Dans la même collection : LE DEFI DE SEDAN Yanny Hureaux, préface d'Antoine Blondin. LA TRAVERSEE DU VERCORS sous la direction de Régis Maldamé.

Photographie de couverture : les six Racingmen du Mundial 1986 : Thierry Tusseau, Maxime Bossis, Luis Fernandez, , Alim Ben Mabrouck et (cl. Nojaroff-Matra). Photographie du dos de couverture : Gusti Jordan (Racing), (Lille) et (Racing) au cours d'un entraînement de l'équipe de France 1939 (cl. Keystone).

De 1930 à 1964, le Racing-Club de Paris a été l'équipe vedette du championnat de France de première divi- sion. A Paris, en province, elle déplaçait les foules à une époque où les matches se vivaient impérativement en direct. Les Parisiens oubliaient de manger pour aller applaudir Rudi Hiden qui s'envolait de sa cage comme un oiseau. Le public voulait voir de près les derniers exploits de "Mimile" Veinante, un intérieur qui faisait le spectacle à lui tout seul. Et Vignal ! L'Europe entière jalousait Paris d'avoir un gardien aussi merveilleux : le Français volant' ', tel était son surnom. La Coupe d'Europe n'existait pas, et la renommée des Racingmen dépassait largement nos frontières jusqu'en Amérique du Sud. Le Racing-Club de Paris a réalisé le doublé Coupe et Championnat en 1936. Une manière d'être au rendez - vous avec l'histoire. Frô- lant à plusieurs reprises le titre de champion de Fran- ce, les "Ciel et Blanc" ont fait leur réputation avec la Coupe qu'il rempor- tèrent en 1939, 1940, 1945 et 1949. D' à , de à Joseph Ujlaki en passant par Thadée Cisow- ski via Ernest Vaast, l'épo- pée du Racing méritait qu'on la raconte, en la fai- sant revivre minute par minute avec des reportages jusque dans les vestiaires. Plus de cinquante ans après ! Avec en regard des photos sorties de l'oubli. Aujourd'hui, le Racing se confronte à son passé. Son président, Jean-Luc Lagar- dère, est décidé ! Depuis cinq ans, il s active à reformer une équipe digne de rejoindre ses glorieuses aînées. Les saisons futures verront- elles le Racing gagner le championnat de France dont il n'a plus vu la couleur depuis 1936 ? Maxime Bossis, Luis Fernandez, Pierre Littbarski et Enzo Francescoli emboîteront-ils le pas de Roger Marche et Yeso Amalfi ? Ne pas conquérir une couronne d'ici 2 ans serait une défaite pour le président Lagardère qui veut faire de son équipe une Juventus hexagonale. Etre le premier club français à conquérir une coupe d'Europe et si possible la plus prestigieuse, celle des Clubs champions. Tel est le nouveau défi du Racing.

Collection LES OLYMPIQUES

Les défis du Racing Du même auteur : POESIES POUR MES AMIS LES ENFANTS Philippe Soupault, photographies B. Morlino, Lachenal et Ritter, 1983. ESSAIS, Emmanuel Berl Textes recueillis et choisis, biographie par B. Morlino, Julliard, 1985.

A paraître : EMMANUEL BERL, Qui êtes-vous ? La Manufacture. PHILIPPE SOUPAULT, Qui êtes-vous ? La Manufacture.

@ LA MANUFACTURE, 1986, 13, rue de la Bombarde, 69005 LYON Tous droits de reproduction, de traduction et d'adaptation réservés pour tous les pays, y compris l'U.R.S.S. LES DEFIS DU RACING

Bernard Morlino

LES OLYMPIQUES

,/A� A Georges Perros Sommaire

Lever de rideau 9 La tourmente 75 L'amitié des pionniers 11 La descente aux enfers 79 Cerveau, cœur, corps 13 Par la petite porte 83 Les bases du succès 15 Le bureau des rêves perdus 91 Une saison au paradis 21 Les dieux contre eux 95 Les lauriers de 1936 25 La mort des Pingouins 105 L'envol des Pingouins 31 La fausse résurrection 109 Fin de chapitre 37 Le renouveau 113 Les années difficiles 43 Voyage aller-retour 121 Un supporter nommé Camus ...... 47 Les nouveaux footballeurs 123 Vignal, l'oiseau rare ...... 51 Les grands acteurs du Racing 135 Une attaque en or 59 L'équipe du R.C. Paris 1986-1987 140 Règne (suite et fin) ...... 65 Annexes 142 Attention ! Virage ...... 73 Index des principaux noms cités ...... 142 Le 13 janvier 1935, au Parc des Princes : Racing-Red Star (2 à 2). Le Racingman s'interpose devant une attaque audonienne. Défenseur moderne, il marqua un but, ce jour-là. « Là où il y a des enfants, là il y a un âge d'or. » Novalis

