Colloque International

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Colloque International ACTES DU COLLOQUE INTERNATIONAL HUMANITÉS ET HUMANISME DANS LA CITÉ DES TRÉVIRES 10 et 11 octobre 2003 Athénée de Luxembourg 1 © Union latine, 131 rue du Bac 75007 Paris, France ISBN : 92-9122-009-4 2 COLLOQUE INTERNATIONAL Humanités et Humanisme dans la Cité des Trévires TABLE DES MATIÈRES Discours inauguraux - 5 M. l’Ambassadeur Bernardino Osio, Secrétaire général de l’Union latine M. le Directeur Emile Haag, directeur de l’Athénée de Luxembourg M. le Président Dino De Poli, président de la Fondation Cassamarca M. Guy Dockendorf, Premier Conseiller du Gouvernement, directeur général, Ministère de la Culture de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Exposés M. le Prof. Denis Scuto (Luxembourg) : Des Barbares, ces Gaulois ? Ou : quand l’enseignement de l’histoire permet de changer fondamentalement d’optique… - 15 Mme le Prof. Marie-Thérèse Raepsaet-Charlier (Bruxelles) : Les Trévires : onomastique, cultures et société sous le Haut-Empire - 33 M. le Prof. Joseph Reisdoerfer (Luxembourg) : Dramata festiva mixta musica : remarques sur le théâtre des jésuites au Collège de Luxembourg - 91 Mme le Prof. Nicolette Brout (Bruxelles) : Alexandre et son frère Jean-Guillaume Wiltheim, historiens de leur région - 101 M. le Prof. Othon Scholer (Luxembourg) : Un jésuite humaniste aux prises avec un château de la Renaissance (Jean- Guillaume Wiltheim et le château de Mansfeld) - 121 3 M. le Prof. Edouard Wolter (Luxembourg) : Des inscriptions latines : témoins de 400 ans de l’Athénée de Luxembourg - 135 M. le Prof. William Van Andringa (Amiens) : Les dieux et la cité : quelques remarques sur les cultes des Trévires - 141 M. le Prof. Manfred Lossau (Trier) : Mosella, fleuve impérial - 155 Mme le Prof. Maria Grazia Gerini (Genova) : Après la chute de l’Empire, un continuateur de la culture classique chante les louanges des Trévires - 169 M. le Prof. Jean-Noël Robert : César et l’impérialisme romain : de l’esprit de conquête à la conscience d’une responsabilité - 177 Conclusion du colloque - 187 M. le Prof. Jean-Noël Robert M. le Prof. Ernesto Bertolaja Liste des participants - 190 4 M. l’Ambassadeur Bernardino Osio Secrétaire Général de l’Union Latine Monsieur le Directeur, Monsieur le Premier Conseiller, Mesdames et Messieurs les Professeurs, Mesdames et Messieurs. C’est un grand plaisir pour moi, Secrétaire Général de l’Union Latine, d’être invité à l’inauguration de ce colloque, qui doit servir pour renouveler et alimenter les études de cette institution dans les matières humanistes. Vous célébrez cette année le quatrième centenaire de votre établissement, fondé par les jésuites. On ne célébrera jamais assez l’apport qu’a donné cet ordre des jésuites au développement de la civilisation occidentale. Il suffit de réfléchir par exemple au fait que si l’on a un continent d’Amérique latine, on le doit, en grande partie, aux jésuites. Quand on voyage, comme j’ai eu l’occasion de le faire plusieurs fois, en Amérique Latine, on trouve partout les traces de leur présence, traces qui ont été absolument bénéfiques. Il ne faut pas croire ce qu’avait écrit Voltaire à ce propos, et il faut reconnaître que l’expulsion des jésuites de l’Amérique Latine a été un crime historique et une vraie disgrâce pour ce continent qui a fait un retour en arrière d’au moins cent ou cent cinquante ans dans son développement. Je me réjouis beaucoup de voir qu’au Luxembourg aussi, il y a des traces culturelles importantes, tel cet Athénée fondé par les jésuites. Je voudrais remercier Monsieur Guy Dockendorf, Premier Conseiller luxembourgeois, et Directeur de la Culture, pour l’intérêt qu’il a immédiatement manifesté à l’endroit de notre projet. Je voudrais remercier Monsieur Emile Haag, Directeur de l’Athénée, qui nous reçoit et défend