RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

N° 6 - JUIN 2002 - 1

Sommaire Sommaire 1 1. PREFECTURE de la Seine-Maritime...... 3 1.1. CABINET DU PREFET ...... 3 02 - 49-Délégation de signature est donnée à M. André BALLOT, directeur des ressources humaines et des moyens par intérim ...... 3 02-0011-une récompense pour acte de courage et de dévouement ...... 6 02-0012-médaille d'honneur des sapeurs-pompiers ...... 6 Promotion du 14 juillet 2002 ...... 6 02-0015-médaille d'honneur agricole - promotion du 14 juillet 2002...... 9 02-0016-MEDAILLE DE LA MUTUALITE,DE LA COOPERATION ET DU CREDIT AGRICOLES ...... 19 02 - 47-Modification de délégation de signature ...... 19 1.2. D.A.E.S. ---> Direction de l'Action Economique et de la Solidarité ...... 21 02-0075-Convention entre l'Etat et le Département de la Seine-Maritime pour la mise en œuvre du Plan Départemental d'actions pour le Logement des Personnes 1.3. D.A.T.E.F. ---> Direction de l'Aménagement du Territoire de l'Environnement et des Finances ...... 24 02-0042-Refus d'un agrément sollicité par l'association des Amis du Vieux FECAMP et du ...... 24 02-0043-Refus de l'agrément sollicité par l'association : Centre d'Etudes Techniques Forestières de Seine-Maritime .... 25 02-0044-Prescriptions complémentaires concernant l'extension du centre routier de Gonfreville-l'Orcher présenté par le Port Autonome du Havre ...... 26 02-0045-Annexe aux prescriptions complémentaires concernant l'extension du centre routier de Gonfreville-l'Orcher .. 30 02-0046-DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE ET AUTORISATION CONCERNANT DES OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS SUR LE BASSIN VERSANT DE LUNERAY PRESENTE PAR LE SYNDICAT MIXTE DES BASSINS VERSANTS DU DUN ET DE LA VEULES ...... 31 02-0047-CONSTRUCTION D'UNE STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USEES URBAINES A GOURNAY- EN-BRAY, SYNDICAT D'ALIMENTATION EN EAU POTABLE ET D'ASSAINISSEMENT DE GOURNAY- FERRIERES ...... 42 02-0049-DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE ET AUTORISATION CONCERNANT LA REALISATION D'OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS, COMMUNAUTE DE COMMUNES DU CANTON DE ...... 49 1.4. D.R.C.L.E ---> Direction des Relations avec les Collectivités Locales et des Elections ...... 54 02-0070-Modification de l'arrêté préfectoral du 28 juin 1999 concernant la Commission Syndicale de la rivière « La »...... 54 02-0071-Syndicat intercommunal d'électrification rurale de la région de Darnétal : extension des compétences à la maîtrise d'ouvrage et l'organisation du service public de distribution de gaz ...... 55 02-0072-Modification des statuts du Syndicat Intercommunal d'Elimination des Ordures Ménagères de la région de ...... 60 02-0073-Modification des statuts du Syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de la région de Boos ...... 62 02-0074-extension des compétences, mise en place d'un mécanisme de représentation-substitution pour la communauté de communes du canton de Valmont ...... 64 1.5. D.R.L.P. ---> Direction de la Réglementation et des Libertés Publiques ...... 67 02-0061-Desserte de l'aéroport de -BOOS par les taxis ...... 67 02-0062-Modification de l'arrêté préfectoral du 22 novembre 1958 concernant le nombre maximum de taxis sur la commune de Criel-sur-Mer ...... 68 02-0063-Abrogation de l'arrêté préfectoral portant création d'un poste de taxi à NOLLEVAL ...... 69 02-0064-Abrogation de l'arrêté préfectoral portant création d'un poste de taxi à SAINT MARTIN AU BOSC ...... 70 02-0065-Abrogation de l'arrêté préfectoral portant création d'un poste de taxi à TORCY LE GRAND ...... 70 02-0066-Clôture du casernement de la brigade de gendarmerie maritime de ...... 71 ARRETE ...... 71 A 2002~12-Autorisation à l'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à la société KARCHER LAVAGE AUTO ...... 72 A 2002~13-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée au bar-tabac 'LE CAMPANELLA' à Rouen ...... 73 A 2002~14-Autorisation d'exploitation d'un système de surveillance délivrée à la discothèque 'L'EXCALIBUR' sise Hameau du Gal à GREMONVILLE ...... 74 A 2002~15-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à l'établissement CASTORAMA S.A. sis centre commercial de la Liberté à ...... 75 A 2002~16-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à la boulangerie PERRIER sise 2165, rue Edouard Canneval à SAINT NICOLAS D'ALIERMONT ...... 77 A 2002~17-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à la pharmacie MILLEVILLE RELOT sise 146, rue Saint Sever à ROUEN ...... 78 A 2002~18-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à La S.A.R.L. PETRO SAMBRE 'station service BP' sise 2, avenue du Président Allende à ...... 79 A 2002~19-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à La société KARCHER LAVAGE AUTO sise Z.A. des Petits Carreaux - 5, avenue des Coquelicots - 94865 BONNEUIL SUR MARNE ...... 81 A 2002~20-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à LA DIRECTION DE LA POSTE DE LA SEINE-MARITIME ...... 82 A 2002~21-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à l'établissement 'AU BON PAIN' (boulangerie-patisserie) sise 4, rue Jehan de Crouchy à ...... 83 A 2002~22-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à l'établissement 'FOOT LOCKER ' sis 148, rue du Gros Horloge à ROUEN ...... 85 A 2002~23-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance dékivrée au CONSEIL REGIONAL DE HAUTE NORMANDIE ...... 86 02-0069-Retrait d'autorisations de fonctionnement délivrées aux entreprises privées de sécurité S.A.R.L. SECUR- PARTNER ...... 88 1002-Autorisation de fonctionnement d'une entreprise de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds concernant l'entreprise privée de sécurité EUROVALEURS sise 32, rue du Pré de la Bataille - 76000 ROUEN ...... 89 1003-Autorisation de fonctionnement d'une entreprise de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds concernant l'entreprise privée de sécurité EUROVALEURS sise 13, rue Auguste Houzeau - 76000 ROUEN ...... 90 1.6. S.I.R.A.C.E.D. - P.C. -> Service Interministériel Régional des Affaires Civiles et Econ. de Défense ...... 91 02-0023-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers ...... 91 02-0025-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers à ...... 92 02-0026-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers à Neufchâtel en Bray ...... 93 02-0028-Abrogation de l'arrêté préfectoral du 29 mai 2002 relatif à la composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers ...... 94 02-0029-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours en Equipe à Sotteville les Rouen ...... 95 2. PREFECTURE DE LA ZONE DE DEFENSE OUEST...... 96 2.1. Etat-Major ...... 96 02-004-Modification de la liste zonale d'habilitation des experts des services d'incendie et de secours ...... 96 3. SOUS-PREFECTURE DU HAVRE ...... 97 3.1. Bureau des Relations avec les Collectivités Locales ...... 97 02-0035-Modification des statuts du syndicat intercommunal à vocation scolaire du Regroupement Pédagogique Intercommunal « ATOUTS VENTS » ...... 97 02-0039-STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL A VOCATION ...... 99 SCOLAIRE DU REGROUPEMENT PEDAGOGIQUE INTERCOMMUNAL 'ATOUTS VENTS', Annexe de l'arrêté préfectoral du 27 mai 2002 ...... 99

1. PREFECTURE de la Seine-Maritime

1.1. CABINET DU PREFET

02 - 49-Délégation de signature est donnée à M. André BALLOT, directeur des ressources humaines et des moyens par intérim

A R R E T E N° 02 - 49 ______

Le préfet de la région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur ______

VU :

- la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ;

- le décret n° 82-389 du 10 mai 1982 relatif aux pouvoirs des commissaires de la République et à l’action des services et organismes publics de l’Etat dans les départements ;

- la loi d’orientation n° 92-125 du 6 février 1992 relative à l’organisation administrative de l’Etat ;

- le décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 portant charte de déconcentration ;

- le décret du Président de la République en date du 20 août 1998, nommant M. Bruno FONTENAIST, préfet de la région de Haute-Normandie, préfet de la Seine-Maritime ;

- l’arrêté préfectoral n° 01-71 du 5 octobre 2001 portant organisation des services de la préfecture ;

- l’arrêté préfectoral n° 01-72 du 5 octobre 2001 portant nomination des directeurs, chefs de services et chefs de bureaux ;

- l’arrêté préfectoral en date du 29 mai 2002 nommant M. André BALLOT, directeur administratif du Secrétariat Général aux Affaires Régionales, directeur des ressources humaines et des moyens par intérim, à compter du 17 juin 2002 ;

- sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture ;

A R R E T E ______

Article 1er -

Délégation de signature est donnée à M. André BALLOT, directeur des ressources humaines et des moyens par intérim, pour signer, en toutes matières ressortissant des attributions de sa direction, tous actes, décisions, pièces et correspondances relevant du ministère de l’intérieur ou des départements ministériels ne disposant pas de service dans le département de la Seine-Maritime.

Article 2 -

Est exclue du champ de la délégation consentie à l’article 1er du présent arrêté, la signature des actes, arrêtés et décisions suivants :

1. actes portant création de comités, conseils et commissions et désignation de leurs membres,

2. arrêtés et décisions attributives de subventions et conventions engageant financièrement l’Etat,

3. contrats et conventions conclus entre l’Etat et des partenaires publics ou privés, notamment les marchés publics autres que les conventions relatives à l’accueil de stagiaires en préfecture,

4. demandes d’avis adressées au tribunal administratif en application de l’article R.242 du code des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel,

5. des mémoires en défense et actions de l’Etat devant les juridictions administratives et judiciaires,

6. déclinatoires de compétence et arrêtés de conflit.

Article 3 -

En cas d’absence ou d’empêchement de M. André BALLOT, directeur des ressources humaines et des moyens par intérim, la délégation de signature qui lui est conférée aux articles 1 et 2 du présent arrêté sera exercée par Mme Christine TRICOTEL, attachée principale, adjointe du directeur.

Article 4 -

Délégation de signature est également donnée dans la limite des attributions de leurs services respectifs et à l’exclusion des matières énumérées à l’article 2 du présent arrêté aux fonctionnaires ci-dessous désignés :

- Mme Christine TRICOTEL, attachée principale, adjointe au directeur, chef du service des ressources humaines ;

- Mme Martine LECOUTURIER, attachée, chef du service des moyens ;

- M. Christophe DESDEVISES, attaché, chef du bureau centralisation des opérations budgétaires ; et réciproquement en cas d’empêchement de l’un ou de l’autre.

Article 5 -

Délégation de signature est également donnée dans la limite de son domaine de compétences respectif, aux agents suivants et à l’exclusion des matières énumérées à l’article 2 du présent arrêté :

1. Pour le service des moyens :

- Documentation :

- Mme Marie-Odile JOUVEAUX, chargée d’études DAFU 1800 SESGAR,

à l’effet de signer les actes de gestion courante concernant la documentation :

- bons de commandes

- factures.

- Services techniques :

- M. Pascal HUMBERT, ouvrier professionnel, responsable du pôle technique

à l’effet de signer :

- les bons de commande d’un montant égal ou inférieur à 107 euros pour l’acquisition de petits matériels nécessaires au pôle technique.

2. Pour le service des ressources humaines :

- gestion du personnel

- Mme Sylvie LEPILLEUR, secrétaire administrative, ou en cas d’empêchement, Mme Véronique PRAWITZ, secrétaire administrative, et Mme Axelle DELAUNE, secrétaire administrative,

à l’effet de signer :

- les courriers relatifs aux affaires courantes de gestion du personnel

- les arrêtés et congés de maladie simple et les congés de maternité

- les certificats et attestations d’emplois

- rémunération du personnel

- Mme Axelle DELAUNE, secrétaire administrative, ou en cas d’empêchement, Mme Sylvie LEPILLEUR, secrétaire administrative,

à l’effet de signer les actes de gestion courante concernant les attributions de cette section, soit :

- les fiches de liaison relatives à la paie des agents de la préfecture - les attestations - les ampliations d’arrêtés - les bordereaux de transmission.

- concours

- Mme Véronique PRAWITZ, secrétaire administrative, ou en cas d’empêchement, Mme Sylvie LEPILLEUR, secrétaire administrative, et Mme Axelle DELAUNE, secrétaire administrative,

à l’effet de signer :

- les courriers relatifs à l’organisation du concours

- les réponses à des demandes de stages ou de recrutement.

- formation

- Mme Christine CAMPARD, secrétaire administrative, animateur de formation, ou en cas d’empêchement, Mme Véronique PRAWITZ, secrétaire administrative, et Mme Axelle DELAUNE, secrétaire administrative,

à l’effet de signer les actes de gestion courante concernant la formation du personnel.

- action sociale du ministère de l’intérieur

- Mme Isabelle AUGER, secrétaire administratif de classe normale, responsable de la section dénommée « service départemental d’action sociale du ministère de l’intérieur » pour la signature des actes de gestion courante concernant les attributions de ce pôle.

Par ailleurs, en cas d’empêchement concomitant de M. André BALLOT, directeur des ressources humaines et des moyens par intérim, et de Mme Christine TRICOTEL, adjointe au directeur, chef du service des ressources humaines, Mme Isabelle AUGER est habilitée à signer les courriers relatifs à la gestion des décisions de la commission de secours.

Article 6 -

M. le secrétaire général de la préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

ROUEN, le 17 juin 2002

Le préfet,

Bruno FONTENAIST.

02-0011-une récompense pour acte de courage et de dévouement

CABINET du PREFET

A R R E T E accordant une récompense pour acte de courage et de dévouement ------Le préfet de la région de Haute-Normandie préfet de la Seine-Maritime officier de la Légion d’honneur ------VU :

- le décret du 16 novembre 1901 modifié par le décret du 9 décembre 1924

- le décret n° 70-221 du 17 mars 1970 portant déconcentration en matière d’attribution de la distinction susvisée.

A R R E T E

Article 1er :

Une récompense pour Acte de Courage et de Dévouement est décernée à :

Médaille de BRONZE

- M. Joël GOBOURG - Matelot du Bac 21 à -

-Article 2

M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine-Maritime est chargé de l’exécution du présent arrêté.

ROUEN, le 24 mai 2002 Le préfet,

Bruno FONTENAIST

02-0012-médaille d'honneur des sapeurs-pompiers

Promotion du 14 juillet 2002

PREFECTURE DE LA SEINE MARITIME

CABINET DU PREFET

Arrêté accordant la médaille d’honneur des sapeurs-pompiers Promotion du 14 juillet 2002

------

Le préfet de la région de Haute-Normandie préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

------

VU :

- l’article R.352-50 du code des communes ; - le décret n° 62-1073 du 11 septembre 1962 fixant les conditions d’attribution de la médaille d’honneur des sapeurs-pompiers ; - le décret n° 68-1055 du 29 novembre 1968 portant déconcentration en matière d’attribution de la distinction susvisée ;

A R R E T E

Article 1er :

Des médailles d’honneur sont décernées aux sapeurs-pompiers dont les noms suivent :

MEDAILLE D’OR

M. Michel ANDRE - Caporal-chef volontaire - CIS de Saint-Saëns M. Jackie ANSERMET - Sergent-chef volontaire - CIS d' M. Henri BEAUCHAMP - Sergent-chef volontaire - CIS de Boos M. Rémi BERTIN - Sergent-chef professionnel retraité - CIS de Rouen-Gambetta - Groupement Sud (Formation) M. Jean-Pierre BOUCHER - Sapeur-Pompier volontaire - CIS de Servaville-Salmonville M. Claude BREAT - Caporal-chef professionnel retraité - CIS du Havre (Dumé d'Aplemont) M. Frédéric CHOPART - Adjudant volontaire - CIS de Grand-Couronne M. Marc DEBONNE - Adjudant-chef volontaire - Chef de centre - CIS de Grandcourt M. Jacques DEHORS - Caporal-chef volontaire - CIS de M. Didier DELAPORTE - Major professionnel - CIS de Canteleu M. Daniel DULONGCHAMPS - Adjudant-chef professionnel retraité - Ancien chef de centre - CIS de Malaunay M. Jacky GOUJON - Sapeur-Pompier volontaire - CIS d'Elbeuf M. Francis GUILBERT - Lieutenant volontaire - CIS d'Elbeuf M. Jean-Luc HEBERT - Caporal-chef professionnel retraité - Groupement Sud M. Jean-Michel HEBERT - Caporal-chef volontaire retraité - CIS de Montville M. Francis LANGLOIS - Lieutenant volontaire - CIS d'Elbeuf M. Philippe LEBECQ - Caporal-chef volontaire - CIS de Bacqueville-en-Caux M. Alain LESUEUR - Caporal-chef volontaire - CIS d'Auffay M. Yvon LOQUIN - Caporal-chef volontaire - CIS du Trait M. René MAINGUIT - Adjudant-chef professionnel retraité - CIS du Havre (Caucriauville) M. Robert MANCELLE - Caporal-chef volontaire - CIS de Montville M. Claude POISSON - Sapeur-Pompier volontaire retraité - CIS de Montville M. Jean-Marie POISSON - Caporal-chef volontaire - CIS de Montville M. Christian POULINGUE - Caporal-chef volontaire - CIS de Neufchatel-en-Bray M. Rémy RICAUX - Caporal-chef volontaire - CIS de Neufchatel-en-Bray M. Pierre TROHAY - Caporal-chef volontaire - CIS de Saint-Valéry-en-Caux M. Patrick VANECHOP - Caporal-chef professionnel retraité - CIS de Rouen-Gambetta

MEDAILLE de VERMEIL

M. André BEAUPEL - Sergent-chef volontaire - CIS de Sotteville-les-Rouen M. Thierry BEZIRARD - Caporal-chef volontaire - CIS d'Auffay M. Jean-Bernard BOCLET - Lieutenant volontaire - CIS d' M. Michel BOUDIN - Caporal-chef volontaire - CIS de Barentin M. Francis BOUVIER - Sergent-chef volontaire - CIS de Tôtes M. Jean-Marie CADINOT - Caporal volontaire - CIS de Cany-Barville M. Didier CAILLOT - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Caucriauville) M. Claude CALTERO - Adjudant-chef professionnel - Groupement Est M. Patrice COTE - Caporal-chef volontaire - CIS d'Yerville M. Fabrice COURGEON - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Philippe COURTY - Sergent-Chef professionnel - CIS de Rouen-Malherbe M. Christian DUFOUR - Sapeur-Pompier volontaire - CIS de M. Patrice FOUILLOUX - Caporal-chef volontaire - CIS de La Feuillie M. Bernard HAUGUEL - Caporal-chef volontaire - CIS de Saint-Romain-de-Colbosc M. Jacques HEBERT - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Malherbe M. Fabrice HERUBEL - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Dumé d'Aplemont) M. Christian JACQUEMIN - Caporal-chef professionnel - CIS de Dieppe (à titre posthume) M. Patrice JOURDAIN - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Claude KERGADALLAN - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Dumé d'Aplemont) M. Pierre KERIGNARD - Caporal-chef professionnel - CIS de Canteleu M. Alain KERMARREC - Lieutenant-volontaire - Chef de Centre - CIS de Grand-Quevilly M. François LEBESGUE - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Patrick LEBRUN - Sergent-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Richard LECOQ - Sergent-chef professionnel - CIS du Havre (Vétillart) M. André LEFEBVRE - Caporal-chef professionnel - Groupement Sud M. Yves LEGRAND - Adjudant-chef volontaire - CIS d'Arques-la-Bataille M. Daniel MAILLARD - Sapeur-Pompier volontaire - CIS du Trait M. Jean-Pierre MARTIN - Caporal-chef volontaire - CIS d'Elbeuf M. Christian MAURY - Caporal-chef volontaire - CIS de Montville M. Patrick NADAUD - Adjudant-chef professionnel - CIS du Havre (Vétillart) M. Patrick PAINSEC - Caporal-chef volontaire - CIS de EU M. Fabrice PICHOT - Caporal-chef volontaire - CIS d'Elbeuf M. Marcel POISSON - Caporal-chef volontaire retraité - CIS de Montville M. Michel POULLAIN - Caporal-chef volontaire - CIS de Grand-Quevilly M. Serge ROUVET - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Jean-Claude VASSE - Adjudant-chef volontaire - CIS de Bolbec M. Roland VASSE - Caporal-chef professionnel - CIS d'Elbeuf M. Christian VAUTIER - Adjudant-chef professionnel - Chef de centre adjoint - CIS du Havre (Vétillart)

MEDAILLE D’ARGENT

M. Dominique AUGER - Caporal-chef volontaire - CIS de Sotteville-les-Rouen M. Patrick AVENEL - Adjudant volontaire - CIS de Bolbec M. Daniel BATTE - Sergent volontaire - CIS de Bolbec M. Didier BEAUCHAMP - Caporal-chef volontaire - CIS de Boos M. Stéphane BERTIN - Adjudant volontaire - CIS de Montville M. Renaud BLANC - Sergent-chef volontaire - CIS de Bolbec M. Michel BUATHIER - Caporal professionnel - CIS du Havre (Caucriauville) M. Denis BUNEL - Caporal-chef volontaire - CIS de Dieppe M. Michel CAMIER - Sapeur-Pompier volontaire - CIS de Grandcourt M. Stéphane CHEDEVILLE - Sergent-chef professionnel - CIS de Canteleu M. Dominique COLLEMANT - Lieutenant volontaire - CIS d' M. Thierry COLNOT - Adjudant-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Bruno CONSEIL-GOULE - Caporal volontaire - CIS de Tôtes M. Pascal DEGROOT - Caporal-chef volontaire - CIS de Saint-Aubin-les-Elbeuf M. Jean-Claude DEHAYE - Caporal-chef volontaire - CIS de M. Pascal DOLBEAU - Commandant professionnel - Chef du Service Equipement - Direction Départementale des Services d'Incendie et de Secours de la Seine-Maritime à Yvetot M. Jean-Marie DORE - Sapeur-Pompier volontaire - CIS de Saint-Germain-sur-Eaulne M. Alain DUBOS - Adjudant-chef volontaire - CIS de Neufchatel-en-Bray M. Robert DUGARD - Caporal-chef volontaire - CIS d'Elbeuf M. Patrick DUPART - Sergent-chef volontaire - CIS de Veules-les-Roses M. Didier DUPUIS - Lieutenant volontaire - Chef de centre - CIS de Tôtes M. Philippe FIQUET - Adjudant-chef professionnel - CIS de Fécamp M. Claude FORESTIER - Caporal-chef volontaire - CIS du Tréport M. Alain FORTIER - Caporal-chef volontaire - CIS d'Elbeuf M. Philippe FRERE - Sergent-chef professionnel - Groupement Est M. Christian GARCIA - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Michel GENET - Caporal volontaire - CIS de

M. Jean Philippe GOSSELIN - Sergent volontaire - CIS de Grand-Quevilly M. Patrice GROUT - Adjudant professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Olivier GUIMONT - Sergent-chef volontaire - CIS de Sotteville-les-Rouen M. Pierre HECQUET - Adjudant-chef professionnel - Service Equipement - Direction Départementale des Services d'Incendie et de Secours de la Seine-Maritime à Yvetot M. Patrick JANNY - Major professionnel - Services Techniques - Direction Départementale des Services d'Incendie et de Secours de la Seine-Maritime à Yvetot M. Stéphane JOUENNE - Sergent-chef volontaire - CIS d'Elbeuf M. Bruno JULIEN - Caporal-chef volontaire - CIS de EU M. Olivier LAMBERT - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Vétillart) M. Lionel LE GROS - Sergent-chef professionnel - CIS du Havre (Dumé d'Aplemont) M. Yves LE ROUX - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Dumé d'Aplemont) M. Philippe LEBAS - Caporal-chef volontaire - CIS de La Londe M. Gérald LEBERRERA - Sergent-chef volontaire - CIS de La Feuillie M. Alexis LECLERC - Adjudant volontaire - CIS d' M. Lionel LEFEBVRE - Caporal volontaire - CIS de La Londe M. Janick LEFRANCOIS - Sergent-chef volontaire - CIS de Boos M. Stéphane LEGRAND - Caporal-chef professionnel - CIS d'Elbeuf M. Thierry LEMARCHAND - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Eric LEPOITTEVIN - Sergent-chef volontaire - CIS de Petit-Quevilly M. Alain LEROY - Sergent-chef volontaire - CIS de Bolbec M. Jean-René LIMOUSIN - Adjudant-chef volontaire - CIS d'Aumale M. Olivier LUQUET - Sergent-chef volontaire - CIS de Sotteville-les-Rouen M. Jean-Marc MEVEL - Caporal-chef volontaire - CIS de Barentin M. Rémy MILLE - Caporal-chef volontaire - CIS d'Yvetot M. François MOGIS - Adjudant-chef volontaire - CIS de M. Laurent NOEL - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Dumé d'Aplemont) M. Pierre NOYON - Caporal volontaire - CIS d' M. Pascal OMONT - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Olivier PATIN - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Vétillart) M. Alain PELICANT - Sergent-chef professionnel - CIS du Havre (Caucriauville) M. Thierry PIEDNOEL - Caporal-chef volontaire - CIS de Saint-Aubin-les-Elbeuf M. Eric PIGNE - Caporal-chef professionnel - Groupement Sud M. André PLE - Caporal-chef volontaire retraité - CIS de Servaville-Salmonville M. Alain RIBEIRO - Adjudant-chef volontaire - CIS de Boos M. Rémy RIDEL - Adjudant-chef volontaire - CIS de Barentin M. Daniel RIOUX - Lieutenant-colonel professionnel - Adjoint au chef d'Etat-Major - Sécurité Civile - Zone de Défense Sud-Est M. Thierry ROC - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Raymond ROOSEL - Caporal-chef volontaire - CIS de Petit-Quevilly M. Jean-Marie ROUSSEL - Caporal volontaire - CIS de Gaillefontaine M. Yvons SAGOT - Lieutenant volontaire - Chef de centre - CIS de Boos M. Paul TROCHU - Adjudant-chef professionnel - Service Prévention - Direction Départementale des Services d'Incendie et de Secours de la Seine-Maritime à Yvetot M. Yvon VICTOR - Caporal-chef professionnel - CIS de Rouen-Gambetta M. Frédéric ZOLLER - Caporal-chef professionnel - CIS du Havre (Caucriauville)

Article 2 :

M. le Secrétaire Général de la Préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

ROUEN, le 11 juin 2002

Le préfet,

Bruno FONTENAIST

02-0015-médaille d'honneur agricole - promotion du 14 juillet 2002

PREFECTURE DE LA SEINE MARITIME

Le Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU le décret du 17 juin 1890 instituant la médaille d'honneur agricole;

VU le décret 76-422 du 10 mai 1976 relatif à la médaille d'honneur agricole;

VU l'arrêté du 08 juillet 1976 portant délégation de pouvoirs aux préfets ;

VU le Décret 84-1110 du 11 décembre 1984 relatif à l’attribution de la médaille d’honneur agricole;

VU le Décret 2001-740 du 23 août 2001 modifiant le décret n° 84-1110 du 11 décembre 1984 relatif à la médaille d’honneur agricole ;

A l'occasion de la promotion du 14 juillet 2002

A R R E T E

Article 1 : La médaille d’honneur agricole ARGENT est décernée à :

- Monsieur AUZOU Christian Chef équipe frais, LUNOR, LUNERAY. demeurant à SAINT OUEN

- Madame BAVILLE Christine née SEIGNEUR Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à FONTAINE LE DUN

- Monsieur BAVILLE Marc Chauffeur VL, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GAILLARDE (LA)

- Madame BIERRE Catherine née BIARD Contrôleuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à

- Monsieur BIHEL Jean-Luc Agent administratif, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Madame BLONDEL Lydie née RENOULT Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à

- Monsieur Daniel Chef de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à LUNERAY

- Madame BOULAN Martine Conductrice machine, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur BREAL Hervé Technicien maintenance, UNION NORMANDIE VEXIN, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à ROUEN

- Madame CAHARD Isabelle Technicien qualité client, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à BARENTIN

- Monsieur CAPRON Jérôme Agent de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à TOURVILLE LA CHAPELLE

- Monsieur CARPENTIER François Agent de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à LONDINIERES

- Monsieur COTE Yves Chauffeur PL, LUNOR, LUNERAY. demeurant à YERVILLE

- Monsieur COURBE Philippe Chef équipe production, LUNOR, LUNERAY. demeurant à SAINT PIERRE LE VIEUX

