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N° 356 OCTOBRE 1982 ORGANE MENSUEL DES 49 FÉDÉRATIONS, journal de la DES 6.000 SOCIETES ET ECOLES r.\ . • . ET DES 600.000 MUSICIENS FEDERES Là C.M.F. est reconnue d’UtlIità publique par décret du 2 Janvier 1957 et agréée par le minis­ tère dé la Culture et le ministère de la Jeunesse et des Sports. Elle est affiliée à la Confédérs- ■ tion Internationale des Sociétés Populaires de Musique et membre du Comité National de la * A. Musique. Confédérationmm B ■ ■ Numéro de la commission paritaire 34407.

\ : Musicale de

ÜmV- : que n’a de valeur que si elle estprécédée et suivie de silence»

Editorial Remise de la Croix d’Officier de la Légion d’Honneur

au Président Gabriel Rolando Conseils par André Amellér, Président de la C. M. F. •> E voudrais évoquer ici un souci, non des moindres, c’est celui de la participation .de nos Le samedi 11 septembre, à la Maison des Jeunes et de la Culture de Saint-Fons Sodétés et éventuellement de nos musiciens. r~v J C'est avec une joie Intense et du Sud-Est, se sont réjouis à quelques instants par Mr. André N’oublions pas que toutes nos associations sont placées beaucoup d’émotion que fut l'annonce de votre nomination au Amellér, Président de la Confédé­ | sous la loi de 1901, c’est à dire à but non lucratif. remise la Croix de la Légion grade d'Officier dans l'Ordre de la ration Musicale de France qui . AJ Cependant, nombreuses sont les doléances de respon­ d’Honneur à M. Rolando. Le dis- Légion d’Honneur. aura l'honneur de vous remettre > * J cours d'introduction de la céré­ cette décoration. •i sables de nos Sociétés qui, ignorant les lois, se mettent monie fut prononcé par M. Peré- Cette haute distinction récom­ dans des situations d’où U est difficile de sortir. simo-Gravallon, Président de pense les éminents services que Permettez-moi simplement de % l'Industrie Harmonie de St-Fons, vous avez rendus pendant toute rappeler que pendant plus d'un Nos Sociétés, nos ensembles, sont autorisés à votre vie à la jeunesse, à nos demi-siècle de présence à la Fé- 4 M. Maurice ADAM, Président de • .•■.4 recevoir des dons ; des subventions peuvent être | la Fédération du Sud-Est, prit Sociétés Musicales d'amateurs et dération du Sud-Est, vous avez en particulier à une Société qui gravi tous les échelons du Conseil 4 f accordées à l’occasion de prestations. Mais où le bât ensuite la parole : vous est chère: l'Harmonie Administration, depuisle poste I blesse, c’est lorsque les formations, les ensembles ou Cher Monsieur Rolando, « l'industrielle » de Saint-Fons. d archiviste jusqu à celui de Pré- l encore quelques musiciens de talent envisagent de se Vos nombreux amis musiciens Vos nombreuses activités au s^ent- et notamment ceux que vous sein des associations culturelles I faire rémunérer ; leurs prestations entrent dans le comptez aü sein de la Fédération et sociales seront retracées dans • Suite page 3 I cèdre du professionnalisme et il leur est alors I absolument nécessaire de se mettre en règle au regard des lois; je pense entre autre à l’U.R.S.S.A.F. et je sais que de nombreux procès engagés se sont soldés par des amendes importantes. •Li ■fl * S Mais ce qui est beaucoup plus grave c’est le cas de m sSUî**. ! nos Sociétés ayant créé des Ecoles de Musique et qui r • ■■■ ■ n rétribuent régulièrement les professeurs. Là aussi •A * • • J i-vi'K.'' r- ? 1 1 beaucoup d’amertume et .de désillusions. Il est, avant v j toute chose, nécessaire de prendre conseil auprès de A'ïs't é gens compétents et ne pas s’engager sur une pente y. dangereuse. Le rôle des municipalités est important en J la circonstance et des accords au bénéfice de tous sont \ réalisables. ■fm H existe déjà - et bientôt se sera général - dans •f chaque département et région, des délégués musicaux j • - qui pourront apporter un concours précieux en maintes occasions. Dès que possible vous devrez vous ; \ v mettre en relation avec eux. Ils appartiennent au ,• !• Ministère de la Culture et particulièrement à la ÿt .•.-i Direction de la Musique, qui n’hésite pas à se pencher ,T*i sur les problèmes les plus délicats et ces problèmes, f étudiés à temps, pourraient être facilement résolus. André AMELLÉR.

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Vous trouverez ••‘1 i dans ce numéro instrument ; PAGES Le luth• Suite du dernier numéro O Un article sur Frédéric Mistral et les arts cir^avant e xvll- siè- N«?s dégage^ gner un enterrement et il pensait que son autre cousin Gaultier Charles Gounod S «f aéocentriaue e? a f»ur fi- les luthistes les plus représenta- d'Angleterre devrait jouer dans un gure llS cenl du tooque tifs, tâche aœn.e dans la mesure cabaret, parce que son jeu était O Le cours d’enseignement dérpntrée et a Dour fioure Tel- où bien des familles possèdent très tape à l'œil et bruyant. M. Du­ Hpse Un mondi inœnnu^ffre à plusieurs générons de luthistes faut, disait-il, aurait fait un bon or­ musical nos luthistes, celui des raffine- “"Sn ii Sot lester' ganiste car son jeu était lourd et O Le séminaire de musicothèque ments du cœur où l’esprit introduit les Pinel, les Gallot, les Mer- qu'il affectionnait trop les règles ses expressions, délicates et sub- cure...;. pédantes de la musique, que M. Mercure aurait du mener les © Le 75e anniversaire de tiles. Commençons par ce jugement, plein; d'ironie, d'Ènnemond Gaul- ours au marché pour les faire la Fédération de Picardie danser. En outre, il disait que s Dans le cadre de cet article, il tier (1575-1651) sur ses contem- t nous est impossible d’entrer dans porains luthistes (18) : « II . disait M. Blanrocher jouait trop bien © L’Office franco-allemand les détails de cette école de luth que MM. Pinel, Dubut et Vincent parce que trop vite et faisait trop française. Parmi la marée de auraient été de bons violonistes d'ornements qui selon lui gâ­ : © Le Congrès de Bristol joueurs de luth, plus de cinquante car leurs leçons étaient très légè- chaient toute la musique. » luthistes se détachent et feraient res et leurs sarabandes et cou- Ennemond Gaultier, Sieur de © Le stage de Bourg-Lastic à eux seuls l’objet d’un ouvrage. rantes auraient très bien pu se Nèves, était joueur de luth de la Pendant soixante ans le luth chanter et se danser Quant à son Reine Marie de Medicis. Mary © Les échos des fédérations «st-yn ohénomène social qui a at- cousin Gaultier de Pans, il affir- â uneSé to^entière et mait qu’il était apte à accompa- • Suite page 7 régionales y STCy: ■ I; " ' . ■ %• V*.* : '• ï: :.V. ■ •; < - 1...... — •AV*--..:.- ■■ Ms- VA**, r? . '■-ü V;'-C:V>. - • Vf •.<•*

• . ? ' " i •V •Y /• • ; m;r-m ■ i *>,ï - • •V M&- m?."’ NOUVEAUTES * i SEMINAIRE INTERNATIONAL i DE MUSICOTHERAPIE i w PÉDAGOGIQUES 1982 I « : Le Comité de la Section Française a le plaisir de vous annoncer que la France a été choisie par l’UNESCO pour l'organisation d’un Séminaire International sur la Musicothéràpie à Paris. Le séminaire aura lieu au Foyer d’Accueil International de ■ M-î ■ j g i ri ■ ■ ■ iii a Btrcr; n Paris-La Défense, du 16 au 19 novembre 1982 inclus et aura pour 4HH2- thème :• V. ïf *-"■ i 14, rue de l'Echiquier, 75010 PARIS - (1) 770-14-46 « La musique au senrice des handicapés : U; ï L’éducation spécialisée » Le programme définitif vous sera adressé lors de votre inscription, mais d’ores et déjà, nous pouvons vous annoncer la participation de conférenciers étrangers (Allemagne, Argentine, ! ENSEIGNEMENT CLARINETTE Hongrie, Portugal, U.S.A.) au côté des conférenciers français. Il est également prévu des projections de films, démonstra­ — Y. DESPORTES : Initiation au — KLOSÉ : A la portée des jeunes ? mks . tions... langage musical . Vol. 3 : L’évolu­ clarinettistes, célèbre méthode mr/j La langue pariée est le Français. tion musicale. revue et corrigée par Guy DAN- Lieu : Foyer International d’ACcueil de Paris-La Défense. — N. PHILIBA : Solfèges dans le GAIN. Dans un cadre agréable, à la sortie de la station du Métro-RER mi 7 volumes. «Nanterre-Préfecture», c’est-à-dire à 6 minutes de l’Etoile et w style italien. des Champs-Elysées, à 9 minutes de l’Opéra et des grands ■■ m* Solfège chanté en 5 degrés. — J.-P. HOLSTEIN : 12 études sur magasins et à 12 minutes du Châtelet (Centre Pompidou et 1 des modes arabes. Forum des Halles). m — L. CROIX : Musiques vivantes.

il V Cours déformation musicale clas­ — KRAKAMP : 20 études revues ; : -/ • par J. LANCELOT. , ?:/■ / . sés en: y. Volume 2. Vol. 1 : Réflexions sur la psycho­ Albert Ehrmann il i ■ pédagogie de l’éveil musical. TROMPETTE Vol. 2 : L’éveil *, livre du profes­ reçoit la Croix d’Honneur : M seur et chansonnier de l'élève. — P. TH1BAUD : ABC du jeune Vol. 3 : Initiation commandée sur trompettiste.. Le comité de la Confédération Internationale des exemples musicaux de 2 volumes parus. des Sociétés Musicales (CISM) a conféré à M. le n. compositeurs contemporains et — G. SENON : 130 études techni­ Président d’honneur Albert Ehrmann la croix ■ . du répertoire. d’honneur, ceci en reconnaissance de ses émi­ ques et mélodiques en 4 volumes. nents mérites pour la vie musicale internationale m conformément aux objectifs de la CISM. r 4 Degrés suivants en préparation TROMBONE M. le Président d’honneur Albert Ehrmann est Collection dirigée par M. Bleuse, la première personnalité qui a été décorée de ? M. Daüchy, A. Holstein. - PAROW : Initiation complète àü cette plus haute décoration récemment créée par trombone alto. la CISM. & Avec nos meilleures salutations, 1 • — M.-L. LUCAS, DIA SUCCARI, . H.-C. FANTAPIÉ, M. VER- TUBA le secrétaire général, le président, yJ: Henri SCHUMACHER Friedrich WEYERMÜLLER GNAULT : Cours de formation musicale, — F. LELONG : Méthode de tuba. pour l’enseignement du solfège. Vol. 1 : ABC du jeune tubiste DI : Solfège chanté. Théorie : (débutant - préparatoire). livres du professeur et de l’élève. Vol. 2 : ABC du jeune tubiste Insignes et médailles (préparatoire - élémentaire). ■ 7 V Lecture - Rythme : livre unique. LU D2 : Idem. Vol. 3 : Spécial technique (ryth­ de la CISM m mes, gammes et articulations). Degrés suivants en préparation Collection Union des Conserva­ VIOLON U> toires. M — P. DOUKAN : L’école du violon ïn en 14 cahiers. W — N. PHILIBA : 80 dictées musica­ Cahiers 9 et 10 parus. Wi les à 1 voix. mY: . 5 volumes. CONTREBASSE YH PIANO — DUTRIEZ : Méthode de mini­ if:¥i contrebasse. m — C.-L. HANON : Célèbre mé- 2 volumes parus. M tüode revue et complétée par — B. SALLES : Pièces classiques. k Û Marie CLAUDE. Volume 1. ut • 3 volumes. VERDIENSTKREUZ • EHRE.\XR£ÜZ V — GOUFFÉ : 45 études, revues et doigtées par J.-M. ROLLEZ. CROIX D£ KéRITC croix d'honneur DANSE ■ ■ V — A. LEROLLE : Au studio de PERCUSSION 1. Insigne de la CISM 3. Croix d’honneur : danse classique et rythmique de la CISM Ü — J.-C. et M. TA VERNIER : Eveil En exécution des statuts la 3 volumes. Confédération Internationale des La plus haute distinction de la r aux rythmes et à la percussion. Sociétés Musicales (CISM) vient CISM. la croix d’honneur, est de créer un magnifique insigne qui "If — B. BONTEMPELLI : 2 études réservée pour les promoteurs mé­ GUITARE peut être porté par tous les ritants des fédérations et de la vie n pour batterie et piano. membres actifs et donateurs des musicale internationale. Les fédé­ 5 fédérations et des sociétés qui rations nationales peuvent sou­ H — B. BIGO : Méthode de guitare — J.-C. et M. TAVERNIER : appartiennent à la grande famille mettre des propositions relatives il formée par la CISM. fi . folk. 100 exercices et études pour xylo- . au comité de la CISM. Volume 2 paru. phone (débutant). 2. Croix de mérite de la CISM Les fédérations nationales fi transmettront prochainement des n — HERRERA : 4 mini-études. — J.-C. et M. TAVERNIER : Sur proposition des fédérations informations détaillées à leurs 120 exercices et études pour vi­ affiliées, les dirigeants des fédéra­ membres, ceci en ce qui concerne s — LEMAIGRE : 12 études. braphone (débutant). tions (membres des comités, les commandes des insignes et itf - membres des commissions artis- les propositions en vue de Voctroi H • tiques), qui ont bien mérité de la des médailles. i coopération internationale au sein i de la CISM, peuvent être décorés Le secrétaire général de la croix de mérite. Est requise , Henri SCHUMACHER CATALOGUES SUR DEMANDE pour les dirigeants des fédérations Le président de la CISM, l nationales une activité de 10 ans. Friedrich WEYERMÜLLER f : 2 C.M.F./OCTOBRE 1982

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ilfi U.-Z-JV-;r. li i m JH f#. NOUVEAUTES POUR :: (.HAMPE, HARMONIES & FANFARES

MARCHES : •DISCO^STYLE Marche (facile) PIECES EN TRIO, QUATUOR, QUINTETTE FRAVER ; ïj de Bernard LEBLANC •NEW WAVE Marche (facile) P. Van DICK-FRAVER •SHOPPING Marche (facile) FRIVOLE-R. BOURBON TRIO A VENT (2 Flûtes et Basson) QUATUORS DE SAXOPHONES : — DEUX ET UN LA COTIERE Marche avec clairons (facile) R. CHAMPAGNAC — MARCHE DES BOUFFONS QUINTETTE A VENT: VALSES -MORCEAUX DE GENRE : — SAXAS % ; (Flûte, Hautbois, Clarinette, Cor et Basson) I •VALSES D’UN SOIR d’après deux célèbres valses de — BRUMES f Brahms (facile) Trans. Frans VERBEECK •CELEBRE SERENADE de Charles Gounod, pour Saxo-Alto solo (Saxo-Soprano ou Cornet à défaut) (moyenne force) NOUVEAUTES DES EDITIONS Trans. Frans VERBEECK

X •EST-CE PAR HASARD (LET’S FALL IN LOVE) célèbre mélo­ HOLLANDAISES « TIEROLFF » 4 f die de Harold ARLEN (chanson créée par DAVE) (facile) (DONT NOUS SOMMES LES DISTRIBUTEURS EXCLUSIFS POUR LA FRANCE) Trans. FRAVER WEST SIDE STORY Grande sélection sur la célèbre comédie a ; ; FANTAISIES - SONG-BOOK : musicale de Léonard BERNSTEIN (assez difficile) Trans. Joh. F. PALA i •SERENADES NAPOLITAINES Pot-pourri (song-book) BUSY TRUMPETS Morceau avec soli de trompettes, brillant composé des plus belles et populaires chansons napolitai­ •5 (assez facile) Wim LASEROMS ; nes (O Sole Mio, Santa Lucia, Funiculli-Funiculla, etc.) il: (facile) Trans.1 FRAVER MUSIQUE POUR NOËL : i l •UN VIOLON SUR LE TOIT (FJDDLER ON THE ROOF), Sélec­ WE WISH YOU A MERRY CHRISTMAS - GLORIA (NOUS tion (song-book) comprenant les principales mélodies VOUS SOUHAITONS UN JOYEUX NOËL) (facile) Trans. Randy BECK (dont « Si j’étais riche... ») de la célèbre comédie musi­ cale de Jerry Book créée par Yvan REBROFF (facile) Trans. FRAVER MARY’S BOY CHILD (L’ENFANT DE MARIE) mélodie popu­ laire de Jester HAIRSTON (facile) Trans. Randy BECK JASMINË Fantaisie originale (facile) R. CHAMPAGNAC MUSIQUE A CARACTERE RELIGIEUX : SUR SIMPLE DEMANDE, si vous ne l'avez pas reçu : envoi de notre catalogue avec tarif et du recueil des conducteurs publicitaires miniatures (avec disque d’extraits) des nouveautés f •HYMNE RELIGIEUX Marche solennelle de Charles Gounod, « octobre 82 ». * très mélodique, convient aussi bien pour le concert que ; pour un service religieux (assez facile) Trans. Frans VERBEECK ET N9OUBLIEZ PAS QUE NOUS POUVONS VOUS FOURNIR N.B. : Les morceaux précédés du signe * sont enregistrés (en extraits) sur disque Yt souple accompagnant lé recueil de conducteurs miniatures publicitaires. TOUS LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE DE TOUTES MARQUES

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disposition de n'importe qui. Nous C’est alors que M. Rolando re­ l’ami très cher dont; les titres sommes fiers de votre harmonie. mercia avec sa gentillesse et son prestigieux, les relations nom­ Remise de la Croix d’Officier Saint-Fons est connue et re­ humour charmant : breuses appuyées, tenaces, et connue grâce à vous. Je vous en Monsieur le Sénateur, Maire de entendues ont déclanché la déci­ remercie ainsi que Mme Rolando St-Fons ; Monsieur le Président sion ministérielle. Comment vous qui nous a toujours soutenus dans de la C.M.F. ; Monsieur le Prési­ dire toute ma joie reconnais­ de la Légion d’Honneur toutes les manifestations mu­ dent de la Fédération musicale sante ? sicales ». Rhône-Alpes du Sud-Est ; Mesdames, Mesdemoiselles, Et il n’est pas jusqu’à votre -v: au Président Gabriel Rolando A la fin de son improvisation, il Messieurs, secrétariat de Direction dont le remit à M. Rolando, un coffret du Mes Chers Camarades de la Chef Mme Burelli transmettait af­ dernier enregistrement de Berlioz Fédération et de l’industrielle, fectueusement les sollicitations et de magnifiques fleurs à Mme aux instances de haut niveau. Et par André Amellér Rolando. M. André Amellér, Prési­ Malgré les contraintes p énibles puis, je veux adresser à mes dent de la Confédération Musicale de la vieillesse, et les écpreuves camarades du Bureau de la Fédé­ douloureuses de ma maladie, si je • Suite de la première page de France et parrain du récipien­ ration et du comité technique, mon daire prit alors la parole : vous disais que je ne suis pas heureux de me trouver ce jour affectueuse reconnaissance pour Lorsque pour des raisons de annoncer que la Fédération Mu- Grande est ma joie de décorer autour de vous tous, mes Amis, le travail considérable qu’ils ont santé vous avez, malgré notre sicale « Rhône-Alpes » est prête à notre ami Gabriel Rolando que vous ne me croiriez pas, et vous fait. En priant amicalement insistance, décidé de quitter la succéder à celle du Sud-Est. nous connaissons depuis long­ auriez raison. Maurice Adam, son actif Pré­ Présidence active, nous avons temps, et dès ma nomination au sident, d’accepter mes remercie­ . .. . Mon Cher Président, toutes ces J'ai été nommé en 1957 Cheva­ ments particuliers pour toutes les tous pensé qu il serait difficile de années de dévouement, vous les Conseil d’Administration de la - À succéder à un tel Président. Confédération Musicale de lier de la Légion d’Honneur à titre gentillesses et aussi les attentions avez vaillament supportées, avec militaire, c'est vrai, et j’ai bien dont il nous a constamment en­ Mais votre clairvoyance dans droiture et générosité, malgré vos France, j’ai pu apprécier la qualité de ses avis judicieux sur les écouté, dirigé par A. Nicque, la tourés. l’évolution de nos Sociétés d’ama- nombreuses charges, une vie pro- belle marche militaire de Tchaï- teurs nous a beaucoup facilité la fessionnelle bien remplie, malgré nombreux problèmes qui nous J’aurai garde d’oublier tout ce assaillaient et continuent d'ailleurs kowski. Aujourd'hui, c'est au titre tâche. la terrible épreuve que vous avez du Ministère du Temps Libre que que je dois à mes camarades de dû subir, et nous vous en sommes de le faire H l’Harmonie, présent5 ce soir En corn de votre Ami je suis promu Officier, c’est-à-dire profondément reconnaissants. Gabriel Rolando s'est dévoué pour les services que je crois avoir comme il y a 25 ans, mais sous la André Robert, pendant de très sans désemparer pour la cause Direction de notre Cher Guy Lau­ nombreuses années, vous vous Je veux associer à cet rendu, pendant plus d'un demi- rent qui aura été mon dernier chef, hommage, Mme Rolando, qui a su musicale. Il a su donner une vie à siècle à la cause de la Musique êtes penchés avec beaucoup sa Fédération, et surtout lui réser­ combien indulgent, lorsque j’étais d’attention sur le problème vital de accepter avec compréhension et Populaire en faveur de la « Jeu­ encore modeste timbalier à un indulgence, que son époux se ver un avenir en confiant le flam­ nesse et de nos chères Sociétés l'enseignement au sein de nos beau qu’il détenait depuis de nom­ pupitre dangereux et pas toujours phalanges musicales, sur l’étude dévoue sans compter pour la Musicales d'amateurs », termes facile. collectivité. breuses années, à une équipe du Ministre. d’un programme uniforme sanc­ sympathique et dévouée qui a Et puis, je ne me pardonnerai tionné par des examens fédéraux. Chère Madame Rolando, je hérité de sa foi. C'est pour moi une immense pas de passer sous silence la veux en cette agréable circons­ satisfaction. Il manquait une ro­ •• * Vous avez compris que l'avenir Nous devons lui en être recon­ présence de tous nos chers in­ de nos sociétés dépendait de ses tance, vous adresser nos remer­ sette sur le ruban rouge, c'est à la vités, dames, parents et amis, ’ ciements respectueux. naissants et le citer en exemple à musique que je la dois. animateurs et vous avez été à tous nos Présidents. Son action, venus souvent de loin pour me - l’origine des stages de formation C’est pour tous une grande joie toujours bénéfique, se perpé- Mais je la dois, aussi et surtout, manifester leur amitié. de Moniteurs et de Chefs de de voir cette distinction récom- tuera ; qu'il en soit, ô combien, à tous les nombreux amis qui Et j’aurai une pensée particuliè­ Musique. penser une vie consacrée à la vivement remercié ! m'ont aidé et qui ont collaboré rement affectueuse pour celle qui avec moi et dont les relations, J’ai moi-même bénéficié du pre­ musique mais aussi à une cause Je voudrais encore l’assurer de m’a permis d’être ce que j'ai été, sociale et humaine. l'autorité, et l’affection ne m’ont et ce que je suis : mon épouse, mier stage qui s'est déroulé au . ma fidèle et déférente amitié, et jamais fait défaut. C.R.E.P.S. de Volron en 1955, et Nous sommes profondément Mme Rolando, de mes hommages Ninette Rolando, celle qui m’a M. le Sénateur-Maire, nous c'est à cette occasion que j'ai eu heureux ce soir d'être tous autour affectueux. toujours encouragé et soutenu, au la grande joie de faire votre de vous, Cher Monsieur Rolando, étions bien d'accord pour mettre prix de sacrifices, de nombreuses connaissance et de m'associer souhaitant vous retrouver souvent Andrt AMELLÉR au service d’une jeunesse popu­ et longues absences pour la satis­ pleinement à votre action. au sein de la grande famille fé­ laire souvent de condition mo­ faction de cet amour deste, et d’une population ré­ « immodéré » (Michel) de la mu­ Cet apostolat pour une belle dérale qui a pour son Président Chevalier dans l’Ordre des Arts Honoraire, respect et affection. ceptive, les immenses bienfaits de sique et de nos chères sociétés cause, soutenu sans défaillance et des Lettres... la musique, et d’éveiller leur sen­ musicales, qui m'a été légué par malgré les difficultés, porte aujour­ ADAM Ce fut un moment de très in­ sibilité à la beauté d'un idéal que mon père, et je n'oublierai pas d'hui ses fruits et vous pouvez tense émotion lorsque M. André nous considérons comme le plus mon prédécesseur, le Président être fier d'avoir légué à vos suc­ Amellér décora le Président Ro­ beau du monde. Vous m'avez Léon Robert, décédé en 1940, et cesseurs une Fédération forte et lando : toujours encouragé et soutenu. dont je salue ici, la présence de sa unie. M. Franck Sérusclat, Sénateur- Maire de St-Fons déclara : « En vertu des pouvoirs qui me Comment vous exprimer ce soir fille Mme Ruitton. Avec beaucoup de lucidité, « Un moment solennel mais un sont conférés par le Président de toute ma gratitude ? J’ai terminé cette courte allo- pressentant la régionalisation, moment important pour la ville de la République, je vous fais officier M. le Président de la C.M.F., cution, merci, Mesdames, Mesde- vous avez fait créer les Unions Saint-Fons. Je vous remercie, dans l’Ordre de la Légion vous me faites l’honneur d’être moiselles, Messieurs, de votre Départementales et nous pouvons vous avez mis la musique à la d’Honneur.*» mon parrain. Mais vous avez été bienveillante attention.