avec ardeur dans son établissement l’enseignement des humanités. Je voudrais remercier Monsieur De Poli, Président de la Fondation Cassamarca de Trévise, qui nous a aidés à organiser ce colloque et qui est très attaché à la diffusion de la culture classique en Europe et dans le monde. A tous les professeurs, qui ont bien voulu répondre à l’invitation de 5 l’Union latine autour d’un sujet qui va évoquer les ancêtres de ceux qui sont aujourd’hui au cœur de l’Europe. L’Union latine est une organisation intergouvernementale fondée par l’initiative de la France et du Brésil en 1954, avec un traité international signé à Madrid, c’est-à-dire il y a exactement cinquante ans, et dont le but est de défendre et de diffuser l’héritage latin. Il faut dire que nous sommes aujourd’hui à une époque où l’on défend partout la diversité culturelle, et la fondation de l’Union latine a été une intuition prophétique. La semaine prochaine à l’Unesco commencera un très grand débat sur la nécessité d’ouvrir les négociations pour formuler un traité juridique en faveur de la défense de la diversité culturelle. Ce qui veut dire que l’Union latine a été vraiment un prédécesseur de cette initiative. Trente-six pays font partie de l’Union latine, et je souris toujours quand je dis que j’ai un empire qui va de l’Afrique à l’Asie, de l’Europe à l’Amérique latine, et je peux dire avec sincérité que nous attendons le Luxembourg. Je pense que ce Grand Duché, qui a des racines latines profondes, comme le prouve l’existence de cet Athénée, doit vraiment nous rejoindre, car il fait partie de ce groupe géopolitique qui doit défendre cet héritage culturel tellement important. Cela dit, je ne suis pas un expert, et je laisse donc aux experts le loisir de nous faire savoir à quel point sont profondes les racines latines de cette région qui est vraiment au cœur de l’Europe. J’ai visité le musée archéologique de Luxembourg et j’ai été frappé par l’abondance des pièces archéologiques qui démontrent l’ancienne présence latine dans cette région, et ce qui m’a frappé surtout, c’est le fait que ce ne sont pas des pièces archéologiques importées de la Grèce, de l’Egypte, de la Tunisie ou de l’Italie, mais qui ont été trouvées ici, sur ce territoire. Ce qui démontre une fois de plus la latinité de votre pays. Je vous remercie infiniment et je vous exprime tous mes souhaits de réussite de ce colloque. 6 M. le Directeur Emile Haag Directeur de l’Athénée de Luxembourg Monsieur l’Ambassadeur, Monsieur le Président, Monsieur le Premier Conseiller du gouvernement, chers invités d’honneur et participants au colloque, chers collègues, Mesdames et Messieurs. C’est un grand honneur que vous nous faites d’avoir choisi l’Athénée du Luxembourg comme centre pour votre colloque «Humanités et humanismes dans la Cité des Trévires». Le quadricentenaire que nous célébrons tout au long de cette année, guidé par notre devise «innovation, tradition», nous a naturellement amenés à faire un retour aux sources, c’est- à-dire à l’époque des Pères jésuites. Quand ils ont fondé en 503 notre collège, ils lui ont donné comme base l’humanisme, héritage de la Renaissance, en clair, les études classiques, latin et grec. Nous savons tous que cet héritage a évolué, tout en marquant durablement de son empreinte notre culture et notre tradition occidentales. Aujourd’hui, beaucoup de modernistes inconditionnels estiment que les classiques ne sont plus de saison, qu’ils sont du bois mort dont il faudrait se débarrasser. Inutile de vous dire que nous maintenons dans notre maison, malgré l’abolition du latin comme branche obligatoire depuis 1968, contre vents et marées, le cap des études du latin, qu’une forte minorité de nos élèves continue à cultiver. Votre colloque d’aujourd’hui nous encourage à maintenir ce cap avec l’assurance que dans nos pays voisins, tout comme chez nous, les descendants spirituels de Cicéron et de César sont bien vivants, et qu’en soutenant les efforts de l’Union latine, nous réussirons à préserver ce qui, depuis toujours, fait le propre de notre identité culturelle et, ce qui nous a personnellement fait grand plaisir, au moment où nous étions initiés par nos aînés. Nous vous souhaitons chaleureusement la bienvenue à l’Athénée, ainsi qu’un très grand succès pour votre colloque. 