p< de J. Strauss, la Russie avec la MM. Jean-Marie Martin, Bernard Laràei- j mot (saxophone t<’n nse du Sabre », de Khnchaturian. et 6. rue deSp«°.C°»mpsMpariSCA,iiE: 4882756 loise et Jean-Pierre Bail ici exécuta la Sous la baguette ' Maître Charles enfin l’Europe avec son style moderne de « Marche des Barbouzes », « Danièla », Mayeux, l’harmonie fit applaudir dans ! ’« Ameéricaln Panorama », de J. Darling. « Lc.s Gitans», «Lu Bleu de l’Eté» et j l'ouverture de « 1l ’idc:! io et ensuite de Après plusieurs : ïs. le dernier mor- « Dès que Je Printemps revient ». Tous i lu Bohème civu dut être roi Sous la direction

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■ 15 MAI 1965 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE F de Serge Hcrlin. sous-directeur et pro­ Blaye, pour l’inciter à continuer ce qui les Enfants de Saint-André-de-Cubzac cé­ BORDEAUX penses, vivement apprécié, et souligne fesseur au Conservatoire national de mu­ est entrepris à l’Ecole de musique et lébrait, dimanche, la fête de sa sainte l'action exemplaire de M. Davier dans sique,' discret, efficace et musicien jus­ avec Les -Merlots fut chaleureusement patronne. Assemblée générale annuelle ia délégation. qu’au bout de sa baguette et de sa cla­ fait et sera certainement entendu. Au cours de la grand’messc, où l'ac­ du 7 février 1965 Sur les assurances, le nouveau rappor­

■ rinette, l’harmonie reçut un accueil, par- cueillit et la félicita M. le doyen, elle teur, M. Roubin, qui, déjà au sein du La séance est ouverte à 9 h., à la ticuîièrcment chaleureux, dès sa pre- CAUDERAN exécuta, sous la baguette de son chef, Bureau fédéral, s’oocupc des droits d’au­ mière apparition. Tout au long du con­ M. André Beaumont, un magnifique pro­ Maison de l'Europe, 6, cours de l’Inten­ teurs, fait un très intéressant exposé cert', les applaudissements devaient sans Sainte-Cécile gramme de circonstance, fort apprécié de dance. h Bordeaux, sous la présidence et fait particulièrement ressortir quo cesse, et justement, se renouveler, car l’assistance, et où se distinguèrent deux de M. Henri Ciran, président fédéral, en beaucoup de sociétés ne sont pas' encore ce qu’offrit à son auditoire fort nom­ de la Société Symphonique solistes. MM. Beîougne et Grenlé. présence de nombreux délégués des so­ assurées, fait grave, car les présidents, ciétés fédérées du Sud-Ouest. breux notre société, fut, il faut le dire, Le 10 janvier, h midi, en l’église Saint- Les membres de la société se retrou­ responsables de leurs sociétés, r.c sont d’une extrême qualité, non seulement Amand eut lieu la messe annuelle que vèrent autour des tables du Coq-Hardi. Sont présents, du Comité fédéral : MM. pas couverts en cas de sinistre. dans le choix des morceaux mais aussi la Société symphonique assure de sa On y remarquait : MM. Fournier, mai­ Ciran, Coursan, Saint-Blnncard. Laporte- Ce rapport est adopté, à l’unanimité, dans l'exécution et l'in t repré tut ion. participation musicale, et qui est ton- re ; Davier, représentant la Fédération Trilles. David. Sallard,. Millerand, Cap­ sous les applaudisemcnts de tous... En deuxième partie nous entendîmes jours un très beau programme sous la deville, Bousquet, Robbin, Camelerrc. des Sociétés musicales du Sud-Ouest ; Pé- Goulée, Mme Millerand. M. Pironom. Les rapports de la Commission artis­ l’orchestre de l'Académie d'accordéons de baguette de. M. Gendreau, professeur au rinaud et Beaumont, président et direc­ tique sur les examens de solfège et ins­ Chambéry sous la direction d’André RJc- Conservatoire. Ce fut « Messidor ». d’Al­ Rnnchoup. Sieurac. Sirdet. Blanchard, teur de la société. Au dessert, M. Péri- Dessaut, Dupart, Lefay, Mesnard. truments de 1964 et sur les épreuves chi qui nous interpréta 1 « Adagio », d Al- fred Bruneau ; « Adagio », d'Albinoni, naud remercia ses invités, et engagea pour 1965, faits toujours avec beaucoup binonl. soliste : M. Gilbert Ginger. puis avec une orchestration de M. André Gen- les jeunes h s’intéresser à la musique. On note la présence de M. Gousse­ d'esprit, par M. Albert David, vice-pré­ dans «Les Steppes ne l'Asie Centrale», dreu, et « Andante ». de Paul Fauchey. M. le maire, qui assistait pour la pre­ baire, président de la Maison de l’Eu­ sident fédéral et secrétaire général do de Borodine. et pour terminer « Ltebes- A l’issue du banquet qui suivit la mière lois, il y a trente ans. au banquet rope, conseiller municipal et membre la Commission artistique, précisent quo loid >>. de Kreisler. soliste: Mile C.au- messe, l'heure des discours fit entendre de Sainte-Cécile, félicita MM. Périnaud, d'honneur de la Fédération, qui a bien 62 sociétés ont présenté des élèves, au dine-Buthod. Cette présentation fut, pour d'abord le président, fédéral, M. Henri Beaumont et Laforgue, chevilles ouvrières voulu nous accueillir, et représentant le total 1.061 candidats, dont 408 pour les " beaucoup, une révélation des possibilités Ciran. président de «Ja Société symphoni- de l’Harmonie, qu’il remercia de sa par­ maire de Bordeaux ; de Mme Barou, instruments. Les diplômes de première de cet Instrument qui sont étendues et qi:o. puis MM. Gendreu, Mora. directeur ticipation, avec la batterie des Meuniers déléguée du Mérite national Français et mention ou premier prix selon les divi­ très ‘ musicales. de la Musique municipale ; abbé Bernat, de Montalon, aux manifestations officiel­ présidente-fondatrice de l’association Les