Ministère de l’Environnement de l’Habitat et de l’Urbanisme
Délégation à l’Aménagement du Territoire
Mission d’Identification des « régions » comme unités de planification territoriale et de gestion du développement au Bénin.
Rapport final
LARES- Avril 2005
Table des matières
Introduction…………………………………………………………………………..3 1- Objectif du travail…………………………………………………………………4 2- Démarche méthodologie…………………………………………………………...4 3- Les Espaces de développement partagé…………………………………………..5 3-1- Définition…………………………………………………………………5 3-2- Les scénarios alternatifs…………………………………………………6 4- Esquisse d’Espaces de développement Partagé………………………………….9 4-1- la Vallée du Niger……………………………………………………….10 4-2- Pays des trois rivières …………………………………………………..12 4-3- Pays des monts du Borgou……………………………………………...14 4-4- Cœur du Pays Bariba…………………………………………………...16 4-5- Ouémé supérieur……………………………………………………..…18 4-6-Pays de la Pendjari………………………………………………………20 4-7-Pays de la Mékrou……………………………………………………….22 4-8-L’Atacora………………………………………………………………...24 4- 9-La Donga………………………………………………………………...26 4-10-Pays de l’Okpara……………………………………………………….28 4-11-Pays des 41 Collines……………………………………………………30 4-12- Pays du Pacte de Terre………………………………………………..32 4-13-Plateau du Danxomè…………………………………………………...34 4-14-Pays Agonli……………………………………………………………..36 4-15-Le Mono………………………………………………………………...38 4-16-Le Moyen Couffo………………………………………………………40 4-17-Zone Interlacustre……………………………………………………..42 4-18-Pays Nagot……………………………………………………………..44 4-19-Vallée de l’Ouémé……………………………………………………..46 4-20-Pays Gun……………………………………………………………….48 4-21-Pays de la Lama……………………………………………………….50 4-22-Le Littoral……………………………………………………………...52 4-23- Le Pays du Vodoun…………………………………………………...54
Introduction Générale
La décentralisation de l’administration territoriale a relancé depuis peu le débat sur les questions relatives au contenu et à la dimension du développement. Si le consensus est quasiment réalisé, non seulement sur la nécessité d’opter pour un développement humain durable, mais aussi surtout sur le contenu à donner à celui-ci, il subsiste des divergences sur la démarche et les stratégies à mettre en œuvre pour réaliser cet objectif. En effet bien que le Bénin se soit doté depuis 2002 d’une Déclaration de Politique Nationale d’Aménagement du Territoire (DEPONAT) et ait créé la Délégation à l’Aménagement du Territoire ( DAT), chargée d’« opérationnaliser » cette politique; la cohérence voulue dans la planification du développement est encore loin d’être réalisée. Ainsi en attendant l’avènement d’un schéma directeur d’aménagement au niveau national, deux échelles de planification du développement cohabitent.
La première échelle est d’envergure nationale et est matérialisée par les planifications sectorielles des ministères et celles d’ordre purement thématique (aménagement des massifs forestiers par exemple). Cette échelle de planification est diffuse même si elle a tendance à se généraliser et se systématiser à l’instar du Schéma Directeur de Développement Agricole et Rural (SDDAR) du Ministère de l’Agriculture de l’Elevage et de la Pêche (MAEP), du Plan de Développement du Secteur Sanitaire (PDSS) et du Plan Environnemental National.
La seconde échelle est locale et correspond au niveau de décentralisation de l’administration territoriale retenue : la commune. Ces dernières sont en train de se doter de Plan de Développement Communal, support de la planification de leur développement au cours des cinq prochaines années. Si dans leur esprit, ces plans sont pertinents et cohérents vis à vis non seulement des dispositions de loi de la décentralisation, mais aussi au regard de la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, leur viabilité en tant qu’instruments de planification d’un développement humain durable est handicapée par trois phénomènes majeurs :
- Une faible articulation avec le niveau national du fait de l’absence d’un Schéma Directeur d’Aménagement du Territoire pour l’ensemble du pays. Le Bénin tarde à se doter d’un schéma directeur d’aménagement du territoire qui précise très clairement les orientations et les stratégies du pays en matière de développement,
- Une très faible prise en compte de l’environnement régional immédiat que pourtant tout oblige à prendre en considération. En effet mis à part les communes à statut particulier qui peuvent se targuer de disposer de ressources financières relativement importantes pour financer quelques infrastructures structurantes au demeurant de faible envergure, les autres municipalités n’ont quasiment pas les moyens de leurs ambitions de développement. Les principaux défis auxquels ces communes doivent faire face, notamment au niveau des infrastructures structurantes comme les pistes ne sont énoncées que comme des vœux lointains. La connexion avec les communes et des zones spécifiques comme les frontières n’est pas intégrée dans les documents de développement dont les communes se sont dotés.
- Les Plans de Développement élaborés ou en cours d’élaboration manquent de vision, c’est à dire de la mise en relief d’un ensemble de potentialités qui permettent aux communes d’entreprendre un certain nombre d’actions et d’activités porteuses de développement qui les singularisent dans l’univers régional et national. Ces plans apparaissent plus comme des catalogues de projets socio-communautaires que comme de véritables instruments de planification de développement durable. Ils ne s’inscrivent pas dans un schémas local d’urbanisme ou de développement rural. Les stratégies de gestion de l’espace au regard des perspectives des potentialités économiques n’apparaissent que comme de simples suggestions, et non comme les fondements incontournables de réalisation du développement des communes.
Cette situation suggère donc d’envisager un niveau intermédiaire de planification entre les niveaux local (les communes actuelles) et national qui permette non seulement de rationaliser la politique nationale d’aménagement du territoire, mais surtout d’avoir un cadre territorial d’intervention qui permet d’optimiser et de maximiser non seulement l’efficacité, mais aussi l’efficience des investissements. Cette démarche permettra également de jeter les bases d’une coopération fructueuse entre les communes et de promouvoir l’intercommunalité et faire émerger des régions ou territoires de développement partagé, pleinement intériorisés par les responsables et les populations des communes, tout en préservant intactes les prérogatives dévolues à chacune des parties contractantes.
1- Objectifs de l’étude
L’objectif de cette étude est de parvenir à une identification, en étroite concertation avec les responsables des communes, « de territoires homogènes et consensuels » dans la perspective de promotion de pôles de développement économique, de cadres de planification et de gestion intercommunale du développement.
2- Démarche méthodologique
L’étude s’appuie sur une démarche itérative et participative impliquant les élus et les structures qui sont à l’interface des questions de planification régionale, d’aménagement du territoire et du développement local.
Deux approches complémentaires ont été utilisées dans cette étude.
La première a consisté en une revue, la plus complète que possible des documents qui ont abordé les questions relatives à la régionalisation du développement au Bénin. Nous avons ainsi consulté les résultats des travaux réalisés tant par le ministère du Plan, que de ceux de l’habitat, de l’urbanisme et de l’environnement. Les esquisses de régionalisation de l’espace national faites par le département de Géographie et d‘aménagement du Territoire ont été également consultées. En dépit des informations pertinentes qu’apportent ces travaux, ils pêchent par leur démarche trop techniciste et leur faible encrage dans une perspective de gestion locale du développement. Or cette étude s’inscrit avant tout dans un contexte où la conception, la mise en œuvre et le suivi des actions relatives au développement local sont désormais dévolues aux collectivités locales décentralisées.