Lever de rideau

Le football a aussi sa préhistoire. Celle du Racing-Club de Paris commence avec le siècle. L'équipe parisienne fut une des plus belles de France, avec son lot de joie et de drame. Aujourd'hui elle refait surface comme pour défier le temps. L'innovation 9 doit sa part au passé. Sur l'écran vert des terrains, les footballeurs nous racontent des histoi- res, avec plus ou moins de brio. Hommes d'action par excellence, ces artistes sont parfois des poètes. Les plus brillants d'entre eux ont un grand pouvoir d'abstraction : oubliant victoire et défaite, salaire et pression, pour donner libre cours à leur joie de jouer, ils nous démontrent qu'on connaît mieux ce qu'on n'a pas appris. Le 29 avril 1934, au stade Buffalo. Les Pingouins battent les Aiglons niçois, 4 à 3. Casquette sur la tête, Hiden, le goal autrichien de Paris, n'hésite pas à dribbler un attaquant azuréen. L'amitié des pionniers

« Des artistes, nom de Dieu ! Des artistes ! Depuis Rem- fois l'équipe d'Angleterre. Le 5 mai 1921, c'était pour tout brandt, jamais je n'avais éprouvé de pareilles émotions. » le monde le centenaire de la mort de Napoléon à Sainte- Par ces exclamations, un jeune homme né avec le siècle Hélène. Jean-Bernard Lévy, lui, n'avait d'yeux que pour remercie ses amis de l'avoir traîné jusqu'au vélodrome Buf- Boyer qui catapulta le ballon, sur centre de Dubly, au fond falo afin d'assister à une rencontre de ballon rond. des filets du keeper Coleman. Ivre de bonheur, il rentra chez Il avait fallu employer mille ruses pour l'emmener voir le lui avec pour seule ambition de fonder sa propre équipe car choc Club Français-Club athlétique de Paris. Le stade se au fond de lui, il savait pertinemment qu'il était plus pas- trouvait entre la porte Maillot et la porte de Villiers, à quel- sionné que doué. « Si on est capable de venir à bout des ques minutes du bois de Boulogne. Pour un jeune mondain, Anglais, c'est qu'il y a dans le pays des petits gars d'une adepte du Tout-Paris, Neuilly n'est pas à dédaigner. Et bien sacrée trempe. » sûr, pas question de virage, gradin ou pesage : c'est depuis une loge qu'il se dépucellera. Jean-Bernard Lévy n'ignorait pas que ce ballon qu'il aimait tant avait été lancé d'Outre-Manche, précisément à 11 Soudain, l'amour fou; Dès le lendemain de cet après-midi l'automne 1863, avant de rebondir sur le sol français. doré d'après-guerre, Jean-Bernard Lévy décide d'aller taper Comme il était inscrit au Racing-Club de France, il fut dans un ballon. Son père, riche industriel, croit à un nou- nommé président de la commission de football du R.C.F. veau caprice. « Le ballon, c'est l'affaire de la populace ! » pour l'encourager de plus belle à répandre ce sport parmi Certes, on est loin du bridge, « mais tant mieux ! » renché- la jeunesse. Le R.C.F. était né officiellement le 21 novem- rit le fiston qui a enfin découvert la passion qui épongera bre 1885, grâce à une poignée de lycéens de Condorcet, toute sa vie. Dès qu'il a terminé ses devoirs de mathémati- grands amateurs d'athlétisme qui s'installèrent au parc aux ques, il s'en va courir sur les pelouses après cette balle de Biches de la Croix-Catelan. Ils choisirent de porter un maillot cuir marron qu'il tutoye avec ses pieds. cerclé de bleu et blanc. Jean-Bernard Lévy était imbattable Le 5 mai 1921, au stade Pershing, c'est l'illumination. A sur l'histoire du R.C.F. Les anciens lui racontèrent qu'au deux pas du château de Vincennes, il assiste à France- début, le Racing était un groupe de bourgeois qui venaient Angleterre au beau milieu de trente mille personnes. Jamais tirer aux pigeons tout en levant des toasts sous une tente en France, un match n'avait attiré autant de monde. Seize multicolore africaine offerte par un général