C.M.F./OCTOBRE 1982 3

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# ?.& ; •M W-«j NOUVEAUTÉS DU 2e TRIMESTRE 1982 S W^: ■ à1-.. vf-'t'

ENSEIGNEMENT SAXOPHONE 1 PHILIBA, Solfège dans le style italien, vol. 1 : débutant-élève.... 16,90 BORSARI, Concerto (saxophone alto et piano) (supérieur) ...... 54,40 PHILIBA, Solfège dans le style italien, vol. 1 : professeur...... 36,50 BOUVARD, Adagio et ronde populaire (saxophone alto et piano)...... 14,10

: BOUVARD, 5 images (3 saxophones)... «■«««••••a«••«•«•••••«*•< 32,65

FLUTE . ï

' ’ PIANO |j CORELU/Paubon, La Follia, Op. 5 (flûte et piano)...... 32,65 [y I DEGENNE, Scherzo, « Fête au Riad » (flûte et piano) (UCM LESIEUR, Le Château de Chantegai (UCM débutant) 10,80 I élémentaire).....;...... 14,10 RAMEAU/Dussaut, Pièces en concert, vol. 1...... 36,50 | GROGNET, Promenade (flûte et piano)...... 22,90 ' * I HERICHE, 5duos faciles (2 flûtes)...... 22,90 I LECLAIR, Sarabande et tambourin (flûte et piano)...... 21,20 ALTO I ÛUANTZ, Sonate en ré majeur (3 flûtes) (moyen supérieur)...... 32,65

h MARGOIMI, Trois eaux fortes (alto et piano) (morceau de concours du Conservatoire national supérieur de FLUTE A BEC musique de Paris)...... 28,65

CORELU/Paubon, La Follia, Op. 5 (flûte à bec et piano)...... 32,65 •v. ; HAYDN/Sanvoisin, 75 pièces (pendule à musique, 3 ou 4 flûtes à bec)...... 36,50 PHIUDOR/Sanvoisin, 15 pièces (flûte à bec et piano)...... 32,65 ; DOUKAN, L'Ecole du violon, vol. 10 (méthode) 54,40 GROGNET, Promenade (violon et piano)...... 22,90 » . M • . . mm■ ; HAUTBOIS VIOLONCELLE AMELLER, Sonatine, 3 courtes pièces (hautbois et piano) (élé- mentaire)...... 18,60 MAKINO, Intermittences (violoncelle et piano) (morceau de CAURETTE, Hautbois en liberté (hautbois et piano) (UCM fin concours du Conservatoire national supérieur de d'études supérieur)...... 14.10 musidue de Paris)...... 27,30 J GROGNET, Promenade (hautbois et piano)...... 22,90 LADRIERE, Candilène (hautbois et piano) (UCM préparatoire)... 12.10 LADRIERE, Tritos (hautbois et piano) (UCM préparatoire)...... 12,10 GUITARE r MARGONI, Petit théâtre (hautbois et piano) (morceau de concours du Conservatoire national supérieur de musique de Paris)...;...... 26,10 BACH/Sadanowsky, 6 suites pour violoncelle transcrites pour ZAFFINI, 5 séquences (hautbois seul)...... 13,25 guitare, vol. 7 : Suite 7, 2, 3...... 49,00

y; -•--••••M ■A :< -"y"":--'

LEGUAY, Sonate n° 1 41,00 KRAKAMP, 20 études, vol. 2...... 26,10 SOLER, Premier air varié sur un thème original (clarinette et piano)...... 26,10 STAMITZ Karl/Dangain, Concerto n° 1 en fa majeur (4 clari­ ____ nettes) ...... 54,40 O RAMEAU/Dussaut, Pièces en concert, vol. 1 36,50

BASSON . ■ v; H1 m WS PHILIBA, Venise, 6 pièces faciles (basson et piano)...... 30,60 VIVALDl/Allard, Concerto « La Notte » (FVIII n° 1) en si ma­ PETIT, African-Graffiti (percussion et piano)...... 12,10 jeur, TAVERNIER, 120 exercices et études pour vibraphone, vol. 1 : fS basson et pjano...... 25,25 débutant...... 43,85 partition d'orchestre...... 46,00 TISNE, Astres au relief d'or (vibraphone, xylophone)...... 22,90 Matériel d'orchestre en location y;,-:, ••'•■VI .....0.0» MUSIQUE DE CHAMBRE y ABBOTT, Pour Fabrice (UCM débutant à élémentaire) 21,20 BOUVARD, 5 images (3 instruments de même tessiture). 32,65

TROMPETTE TCHAIKOVSKI, Pas de deux (extrait du Lac des Cygnes) 21.10 y. HAENDEL/Thllde, Suite en ré majeur (trompette et piano) 32,65 |V -

TROMBONE SCHUMANN/Lacour, Suite pour la jeunesse, partition...... 49,00 : LANTIER,Quatuor (3 trombones ténor, 1 trombone basse) 46,00 36 parties...... 149,80 partie supplémentaire.. 5,65

o - . . ______l U L '•' ••• lil GOUNOD/Leloir, 6 pièces mélodiques originales (cor et piano), vol. 1...... 25,25 PAILLASSE DE LEONCAVALLO, (bilingue, collection Opéra GOUNOD/Leloir, 6 pièces mélodiques originales (cor et de Paris)...... 30,60 y piano), vol. 2 ...... 28,65 PARSIFAL DE WAGNER, (bilingue, collection Opéra de Paris). 36,50

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F rédéric Mistral Né à Maillane en 1830 Prix Nobel en 1904 Commandeur de la Légion d’Honneur j H * 'tL-

1 A e* Charles Gounod Né à Paris en 1818 Compositeur français L’un des premiers maîtres de la mélodie française

Pour te chanter, Provence, U faudrait que ma lyre rende des sons plus doux que le luth argentin. Il faudrait que me voix en ce joyeux matin Président de la République un Gounot y nomme son Père en qu'un jour, Gounod interrogé emprunte sa frateheur à tes bouquets de thym et s'harmonise à ton accueil très chaleureux, Mistral second seulement. Sa mère en sur sa carrière, en avait ainsi sourire. blessé s’en plaignit par la suite à effet, nous le verrons, mérita retracé les commencements : Charles Maurras. « Vous savez bien de sa part le premier Six ans et demi : premières ^ que je n’ai pas de parti politique ! amour et les premiers hon- sensations musicales Le Freis- ■ i Nous quittons à regrets Ca- avec le Rhône et le Château du Je répète que j’ai vécu unique- neurs. Gounod avait 5 ans lors- chütz à l'Odéon. denet et la Durance pour aller à Roi-René et aussi de Tartarin ment pour la Provence et pour la qu'il perdit son Père. Il ne le ‘ Douze ans et demi : Otello Maillane, dans les Bouches-du- dans le Roman d’Alphonse reconnaissance de la Poésie. >» connut guère autrement que de aux Italiens, la Malibran. Rhône, à une vingtaine de kilo- Daudet et enfin près de l’Abbaye Mi«»rai Prix Nnh«i «n réputation. C'était d'ailleurs une Treize ans et demi : Don Gio­ mètres à peine d’Avignon (une de Saint-Michel-de-Frigolet où iq^ rommanXiirdP lal^nion manière encore assez flatteuse vanni pensée, voulez vous pour André Frédéric Mistral fit une partie de n"mnnmt InE de le connaître. François-Louis Estienne. le Tambour d'Arcole, et ses Etudes. d Honneur. Il mourut en Mars Gounod était né en faa, d-un Il me faudrait trop de place ï pour continuer sur Gounod, al­ Félicien David, te,Compositeur) _Ç’est à Majllye que naquit || repose à Maillane dans un Artisan, presque un artste^ lons immédiatement à Mireille \ Maillane est un Village d environ Frédénc Mistral, Ecnvain français tombeau oui n’est autre aue le Celui-ci, fort habile dans la 1500 habitants de l'arrondisse- d'expression Provençale en 1830, du Monument des Baux confection des Armes blanches. De Provence, où nous allons ment d’Aries. pas très loin de" Auteur de Mireille. Epopée senti- dit Pavhonde^a^i^Jelmfe) Da^es éPées ou Panards. le suivre, «I écrivait : Saint-Rémy-de-Provence, mentale au Pays de Camargue ; - habitait ,e LoUvre, en sa qualité « Maudissant Paris, le Paris (Vestiges du Centre Romain de sur un livret tiré de ce poème, Une Pet,te anecdote p!us rô- de « Fourbisseur du Roi » ; la turbulent et bavard : je travaille Glanum, ayons une pensée au Gounod a composé la Musique çente : son Neveu Frédéric fille d'un de ses camarades, qui toujours. Cela tient à l'absence passage pour Vincent Van Gogh) d’un Opéra-comique 1864 (mais Mistral, Avocat de son état et l'avait connu fort âgé (il mourut •U.:î des humains. La quantité et la v î pas très loin encore de Tarascon nous v reviendrons) digne continuateur de son Grand- au commencement de la Révo- diversité des choses que je fais oncle, était mon frère d’Armes lors lution), raconte : Sortant un jour ne déplace pas et ne secoue pas de la dernière Guerre, il était mon en voiture, mon Père rencontra mon esprit comme la diversité Caporal, j’étais son Sergent-Chef, dans les rues de Paris Gounod des relations. Décidément c'est 4 aujourd’hui il repose à Maillane où FREDERIC MISTRAL est né le volonté tout l’affirme : le nez forte- qui était à pied, aussitôt il le partage qui ne ne me va pas. A il est décédé il y a quelques 8 septembre 1830 à 3 heures de ment indiqué, le menton ferme- s'écria : Gounod ! à Pied l Je peux tout (tout ce que je V l’après-midi (sic) de François ment dessiné où pointe déjà années. quand moi je roule carrosse, peux, s'entend) dès qu'il n'y a Mistral. Propriétaire Agriculteur, et l’impériale, tendue jusqu'à la mais c'est une honte ! autour de moi, ni bruit, ni mou- de Maguemé Adélaïde Pouttinet ; raideur CHARLES GOUNOT La Mère de Gounod, ce n'est vement, c'est à dire ni agitation *..Ü j dès son tout jeune âge Frédéric C'était un homme beau, élégant Ne à Paris en 1818 pas seulement le pain qu'elle de corps ni d'esprit ». Mistral donnait des à d’une et très intelligent -vami de La- savait mutiplier et, du meilleur intelligence bien au < des Ces heures de solitude et de martine - Mallarmé' - Alphonse (Ma mère...) Par ces deux mots d'elle-même elle forma l'âme silence, d'attente, d'attrait et jeunes de son âge. Il fit plus tard Daudet - Paul Arène et Fosco de commence un fragment auto- autant que l'esprit et le talent dé ii iiiiiiiiiiJfr*» solides études - le baccalau­ BaronceHi. biographique et trop court, son fils ; j'ai lu je ne sais où. • Suite page 6 réat à Nîmes -c’était en 1847 « Je n'avais pas tout à fait 17 ans, je Grand Poète - Fondateur du venais de finir mes études au Félibrige - Champion de la langue a Collège d’Avignon, mon Père me Provençale - En 1913 sauf erreur g dit : maintenant puisque c’est la de ma part, Le Président Poincaré EDITIONS SALABERT - EDITIONS SALABERT ï mode, il te faut, mon Ris, aller a tenu à porter à Frédéric Mistral 22 RUE CHAUCHAT - 22 RUE CHAUCHAT - 22 RUE CHAUCHAT - 22 RUE CHAUCHAT - 22 RUE CHAU v. passer bachelier. l’hommage du Président de la 75009 PARIS FRANCE - 75009 PARIS FRANCE - 76009 PARIS FRANCE - 75009 PARIS FRANCE - 75009 < République (Le fidèle Lorrain au •Z J’ai devant moi un portrait de ■■ fidèle Provençal) - Monsieur le LES CUIVRES DE NOTRE TEMPS Mistral ; c'était, en 1852, un jeune Président Poincaré a justement dit villageois, gêné dans la redingote qu’il apportait « Le témoignage de Le Cornet ou Trompette Le Tuba dont il s’est affublé, mais c’est un reconnaissance de la République villageois dont la physionomie est et de la Grande Patrie »». Poincaré GARNAUD 30 duos progressifs 31,60 i i singulièrement expressive, la che­ ira même ce jour-là dans la FORESTIER J. Grande Méthode Vol. I 86,60 25 études 23£0 y velure abondante dessine une tête Maison de Mistral, mais le repas Vol. III 88,60 25 exercices sur solide au front élevé; l’œil en­ officiel qui suivit dût être organisé Vol. III 110,80 foncé sous l’arcade sourcilière la gamme 19,00 dans le Wagon du Président, en PETIT A. Grande Méthode de cornet lance vers un lointain invisible, un GOTKOWSKYI. Suite 31,60 Gare de Graveson Mais en à pistons Vol. I 102,40 regard plein de volonté; cette réalité Maillane ne fit pas au WATELLE J. Grand solo de concert 19,00 ' ï Le Trompettiste de Jazz 31,60 Grande méthode BOUTRY R. Préludes, de basse et tuba 189,90 pour trompette et piano 20,00 Alléluias, ; Musique de Chambre pour trompette et orgue 31,60 HONEGGERA. Intrada, Suite enfantine, 2 trompettes, CHAILLEY J. *'! pour trompette et piano 23,20 cor, trombone, tuba 73,90 i LANDOWSKI M. Cahier pour 4 jours, DARASSE X. Per sonare, trompette, pour trompette et orgue 50,00 ■i trombone, percussion 23,20 v MOflRICONE E. Proibito, Antagonisme IV, 2 trompettes, pour trompette seule 22,20 cor, trombone, tuba 42,20 Le Trombone JEANJEAN P. Quatuor de saxophones 45,40 73 MIEREANU C. Cuivres do, ré 23,20 BOUTRY R. Pièce brève Quintette 32.70 Méthode complète de trombone FLANDRIN G. XENAKIS I. Linaia Agon, cor, trombone r à coulisse ténor ténor, tuba Partition 79,10 Vol. I 50,60 Parties 42,20 Vol. Il 95,00 Vol. III 142,40 (Catalogue complet 26,40 Le tromboniste de jazz sur demande 22,20 GEDALGE A. Solo de concours prix hors taxes pour la France)

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/ Suit* dé la page 5 qui tenait l'Auberge de la Ville- Poète sont des Personnes qu'il i verte. Il sortait chaque jour èt le serait difficile de découvrir de d'amour mystérieux, le musi­ plus souvent tout le jour, avec nos jours. cien de Mireille alla les de- mander au Pays de Mireille... Et comme °» dT^sSn Ta"^ Par'°nS "" E celui-ci les lui donna. Gounod imagé, « broutant » le pays, il P d Mireille . passa le Pnntemps de 1863 en en goûtait, bientôt jusqu'à (3 ; Opéra en 5 Actes et Sept PBEDfiRl MISTRAL ! j table journal de son travail et de Nîmes ne lui servait guère. C'est Carré,mut s&rgzsa Memoiï e Raconte son inspiration. On y peut saisir, dehors, en pleine nature et I suivre I influence quotidienne d'après nature, aux creux d'un On a beaucoup reproché à ! MOUN ESPEUDO de la nature sur l'Artiste et voir. Vallon, au bord d'un ruisseau, Gounod d'avoir osé écrire un de la collaboration de l'une avec qu'il travaillait, Faust après La Damnation de „ . * . . Faust et de n'avoir pas trouvé s J i ' ■ l'autre, l'œuvrë, peu à peu, se former et sortir. Il serait trop long que je pour Roméo et Juliette des ac- continue mon récit, mais je suis cents aussi personnels que ceux C'est Mistral, naturellement ) mu» ftnunVvi wniiiuf mnnaîtr« émerveillé par les pages qui de la symphonie dramatique de XtrL H 2S??ître su,ve"? et je iüis heureux de Berlioz ; Mais on ne s'est guère . t d abord.Le 12 mars, il écrit. vous dire que Gounod et Mistral soucié de relever dans Mireille sont deux Etres admirables ét « Je le tiens enfin, ce bon et tout ce qui annonçait Carmen que le Compositeur comme le ou L'Artésienne. % ; : beau Mistral, tant rêvé, tant r... cherché, tant désiré, Maillane ! •ê Un jour Maillane voudra dire f-vE. Mistral, comme les Charmettes Voici le début de la chanson provençale : ou Vevey veulent dire Jean- Jacques. Je salue cette humble ? Maison, le berceau de Mireio. fi- ■ Nous causons pendant qu'on r ï : prépare le déjeuner. Nous dé­ O Mag-n .li.matanta ma . do.MptP là Mhju (K nes.trcuu t ■ jeunons, Mireille comme tu le ? Ü devines, . fait les frais de la i conversation. Je trouve dans ■M ; Mistral tout ce que j'y attendais, \ fi le poète dans le berger antique, ) dans l'homme de la nature, f dans l'homme de la campagne l.y • feigl È ' fï* . et du Ciel. Mistral me propose PLON un plan, que j'accepte : une ? m - excursion après déjeuner à iEv - ' Kl voici les .premières mesures du duodo Ciou- E Saint-Rémy, avec prdjet d'y J coucher, pour aller demain nod : \w i I matin dans la montagne visiter t .^J le Villagè des Baux ». C Quinze jours après, du 28 U r. : m mars : Lahnrpi*:-Hf'-u?• . Cours Vidéo d’Enseignement Musical Sous le nom de Monsieur Charles, qui devait protéger - à Ce nouveau support pédagogique vous permet dès maintenant i d’étudier chez vous : la clarinette. : demi - son incognito, Gounod avait pris pension à Saint-Rémy, Guy Dangain, soliste à l’Orchestre National de France, avec le tout près de Maillane, chez une concours de deux jeunes élèves, vous propose en l’espace d’une brave femme, la Mère Rousset, heure une initiation pleine de vie. térsjmM. De l’approche de l’instrument au premier plaisir de jouer, en passant par les techniques du staccato, du légato. des articula­ Loi'fausVtidurt sc