- Madame COUROYER Sylvie née DUJARDIN Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GRUCHET SAINT SIMEON

- Madame DEGREMONT Patricia née ALIGNY Responsable logistique ventes, LUNOR DISTRIBUTION, LUNERAY. demeurant à ETALLEVILLE

- Monsieur DEMARAIS Claude Mécanicien assistant fabrication, LUNOR, LUNERAY. demeurant à

- Monsieur DESCHAMPS Michel Responsable conditionnement, LUNOR, LUNERAY. demeurant à

- Madame DESCHAMPS Nadine née PAUMIER Agréeur, LUNOR, LUNERAY. demeurant à AVREMESNIL

- Madame DIVILLE Eveline née LEULLIER Secrétaire direction commerciale, LUNOR DISTRIBUTION, LUNERAY. demeurant à

- Monsieur DUPUIS Rémy Réceptionnaire, LUNOR, LUNERAY. demeurant à DOUDEVILLE

- Madame ELLERON Denise née PELLEVILLAIN Trieuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à SAINT PIERRE LE VIEUX

- Monsieur FLICOT Francis Conducteur de véhicule, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à ERNEMONT SUR BUCHY

- Madame FOLLIN Claudine née PREVOST Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Madame FRICHOT Maryse Secrétaire de direction, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à BOISGUILLAUME

- Monsieur FUSSIEN Alain Chef équipe, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Madame FUSSIEN Fabienne née BEUX Conductrice machine, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur GAUDRAY Benoit Conseiller secteur agricole, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT DENIS SUR SCIE

- Monsieur GOUVARY Joël Conducteur de tracteurs, SCEA DE CALTOT, BOLBEC. demeurant à ECRETTEVILLE LES BAONS

- Monsieur GRICOURT Jean Chef équipe expédition, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GRUCHET SAINT SIMEON

- Monsieur HAMEL Frédéric Technicien immeuble sécurité, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à NOTRE DAME DE BONDEVILLE

- Madame HARLEE Evelyne née RETOURNE Secrétaire, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à MESNIL ESNARD (LE)

- Madame HENRI Myriam née GUILLO Chargé d'audit, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à MONTVILLE

- Monsieur LACAILLE Jean-François Chauffeur de tracteur, EARL LES CHENES ROUGES, PLEINE SEVE. demeurant à PLEINE SEVE

- Madame LACOINTE Arlette née CORRUBLE Trieuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GRUCHET SAINT SIMEON

- Madame LANCESTRE Aicha née IDELHAJ Conseiller commercial particulier, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT PIERRE DE VARENGEVILLE

- Madame LARDANS Sabine née RENOULT Contrôleuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur LEBOURG Dominique Magasinier conseil, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à SAINT MACLOU DE FOLLEVILLE

- Madame LEFEBVRE Brigitte Trieuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GRUCHET SAINT SIMEON

- Madame LEPRINCE Annie-Claude Secrétaire production, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GAILLARDE (LA)

- Madame LEPRINCE Françoise née COLE Conductrice machine, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GRUCHET SAINT SIMEON

- Monsieur LEVEQUE Thierry Magasinier conseil, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à LONDINIERES

- Monsieur LHEUREUX Jean-Pierre Responsable conditionnement, LUNOR, LUNERAY. demeurant à AUTIGNY

- Madame LOPEZ Nadine née BINET Technicien prêt contentieux particulier, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à MONT SAINT AIGNAN

- Monsieur LUCAS Alain Magasinier conseil, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à NOTRE DAME DE GRAVENCHON

- Madame MALNUIT Michèle Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à ROUEN

- Monsieur MARTIN Alain Conducteur d'installation, UNION NORMANDIE VEXIN, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à DARNETAL

- Monsieur MENIVAL Philippe Cariste magasinier, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à

- Madame MERCY Claudine née POULAIN Conductrice machine, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur MORE Philippe Technicien gestion affaires internationales, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à GRANDCAMP

- Monsieur PARQUET Daniel Cariste, LUNOR, LUNERAY. demeurant à SAINT OUEN LE MAUGER

- Madame POTDEVIN Martine née BONAVES Assistant clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à VEAUVILLE LES BAONS

- Madame PROKOPOWICZ Jeannine née NOSALKI

Agent de nettoyage, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à PISSY POVILLE

- Madame RENOULT Sylvie Conductrice machine, LUNOR, LUNERAY. demeurant à CRASVILLE LA

- Madame SAVARY Corinne née CHIVOT Secrétaire comptable, SOCIÉTÉ DE CHASSE DES PROPRIÉTAIRES DE BETTEMBOS, BETTEMBOS. demeurant à SAINT GERMAIN DES ESSOURTS

- Madame SKLADANOWSKI Elyane née LARDANS Trieuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à BACQUEVILLE EN CAUX

Article 2 : La médaille d’honneur agricole VERMEIL est décernée à :

- Monsieur AUZOU Christian Chef équipe frais, LUNOR, LUNERAY. demeurant à BERTREVILLE SAINT OUEN

- Monsieur BACHY Patrick Conseiller clientèle particuliers, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT OUEN LE MAUGER

- Monsieur BAYEUL Jean-Marie Directeur de production, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur BELLIARD Jean-François Chargé de mission, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à FRANQUEVILLE SAINT PIERRE

- Monsieur BENOUMHANI Chérif Magasinier conducteur installation, UCACEL, CHARTRES. demeurant à GRAND COURONNE

- Monsieur BEUCHER Guy Chargé mission gestion patrimoine, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à ROUEN

- Madame BLIN Marie-Christine née PAJARES Technicien moyens de paiements, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à CLEON

- Madame BLONDEL Lydie née RENOULT Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GREUVILLE

- Monsieur BLOSSEVILLE Daniel Chef de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à LUNERAY

- Mademoiselle BLOSSIER Laurence Secrétaire, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à

- Madame BONNET Béatrice née DESCHAMPS Conseiller clientèles particuliers, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Madame BOQUET Liliane née QUEVAL Assistant clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Madame BOURDIN Françoise née JORELLE Comptable, SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE AGRICOLE DES PRODUCTEURS DE BLÉ, LUNERAY. demeurant à CRASVILLE LA ROCQUEFORT

- Madame BOZZI Odette née MOIREAU Assistant crédit, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à PETIT QUEVILLY (LE)

- Monsieur BREAL Hervé Technicien maintenance, UNION NORMANDIE VEXIN, MONT SAINT AIGNAN.

demeurant à ROUEN

- Monsieur CADOT Xavier Conseiller clientèle particuliers, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Monsieur CORDIER Lucien Conducteur de véhicule, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à SAINT LEGER DU BOURG DENIS

- Monsieur CORROYER Gérard Analyste exploitation, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à MALAUNAY

- Monsieur COURBE Philippe Chef équipe production, LUNOR, LUNERAY. demeurant à SAINT PIERRE LE VIEUX

- Monsieur CRETIEN Michel Animateur fichiers clients, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT SAENS

- Monsieur DAUVERGNE Philippe Directeur agence, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à FORGES LES EAUX

- Monsieur DEMARAIS Claude Mécanicien assistant fabrication, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GUEURES

- Monsieur DESCHAMPS Michel Responsable conditionnement, LUNOR, LUNERAY. demeurant à AVREMESNIL

- Madame DESCHAMPS Nadine née PAUMIER Agréeur, LUNOR, LUNERAY. demeurant à AVREMESNIL

- Monsieur DESMET Jean Directeur adjoint, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à FRANQUEVILLE SAINT PIERRE

- Madame DIVILLE Eveline née LEULLIER Secrétaire direction commerciale, LUNOR DISTRIBUTION, LUNERAY. demeurant à BRACHY

- Madame DUMONT Micheline née MAISON Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à DIEPPE

- Madame FLEURY Christine née FAINE Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à DUCLAIR

- Madame FOLLIN Claudine née PREVOST Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur FOUBERT Alain Conseiller clients particuliers, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SOTTEVILLE LES ROUEN

- Monsieur FUSSIEN Alain Chef équipe, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Monsieur GIBOURDEL Lionel Ouvrier linier, SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE AGRICOLE DE TEILLAGE DE LIN DU VERT-GALANT, SAINT ANDRE SUR . demeurant à BOSC BERENGER

- Madame GROGNET Catherine née BAZILE Technicien mission euro, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à NEUVILLE CHANT D'OISEL (LA)

- Madame GUEROULT Monique née DORIN Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Monsieur JOURDAIN Philippe Chef équipe, SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE AGRICOLE DE TEILLAGE DE LIN DU VERT-GALANT, SAINT ANDRE SUR CAILLY. demeurant à ETAIMPUIS

- Monsieur LACAILLE Jean-François Chauffeur de tracteur, EARL LES CHENES ROUGES, PLEINE SEVE. demeurant à PLEINE SEVE

- Madame LAVENU-HOULLET Renée née LAVENU Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à AVREMESNIL

- Madame LEFEBVRE Bernadette née LETELLIER Secrétaire comptable, UNION NORMANDIE VEXIN, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à SAINT ETIENNE DU ROUVRAY

- Monsieur LEFEBVRE Léon Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à AUFFAY

- Monsieur LEFEUVRE Damien Chef équipe production, LUNOR, LUNERAY. demeurant à DIEPPE

- Monsieur LEMERCIER Francis Responsable des mouvements silo, UCACEL, CHARTRES. demeurant à NOTRE DAME DE BONDEVILLE

- Madame LEPRINCE Françoise née COLE Conductrice machine, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GRUCHET SAINT SIMEON

- Madame LHEUREUX Annie Aide comptable, UCACEL, CHARTRES. demeurant à GRAND COURONNE

- Monsieur LIVRY Bernard Responsable contrats et placements, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Madame MAZE Françoise née LEFEBVRE Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Monsieur MORVAN Yannick Conseiller commercial particulier, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à LILLEBONNE

- Monsieur PARQUET Daniel Cariste, LUNOR, LUNERAY. demeurant à SAINT OUEN LE MAUGER

- Monsieur PELTIER François Cadre de direction - directeur, CAISSE RÉGIONALE DE CRÉDIT AGRICOLE MUTUEL DE PARIS ET D'ILE DE FRANCE, PARIS. demeurant à BOISGUILLAUME

- Madame PESQUEUX Martine née DORIN Conseiller d'affaires professionnelles, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à TOUFFREVILLE LA CORBELINE

- Madame PROKOPOWICZ Jeannine née NOSALKI Agent de nettoyage, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à PISSY POVILLE

- Madame PRUVOST Josette née LERAT Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à

- Mademoiselle RUZZENE Sandrine Secrétaire, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à

- Madame SENECAL Marie-Hélène née BOUST Conditionneuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à GAILLARDE (LA)

- Monsieur SERY Gilbert Assistant entretien, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à YVETOT

- Madame SIMON Nadine Chef comptable, LUNOR, LUNERAY. demeurant à LUNERAY

- Madame SKLADANOWSKI Elyane née LARDANS Trieuse, LUNOR, LUNERAY. demeurant à BACQUEVILLE EN CAUX

- Madame TROUPLIN Agnès née BLONDEL Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à VENTES SAINT REMY

- Monsieur VALLADEAU Rémi Chef de fabrication, UNION NORMANDIE VEXIN, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à

- Monsieur VINCENT René Conducteur de véhicule, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à BOUVILLE

Article 3 : La médaille d’honneur agricole OR est décernée à :

- Monsieur ANTIL Jean-Claude Technicien Editique, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à CALLEVILLE LES DEUX EGLISES

- Monsieur BACQUAERT Pierre Chargé de développement informatique, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SOTTEVILLE LES ROUEN

- Monsieur BARREAU Michel Conseiller clients particuliers, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à JUMIEGES

- Monsieur BAZILE Marcel Ingénieur système, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à BOISGUILLAUME

- Madame BELON Annie née GUADON Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à OISSEL

- Madame BERNARD Jacqueline Assistant gestion bancaire, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à BIHOREL

- Monsieur BLOSSEVILLE Daniel Chef de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à LUNERAY

- Monsieur BREAL Hervé Technicien maintenance, UNION NORMANDIE VEXIN, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à ROUEN

- Madame CAMPART Annie née BOUTIN Assistante de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à ROUEN

- Madame CAUCHOIS Annick née LAURENT Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à ROUEN

- Madame DEBONNE Geneviève née LEGRAND Conseiller affaires professionnelles, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT NICOLAS D'ALIERMONT

- Madame DELAUNAY Reine née RENOUT Assistante pré-contentieux, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SERVAVILLE SALMONVILLE

- Monsieur DIMIER Guy Directeur agence chef de secteur, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME.

demeurant à SAINT ROMAIN DE COLBOSC

- Madame DINOCOURT Jeanine née QUATRESOUS Technicien crédits, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT GEORGES SUR FONTAINE

- Monsieur DUBOIS Michel Assistant de clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à MONTVILLE

- Madame ESSE Michèle Télé-assistant, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à ROUEN

- Monsieur FOUCOURT Fernand Magasinier conseil, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à BACQUEVILLE EN CAUX

- Madame GIFFARD Marie-Thérèse née MORISSE Technicien gestion affaires internationales, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT GEORGES SUR FONTAINE

- Monsieur GRAVE Gérard Magasinier appro céréales, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à GOURNAY EN BRAY

- Monsieur JAECKENS Alain Contremaître entretien, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à ROCQUEMONT

- Monsieur JOURDAIN Philippe Chef équipe, SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE AGRICOLE DE TEILLAGE DE LIN DU VERT-GALANT, SAINT ANDRE SUR CAILLY. demeurant à ETAIMPUIS

- Monsieur LAMBERT Jean Responsable activités commerciales, GROUPAMA NORMANDIE - EURE, EVREUX. demeurant à YMARE

- Monsieur LE GUYASTRENNEC Jean-Pierre Directeur d'agence, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à MESNIL ESNARD (LE)

- Monsieur LECREUX François Assistant réalisation engagements, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT GEORGES SUR FONTAINE

- Monsieur LETELLIER Michel Contremaître, SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE AGRICOLE DE TEILLAGE DE LIN DU VERT-GALANT, SAINT ANDRE SUR CAILLY. demeurant à FONTAINE LE BOURG

- Madame PARIS Claudine née COTTARD Responsable fichiers producteurs, COOPERATIVE LAITIERE DE HAUTE-NORMANDIE, MAROMME. demeurant à MONTIVILLIERS

- Monsieur PELLERIN Michel Chef équipe, SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE AGRICOLE DE TEILLAGE DE LIN DU VERT-GALANT, SAINT ANDRE SUR CAILLY. demeurant à VIEUX MANOIR

- Monsieur PIMONT Jean-Louis Agent de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à MONTIVILLIERS

- Madame SENARD Jeannine née DESSAUX Assistant clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT WANDRILLE RANCON

- Monsieur SENECAL Alain Conducteur d'installation, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à AUFFAY

- Madame SIBOUT Claudine née HEMERY Secrétaire maquettiste, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à ROUEN

- Madame STALIN Nicole née THOREL Chef de groupe administratif, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à MALAUNAY

- Madame THAREL Eliane née BRIERE Assistant clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT PIERRE EN PORT

- Madame TOMBETTE Marie-Jeanne née VAILLANT Secrétaire administrative et commerciale, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à GOURNAY EN BRAY

- Monsieur VAILLANT Roger Conseiller vendeur, SOCIÉTÉ NOUVELLE DEPREAUX, BOISGUILLAUME. demeurant à FERRIERES EN BRAY

- Monsieur VENTE Claude Responsable développement Comète, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à BIHOREL

- Monsieur ZINGERLE Patrick Directeur agence, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT VIGOR D'YMONVILLE

Article 4 : La médaille d’honneur agricole GRAND OR est décernée à :

- Monsieur BARABE Ernest Cariste magasinier, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à BIVILLE LA BAIGNARDE

- Monsieur BLOSSEVILLE Daniel Chef de dépôt, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à LUNERAY

- Monsieur BOULLY Roger Garde particulier, SOCIÉTÉ DE CHASSE DES PROPRIÉTAIRES DE BETTEMBOS, BETTEMBOS. demeurant à RICHEMONT

- Madame CAILLEU Marie-Antoinette Assistant clientèle, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SOTTEVILLE LES ROUEN

- Madame CHASLE Louisiane née LELONG (En retraite) Conseiller client particulier, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à AUBERMESNIL BEAUMAIS

- Madame EON Michèle née GONTHIER Assistant crédits, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à MESNIL ESNARD (LE)

- Monsieur FAINE Patrick Directeur d'agence, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à SAINT JEAN DU CARDONNAY

- Monsieur LEMIERE Daniel Conducteur d'installation, CAP SEINE, MONT SAINT AIGNAN. demeurant à ROUEN

- Monsieur LEVASSEUR Jean-Patrick Magasinier conducteur installation, UCACEL, CHARTRES. demeurant à BONSECOURS

- Madame MOREL Françoise née MOUCHARD Assistante gestion de crédits, CRCAM DE NORMANDIE-SEINE, BOISGUILLAUME. demeurant à OISSEL

Article 5 : Monsieur le secrétaire général est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la préfecture.

ROUEN, le 18 Juin 2002

Le Préfet

Bruno FONTENAIST

02-0016-MEDAILLE DE LA MUTUALITE,DE LA COOPERATION ET DU CREDIT AGRICOLES

PREFECTURE DE LA REGION HAUTE-NORMANDIE

A R R E T E

- VU le code de la Mutualité, et notamment les articles L 411-1 à L 411-3, R 411-1 à R 411-3 et R 413-1 à R 413-19

- VU le décret n° 2001-1108 du 23 novembre 2001 relatif à l'élection et au fonctionnement du conseil supérieur de la mutualité et des comités régionaux de coordination de la mutualité et notamment l'article R 413-16

- VU la circulaire DSS/2001/593 du 06 décembre 2001 relative aux conditions d'élection des comités régionaux de coordination de la mutualité et du conseil supérieur de la mutualité.

Sur proposition de Monsieur le Directeur Régional des Affaires Sanitaires et Sociales de Haute Normandie ;

ARRETE

Article 1 : La commission chargée des opérations électorales, au titre du comité régional de coordination de la mutualité de Haute- Normandie, pour l'élection au conseil supérieur de la mutualité est composé comme suit : - Monsieur le Préfet de Région ou son représentant : Président - Monsieur Jean-Pierre HANNIN - Président de l'Union mutualiste régionale de Haute-Normandie et membre du comité régional de coordination de la mutualité de Haute-Normandie - Monsieur Michel LENORMAND - Président de la Mutualité de la Seine-Maritime et membre du comité régional de coordination de la mutualité de Haute-Normandie - Monsieur Dominique FERMANEL – Vice-Président de la Mutualité de l'Eure et membre du comité régional de coordination de la mutualité de Haute-Normandie

Article 2 : Le secrétariat de la commission sera assuré par la Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales de Haute- Normandie

Article 3 : Le Secrétaire Général pour les affaires régionales, le Directeur Régional des Affaires Sanitaires et Sociales de Haute- Normandie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs des départements de la Seine-Maritime et de l’Eure.

ROUEN, le 03 mai 2002 P. LE PREFET,

Jérôme GUTTON

02 - 47-Modification de délégation de signature

A R R E T E M O D I F I C A T I F N° 02 - 47 ______

Le préfet de la région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur ______

V U :

- la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ;

- le décret n° 82-389 du 10 mai 1982 relatif aux pouvoirs des commissaires de la République et à l’action des services et organismes publics de l’Etat dans les départements ;

- la loi d’orientation n° 92-125 du 6 février 1992 relative à l’administration territoriale de la République ;

- le décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 portant charte de la déconcentration ;

- le décret du Président de la République en date du 20 août 1998, nommant M. Bruno FONTENAIST, préfet de la région de Haute- Normandie, préfet de la Seine-Maritime ;

- l’arrêté préfectoral n° 01-71 du 5 octobre 2001 portant organisation des services de la préfecture ;

- l’arrêté préfectoral n° 01-72 du 5 octobre 2001 portant nomination des directeurs, chefs de service et chefs de bureau ;

- l’arrêté préfectoral n° 01-89 du 22 octobre 2001 donnant délégation de signature à M. Jean-Marie FOLIOT, directeur des relations avec les collectivités locales et des élections ;

- sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture ;

A R R E T E ______

Article 1er -

L’article 3 de l’arrêté préfectoral n° 01-89 du 22 octobre 2001 donnant délégation de signature à M. Jean-Marie FOLIOT, directeur de préfecture, directeur des relations avec les collectivités locales et des élections est modifié comme suit :

------

Délégation de signature est également donnée, dans la limite des attributions de leur bureau respectif et à l’exclusion des matières énumérées à l’article 2 du présent arrêté, aux fonctionnaires ci-dessous désignés :

Conseillère juridique

- Mme Dominique NGUYEN THANH, attachée, conseillère juridique, notamment pour la signature des actes signifiés par huissiers de justice, et des documents, courriers et copies conformes de mémoires relatifs aux procédures contentieuses.

En cas d’absence ou d’empêchement de Mme NGUYEN THANH, la délégation de signature qui lui est conférée au présent article sera exercée par M. Jean-Jacques MEIER, attaché principal d’administration centrale, chef du 2ème bureau, M. Rémi DEMAREST, attaché principal, adjoint au directeur, chef du 1er bureau, ou Mme Corinne SURAIS, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, chef du 3ème bureau.

1er bureau : bureau de l’administration générale des collectivités locales

- M. Rémi DEMAREST, attaché principal, adjoint au directeur, chef du 1 er bureau

En cas d’absence ou d’empêchement de M. Rémi DEMAREST, la délégation de signature qui lui est conférée au présent article sera exercée par :

- M. Jean-Jacques MEIER, chef du 2 ème bureau

- Mme Corinne SURAIS, chef du 3 ème bureau

- ou Mme Dominique NGUYEN THANH, conseillère juridique

et à :

- Mme Sylvie PETIT, secrétaire administrative, pour la signature des courriers de transmission, ampliations, bordereaux d’envoi, attestations, registres respectivement dans les domaines de la législation funéraire, de l’intercommunalité et du fonctionnement des assemblées communales

- M. Jean-Rémy TRUC-HERMEL, attaché, pour la signature des demandes de pièces complémentaires des marchés publics déposés incomplets et de leurs accusés de réception

- Mme Claude LEUMAIRE, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, pour assurer la présidence de la commission de réforme des agents relevant de la fonction publique territoriale.

2ème bureau : bureau des finances des collectivités locales

- M. Jean-Jacques MEIER, attaché principal d’administration centrale, chef du 2ème bureau

En cas d’absence ou d’empêchement de M. Jean-Jacques MEIER, la délégation de signature qui lui est conférée au présent article sera exercée par :

- Mme Corinne SURAIS, chef du 3ème bureau

- M. Rémi DEMAREST, adjoint au directeur, chef du 1er bureau

- ou Mme Dominique NGUYEN THANH, conseillère juridique

et à :

- M. Bertrand LEROY, secrétaire administratif, pour la signature des ampliations et bordereaux d’envoi concernant les dotations de l’Etat

- Mme Dominique DEBRAY, secrétaire administrative, pour la signature des ampliations et des bordereaux d’envoi des actes relevant de la DGE-DDR.

3ème bureau : bureau des élections, des associations et des affaires militaires

- Mme Corinne SURAIS, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, chef du 3 ème bureau

En cas d’absence ou d’empêchement de Mme Corinne SURAIS, la délégation qui lui est conférée au présent article sera exercée par :

- M. Rémi DEMAREST, adjoint au directeur, chef du 1er bureau

- M. Jean-Jacques MEIER, chef du 2 ème bureau

- ou Mme Dominique NGUYEN THANH, conseillère juridique.

et à :

Mme Marie-Claire HARDY, adjointe administrative principale, et Mme Laurence BERTRAN-BENARD, secrétaire administrative, pour la signature des bordereaux d’envoi, des récépissés de déclarations de mandataires financiers et de dépôts des comptes de campagne.

------

Le reste sans changement.

Article 2 -

Les autres dispositions de l’arrêté n° 01-89 en date du 22 octobre 2001 demeurent inchangées.

Article 3 -

M. le secrétaire général de la préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

ROUEN, le 10 juin 2002.

Le préfet,

Bruno FONTENAIST.

1.2. D.A.E.S. ---> Direction de l'Action Economique et de la Solidarité

02-0075-Convention entre l'Etat et le Département de la Seine-Maritime pour la mise en œuvre du Plan Départemental d'actions pour le Logement des Personnes Défavorisées 2002 - 2007

Convention entre l’Etat et le Département de la Seine-Maritime pour la mise en œuvre du Plan Départemental d’actions pour le Logement des Personnes Défavorisées

2002 – 2007

Vu la loi n° 90-449 du 31 mai 90 visant à la mise en œuvre du droit au logement Vu la loi n° 98.657 du 29 juillet 1998 d’orientation relative à la lutte contre les exclusions Vu le décret n° 99-897 du 22 octobre 1999 relatif aux plans départementaux d’action pour le logement des personnes défavorisées et aux fonds de solidarité pour le logement Vu la convention signée en juillet 1996, visant à la mise en place du Plan Départemental et à sa révision Vu la délibération du Conseil Général de la Seine Maritime, en date du 27 mai 2002 Vu l’avis du Conseil Départemental de l’Habitat et du Conseil Départemental d’Insertion

Entre :

L’Etat représenté par Monsieur Bruno FONTENAIST, Préfet de la Seine Maritime,

Et

Le Département de la Seine Maritime représenté par Monsieur Charles REVET, Président du Conseil Général,

Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

Article 1 La convention entre l’Etat et le Département de la Seine Maritime, signée en juillet 1996, pour la mise en œuvre d’un Plan Départemental d’Action pour le Logement des Personnes Défavorisées est remplacée par la présente convention.

Article 2 Le Plan Départemental d’Action pour le Logement des Personnes Défavorisées est arrêté conjointement par le Préfet de la Seine Maritime et le Président du Conseil Général de la Seine Maritime, suivant les conditions ci-après, pour une durée de 5 ans à compter du 1 er juin 2002.

Article 3 – Populations concernées Le Plan Départemental d’actions pour le logement des Personnes Défavorisées de la Seine Maritime concerne toute personne ou famille dont la difficulté d’accès ou de maintien dans un logement provient de difficultés financières ou du cumul de difficultés financières et de difficultés d’insertion sociale . Parmi celles-ci, il distingue des publics prioritaires : les familles et les personnes sans aucun logement menacées d’expulsion logées dans des taudis, des habitations insalubres, précaires ou de fortune logées dans des copropriétés dégradées et prend en compte les gens du voyage en voie d'ancrage local et les familles très nombreuses.

Article 4 – Objectifs L’Etat et le Département de la Seine Maritime s’engagent à coordonner leurs efforts avec l’ensemble des partenaires concernés autour de cinq enjeux : L'accès au logement des personnes défavorisées La prévention des expulsions La lutte contre les logements indignes L'accompagnement des opérations de renouvellement urbain La connaissance des besoins en continu

Article 5 – Mise en œuvre et suivi du plan Le programme d’actions du plan est mis en œuvre sous la responsabilité conjointe du Préfet et du Président du Conseil Général. Conformément à l’article 6 du décret 99-897, des conventions préciseront les modalités de mise en œuvre du plan et définiront annuellement les conditions de financement des dispositifs qu’il prévoit.

Article 6 – L’animation et le suivi du plan Conformément à l’article 7 du décret n° 99-897 du 23 octobre 1999, un comité de pilotage du plan coprésidé par le Préfet et le Président du Conseil Général est chargé de suivre la mise en œuvre du Plan Départemental. Il est composé de 6 collèges dont les membres sont désignés par le Préfet et le Président du Conseil Général : représentants de l’Etat représentants du Conseil Général représentants des communes et EPCI compétents représentants des bailleurs sociaux représentants des Caisses d’Allocations Familiales représentants des associations Ce comité de pilotage se réunit au moins une fois par an pour analyser le bilan annuel du Plan Départemental et définir les orientations à venir. Il s’appuie sur un comité technique désigné par le comité de pilotage du plan.

