CINÉ POUR TOUS ABONNEMENTS: Adresser Correspondance France Etranger et mandats-poste : Pierre Hk.frRY, directeur 52 numéro... 20 h. 22 fr. LA PROIE CINE 26 Ai,, Rue PARIS HUGUETTE 26 numéro».. 10 fr. 1 1 fr. POUR Traver«ière ( XII' ) scénario mélodramatique de G. Roudès DUFLOS DÉPÔT DE VENTE A PARIS PUBLICITÉ mis en scène par Marcel Dumont , Agence Parisienne' de Distribution S'adresser : Levai et Ventillard — 20. Rue du Croissant. 20 — TOUS 121 - 123. Rue Montmartre, 121 - 123 Carlo Constant Rémy Hélène Marthe Vinot Géo Bout-de-Zan, Jack Watson Rolla-Norman Felicia Germaine Fontane LES DE LA QUINZAINE Ctesse de Maguelonne . Juanita de Fraizia CŒUR DE MANNEQUIN (The day she paid) VIOLA DANA LA POCHARDE Universai Edition Eclipse Du 3 Juin au 9 Juin : dans La Lampe merveilleuse (Premier épisode) Yvonne Francelia Billington LOUISE HUFF L'EPINGLE ROUGE dans Le Cachet de cire tiré du roman populaire de Jules Mary Rogers Charles Clan scénario dramatique de P. Bierïaimé (Omnia, Pathé-Palace, Ciné-Pax, mise en scène d'il. Etiévant réalisé par E. E. Violet Paris-Ciné, Artistic, Palais-Ro- Film Ermolieff Edition Pathé Film Lucifer Edition Aubert chechouart, etc..) Georges Lamarche ...... M. Norville WALLACE REID Tchang-Kéou . . . - . . Tsin-Hou CHABLES RAY Forest Donatien Charlotte Lamarche . Jacqueline Forzane dans La Revanche du Destin dans Au Pays des loups Jéan Berthelin . . . Emilien Richaud Madeleine Wills .... Simone Vaudry (Gaumont-Théâtre). Paul Valmont Félix Ford Mathis . . . . • Rieffler CONSTANCE TALMADGE Aubert-Palace, Electric, Palaist^Roche- OWEN MOORE Clotilde de Thiellay . Mme Kotchakidsé dans Les Bas de sole dans Jim de Piccadilly chouart, Voltaire, Paradis, etc.. Hubert de Thiellay . ... A. Volkoff GLADYS LESLIE CLARA VV1ETH. dans Ame ardente Urbain de Thiellay . ... Tarride fils dans l'Avalanche H.-B. WATHALL ETHEL BARRYMORE LILY-VERTU dans Le Vengeur LE MASQUE.ROUGE composé par M. Léonnec dans Le Cœur ne se vend pas JOE HAMMAN (Périls of Thunder mountain) et réalisé par Daniel Bompard dans Le Guardian (Premier épisode) Film Eclipse Edition Eclipse MONTAGU LOVE avec Antonio Moreno et Carol Hollo-way Lily-Vertu ...... Huguette Duflos dans L'As de pique LARRY SEMON Comtess; de Valmore Nu:nès o e dans Zigoto garçon de théâtre Georges Lecas ...... Jean Devalde Charles Meunier ...... Scluitz CHAB LIE CHAPLIN dans Chariot et le mannequin UN LOCATAIRE AHURISSANT Comédie Mack-Sennet Edition Gaumont LE SENS DE LA MORT (réédition d'une bouffonnerie lcurnée en Du 10 au 16 Juin : tiré du roman de Paul Bourget 1914 sous la direction de Mack-Sennett et réalisé par la Société russe P. Thomann pour la Compagnie Keystone). L'AHURISSANT CONCIERGE Edition Fox-Film LE ROMAN DE LA VALLEE HEUREUSE Comédie Sunshine Edition Fox Michel Ortègue André Nox Le singe JOE MARTIN (A romance of Happy Valley) Catherine Trévis Mme 0. dans Joë cambrioleur scénario de Mary Cas'telman réalisé par D. \V. Griffith Film Artcraft 1918 Edition Pathé 11 y u cetti' quinzaine quatre mélodra- John Legan Robert Harron mes de mérites divers : le Roman de la Vallée Heureuse, l'Epingle rouge, la Rose Jenny Timberlake Lillian Gish Messagère et la Proie. Le Père iogan .... George Fawcett Le Roman de la Vallée Heureuse est La mère Logan Kate Bruce une production déjà ancienne de D. VV. Le père Timberlake . . George Nicholls Griffith, puisque tournée en 191S, elle est Le citadin Bertram Grassby bien antérieure au Lys Brisé et même au Pauvre Amour. Néanmoins, en dépit à ta Le garçon de café . . . Porter Strong fois de l'improbabilité excessive du scé- Jim Darkly Adolphe Lestina nario et du J'àge de ce film, le Roman de Tante Smiles Lydia Yeamans ta Vallée Heureuse reste une très agréable Le Pasteur Andrew Arbuckle production ; le détail y est remarquable Topsy Frances Sparks d'observation et de profondeur. Mais, très certainement, ce film eut beaucoup gagné Opérateur de prise de vues : C. \V. Bitzer. à être édité en Franee à son heure, c'est- \ Omnia-Pathé, Pathé-Palace, Palais des à-dire avant les deux excellents films de Photo Reutlinger Fêtes, Artistic, Palais, Rochechouart, Pa- Griffith qui Tout précédé sur nos écrans. LILY VERTU thê-Secrétan, etc. L'Epingle muge nous révèle un inter- prète remarquable d'intensité simple dans l'émotion, c'est Tsiri-Hou ; sa grande leurs de salles le projettent en première nes comédies sentimentales, Ljl y-Vertu et LA ROSE MESSAGERE scène, à la fin du film, est tout à fait re- semaine ; an reste nous sommes depuis Les Bas de soie ; ainsi que deux' agréables (Should a woman tell ?) laarquable. On pourra en outre remar- longtemps fixé sur le goût et la compé- apparitions de Wallace Reid (La' Revan- quer les intérieurs modernes de Dona- tence de la majorité de ces messieurs... che du Destin) et de Viola Dana (La lam- tiré d'un drame populaire par Finis Fox tien, le soin précis du réalisateur, E. E. pe merveilleuse). et réalisé par John E. Ince Violet, et la grâce, la jeunesse, la sincé- O Film Métro 1919 Edition Phocéa i ité — rares dans nos films - - de Simone On admirera une fois de plus le jeu Vaudry. d'un de nos meilleurs interprètes, André Cpté ciné-roman, on assistera au retour, Gloria Maxon Alice Lake La Rose Messagère est surtout remar- Nox, dans Le sens de la mort, qui, hélas, tant attendu par quantité d'admiratrices, Albert Tuley Jack Mulhall ne vaut guère mieux que Cosmopolis, N.e- d'Antonio Moreno à l'écran, dans un ciné- quablement découpée et réalisée ; à voir, roman très mouvementé. Paraîtra la Po- Maxon • Frank Currier en particulier, \n scène de tempête du mêsis et autres adaptations de Paul Rour- set. charde, qui relève de la même conception Morton Sagdwick Jack Gilbert début. retardataire du cinéma que la Proie ; ce La Proie est le plus médiocre des ijua- que l'on va revoir dans AUX PAYS DES LOUPS Palais des Fêtes, Royal-Wagram, Select. Lre. C'est pourquoi sans doute dix direc- qui est plus grave c'est que Iq, Pocharde a Cette quinzaine également deux bon- douze épisodes... CI NÊ CINÉ POUR TOUS POUR TOUS

cès de sa carrière avec The birlh of a nèrent alors avec la Paramount-Artcraft; nation (la naissance d'une nation), Mack- la TYiangle Film C ne devait plus tarder Une J ate dans 1 Histoire Sennett, spécialiste de la bouffonnerie vi- à être dissoute. suelle qui venait de se signaler à nouveau avec Tillie's punctùred romance-(le roman du Cinéma Quelle fut l'organisation des producteurs de la Triangle, quels furent ceux de leurs films sur lesquels il y a lieu d'attirer plus particulièrement l'attention ? On -se rend tout de suite compte que, pour tourner un film par semaine pendant LA deux ans, il a fallu à In-e, à Griff:!h M à Mack-Sennett une organisation hors-ligne. PRODUCTION Les deux nremiers avaient six à sept trou- pes travai'lant simultanément à la réalisa- tion de scénarios composés par un nom- TRIANGLE bre égal de scénaristes.

