Raphael Films - Goupe AB - Baker Sreet - Take 4 Production présentent

DEADLINESUn film de Ludi Boeken & Michael A. Lerner avec Stephen Moyer et Anne Parillaud

Synopsis Alex Randal (Stephen Moyer), jeune reporter arriviste, sans la moindre expérience de terrain, décide de s’envoyer lui-même à Beyrouth quand il entend à la radio que deux camions suicide ont fait sauter une base américaine de Marines… (Suite page 3)

Entretien avec Anne Parillaud “Ce film ne pouvait pas être superficiel, opportuniste, anecdotique. Il ne pouvait pas non plus utiliser les formules qu’on connaît pour attirer les masses. Pour un sujet comme celui-là, il fallait de la pureté, de l’intégrité, de l’authenticité…” (Suite page 2)

Entretien avec Ludi Boeken “Sans hésitation, DEADLINES est le film le plus et Michael A. Lerner “Quand j’ai rencontré Michael, lui et réaliste, le plus véridique, que j’ai jamais vu sur moi étions des « anciens combattants » du Liban des années 80. On a raconté notre métier de reporter à l’étranger.” nos souvenirs, on a parlé des anecdotes, JONATHAN ALTER (Newsweek) des angoisses… ” (Suite page 6)

1 • Sortie le 8 juin 2005 • DEADLINES editorial ANNE PARILLAUD (Julia Muller, photographe de guerre) PAR MARTINE LAROCHE-JOUBERT Grand reporter ( 2) Dans ce film tout sonne “DEADLINES est un film qui m’est , juste. C’est filmé à la manière d’un reportage. il m’a initiée, il m’a modifiée, Les réalisateurs classiques, quand ils veulent « faire » il m’a fait évoluer.” reportage ils pensent qu’il faut faire trembler la « Ce film ne pouvait pas être superficiel, « Reporter, c’est une profession dange- caméra. Dans DEADLINES, opportuniste, anecdotique. Il ne pouvait reuse, décalée, violente. Encore plus pour au contraire, la caméra est pas non plus utiliser les formules qu’on une femme. Même si cette condition lui mobile, elle se rapproche connaît pour attirer les masses. Pour un permet un regard différent sur les événe- sujet comme celui-là, il fallait de la pureté, ments ou parfois une position stratégique des gens, mais on ne fait de l’intégrité, de l’authenticité. C’est ce que avantageuse dans certaines situations, cela pas « comme ». Or nous j’ai ressenti à la lecture du scénario. reste un combat de prouver ses capacités autres reporters tentons, dans un univers très masculin. justement, d’avoir une « Ludi et Michael avaient les moyens de image fixe qui ne s’agite m’intégrer dans l’univers des reporters de « Ludi et Michael m’ont donné beaucoup de pas dans tous les sens. Ici guerre parce qu’ils ont l’expérience du matériel pour que je puisse m’approcher du la caméra est dans l’action, elle a la bonne distance, celle des reporter- cameramen. Le héros est jeune, et se fait manipuler, ce qui est normal. Nous, on est de moins en moins naïfs, on fait de plus en plus atten- tion parce que les leçons de l’histoire ont été assez rudes. Dans ce métier, la mémoire aide à éviter les pièges, c’est l’avantage de vieillir dans le journalisme. C’est un film qui vient des tripes. J’y ai retrouvé le sentiment d’excitation du danger qu’on éprouve en étant reporter de guerre. Pour nous l’information est une « drogue dure », on est vite accroché. Moi aussi j’ai été envoyée terrain. Que ce soit le choix d’un costume, personnage : des photos d’archives, des spéciale à Beyrouth, à d’une phrase, d’une gestuelle, d’un compor- documents, des vidéos, en particulier une où l’époque où ils prenaient tement, je leur ai fait une totale confiance. parlent les plus grands reporters dans le des Français en otages, monde. Quand j’ai entendu leurs discours mais… pas de femmes. « J’ai découvert que derrière ce rêve uto- humanistes, leurs propos passionnés, leurs Je pense qu’au Liban, ou en pique de gens qui ont envie ou besoin conceptions utopiques, cela m’a profondé- d’exister à travers le témoignage des drames ment déstabilisée. J’ai pensé que si j’avais Irak aujour-d’hui, le métier et des conflits planétaires, se cachait une vingt ans, sans attaches, sans obligations, de reporter de guerre est fuite, un désespoir, un désir d’adrénaline, j’aurais pu partir, j’aurais pu y aller… de couvrir ces endroits d’émotions fortes. Tout le monde ne peut avec tous les risques que pas ou ne veut pas être reporter de guerre. « Pour mon rôle, j’ai vu et regardé beau- cela comporte. Il est C’est un choix infiniment révélateur. Celui de coup de photos. J’en ai d’ailleurs gardé une indispensable qu’il y ait des personnalités qui se lancent à corps perdu sur moi, tout au long du tournage : on y voit témoins. dans une existence extrême, en marge, hors une jeune femme au Salvador, en robe Il faut être là. norme, hors de la réalité. blanche, qui vient d’apprendre que son