C’est pourquoi dans le cadre de cette étude, nous avons privilégié les résultats de l’étude : Problématique de l’Intercommunalité dans le fonctionnement des communes béninoises. Cette étude part du postulat qu’au regard du niveau actuel de leurs ressources humaines et financières, la majeure partie des communes béninoises sont individuellement incapables de promouvoir un développement endogène durable.
L’étude suggère donc une dynamique de coopération intercommunale qui exploite au mieux les opportunités socio-culturelles, géographiques, historiques et économiques, ainsi que les contraintes que deux ou plusieurs communes partagent ensembles. L’étude propose de ce fait vingt deux régions qui peuvent servir de support de coopération intercommunale qui ont largement été prises en compte dans le cadre de ce travail.
Au delà de la documentation existante sur la question, l’étude s’est évertuée
à analyser le fonctionnement des expériences de territoires de développement solidaire qui fonctionnent actuellement, soit à titre informel à l’instar de la zone de « 2KP » : Kouandé, Kérou et Péhunco, soit qui ont un caractère plus formel comme le Groupement Intercommunal des Collines que pilote le Projet de Développement des Collines.
A recueillir les aspirations des populations, des élus locaux des différentes communes au moyen d’interview et d’analyse du fonctionnement des expériences de gestion en commun tant des infrastructures socio-communautaires, des problèmes environnementaux que les interactions et flux économiques fonctionnelles dans certaines zones. L’échantillon est prioritairement constitué des membres de l’Association Nationale des Communes du Bénin et des responsables des associations départementales.
La prise en compte des remarques et suggestions des maires lors de l’atelier de présentation des esquisses de « régionalisation » tenu à Cotonou les 29 et 30 Octobre 2004.
Une analyse des tendances lourdes du fonctionnement de quelques territoires ou régions de façon à dégager les fondements d’une solidarité susceptible de conférer à ces régions le statut d’un espace de développement partagé pour les populations.
3- Les Espaces de Développement Partagé ( EDP)
3- 1 Ŕ Définition
L’Espace de Développement Partagé ( EPD), peut être défini comme une Entité Territoriale, regroupant sur une base consensuelle deux ou plusieurs communes contiguës, dotée d’une forte personnalité géographique, historique, culturelle, économique et porteuse de dynamiques internes. L’EPD n’est donc pas une simple construction volontariste. Il résulte d’une volonté politique que sous-tendent des facteurs susceptibles de constituer les fondements d’une région, parce que porteurs de germes de changement. Ce sont des espaces construits sur la base de la combinaison de plusieurs facteurs sous tendus par une profonde aspiration des populations et de leurs dirigeants.
3-2 - Les scénarios alternatifs
La territorialisation ou la régionalisation du développement peut correspondre à plusieurs schémas en fonction des objectifs poursuivis. Actuellement se superposent sur le territoire national, plusieurs schémas dont il est important de rappeler ici quelques uns. Ils sont analysés sous forme de scénarios alternatifs pouvant permettre d’identifier les EDP.
1- Le statut quo : Dans ce schémas la « territorialisation » ou régionalisation se contente de légitimer l’un des trois schémas existants.
le découpage administratif en vigueur ; c’est à dire les départements actuels. On identifie alors 12 régions de développement. Cette option offre l’avantage de respecter en partie les schémas géopolitiques et administratifs en vigueur. L’inconvénient est que ces régions coïncident rarement avec des supports économiques et parfois même socio-culturels susceptibles d’impulser la dynamique de « pays » ou d’Espace de Développement Partagé et pleinement internalisé par tous les acteurs en présence. En dépit d’une certaine unité géographique, l’Atacora abrite par exemple une multitude de peuples dont les préjugés que les uns cultivent vis à vis des autres ne sont pas toujours porteurs de dynamiques internes de développement. Dans cette région trois sous zones aux caractéristiques économiques et humaines fort contrastées fonctionnent ; les franges ouest, centrale et orientale.
En privilégiant la dimension politique du développement, on pourrait également considérer les 24 circonscriptions électorales que compte actuellement le pays. A ce niveau également, on tombe dans les mêmes perversions de cadre sans support économique, donc sans fondement pouvant contribuer à avoir un développement endogène durable. La cohérence territoriale n’est pas toujours totale. Par exemple la 1ére circonscription électorale regroupe quatre communes très larges aux réalités souvent très contrastées : Karimama, Malanville, Kandi et Ségbana
Les découpages sectoriels. IL en existe actuellement deux découpages sectoriels marquants sur la régionalisation. Le premier concerne les zones sanitaires. Au nombre de 31, certaines ne concernent cependant qu’une seule commune comme celles de Tchaourou et de Banikoara. Il est donc peu réaliste de considérer cette option comme une base unique de régionalisation, même si, dans bien des cas, les zones sanitaires sont représentatives d’une bonne identification de « territoires » cohérents. Interviennent ensuite les 11 zones agro-écologiques du MAEP. Ce découpage reste pour l’essentiel virtuel. On constate en effet, que la planification des activités agricoles est rarement faite sur cette base. Ce sont les CerPAs ex CARDER dont l’aire d’action coïncide avec celle des départements qui gèrent la dimension régionale du développement rural en général et agricole en particulier. Il ne constitue donc pas un bon exemple
2- Le second scénario peut opter pour un simple accompagnement des initiatives en cours. Ces initiatives concernent les tentatives de regroupement des communes qui s’opèrent actuellement sous l’impulsion de projets ou des partenaires au développement.
Le plus ancien est incarné par le Groupement Intercommunal des Collines (GIC) qui regroupe les six communes du département du même nom. L’initiative est un prolongement du Projet de Développement des Collines et est soutenu par la coopération française, notamment la région de Picardie. Le Groupement vise à créer une certaine synergie entre les projets de territoire dont les communes se sont dotées en prélude aux plans de développement qu’elles ont élaborés au lendemain de la décentralisation. Ce groupement voudrait également fédérer les stratégies de développement en cours ou à venir dans cette région.
Le projet de développement des communes dans le Zou, financé par la coopération Danoise. Le projet met en place un ensemble de projets de développement pour l’ensemble des communes de ce département
Les actions du projet ADECOI qui encadre sur financement du PNUD, les communes rurales du Borgou.
Ces stratégies commencent à faire des émules et se traduisent singulièrement par le montage des sortes de groupe de pression sous la forme d’association des communes des anciens ou nouveaux départements. Un certain nombre d’associations sont déjà opérationnelles, notamment dans les départements de l’Atacora-Donga, du Mono-Couffo et du Borgou. Les communes de l’Alibori envisagent à court terme de se doter d’une association. Ces associations se positionnent comme des interfaces entre les communes et les acteurs tiers, notamment l’Etat et les partenaires au développement du pays. En toile de fonds de ces regroupements se trouvent des préoccupations de mobilisation de l’aide extérieure pour promouvoir le développement des nouvelles communes. Aussi louables qu’elles paraissent, ces initiatives ne sont pas encore soutenues par une stratégie clairement définie de planification régionale. Certaines comme l’association des communes de l’Atacora et de la Donga ont élaboré les grandes lignes d’une planification indicative qu’elle compte soumettre aux partenaires au développement intervenant dans cette région. On est encore loin de la définition d’un véritable schéma Directeur d’Aménagement local régional ou intercommunal régenté par ces associations.