19 15 LES SCENARISTES Cbez T"ce. les scénaristes furent .T. G. 1916 Hawks. Monte S. Kafteriohn. John Lvneh, Olga Prjntz'îm. julien .Tosephson et, à leur 19 17 tête, G. Gardner-Sui'ivan. Cb»7 Oriffifh. travaillaient alors T.ee Dnusrhprthv. Marv OTonnnr. Bprnard Mac Convi'ie. Cbester Wifhev. Roy Sumervillc;, REGINALD BARKER Tnd Browning et Anifa Loos, avec, à leur K'te, le nrînc'oaï lieutenant de D. W. Grif- fith, Frank E. Woods. Christus, etc. Ensuite la production Trian- David W. GRIFFITH Tous 1er, scénarios tw'ils composèrent gle, dont nous allons parler en détail ; et comique de Chariot et de Lolotte) avec enfin, dernièrement, l'admirable série des étaient des scénarios originaux, non des LES PRODUCTEURS, INCE ET GRIFFITH vivantes visions suédoises qui s'intitulent ils ne s'obstinaient pas à faire pleurer Marie Dressler, Charles Chaplin et Mabel adaptations de romans ou de pièces de Terje Vigeïi, Les Proscrits, la Fille de la l'assistance, ou à larmoyer eux-mêmes ; Normand, et enfin Thomas H. Irice, dont théâtre, et étaient entièrement « décou- Mais, dans tout cela, devez-vous com- Tourbière, le Trésor d'Ame, la Voix des ils écoutaient simplement leur sincérité. le dernier grand film, The Wrath of the pés » tableau par tableau par leurs au- mencer à vous dire, que deviennent les Ancêtres et bientôt la Charrette Fantôme. Mais la sincérité ae parle qu'à ses heu- Gods (La ■ colère des Dieux) triomphait teurs. deux chefs, puisque voilà déjà les au- Très souvent, ici, nous avonj retrace la Ces trois grands « ensembles » visuels res. C'est ce qui fait que quand nous van- alors sur les écrans américains. Chez Ince, d'abord installé dn^s le San- teurs et les réalisateurs des films ? carrière d'interprètes universellement con- ont eu, avant tout peut-être, un grand mé- tons la production Triangle, nous ne por- ta-ïnez Canvon, puis à Culver Citv. où il nus et admirés, parfois même nous avons De la réunion de ces trois grands pro- Ince et Griffith, simplement, dirigeaient rite : celui de convertir à la cause de tons pas aux nues toute là production utilisa en 1916 pour la première fois l'é- leur production, supervisaient — pour dit quelques mots des principaux réalisa- l'écran quantité d'indifférents et même Triangle ; nous entendons seulement par ducteurs vint le nom de « Triangle ». clairage artificiel fourni par les lampes à teurs actuels. Pourquoi ne procéderions- employer un terme nouvellement créé — d'adversaires. En outre, par leur valeur là l'esprit, la tournure, le style particulier Tous trois amenaient avec eux des spécia- arc et les tubes à vapeur de mercure — et le travail de leurs multiples collabora- nous pas de même én ce qui concerne l'en- intrinsèque, ces trois grandes séries de de la production Triangle en général, es- listes du scénario, de la réalisation1, de non plus la lumière solaire à laquelle il semble d'une production particulièrement teurs ; et soyez bien persuadés qu'à ren- beaux films ont eu sur l'ensemble de la prit qu'on a trouvé pleinement dans quel- l'interprétation, du « montage ». avait uniquement eu recours iusmi'alors contre d'une opinion sottement répandue, remarquable ? production mondiale une heureuse in- ques films, partiellement dans la plupart •— chez Ince, les principaux réalisateurs Il fut convenu que tous trois organise- c'est encore bien à eux que nous devons Plus que jamais on sent la nécessité de fluence plus ou moins avouée, mais très des autres. furent Reginald Barker. qui exécuta la le meilleur de ce au'a donné de plus re- ce retour en arrière — la production certaine. raient chacun leur production distincte, maiorité des films de Hart, Walter Ed- marquable la production Triangle. Triangle, qui fait le sujet de cet article, celle du groupe Griffith étant connue sous wards, Charles Miller, Charles Giblyn, datant de plus de quatre ans'— en raison Raymond B. West, Scott Sidn y et Charles La supervision, avec eux, commençait Maintenant, précisons un peu. Quelle a, le nom : Triangle-Fine Arts ; celle de avec le choix du scénario ; ils lisaient et principalement de la pauvreté, de la nul- d'abord, été l'histoire de la production Mack-Sennett sous le nom : Triangle-Key- Swickard. lité presque générale des nouveautés que Qu'a donc été cette production Trian- approuvaient chaque anecdote avant que Triangle '? stone ; celle de Thos. H. Ince sous celui Chez Griffith, dont les studios étaient le « découpage », tableau par tableau, en l'on nous montre depuis quelques mois. gle ? La « Triangle » a été formée en fin 1915 installés plus près de Los. Angeles, à Hol- On peut, en effet, dire qu'il y a eu trois Venue immédiatement après les opéras de : Triangle Kay-Bee. Outre leur produc- fût entrepris par l'auteur. Ils voyaient par deux grands financiers américains, tion courante — un film par semaine — lywood, travaillaient William Christy Ca- ensuite très attentivement ce découpage, grandes dates dans l'histoire du cinéma, visuels à grand spectacle de la production Kessel et Baumann, avec le concours de banne, Paul Powell, Edward DLlon, Sid- telle qu'elle s'est déroulée devant les spec- italienne, après les artificielles, les théâ- tous trois feraient chaque année un grand examinant la valeur dramatique des si- trois producteurs : David Wark Griffith, ney Franklin, John Emerson, Lloyd In- tuations, le maintien constant de l'intérêt, tateurs français. D'abord, vers 1914-15, la trales visions « Comédie-Française » de qui venait de connaître le plus grand suc- film. On eut. en effet, en 1916, Intolérance graham et Allan Dwan. série des grandes reconstitutions histori- Vincennes (Pathé), des Buttes-Chaumont de D. W. Griffith, Mickey de Mack-Sennett les « touches » à la fois légères et profon- des. Tout cela n'allait évidemment nas ques italiennes, avec Quo Vadis?, Cabiria, (Gaumont) et d'ailleurs, elle a constitué et Civilisation de Thomas H. Ince. le premier grand pas en avant dans la sans de nombreuses modifications. Une voie du véritable cinéma, dans l'art de Anita LOOS La Triangle part d'octobre 1915 et fi- Bessie BARRISCALE fois définitivement terminés les manus- nit en septembre 1917, au moment où Ince crits étaient remis au réalisateur, tandis C. GARDNER-SULLIVAN l'image en mouvement. Le cas de la production de la Triangle produisit The Midniaht Patrol (La Pa- que Ince et Griffith désignaient les inter- était extraordinaire pour l'époque ; elle trouille de minuit), Griffith Hearts of the prètes chargés des principaux rôles. ne trahissait, en effet, ni cabotinage, ni World (Les Cœurs du monde) et Mack- Venait