Article 7 – Dispositifs Un comité directeur du FSL est constitué selon les dispositions prévues par le décret du 22 octobre 1999. Il est présidé conjointement par le Préfet et le Président du Conseil Général et composé de 14 membres répartis en sept collèges : représentants du Conseil Général disposant de 30% des voix représentants de l’Etat disposant de 30% des voix chacun des collèges suivants dispose de 8% des voix représentants des communes et EPCI compétents représentants des bailleurs sociaux représentants des Caisses d’Allocations Familiales représentants des associations représentants des ASSEDIC Une convention de mandat et de gestion du FSL sera signée entre le Préfet, le Département et les caisses d’allocations familiales. Des Commissions Habitat d’Attribution des aides et d’Orientation des Projets logement (CHAOP) sont installées sur chaque circonscription CAF. Des comités locaux sont les lieux de la concertation locale, pour faire aboutir les projets-logements validés par la CHAOP. La composition et les missions de ces instances sont définies par le plan. Une équipe de référents logement qui a pour fonction d’animer le partenariat local en vue de régler les situations les plus graves d’accès ou de maintien dans le logement, de développer et de suivre l’accompagnement social lié au logement sera recrutée par le Département au 1 er juillet 2002. Une convention entre l’Etat et le Département sera établie pour son financement au titre d’une maîtrise d’œuvre urbaine et sociale d’une part et de sa mission RMI d’autre part. Les modalités de fonctionnement de cette équipe seront également arrêtées par cette convention.

Article 8 – Bilan – Evaluation Conformément à l’article 8 du décret cité le comité de pilotage du plan établit le bilan d’exécution du plan, dans le délai de trois mois suivant la fin de chaque période annuelle. Celui-ci analyse les résultats obtenus en regard des objectifs fixés par le plan, en termes quantitatifs et qualitatifs. Il comporte un chapitre particulier relatif au Fonds de Solidarité Logement. Le comité de pilotage établit l’évaluation des effets du plan au moins trois mois avant le terme de ce dernier.

Article 9 – Durée –Révision Conformément à l’article 9 du même décret, le plan en cours peut être révisé, sans toutefois que la révision puisse avoir pour effet de porter à plus de cinq ans la durée totale du plan. La révision est engagée sur l’initiative du Préfet et Président du Conseil Général qui établissent le projet de révision du plan. Ils le soumettent pour avis au comité de pilotage du plan ;

Article 10 –Publicité du Plan Le Plan Départemental est arrêté et publié par le Préfet au recueil des actes administratifs de la Préfecture, et par le Président du Conseil Général au recueil des actes administratifs du Département dans le délai d’un mois qui suit son adoption. Le Plan Départemental révisé fait l’objet des même mesures de publicité.

Fait à Rouen, Le 5 juin 2002

Le Préfet du Le Président du Département de Seine Maritime Conseil Général de Seine Maritime B. FONTENAIST C. REVET

1.3. D.A.T.E.F. ---> Direction de l'Aménagement du Territoire de l'Environnement et des Finances

02-0042-Refus d'un agrément sollicité par l'association des Amis du Vieux FECAMP et du Pays de Caux

DIRECTION DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FINANCES

SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE

ROUEN, le 10 juin 2002

LE PREFET De la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

ARRETE

Objet : REFUS D’AGREMENT AU TITRE DE LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT.

VU :

La demande présentée le 5 février 2002 par l’Association des Amis du Vieux FECAMP et du Pays de Caux, dont le siège social est à FECAMP, 113, rue Alexandre Le Grand en vue d’obtenir l’agrément au titre de l’article L. 252 du code rural (ex. article 5 de la loi n° 95.101 du 2 février 1995), dans le cadre intercommunal de la Seine-Maritime,

Le Code de l’Environnement (Titre IV - Chapitre 1er) notamment son article L. 141.1 et suivants

Le décret n° 96.170 du 28 février 1996 relatif aux associations agréées de protection de l’environnement,

L’avis du Sous-Préfet du HAVRE, en date du 28 mai 2002,

L’avis du procureur général près la Cour d’Appel de ROUEN, en date du 12 avril 2002,

L’avis du directeur régional de l’environnement de Haute-Normandie en date du 28 mars 2002,

L’avis du maire de la commune de FECAMP en date du 16 février 2002

CONSIDERANT :

- que conformément aux dispositions de l’article R.252.2 du code rural l’agrément au titre de la protection de l’environnement est octroyé à une association sous la condition d’exercer, à titre principal, des activités effectives consacrées à la protection de l’environnement,

- que l’association des Amis du Vieux FECAMP et du Pays de Caux sollicite l’agrément dans le cadre intercommunal,

- qu’elle a fait l’objet d’une déclaration en date du 21 juin 1996 au titre de la loi du 1 er juillet 1901,

- qu’elle a entre autres, pour objet, la protection de la nature et de l’environnement,

- que cependant cette association n’a jusqu’à présent exercé aucune action dans ce domaine susvisé,

- qu’il y a lieu, en conséquence, de refuser à ladite association l’octroi de l’agrément sollicité,

Sur proposition du Secrétaire Général de la préfecture de la Seine-Maritime,

ARRETE

Article 1 : L’agrément sollicité par l’association des Amis du Vieux FECAMP et du Pays de Caux est refusé.

Article 2 : Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 3: En application de l’article R 421.1 du code justice administrative, la présente décision peut être déférée à la juridiction administrative compétente. Le délai de recours est de deux mois et commence à courir à partir du jour de la présente décision est notifiée.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime, le Sous-Préfet du HAVRE, le maire de la commune de FECAMP, le directeur régional de l’environnement, , sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont ampliation sera publiée au recueil des actes administratifs.

Le Préfet Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général

Claude MOREL

Pour ampliation, L’adjoint au Chef de Service

Ernest METRAN

02-0043-Refus de l'agrément sollicité par l'association : Centre d'Etudes Techniques Forestières de Seine-Maritime

DIRECTION DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FINANCES

SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE

ROUEN, le 22 Mai 2002

LE PREFET De la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

ARRETE

Objet : REFUS D’AGREMENT AU TITRE DE LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT.

VU :

La demande présentée le 22mars 2002 par l’Association : Centre d’Etudes techniques Forestière de la Seine-Maritime dont le siège social est à BOIS GUILLAUME, 1, rue Clémenceau en vue d’obtenir l’agrément au titre de l’article L. 252 du code rural (ex. article 5 de la loi n° 95.101 du 2 février 1995), dans le cadre départemental de la Seine-Maritime,

Le Code de l’Environnement (Titre IV - Chapitre 1er) notamment son article L. 141.1 et suivants

Le décret n° 96.170 du 28 février 1996 relatif aux associations agréées de protection de l’environnement,

L’avis du procureur général près la Cour d’Appel de ROUEN, en date du 12 avril 2002,

L’avis du directeur régional de l’environnement de Haute-Normandie en date du 12 avril 2002,

L’avis du maire de la commune de BOIS GUILLAUME en date du 13 mai 2002

CONSIDERANT :

- que conformément aux dispositions de l’article R.252.2 du code rural l’agrément au titre de la protection de l’environnement est octroyé à une association sous la condition d’exercer, à titre principal, des activités effectives consacrées à la protection de l’environnement,

- que l’association Centre d’Etudes Techniques Forestières de Seine-Maritime sollicite l’agrément dans le cadre départemental de la Seine-Maritime,

- qu’elle a fait l’objet d’une déclaration en date du 23 août 1968 et 25 mai 2001 au titre de la loi du 1 er juillet 1901,

- que cette association créée en 1968 a pour objet de concourir au développement des connaissances forestières et à l’application des actions de développement (recherche et études) selon l’article 3 de ses statuts,

- qu’elle a entre autres, pour objet depuis avril 2001 la protection, la préservation et la mise en valeur des arbres et écosystèmes forestiers et leur place dans l’environnement, la préservation et la valorisation des ressources génétiques, leur protection par une gestion adaptée au maintien de la biodiversité et des équilibres écologiques, faunistiques et floristiques,

- que ces activités statutaires ne concernent donc des domaines visés à l’article L 141.1 du code de l’environnement que depuis une année seulement,

- qu’au vu des comptes-rendus fournis, l’activité de cette association se limite essentiellement à des visites sur le terrain dans un but d’information et de formation de ses membres

- qu’il y a lieu, en conséquence, de refuser à ladite association l’octroi de l’agrément sollicité ,

Sur proposition du Secrétaire Général de la préfecture de la Seine-Maritime,

ARRETE

Article 1 : L’agrément sollicité par l’association : Centre d’Etudes Techniques Forestières de Seine-Maritime est refusé.

Article 2 : Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 3: En application de l’article R 421.1 du code justice administrative, la présente décision peut être déférée à la juridiction administrative compétente. Le délai de recours est de deux mois et commence à courir à partir du jour de la présente décision est notifiée.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime, le maire de la commune de BOIS GUILLAUME, le directeur régional de l’environnement, , sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont ampliation sera publiée au recueil des actes administratifs..

Le Préfet Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général

Claude MOREL

02-0044-Prescriptions complémentaires concernant l'extension du centre routier de Gonfreville-l'Orcher présenté par le Port Autonome du Havre DATEF

Rouen, le 22 mai 2002

LE PREFET De la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de La Légion d’Honneur

A R R E T E

Objet : PORT AUTONOME DU HAVRE

Extension du centre roulier GONFREVILLE L’ORCHER

PRESCRIPTIONS COMPLEMENTAIRES

V U :

Le dossier de demande de modification des travaux d’extension du Centre Roulier présenté par le Port Autonome du Havre,

Le code des Ports Maritimes,

Le code de l’Environnement,

La loi n° 76.629 du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature,

La loi n° 64.1245 du 16 décembre 1964 modifiée relative au régime et à la répartition des eaux et à la lutte contre leur pollution,

La loi n° 92.3 du 3 janvier 1992 sur l’eau codifiée,

Les décrets n° 93.742 et 93.743 du 29 mars 1993 pris pour l’application de la loi n°92.3 du 3 janvier 1992 codifiée susvisée,

L’arrêté ministériel du 14 juin 2000 relatif aux niveaux de référence à prendre en compte lors d’une analyse de sédiments marins ou estuariens présents en milieu naturel ou portuaire,

L’arrêté préfectoral du 16 octobre 2000 autorisant au titre du code de l’environnement le Port Autonome du Havre à procéder aux travaux d’extension du Centre Roulier sur le territoire de la commune de GONFREVILLE L’ORCHER dans la Zone Industrielle Portuaire du Havre,

L’avis du Directeur Départemental des Affaires Sanitaires et Sociales du 21 mars 2002,

L’avis du Directeur Régional de l’Environnement (SEMA) du 22 mars 2002,

L’avis du Conseil Départemental d’Hygiène, dans sa séance du 9 avril 2002,

Les notifications faites au pétitionnaire en date des 29 mars 2002 et 6 mai 2002,

La réponse du pétitionnaire en date du 13 mai 2002,

Sur proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine-Maritime,

CONSIDERANT :

Que le Port Autonome du Havre a dûment été autorisé, par arrêté préfectoral du 16 octobre 2000, à procéder aux travaux d’extension du Centre Roulier sur le territoire de la commune de GONFREVILLE-L’ORCHER,

Que les travaux d’extension du Centre Roulier consistent notamment en dragages et aménagement d’une chambre de dépôt,

Qu’au cours du chantier de réalisation, des difficultés techniques sont apparues,

Qu’en outre, des faits imprévisibles constatés amènent le maître d’ouvrage à apporter des modifications aux conditions de mise en dépôt des matériaux et au déroulement de ces travaux,

Que l’exploitant a informé les services préfectoraux de cette situation le 6 mars 2002,

Que les modifications envisagées entraînent la prescription de mesures appropriées, portant sur l’étanchéité de la chambre de dépôt, le contrôle des déversements aqueux, des eaux souterraines et de la qualité des matériaux dragués,

Qu’il convient, par conséquent, de faire application de l’article 15 du décret n°93.742 du 29 mars 1993 en édictant, par prescriptions complémentaires des mesures de nature à remédier aux problèmes techniques rencontrés et à renforcer la protection de l'environnement répondant aux intérêts visés à l’article L.210.1 du code de l’Environnement,

ARRETE :

Article 1 : Le Port Autonome du Havre est tenu de respecter les mesures complémentaires ci-dessous définies, au regard des rubriques suivantes : -1.2.0. : rejets d’effluents sur le sol ou dans le sous-sol. -3.2.0 : rejets en mer ou en zone estuarienne à l’aval du front de salinité, à l’exclusion des rejets visés par les rubriques 3.4.0, 5.1.0, 5.2.0 et 5.3.0. -3.4.0 : dragage et/ou rejet y afférent en milieu marin ou estuarien jusqu’au front de salinité. -6.4.0 : création d’une zone imperméabilisée supérieure à 5 ha d’un seul tenant, à l’exception des voies publiques affectées à la circulation. Article 2 – CONDITIONS GENERALES

Les travaux seront réalisés conformément au dossier fourni par le pétitionnaire et aux dispositions de l’arrêté du 16 octobre 2000, complétées ou modifiées par le présent arrêté.

Toute modification dans les travaux apportée par le bénéficiaire de l’autorisation et de nature à entraîner un changement notable des éléments du dossier de demande d’autorisation doit être portée, avant sa réalisation, à la connaissance du Préfet avec tous les éléments d’appréciation.

Article 3 – CARACTERE DE L’AUTORISATION

Tout incident, ou accident, intéressant l’opération et de nature à porter atteinte à l’un des éléments énumérés à l’article L 211.1 du code de l’environnement, devra être déclaré dans les meilleurs délais au service de police de l’eau.

L’autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité.

Si, à quelque moment que ce soit, l’administration décidait dans un but d’intérêt général ou de salubrité publique de modifier d’une manière temporaire ou définitive l’usage des avantages concédés par le présent arrêté, le permissionnaire ne pourrait réclamer aucune indemnité.

Le pétitionnaire devra avertir le service chargé de la police de l’eau du redémarrage des travaux avec un préavis minimum de 15 jours.

Article 4 – PRESCRIPTIONS TECHNIQUES COMPLEMENTAIRES

4.1 Prescriptions relatives aux dragages et à la mise en dépôt des produits de dragage

Afin de prendre en compte l’augmentation du volume des dragages et la contamination d’une partie des matériaux issus de ces dragages dans le Grand Canal du Havre, la chambre de dépôt des matériaux existante utilisée pour la mise en dépôt des matériaux sera aménagée en conséquence. Elle sera rendue étanche sur une partie de sa surface (12 ha) pour assurer le confinement de la pollution et supprimer l’infiltration d’effluents dans le sol, le sous-sol et les eaux souterraines.

Plusieurs compartiments seront aménagés à l’intérieur de cette chambre :

-une zone non étanche pour le stockage des matériaux non contaminés, -une zone étanche de décantation et de stockage des matériaux réputés contaminés constituée de 2 casiers d’une superficie de 6 ha chacun, -une zone de décantation commune aux zones de stockage avant rejet des eaux excédentaires par surverse.

Le dragage et la mise en dépôt des matériaux porteront sur un volume maximal de 370 000 m3.

4.2. Prescriptions relatives à la prévention et au contrôle des effets sur les eaux et les milieux aquatiques

4.2.1. Contrôle des déversements aqueux

Un programme de contrôle de la qualité des eaux contenues dans les casiers étanches, avant tout déversement dans la zone de décantation, sera mis en œuvre par le maître d’ouvrage pour prévenir tout impact significatif sur l’eau et les milieux aquatiques. La méthodologie d’échantillonnage et les types d’analyses seront soumis avant le début de la mise en dépôt des matériaux au service chargé de la police de l’eau. Les analyses effectuées permettront d’envisager un éventuel traitement complémentaire, en accord avec le service chargé de la police de l’eau, avant rejet au Grand Canal du Havre.

Les paramètres suivis seront au minimum les suivants :

.- MES

.- Dichlorométhane .- Cuivre, mercure, nickel, .- PCB totaux.

La grille n° 1 annexée au présent arrêté définit les valeurs limites qui devront être respectées pour que les eaux issues des casiers étanches puissent être rejetées au Grand Canal du Havre.

La qualité des eaux déversées au Grand Canal du Havre, provenant du mélange des eaux issues de la zone de stockage étanche et de la zone non étanche, fera l’objet d’un contrôle toutes les deux semaines pendant la période de rejet. Les analyses porteront sur ces mêmes paramètres. Les résultats de ces contrôles seront adressés, dès réception, au service chargé de la police de l’eau.

4.2.2. Contrôle des eaux souterraines

Quatre piézomètres seront installés à la périphérie de la chambre de dépôt, sur chaque côté de celle-ci, pour contrôler l’évolution de la nappe phréatique. Un état zéro de la qualité des eaux de cette nappe sera réalisé avant toute mise en dépôt, à l’aide de ces piézomètres, et des prélèvements et analyses semestriels seront ensuite réalisés. Les paramètres suivis seront au minimum les suivants :

- COT - Dichlorométhane - Cuivre, mercure, nickel - PCB totaux.

Le programme de surveillance sera soumis au préalable au service chargé de la police de l’eau et les résultats des analyses lui seront régulièrement transmis.

4.2.3. Contrôle de la qualité des matériaux dragués et des dépôts

Six prélèvements et analyses des matériaux à extraire devront être réalisés dans les couches réputées non contaminées situées au-dessous de la cote (+3,00 m CMH). Le dépôt de ces matériaux dans la chambre non étanche sera conditionné au respect des valeurs limites indiquées dans la grille n° 2 annexée au présent arrêté. Les résultats des analyses seront transmis au service chargé de la police de l’eau préalablement à la mise en dépôt.

A la fin des travaux, une analyse des sédiments déposés dans les casiers étanches, dans la zone de stockage non étanche et dans la zone de décantation, sera réalisée. Le plan et la méthodologie d’échantillonnage ainsi que les types d’analyses seront soumis à l’accord préalable du service chargé de la police de l’eau. Les analyses porteront au minimum sur les polluants organiques (PCB, dichlorométhane) et inorganiques (cuivre, nickel, mercure). Pour un usage ultérieur non sensible du site, les valeurs limites indiquées dans la grille n° 3 annexée au présent arrêté devront être respectées.

Article 5 – MESURES D’HYGIENE ET DE SECURITE SUR LE CHANTIER

Le maître d’ouvrage devra s’assurer que toutes les dispositions nécessaires à l’hygiène et à la sécurité des personnels travaillant sur le chantier seront prises conformément à la réglementation en vigueur.

Un périmètre de sécurité sera balisé autour du chantier pour qu’aucune personne étrangère à celui-ci ne puisse s’en approcher.

L’organisation du chantier en matière de sécurité et de protection de la santé sera assurée par un organisme agréé. Un coordonnateur « Sécurité et Protection de la Santé » assurera la coordination des interventions des entreprises de travaux. Le plan général de coordination du chantier intégrera toutes les dispositions nécessaires pour assurer la protection des travailleurs.

Article 6 – PRELEVEMENTS ET ANALYSES

Tous les frais relatifs aux prélèvements et analyses prévus au présent arrêté ou demandés par les services administratifs sont à la charge du pétitionnaire. Les résultats obtenus seront communiqués dès leur obtention au service chargé de la police de l’eau et à la DISE.

En fonction des résultats des premières analyses, le programme de surveillance pourra être modifié (fréquence des analyses, types de polluants contrôlés …).

Article 7 – RESERVE DES DROITS DES TIERS

Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 8 – DELAIS ET VOIE DE RECOURS

En application de l’article L.214.10 du code de l’environnement, la présente décision peut être déférée à la juridiction administrative :

-par les demandeurs ou exploitants dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où cet acte leur a été notifié, -par les tiers dans un délai de 4 ans à compter de la publication ou de l’affichage de cet acte.

Article 9 – PUBLICATION ET EXECUTION

M. le Secrétaire Général de la Préfecture, M. le Sous-Préfet du Havre, M. le Maire de GONFREVILLE L’ORCHER, M. le Maire du HAVRE, M. le Chef du Service Maritime de la Seine-Maritime 1 ère section, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, d’assurer l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au permissionnaire et publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Seine-Maritime.

Un avis sera affiché pendant un mois dans les mairies concernées et inséré par les soins du préfet de la Seine-Maritime et aux frais du pétitionnaire dans deux journaux régionaux ou locaux.

Une ampliation du présent arrêté de prescriptions complémentaires sera adressée à :

-M. le Maire du Havre, -M. le Maire de Gonfreville l’Orcher, -M. le Chef du Service Maritime de la Seine-Maritime, 1 ère section, -M. le Directeur Départemental des Affaires Sanitaires et Sociales, -M. le Directeur Régional de l’Environnement, -M. le Directeur du Secteur Seine Aval de l’Agence de l’Eau Seine-Normandie, -M. Le Directeur des Rivages Normands, Agence de l’Eau Seine-Normandie -M. le Délégué Inter-Services de l’Eau.

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, Le Secrétaire Général,

Claude MOREL

02-0045-Annexe aux prescriptions complémentaires concernant l'extension du centre routier de Gonfreville-l'Orcher

ANNEXE

Grille n° 1 : valeurs limites des concentrations admissibles en contaminants organiques et inorganiques dans les rejets de la chambre de dépôt étanche

Eléments Concentration (en µg/l sauf indication contraire)

Matières en suspension 150 mg/l Cuivre (Cu) 2 mg/l Mercure (Hg) 5 Nickel (Ni) 250 Dichlorométhane 100 PCB totaux 0,05

Grille n° 2 : valeurs limites des concentrations admissibles en contaminants organiques et inorganiques dans les matériaux admissibles en zone de stockage non étanche

Eléments Concentration (en mg/kg de matière sèche)

Cuivre (Cu) 190 Mercure (Hg) 7 Nickel (Ni) 140 Dichlorométhane 0,1 PCB totaux 0,5

Grille n° 3 : valeurs limites des concentrations admissibles en contaminants organiques et inorganiques dans la zone de stockage étanche

Eléments Concentration (en mg/kg de matière sèche)

Cuivre (Cu) 950 Mercure (Hg) 600 Nickel (Ni) 900 Dichlorométhane 2 PCB totaux 1

02-0046-DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE ET AUTORISATION CONCERNANT DES OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS SUR LE BASSIN VERSANT DE LUNERAY PRESENTE PAR LE SYNDICAT MIXTE DES BASSINS VERSANTS DU DUN ET DE LA VEULES

DIRECTION DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FINANCES

SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE

ROUEN, le 22 mai 2002

LE PREFET De la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

ARRETE

DECLARATION D ’UTILITE PUBLIQUE + AUTORISATION OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS SUR LE BASSIN VERSANT DE LUNERAY SYNDICAT MIXTE DES BASSINS VERSANTS DU DUN ET DE LA VEULES

VU :

La demande déposée le 26 juillet 2001 par le SYNDICAT MIXTE DES BASSINS VERSANTS DU DUN ET DE LA VEULES – 2, rue du Manoir –76980 VEULES LES ROSES, en vue d'obtenir la déclaration d’utilité publique des travaux de construction d’ouvrages de lutte contre les inondations sur le bassin versant de LUNERAY et l’autorisation administrative au titre du Code de l'Environnement des ouvrages susmentionnés,

L'avant projet des travaux à exécuter,

Les plans et autres documents joints au dossier,

Le code de l'environnement,

Le code général des collectivités territoriales,

Le code la santé publique,

Le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique,

Le code rural,

La loi du 8 avril 1898 relative au régime des eaux,

Les décrets modifiés n °s 93.742 et 93.743 du 29 mars 1993 relatifs aux procédures et à la nomenclature des opérations soumises à autorisation ou à déclaration,

L'arrêté ministériel du 7 juillet 1983 relatif aux conditions dans lesquelles s'effectuent les opérations de contrôle des rejets et des eaux réceptrices,

L'arrêté préfectoral du 20 août 2001 annonçant l'ouverture, pendant quinze jours du 6 septembre au 20 septembre 2001 inclus, d'une enquête publique relative à l'autorisation au titre de la police de l'eau et la Déclaration d'Utilité Publique des ouvrages susmentionnés et prescrivant l'affichage dudit arrêté dans les communes de BOURG DUN, AVREMESNIL, GUEURES, BRACHY, , SAINT PIERRE LE VIGER, GRUCHET SAINT SIMEON, LUNERAY, CRASVILLE LA ROCQUEFORT, GREUVILLE et SAINT PIERRE LE VIEUX,

Les résultats des enquêtes,

L'avis du commissaire enquêteur en date du 2 novembre 2001,

L'avis de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales en date du 20 août 2001,

L'avis de la direction régionale de l'environnement en date du 30 août 2001,

Le rapport de la Délégation Inter Services de l'Eau en date du 20 décembre 2001,

L'avis émis par le conseil départemental d'hygiène lors de sa séance du 12 février 2002,

La notification faite au pétitionnaire du projet d'arrêté en date du 30 avril 2002,

La réponse du pétitionnaire en date du 13 mai 2002,

Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture,

ARRETE

Article 1 – Cadre et durée de l’autorisation loi sur l’eau .

Le Syndicat Mixte des Bassins Versants du DUN et de la VEULES, dont le siège social est 2 rue du Manoir 76980 VEULES LES ROSES, est autorisé, au titre des articles L 214-1 et suivants du code de l’environnement (Titre 1 er - Eaux et Milieux Aquatiques du Livre 2 ème - Milieux Physiques), à faire procéder sur le bassin versant de LUNERAY, dans le cadre de la maîtrise des ruissellements pluviaux, à la création de retenues et à en rejeter les eaux dans le milieu naturel.

En application du décret n° 93.743 du 29 mars 1993, ces opérations sont classées aux rubriques suivantes de la nomenclature :

2.2.0.1° Rejet dans les eaux superficielles susceptible de modifier le régime des eaux, la capacité totale de rejet étant supérieure ou égale à 10000 m3/jour ou à 25% du débit : AUTORISATION . 5.3.0.1° Rejets d'eaux pluviales dans les eaux superficielles ou dans un bassin d'infiltration, la superficie totale desservie étant supérieure à 20 ha (2481 ha) : AUTORISATION . 6.1.0.2° Travaux prévus à l'article 31 de la Loi sur l'Eau d'un coût supérieur à 160000 €, mais inférieur à 1,9 M€ (coût maximal : 960 500 €) : DECLARATION .

La présente autorisation est valable pour une durée de 10 ans à compter de la notification du présent arrêté. Son renouvellement éventuel aura lieu sur demande présentée par le pétitionnaire, dans le délai d’un an au plus et de six mois au moins avant sa date d’expiration et dans les formes prévues par les articles 17 et 18 du décret n°93-742 du 29 Mars 1993.

Article 2 : Déclaration d’utilité publique

Sont déclarés d'utilité publique :

Les travaux susmentionnés de lutte contre les inondations sur le bassin versant de LUNERAY

L'acte déclaratif est valable pour une durée de 10 ans à compter de la date du présent arrêté.

Article 3 : Localisation et consistance des travaux

Les ouvrages seront situés conformément aux plans et documents joints à la demande d’autorisation.

Les travaux consisteront dans la création des aménagements suivants :

Ouvrage N°1

Nature : Mare tampon. Objet : Maîtrise des écoulements des parcelles cultivées. Lutte contre les inondations boueuses sur la rue de la briqueterie (Greuville). Capacité : 1000m 3. Débit de fuite : 10l/s en surface sur la voirie. Emprise indicative : 20 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Greuville, en amont de la rue des châteaux d’eau.

Ouvrage N°2

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des écoulements des parcelles cultivées. Protection de la RD 108 contre les inondations boueuses. Capacité : 10 000m 3. Débit de fuite : 120l/s en surface puis traversée de la RD 108. Emprise indicative : 1ha. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Greuville en amont de la RD 108 et éventuellement en aval de la RD108 suivant les possibilités offertes par la topographie.

Ouvrage N°3

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des écoulements des parcelles cultivées. Protection de la rue du Chêne à Riole contre les inondations boueuses. Capacité : 3400m 3. Débit de fuite : 150l/s en surface.

Emprise indicative : 40 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Luneray en amont de la rue du chêne à Riole.

Ouvrage N°4

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des écoulements pluviaux d’origine agricole. Capacité : 3000m 3. Débit de fuite : 50l/s en surface dans le fossé n° 5 à créer en rive de la voirie. Emprise indicative : 30 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Luneray en amont de la rue du chêne à Riole.

Ouvrage N°5

Nature : Fossé pluvial. Objet : Collecte des débits de fuite des retenues situées en amont. assainissement pluvial de la rue du Chêne à Riole. Dimensions : 2m X 1000m. Localisation : Luneray, rue du Chêne à Riole.

Ouvrage N°6

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des écoulements pluviaux d’origine agricole et urbaine. Capacité : 8 100m 3. Débit de fuite : 300l/s dans le réseau pluvial n°7 à aménager. Emprise indicative : 1ha. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Luneray en amont de la RD 4.

Ouvrage N°7

Nature : Réseau pluvial. Objet : Assainissement pluvial du carrefour des RD n°4, rue du prêche, rue du Siamoisier. Protection des habitations riveraines contre les inondations.