sions ont été remis à 50 l!o des effectifs : Enfin les ballets de Mme Saccépé-Van­ curé de Saint-Arnaud ; Mesnard, prési­ les. et forma des vœux pour sa pros­ Amis des Arts. en solfège et instruments, ce résultat est nier participation particulièrement mar­ dent honoraire fédéral ; Beauger.cy, dé­ périté. tout en regrettant, de ne pouvoir Le président fédéral lit la lettre d'ex- en augmentation sur l'an dernier où lo quante. qui nous donna la « Suite ro­ légué départemental de Jeunesse et lui attribuer de plus larges subventions. cusc de M. Georges Carrère, directeur pourcentage n’était que de 20 % pour lo mantique ». de F. Schubert, un ba..ejt Sports, et M. le maire de Caudéran. M. Davier félicita les musiciens de solfège et 30 % pour les instruments. la parfaite exécution de leur programme du Conservatoire municipal de musique admirablement imaginé et règle et enfin De nombreuses personnalités assistaient de Bordeaux. Ii y a donc un progrès incontestable une fantaisie moderne intitulée « visite au banquet de près de 100 couverts, no­ à la cérémonie religieuse, et, heureux u souligner. Pour avoir tir.e idée du au musée ». tamment : MM. Lem. conseiller municipal de constater la renaissance de leur so­ Excusés du Comité fédéral : MM. choix des Instruments parmi la jeunesse Félicitations donc à tous et â toutes de Bordeaux ; Millerand, président des ciété. leur demanda de faire confiance Zawialoff, Davier (malade), Verrier. Tre- musicale des sociétés fédérées, voici une pour cetic magniiique soiree. au maître Benjamins do Bordeaux ; Larricu, prési­ h son dynamique réanimateur, M. Beau­ minc. Chauprade, Durand. Vignau-An- liste des instrumentistes examinés : 21 d'œuvre Serge Herlin et. à ses musiciens. dent de l'Union chorale représenté par mont. pour que l’Harmonie de Saint- gladc. violons, G8 piano. 96 clarinettes, 71 saxo­ André retrouve la place brillante qu’elle Un auditeur mélomane. M. Roger Cazaux. Lassagne, directeur Excusé de la Commission artistique : phones, 44 cornets à pistons. 32 trom­ honoraire de l'Union chorale : Reynot, occupait jadis dans les concours de la M. Monteil. pettes. 18 flûtes, 7 cors d’harmonie, 6 directeur de l’Union chorale ; Mme Au- Fédération. barytons, 5 trombones à coulisse. 2 bu- Il est procédé ù l'appel des sociétés g.es, 2 saxos alto ml bémol. 4 hautbois, bain, présidente de la Renaissance de Puis vint la remise des médailles et et â la vérification des pouvoirs. Jean BENTABERRY l'Orgue ; Darmenté, directeur de l'En­ diplômes attribués à neuf de nos musi­ •1 basses, 5 guitares et 26 accordéons. semble instrumental d’Aquitaine, etc. ciens, qui totalisent de seize à vingt-deux Le président remercie les sociétés, dont Pour les instruments de batteries et bat­ vient d'enregistrer ans de dévouement à la cause musicale : « La Nehe » de Dax, laquelle pense-t-il teries-fanfares, il y a eu : -16 tambours, A la messe également parmi la très est une des plus lointaines, venues a A la tête de son célèbre orchestre MM. Max Fillatreau, Roger Eyraud, Jean 21 clairons, 4 clairons à pistons, 1 clai­ grande assistance de fidèles se trouvaient HiMairet, Marcel Moreau. Jean Landreau, ce congrès annuel. ron basse, 4 trompettes d'harmonie, 1 champêtre de Radio Toulouse, Jean plusieurs personnalités du monde de la Prononçant une courte allocution, le baryton. Les examens ont eu lieu dans musique parmi lesquelles MM. Roubin, Ixil Michaud, Yves Laforgue, Yves Seize BENTABERRY vient d'enregistrer et Marc Favrcau. président déclare notamment : « Je vous onze centres répartis en diverses villes secrétaire du Bureau fédéral et président remercie d'être venus à notre manifes­ dont deux à Bordeaux et là division supé­ sur disque «Tivoli » (45 tours) de l'Orchestre symphonique de Talence ; Des diplômes d’encouragement étaient également décernés aux jeunes : Daniel tation, laquelle se tient cette année à rieure au Conservatoire de Bordeaux 4 danses, style « Belle Epoque » Hiîlou, organiste titulaire de St-Amand : la Maison de l’Eiiropc : ' nos plus vifs (trente candidats). Enfin, trois candi­ Mme Hillou, trésorlère des Amis de l’Or­ Aluno, Jean-Olaude Duiaurent et Alain dats ont été sélectionnés pour le concours de Roger COITEUX Hervé. remerciements iront donc à son prési­ gue de Saint-Amand ; Jean Mallet, des dent, M. Goussebaire. La première ma­ d’excellence à Paris, où ils ont obtenu (directeur de la Lyre Municipale Amis du Grand Théâtre, etc. Et terminant. M. Beaumont remercia nifestation qui s’est faite dans ce beau deux premiers prix d'excellence (un saxo­ d'Angoulême) scs musiciens des résultats satisfaisants, cadre a eu lieu en octobre dernier, phone alto et un tambour) et un troi­ obtenus au cours de l'année. Clochettes Bleues (polka) MACAU c’était la première audition publique de sième prix d’excellente (une flûte). nos lauréats de nos examens fédéraux, Ciel de Saintonge (valse) L'Harmonie Ces rapports sont adoptés à l’unani­ SAINT-SAVIN-DE-BLAYE parfaitement réussie. Nous espérons d'ail­ mité, sous de vifs applaudissements et Rosée du Matin (schottisch) © leurs la renouveler avec plus d’ampleur. et la tradition carnavalesque les félicitations du président fédéral. Charme discret (mazurka) Nous discuterons tout à l’heure de cer­ Depuis 1900, l’harmonie fête chaque Sainte-Cécile tains vœux, lesquels, nous en sommes La remise par M. Goussebaire. assisté Adressez- les commandes à I auteur : Mardi-Gras le carnaval, et