INTRODUCTION

Depuis de nombreuses années, la municipalité fait preuve d'une volonté forte en matière d'aménagements paysagers.

Si aujourd’hui celle-ci reste inchangée, les méthodes quant à elles, évoluent.

 Une loi interdira bientôt l'utilisation des produits phytosanitaires dans tous les espaces publics (janvier 2017). Nous avons anticipé cette mesure depuis octobre 2014. « L’huile de coude », et le désherbeur thermique ont supplanté les pulvérisateurs. S'il est incontestable que ces nouvelles pratiques engendrent une charge de travail supplémentaire, les bienfaits pour l'environnement et la santé des agents, ont été pour nous, de très bonnes raisons parmi d'autres, pour anticiper la mesure.

 Nous disposons également de deux collecteurs d'eau de pluie (un à la mairie de 10 000 L et un autre à la salle de sports de 2 000 L). En plus de sa gratuité cette eau est idéale pour répondre aux besoins de nos plantations. Parallèlement, nous faisons un gros travail de sélection parmi des végétaux peu exigeants comme les plantes vivaces et arbustives.

 Depuis l'année dernière, nous avons mis en place, un plan de gestion différencié. Cela consiste à hiérarchiser la fréquence des interventions selon les espaces. Il a été modifié et sera reconduit.

Zone 1: Pratiquer des interventions régulières sur les lieux très fréquentés (mairie, devanture de l'école Prévert, cimetière ...)

Zone 2: Espacer légèrement les interventions. (à l’arrière de l'école Prévert, l'espace vert le moins visible résidence du bois, la plantation au petit parking rue du bois...)

Zone 3: Mettre en place des actions en faveur de la biodiversité (comme des fauches tardives (les talus, l'espace vert derrière la salle des fêtes, la butte qui mène aux terrils rue de Bruay...)

"Soyons clairs" le but n'est pas de délaisser des secteurs, mais de dégager du temps pour améliorer la qualité générale de tous nos espaces verts.

Comme pour tous changements, il faudra un temps d'adaptation. Nous sommes cependant confiants, car convaincus de la nécessité de ces nouvelles mesures. La réussite de cette profonde mutation passe aussi par une prise de conscience collective. La loi interdisant l'usage des produits phytosanitaires devrait s'appliquer également pour les particuliers à partir de Janvier 2019.

 Un inventaire du patrimoine arboré est à l'étude. Cet outil nous permettra de recenser les espèces sur notre commune, connaître leur état sanitaire et nous guidera vers de nouvelles actions. Nul doute qu'y figureront en bonne place nos récentes plantations:

A côté du petit parking rue du bois en 2015, des arbres hautes tiges ont été planté avec la participation des habitants (chênes, charmes, merisiers, érables champêtres...) ainsi que des centaines d'arbustes adaptés à notre région (viornes obier, fusains d'Europe, églantiers...) et des petits fruits (cassissiers, groseilliers, néfliers, argousiers...)

Près de la salle des fêtes, une haie bocagère composée de variétés locales vient tout juste de voir le jour. Parmi celles-ci, une dizaine de saules y seront taillés régulièrement en têtards.

 Les nouveaux aménagements:

Les plantations à la salle des fêtes (voir plus haut).

Deux containers de récupération du verre partiellement cachés par des haies de charme. Le but est de les intégrer plus discrètement dans le paysage. Il s'agit de ceux situés devant le cimetière et la rue de Bruay.

Des nouvelles plates-bandes vont être réalisées rue du nouveau monde. Composées de plantes vivaces et arbustives, elles égaieront le chemin qui mène aux écoles.

Le fleurissement estival fera une nouvelle fois, la part belle aux nouveautés. Un nombre croissant de plantes vivaces permettra d'augmenter la densité des floraisons pour plusieurs années alors que les plantes annuelles qui n'ont pas leurs pareils pour nous gratifier de leurs floraisons exubérantes se déclineront en de nombreuses variétés. Des feuillages décoratifs et des graminées viendront renforcer l'ensemble.

