Emergence Et Développement De La Théorie Financière De L'entreprise
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Emergence et développement de la théorie financière de l’entreprise avant 1929 : la contribution de Thorstein Veblen Marion Dieudonné To cite this version: Marion Dieudonné. Emergence et développement de la théorie financière de l’entreprise avant 1929 : la contribution de Thorstein Veblen. Economies et finances. Université Paris sciences et lettres, 2017. Français. NNT : 2017PSLED053. tel-01823669 HAL Id: tel-01823669 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01823669 Submitted on 26 Jun 2018 HAL is a multi-disciplinary open access L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destinée au dépôt et à la diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, lished or not. The documents may come from émanant des établissements d’enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche français ou étrangers, des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou privés. TH ÈSE DE DOCTORAT de l’Université de recherche Paris Sciences et Lettres PSL Research University Préparée à l’Université Paris -Dauphine EMERGENCE ET DEVELOPPEMENT DE LA THEORIE FINANCIERE DE L'ENTREPRISE AVANT 1929: La contribution de Thorstein Veblen cole Doctorale de Dauphine — ED 543 COMPOSITION DU JURY : Spécialité Sciences économiques M. Jérôme de BOYER des ROCHES Université Paris-Dauphine Directeur de thèse M. Richard ARENA Université Sophia-Antipolis Rapporteur M. Alain BERAUD Université de Cergy-Pontoise Rapporteur M. Thierry GRANGER Université Paris-Dauphine Membre du jury Soutenue le 26.04.2017 M. Thierry KIRAT par Marion DIEUDONNE CNRS et Université Paris-Dauphine Membre du jury M. Edwin LE HERON Dirigée par M. Jérôme de BOYER des Sciences Po Bordeaux Membre du jury ROCHES M. Antoine REBERIOUX Université Diderot Paris-7 Président du jury ! LSUNIVERSIT PARIS -DAUPHINE nSentend donner aucune approbation ni improbation aux opinions mises dans les th ses ; ces opinions doivent tre consid r es comme propres leurs auteurs. E Comment dans cette vie br ve, htive, qu'accompagne sans cesse un bourdonnement impatient, descendre un escalier ? C'est impossible ! Le temps qui t'est mesur est si court qu'en perdant une seule seconde, tu as d j perdu la vie enti re, car elle n'est pas plus longue, elle ne dure justement que le temps que tu perds ! T'es-tu ainsi engag dans un chemin, pers v re tout prix, tu ne peux qu'y gagner, tu ne cours aucun risque ; peut- tre qu'au bout tSattend la catastrophe, mais si d s les premiers pas tu avais fait demi-tour et si tu avais redescendu l'escalier, tu aurais failli d s le d but, cSest plus que probable, cSest mme certain. Ainsi ne trouves- tu rien derri re ces portes, rien nSest perdu, lance- toi vers dSautres escaliers ! Tant que tu ne cesseras de monter, les marches ne cesseront pas ; sous les pieds qui montent, elles se multiplieront l 'infini ! F (Franz Kafka, pigraphe, Zohar, Tome I) Remerciements Je me dois de remercier tout dSabord mon directeur de th se, J rme de Boyer des Roches, pour avoir accept , depuis d j, quelques ann es, dSencadrer un m moire puis une th se sur Veblen. Bien quSau d part, vous tiez dubitatif concernant lSencadre ment dSun travail sur lSinstitutionnalisme, et tout particuli rement sur Veblen. Pour autant vous avez accept avec int rt. Mme si le travail de th se, sa coordination et la communication entre doctorant et superviseur ne sont pas toujours des plus faciles, je vous remercie pour votre temps, vos infatigables remarques et suggestions, la passion pour votre m tier, votre engagement pour les jeunes chercheurs ainsi que pour votre gentillesse et votre compr hension. Merci galement lSensemble des membres du jury dSavoir accept de prendre un peu de votre temps pour lire et estimer mon travail ; aujourdShui pour la soutenance mais aussi au cours de journ es dS tude ou de rencontres acad miques pour ceux que jSai eu la chance de croiser r guli rement au cours de ces ann es. Je vous en suis reconnaissante. Je remercie les coll gues enseignants-chercheurs du SDFi de Dauphine. Un merci plus particulier pour Bertrand Villeneuve qui mSa accueillie dans le laboratoire - malgr la non-obtenti on dSun contrat doctoral pour financer ces ann es - dans des conditions mat rielles de travail tr s confortables, du d but la fin. JSai eu la chance dSavoir un bureau me permettant dStre en interaction avec mes coll gues de lSuniversit , et donc non isol e ; ce qui nSest pas n gligeable, loin de l. Mais le laboratoire mSa galement financ e des colloques qui ont permis dSenrichir mon travail. CSest galement dans ce cadre que jSai obtenu un contrat administratif pour lSorganisation de la conf rence de lSADRES durant une p riode financi rement compliqu e, ainsi quSun contrat dSATER pendant 3 ans partir de ma 3 me ann e de th se, suite lSobtention du CAPES . Par ailleurs lS coute et le soutien quSEve Caroli