cette anneo certains, faciliteront la bonne cause de de ..Lue Durou, de la Croix d'officier du Roccr COITEUX, 21, rue Marcel-Pom- Le 17 janvier 1965, l’Harmonie de Saint- Mérite national Français à M. Coursan Angoulémc (Charente) C.C.P. Li- encore ce • passe-rue costumé ( les musi­ Savin se fit entendre à l'église avec les la musique... tenu, ciens respectent l'uniforme de la créa­ et de la Croix de chevalier du Mérite moges Ne 521.59. extraits de la messe de Stellian et l’« Ave « Nous avons l'intention de susciter, national Français à M. Sallard est faite tion. c'est-à-dire redingotes, hauts do Verum », de Mozart, puis dans la toute pour nos sociétés lointaines, des grou­ Envoi franco : 10,50 F l’exemplaire forme ou melons) bien réparti dans les aux récipiendaires sous les applaudisse­ neuve salle des fêtes donna un concert pements et unions comme cela existe ments unanimes de l'assemblée. Prix spéciaux à compter de 5 disques divers quartiers de la ville et même à avec notamment les « Danses Hongroi- déjà dans certaines parties du territoire Sur l'invitation de M. Albert Sallard, et fraction de 5. Ludon. Cantenac et Soussans, a été suivi de Brahms ; « Le Jour le plus fédéral. des populations, bien entraînées par les ses ». secrétaire général, qui donne lecture h Un succès pour les amateurs long », etc. Beaucoup de monde et beau­ « Il conclut, sous de vifs applaudisse­ airs appropriés à cette journée dite « Vas- coup de succès, dont il ne faut pas écar­ i'assemblée des dates des examens, fes­ de musique si b y en beuglant ! » ments. en pensant ainsi que ces nouveaux tivals et. concours pour 1965. communi­ ter l’école de musique qui se fit enten­ groupements ou nouvelles unions servi­ A leur retour au bourg de Macau les dre dans un petit ensemble instrumen­ quées à la Fédération par les sociétés, _ musiciens eurent le banquet, lui aussi, tal très sympathique et les élèves des ront l’action de la fédération. » plusieurs sociétés font connaître de nou­ — dans la plus pure tradition gourmande classes de solfège, dans une lecture chan­ Rapport moral : Le secrétaire général, velles dates, et à ce jour, voici ce qui du carnaval et les grands crus de Ma­ M. Albert Sallard, donne lecture de son cm communiqué au congrès : tée de solfège, innovation fort agréable rapport moral : adhésions nouvelles, réus­ cau, Cantenac, Soussans furent des com­ à entendre et composée par le directeur site des festivités et examens fédéraux, pagnons de haute volée dignement res­ de l’harmonie. M. Claude Janot a fait somme toute excellente situation. Examens fédéraux : SUD-OUEST pect es et appréciés. Un salut de recon- faire des progrès géants à l’harmonie Le rapport moral est adopté à l'una­ 16-5, Ambares, Lesparre, Lahgonf — ’ naissance va aux généreux donateurs. depuis les deux années qu'il la dirige et MM. les maires de Macau, Cantenac et anime une école de musique de qualité nimité, uvec les remerciements du pré­ 20-5, Saint-Médard-en-Jalles. — 23-5, Cou- Soussans se trouvaient à la table d'hon­ sident fédéral. tras. Facture. — 30-5, Bordeaux. — 27-6, CARS dont cette journée de Sa!r\te-Cécile a Rapport financier : Le trésorier général, neur autour de MM. Cirûn, président de apporté la preuve éclatante. De nom­ Bordeaux, au Conservatoire, division su­ Avec « Les Merlots » la Fédération des Sociétés musicales du M. Robert Capdeville, fait un exposé très périeure de tous les centres. breux jeunes viennent à la musique lors­ détaillé de la situation financière, et de Cars et Blaye Sud-Ouest, et Bertin, président de l’Har­ que elle est enseignée, et ils sont encore monie de Macau. Des discours de circons­ plus nombreux lorsqu’elle est b:en ensei­ tient à faire remarquer que les frais de Festivals : Les Merlots de Cars et Blaye ont fêté tances de MM. Ciran et Pierre Soum fu­ gnée, comme c’est le cas à Saint-Savin, déplacements des délégués de la Fédé­ nouT ia première fols la sainte Ceci le rent très appréciés. et cola doit être souligné. Aux mérites ration, auprès des sociétés, naguère à 16-5, Marcillac, Le Porge. — 23-5, Am­ i-or i dire que ce fut un coup de de M. Janot, il faut associer M. Petit, la charge de ces dernières, sont depuis bares. 30-5, Izon. 4-7. La Teste. maître dont il faut féliciter le presiden^ L’heure des chants permit de constater ces dernières années supportés par la que cette bonne habitude d'autrefois ne maire, qui a compris dans quel sens Drapeau fédéral : Le président rappelle, M Ourot qui conduit sa société a\cc il fallait diriger la jeunesse, et M. Bouri­ Fédération, ce qui est, plus logique, et comme chaque année, que le drapeau fé­ foi eT di-nlmisme, et .va lui assurer se perdait pas non plus à Macau. et il conforme aux désirs’ de notre président fut entendu de fort jolies choses. Mais gean, le président dévoué de l’Harmonie et du Bureau fédéral. Il ne manque pas déral reste à la dispos.uon des Sociétés nous en sommes certains, appuyé par de Saint-Savin, tout heureux du travail fédérées qui le réclameront pour leurs un bureau bien choisi et. dévoué, de l’heure tournait et le défilé devait repren­ d’associer à ses travaux, M. Jean Bous­ dre pour aller à la mairie où le tradi­ qu’il a prodigué pour la bonne marche quet, son adjoint dévoué. festivités. brillants lendemains. De plus chance ex- de sa société, dont il est justement ceptSnnelle pour cette batterie-fanfare tionnel quadrille de la « Mascotte » de­ Rapport de