DEADLINES • Sortie le 8 juin 2005 • 2 SYNOPSIS

mari a été exécuté sur une place publique, « Ces femmes et ces hommes reporters qui que les frontières vont être fermées et que partent au front, avec un appareil photo, si elle ne s’enfuit pas elle subira le même une caméra, ou un crayon, c’est hors Alex Randal (Stephen Moyer), jeune sort. Elle est enceinte avec dans ses bras de l’ordinaire, une démesure mais aussi reporter arriviste, sans la moindre un bébé et tient dans sa main droite une une fraternité, une volonté d’être témoin expérience de terrain, décide de petite fille de trois ans qu’elle fait tellement « humanitaire.» Témoin pour l’histoire. s’envoyer lui-même à Beyrouth le 23 courir que ses pieds touchent à peine le sol. octobre 1983, quand il entend à la radio Le visage de cette femme est un visage « Aujourd’hui l’exemple de Florence que deux camions suicide ont fait sauter marqué par la volonté de survivre. Même Aubenas qui a été prise en otage est avant une base américaine de Marines et une pas de pleurs, même pas de larmes – les tout celui d’une femme, d’une journaliste base des forces françaises, tuant des larmes sont un luxe qu’on ne peut pas qui, un jour, est partie. Elle s’est dit : je vais centaines de militaires.

Séduit par une superbe et énigmatique “Reporter, c’est une profession photographe, Julia Muller (Anne Parillaud), Randal découvre une dangereuse, décalée, violente. capitale déchirée par la guerre civile où s’entremêlent intérêts politiques, Encore plus pour une femme…” financiers et stratégiques. s’autoriser dans ce contexte. Reporter de traverser le monde, les terres ravagées et je Il comprend néanmoins très vite qu’il guerre photographe, c’est ça : c’est faire la vais ramener des images, je vais ramener n’est qu’un pantin manipulé par les photo de cette femme qui se sauve, c’est des écrits, et cela va faire réfléchir tout le différents camps, et qu’il devra choisir pouvoir appuyer sur le bouton quelque soit monde. C’est cette femme que l’on a prise entre des faux scoops qui le rendent l’image qui vous est présentée. Comment en otage. célèbre, et la vérité, celle du vrai survit-on à travers l’horreur et le désespoir à « Quelque soit son destin, elle a permis journalisme. toutes ces images qui frappent l’âme et d’éveiller des consciences durant son l’esprit ? Comment ne pas être désabusé, activité et durant sa séquestration. On se ne pas se sentir coupable ? doit de la célébrer. »