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I BurweJI dit de lui qu’il est : « le ' I soleil au milieu des étoilés et il a L suscité radmfration et la louange rago». du monde entier », Il est vrai que Charles Mouton, le dernier re­ ses œuvres ont toit le tour de présentant, succède à Denis courante -« La Gaultier dans la faveur de public. 4 ’K SSXÆÏ Il faut aller admirer au Louvrè son MmM portrait peint en 1690 par Fran* , çois de Troy. Il publie quatre re­ g: V cueils, dont dëux seulement ont survécu. Dans ses recueils. Mou- ? ton est le premier à ordonner un - agencement concis à ses pièces, .'■fi ce qui fait de lui le véritable créa­ teur de la Suite au luth, qui se poursuivra en Allemagne au FTv, XVIIIe siècle. -K' Bien d’autres luthistes n'ont Vf. pas été cités et certains peu ap­ i profondis : se reporter au remar­ m. quable travail du C.N.R.S. dans la collection «« Le Corpus des Luthis­ f •* tes Français ». m- Le luth disparaît en France à la i toute fin du XVII* siècle pour plu­ sieurs raisons : — son système de notation est r Gaultier d'Angleterre (Jacques) ; difficile à lire pour les autres musi­ eut; une grande renommée et fut ciens (la tentative du luthiste Per- au service de Jacques Ier et Char­ ririe d'écrire la musique pour luth les Ier. en notes restera sans lendemain, Gaultier de Paris, Denis Gaul­ les luthistes professionnels res­ J\ ■ tier (1603-1672) a eu pour maître taient obstinément attachés à leur l’organiste et théoricien Charles tablature) : ! r Raquette et dès 1630 les recueils L: manuscrits dès amateurs et des professionnels se remplissent de . ses pièces. J i Mm. L'ouvrage la « Rhétorique des . ; tÿi t i •-.Î1 % ^4 faireïïÆ'ÏS'FS en: 1652pour son amit te; au ciel de son ami. Cette ïas"- — - chosearsawsaæ; deux fois ; c’est-à-dire qu’il ■ X— "• divin Gaultier contient cinquante- Pjèoe était considérée comme un Le Luthiste Bocquet (qui était faut toujours diversifier ce que l’on ; ¥4 six pièces, construites dans les chef dœuvre que Ion ne se las- peut-être une femme : Mlle Boc- j0ue et l’enrichir de plusieurs 'mBbB. % m : •.i différents modes grecs. Chaque sa,t Pas d enter|dre. quet, surnommée la discrète) écnt belles inventions ; pour la cin- ÿ*'v mode est illustré par des dessins Citons pour mémoire le nom d!ÎI?®pt PJ.é,ud®f marquant les quième, que le tout soit avec une bf- .'À dont deux sont d’Eustache des cinq luthistes français qui fi- dans d,x‘sept tonal,tés mesure égale, car autrement, îmm v -4 Le Sueur, les autres sont d’Abra- gurent dans la tablature de luth de a nerenies‘ c’est un grand vaisseau dans la WÈif -1 •i ham Bosse, Ces dessins illustrent Pierre Ballard publiée en 1631 : Chflr.«e n* 1 Asninfi autour mer sans pilote. Voilà donc en A S rSrBe,,eVi,lei DU’ dramaliqul. ^ète eHuthifte qul quoi consiste l’excellence du i ;« DiicLiwîmrv^^nar^flHSo?08 buysson> Chevalier. m0na une vie errante nous a luth... » » pièces composées par Gaultier. En cette première moitié du laissé de précieuses indications j. Dufaut, élève du vieux Gaultier, XVIIe siècle, l’écriture du luth est sur le jeu de l’instrument que Les derniers représentants de % est un chercheur luthiste, il affec- en avance, sur les autres instru- nous trouvons bon de citer l’école française de luth furent la ia i*.. tionne les phrases subtiles. Il est ments. Sa notation particulière, la ici (20) : « ... Quelqu’un pourrait dynastie des Gallot et Charles ment S thénrbe nrend n2§f À sans doute I initiateur d’un type de Tablature, lui permet d’explorer être curieux de demander en quoi Mouton (1626-1699). le plus cé- eiS u* h ,tV 22* h V ï ■ prélude connu plus tard sous le tous les tons ; l’écriture ne chan- consiste la perfection du jeu au lèbre Jacques Gallot (Le Jeune) ?hLJiT«Ç^frait V. nom de préludé libre ou nom me- géant pas, il suffisait pour aborder luth? Pour réponse, je lui dirai fut élève de Denis Gaultier. Les l,,r£eiirthnm? suré. Né de l'improvisation et du les tonalités les plus rares de qu'elle consiste en plusieurs titres de ses pièces sont influen- 22® f SontGum On rprhorrhàft besoin de « tester » les nouveaux changer les basses d’un coup de choses : premièrement à le bien cées par- les Maximes de La Ro- Z? à S nHi. wii« cXh« loè f accords, les préludes non mesu- pouce, alors que pour les instru- accorder, ce que peu de gens chefoucauld (1665) et par les Ca- meilleurn rés atteignirent leur apogée avec mentistes du XVII* siècle, quatre font; deuxièmement à connaître ractères de La Bruyère (1688) ; Ser en théorL^TmiieR iî ceux de Louis Couperin. (Les lu- dieses à la clef est une énormité, tous les tons et semi-tons du luth ; par exemple : son « Esope ridi- thodes d'accnmnaQnem?nt •V ; thistes allemands les utilisent en- une gageure insoutenable. Les lu- troisièmement en toucher les cule » tourne à la caricature ; Aile- c-aHrpc«!fini à amatotir« a! ; core au XVIIIe siècle.) thistes ont donc disposé d'une cordes et les faire résonner aussi mande « La belle Lucrèce » ; donnent des recetteTlrnSme quantité de couleurs tonales, bien nettement que celle d’une épi- Courante « La Meurtrière » ; Sa- aonneni aes 'eceues (comme : Les Dubut père et fils furent plus que le clavecin ou l’orgue qui nette, ou comme si l’on donnait rabande « de huit heure >» ; Ga- • Suite page 8 ■ des luthistes célèbres. Une cou­ a rante du père fit le tour de l'Eu­ i rope, puisqu’on la retrouve dans ■h - des tablatures, allemandes, an­ glaises, et surtout suédoises. (Les l luthistes français étaient très ap­ préciés de la Reine Chris­ LYON MUSIQUE m tine) (19). O A. LEDUC

La dynastie des Pinel, surtout des musiciens au service des musiciens O, Germain se caractérise par un i style lyrique orienté vers l’expres­ POUR : sion des sentiments et la peinture : des caractères. .1 • Direction : Paul PROUD m Vincent correspondait en 1636 LA GUITARE avec Huygens pour le remercier Ve prix unanimité du Conservatoire de Lyon H du présent d'un luth. Il a collaboré Quelque s oeuvre5 faciles pour aux Ballets de Cour sous ex-musicien guitare et flûte extraites de : Louis XIII. de la Musique des Equipages de la Flotte notre catalogue. i Mersenne dans « L’Harmonie . Universelle » (1636) Tome III trai­ Directeur d’Harmonie t tait d'excellents joueurs de luths » Blavet (de), HUIT PIECES (Câstet)...... 60,00 F : les Gaultier, Mezangeau, Vincent et Le Vïgnon. Delà vigne, LES FLEURS (Castet)...... 27.00 F ! Meangéau est cité, dans un ou­ 5, cours Gambetta - 69003 LYON Demillac, PETITE SUITE MEDIEVALE ...... 36.30 F vrage publié en 1621 à Stras­ bourg comme « parmi l'un des TéL : 860-54-07 Kaiser, RITOURNELLE...... 36.30F plus célèbre joueur de luth en France *». Il est en 1621 musicien Saaguet, SIX PIECES FACILES...... 50.00 F Ordinaire du Roi. Il est l’ami et « TOUTE LA MUSIQUE » Zanettovich, CINQ BERCEUSES POPULAIRES 50.00 F peut-être le disciple du Vieux Gaultier qui évoquera sa mémoire Instruments et librairie musicale dans un Tombeau (ceux sont les Représentation des Editions Heugcl luthistes du XVIIe siècle qui ont Sikorski et Editions Ouvrières créés ce genre instrumental, il ATELIER DE REPARATION s’agit d'une danse grave et solen­ Catalogue complet sur demande nelle, construite à partir d’une al­ lemande) publié en 1672. Cette SPECIALISTE DES INSTRUMENTS pièce en Ré mineur d'une inten­ sité poignante dans sa simplicité A VENT 175, rue Saint-Honoré - 75040 PARIS CEDEX 01 se termine à la cadence avec l’ac­ ou chez votre marchand habituel K cord de Ré Majeur créant ainsi

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■: . ; 1 v l^e luth 'r'\. î\ : • Suite de ta page 7 C'est sous le règne d’Elisa- pièces que Barley lui a emprun- : ' teth r* (1558-1603) que va se dé- tées : « There hâve been divers 'mî celle de la règle dés octaves, in- velopper, ce que l’on a appelé lute-lessons of mine lately prirtted ventée par Maltot). Elles répon- |« âge d or » de la musique an- without my knowledge, taise and dent au nouveau go,ût, les ama- , glaise. Le jeu du luth va prendre imperfect... » P*.- -yi «■sasaïs» as^ïsaiws .passas . :ibaiss SSS

% SSS&?£i£ÿSX ÏKSXSSSA1: ses*“a enfants“ et le maître■— Thimo-»* transformer en vielles. en attendant son tour. theus. coSe^dans" soh^arnasse , Ç'es,,,e transport'aS'® de !'ins‘ On y apprend que la musique français » (21) (la scène se passe t?m,ent' sa- p0SSI“l,é de louer est une harmonie parfaite et Ro- au début du XVm" siècle) ® plusieurs voix en même temps, sa binson reprend les idées des •; ?M . wï. doyennes mSL totfCenHifte “ens'de la musique à sa- de MM. du conseil me confirma Sualiîés tfStea^'la^t r°"U ',es ^nissons symbolisent . \ r : qu'à peine est-il quatre « luthé- férenle^onlui aSde niur^r lunl.t' '?* ,ier<îef représentent a riens » ou joueurs de luth à Paris. comoToSeMa vn^ ni. Sw». ïïïlé’ '.es q,u n,®si expriment la Il m'engagea à monter chez lui, Sments oui onï rendu te krth Rédemption (c es-à-d,re les cinq où après m'avoir placé dans un SnSai™ qui 0 0 du 0 lulh Pla|es du Christ), les octaves sont. fauteuil antique, il me joua cinq ou slP°Pulaire; Oméga de I Alpha des unissons six plièces de luth, me regardant En ce dui concerne la diffusion (le commencement et |a fin ; Saint I toujours d'un air tendre et répan- de la musique pour luth, les appa- Jean dit dans IV Apocalypse » dant de temps en temps quelques rences peuvent être trompeuses, que Dieu est l'Alpha et I Oméga 5 larmes sur son luth » Falco lut en- En effet- tés imprimés sont peu de toutes choses). Les intervalles suite un poème à la gloire du luth nombreux. Les premières publica- au-delà de l’octave indiquent une et les deux hommes se séparé- tions Pour le luth en 1568 et en renaissance et présage notre re- i rent en pleurant 1574 de ,a méthode. d’Adrian tour au lieu d‘où nous sommes . i . Karl Kohaut (luthiste allemand) «notent §''un"e lîès “ V î siens entendirent.SC' était en 1P763 ffié^fte 5S ZX commlKu^telumllnfchan- I • - -

■t^^ssss-luth et violoncelle. çaiseIISHSSS en Angleterre ; tes sources “s-- t DEPUIS PLUS DE 25 ANNEES Un autre recueil très important ...antérieures . .... à 1568 étaient en t'a-, est publié en 1610 par le fils de À \V;- r.. ANGLETERRE blature italienne, dues en partie John Dowland, Robert Dowland, • 1 ; LE KIOSQUE D’ORPHEE • 4 20, nié des Toumelles, 75004 PARIS. Tél. : 271-42-21

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•i* nal devant te Roi de France) « First Book of Songs and Airs » fantaisie de Dowland comportant jouait également du luth. (1597) en faisant allusion aux à la fin une section ternaire d’une

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masse des anonymes (heureuse­ ment qu’il y a de nombreux recou­ pements). Avant de citer les plus célèbres de ces luthistes anglais, on peut se demander ce'qui les différen­ ■ -i ciaient aussi nettement des luthis­ tes français, italiens ou alle­ mands. Ils sont surtout des musiciens poètes qui cultivent avant tout S" i leurs dons de la mélodie sponta­ née. Le répertoire contient peu de pièces en contrepoint, comme les fantaisies (fancy), même celles du r VARIETIE • . '.r plus grand luthiste anglais, John O F Dowland, se distinguent plus par LVTSjeJJofisi la qualité émotionnelle des diffé­ AYRES: rents thèmes et l’ingéniosité har­ Vis-, monique. Fanra&s, Pauîm, Gaillards, Almainej, Cotantocs, BY and Voit* : Selccted out of thc bcft approtfcd Les Anglais préfèrent mettre » et le penser que l’activité luthistique duc de Brunswick et à la Cour de w Qround » 124 V t était réduite, mais si l’on se tourne Kassel, chez le Landgrave ^ouno H du côté des manuscrits, tout d’Hesse. Bien qu’on lui propose Attardons-nous quelques ins- ’ change. Il existe en effet plus de » -1 de rester, il part pour l’Italie pour y *?!?ts sur Anthony Holborne * A trente livres de luth pour la pé­ rencontrer Marenzio qu'il admire. (1562-1606) auquel Dowland a riode qui va de 1550 à 1620 (les WM II séjourne à la Cour du Roi Chris- ?é?[é une chanson : « ! saw my \ manuscrits les plus importants, î «g tian IV de Danemark, auquel il dé- !ady weepes », « to the most les plus riches par leur contenu se diera une gaillarde, de 1598 à famous, Anthony Holborne ». Les À concentrent entre 1595 et 1615). 1603 (il retournera au Danemark noms ai°ute à ses pièces * * Certains de ces manuscrits ne ü en 1605). De retour en Angle- correspondent a la tradition euro­ contiennent qu’un petit nombre de terre, il y reste jusqu'à sa mort. Il péenne de l’emblème (ex. : Pa- r j. î pièces, d’autres plusieurs centai­ est le luthiste le plus célèbre de Y3™* “ Mena !™ovata » ou gail- nes. L’ensemble de ces sources son époque comme en témoi- 'arde w ' "e Fairy H°imd »). 1 représente un total de plus de gnent ses compositions pour luth La musique d’ensemble en An- i deux mille pièces pour luth seul et : qui sont dispersées dans l'Europe gleterre connaît avec le « brocken ! des dizaines de pièces en duo de entière. John Dowland de carac- consort » une bonne fortune, luth. tère gai, mais très obsédé par C’est une forme spécifiquement Hj ■ Ces manuscrits appartenaient l'idée de la mort, atteint le som- anglaise et pour la première fois ■ à des luthistes professionnels ou met de l'écriture pour luth dans les instruments sont précisés 1 à des bons amateurs. Il y a à ses deux fantaisies chromatiques scrupuleusement : <* Treble viol, % cette époque une mentalité qui (<* Forlone hope » et « Fare- Flûte, Bass Viol, Lute, Cittern, 'i cause aujourd’hui bien des pro­ well »). Pandora. » î - blèmes aux musicologues qui se i rf Il est à la proue du navire pour La plus tardive des sources, le penchent sur ces textes. La musi­ Ai- toute l’école de luth anglaise, manuscrit de Lord Herbert de que n’a pas au moment de sa même si les Daniel Bachelar, Cherbury se situe entre 1628 et création le souci de se perpétuer, Francis Cutting, Francis Cutting, 1640 et son contenu ecclectique ce qui a pour conséquence d'en­ ! Francis Pilkington, Philip Rosse- laisse supposer que le luth renais- ! I -Ÿ traîner une certaine difficulté pour ter, Barick Bulman, Michael Ca- sance s'est éteint un peu avant la authentifier les pièces dans la vendish, Edward Collard. John mort de Jacques lor et celle de John Dowland en 1626. 1 • Suite page 28 i Pensez dès aujourd'hui f. REPARATION SOCIÉTÉS à commander vos *¥»*«« -• . f I . À* CMH* VENTE TOUTES MARQUES -, S i CALENDRIERS Spécialiste instruments | r £ •• . V ' aux spécialistes des Calendriers Bois, Cuivre, Percussion i V Baguettes, Pupitres. Timbales, pour Musiques, Majorettes, Sports Accords de xylophones my et autres claviers, Cannes de Tambour Major, Méthodes IMPRIMERIE SIMATIS et Ouvrages pour percussion f g ET DE L'EDITION t. a. 0Êj Conditions spéciales aux Sociétés % 4 * « 7 • 1 ■H i MUHOHHNS Rue Cussinel 42100 ST-ETIENIME TÉL. (77) 32.60.70 nnnnnnn •+uK 1GT7 ta DESLAURIER i ;.rr i TW: Catalogue illustré en couleurs sur demande U a 25, RUE MICHEL-LE-COMTE ili dans la cour ? 75003 PARIS TéL : 272-87-59 v i i •. C.M.F./OCTOBRE 1982 9 ,

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: vÿ V:'" 75e anniversaire de

la Fédération de Picardie # ■"■ : Lm 19 et 20 Jutai, à Amiens

La Fédération des sociétés les Centres Socio-Culturels musicales du département de la d’Etouvie et du Pigeonnier, la Somme a été fondée en 1905. Maison des Jeunes de la Vallée La célébration de son 75" anni- Saint-Ladre, les écoles Bapaume versaire, d'abord prévue en juin et La Neuville, la place de 1981, fut différée l'an passé et Longpré-les-Amiens. reportée aux 19 et 20 juin 1982. Ainsi; ces exceptionnelles fes­ Le Concours et les Messes tivités s'intégraient-elles dans le Seize sociétés, le dimanche cadre de la Fête dans la Ville, la matin, se présentaient au grande manifestation culturelle Concours, qui se déroulait dans populaire estivale, organisée cinq lieux différents : les salles i : par la Municipalité d'Amiens. Gérard Philipe, Dewailly, du Cour­ Une quarantaine de sociétés rier Picard, de la paroisse Saint- du département avaient accepté Roch et du CSC Guynemer, ou i d'y participer, sous les formes evait lieu également l'audition •T-i-' les plus diverses qui étaient d'honneur. Placée sous la haute proposées ; concerts de quar- responsabilité d'André Amellér et tiers du samedi soir, messes en ÿ Charles Jay, les jurys, étaient musique du dimanche matin, formés de responsa blés des Fé- défilés et auditions'de l'après- dérations et des Sociétés de la midi,sans oublier le concours, le Picardie et du Nord-Pas-de festival et ses morceaux Calais, de professeurs du ConseT- d'ensemble, ainsi que la contri- vatoire National de Région bution à la formation de la d’Amiens, de solistes d'orchestres masse chorale et de l'orchestre nationaux, de chefs de musique indispensables pour la presta­ militaires. tion a la Cathédrale. Pendant ce temps, chorales, Les concerts harmonies, symphonies et • : fanfares rehaussaient de leur ta­ du samedi soir lent les offices des paroisses Le Président de la Confédéra- Saint-Honoré, Saint-Pierre, Saint- I tion Musicale de France, Monsieur Acheul, Saint-Roch, Saint-Martin, André Amellér, arrivait à Amiens ainsi que les messes célébrées au

Parmi eux, en plus de dix en- Festival (d’André Bourdon, Vice- droits, une trentaine de sociétés Président honoraire de la F.M.P.) se produisent dans un répertoire Picardie Marche (d’Alfred Saguez, adapté à cette atmosphère de compositeur picard,) et la Marseil- kermesse. Puis elles se rassem- laise, placés sous la direction blent en trois défilés vers le parvis respective de Messieurs Guy Pec- de la Cathédrale où doivent être quet, Vice-Président de laF.M.P., «■ x J / *■ ■■ exécutés les morceaux tafichelBrisse, Secrétaire Général, d’ensemble. Au moins deux mille et André Amellér, Président de la A cinq cents musiciens : autour, une Confédération Musicale de S* foule immense ; partout, des France, Ve: . > 1 ; j*> à t % V W •*»*<*■ flons-flons. v-^Üpr ^ v Sur le haut parvis ont désormais Les allocutions s - -f pris place les responsables fédé- et le palmarès raux et les personnalités ré- .... .______. ... . j Éttt gionales, départementales et . MM-Jean. Clauzel. Max Le- locales. Monsieur le Préfet Jean ArPe,,er« a,nf ?ue 7 /’ / Clauzel, Commissaire de la Répu- ^jtre Charles Jay, pnrent alors / blique de la Région Picardie et du brièvement la parole pour ex- Y% ✓ " M t Département de la Somme est Pnmar «eur satisfaction quant au w présent, ainsi que Messieurs Max succès ei a la qualité de cette r 1 Lejeune, Sénateur-Maire d’Abbe- joumee. ville, Président du Conseil Gé­ Mais c’est M. René Lambs, néral de la Somme, René Lamps, Maire d’Amiens, à qui il revenait T* Maire d'Amiens, Jacques de dégager le sens profond de ces fcj. Mossion, Sénateur-Maire de Doul- manifestations. « Le 75* anniver­ lens (Somme), Jean Claude saire de la Fédération Musicale de Dessein, Député de la Somme, Picardie coïncide avec les mani­ Adjoint au Maire d’Amiens, Hubert festations de la présente Fête Henno, Vice-Président du Conseil dans la Ville. Ce n’est pas un Général de la Somme, Daniel heureux effet du hasard, mais tout Lemaire, Adjoint au Maire simplement l'expression de la vo­ d’Amiens, chargé des Affaires lonté, tant de la part des respon­ Culturelles. sables de la Fédération Musicale dès l’après-midi, pour ces deux Sacré-Cœur et au Cœur-lmma- musiciens de jazz, de folk, de Sont alors interprétés, comme de Picardie que de la part de la joumées. Il était accueilli par culé-de-Marie, rock.... morceaux d’ensemble, Picardie Municipalité de donner un éclat • *j - Maître Charles Jay, Président de la Fédération et par Claude Le\ Les animations, les défilés pagnez, qui, co-auteur de la r£- Cantate pour une fête, étaient les morceaux d’ensemble interviewés sur cette création à la L’après-midi, la Ville est en fête, | Télévision Régionale depuis les car c’est la Fête dans la Ville, les I stalles de la Cathédrale. m- trottoirs du Centre, les rués, les I i L-v. Puis les sociétés étaient reçues avenues, les places, sont fermés § :-Y ,■■3 dans le cloître de l’Abbaye Saint- à toute circulation et intégralement E y** Jean des Prémontrés par M. René réservés aux piétons. Partout, des " V r Lamps, Maire d’Amiens, membre cracheurs de feu, des avaleurs de ;< A sSiSra honoraire du Parlement, avant de sabres, des bateleurs, des saltim- / • «; . .‘.JJ partir animer les quartiers périphé- banques, des comédiens, des £ u riques de la capitale régionale : danseurs, des plasticiens et des ? mtEssï i- KM .r-jf y-,:;? •sfe sa ’S: INSTRUMENTS a vent. < : __ r ■_•••. •. mm Yr 1 UN CHOIX A COUPER m l-;J 1 LE SOUFFLE. A: Le plus grand choix de marques. WÛ mr M Toutes les gammes de prix. fr. rÿ iB^^SELMER - BUFFET CRAMPON - YAMAHA » 1 jl^^BMARIGAUX - A.COURTOIS - LEBLANC -*ING...

