La Maison De Disques Vogue

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La Maison De Disques Vogue Université Paris VIII Octobre 2010 LA MAISON DE DISQUES VOGUE De la croissance à la faillite : analyse artistique et commerciale d’un label français pendant les Trente Glorieuses 1948-1992 Tableau alarmant de la destruction du patrimoine industriel et culturel. Une cohue de disques écrasés, des avalanches de cassettes broyées par un bulldozer dans l’indifférence générale. Ces photos prises par la mairie de Villetaneuse lors de la démolition des locaux, en 2004, de l’ancienne et prestigieuse maison de disques Vogue, montrent le désintérêt pour cette mémoire. Au risque d’ignorer le rôle joué par Vogue dans le paysage culturel français de Sidney Bechet à Axel Bauer, dans l’enregistrement et la diffusion des grandes vedettes depuis les années jazz jusqu’à l’électro new wave des années 80. Recherches d’Histoire contemporaine Master II Lucie Servin sous la direction de Danièle Tartakowsky, 1 SOMMAIRE INTRODUCTION 14 CHAPITRE I : VOGUE, L’HERITIERE DU SWING (1948-1958) 19 1. LE JAZZ DES ORIGINES 19 A. DE SWING A VOGUE : UN LABEL PARISIEN DE COLLECTIONNEURS 20 B. LE TRIOMPHE DE SIDNEY BECHET, LE TOURNANT COMMERCIAL 26 C. UN RESEAU DE PROFESSIONNELS SPECIALISES 30 2. LE MODELE DU FINANCEMENT INTEGRAL : LEON CABAT 35 A. CABAT ET ASSOCIES, UNE STRUCTURE PATRIARCALE 35 B. UN LABEL DE VARIETE PARISIEN 39 C. UNE MAISON INDEPENDANTE ET 100% FRANÇAISE 44 3. L’IMPLANTATION DE L’USINE A VILLETANEUSE 50 A. VOGUE : DE PARIS A LA BANLIEUE 50 B. LA FAMILLE DOLL ET L’IMPLANTATION DE L’USINE EN 1956. 55 C. UNE PRODUCTION MANUFACTUREE ET ARTISANALE LIMITEE 58 CHAPITRE II : VOGUE EN VOGUE (1958-1978) 64 1. UN GROUPE INDUSTRIEL ET EDITORIAL PUISSANT 65 A. UNE INDUSTRIE DE MASSE : L’ERE DU MICROSILLON 65 B. UN GROUPE EDITORIAL TENTACULAIRE 71 C. LA NEBULEUSE INTERNATIONALE 77 2. UNE NOUVELLE ORGANISATION DU TRAVAIL 84 A. LA CENTRALISATION DES ACTIVITES A VILLETANEUSE 84 B. UNE STRUCTURE HIERARCHISEE ET FAMILIALE 97 C. LA SYNERGIE MEDIATICO-PUBLICITAIRE 104 3. IDENTITE MUSICALE ET IMPERATIFS COMMERCIAUX 111 A. « CREER ET PROMOUVOIR » : UNE EQUIPE DE PROFESSIONNELS 111 B. UNE USINE A STARS 118 C. DES MUSICIENS D’ADOPTION 123 2 CHAPITRE III : LA FIN D’UN MODELE (1978-1987) 132 1. LES RAISONS ECONOMIQUES DU DECLIN 132 A. DE L’ANALOGIQUE AU NUMERIQUE 133 B. UN MARCHE DOMINE PAR LES MULTINATIONALES 138 C. LA MUSIQUE DEMATERIALISEE 142 2. UN DRAME SOCIAL 148 A. VILLETANEUSE : UNE MUNICIPALITE EN CRISE 148 B. LES LICENCIEMENTS COLLECTIFS 152 C. L’ATTACHEMENT DES SALARIES A L’ENTREPRISE 154 3. UNE AFFAIRE POLITIQUE 157 A. UNE AFFAIRE LOCALE 157 B. UNE DIRECTION DEMISSIONNAIRE 166 C. LE RACHAT DE VOGUE ET L’ARBITRAGE DE L’ETAT 170 CONCLUSION 177 ANNEXES 180 SOURCES 186 LES ARCHIVES MUNICIPALES DE VILLETANEUSE (AMV) 186 LE FONDS DELAUNAY A LA BNF 191 LES TEMOIGNAGES ORAUX 192 LES ARCHIVES PRIVEES DE SERGE DOLL 193 BIBLIOGRAPHIE 195 3 Les ruines de Vogue, (photos de la démolition des entrepôts en 2004, sources : Mairie de Villetaneuse) 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 INTRODUCTION « On jouait aux frisbees avec les vinyles ». Depuis la fin des années 80, les locaux laissés à l’abandon renfermaient encore quelques dépouilles de la marque. Ils ont servi de terrain de jeu à la jeunesse locale comme les nombreuses friches industrielles qui constellent le département de la Seine-Saint-Denis depuis la fermeture des usines. Une génération a grandi sur ces ruines ignorant tout de ce grand label français. Vogue a pourtant régné parmi les étoiles dans le ciel des Trente glorieuses jonglant avec les disques d’or et les vedettes. Les belles années de Vogue n’évoquent plus grand chose si bien que lorsque les derniers entrepôts de l’entreprise ont été vidées pour être détruits. Les archives ont été mises en dépôt sur le trottoir. On doit à l’intelligence de deux employés de la mairie d’avoir fait les poubelles pour récupérer quelques trésors abandonnés1. Anne Legrand a déjà écrit la genèse jazz du label et rédigé la biographie de Charles Delaunay, un des trois fondateurs de la maison Vogue, avec Léon Cabat et Albert Ferreri2. Ces travaux se concentrent sur l’histoire du jazz dans les années 30 et 40 et jettent les bases solides pour comprendre le contexte qui a présidé à la création du label. Héritière du Hot Club de France et du label Swing, lors de la grande épopée du jazz, Vogue a conquis peu à peu les marchés, de 1948 à 1988, élargissant son répertoire à la variété et à tous les styles de musique, distribuant les incontournables artistes anglo-saxons sur le marché français. La construction d’une usine a conduit à la métamorphose commerciale et industrielle d’une affaire très artisanale au départ grâce au succès du marché du microsillon. Vogue constitue également un modèle unique, une entreprise aux capitaux 100% français capable de rivaliser sur le marché national avec les grandes majors du secteur. Cette autonomie fondée sur un idéal d’indépendance et d’autosuffisance constitue une exception dans l’histoire des compagnies de disques et mérite une étude singulière. Avec son usine, son imprimerie, ses maisons d’édition, ses studios d’enregistrement, et jusqu’à des logements d’habitation, la firme maîtrise tous les échelons de la chaîne de production en garantissant la fabrication des disques, le stockage, la livraison, de l’enregistrement à la diffusion. 