Ouvrage N°8

Nature : Pincement du busage de la voie ferrée. constitution d’une retenue temporaire. Objet : Maîtrise des débits des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : Zone inondable provoquée par un remblai de la voie ferrée > 2 700m 3. Débit de fuite : 20l/s en surface dans le thalweg. Emprise indicative : A déterminer par relevé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Brachy, amont de la voie ferrée.

Ouvrage N°9

Nature : prairie inondable existante provoquée par le remblai de la RD 70. pincement de la traversée. Objet : Maîtrise des débits des écoulements pluviaux d’origine agricole et urbaine. Capacité : >18 000m 3. Débit de fuite : 400l/s en surface dans le thalweg. Emprise indicative : Zone inondable existante. A déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Gueures. Amont de la RD 70.

Ouvrage N°10

Nature : Prairie inondable existante provoquée par le remblai de la RD 27. Pincement de la traversée. Objet : Maîtrise des débits des écoulements pluviaux d’origine agricole et urbaine. Capacité : >15 000m 3. Débit de fuite : 550l/s en surface dans le thalweg. Emprise indicative : Zone inondable existante. A déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Avremesnil. Amont de la RD 27.

Ouvrage N°11

Nature : Bassin pluvial. Objet : Stockage des écoulements du réseau unitaire de Luneray. Ouvrage destiné à limiter la mise en by-pass de la STEP et le relargage des eaux non traitées vers le Dun. Capacité : 10 000m 3. Débit de fuite : Vidange progressive en fonction des capacités de traitement de la STEP. Emprise indicative : 1ha Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, régulation automatique du débit vers la STEP. Localisation : Avremesnil. Fond de Rocquigny.

Ouvrage N°12

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits d’écoulement des parcelles cultivées. Protection des RD 108 et RD 270 contre les inondations boueuses. Capacité : 3100m 3. Débit de fuite : 30l/s dans un fossé en rive de la RD 270. Emprise indicative : 50 ares Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Greuville. En amont du carrefour des RD 108 et RD 270.

Ouvrage N°13

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits d’écoulement des parcelles cultivées. Capacité : 1400m 3. Débit de fuite : 50l/s. Emprise indicative : 30 ares Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Luneray. Amont de la RD 270.

Ouvrage N°14

Nature : Busage RD 270. Agrandissement. Objet : Lutte contre les inondations d’habitations et de voirie à Gruchet-Saint-Siméon le long de la RD 270. Débit capable : >1.0m 3/s

Ouvrage N°15

Nature : Bande enherbée terrassée. Objet : Assainissement pluvial du point bas de la RD 270. Dimensions : 5m X 120m

Ouvrage N°16

Nature : Mare. Objet : Collecte du pluvial de la RD 270. Capacité : 300m 3 Emprise indicative : 5 ares Localisation : Gruchet-Saint-Siméon en aval de la RD 270.

Ouvrage N°17

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits des écoulements de la plaine cultivée. Capacité : 8500m 3. Débit de fuite : 130l/s. Emprise indicative : Zone inondable existante à déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon. Val Lubin en amont de la voie ferrée.

Ouvrage N°18

Nature : Prairie inondable. Pose d’un débit de fuite raccordable au réseau n°19. Objet : Maîtrise des débits des écoulements pluviaux urbains du val Lubin. Capacité : Retenue existante. Débit de fuite : 150l/s.

Emprise indicative : Zone inondable existante à déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon. En amont du collège.

Ouvrage N°19

Nature : Réseau pluvial. Objet : Collecte des écoulements du bassin versant. Protection des habitations riveraines contre les inondations. Débit capable : 1.0m 3/s. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon entre la rue A.Lecomte et la RD 70.

Ouvrage N°20

Nature : Réseau pluvial. Objet : Collecte des écoulements du bassin versant. Protection des habitations riveraines contre les inondations. Débit capable : >1.2m 3/s. Localisation : La Gaillarde de la RD n°4 à la sente des aubépines. Ouvrage N°21

Nature : mare. Objet : Collecte des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 1000m 3. Emprise indicative : 15 ares. Localisation : Saint-Pierre-le-Vieux en amont de la VC n°4.

Ouvrage N°22

Nature : mare. Objet : Collecte des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 1000m 3. Emprise indicative : 15 ares. Localisation : Saint-Pierre-le-Vieux en amont de la VC n°4.

Ouvrage N°23

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits des écoulements d’origine agricole et urbaine. Capacité : 6800m 3. Débit de fuite : 80l/s. Emprise indicative : 80 ares.

Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Saint-Pierre-le-Vieux en amont de la VC n°4.

NB : La topographie du site n°23 peut être défavorable. Si l’ouvrage doit être déplacé, les volumes correspondants peuvent être cumulés dans l’ouvrage n°24.

Ouvrage N°24

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits des écoulements d’origine agricole. Capacité : 2200m 3. Débit de fuite : 110l/s. Emprise indicative : 30 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Saint-Pierre-le-Vieux en amont de la VC n°4.

Ouvrage N°25

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits des écoulements d’origine agricole. Protection de la rue Maëterlink contre les inondations boueuses. Capacité : 2000m 3.

Débit de fuite : 20l/s. Emprise indicative : 30 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Crasville-la-Rocquefort en amont de la rue Maëterlink.

Ouvrage N°26

Nature : Talus busé. Objet : Maîtrise des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 400m 3. Débit de fuite : 5l/s. Emprise indicative : 10 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon.

Ouvrage N°27

Nature : talus busé. Objet : Maîtrise des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 3000m 3. Débit de fuite : 30l/s. Emprise indicative : à déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des écoulements. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon en amont de la RD 270.

Ouvrage N°28

Nature : Bassin pluvial existant. Agrandissement ouvrage DDI. Objet : Maîtrise des débits des écoulements des parcelles cultivées et de voirie. Capacité : 1500m 3. Débit de fuite : 80l/s. Emprise indicative : 40 ares. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon. Carrefour des RD 270 et RD 70.

Ouvrage N°29

Nature : Pincement du busage de la voie ferrée. Constitution d’une retenue temporaire. Objet : Maîtrise des débits des écoulements des parcelles cultivées et de voirie. Capacité : 1800m 3. Zone inondable provoquée par le remblai de la voie ferrée. Débit de fuite : 20l/s. Emprise indicative : A déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Gruchet-Saint-Siméon. Amont de la voie ferrée.

Ouvrage N°30

Nature : Pincement du busage de la voie ferrée. Constitution d’une retenue temporaire. Objet : Maîtrise des débits des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 1200m 3. Zone inondable provoquée par le remblai de la voie ferrée. Débit de fuite : 10l/s Emprise indicative : A déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : Saint-Pierre-le-Viger. Amont de la voie ferrée.

Ouvrage N°31

Nature : Talus busé. Objet : Maîtrise des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 4000m 3. Débit de fuite : 100l/s. Emprise indicative : 10 ares Traitement : Décantation naturelle des sédiments. Localisation : La Gaillarde en amont de la RD 4.

Ouvrage N°32

Nature : Prairie inondable. Pincement du remblai busé de la VC n°4. Remise en herbage de la zone inondable. Objet : maîtrise des débits des écoulements des parcelles cultivées. Capacité : 7000m 3. Débit de fuite : 500l/s. Emprise indicative : 80 ares.

Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Saint-Pierre-le-Vieux. Amont de la VC n°4.

Ouvrage N°33

Nature : Assainissement pluvial du carrefour. Objet : Suppression de flaques sur les accotements. Localisation : Avremesnil RD 27.

Ouvrage N°34

Nature : Pincement du busage du remblai existant. Objet : Maîtrise des débits des écoulements du bassin versant. Capacité : >18000m 3. Débit de fuite : 1.0m 3/s. Emprise indicative : A déterminer par levé topographique. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, lame siphoïde, vanne manuelle. Localisation : Saint-Pierre-le-Vieux. Fond de pitié.

Ouvrage N°35

Nature : Prairie inondable. Objet : Maîtrise des débits des écoulements du bassin versant. Capacité : 16000m 3. Débit de fuite : 1.8m 3/s. Emprise indicative : 2ha. Traitement : Décantation naturelle des sédiments, vanne manuelle. Localisation : Bourg-Dun en amont de la RD 237.

Ouvrage N°36

Nature : Bande enherbée terrassée. Objet : Collecte de la vidange et de la surverse de la retenue n°30. Débit Capable : 4.0m 3/s. Localisation : Bourg-Dun en amont de la RD 237.

Ouvrage N°37

Nature : Busage de la RD 237, rétablissement du débit capable initial. Objet : Protection de deux habitations contre les inondations. Débit capable : 3.2m 3/s. Localisation : Bourg-Dun RD 237.

Ouvrage N°38

Nature : Bande enherbée terrassée. Objet : Diriger les écoulements du bassin versant vers le Dun. Débit capable : 4.0m 3/s. Localisation : Bourg-Dun entre les RD 237 et RD 925.

N.B. : Les ouvrages 9 et 20, établis respectivement sur les communes de GUEURES et LA GAILLARDE et situés en zone NC du PLU de ces deux communes ne doivent pas avoir pour effet de créer des affouillements ou des exhaussements dont les dimensions excèderaient 2 mètres de hauteur ou de profondeur sur une superficie supérieure à 100 m², conformément à l’article R.442-2 du Code de l’Urbanisme .

Article 4 – Dispositifs de dépollution

Les ouvrages de rétention devront assurer une décantation suffisante des MES.

Article 5 – Conception et tenue des ouvrages

5.1. Stabilité.

Préalablement à l’installation des ouvrages, une étude géotechnique devra être réalisée afin de vérifier la portance et la stabilité des sols.

Toutes précautions seront prises pour limiter au maximum les risques d’effondrement des ouvrages au regard notamment de la pente du terrain, de la hauteur des barrages, de la nature des matériaux utilisés et du volume maximal d’eau stockée.

5.2. Etanchéité.

Si la nature du site l’impose, les ouvrages de rétention (mares ou bassins, à l’exclusion des prairies inondables) devront être étanches. Dans ce cas, les travaux de terrassement seront suivis par un hydrogéologue qui rédigera un rapport. Tous les problèmes rencontrés et les solutions apportées y seront consignés. Il sera ensuite transmis au service de police de l’eau dès la fin des travaux même si aucun incident n’a été recensé.

5.3. Bétoires.

Pour les aménagements situés dans des zones où des bétoires ont été recensées ou risquent d’apparaître, une étude du sous-sol devra être réalisée avant leur mise en place afin de rechercher d’éventuels vides karstiques.

En cas de découverte de tels phénomènes, il sera procédé à leur traitement local, conformément aux préconisations de l’hydrogéologue.

5.4. Mesures pendant la période des travaux.

L’écoulement naturel des eaux superficielles sera normalement assuré pendant les travaux, sans entraîner de lessivage de matériaux.

Les engins de chantiers devront être conformes à la réglementation en vigueur.

Les carburants devront être stockés sur des aires étanches.

Article 6 – Entretien et surveillance des ouvrages

6.1. Barrages, bassins et fossés.

Les ouvrages devront être constamment maintenus en bon état.

6.1.1. Visite.

Une visite sera effectuée mensuellement et en cas de précipitations abondantes (pluie, neige, grêle...). Elle permettra de :

- vérifier la stabilité des talus, déceler la présence de brèches ou de galeries et prévenir ainsi les risques d’effondrement ou d’érosion.

- contrôler l’étanchéité des ouvrages et détecter l’ouverture éventuelle de bétoires. En cas de défaut constaté, les travaux de réfection seront entrepris sans délai, pour rétablir l’imperméabilité du fond des ouvrages.

6.1.2. Curage et fauchage.

La tonte et le fauchage des talus et des fonds de bassins seront effectués en tant que de besoin et au moins deux fois par an, par tous moyens y compris pâturage par des animaux.

Le curage du fond des ouvrages de retenue sera effectué en tant que de besoin.

6.2. Equipements.

Les équipements (déshuileur, vannes, canalisations, ouvrages de débit de fuite, ouvrages bétonnés, grilles...) devront être constamment maintenus en bon état de fonctionnement.

6.2.1. Visite.

Une visite sera effectuée mensuellement et en cas de précipitations abondantes (orage, neige, grêle...). Elle permettra de vérifier le bon fonctionnement des ouvrages et de les débarrasser de tous déchets ou corps flottants qui s’y trouveraient.

6.2.2. Curage et entretien.

Le curage de ces ouvrages et l’enlèvement des déchets seront assurés aussi souvent que nécessaire et au moins une fois par an.

6.3. Cahier d’entretien.

Afin de vérifier le bon fonctionnement hydraulique, le bon dimensionnement des ouvrages et l’impact sur le comportement hydrologique du bassin versant et du thalweg aval, un cahier de suivi sera mis à jour et tenu à la disposition du service chargé de la police de l’eau.

Il mentionnera les observations faites lors des visites au cours et/ou après les épisodes pluvieux :

- date et heures des observations - niveau, temps de remplissage des bassins, temps de vidange - débits de fuite des bassins, surverse - tenue des ouvrages - conséquences sur le thalweg aval (ravines...) - ainsi que toute remarque utile.

En cas de dysfonctionnement, des propositions d’amélioration du fonctionnement des ouvrages seront faites par le maître d’ouvrage.

De même y seront mentionnées les quantités de boues de curage extraites et leur destination ainsi que les dates de curage.

Article 7 – Destination des déchets

Les produits récupérés (boues, sables, déchets, corps flottants...) lors de la vidange des équipements (canalisations, ouvrages de débit de fuite...) seront traités comme des déchets et éliminés dans des filières appropriées conformément à la réglementation en vigueur.

Les produits de curage des bassins ou ouvrages de retenue seront:

- soit épandus s’ils sont conformes à l’arrêté du 8 janvier 1998 fixant les prescriptions techniques applicables aux épandages de boue sur les sols agricoles. soit évacués comme des déchets.

Article 8 – Sécurité aux abords des ouvrages

Le pétitionnaire devra également prendre en compte les problèmes de sécurité aux abords des ouvrages, notamment pour l’installation éventuelle de clôtures autour des retenues.

Article 9 – Interdiction générale

Tout déversement d’eaux usées même traitées dans les retenues est interdit.

Tout dépôt de déchets susceptibles de polluer les eaux superficielles et souterraines sur le site est interdit.

Article 10 – Pollution accidentelle

Tout fait de pollution accidentelle des eaux superficielles et/ou du sol devra être porté dans les plus brefs délais à la connaissance du service chargé de la police de l’eau.

Toutes dispositions utiles seront prises pour éviter tout déversement, même accidentel, de produits susceptibles par leur nature, d’entraîner une contamination des eaux souterraines et/ou des eaux superficielles pendant les travaux et après leur achèvement.

Article 11 – Contrôle .

Le service chargé de la police de l’eau pourra procéder à tout moment à tout contrôle (débit, prélèvements, analyses,....) des eaux rejetées au milieu naturel.

Les frais occasionnés seront à la charge du pétitionnaire.

Tous les documents demandés dans le présent arrêté et permettant la vérification de sa bonne exécution seront tenus à la disposition du service chargé de la police de l’eau.

Article 12 – Réserve des droits des tiers

Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 13 – Délais et voies de recours

En application des articles L 216-2 et L 514-6 du code de l’environnement, la présente décision peut être déférée à la juridiction administrative : par des demandeurs ou exploitants dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où cet acte leur a été notifié, par des tiers dans un délai de 4 ans à compter de la publication ou de l’affichage dudit acte.

Article 14 – Publication et exécution

Le secrétaire général de la Préfecture de la Seine-Maritime, le sous-préfet de DIEPPE, les maires des communes de BOURG-DUN, AVREMESNIL, GUEURES, BRACHY, LA GAILLARDE, SAINT PIERRE LE VIGER, GRUCHET SAINT SIMEON, LUNERAY, CRASVILLE-LA-ROQUEFORT, GREUVILLE et SAINT PIERRE LE VIEUX, le Délégué Inter- Services de l’Eau, sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté dont ampliation leur sera adressée et qui sera notifié au pétitionnaire et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Un avis sera affiché pendant un mois dans les mairies concernées et inséré par les soins du préfet et aux frais de l’exploitant dans deux journaux régionaux ou locaux diffusés dans le département de la Seine-Maritime.

Ampliation de cet arrêté sera adressée au :

» Directeur Régional et Départemental de l’Agriculture et de la Forêt, » Directeur Régional et Départemental de l’Equipement, »Directeur Régional de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement de Haute-Normandie, » Directeur Départemental des Affaires Sanitaires et Sociales, » Directeur Régional de l’Environnement, » Directeur du secteur « aval » de l’Agence de l’Eau « Seine-Normandie ».

Le Préfet Pour le préfet et par délégation le Secrétaire Général

Claude MOREL

02-0047-CONSTRUCTION D'UNE STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USEES URBAINES A GOURNAY-EN-BRAY, SYNDICAT D'ALIMENTATION EN EAU POTABLE ET D'ASSAINISSEMENT DE GOURNAY-FERRIERES

DIRECTION DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FINANCES

SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE

ROUEN, le 29 mai 2002

LE PREFET De la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

ARRETE

CONSTRUCTION D ’UNE STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USEES URBAINES A GOURNAY -EN -BRAY SYNDICAT D ’A LIMENTATION EN EAU POTABLE ET D ’A SSAINISSEMENT DE GOURNAY -FERRIERES

VU :

La demande, déposée le 4 mai 2001, par laquelle le SYNDICAT D ’A LIMENTATION EN EAU POTABLE ET D ’A SSAINISSEMENT DE GOURNAY- FERRIERES – Mairie de GOURNAY EN BRAY – 76220 sollicite, au titre de la police de l’eau, l’autorisation relative à la construction d’une station de traitement des eaux usées urbaines à GOURNAY EN BRAY,

L'avant projet des travaux à exécuter,

Les plans et autres documents joints au dossier,

Le code de l'environnement,

Le code général des collectivités territoriales,

Le code la santé publique,

Le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique,

Le code rural,

La loi du 8 avril 1898 relative au régime des eaux,

Les décrets modifiés n °s 93.742 et 93.743 du 29 mars 1993 relatifs aux procédures et à la nomenclature des opérations soumises à autorisation ou à déclaration,

Le décret n° 94.469 du 3 juin 1994 relatif à la collecte et au traitement des eaux usées mentionnées aux articles L 2224.8 et L. 2224.10 du code général des collectivités territoriales,

Les arrêtés du 22 décembre 1994 fixant les prescriptions techniques relatives aux ouvrages de collecte et de traitement des eaux usées mentionnées aux articles L. 2224.8 et L. 2224.10 du code général des collectivités territoriales et les mesures de surveillance des ouvrages de collecte et de traitement des eaux usées,

L'arrêté ministériel du 7 juillet 1983 relatif aux conditions dans lesquelles s'effectuent les opérations de contrôle des rejets et des eaux réceptrices,

L'arrêté préfectoral du 10 septembre 2001 annonçant l'ouverture, pendant un mois du 15 octobre 2001 au 15 novembre 2001 inclus, d'une enquête publique relative à l'autorisation au titre de la police de l'eau des ouvrages susmentionnés et prescrivant l'affichage dudit arrêté dans les communes de GOURNAY EN BRAY et FERRIERES EN BRAY,

Les résultats des enquêtes,

L'avis du commissaire enquêteur en date du 27 novembre 2001,

L'avis de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales en date du 5 juillet 2001,

L'avis de la direction régionale de l'environnement en date du 14 juin 2001,

Le rapport de la Délégation Inter Services de l'Eau en date du 25 janvier 2002,

L'avis émis par le conseil départemental d'hygiène lors de sa séance du 12 mars 2002,

La notification faite au pétitionnaire du projet d'arrêté en date du 15 mars 2002,

La réponse du pétitionnaire en date du 3 mai 2002,

Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture,

ARRÊTE

ARTICLE 1 - Objet de l’autorisation.

Le Syndicat d’Alimentation en Eau Potable et d’Assainissement de GOURNAY FERRIERES, ci-après dénommé "la Collectivité ", est autorisé, dans les conditions fixées par le présent arrêté, à construire une unité de traitement des eaux usées pour l’agglomération de GOURNAY EN BRAY ainsi que de rejeter les eaux usées après traitement dans le cours d’eau EPTE. Classement des opérations (décret n° 93.743 du 29 mars 1993 modifié).

RUBRIQUES Quantités mises en jeu REGIME par le projet "A" (autorisation Numéro Intitulé ) "D" (déclaration) 2.2.0.- 2° Rejet dans les eaux superficielles susceptible de modifier le En moyenne annuelle D régime des eaux, la capacité totale du rejet étant : 22.8 l/s soit environ 16 supérieure ou égale à 2000 m3/j ou 5% du débit et % du débit de inférieure à 10000 m3/j ou 25% du débit référence 5.1.0.- 1° Station d’épuration, le flux polluant journalier reçu ou la 627 kg/j A capacité de traitement journalier étant : supérieur ou égal à 120 kg de DBO5 5.2.0.- 1° Déversoirs d’orage situés sur le réseau d’égouts destiné à Surverse du bassin A collecter un flux polluant journalier : supérieur ou égal à 120 d’orage à l’entrée de la kg de DBO5 station

PRESCRIPTIONS TECHNIQUES

ARTICLE 2 - Prescriptions relatives aux travaux :

Toutes précautions devront être prises par les entreprises pour ne pas entraîner de pollution de cours d’eau lors de la phase des travaux (turbidité, hydrocarbures....).

Aucun stockage de produits dangereux, polluant, ne se fera à proximité de la rivière.

Aucun produit type désherbant ne sera utilisé.

Les produits utilisés (huile de coffrage...) devront être sans danger pour les eaux souterraines et superficielles.

ARTICLE 3 - Prescriptions relatives à la collecte :

La Collectivité devra prendre toutes dispositions dans la conception et l’exploitation du réseau de collecte et des ouvrages essentiels afin d’éviter le rejet d’eaux brutes au milieu naturel.

Les nouveaux tronçons seront étanches (prescriptions nouveaux ouvrages).

Un bilan annuel des taux de collecte et de raccordement devra être fait ainsi que le bon raccordement au réseau des particuliers. Une étude diagnostic devra être réalisée sur le système de collecte. Un programme de travaux devra être établi à l’issue de cette étude, et faire l’objet d’une planification. Cette programmation devra être transmise au service de police de l’eau avant le 31 décembre 2003.

ARTICLE 4 - Prescriptions relatives au traitement .

Le système d’épuration doit être dimensionné, conçu, réalisé et exploité de telle sorte qu’il puisse recevoir et traiter le flux de matières polluantes ci-dessous :

Eaux Brutes Moyenne annuelle temps sec Temps de pluie Débit en m 3/j 1974 2940 DBO 5 en kg/j 627 668 DCO en kg/j 1662 1779 MES en kg/j 641 758 NTK en kg/j 157 186 Pt en kg/j 43.4 45.7 Capacité en Equivalent-Habitants 10450 11133

Flux maximum à respecter sur 24 heures.

paramètre Concentration maximale rendement Flux maximal journalier temps sec journalière DBO 5 15 mg/l 27 kg/j DCO 50 mg/l 90 kg/j MES 20 mg/l 36 kg/j NTK 5 mg/l 9 kg/j NGL 10 mg/l 18 kg/j Pt 2 mg/l 3,6 kg/j

Le pH de l’effluent rejeté devra être compris entre 6 et 8,5 et la température devra être inférieure à 25°C.

L’effluent ne devra pas entraîner de coloration du milieu récepteur.

Le rejet ne devra pas contenir de substances capables d’entraîner la destruction du poisson ou de gêner sa reproduction ainsi que celle de la faune benthique et de la flore ou présenter un caractère létal à leur encontre après mélange avec les eaux réceptrices.

Le nombre de déversements annuels admis dans le milieu naturel, hors événement exceptionnel, est de 2.

ARTICLE 5 - Prescriptions relatives aux ouvrages de rejet en rivière.

L’ouvrage de rejet doit être aménagé de manière à réduire le plus possible la perturbation apportée par le déversement au milieu récepteur aux abords du point de rejet.

La Collectivité devra transmettre au service de police de l’eau un projet d’aménagement du fossé recevant les eaux après traitement, avant rejet dans le cours d’eau. Ce projet devra être transmis avant la fin des travaux de reconstruction de la station.

ARTICLE 6 - Prescriptions relatives aux boues résiduaires .

Les boues issues de l’unité de traitement des eaux usées de la Collectivité feront l’objet d’un traitement de déshydratation.

Elles ne pourront être autorisées à être épandues en agriculture que si elles sont conformes aux textes en vigueur. En cas de non conformité, elles seront éliminées par la filière alternative prévue à cet effet.

Le mélange de boues provenant d’installations de traitement distinctes est interdit.

Un site de stockage de boues d’une capacité de 12 mois de production sera mis en place à la date de mise en service de la station de traitement des eaux usées.

L’épandage des boues résiduaires devra faire l’objet d’un dossier au titre de la loi sur l’eau par le pétitionnaire, établi conformément au décret n° 93.742 du 29 mars 1993, au décret n° 97.1133 du 8 décembre 1997 et de l’arrêté du 8 janvier 1998 susvisé.

Le dossier sera à transmettre à Monsieur le Préfet, dans un délai de 18 mois à compter de la date de notification du présent arrêté.

ARTICLE 7 - Prescriptions relatives aux autres sous-produits.

La Collectivité devra prendre toutes dispositions nécessaires dans l’exploitation de ses ouvrages pour assurer une bonne gestion des déchets (refus de dégrillage, sables, graisses).

Les déchets qui ne peuvent pas être valorisés doivent être éliminés dans des installations réglementées à cet effet dans des conditions permettant d’assurer la protection de l’environnement.

L’épandage des sables et des graisses est interdit.

AUTOSURVEILLANCE DU SYSTEME D’ASSAINISSEMENT

ARTICLE 8 - Obligation d’auto surveillance .

Les exploitants du système d’assainissement, système de collecte et système de traitement, doivent mettre en place un programme d’auto surveillance de ce système.

Les mesures sont effectuées sous leur responsabilité et à leurs frais.

ARTICLE 9 - Prescriptions relatives à l’auto surveillance du système de collecte .

9.1. - Surveillance du réseau.

L’exploitant réalise le suivi du réseau de canalisations par tout moyen approprié (par exemple, inspection télévisée décennale, enregistrement des débits horaires véhiculés par les principaux émissaires....). Il tient à jour le plan du réseau et des branchements, ainsi qu’un registre relatif aux opérations de suivi du réseau mentionnant les incidents et défauts de matériels recensés et les mesures prises pour y remédier.

Ce registre est tenu à disposition du service chargé de la police de l’eau et de l’Agence de l’Eau.

9.2. - Surveillance des établissements raccordés.

Les établissements raccordés au réseau d’assainissement et rejetant plus d’une tonne/jour de DCO dans celui-ci doivent réaliser avant rejet des mesures régulières sur leurs effluents (débit, DCO, NGL, Pt). Il en est de même lorsque la nature des activités exercées est susceptible de conduire à des rejets de substances dangereuses pour le système de traitement. Un point de mesure doit être aménagé à cet effet.

L’autorisation de raccordement délivrée par l’exploitant en définit les modalités et la fréquence.

Les résultats de ces mesures sont régulièrement transmis à l’exploitant qui les adresse mensuellement au service de la police de l’eau et à l’Agence de l’Eau.

Le raccordement d’un établissement ayant une activité particulière doit faire l’objet d’une convention de raccordement.

La liste de ces établissements est régulièrement tenue à jour par l’exploitant et communiquée annuellement à ces deux services.

La Collectivité devra, avant le 31 décembre 2003, transmettre l’ensemble des conventions de raccordement des établissements industriels déjà raccordés au système de collecte.

9.3. - Surveillance des branchements.

L’exploitant vérifie la qualité des branchements particuliers. Il réalise chaque année un bilan du taux de raccordement et du taux de collecte, ces taux étant définis comme suit :

» Taux de collecte :

Rapport de la quantité de matières oxydables captée par le réseau à la quantité de matières oxydables générée dans la zone desservie par le réseau.

» Taux de raccordement :

Rapport de la population raccordée effectivement au réseau à la population desservie par celui-ci.

Les nouveaux tronçons du système de collecte font l’objet d’une procédure de réception prononcée par l’exploitant. Celui-ci adresse les procès-verbaux de réception à l’entreprise chargée des travaux, au service chargé de la police de l’eau et à l’Agence de l’Eau.