la Commission de contrôle Il est procédé à la distribution d'un vait servir à animer la masse costumée ré-compensé, et qui participe ainsi avec des comptes et du comptable expert : imprimé concernant un concours inter­ ûf Posséder en son chef, M.FWJ. J où t^nt d’ingéniosités comiques se firent M. Régis Sirdet, à l’œuvre de rénova­ national de musique, qui doit se tenir musicien authentique, ïe tion musicale entreprise dans cette ré­ M. Auge, président de cette commission, «eux. oui assure aussi les destinées oe jour. A ce rendez-vous d'obligation il étant excusé, malade, des souhaits de les 12 et 13 juin 1965, à Luchon ; société ne manquait pas de travestis de tous gion. Dans cet élan de renouveau, nul prompt rétablissement sont formulés, et organisatrice : La Fanfare Luchonnaise, l'Ecole municipale de musique de Blaye, n’hésite d’ailleurs à apporter son aide, ou il a déjà donné la preuve de ses genres, petits et grands, et la musique M. Davant. de cette même commission, M. Jean Kibis, président, 39, al.ecs d’Eti- entraîna tout ce monde joyeux, sous la et c’est ainsi que M. et Mme Maroua. gny, Luchon (Haute-Garonne), et le prési- qualités. donne lecture de son rapport permettant dynamique baguette de M. Soum, vers instituteurs, ont permis que l'école de de voter des félicitations à notre tréso­ ue.it lance un appel pour y participer Le ' si joli coteau que surplombe la un ultime défilé avant d’aller à la salle musique fonctionne avec succès. On en rier général et de lui donner quitus de •..t grand nombre. vieille église romane de Cars, dont U de bal où vraiment la fête continua espère bien d’autres. C’est bien l’ensem- 11 est souscrit, à l’unanimité, à un faut se réjouir de l'intelligente restau­ la gestion financière, après une inter- comme il convenait ! b’es des bonnes volontés et le courage vent ion toujours très spirituelle de M. vœu ce Mme Olivères, qui demande un ration que mène avec ferveur, M. Bos­ de tous les musiciens qu’il faut féliciter. oomoit plus grand du matériel et du suet. maire de Cars, président de 1 Har­ Que l’Harmonie de Macau soit féli­ Georges Pironom, comptable ayant ox- citée pour sa fidélité et sa réussite. Elle Vin d’honneur et banquet ont suivi r*ertisé la trésorerie fédérale, qui fait inoo.iier pour les jeunes candidates et monie de Blaye. a vécu une be,.e journée candidats des examens fédéraux, notam­ musicale. Ce fut d’abord, devant la mai­ h l’appui unanime de tous, et elle le les auditions, selon la tradition. A leur ressortir qu'un fonds de réserve est né- mérite, car elle anime la vie de Macau issue les voix de MM. Bourigean, prési- cessaire, par exemple pour le cas ou ment au centre des Ecoles Henri-IV à rie la remise du nouveau drapeau des Bordeaux, pour les épreuves instrumen- Merlots offert par M. Dupts et. qui eut et ses environs de façon exceptionnelle. dent; Sirdet, président de Saint-Chrys- une solennité importante .peut être un toly et membre du Comité fédéral ; Pe- concours de musique, serait organisée, ta.es. pour .parrain le député, M. De.iaune, c Un vœu concernant les récompenses pour marraine, Mme Curot, avec les son tit," maire de Saint - Savin ; Guindron, Le rapport du trésorier général est adopté SA1NT-ANDRE-DE-CUBZAC conseiller général et. Davier, secrétaire à l'unanimité sous les applaudissements aux examens a entraîné une échange de ne ries reglementaires exécutées par les vues au sujet oes jurys d’examens. Merlots. suivies de la « Marsei.laise » » de la Fédération des Sociétés musicales avec les remerciements du président, Notre harmonie du Sud-Ouest, remercièrent, tous les arti- Rapport sur les récompenses : M. Da- Il est ensuite donné lecture, par le par l’Harmonie de Marcillac que dirigeait président fédéral, de divers vœux sur son chef. M. Lhoumeau. Ce dernier, a sans des résultats obtenus, et évoqué- vicr, notre excellent collaborateur, s’oc­ a fêté sainte Cécile rent le prochain centenaire de l’Harmo- cupant des récompenses, est retenu par ia dictée musicale aux examens fédéraux, la messe qui suivit, fit entendre, par nie de Saint-Savin. en mai prochain, ce la maladie. Des souhaits de prompt réta- émanant de l'Union du Bassin d’Arca- sa phalange : la « Marche Pontificale ». En même temps que le soixante-neu­ chon. de diverses sociétés, de M. Miile- vième anniversaire de sa fondation, qui qui «œra une belle et réconfortante ma- blissement sont formulés et le président de Gour.od ; « Elégie ». de Roger Hubert. :.ifestat:cn. fait un exposé succinct sur les récom- rand, de M. Durand, et à la conclusion « Ave Maria ». de Gounod. et ra « Rc- remonte à 1895. notre vieille harmonie de laquelle M. Ciran, après un large verie». de Schumann. Bravo pour ce échange de vues, demande au congrès beau programme. de bien vouloir renvoyer à la Commission artistique l'étude de- ces divers vœux qui se fera en présence des intéressés. Approbation unanime de l’assistance. mieux pour réussir une belle audi.ion. | Le directeur do la Société de Dax fait suivie du vin d'honneur au cours duquel ! ensuite un intéressant exposé dans le­ ïvl. Henri Ciran, président de la Fecu-ra- : quel il déclare notamment ce qui a pu tion du Sud-Ouc-st. remit meoalî-cs e. être réalisé, avec l’aide précieuse de SOS diplômes fédérales à MM. Perroy. Mvu.er ; collaborateurs, au sein de sa société et et Denis. Puis évoquant ses attaches . jusqu'à une caisse de secours mutuels. familiales avec Cars, M. Ciran. on pre , Il est souscrit, à l’unanimité, au vœu nant ia parole, souligna l’importance a.