Michel DUBUS

Agent aux espaces verts

SOMMAIRE

I – Localisation géographique

II – Histoire de

III – Fleurissement 2016

IV – Plantation arbres et haies

V – Effacement des réseaux

VI – Manifestations communales

VII – Emploi des jeunes aux espaces verts

VIII – Actions AGENDA 21

IX – Revue de presse

I - Localisation géographique

Situation administrative

Appartenant au département du Pas-de-, la commune de Ruitz se situe au centre de la région, à l’intérieur d’un triangle formé par les villes de Béthune, Bruay-la-Buissière et Noeux-les-Mines. La commune se localise à 5 kilomètres à l’est de Bruay-la-Buissière, et à 9 kilomètres au sud-ouest de Béthune.

Ruitz est rattachée administrativement à l’arrondissement de Béthune et fait partie du canton de Barlin. Elle adhère à la Communauté d’Agglomération de l’Artois -Artois Comm.- qui rassemble 65 communes autour de Béthune. Elle intègre également le SIVOM de la Communauté du Bruaysis qui regroupe 28 communes pour près de 100 000 habitants.

La commune dispose d’un territoire d’une superficie de 496 hectares, dont 30 hectares de bois et forêts, pour une population totale de 1523 habitants en 2005. La densité y est de 319 habitants par km², la densité moyenne au sein du territoire du canton étant de 614 habitants au km².

Environnement géographique

Ruitz se situe dans la première périphérie de Bruay-la-Buissière, à l’ouest du Bassin Minier dans une zone de transition entre les collines de l’Artois et les plaines du Bas Pays.

La commune se localise entre de grandes infrastructures routières de la région : l’autoroute A26 au nord, la RD301 "la rocade minière" au sud et la RD941 à l’ouest ainsi que sa déviation, la RD86 qui traverse le territoire de Ruitz à l’ouest. La desserte de la commune s’effectue principalement par laRD86 qui relie Ruitz à Béthune, sur laquelle vient se greffer la RD188 desservant notamment la zone industrielle et assurant la liaison entre et Barlin, puis la RD72 reliant -les-Ruitz à .

Les communes limitrophes sont : Haillicourt, Houchin, , Barlin et Maisnil-les-Ruitz. Il existe plusieurs contiguïtés urbaines de Ruitz avec les communes voisines : Haillicourt, Maisnil-les-Ruitz et Barlin ; de plus, la zone industrielle de Ruitz se prolonge sur le territoire de Houchin au nord-est.

II - Histoire de Ruitz

Lieux historiques

On trouve une première mention de Ruitz dans une charte d'Eustache de Boulogne en 1070.

Au XIVème siècle, Jean Daulle y a habité un manoir et on avance que la famille de Robespierre serait originaire de notre village.

Les deux Chapelles

La chapelle située à côté de la mairie possède une crypte qui est en fait le tombeau où sont enterrés les descendants de la famille des châtelains Brios de Rocourt, d'Oresmieux et d'Anoux.

La petite Chapelle appartenait aux Houillères. Elle a été rachetée par la commune, démontée pierre par pierre et remontée définitivement rue de Maisnil.

L'église

Elle fut construite en 1787 à côté de la tour de l'église qui existait auparavant.

En effet, la base de la tour fut bâtie au XIIIème siècle, l'étage édifié au XVème et le couronnement rajouté en 1705. A l'intérieur de l'église, on peut observer une statue de la Vierge en bois polychrome datant du XVIIème et des panneaux de bois sculpté du XVIIIème représentant quatre évangélistes.

Le Bois de Clairbois

Il s'étend sur 16 hectares autour du Château, des Ecoles, du Foyer Saint-Jean.

Le Château

Il fut bâti au XVIIIème siècle par Pierre LERICQUE. Au début du XIXème, le domaine de RUITZ fut légué au marquis D'ORESMIEUX qui céda ensuite le château, les terres et le bois de Ruitz à la société Saint Gabriel pour qu'elle y crée un orphelinat de garçons. Le château fut fermé en 1903 et les terres louées aux fermiers. Le château fut occupé par les troupes françaises et britanniques pendant la 1ère guerre mondiale.

