Spectacle Théâtral Et Musical La Madone Des Dancings
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concert n°12 L’Atelier Mercredi 22 juin 2011 17h30 spectacle théâtral et musical la madone des dancings Cie La Bouche d’Ombre Dominique Verrier / mise en scène Eudes Labrusse / texte www.flaneriesreims.com Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension. Distribution Cie La Bouche d’Ombre Dominique Verrier, conception et mise en scène Eudes Labrusse, texte Céline Perrigon, scénographie et costumes Frédéric Dugied, lumières Frédéric Deville et Denis Grare, musique originale Avec Antoinette Moya, comédienne - Yvette Serpentine Teyssier, comédienne - l’accompagnatrice Frédéric Deville - le violoncelliste Denis Grare - l’accordéoniste Serpentine Teyssier qui a créé le personnage de l’accompagnatrice, n’étant pas disponible pour les représentations de Reims, sera remplacée par Dominique Verrier qui deviendra l’accompagnateur. résumé Du spectacLe L’audace d’une femme dans son siècle Dans la loge d’un théâtre, une comédienne refait le parcours de son personnage et s’approprie peu à peu la vie d’Yvette, la petite fille de Tarbes. Une confidente et deux musiciens l’accompagnent dans cette métamorphose qui fera d’elle la madone des dancings. Après avoir troqué, sur le conseil de sa mère, le piano qu’elle aimait tant pour l’accordéon qu’elle redoutait, Yvette Horner est devenue à force d’opiniâtreté la grande prêtresse des salles de bals. Capable de toutes les audaces, cette artiste a traversé les époques et abordé tous les styles avec la même passion et la même joie juvénile. Son sourire inimitable, ses invraisemblables tenues vestimentaires et sa chevelure incandescente ont complété l’image de l’icône populaire admirée par les plus grands musiciens et par toutes les classes de la société. Yvette nous ouvre ici son livre de souvenirs et nous entraîne dans le mystère d’une vie entière consacrée à la musique. Dans un récit luxuriant, la dame de Nogent jette un regard passionné sur une époque révolue et relit pour nous quelques très belles pages de notre histoire en nous donnant avec humour une magnifique leçon de vie. La saga radiophonique Les grandes histoires d’Yvette, où Yvette Horner se confiait à la productrice Sylvie Gasteau, a été diffusée sur France Culture l’été 2005. De cette conversation fleuve où la truculence de la dame à l’accordéon transformait le moindre fait divers en pur moment de grâce, se dégageait une densité humaine d’une exceptionnelle richesse. Ce foisonnant récit portait en lui la matière même de ce spectacle et imposait d’emblée l’évidence du passage à la scène de cette parole libre. yvette, La maDone Des Dancings Après avoir troqué, sur le conseil de sa mère, le piano qu’elle aimait tant pour l’accordéon qu’elle redoutait, la petite fille de Tarbes est devenue à force de travail et d’opiniâtreté la grande prêtresse des salles de bals. Son sourire inimitable, ses invraisemblables tenues vestimentaires et sa chevelure incandescente ont complété l’image de l’icône populaire admirée par les plus grands musiciens et par toutes les classes de la société. Yvette Horner ouvre ici son livre de souvenirs et nous entraîne dans le mystère d’une vie entière consacrée à la musique. Avec humour, la dame de Nogent jette un regard passionné sur son époque et nous donne une magnifique leçon de vie. origine Du projet Les grandes histoires d’Yvette, saga radiophonique diffusée quotidiennement sur France Culture au cours de l’été 2005, où Yvette Horner se confiait à Sylvie Gasteau, imposait d’emblée l’idée d’une transposition théâtrale de cette parole libre. De cette conversation fleuve, se dégageait une densité humaine d’une exceptionnelle richesse. La truculence de la dame à l’accordéon transformant le moindre fait divers en pur moment de grâce, faisait de ce foisonnant récit la matière même d’un spectacle à venir. Le sujet Au gré des rencontres qui ont jalonné sa vie, nous faisons le voyage d’une femme de cœur tour à tour attendrie, malicieuse ou étonnée dans un siècle bouleversé. Des années d’apprentissage de la petite fille de Tarbes, sous la houlette d’une mère autoritaire, jusqu’aux périodes de gloire, le parcours d’Yvette Horner est fondé depuis toujours sur une inébranlable volonté. Car il en aura fallu du culot et de la détermination à ce diable de petite femme pour imposer un instrument qui, à lui seul, aura longtemps symbolisé pour certains le comble du mauvais goût. Dans un milieu d’hommes pourtant peu enclin à l’indulgence, cette femme d’action à la générosité sans faille a fait tomber des barrières que l’on croyait immuables. biographies antoinette moya Antoinette Moya a travaillé au théâtre avec Roger Planchon, Marguerite