en retraite, et ans auparavant, la France avait vaincu la Suisse sur un tir qu'il avait fallu attendre 1898 pour voir enfin le ballon rond de Gaston Cyprès au Parc des Princes, devant... cinq cents quitter les fortifs de la porte Dauphine. Et s'il était parvenu spectateurs. Les buteurs français se nomment Dewaquez et au parc aux Biches, c'est que l'Irlandais Robert Burns fonda Boyer. Boyer permit à la France de battre pour la première une équipe avec, entre autres, les Anglais Me Evoy et Card- well, l'Allemand Aghad, le Belge T'Kint et les Français Gou- fondateur de la Fédération française de football association beau, Fournier, Pican et Lebègue. Ce groupe du R.C.F. fit (1919) et père de la Coupe du monde (1930), avait un silence très vite parler de lui : dès 1907, il remporta devant le éloquent : il était pour ! Tout comme le président du F.C. Racing de Roubaix (3 à 2) le trophée de la finale du cham- Sochaux, Sam Wyler, et Gabriel Hanot, l'ancien ailier inter- pionnat de France, créé par l'Union des sociétés françaises national, journaliste à EAuto puis à L'Equipe et futur créa- de sports athlétiques, en 1894. teur de la Coupe d'Europe des clubs (1955). Ils étaient Après-guerre, alors que Jean-Bernard Lévy sortait de l'ado- encouragés par Henri Jooris, homme d'affaires lillois très lescence, le R.C.F. entreprit des tournées en Espagne, efficace, à l'origine de la vogue du football dans le Nord, et Suisse, Belgique, Suède et Angleterre. La victoire du Racing par Emmanuel Gambardella, Sétois d'origine, polémiste bril- sur le sol britannique contre Cambridge finit par lui don- lant et ami de Paul Valéry. ner ses lettres de noblesse. Jean-Bernard Lévy ne se lassait pas de voir jouer Matthey, Triboulet, Carlier, Dupois, Devic, Le 4 août 1932, le conseil national de la F.F.F.A. — la ' 'Troi- Albert Mercier, Dehaye, Simon ou Boissel, évoluant pres- séfa' ' — tient une réunion de nuit dans ses bureaux de la que tous en équipe nationale. Tous ces joueurs étaient sol- rue Blanche. Jean-Bernard Lévy, fébrile, sait que les dis- licités dans l'Europe entière. Dans les années vingt, ces foot- cussions vont être houleuses. « Les pourcentages établis balleurs furent des professionnels avant la lettre dans une prouvent qu'il est impossible que le professionnalisme, cet 12 corporation où l'amateurisme marron faisait rage. Pour se épouvantail et ce scandale, obtienne la majorité » lui avait renflouer, le R.C.F. fusionna avec le Football-Club Levallois. confié "Gambard", avec dans l'œil la petite flamme de Jean-Bernard Lévy voulait imiter les Anglais qui avaient ins- l'orateur-né. Trente-sept votes furent nécessaires pour tran- tauré le professionnalisme dès 1885. Il mit toutes ses for- cher. Gambardella s'amusait de voir certains opposants virer ces pour persuader les autorités françaises de copier le casaque pour le rallier. Enfin, sur le coup de 2 h 30, les jeux système britannique. Celles-ci parlaient de ballon rond, lui sont faits : le football professionnel est né. Au "Graff" de savait déjà qu'il était question de football. Il voyait de plus Montmartre, Georges Bayrou trinquant avec son ami "Gam- en plus souvent le président du Football-Club de Sète, bard" s'écria : « J'ai réalisé mon rêve le plus cher... Je peux l'ancien joueur Georges Bayrou. Avec lui, il va essayer de mourir à présent. » Fier de cette nouvelle, Jean-Bernard remuer ciel et terre pour imposer le football professionnel Lévy, libéré de toutes ces péripéties, rompt avec le R.C.F. en France. Des dirigeants, comme ceux du Stade Français, Il emporte avec lui les joueurs de la section football et aussi y étaient farouchement opposés. Jules Rimet, président- les couleurs bleu et blanc. Il n'oubliera jamais ses débuts. Cerveau, cœur, corps

