FOREST WHITAKER (FRANK DOTZLER) « Je N’Avais Encore Jamais Travaillé Avec Liam Neeson
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C’EST ICI QUE TOUT S’ACHEVE 2 3 EUROPACORP présente LIAM NEESON REALISE PAR OLIVIER MEGATON ECRIT PAR LUC ROBERT MARK BESSON & KAMEN 21 JANVIER 2015 TAKEN3-LEFILM.COM #TAK3N DUREE : 1H47 - FORMAT: SCOPE - SON : 5.1 DOLBY - © 2014 EUROPACORP - M6 FILMS DISTRIBUTION PRESSE FRANCE PRESSE ONLINE EuropaCorp Distribution AS Communication CARTEL La Cité du Cinéma Sandra Cornevaux - Audrey Le Pennec Michaël Frouin - Léa Ribeyreix 20, rue Ampère - 93413 Saint-Denis Cedex 8, rue Lincoln - 75008 Paris 52, boulevard Malesherbes - 75008 Paris Tél. : 01 55 99 50 00 Tél. : 01 47 23 00 02 Tél. : 06 65 18 17 27 / 06 76 56 77 09 www.europacorp.com [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] 4 5 SYNOPSIS L’ex-agent spécial Bryan Mills voit son retour à une vie tranquille bouleversé lorsqu’il est accusé à tort du meurtre de son ex-femme, chez lui, à Los Angeles. En fuite et traqué par l’inspecteur Dotzler, Mills va devoir employer ses compétences particulières une dernière fois pour trouver le véritable coupable, prouver son innocence et protéger la seule personne qui compte désormais pour lui – sa fille. 6 7 LES ORIGINES DU PROJET OLIVIER MEGATON, RÉALISATEUR avec Luc Besson. Liam était au courant que je ne voulais « Le film a quelque chose de tout à fait original, dans « Le génie de la saga réside dans l’intrigue du premier pas rempiler. Mais, heureusement, je suis allé trouver sa forme. C’est une renaissance, sur le plan du style et Taken. Un homme tout ce qu’il y a de plus normal reçoit Luc qui m’a fait part de son de la réalisation. On y a ajouté un appel de sa fille qui lui annonce qu’elle vient d’être idée – à savoir que dans Taken « JE SUIS ALLÉ TROUVER LUC QUI des personnages. On s’est tous enlevée et qu’elle est séquestrée à Paris. Personne 3, personne ne se fait enlever. M’A FAIT PART DE SON IDÉE – pleinement investis pour obtenir n’avait jamais eu cette idée. Difficile de faire mieux, en J’ai tout de suite été emballé. quelque chose de mieux, de plus À SAVOIR QUE DANS TAKEN 3, termes de scénario, de narration ou d’intrigue… Donc, Alors j’ai lu le scénario et j’ai surprenant et de totalement pour moi, Taken 2 était un véritable challenge. » bien dû admettre qu’il y avait là PERSONNE NE SE FAIT ENLEVER. différent. » un challenge nouveau. Je suis J’AI TOUT DE SUITE ÉTÉ EMBALLÉ » « Puis un jour, Liam Neeson m’a appelé en m’annonçant donc revenu sur ma décision. » OLIVIER MEGATON qu’il avait eu vent d’un Taken 3 et qu’il fallait que j’en parle LE SCÉNARIO LIAM NEESON (BRYAN MILLS) d’exciter le public. L’action émane toujours d’une et difficile, surtout dans une saga comme celle-ci. Tout « J’étais très excité de revenir pour ce troisième film. situation forte – situation qui concerne bien entendu le monde réclame toujours plus d’action. Taken 2 était J’avais quelques réserves au départ, car, que raconter Bryan Mills, défendant et protégeant sa famille contre semblable aux montagnes russes. On sautait dans son de plus ? Bryan Mills ne pouvait tout de même pas se vents et marées. Il y a ce socle d’une relation stable qui siège sans savoir où tout ça finirait. On a essayé de faire faire enlever sa fille une nouvelle fois. Sinon, il passerait est en permanence mise à l’épreuve. Une fois que cette la même chose sur ce film. C’est une virée effrénée du vraiment pour un mauvais père. Mais Luc Besson a base est en place et que le public croit en cette charge début à la fin. Chaque minute est pimentée de curiosité, trouvé une intrigue intéressante. Même si elle revêt un d’amour – particulièrement entre le père et sa fille – on de surprise et de rythme. » caractère définitif. » peut déplacer l’action n’importe où. » « Plus on a d’action, plus il faut préparer le spectateur. « Les intrigues sous-jacentes, dans les Taken, se OLIVIER MEGATON, RÉALISATEUR Surtout pour ces scènes spectaculaires. Il faut donc doivent d’être solides. Nous n’avons jamais cherché « Combiner les éléments émotionnels et psychologiques bâtir différemment les personnages. Plus on expose à faire quoi que ce soit à l’excès, dans le simple but avec les scènes d’action est un défi à la fois étrange ses personnages au danger, plus on se doit de bien les 8 poser dès le début. C’est délicat parce que tout va en les deux éléments se conjuguent. C’est un processus