ensuite le choix des cadres, ex- vaine littérature ; ceux à qui nous devons Sennett Yankee Doodle in Berlin, trois térieurs comme intérieurs, que leur sou- les films Triangle regardaient, et imagi- mettait celui que les Américains appellent naient ensuite d'après ce qu'ils avaient grands films de guerre. Tous trois fusion- « art-director », et dont les fonctions sont vu, ce qu'ils auraient pu voir. Leur force principale était de partir d'une idée et non d'un scénario laborieusement rac- cordé ; ils tentaient ensuite de réaliser . cette idée, et cette réalisation était prodi- gieuse de lyrisme visuel et de franchise. Partis d'un élan intérieur — poétique ou humain — ils s'appuyaient pour l'exé- cuter sur des détails précis, quotidiens, vivants, et au total intenses, parce que très ordinaires. Les effets commodes étaient négligés : pas de décors de carte postale à l'italienne ; pas d'interprètes illustres ou de comédiennes à sensation ; chaque personnage n'était qu'un figurant, chaque paysage qu'un accessoire. Le mouvement de la vie, de la vie inté- rieure autant qu'il était possible de la réaliser, c'était là le grand but de cette production d'un art véritable et prenant. Ceux-là ne cherchaient pas à faire grand, Charles RAY William S. HART E VITE

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(.(' qll on "il mt le récit, sans nuire prêtent celte d'être sincère, des in ions d'une jeune admiratrice it irl White lors d'une visite ji 11/ la chance de faire à Vètoili avons pensé que cela pom oir quelque in- [rs. sa manière de parler aux gens, quels qu'ils soient. White que vous aviez toujours été sa « star » pré- puis le « traître » entra, s'assit sur une chaise auprès « Elle ne parle pas l> lal>, mais quand elle le Comme je lui demandais si ces toilettes étaient alors Vous pouvez la juger telle qu'elle se présente — et férée, à quoi elle m'a répondu que sans doute vous d'elle et entama la conversation ; alors, levant la l'ait, c'est avec préciser tlarté, s'adressant bien vendues, elle me répondit que la plupart des étoiles en c'est ce que j'ai fait. » 8 CINÉ POUR TOUS

ornés d'iUustrations dont le producteur té la précision qui manquait dans ces élé- suggérait ou vérifiait la composition — et ments épars. enfin l'envoi du film à New-York au siège « Sa précision est un des plus grands se- de la Triangle. Pendant tout ce temps, cours du cinéma. Observateur impeccable, ajoutons-le. les scénarios et 'a réalisation il met un soin aussi exact à utiliser ses no- des films ultérieurs avaient déjà été à leur tes qu'un collectionneur de papillons à tour amorcés. , classer, épingier, abriter, numéroter,, éti- queter, cataloguer ses monstres. C'est mer- veilleux. LES DEUX ECOLES « On sait les inconvénients de la préci- sion trop rigoureuse. Les écrivains qui oni . Il y a. depuis la production Triangle, poussé l'observation jusqu'à la periection une école Ince-Sul'ivan et une école Grif- du détail ont dévié de leur but et perdu le fith, écoles non de réalisation, mais de sens de. la vie. Prendre un détail, soit, et récit visuel même ; et toutes deux sont de vous lui donnez tout son relief. Prendre mérite à peu près égal, quoique très dif- tous les détails est une faute. Balzac lui- férent. même dut choisir. Le groupe Ince-Sullivan a énormément « Griffith, qui s'abandonne à Routes les fait pour créer une méthode distincte de grâces paradoxales du détail, échappe ce- récit.visuel ; le film débute de façon aisée pendant à la sécheresse. Voyez tout de mê- et naturelle avec l'introduction d'un per- me quelle dureté apparaît parfois dans Les soririage ou deux, — et d'une émotion ou cœurs du Monde. C'est qu il y a là dedans d'un trait de caractère — qui graduelle- une centaine de petits liims parfaits. Ac- ment concentrent l'action — et l'intérêt — cumulés ils pèsent un peu. A la fin du film sur eux. On n'a recours à aucun discours seulement nous avons une impression de prémonitoire, ni à aucune leçon de mo- puissance et de synthèse qui nous arrache rale ; la vie commence simplement à se à l'observation de cet observateur. Dans manifester devant le spectateur. Intolérance le rythme est le plus grand. Un Tandis que l'action se poursuit, l'im- mouvement symphonique roule, précipite, . pression se précise d'une structure rigide unit, décompose, transfigure un luxe peu et nettement découpée destinée à amener commun de détails sans une tare. Ce ryth- l'effet dramatique le plus intense qu'il me est exceptionnel : c'est lui qui fait sera possible. Les titres descriptifs sont en d'Intolérance une œuvre d'art et de Gri- harmonie avec l'émotion contenue de l'in- fith un artiste. Norma TALMADGE trigue, i's paraissent plutôt des commen- « Ince est, comme on dit, l'élève de taires, des interjections, que des explica- Griffith. Peut-être lui doit-il ce fini dans - Louise GLAUM un peu plus étendues que celles des déco- lité photographique, sur la valeur du jeu tions dont on pourrait déplorer la néces- la technique qui paraissait déjà dans Pour rateurs de nos studios. Puis, au cours de des interprètes et sur d'autres points de sité. L'intrigue est toujours arrangée de sauver sa Race et s'épanouissait dans Car- paient, Peinture d'âmes et enfin le grand œuvre de C. Gardner-Sullivan — nous la prise de vues, c'était le jeu des inter- détail de la réalisation. En cas de défec- telle sorte qu'elle se déroule sans besoin men du Klondike. Il y a joint autre chose. film de Griffith, Intolérance* allons reproduire ce qu'écrivait l'éditeur prètes, la position de l'appareil qu'ils ve- tuosité, les scènes imparfaites étaient tour- aoparent de leur aide. Et, bien que l'effet « S'il suit ses personnages avec une ob- français dans la notice remise aux ciné- naient surveiller de très près. nées de nouveau le jour même dans les d'ensemble puisse paraître quelque peu servation moins régulière, moins serrée, mélodramatique, en raison de la violence que celle de D. W. Griffith, du moins va- CIVILISATION graphistes lors de la présentation privée Si l'on songe que trois films en moyenne décors qui n'avaient pas encore été dé- de ce film : se trouvaient toujours simultanément en des anecdotes et de ce que la méthode de t—il en eux et chercbe-t-il la flamme inté- montés. L'assemblage des « bouts » re- Civilisation est l'œuvre la plus impor- cours d'exécution, on comprend que Grif- connus les meilleurs était ensuite fait par récit est poussée à l'extrême, en dépit de rieure jaillie de leurs nuances. Et comme « La grande image du Nazaréen domine cela l'école Ince-Sullivan n'est-pas, somme' il