FILMOGRAPHIE SÉLECTIVE

2005 TOUT POUR PLAIRE 1993 A LA FOLIE Réal. Cécile TELERMAN Réal. 2004 TERRE PROMISE 1992 INNOCENT BLOOD Réal. Réal. 2004 DEADLINES 1989 NIKITA Réal. Ludi BOEKEN, Michael A. LERNER Réal. 2001 SEX IS COMEDY 1981 POUR LA PEAU D'UN FLIC Réal. Réal. 1999 UNE POUR TOUTES 1978 L'HOTEL DE LA PLAGE Réal. Réal. Michel LANG 1996 PASSAGE À L'ACTE Réal. Francis GIROD

3 • Sortie le 8 juin 2005 • DEADLINES STEPHEN MOYER LISTE TECHNIQUE (Alex Randal, reporter de guerre) Réalisé par , LUDI BOEKEN “C est rare de lire un script et de ressentir la nécessité MICHAEL A. LERNER Écrit par , MICHAEL A. LERNER de faire le film. Et bien c’est ce qui s est passé Musique originale , , JUSTIN ADAMS quand j ai lu le scénario de DEADLINES. Je l ai adoré.” Directeur de la photo IVAN STRASBURG B.S.C. Montage « Ludi m’a proposé le personnage d’Alex « Le héros est américain, mais c’est SUZANNE FENN parce qu’il m’avait vu jouer dans un télé- une histoire où on voit un officiel de l’armée Décors film sur la révolte du ghetto de Varsovie américaine vendre les armes de sa propre TAOUFIK BEHI Costumes (Uprising), et j’ai senti tout de suite qu’il armée, ce qui est plutôt une histoire MAGDALENA GARCIA CANIZ croyait en moi. Du coup, je me suis jeté à anti-américaine. Sauf qu’il n’était pas le seul Son fond dans le rôle, avec une passion que je à être corrompu dans le contexte de cette FAOUZI THABET n’avais jamais ressentie auparavant. Je ne guerre. Chacun se servait et piquait HUGH JOHNSON Produit par connaissais rien à la guerre du Liban, alors une part du gâteau. LUDI BOEKEN - ERIC DUSSART Co-producteurs DAVID COHEN AHMED BAHA EDDINE ATTIA Producteurs exécutifs EMMA HAYTER - BILL ALLAN, JOHN HARDY - ALINE PERRY, CHRIS AUTRY Une Production RAPHAEL FILMS - GROUPE AB BAKER STREET - TAKE 4 PRODUCTION Produit en association avec THE FILM CONSORTIUM THE WORKS - UK FILM COUNCIL MATRIX FILM FINANCE Coproduit avec PSYCHOLOGY NEWS (London) CINETELEFILMS (Tunis)

LISTE ARTISTIQUE Alex Randal STEPHEN MOYER Julia Muller ANNE PARILLAUD j’ai commencé par faire un peu de recherche « Tourner à Tunis une histoire de guerre au Abdul Sayyaf OMID DJALILI sur cette période historique. Moyen-Orient quand une autre guerre, en Yann Meschen GEORGES SIATIDIS Irak, démarrait dans la région, était une Ali Ibrahim ZARROUK « Alex est un jeune homme naïf qui se trouve expérience très spéciale, intense, qui Paul Baker LARRY LAMB plongé, à Beyrouth, dans une situation extrê- nous a beaucoup rapprochés. L’équipe était mement complexe. Il pense qu’il sait tout et, incroyablement soudée. » Rahman LOFTI DZIRI bien sûr, il ne sait rien. Au fur et à mesure du United Press KARL MAKINEN déroulement de l’histoire, Alex s’aperçoit que Jim Prager DES McALEER plus il comprend et moins il pourra changer Mike Kennerly BOBBY BUECHLER le cours des choses. En revanche, il peut FILMOGRAPHIE Reuters DAVID COHEN avoir une influence, une petite influence, s’il Michel Feyrouz TAOUFIK BEHI agit pour de bonnes raisons et plus seule- 2005 UNDISCOVERED Sgt Coleman GAUTAM RAMNATH ment par carriérisme. C’est lui qui change et, Réal. Meiert Avis Fouad YADH BEJI après avoir vécu cette expérience, il ne sera 2004 DEADLINES Maksoud NOURREDINE CHAOUCH plus jamais le même. Réal. Ludi Boeken / Michael A. Lerner Tom Watson DAVID ROSE « Mes amis journalistes n’ont jamais réussi à 2001 TRINITY Time Magazine PATRICK CHAUVEL m’expliquer comment marchait leur métier. Réal. Gary Boulton Brown New York Times LUDI BOEKEN Mais dans ce film j’ai enfin découvert ce 2000 QUILLS Associated Press NED O'BRIEN qu’était le travail de journaliste. J’ai été Réal. Philip Kaufman Washington Post CHRIS SMOAK stupéfait par la quantité de faits qu’on doit 1998 COMIC ACT Miami Herald SOFIENE CHAARI récolter et vérifier avant de publier tout Réal. Jack Hazan Newsweek MICHAEL A. LERNER article. Je me suis souvent demandé comment 1997 PRINCE VAILLANT Leader OLP HADDAD BOUALLEGUE ils trouvaient leurs sources, comment ils les Réal. Anthony Hickox utilisaient, et ce travail m’a fasciné.