- . de l’Union des Sociétés musicales du cette fête oour le bien de la musique, j Médoc, présenté par son président, M. se réjouir de l’ascension des Mer.ots de Goulée, souhaitant que. comme cela était Cars et Blaye, remecia Marcillac de :•-» autrefois, le bureau fédéral soit repré­ fraternelle présence et félicita k-^ oe- senté au sein de la Confédération musi­ corés de ce jour, le président, M. Curot, cale de France. Le président déclara que les directeurs, MM. Lhoumeau et Perroy. diverses candidatures ont été faites lors M. Bossuet, maire de Cars, et tous du déroulement du congrès d’octobre à ceux qui assurèrent le succès de cette Paris, mais la délégation du Sud-Ouest belle, journée du 21 février. n’a pas posé de candidature. 11 sera tenu compte pour l'avenir du désir exprimé Au Foyer rural, un délicieux Danquet par lo vœu des Sociétés du Médoc. fut servi, arrosé de tous les meilleurs I O président après avoir remercié l’as­ crus de Cars, et une ambiance de grande semblée pour sa bonne terni lève là joie ne cessa de régner tout au long séance à 12 h. De nombreux congres- de la réunion. dsl es assistèrent nsuite au repas, au A l’heure des discours se firent enten­ Pont Borne t, au Plan, ce qui fut une dre MM. Deliaune, député ; Curot, prési­ réunion' parfaitement réussie, comme tou- dent des Merlots ; Bossuet, maire de I jours. Gars ; Perroy, Jean-Raymond, Carreau Plusieurs allocutions v furent pronon­ pere, Dr Grazlllier. adjoint au maire de cées, notamment par MM. Coursan, Saint- Blaye, ev Ciran. Tous ;,e firent l’écho Blancard, Sirdet, Blanchard, Foulée, La- de ia brillante réussite de cette première ! porto-Trilies. Lafitte, Mesnard. etc. Ce Sainte Cécile, se réjouirent des résultat s ■ lût un intéressant échange de vues. de l'association Cars et Blaye, qui main­ tient au chef-lieu de l'arrondissement la ' présence de la musique. Audition des élèves Pour l'enseignement musical, M. Henri des cours de musique Ciran insista sur le rôle essentiel que tient la Fédération du Sud-Ouest, et lit de la chorale S.N.C.F. un appel éloquent, chaleureux aux pou­ Le 14 mars, la salle des fêtes Elvina- voirs publies, qui de plus en plus ont Sivan a cto lo témoin, en matinée, des le devoir, outre l'intérêt, de soutenir échos sonores produits par les élèves des sociétés musicales et écoles de musique. cours de musique sous la présidence do L'appel, en particulier à la ville de

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VtVA ; *• ► ► » 16 CONFEDERATION MUSICALE DE FRANCE MAI 1965

►ih M. Loubcry, ingénieur chef du 3e arron­ compagnées a l’accordéon par J.-P. Fourc fidélité à la musique. M. le maire de et incomparable président, M. Paye, re­ A i’entr’acte, furent remis les diplômes dissement M.T. entouré de MM. Sainte- et R. Touya. Caudéran clôtura en souhaitant que. dans traçant un tableau des efforts accomplis obtenus aux différents examorxs de 1964, Ouque, Quoille, Escabassc, Lavie. Meis- La séance s’est terminée par le dyna­ l'avenir proche qui va unir Caudéran ces derniers mois, soulignant l’appui après que M. Ichard et Moga eurent * sonnicr, cheminots, et de MM. A. Sal- mique chanteur Mick Daytona et ses à Bordeaux, se continue tout ce que la bienfaisant de la municipalité et celui prononcé quelques mots. lard, secrétaire général de la F.S.M.S.O., Skyblayseurs qui méritent d’être compli­ commune de Caudéran a Jusqu’ici connu de la Fédération qui a â sa tête un M. Henri Ciran, président fédéral, et et Dessaut, président de la Commission mentés pour leur entrain, leur brio et la grâce à tant de dévouements. président dynamique et estimé de tous, M. Robert Davier, secrétaire délégué aux artistique fédérale. Justesse de leurs accords. M. Ciran remit ensuite les récompenses M. Ciran. , récompenses, assistèrent à cettcf belle Présentés par les professeurs des cours, Bravo les jeunes, persévérez ainsi dans fédérales à deux anciens et fidèles socié­ M. Vignau-Anglade, maire de Carbon- soirée qui fut pour les élèves ot lauréats Mme Baudrous, Reinier, Lambert. Bclin la musique et faites beaucoup d'adeptes. taires et ainsi se clôtura dans la satis­ Blanc et président du Groupement des de l’école de musique, pour leurs profe» et M. Martin, les élèves débutèrent par faction générale, la sainte Cécile de Sociétés musicales du Canton de Carbon- seurs, pour les parents, pour toi» les mu­ 2 chœurs de choix, dirigée par M. A. CAUDERAN l’Union chorale qui retrouve toujours au­ Blanc, lança un pathétique appel aux siciens de l’Harmonie, une manifestation tour d’elle tant d’amis et tant de dé­ pouvoirs publics qui délaissent les so­ à la mesure de la réputation musicale David. Sainte-Cécile Puis ce fut, au piano, pour entendre vouement. ciétés musicales et n’imposent pas à dont jouit La Teste dans la région. C’csfc l’école l’enseignement musical d’une ma­ ce que M. Ciran devait exprimer dans de nombreuses œuvres classiques et mo­ de l'Union Chorale dernes de Mlles E., M., Fl. Monier, C. Stc- SAINT-LOUBES nière efficace et rationnelle, seul moyen une courte allocution, avant la clôture Cluquc, M. Martinez, N. Perrin, Ch. Rou- Le 29 novembre 1964, sous la direction pourtant d'assurer la survie musicale, de l’audition, et il ne manqua pas de bin, B. Chouillou et de MM. P. et J. de M. Jean Reynot, c’est une fort belle Sainte-Cécile de la Lyre par de nouvelles couches d’instrumen­ féliciter et faire acclamer les anima leurs Arèse. J.