est un maître en l'art visuel du cinéma, tante, matériellement parlant, que Thomas le conflit actuel. Dès le début, le souvenir fith et Inc , tout superviseurs qu'ils les soins des monteurs et monteuses et la H. Ince ait produite pour la Triangle. étaient, avaient encore la plus forte somme toute, tellement différente de la méthode il rend palpable ces éclairs d'âmes par des de son martyre est évoqué. Jésus est mort bande ainsi obtenue projetée telle quelle La version qu'on a vue en France de de travail à accomplir. appliquée à l'a scène par Ibsen, dans la détails soigneusement triés et aussi nette- pour le bonheur de l'Humanité. Dix-neuf devant le maître, qui indiquait les sup- Civilisation fut passablement élaguée par rigide, dans la nette structure de ses ré- ment extraordinaires que le voudrait Grif- siècles plus tard, un empereur, lâche et Enfin venait l'heure où l'on projetait pressions à faire comme les additions né- la censure — ce film, produit en 1916, fut cits. Peut-être peut-on assez justement dé- fith dans sa rigoureuse psychologie. Mais félon, pour que le Monde soit à ses pieds, dans leur salle de projection la totalité cessaires. édité en France en mai 1917 — et par finir cette méthode Ince-Sullivan en la il y a en Thomas Ince une force lyrique attaque délibérément la France, gardienne de la pellicule impressionnée la veille ; Venait en dernier lieu la projection de conséquent n'a pu être jugé à sa véritable leur examen portant à la fois sur la qua- la bande complète, y compris les titres — comparant à une intrigue à la Bernstein qui fait que ces détails brillants ne peu- de la Civilisation. construite sur une thèse à la Henrik Ibsen. vent passer uniquement pour des attrac- valeur. Pour donner à nos lecteurs une « Et c'est son peuple arrache à la terre idée plus exacte du scénario intégral — Parallèlement, on pourrait comparer tions de metteur en scène : par exemple 'a qu'il lance contre ses paisibles voisins aux l'école Griffith — GrL'fith tout court, ici, boue de Carmen du Klondyke, la prison de Peinture d'âmes, le bébé mort de Celle car il a le plus souvent, surtout pour ses Charles RAY et Bessie BARRISCALE grands films, été son propre scénariste — qui paie, le coup de fusil final de La Con- Robert on pourrait comparer l'école Griffith à quête de l'Or ne sont pas des notations vi- HARRON celle que représente au théâtre Gérard suelles placées à côté des notations psy- Hauptmann et dans le roman Emile Zola, chologiques. Ce sont l'une et l'autre, gran- l'école naturaliste. die par un élan qui esl la poésie même. Tout ce qui porte le nom de Griffith Ince est un poète. Le cinéma est plus près dans la production Triangle possède cette de la poésie (pie ses milliers de faiseurs , grande qualité de naturel, d'humanité qui, d'alexandrins qui ronronnent dans notre tout compte fait, vaut presque le brillant littérature. Ince ne fait pas d'alexandrins. système « à thèse » de Ince-Sullivan. Ses « Que la renommée de Griffith l'em- seuls défauts seraient une tendance à pié- porte sur celle d'Ince, rien de plus juste et tiner, à s'attarder à des riens — et surtout cela n'a pas grande importance : Griffith et inévitable sauvetage sous forme de est le premier réalisateur cinégraphique, chasse-poursuite tragique, par quoi Grif- Ince est le premier prophète. Et disons fith termine presque tous ses films, et qui que tous deux sont des artistes d'enver- a pour but d'aboutir au point où Ince-Sul- gure. livan arrivent lentement, mais immanqua- « Doués et prestigieux comme des com- blement, sans invraisemblance excessive, positeurs, ils me font penser à deux exé- par un développement soigneux de l'in- cutants fameux. Griffith, virtuose unique, triffue qu'ils ont entre les mains. Et, très rappelle Kubelik aux inégalables acroba- évidemment, en aucun cas IP.S méthodes ties d'art. Turc évoque Pugno qui manipu- de développement du récit d'Ince-Suilivan lait le clavier avec une délicatesse et un ne sauraient être utilisées pour les dé- éclat d'inspiré et semblait jouer autant nouements de Griffith. avec son âme qu'avec ses mains mathé- Voici, au surnlus, en miels termes Louis matiques. » De!l"c comparaît excellemment Ince et GriffPh en un récent article : FILMS A THESE « Griffith réalise magnifiquement la conception nu'on s'est faite pendant long- La plus grande part de films à thèse temps -de l'idée cinématographique. Les produits par la Triangle sont sortis de premiers films américains, tous les grands l'organisation Ince. Les principaux sont : films italiens, quelques russes se résument Civilisation, Châtiment, Richesse maudite, dans sa manière large. Tl a. lui seul, âppor- Illusion, la Mauvaise étoile, Celles qui PEINTURE D'AMES" N É POUR TOUS CI NÉ POUR TQUâ 11

applaudissements de ses courtisans et de par un officier à une troupe de barbares Howard Hicknian était le moraliste, ses sujets ébiouis. qu'il commande, a pour conséquence d'en- Edith Reeves l'épouse et Frank Mills le tary), production Griffith, avec Norma Douglas Fairbanks tourna plusieurs au- a nos lecteurs, chaque fois que l'occasion Tairnadge. « L est i;invasion, c'est la bataille im- glober dans un mêrr-" outrage quantité de mari. tres fnms pour Triangle-Fine Arts, tels s en présente, l'euseinuie ue m prouucuon mense, tormidaûle,, sanglante. .Uais 1a dé- captives et sa fille même. Les situations Il faudrait citer aussi longuement en- Le Lourdaud (The clodhopper), produc- que le Métis, le Timide, . .'Américain, etc., sueuuise aciueue et quelques Deaux inins tion Ince, avec Charles Ray. faite implacable brise la marcne triom- sont d'une puissance rare et comme tou- suite Peinture d'âmes (The Painted Soûl) d'après divers scénaristes ; le directeur jjar-ci par-ia, nous vuumiuus que ceux phale de ses armées ; peu à peu, la .Fran- jours les multiples notations psychologi- avec Charles Ray et Bessie Barriscale ad- Reggy, production Ince, avec Billie Bur- de réalisation de ces films fut Allan Dwan, qui n ont pas pu voir le meilleur ue la ce qui se bat avec enthousiasme pour la ques en marge de l'intrigue font de Châti- mirables, cette dernière en particulier, ke, H. Thompson et William Desmond. devenu par la suite l'un des tout premiers production j.riaugte quand, en ial/-lô, liberté du Monde et le droit des peuples ment bien autre chose qu'un drame très dans le personnage difficile de la femme Les quatre irlandaises, production Ince, réalisateurs américains. eue a paru ici, puissent se trouver a même avec Bessie Barriscale. voit la victoire sourire à ses armes. L'.em- réussi. dévoyée