Un registre relatif aux opérations de contrôle des branchements particuliers réalisées par l’exploitant est tenu à la disposition du service chargé de la police de l’eau et de l’Agence de l’Eau.

9.4. - Evaluation des sous-produits.

L’exploitant évalue annuellement la quantité des sous-produits de curage et de décantation du réseau (matières sèches). Le rapport de synthèse correspondant est envoyé au service chargé de la police de l’eau et à l’Agence de l’Eau.

9.5. - Surveillance des déversoirs.

L’exploitant réalise la surveillance des rejets des déversoirs d’orages et dérivations éventuelles sur des tronçons destinés à collecter une charge brute de pollution organique par temps sec supérieure à 600 kg/j. Il réalise sur ces installations la mesure en continu du débit et estime la charge polluante (MES, DCO) déversée par temps de pluie. La surverse du bassin d’orage fera l’objet de ce suivi. L’étude diagnostic demandée devra préciser si d’autres ouvrages sont concernés par ce suivi.

Les résultats de ces mesures sont transmis annuellement par l’exploitant au service chargé de la police de l’eau et à l’Agence de l’Eau.

ARTICLE 10 - Prescriptions relatives à l’auto surveillance du système de traitement .

10.1. – Auto surveillance des débits.

Des débitmètres seront installés pour permettre le comptage des débits à l’entrée de la station.

Un préleveur automatique asservi au débit est installé à l’entrée de la station.

Un débitmètre enregistreur et un préleveur automatique asservi au débit sont installés en sortie de station. 10.2. - Fréquence des mesures.

L’auto surveillance est réalisée sur des échantillons moyens 24 heures, selon les conditions suivantes :

» les débits sont mesurés en entrée et sortie toute l’année sur l’ensemble des entrées et sorties de la station, y compris les surverses. » les prélèvements sont effectués sur l’ensemble des entrées et sorties de la station, y compris les surverses. » la fréquences des prélèvements et analyses est définie suivant les paramètres mesurés

Paramètre MES DBO 5 DCO NTK NH 4 NO 3 NO 2 Pt Fréquence (j/an) 24 12 24 12 12 12 12 12

» les mesures sur les boues seront au nombre de 24 et portent sur la quantité et matières sèches.

Le planning des mesures doit être envoyé pour acceptation au début de chaque année au service chargé de la police de l'eau ainsi qu’à l’Agence de l’Eau.

10.3. - Transmission des résultats.

Les résultats de la surveillance sont transmis chaque mois par la Collectivité au service chargé de la police de l’eau et à l’Agence de l’Eau.

Ces transmissions comportent :

» les concentrations et les flux pour les paramètres visés ci-dessus en entrée et sortie de station et les rendements mensuels de la station pour les paramètres mentionnés dans l’arrêté d’autorisation,

» les débits des ouvrages particuliers,

» les dates de prélèvements et de mesures.

En cas de dépassement des seuils autorisés par l’arrêté d’autorisation, la transmission est immédiate et doit être accompagnée de commentaires sur les causes des dépassements constatés ainsi que sur les actions correctives mises en œuvre ou envisagées.

11.4. - Justification de la bonne marche de l’installation de traitement.

Les paramètres nécessaires à justifier la bonne marche de l’installation de traitement et sa fiabilité doivent être consignés dans un registre (débits journaliers arrivant à la station, consommation de réactifs et d’énergie, production de boues, incidents et défauts de matériels recensés, mesures prises pour y remédier).

Ce registre est tenu à disposition du service chargé de la police de l’eau et de l’Agence de l’Eau.

ARTICLE 11 - Dispositions particulières pour les évènements exceptionnels .

11.1. - Information sur les périodes d’entretien et de réparation du système d’assainissement.

L’exploitant informe au préalable le service chargé de la police de l’eau sur les périodes d’entretien et de réparations prévisibles et la consistance des opérations susceptibles d’avoir un impact sur la qualité des eaux. Il précise les caractéristiques des déversements (flux, charge) pendant ces périodes et les mesures envisagées pour en réduire l’impact sur le milieu récepteur.

En tout état de cause, pour les travaux prévisibles, ceux-ci ne pourront être programmés en période d’étiage du cours d’eau.

11.2. - Surveillance renforcée lors de circonstances particulières.

Des dispositions de surveillance renforcées doivent être prises par l’exploitant lorsque des circonstances particulières ne permettent pas d’assurer la collecte ou le traitement complet des effluents. Il en est ainsi notamment en cas d’accidents sur la station ou de travaux effectués en urgence sur le réseau.

L’exploitant évalue les flux de matières polluantes rejetées au milieu dan ces conditions et leur impact sur le milieu récepteur. L’évaluation porte sur le débit, la DCO, la DBO, les MES, l’azote ammoniacal et le phosphore aux points de sortie et sur l’oxygène dissous dans le milieu récepteur. Cette évaluation fait l’objet d’une transmission immédiate au service chargé de la police de l’eau, à l’Agence de l’Eau, au service chargé de la police de la pêche ainsi qu’à la D.D.A.S.S.

L’exploitant soumettra au service chargé de la police de l’eau le protocole relatif à l’évaluation de l’oxygène dissous.

ARTICLE 12 - Mise en place du dispositif d’auto surveillance .

12.1. - Manuel d’auto surveillance.

L’exploitant rédige un manuel décrivant de manière précise son organisation interne, ses méthodes d’analyse et d’exploitation, les organismes extérieurs à qui il confie tout ou partie de la surveillance, la qualification des personnes associées à ce dispositif. Ce manuel fait mention des références, normalisées ou non des méthodes utilisées. Il est tenu à disposition du service chargé de la police de l’eau, de l’Agence de l’Eau, et régulièrement mis à jour.

12.2. - Rapport annuel.

A la fin de chaque année, un rapport justifiant la qualité et la fiabilité de la surveillance mise en place, basé notamment sur un calibrage avec un laboratoire agréé et sur la vérification de l’ensemble des opérations (prélèvement, transport, stockage des échantillons, mesure analytique et exploitation) est adressé par l’exploitant au service chargé de la police de l’eau et à l’Agence de l’Eau.

ARTICLE 13 - Contrôle du système d’assainissement .

Le service chargé de la police de l'eau procède ou fait procéder, par un organisme indépendant, choisi en accord avec l’exploitant, à des contrôles.

Ces contrôles portent sur la représentativité des données fournies, la qualité du dispositif de mesure d’enregistrement et de prélèvement, la conformité des résultats avec les prescriptions fixées.

Des contrôles inopinés peuvent être effectués. Ils portent au minimum, sur les paramètres mentionnés dans l’arrêté d’autorisation.

Un double de l’échantillon est remis à l’exploitant. Le coût des prélèvements et des analyses est à la charge de celui-ci.

Les agents des services chargés notamment de la police de l'eau, doivent avoir constamment libre accès aux installations.

ARTICLE 14 - Conformité des résultats de traitement.

La conformité des résultats de traitement épuratoire est appréciée de la manière suivante :

» tout rejet d’eaux brutes hors opération de maintenance ou accident signalé au service chargé de la police de l'eau alors que l’intensité de la pluie est inférieure à une fréquence de 2 mois entraîne la non conformité.

» pour les paramètres DCO, DBO, MES : Ces paramètres sont jugés conformes si le nombre d’échantillons journaliers non conformes à la fois aux valeurs en concentration et rendement ne dépasse pas la valeur de 3 pour la DCO et les MES, et 2 pour la DBO 5.

Les seuils suivants ne doivent en aucun cas être dépassés en concentration (valeur rédhibitoire) : - DBO 50 mg/l - DCO 250 mg/l - MES 85 mg/l

» pour l’azote et le phosphore, la moyenne annuelle doit respecter la valeur fixée en concentration et en rendement.

DISPOSITIONS GENERALES

ARTICLE 15 - Durée de l’autorisation .

La présente autorisation est accordée pour une période de 15 ans à compter de la date de notification du présent arrêté.

Si le pétitionnaire désire obtenir le renouvellement de son autorisation, il devra, dans un délai de 6 mois au moins et un an au plus avant la date d’expiration du délai d’autorisation fixée ci-dessus, en faire la demande par écrit auprès de Monsieur le Préfet.

ARTICLE 16 - Caractère de l’autorisation .

L’autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable, sans indemnité.

16.1. - Transmission à une autre personne.

Lorsque le bénéfice de l’autorisation ou de la déclaration est transmis à une autre personne que celle qui était mentionnée au dossier de demande d’autorisation ou au dossier de déclaration, le nouveau bénéficiaire doit en faire la déclaration au Préfet, dans les trois mois qui suivent la prise en charge des installations.

Cette déclaration doit mentionner, s’il s’agit d’une personne physique, les nom, prénom et domicile du nouveau bénéficiaire et, s’il s’agit d’une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, sa forme juridique, l’adresse de son siège social ainsi que la qualité du signataire de la déclaration. Il est donné acte de cette déclaration.

16.2. - Cessation définitive.

La cessation définitive ou pour une période supérieure à deux ans de l’installation, doit faire l’objet d’une déclaration par l’exploitant ou à défaut par le propriétaire auprès du Préfet, dans le mois qui suit la cessation définitive, l’expiration du délai de deux ans ou le changement d’affectation. Il est donné acte de cette déclaration.

16.3. - Modification de l’installation par le pétitionnaire.

Toute modification de la chaîne de traitement ou l’acceptation d’effluents non domestiques ayant pour effet de modifier la composition du rejet, toute modification des capacités de traitement de l’installation devront faire l’objet d’une information préalable du Préfet et du service de la police de l'eau, qui décideront de la suite à donner.

16.4. - Remise en service d’un ouvrage.

Le Préfet peut décider que la remise en service d’un ouvrage, d’une installation, d’un aménagement momentanément hors d’usage pour une raison accidentelle, sera subordonnée, selon le cas, à une nouvelle autorisation, si la remise en service entraîne des modifications de l’ouvrage, de l’installation, de l’aménagement ou des modifications de son fonctionnement ou de son exploitation, ou si l’accident est révélateur de risques insuffisamment pris en compte initialement.

16.5. - Modification de l’autorisation dans un but d’intérêt général de salubrité publique.

Si, à quelque époque que ce soit, l’administration décidait dans un but d’intérêt général ou de la salubrité publique, de modifier d’une manière temporaire ou définitive l’usage des avantages concédés par le présent arrêté, le pétitionnaire ne pourrait demander aucune justification ni réclamer aucune indemnité.

Toutefois, si ces dispositions venaient à modifier substantiellement les conditions de l’autorisation, elles ne pourraient être décidées qu’après l’accomplissement de formalités semblables à celles qui ont précédé le présent arrêté.

ARTICLE 17 - Réserve des droits des tiers .

Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

ARTICLE 18 - Délais et voies de recours.

En application des articles L 241-10 et L 514-6 du code de l’environnement, la présente décision peut être déférée à la juridiction administrative : par des demandeurs ou exploitants dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où cet acte leur a été notifié, par des tiers dans un délai de 4 ans à compter de la publication ou de l’affichage dudit acte. Ce délai étant, le cas échéant, prolongé jusqu’à la fin d’une période de deux années suivant la mise en activité de l’installation.

ARTICLE 19 - Publication et exécution .

Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine-Maritime, le Sous-préfet de l’arrondissement de Dieppe, les maires des communes concernées, le Directeur Régional et Départemental de l’Agriculture, sont chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté dont ampliation leur sera adressée et qui sera notifié au pétitionnaire et publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Un avis sera affiché pendant un mois dans les mairies de GOURNAY EN BRAY et FERRIERES EN BRAY et inséré par les soins du Préfet et aux frais de l’exploitant dans deux journaux régionaux ou locaux diffusés dans le département de la Seine-Maritime.

Ampliation de cet arrêté sera adressée au :

‹ Directeur Régional et Départemental de l’Equipement, ‹ Directeur Régional de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement de Haute-Normandie, ‹ Directeur Départemental des Affaires Sanitaires et Sociales, ‹ Directeur Régional de l’Environnement, ‹ Directeur du secteur « aval » de l’Agence de l’Eau « Seine Normandie ».

Le Préfet Pour le Préfet et par délégation le Secrétaire Général

Claude MOREL

02-0049-DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE ET AUTORISATION CONCERNANT LA REALISATION D'OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS, COMMUNAUTE DE COMMUNES DU CANTON DE BOLBEC

DIRECTION DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE, DE L’ENVIRONNEMENT ET DES FINANCES

SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE

ROUEN, le 10 juin 2002

LE PREFET De la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

ARRETE

DECLARATION D ’UTILITE PUBLIQUE + AUTORISATION REALISATION D ’OUVRAGES DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS COMMUNAUTE DE COMMUNES DU CANTON DE BOLBEC

VU : La demande reçue le 30 janvier 2001 et complétée les 23 août et 5 octobre 2001 par laquelle la COMMUNAUTE DE COMMUNES DU CANTON DE BOLBEC – 12 ter, avenue Maréchal Foch – 76210 BOLBEC, a sollicité la déclaration d’utilité publique des travaux de réalisation d’ouvrages de lutte contre les inondations sur les communes des TROIS PIERRES, SAINT ANTOINE LA FORÊT, PARC D’ANXTOT, BOLBEC, SAINT EUSTACHE LA FORÊT, GRUCHET LE VALASSE, BERNIERES, BEUZEVILLE LA GRENIER, SAINT GILLES DE LA NEUVILLE, ROUVILLE et et l'autorisation administrative au titre du code de l'environnement – Livre II – Titre 1er : eau et milieux aquatiques relative aux ouvrages susmentionnés,

L'avant projet des travaux à exécuter,

Les plans et autres documents joints au dossier,

Le code général des collectivités territoriales,

Le code de l'environnement,

Le code de la santé publique,

Le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique,

Le code rural,

La loi du 8 avril 1898 relative au régime des eaux,

Les décrets modifiés n° s 93.742 et 93.743 du 29 mars 1993 relatifs aux procédures et à la nomenclature des opérations soumises à autorisation ou déclaration,

L'arrêté ministériel du 7 juillet 1983 relatif aux conditions dans lesquelles s'effectuent les opérations de contrôle des rejets et des eaux réceptrices,

L’arrêté préfectoral du 16 novembre 2001 annonçant l’ouverture, pendant un mois du 19 décembre 2001 au 19 janvier 2002 inclus, des enquêtes publiques relatives d’une part, à la réalisation d’ouvrages de lutte contre les inondations sur les communes des TROIS PIERRES, SAINT ANTOINE LA FORÊT, PARC D’ANXTOT, BOLBEC, SAINT EUSTACHE LA FORÊT, GRUCHET LE VALASSE, BERNIERES, BEUZEVILLE LA GRENIER, SAINT GILLES DE LA NEUVILLE, ROUVILLE et NOINTOT et d’autre part à la déclaration d’utilité publique des travaux susmentionnés,

L’avis du commissaire enquêteur,

Les avis de la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales en date des 26 février 2001 et 22 octobre 2001,

Les avis de la Direction Régionale de l’Environnement en date des 31 août 2001 et 18 octobre 2001,

L’avis du Service Départemental de l’Architecture et du Patrimoine de Seine-Maritime en date du 8 novembre 2001,

Le rapport de la Délégation Inter Services de l’Eau en date du 15 avril 2002,

Les délibérations des collectivités territoriales concernées,

L’avis émis par le conseil départemental d’hygiène lors de sa séance du 14 mai 2002,

La notification en date du , au pétitionnaire, du projet d’arrêté,

La réponse du pétitionnaire en date du ,

Sur proposition du secrétaire général de la Préfecture,

ARRETE

Article 1 : Monsieur le Président de la Communauté de Communes du Canton de Bolbec est autorisé à faire procéder sur les territoires des communes de LES TROIS PIERRES , SAINT ANTOINE LA FORET , PARC D ’A NXTOT , BERNIERES , BEUZEVILLE -LA -GRENIER , BOLBEC , GRUCHET -LE -VALASSE , SAINT -EUSTACHE -LA -FORET , SAINT -GILLES -DE -LA -NEUVILLE , ROUVILLE , NOINTOT , aux travaux de lutte contre les inondations consistant en la création de 38 ouvrages de retenue d’eaux pluviales ainsi que des aménagements des exutoires nécessaires au bon écoulement des débits de fuite de ces ouvrages et l’agrandissement de 5 ouvrages existants.

Article 2 : Sont déclarés d’utilité publique les travaux susmentionnés de réalisation d’ouvrages de lutte contre les inondations par la Communauté de Communes du Canton de Bolbec.

Article 3 : CLASSEMENT DES OPERATIONS

Les travaux entrent dans la nomenclature des opérations soumises à autorisation ou déclaration au titre des articles L 214.1 à L 214.6 du code de l’Environnement, annexée au décret n°93.743 du 29 mars 1993 aux rubriques : 5.3.0. : rejet d’eaux pluviales dans les eaux superficielles ou dans un bassin d’infiltration, Ù la superficie totale desservie étant supérieure à 20 ha F soumis à autorisation 6.1.0. : travaux prévus à l’article 31 de la loi sur l’eau, Ù le montant total étant supérieur à 1,83 M€ (12 MF) F soumis à autorisation

Article 4 : Les travaux de lutte contre les inondations du bassin versant du Commerce seront réalisés conformément aux dossier et plans joints à la demande.

Article 5 : NATURE , VOLUME , OBJET DES OUVRAGES PROJETES

Les ouvrages devront respecter les caractéristiques indiquées dans le tableau annexé au présent arrêté.

Les zones de terrassement de terrain devront être imperméabilisés, si nécessaire, de telle sorte que la perméabilité soit au minimum de 10 -7 m/s afin d’éviter des infiltrations rapides dans le sous-sol ; il en sera de même pour les zones d’anomalie d’infiltration.

Pour cela, le fond des ouvrages situés dans le vallon du vivier devront être imperméabilisés à l’aide d’une couche de 50 cm d’argile compactée.

Les ouvrages sont dimensionnés pour une pluie décennale.

Toutes les retenues sont équipées de : une vanne murale pour assurer la fonction de vidange rapide et pour isoler l’ouvrage en cas de pollution accidentelle, une surverse dimensionnée pour gérer le débit de pointe centennal afin de préserver la digue en cas de débordement, un système permettant de retenir les flottants et polluants légers (type hydrocarbures) à tous les niveaux de remplissage du bassin.

Afin d’assurer un bon fonctionnement des ouvrages (limiter l’envasement de l’ouvrage de fuite, ...) et éviter l’érosion à l’aval des ouvrages, le pétitionnaire devra :

‹ Mettre en herbe les zones inondables à l’amont des ouvrages n° :

- 1.1 - 8.2 - 13.2 - 2 - 8.3 - 14f1 - 4 - 11.1 - 14g5 - 7.2 - 12.2 - 16.2 - 7.3 - 13.1 - 17

‹ Créer une bande enherbée en amont de l’ouvrage 12.1.

‹ Créer une bande enherbée d’une largeur de 15 mètres en périphérie amont des ouvrages n° :

- 5.1 - 14g1 - 8.1 - 14g3 - 9h - 14g7 - 9s

‹ Créer une bande enherbée à l’aval des ouvrages n° :

- 1.2 - 7.3 - 13.1 - 14g1 - 15.1 - 15.2 - 16.1 - 17

‹ Conserver les prairies en amont des ouvrages n° :

- 1.2 - 5.2 - 7.1 - 10.1 - 10.2 - 14f2 - 14g2 - 14g6 - 15.1 - 15.2 - 16.1

‹ Conserver les prairies à l’aval des ouvrages n° :

- 2 - 10.1 - 10.2

A l’aval de l’ouvrage 14g2, le débit de fuite et la surverse seront dirigés dans une noue suffisamment dimensionnée, permettant de dévier les eaux à l’aval de l’habitation située dans le fond de Thalweg naturel.

Les aménagements nécessaires seront mis en place à l’aval de tous les ouvrages afin d’assurer la pérennité des exutoires (fossés, réseau, bois...).

Article 6 : ENTRETIEN DES OUVRAGES

Les ouvrages (bassins, fossés, ouvrage de sortie,...) devront être entretenus en permanence en bon état de fonctionnement et débarrassés des boues aussi souvent que nécessaire.

Un contrat d’entretien des ouvrages devra être mis en place. Un exemplaire de ce document devra être remis au service chargé de la police des eaux dans un délai de six mois à compter de la notification du présent arrêté.

Article 7 : Les produits de curage devront faire l’objet d’analyses portant sur les éléments et caractéristiques définis par l’arrêté du 8 janvier 1998, fixant les prescriptions techniques applicables aux épandages de boues sur les sols agricoles.

Les résultats de ces analyses seront transmis au service chargé de la police de l’eau, pour avis quant au devenir de ces produits :

- s’ils sont conformes aux dispositions de l’arrêté ministériel du 8 janvier 1998 précité, ils pourront être épandus sur des terres agricoles.

Le plan d’épandage devra faire l’objet d’une déclaration ou d’une demande d’autorisation au titre du code de l’environnement.

- dans le cas contraire, ils seront considérés comme déchets et évacués suivant des filières conformes à la réglementation en vigueur.

Article 8 : SURVEILLANCE DES OUVRAGES

- Entretien courant : Les dispositifs devront être visités mensuellement et en cas de précipitations importantes, pour vérification du bon fonctionnement, du bon état apparent et pour dégager et évacuer les détritus encombrants. Ils devront être nettoyés au moins une fois par an.

Afin de vérifier le bon fonctionnement hydraulique, le bon dimensionnement des ouvrages et l’impact sur le comportement hydrologique du bassin vnt maîtrisé, un cahier de suivi sera mis à jour et tenu à disposition des services chargés de la police de l’eau.

Il mentionnera les observations faites lors des visites au cours et/ou après les épisodes pluvieux :

- date et heure des observations - niveau, temps de remplissage des bassins - débit de fuite des bassins, surverse,

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- tenue des ouvrages - conséquences à l’aval des exutoires des bassins (ravines, montée des eaux,...) - ainsi que toute autres remarques utiles.

Cela débouchera sur des propositions d’amélioration du fonctionnement des ouvrages, en cas de besoin.

- En situation de crise : Lors des situations de crise, le pétitionnaire devra mobiliser les moyens humains et matériels nécessaires afin de pouvoir gérer en temps réel l’ensemble des ouvrages : c’est à dire surveiller l’état des ouvrages et déterminer les risques de détérioration, gérer les débits de fuite pour limiter les débordements et les dégradations à l’aval, ...

Ces informations devront être systématiquement centralisées par une personne techniquement compétente et joignable à tout moment.

Elle devra donc être désignée et ses coordonnées devront nous être adressées dans un délai de six mois à compter de la date du présent arrêté.

Un compte-rendu sur la gestion de la crise devra être rédigé. Il devra comprendre notamment : - les moyens mis en oeuvre - les constatations faites lors des visites (état des digues, des débits de fuite, dégradations constatées, leurs causes, leurs conséquences, ...) - les mesures prises pour éviter ou remédier aux problèmes - une cartographie des zones inondées constatées (1/25000 ème) - les travaux, aménagements et réparations à effectuer en urgence

Article 9 : Les bassins seront conçus de façon à éviter tout effondrement et un suivi très régulier devra permettre d’intervenir rapidement et sans délai en cas d’apparition des risques qui pourraient contaminer les eaux souterraines.

Toutes les bétoires connues sur le site des retenues devront être imperméabilisées et faire l’objet d’un suivi régulier.

Toute bétoire qui apparaîtrait pendant ou après la phase travaux dans les bassins ou les fossés exutoires devra être traitée tel que indiqué dans le dossier de demande d’autorisation et faire l’objet d’un suivi régulier.

Les travaux devront faire l’objet d’un suivi par un hydrogéologue qui rédigera un rapport. Tous problèmes rencontrés, toutes solutions apportées devront y être identifiés et recensés. Il sera ensuite transmis au service chargé de la police des eaux même si aucun incident n’a été relevé.

Toutes les études nécessaires (géophysique, recherche de marnières,...) devront être réalisées préalablement aux travaux afin de s’assurer de la faisabilité des ouvrages telle que décrite dans le dossier .

Article 10 : Sécurité des ouvrages

Le pétitionnaire devra prendre toute disposition pour régler les problèmes de sécurité aux abords des ouvrages.

Article 11 : Tout rejet d’eaux usées même traitées dans les bassins sera interdit.

Article 12 : Toute pollution accidentelle des eaux superficielles et/ou du sol devra être portée dans les plus brefs délais, à la connaissance du service chargé de la police des eaux.

Toutes dispositions utiles seront prises pour éviter tout déversement même accidentel, de produits susceptibles par leur nature, d’entraîner une contamination des eaux souterraines et/ou des eaux superficielles pendant les travaux et après leur achèvement.

Pendant la phase de travaux, le pétitionnaire devra mettre en place toutes les mesures nécessaires (assainissements provisoires : fossés, bassins de décantation, réalisation préalable des ouvrages aval en cas de bassins en cascade,...)pour gérer les eaux afin de limiter la mobilisation des matières en suspension et leur transport vers l’aval.

Les syndicats d’eau potable susceptibles d’être touchés par une pollution (Saint Antoine la Forêt, Saint Marcel) devront être averti du déroulement des travaux afin d’accentuer la surveillance de leurs points d’eau.

Article 13 : Le service chargé de la police des eaux pourra procéder à tout moment à tout contrôle (débit, prélèvements, analyses etc.) des eaux rejetées en milieu naturel.

Les frais occasionnés sont à la charge du pétitionnaire.

Article 14 : DUREE DE L ’AUTORISATION

La présente autorisation est délivrée pour une durée de 15 ans à compter de la date de notification du présent arrêté. Elle cessera de plein droit à l’issue de ce délai, si l’autorisation n’est pas renouvelée.

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Conformément à l’article 17 du décret 93.742. du 29 mars 1993, pour obtenir le renouvellement de l’autorisation, le pétitionnaire devra dans un délai d’un an au plus et de six mois au moins avant la date d’expiration, adresser la demande à Monsieur le Préfet.

Article 15 : CARACTERE DE L ’AUTORISATION

Lorsque le bénéfice de l’autorisation est transmis à une autre personne que celle qui était mentionnée au dossier de demande d’autorisation, le nouveau bénéficiaire doit en faire la déclaration au préfet dans les trois mois qui suivent la prise en charge des installations.

Cette déclaration doit mentionner, s’il s’agit d’une personne physique, les nom, prénom et domicile du nouveau bénéficiaire et s’il s’agit d’une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, sa forme juridique, l’adresse de son siège social, ainsi que la qualité du signataire de la déclaration. Il est donné acte de cette déclaration.

Si a quelque époque que ce soit, l’administration décidait, dans un but d’intérêt général de la sécurité ou de la salubrité publique, de modifier d’une manière temporaire ou définitive l’usage des avantages concédés par le présent arrêté, le pétitionnaire ne pourrait demander aucune justification ni réclamer aucune indemnité.

Toutefois, si ces dispositions venaient à modifier substantiellement les conditions de l’autorisation, elles ne pourraient être décidées qu’après l’accomplissement de formalités semblables à celles qui ont précédé le présent arrêté.

Article 16 : RESERVE DES DROITS DES TIERS

Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.

Article 17 : DELAI ET VOIES DE RECOURS

En application de l’article L 214.10 du code de l’Environnement, la présente décision peut être déférée à la juridiction administrative.

1° - Par les demandeurs ou exploitants dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où cet acte leur a été notifié,

2° - Par les tiers dans un délai de 4 ans à compter de la publication ou de l’affichage dudit acte. Ce délai, le cas échéant, prolongé jusqu’à la fin d’une période de deux années suivant la mise en activité de l’installation.

Article 18 : PUBLICATION ET EXECUTION

Le Secrétaire Général de la préfecture de la Seine Maritime, le sous-préfet du HAVRE, le Président de la Communauté de Communes du Canton de Bolbec, les maires de LES TROIS PIERRES , SAINT ANTOINE LA FORET , PARC D ’A NXTOT , BERNIERES , BEUZEVILLE -LA -GRENIER , BOLBEC , GRUCHET -LE -VALASSE , SAINT -EUSTACHE -LA -FORET , SAINT -GILLES -DE -LA -NEUVILLE , ROUVILLE , NOINTOT , le responsable de la Délégation InterServices de l’Eau, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont ampliation leur sera adressé et qui sera notifié au pétitionnaire et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Un avis sera affiché pendant un mois dans les mairies concernées et inséré par les soins du préfet et aux frais de l’exploitant dans deux journaux régionaux ou locaux diffusés dans le département de la Seine Maritime.