De même on pourrait se poser la question de la pertinence du niveau de planification envisagée : les départements ou les binômes de départements, c’est à dire le cadre spatial et territorial où ont été conçus à ce jour le développement régional du Bénin. La question est d’autant plus pertinente que la situation actuelle de ces départements est ambiguë . Sur le plan administratif, le pays compte douze départements qui sont gérés en binôme par une autorité centrale. Ces Unités ont été plus conçues dans une perspective d’encadrement administratif du territoire que dans celle de promotion du développement économique et social du pays. La faible lisibilité de ce cadre explique en grande partie les déboires de la plupart des projets de développement qui ont été conçus à cette échelle. .
Sur tout un autre plan, des embryons de coopération intercommunale informelle émergent sur les centres d’initiatives cognitives inspirées par des acteurs à la base. C’est le cas principalement de l’expérience dite des 2KP : Kérou- Kouandé et Péhunco. Sans prendre l’allure d’une organisation formelle, les principaux acteurs de ces trois communes : les élèves et étudiants, les organisations professionnelles agricoles et les élus locaux ont déjà initié des cadres de concertation, en prélude à une coopération intercommunale qui a besoin d’être encadrée et appuyée. Une association des chefs d’arrondissements des trois communes fonctionnent depuis peu.
3- Le troisième scénario : s’écarte des schémas classiques et a recourt à des facteurs multiples pour déterminer des espaces fonctionnels susceptibles de servir de support à des actions de développement. Il s’agit en effet d’obtenir des régions en qui les populations s’identifient de façon à favoriser l’émergence ou la consolidation des solidarités. Les facteurs les plus en vue portent sur :
Les liens culturels, linguistiques, et socio-anthropologiques qui puisent leurs fondements dans l’histoire pour conférer à des portions du territoire une personnalité et une identité incontestables. Le prototype de région qui incarne une telle combinaison de facteurs est représenté par le pays Agonli, cette région qui regroupe les communes de Covè, Zagnanado et Ouinhi dans le département du Zou. On pourrait également citer la frange centrale de l’Atacora où la forte conscience identitaire des bètamaribè constitue sans nulle doute un des facteurs de définition de cette région qui regroupe les communes de Natitingou, de Boukombé et de Toucountouna.
Les facteurs naturels qui impriment à des régions des cachets spécifiques et qui conditionnent en dernier ressort la réussite de toutes actions de développement. C’est le cas de la vallée du Niger (Malanville, et Karimama) ou de celle de l’Ouémé. Ces facteurs naturels, ( ici les potentialités hydro-agricoles de ces cours d’eau), constituent le socle autour duquel peut être fondé le développement de ces régions. La vallée du Niger peut par exemple produire et approvisionner tout le Bénin en pomme de terre (environ 10 000 tonnes d’une valeur marchande d’environ : 2 500 000 000 de Fcfa), d’oignon et de riz. Les facteurs naturels peuvent aussi constituer des handicaps, comme l’ensablement des lacs qui handicapent la réalisation de certaines activités dans les communes de Bopa, de grand-Popo et d Kpomassè par exemple.
Les effets de polarisation induits, soit par un phénomène économique (un marché, une activité économique) ou par une agglomération qui confère une fonctionnalité à des portions d’espace. C’est principalement le cas des régions que polarisent les trois villes à statut particulier que compte le pays : Cotonou, Porto-Novo et Parakou et dans une moindre mesure de Bohicon. L’emprise de ces agglomérations sur leur arrière pays immédiat est très forte et engendre un ensemble de problèmes dont la résolution ne peut être envisagée que dans le cadre d’une coopération intercommunale. Il s’agit pour l’essentiel de la gestion des flux migratoires pendulaires, des problèmes de déchets ménagers et fonciers.
Nous avons privilégié ce dernier scénario qui nous a permis d’obtenir vingt trois régions dont nous présentons schématiquement les contours ci-dessous.
4- ESQUISSE D’ESPACES DE DEVELOPPEMENT PARTAGE
Cette partie de façon sommaire les 23 Espaces de Développement Partagés identifiés. Cette présentation incorpore outre la carte des communes impliquées, quelques données statistiques, les enjeux : atouts et contraintes qui fondent la coopération intercommunale entre ces unités politico-administratives.
4- 1- LA VALLEE DU NIGER
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
N 11 11 VALLEE DU NIGER O E
S 10 10
9 9 Monsey S
8 8 Kom pa S
7 7
Bogo-B ogo S -1 0 1 2 3 4 5 6 # KARIM AMA
Birni-lafia S MALAN VILLE
# Tom boutou S PARC NATION AL W DU N IGE R G arou S G uéné S Madékali S
ZON E CYN EGET IQU E
S Chef-lieu d'Arrondissem ent # Chef-lieu de C om mune FORET DE G OU NGO UN Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de C omm une 0 5 10 15 20 Km Limite d'Etat Cours d'eau Plan d'eau Aire protégée, réserve ou parc Com mune de Malanville SO U R CE : L AR ES, 20 04 Com mune de Karim am a Ré alisée pa r Joël D . YAL LO U PRINICPAUX TRAITS DE LA VALLEE DU NIGER
Communes Karimama Ŕ Malanville
Superficie 8 412 km²
Population en 2002 141 207 habitants
Densité de population 17 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Dendi, Peuls, Mokolé Superficie cultivable disponible 155 000 ha Principales productions agricoles Sorgho/mil, Oignon/tomate ; Pomme de terre/coton
Enjeux de coopération intercommunale
atouts de la région : - Fort potentiel agro-pastoral et halieutique (oignon, tomate, riz gombo, pomme de terre important cheptel bovin et caprin ) encore faiblement valorisé ; - Ouverture sur les pays de l’hinterland à travers le marché international et frontalier de Malanville ; - Important potentiel touristique à travers le parc W à valoriser. ; - Forte homogénéité de la population
Contraintes au développement Dégradation de l’environnement : sahélisation ; - Défectuosité des pistes de desserte rurale ; - Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre et pompes) ; - Insuffisance de personnel enseignant et de santé ; - Faible taux de scolarisation et déperdition scolaire ; - Faible disponibilité des terres cultivables.