-P. Marty, Y. Roubin, M., A., messe chantée qui a été exécutée par tistes. incomparables que sont MM. Moga et J., Cl. Laharanne, B. Loupien. Tous ont l’Union chorale. M. Jean Lalanno a fait Quel radieux dimanche fut ce 28 mars, M. Courbin, maire de Saint-Loubès et Monteil, tous les musiciens dévoués qui fait de réels progrès, notamment J. Four- entendre de sa très belle voix « La Pro­ et quel défilé pimpant fut celui de la président de la Société de Secours mu­ sont autour d’eux, les élèves si nombreux : tage, au violon. cession », de César Franck et, M. Reynot Lyre se rendant à l’église. Pendant l’of­ tuels et, M. Ciran, président fédéral, qui savent se montrer dignes du bon en­ L’accordéon a révélé de très jeunes ta­ fit apprécier ses talents de violoniste. fice il fut joué la « Marche Romaine », firent acclamer le président Fayo qui seignement qu’ils reçoivent. S’adressant de Clérisse, et plusieurs pages de Léo depuis tant d’années se dévoue pour lents chez Mlles Fr. Lavie, N. et M. Meis- La musique et l’amitié vont de pair h M. Ichard, le président fédéral le re­ sonnier, G. Thomas. D. Foucher, J. Mar­ Delibes, interprétation de qualité et dans la musique et dans divers domaines pour mercia de l’effort fait par le département à l’Union chorale et c’est pour cela, un style qu'il convient de souligner. M. tin, les trois dernières lauréates de la qu'en dépit d’un recrutement toujours Saint-Loubès et se disent confiants dans de la Gironde pour les sociétés musicales Coupe de France d’accordéon et MM. Dessaut, ancien chef de la Musique de l’avenir florissant de la Lyre de Saint- fédérés et termina en évoquant le pro­ difficile, elle maintient une activité tou­ l’Air et président de la Commission artis­ Loubès. Cl. Bareille, M. Grosset, R. Sallaberry, jours si appréciée dans notre ville. chain centenaire de • l'Harmonie de La R. Dulong, J.-Ch. Delteil, J.-P. Marty, tique fédérale, a pris récemment la direc­ Teste (-1 juillet) qi sera une très grande J.-N. Bonneault, J.-P. Fourc. Au banquet qui suivit la messe, M. tion de la Lyre et a su lui donner un LA TESTE et très belle manifestation auxquels les Henri Larrieu, président, sut, en termes cachet de distinction dont il faut le féli­ efforts de tous s’emploieront. Un ensemble d’accordéons sous la di­ Audition annuelle rection avisée de Mme A. Belin, recueil­ chaleureux, exprimer cette cohésion, cette citer, ainsi que tous les exécutants at­ lit les plus vifs applaudissements. camaraderie qui rendent solide le fais­ tentifs aux bons enseignements de leur de l'Ecole de Musique ceau des chanteurs do l’Union chorale nouveau chef. Puis ce fut le tour de la classe de autour de leur jeune directeur, M. Rey­ Samedi 27 mars, à 21 h., avait lieu l’au­ guitares : Mlles J. Castaignède, E. Roux, A l’Elévation, les clairons sonnèrent dition des nombreux élèves de l'école de not, et sous la vigilante tutelle de M. « Aux Champs » et la ohorale paroissiale, M. Queilie, J. Escabasse. MM. Ch. Lassagne, directeur honoraire, sans ou­ musique qu’anime avec une foi incompa­ Jeanne, J. Hugueniot, J. Fourgeau qui accompagnée par l’orchestre, entonna un rable M. Monteil dont la qualité de l'en VANDOREN blier la dévouée contribution du sous- chant orchestré par M. Dessaut. /. : remportèrent un franc succès. chef, M. Roger Cazeau. M. Lassagne seignement connaît depuis de nombreuses Le chanteur de variétés : Ch. Denis, laissa libre cours aux souvenirs des an­ Le banquet qui réunissait outre les aimées des résultats remarquables. Il MANUFACTURE comme à son habitude, charma son au­ nées passée, auxquels le président fédéral. musiciens, les membres de la Société convient de citer la présence de La Teste, ditoire. M. Henri Ciran, répondit en rappelant de Secours mutuels se déroula dans la chaque année au cocours d'excellence de Les Jougadous juniors, présentés par les années lointaines de « La Glacière » bonne ambiance des jours de faste et la C.M. de France, ce qui en est la plus K! Mme G. Guillaumet et M. Queille, et et de « Caudéran » où l'éminent Jules l’heure des discours venue, furent mis probante illustration. dirigés par A. Barère, exécutèrent un Garanger formait les jeunes cœurs de en relief l’activité nouvelle de La Lyre La salle Brémontier était trop petite joli programme de danses gasconnes, ac- ses élèves à une vie toute entière de et de son école de musique, le dévoué pour contenir tous les parents et amis d'Anches et Becs des élèves et de l’Harmonie de La Teste, réunis pour l’audition, que présidait M. pour instruments le Dr Ichard, maire et conseiller général, ■ aux côtés de M. Gilbert Moga, le dévoué président de l’Harmonie de La Teste. de musique Casquettes de musiciens Il ne nous est pas possible d'énumérer les élèves qui, dans tous les instruments, Qualité supérieure et fabrication de tout premier ordre garanti se firent entendre et formèrent un très • attrayant programme de soli, duos et . Notre modèle habituel de casquettes est fabriqué dans un drap de toute première trios qui ne comportait pas moins d’une qualité garanti grand teint, visière dessus cuir véritable, garnitures intérieures premier cinquantaine de jeunes talents promet­ 56, rue Lepic, PARIS-18" choix, broderie canne tille fine. Nous ne saurions trop recommander cet article au sujet teurs d’une moisson musicale de qualité. duquel nous recevons des