Duras, Benno Besson, Pierre Debauche, Andréas Voutsinas, Michel Soutter, Pierre Santini, Stéphane Meldegg, François Perrier... A la télévision, avec Gérard Vergès, Jean-Louis Lorenzi, Jean-Michel Ribes, Jacques Krier, Michel Soutter, Henri Hellman… Au cinéma, avec Patrice Chéreau, Nicole Garcia, Jean Marbeuf, Jacques Davila, Claude Goretta, Michel Soutter, Charles Matton, Yves Robert, Coline Serreau, Jean-Loup Hubert, Dominique Cabrera, Albert Dupontel, Jean-Paul Salomé, Bernie Bonvoisin, Denis Amar, Robert Enrico... serpentine teyssier Serpentine Teyssier a travaillé au théâtre avec Didier Bezace pour La femme changée en renard, prix de la révélation théâtrale du syndicat de la critique, avec Dominique Verrier, François Rancillac, Charles Tordjman, Patrice Bigel, Daniel Janneteau, Bruno Abraham Cremer, Nathalie Fillion, Christian Rist, Didier Ruiz… Au cinéma, avec Didier Bourdon, Philippe Le Guay, Jean-Paul Rappeneau, Jean-Pierre Mocky, Diane Bertrand, Paul Vecchiali… A la télévision, avec Yves Angelo, Paul Vecchiali, Christiane Spiero, Claire Devers, Aline Isserman, Edouard Niermans… Frédéric Deville Frédéric Deville, après ses études au CNSM de Paris, se perfectionne auprès de Yo-yo Ma, Janos Starker et des quatuors Amadeus, Lasalle et Alban Berg. Interprète les grands concertos en soliste et joue dans de nombreux orchestres, dont l’Opéra de Paris. Fonde le quatuor à cordes Brancusi, étudie le jazz et la musique indienne, puis part en tournées avec son violoncelle électrique aux côtés de Jacques Higelin, Brigitte Fontaine, Christophe, Rodolphe Burger, Kat Onoma, Sonic Youth, Daniel Mille, Thierry Amiel, Bénabar, Tryo… Denis grare Denis Grare est formé par Marcel Azzola au Conservatoire d’Orsay. Enseigne l’accordéon et le saxophone à l’école de Bures-Sur-Yvette, et crée l’Ecole du Plateau de Gif-sur-Yvette. Compose et interprète la musique de scène de Cœur à deux de Guy Foissy. Accordéoniste pour Faces et Cie, le Soldat inconnu, et pour divers spectacles de rue. Depuis 1995, compositeur, arrangeur et musicien permanent de Bénabar. Contribue à l’émergence de nouveaux talents de la chanson française, tels Ludo Cabosse ou Gaëlle Marie, dont il est le réalisateur musical. Dominique verrier Dominique Verrier a fait ses débuts au théâtre de Reims sous la direction de Robert Hossein. Il est comédien pour Stuart Seide, Claude Santelli, Karine Saporta, Nicolas Peskine… Après une formation de documentariste auprès des Ateliers Varan, il réalise Folle Patience, quatre fois primé. Il accompagne la création des Sept branches de la rivière Ota du québécois Robert Lepage puis met en scène au Maroc Intimes révoltes à Fès et Les co-épouses de Fatima Gallaire à Meknès. En 1981, il crée la compagnie la Bouche d’Ombre et fait le choix de se consacrer en priorité aux auteurs contemporains. Depuis, il a monté plus d’une dizaines de spectacles dont Via Sébastopol de Valérie Durin (1999), Les Hommes de rien de Eudes Labrusse (en 2004) et La madone des dancings, inspiré de la vie d’Yvette Horner. eudes Labrusse Agrégé de Lettres, dramaturge et metteur en scène, Eudes Labrusse est directeur de La Nacelle d’Aubergenville, scène conventionnée pour les écritures contemporaines et du Théâtre du Mantois. Il a fondé et anime le festival international Les Francos. Tous ses textes sont publiés dans la collection de Quatre Vents/Avant-scène dont Les Hommes de rien (2004) mis en scène par Dominique Verrier et Elias Lester a disparu (2010). céline perrigon Après des études d’Arts Appliqués et d’Arts Plastiques, Céline Perrigon est reçue en scénographie à l’Ecole du TNS de Strasbourg. Réalise les costumes de Platonov de Tchekov mis en scène par Alain Françon, crée ceux des Hommes de rien d’Eudes Labrusse mis en scène par Dominique Verrier. Travaille pour Victoria Chaplin, la compagnie Lucanes idées, James Thierrée, Coline Serreau et Royal de Luxe. Pour le cinéma, participe aux décors des films d’Eliane de La Tour, de Jacques Audiard et d’Arnaud Desplechin. Frédéric Dugied Frédéric Dugied a travaillé au théâtre avec Dominique Verrier pour Via Sébastopol et Les hommes de rien, avec Isabelle Janier, Serge Noyelle, Yedward Ingey, Gilles Zaepfel, le Conservatoire National d’Art Dramatique de Paris… Pour la danse, avec Annick Charlot, Kilina Crémona, Peter Goss, Jean-Christophe Bleton, Amy Swanson, Sidonie Rochon, Fabrice Dugied, et le Jeune Ballet de France... Pour l’opéra, avec Petrika Yonesco, Anne Marie Reynaud… Pour la musique, avec Jacques Labarrière, Joëlle Léandre, Incroyable Jungle Beat. ViSiTES AVAnT-cOncERT Les visites avant-concert font du festival un lieu de rencontre entre un public, un lieu de concert et une programmation. En une heure, elles offrent la possibilité de découvrir un