4- 2- Pays des TROIS RIVIERES
-1 0 1 2 3 4 5 6
1 2 12
1 1 11
N
O E 1 0 10 REGION DES TROIS RIVIERES S
9 9
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6 S Founougo
Kobé S Soroko Gomparou S S S S Angaradébou BANIKOARA # Sompérékou Toura S SOunet Kokiborou S S S Saah Goumori Lougou Donwari # S S KANDI S S Kassakou Sonsoro FO RET DE SO TA S Sam S Bensékou 0 5 10 15 20 Km FORET D E # SEGBANA S L'A LIBO RI SUPER IEUR Gounarou Chef-lieu d'Arrondiseement S Sokotindji S # Chef-lieu de Commune # Route secondaire non bitumée S GOGOUNOU Libantè S Route principale bitumée Bagou Limite de Com mune Sori Zougou Limite de Département S Limite d'Etat Ouara S Cours d'eau FO RET DES TR OIS R IV IERES Aire protégée ou réserve Commune de Ségbana Commune de Gogounou Commune de Kandi S O U RC E : L A R E S , 2 0 04 Commune de Banikoara Ré a li sé e p a r J o ël D . YA LL O U PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS DES TROIS RIVIERES
Communes Banikoara, Gogounou, Kandi, Ségbana Superficie 15 730 km² Population en 2002 428 875 habitants Densité de population 27 hab/km2 Principaux Groupes socio-culturels Baatombu, Peuls, Boo Superficie cultivable disponible 1 123 778 ha Principales productions agricoles Coton, maïs , sorgho/mil, arachide/riz
Enjeux de coopération intercommunale
atouts de la région :
- Forte potentialité agro-pastorale (2ème zone de production de bovins et première zone de production de coton du pays ) - Fort potentiel de production céréalière (sorgho, maïs, riz), d’arachide (2ème rang national) - Potentiel touristique du parc national W et de la zone cynégétique de la Djona ; - Tradition de développement communautaire
Contraintes de développement
- Défectuosité des pistes de desserte rurale - Accélération de la désertification - Forte déperdition scolaire entraînant le taux de scolarisation le plus bas du pays ; - Insuffisance du personnel sanitaire, d’enseignants et de points d’eau potable - Sous-équipement ;
4-3- PAYS DES MONTS DU BORGOU
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11
LES MONTS DU BORGOU 10 10
9 9
N
O E 8 8
S S Bérouboué 7 7 FORÊT DES TROIS RIVIERES Sékéré -1 0 1 2 3 4 5 6 S
S Gam ia
# SINENDE
# BEMBERE KE S Bouanri S Sikki
0 10 20 km S Fô-bouré
# Chef-lieu de Commune Ina S Chef-lieu d'Arrondissement S Route principale bitumée Route principale non bitumée Limite de Département Limite de Commune Cours d'eau SO U R C E : LA R E S, 200 5 Domaine protégée R éa lis ée par J o ël D . YA LL O U Commune de Sinendé Commune de Bembéréké PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS DES MONTS DU BORGOU
Communes Bembéréké, Sinendé Superficie 5637 Population en 2002 157 953 Densité 28 hab/km2 Principaux Groupes socio-culturels Baatombu, Gando, Peuls Superficie cultivable disponible 448 000 ha Principales productions agricoles Coton, maïs/sorgho, Igname
Enjeux de la coopération intercommunale
atouts de la région
- Parfaite homogénéité linguistique et culturelle ; - Forte proportion de population gando - Fonctionnement de certains instruments de coopération intercommunale : la radio rurale de Bembéréké - Fort potentiel agro-pastoral - Fonctionnement de plusieurs institutions communautaires
Contraintes au développement - Insuffisance du personnel enseignant et d’infrastructures sanitaires ; - Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre et pompes) ; - Dégradation des ressources des sols et de ressources floristique (dégradation de la forêt classée de Ouénou Bénou) ; - Insuffisance des infrastructures de communication
4-4 - CŒUR DU PAYS BARIBA
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11 COEUR DU PAYS BARIBA
10 10 N
O E 9 9
S
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
Basso FORÊT DES TROIS RIVIERES S
S Dounkassa SPéonga
# KALALE Bouka S
S Gnonkourakali Dérassi S
Sérékalé # NIKKI S S S Ouénou Biro S Suya
#
PERERE 8 Kpébié S 0 16 Km S S Tasso Sontou S
S Gnansi
S
Guinangourou S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Route principale non bitumée Pistes3b_ route3.shp Limite d'Etat Limite de Département Limite de Commune Cours d'eau Domaine classée Commune de Pèrèrè SOURCE : LARES, 2005 Commune de Nikki Réalisée par Joël D. YALLOU Commune de Kalalé
PRINCIPAUX TRAITS DU CŒUR DU PAYS BARIBA
Communes Kalalé, Nikki, Pèrèrè Superficie 7477 km² Population en 2002 242 168 habitants Densité de population 32 hab / Km2 Principaux Groupes socio-culturels Baatombu, Gandos, Peuls, Boo Superficie cultivable disponible 447 200 ha Principales productions agricoles Coton, maïs/sorgho, Igname
Enjeux de coopération intercommunale
atouts de la région
- Parfaite homogénéité linguistique et culturelle ; - Forte conscience culturelle - Existence de moyen de renforcement des solidarités : la Gani - Très forte ouverture sur le Nigeria - Fort potentiel agro-pastoral ;
Contraintes au développement
- Insuffisance du personnel enseignant et d’infrastructures sanitaires ; - Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre et pompes) ; - Dégradation des ressources des sols - Insuffisance des infrastructures de communication
4-5 - OUEME SUPERIEUR
-1 0 1 2 3 4 5 6 1 2 12 OUEME SUPERIEUR 1 1 11
N
1 0 10 O E
S 9 9 # NDA LI Ou èn ou S 8 8 Bo ri S
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
S Sirarou FORE T CLAS SEE DE L'OUEME SUPERIEUR Gb ég ouro u S
Y PARAKOU Kik a S Chef-lieu d'Arrondissement S # Chef-lieu de Commune S Sa m s on Y Chef-lieu de Département S Route secondaire non bitumée Bé térou Limite de Commune Limite de Commune S T ch atc h ou Limite de Département FORET CLASSEE Alaf iaro u Limite d'Etat S DE WARI-MARO Go ro Cours d'eau S Aire protégée ou réserve 0 5 10 15 20 Km Commune de Tchaourou TC HAO UROU # Commune de Parakou S O U R C E : L A R E S , 2 0 04 Commune de Pèrèrè R é a li sé e p a r J o ël D . YA LL O U Commune de Ndali PRINCIPAUX TRAITS DE LA REGION DE L’OUEME SUPERIEUR
Communes N’Dali, Parakou, Tchaourou Superficie 11 445 km² Population en 2002 324 050 habitants Densité de population 28 hab/km2 Principaux Groupes socio-culturels Baatombu, Nagot ou Tchabè, Peuls Superficie cultivable disponible 762 800 ha Principales productions agricoles Maïs, Sorgho, Igname/Manioc, Coton/Anacarde/Mangue
Enjeux de coopération intercommunale atouts de la région
- Fortes potentialités agro-pastorales - Effet d’entraînement de la ville de Parakou - Fortes potentialités économiques - Très large ouverture sur la sous-région
Contraintes de développement
- Acuité des problèmes fonciers à la périphérie de Parakou - Problèmes de gestion des ordures ménagères. - Accès difficile à l’eau potable dans les zones rurales ; - Défectuosité des pistes rurales et des voies urbaines ; - Dégradation accélérée de l’environnement
4-6- PAYS DE LA PENDJARI
-1 0 1 2 3 4 5 6
1 2 12
1 1 11 PAYS DE LA PENDJARI
N
1 0 10
O E
9 9 S
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6 PARC NATIONAL DE LA PENDJARI
ZONE CYNEGETIQUE DE LA PENDJARI
S Tantéga Dassari S S Tanougou Gouandé S Tchanhoun-kossi S
# MATERI
TANGUIETA S # Nodi Kotiakou 0 5 10 15 20 Km S TapogaS Tayakou N'Dahonta S S COBLY #
Datori Kountori S Chef-lieu d'Arrondissement S S # Chef-lieu de Commune Y Chef-Lieu de Département Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune Limite d'Etat Cours d'eau Aire protégée, réserve ou parc Commune de Matéri
SOURCE : LARES, 2004 Commune de Kobly Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Natitingou PRINCIPAUX TRAITS DE LA PENDJARI
Communes Cobly, Matéri, Tanguiéta
Superficie 8021 km² Population en 2002 185 100 habitants Densité de population 23 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Bèberbè, Berba, Wama
Superficie cultivable disponible 236.000 ha
Principales productions agricoles maïs, sorgho, Igname
Enjeux de coopération intercommunale
atouts de la région - Fort potentiel touristique - Fonctionnement d’instrument de coopération intercommunale : l’hôpital Saint Jean de Dieu et radio rurale de Tanguiéta - Ouverture sur la sous-région.
Contraintes de développement
-Enclavement ; défectuosité des pistes de desserte rurale - Contraintes foncières tendance à la ‘‘désertification’’ - Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre et pompes) - Forte hétérogénéité de population - Insuffisance et état de délabrement des infrastructures socio-économiques, . - Précarité de la situation alimentaire.