DEADLINES • Sortie le 8 juin 2005 • 4 NOTES DE PRODUCTION flashback

Basé sur des événements réels et dans un environnement Lors d’un dîner à Los Angeles, violent, DEADLINES se devait d’être tourné très loin de la guerre et du Liban, Ludi Boeken et dans un endroit comme Tunis Michael A. Lerner sont assis par hasard à la même table. Peu à Après le choc du 11 septembre, tout le monde déconseille aux réalisateurs peu, ils se mettent à parler de d’aller tourner dans un pays arabe, à moins d’être entouré d’une armée de l’hôtel Commodore à Beyrouth gardes du corps occidentaux, d’agents secrets etc… Mais le film étant basé sur des événements réels et dans un environnement violent, il fallait le tourner dans où, à partir de 1983, l’année de un endroit qui soit le plus proche possible de cette situation. Tunis a été un lieu la première attaque suicide de tournage idéal. Les co-producteurs tunisiens et l’équipe tunisienne étaient contre des Américains, se complètement engagés dans le film. Le choix de vivre et de tourner dans un retrouvaient tous les reporters quartier ouvrier de Tunis a encore renforcé la cohésion de l’équipe. Tunis avait de guerre, comme eux. aussi connu des conquêtes, des occupations, le colonialisme et la lutte pour l’émancipation, tout cela sous un soleil torride, et, comme Beyrouth, la ville était Ludi Boeken, hollandais, a été un mélange d’architectures du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord, de France et sur tous les fronts comme d’Italie. C’était parfait pour DEADLINES. réalisateur de documentaires et grand reporter TV. Il a été rechercher et filmer les prisonniers israéliens détenus disparus dans la plaine de la Bekaa, et a été récompensé du EMMY Award pour Who killed Georgi Markov?, son film sur les assassinats au parapluie empoisonné. Depuis, il est devenu produc- teur et réalisateur de films.

Michael A. Lerner, franco- américain, brillant ‘graduate’ de Harvard et journaliste de presse écrite, est musicien mais aussi scénariste. Envoyé très jeune à Beyrouth par le prestigieux magazine Newsweek, il a couvert la guerre civile et les terribles attentats contre les bases américaines et françaises.