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v .V'v'V*. --Jï mm ■cZz> J:\. : '. ■ïiïmm, • ' .'■ h ■ s m fîVii rato^^SSSnmé'^ o«e>iepar la Fédération Musicale S~>é“8dauVM ftn à l'unanimité un Bon à 2S0 F. de Percussion offert par la Maison .•U*ÿ ■■■« rabai du 75 anniversaire^ *2»- . . . „ du 20 luln offert par la Confédération Mu- Ono Une fierté à bw et disques -

&/• t- . • fcl£2îss.S ssggÇpf**'' aaw'à^véki .ssâStetôi- \ née de la volonté de deux person- î2^fî^Ér^ert^iS^^?r^t0«?rî?i,x * Cendant. Félicitations au Di- teur trois bons d'achat de 100 F Médailles de la Confédération nalitôs amiénoise et que la réu- . JJJJJ Féc,éra‘ recteur. Attribution de la coupe offerts par Lantez Music. Musicale de France, I nion constitutive s’est déroulée à t*on Musicale de Picardie. Fédérale pour 1982-1983. une Harmonie de Longueau : 1" Prix Offertes par Monsieur Amellér. l'Hétel de Ville d’Amiens. .■ trompette offerte par la Confédé- une coupe offerte par le Crédit Président :

iïKfts: viras .«massas* ■ :\-!À ; — A M. René Lamps, Maire de la srKSsàaa»^ SSrfSxrSraiSi asgffgv «y «aastsaas* Ville d'Amiens.

g.rwissî'-Æj; san'jras.«sr&wSya» s,s%rj:.Tn. Médailles de la Fédération Mu­ sicale de Picardie, -A ai dévouement de personnes, tel Hamon.e de Corbie : deux bustes 1-acsïaBÇSs:,-SS?2section. tion du Fanton Fédlmf^ur,1âSM 1982/ commémorant son 75* anniver- Maître Jay, pour ne citer que votre offerts par la Maison de Musique Harmonie de Feuquières : 1- Prix 1983 Une coura offete Dar la saire. offertes : Président, ont pü déchiffrer la Malinowski. ascendant. Félicitations au Di- FM P une médaille offerte^>ar la — à M. André Amellér, Président gamme, apprendre lés notes, puis Harmonie de Doullens/Barly : un recteur. Attribution du fanion Fé- ville d’Amiens de la Confédération Musicale de , 1i rart du chant ou d’un instrument ? buste offert par la Maison de déral pour 1982/1983. une coupe Batterie-Fanfare de marche de France à Paris. Je ne pense pas me tromper en Musique Malinowski offerte par le Courrier Picard. Montdidier: 1- Prix ascendant — àM. René Lamps, Maire de la disant qu’ils doivent être plusieurs Batterie Fanfare de Doullens/. Harmonie de Villers Bretonneux : une coupe offerte par la FM P * Ville d’Amiens dizaines de milliers, pour les trois £a*ty: un pupitre offert par la 1- Pnx ascendant. Félicitations au Harmonie de Woinoourt • 1* Prix à — à M. Max Lejeune, Président -4- quarts dé siècle d’existence de la Maison de Musique « ONO ». Directeur, une coupe offerte, par la l’unanimité. Félicitations au Di- du Conseil Général de la Somme. Fédération ! Chorale de Doutions: une coupe Bijoutene Bobin de Courbie. recteur un bon de 250 F offert Dar — à M. Jean Clauzel, Préfet de : ■ Après avoir souligné que la offerte par I Harmonie d’Amiens. Batterie-Fanfare de Lihons : 1» laC.M.F. Région, Préfet de la Somme. ; u FMAraLn fnrmo mucirtonc: Fanfare d Henssart : deux bustes Prix à I unanimité. Félicitations au Fanfare de Woianarue • 1» Prix — à Mme Noelle Bedu, soliste 4» tant professionnels qu’amateurs, Snowski** Malson de Muslclue gjggour^uneooMp® offerte par le une coupe offerte par les Editions — à M- Jean-Philippe Courts, Di* ^^^ucS^do^pr^t^ de ffntfare F,ibeaucourt : un Harmonie de Montdidier : 1“ Prix. R°bert Martin' — à M. Philippe Rouillon, soliste relier Mqre'!i;dPins^i^ SX-M-S* * 3LÆR 0,

Chorale d’Airanes : une coupe : 3Î1 offerte par la Fédération Musicale i • de Picardie. votre instrument en location vente: Harmonie d’Airanes : un pupittre offert par la maison de Musique sans apport initial (garanti-reprise «en cas de non persévérance») * « QNO ». I . Art Musical 'Symphonique d’Amiens (messe seule) : une pour 5000F = 156F par mois coupe offerte par la Fédération T Musicale de Picardie. : j Harmonie de Mers-les-Bains : une coupe offerte par la Fédération TOUS NOS INSTRUMENTS SONT GARANTIS 2 ANS PIECES ET M.AIN-D'OEÜVRE Musicale de Picardie. ______t -______————————■————————i——mm—■ Harmonie de Peronne : une coupe i ■I s C.M.F./OCTOBRE 1982 X:

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• .*• *#• •v. Office Deutsch- ■. 1 - i franco-allemand Franzôsisches

■ pour la jeunesse | Jugendwerk

Il me paraît que ce délai soit respecté, ne ,a) P°ur programmes d’information et nature pour pouvoir étudier les éventuels Lettre circulaire soutiens nécessaires. fût-ce que pour éviter les désavantages contact, les programmes d approfondis- •h ji*,'- à tous les organisateurs pouvant résulter d’une information trop semer?/ et les rencontres avec activités 4. Le nombre des programmes avec parti­ d’échanges tardive. linguistiques cipants de pays tiers, qui depuis 1976 franco-allemands Dans l’établissement de vos prévisions il ZI faux ^nædmum^O^F peuvent être subventionnés par l'Office en raison d'environ 150 par an, reste encore ►-:'v . conviendra de tenir compte également des m pQUr /es stages de formation, les Monsieur le Président, limité (88 programmes en 1981). Il serait éléments suivants : stages linguistiques intensifs binationaux évidemment souhaitable qu'ils soient plus Le Conseil d'Adminlsjratioh de l’Office dépècements TetlTdts ûl et les rencontres de coopération institution­ nombreux en 1983 et que les possibilités \ nelle I -. données dans ce domaine, soient Franco-Allemand pour la Jeunesse arrê- rectives) devrait, en raison de l'augmenta- taux maximum 120 FF épuisées. Je rappelle que peuvent égale­ ! î-, ; tara le budgetde 1983 lors de sa prochaine tion du coût des transports, être relevée à ment être subventionnes des programmes session fes 21 et 22 octobre 1982. Pour partjr qu 1.1.1983. Le pourcentage de ce 3. L'Office Franco-Allemand pour la Jeu­ comprenant dès jeunes de pays ayant faciliter aux organisateurs la préparation relèvement doit être arrêté par le Conseil nesse célèbre l’an prochain son 20• anni­ versaire. SI, à cette occasion, votre asso­ demandé une adhésion à la Communauté des. échanges de lan prochain, il est d'Admlnistration dans sa session budgé- Européenne (Espagne, Portugal), ainsi envisagé de leur communiquer dans le taire ; il devrait être de l'ordre de 10 % pour ciation envisage une manifestation de caractère particulier ou un programme que, dans des cas particuliers, des pro­ courant de novembre, cest-à-dire dès /a grille intérieure française et de plus de grammes se déroulant dans d'autres pays après la session, le montant des crédits 20 % pour les voyages vers l'Allemagne. dont le thème se rapporte à cet anniver­ pouvant leur être réservés. Je vous serais saire, je vous serais reconnaissant de bien européens si le thème et les étapes donc reconnaissant de bien vouloir faire 2. Le montant des indemnités journalières vouloir me donner toutes les indications antérieures le justifient. connaître à l'Office jusqu’au 1m novembre devrait, lui aussi, être relevé à partir du déjà communicables (nature ou thème, Je vous prie d'agréer, Monsieur le I i au plus tard vos besoins pour 1983 en 1.1.1983. Sous réserve de l'approbation dates ou lieu, coût etc...) ; il faudrait en Président, l'expression de mes sentiments retournant en trois.exemplaires les formu- du Conseil d’Administration, les taux pour- effet que l’Office ait suffisamment tôt une distingués. : J-'' làires ci-joints. V raient être les suivants : vue d'enseble sur les projets de cette Reinhard Wllke

•3.' PLANIFICATION 1983 ïJiX v 1 h f-;-: Now dé l'Organisation

MiJ leu Domaine extra-scolaire } Nature du Progri socio-professionnel Jeunesse Jumelages Observations FF : FF FF Titre I Rencontres de groupes au domicile du partenaire et voyagea d'études (subvention "au départ") 1)3) ÿ. fe- : Titre II : ! Jy. Programmes communs en tiers i - lieu, (subvention iKv "è l'accueil") 2) 3) :

• ■; Titre III > j Wft; Jk Stages proFessionnels î > : èt séjours d'études g: A)

m Titre IV i Coopération institutionnelle }4r 5) SV - -! •* 1) Voyagea de groupes en Allemagne pour lesquels seuls les participante français sont subventionnés (§3.2.3.A,a et Cfb des Dir.) .)• 2) Programmes communs en France pour lesquels les participants des 2 nationalités sont subventionnés (§3.2.3.A,b et C,a des Dir.) 3) Il s'agit aussi bien de programmes d'information et de contacts (§2.2.1. des Dire.) que de programmes d'approfondissement (§2.2.2. des Oir.) A) Stages et séjours de moyenne et longue durée (§2.2.3. des Dir.) :.-w j ? 3) Réunions de travail d'organisations centrales pour la planification, la préparation et l'exploitation des progranmeo...(§3.1.3. alinéa 2 des Dir.) î . à

l ,‘‘r • X . ï \ ’*} L C’est sous l’impulsion musiciens) et reprendre une belle bals et séances théâtrales qu'elle ; d’Edouard Rivot, professeur, lau­ vitalité, relèvent d’un pari que organise. réat du Conservatoire de Paris et seuls ont pu tenir des gens désin­ de Jules Legrand, premier Di­ téressés, courageux, volontaires, Elle a étendu son audience % recteur, que la Fanfare de Sa­ persévérants et ayant foi dans leur auprès de nombreuses localités vières fut créée en 1882 dans un idéal. auboises, françaises, voire même La Fanfare étrangères lors de concerts et de milieu musical inexistant. iy Libérée des contingences maté­ participations à des concours ou De Fanfare municipale à rielles grâce au soutien constant festivals. l’origine, la Fanfare devint libre de de ses membres honoraires et - ■? toute tutelle et de toute confession aux subventions communales et Enfin son but ultime est de de Savières départementales, la Fanfare de parfaire son niveau musical en dès 1887 et prit sa dénomination Savières s’est adonnée à ses préparant et donnant un grand définitive de « Fanfare de Sa­ concert annuel. ■j vières ». activités sans relâche. î D’elle-même, elle a toujours La réussite de toutes ces acti­ I : a cent ans Rassemblés afin de faire de la formé des jeunes musiciens en vités est le reflet du travail fourni T musique pour leurs distractions vue de leur apprendre la musique, par les directeurs, présidents et personnelles et propager l’art mu- de leur faire partager la joie de exécutants qui se sont succédés sical, les membres de la Fanfare pratiquer ensemble et d’assurer la ainsi que de l’amitié profonde qui i de Savières ont su faire traverser pérennité de la société. lie tous les membres de la société. le temps à leur Société. Elle a toujours animé les fêtes Que ce siècle passé demeure En effet, subsister malgré deux et réunions officielles de Savières un exemple à tous les musiciens I V-; guerres, défaillir dans les années ainsi que les fêtes patronales des pour que la Fanfare de Savières l U 50 (l’effectif n’était alors que de 12 villages voisins, sans parler des dure à jamais. 8 i ; ;; J r r. ; : t • f 12 ’ f # C.M.F./OCTOBRE 1982 -y. ! J i

if >*• rûf; ■ IÉÉ C-;., > . ; • •:* > :• . ‘ .*;* M • -i

rr Observations :)î:'

Formation Stages Intensifs pour là préparation des séjours

d'études et des etâgés professionnels ,ÿ' (• linguistique / 1 Apprentissage extensif •"'a

.y Titre V 4 Animetion de groupes et pédagogie Formation et des zelétions interculturelles f > ! percetionnement des jjf ,1-.. responsables et. Hftthodologle et pédagogie de l'enseignement l linguistique : animateurs î i-; BMRHBHNNHlflHBMBNHHBMMHMMMKMN i •i ! . î I Impressions ;4:'

î d’un jeune musicien Musùjuè> ? !' Jy ! sur le congrès de Bristol ; t ii* i (Angleterre) ÿ i i . i N’ayant jamais foulé le sol bri- des conférences et discours) et salle, et auquel cet ensemble est SERVICE REPARATION • . i tannique, c’est avec beaucoup de surtout une grande diversité des d’ailleurs très cher. Parmi les joie que j’acceptai, sur proposition sujets proposés : Des expositions autres concerts, j’ai été enchanté Cette nouvelle société réunit cadres et techniciens de Monsieur André Amellér, de (instruments d’Inde, fabriquants par les prestations de certains ayant collaboré vingt et trente ans dans une des gran­ .i me joindre à la section française d’instruments, partitions de tous orchestres de jeunes qui appro­ des manufactures d’instruments à vent. i:• de HS.M.E. pour assister au genres, ...), des conférences (« la chaient vraiment une qualité de . . i congrès International de cette vidéo dans l’enseignement », « la travail digne de professionnels, Ils ont décidé de mettre leur expérience et leurs •• compétence à votre service. ï grande organisation qui se tenait musicothérapie », « interprétation par des groupes folkloriques, afri­ i en juillet dernier à Bristol. Je fus de la musique baroque », dé- cains. etc... Ces connaissances acquises ne peuvent que contri­ î évidemment comblé lorsque Mon- monstrations de méthodes nou- buer à vous donner toutes satisfactions dans la qua­ ■■î î sieur Gallois Montbrun, le Direc- velles d’enseignement, « œuvres En somme, cette expérience leur du Conservatoire National pour le musicien amateur» par lité et la rapidité du travail effectué sur toutes les m’a été très bénéfique en ce sens marques d’instruments. | Supérieur de Musique de Paris, André Amellér, etc...) et égale- qu’elle m’a permis à la fois de ’k donna son accord quant à ma ment une multitude de concerts faire connaissance avec l’Angle­ ■■J- i- participation. aussi divers et intéressants les terre et ses usages, et de décou­ POUR VERIFICATION :i ArriwAp o.,r onràc ,,n uns que les autres. Malheureu- vrir de nombreuses sortes de Arnvés sur place, apres un sementi j| était fréquent quune REMISE EN ETAT • * voyage très amical avec le de- dizajne d’entre eux aient lieu, au musique dont j’ignorais même jus­ légué françats, nous reçûmes un même moment) j| était de fait très qu’à l’existence, de rencontrer REMISE A NEUF- TRANSFORMATION i des gens merveilleux, tous venus V accueil I f îinHomSn HPuaft mm difficile de faire son choix. Je des quatre coins du monde et EMBOUCHURE /l U MODELE Anglais. Le d®vart co retiendrai néanmoins certains dé- V ■; d’échanger avec eux des propos i. mencer la session qui avait pour jjCjeux COncerts qui m’ont beau- très intéressants; i thème . “ Tradition et changement ..... marnné Tout d’abord et SPECIALISTE DES INSTRUMENTS A VENT v dans la Musique elil,^s Tensei- c.0jJ na^ei. |es concerts de mes C’est donc un très beau sou­ gnement HD compatriotes : Sylvain Pluyant, or- venir que je garderai de mon NEUF - OCCASION - LOCATION * séjour a Bristol et, à cet égard, je crois que les organisateurs de ce TOUTES MARQUES - BOIS ET CUIVRE -4 Congrès méritent vraiment tous les éloges. k- .1 concert (com^sé essentiellement sens . puis David Walter, haut- BACH BUNDY - BUFFET-CRAMPON - COUESNON par des groupes de jeunes gens) boîstei comme à son habitude, COURTOIS - GAUDET - CONN - DOLNET-GESTZEN A présent je ne puis qu’espérer KING - LE BLANC - NOBLET - SELMER - YAMAHA ; qui laissait présager un très beau représenta de fort belle manière qu’il me sera donné d’autres occa­ YANASIGAWA - VANDOREN congres. notre pays, de même que cet sions de participer aux travaux de /* Au fil des jours, je devais me ensemble tout à fait original qui l’I.S.M.E., si possible en tant rendre compte que la réalité dé- est l’Ensemble des contrebasses qu’instrumentaliste, mais pour­ A votre disposition passait de loin tout ce que j’avais du Conservatoire de Grenoble, quoi pas à nouveau comme au­ pu imaginer à propos de ce plein d’humour, et qui plut beau- diteur, car vraiment, cela vaut bien Tel. : 607-02-24 congrès : une organisation quasi coup au public notamment lors de le déplacement !! Métro ; Gare-de-l’Est Gare-du-Nord V parfaite (à l’exception d’une ab- son interprétation d’un quatuor M sence de traduction en français d’André Amellér, présent dans la François-Etienne SLUSZNIS : : ;! j condoléances à la famille ;; Nécrologie éplorée. i M. Yvon Christnach a été, TRES IMPORTANT ■- durant de longues années, un ; promoteur généreux de la vie Lorsque vous effec- musicale internationale, il ap- 1 La Confédération Interna- tuez un changement 141 RUE DU tionale des Sociétés Musicales partiendra au congrès de la d’adresse, veuillez *5 CISM, convoqué pour le a Je triste devoir de faire part nous communiquer du décès de son ancien secré- 22 octobre '1982 à Saint-Ni- taire général, M. Yvon Chris­ colas en Belgique, de s’en votre ancienne u tnach, Luxembourg, membre souvenir. adresse, le classement ■i d’honneur de la CISM. L’enter- Le 22 septembre 1982, Le du fichier journal étant • ! À rement du regretté défunt aura Comité : Friedrich Weyer-. effectue par départe- lieu dans l'intimité familiale. müller, Henri Schumacher, Fri- dolin Aeby, Knub Rasmussen, ment. Merci. comité de la CISM vient Walter Wachter, Prof. JosefLe ;i d'exprimer ses plus vives Leeb, Martin de Ryck.

C.M.F./OCTOBRE 1982 - ...... - - K-..; a; ' A- • ..-. .^V' v v/

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‘ "* i" a Union départementale des sociétés A ^0 ■ musicales du Puy-de-Dôme s; % i I

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: 1 M STAGE DE BOURG-LASTIC j

En réunion du bureau le 15 février 1982, PROGRAMME Nous avons eu aussi fa joie et le grand M. Girod, professeur de clarinette. il a été décidé par les membres du Conseil D’UNE JOURNEE DE STAGE : bonheur de recevoir pendant 3 jours, — Véronique (Messager) par M. Laurent, d'Administration que le cinquième « stage 7 h - Lever, Petit déjeuner. M. André Ameilér, Président de la Confé­ Directeur de l’Harmonie de Bourg-Lastic. de perfectionnement instrumental et d’ini­ dération Musicale de France qui, ayant — Hymne à l’Art (Wagner) par M. André tiation à la musique d'ensemble » aurait 8 h 45-12 h - Travail -individuel, solfège, travail par groupes instrumentaux. répondu favorablement à notre invitation, Vernet, Directeur de la Philharmonique de lieu du 1* au 11 juillet à Bourg-Lastic, 12 h - Déjeuner pris en commun au nous a fait bénéficier, avec simplicité, de Thiers. chef-lieu de canton situé dans le parc des réfectoire du lycée. sa compétence en matière de musique et — Mach II (Jacques Devogel). volcans d'Auvergne. A l’initiative de 13 h 30-14 h - Réunion des professeurs sa gentillesse a été pour nous un précieux — Olympica (Orsomando) par Marc M. Wegl, Président de la Fédération Mu­ et moniteurs : (Discussion et mise au point encouragement. Meynial. sicale d’Auvergne, le premier de ces des différents problèmes rencontrés dans Nous formons le vœu que dans l’avenir, — Fuego Torrero par Didier Perronet. j.- ■ stages s’était déroulé à la Bourboule en la journée. Préparation du travail de malgré ses nombreuses occupations, — Rapsodie sur des thèmes Bretons r-. r juillet 1977, grâce à la municipalité de cette l’après-midi). M. Ameilér puisse à nouveau nous prodi­ (Lancen) par M. Michel Block. charmante station thermale qui avait mis à 14 h-16 h - Etude, en détail, des œuvres guer les conseils que nous attendons tous — Dans les Jardins d'un Monastère ! >; la disposition de l'Union départementale retenues pour les concerts. et dont nous avons un immense besoin. (Ketelbey) par Arlette Jaffeux. des Sociétés Musicales du Puy-de-Dôme, !6h-18h - Rassemblement de tous les Les derniers jours du stage sont mar­ — Happy Sound Sélection (Vlak) par J.-F. tous les moyens financiers et matériels élèves pour les répétitiôns d’ensemble. • qués par les 3 concerts donnés par Couchard nécessaires a sa réalisation. l'ensemble des musiciens, et un public — Syncopated Clock (Anderson) par J.-M. Tous les jours l’animation de la soirée nombreux a pu découvrir les grands efforts Charmier. est préparée par une vingtaine de sta­ Chaque année, ce stage se déroule réalisés par tous. — Fête à la Baillie (Albert Thiry) par f*. giaires ; concerts par l’Harmonie des en­ dans une petite ville des environs de Programmes des œuvres jouées aux M. Jacques Sturm, Directeur de l’Har­ fants de Bourg-Lastic, quatuors, quintet­ différents concerts : La Bourboule, le Mont- monie de la Bourboule. Clermont et l'équipe animatrice essaie tes..., d'apporter sans cesse des améliorations Dore, Bourg-Lastic. — American Panorama (Jchn Parling) par ! tant sur le plan musical que dans l’organi-, Soirées sportives, cinéma, feu de camp. — Marche de l’école de l'Air (Armand Jean-Yves Pillet, Directeur de l’Harmonie sation. ■ C'est ainsi que le premier jour, 19 h - Souper. Tournel) dirigée par M. Jean Bordel, Direc­ du Mont-Dore. : 22 h - Coucher. teur de l’Harmonie « les enfants de Ver- — The Beatles in Concert (Willy Hautvast) ■i j. M. Sturm, directeur, accueille les quelque ; . 180 jeunes musiciens inscrits et leur remet -La surveillance du réfectoire et des taizon». par M. Arbre. l'emploi du temps pour la durée du séjour. — Ouverture de Poète et Paysans — To Go Forward (Jack Welfort) par dortoirs est assurée gracieusement par (Suppé) par M. Maurice Arbre, Directeur Thierry Collardeau. h y quelques épouses de musiciens venues de l’Harmonie de Royat. Ces jeunes musiciens, qui pour la apporter leur concours à leur mari. — La Chanson de Solveig (Grieg) par Le 11 juillet, pour clore agréablement plupart, viennent pour la deuxième et La partie administrative est confiée aux Mademoiselle Evelyne Aiello, Directrice de membres du bureau de l’U.D.S.M., sous ces onze journées de travail intensif, un ÿ:.' troisième fois, sont issus de 20‘sociétés ou l’Harmonie de Clermont-Ferrand'. buffet campagnard, dressé dans la cour du écoles de musiques du département sur l’autorité de son Président. — Les Noces de Figaro (Mozart) par lycée, est offert par la Municipalité de T les 70, adhérentes à l’U.D.S.M. du Puy-de- Cette année; nous avons eu le plaisir M. Joseph Mojal, Directeur de l’Harmonie Bourg-Lastic. y r Dôme. L'encadrement musical est assuré d’accueillir M. Loiseau, délégué régional de Chamalières. bénévolement par 25 Directeurs et Profes- des Affaires Culturelles pour la Musique et — Première Suite de Croquignoles (André Puis chacun se séparait avec un peu de &:■ i seurs de musique de la région et quelques qui nous a dit toute sa satisfaction sur le Ameilér) par M. Michel Meunier, Directeur tristesse mais en se promettant de parti­ V. 5? •- moniteurs choisis parmi les meilleurs travail réalisé et qui a été très impres­ de l’Harmonie des Ancizes. ciper au prochain stage qui. déjà, est en élèves. sionné par le nombre de jeunes stagiaires. — L’Enlèvement au Sérail (Mozart) par chantier. ;