4-7- PAYS DE LA MÉKROU
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12 PAYS DE LA MEKROU 11 11
10 10
N 9 9
O E
8 8
S
7 7 ZONE CYNEGETIQUE
-1 0 1 2 3 4 5 6 DE L'ATACORA
S Kaobagou
Firou S
# KEROU
SBrignamaro
Guilmaro S
Tansé Gnemasson S S
KOUANDE #
S Oroukayo PEHUNCO # Tobré S
0 5 10 15 20 Km Chabi-kouma Birni S S
S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune Limite de Département Cours d'eau
Aire protégée ou réserve SOURCE : LARES, 2004 Commune de Péhunco Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Kèrou Commune de Kouandé PRINCIPAUX TRAITS DE LA MEKROU
Communes Kérou, Kouandé, Péhunco Superficie 9415 Population en 2002 197 975 habitants Densité de population 21 hab/km2 Principaux Groupes socio-culturels Baatombu, Wama, Gourmantché
Superficie cultivable disponible 515600 ha
Principales productions agricoles maïs, sorgho, Igname, coton
Enjeux de coopération intercommunale
atouts de la région
- Forte homogénéité culturelle ; - forte conscience unitaire ; - Forte potentialité agro-pastorale - Emergence de Péhunco comme pôle économique structurant l’espace. - Prédisposition à la coopération intercommunale : expérience des 2KP
Contraintes au développement - Enclavement et défectuosité des pistes de desserte rurales - Insuffisance de points d’eau potable (pompes et puits à grand diamètre) - Faible taux de scolarisation ;
4-8- ATACORA
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11
N
ATACORA O E 10 10 S
9 9
8 8
7 7 TOUCOUNTOUNA # Ko uarf a -1 0 1 2 3 4 5 6 S
T am pég ré S T abo ta S
M an ta Pe rp oriya ko u S S D ip oli NATITINGOU S Ko top oun ga Y# S
Ko ro ntière S Ko uab a S S N ata
Ko us ou co in gou S hef-lieu d'a rron dissemnt 2 0 # S 0 5 1 0 1 5 K m # Chef-lie u de Comm une BOUKOUMBE Chef-lie u de Dépa rtemen t Pe rm a Y Ko uan dat a S Route se con daire no n bitum ée S Route prin cipale b itu mée T ch oum i-tc hou m i Lim ite de Comm une S Lim ite d'E tat Comm une de B oukou mbé Comm une de Na titing ou S O U R C E : L A R E S , 2 0 04 R é a li sé e p a r J o ël D . YA LL O U Comm une de To uco umto una
PRINCIPAUX TRAITS DE L’ATACORA
Communes Boukombé, Natitingou, Toucountouna
Superficie 3736 km2
Population en 2002 166 342 habitants Densité de population 44 hab km2 Principaux Groupes socio-culturels Bètamaribè, Natimba, Wama.
Superficie cultivable disponible 170 500 ha
Principales productions agricoles sorgho, maïs, Igname, riz et fonio
Enjeux de coopération intercommunale
atouts de la région
- Fort potentiel touristique - Ouverture sur la sous-région - Important potentiel agricole, notamment pour les cultures fruitières et maraîchères - Potentiel minier : l’or exploitable de Perma - Forte conscience identitaire des Bétamaribè
Contraintes au développement
- Enclavement et défectuosité des pistes de desserte rurale - Fortes contraintes foncières liées à la faible disponibilité des terres cultivables - Dispersion de l’habitat et insuffisance de points d’eau potable - Insuffisance de personnel enseignant et sanitaire ; - Forte migration de population.
4-9- DONGA
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11
10 10
N
O E 9 9 DONGA S
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
Anandana S Kolokondé Singré S S KOPARGO # Tchalinga S S Bléléfoungou S Pabégou Badjoudè Bariénou S DJOUGOU S Barei # S OUAKE# S Sèrou SKombé
S Sèmèrè S Partago Pélébina S S Onklou S Bougou
S Alédjo
S Pénéssoulou 0 5 10 15 20 Km
BASSILA # S Manigri FORET DE WARI-MARO
S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune FORET DES MONTS KOUFFE Limite de Département Limite d'Etat Cours d'eau Aire protégée ou réserve Commune de Bassila Commune de Copargo Commune de Ouaké Commune de Djougou SOURCE : LARES, 2004 Réalisée par Joël D. YA LLO U
PRINCIPAUX TRAITS DE LA DONGA
Communes Djougou, Copargo, Ouaké, Bassila Superficie 11 126 km² Population en 2002 350 062 habitants Densité de population 31 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Nagot, Anii, Yom/Lokpa, Dendi
Superficie cultivable disponible 502 600 ha
Principales productions agricoles Principales productions agricoles : Igname, Manioc, Coton
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- Très forte ouverture sur la sous-région - Dynamisme des activités agricoles et commerciales - Existence d’un pôle d’entraînement : Djougou - Forte conscience culturelle - Forte homogénéité religieuse. - Dynamique de brassage des populations : colonisation agricole
Contraintes au développement
- Insuffisance d’infrastructures routières notamment des pistes de desserte rurale. - Insuffisance de personnel enseignant et de santé ; - Contraintes liées au peuplement et à la polarisation de Djougou - le sous-équipement du milieu ; - Important foyer d’émigration
4-10- L’OKPARA
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12 11 11 L'OKPARA 10 10
N
9 9 O E
S 8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
Toui S FORET DE TOUI-KILIBO Kèmon S Kilibo S Odougba Gbanlin S S # OUESSE S Laminou
Challa-Ogoï S
Djègbé S
S Kaboua
S Okpara Ofè Sakin
# SAVE
S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Chemein de fer FORET CLASSEE DE Besse Route secondaire non bitumée L'OUEME-BOUKOU Route principale bitumée Limite de Commune Limite de Département Limite d'Etat 0 5 10 15 20 Km Plan d'eau Aire protégée ou réserve Commune de Savè Commune de Ouèssè SOURCE : LARES, 2004 Réalisée par Joël D. YA LLOU PRINCIPAUX TRAITS DE L’OKPARA
Communes Ouèssè, Savè Superficie 5 107 km2
Population en 2002 164 603 habitants Densité de population 32 hab /km2 Principaux Groupes socio-culturels Nagots, Mahi
Superficie cultivable disponible 424.300 ha
Principales productions agricoles maïs, coton, igname
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- forte potentialité agricole - Ouverture sur le Nigeria - Dynamisme des activités commerciales - Potentiel agro-industriel - Importante disponibilité de terre cultivable - Important foyer d’immigration
Contraintes au développement
- Insuffisance de points d’eau potable (pompes et puits à grand diamètre) - Défectuosité des pistes de desserte rurale et enclavement - Important clivage ethnique entre les populations - Les revers du coupage administratif de 1978
4-11- PAYS DES 41 COLLINES
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11 PAYS DES 41 COLLINES
10 10
9 9
N
8 8 O E
S 7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
SAklampa
Assanté S
Magoumi S S Thio Ouèdèmè S # GLAZOUE 15 20 Kpakpaza Zaffè 0 5 10 Km S S
Gomè S S Sokponta
Kéré S S Lema
Gbaffo S DASSA-ZOUME # S S Soklogbo Kpingni
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S Pouignan
S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Chemin de fer Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune Limite de Département Plan d'eau SOURCE : LARES, 2004 Commune de Dassa Réalisée par Joël YALLOU Commune de Savalou
PRINCIPAUX TRAITS DE LA REGION DES 41 COLLINES
Communes Dassa-zoumè, Glazoué Superficie 3 061 km² Population en 2002 186 878 Densité de population 61 hab/km2 Principaux Groupes socio-culturels Mahi, Idatcha, Fon
Superficie cultivable disponible 265 800 ha
Principales productions agricoles Igname, Coton, maïs
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- Forte potentialité agricole, notamment pour la production du riz et de l’arachide
- Forte potentialité touristique
- Existence de mécanismes de coopération intercommunale
- Ouverture sur le pays et la sous-région à travers le marché de Glazoué.