que régénère l'amour et qui se d'assister a présent a sa projection. pire, bloque, s'affame et murmure. Alors Les principaux interprètes étaient Char- sacrifiera aux conventions sociales ; la L'Or, production Ince, avec Bessie Bar- riscale. mais, outre que les directeurs ue salles un geste criminel, impardonnable, lance les French et Enid Markey. Mauvaise Etoile (Civilization's child), avec Voilà en quoi consiste cette production ne se préoccupent guère ue reprenure contre les navires innocents la torpille H. Thompson et Anna Lehr ; Celles qui Triangle qui décida de la vocation ciné- d'anciens neaux iums, la maison qui a cachée au flanc du sous-mann. RICHESSE MAUDITE paient ( inose who pay), que tout le monde IRONIQUES. graphique de la plupart des véritables sorti en France la production iriuugie, « Le comte Ferdinand, malgré lui, a a vu — principalement à la récente réédi- compositeurs de films que notre pays ne comprenant pas queue valeur eue a exécuté l'ordre sauvage et voit périr les Richesse maudite (The Diyidend) est tion de ce film1— et où Bessie Barriscale, Il faut mettre à part une série de comé- compte actuellement. garde encore a présent, seraient sans dou- femmes et les enfants dans l'eifroyable l'histoire d'un gros brasseur d'affaires qui Howard liickman et Melbourne Mac Do- dies satiriques niociuiles par 1 organisa- Et, de même que nous recommandons te mcapaoïes de leur iouruir les dits luins naufrage ; il perd la raison ; sa main ou- well étaient de tout premier ordre. tion Griffith et dont le scénariste était sans ue longues et lauorieuses reenerenes vre à 1 eau qui envahit le sous-marin cri- Ces trois productions, rappelons-le, sont Anita Loos, le réalisateur John Emerson dans les sous-agences de province et de minel. Lui seul survit, porté par les flots, sorties de l'organisation Ince ; leurs scé- et l'étoile Douglas Fairbanks. Ce furent : 1 étranger, four ce qui nous concerne per- ' sauvé par des marins, revient mourant au narios sont l'œuvre de C. Gardner Sulli- Terrible adversaire, avec D. Fairbanks sonnellement, il nous a été iinposstDie palais de l'Empereur Rouge. Tandis qu'on van. et Bessie Love. d obtenir aucun document pnotogiapmque s'efforce de le ranimer, son âme est déjà 0 American aristocracy, avec D. Fairbanks représentant des scènes de ces ueaux aux enfers et Jésus prend sa dépouille .hu- et Jewel Carmen. finns. lout au pms, pouvons-nous mettre maine pour tâcher de faire entendre en- The Matrimaniac (non édité en France) SCENES DRAMATIQUES sous vos yeux deux médiocres cuenes de core dans le pays barbare la douce voix avec D. Fairbanks et Constance Talmadge. scènes de four sauver sa race, 1 un des de l'Humanité souffrante. Mais s'il par- Viennent ensuite de nombreuses scènes His Picture in the papers (Sa photo dans rares qui aient eu^les honneurs de la ré- vient à prêcher la paix au peuple qui mur- dramatiques sans intention philosophique les journaux), et 27ie Habit of happiness, édition, et ûe'Peinture a'Ames. également inédit en France. mure, il reste sans pouvoir sur 1 infâme aussi marquée mais néanmoins également li y aurait pourtant intérêt à ce que le potentat et meurt pour la seconde fois sans admirables par la vérité des personnages Et, en outre, Une aventure à New-York meilleur de ce qu'a donné la production (Manhattan Madness), qui n'est pas d'Anita réveiller un sentiment humain dans un et des situations et pour quantité de tou- Triangle ne sombrât pas dans l'oubli. Tous Loos, mais appartient à la même veine cœur glacé par l'orgueil. ches indicibiement, symboliquement puis- les vrais cinéphiles seront certainement d ironie visuelle. « Néanmoins ses exhortations ont allu- santes. de notre avis. mé dans l'Empire le désir de la paix et. Citons : Pour sauver sa race (The sous la pression de son peuple révolté, Aryan) de C. Gardner-Sullivan, réalisé par l'Empereur qui se sait battu tente d'obte- Keginald Barker, avec William Hart, bes- nir des Alliés le pardon de ses crimes. sie Love et Louise Glaum pour interprè- « li est trop tard. Ce n'est pas avec lui RÉPONSES tes principaux. POSÉES PAR que les défenseurs du droit veulent trai- La Conquête de l'or (A sister of six), AUX QUESTIONS entre nous ter. La guerre continuera, implacable, jus- d un des scénaristes du groupe Griffith, NOS LECTEURS qu'à ce qu'il ait expié. Les armées enne- réalisé par Sidney Franklin avec Bessie mies, de victoire en victoire, abattent sa Love, Frank Bennett et Ralph Lewis pour Impêria. — Léon Mathot a débuté au cinéma habituel de représenter à nouveau ce film, sans puissance. Un jour de représailles, les en 1912. — L'Empereur des Pauvres comprendra cusion, la partenaire de W. Russell est Eileen interprètes. quoi vous pourriez attendre longtemps. — Voir Percy. — La Fille des Lieux a été tournée avions alliés bombardent sa capitale, abat- probablement sept chapitres. — Jacques Robert réponses ci-dessus. — Pearl White tourne sans Les Vieux (Old folks at home) — une doit avoir vingt-six ans. en 1915 à la Jamaïque, par Herbert Brenon ; tent les ruines de son château sur son ca- perruque, sauf dans les scènes où sa chevelure des très rares adaptations de romans qu'on L'Inconnue. -— La vedette de ciné-romans lu aucun artiste connu dans ce film, en dehors d'An- davre humilié. pourrait, en raison de l'acUon très brusque, cou- nette Kellerman ; le scénario est d'H. Brenon. — ait tournées à la Triangle — de Rupert plus appréciée du public américain est actuel- rir quelque danger. « Son peuple vaincu retourne à la terre Hughes, réalisée par Chester Withey avec lement Ruth Roland ; viennent ensuite Mary Wal- Cinéa, 10, rue de l'Elysée, Paris. Pierrot-M. — Régina Badet a tourné, avant la Lumen. — Evidemment, on a eu tort d'abord tandis que les armées alliées connaissent Sir Herbert Tree, Joséphine Croweil, Mil- camp et Juanita Hanscn. — La première semble guerre, Le lotus d'or (ne pas confondre avec le enfin la joie du triomphe total et définitif. décidée à abandonner ce genre et à aborder, de tourner Le Lys Rouge, ensuite de le tourner dred Harris et Eimer Clifton pour inter- récent film d'Hayakawa), Sadounah, Le Spectre comme il l'a été. — Ce ciné-roman tudesque, La Civilisation ne mourra plus. Ceci est comme Pearl White, la comédie dramatique, plus du Passé, Zoë, Vendetta et Manuella ; ces films prètes. courte. -— Ruth Roland a tourné trois ciné-ro- c'est Mystéria. —■ Dans Marie-Madeleine, proj- présenté comme une allégorie par Ince Le Défenseur, production Ince, avec mis en scène par Mercanton et Hervil, furent duction italienne