Ampliation de cet arrêté sera également adressé aux : - Directeur départemental des Affaires Sanitaires et Sociales, - Directeur régional de l’Environnement, - Directeur régional de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement de Haute-Normandie, - Directeur départemental de l’Equipement, - Directeur du secteur « Seine Aval » de l’agence de l’eau « Seine Normandie »

Le Préfet Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général

Claude MOREL

1.4. D.R.C.L.E ---> Direction des Relations avec les Collectivités Locales et des Elections

02-0070-Modification de l'arrêté préfectoral du 28 juin 1999 concernant la Commission Syndicale de la rivière « La Bresle »

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DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES ET DES ELECTIONS 1er BUREAU

A R R E T E

ARTICLE 1 er – L’article 1 er de l’arrêté préfectoral du 28 juin 1999 est modifié comme suit :

« Sont membres de la Commission Syndicale de la rivière « La Bresle », à compter du 26 avril 2002 :

1ère section

Inchangée

2ème section

Inchangée

3ème section

Membres titulaires M. CARON Jean M. CHALON Eric M. CRINON Henri M. DUROT Jean M. GELEE Michel M. JOCQUIN Pierre M. LECOMTE Jean M. LHOTELLIER Jean-Paul »

ARTICLE 2 – Les pouvoirs des membres ci dessus désignés expirent le 30 avril 2005.

02-0071-Syndicat intercommunal d'électrification rurale de la région de Darnétal : extension des compétences à la maîtrise d'ouvrage et l'organisation du service public de distribution de gaz

DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES ET DES ELECTIONS

1er Bureau Arrêté préfectoral du 29 mai 2002 Autorisant la modification des statuts d’un établissement public de coopération intercommunale

LE PRÉFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARITIME Officier de la Légion d’Honneur

Objet : Syndicat intercommunal d’électrification rurale de la région de Darnétal : extension des compétences à la maîtrise d’ouvrage et l’organisation du service public de distribution de gaz

VU : ‹ le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L-5212.1 et suivants et L-5211.17

‹ l’arrêté préfectoral du 6 novembre 1928 autorisant la création du syndicat intercommunal d’électrification rurale de la région de Darnétal

‹ l’arrêté préfectoral du 5 juin 1931 autorisant l’adhésion de la commune de Saint Aubin Epinay

‹ les arrêtés préfectoraux des 20 septembre 1929, 18 septembre 1935, 20 mars 1946 et 4 février 1948 portant reconstitution du syndicat

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‹ les arrêtés préfectoraux des 25 mars 1953 et 6 juillet 1956 prorogeant la durée du syndicat

‹ l’arrêté préfectoral du 13 novembre 1967 autorisant le rattachement de la commune de Saint Aubin Epinay pour la totalité de son territoire

‹ l’arrêté préfectoral du 13 juillet 1973 prorogeant la durée du syndicat jusqu’au 6 novembre 2030

‹ l’arrêté préfectoral du 28 mars 1985 autorisant l’extension des attributions du syndicat à l’éclairage public

‹ l’arrêté préfectoral du 5 avril 1993 autorisant la modification des statuts

‹ la délibération du 29 mars 2000 du comité syndical déposée en préfecture le 6 septembre 2001 approuvant l’extension des compétences du syndicat à la maîtrise d’ouvrage et l’organisation du service public de distribution de gaz

‹ les délibérations des conseils municipaux

Auzouville sur Ry du 25 janvier 2002 Belbeuf du 24 janvier 2002 Bois d’Ennebourg du 16 mai 2002 Grainville sur Ry du 28 janvier 2002 Franqueville Saint Pierre du 28 février 2002 Isneauville du 28 janvier 2002 Le Héron du 27 février 2002 Préaux du 24 janvier 2002 Martainville Epreville du 17 janvier 2002 Roncherolles sur le Vivier du 2 mai 2002 du 20 décembre 2001 Saint Aubin Epinay du 24 avril2002 Ry du 3 septembre 2001 Saint Jacques sur Darnétal du 12 février 2002 Saint Denis le Thiboult du 25 janvier 2002 La Vieux Rue du 31 janvier 2002 Servaville Salmonville du 8 janvier 2002

Approuvant l’extension des compétences du syndicat

CONSIDERANT :

‹ que les conditions de majorité fixées par l’article L-5211.17 du code général sont remplies

ARRETE

Article 1 : Est autorisée l’extension des compétences du syndicat intercommunal d’électrification rurale de la région de Darnétal à la maîtrise d’ouvrage et l’organisation du service public de distribution de gaz. La nouvelle dénomination du syndicat est la suivante : syndicat intercommunal d’électrification rurale et de gaz de la région de Darnétal.

Article 2 : Les nouveaux statuts du syndicat sont libellés comme suit :

ARTICLE 1 er - En application du code général des collectivités territoriales et notamment des articles L-5212-1 et suivants, il est formé entre les communes de :

AUZOUVILLE SUR RY LE MESNIL ESNARD BELBEUF PREAUX BOIS D’ENNEBOURG QUINCAMPOIX BOIS L’EVEQUE RY ELBEUF SUR ANDELLE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER FONTAINE SOUS PREAUX SERVAVILLE SALMONVILLE FRANQUEVILLE SAINT PIERRE SAINT AUBIN EPINAY GRAINVILLE SUR RY SAINT DENIS LE THIBOULT LE HERON SAINT JACQUES SUR DARNETAL ISNEAUVILLE SAINT MARTIN DU VIVIER MARTAINVILLE EPREVILLE LA VIEUX RUE

un syndicat qui prend la dénomination de : Syndicat Intercommunal d’ Electrification Rurale et de Gaz de la région de DARNETAL.

ARTICLE 2 - Ce syndicat a pour objet :

Ï L'exercice du pouvoir concédant pour les services publics de l'électricité et du gaz, qu'il confie au syndicat départemental d'énergie de la Seine-Maritime, auquel il adhère,

Ï La perception de la taxe sur les fournitures d'électricité sous faible et moyenne puissance, qu'il partage avec le syndicat départemental,

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Ï La maîtrise d'ouvrage de travaux sur les réseaux publics de distribution d'électricité et de gaz,

Ï L'étude et la réalisation des travaux afférents à la distribution du gaz,

Ï L'étude et la réalisation de travaux de construction de lignes électriques, avec renforcement, en fonction des besoins et de la modernisation des communes, avec création de lignes nouvelles en fonction de l'expansion de ces mêmes communes,

Ï La réalisation des travaux de réseaux d'éclairage public dont les ouvrages seront remis, après travaux, à la commune concernée, qui en assure l'entretien,

Ï L'effacement des réseaux par voie souterraine,

Ï Le génie civil des ouvrages de télécommunications et de télédistribution lors de travaux d'extension ou d'effacement de réseaux, avec ensuite remise à la commune concernée des ouvrages de télédistribution.

Ï Les fourreaux et les chambres de tirage propres aux réseaux de télécommunications sont soit remis à la commune concernée, soit restent propriété du syndicat qui, après convention, les met à disposition d'un opérateur moyennant une redevance.

Ï L'organisation d'une maintenance syndicale des installations d'éclairage public pour les communes qui le souhaitent.

Ï Représentation des personnes morales membres dans tous les cas où des lois ou règlements en vigueur prévoient que les collectivités doivent être représentées ou consultées.

Le syndicat est propriétaire des réseaux publics de distribution d'électricité et de gaz situés sur son territoire, notamment des ouvrages dont il est maître d'ouvrage, des biens de retour des gestions déléguées ainsi que des ouvrages réalisés par les personnes morales membres.

ARTICLE 3 - Le siège du syndicat est situé à la mairie de RY.

ARTICLE 4 - Le syndicat est créé pour une durée indéterminée.

ARTICLE 5 - Le syndicat est administré par un comité composé de deux délégués titulaires et de deux délégués suppléants élus par les conseils municipaux des communes membres.

ARTICLE 6 - Le comité élit en son sein un bureau composé d'un président et de trois vice-présidents. Le nombre de vice- présidents ne peut excéder le tiers du nombre des membres du bureau.

ARTICLE 7 - La participation financière des communes au budget du syndicat est calculée au prorata de la population des communes du syndicat telle qu'elle résulte du dernier recensement ou d'un recensement complémentaire dûment homologué.

ARTICLE 8 - Les fonctions de receveur syndical sont exercées par le receveur de Darnétal.

Article 3 Un exemplaire des nouveaux statuts est annexé au présent arrêté.

Article 4 Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime, monsieur le président du syndicat d’électrification d’électrification rurale et de gaz de la région de Darnétal sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat. Le présent arrêté sera notifié à madame la présidente de la Chambre Régionale des Comptes, à monsieur le Trésorier-payeur-général et à monsieur le directeur des Services Fiscaux.

Le Préfet Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général

Claude MOREL

1 / LM-Retrait de communes du SIROM de la région de Cany Barville

DIRECTION DES RELATIONS ROUEN, le 03 Juin 2002 AVEC LES COLLECTIVITÉS LOCALES ET DES ÉLECTIONS LE PRÉFET Réf. : D.R.C.L.E. 1 / LM de la région Haute-Normandie

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Rappeler impérativement les références ci-dessus Préfet de la Seine-Maritime Affaire suivie par M. MABIRE Laurent Officier de la Légion d’Honneur 02 32 76 52 79 02 32 76 54 59 mél : [email protected] ARRETE

Objet : Retrait de communes du SIROM de la région de Cany Barville.

VU :

Ù Le code général des collectivités territoriales, notamment les articles L-5211-19, L-5212-1 et suivants, et L-5214-1 et suivants,

Ù L’arrêté préfectoral du 18 juin 1974 autorisant la création de du syndicat intercommunal des ordures ménagères de la région de Cany-Barville (SIROM de Cany-Barville),

Ù Les arrêtés préfectoraux des 20 février 1975, 10 juin 1975, 13 novembre 1976, 19 juin 1979, 19 mai 1981, 18 novembre 1982, 6 mars 1995, 25 février 1999 et 14 novembre 2000 modifiant les statuts du SIROM de la région de Cany - Barville,

Ù L’arrêté préfectoral du 30 décembre 1999 autorisant la création de la communauté de communes Cœur de Caux,

Ù L’arrêté préfectoral du 21 février 2000 portant notamment représentation substitution de la communauté de communes Cœur de Caux au sein du SIROM de la région de Cany – Barville,

Ù Les délibérations des communes de :

Bennetot 22 octobre 2001 Bermonville 18 octobre 2001 Beuzeville la Guérard 19 octobre 2001 Cléville 18 octobre 2001 29 octobre 2001 08 novembre 2001 19 octobre 2001 26 octobre 2001 Saint Pierre Lavis 27 octobre 2001 Sainte Marguerite sur Fauville 16 octobre 2001 26 octobre 2001 Tremauville 26 octobre 2001

membres de la communauté de communes Cœur de Caux sollicitant leur retrait du SIROM de la région de Cany – Barville

Ù La délibération du 20 septembre 2001 du conseil municipal d’Hautot-le-Vatois sollicitant son retrait du SIROM de la région de Cany-Barville,

Ù La délibération du 14 novembre 2001 du comité syndical du SIROM de la région de Cany Barville acceptant retrait d’Hautot- le-Vatois, ainsi que celui des communes membres de la Communauté de communes Cœur de Caux,

Ù La délibération du 18 décembre 2001 de la communauté de communes Cœur de Caux approuvant le retrait de ses communes du SIROM de la région de Cany-Barville, ainsi que de celle d’Hautot-le-Vatois,

Ù Les délibérations des conseils municipaux de :

Bertheauville 22 décembre 2001 07 décembre 2001 Cany Barville 17 décembre 2001 21 décembre 2001 Malleville les Grés 14 décembre 2001 27 décembre 2001 St Martin aux Buneaux 14 décembre 2001 14 décembre 2001 Veulettes sur Mer 07 décembre 2001 14 décembre 2001 St Vaast Dieppedalle 03 janvier 2002

acceptant le retrait des communes de la communauté de communes Cœur de Caux du SIROM de la région de Cany Barville,

Ù Les délibérations des conseils municipaux de :

Bertheauville 22 décembre 2001 Bennetot 14 décembre 2001 Bermonville 20 décembre 2001 Beuzeville la Guérard 14 décembre 2001 Cléville 20 décembre 2001 Canouville 07 décembre 2001 Cliponville 14 décembre 2001 Cany Barville 17 décembre 2001 Clasville 21 décembre 2001 Foucart 14 décembre 2001 Malleville les Grés 14 décembre 2001 Hattenville 20 décembre 2001 Paluel 27 décembre 2001 St Martin aux Buneaux 14 décembre 2001

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St Pierre Lavis 26 janvier 2002 Sasseville 14 décembre 2001 St Vaast Dieppedalle 03 janvier 2002 Veulettes sur Mer 07 décembre 2001 Ste Marguerite sur Fauville 12 décembre 2001 Vittefleur 14 décembre 2001 Sommesnil 15 décembre 2001

acceptant le retrait de la commune d’Hautot le Vatois du SIROM de la région de Cany Barville,

CONSIDERANT :

Ù que conformément à l’article L-5211-19 du code général des collectivités territoriales, le retrait d’une collectivité ne peut intervenir si plus du tiers des conseils municipaux des communes membres s’y opposent,

Ù que les conditions de majorité requises pour autoriser ces retraits sont atteintes,

Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime,

ARRETE :

Article 1 er : Il est autorisé le retrait des communes de :

BENNETOT BERMONVILLE BEUZEVILLE LA GUERARD CLEVILLE CLIPONVILLE ENVRONVILLE FOUCART HATTENVILLE HAUTOT LE VATOIS SAINT PIERRE LAVIS SAINTE MARGUERITE SUR FAUVILLE SOMMESNIL TREMAUVILLE

du SIROM de la région de Cany Barville,

Article 2 : Les nouveaux statuts du SIROM de la région de Cany-Barville sont rédigés comme suit :

ARTICLE 1er : En application des articles L-5212.1 et suivants du code général des collectivités territoriales, il est formé entre les communes de : l’arrondissement de DIEPPE l’arrondissement du HAVRE

AUBERVILLE LA MANUEL BERTHEAUVILLE BERTREVILLE SAINT VAAST DIEPPEDALLE VENESVILLE CANOUVILLE CANY BARVILLE CLASVILLE GRAINVILLE LA TEINTURIERE MALLEVILLE LES GRES PALUEL SAINT MARTIN AUX BUNEAUX SASSEVILLE VEULETTES SUR MER VITTEFLEUR un syndicat qui prend la dénomination de « Syndicat intercommunal des ordures ménagères de la région de Cany- Barville ».

ARTICLE 2 : Ce syndicat a pour objet :

1° - la collecte, le tri sélectif, la valorisation et le traitement des ordures ménagères et assimilés - le traitement des DIB (déchet industriel banal) - la gestion des déchetteries

2° - l’étude, la réalisation et l’exploitation d’une usine de traitement d’ordures ménagères. Pour l’exercice de cette compétence, le SIROM participera à un syndicat mixte.

ARTICLE 3 : Le siège du syndicat est fixé à la mairie de CANY-BARVILLE.

ARTICLE 4 : Le syndicat est créé pour une durée indéterminée.

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ARTICLE 5 : Le syndicat est administré par un comité composé de délégués élus par les communes à raison de : deux délégués titulaires deux délégués suppléants.

ARTICLE 6 : Le comité élit en son sein un bureau composé de :

* un président * deux vice-présidents * huit membres.

ARTICLE 7 : La participation financière des communes au budget du syndicat est fixée au foyer recensé dans chaque commune comprenant : les résidences principales les résidences secondaires les locaux vacants Par la fréquence de ramassage semaine pour toutes les communes (coefficient 1) sauf Cany Barville (coefficient 1,5).

ARTICLE 8 : Les fonctions de receveur syndical sont exercées par le receveur de CANY-BARVILLE.

ARTICLE 9 : Les présents statuts remplacent les statuts du Syndicat intercommunal des ordures ménagères de la région de Cany-Barville tels qu’ils ressortaient de l’arrêté préfectoral du 14 novembre 2000.

Article 3 : Un exemplaire des statuts sera annexé au présent arrêté.

Article 4 : M. le secrétaire général de la préfecture de Seine-Maritime, M. le sous-préfet du Havre, M. le sous-préfet de Dieppe, M. le président du SIROM de la région de Cany Barville, Madame et Monsieur les présidents des communautés de communes Cœur de Caux et de la région d’Yvetot, Mesdames et Messieurs les maires des communes concernées, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, qui leur sera notifié, ainsi qu’à Madame la présidente de la Chambre régionale des comptes et Monsieur le trésorier payeur général, et publié au recueil des actes administratifs de l’Etat.

Le Préfet, Pour le préfet, et par délégation, Le secrétaire général,

Claude MOREL

Pour ampliation, Pour le chef du 1 er bureau de la DRCLE

S. PETIT

02-0072-Modification des statuts du Syndicat Intercommunal d'Elimination des Ordures Ménagères de la région de Yerville DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES ET DES ELECTIONS

1er Bureau Arrêté préfectoral du 26 juillet 2002 Autorisant la modification des statuts d’un établissement public de coopération intercommunale

LE PRÉFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARITIME ARRETÉ

Objet : Syndicat Intercommunal d’Elimination des Ordures Ménagères de la région de Yerville : modification des statuts

VU : ‹ Le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L-5212.1 et suivants et L-5211.17

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‹ L’arrêté préfectoral du 30 janvier 1976 autorisant la création du syndicat intercommunal de ramassage des ordures ménagères de la région de Yerville

‹ L’arrêté préfectoral du 4 août 1976 autorisant l’adhésion de

‹ L’arrêté préfectoral du 26 octobre 1978 autorisant l’adhésion de

‹ L’arrêté préfectoral du 21 avril 1980 autorisant les adhésions de Criquetot sur Ouville, d’Ectot L’Auber, d’Ectot les Baons, de Grémonville, d’Ouville L’Abbaye et du Saussay

‹ L’arrêté préfectoral du 2 février 1990 autorisant l’adhésion d’Etoutteville

‹ La délibération du 30 novembre 2001 du comité syndical approuvant la nouvelle rédaction des statuts (actualisation)

‹ Les délibérations des conseils municipaux

Ancretiéville Saint Victor du 25 février 2002 Auzouville L’Esneval du 1 er février 2002 du 29 avril 2002 Criquetot sur Ouville du 1 er février 2002 Ecalles Alix du 1 er mars 2002 Ectot L’Auber du 1 er février 2002 Ectot les Baons du 21 mars 2002 Etoutteville du 4 avril 2002 Flamanville du 5 février 2002 Grémonville du 11 mars 2002 Lindebeuf du 28 janvier 2002 du 15 février 2002 Ouville L’Abbaye du 15 février 2002 Saint Martin aux Arbres du 27 mars 2002 Le Saussay du 1 er février 2002 du 1 er février 2002 Yerville du 6 mars 2002

Approuvant la nouvelle rédaction des statuts

CONSIDERANT :

‹ que les conditions de majorité fixées par l’article L-5211.17 du code général des collectivités territoriales sont remplies

ARRETE

Article 1 : Est autorisée la modification des statuts du Syndicat Intercommunal d’Elimination des Ordures Ménagères de la région de Yerville.

Article 2 : Les nouveaux statuts du syndicat sont libellés comme suit :

Article 1 er : En application des dispositions du code général des collectivités territoriales relatives aux établissements publics de coopération intercommunale et notamment les articles L-5212.1 et suivants, il est formé entre les communes de :

ANCRETIEVILLE SAINT VICTOR GREMONVILLE AUZOUVILLE L’ESNEVAL BOURDAINVILLE HUGLEVILLE EN CAUX CIDEVILLE LINDEBEUF CRIQUETOT SUR OUVILLE MOTTEVILLE ECALLES ALIX OUVILLE L’ABBAYE ECTOT L’AUBER SAINT MARTIN AUX ARBRES ECTOT LES BAONS LE SAUSSAY ETOUTTEVILLE VIBEUF FLAMANVILLE YERVILLE

un syndicat qui prend la dénomination de Syndicat Intercommunal d’Elimination des Ordures Ménagères de la région de Yerville.

Article 2 : Le syndicat a pour objet :

La collecte et le traitement des déchets ménagers et assimilés La collecte sélective L’étude, la réalisation et la gestion de déchetteries L’élimination des déchets collectés par le syndicat.

Article 3 : Le siège du syndicat est fixé à la mairie de Yerville.

Article 4 : Le syndicat est créé pour une durée illimitée.

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Article 5 : Le syndicat est administré par un comité composé de délégués élus par les conseils municipaux des communes associées. Chaque commune est représentée au sein du comité par :

Deux délégués titulaires Deux délégués suppléants.

Article 6 : Le comité syndical élit en son sein parmi les délégués qui le composent un bureau constitué comme suit :

Un président Deux vice-présidents Trois membres Un secrétaire.

Article 7 : Le comité syndical décide par délibération du mode de financement nécessaire à la réalisation de l’objet du syndicat.

Article 8 : Les fonctions de receveur du syndicat sont exercées par le receveur de la commune siège.

Article 9 : Dans le cadre de ses compétences, le syndicat pourra adhérer à tout établissement public de coopération intercommunale et sur simple délibération du comité.

Article 3 : Un exemplaire des nouveaux statuts est annexé au présent arrêté.

Article 4 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à monsieur le président du syndicat intercommunal d ‘élimination des ordures ménagères de la région de Yerville. Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat et notifié à mesdames et messieurs les maires des communes associées, à madame la présidente de la Chambre Régionale des Comptes, à monsieur le Trésorier-payeur-général et à monsieur le directeur des Services Fiscaux.

Le Préfet Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général

Claude MOREL

02-0073-Modification des statuts du Syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de la région de Boos

DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES ET DES ELECTIONS

1er Bureau Arrêté interdépartemtental du 4 juin 2002 Autorisant la modification des statuts d’un établissement public de coopération intercommunale

LE PRÉFET LE PREFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE DE L’EURE PREFET DE LA SEINE MARITIME Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de la Légion d’Honneur

Objet : Syndicat intercommunal d’adduction d’eau potable de la région de Boos : modification des statuts

VU : Ù Le code général des collectivités territoriales, notamment les articles L-5211-17 et L-5212-1 et suivants,

Ù L’arrêté préfectoral du 18 février 1932 autorisant la création du syndicat intercommunal d’eau potable de la région de Boos,

Ù Les arrêtés préfectoraux des 9 juillet 1934, 24 juillet 1954, 30 janvier 1956, 20 août 1956, 29 avril 1997 et 23 mai 2001 autorisant la modification des statuts du syndicat intercommunal d’adduction d’eau potable de la région de Boos,

Ù La délibération du comité syndical du 12 décembre 2001 du Syndicat intercommunal d’adduction d’eau potable de la région de Boos approuvant la nouvelle rédaction de l’article 8 des statuts

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Ù Les délibérations des conseils municipaux suivants :

Amfreville-la-Mivoie du 25 janvier 2002 Bonsecours du 31 janvier 2002 Boos du 7 janvier 2002 Franqueville Saint Pierre du 24 janvier 2002 Gouy du 25 janvier 2002 Le Mensil-Esnard du 15 janvier 2002 Montmain du 11 janvier 2002 La Neuville Chant d’Oisel du 29 janvier 2002 Ymare des 14 décembre 2001 et 28 mars 2002 Bourg Beaudouin (27)du 3 mars 2002 Letteguives (27) du 18 janvier 2002 Radepont (27) du 25 février 2002 Vandrimare (27) du 25 mars 2002

approuvant la modification de l’article 8 des statuts.

CONSIDERANT :

Ù conformément à l’article L-5211-17 du code général des collectivités territoriales, le conseil municipal de chaque commune membre dispose d’un délai de trois mois à compter de la notification au maire de la commune de la délibération de l’organe délibérant. A défaut de délibération dans ce délai, sa décision est réputée favorable,

Ù que ce délai de trois mois est écoulé,

ARRETENT

Article 1 er : Est autorisée la modification de l’article 8 des statuts du Syndicat intercommunal d’adduction d’eau potable de la région de Boos.

Article 2 : L’article 8 des statuts est rédigé comme suit :

ARTICLE 8 – Pour tous travaux d’adduction d’eau potable à effectuer dans l’emprise du SIAEP de la région de Boos, le syndicat assurera la maîtrise d’ouvrage : il fera une consultation ou lancera un appel d’offres en fonction du montant des travaux il passera la commande il enverra l’ordre de service il surveillera les travaux il signera le procès-verbal de réception, en association avec la commune, gestionnaire de la voirie, sauf pour les bornes à incendie. il règlera la facture il fera la demande de subvention si la dépense est subventionnable il demandera la participation financière au demandeur (part résiduelle s’il s’agit d’une collectivité, hors subvention et hors TVA)

Les ouvrages réalisés par le syndicat seront financés comme suit :

Renouvellement et renforcement du réseau : à la charge du syndicat.

Extensions de réseaux : à la charge du syndicat, sauf : à l’intérieur des ZAC privées ou publiques, des lotissements privés ou publics, les ouvrages sont à la charge de l’aménageur, pour les propriétés privées, à la charge du demandeur l’amenée du réseau jusqu’au droit du terrain à viabiliser est à la charge de l’aménageur public ou privé ou du propriétaire dans le cas des ZAC ou des zones « N » le raccordement au réseau est à la charge de la parcelle desservie.

Défense incendie : Le syndicat est le maître d'ouvrage pour la canalisation nécessaire.

Le surdimensionnement du réseau est à la charge de la commune Les bornes incendies sont commandées, financées et entretenues par la commune (la borne, le branchement). Les demandes de subvention sont faites conjointement : par le syndicat pour la canalisation par la commune, pour la borne à incendie, le branchement La réception des travaux est conjointe entre la commune et le syndicat

Article 3 : Un exemplaire des statuts actualisés est annexé au présent arrêté.

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Article 4 : M. le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime, Mme la secrétaire générale de la préfecture de l’Eure, M. le président du Syndicat intercommunal d’adduction d’eau potable de la région de Boos, Mesdames et Messieurs les maires des communes concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui leur sera notifié et qui sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat. Le présent arrêté sera également notifié à madame la présidente de la Chambre Régionale des Comptes, à monsieur leTrésorier-payeur-général et à monsieur le directeur des Services Fiscaux.

Le Préfet de l’Eure Le Préfet de la Seine-Maritime Pour le préfet et par délégation Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général Le Secrétaire Général

Colette DESPREZ Claude MOREL

02-0074-extension des compétences, mise en place d'un mécanisme de représentation-substitution pour la communauté de communes du canton de Valmont

DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES ET DES ELECTIONS

1er Bureau Arrêté préfectoral du 10 juin 2002 Autorisant la modification des statuts d’un établissement public de coopération intercommunale

LE PRÉFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARITIME

Objet : Communauté de communes du canton de Valmont : extension des compétences, mise en place d’un mécanisme de représentation-substitution

VU : ‹ Le code général des collectivités territoriales et notamment les articles L.5214-1 et suivants et L.5211-17 ‹ L’arrêté préfectoral du 30 décembre 1999 autorisant la création de la communauté de communes du canton de Valmont ‹ La délibération du 16 novembre 2001 du conseil communautaire relative à la modification des statuts de la communauté de communes (extension des compétences, durée) ‹ Les délibérations des conseils municipaux

Angerville la Martel du 22 novembre 2001 Colleville du 25 janvier 2002 du 17 avril 2002 Criquetot le Mauconduit du 22 février 2002 Ecretteville sur Mer du 8 février 2002 Eletot du 11 décembre 2001 du 18 décembre 2001 du 14 décembre 2001 du 3 décembre 2001 Sassetot le Mauconduit du 21 décembre 2001 du 14 décembre 2001 Sainte Hélène de Bondeville du 14 décembre 2001 Theuville aux Maillots du 21 décembre 2001 Thietreville du 7 décembre 2001 Thérouldeville du 30 novembre 2001 Toussaint du 14 décembre 2001 Valmont du 10 décembre 2001 du 14 décembre 2001 Ypreville-Biville du 25 février 2002 favorables à la modification des statuts de la communauté de communes

‹ La délibération du 31 janvier 2002 du conseil municipal de Saint Pierre en Port adoptant les nouveaux statuts de la communauté de communes mais demandant une modification de l’article 2.1.f ‹ La délibération du 19 février 2002 par laquelle le conseil municipal de s’est abstenu de se prononcer sur la modification proposée

CONSIDERANT :

‹ que les conditions de majorité requises par l’article L.5211-17 du code général sont remplies

ARRETE

Article 1 :

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Est autorisée l’extension des compétences de la communauté de communes du canton de Valmont.