Contraintes au développement
- Défectuosité des pistes de desserte rurale - Insuffisance de points d’eau potable (pompes et puits à grand diamètre) - Contraintes foncières - Obstacles liés à l’hétérogénéité de la population ;
4-12- PAYS DES PACTES DE TERRE
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12 PAYS DES PACTES DE TERRE
11 11
10 10
9 9
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6 S Pira
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S Gobé O E # BANTE Lougba Koko S S S
S Agoua FORET D'AGOUA
S Atokoligbè Otola S S Gouka
Ouèssè S S Attaké # Logozohè SAVALOU S
S Tchetti S Lamè 20 0 5 10 15 Km Gobada S
S
Djouloukou S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune Limite de Département Limite d'Etat Cours d'eau SOURCE : LARES, 2004 Réserve Réalisée par Joël D. YALLOU Commune de Savalou Commune de Bantè
PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS DES PACTES DE TERRE
Communes Bantè, Savalou Superficie 5 349 km² Population en 2002 186 878 habitants Densité de population 35 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Mahi, Itcha/Ifè, Nagot
Superficie cultivable disponible 420 980 ha
Principales productions agricoles manioc, igname, coton/anacarde
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- Forte potentialité agricole - Longue tradition d’accueil de migrants - Ouverture sur la sous-région - Fort potentiel d’intellectuels. - Fonctionnement d’instruments de coopération intercommunale : hôpital de zones, PDL
Contraintes au développement
- Insuffisance de point d’eau potable (pompes et puits à grand diamètre - Défectuosité des routes et pistes de desserte rurale - Problèmes fonciers entraînant des conflits entre autochtones et allogènes - Persistance de préjugés ethniques défavorables entre les principaux groupes ; - Les malaises nés du découpage administratif ;
4-13- LE PLATEAU DANXOMÈ
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
PLATEAU DANXOME 11 11
10 10
9 9
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
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O E SAgouna
S
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Za-tanta S Dan S Zounkou S S Agondji Ougbégamè S SPassagon S Dohouimè SAssalin S ZA-KPOTA Mougnon SKpakpaza # Kpozoun AvogbanSa S S Détohou S Zéko Houngomè Y BOHICON S ABOMEY # SSodohomé SAllahé Ouassaho Adignigon S S SSaklo S S 10 15 20 Zounzonmè Kana 0 5 Km S Lissazounmè S Tanvè S Kana Avlamè S Domè Adanhondjigou Kpolokpa S S S Sinwè-lègo S # Kinta AGBANGNIZOUN S # ZOGBODOME Koussoukpa S SLègou
S Sinvè-kpota Kpokis sa S
Mas si S Akiza S Chef-lieu d'Arrondissemnet S # Chef-lieu de Commune Y Chef-lieu de Département Route principale non bitumée Route principale bitumée Chemin de fer Limite de Commune Limite de Département Aire protégée Commune de Za-Kpota Commune de Zogbodomè Commune de Agbangnizoun Commune de Bohicon Commune de d'Abomey SOURCE : LARES, 2004 Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Djidjia
PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS DANXOME
Communes Abomey, Agbangnizoun, Bohicon, Djidja, Za-kpota, Zogbodomey
Superficie 3 943 km² Population en 2002 490 437 habitants Densité de population 124 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Fon, Aja, Yoruba
Superficie cultivable disponible 293 285 ha
Principales productions agricoles maïs, arachide, manioc
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- forte identité et unité culturelles - important potentiel de cadres intellectuels - existence d’un potentiel industriel - Existence de mécanismes de coopération intercommunale : festival du Danhomè, PADECOM
Contraintes de développement
- Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre, pompes) ; - Défectuosité des pistes de desserte rurale. - Fortes contraintes foncières qui entraînent l’émigration des actifs - Appauvrissement des sols ; - Problème de sous-équipement ; - Vulnérable à l’insécurité alimentaire - forte dépendance des subventions publiques
4-14 - PAYS AGONLI
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
PAYS AGONLI 11 11
10 10
9 9
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
N
O E
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SGbananmè
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S Kpédékpo Naogon Agonli-houègbo S # # S COVE ZAGNANADO
S Lant-Kpodé S Dovi S Sagon
# OUINHI
Dasso 0 2 4 6 8 Km S
S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune Limite de Département
Commune de Ouinhi SOURCE : LARES, 2004 Commune de Zagnanado Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Covè
PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS AGONLI
Communes Covè, Zagnanado, Ouinhi
Superficie 1 300 km² Population en 2002 109 517 habitants Densité d population 84 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Mahi, Holli, Fon
Superficie cultivable disponible 110.000 ha Principales productions agricoles maïs, manioc, arachide
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- Forte homogénéité culturelle
- Fortes potentialités agricoles : riz, agrumes et oléagineux ;
- ouverture de la région aux échanges nationaux ( huile d’arachide agonli ) et extérieurs avec le bitumage de la route Abomey-Bohicon-Kétou-Illara.
Contraintes de développement
- Défectuosité des infrastructures routières - Insuffisance de points d’eau potable (pompes et puits à grand diamètre) ; - Faible capacité d’exploitation des ressources agricoles ; - Forte dépendance des subventions publiques ; - vulnérabilité à l’insécurité alimentaire
4-15- LE MONO
-1 0 1 2 3 4 5 6 NIGER
12 12 BURKINA-FASO LE MONO 11 11
10 10 BENIN
9 TOGO 9 NIGERIA
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
N
O E
S
SAtomé
Lonkli S
Godohou S
Dékpo S S Kassamè
Azovè S Aplahoué# SBétouSmè Kinkinhoué Houéganmè S Djakotomé Sokouhoué # S SKokohoué GohoméS Adjintimè S Madjrè S Kpoba S # Dogbo Lokogohoué S SAyomi Dévé S
SYégodoé Kpinnou S 0 2 4 6 8Km
S Houin-tokpa S S Chef-lieu d'Arrondissement LOKOSSAY # Chef-lieu de Commune S Che-lieu de Département # S Zoungbonou Y Athiémé Pistes Route secondaire non bitumée Route principale non bitumée Route principale bitumée Limite d'Arrondissement Limite de Commune Limite de Département Limite d'Etat Cours d'eau Plan d'eau Commune de Comé Commune de Dogbo SOURCE : LARES, 2005 Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Djakotomey Commune d'Aplahoué
PRINCIPAUX TRAITS DU MONO
Communes Aplahoué, Djakotomé, Dogbo, Lokossa, Athiémé
Superficie 1 956 km² Population en 2002 407 213 habitants Densité de population 208 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Aja
Superficie cultivable disponible 165 879 ha
Principales productions agricoles maïs, manioc, tomate.