mSa apport e N ainsi quS bien dSautres doctorants - mSont permis sur les derniers mois de mener bien cette th se et de garder confiance en moi, foi en ce que je faisais. Je remercie galement Marisa Ratto et Mariana Rojas-Breu pour leur gentillesse, leur temps, leur relecture, et leurs mots toujours r confortants aupr s des doctorants et particuli rement en ce qui me concerne. Merci lSensemble des enseignants qui ont accept de me confier des charges de cours tout au long de ces ann es. LSenseignement a t pour moi le meilleur des moteurs. Je remercie les r f r s des deux papiers que jSai envoy s aux revues History of Economic Ideas ainsi que European Journal of History of Economic Thought, pour leurs commentaires constructifs ainsi que lSensemble des personnes du milieu acad mique avec lesquel les jSai eu la chance et le plaisir dSavoir des discussions formelles ou non au cours de colloques, de rencontres, de diners. Je pense entre autres, et sans ordre pr tabli, Guillaume Valet, Jean-S bastien Lenfant, Nicola Giocolli, Fabien Tarit, V ronique Dutraive, Laure Bazolli, J rme Maucourant, C dric Durant, Stephen Martin, Luca Fiorito, Sebastiano Nerozzi, Elodie Bertrand, Adrian de Leon, Ana Rosado, Analisa Roselli, Ragip Ege, lSensemble des professeurs du s minaire H2M, ... jSen oublie certainement. Ce travail de th se, quel quSen soit le r sultat et la consid ration acad mique, aura t pour moi les N un peu plus de N 4 ann es les plus riches de ma vie. Par richesse jSentends bien sur une nourriture intellectuelle pour lSesprit, mais pr esque secondairement au regard de lSopportunit que cette th se a t de me permettre dSapprendre vivre E comme une grande F, et jSen ressentais certainement le besoin. En effet, je me suis confront e en partie par choix, des tudes doctorales sans financement. Les conditions de vie pr caires, on peut le dire, mais joyeuses des deux premi res ann es ont certainement t les plus formatrices. Pour autant, je ne les revivrais pour rien au monde, tant ma vie a chang depuis. Quand je revois la E journ e type F de ma premi re ann e de th se, je me dis que je ne E cherchais F pas beaucoup - comme diraient avec une pointe dSironie tous ceux qui mSentourent, non -initi s au milieu de la recherche. Toutes ces heures pass es faire des sondages dans la rue, compter les usagers du RER, faire du baby-sitting, distribuer des flyers tt le matin aux sorties de m tro, donner des cours particuliers, cumuler les vacations entre autres dSenseignement, ranger les livres, mais aussi mSoccuper de lSaccueil et des emprunts la biblioth que PMF ont rempli mes journ es. JSai une pens e sinc re pour tous ces gens qui ont fait mon quotidien durant ces deux ann es et qui mSont permis de r aliser N bien que je nS tais pas si nave avant N le monde dans lequel je vis. Car finalement, ma situation si souvent pleurnich e, nS tait pas si pr caire eut gard au dynamisme de ma vie et mon entourage tr s pr sent ! Je rle souvent, cSest comme a, mais il faut en prendre et en laisser ! Et cS tait sans compter des amis formidables qui ont occup mes soir es, quand je nS tais pas au th tre ou au cin ma ! Puis il y a eu la d cision de passer le CAPES, courtant encore un peu ce temps dS tudes doctorales en 2 me ann e de th se, afin de mSassurer E un statut F comme dirait quelquSun qui mSest proche, mais surtout une vie et un m tier qui me plait. Ce concours a t lSoccasion de me rendre compte de choses simples, et dSenrichir encore un peu plus ma bulle de doctorants/professeurs qui constituent mes amis, et visiblement, eux, on les choisit ! Faire une th se est en fait une aventure permettant pl thores de rencontres, une exp rience, un moment part et un beau moment. Je commence E presque F par le meilleur, une fois nSest pas coutume N ces bons mom ents, je les dois en grande partie au partage dSune vie bien remplie avec mes anciens compagnons de master, aujourdShui doctorants ou enseignants. Cette th se nSaurait d finitivement pas eu le mme got sans E les gar ons F qui ont r ellement t mes co- accompagnateurs, d faut dStre mes co -bureaux, et surtout mes amis toujours pr sents. Mais galement ceux tout E comme moi F de la C104 (anciennement P155-158 et encore plus anciennement B313), d sormais amis doctorants et docteurs, ces co-bureaux qui ont t mon quotidien mais avec qui jSai aussi partag et je partage toujours des vrais moments de d tente, des soir es, des week- ends G Merci pour votre patience, votre coute, votre compr hension avec la ronchonneuse , votre juste mesure avec mon caract re, votre bonne humeur, vos id es d bordantes, nos d primes doctorales, nos discussions dSapr s -repas, nos discussions quand jSen avais besoin, nos diverses pauses caf , th ou juste pause parce quSon en a besoin, ces petits moments de laisser -aller non pr m dit s, mais aussi pour votre s rieux, ces entraides dans la pr paration des cours, des relectures de th se, bref, pour cette super ambiance de bureau.