Medusa-Film de 1919, c'est Dia- mans depuis Le Tigre Sacré ; mais je ne saurais édités par l'Eclipsé. — Le Château des Fantômes, qui terminait son film, il y a deux ans, Frank Keenan, Enid Markey, Marguerite vous dire s'ils seront édités en France. na Karenne qui incarne l'héroïne ; Pépa Bonafé en pressant le peuple américain de se qui est bien l'un des plus médiocres ciné-feuil- -est Salomé. Thompson et Howard Hickman. Mady. ■— Il y a près d'une année que D. B. letons qu'on ait jamais produits, ne passe dans joindre à la France pour achever la vic- Le Mauvais garnement, production Grif- Deschamps a commencé à tourner à Fontaine- aucune salle de Paris ; je ne puis donc vous ren- Cinêmaihotgraphe. — Elaine Vernon, aux bons toire. Son appel a été entendu, et ceux qui fith, avec Robert Harron, George Fawcett bleau les premières scènes de L'Agonie des Aigles. seigner. soins de M. Pouctal, Pathé-Consortium, 39, rue du ont vu ce iiim si puissant, si tendrement — Servez-vous des mandats internationaux. Bouquier. — Cette marque est à peu près in- Bois, Vincennes ; environ vingt-cinq ans. et Mildred Harris. Harold. — Les cheveux de Katherine Mac Do- Etincelle d'Or. — Joë King dans le rôle d'Hen- humain, comprennent quil n'a pas été Un Lâche (The Coward), production connue. — Henri Bosc faisait du théâtre avant pour rien dans l'immense revirement qu'a d'une part exploite les pauvres travailleurs nald sont châtain foncé. — C'est sous la direc- de se consacrer au cinéma. — Suzanne Gran- drie de La Rançon de l'Or. —Je ne connais pas Ince, avec Charles Ray, Frank Keenan et tion de Roland West que Jewel Carmen tourne le nom des interprètes de Cosmopolis. — Georges subi l'opinion américaine. » et de l'autre fait — parce qu'il y est pour dais, dans les .derniers temps, ne résidait que Gertrude Claire. ses nouveaux films, après un silence de deux rarement à Paris ; elle tournait, à Marseille, la Lannes doit avoir un peu plus de trente ans. — ,La réalisation avait été dirigée par Tho- ainsi dire obligé — quelque charité. Le Lieutenant Danny, production Ince, ans. — Je ne pense pas que Douglas et Mary aient plupart du temps, au studio de la Phocéa. Les interprètes de Mystéria sont autrichiens et mas H. Ince en personne, aidé de rléginald Mais il est un autre dividende sur lequel avec William Desmond. le temps de revenir passer quelques semaines en Trois petites curieuses. — René Cresté, depuis allemands. Europe cet été. T Barker; les interprètes principaux étaient: cet égoïste homme d'argent n'avait pas L'Autel de l'Honneur (Honor's altar), Le Château du Silence, a tourné deux films qui Printemps P. — Dans cette lettre, W allace Reid José Gomez. — Le nom de l'interprète de ce vous informe que, si vous désirez le voir régu- Hershall Mayall (L'empereur), Enid Mar- compté. Son fils, qu'il avait confiné dans production Ince, avec Bessie Barriscale et n'ont pas encore été édités. — La petite Ollnda key (sa fille), Howard Hickmann (le comte une vie stupide de fêtes de plus en plus petit rôle do La Treizième Chaise ne m'est pas Mano est née en octobre 1912 ; Sandra Milowa- lièrement à votre cinéma habituel, le mieux est de Charles Ray. connu. prier le directeur de cette salle de projeter les Ferdinand), Lola May, George Fisber, crapuleuses, vient mourir entre ses bras à noff (Mme de Meck) a une bonne vingtaine d'an- Tourmente d'amour (The Wolf-woman), Lydia B. — Elliott Dexter est le partenaire nées. — Gabriel et Jean Signoret sont frères ; films qu'il a tournés pour Paramount. Charles K. French, J. Barney Sherry, Jé- la suite d'une rixe, au moment même il va production Ince, avec Louise Glaum, d'Ethel Clayton dans Maggie. la demoiselle de aucun des deux n'a d'enfant. — Henry Rousscll M. S. — Il ne reste à Pathé qu'une comédie de rôme Storm, Ethel Ullman et J. Frank annoncer à ses commanditaires les gros Charles Ray, Wyndham Standing et Ger- magasin, et Henri Bosc, dans Gosse de Riches. Marie Osborne à éditer ; la production remonte Burke. dividendes que sa rapacité lui ont permis Jim Gleason. — Karine Molander, care of F. Coulon de V. —■ Vous trouverez tous ces à deux ans, cette jeune artiste ne tournant plus : . trude Claire. Svensk-Film-Industri, 19, Kungsgatan. Stockholm Véritable tour de force de réalisation d'obtenir. Le Justicier (The Gunfighter), produc- renseignements relatifs au placement des scéna- néanmoins une lettre adressée au Diando Studio, cinégraphique par les tableaux multiples Ce film — l'un des plus puissants, des (Suède). rios dans les numéros G2 et 63. Long Beach (Cal.), U.S.A. lui parviendra certai- tion Ince, avec William Hart et Marjory Jean V. —■ Pearl White est venue en . France à grande mise en scène qui y abondent, plus poignants dans son rythme implaca- Jean Lorette. — Frank Mills est en effet le nement. Wilson. non pour travailler a d'autres films, mais pour partenaire de Doris Kenyon dans Le Mystère d'un Civilisation vaut plus encore, très certai- ble et fatal — fut produit par Ince d 'après Zine. — Ne comptez pas revoir Eric Barclay à f Carmen du Klondike (Klondike Car- prendre ses vacances annuelles. — Pearl White carton à chapeau. — Dans Jack policeman d'oc- l'écran avant un certain temps, car il tourne nement, par quantité de touches, de nota- un scénario de C. Gardner Sullivan que men), production Ince, avec Clara "Wil- est née il SpringHeld (Missouri) en 1889 ; elle rarement. —■ L'Ami commun, nous l'avons déjà est descendue, à Paris, à l'Hôtel Majestic. avenue tions psychologiques en marge des gran- réalisa Walter Edwards avec H. Thompso.i liams, Hershall Mayall et Edward Coxen. dit à plusieurs reprises, a été tourné au Dane- des visions; c'est surtout par cela que ce et Charles Ray pour interprètes.- Kléber. mark par une firme danoise, la Nordlsk ; Aage Gaby des R. — Si vous désirez revoir La jolie Fonss est l'un des principaux artistes attachés film est une grande œuvre d'art. e Meunière, demandez au directeur de votre cinéma ILLUSION ■ ■ SI vous cherchez ■■ à cette firme. Adressez-lui votre lettre, care of pour votre Cinéma, ou pour tout CHATIMENT est également sorti de la plume de C. COMEDIES SENTIMENTALES. autre Commerce ou Industrie Gardner-Sullivan. La thèse soutenue était A A A .^. .j Châtiment (The Despoiler) est un autre que : les apôtres de cette morale nouvelle Et de charmantes comédies — non de L ..^. ..5.L^.IË...5.H....^I!l.