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- Forte potentialité hydrique et agricole, - Forte identité culturelle - Homogénéité culturelle - Forte conscience identitaire
Contraintes au développement - très fortes contraintes foncières - Insuffisance et défectuosité des infrastructures routières - Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre et pompes) - Faiblesse des revenus - Faible capacité d’autofinancement des investissements productifs de la zone ; - Deuxième région plus endettée du Bénin auprès des CLCAM - fréquence des calamités naturelles : inondations du mono
4-16- MOYEN COUFFO
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
MOYEN COUFFO11 11
10 10
9 9
8 8
7 7
-1 0 1 2 3 4 5 6
S Lanta N
O E
S
Adjahonmè S Ahogbéya S
Hondjin Djotto S S
( KLOUEKANME S Zalli Ayahohoué S S Banigbé S Tchikpè Gnizoumè S S Adjido S Missinko S ( LALO Tchito S Avédji Hlassamè S S
( TOVIKLIN Tchi-Ahomadégbé Tanou-Golo S S Lokogba S Adoukandji S Doko S Tohou S
Tchi-Ahodjinnako S 0 2 4 6 8 Km
S Chef-lieu d'Arrondissement ( Chef-lieu de Commune Pistes Route secondaire non bitumée Route principale non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune Limite de Département Cours d'eau Commune de Toviklin source : LA RES, 2004 Commune de Lalo Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Klouékanmè
PRINCIPAUX TRAITS DU MOYEN COUFFO
Communes Klouékanmè, Lalo, Toviklin
Superficie 946 km² Population en 2002 233 919 habitants Densité de population 247 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Adja , - Fon, - Nagot
Superficie cultivable disponible 73 313 ha
Principales productions agricoles maïs, manioc, tomate
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région - forte potentialité agricole autour de la production du maïs et de la tomate - homogénéité culturelle - forte conscience identitaire
Contraintes au développement
- Acuité des problèmes fonciers - contraintes économiques et financières - Insuffisance d’infrastructures scolaires et de personnels enseignants dans les deux ordres. - Insuffisance d’infrastructures sanitaires et de personnel soignant. -Insuffisance de pistes rurales et défectuosité des principales voies existantes. - relatif enclavement de la zone
4-17- ZONE INTERLACUSTRE
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11 ZONE INTERLACUSTRE
10 10
9 9
8 8
N
O E 7 7 S
-1 0 1 2 3 4 5 6
SBadazouin
Yégodoé S
Gbakpodji S Agbodji S
Lobogo S
Kpinnou # S HOUEYOGBE # BOPA Zoungbonou S Honhoué S S Boutou S Chef-lieu d'Arrondissement Possotomé Sè S # Chef-lieu de Commune S Ouèdèmè S Route secondaire non bitumée Route principale non bitumée S Dahè Route principale bitumée S Akodèha Limite de Commune Sazué S Limite de Département S Oumako Limite d'Etat Djanglanmè S Agbatogbo Cours d'eau # S 2 4 6 Zone innondable COME 0 8 Km Océan Gbéhoué Commune d'Aplahoué S
Commune d'Athiémé Adjaha Commune de Bopa S Commune de Comé GRAND POPO Avlo Commune de Grand-popo S #
Agoué S
SOURCE : LARES, 2004 Réalisée par Joël D. YA LLO U
PRINCIPAUX TRAITS DE LA ZONE INTERLACUSTRE
Communes Bopa, Comé, Grand-Popo, Houéyogbé
Superficie 1107 km² Population en 2002 243 491 Habitants Densité de population 210 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Ouatchi, Pédah, Aja
Superficie cultivable disponible 48 475 ha Principales productions agricoles Maïs, manioc, tomate
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région - Fort potentiel agricole notamment des terres de Bopa, - région ouverte par ses grands centres sur la route internationale Cotonou-Lomé. - Important potentiel halieutique - Un milieu géographique unique, façonné par l’eau - Potentiel touristique appréciable
Contraintes au développement : - Insuffisance d’infrastructures scolaires et de personnel enseignant et sanitaire - Insuffisance de points d’eau potable (pompes et puits à grand diamètre - Défectuosité et insuffisance de routes et piste de desserte rural - L'émiettement du peuplement comme un obstacle majeur à la solidarité - Ensablement des cours d’eau du lac et fréquence des inondations;
4- 18- PAYS NAGOT
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11 PAYS NAGO
10 10
N
9 9 O E
S
8 8
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-1 0 1 2 3 4 5 6
S Idigni Adakpamè S
S Okpométa KETOU #
Kpankou S
S Odomèta
S Massè Towé S
S Issaba
SIgana
S Ahoyéyé ADJA-OUERE # # POBE
S Kpoulou
S Tatonnonkon Oko-Akara S S Ikpinlè
S Chef-lieu d'Arrondissement SIta-djèbou # Chef-lieu de Commune Chemin de fer Aguidi S Route secondaire non bitumée Route principale bitumée #SAKETE Limite de Commune YokoS Limite de Département 0 5 10 15 20 Km Lagbè S Limite d'Etat # IFANGNI Takon Aire protégée S S Banigbé Commune d'Ifangni S Kokoumolou Commune de Sakété S Chaada Commune d'Ada-ouèrè S SOURCE : LARES, 2004 Daagbè Commune de Sakété Réalisée par Joël D. YA LLOU Commune de Kétou
PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS NAGOT
Communes Ifangni, Sakété, Kétou, Pobè, Adja-wèrè
Superficie 3 264 km² Population en 2002 407 116 habitants Densité de population 125 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Nagot, Holli, Gun
Superficie cultivable disponible 203.912 ha
Principales productions agricoles manioc, maïs, Igname
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
-Forte homogénéité linguistique et culturelle ; - Grenier du Sud-Bénin par sa production de maïs et de manioc ; - Intense vie de relation avec le Nigeria, qui fait du plateau une grande région d’activités commerciales dont les contours sont mal maîtrisés par les statistiques officielles. - forte conscience identitaire
Contraintes au développement
- Insuffisance de personnel enseignant et de santé - Insuffisance et mauvaise gestion des points d’eau potable (pompes hydrauliques)
- Insuffisance des infrastructures routières
- contraintes agricoles - Fiable mobilisation des ressources financières - L’émergence des pôles concurrents comme obstacle à la solidarité
4-19- BASSE VALLÉE DE L’OUÉMÉ
-1 0 1 2 3 4 5 6
12 12
11 11 BASSE VALLEE DE L'OUEME
10 10
9 9
SDamè-wagon N 8 8
O E
S 7 7 # BONOU
-1 0 1 2 3 4 5 6
S Athonsa
S Affamè S Houinviguè
S Kpadanou S Awonou S Kodé
Togbota S # ADJOHOUN Dèmè S
GS angban Azowlissè S
Zoungué Ouèzoumè S Gbéko S S DANGBO # AShomè-lokpo SKessoumou DSèkin afio
SHozin
Hozin Dékanmè S Houèdo S SAvagbodji S SO-AVA S # Houèdomè SVêkly AGUEGUES # S Chef-lieu d'Arrondissement Ganvié Zoungamè S S # Chef-lieu de Commune Route principale non bitumée Limite de Commune Limite de Département Plan d'eau Zone innondable 4 Commune de Bonou 0 2 6 8 Km Commune d'Adjohoun
Commune de Dangbo SOURCE : LARES, 2004 Commune de Sô-Ava Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune des Aguégués
PRINCIPAUX TRAITS DE LA BASSE VALLEE DE L’OUEME
Communes Adjohoun, Aguégués, Bonou, Dangbo, Sô-Ava Superficie 990 km² Population en 2002 255 131 habitants Densité de population 258 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Wèmè, Gun, Toffin.
