Virtuose Et Moderne · Photo Bernard Prim LE GENOU DE CLAIRE

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Virtuose Et Moderne · Photo Bernard Prim LE GENOU DE CLAIRE janvier - février 2018 · NOS PHOTOS DE TOURNAGE · ANNE-MARIE MIÉVILLE · PROJECTIONS FAMILLE · FILMS NOIRS, FILMS D’ANGOISSE · COMBIEN D’ENTRE NOUS ? : LES FILMS DE GHASSAN SALHAB 18 janvier — 5 février virtuose et moderne Photo Bernard Prim · LE GENOU DE CLAIRE CINEMATHEQUE.QC.CA RENSEIGNEMENTS HEURES D’OUVERTURE INFO-PROGRAMMATION : CINEMATHEQUE.QC.CA ou 514.842.9763 BILLETTERIE : DROITS D’ENTRÉE1 : ADULTES 10 $ LUNDI À VENDREDI DÈS 10 h 4-16 ANS, ÉTUDIANTS ET AÎNÉS 9 $2 · 1-3 ANS GRATUIT SAMEDI ET DIMANCHE DÈS 14 h FAMILLE 3 PERSONNES 20 $ · FAMILLE 4 PERSONNES 25 $ EXPOSITIONS : MEMBRE ET ABONNEMENT RÉGULIER3 : 1 PERSONNE 120 $ / 1 AN LUNDI À VENDREDI DE MIDI À 21 h ABONNEMENT ÉTUDIANT3 : 1 PERSONNE 99 $ / 1 AN SAMEDI ET DIMANCHE DE 14 h À 21 h PROGRAMMATION ART ET ESSAI : MÉDIATHÈQUE GUY-L.-COTÉ : 12 $ / TARIF RÉGULIER · 9 $ / TARIF AINÉS, ÉTUDIANTS, MEMBRES ET ABONNÉS MARDI À VENDREDI DE 9 h 30 À 17 h EXPOSITIONS : ENTRÉE LIBRE BAR SALON : 1. Taxes incluses. Le droit d’entrée peut différer dans le cas de certains programmes spéciaux. LUNDI DE 10 h 15 À 18 h 2. Sur présentation d’une carte d’étudiant ou d’identité. 3. Accès illimité à la programmation régulière. MARDI À VENDREDI DE 10 h 15 À 22 h CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE : 335, boul. de Maisonneuve Est, Montréal (Québec) Canada H2X 1K1 · Métro Berri-UQAM Distribué par Publicité sauvage DESIGN AGENCE CODE Imprimé au Québec sur papier québécois recyclé à 100 % (post-consommation) MA NUIT CHEZ MAUD Rohmer, virtuose et moderne Photo Bernard Prim LE GENOU DE CLAIRE ·: DU 18 JANVIER AU 5 FÉVRIER :· Au début des années 1960, le futur cinéaste Barbet Schroeder a créé pour Eric Rohmer la société de production des Films du Losange, tou- jours active aujourd’hui, accompagnatrice de nombreux cinéastes mar- quants, dont Michael Haneke. Vingt-deux films d’Eric Rohmer créés au sein de cette société seront montrés, dont l’ensemble des films de ses MON CHER SUJET séries légendaires, joyaux de la Nouvelle Vague (les Contes moraux ; les Comédies et proverbes ; les Contes des quatre saisons). Le goût de la beauté, le titre le plus connu du Rohmer critique, ou De Mozart en Beethoven, l’une de ses publications tardives, laissent entendre qu’il était habité par l’art classique. La chose est plus compliquée puis- que outre la valse des sentiments, il n’a eu de cesse de questionner le monde contemporain par des thèmes et figures fortes : la nature, l’envi- Anne-Marie Miéville ron nement, l’individualisme, la banlieue. Son art signe pourtant une volonté d’harmoniser les formes, proche en cela du cinéma américain ·: DU 12 AU 16 JANVIER :· Cette réalisatrice suisse a peu à peu déve- clas sique (Howard Hawks fut loppé un cinéma lettré, sous influence du nouveau roman. Marqué Photo Bernard Prim · l’une de ses influences). La par une pensée critique du monde contemporain, son observation diversité de jeu liée à la forte per- des mœurs d’inspiration autobiographique culmine avec le film son nalité de ses acteurs le mène Nous sommes tous encore ici. Le cycle témoignera également d’une LE GENOU DE CLAIRE aussi à renouveler une approche colla boration