Dans les années 30, les Pères du Saint-Esprit y installèrent une école de missions jusqu'en 1952. La terre et la seigneurie de Ruitz furent vendues par le marquis de Mailly en 1725 à Pierre Ignace Le Ricque de Surgeon. De son mariage avec Mademoiselle Charlotte Roberty, il eut deux enfants ; un fils Charles Procope Le Ricque seigneur de Ruitz, lieutenant au régiment d'Auxerrois, mort sans alliance, et une fille Marie-Thérèse Le Ricque qui épousa en 1728 à Ruitz, Charles Joseph de Briois écuyer seigneur d' et officier du régiment de Bourbon Infanterie et qui mourut en 1774. C'est ce dernier qui bâtit le château actuel. Son arrière petite fille Marie-Joseph de Briois, née à le 18 ventose an I, décédée à le 21 janvier 1880, épousa Fortuné Le Ricque de Rocourt, chevalier de Saint Louis et de la Légion d'honneur. La vicomtesse de Rocourt ne laissant pas d'héritier direct, son fils Octave de Rocourt étant mort après avoir perdu ses deux fils en bas âge, enfants nés de son mariage avec Mademoiselle de Beaumetz, légua son domaine de Ruitz à son cousin le marquis d'Oresmieux de Fouquières par testament en date du 19 décembre 1879.

Dans le but de conserver le souvenir de sa famille et en mémoire de ses petits-enfants, Madame de Rocourt posa comme condition à monsieur d'Oresmieux de fonder un orphelinat de garçons. A sa mort en 1880, ce dernier accepta cette lourde charge et mis en possession du legs, il proposa le domaine à une œuvre religieuse et en l'année 1890 Monsieur d'Oresmieux céda le château de RUITZ, terres, bois et constructions, à la société Saint Gabriel dont le but était de créer à RUITZ un orphelinat de garçons dirigé par les Pères Salésiens de Don Bosco.

L'orphelinat fut fondé le 8 décembre 1890 par l'arrivée des Pères Salésiens venus de Lille et il portait le nom de Saint Joseph. Les enfants suivaient les cours de l'école primaire et se consacraient à l'exploitation agricole et au jardinage. La maison étant trop petite une aile fut ajoutée au château ainsi qu'un vaste préau couvert. L'orphelinat prospérait et comprenait une soixantaine d'enfants quand a été promulguée la loi contre les congrégations ; celle des Pères Salésiens n'ayant pas été autorisée par le Sénat, les Pères furent obligés de partir et les enfants furent disséminés les uns dans leur famille ; les autres en Belgique en 1903.

Puis le château fut fermé et les terres louées aux fermiers du village. Pendant la guerre de 1914, le château fut occupé par les troupes françaises et britanniques qui y causèrent de graves dégâts. Après la guerre, les Salésiens ne jugèrent pas possible de réinstaller un orphelinat malgré les insistances de monsieur d'Oresmieux. En 1929, les pères du Saint Esprit prenaient possession de Ruitz pour y installer une école des Missions qui fonctionna jusqu'en 1952, date à laquelle le Révérend Père Provincial déclara à la société RUITZ FOUQUIERES qu'il renonçait à son bail. C'est à cette date que Monsieur Perrin, évêque d'Arras, demanda à Monsieur le Comte d'Annoux, gendre de Monsieur d'Oresmieux et président de la société RUITZ FOUQUIERES, l'autorisation de reprendre le château et le domaine de Ruitz pour y installer les Aumôniers du Travail, dans le but d'évangéliser la région des mines. Sur le parc s'ouvre la chapelle possédant une crypte, tombeau de la famille Le Ricque de Rocourt, ancienne famille d'Artois éteinte aujourd'hui. Cette chapelle a été construite en 1866 et elle porte les armes des Le Ricque et des Du Fresne de Beaumetz.