m Bourboule qu’échoit la direction que si la musique a des exigences A plus d'un titre, vous méritez V du stage 1982 à Bourg-Lastic et je sur le plan national, il ne faut pas tous nos compliments. Votre dé­ r i O: '-SSv : tiens aussi à le féliciter: déconsidérer l’effort des munici- vouement, votre amitié sont très % il : Je remercie tous les chefs de palités de nos stations, de nos réconfortants, -■"A U L' • • musique participants parmi les­ communes rurales qui, très sou­ Je vous remercie très chaleu­ quels le Réveil Bourboulien vent, favorisent l’éveil musical reusement M. Ameilér. Je suis m sans autre compensation que la t compte de nombreux amis, ceux très heureux de votre présence IV v qui prêtent bénévolement leur bonne volonté, la foi de leurs qui témoigne de l’intérêt que porte concours aux jurys d’examen de sociétaires et l’aide des conseils la Confédération Musicale de i v nos écoles de musique. L ’associa­ municipaux. Il est des règlements France à nos associations locales. fyp tion de tous favorise cette grande parfois bien sévères mais je sou­ J’éprouve un grand plaisir à vous haite que ces stages soient mieux Y et saine, famille ce qui montre que féliciter car pour nous tous c’est ...m* mG dans nos sociétés nous retrou­ connus parce que constructifs. l'encouragement de la Confédé­ r-*r- vons des gens sérieux, efficaces Aujourd'hui, la prestation des ration, une participation, un et compétents. jeunes musiciens de nos associa- exemple d’amitié. il fis™ £ La Bourboule, comme certaine- fions d’éducation musicale popu- Le succès de ces stages, nous > , % ment dans toute association mu- taire montre une fois encore le les devons particulièrement à un sicale, a connu des difficultés pour sérieux, le rayonnement que nous homme exigeant mais si sym- atij le recrutement d'un chef de mu- pouvons attendre de ces réunions pathique et très dévoué : M. Wegl, sique. Elle a paré au mieux devant de travail à notre plus grande Président de la Fédération Mu­ ! le statut de la fonction municipale satisfaction. Que de travail, que sicale d'Auvergne. Il m'est infini- pour donner à son chef une pro- d'heures passées en répétition, ment agréable, avant la clôture de Au premier plan : Jacques Wegl, président de la Fédération d'Auvergne. motion de classement. Je pense mais aussi quelles récompenses ! ces journées, de lui exprimer le Au second plan : M. André Ameilér, président de la C.M.F. tv-y-TV.-; --■V m Yâ Y" M. le Président de la Confédé­ cours desquelles les juniors du «fa ration Musicale de France département du Puy-de-Dôme ont y M. le Président de la Fédération volontairement souscrit et parti­ cipé au stage de perfectionne­ m- Y Musicale d'Auvergne 14»;. .1 Y MM. les Professeurs et Chefs ment... ii faisait aussi chaud m* qu'aujourd’hui... et le cadre et les de Musique - 4- m V. • 1 MM. les Présidents des So­ sous-bois de Charlannes s'y prê­ tSÉô, £■ ciétés de Musique taient admirablement. Je me sou­ {&. v i • Mesdames, Messieurs, viens de l’aubade donnée par 'Y 150 participants devant mon do­ m m y y Je suis très honoré de votre micile pour me témoigner de leurs A, présence aujourd’hui à La Bour­ encouragements alors que je ren­ & boule et c’est avec grand plaisir trais du C.H.U. après une inter­ que je vous accueille. vention chirurgicale. ■ v Souhaiter la bienvenue tout à la % S Cet honneur, je le dois à % fois à la Confédération Musicale M. Wegl, Président de la Fédéra- « Y • de France, à la Fédération.. Mu- tion d’Auvergne, aux chefs de sicale d’Auvergne et aux diverses musique, ie leur en suis très K sociétés de Musique du Puy-de- reconnaissant. Mais je suis m< m* Dôme, est pour le représentant du encore ému et fier de constater A; Conseil Municipal et de la popula­ ; que ce premier stage ait servi la Jy V tion bourboulienne, une grande consécration de nos sociétés mu­ joie. nicipales d'éducation musicale. r La Bourboule a marqué le dé- Je remercie M. Rodriguez, alors ■•■V part des stages de formation mu- chef du Réveil Bourboulien, main- i.yÿ sicale junior et,en signe de recon- tenant Viœ-Prôsldent de la Fédé- j naissance, cnacun de vous a tenu ration p‘av0jr assuré la direction f’Y'TY m & à faire de cette soirée une réunion jq ce premier stage, d’avoir avant tout amicale, une réunion de consaci e beaucoup de son temps - . : famille et cela est important. à la prospérité de notre musique ïi Je me souviens de ces journées locale. Aujourd’hui c’est à m merveilleuses de juillet 1977 au. M. Sturm, son successeur à La I C.M.F./OCTOBRE 1982 14 . ; ' I .y.!-; -H: ;-v ' . ■■ ■■

**> '• Y*. POUR CONCLURE LE STAGE 3 Les stages 1I LE PRESIDENT AMELLÉR PREND à travers L;.. LA PAROLE nos J’ai été très heureux d’assister au stage de Bourg- if. Lastic parfaitement organisé ; j’ai pu avec le dévoué Fédérations • * Président Jacques Wegl évoquer les problèmes constants qui nous assaillent et, bien sûr, celui du m • Fédération financement d’un tel stage. Plus de deux cents k ■ . personnes y assistaient : élèves, professeurs et moni­ de rile-de-France teurs, sans compter tous ceux qui ont apporté une aide Les stagiaires des fédéra­ i w tangible en confectionnant les repas fort appréciés et tions limitrophes pourront participer à ces stages. ; assuré l’hébergement. Le travail a été effectué en

;■ profondeur et il serait souhaitable que tous les stages f: — Mennecy (Essonne): t --ii fussent ainsi réalisés : le travail dans la discipline mais 7 novembre 1982. sans contrainte, avec bonne humeur, apportant à tous Lieu: Ecole de musique, un bagage musical qui s’étoffera encore. J’aurais voulu parc de Vil leroy. citer tous ceux qui se sont dévoués, d’autant que sont Disciplines : tambours, clai­ l h témoignage de notre intérêt et de donc une double satisfaction de aussi méritants ceux qui apportent un concours plus rons, flûtes, clarinettes, saxo­ 8g: notre affection. Cette grande réu- constater chaque année la pro- modeste. phones, chant choral. ? nion est son oeuvre. M. Wegl a gression de ces stages. La Fedé- apporté tous ses soins, tout son ration Musicale d’Auvergne peut Grand merci Mon Cher Président Jacques Wegl de Inscription : G. Louet, 5, rue cœur pour en assurer l’expression être Hère de ses juniors, votre invitation dont j’ai tiré grand profit. Je souhaite que du Puits-Messé, 91540 •Mennecy. comme la prospérité aux travers vous persévériez dans ce sens. Et merci à tous ceux des diverses sociétés de musique. Merci M. Wegl, Merci M. qui vous ont aidé pour l’Amour de la Musique — Persan (Val-d’Oise) : 12 ; Ces éloges> la Municipalité qui a Amellér, Merci MM. les Proies- communiqué à tous ces jeunes avides de mieux faire. seurs et Chefs de Musique. Merci décembre 1982. porté au Réveil Bourboulien la \ plus active sollicitudè: est heu­ à Mlle Allielo avec nos encourage­ J’ai beaucoup apprécié les trois concerts donnés à la Lieu : Centre culturel. reuse de les faire, comme eile a ments et vive la Fédération Mu­ Bourboule, au Mont-Dore et à Bourg-Lastic. Disciplines : tambours, clai­ ôté heureuse de permettre, par sicale d'Auvergne. rons, flûtes, saxophones, cla­ ; ! l’octroi d'une forte subvention, le Bravo à tous ! A bientôt ! D. Segarra André AMELLÉR rinettes, trompettes, basses, démarrage de ces stages. C!est Maire de La Bourboule plectres. j? Inscriptions : G. Duhamel, 24, avenue G.-Pompidou, Mer- gency, 95580 Andilly. connaissez-vous la collection Fleurant-Voirpy — Aubergenville (Yvellnes): 27 février 1983 ou 6 mars 1983! Lieu: Ecole de musique, pour conservatoires et écoles de musique ? rue du Bois-Tonnerre. 3 Disciplines : tambours, clai­ rons, trompettes d'harmonie, cors d’harmonie, basses, trombones, batteries jazz, accordéons. Avec la participation ; TEXTES MUSICAUX A CHANTER comme professeur des mem­ bres de Quintette de Cuivres J.-B. Arhen. Inscriptions : G. Meisso- La série des « Textes musicaux à chanter » s'adresse aux professeurs de formation nler, 7, chemin de Ronde, musicale (solfège) soucieux de dispenser un enseignement axé sur la pratique de la 78410 Flins-sur-Seine. musique et le contact direct des œuvres de toutes époques et de tous styles. A 17 h 30, concert en l’église St-Ouen d’Aubergen­ ville par le Quintette J.-B. Arhen et les stagiaires des Les extraits proposés, soigneusement triés en fonction de leur intérêt mélodique ou rythmique, sont i classes instruments « cui­ i classés suivant une progression moderne et pratique, permettant un accès rapide aux principales difficul­ vres ». J < tés rencontrées au cours du travail instrumental. Les stages ont lieu de i. 9 heures à 12 heures et de . i Cette progression, nécessairement rigoureuse dans le premier volume, s'avère ensuite de plus en plus 14 heures à 17 heures. souple, autorisant toute permutation dans l’ordre des textes. ,^u La Fédération * l des Sociétés Musicales de l'Indre organise Publiés à ce jour : Série A Série B f deux stages : 4 — 20-30-31 octobre et 1 A en clé de sol 5 B en 5 clés sur la musique de chambre de Schubert 1er novembre : stage d’ins­ truments à vent et direction 3 B en 2 clés sur les opéras de Mozart ..3 2 A en clé de sol d’orchestre ouvert à tous les 3 A en clé de sol musiciens amateure et pro­ 4 A en clé de sol fessionnels, organisé sous l'égide de la Municipalité* de . 5 A en clé de sol Château roux et de la Fédé­ \ 6 A en clé de sol ration des Sociétés Musica­ A les de l’Indre par les « Phil- X Tous les numéros sont publiés en deux versions : harmonistes de *4 professeur, avec accompagnement de piano, élève sans accompagnement. • Châteauroux ». Direction Artistique Janos KOMIVES. i

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17 C.M.F./OCTOBRE 1982 1

.....y j r magnifique sonorité du Celio, était particu­ coupe de la ville de- Lille et une trompette V lièrement expressive- Le 3* mouvement d’harmonie offertes par la C.M.F., pour son du £%%%%%%%>nSéréS SOU8 10 resP°nsabmé (alla slciliana) fut berceur et interprété avec orchestre d’harmonie au Concours Na­ charme. tional de Lille. Le premier Prix en première S9^^CpubHésnSaé8 par lea SOC/éféS dlrectemen< à la C.M.F. ne Pour finir la première partie du Concert division (avec note ascendante), avec sur une note de gaieté, l’Orchestre inter­ félicitations unanimes du jury, la coupe de prétait l’Impromptu de Franz Schubert, la Fédération Nord-Pas-de-Calais, pour sa ramerc/ons de bien vouloir nous adresser des articles initialement écrit pour piano. jeune batterie-fanfare dirigée par Gérard d^torte~enwjn^renCe fa/>és *,a machfne) et bien présentés, afin Vandenbroucke, au même concours. Un ■ Après l’entracte, le programme se premier Prix de clairon et un clairon offert continua par une œuvre pour cordes du par la C.M.F. avec Valérie Von Euw, 18 Pour toute photographie publiée dans cette rubrique, le cliché compositeur Norvégien Edward Grieg. ans, au Concours d'Excellence de Paris. i sera facturé à la Fédération Intéressée. Roger Thlrault dirigeait de nouveau l'Or­ Cette Harmonie Municipale s’est produite chestre qui interprétait deux mélodies été- en concert à Lille, Nouzonville et Mouzon giaques opus 34. Ces mélodies ont été et en sa ville de Charleville-Mézières, avec tes en 1881. C’est un tableau caracté- ;■ la chorale de Dulmen. ristique du folklore Norvégien comme le ! compositeur savait le dépeindre avec le Le troisième pôle ardennais d’attraction son de « Hardanger Fiedel » (genre de musicale a été ensuite Fromelennes où 1 violon ancien). l'Harmonie locale a fêté son centenaire le r m: 22 mai, avec le concours des Harmonies Traduction $un article de Georg Glatz, critique musical de la Boëme-Zeitung Dans le Concerto pour 2 violoncelles et belges de Feschaux et Hastières, et fran­ orchestre de Haendel, se confirmaient les çaises de Givet, Revin et des Deux Vireux, le lundi 30 août 1982 solistes Marc-Didier et Jean-Eric Thirault, malheureusement arrosées par la pluie. Le les deux fils du Chef d’Orchestre. Ils font Une note de fête apportée par les Président Pihet épingla la médaille du Le public fut enchanté de la belle leurs études violoncellistiques à l’Aca­ centenaire sur le drapeau local, et remit Français de l’Orchestre de Chambre de sonorité et du timbre des instruments à démie de Detmold, avec le Maître André Laon. Cet ensemble a convaincu dans différentes décorations C.M.F., à titre pos­ cordes, en particulier dans le Menuet de Navarra. Ce fut une jouissance et un plaisir thume, au Président d’Honneur A. Libin FAula du Gymnase. La fête du Jumelage a Boccherini ainsi que dans l’extrait de inouï que d’entendre ces deux jeunes reçu une note particulièrement solennelle décédé peu avant, au porte-drapeau , J Rosamunde de Schubert. interprètes, qui ne font qu’un avec leurs Desson qui prend sa retraite et à l’ancien * avec la participation de l'Orchestre de instruments. / Chambre de Laon sous la direction de La fin et le sommet musical de cette fête Directeur A. Pierret. / , Roger Thirault. de Jumelaâge du Vendredi fut la composi- Avec l’ensemble de l’Orchestre qui L’Harmonie de Haybes a un nouveau jouait avec une pleine sonorité baroque, se / Dans le cadre de la visite des Amis de tion de « Orchala », œuvre dédiée à l’Or- Président, M. Bourgeoisat, « La Mouzon- , chestre de Chambre de Laon. concrétisait un tableau musical digne du naise », une Présidente, Mme A. Waty, Laon, participaient des musiciens qui rece­ temps de Haendel, ce qui laissait une des « l’indépendant » de Nouvion sur Meuse, vaient dès leur arrivée une très grande Roger Thirault devait traduire son titre en plus remarquable impression du Concert. ovation et surent s’imposer. un Président, M. Cendre qui vient d’entrer Allemand par « Kamorla ». Une autre page de la « musique de à l’Ecole de Solfège pour adultes. La soirée débuta par les deux premiers Dès les premières mesures de cette cour » sonnait avec le menuet de Boc- Les Sociétés non encore citées de mouvements du Concerto pour Violoncelle œuvre, on est pris. cherini, dans un style excellent. et Orchestre de Chambre en mi mineur de Fumay, Sedan, Nouvion, Rocroi, Sean, Vivaldi. L’œuvre était interprétée dans la Marc-Didier Thirault a réussi une œuvre Une note intéressante consistait dans Deux Vireux, Rimogne, Vouziers et Warcq formation classique. Au pupitre de soliste conçue pour cette formation et a permis de l’exécution d’une œuvre du Compositeur ont donné des concerts très appréciés, les mettre en valeur ses différents pupitres. Français, très peu connu en Allemagne, « Enfants d’Yvois » sont allés à Bar-sur- était Marc-Didier Thirault, un des fils du Seine, le «< Réveil » d’Attigny s’est dis­ Chef d’Orchestre. Les impulsions de son Commençant par le thème au violoncelle Erik Satie (1866-1925). Ancien pianiste — Comment pouvait-il en être autrement dans les « cafés de Montmartre » à Paris, tingué aux concours F.S.C.F. d’Attigny et jeu se communiquèrent à l’ensemble de Carignan, la jeune Batterie-Fanfare de l'Orchestre. Ainsi, Roger Thirault put avec lui — la sonorité lumineuse s’amplifie ses premières compositions furent pour le avec des variations qui trouvent leur point piano. Il étudia, à la Schola Cantorum, Douzy à la cavalcade de Carignan où « les contenir avec très peu de gestes l’interpré­ Enfants d’Yvois » étaient costumés en tation musicale de l’Ensemble. culminant avant que le tendre final se l’harmonie et le contrepoint. Son domicile, • termine avec ses harmoniques et les à Arcueil, était bientôt le centre du mouve- « Pères la Joie ». Le soir, l’Orchestre de Chambre de Laon réminiscences du violoncelle. ment de la musique moderne. Il se créa nous offrait presque un programme de l’Ecole d’Arcueil dans laquelle on repous- Concert entier, malgré le peu de temps Pas étonnant qu’on ait bissé cette com- sait l'esthétique musicale d’un renouveau \ dont il avait disposé pour répéter depuis position. romantique. On y composait consciem- son arrivée. Il en eut d’autant plus de } j Heureuse la phalange pour laquelle une ment des œuvres dénuées de toute fi AUBE y si belle et populaire musique a été écrite. émotion. Satie composait trois Impressions qu’il dénomma Gymnopédies. Dans la première, que l’Orchestre de Laon ioua HAUTE-MARKE dans l’Eglise Sankt Jôhannis, dominait un ifli très beau duo entre les premiers violons et le violoncelle. Roger Thirault conduisit ses Jumelage de l'Harmonie h musiciens avec un très beau rubato, il de Ponts Ste Marie-Lavan-Creney réussit à faire adopter ses intentions par l’Orchestre. avec le Blasorchester de Sprôtze. (environ de Hambourg) Cette représentation harmonieuse de •; cette belle musique fut une fresque mer- Le jumelage des villes est chose cou­ veilleuse. rante, en vingt ans, cela c'est généralisé et Comme nous l’avons déjà commenté, le il n’est pas rare qu’une ville soit jumelée morceau final était « Orchala ». avec plusieurs autres villes de différentes . nationalités. La palme doit revenir à la ville Après les ovations, Monsieur Emil ; • de Dijon qui est jumelée avec plus de vingt r p Werner, Maire de Soltau, par des termes ü vjnes dont Dallas.... en Amérique ! ■ artistes'Ra'ncais sensibles' remerCiait leS f Les jumelages entre sociétés sont moins artistes français. By courants et plus près de nous, c’est Pour le Chef d’Orchestre et les solistes, l’excellente Harmonie de Ponts Ste Marie- des gerbes de fleurs et des cadeaux ! Lavan-Creney qui vient de se décider à se ü étaient offerts. H jumeler avec une formation semblable des Belle journée ! [i environs de Hambourg (R.D.A.). Georg GLATZ Grâce à Monsieur Alain Thiearry. chef de p musique, le projet devenait réalité, et il H n’hésita pas, en effet, à se rendre à 5} Sprôtze et à lancer les bases de liens h musicaux et amicaux avec le « Blasor­ chester» qui lui réservait un chaleureux accueil. Le pupitre de violoncelle de l'orchestre de chambre de Laon à la Saint-Johannis Kirche de |_g printemps musical ardennais Le nouveau Président de l'Harmonie Soltau (R.F.A.). 1 _ , . . . .. , M. André Brunet, également « mordu » par Dans un precedent article, nous avons cette idée qu'il voulait concrétiser à l'occa­ relaté l'intense activité fédérale du prin- sion de la journée Internationale de la temps 1982 : 63° Congrès de Nouzonville, ! Dans ce concert, l’on donnait deux Musique, prévue le premier dimanche LE MARDI 31 AOUT 1982 colloque sur la trompette, week-end de d’octobre. œuvres de Marc-Didier Thirault. Batterie-Fanfare, épreuves de classement L’orchestre de Chambre de Laon en­ des Sociétés, examens individuels de fj Les deux sociétés vont donc se ren- chante les auditeurs. Beaucoup de succès Nous dirons à l’avance que l’hymne solfège et d’instruments (Harmonie et i-i contrer pour la première fois à Ponts Ste à ce magnifique Concert dans l’Eglise St « Orchala » qu’on entendait à nouveau, Batterie), répétitions et concerts de l’Har- | Marie. Un programme a été mis sur pied, il Jôhannis. comme vendredi, trouvait une résonance monie Départementale des juniors. 3 a et^ judicieusement établi, qu on en ; Dans la Sankt Johannis-Kirche à Soltau, énorme et devait être bissé pour la se- conde fois. U majeure partie de ces activités a été !ü9 samedi 2 octobre — 16 h 00, Salle l'Orchestre de chambre de Laon donnait organisée par les Dirigeants (Président jj des fètes de Ponts Ste Marie, Cérémonie un Concert de Gala sous la direction du Par contre, l’exécution de sa « Suite M. Tabary, Directeur M. Pihet) les admi- y du serment du jumelage. — 21 h 00, Chef d’orchestre Roger Thirault devant un Pastorale », en 3 mouvements : quiétude, nistrateurs de « L Union Musicale Nouzon- Théâtre de la Madeleine à Troyes, Concert très nombreux public. C’étaient les musi­ fraîcheur, gaieté, était, pour les auditeurs, naise », fréquemment dans ses salles ou v. par |es deux Harmonies rassemblées : ciens Français qui nous accueillaient. Ils une première audition. dans celles de la Municipalité de Nouzon- q (quelque 120 musiciens) sous la direction ; enchantèrent les auditeurs. ville, dont le Maire M. Albert et le Secré- || alternée des deux chefs, Le premier mouvement, vraiment réussi, * Le Concert débuta avec le Concerto taire Général M. Fuzellier n’ont pas mé- —■ Dimanche 3 octobre — 10 h 30. église ; opus 3 n° 9. en ré Majeur d’Anton Vivaldi. Il est véritablement pastoral. Le second nagé leur appui moral, matériel et financier mouvement, avec sourdine, venait léger et \\ de Creney, Grand Messe en musique. fait partie du groupe des œuvres que à l’U.M.N. et à la F.M.A. [■_' — 16 h 00, église de Ponts Ste Marie, : Vivaldi dénommait « l'Estro Armonico » vaporeux, tandis que le dernier temps, •; particulièrement riche, contenait des inter- .M L’objet de cet article portant sur la même i Concert par le « Blasorchester ». (Suggestions harmoniques). 12 Concerti période printanière est d’évoquer succinte- }•; Ainsi, l'Harmonie de Ponts Ste Marie- j avec différentes parties unies — Les mezzi qui avaient parfois un effet diabo- jj lique. r\ ment les aspects saillants, originaux ou Lavan-Creney dont le dynamisme est lé- Concerti n° 3, 6, 9, et 12 sont écrits : « con notoires de la vie des Sociétés Arden- i j gendaire, doit rappeler ici le souvenir de •: violino solo obligato ». Dans la partie ri Si j’osais m’exprimer ainsi, je dirais, a ii naises, sans relater leur nécessaire et ,! M poger charié qui y accomplit un travail soliste, Marie-Hélène Ghirardi montrait du § propos de cette œuvre également, que -j indispensable participation aux cérémo- considérable, réalisera une idée aussi savoir et du tempérament. La synchronisa­ toutes les compositions de Marc-Didier jj nies officielles nombreuses en cette pé- intéressante qu’originale. Quand on sait tion entre le violon solo et les tutti de U Thirault sont toujours un régal pour les % riode. ?j qu'elle est entre les mains d’un André l’Orchestre était parfaite. auditeurs. La Société Phare Ardennaise a été, à H Brunet comme Président et d’un Alain Le Chef d’Orchestre qui savait laisser , Thierry comme chef de Musique, on peut - Aussitôt après, le jeune compositeur nouveau, l’Harmonie Municipale de Char­ prédominer instinctivement l’esprit de Vi­ leville-Mézières qui a obtenu : Premier prix tt être assuré que le jumelage sera une valdi, et tout particulièrement dans le pouvait nous montrer son talent sur son | réussite, une de plus, serions-nous tentés instrument : le violoncelle, en Interprétant d'excellence (27 points sur 30) avec les second mouvement « larghetto », mit en félicitations unanimes des membres du d’ajouter ! relief avec clarté les thèmes du compo- en soliste le Concerto en mi mineur de Vivaldi. Dès le début, dans le largo, la Jury pour son Chef Bruno Verdier ; la Denis BORNOT