Article 2 : Les nouveaux statuts de la communauté de communes sont libellés comme suit :

Article 1 er : INSTITUTION DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES

En application de la loi 99-586 du 12 juillet 1999 et du code général des collectivités territoriales, il est formé entre les communes de :

ANCRETTEVILLE SUR MER ANGERVILLE LA MARTEL COLLEVILLE CONTREMOULINS CRIQUETOT LE MAUCONDUIT ECRETTEVILLE SUR MER ELETOT GERPONVILLE LIMPIVILLE RIVILLE SAINT PIERRE EN PORT SASSETOT LE MAUCONDUIT SORQUAINVILLE SAINTE HELENE DE BONDEVILLE THEUVILLE AUX MAILLOTS THIERGEVILLE THIETREVILLE THEROULDEVILLE TOUSSAINT VINNEMERVILLE YPREVILLE BIVILLE VALMONT

Qui adhéraient pour la plupart précédemment au SIVOM du canton de Valmont, une communauté de communes qui prend la dénomination de « Communauté de communes du canton de Valmont ».

Article 2 : COMPETENCES

La communauté de communes a pour objet l’exercice des compétences suivantes :

Au titre du développement économique exclusivement :

Aménager et gérer la zone artisanale de Thérouldeville jusqu’à la vente de la dernière parcelle Etudier, aménager et gérer toute nouvelle zone d’activité dont la création aura été décidée par la communauté de communes dans le cadre des périmètres dévolus par les communes d’implantation Acquérir, construire, aménager, gérer des hôtels d’entreprises ou ateliers locatifs destinés à accueillir des petites et moyennes entreprises Action communautaire pour la recherche du développement de l’emploi dans le canton Concevoir, réaliser des équipements touristiques nouveaux d’intérêt communautaire Aménager, entretenir, promouvoir les chemins de randonnées d’intérêt communautaires Aménager des petits équipements touristiques sur la voie « Côte d’Albâtre- Pays de Caux » sur les communes de Colleville, Valmont, Theuville aux Maillots et Riville Réaliser des actions de promotion touristique d’intérêt cantonal Participer aux frais de surveillance des plages de Saint Pierre en Port, les Grandes Dalles, les Petites Dalles

Au titre de l’aménagement de l’espace, exclusivement :

Achat de réserves foncières d’intérêt communautaire Elaboration, suivi, révision d’un schéma de cohérence territoriales (SCOT) en relation avec les cantons voisins ou dans le cadre du Pays des Hautes Falaises Actions d’aménagement rural d’intérêt communautaire Etude, construction et gestion d’une caserne de gendarmerie

Au titre de la protection et de la mise en valeur de l’environnement, exclusivement :

La collecte et le traitement des ordures ménagères et assimilés L’étude, la réalisation, l’exploitation d’une usine de traitement des ordures ménagères et assimilés dans le cadre de la participation de la communauté de communes à un syndicat mixte L’étude, la réalisation et l’exploitation de déchetteries L’étude, la réalisation et l’exploitation de centres de déchets verts La réalisation d’études hydrauliques nécessaires à la gestion des ruissellements

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L’étude, la réalisation, la gestion d’ouvrages nécessaires à la maîtrise des ruissellements Participation à la protection du littoral

Au titre de la construction, de l’entretien et du fonctionnement des équipements culturels et sportifs, exclusivement

Actions d’animation, de soutien et de coordination d’intérêt communautaire en faveur de la petite enfance et des jeunes Actions socio-culturelles d’intérêt cantonal décidées par la communauté de communes et entérinées par les communes membres telle la fête de la lecture Remboursement des emprunts contractés antérieurement pour la construction et l’extension de l’école maternelle de Valmont (dernière échéance le 25 /11 /2003) L’organisation du ramassage scolaire des élèves fréquentant les collèges, les établissements de sections d’étude spécialisée et des élèves d’Ancretteville-sur-Mer fréquentant l’école primaire G. Cuvier de Valmont La construction et la gestion des équipements sportifs ou de tout autre équipement du collège E. Delacroix de Valmont L’organisation du ramassage scolaire pour les regroupements pédagogiques Valmont-Nord et Atout-Vent ainsi que pour le transport des élèves d’Angerville la Martel fréquentant l’école Grâce de Monaco

Au titre du social et de la lutte contre l’exclusion, exclusivement : la gestion du chantier d’insertion « Brigade Verte » remboursement des emprunts contractés antérieurement pour la construction et l’extension de la R.P.A de la résidence « les Pâquerettes » à Sassetot le Mauconduit (dernière échéance le 25/02/2006) coordination de l’animation et de l’action sociale

Article 3 : SIEGE DE LA COMMUNAUTE

Le siège de la communauté est fixé au 18 Route de Valmont à THIERGEVILLE.

Article 4 : DUREE DE LA COMMUNAUTE

La communauté de communes est créée pour une durée indéterminée.

Article 5 : CONSEIL DE COMMUNAUTE

La communauté de communes est administrée par un conseil de communauté composé de délégués élus par les conseils municipaux à raison de :

‹ pour les communes de moins de 500 habitants : deux délégués titulaires et deux suppléants

‹ pour les communes de plus de 500 habitants : trois délégués titulaires et trois suppléants.

Les délégués suppléants ne siègent qu’en l’absence des délégués titulaires.

Le nombre de délégués ne varie pas entre deux renouvellements généraux des conseils municipaux.

Article 6 : BUREAU

Le conseil de communauté élit en son sein un bureau composé d’un président, de trois vice-présidents et de six membres.

Le président et le bureau préparent et exécutent les délibérations de l’établissement public de coopération intercommunale, ordonnent les dépenses et prescrivent l’exécution des recettes de celui-ci.

Article 7 : DISPOSITIONS FINANCIERES

Le conseil de communauté fixe les recettes de la communauté de communes nécessaires à l’exercice de ses compétences, en application des dispositions de l’article L-5214.23 du code général des collectivités territoriales.

Les communes partenaires à l’école maternelle de Valmont verseront à la communauté de communes, le montant des échéances à courir sur l’emprunt de la maternelle (dernière échéance 25.11.2003 – échéance annuelle : 33 467.76F pour 2000-2001-2002 et 30 678.78F pour 2003) au prorata du nombre d’habitants.

Article 8 : RECEVEUR

Les fonctions de receveur de la communauté de communes sont exercées par le chef de poste de la trésorerie de Valmont.

Article 9 : DISSOLUTION DU SIVOM DU CANTON DE VALMONT

Le syndicat intercommunal à vocations multiples du canton de Valmont, créé par arrêté préfectoral du 23.10.1974 est dissout à compter de la date d’installation du conseil de communauté.

Les droits et obligations du SIVOM du canton de Valmont sont repris par la communauté de communes du canton de Valmont notamment le budget de l’exercice en cours qui devient le budget de la communauté de communes, le personnel, les

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biens meubles et immeubles ainsi que tous les actifs sont transférés à la communauté de communes dans les mêmes conditions.

Article 3 : Un exemplaire des nouveaux statuts est annexé au présent arrêté.

Article 4 : En application de l’article L.5214-21 du code général des collectivités territoriales, la communauté de communes du canton de Valmont représentera les communes de : Ancretteville sur Mer, Angerville la Martel, Ecretteville sur Mer, Gerponville, Limpiville, Riville, Sassetot le Mauconduit, Sorquainville, Therouldeville, Theuville aux Maillots, Thiergeville, Thietreville, Valmont, Vinnemerville et Ypreville Biville au sein du Syndicat intercommunal de ramassage scolaire de Valmont.

Article 5 : Le syndicat intercommunal de ramassage scolaire de Valmont devient, en application de l’article L.5214-21 un syndicat mixte au sens de l’article L.5711-1. Ni les attributions du syndicat, ni le périmètre dans lequel il exerce ses attributions ne sont modifiés. Le syndicat intercommunal de ramassage scolaire de Valmont est désormais composé comme suit : Ourville en Caux, communauté de communes du canton de Valmont.

Article 6 : Monsieur le secrétaire général de la préfecture de la Seine-Maritime, monsieur le sous-préfet de Dieppe, monsieur le sous-préfet du Havre, monsieur le président de la communauté de communes du canton de Valmont, monsieur le président du syndicat intercommunal de ramassage scolaire de Valmont sont chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat. Le présent arrêté sera notifié à madame la présidente de la Chambre Régionale des Comptes, à monsieur le Trésorier-payeur-général et à monsieur le directeur des Services Fiscaux.

Le Préfet Pour le préfet et par délégation Le Secrétaire Général

Claude MOREL

1.5. D.R.L.P. ---> Direction de la Réglementation et des Libertés Publiques

02-0061-Desserte de l'aéroport de ROUEN-BOOS par les taxis

Bureau de la circulation Pôle “ examen et suivi des professionnels ”

LE PREFET, de la Région de Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU :

- le code de l’aviation civile, notamment ses articles L. 213-2 et R. 213-6,

- la loi n°95-66 du 20 janvier 1995 relative à l’activité de conducteur et à la profession d’exploitant de taxi ;

- le décret n°95-935 du 17 août 1995 portant application de la loi du 20 janvier 1995 ;

- le décret n°86-427 du 13 mars 1986 portant création de la commission des taxis et des voitures de petite remise,

- l’arrêté du 10 août 2001 règlementant la profession de conducteur de taxi,

- sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine-Maritime ;

A R R Ê T E

67

Article 1er - La desserte de l’aéroport de ROUEN-BOOS est réservée en priorité aux taxis qui sont, à la date de publication du présent arrêté, autorisés à stationner sur les communes de BOOS, BELBEUF et FRANQUEVILLE SAINT PIERRE.

Article 2 - Les taxis des communes membres de la Communauté d’Agglomération Rouennaise, à savoir :

- AMFREVILLE LA MIVOIE, BIHOREL, BOIS-GUILLAUME, BONSECOURS, , CANTELEU, DARNETAL, DEVILLE LES ROUEN, FONTAINE SOUS PREAUX, GRAND-COURONNE, LE GRAND QUEVILLY, , HOUPEVILLE, ISNEAUVILLE, MALAUNAY, MAROMME, LE MESNIL-ESNARD, MONT SAINT AIGNAN, , NOTRE DAME DE BONDEVILLE, OISSEL, PETIT COURONNE, LE PETIT QUEVILLY, RONCHEROLLES SUR LE VIVIER, ROUEN, SAINT AUBIN EPINAY, SAINT ETIENNE DU ROUVRAY, SAINT JACQUES SUR DARNETAL, SAINT LEGER DU BOURG DENIS, SAINT MARTIN DU VIVIER, SOTTEVILLE LES ROUEN, VAL DE LA HAYE, sont également autorisés à stationner sur l’aéroport, sans aucune priorité les uns par rapport aux autres, et stationneront les uns derrière les autres par ordre d’arrivée.

Article 3 - Après la publication du présent arrêté, les taxis qui seront créés sur les communes citées aux articles 1 et 2, en plus du contingent existant, sur décision préfectorale après avis de la commission départementale des taxis, seront autorisés à desservir l’aéroport.

Article 4 - Les emplacements nécessaires au stationnement des taxis précités sont fixés par arrêté préfectoral en date du 25 août 1992 relatif aux mesures de police applicables sur l’aérodrome de ROUEN-BOOS et matérialisés.

Article 5 - Les taxis provenant d’autres communes que celles énumérées aux articles 1 et 2 devront utiliser les emplacements prévus à cet effet pour prendre en charge ou déposer leurs clients sur demande express.

Article 6 - En cas de violation de la règlementation applicable à la profession de l’ensemble des taxis et des taxis de communes non autorisées qui stationneraient en attente de clients sans réservation seront passibles des mesures disciplinaires suivantes : avertissement, suspension ou retrait de la carte professionnelle après avis de la commission des taxis réunie en formation disciplinaire.

Article 7 - Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, le Directeur de la Police aux Frontières sont chargés de l’exécution du présent arrêté, publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de Seine Maritime

ROUEN, le 18 mars 2002

LE PREFET, Pour le Préfet, et par délégation Le Secrétaire Général Pour ampliation, Le Chef de Bureau,

A. AUBRY. Claude MOREL

02-0062-Modification de l'arrêté préfectoral du 22 novembre 1958 concernant le nombre maximum de taxis sur la commune de Criel-sur- Mer

Bureau de la circulation Pôle « examen et suivi des professionnels »

A R R E T E

LE PREFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARTIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

VU :

- la loi du 13 mars 1937 relative à l’organisation du taxi,

- l’arrêté préfectoral du 10 août 2001 portant réglementation de l’industrie du taxi en Seine-Maritime,

- l’arrêté préfectoral en date du 22 novembre 1958 portant création de deux postes de taxi à CRIEL SUR MER,

68

- l’avis favorable émis par M. le Maire de CRIEL SUR MER,

- l’avis de la commission départementale des taxis et des voitures de petite remise en sa séance du 16 mai 2002,

Sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Seine-Maritime

A R R E T E

Article 1er : l’arrêté préfectoral susvisé du 22 novembre 1958 est modifié ainsi qu’il suit - le nombre maximum de taxis autorisés à stationner et à charger sur le territoire de la commune de CRIEL SUR MER est fixé à 1. Article 2 : M. Le Secrétaire Général de la Seine-Maritime, M. le Sous-Préfet de Dieppe et M. le Maire de CRIEL SUR MER sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture.

ROUEN, le 5 juin 2002 Pour ampliation, Le Chef de Bureau, LE PREFET, Pour le Préfet, et par délégation Le Secrétaire Général A. AUBRY. Claude MOREL

02-0063-Abrogation de l'arrêté préfectoral portant création d'un poste de taxi à NOLLEVAL

Bureau de la circulation Pôle « examen et suivi des professionnels » A R R E T E

LE PREFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARTIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

VU :

- la loi du 13 mars 1937 relative à l’organisation du taxi,

- l’arrêté préfectoral du 10 août 2001 portant réglementation de l’industrie du taxi en Seine-Maritime,

- l’arrêté préfectoral en date du 4 avril 1989 portant création d’un poste de taxi à NOLLEVAL,

- l’avis favorable émis par M. le Maire de NOLLEVAL,

- l’avis de la commission départementale des taxis et des voitures de petite remise en sa séance du 16 mai 2002,

Sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Seine-Maritime

A R R E T E

Article 1er : l’arrêté préfectoral portant création d’un poste de taxi à NOLLEVAL est abrogé.

Article 2 : M. Le Secrétaire Général de la Seine-Maritime et M. le Maire de NOLLEVAL sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture.

ROUEN, le 5 juin 2002 Pour ampliation Le Chef de Bureau LE PREFET, Pour le Préfet, et par délégation Le Secrétaire Général A. AUBRY

Claude MOREL

69

02-0064-Abrogation de l'arrêté préfectoral portant création d'un poste de taxi à SAINT MARTIN AU BOSC

ROUEN, le Bureau de la circulation Pôle “ examen et suivi des professionnels ” A R R E T E

LE PREFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARTIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

VU :

- la loi du 13 mars 1937 relative à l’organisation du taxi,

- l’arrêté préfectoral du 10 août 2001 portant réglementation de l’industrie du taxi en Seine-Maritime,

- l’arrêté préfectoral en date du 19 avril 1983 portant création d’un poste de taxi à SAINT-MARTIN AU BOSC,

- l’avis favorable émis par Mme le Maire de SAINT-MARTIN AU BOSC,

- l’avis de la commission départementale des taxis et des voitures de petite remise en sa séance du 16 mai 2002,

Sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Seine-Maritime

A R R E T E

Article 1er : l’arrêté préfectoral portant création d’un poste de taxi à SAINT MARTIN AU BOSC est abrogé. Article 2 : M. Le Secrétaire Général de la Seine-Maritime, M. Le Sous-Préfet de DIEPPE et Mme le Maire de SAINT-MARTIN AU BOSC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture.

ROUEN, le 5 juin 2002 Pour ampliation, Le Chef de Bureau LE PREFET, Pour le Préfet, et par délégation Le Secrétaire Général A. AUBRY Claude MOREL

02-0065-Abrogation de l'arrêté préfectoral portant création d'un poste de taxi à TORCY LE GRAND

ROUEN, le Bureau de la circulation Pôle “ examen et suivi des professionnels ” A R R E T E

LE PREFET DE LA REGION HAUTE NORMANDIE PREFET DE LA SEINE MARTIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

VU :

- la loi du 13 mars 1937 relative à l’organisation du taxi,

- l’arrêté préfectoral du 10 août 2001 portant réglementation de l’industrie du taxi en Seine-Maritime,

- l’arrêté préfectoral en date du 11 mai 1970 portant création d’un poste de taxi à TORCY LE GRAND,

70

- l’avis favorable émis par M. le Maire de TORCY LE GRAND,

- l’avis de la commission départementale des taxis et des voitures de petite remise en sa séance du 16 mai 2002,

Sur proposition de M. le Secrétaire Général de la Seine-Maritime

A R R E T E

Article 1er : l’arrêté préfectoral portant création d’un poste de taxi à TORCY LE GRAND est abrogé. Article 2 : M. Le Secrétaire Général de la Seine-Maritime, M. le Sous-Préfet de DIEPPE et M. le Maire de TORCY LE GRAND sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture.

ROUEN, le 5 juin 2002 Pour ampliation Le Chef de Bureau LE PREFET, Pour le Préfet, et par délégation Le Secrétaire Général A. AUBRY Claude MOREL

02-0066-Clôture du casernement de la brigade de gendarmerie maritime de Dieppe Bureau de la Réglementation générale et des Professions Réglementées

ROUEN, le 29 mai 2002

LE PREFET De la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la légion d’honneur

ARRETE

Objet : Clôture du casernement de la brigade de gendarmerie maritime

VU : Le code des ports maritimes et notamment ses articles R.341 à R.341.7 ;

La lettre du 6 mars 2002 du commandant de la brigade de gendarmerie maritime de DIEPPE sollicitant l’autorisation de mettre en place une clôture autour du casernement de la brigade ;

L’avis du Conseil portuaire en date du 22 mars 2002 ;

L’avis de la Chambre de Commerce et d’Industrie de DIEPPE, concessionnaire de l’outillage public, en date du 29 mars 2002 ;

Sur proposition du Secrétaire général de la Préfecture de la Seine-Maritime.

ARRETE :

Article 1 Est approuvé le projet de clôture du casernement de la brigade de gendarmerie maritime, quai Guynemer à DIEPPE, dont les caractéristiques et le tracé figurent sur le plan annexé au présent arrêté.

Article 2 La circulation publique est interdite en toute circonstance à l’intérieur de la surface enclose. Les fonctionnaires et agents des services publics y auront toutefois accès pour les besoins de leur service.

Article 3 Le présent arrêté sera publié au Recueil des actes administratifs de la Préfecture et affiché sur le port aux lieux accoutumés.

Article 4

71

Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine-Maritime, l’Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Directeur Régional et Départemental de l’Equipement de la Seine-Maritime et le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de DIEPPE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont ampliation leur sera adressée.

Le préfet, Pour le Préfet et par délégation Le Secrétaire Général,

Claude MOREL

Le plan annexé au présent arrêté est consultable dans les services de la Préfecture (D.R.L.P.1), de la Sous-Préfecture de DIEPPE, de la Direction Régionale et Départementale de l’Equipement, de la Chambre de Commerce et d’Industrie de DIEPPE.

A 2002~12-Autorisation à l'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à la société KARCHER LAVAGE AUTO

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~12

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU :

- la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ;

- la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ;

- le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;

- la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ;

- la demande présentée par le directeur de la société KARCHER LAVAGE AUTO sise Z.A. des Petits Carreaux - 5, avenue des Coquelicots - 94865 BONNEUIL SUR MARNE ;

- l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 20 février 2002 ;

Considérant :

- que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ;

- l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R Ê T E :

ARTICLE 1er - La société KARCHER LAVAGE AUTO sise Z.A. des Petits Carreaux - 5, avenue des Coquelicots - 94865 BONNEUIL SUR MARNE est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance sur les sites de ses stations de lavage installées dans les stations service ESSO suivantes : les Abbayes sise 48, rue Raymond Bretèche - 76580 , W. Churchill sise 14, boulevard Winston Churchill - 76600 , Bois au Coq sise 253/255, rue du Bois au Coq - 76620 LE HAVRE.

Le responsable de ce système est le directeur de la société KARCHER.

72

ARTICLE 2 - Aucune image ne pourra être enregistrée.

ARTICLE 3 - Le droit d’accès des tiers se fait auprès du responsable du service après-vente de la société KARCHER.

ARTICLE 4 - Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne mentionnée à l’article 3.

ARTICLE 5 - Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

ARTICLE 6 - La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

ARTICLE 7 - Le secrétaire général de la préfecture, le directeur départemental de la sécurité publique et le commandant du groupement de gendarmerie sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont ampliation sera communiquée au directeur de la société visée à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 29 avril 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~13-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée au bar-tabac 'LE CAMPANELLA' à Rouen

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~13

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU :

- la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ;

- la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ;

- le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;

- la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ;

- la demande présentée par le gérant du bar-tabac "LE CAMPANELLA" sis 15, rue du Renard - 76000 ROUEN ;

- l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

Considérant :

- que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ;

- l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R Ê T E :

73

ARTICLE 1er - Le bar-tabac "LE CAMPANELLA" sis 15, rue du Renard à ROUEN est autorisé à exploiter un système de vidéosurveillance dans les locaux de son établissement. Le responsable de ce système est le gérant de l'établissement.

ARTICLE 2 - Aucune image ne pourra être enregistrée.

ARTICLE 3 - Le droit d’accès des tiers se fait auprès du gérant de l'établissement.

ARTICLE 4 - Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne mentionnée à l’article 3.

ARTICLE 5 - Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

ARTICLE 6 - La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

ARTICLE 7 - Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au gérant de l'établissement visé à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 29 avril 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~14-Autorisation d'exploitation d'un système de surveillance délivrée à la discothèque 'L'EXCALIBUR' sise Hameau du Gal à GREMONVILLE

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~14

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU :

- la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ;

- la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ;

- le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;

- la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ;

- la demande présentée par le directeur de la discothèque "L'EXCALIBUR" sise Hameau du Gal - 76970 GREMONVILLE ;

- l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

Considérant :

- que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ;

- l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

74

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R Ê T E :

ARTICLE 1er - La discothèque "L'EXCALIBUR" sise Hameau du Gal à GREMONVILLE est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance dans les locaux et sur le parking de son établissement. Le responsable de ce système est le directeur de l'établissement.

ARTICLE 2 - Les personnes habilitées à accéder aux images sont : le directeur de l'établissement, le directeur de la société de sécurité.

ARTICLE 3 - Le délai de conservation des images est de 7 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

ARTICLE 4 - Le droit d’accès des tiers se fait auprès du directeur de l'établissement ou du directeur de la société de sécurité.

ARTICLE 5 - Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité des personnes ou du service mentionnés à l’article 4.

ARTICLE 6 - Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 7 - Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

ARTICLE 8 - La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

ARTICLE 9 - Le secrétaire général de la préfecture et le commandant du groupement de gendarmerie, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au directeur de l'établissement visé à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 29 avril 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~15-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à l'établissement CASTORAMA FRANCE S.A. sis centre commercial de la Liberté à BARENTIN

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~15

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

75

VU :

- la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ;

- la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ;

- le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;

- la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ;

- la demande présentée par le directeur de l'établissement CASTORAMA FRANCE S.A. sis centre commercial de la Liberté - 76360 BARENTIN ;

- l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

Considérant :

- que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ;

- l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R Ê T E :

ARTICLE 1er - L'établissement CASTORAMA FRANCE S.A. sis centre commercial de la Liberté à BARENTIN est autorisé à exploiter un système de vidéosurveillance sur le site de son établissement. Le responsable de ce système est le directeur de l'établissement.

ARTICLE 2 - Les personnes habilitées à accéder aux images sont : le directeur de l'établissement, le directeur de gestion.

ARTICLE 3 - Le délai de conservation des images est de 7 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

ARTICLE 4 - Le droit d’accès des tiers se fait auprès du responsable de la sécurité ou de l'accueil de l'établissement.

ARTICLE 5 - Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité des personnes ou du service mentionnés à l’article 4.

ARTICLE 6 - Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 7 - Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

ARTICLE 8 - La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

ARTICLE 9 - Le secrétaire général de la préfecture et le commandant du groupement de gendarmerie, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au directeur de l'établissement visé à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 29 avril 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

76

A 2002~16-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à la boulangerie PERRIER sise 2165, rue Edouard Canneval à SAINT NICOLAS D'ALIERMONT

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~16

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU :

- la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ;

- la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ;

- le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;

- la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ;

- la demande présentée par l'exploitant de la boulangerie PERRIER sise 2165, rue Edouard Canneval - 76510 SAINT NICOLAS D'ALIERMONT ;

- l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

Considérant :

- que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ;

- l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R Ê T E :

ARTICLE 1er - La boulangerie PERRIER sise 2165, rue Edouard Canneval à SAINT NICOLAS D'ALIERMONT est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance dans les locaux de son établissement. Le responsable de ce système est l'exploitant de l'établissement.

ARTICLE 2 - Les personnes habilitées à accéder aux images sont les exploitants de l'établissement.

ARTICLE 3 - Le délai de conservation des images est de 15 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

ARTICLE 4 - Le droit d’accès des tiers se fait auprès des exploitants de l'établissement.

ARTICLE 5 - Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité des personnes ou du service mentionnés à l’article 4.

ARTICLE 6 - Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

77

ARTICLE 7 - Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

ARTICLE 8 - La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

ARTICLE 9 - Le secrétaire général de la préfecture et le commandant du groupement de gendarmerie, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée à l'exploitant de l'établissement visé à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 29 avril 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~17-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à la pharmacie MILLEVILLE RELOT sise 146, rue Saint Sever à ROUEN

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~17

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ; le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par les gérants de la pharmacie MILLEVILLE RELOT sise 146, rue Saint Sever - 76100 ROUEN ; l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : La pharmacie MILLEVILLE RELOT sise 146, rue Saint Sever à ROUEN est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance dans ses locaux.

Les responsables de ce système sont les gérants de l'officine.

Article 2 : Aucune image ne pourra être enregistrée.

78

Article 3 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès des gérants de l'officine.

Article 4 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne ou du service mentionnés à l’article 3.

Article 5 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 6 : La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée aux gérants de l'officine visée à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~18-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à La S.A.R.L. PETRO SAMBRE 'station service BP' sise 2, avenue du Président Allende à CANTELEU

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~18

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ; le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par le gérant de S.A.R.L. PETRO SAMBRE "station service BP" sise 2, avenue du Président Allende - 76380 CANTELEU;

79

l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : La S.A.R.L. PETRO SAMBRE "station service BP" sise 2, avenue du Président Allende à CANTELEU est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance sur son site.

Le responsable de ce système est le gérant de la station service.

Article 2 : La personne habilitée à accéder aux images est le gérant de la station service.

Article 3 : Le délai de conservation des images est de 2 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

Article 4 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès du gérant de la station service.

Article 5 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne ou du service mentionnés à l’article 4.

Article 6 : Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

Article 7 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 8 : La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 9 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au gérant de la station service visée à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques,

Thierry RIBEAUCOURT

80

A 2002~19-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à La société KARCHER LAVAGE AUTO sise Z.A. des Petits Carreaux - 5, avenue des Coquelicots - 94865 BONNEUIL SUR MARNE

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~19

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ; le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par le directeur de la société KARCHER LAVAGE AUTO sise Z.A. des Petits Carreaux - 5, avenue des Coquelicots - 94865 BONNEUIL SUR MARNE ; l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : La société KARCHER LAVAGE AUTO sise Z.A. des Petits Carreaux - 5, avenue des Coquelicots - 94865 BONNEUIL SUR MARNE est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance sur le site de sa station de lavage installée dans la station service ESSO Les Coquets sise 24 avenue Mont aux Malades à MONT SAINT AIGNAN (76130).

Le responsable de ce système est le directeur de la société KARCHER.

Article 2 : Aucune image ne pourra être enregistrée.

Article 3 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès du responsable du service après-vente de la société KARCHER.

Article 4 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne mentionnée à l’article 3.

Article 5 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 6 :

81

La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au directeur de la société visée à l'article 1 er du présent arrêté.

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~20-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à LA DIRECTION DE LA POSTE DE LA SEINE-MARITIME

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~20

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ; le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par le coordonnateur de sécurité de la DIRECTION DE LA POSTE DE LA SEINE MARITIME sise 6, boulevard de la Marne - 76000 ROUEN ; l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : LA DIRECTION DE LA POSTE DE LA SEINE-MARITIME sise 6, boulevard de la Marne à ROUEN est autorisée à exploiter un système de vidéosurveillance dans les locaux de chacune des agences suivantes :

LA POSTE sise route de Lyons à SAINT LEGER DU BOURG DENIS, LA POSTE sise 36, rue Mustel à ROUEN, LA POSTE sise 1, rue Carnot à YVETOT.