III – Fleurissement 2016

IV – Plantations arbres et haies « fruitières »

Rue du Bois « ESPACE NATUREL »

Création en février 2015 d’un espace planté avec les habitants

- 4 Prunus Avium (Merisier) - 2 Quercus Robur (Chêne Pédonculé) - 1Quercus Petraea (Chêne Sessile) - 1 Tillia Cordata (Tilleul à petites feuilles) - 3 Carpinus Betulus (Charme) - 5 Acer Campestris (Erable Champêtre) - Plus divers arbustes pour haie fruitière

Résultat un an et demi après

Nouvelles plantations autour de la Salle des Fêtes

Plantation de 9 Salix Alba (Saule blanc)

Et création d’une haie bocagère avec essences locales

Nouvelles plantations Rue du Nouveau Monde

Evolution du Square rue du Bois Aménagement du parking rue du Bois en mars 2015

Le parking aujourd’hui

Aménagement autour des containeurs

V – Effacement des réseaux

Résidence les Ramonettes

AVANT

APRES

Projet 2016-2017 effacement des réseaux Rue du Nouveau Monde

VI – Manifestations communales autour des jardins

Jardin de Mr et Mme BATOR (11)

Jardin de Mr et Mme FRANCOIS (9)

Jardin de Mr et Mme DUBUS (7)

VII – Emploi des jeunes aux espaces verts

Signature emploi d’avenir de Mr BRUVRY Vincent

Emplois d’été 2016

VIII – Les actions AGENDA 21

Qu’est-ce qu’un Agenda 21 local ?

La s’est engagée à Rio, lors de la conférence sur l’environnement et le développement à mettre en œuvre l’Agenda 21 de Rio, programme d’actions pour le 21e siècle orienté vers le développement durable.

La Déclaration de Rio mettait en avant, dans son article 28, le rôle essentiel qui revient aux territoires et aux collectivités locales en matière de développement durable. C’est ainsi qu’à chaque niveau de collectivité, revient la responsabilité d’élaborer, pour son territoire, et de mettre en œuvre, un programme d’action répondant aux principes de l’Agenda 21.

Adopté en réunion interministérielle en juillet 2006, le cadre de référence national des projets territoriaux de développement durable, élaboré en concertation avec les autres ministères, les associations d’élus et les collectivités locales, a permis de donner un cadre et une définition commune aux agendas 21 locaux.

Il rappelle que le développement durable poursuit cinq finalités essentielles :

 lutte contre le changement climatique et protection de l’atmosphère  préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources  épanouissement de tous les êtres humains  cohésion sociale et solidarité entre territoires et entre générations  dynamiques de développement suivant des modes de production et de consommation responsables, et identifie cinq éléments déterminants pour assurer le succès d’une démarche de développement durable :

 une stratégie d’amélioration continue  la participation des acteurs  l’organisation du pilotage  la transversalité des approches  l’évaluation partagée Ces dix points-clefs peuvent être déclinés par tout type de territoire.

S’il est important que soient partagés un langage, une méthode et des objectifs communs, il appartient bien sûr à chaque territoire, en partant de ses spécificités culturelles, géographiques, économiques, sociales et sociétales, de trouver son propre chemin pour progresser vers un développement plus soutenable, dans l’objectif de construire, pour tous, un avenir solidaire

L’accompagnement de ces démarches par le ministère

Le nombre de collectivités françaises engagées dans des agendas 21 locaux ne cesse de croître, et ce sont déjà 304 territoires dont le projet a été reconnu depuis la première session de l’appel à reconnaissance en 2006, signe de la qualité de leur engagement en faveur du développement durable.

C’est pour donner plus de visibilité et de cohérence à ces démarches, que le ministère a élaboré, en concertation avec les autres ministères, les associations d’élus et les collectivités locales, le cadre de référence pour les projets territoriaux de développement durable et les Agendas 21 locaux.

Depuis 2006, un appel à reconnaissance permanent des projets territoriaux de développement durable et agendas 21 locaux, permet d’encourager les dynamiques locales de développement durable. Ce dispositif met en lumière la qualité des projets et la cohérence des politiques menées par les collectivités et les territoires vis-à-vis du développement durable.

Pour aider les territoires porteurs de tels projets à se donner des objectifs stratégiques concrets, à les suivre et à en rendre compte, le ministère a élaboré, avec un groupe de travail composé essentiellement de collectivités et de territoires de projet, un référentiel pour l’évaluation des projets territoriaux de développement durable.