artistique fructueuse avec Jean-Luc Godard, via les déjà développée par l’un de ses films qu’ils ont réalisé ensemble et les moments où Godard fait men tors, Jean Renoir. l’acteur chez Miéville. Les projections du Centre d’art et essai de la Cinémathèque Nouveautés québécoise (CAECQ) reprennent dès le vendredi 12 janvier Art et essai avec Labrecque, une caméra pour la mémoire de Michel La Veaux, documentaire touchant portant sur le légendaire cinéaste Jean-Claude Labrecque. Dès le 19 janvier, le très attendu Destierros de Hubert Caron-Guay, puis Geek Girls de Gina Haraszti et Le Vénérable W de Barbet Schroeder (26 janvier). En février, place à deux réalisatrices québécoi - ses : Céline Baril (24 Davids) et Catherine Martin (Certains de mes amis). DESTIERROS LE VÉNÉRABLE W CERTAINS DE MES AMIS CERTAINS LABRECQUE, UNE CAMÉRA POUR LA MÉMOIRE © Office national du film Canada ·: EXPOSITIONS :· Nos photos BLOCKADE de tournage Films noirs, « Une photographie, c’est un fragment de temps qui ne reviendra pas » films d’angoisse (Martine Franck) ·: DU 8 AU 23 JANVIER :· ·: DU 11 JANVIER AU 14 FÉVRIER :· Lorsque sont apparues sur une page Facebook Le deuxième volet de ce cycle débute par la projection les premières photos de tournage envoyées par des artisans de notre cinéma, à de films marquants de Fritz Lang et de leurs remakes, l’in vi tation de deux apprentis mémorialistes : Serge Beauchemin et François Gill, réalisés par Joseph Losey dans les années 50 et par Éléphant a tout de suite compris qu’il ne pouvait rester insensible à un geste de Werner Klingler en Allemagne, en 1962. La suite mémoire aussi important. Dans la jungle de photos dans laquelle ils se retrou- du programme présentera à nouveau des films de vè­­rent rapi dement, les deux mémorialistes accueillirent avec enthousiaste le Tourneur, une excursion rare de Douglas Sirk hors ren fort d’un Éléphant qui dorénavant et pour la postérité archiverait sur son site du mélodrame, un inquiétant film shakespearien de elephantcinema.quebec le fabuleux album-souvenir de ceux qui permettent au Cukor et deux films tendus d’Anthony Mann. cinéma de créer des univers. Nos photos de tournage, ce sont des milliers d’en gins de toutes sortes et des milliers de visages de créateurs, postés der rière l’œil de la caméra : ils voient déjà ce que vous admirerez plus tard Un projet M LE MAUDIT sur de grands écrans lumi neux. Le cinéma n’existerait pas sans leur action ! Exposition agricole Une installation de Jean-François Caissy ·: JUSQU’AU 4 FÉVRIER :· LE CHAPEAU Michèle Cournoyer LA MONTAGNE Combien d’entre nous ? : Les films de Ghassan Salhab ·: LE 1ER FÉVRIER :· Récipiendaire du Prix Albert-Tessier 2017, Michèle Cournoyer a ·: DU 27 AU 31 JANVIER :· signé une œuvre animée forte et mondialement reconnue. Sa démar- Hors Champ propose une rétrospective, conçue par la commissaire che épouse les contours de l’onirisme, du surréalisme et du fémi- Nour Ouayda, consacrée au cinéaste libanais Ghassan Salhab. En cinq nisme. La Cinémathèque présente l’essentiel de son œuvre pour longs métrages de fiction et deux essais, nous irons à la découverte de sou ligner l’excellence de son travail. Le programme comprendra trois ces films réfléchissant à la duplicité des identités dans un pays carrefour, res taurations effectuées par la Cinémathèque