A l'orée de ses trente-deux ans, Jean-Bernard Lévy s'apprête présente au président ses coéquipiers, le cœur de Jean- à vivre la première saison du professionnalisme à la fran- Bernard Lévy bat la chamade. C'est qu'il y avait du beau çaise. Scindé en deux poules non régionales, ce champion- monde ! Tout le gotha du football français : les membres nat va opposer vingt équipes. Le Racing-Club de Paris fait du bureau fédéral, ceux de la commission de la Coupe de partie du groupe A dans lequel figurent l'Olympique de Mar- France, Jules Rimet, suivi comme son ombre par Henry seille, l'Olympique-Gymnaste Club de Nice, le F.C. Sète et Delaunay, son secrétaire général, Chiappe, le préfet de l'Olympique lillois. L'équipe-type du Racing de Paris est for- police, et Gaston Barreau, l'ancien demi-centre levallois, mée d'anciens du R.C.F. renforcée par la venue de nouveaux sélectionneur de l'équipe de France, venu superviser les joueurs séduits par la volonté de leur président. Mécène et précieux Alex Villaplane et Maurice Capelle en vue de la promoteur immobilier, celui-ci voulait faire du Racing la première Coupe du monde, prévue à Montevideo en juillet meilleure équipe française. « Je veux gagner, non pour prochain. Sète et le Racing se retrouvent face à face, lais- gagner, mais pour voir du beau jeu » disait-il à Thssin, Ana- sant derrière eux quatre cent sept clubs engagés initiale- tol, Capelle, Guézou, Gauteroux, Villaplane, Ozenne, ment dans l'épreuve. M. Doumergue regagne sa place dans 13 Lhotka, Veinante et Galey qui défendaient avec amour leurs la tribune présidentielle. Un immense vacarme accompa- couleurs tout comme leurs devanciers. gne les mouvements des athlètes vêtus de vert et de bleu. Yves Dautun, journaliste au Petit Parisien, stylo et cahier Le rêve de former un "team" glorieux, Jean-Bernard Lévy l'avait entrevu dès 1930. Le dimanche 27 avril de cette en main, écrit déjà son article pour le lendemain : « Cette voix monstrueuse frappe de stupeur le profane mais vous, année-là, le Racing avait frôlé la victoire en finale de la le sportif, ne le remarquez même pas, occupé à crier que Coupe de France face au F.C. Sète, déjà trois fois finaliste vous êtes. » Le journaliste est saisi par ces taches mouvan- de l'épreuve. Le président de la République, Gaston Dou- tes, ces fleurs de chair arrachées à leurs tiges et poussées mergue, honorait de sa présence la finale : une tradition par une brise malicieuse. Assis, les yeux mi-clos, les mains qu'il avait instaurée dès 1927, ne pouvant reculer devant un peu tremblantes, il écoute la clameur intense parfois atté- la ferveur de Jules Rimet qui fit le siège de l'Elysée afin d'arriver à ses fins. « Aidez-nous à faire aimer le football ! nuée, même endormie, puis renaissant avec une nouvelle fureur, crachée par quarante mille bouches, dans le déchaî- Venez ! » supplia le président de la F.F.F. A. « On mettra du satin tricolore ! » nement de quarante mille corps. Les Sétois, mobiles, sont très en verve avec le puissant avant yougoslave Beck au cen- Plus de quarante mille personnes cuisent au soleil quand tre de leur attaque. A la mi-temps, aucune des deux équi- M. Doumergue serre la main des joueurs, juste avant le coup pes n'a réussi à marquer. Elles abordent la deuxième période d'envoi, fixé à quinze heures. Quand le capitaine Villaplane avec encore plus de nerf. Le jeu des Sétois rappelle le foot- Piantoni (Roger) : p. 80-82, 97, 99. Tusseau (Thierry) : p. 125, 126, 132. France (équipe de) : p. 11, 65, 92, 97, Pibarot (Pierre) : p. 97, 101, 107. Ujlaki (Joseph) : p. 77, 83, 97, 101, 111, 126. Pivois : p. 75, 77, 89, 91. 