La Municipalité a le plaisir de vous annoncer que le projet territorial de développement durable de RUITZ a été reconnu « Agenda 21 local France », dans le cadre de la session de reconnaissance des « Projets territoriaux de développement durable et agendas 21 locaux » organisée en 2015. Cette reconnaissance permet de souligner la qualité du projet porté et animé par notre commune et nous encourage à poursuivre notre démarche dans une dynamique d'amélioration continue. Cette décision résulte d'une double analyse de notre projet reposant sur une expertise au regard du cadre de référence national des projets territoriaux de développement durable et agendas 21 locaux, ainsi que sur l'avis de la DREAL et du Préfet de département. Après avoir été présenté à la DREAL de Lille le 27 mai par Jean-Louis ADANCOURT et Roland ROGER, notre projet a fait l'objet d'une présentation devant le Comité national agendas 21, réuni à cet effet le 17 juin 2015. Notre engagement dans cette démarche contribue de manière innovante à la transition écologique vers le développement durable. A ce titre, compte tenu des nombreux atouts de notre projet de territoire, en termes de transversalité et de mobilisation citoyenne notamment, La Municipalité est invitée à participer aux prochains appels à projets lancés par le ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie (territoires à énergie positive pour la croissance verte...). ARTICLE DE Mr ROGER Roland Adjoint au Maire RUITELOT N° 44 - 2éme semestre 2015

Liste des actions retenues

Action N° 1 : Aménager un local pour accueillir des commerçants (Style : marché couvert) en impliquant les commerçants de RUITZ.

Action N°2 : Créer les conditions d’accueil des tout petits.

Action N°3 : Apporter aux séniors, les services d’un béguinage tout en les maintenant dans leur résidence actuelle.

Action N°4 : Faciliter le maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie.

Action N°5 : Sur l’idée de « JARDINS SOLIDAIRES », Créer les conditions pour rapprocher les jardiniers et les propriétaires de jardins intéressés.

Action N°6 : Tisser des liens avec le club d’entreprises et les CE de la zone industrielle pour favoriser les échanges et élaborer des actions économiques, sociales, culturelles, sportives et d’information communes.

Action N°7 : Faciliter l'implication de Ruitelots dans la vie de la commune.

Action N°8 : Organiser une journée « Nettoyons la nature » au printemps sur tout ou partie du périmètre de la commune avec les habitants et les jeunes.

Action N°9 : Promouvoir la fête des voisins sur l’ensemble des quartiers de Ruitz.

Action N°10 : Encourager les déplacements alternatifs.

Liste des actions retenues

Action N°11 : Renouveler au fur et à mesure les véhicules actuels du parc communal, par des véhicules propres.

Action N°12 : Mettre en œuvre, avec Artois Comm., un covoiturage (Site internet + parkings dédiés) pour les salariés de la zone industrielle.

Action N°13 : Dans le cadre de l’ouverture de la médiathèque, la doter de supports audio de lecture et organiser des visites de courtoisie aux personnes seules.

Action N°14 : Favoriser l’appropriation des bonnes pratiques par les acteurs du territoire.

Action N°15 : Demander aux fournisseurs d'énergies de communiquer nos consommations (ville + Ruitelots), de l'évolution dans le temps et des possibilités d'économies simples à mettre en œuvre.

Action N°16 : Sensibiliser et former le personnel communal aux éco-gestes dans le cadre de leur travail et élaborer avec leur concours un plan d’économie papier, impression, encre, énergie, tri sélectif (éco-administration).

Action N°17 : Récupérer les eaux de pluie sur tous les bâtiments communaux.

Action N°18 : Mettre en œuvre une politique d’achat « écoproduits » pour tous les besoins de la commune.

Action N°19 : Action transversale regroupant toutes les actions de communication et d’information relevées dans chaque enjeu.

Recyclage des branches pour création de paillis

Mise en place en 2012 d’une cuve de récupération d’eau à la Mairie

IX – Revue de presse