québécoise et l’ONF tra versé par de multiples cultures et champ de bataille pour plusieurs. de Toccata, Dolorosa et Old Orchard Beach P.Q., de même que des Ghassan Salhab a construit une œuvre riche au regard oblique et neuf sur œuvres majeures comme Le Chapeau, Accordéon et Soif. une réalité si souvent balayée par l’œil des caméras EN PRÉ SENCE DE MICHÈLE COURNOYER En collaboration avec du monde entier. En collaboration avec FARREBIQUE La reconstitution avant le direct (1922-1963) ·: DU 26 JANVIER AU 16 FÉVRIER :· Avant l’avènement du cinéma direct, les docu- men taristes recourraient à une reconstitution fictive conçue avec les person na ges fil més pour cerner la réalité vécue. Les limites de la technique de l’époque interdi - saient toute autre approche. L’émergence de ce type de pratique existe lors des pre- mières avan cées du cinéma anthropologique de Flaherty comme Nanook of The North (1922) ou Moana (1925). Le premier long métrage du cinéma direct est, lui aussi, un film de recon stitution : Pour la suite du monde (1963) de Brault et Perrault. MOANA ·: DU 6 AU 13 FÉVRIER :· Cette programmation met en lumière la con- tri bution originale à l’art du documentaire de ce cinéaste néerlandais, ami de la Cinémathèque québécoise. Afin de souligner sa cohérence Johan orga nique et son inégalable sens du rythme, la programmatrice invitée Marie Eve Loyez a voulu mettre en avant l’opiniâtre combat politique, van der Keuken éco nomique et social, mais aussi écologique, de van der Keuken. L’objec tif de ce programme consiste aussi à faire la part du corps dans Remontant le fleuve humain une œuvre où corps filmés, corps filmant et corps spectatoriel sont invités à se rejoindre dans un partage sensoriel ahurissant. Nous lais- se rons aussi la part belle à la poésie et la musique, tant du point de vue des sujets et des motifs que de la composition visuelle et sonore, s’inspi rant du cut up. Des discussions et des présentations de plusieurs films sont prévues. L’ŒIL AU-DESSUS DU PUITS L’ŒIL Pour les ·: DU 14 JANVIER AU 18 FÉVRIER :· Les pro- jec tions fami liales sont de retour tous les familles diman ches. L’oc ca sion de voir les classiques des « Con tes pour tous » La guerre des tuques (14 janvier) et La gre- PARIS À L’AUBE nouille et la baleine, d’ini tier les tout-petits avec Les quatre saisons de Ludovic (28 jan vier) ou de faire décou vrir aux enfants Mia et le Migou (21 jan vier), Arthur et les Minimoys (11 février) et Une vie de chat (18 février). L’ŒIL AU-DESSUS DU PUITS L’ŒIL ·: 17 ET 18 FÉVRIER :· MY AIN FOLK Jamais présen tée depuis 25 ans LA GUERRE DES TUQUES à Montréal, voici la magni fi que Tri lo gie de l’en fance du cinéaste écossais Bill Douglas (1934-1991). De nos collections : Reconnu désor­­mais comme un des plus impor tants auteurs du Royaume-Uni, décou vrons son Iran œuvre exception nelle. À la fois écru et d’une grande sen si bi lité plas- tique, le cinéma biogra phique de LES TORTUES VOLENT AUSSI Douglas est aussi celui du passage à l’âge adulte d’un adolescent ·: DU 17 AU 20 FÉVRIER :· Nous présentons en rafale six titres du La Trilogie homo sexuel dans la ruralité écos- nouveau cinéma iranien qui viennent d’intégrer nos collections via le de l’enfance de saise de l’après-Seconde Guerre Fonds Séville.
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