Ê DECLAMATION DICTION film inspiré par la guerre, mais plus mo- qui prétend libérer l'humanité des con- ces comédies fades comme on en a pro- Un Successeur CHANT ET PIANO deste que Civilisation, tant par son thème ventions mondaines ou sociales ne met- duit un peu partout depuis : \W Renée CARL I Le Lys et la rose (The lily and the rose), Un Associé que par son développement. tent eux-mêmes en pratiqué leurs théories ? DU THÉÂTRE- CINÉ CAUMONT : COURS de M™ SAUTREAU qu'autant que cela sert leurs passions ou production Griffith avec Lillian Gish et □ Des Capitaux Le scénario — de Ince et J. G. Hawks — Premier prix de tragédie leurs intérêts. Dès qu'eux-mêmes ont à Hoszika Dolly. était basé sur une des plus pénibles hor- Leçons particulières sur rendez-vous reurs de la convulsion qui vient d'agiter souffrir de l'émancipation qu'ils ont prô- La Petite servante (Plain Jane), produc- Adressez-vous : 14. Rue Froissart, 14 — PARIS V le vieux Continent : la spoliation des cap- née, ils crient au scandale et abritent leur tion Ince, avec Charles Ray et Bessie Bar- et Court, le Samedi de 3 h. à 6 h. PRIX DES COURS : 1 tives. L'anecdote du film est la suivante : égoïsme derrière le respect dû aux usages riscale. j 7, Rua du 29-Juillet — Métro : Tuilerie» : BANQUE "PETITJEAN" un commandement donné à contre-cœur de la civilisation moderne. La Secrétaire privée (The Private secre- T-... 1-- A. a h. i S !.. Une l«ç»n par semaine 1 5 Fr. par mais 12, Rue Montmartre, 12 — PARIS DausK laçant par semaine-. 3S Fr. par mai* CINE 12 POUR TOUS

Nordisk-Film Co, 45, Nimmelkaftet, Copenhague pour Griffith et que le film- dont vous parlez a lis and Inglis, Wright and Callender building (Danemark). été tourné au Danemark. (California), TLS.A. ; célibataire ; Donnithorpe. — C'est de Fannie Ward que nous /. Nàvareite. — Pour René Navarre, veuillez la trentaine. — Oui, Wallace Reld, marié à Do- voulions parler. — Si vous désirez la photogra- consulter le numéro 4. — Jacqueline Arly ne rothy Davenport, grande « star » du ciné amé- phie de R. Joubé, adressez-vous à Nadar, rue tourne plus, je crois. ricain en 1912, est père d'un jeune garçon de d'Anjou, son seul photographe ; je ne pense pas Gaby 888. — Charles de Rochefort, 17, rue six ans. que cet artiste tourne actuellement. Victor-Massé, Paris (IX«). Cow boy. — Mario Ausonia tourne en Italie. Billy. — Le nom de cet interprète n'a malheu- Xénette M. — Voici la distribution de J'accuse : Adresse de William Hart dans le numéro 41. reusement jias été mentionné par les éditeurs. Jean Diaz (Romuald Joubé) ; Mario Lazare (Des- Etiane. ■— Pour W'allace Reld, voyez Favant- Inès. — Ne confondez pas André Marnay, in- jardins) ; François Lauriri (Séverin-Mars) ; Edith dernière réponse ; sa partenaire dans Le Barrage est Anne Little. — J. Herrman est marié à une terpète de L'Homme aux trois masques, avec Laurin (Marise Dauvray) ; Maman Diaz (Mme José Davert, interprète de Chéri-Iîibi. Mancini) ; la petite Angèle (petite Guys). artiste lyrique, Angèle Gril. J. Mège. — Christiane Vernon, studio Eclipse. Pervenche. — F. Keenan ne tourne plus depuis G.V..V. — Je ne connais pas le piaidste en ques- 32, rue de Ja Tourelle, Boulogne-sur-Seine. — On plusieurs mois. — Pour Ch. de Rochefort, voyez tion. - Les référendums sont sans doute intéres- peut débuter au cinéma à totis les Ages. réponse à Gaby 8S8. — Francesca Bertini ayant sants au point de vue commercial, niais ni' si- Graziella. — Le partenaire de Margarita Fisher, renoncé au cinéma, je ne puis vous indiquer d'a- gnifient rien au point de vue artistique, cher à tant de jeunes françaises, se nomme Jack dresse. — William Hart connaît quelques mots Futur écraniste B. 13. — M. Léon Perret est un Mower. — Adresse de Margarita Fisher dans le de français, mais pas assez pour comprendre français qui fait de médiocres films américain' numéro 41. une lettre. - - Pourquoi employer ce ternie barbare d' « é- Rêveuse. — Hadid de Visages Voilés est Mar- Lotus Blanc. — G. de Gravone, t. rue Lallier, craniste " qui ne s'impose vraiment pas. cel Vibert, du Théâtre Antoine ; écrivez-lui à ce Paris. — Régina Badét, 1, square La Bruyère, E.R.C.A.B. — Leda Gys était Marie, dans Chrïs- théâtre. — Je ne connais d'autre adresse de Paris (IXe). tus. — Les deux derniers films de Chaplin, .1 Biscot que celle qui a été indiquée dans le nu- .4. d'Enciily. — Impossible de vous renseigner day's pleasnre (2 parties) et The Kiii (li parties > sont encore inédits en France. méro, -10. en ce qui concerne cette lady Nobody. *— Violette Lolly Desy. — Studios Gaumont, 53. rue de la Jyï, studio Gallo-Film, 3, boulevard Victor-Hugo,) Bruxelloise. Ce que Suzanne Grandais étall Villette, Parix (XIXe). — Ôn peut tourner des Neuil ly-sur-Seine. pour le cinéma français, Mary Pickford et no-i scènes de nuit, avec l'éclairage que fournissent Y. l'art muet. — L'adresse de Gunnar Tolnaës Olive Thomas — l'est pour le cinéma américain ; de puissantes lampes à açc électrique ; exemple: est la même que celle de Aage Fons, indiquée plusi avec cette différence que Suzanne Grandais, phy- certaines scènes de La Caravane, du Rêve. etc.. fiaut à Zine. — J'estime Maître Evora un mauvais siquement, représentait plutôt la jeune femme Les producteurs qui ne peuvent faire les frais film, parce que le scénario, terriblement mélo- que la jeune fille, alors que Mary Pickford re- nécessaires tournent les scènes le jour et les dramatique, est mal « découpé » et parce que présente idéalement la toute jeune fille, et même font teinter bleu-vert au tirage du film positif. réalisation comme interprétation sont théâtrales ; • la fillette, à l'occasion. — Phocéa-Location, 8, rue Codya. Dijon. — Les ciné-romans ne "m'intéres- c'est, somme toute, du cinéma d'il y a six ans. de la Michodière, Paris, vous procurera des por- sent pas assez pour que je prête attention à de J'en dirai autant de toute la production Gallo- traits de Suzanne Grandais. tels détails. - Vivian Reed dans Le Ranch de Film, à laquelle Maître Evora appartient. Et le César de Buzan. •-- Cette artiste éternellement jeune, a en réalité, cinquante-trois ans. - — ï.e ma- la Mort. devoir de tout vrai cinéphile est de faire la guer- J. Salomon. - Dans L'Empire des diamants. re à cette fausse compréhension de l'art de l'image riage de Lillian est un film Triangle-Fine Arts on verra Léon Mathot dans le second rôle mas- animée. 