138. Le Havre : p. 47, 80, 82, 84, 97, 132. Platini (Michel) : p. 111, 114, 126. Vaast (Ernest) : p. 43, 47-49, 51, 52, 54, Lens : p. 25, 37, 126. Préjean (Albert) : p. 14, 33, 61, 62. 57, 59-61, 63, 67, 69, 70, 74, 138. O. Lillois : p. 13, 14, 17, 32, 33, 44. Prévost : p. 32, 60, 62, 63. Valéry (Paul) : p. 12. L.O.S.C. : p. 44, 48, 51, 54, 57, 59-64, Quenolle (Roger) : p. 51, 52, 54, 60-64, Vandooren (Jules) : p. 32-34, 38, 44, 47, 67, 69, 77, 105. 67, 69, 71, 137. 48. Marseille : p. 26, 37-40, 54, 67, 111, Rainier (Prince) : p. 74, 101. Van Sam (Guy) : p. 97, 101, 107. 126. Raux : p. 17, 31. Veinante (Emile) : p. 13, 27, 28, 31, Metz : p. 77, 83, 105, 107. Rimet (Jules) : p. 13, 32, 48, 83. 33-35, 38, 39, 43, 138. Monaco : p. 74, 75, 97, 99-101, 105, Roach (Max) : p. 60. Ventura (Ray) : p. 73. 121, 132, 137. Rossi (Léon) : p. 73, 101, 114. Vian (Boris) : p. 61, 63. Nancy : p. 77, 79-81, 91. Rossler (Henri) : p. 67, 72. Vignal (René) : p. 51, 52, 54, 57, 60-65, Nantes : p. 113, 126. Roux : p. 21, 62. 67, 69-71, 73, 75, 77, 79-85, 87, 89, Nice : p. 13, 42, 73, 74, 80, 82, 83, 99, 91, 92, 94, 97, 110, 116, 125, 138. Salva (Marcel) : p. 47, 49, 52, 60, 61, 105, 111, 114-117, 121. 64, 67, 70, 138. Villaplane (Alex) : p. 13. Red Star : p. 37, 47, 54, 84, 95. Samuel (Jean-Claude) : p. 47-49, 139. Vilmorin (Louise de) : p. 60. Reims : p. 37, 65, 67, 69-73, 77, 82, 91, Schaap : p. 75, 80, 82, 85. Vincent (Jean) : p. 97, 99. 92, 95, 97, 101, 104, 105, 111, 125, Schmitt (Roland) : p. 17, 22. Walsh (Raoul) : p. 67. 132. Senac (Guy) : p. 91, 101, 139. Watteau (Michel) : p. 107, 139. 144 Rennes : p. 75, 82. Serafin (Jean) : p. 114, 116. Wittowski : p. 59, 60, 62, 63. Sinibaldi (Paul) : p. 65, 67, 69-71. Zabalo : p. 17, 31, 39. Roubaix-Tourcoing : p. 59, 79, 80, 82. Sosa : p. 75, 80, 82. Zamora (Ricardo) : p. 51. Saint-Etienne : p. 37, 79, 80, 82, 83, 95. Strappe (André) : p. 60, 61, 63. Zatelli (Mario) : p. 31, 35, 139. Sedan : p. 67, 109. Taillandier (Jean) : p. 97, 101, 139. Sète : p. 13, 14, 26, 31, 37, 77, 84, 125. Tkkac : p. 122, 126. Sochaux : p. 12, 18, 23, 26, 97, 105, Tassin (André) : p. 13, 14, 21. Principales équipes citées 126. Tessier (Henri) : p. 54, 59-61, 63, 64, Arsenal : p. 21, 23, 52. Stade Français : p. 26, 54, 84-89, 101, 67, 69-71, 110, 138. Bordeaux : p. 59, 121, 126. 107. Théo (Skudlapski) : p. 99, 101, 105. Brest : p. 26, 125. Strasbourg : p. 51, 79, 125. Tigana (Jean) : p. 111, 121, 132. Cannes : p. 21, 25, 37. Torino : p. 59, 60, 64. Toko : p. 122, 125. Charleville : p. 25-28. Toulon : p. 105, 107, 125. Trenet (Charles) : p. 73. Fives : p. 32, 44. Toulouse : p. 51, 83, 95, 121.

Composition, montage photogravure TexTel, 69005 Lyon Achevé d'imprimer en Espagne en octobre 1986 1 f,,\ Dépôt légal : ' •, \ 4e trimestre 1986

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