2 3 4 5 Nadia Mladjao est née au sein d'une famille de dix enfants d'origine comorienne, d'un père pompier dans l'armée de l'air française, alors affecté à la base aérienne d'Istres. Engagée à l'âge de 17 ans par une agence de mannequins, elle part pour New York deux ans plus tard. C'est durant son séjour à New York qu'elle attrape « le virus de la musique » en écoutant Talkin' 'Bout a Revolution de Tracy Chapman, qui lui donne envie de tenter sa chance comme chanteuse. Elle commence à l'époque à prendre des cours de chant et à écrire des textes. Lassée de « faire le cintre », elle arrête sa carrière de mannequin et, après des rencontres infructueuses avec des producteurs aux États-Unis, rentre en France et débute en 2008 sur les scènes parisiennes. À l'occasion d'un passage au Sentier des Halles, elle fait la connaissance de Malik Ndiaye, déjà producteur d'Ayọ et Grace.

Ayant choisi comme nom de scène Imany — signifiant « ma foi » ou « mon espoir » en arabe — elle écrit ses chansons en anglais, langue qui, pour l'écriture, lui vient « plus naturellement » que le français. Elle débute en faisant les premières parties d'artistes comme Angie Stone, Wasis Diop, Anthony Hamilton, Hocus Pocus, Sly Johnson et Ben l'Oncle Soul.

En mai 2011 sort son premier album, The Shape of a Broken Heart, dont les ventes lui valent d'être certifié disque de platine, notamment grâce au succès de son premier single, You will never know. En 2013, la chanteuse écrit et compose la bande originale du film Sous les jupes des filles réalisé par Audrey Dana. En 2015, Imany sort un remix de son morceau Don't Be So Shy par le duo de DJ russes Filatov & Karas. Mais c'est au cours du mois d'avril 2016 que le morceau se verra propulsé sur les grandes radios à travers le monde. En 2016, Imany sort son second EP There Were Tears en prélude de son album suivant, intitulé The Wrong Kind of War et paru en août de la même année.

8 Il y a quinze ans, faisait sa première apparition avec « », sorti en février 2002 et qui suscite rapidement un engouement mondial. En 2003, Norah Jones remporte son premier Grammy Awards et sort ensuite une série d’albums solo acclamés par la critique mais également des albums avec ses deux groupes : et .

Avec huit Grammy Awards à son actif et plus de 40 millions d’albums vendus à travers le Monde, Norah Jones s’affirme comme l’une des artistes les plus fascinantes de sa génération. Elle a toujours su s’entourer de collaborations de qualité et le prouve à travers son album « Featuring », sur lequel figurent entre autres Herbie Hancock, , Outkast ou encore les Foo Fighters. Norah Jones a sorti son sixième album solo, « », le 7 octobre dernier.

« Autant dire qu’on surfe sur un bel océan d’élégance pour de la chanson jazz certes classique, mais de première classe. » Le Figaro

« En revenant au jazz, la fille de signe un retour aux sources inspiré. » Paris Match

« Elle revient à ce qu’elle sait faire de mieux : un jazz organique acoustique dans l’envoûtant « Day Breaks ». Un retour gagnant. » Le Parisien Aujourd’hui en France

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9 Sa voix rauque et ses tubes comme "Senza una Donna", "Il Volo", "Menta e rosmarin", "o Diamante" ou plus récemment "Baila Morena" ont fait du chanteur compositeur Zucchero l'un des artistes italiens les plus populaires. Il a vendu plusieurs millions d'albums dans le monde entier. Révélé en 1987 par son quatrième album Blues , Zucchero est devenu une superstar internationale. Il a depuis composé huit autres albums et peut se vanter de collaborations avec, entre autres, Joe Cocker, Miles Davis, BB King, Sheryl Crow, Tom Jones, Paul Young, Sting, Luciano Pavarotti, Bono, Eric Clapton ou Johnny Hallyday.

Zucchero revient avec un nouvel album « La Sesión Cubana », paru en novembre 2012. Ce nouvel opus, d'inspiration latino américiane, se compose de titres inédits, de réorchestration de six de ses grands succès comme Baila, et de deux reprises. Zucchero interprète les titres en Italien, en Espagnol et également en portugais sur la reprise d’Ave Maria No Morro, en duo avec l’un des plus grands artistes brésiliens, Djavan. Le premier extrait est un cover de Guantanamera, chanson écrite à la fin des années 20 par Joseíto Fernánde et désormais considérée comme la chanson cubaine la plus connue au monde (également utilisée comme l'équivalent d'un symbole national). Zucchero s’accapare avec originalité et succès la chanson, en la réinterprétant en italien, le tout sur une orchestration léchée.

Zucchero est revenu cette année avec un tout nouvel album intitulé “Black Cat”.

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10 Ben s’approprie les chansons de Franck Sinatra pour nous en délivrer d’autres perspectives, aux contours autobiographiques, pour nous livrer un message de paix et de mélancolie, doux et amer, voix sobre et arrangements sombres… Classieux et classique, à l’image du personnage qui les a portées au firmament. « Under my skin », le succès qui a relancé la carrière de l’étalon italo-américain, prend ainsi les atours d’un gospel crépusculaire, minimal et deep, où le Français charge les mots de tout leur sens parfois trop masqué par des arrangements certes épatants, mais un peu trop clinquants, quand Sinatra les faisait siens. « Fly me to the moon » nous fait décoller sur des beats trip-hop, « My way » et « All the way » s’appuient sur une production très hip-hop, low down en background. Il en passe aussi par une version dubbée de l’imparable « New York New York » et par « I Love Paris », en réaction à ce qui s'est passé dans son quartier, le 13 novembre noir. « The good life » suit le même cap, cette fois réhaussé du r&b. Quant à « Witchcraft », il en fournit une vision plus vaudou, plus en lien avec les Antilles. « Le côté Papa Legba, les sorciers, alors que Sinatra en avait fait une version “Ma sorcière bien aimée”, avec les filles ensorceleuses. »

11 Métissage des genres, éclectisme musical et grande expérimentation, George Benson ne fait pas les choses à moitié ! Plus de 50 ans après avoir commencé à poser sa voix sur le son qu’il tirait de sa guitare, Benson continue à écumer le monde, instrument à la main, au rythme d’une centaine de concerts par an. A la fois légende de la guitare hard bop et chanteur de tubes pop tels que Give Me The Night et Turn Your Love Around, l’ancien compagnon de route de Miles Davis est aussi et surtout une figure incontournable du jazz. Il tend également vers le R’n’B, le rock, la pop et intègre des rythmes funk et soul. Avec 10 Grammy Awards, George Benson reste un artiste imprévisible, héritier direct de l’élégance de Wes Montgomery. Après le succès de son 35ème album Guitar Man en 2011, il a sorti Inspiration, en hommage à Nat King Cole, qu’il avait présenté l’an dernier devant un Olympia comble.

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