1916, dont le titre américain m'est inconnu. culin, et Lucy Fox dans le rôle principal. — R. S. — André Nox est le mari, dans L'Ami Vos observations sont très justes, en effet ; nous Vaë Mùrray est une <■■ star » et non une « lca- des Montagnes. — Ce Sidney Siward m'est in- en tiendrons compte. ding-woman >>. - Depuis que Harold Lloyd connu. Sistcrs' three. —- Louise Glaum débuta très tourne des comédies en deux parties, Harry Pol- Lewimichlly. — Le bonheur en ménage n'est jeune au théâtre, au salaire de vingt-cinq dollars lard tourne seul des comédies en une partie, avec pas un nouveau film ; nous l'avons indiqué dans par semaine s elle jouait les ingénues en tour- née dans les. petites villes d'Amérique. Elle débuta « L'Afrique >. le numéro 52, quand il a paru, le 12 novembre Aziadé, — Rééditer Le fils de là nuit ? Quelle 1920. — Merci tout de même... en 1914 au cinéma, à l'Universal, dans les co- idée... Merci pour le renseignement commu- Old Rams. — Sessue Hayakawa, Robertson-Cole médies Lyons-Moran, puis fut engagé par Thomas H. Ince. — Shiriey Mason tourne depuis plus cl. niqué. Studio, Melrose avenue and Gower Street, Los Clemske. — Margarita Fisher est née en 1894. Angeles (Cal.), U.S.A. — Willilam Farnum est un cinq ans. — Ces " stars » ne cessent pas de tourner ; grand et gros gaillard, dont le principal moyen Didy. — Irène Castle n'est autre que l'artiste seulement tous leurs films ne sont pas édités d'exprimer. un sentiment violent est de pincer qu'on a appelée Miss Vernon Castle ; Vernon est le nom de son mari défunt. Elainc Vernon, que chez nous. les narines, de froncer les sourcils et "de rouler Eun ice. — Si cet artiste a gardé 1 es premiers les "épaules. Il était le principal Interprète d't/n vous avez vue dans Gigolette ne lui est appa- timbres envoyés pour l'envoi d'une photo, il y a ours de l'Alaska ; Jack Warren-Kerrigan n'a ja- rentée à aucun degré. de fortes chances pour qu'il en soit de même à la mais paru dans ses films, d'ailleurs lui aussi est P. Rivière. — Pour Karine Molander, voyez seconde tentative... — Les journaux de théâtre « star . réponse Jim Gleason. — Lillian Gish et Mary Pick- ne fournissent pas de renseignements sur les ac- G. Thèvenot. — Hart était un vieil ami de Ince, ford envoient leur photo gratuitement. — l.e teurs . à leurs lecteurs, sauf Comcedia, en cer- avant de tourner sous la direction de ce dernier. Pauvre Amour (Truc-heart Suzle) ; La Petite Vi tains cas. — Ces salles où sont projetés les nou- — Ce que vous dites au sujet du successeur éven- vandière (Johanna enïlsts) ; Dans les bas-fonds veaux films sont mentionnées gratuitement dans tuel de Hart à l'écran est fort juste. La vérité (The Hoodlum). — Depuis Une vie de chien, on nos colonnes. est _ qu'on ne saurait le remplacer ; quelqu'un a vu en France deux nouveaux films de Chaplin. W. Sanderson. — Demandez ce renseignement fera sans doute quelque chose d'équivalent, mais Chariot soldat et Une idylle aux champs ; res- à Superfilm, 8 bis, Cité Trévise, Paris. pas exactement la même chose. Ecartons Tom tent A day's pleasure et The Kid encore inédits A.C.A.G. — Ce sera difficile, car il n'est pour Mix, qui est plus cow-boy qu'artiste dramatique, en France. ainsi dire pas de vedette française de cinéma et avouez qu'il ne restera guère qu'Harry Carey Aida. — Maë Murray. l'étoile de Fleur de Ruis- qui possède une auto. et Monroë Salisbury... à moins que Hart revienne seau n'a pas cessé de tourner ; seule l'édition de A. G. Cady. — Veuillez consulter le numéro 40. sur sa décision, ce qui est encore très possible. — ses films en France est Irrégulière. G. Duboc. — M. H. Diamant-Berger n'a encore Vous voulez sans doute parler d'un article intitulé Arsênette. — .Marc Gérard est décédé 11 y a déjé publié qu'un livre sur le cinéma, que vous pour- Désert Heart ? plusieurs mois. — Maurice Touzé ne tourne plus. rez vous procurer à la Renaissance du Livre, 76, Vipère. — Je me ferai un plaisir de vous ré- Mamie. — Wallace Mac Donald, cafe of Wlllls boul. St-Michel, Paris, au prix de cinq francs. pondre, lorsque vous me poserez des questions pré- and Inglis, Wright and Callender building, Los Sibyril. — Ne croyez pas tout ce que vous en- cises. Angeles (Cal.), U.S.A. — Même adresse pour Geor- tendez dire ; ainsi, Jacques Robert, que vous Mandy. — Robert Ellis. ge Fisher et Alan Forrest. nivez vu dans ce rôle du Comte de Monte-Cristo. B. Astier. — Pathé-Consortium (M. Fourel, Agathe. — Les fautes de style et d'orthogra- n'est nullement un fils de G. Signoret. — La directeur), 39, rue du Rois, Vincennes. phe qui abondent dans les sous-titres des filins distribution de Gigolette a été publiée dans le Ubesk. — S. Napierkowska, 35, rite Vlctor- qui passent par les mains des loueurs français, numéro 05 ; veuillez vous y reporter. — Dans Massé, Paris. — WTilliam Farnum, aux bons donnent une très exacte idée de leur gofit et de Travail, le personnage de Nanet enfant était in- soins de Fox-Film, 17, rue Pigalle, Paris. Tous leur culture. terprété par Fabien Haziza ; Nanet jeune hom- les artistes que vous mentionnez envoient leur C. Malliavin. — Léon Mathot n'envoie pas su me, à la fin, c'était Jacques Robert. photo gratis. photo. — Adresse de Mary Pickford et de Don- M. Mary. — Harold Lockwood, dans M. T. 0°. — Ce film n'ayant pas encore paru glas Fairbanks dans le numéro II. Bill ; vous trouverez dans le numéro 8 un ar- en France, je ne puis vous renseigner. — Vous A. Burcher. — Wellington I'Iayter est le par- ticle sur cet artiste regretté. — Mary Garden n'a trouverez la distribution de Voleurs de Femmes tenaire de Priscilla Dean dans Fleur sans tache tourné que Thaïs et The splendid Sinner, inédit dans le numéro 61. — Sur les autres points, je regrette de ne pouvoir en France. Petite Terreur. —■ George Fisher, care of Wil- vous renseigner. Little Doll. — Karine Molander et Tora Teje sont deux artistes suédoises. — Mais non, Lillian Gish ne saurait remplir de rôle dans L'Ami Com- Aux lettres gui nous sont parvenues après le mun, attendu qu'elle tournait alors à New-York INSTITUT C1NÉGRAPH1QUE 28 mai, il sera répondu dans le prochain numéro. PLACE DE LA RÉPUBLIQUE (18 et 20, Faubourg du Temple) j C O U R S G R A T U I T S 1 Tîlcphom : ROQUETTE 85-65 — (Aictmcurs) me ROCHE tto.0) M George WAGUE (35* année ; subventionnés 'par le ! Préparation complète au Ministre de l'Instruction Publique' Cinéma dans Studio moderne LEÇONS D'ART | C i n é m al par artistes et metteurs en scène connus : MM. Pierre BRESSOL (Nat Pinhrton, Nick-Carter), F. ROBERT, CINÉ GRA PHIQ UE Tr agédie CONSTHANS Comédie La Elèoqi sont filmés et panés à l'écran avant de suivre les cours Cours de 5 à 7. le Dimanche, en «on studio Chant COURS et LEÇONS PARTICULIÈRES (de 14 à 21 h.) S, Cité Pigalle (9-1 Til i Central 33-86 10, Rue Jacquamont, PARIS (18*) PRIX MODÉRÉS (Nord-Sud : La Fourche)

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