C.M.F./OCTOBRE 1982 y^.4J^8|tîWSS^c V“'— a- U

FÉDÉRATIONS RÉGIONALES

sérieux, sauront se montrer dignes des craquer. M. Delene, le Maire, et le Général m efforts faits à leur intention. Lecuyer, Président de Musique au Village, ?... BOUCHES-DU-RHÔNE M. le Maire invite toute l’assistance à se sont fort impressionnés par la prestation rafraîchir. des 50 « Juniors » qui ont ravi l'auditoire. Le deuxième concert du vendredi 9 est Haute tenue du stage « Juniors » La soirée se passe joyeusement, tout en envisageant le travail du lendemain, qui donné sur le Cours à Fuveau, devant M. Roubaud, Premier Adjoint représentant consiste à revoir le programme 1981 pour M. le Maire et une foule nombreuse parti­ un premier concert le dimanche 4, et le à culièrement enthousiaste, applaudissant déchiffrage du nouveau programme pour dès l’annonce des œuvres à jouer. la répétition publique du mercredi 7 et le premier concert du 8. La journée du samedi 10 est rude *> puisque deux concerts sont prévus. A Le Casino Municipal de Trets est abon­ 18 heures, sur le kiosque à musique de y damment garni, lorsqu’à 19 heures débute Trets, avec toujours le même succès le concert du dimanche 4, en présence du populaire, et à 22 heures, à Cottignac Docteur Feraud, de M. Riraud, Premier (Var). ■i Adjoint et de nombreux musiciens qui font Dans cette dernière Ville, M. et Mme un accueil chaleureux à ce premier pro­ Vacca, de l'Amicale des donneurs de gramme. sang, se sont surpassés pour nous faire Le travail se poursuit lundi, mardi et plaisir. ',/■ P

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Gilbert Gay à la tète de l'orchestre Junior

Lors de la fête de la Sainte-Cécile de MM. Espagne, Paly et Agnel de l'Union m V l’Union Musicale de Trets, l’idée d’orga­ Musicale. :7£ « \ niser le stage « Juniors » 1982 dans cette M. le Maire souhaite la bienvenue dans 43 ville a été évoquée. sa Ville aux stagiaires et aux dirigeants, i Les efforts conjugués de la municipalité, disant sa joie d’accueillir cette année ce l] ! du Syndicat Intercommunal, de Musique rassemblement dont les musiciens de j* & \ au. Village, de l’Union Musicale et de la l'Union Musicale lui ont vanté la qualité. Il Fédération, ont permis cette réalisation. forme des vœux pour que le séjour soit v{ M agréable et les résultats fructueux. m M P g» a P M. Courbai, excusant le Président b'v'-'- se dérouler rhéberaement Le^afériel est I ChaPPe Pui est en bonne voie de ré,ablis' VÈ y déchargé et l'on reconnaît'les lieux. J Chefe'd'Omh^'Je^ClaudïuUI ' el A18 heures, le Docteur Feraud reçoit en bj Gilbert Gay, ainsi que l’encadrement, i mm . sa Mairie les stagiaires et l’encadrement. Il & MM. Firmin, Debackere, Seguin et Latil I est entouré de MM. Loco et Payan, g Louis. Il le remercie pour son hospitalité, iÿ: ‘f r-: gSlÿS Président et Directeur de l'Union Musicale, r ainsi que tous ceux qui ont participé à ï.? 1 b M. Falgade, Conseiller du Temps Libre, [; l'organisation de cette session, persuadé H Mme Aicardi, professeur de solfège, que les jeunes, par leur travail et leur | Une partie de l'orchestre Junior • Suite page 20

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C.M.F./OCTGBRE 1982 19

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'■'3 . : I FÉDÉRATIONS RÉGIONALES r-rM $ $ respectueux à George Gershwîn et un « — Only You de B. et A. Ram (Arr. Bob arrangement de Gilbert Gay. sur des | Lowdenl rythmes latino-américains. " ; § ’— Rock Aroünd the Clock du film « Graine ■■ ' I L’auditoire, surpris d’entendre un or­ de Violence » chestre d’accordéons présenter un réper­ — L’Artésienne de G. Bizet (Prélude, toire aussi éclectique allant du classique a au jazz, en passant par le typique, lui fait § Entr’acte et Final) Saxo-alto, M. Yves Ni­ î j une puissante ovation. colas avec le Groupe « Lou Trélus » qui dansa - ’J | La Fanfare de Vitrolles et la Lyre Aixoise y p se partagent le dernier entracte durant la Farandole, cette dernière ayant dû être f>+r] .vJ x ■ | lequel l’orchestre «Juniors» des bissée à la demande unanime du public. m SI Bouchés-du-Rhône se met en place pour I Nous ne manquerons pas de remercier | présenter, avec alternativement à sa tête Mrs Badie et Debackere de qui '■ V; i- s | aluKr'laMMa°chfF?oarenetlneeade | ^ertv^pr^rf°rte fî* m H Fucik, le Beau Danube Bleu de J. Strauss, H des, Clarine,tte^ ai"si quf D®!|ndf' 1-i les Danses Hongroises n°*5 et 6 de m Professeur de Trombone et Tuba a I Ecole fi fi v Brahms, Caravane de Duke Ellington, (j de Musique d’Istres, qui. soulignons-le, est Y- Latin Sounds sur des airs latino-américains K seul professeur de l’Ecole à venir prêter n S et Variations de Jacques Devogel qui a dû son concours aux concerts de l’Harmonie. g être bissé pour contenter un public qui ne Nous n’oublierons pas non plus de remer­ il $ v?.™ il ï) voulait plus laisser partir nos jeunes musi- cier Mr S.D. Comis, Directeur du Théâtre i ■T‘ ij ijj ciens. : /v . rmy y, de l’Olivier, ainsi que tout son personnel PM mrmmM; Davin, au nom de la Musique Muni- |j pour l’aide qu’ils apportent à chaque // à ■y -j cipale, dit sa satisfaction d’avoir pu aider concert de l’Harmonie au Théâtre malgré S- •/./ il. ■ZWMÊÊÊÊKi fef fi au renouveauj du festival départemental,dé et un plan de charge très fourni. Jean-Claude Latil dirige l’orchestre j j remercie la Ville d’Aix-en-Provence pour son aide ainsi que tous ses collègués. A l’issue du concert tous les participants se retrouvèrent autour d’un apéritif offert • Suite de la page 19 M. Courtial, excusant le Président ' fi »^ Solistes : Cornet, Michel ..Allegrini...... ; |i Chappe encore convalescent, exprime lui par l’OMLC et ensuite les musiciens et h Conseiller Musical de la Mairie____ de____ Paris,f | Trombone, Jocelyne, JÊÊ LamonocaÊKÊÊÊ. ; Baryton, . aussi son contentement pour. l’excellente leurs familles se réunirent pour le repas Compositeur, Prix de Rome actuellement il Laurent Liaumé ; Haubois, Christian j; I tenuetenue dede cettecette journéejournée trèstrès bénéfiquebénéfique pourpour | traditionnel de la Sainte-Cécile dans une dans sa résidence de vacances à Co- $ Smith ; j lala musiquemusique etet lesles SociétésSociétés Musicales.Musicales. SaSa jj chaude ambiance.

i ; ■A sS SSrrSS ! 'îîSfe** 1 ISSs-BsEs " «» *• -fi y- Compte-rendu de l’audition des élèves if difficile de quitter le podium même après j! Solistes : Trompette, Jean Sala ; Haubois, j P ‘ f®', „ „« . , rj de l’école de Musique de Bonneveine. avoir satisfait à un rappel. [j Christian Smith ; Saxo Alto, Eric Mendez. i] pM„de Per®“!'. Ad;• Dr^ttonné^«aîit^tTa sdfdl é déTâ I _ M°UOnS aveTC Miche,' L®9rand' , faires Cul,ure"es. Conseiller Général, sou- | musique de Bonneveine un grand jour, . î ? i Cette fille aînée de la Lyre du même nom, J i ff???1,?""1*£££*5“^«i?i|J|?.<ïÏÏr„®ia S — Mexican Trumpets, arrangement a ligne le rôle culturel de la musique, se otPr«ô^?tanfiC !f émof’ ■- R‘ Be?,k‘ . R montre enchanté par la qualité des pro- [-1 se présente comme une figure de proue S® ®* loto *twrhoetr» nantie ï —•Vanall0ns de Jacques Devogel. h grammes et le soin de leur exécution. Il 1 dans le concert des écoles musicales. orOTrammed'un9festivaTdontTala1:harae 1 • Ensemble de cuivres I félicite tous les participants avant de re­ Vingt huit élèves, du plus petit au plus programme d un festival dont il a la charge. _ Lg Panthère rose de Mancini : ; mettre coupes et médailles souvenir aux | grand. Dimanche 11 à 11 heures, c’est le J - cn-ombu 3 Présidents des Sociétés présentes. Même foi, même sensibilité, le tout grâce } ; i sjxi^netet dernier concert sur le Cours à I l'Intel* Pour clore cette magnifique journée, les p au dévouement de Mme Chirouze, profes- | seur de solfège et de piano. Après les wH — Quatuor n° 4 de Rossini. U musiciens se réunissent sous la conduite jg7 Sous le frais ombrage des platanes ■ .. , . .. . , S de M. Alain Genre, pour les morceaux r) balbutiements des jeunes élèves, les aînés / ? géants, M, Gautier, le Maire et le Général H Merc'à toutes les personnes qui se sont $ d’ensemble: le Défilé de Faust avec 3 se révèlent à nous. f-l Lecuyer nous accueillent devant un nom­ 1 *an* d© peine pour que ce stage soit û batteries et la Marche Américaine de S Avec M. Lafaye, incisif et ardent, la m breux public où l’on reconnaît des amis, | [£VSSI aussi bier? à Trets S.ue dan.s ,es ] Souza pour les harmonies, | «Pathétique» prend tout son sens. En- déjà venus nous entendre, preuve de r Villes qui nous ont reçus, au Secrétanat de « ,. u . ... | suite la sensibilité féminine prend le ■f. l’intérêt qu’ils nous portent. | la Fédération pour la partie administrative, I , ■ 6 silence se fait, de petits groupes se un B toujours très lourde, à l’encadrement et 1 °n,se congratule, certain d avoir 0 dessus, et c’est à un feu d’artifice que Nous avons également le plaisir de | aux Chefs qui ne ménagent pas leurs 1 ^xUti e r .!a en s interrogeant Mlle Anne Arcivaux et Mlle Brigitte Moulet, renconter M. Sobrero, Chargé des Rela­ I efforts désintéressés, aux jeunes dont le 8 déià sur ,e l,eu du fest,val 1983- . 1" Prix et Mlle Valérie Brigot pour ne citer que les meilleures, nous convient. tions Publiques au Cabinet particulier de | courage et l’application sont surprenants. 1 Musique Municipale :> f M. Michel Pezet, Président du Conseil Remise des prix, cérémonial traditionnel, Enfin, notre gratitude va à ceux qui nous ♦ / Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui « L’Etoile d’Istres » chorale, etc... Le tout sous la Présidence nous dit ^.'satisfaction et le plaisir qu’il a encouragent par leurs visites et leur venue Sainte-Cécile 1981 de M. Bianchi, de la Fédération, et 11 aux concerts : le Président Honoraire pris à assiâfer à une audition de ce niveau La sainte patronne des musiciens a été M. Bonnet, Président de la Lyre de Bonne­ artistique.^ Amalbert qui, malgré son âge, a passé une veine. n journée avec nous et a assisté à deux fêtée selon la tradition. En effet, c’est par ) Là eroxf^e, le concert est trop court au concerts, M. Puget, Président de la Com­ un beau dimanche ensoleillé que l’Har­ Harmonie des Cheminots S.N.C.F. i gré des auditeurs, malgré deux rappels. monie Municipale « L’Etoile d’Istres », a if--/ Y mission Technique, M Rebuffat, Chef de la Ste Cécile 1981. Au cours de ces divers concerts, les Musique d’Auriol, M Randi, trombone solo donné, le 29 Novembre 1981, à 11 h 45, œuvres suivantes ont été exécutées sous à Gardanne, M. Davin, Président de la son concert de la Sainte-Cécile au théâtre L’Harmonie des Cheminots a fêté digne­ h i Musique Municipale d’Aix-en-Provence et de l’Olivier devant une salle comble et en ment la Ste Cécile 1981 le 14 février 1982. la direction de MM. Jean-Claude Latil et présence de nombreuses personnalités Certes, il y avait du retard, chose inadmis­ Gilbert Gay : son fils. r — Marche triompale d’Aîda de Verdi, parmi lesquelles nous avons remarqué sible chez les cheminots, mais il r r Dès le mois de septembre, commence- [J M. Jacques Siffre, Maire d’Istres et Prési- n’empêche pas moins que nous ne pou­ r — L’auberge du Cheval Blanc de Be- ront des concerts qui s’échelonneront sur g dent du S.C.A., MM. Bernardini et Guel- vions oublier la patronne des musiciens. Si natzki, plusieurs mois, dans différentes g fucci, Adjoints au Maire, Madame Motta, Nous espérons qu’elle ne nous en tiendra U i — Carmen, fantaisie de Bizet. communes. Conseillère Municipale, M. Laugier, pas rigueur. Conseiller Municipal, M. Giroussen, Prési­ Concert à 10 h dans la magnifique salle fi i dent du Syndicat d’initiative, M. Sarriette, de l’Union Musicale de l’Estaque, sous la AIX EN PROVENCE Président de l’Office Municipal des Loisirs direction de M. L. Puget pour la partie r f et de la Culture. classique, M. Ed. Chappe pour la partie Festival Fédéral L’Harmonie Municipale d’Istres a été Jazz. n Le dimanche 6 juin, la Fédération des Sous la direction de son Chef Alain I ^elQUeslnnéel'‘Ste#a'^eorisses^cttvitél 1 if m0rCeauX SUivantS 0nt é,é inter‘ 4 / Bouches-du-Rhône renouait avec la tradi­ Genre, elle exécute l’Ouverture des \ I973f£us ia^ orésTdenœ de M A pré,es : ./y tion en organisant un mini-festival à Aix-en- Joyeuses Commères de Windsor la ’q^ues anciens mSsidens « CLASSIQUE: / / Provence. ïi Marche de Radetzky de Strauss, Tancrede et des jeunes formés par des musiciens de 1 — Pépita Greus. r f Cette manifestation est une organisation de Rossini, la unasse de J. btrauss et la l’Harmonie. Cette dernière a pris un nouvel j — Une soirée près du lac (Hautbois solo : commune à la Ville d’Aix-en-Provence, la Danse Slave n 8 de Dvorak. essor en 1979 avec l’arrivée à sa direction [ Mlle Sune). i i Musique Municipale d’Aix, la Lyre Aixoise C’est sous les acclamations d’une foule de son Chef actuel M. Jean Fournier, — Wasingthon Poost J f et la Fédération, qui avait été évoquée au compacte et enthousiaste que cette excel- lui-même fils d’un Chef d’Orchestre Ly- fl — Carmen (Trombone solo: M. Gi- i i cours de la fête de Sainte-Cécile. lente formation cède la place à l'Union | rique réputé. H vaudan ; Baryton solo : M. Lignier ; Trom- i i C'est avec beaucoup de conviction que Musicale de l’Estaque Plage pendant que ï L’Harmonie forte, de ses 40 musiciens, '! Rette °J° • Lemmî : Hautbois solo : Mlle i i les organisateurs se sont mis à la tâche, au la Lyre Aixoise donne une aubade très j donne de nombreux concerts tout au long 11 cours de réunions où la Lyre Aixoise était pnsée. | de j’année. A ce concert de la Sainte- p Cloches de Corneville. représentée par son Président, La prestation de l’Estaque, dirigée par Cécile, participaient également la Batterie- [î JAZZ: M. Casanova, la Musique Municipale par - M. Léon Puget, débute par Burchard de j Fanfare d’Istres dont le Président est i _ Festkommeis Loope son Président M. Davin et Mme Rochette, Commines de Guillement, suite d’or- | M. Marco Cayuelo, et le Directeur M. J.-P. __ Hello Dolly. f la Municipalité par M. de Peretti, Adjoint au chestre imitative du temps des croisades, jj Canovas, ainsi que le Groupe Folklorique — Et Maintenant. I Maire, la Fédération par MM. Gay, Puget et fl vient après la suite Orientale de Francis $ « Lou Trélus » animé par Mme Maddy j — Verlaine. Courtial, en l’absence du Président fj Popy, puis la Fête à Grand-Père, polka h Cazeaux. Le Programme a débuté par : ! — Jumbin Àt The Wooenside. f i Chappe, malade, constituant le Comité jj pour deux trompettes de Léon Puget, qui \i — Sans Peur de Wattel (avec la Batterie- ji — Croque Mitoufle. } j d'organisation. rf vaut à l’auteur et aux interprètes un vif Û Fanfare), ,.i — Puerto Rico. i 1 Après quelques jours de pluie, le ciel a fj. succès. p puis s’est poursuivi par : ;! — Mambo Artificial. ■ i retrouvé son bleu le plus pur et le soleil est . v/itrn|i0e w maiorpttes ! i “ La Mer de Ch- Trénet (Arr. P. Yodes) , ; QUINTETTE CLARINETTES f i Sdi'Œr de œ dimanChe aPrèS_ S îi Debackere “SU Cattanea - f f m.d. musical. ^ une exhibition fort réussie qui fait l’admira- ij S,9fmûPnte m % Latéur Sous Chef de jî Chappe - Reynaud - Le Parc Jourdan, revêtu de sa magni- ! j t|0n des spectateurs, charmés par ce ballet | 1 Ma,ïï|an'uena de E Lecuona fBasse solo :: “ Parade des so,dats de Bois- tique parure printanière, présente un air de g sur des musiques modernes, entraînantes ;j uecuona tuasse soio, , _ variations pour clarinette. M^itéTs^tte^cS I etparle UHirnoiementdesbâtonsdeces | ^ ^derie de j. Devogel (avec la | - Triolets Polka. t i ahondamment aarnies au moment où arri- ,■ dem0,sel,es- 1; Batterie-Fanfare) Nombreux ont été les auditeurs qui ne i i vent ^rS ùn vaste tour de viNe ?a Lyœ Ce divertissement permet au Select- | _ Badinage par la Batterie-Fanfare di- , nous ont pas ménagé leurs applaudisse- i I té Fanfa?e de Vitro tés et sel k Accordéon de Chateauneuf-Les-Martigues | rigée par J.-P. Canovas =! ments. A l’issue du concert, un apéritif fut 3 • • d’installer son matériel et ses 40 accordéo- | — Romance de N. Yepes (Arr. Willy servi qui réunissait à la fois les musiciens i f. maprenes. $ nistes qui nous offrent, sous la baguette de p Hautvast) i et les invités : / i Le temps pour ces deux formations de G M. Gilbert Gay, un programme varié corn- 1: _ Les Cavaliers du Ciel de S. Jones (Arr. ; — M. Mandrin, Président Régional recueillir les applaudissements du nom­ | prenant Islas Canarias, paso-doble de j;; Bob Foster) H U.A.I.C.F. ; breux public et la Musique Municipale d’Aix f i Tarridas, des extraits de la Symphonie du [_ Bunch O’Bones de R. Fotes, joué par le — M. Badie, Représentant le Président prend place sur la scène. 1 Nouveau Monde de Dvorak, un hommage :•] pupitre des Trombones ü de la Fédération Musicale des B.D.R. l / r i r U r 20 C.M.F./OCTOBRE 1982 : i t