Superficie cultivable disponible 74.930 ha Principales productions agricoles Maïs, manioc, niébé, patate
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région - Très forte potentialité agricole - Fertilité des sols - Important potentiel hydro agricole - Possibilité d’exercice de plusieurs activités - Forte densité humaine - Homogénéité culturelle et linguistique - Très forte conscience identitaire
Contraintes au développement
- Défectuosité des infrastructures de communication notamment les pistes de desserte rurale - Insuffisance de points d’eau potable (puits à grand diamètre, pompes) - Un espace agro-écologique difficile - Les contraintes du peuplement - pression démographique et foncière
4-20- PAYS GUN
-1 0 1 2 3 4 5
NIGER 12 12 BURKINA FASO PAYS GUN 11 11
10 10
BENIN
9 9
NIGERIA
8 TOGO 8
7 7 ZouSngbomè
S
Katagon -1 0 1 2 3 4 5 Kouti S
N
O E
S
Gomè-sota S Djomon Gbozounmè S S
# AKPRO-MISSERETE # AVRANKOU Atchoukpa Sado S S ADJARRA # Vakon S Adjina Ouanho S S Honvié S
S Malahoui Médédjonou S
S [ PORTO-NOVO Agbogbé
S Chef-lieu d'Arrondissement # Chef-lieu de Commune [ Capitale politique Route secondaire non bitumée Route principale bitumée Limite de Commune 4 Km Limite d'Etat 0 1 2 3 Cours d'eau Zone innondable Plan d'eau Commune d'Akpro-missérété SOURCE : LARES, 2004 Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune d'Avrankou Commune d'Adjarra Commune de Porto-Novo
PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS GUN
Communes Porto-Novo, Adjarra, Avrankou, Akpro- Missérété
Superficie 282 km² Population en 2002 436 718 habitants Densité de population 1549 hab / km2 Principaux Groupes socio-culturels Wèmè/Tori, Gun, Yoruba
Superficie cultivable disponible 26 380 ha
Principales productions agricoles Maïs, manioc, patate douce, niébé
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- Une zone fortement urbanisée ; - Une forte conscience identitaire - Economie tournée vers le marché du Nigeria ; - Forte expansion des activités de service.
Facteurs de dysfonctionnement
- Pression foncière et problèmes liés à une mauvaise politique de lotissement due à l’inexistence d’un plan directeur des centres urbains. - Insécurité liée au voisinage du Nigeria - L’inégale répartition des équipements socio-communautaires
- L’absence d’un schéma d’aménagement régional
4-21- PAYS DE LA LAMA
-1 0 1 2 3 4 5 6
NIGER
12 12 BURKINA FASO
11 11 PAYS DE LA LAMA
10 BENIN 10
N 9 9
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S SHékan mè Sè Hinvi do vo S SSèd jè- hou ég oud o Djan gla nmè S Dawè Lon -Ag on mè S Atto go S ZE S S ( SSèd jè-Déno n Ayou S Aho ua non zo u S Adjan To kpa Dodji-ba ta S Agb an ou S S Avakp a S STo go udo ALLADA (
Lissèg an zo un Séko u S S Yokp o S Ta ng bo-djivié S Azoh oué -Aliho S Dédo mè To ri- kada S S Dékan mè S Azoh oué -Ka da S
To ri ga re S Avamè Sèg bè ya S To kpa -do mèS S ( TORI Aga nma nlo mè S
KPOMASSE S Chef-lieu d'Arrondissement ( ( Chef-lieu de Commune
0 2 4 6 8 Km Y Chef-lieu de Département Sèg bo hou é S Pistes
Ago nka nmè Route secondaire non bitumée S Route principale non bitumée Agb ato S Route principale bitumée Chemin de fer Limite d'Arrondissement Limite de Commune Limite de Département Cours d'eau Plan d'eau Commune de Toffo SOURCE : LARES, 2004 Commune de Zè Réalisée par Joël D. YA LLO U Commune de Tori bossito Commune de Kpomassè Commune d'Allada
PRINCIPAUX TRAITS DU PAYS DE LA LAMA
Communes Allada, Toffo, Tori-Bossito, Zê
Superficie Population en 2002 Densité de population Principaux Groupes socio-culturels Aïzo, Fon, Wèmè, Tori
Superficie cultivable disponible Principales productions agricoles Maïs, manioc, ananas
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- forte densité humaine - importante opportunité d’activité économique - forte potentialité agricole autour de la culture de l’ananas - Arrières effets de l’agglomération d Cotonou
Contraintes au développement
- Appauvrissement des terres et pression foncière - Problème d’accès à l’eau potable - contraintes liées à l’hétérogénéité de la population - Problème de sous-équipement
4-22- LE LITTORAL
-1 0 1 2 3 4 5
NIGER
12 BURKIN A FAS O 12 N
O E 11 11 LITTORAL S
10 BENIN 10
9 9
TOGO NIGERIA
8 8
7 7 Kp anro un S
-1 0 1 2 3 4 5 Z inv ié S S # Chef-lieu de C om mune Y Chef-lieu de D épartem ent Glo-D jigb é S % Capitale économ ique [ Capitale politique Piste Route secondaire non bitumée 0 2 4 6 8 Km Ak as s at o S Route principale non bitum ée Route principale bitum ée Autoroute Ou èd o S T ogb a S Chem in de fer # D jè règb é Abom ey Cala lvi Ah olouy èm è S S T oho u Limite d'Arrondis sement Sa vi S S S Ga k pé H èv ié Limite de C omm une S Ek pè Limite de D épartement Pa hou Go do m e y S S Ag blang and an Limite d'Etat S S Ouidah # Cours d'eau temporaire # Sèm è Av lék été Y% Cours d'eau perm anent S Cotonou H ou ak pè Océan Atlantique S SD jé gb adji Zone innondable Plan d'eau Com mune de Cotonou Com mune de Sèm è S O U R C E : L A R E S , 2 0 04 Com mune de Ouidah R é a li sé e p a r J o ël l D . Y A L L O U Com mune d'Abom ey C alavi
PRINCIPAUX TRAITS DU LITTORAL
Communes Cotonou, Abomey-Calavi, Sèmè-Kpodji
Superficie Population en 2002 Densité de population Principaux Groupes socio-culturels Fon, Gun, Mina, Aïzo, Wèmè, Toffinu, etc.
Superficie cultivable disponible
Principales productions agricoles Maïs, maraîchers, manioc, Patate
Enjeux de coopération intercommunale
Atouts de la région
- très forte urbanisation - Bonne qualité des infrastructures socio-communautaires - dynamique des activités économiques - important potentiel industriel - très large ouverture tant sur la région que sur le marché international - premier centre national de consommation - pôle essentiel de décision politique et économique
Contrainte au développement - Acuité des problèmes environnementaux - Insuffisance de points d’eau potable en milieu rural - Problème de chômage - contraintes foncières - Pollution - la sous exploitation des possibilités financières - Accentuation de l’érosion côtière
4-23- Pays du VODOUN Les traits caractéristiques du Pays du VODOUN
Communes Ouidah, Kpomassè
Superficie Population en 2002 Densité de population Principaux Groupes socio-culturels
Superficie cultivable disponible
Principales productions agricoles
Enjeux de coopération inter communale
Les atouts : - forte homogénéité culturelle - forte potentialité touristique - forte ouverture sur le monde - potentialité agricole et halieutique
Les contraintes - Acuité des problèmes environnementaux, - Insuffisance de points d’eau potable en milieu rural, - contraintes foncières, - vétusté des infrastructures touristiques, - faible attraction des investisseurs,