“On a eu la chance de tourner avec l’un des meilleurs Déjà récompensé… “Meilleur Film Européen” directeurs de la photographie au monde, Ivan Strasburg.” Festival de Films d’Avignon (juin 2004) LUDI BOEKEN “Meilleure Actrice” - Anne Parillaud Festival International Ancien cameraman de documen- le script. Avec l’accord des du Film de (mars 2004) taires, Ivan Strasburg (Live from réalisateurs, il décide d’utiliser les “Prix Spécial du Jury” Bagdad, Bloody Sunday de Paul pellicules les plus sensibles et de Festival Tout Ecran, Genève Greengrass) a filmé le Moyen-Orient filmer nuit et jour sans éclairage arti- (novembre 2004) pendant des années, et plus ficiel, mais aussi de tourner le film “Prix du Jury et Meilleur Film” particulièrement le Liban. Il connais- entièrement la caméra à l’épaule : Festival Cherbourg (avril 2005) sait par conséquent l’histoire et le « Une expérience incroyable ! », aux décor de DEADLINES sans avoir lu dires de tous les participants. “Best International Film” Santa Barbara Film Festival, Californie (janvier 2005)

5 • Sortie le 8 juin 2005 • DEADLINES Entretien avec LUDI BOEKEN et MICHAEL A. LERNER

Vous étiez tous les deux journalistes. vaguement construit à partir de mes qu’on a vécue sans se connaître. Et on Comment êtes vous passé de expériences de reporter quand je s’est dit à quel point tout cela la réalité à la fiction ? couvrais le Liban pour Newsweek. ressemblait à ce qui se passe dans le L’histoire est une fiction pure, mais monde aujourd’hui, et sans doute, Ludi Boeken. je me suis appuyé sur des évé- demain. Par conséquent, on s’est logi- Je ne suis pas passé du journalisme nements réels et beaucoup des per- quement dit qu’il fallait en faire un film, au cinéma mais plutôt l’inverse. sonnages sont inspirés des gens que et raconter tout cela à nos proches, à nos Le cinéma était mon premier amour, j’ai rencontrés sur place. enfants, au grand public. surtout un cinéma ancré dans la réalité, un cinéma qui racontait des Ludi Boeken. Réaliser un film à deux, histoires vraies. J’étais, depuis ma Quand j’ai rencontré Michael, lui et moi ça a été facile ?

jeunesse, entouré d’histoires vraies Michael A. Lerner. bien plus fortes que toute fiction Très cool – on a tout fait comme je imaginable. Alors, à travers le cinéma, “ Ce film tombe voulais. Non, je blague. Cela a été une j’ai voulu « témoigner.» Au cours expérience formidable, parce qu’on des années 70, je suis peu à peu en pleine actualité a l’impression qu’on est vraiment « tombé » dans la réalisation de complémentaire dans le travail. grands documentaires d’investigation. parce que Beyrouth 1983, A partir de là un grand retour vers Ludi Boeken. un cinéma de fiction n’était qu’une c’est Bagdad 2005 ” On est parti avec une vision commune question d’envie. JONATHAN ALTER (Newsweek) sur ce film – comment le faire, à quoi il ressemblerait, quelles émotions – et Comment êtes-vous arrivés on n’a jamais regardé en arrière. Et la à DEADLINES ? étions des « anciens combattants » du preuve que la collaboration a très bien Liban des années 80. On a raconté nos marché, c’est que, malgré nos diffé- Michael A. Lerner. souvenirs, on a parlé des anecdotes, des rents projets, on en a gardé quelques- On m’a toujours dit : « Ecris sur ce angoisses, du sérieux et du ridicule, de la uns qu’on espère faire ensemble. que tu connais. » DEADLINES est douleur et de l’excitation de cette guerre