Les responsables de ces systèmes sont les chefs d’agence respectifs.

82

Article 2 : Il appartiendra au bénéficiaire de la présente autorisation de transmettre une copie dudit arrêté respectivement au directeur de chacune des agences susnommées.

Article 3 : Les personnes habilitées à accéder aux images sont le coordonnateur de sécurité et le responsable local de chaque bureau de poste.

Article 4 : Le délai de conservation des images est de 7 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

Article 5 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès du responsable local du bureau de poste.

Article 6 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne ou du service mentionnés à l’article 5.

Article 7 : Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

Article 8 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 9 : La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 10 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique et le commandant du groupement de gendarmerie sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au gérant de la station service visée à l'article 1er du présent arrêté.

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~21-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à l'établissement 'AU BON PAIN' (boulangerie-patisserie) sise 4, rue Jehan de Crouchy à HARFLEUR

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~21

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

83

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ; le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par l'exploitant de l'établissement "AU BON PAIN" (boulangerie-patisserie) sise 4, rue Jehan de Crouchy - 76700 HAFLEUR ; l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : L'établissement "AU BON PAIN" (boulangerie-patisserie) sise 4, rue Jehan de Crouchy à HARFLEUR est autorisé à exploiter un système de vidéosurveillance dans ses locaux.

Les responsables de ce système sont les exploitants de l'établissement.

Article 2 : Les personnes habilitées à accéder aux images sont les exploitants de l'établissement.

Article 3 : Le délai de conservation des images est de 1 jour. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

Article 4 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès des exploitants de l'établissement.

Article 5 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne ou du service mentionnés à l’article 4.

Article 6 : Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

Article 7 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 8 : La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 9 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée aux exploitants de l'établissement visé à l'article 1er du présent arrêté.

84

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~22-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance délivrée à l'établissement 'FOOT LOCKER ' sis 148, rue du Gros Horloge à ROUEN

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~22

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ; le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par le responsable de l'établissement "FOOT LOCKER " sis 148, rue du Gros Horloge - 76000 ROUEN; l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : L'établissement "FOOT LOCKER " sis 148, rue du Gros Horloge à ROUEN est autorisé à exploiter un système de vidéosurveillance sur son site.

Le responsable de ce système est l'exploitant de l'établissement.

Article 2 : Les personnes habilitées à accéder aux images sont : le responsable,

85

le responsable adjoint, le responsable régional de l'établissement.

Article 3 : Le délai de conservation des images est de 7 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

Article 4 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès du responsable de l'établissement.

Article 5 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne ou du service mentionnés à l’article 4.

Article 6 : Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

Article 7 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 8 : La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 9 : Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au responsable de l'établissement visé à l'article 1er du présent arrêté.

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

A 2002~23-Autorisation d'exploitation d'un système de vidéosurveillance dékivrée au CONSEIL REGIONAL DE HAUTE NORMANDIE

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

Bureau des Professions Réglementées - DBA - ( : 02.32.76.53.20

VIDEOSURVEILLANCE autorisation d’exploitation n° A 2002~23

ARRÊTÉ

LE PREFET de la Région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’Honneur

VU : la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal ; la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité, notamment son article 10 ;

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le décret n° 96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéosurveillance pris pour l’application de l’article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; la circulaire NOR INTD 9600124 C du 22 octobre 1996 ; la demande présentée par le président du CONSEIL REGIONAL DE HAUTE NORMANDIE sis 25, boulevard Gambetta - 76000 ROUEN; l'arrêté n° A 99~50 du 13 octobre 1999 autorisant l'exploitation d'un système de vidéosurveillance sans enregistrement d'images dans l'établissement susvisé ; la déclaration de modification du système de vidéosurveillance présentée par le président du CONSEIL REGIONAL DE HAUTE NORMANDIE sis 25, boulevard Gambetta - 76000 ROUEN ; l’avis de la commission départementale de vidéosurveillance de la Seine-Maritime du 17 avril 2002 ;

CONSIDERANT : que la finalité du système répond aux critères de la législation en vigueur ; l’information prévue à l’intention du public sur l’existence du dispositif de vidéosurveillance ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : Le CONSEIL REGIONAL DE HAUTE NORMANDIE est autorisé à exploiter un système de vidéosurveillance dans ses locaux sis 25, boulevard Gambetta à ROUEN. Le responsable de ce système est le président du CONSEIL REGIONAL.

Article 2 : Les personnes habilitées à accéder aux images sont : le chef du service logistique, le responsable du département technique le directeur des services généraux.

Article 3 : Le délai de conservation des images est de 7 jours. Passé ce délai, qui ne pourra en aucun cas dépasser la durée d'un mois, les images enregistrées seront impérativement détruites.

Toutes les précautions seront prises par les responsables du système afin que la plus grande confidentialité des images enregistrées soient garanties préalablement à leur destruction.

Celles-ci devront, à cet effet, être conservées dans un local fermant à clé et dont l’accès sera étroitement surveillé et limité aux seules personnes habilitées ci-dessus, ainsi qu’aux autorités publiques appelées à intervenir dans le cadre d’une instruction judiciaire.

Article 4 : Le droit d’accès des tiers se fait auprès du chef du service logistique.

Article 5 : Le titulaire de la présente autorisation est tenu d’informer le public quant à l’existence du système de vidéosurveillance. Cette information devra également renseigner le public sur les modalités d’accès aux images et sur les nom et qualité de la personne ou du service mentionnés à l’article 4.

Article 6 : Le titulaire de la présente autorisation est chargé de tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

Article 7 : Toute modification du dossier initial devra faire l’objet d’une déclaration, sans délais, auprès de la préfecture. Toute omission pourra justifier le retrait de la présente autorisation, sans préjudice des sanctions prévues à l’article 10-VI de la loi susvisée.

Article 8 : La présente autorisation est susceptible de recours devant le tribunal administratif de ROUEN, dans un délai de 2 mois suivant sa publication au recueil des actes administratifs du département de la Seine-Maritime.

Article 9 : Le présent arrêté abroge l'arrêté n° A 99~50 du 13 octobre 1999.

Article 10 :

87

Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la sécurité publique sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté, dont copie sera communiquée au président du CONSEIL REGIONAL DE HAUTE NORMANDIE.

ROUEN, le 22 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

02-0069-Retrait d'autorisations de fonctionnement délivrées aux entreprises privées de sécurité S.A.R.L. SECUR-PARTNER PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES BUREAU DE LA REGLEMENTATION ET DES PROFESSIONS REGLEMENTEES - DBA - ( : 02.32.76.53.20

LE PREFET de la région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’honneur

A R R E T E

Objet : RETRAIT D'UNE AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D’UNE ENTREPRISE DE SURVEILLANCE, DE GARDIENNAGE OU DE TRANSPORT DE FONDS

VU : la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 réglementant les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds, notamment son article 7 ; le décret n° 86-1058 du 26 septembre 1986 relatif à l’autorisation administrative et au recrutement des personnels des entreprises de surveillance et de gardiennage, de transport de fonds et de protection de personnes, notamment ses articles 5 et 6 ; l’arrêté préfectoral n° 60 du 24 avril 1997 autorisant l’entreprise privée de sécurité S.A.R.L. SECUR-PARTNER sise 32, rue du Pré de la Bataille - 76000 ROUEN à exercer les activités privées de gardiennage et de surveillance ; l’arrêté préfectoral n° 84 du 8 juin 1999 autorisant l’entreprise privée de sécurité S.A.R.L. SECUR-PARTNER sise 13, rue Auguste Houzeau - 76000 ROUEN à exercer les activités privées de gardiennage et de surveillance ; l’arrêté préfectoral n° 168 du 8 juin 1999 autorisant l’entreprise privée de sécurité S.A.R.L. SECUR-PARTNER sise 2, rue Hilaire Colombel - 76600 LE HAVRE à exercer les activités privées de gardiennage et de surveillance ;

CONSIDERANT : le procès verbal des décisions prises par la société SECUR-PARTNER du 5 octobre 2001 ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : Les autorisations administratives de fonctionnement délivrées aux entreprises privées de sécurité S.A.R.L. SECUR-PARTNER par les arrêtés préfectoraux n° 60 du 27 avril 1997, n° 84 et n° 168 du 8 juin 1999 susvisés, en vue d'exercer les activités privées de gardiennage et de surveillance sont retirées à compter de la date du présent arrêté.

Article 2 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Article 3 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur départemental de la sécurité publique, le commandant le groupement de gendarmerie, les greffiers des tribunaux de commerce de ROUEN et du HAVRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié aux dirigeants des entreprises visées à l’article 1 er .

ROUEN, le 5 juin 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

88

1002-Autorisation de fonctionnement d'une entreprise de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds concernant l'entreprise privée de sécurité EUROVALEURS sise 32, rue du Pré de la Bataille - 76000 ROUEN

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

BUREAU DE LA REGLEMENTATION ET DES PROFESSIONS REGLEMENTEES - DBA - ( : 02.32.76.53.20

LE PREFET de la région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’honneur

A R R E T E

Objet : AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D’UNE ENTREPRISE DE SURVEILLANCE, DE GARDIENNAGE OU DE TRANSPORT DE FONDS n° 1002

VU : la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 réglementant les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds, notamment son article 7 ; le décret n° 86-1058 du 26 septembre 1986 relatif à l’autorisation administrative et au recrutement des personnels des entreprises de surveillance et de gardiennage, de transport de fonds et de protection de personnes, notamment ses articles 5 et 6 ; la demande présentée par M. CANU, en vue d’obtenir l’autorisation de fonctionnement de l’entreprise privée de sécurité, dénommée EUROVALEURS sise 32, rue du Pré de la Bataille - 76000 ROUEN ;

CONSIDERANT : que l’entreprise privée de sécurité EUROVALEURS est constituée conformément à la législation en vigueur ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : L’entreprise privée de sécurité EUROVALEURS sise 32, rue du Pré de la Bataille - 76000 ROUEN, est autorisée à exercer les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds telles que définies à l’article 1er de la loi du 12 juillet 1983 susvisée, à compter de la date du présent arrêté.

Article 2 : L’entreprise privée de sécurité visée à l’article 1er , ne peut en aucun cas exercer l'activité de protection de personnes.

Article 3 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur départemental de la sécurité publique, le commandant le groupement de gendarmerie, le greffier du tribunal de commerce de ROUEN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au dirigeant de l'entreprise visée à l’article 1 er .

ROUEN, le 5 juin 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

89

1003-Autorisation de fonctionnement d'une entreprise de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds concernant l'entreprise privée de sécurité EUROVALEURS sise 13, rue Auguste Houzeau - 76000 ROUEN

PREFECTURE DE LA SEINE-MARITIME

DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES LIBERTES PUBLIQUES

BUREAU DE LA REGLEMENTATION ET DES PROFESSIONS REGLEMENTEES - DBA - ( : 02.32.76.53.20

LE PREFET de la région Haute-Normandie Préfet de la Seine-Maritime Officier de la Légion d’honneur

A R R E T E

Objet : AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D’UNE ENTREPRISE DE SURVEILLANCE, DE GARDIENNAGE OU DE TRANSPORT DE FONDS n° 1003

VU : la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 réglementant les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds, notamment son article 7 ; le décret n° 86-1058 du 26 septembre 1986 relatif à l’autorisation administrative et au recrutement des personnels des entreprises de surveillance et de gardiennage, de transport de fonds et de protection de personnes, notamment ses articles 5 et 6 ; la demande présentée par M. CANU, en vue d’obtenir l’autorisation de fonctionnement de l’entreprise privée de sécurité, dénommée EUROVALEURS sise 13, rue Auguste Houzeau - 76000 ROUEN ;

CONSIDERANT : que l’entreprise privée de sécurité EUROVALEURS est constituée conformément à la législation en vigueur ;

Sur proposition du secrétaire général ;

A R R E T E :

Article 1 : L’entreprise privée de sécurité EUROVALEURS sise 13, rue Auguste Houzeau - 76000 ROUEN, est autorisée à exercer les activités privées de surveillance, de gardiennage et de transport de fonds telles que définies à l’article 1er de la loi du 12 juillet 1983 susvisée, à compter de la date du présent arrêté.

Article 2 : L’entreprise privée de sécurité visée à l’article 1er , ne peut en aucun cas exercer l'activité de protection de personnes.

Article 3 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs du département.

Article 4 : Le secrétaire général de la préfecture, le directeur départemental de la sécurité publique, le commandant le groupement de gendarmerie, le greffier du tribunal de commerce de ROUEN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié au dirigeant de l'entreprise visée à l’article 1 er .

ROUEN, le 5 juin 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, le Directeur de la Réglementation et des Libertés Publiques, Thierry RIBEAUCOURT

90

1.6. S.I.R.A.C.E.D. - P.C. -> Service Interministériel Régional des Affaires Civiles et Econ. de Défense

02-0023-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers LE PREFET DE LA REGION DE HAUTE-NORMANDIE PREFET DE LA SEINE-MARITIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

V U :

- Le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

- Le décret n° 97-48 du 20 janvier 1997 portant diverses mesures relatives au secourisme;

- L’arrêté du 8 novembre 1991 modifié, relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

L’arrêté du 18 décembre 1992, relatif à la liste d’aptitude des Membres des jurys d’examens des Premiers Secours ;

- L’arrêté du 8 mars 1993, relatif à la formation aux activités de Premiers Secours Routiers ;

- L’arrêté préfectoral du 26 janvier 2001 relatif à la constitution des jurys d’examens de secourisme ;

- L'arrêté préfectoral du 5 juillet 2001 modifiant l'arrêté du 26 janvier 2001

Sur proposition de Madame le Directeur du SIRACED-PC,

A R R E T E

Article 1er : La composition du jury de l’examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers qui se déroulera le vendredi 28 juin 2002 à 17H00 à St Aubin les Elbeuf est arrêtée comme suit :

- Fabien ARTAUD, Président du jury, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. le Docteur Pascal CAMPBELL, Médecin au sein du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Yannick LEBRET, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Pierre COURONNET, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Stéphane LEGRAND, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

- M. Philippe LEBAS, Suppléant, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

Article 2 : M. le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet et Mme. le Directeur du SIRACED-PC sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.

A Rouen, le 27 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

Antoine GUERIN

91

02-0025-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers à Malaunay LE PREFET DE LA REGION DE HAUTE-NORMANDIE PREFET DE LA SEINE-MARITIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

V U :

- Le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

- Le décret n° 97-48 du 20 janvier 1997 portant diverses mesures relatives au secourisme;

- L’arrêté du 8 novembre 1991 modifié, relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

L’arrêté du 18 décembre 1992, relatif à la liste d’aptitude des Membres des jurys d’examens des Premiers Secours ;

- L’arrêté du 8 mars 1993, relatif à la formation aux activités de Premiers Secours Routiers ;

- L’arrêté préfectoral du 26 janvier 2001 relatif à la constitution des jurys d’examens de secourisme ;

- L'arrêté préfectoral du 5 juillet 2001 modifiant l'arrêté du 26 janvier 2001

Sur proposition de Madame le Directeur du SIRACED-PC,

A R R E T E

Article 1er : La composition du jury de l’examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers qui se déroulera le samedi 29 juin 2002 à 17H00 à Malaunay est arrêtée comme suit :

- Rémy CARON, Président du jury, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. le Docteur Thierry SENEZ, Médecin au sein du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Philippe ANQUETIL, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- Mme Vanessa TRAN , Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Pierre COURONNET, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

- M. Laurent DARAGON, Suppléant, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

Article 2 : M. le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet et Mme. le Directeur du SIRACED-PC sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.

A Rouen, le 27 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

Antoine GUERIN

92

02-0026-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers à Neufchâtel en Bray LE PREFET DE LA REGION DE HAUTE-NORMANDIE PREFET DE LA SEINE-MARITIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

V U :

- Le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

- Le décret n° 97-48 du 20 janvier 1997 portant diverses mesures relatives au secourisme;

- L’arrêté du 8 novembre 1991 modifié, relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

L’arrêté du 18 décembre 1992, relatif à la liste d’aptitude des Membres des jurys d’examens des Premiers Secours ;

- L’arrêté du 8 mars 1993, relatif à la formation aux activités de Premiers Secours Routiers ;

- L’arrêté préfectoral du 26 janvier 2001 relatif à la constitution des jurys d’examens de secourisme ;

- L'arrêté préfectoral du 5 juillet 2001 modifiant l'arrêté du 26 janvier 2001

Sur proposition de Madame le Directeur du SIRACED-PC,

A R R E T E

Article 1er : La composition du jury de l’examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers qui se déroulera le samedi 29 juin 2002 à 08H00 à Neufchâtel en Bray est arrêtée comme suit :

- Rémy CARON, Président du jury, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. le Docteur Thierry SENEZ, Médecin au sein du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Frédéric PIGNY, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Fabrice KASPERSKY , Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- Mme Isabelle MORCAMP, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

- M. Sébastien DORAY, Suppléant, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

Article 2 : M. le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet et Mme. le Directeur du SIRACED-PC sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.

A Rouen, le 29 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

Antoine GUERIN

93

02-0028-Abrogation de l'arrêté préfectoral du 29 mai 2002 relatif à la composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers

LE PREFET DE LA REGION DE HAUTE-NORMANDIE PREFET DE LA SEINE-MARITIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

V U :

- Le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

- Le décret n° 97-48 du 20 janvier 1997 portant diverses mesures relatives au secourisme;

- L’arrêté du 8 novembre 1991 modifié, relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

L’arrêté du 18 décembre 1992, relatif à la liste d’aptitude des Membres des jurys d’examens des Premiers Secours ;

- L’arrêté du 8 mars 1993, relatif à la formation aux activités de Premiers Secours Routiers ;

- L’arrêté préfectoral du 26 janvier 2001 relatif à la constitution des jurys d’examens de secourisme ;

- L'arrêté préfectoral du 5 juillet 2001 modifiant l'arrêté du 26 janvier 2001

Sur proposition de Madame le Directeur du SIRACED-PC,

A R R E T E

Article 1er : L’arrêté préfectoral du 29 mai 2002 relatif à la composition du jury de l’examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers qui se déroulera le samedi 29 juin 2002 à 8H00 à Neufchâtel en Bray est abrogé.

Article 2 : La composition du jury de l’examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours Routiers qui se déroulera le samedi 29 juin 2002 à 8H00 à Neufchâtel en Bray est arrêtée comme suit :

- Rémy CARON, Président du jury, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. le Docteur Thierry SENEZ, Médecin au sein du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Frédéric PIGNY, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- M. Fabrice KASPERSKY , Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours ;

- Mme Isabelle MORCAMP, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

- M. Fabrice LAGNEL, Suppléant, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours;

Article 3 : M. le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet et Mme. le Directeur du SIRACED-PC sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.

A Rouen, le 31 mai 2002

Le Préfet, Pour le Préfet et par délégation, Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

Antoine GUERIN

94

02-0029-Composition du jury de l'examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours en Equipe à Sotteville les Rouen

LE PREFET DE LA REGION DE HAUTE-NORMANDIE PREFET DE LA SEINE-MARITIME OFFICIER DE LA LEGION D’HONNEUR

V U :

- Le décret n° 91-834 du 30 août 1991 relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

- Le décret n° 97-48 du 20 janvier 1997 portant diverses mesures relatives au secourisme;

- L’arrêté du 8 novembre 1991 modifié, relatif à la Formation aux Premiers Secours ;

- L’arrêté du 18 décembre 1992, relatif à la liste d’aptitude des Membres des jurys d’examens des Premiers Secours ;

- L’arrêté préfectoral du 26 janvier 2001 relatif à la constitution des jurys d’examens de secourisme

- L'arrêté préfectoral du 5 juillet 2001 modifiant l'arrêté du 26 janvier 2001

Sur proposition de Madame le Directeur du SIRACED-PC,

A R R E T E

Article 1er : La composition du jury de l’examen du Certificat de Formation aux Activités de Premiers Secours en Equipe qui se déroulera le mercredi 26 juin 2002 à 14H00 à Sotteville les Rouen est arrêtée comme suit :

M. Daniel HEROUARD, Président de jury,

- M. le Docteur Thierry SENEZ, Personne qualifiée, Médecin au sein du Service Départemental d’Incendie et de Secours,

- Mme Karine MATEO, Moniteur National des Premiers Secours, Membre de la Société Nationale de Sauvetage en Mer de Rouen,

- M. Thierry BIRTEGUE, Moniteur National des Premiers Secours, Membre du Service Départemental d’Incendie et de Secours,

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- M. Christophe TRANCHARD, Moniteur National des Premiers Secours, Membre de l’Union Départementale des Sapeurs-Pompiers,

- Mlle Pascale MARIE, Suppléant, Moniteur National des Premiers Secours, Membre de la Société Nationale de Sauvetage en Mer de Rouen,

Article 2 : M. le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet et Mme le Directeur du SIRACED-PC sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.

A Rouen, le 10 juin 2002

Le Préfet, P/ le Préfet et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

Antoine GUERIN

2. PREFECTURE DE LA ZONE DE DEFENSE OUEST

2. 1. Etat-Major

02-004-Modification de la liste zonale d'habilitation des experts des services d'incendie et de secours

ETAT-MAJOR DE LA ZONE DE DEFENSE

A R R E T E n° 02-004 modifiant la liste zonale d'habilitation des experts des services d'incendie et de secours

LE PREFET DE LA ZONE DE DEFENSE OUEST PREFET DE LA REGION BRETAGNE PREFET D’ILLE-ET-VILAINE

VU le décret n° 99-1039 du 10 décembre 1999 relatif aux sapeurs-pompiers volontaires ;

VU l'arrêté ministériel du 06 mai 2000 relatif aux sapeurs-pompiers volontaires experts ;

VU l'arrêté préfectoral SGZDSC n° 01-002 du 9 mars 2001 établissant la liste zonale d'habilitation des experts des services d'incendie et de secours ;

VU le procès-verbal de la réunion de la commission d'habilitation des experts des services d'incendie et de secours en date du 22 mai 2002.

A R R E T E

ARTICLE 1 er – La liste zonale d'habilitation des experts des services d'incendie et de secours du 9 mars 2001 est modifiée comme suit : suppression d'une habilitation :

M. CORNIC Didier, expert en risques chimiques du service d'incendie et de secours d'Indre-et-Loire

b) nouvelles habilitations :

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SDIS 37 Experts pour le suivi des contraintes psychologiques : Mme LOUVEAU Virginie Melle MILLET Anne-Laure

SDIS 45 Expert pour le suivi des contraintes psychologiques : M. BOUSSANGE Stéphane Melle PORRAS Joana

SDIS 61 Expers pour le suivi des contraintes psychologiques : Mme PAILLASSE Marie-Laure

ARTICLE 2 – Les experts énumérés à l'article précédent sont inscrits pour une durée de 5 ans à compter de la date de notification du présent arrêté aux directeurs départementaux des services d'incendie et de secours. Le renouvellement de cette inscription devra être sollicitée par l'autorité d'emploi de l'expert au moins 3 mois avant la date d'échéance.

ARTICLE 3 – Messieurs les préfets des départements d'Indre-et-Loire, du Loiret et de l'Orne et messieurs les présidents des conseils d'administration des services départementaux d'incendie et de secours des mêmes départements sont chargés de l'exécution du présent arrêté.

RENNES, le 4 juin 2002

Pour le Préfet et par délégation Le préfet délégué pour la sécurité et la défense

Rémi THUAU

Pour ampliation Pour le préfet et par délégation

Colonel G. COURTOIS 3. SOUS-PREFECTURE DU HAVRE

3.1. Bureau des Relations avec les Collectivités Locales

02-0035-Modification des statuts du syndicat intercommunal à vocation scolaire du Regroupement Pédagogique Intercommunal « ATOUTS VENTS »

SOUS-PREFECTURE DU HAVRE Bureau des Relations avec les Collectivités Locales et des Elections

A R R E T E

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LE PREFET DE LA REGION DE HAUTE-NORMANDIE PREFET DE LA SEINE-MARITIME OFFICIER DE LA LEGION D'HONNEUR,

V U :

- le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment les articles L.5212-1 et suivants ; l’arrêté préfectoral du 20 décembre 1999 autorisant la création du Syndicat Intercommunal à Vocation Scolaire du Regroupement Pédagogique Intercommunal « Atouts Vents ». la délibération du Comité syndical du 15 mars 2002 demandant la modification de l’article 2 des statuts du syndicat.

- les délibérations concordantes des conseils municipaux de :

- LIMPIVILLE du 4 avril 2002 - SORQUAINVILLE du - THIETREVILLE du 18 avril 2002 - THIERGEVILLE du 19 avril 2002 - YPREVILLE-BIVILLE du

adoptant la modification de l’article 2 des statuts du syndicat.

- l'arrêté n° 99.104 du 16 décembre 1999 donnant délégation de signature à Monsieur Richard SAMUEL Sous-Préfet du Havre .

CONSIDERANT : que les conditions de majorité fixées par l’article L.5211.17 du code général des collectivités territoriales sont remplies.

A R R Ê T E :

ARTICLE 1er : Est autorisée la modification de l’article 2 des statuts du syndicat intercommunal à vocation scolaire du Regroupement Pédagogique Intercommunal « ATOUTS VENTS ».

ARTICLE 2 : l’article 2 des statuts du syndicat est ainsi rédigé :

« ce syndicat a pour objet le fonctionnement des écoles maternelles et primaires comprenant : la gestion du personnel ATSEM de restauration scolaire, les frais administratifs, les fournitures scolaires, les fournitures de bureau, les assurances et frais postaux, le matériel pédagogique, la gestion d’un restaurant scolaire, le mobilier scolaire (tables et chaises des élèves) les activités péri-éducatives et socio-culturelles à intérêt intercommunal »

ARTICLE 3 : Un exemplaire des statuts sera annexé au présent arrêté.

ARTICLE 4 : Madame la Présidente du Syndicat, Mme et MM. les Maires des communes membres sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont ampliation leur sera transmise.

LE HAVRE, le 27 mai 2002

LE PREFET POUR LE PREFET ET PAR DELEGATION LE SOUS-PREFET DU HAVRE

Richard SAMUEL

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02-0039-STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL A VOCATION SCOLAIRE DU REGROUPEMENT PEDAGOGIQUE INTERCOMMUNAL 'ATOUTS VENTS', Annexe de l'arrêté préfectoral du 27 mai 2002

STATUTS DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL A VOCATION SCOLAIRE DU REGROUPEMENT PEDAGOGIQUE INTERCOMMUNAL "ATOUTS VENTS"

Article 1er : En application des articles L 5212-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales il est formé entre les Communes de

Limpiville Sorquainville Thiergeville Thietreville Ypreville-Biville

un syndicat qui prend la dénomination de " SIVOS DU R.P.I. Atouts Vents"

Article 2 : Ce syndicat a pour objet le fonctionnement des écoles maternelles et primaires comprenant :

- la gestion du personnel ATSEM de restauration scolaire, - les frais administratifs, - les fournitures scolaires, - les fournitures de bureau, - les assurances, frais postaux, - le matériel pédagogique, - la gestion d'un restaurant scolaire. - le mobilier scolaire (tables et chaises des élèves) - les activités péri-éducatives et socio-culturelles à intérêt intercommunal.

Article 3 : le siège du syndicat est fixé à la mairie du domicile du Président.

Article 4 : Le syndicat est créé pour une durée indéterminée.

Article 5 : Le syndicat est administré par un comité composé de délégués élus par les conseils municipaux de chaque commune du syndicat à raison de deux délégués titulaires, et deux délégués suppléants qui ne siègent qu'en l'absence des délégués titulaires.

Article 6 : Le comité élit en son sein un bureau composé de :

- 1 président - 1 vice-président - 3 membres.

Le syndicat délèguera cinq représentants au Conseil d'Ecole.

Article 7 : La contribution des communes est fixée au prorata du nombre d'habitants de chaque commune tel qu'il ressort du dernier recensement général ou complémentaire dûment homologué.

Article 8 : Les fonctions de receveur syndical sont exercées par le chef de poste de la trésorerie de VALMONT.

VU pour être annexé à l'arrête préfectoral du 27 mai 2002 Le Préfet Pour le Préfet et par délégation Le Sous-Préfet du Havre

Richard SAMUEL

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