parce qu’on est immergé dans un chaos émotionnel. s’amplifiant. Et ce rythme en spirale s’inscrit également graduel, comme dans une recette de cuisine. On ajoute Et soudain, on se retrouve plongé au cœur d’un chaos dans le développement émotionnel des personnages. progressivement les ingrédients jusqu’à ce que le tout physique. C’est la formule de base pour ce film. » On se trouve d’abord en présence d’une turbulence prenne la forme de ce typhon. Chaque instant doit être émotionnelle puis l’action éclate, telle un typhon. Et calibré. Quand l’action surgit, on ne la voit pas venir LIAM NEESON / BRYAN MILLS OLIVIER MEGATON, RÉALISATEUR sont attirées par lui. Il est beau mais pas inaccessible. par ce qui lui arrive. Ce sont des compétences humaines « Pour Bryan Mills, les enjeux sont bien plus élevés dans Il a cet accent irlandais un rien exotique. C’est à la que Bryan acquiert dans ce film. On dit souvent que Taken 3. Dans le premier Taken, il était une sorte de fois le père et le mari idéal. Il nous fait nous sentir Bryan Mills est quelqu’un de froid et fermé. Eh bien là, robot. Il avait un seul objectif : sauver sa fille. Dans en sécurité. Je pense que c’est 50% du personnage. c’est un nouveau Bryan Mills. Tout le monde va pleurer ! Taken 2, il devait sauver sa femme. Dans Taken 3, il Les autres 50% sont sa détermination à protéger sa Parce que Liam vous fait pleurer. Les hommes comme est en danger à un autre niveau. Au début du film, il est famille – il s’y jette corps et âme. Je pense que tout les femmes. Et c’est une chose à laquelle on ne s’attend dévasté par l’assassinat de son ex-femme. Ainsi, notre repose sur le fait que le public se sent protégé. » pas dans un film comme celui-là. » super agent se transforme tout à coup en quelqu’un de fragile, de normal. C’est beaucoup plus intéressant. Le « Il y a beaucoup d’action dans Taken 3 – beaucoup LIAM NEESON (BRYAN MILLS) public peut être en empathie plus que dans les deux « Bien que Bryan Mills ait des «compétences avec un personnage vulnérable précédents. Pourtant, au début particulières», c’est aussi une sorte de monsieur Tout- comme celui-ci, bien plus « LE PUBLIC PEUT ÊTRE EN EMPATHIE du film, Bryan sort d’un gouffre le-monde. Les gens s’identifient totalement à son qu’avec un super-héros. » AVEC UN PERSONNAGE VULNÉRABLE émotionnel très profond. Mais amour de la famille, à l’amour qu’il a pour sa fille. On COMME CELUI-CI, BIEN PLUS ses «compétences» vont peu à ferait tout pour ses enfants et le public retrouve ça « Les spectateurs s’identifient à peu refaire surface. On savait chez Bryan. Malgré ses erreurs, il n’en reste pas moins QU’AVEC UN SUPER-HÉROS. » Bryan Mills. Il incarne la figure que Bryan était capable de un père dévoué qui ferait n’importe quoi pour sa fille. OLIVIER MEGATON du bon père de famille. Il mène se battre et qu’il était prêt à Mais je pense que les gens apprécient aussi le fait qu’il une vie simple, habite dans un tuer quiconque menacerait sa rue dans le système et ne fasse confiance à personne appartement simple… Les gens aiment ce genre de famille. Mais ici, il est simplement aux prises avec au sein des autorités. Il se débrouille par ses propres héros. Et il y a une forme de simplicité dans le jeu de ses propres démons. On découvre qu’il a toutes ces moyens. Et s’il lui faut pour ça enfreindre la loi, il le fait. Liam. C’est quelqu’un de très aimable. Les femmes émotions en lui. On découvre à quel point il est secoué Les spectateurs admirent ça chez leurs héros. Ça les 9 défoule. C’est ça qui est formidable avec le cinéma ! » « La famille, c’est tout pour Bryan. Il éprouve un immense sentiment de culpabilité lié au temps où sa fille était une enfant et qu’il était absent, en missions. Lenore, sa femme, ne cessait de le lui rappeler. C’est la raison pour laquelle tous deux ont fini par se séparer. Cette idée qu’il n’en a jamais fait assez pour être présent et représenter une figure stable pour sa fille est restée gravée dans son esprit. C’est ce qui l’anime vraiment. C’est en quelque sorte une quête pour devenir le père idéal. Il ne l’est évidemment pas et ne peut pas l’être. Aucun parent n’est parfait. » « Bryan a des compétences qu’il a acquises à l’âge de dix-huit ou dix-neuf ans, après s’être engagé dans l’armée américaine. Puis il a été choisi pour intégrer les forces spéciales, où il a reçu l’entraînement rigoureux que suivent les Navy Seals et autres agents secrets.