■A, ■Mï*‘ .J '■S'vï' m 1• • i f

—- M. Bonnet, Président de la Lyre de Bonneveine. — M. Farcet, Président de l'Union Mu­ sicale de Plan de Cuques. — M. Joffroy, Président de l'orchestre symphonique S.N.C.F. 77 M. Rlgaud,Président de là Philharmo­ nique de Ste-Marthe. — M.Couétel, Président de l’A.A. des cheminots. -7 M.Gay, Président de la Commission Musicale de l'Estaque. M. Roux, Représentant l'Harmonie des Tramways. — M.Echemand, Représentant le Prési­ dent de l'Union Musicale de l’Estaque. A noter, parmi l’assistance, la présence de M, Abel, de la critique musicale. A 13 h, nous nous retrouvions tous à table autour d’un repas amical qui fut suivi par la distribution des récompenses à nos musiciens. Un bal terminera aux environs de 19 h, cette magnifique journée. • f Ont été décorés les musiciens dont les noms suivent: Harmonie des Cheminots -:V S.N.C.F. de Marseille. • Confédération Musicale de France : Bures) François, Médaille de Bronze ; Pascal René, Médaille d,'Or; Bonesso Louis, Médaille Vétéran ; Bartèî Paul, Médaille Vétéran Etoile • Union Artistique et intellectuelle Che­ minots : Delnaud Raoul, Diplôme U.A.I.C.F. ; Mlfsud André. Diplôme U.A.I.C.F. ; Lemmi Liliane, Diplôme U.A.I.C.F. ; Sou- lerot Rosy, Diplôme U.A.I.C.F. ; Truffier Alexandre, Médaille Bronze ; Badie Francis, Médaille Argent • Conseil Général : Sune Arianne, Breloque du Conseil Général; Colnel Claudette, Breloque du Conseil Général ; Çhaput Maurice, Mé­ daille du Conseil Général ; Duguet J.- f Pierre. Médaille du Conseil Général ; Tchertchian Jacques, Médaille du Conseil Générai; Oelcroix Gijbert, Médaille du Conseil Général ; Gay Pierre, Médaille du Conseil Général ; Roumias Jean, Médaille du Conseil Général ; Di Mattia Baptistin, Coupe du Conseil Général. Philharmonique Indépendante des Mille. « Soirée dansante an­ nuelle 1981 » La soirée familiale de notre Société Musicale a connu un .beau succès. Malgré quelques défections et absences regret­ tables dues à des motifs divers de quel­ ques musiciens et habitués de ces soirées dansantes annuelles venus sympathiser en s'amusant, on peut dire que la récente soirée familiale dansante annuelle orga­ nisée par la Commission Administrative de notre Société Musicale (MM. Poçhon, Druetto, Thierree, Siravo, Camoin, Christol, Pirolo, Lemoncini, Reynaud et Gautier) a connu un franc succès. En effet, animée par le trépidant et fameux or­ chestre « Indiana » dans lequel évolue notre concitoyen J.-M. Fouque, fils de Provence et Madame, ainsi que M. Marcel | Concerto en fa pour orchestre à cordes de U Vivaldi spécialement transposé par Chede- notre Chef de la Philharmonique, cette Mouttet, notre Adjoint Spécial local et son ;1 Scarlatti. Maurice Bardin sut tirer de son ; ; ville le Cadet (1705-1782) pour vielle à soirée-nuitée connut une belle ambiance épouse. ensemble une interprétation réussie et très .v roue où l'orchestre, réduit, répondit joyeu- jusqu’à une heure avancée de la nuit. De § applaudie. Ce fut alors le tour de Mme S sement à la soliste. plus, comme prévu au cours de la soirée, : Suzanne Pautrat, mezzo-soprano, qui. Mme Renée Julien, dans un Largo de on procéda à la remise de décorations H bien entourée par I orchestre, déploya une . Vivaldi et Mme Suzanne Pautrat. dans ses décernées à 7 de nos membres actifs, et - !] [?IS de P|us ]?s dua , ft?.ue s,a V0IX <î?L!?e’ mélodies s'exprimèrent également en solo ce fut Maître Alain Joissains, Maire d’Aix- CENTRE îr de ?a 9rande sensibilité et recueillit des et avec beaucoup de réussite, accompa- en-Provence qui décora lui-même tous nos | applaudissements mérités dans ses inter- gnées par l'orchestre. sympathiques médaillés. Furent donc, à H prétations de : Nuit etoilée de tour de rôle cités et récompensés : M. Jean NIEVRE R. Schumann, Chant hindou de Bemberg, (j C’est maintenant une tradition bien éta- Hàrmelin (clairon) qui reçut la médaille ;• Griselidis de Massenet, Au bord de l’eau b,ie P°ur. ,ets «Ménestrels » de participer fédérale pour plus de 5 ans d’activité Confrérie Artistique P de G. Faure et enfin Marine d'E. Lalo. ;, auxaux Festivals de « Musique en Donziais » musicale. des Ménestrels Nivernais I >e concert prit fin sur ^xécutîon fine et j] Georges Narcy. Tods^rentrtcompSiSSst M. Louis Reynaud (clairon) et M. Ger- Depuis ce printemps, l’ensemble instru- h tres difficile, mais très réussie de Quatre car l'Eglise Saint-Martin était pleine et les vais Denys (basse) qui reçurent la médaille mental=>ntai à mrripscordes des « MpnpstrpisMénestrels Ni- 2! j petites danses roumaines de B. BartoK.Bartok, y auditeurs, attentifs et enthousiastes, ne d’honneur des Sociétés Musicales pour vernais » que dirige Maurice Bardin, a Enp- -résumé,x-----A bonne soirée musicale pour ; ménagèrent pas leurs applaudissements. plus de 20 ans d’activité musicale donné, avec le concours de solistes amis (j cette formation d’amis, réunis par l’amour [} Un beau concert en vérité 1 (Ministère de la Culture). M. Max Camoin (clairon) et M. Jean-Marie Fouque (trom­ et de valeur, des concerts appréciés. Cet jij de la musique et sachant faire partager ; : Au Veurdre (Allier), là aussi c'est devenu pette solo) qui reçurent la médaille de ensemble ne faisait eh fait que continuer | leur enthousiasme à leur auditoire, une tradition, chaque année, les « Ménes- bronze pour plus de 20 ans d’activité ses prestations très goûtées des années h Le 5 juin, à Donzy, dans la vieille église 8 trels »» passent une journée amicale chez musicale également, celle-ci étant oc­ précédentes. de Donzy-le-Pré, dans le cadre du Festival y leurs amis Malet et y donnent un concert troyée par la Confédération Musicale de A Clamecy, le 21 mai, la salle des fêtes | « Musique en Donziais », les Ménestrels ‘ en l'Eglise du pays, France. M. Louis Thierree • (hautbois, et de la Mairie était peu garnie, contrairement Jj Nivernais, conduits par Maurice Bardin, % Ce 13 juin, deux solistes de grande à l’habitude. C’était regrettable pour les g ouvraient ce festival. \\ valeur, amis de la formation, s’étaient saxo-alto) Vice-Président, Secrétaire de­ ■ puis 1954 et Sous-Chef depuis 1963 de fa absents, car les prestations furent de Le progiramme était sensiblement lé g joints à l’orchestre à cordes pour le régal Philharmonique, qui reçut la médaille d’or qualité. Trois pièces de Vivaldi débutèrent même qu’à Clamecy quinze jours plus tôt, [• des auditeurs, très nombreux. de la C.M.F. pour plus de 40 ans d’intense le programme : Sinfonia al Santo Sepolcro, mais le Cor avait cédé la place à la Vielle :• Après que l’Orchestre eût ouvert le activité musicale assidue (16 ans de dé­ Concerto Madrigalesco, puis Largo dans Classique de Mme Michèle Fromenteau ;; concert par le Concerto en fa de Scarlatti, vouement comme professeur bénévole de lequel Mme Renée Julien, professeur à dont la renommée est maintenant solide- ; ; ce fut le tour du violoniste Michel Guyot solfège entr’autres) au sein de la phalange l’Ecole Nationale de Musique de Nevers, ment établie non seulement dans le centre ; ; d’intervenir en soliste dans le Concerto en locale, et enfin, M. Charles Pochon sut mettre en valeur ses qualités de de la France, mais encore au plan national g La de Leclair. Michel Guyot fait partie de (baryton solo) Président de la Philharmo­ violoniste, bien connues des auditeurs puisque cette artiste a joué, entre autres, If l’ensemble instrumental de Paris que nique depuis 1979, qui reçut la médaille de hivernais-. avec Jean Malgoire au Festival de La ; ; dirige Jean-Pierre Wallez et est professeur vétéran et de la C.M.F. octroyée aux Suivit le Concerto n° 2 en ré majeur pour f Chaise-Dieu, avec l’Ensemble instru- i à l'Ecole Nationale de musique de Nevers. musiciens ayqnt plus de 65 ans d’âge et Cor et orchestre à cordes de J. Haydn. Le ?! mental de Grenoble, avec le Groupe ;:j Son talent est grand et l'orchestre, dirigé toujours en activité. soliste, Jean Smektala, également profes- | d'instruments anciens de Paris, à la Télé- ■ par Maurice Bardin sut mettre en valeur les Tout ceci fut bien sympathique et de seur à l’Ecole Nationale de musique de ;1 vision, etc... Cette gracieuse interprète p grandes qualités artistiques de ce jeune nombreux applaudissements saluèrent les Nevers, sut enthousiasmer l'auditoire par ;j donna avec brio, successivement : « La ;j artiste. successives décorations de tous ces musi­ sa virtuosité et la superbe qualité de sa | servante au bon tabac», Concerto co- m Ce fut alors le tour de Mme Suzanne ciens méritants. sonorité. L’orchestre l'accompagna avec | mique pour Vielle à roue et orchestre à j Pautrat, de captiver son auditoire. Elle cordes de Corette et finalement « Le ; j recueillit de chaleureux applaudissements. Citons parmi les personnalités invitées : souplesse et précision. Maître Alain Joissains. Maire d'Aix-en- Les Ménestrels donnèrent ensuite le Printemps ou les saisons amusantes » de : j Sulte page 22

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:':4 •••••- • •; FÉDÉRATIONS RÉGIONALES ;ü". ,* • Suite de la page 21 majeur de J. Haydn et Mme Suzanne Un petit regret cependant: l’éclairage — Vendredi 18 Répétition r La deuxième partie permit à Jean Cal- Pautrat, mezzo-soprano, dans des mélo­ insuffisant des pupitres sur lesquels ne — Mardi 22 Répétition lendret dé faire découvrir les ressources du dies de Schumann, Bemberg, Gabriel tombait que le reflet de la lumière des — Jeudi 24 Répétition Faure et Edouard Lalo. projecteurs éclairant l'église. — Vendredi 25 à 21 h Concert à l’église saxophone alto, Jean Callendret, Premier 4 tj.... prix du Conservatoire National Supérieur Il y a deux ans, le concert donné au avec l’ensemble choral bagnérais de Musique de Paris et professeur à même endroit avait été interrompu par la Mais l’auditoire n’eut pas à en souffrir - — Mardi 29 Répétition l’Ecole Nationale de musique de Nevers, pluie au dernier morceau. Cette année, cela ne concerna que les musiciens - et il y étonna les auditeurs par sa virtuosité, par devant un public nombreux et choisi, le réserva aux « Ménestrels Nivernais » un •>v. , . . ses nuances et par l’extraordinaire variété beau temps fut de la partie et les specta­ accueil chaleureux et enthousiaste. Juillet de sons quril sait tirer de. son instrument. Il teurs et auditeurs purent en même temps — Jeudi 1* Répétition /'/ fit merveille dans : Sicilienne de Lantier. admirer les vieilles, pierres dorées de. La saison 1981-1982 est maintenant —Vendredi 2 à 21 h concert aux Thermes Tango d’Albeniz et Canzonetta de Pierne. l'Eglise éclairées par les projecteurs et" terminée pour les Ménestrels Nivernais qui I — Mardi 6 Répétition goûter les sonorités des musiciens, ren­ ne reprendront leurs activités que le di- 1 — Mercredi 7 chanteurs montagnards, r i Les Ménestrels terminèrent le pro­ voyées sur le public par la façade de gramme par « Quatrè petites danses rou­ manche 26 septembre prochain, après des salut ; l’Eglise. vacances bien méritées. ^ — Jeudi 8 Répétition, ■ maines » de Bêla Bartok, bien enlevées. $ — Vendredi 9 21 h concert aux Thermes Le 25 juin,, à l’église Saint-Etienne de § — Mardi 13 Répétition y: Nevers, dans le cadre impressionnant & — Mercredi 14 le matin Cérémonies m d'une des plus belles églises romanes de CHER 21 h concert aux thermes tir-' France, les Ménestrels s'étaient unis à Bourges | — Mardi 20 Répétition nouveau à leurs amis de la chorale « Les — Jeudi 22 Répétition 'sj'M Nomades» pour donner concert. L’église t V; Musique Municipale — Vendredi 23 à 21 h concert aux PJ était pleine .' tous les sièges étaient oc­ i'5 thermes cupés et de nombreux auditeurs durent | — Mardi 27 Répétition rester debout. î- f: S — Jeudi 29 Répétition a i | -~ Vendredi 30 à 21 h concert aux Les « Nomades », en constants progrès, v:«S« J ' • • fl' • forts d’une quarantaine de choristes, ont g Thermes • il trois chefs de choeur : Jean-Pierre Delmas, il! Jean-Claude Leyzour et Jacqueline Août /•y Richard. —- Jeudi 19 Répétition, Le concert débuta par : « Die Gerechten — Vendredi 20 à 21 h concert aux werden wéggerafft » de J.-P. Krieger thprmAC W‘r (1682) par les cho°‘jrs, les solistes et — Mardi 24 Répétition l’orchestre ; ce lut une prestation ample et — Jeudi 26 Répétition généreuse, interprétée avec une grande — Vendredi 27 à 21 h Concert sous la fi sûreté sous la direction de Maurice Bardin. halle aux grains avec l’ensemble choral lu « Les Nomades » donnèrent ensuite, bagnérais A. Capella, sous les directions alternées de ; Septembre w leurs trois chefs : «Ritournelle » de ! fi : r Schumann, « Légende de la ville d’Ys », - Mercredi 1* Montagnards aux Thermes % harmonisée par B. Lallement, « Vuprem H Occi », chant populaire yougoslave, « Puer ;! •■j. ■ natus in Bethléem », de S. Scheidt, « In Un soir sous les arcades stiller Nacht » et « Wiegenlied » de avec l’Harmonie. P J. Brahms, « Perdre le sens devant vous » de Cl. Lejeune et enfin « In Pace » de Si les Chanteurs Montagnards ont eu la ; pi/. J. Desprès. Un éclectisme permettant chance, entre deux averses, de donner d’apprécier le talent et le « métier » des leur dernier concert du mois de juillet, dans Nomades et de leurs chefs. le cadre magnifique du Vallon de Salut, il :> Le « Salve Régina » de Pergolese, pour n’en a pas été de même pour -l’Harmonie chant et orchestre vit Mme Suzanne Pau­ Bagnéroise qui, en raison du léger crachin trat en soliste, terminer avec brio la Cette Société, avec son Harmonie di­ obtenu un gros succès, tant à l’occasion de qui tombait dans notre station, vers H première partie et recueillir de longs ap­ rigée par M. Raymond. Chabot (62 exécu­ ses Concerts publics que de ses Défilés. 21 heures, s’est trouvée dans l'obligation plaudissements. tants) et sa Batterie conduite par M. Daniel Recevant ensuite des musiciens anglais, de se réfugier sous les arcades du musée ii Bandin (20 exécutants), vient de faire le elle a donné un Concert en collaboration pour y donner leur concert hebdomadaire. La deuxième partie s’ouvrit sur le difficile. .4* « Concerto en sol majeur » de Boccherini point de ses activités au cours du premier avec la Musique du Territorial Army Band, Le public était venu très nombreux, mais VJ. semestre 1982. après un Défilé commun dans les rues du Y interprété avec hardiesse, mais aussi avec il est regrettable qu’en cas de mauvais un grand talent et une sensibilité extrême Vieux Bourges. En mai nouvelle réception temps, des sièges ne puissent pas être mis par le jeune violoncelliste Gilles Sogny, Le bilan est très satisfaisant. En dehors avec celle de l’Harmonie de Wittelsheim. à la disposition des mélomanes, dont \ ■jif membre à part entière des Ménestrels, de ses nombreux Services au cours de Enfin, fin juin, la Société a produit, avec le certains ont peine à rester debout pendant : I MJ Médaille d’Or de l’Ecole Nationale dé manifestations officielles, la Musique Muni­ Centre Départemental de la Danse, un près d’une heure. spectacle très réussi sur le thème des di musique de Nevers, élève du Maître cipale a effectué plusieurs déplacements Ce concert a été commenté et présenté Danses de l’Amérique Latine. Maurice Gendron. L’orchestre s’appliqua à dans des bourgs ruraux (Quincy, Ste par M. Jean Védère, Vice-Président de r V' mettre en valeur la prestation de son jeune Solange) pour des Concerts classiques et Dès maintenant d’ailleurs, les projets l’Harmonie. Sous la direction de M. An­ '?! ' ami. Mais ce Concerto aurait été mieux à de Variétés. Elle s’est déplacée au Por­ d’avenir ne manquent pas pour cette toine Gonzalez, divers morceaux ont été sa place, à notre sens, dans un concert tugal à Aveiro du 9 au 14 avril dernier et y a phalange dynamique pleine de vitalité. interprétés et, en premier lieu « Rose des r *: purement orchestral que dans cette soirée a vents », une marche de A. Moncelle, suivie réservée au chant choral avec accompa­ H de « Fête provençale », ouverture de F. H gnement d’orchestre. Ce qui n’enlève rien, b Popy ; « Sérénade de Schubert », trans- h bien sûr, aux grandes qualités artistiques Û cription de F. Andrieu ; « A travers nos de Gilles Sogny qui est sûrement promis H provinces françaises », fantaisie folklo- i r •/ au plus* bel avenir. p rique de L. Delbecq, qui nous a permis Enfin, ce fut le « Stabat Mater » de ■h d’aller du Nord au Sud, de la Bretagne à la >y i ' Caldara, pour solistes, chœurs et or­ rj Méditerranée, en passant par le Limousin Yi chestre, qui enthousiasma l’assistance. et la Bourgogne, pour le plaisir et la joie Y Citons partiellement le compte-rendu du des auditeurs. ff/ critique musical du « Journal du Centre » : | — « Rendez:vous chez Strauss », un ■ih Sous la direction sûre et précise de | pot-pourri de valses, de L. Delbecq, qui a Kt*:, Maurice Bardin, cette œuvre d’une géné­ | dû certainement donner des fourmis aux Ht reuse inspiration fut restituée avec une | pieds de nombres de jeunes et surtout de th évidente authenticité et elle prit une dimen­ l moins jeunes qui, si la configuration de sion solennelle sous les voûtes romanes p l’endroit l’avait permis, auraient été en- Y de Saint-Etienne, mettant en valeur les iBj • ■ traînés à exécuter quelques pas de danse. différents timbres et la pureté des voix... » \] — « Aragona », paso doble de John /• Les solistes étaient : Mme Catherine Pin, ; • Darluy, qui normalement devait clôturer ce Vf lauréate du Conservatoire de Nevers, So­ concert ; mais les applaudissements W prano dont la voix pure fit merveille, Mme , \ ; étaient si nourris et si chaleureux que nos P, Suzanne Pautrat, bien connues des mé­ jj musiciens ont dû reprendre place devant lomanes nivemais *, Roger Cotel, ténor, à (V \\ leurs pupitres pour contenter le public et la voix chaude et puissante, tous trois v fi donner un dernier morceau non prévu au Nivernais de souche ; et Claude Houillon, i programme et intitulé « Top ». VJ basse, venu de Dijon pour remplacer - Y avec quel bonheur - in extrémis le titulaire 'i Merci aux musiciens de l’Harmonie Ba- /// empêché ; Mme Martine Abon à l’orgue, et gnéraise, qui donneront leur dernier Gilles Sogny, violoncelle ; il convient de concert de juillet avant le départ en congé ■ * de la plupart d’entre-eux, ce soir, vendredi saluer les excellentes interventions de UAIITEC DVDEfelftlÊEC M Ht Mme Renée Julien, violon solo en réponse . IIHU I CO"! I UC 11 11 CEO 30 juillet à 21 heures, au kiosque des lacets des Thermes, si le temps le permet, Vir aux solistes et aux chœurs. C’est une H ovation des centaines de personnes pré­ ou éventuellement, sous le Musée Salies. /'/ sentes qui salua ce « Stabat Mater » dont ■s — Vendredi 16 Répétition £ (i. Bagnères-de-Bigorre J.S. le dernier mouvement dût être bissé. — Vendredi 23 Répétition y Ht y En résumé, un concert apprécié qui Saison 1982 — Samedi 24 à 21 h Concert à Tournay y II) marquera dans les annales l’excellence de -j avec l’ensemble choral bagnérais IV la collaboration de la chorale des vj — Vendredi 30 Répétition fi «Nomades» et de l'orchestre à cordes Février DAUPHINÉ Mai M des « Ménestrels Nivernais ». — Vendredi 5 Répétition ff; . _ — Vendredi 12 Répétition — Samedi 1* à 10 h Cérémonie Arbre de ! L’année musicale pour ce groupe de « _ vendredi 19 Répétition y y la Liberté * j 11e Colonie musicale I1) musiciens se termina par un concert donné [i _ vendredi 26 Répétition 3 — Vendredi 7 Répétition ; ! HP la F Ç M O en plein air à remplacement de la nef, Vf fl — Samedi 8 Cérémonies fête de la Vie- M r.o.m.u. détruite à la Révolution, de la très belle Mars B toire C’est cette année en juillet que la Eglise de Champvoux. C’était la première g _ Samedi 6 à 21 h Concert à Séméac !| — Vendredi 14 Répétition F.S.M.D. a organisé sa 11° colonie de nm manifestation du troisième festival de mu­ avec l’ensemble choral bagnérais p — Mercredi 19 à 21 h Concert à la MGEN vacances musicales. Le canevas des jour- sique organisé par le Comité des Fêtes. % — Vendredi 19 à 18h 15 Monument aux | —Vendredi 28 Répétition : nées est toujours le même: le matin, Le programme fut le même qu'à morts - FNACA £ ’j solfège et instrument, les cours étant h Clamecy, avec, en solistes : Mme Renée fi Juin. : r donnés par des professeurs spécialisés ; fr- Julien dans un Largo de Vivaldi, Jean Avril — Vendredi 4 Répétition l'après-midi, loisirs encadrés par des ani- Smektala, cor. dans le Concerto en Ré — Vendredi 2 Répétition y —Vendredi 11 Répétition : mateurs de colonies de vacances ; le soir, /// di C.M.F./OCTOBRE 1982 '/O r 22 il fi la a Innové en g heures de gloire avec plus de f incorporant durant la 2e quinzaine un stage I 90 membres. | Ferdinand nkoch «u| Puis au cours des temps, après la perte

S t p sont inscrits au stage de direction organisé Différents chefs de chœurs se succé­ | par la F.S.M.D. pour une période de 3 ans. dèrent ; il y eut encore à noter de très § rendant l'année, des week-ends les ras- beaux concerts, mais l'époque n'était plus semblent soit pour des cours d’harmonie la môme. L'obligation d’assister le soir à | (donnés par M. Gully, ex-Directeur du des répétitions ne favorisait pas le recru­ ■ Conservatoire Militaire de Paris), soit pour * tement.t L'activitéf de la Sociétéà faiblissaitéooaue ;• des cours de direction (donnés en alter- n oriSée de chefoour E dSîôer époque- nance par Michel Chopin, Directeur du f pnvôe de chef P°ur ,a dm9er* Conservatoire Militaire ou par Ferdinand ] Aussi, depuis bientôt deux années, un S Koch).Les 15 jours passés à la colonie I j nouveau démarrage s'affirme. S représentaient la partie pratique de ce " Avec quelques anciens membres aux­ i stage de direction. Les stagiaires ont quels vinrent se joindre de nouvelles étudié les conducteurs, appris les bases de g recrues, et sous la direction d’une an- f; la direction avec des cours théoriques. Le U cienne choriste, professeur de chant à •soir, ils participaient en tant que musiciens ij Reims, Mme Jacqueline Picot, la reprise à I orchestre et étaient parfois appelés au :■ fUt assurée t pupitre. Ferdinand Koch a monté pendant Ce fut tout d'abord des animations ?■ les 15 jours du stage : l’Ouverture pour harmonie de Mendelssohn, musique aux 4 auprès des résidences pour personnes ! vents de Roger-Roger et mini-symphonie âgées. Ces concerts se multiplièrent, et à de Serge Lancer. Les stagiaires ont aussi ce jour, avec un effectif encore malheureu­ ...... , ...... eu la visite de M. Gully qui a fait deux jours sement assez réduit (30 membres) ; la répétition de deux orchestres simultané- % Voiron, Beaurepaire, Salaise, Chassieu, | d’harmonie non-stop, à la demande. Ces chorale vient tout récemment d’assurer ment (répartition par niveau ; les cadets, g Vienne et avons rendu une visite à l’U.D. i 15 jours de stage de direction ne sont pas des prestations très valables : deux dépla­ aer débutant a P.B.2, le grand orchestre, le « de Savoie à Aix-les-Bains. ! un aboutissement mais une étape de la , , cements•* à* Provins. , où tout d'abord.. ..elle reste) afin de monter un programme per- jï j. formation. $ 0CCHPait toute la première partie d un mettant de se déplacer pour donner des l'i Pendant cette colonie, un staqe de c» ™ à i~ !: festival audio-visuel, et tout dernièrement concerts. Ajoutons à cela, une heure de 1 formation pédagogique de moniteurs a lieu f de! oro^esseurs aui on“é é colons s"à Ü ParticiPa'!,on barn?' 1° autreS ch°ra|es chorale chaque après-midi, la chorale | depuis 9 ans. Quatre stagiaires cette t °f?Psret^ufsulent eux-mêmM les brLre oulechotxdeseschants.futpartiçullère- regroupant tout le monde et se produisant I année s’étaient inscrits pour cette for- j 9?"r2?r£SÏ De mêL S k ment remarqué. Enfin, en juin dernier, elle lors des concerts. Le séjour a eu lieu à § mation. Ils doivent avoir plus de 16 ans et L ancien œlon s’est retrouvé chef de cuisfne a oHe,rt au* Rém°,s un ,r®sbeau “ncert Eyzin-Pinet, à côté de Vienne (Isère). Il % le brevet d’études musicales de la !. ^a renrîs le hunle nouM’ncrasinn H dans la salle du Conservatoire de Reims, s est coupé en deux : le début jusqu’au 13 | F.S.M.D. Ils suivent un cours de solfège de |;J p 9 P :j a son programme, tout d'abord, une juillet où l’on fait connaissance et où l’on perfectionnement, un cours de solfège du 1 La colonie de la F.S.M.D. est donc à la f{ première partie consacrée uniquement à commence à travailler un programme ; la I niveau qu’ils enseigneront à la rentrrée % fois un moyen de perfectionnement pour y qes Chants anciens : XV, XVIe, et XVIIIe 2° partie, du 13 juillet à la fin où l’on se j* (cette année P.A.), un cours d'instrument à ty les enfants, mais aussi pour les adultes et ; ? siècles. Une seconde partie comprenait produit. Cette année, nous sommes allés à •: leur niveau et un cours d'instrument à R une un'té de v'e °ù 'on apprend non : . trois solistes (ténor, soprano et alto) et en ; seulement la musique mais aussi la vie en \{ quatuor : le Madrigal de Gabriel Faure. ;. collectivité ainsi que la discipline de socié- ; ; Enfin, en troisième partie, la chorale au y taire. Lorsqu on vit pendant un mois avec y complet se produisait dans un éventail des adultes prenant leurs responsabilités , dtrès divers de chants folkloriques et | mais qui n’hésitent pas aussi à porter les ■ ; modernes. Un concert chaleureusement ; : chaises, charger le camion de matériel ou ;j applaudi | prendre le balai, on revient avec, peut-être, ; i.; quelque chose en plus. Un effectif plus fourni serait souhaitable, espérons-le pour l'avenir de cette Société qui mérite d'être encouragée car, dans .. une très agréable ambiance au sein de ses ; ' membres, elle peut prétendre par son ILE-DE-FRANCE $ travail musical à une place prépondérante 1 ‘ • parmi les chorales de la région marnaise. Harmonie La Renaissance ; il de Paris-Austerlitz mi ni ■;;£i Le dimanche 20 juin 1982, l’Harmonie . ; > fi La Renaissance de Paris-Austerlitz a ter- U . | miné la saison 1981/1982 par un concert ;• IL y 3 400 jeunes musiciens d'animation, ex-gare de la Bastille, à ■{ à la Fédération du Midi, l’occasion de l'exposition 1832/1982 du | b 150° anniversaire de la création de la t; La Fédération des Sociétés Musicales I) 1*- ligne voyageurs de chemin de fer. | du Midi, par l’intermédiaire de son Pré­ i; Cette saison 1981/1982 a été bien sident, a l'honneur de nous annoncer le remplie, car elle a vu la Société se premier concert donné par l'Orchestre produire : Français des Jeune.s, créé par M. le le 22 novembre 1981 : messe de Sainte- ministre des Affaires culturelles. H Cécile en l’Eglise de la Trinité j Cette audition publique sera donnée le Cours de direction pratique : explication, mise en application avec M. Koch 6 décembre 1981 : Concert au Centre j- dimanche 5 septembre, à la salle Pleyel, B G. Pompidou à Vincennes 258, rue du Faubourg Saint-Honoré à 25 mars 1982: Concert à la Faculté Paris, à 17 h 30. d’Assas au profit de la ligue contre le y option pédagogique. Au cours de la pre­ effectuées sont discutées, les points de I i Cet orchestre sera composé essentielle- mière semaine, ils observent le cours de solfège et prennent des notes ; la 2° semaine, ils font 20 minutes de cours ; la 3° «JWBWJÆî! S c’LMiÆ? « o-w — ::