multitudes de lettres de félicitations en raison de son L’Harmonie de La Teste conduite par prix extrêmement bas eu égard à sa qualité. Nous pouvons envoyer un échantillon M. Monteil clôtura la soirée avec « Sé­ Tél. : MONTmartre 39.87 de nos modèles de casquettes (frais d’envoi aller et retour a la charge du client). rénade », de Till (cor 60I0 Jean-François Ichard) ; « La Tourterelle », de Damaré Référence (netite flûte solo : Charles Castandet) et M.U.S.l. Casquette de musicien, qualité supérieure, drap bleu marine grand teint de toute l’ouverture de « Poète et Paysan ». de première qualité, broderie lyre et palmes or, 1 galon or â la bande, jugulaire cuir Suppé (saxophone ténor solo : Alban noir avec milanaise or torsadée, visière dessus cuir véritable, forme marine souple. Sensey). Ce fut un régal particulièrement Anches et becs pour artistes Délai de livraison 1 MOIS ET DEMI ...... 27.30 F. applaudi. Pour l’audition des élèves, Mlle Nicet tenait le piano d’accompagnement. M.U.S.2. Casquette de musicien, qualité supérieure même description que ci-dessus mais Tonne aviation, fond rigide. LIVRAISON IMMEDIATE ...... 29.25 F. Galon supplémentaire, chaque ...... 2.25 Fl Supplément pour galon tricolore de clique à la place du galon or ...... 0,30 F. Housse blanche, en toile sanforisée irrétrécissable pour casquette de musicien avec lucarne laissant voir la broderie (Indiquer la pointure) : forme marine ...... 5.50 F. Forme aviation ...... 6.20 F. YONNE - NOUS POUVONS FABRIQUER TOUS AUTRES MODELES. DELAI : 1 MOIS ET DEMI. A Toucy, où doit avoir lieu la fêtp tance d’intéressantes précisions à propos fédérale de musique, (le 20 juin des droits d’auteurs, problème complexé-- __ Insignes pour la vente au cours des fêtes et des concerts dont l’orateur a eu le mérite de résu- prochain) la Fédération Musicale de mer simplement et clairement les grandes i* ' * Ces insignes sont montés sur épingles et livrés en sachets de 100 d’une même espèce non détaillés. l'Yonne tenait, dimanche 4 avril, son lignes dans un petit opuscule dont cha­ - : ' , •„ que congressiste recevra un exemplaire. la 100 les 500 loi 000 congrès annuel Fleurette double, couleurs assorties ...... 3,15 F. 16.50 F. 31.00 F. Après une matinée bien remplie, consa­ Une large discussion s’engage alors en­ Fleurette double, couleurs bleu ciel et blanc ...... 4.00 19.00 36.00 crée aux travaux de la Commission de tre les membres du comité et l’assistance I Fleurette tricolore ...... 4.20 20.00 37,80 contrôle des comptes et du Comité direc­ à propos des charges accrues que doi­ Insigne métal doré (motif lyre, cor de chasse, tambour teur, après un amical et savoureux dé­ vent supporter les sociétés musicales qui, et clairon ) ...... 4.50 21,50 40,50 jeuner servi à l’Hôtel du Lion-d’Or, les â l’occasion d’un bal ou d’une fête qu'el­ Fleurette double, couleurs assorties, avec motif en métal représentants, au nombre d’une centaine, les organisent, font appel à un orches- doré suspendu (motif au choix, voir ci-dessus) __ 7,80 37,00 71,00 délégués des 48 sociétés musicales de tre. Les interventions ou suggestions l’Yonne, se sont réunis, dimanche après- aboutissant toujours à la même impasse, midi, dans la grande salle de l’hôtel-de- le bureau décide de soumettre le pro­ Récompenses pour concours et festivals ville de Toucy, obligeamment mise à blème « à qui de droit » — dira M. Le­ leur disposition par la municipalité, pour tourneau — pour mise au point de ce le congrès annuel de la Fédération musi­ qui semble être une anomalie. MEDAILLES, PLAQUETTES, PALMES, COURONNES, COUPES cale de l’Yonne. M. Drugé, pour sa part, lance un ap­ La fourniture des médailles et plaquettes peut demander un certain délai. Il faut * pel aux sociétés afin qu’elles encouragent compter trois semaines de délai s’il y a un texte il graver. leurs meilleurs éléments â suivre les sta­ Nous fournissons généralement le motif « Femme à la Lyre » qui convient à Entouré de M. Genet, maire de Toucy, ges d’instructeurs et. les jeunes à faire toutes les manifestations musicales. invité d’honneur, et de tous les membres leur service dans la musique militaire. GRAVURE. — Nous nous chargeons de la gravure sur les médailles et plaquettes. du bureau, en particulier MM. Chabrier, Il donne des précisions sur les examens Gravure en creux : chaque lettre 0,35 F., miminum 3,50 F. A partir de 300 lettres au Drugé. Collin, vice-présidents, et Septier, qui se dérouleront en mai prochain et total on a intérêt à adopter la gravure en relief par la confection d'un galet dont le secrétaire général, M. Henri Letourneau, déclare, pour conclure, qu’il faut inten­ prix est le même quel que soit- le nombre de médailles à graver. Nous questionner. président de la Fédération départemen­ sifier, dès l’école primaire notamment, * tale, ouvrait, par quelques mots de bien­ l’enseignement de la musique. Bronze Bronze Bronze venue, de remerciements et, pour les Médaille 35 mm, avec anneau et boule, motif spécial florentin argenté doré Il annonce et commente la fête du absents, d’excuses et de meilleurs vœux centenaire de l’Harmonie de Joigny (dont tambour et clairons, jusqu’à épuissement du stock .. 7,00 F. 9,50 F. de rétablissement pour M. Cerceau, vice- Médaille 41 mm. simple ...... 7,80 8,95 11,70 *• il est le directeur) pour le 23 mai pro­ président souffrant, la série d'allocutions chain. 1 Médaille 41 mm avec anneau et boule .. 