DEADLINES • Sortie le 8 juin 2005 • 6 LUDI BOEKEN MICHAEL Réalisateur / Producteur Né à Amsterdam Producteur A. LERNER London Film School Train de vie de Radu Mihaileanu Réalisateur / Scénariste Prix du Public Grand Reporter et Réalisateur de (SUNDANCE FILM FESTIVAL 1999) Né à Los Angeles, USA. documentaires pour la télévision La Fracture du myocarde Diplomé de Harvard University. néerlandaise VARA : de Jacques Fansten - Prix Italia. Guerre d’Octobre (1973) Sept d'Or Meilleur scénario Journalisme Débarquement turc à Chypre (1974) Comme des rois de François Velle 1991 - 2005 Incursion israélienne au Sud Liban Vincent et Théo de Robert Altman Articles pour Los Angeles Times (1978) Dreamers de Uri Barbash Magazine, Vanity Fair, New York Campagnes de terreur de l’OLP Silent Tongue de Sam Shepard Observer, Travel & Leisure. (1973-1985) Zeus and Roxanne de George Miller Guerre civile au Nicaragua Une Histoire d’amour et de pédalo 1988-1991 - Newsweek Guerre du Liban (1980-1983) de Edwin Baily Correspondant du bureau de Bader Meinhof - Allemagne Alla Turca de Macha Méril Los Angeles. Fait la une avec des Guerre au Sud-Soudan (1975-1983) Le Montreur de boxe de Dominique Ladoge articles sur les gangs, la drogue, Guerilla au Tigré - Ethiopie (1982) Hoffman’s Hunger de Leon de Winter la frontière Sud-Ouest du Mexique. Lutte armée de l’ANC contre Les Epées de diamant l’Apartheid (1976-1985) de Denys de la Patellière 1983-1988 - Newsweek Resistance chilienne contre Pinochet Roulez jeunesse de Jacques Fansten Correspondant du bureau de Paris. (1973-1980) Comme un bateau, la mer en moins Grand reporter au Moyen Orient : Reporter et réalisateur pour la BBC : de Dominique Ladoge - Prix UNICEF il couvre la Guerre Civile au Liban Who Killed Georgi Markov ? (1981) DOCUMENTAIRES (et passera 3 ans à Beyrouth), Emmy Award Les Enfants du Chili - FR3 (1980) le conflit en Lybie, la Guerre (dans la section News and au Yemen, la chute de l’Apartheid Documentary) Le Clou volé - Gypsyland, it doesn’t exist en Afrique du Sud. Fondateur de BELBO FILMS en TF1 / Channel Four (1982) 1982-1983 - Newsweek Grande Bretagne (1979) puis aux The Prisoners of Lebanon - A2 (1983) Pays-Bas (1979) et en France (1984) Rédacteur en chef adjoint L’Espion qui vient de l’extrême droite / et de RAPHAEL FILMS en 1995. Rubrique : politique intérieure. The Other Face of Terror Bureau de New York. Antenne 2 / Channel Four / NOS (1984) CINÉMA Special Nipkow Prize (Pays-Bas) 1981-1982 - The New Republic Réalisation Knesset Prize (Israel) Editorialiste. Bureau de Washington. Deadlines Yankee Samurai de Ludi Boeken et Michael A. Lerner Canal Plus/NOS PBS. (1984) CINÉMA Britney Baby, One More Time Nous l’avons tant aimé, la révolution / de Ludi Boeken (SUNDANCE 2002) Revolution revisited Scénariste FR3 / NOS / Channel Four (1985) 2004 Golda Meir - A portrait Deadlines VARA TV / PBS USA (1975) de Ludi Boeken et Michael A. Lerner 2003 How deep is the Ocean (The Brian Wilson Story) de Rob Reiner En pré-production. 1995 French Exit de Daphna Kastner

Réalisation 2004 Deadlines de Ludi Boeken et Michael A. Lerner

Ludi BOEKEN et Michael A. LERNER

7 • Sortie le 8 juin 2005 • DEADLINES France / Royaume-Uni / Tunisie – 2004 - Durée : 1h43

DISTRIBUTION RELATIONS PRESSE ZOOTROPE FILMS / AB DROITS AUDIOVISUELS Bossa Nova / Michel Burstein 81, boulevard Clichy - 75009 Paris 32, boulevard Saint-Germain - 75005 Paris Tél : 01 53 20 48 60 - Fax : 01 53 20 48 69 Tél 01 43 26 26 26 - Fax 01 43 26 36 26 [email protected] [email protected] - www.bossa-nova.info

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