1 AMV : Cf Photos de la démolition 2004 P4 à13, il s’agit de pochettes de disques et surtout de bobines de film avec un rétroprojecteur. 2 LEGRAND Anne : Charles Delaunay, sa place et son rôle dans le jazz en France dans les années 30 et 40, éditions du Layeur, 2006 14 Les révolutions technologiques successives, le numérique et la dématérialisation des supports ont rendu ce modèle obsolète et conduit à la liquidation de l’usine et du groupe au milieu des années 80. Témoignages des bouleversements d’un secteur, les licenciements collectifs ont provoqué un drame social à Villetaneuse, dans une commune déjà touchée par la crise. Les locaux désertés ont attendu la validation des projets d’aménagement sur la zone. La mairie en faisant valoir son droit de préemption s’est opposée aux velléités du nouvel acquéreur Jean- Louis Detry qui souhaitait acheter les terrains en 1988. La démolition en 2004 a finalement permis la construction de lotissements pavillonnaires. Nos recherches se sont d’abord inscrites dans un travail de mémoire, en collaboration avec le service culturel de la Mairie de Villetaneuse et l’association Zébrock, dans le cadre de la mission Mixages, dont l’objectif est de collecter des archives sur la mémoire musicale en Seine-Saint-Denis. Ce partenariat a permis de dédier les programmes culturels de la ville de Villetaneuse pour les saisons 2010-2011 à la mémoire du prestigieux label, en profitant du centenaire de la naissance de Django Reinhard célébrée en 2010 et de celle de son alter-ego, Charles Delaunay, en 2011. Concrètement, l’action menée par la municipalité a permis deux réunions Mixages avec d’anciens employés à la mairie de Villetaneuse, le 10 juin 2009 et le 23 janvier 2010. Premières rencontres et prises de contact, ces tables rondes de souvenirs évoqués en toute liberté donnent l’atmosphère générale. Deux « Cafés Musicaux-Mixages» ont permis l’organisation de débat public, l’un réuni à la mairie de Villetaneuse le 12 février 2010 sur le thème des supports et l’autre, au centre socioculturel le 7 mai sur la question des répertoires. Les échanges avec les anciens employés et dirigeants ont ainsi été favorisés par ce relais des institutions publiques. Ce sont cadres, employés, ouvriers, artistes, directeur artistique que nous avons pour certains interrogés ensuite en privé. Ces témoignages couvrent tout un éventail d’échelons et de professions : autour de la création, de la fabrication, et de la diffusion. La collaboration avec la commune et l’association Zebrock a ancré cette étude sur le terrain et favorisé la découverte des archives municipales inédites concernant la fermeture du label de 1984 à 1992. Elle a également contraint cette étude dans le calendrier des préoccupations et des priorités associatives et municipales. Villetaneuse perd une part très importante de ces recettes fiscales, environ un quart de la taxe professionnelle alors que 70 % des employés habitaient la commune. La dominante populaire et la pression sociale renforcent les besoins de la population très importants en termes de logements et de services publics. Lors de l’ère industrielle, la taxe professionnelle élevée avait permis à la ville de répondre dans l’urgence aux besoins en termes de logements sociaux, 15 d’écoles... La fermeture des usines a paralysé les finances et menacées de faillite la municipalité qui ne pouvait plus faire face aux remboursements de ses emprunts que grâce aux subventions de l’Etat. La disparition de Vogue s’accompagne de la fermeture d’autres entreprises dans la commune et symbolise à elle seule le tournant de la crise. Villetaneuse, ville communiste depuis les origines du parti en France s’est engagée activement dans ce conflit dirigeant elle-même la résistance et coordonnant la lutte des salariés. La municipalité et les habitants ressentent encore aujourd’hui ce traumatisme et ces sentiments de nostalgie ou de révolte nuisent à la considération objective de l’ensemble. Le carton d’archives retrouvé en juillet 2010 à la mairie de Villetaneuse témoigne de cette action. Il est composé de nombreux éléments, des documents officiels : rapports, courriers entre les instances publiques ou le Tribunal de Commerce, dossiers de presse et comptes-rendus des propositions faites par le groupe communiste. Nous disposons ainsi de nombreux chiffres officiels du SNEP (le syndicat national des éditeurs de phonographes3), ou de sortes de fiches mémoires sur l’industrie du disque qui ont permis la composition du discours de l’intervention de Jacques Poulet lors du conseil extraordinaire du 23 janvier.
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