9,35 10,50 13,25 ou d’exposés inscrits à l’ordre du jour V' Médaille 46 mm. simple ...... 8.80 10.35 13,65 Après un exposé de M. Septier sur les ; de ce congrès qui, après d’intéressants Médailles 46 mm. avec anneau et boule . 10,35 11,90 15,20 et animés débats, ne devait se terminer conditions d’attribution des médailles et b récompenses aux membres des sociétés Y I’Iaquetle 57 x 40 ...... 15,60 17.35 21,45 qu’en début de soirée. Couronne dorée et brunie, diamètre 100 48,40 F. musicales, M. Mamcron, secrétaire de la Remerciant M. le maire de Toucy et fanfare de Toucy, a remercié la Fédéra­ Couronne dorée et brunie, diamètre 130 51,75 F. Palme dorée, longueur 200 mm...... 28,10 F. sa municipalité pour leur sympathique Couronne dorée et brunie, diamètre 160 58.50 F. Palme dorée, longueur 250 mm...... 30,40 tion pour la subvention attribuée en vue accueil, M. Letourneau rappelait aux de l’organisation de la fête fédérale du TOUS ECRINS ET ROITES POUR LES ARTICLES CI-DESSUS. congressistes que la fête fédérale an­ 20 juin prochain. I! invite toutes les nuelle, fixée au 20 juin prochain, se dé­ sociétés à participer â cette fête et, roulera précisément à Toucy. Il est d’a­ pour l’immédiat, convie l'assistance au Coupes vance persuadé que la Fanfare de Toucy, vin d’honneur offert dans la salle des son directeur, M. Trécourt ; son secré­ fêtes par la fanfare de Toucy. Pour la gravure de texte, nous questionner taire, M. Mameron, et tous ceux qui seront appelés à former le comité d’orga­ Avant de répondre à cet-te aimable in­ 59-2 Coupe métal argenté, avec 2 anses, sur socle bois, hauteur totale : environ 15 cm 55.00 F. nisation, sauront, par leur dévouement, vitation, les congressistes étaient appelés 59-10 Coupe métal argenté, avec 2 anses, sur socle bois, hauteur totale : environ 22 cm . 65.00 F. leurs initiatives et leurs efforts, animer par M. Letourneau â procéder au renou­ 59-32 Coupe métal argenté, avec 2 anses, sur socle bois, hauteur totale : environ 29 cm 93.50 F. cette fête et créer l’émulation nécessaire vellement du tiers des membres du co­ 59-38 Coupe métal argenté, avec ? anses, sur socle bois, nauteur totale : environ 35 cm 121,00 F. mité. C’est à l’unanimité que MM. Ber­ de la population, en particulier pour la gère, Corberon, Drugé. Gendre et Du- décoration de la ville. bost se sont vus confier ou renouveler M. Letourneau soumet à l’approbation leur mandat, après quoi le comité se Brassards et diplômes de l’assemblée, unanime d’ailleurs, l’ad­ réunit pour constituer son bureau. mission au sein de la Fédération de qua Cette question résolue, le vin d'hon­ Brassard en ruban, sans inscription, unicolore ou tricolore ...... 1,25 f: tre nouvelles sociétés: « La Jeannette», Le même avec inscription Comité ou Commissaire ...... 1.60 F. de Cerisiers (direction : Jacquier); le «Ré­ neur proposé par M Marner«l se dérou­ la: même avec l'une de ces inscriptions : President. Vice-Président, Jury, Secrétaire, Contrôleur, veil Vermentonnais » (direction Paris); lait dans une sympathique ambiance et Comité des Fêtes ...... 1.85 F. « L'Indépendante » de Villeneuve-1 'Arche­ mettait un ternie au congrès 1965. vêque (direction: Bonjour); et l'« Union COMITE DIRECTEUR . ' Nous avons en stock les brassards unicolorcs en vert ou tricolores, sans inscription. Pour des Accordéonistes Auxerrois » (direction: P t tous les autres modèles, délai 10 JOURS. Pour toute inscription spéciale, délai 20 JOURS. André Trichot). Composition du Bureau Il évoque la création récente de l’école Président : M. Letourneau (Auxerre) ; *» Diplôme, format 43/32, entourage motif lyre, intérieur en blanc ...... 1,30 F. de musique d’Appoigny (direction : Beau- vice-présidents ; MM. Chabrier (Auxerre), Diplôme : motif Femme â la Palme, format 65 x 50, intérieur en blanc ...... 2,00 F. ¥ lieu). puis il rappelle le succès rencon­ Drugé (Joigny). Cereeau (Tonnerre), Co­ tré par les manifestations musicales or­ lin (Sens). Gendre (Avaliom; secrétaire : ganisées au cours de l’année 1964 : la fête M. Scptior (Saint-Sauveur-en-Puisaye) ; fédérale de Saint-Sauveu r, le festival de trésorier : M. Brun (Joigny > : secrétaire Sergines, les festival S.N.C.F. à Migen adjoint: M. Trognon; trësor.er adjoint: îSS m'oajÉsSâeæ peas ggiise nés et. toutes les réunions, cérémonies M. Corberon ; membres : MM. Bergère, 'x ou manifesattions marquant la célébra­ Brécourt, Dubucq. Richarde* et Dubnst. é tion de la fête de sainte Cécile, pa- txonne des musiciens. . IE LU PETITE FLiTI « SOUBASSOPHONE Après un rappel de l’ordre du jour > de la réunion, M. Letourneau termine son rapport moral en se montrant opti­ Ant. M. VAN LEEST -- LES INSTRUMENTS DE TOUTES MARQUES SE TROUVENT AUX miste sur la gestion ot l’avenir cio* la 9*. Fédération musicale de l’Yonne, dont la $ EINDHOVEN (Pay&-3as) V''. cohésion et la persévérance dans le dé­ V M vouement et dans l’effort aideront à 1 Membre du Jur? >•' ■ m maintenir le prestige de cette • :. populaire à laquelle chacun est Editions Robert MARTIN ment attaché. les rapports c Z Le Gérant : A. EHRMANN. Après .son rapport f-inar.oû '■t et un ex- by 106, La Coupée - Charnay-lès-Mâcon - (Saône-et-Loire) posé très documenté sur 1< '$ conditions b* < d’assurances des sociétés musicales, M. Imprimerie de la « Vigie de Dieppe s Brun, trésorier fédéral, cédait la rôle a M. Chabrier qui apportait à l’a; 12, rue Claude-GrouUTd

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