7 8 M. le Président Dino De Poli Président de la Fondation Cassamarca Cari amici, sono stato lieto di aver potuto collaborare alla realizzazione di questa iniziativa, promossa dall’Unione Latina. Così come sono grato per la presenza autorevole di tante personalità qui convenute oggi. Per vari aspetti e da molte iniziative si conferma che il Lussemburgo è autorevole porta d’ingresso nel cuore d’Europa. Come Fondazione Cassamarca, stiamo svolgendo, con puntualità e continuità, la nostra iniziativa per una riflessione attorno al tema dell’Umanesimo Latino nel mondo. Come testimoniano i venticinque convegni fin qui organizzati da noi nei cinque continenti. Quest’iniziativa, partita nel 1997, ora si arricchisce di una più puntuale funzione ovvero quella di riscoprire il vero substrato culturale che occorre all’Europa oggi. Mi piace perciò ricordare soprattutto il convegno sulla Germania Latina tenutosi a Monaco nell’ottobre 2001, quello sulla Britannia Latina, svoltosi a Londra nell’aprile 2003. Oltre ai convegni tenuti in Spagna e Portogallo sul medesimo tema, rapportato alle singole caratteristiche e realtà nazionali. Amo spesso ripetere che tutti i pozzi profondi sono intercomunicanti e il latino è uno di questi pozzi. Questi studi e queste riflessioni ci spingono ad andare ancora più in profondità. L’Umanesimo Latino nasce infatti sul terreno filosofico e culturale della Grecia, con la sua concezione della polis, e nell’alveo mediterraneo dalla realtà giudaico-cristiana fino ad incontrare l’impegnativa e difficile cultura dell’Islam.
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    Bibliography Many books were read and researched in the compilation of Binford, L. R, 1983, Working at Archaeology. Academic Press, The Encyclopedic Dictionary of Archaeology: New York. Binford, L. R, and Binford, S. R (eds.), 1968, New Perspectives in American Museum of Natural History, 1993, The First Humans. Archaeology. Aldine, Chicago. HarperSanFrancisco, San Francisco. Braidwood, R 1.,1960, Archaeologists and What They Do. Franklin American Museum of Natural History, 1993, People of the Stone Watts, New York. Age. HarperSanFrancisco, San Francisco. Branigan, Keith (ed.), 1982, The Atlas ofArchaeology. St. Martin's, American Museum of Natural History, 1994, New World and Pacific New York. Civilizations. HarperSanFrancisco, San Francisco. Bray, w., and Tump, D., 1972, Penguin Dictionary ofArchaeology. American Museum of Natural History, 1994, Old World Civiliza­ Penguin, New York. tions. HarperSanFrancisco, San Francisco. Brennan, L., 1973, Beginner's Guide to Archaeology. Stackpole Ashmore, w., and Sharer, R. J., 1988, Discovering Our Past: A Brief Books, Harrisburg, PA. Introduction to Archaeology. Mayfield, Mountain View, CA. Broderick, M., and Morton, A. A., 1924, A Concise Dictionary of Atkinson, R J. C., 1985, Field Archaeology, 2d ed. Hyperion, New Egyptian Archaeology. Ares Publishers, Chicago. York. Brothwell, D., 1963, Digging Up Bones: The Excavation, Treatment Bacon, E. (ed.), 1976, The Great Archaeologists. Bobbs-Merrill, and Study ofHuman Skeletal Remains. British Museum, London. New York. Brothwell, D., and Higgs, E. (eds.), 1969, Science in Archaeology, Bahn, P., 1993, Collins Dictionary of Archaeology. ABC-CLIO, 2d ed. Thames and Hudson, London. Santa Barbara, CA. Budge, E. A. Wallis, 1929, The Rosetta Stone. Dover, New York. Bahn, P.
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