semaine, 40 mn. ; la 4e semaine, ils doivent aa: rxssziïs. i i Rosières» à Suresnes —« « « ; «*»»*Cette *»»«•présentation musicale ‘est une maîtriser 1 heure de cours à laquelle la vont donner des cours de tambours de ’.j 15 mai : Concert à la maison de retraite : ; chose extraordinaire, puisqu'elle motive et directrice assiste afin de pouvoir donner un tous les niveaux (débutant à brevet) et un H Ql(rûe.ûe H intéresse nos jeunes musiciens amateurs, avis sur le travail effectué par le stagiaire. va donner un cours de sofège P. A. Un seul p 0eo:,à aki nn a suivi le stage pour son perfectionnement I 21 mal ’ Concert à Ablon et ils sont légion actuellement, puisque Durant tout le mois, tous les 3 jours, les 13 mai : Concert à la mairie de Villiers- l! dans la Fédération du Midi, qui est com- stagiaires sont réunis en présence du g personnel. Depuis que ce stage de moni- • ; n j i posée de plusieurs départements, elle en professeur de solfège qui les a en charge ^ teurs existe, tous ceux qui l'ont suivi sont l> sur_ur9e 11, 18, compte environ 400 qui font des stages (cette année Dominique Lopez a accepté jj devenus professeurs de solfège ou d'ins- ?| et 25 juin : Concerts de squares de la ville i j tous les ans de juillet à septembre dans les 4 stagiaires ; je l'en remercie car cela Sj trument au sein de leur société ; deux sont $ de Paris • cinq départements différents. Exemple le lui a occasionné une grosse surcharge de devenus directeurs de leur école de mu- travail) et de la directrice. Les leçons ,j sique. I NOUS remercions fous les musiciens de | Sort! B leur assiduité aux répétitions. Cette assi- : !■ 225 : SonhUde9MMX'Œ^'oScS?J! • ■ point les œuvres exécutées lors de ces : l’Harmonie de Foix, Amlabert, Directeur de il différents concerts ou sorties. K y la Philarmonique de Lavelanet, Sagansan, g La saison 1982/1983 va bientôt re- Pt de l'U.D. des Sociétés musicales de j prendre: la V° répétition est fixée au jj l’Ariège. ; vendredi 17 septembre 1982. Pour le département de l’Aude, y Le Conseil d'Administration sera heu- 95 exécutants, venus comme en Ariège de y reux d'y accueillir tous les musiciens tous les coins du département et placés ’• nouveaux désireux de se joindre aux ; sous la direction de M. Jacques Miquel, membres actuels de l'Harmonie. : : professeur à l'Ecole de Musique de Car- Pour tout renseignement, il suffit de : cassonne et Directeur de l'Harmonie Muni- i s'adresser à : cipale de cette ville. Les Pyrénées- R 'S Orientales groupent également 45 jeunes : ■ M. Barrault Bernard (UAICF) j placés sous la direction de M. Michel Peus, Valhubert 1 place Valhubert 75013Foyer r! professeur au Conservatoire et Directeur i:1 Paris : de l’Harmonie Municipale de Perpignan. Il jj en est de même pour l’Aveyron qui compte B jj également 50 jeunes du département M MARNE ET MEUSE placés sous la direction de M. Raymond : y Robin Président de l'U.D. des Sociétés ! Musicales de l'Aveyron et Directeur de la ;ij Lyre decazevilloise. Pour le Gard, l'affaire I Reims : est en gestation et l’Harmonie juniors : pourrait se produire dès 1983. .i Une chorale qui promet j Le département de l'Hérault a débuté ;; L’Union Chorale est certainement l’une depuis 3 ans avec une vingtaine de jeunes : des plus anciennes chorales de Reims. : ' Créée en 1896, elle connut autrefois ses • Suite page 24

C.M.F./OCTOBRE 1982 " ' ■y>-

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■4:i CHEFS DE MUSIQUE ! EXCEPTIONNEL ! rf- ■ et cette complicité qui régna entre les PROFITEZ de nos PROMOTIONS « Royal-Artist » jeunes et leurs Directeurs, communiqua I ' aux nombreux auditeurs des émotions :: & musicales de haute qualité et provoqua • : une admiration qu’on ne put contenir. Il Nous offrons un étui standard pour achat de trompette Royal-Artist convient de féliciter tous ces jeunes (exé­ cutants et maître) qui se sont imposé ■ CUIVRE ARGENTÉ quatre jours de travail assidÛ et intensif, certes pour enrichir de concert leur TROMPETTE, ut et si b (étui offert) 765 1.010 commun répertoire, pour mieux se m CORNET, si b...... 910 1.205 connaître, mais aussi améliorer leurs r BUGLE, si b...... 1.060 1.320 connaissances et leur jeu. ALTO, mi b...... 1.520 2.080 Nous leur exprimons notre gratitude BARYTON, si b ...... pour le moment privilégié de plaisir délicat 2.110 2.770 qu'ils nous ont dispensé. Qu'ils en soient BASSE, si b à 4 pistons...... 2.840 3.750 remerciés ; nous les reverrons et les SOUBASSOPHONE, si b, pavillon entendrons toujours avec joie, car, comme f disait Cervantes : .fj ; orientable et démontable...... 8.340 10.500 TROMBONE à .coulisse...... 1.015 1.370 « Où il y a de la musique i TROMBONE à pistons...... 2.450 3.420 il ne peut rien avoir de diabolique ». L'Harmonie départementale «Junior» . / LAQUÉS OR de l'Ariège comprenait cette année : ' - 6 flûtes, 2 piccolos, 1 hautbois, CLÉS CHROMÉES 25 clarinettes, 1 clarinette basse, 1 saxo- é 0/ SAXO SOPRANO, si b...... 2.890 soprano. 7 altos, 2 saxo-ténors, 2 saxo- SAXO ALTO, mi b...... 2.940 barytons, 4 cors en Fa, 3 cors alto, SAXO. TENIR, si b...... 8 basses et barytons, 2 contrebasses, / 3.220 4 bugles, 7 trompettes, 8 cornets, SAXO BARYTON, mi b...... 5.890 8 trombones, 4 percussionnistes. CLARINETTE, si b super ébène...... 1.390 GRAND-FLUTE argentée plateaux pleins 1.230 Programme du concert : ; — La marche de l’Amour des trois f. Depuis 25 ans, 3.000 harmonies, oranges (Serge Prokofiev) sociétés et écoles de musique nous font confiance. — Orphée aux enfers (Ouverture) (Of- m POURQUOI PAS VOUS ? fenbach) 1% — Ballet de Faust - la nuit de Valpurgis - Extraits (Gounod) — Tarass Boulba (Alexandre Georges) — Le Lac des Cygnes. Extraits (Tchaïko- GUItlARD BIZ» vski) — Suite Ballet (Popy) % — T.G.V. Paris Lyon (Darling) s 2 et 9, rue d’Algérie - LYON — La marche du sacre du prophète Tél. : (7) 828-44-22 (Meyerbeer). i m’j ATELIERS MODERNES DE RÉPARATIONS Varilhes NOTRE ARGENTURE EST D’UNE QUALITÉ INCOMPARABLE L’Harmonie au Concours de Béziers. CONDITIONS SPÉCIALES AUX SOCIÉTÉS DE MUSIQUE I Le dimanche 23 mai, une journée qui ni fera date pour les 45 musiciens de l’Har­ 7; monie de Varilhes, participant à ce # 1 ..U — . « i , • «. concours de Béziers qu’ils préparaient • Suite de la page 23 comme morceau imposé et le coq obtint la' I Harmonie Départementale « Junior » fu- avec ^deur depuis quelques mois, m superbe notation de 12,66 sur 15. Pour le rent rassemblés par Louis Sagansan, Di- _ „ ...... alors qu'aujourd'hui le groupement ap­ morceau de choix « Fête Basque » de recteur du stage et Vice-Président de la En effet, les decisions du jury devaient • proche la centaine, avec à sa tête, Claude A. Tremine, ce fut identique, ce qui permet­ Fédération du Midi. être les suivantes : note, 29 points sur 30 Linon professeur de trompette à l’Ecole de tait à cette belle société de conforter -,_, _ diplôme 1* Prix ascendant (l’harmonie m Musique de Béziers et M. André Galy, René Allabert, Benjamin Boraman, pourra donc désormais concourir en •' ; facilement leur place en division supé­ ex-Président de la Lyre biterroise qui rieure, section A et d’obtenir un premier 22? 25S& M,ïel Ucom^’ es deuxième division, deuxième section et l apporte son grand soutien à cette forma­ prix à l'unanimité. chefs respectifs des Harmonies de La- non plus en troisième). Prix spécial d’inter- tion héraultaise. V£?e*kiA?7M#fS1 Si'G,r°nS et- Fo,x’ ont prétation. une trompette Selmer, offerte Grâce à M. Sarzi, Président Fédéral, ces L'après-midi, un gigantesque défilé redoub é d efforts durant cinq jours, pour ^ ,a Confédération Musicale de France, formations de jeunes ont pu voir le jour amena les quelque mille six cents musi­ présenter en fin de stage un concert de ,e seu, attribué sur ,es 39 sociétés partici- depuis qu’il a été désigné comme Prési­ ciens (fanfares et harmonies), du parvis du haute tenue musicale dont vous trouverez Dant au concours r théâtre jusqu’aux arènes. Durant le par­ ci-dessous le programme. Mais il faut H , •. _ * . , , „ ■ !A.X dent de la Fédération du Midi, d’après les également citer tous les professeurs ou , *-© ou. Président lors de I apéritif initiatives qu'il a prises à tous les congrès cours et notamment devant la tribune officielle où le Coq fit une audition, ses moniteurs, bénévoles eux aussi, qui cha- d’honneur qu’il offrait à I harmonie et à son de la Confédération Musicale de France à que matin, par pupitre, s’occupaient de nos directeur, M. André Estebe, ne pouvait Paris. fanfaristes, dans une tenue impeccable, reçurent une véritable ovation de la part jeunes musiciens : Marc Ursule (tubas), dissimuler sa grande joie et son émotion 1/7 Il souhaite que, dans un temps prochain, d’un public enthousiaste et nombreux. Roger Villary, Raymond Bedel (perçus- de v®*r dans cette journée, le couronne- B quelques jeunes méridionaux, nantis d’une L'entrée dans les arènes fut aussi l'occa­ sions), Gilles Canal (clarinette), Yves | ment des efforts de tous et se plaisait à médaille d'or de nos Conservatoires Ré­ sion d’un brillant succès. Dupuy, C.P.M. de l’Ariège (petits cuivres), | constater que c’était la première fois qu'un lu gionaux, puissent instrumenter dans cette Maryse Allabert (flûte), le jeune patrick i* iurY décidait de faire monter une société de nouvelle formation musicale parisienne et Après la Marche de la Fédération du Mandrou (cors) g deux sections. C’est-à-dire, soulignait-il, la m : en espérant également que celle-ci soit Midi, exécutée sous la baguette de _ . , . . , h qualité d’interprétation de l’ensemble et ■J; Tout ce travail intense s est retrouvé | nous devons pour cela remercier notre i télévisée sur l’une de nos trois chaînes M. André Sarzi, Président fédéral, par nationales. l'ensemble des Sociétés, c’était au tour de dans la précision des traits, la justesse des g directeur Michel Lacombe, éminent et M. Amellér, Président de la Confédération instruments et I interprétation des œuvres. A jeune musicjen, dont le travail acharné et le Voici le programme du dimanche Musicale de France de diriger parfaitement Nos jeunes musiciens, de 12 à 18 ans, j talent que nous lui connaissons, a permis I 5 septembre, qui sera interprété en pré­ « Sans peur » et une vibrante Marseillaise. peuvent etre fiers deux-memes et de leur de réussir ce coup d’éclat, ; sence de Monsieur le Ministre des Affaires ensemble, car ils ont acquis a leur âge, une | 11X A .. , , r L i Culturelles et de M. Maurice Fleuret, Ce fut ensuite la remise des récom­ maturité musicale que beaucoup leur en- . 11 dire que le palmarès de M. Michel Directeur de la musique : penses au cours de laquelle, la gracieuse vient. Ils représentaient l’espoir de la j Lacombe, Directeur de I harmonie de Foix Pi 1èr* Symphonie de Brahms. et mignonne cantinière du Coq et son musique en Ariège, ils sont devenus au- f ?{de Vanlhes, est des plus élogieux : Nuages de Claude Debussy. Offrandes dynamique Président Jean Escaich,^ se jourd’hui, les piliers de nos orchestres j 1?80* concours de Bayonne - deux pre- m oubliées d'Olivier Messiaen. virent remettre une magnifique coupé en d'Harmonie I miers pnx ; 1980, concours de Saint- Ce concert est placé sous la haute, argent, un diplôme et le livre sur la ville de . _ . . , .. , Junien, avec l’harmonie de Foix, et 1982, Béziers. Les concerts de fin de stage ont eu lieu a j concours de Béziers ; chaque fois ce fut un mfAl' direction de Jérôme Kaltenbach. Montségur, la célèbre cité cathare, à \ triomphe ' w. Ainsi, c'est dans la joie que se déroula le Bélesta, à Pamier, à Lezat et pour terminer f ^ , * . , A. ... u . repas du soir, qui fut un modèle du genre. au Centre Culturel de Foix. [ Dans sa brève intervention, M. Michel pi Le Coq Lavelanétien Tout y passa, le champagne, bu dans la _ ^ A . ... . , , j Lacombe, remerciait et félicitait tous les ffh ovationné à Béziers. coupe, histoires à la « Piroulet », chants Partout le public, nombreux, a été j musiciens ainsi que leur Président, organi- 'fii repris par l’assistance, dans laquelle on étonne et charmé. J ai tenu à reproduire ! sateur de cette magnifique journée et m Parti le samedi 22 mai pour le concours remarquait la présence de M. André Sarzi, ici, avec son autorisation, 11 article de Jean- [ demandait que l’on applaudisse la pré- 01 de musique de Béziers, le Coq Lavelané­ de son épouse et de leur fille, professeur Louis Salvaire, Maire de Bélesta, qu il a fait r sence particulièrement appréciée de ■ ? tien s’installa au relais de la « Vitarelle » paraître dans la « Dépêché du Midi » après J m. Jean Rumeau, conseiller général de ‘i, i de musique à Narbonne, qui ont pu pour permettre à tous, après un copieux apprécier (ce qu'ils savaient déjà) l’amitié le concert donné dans cette ville. • l’Ariège et de M. le docteur Bernard h repas, de se détendre, avant la difficile exceptionnelle qui règne dans cette bril­ « Présentés par Louis Sagansan, Direc- Û Laugie, Président de la Société Philharmo- % journée dominicale qu’allait être ce lante phalange de Fanfaristes. teur du stage, les jeunes musiciens de || nique de Pamiers, venus à cette occasion ffl/i concours international de musique. Ce fut un retour sans problèmes, grâce à l’Ariège se produisirent samedi à Bélesta. ; ; encourager leurs amis Varilhois. *0 Après une ultime répétition matinale, l’expérience de leur chauffeur et ami Forte d’une centaine de musiciens ar- jj Bonne j0umée pour l’Harmonie de Va- il; t peu avant 8 heures les vaillants musiciens « Lucien », chacun regagna vers une dents, cette formation de I Harmonie «j dlhes, pour son Président, pour Michel fh du Coq, vieux habitués des Concours, heure du matin son domicile en ayant une « Junior », enthousiasma deux heures du- n Lacombe. son dynamique et talentueux regagnèrent rapidement le théâtre de Bé­ rant un public ravi. Au pupitre se succède- rj directeur et pour tous les musiciens qui mj pensée pour le chef dévoué et compétent m ziers pour le défilé, avant de se diriger vers Louis Bounoure pour qui, déjà, le prochain rent les Chefs d’Orchestre justement re- a méritent tous nos éloges et nos félicita- le théâtre de verdure, afin d’y être audi­ concours est en tête et qui songe à de nommés. René Allabert, Benjamin Bo- tions... i'A ranian, Denis Dugros et Michel Lacombe ; ; Ht: tionnés par un jury, composé par l’adjudant nouveaux lauriers pour ses « Cliquarts ». P. Aubert sous chef de musique de la 54* qui, d’une baguette tantôt mutine, tantôt vj ..mp Vil Région militaire, de M. Nan, professeur à impérieuse, mais toujours souveraine AUUC Wj l’école Municipale de Musique de Béziers, conduisirent l’exécution magistrale de huit ? j ’â et de M. J.-M. Vrech professeur également ARIEGE pièces monumentales, à l’Harmonie tout à 8 porf §a Nouvelle m à la même école. tour légère ou puissante, douce ou ton- h , . #i M1 tl . nante, mais toujours brillante et émou- jj Un vétéran 3U Réveil NOUVellOIS. * m; Après' la « Sonnerie aux morts », exé­ Stage de l’Harmonie oartol'sD^si^eS^re^antsou^enrSfs | Alors que nous nous promenions sur leS^ cutée à la perfection, il a été demandé à Départementale « Junior ». m cette brillante Batterie Fanfare, la A* et la 5* « MusSue a^t d^Silux | bords du port, quelle ne fut pas notre m Le stage annuel organisé par l'Union nlaisante^svmDhonie ’ ?! surprise d’entendre le Réveil Nouvellois, i fi marche aux tambours. Là aussi, grâce au P Par contraires accords formant { Æ».sur 5?T*Jf chef de pupitre François Delmas, le jury fut Départementale des Sociétés Musicales impressionné par la brillante exécution de de l’Ariège s’est déroulé cette année, du " « marcher en"carence et &. ifJsureen la batterie. Il en fut de même pour « Sol- 24 au 29 août, au centre de vacances de r ■ \ ‘-h myodo» de R. Goûte qui fut interprété | Fougax (Ariège) - 94 jeunes musiciens de y Ce fut une conversation de gens d’esprit battant la grosse caisse. Bravo Jean, tu Wjm 21 C.M.F./OCTOBRE 1982 if. 24 ’it -1 4 : ?; Tyt,^ifrvvT*< 1

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..I ■ t : :• mérites tous nos éloges. C’est à l’âge de 14 ans qu’il débuta dans l'Harmonie Nou- velloise, il faisait partie de la batterie fanfare dans le rang des clairons lorsque l'ensemble exécutait des pas redoublés, notons en passant qu’il fut l'un des élé­ =• ments créateurs du Réveil en 1927. Jus­ qu’en 1973, il est membre actif et honoraire X: toujours présent dans les nombreux dépla­ ■ $ cements et souvent mis à contribution lorsque le titulaire de la grosse caisse est V absent, nous sommes heureux, de voir ' dans les défilés sa grande silhouette émergeant au-dessus de tous les autres, battre la grosse caisse et tenir le pas î cadencé, comme il le faisait à la belle époque. Voilà un exemple qui devrait ; encourager les jeunes et les moins jeunes ■ dé ce vieux Réveil Nouvellois, qui, ouvrant la saison estivale, ne cesse de se mani­ ' fester pour le plaisir des estivants.

Gruissan-Plage Avec les Jeunes Musiciens du Gers. Le jour pointait à peine en Armagnac, t en cette journée du lundi 31 août, lorsque le car amenant 45 jeunes musiciens de la 3 Fédération du Gers, placée sous la prési­ dence de M. André Deltour, Trésorier gé­ J néral de la C.MiF., quittait cette région ' pour un déplacement assez lointain, puis­ t qu'il s'agit du Village de Vacances Promo­ 4- tion, situé sur la grande bleue, à quelques kilomètres à peine de la nouvelle station ï>- balnéaire de Gruissan-Plage. Un voyage sans histoires, plein de rires et de chansons, émanant de ces jeunes : musiciens en pleine adolescence, garçons et filles, qui allaient, durant 4 jours, goûter des plaisirs de la musique et de la mer. La première halte fut réservée à Carcas­ « r sonne, où les dirigeants de cette juvénile I. expédition, qui ne sont autres que les t animateurs chefs de musique, très jeunes 5t i ■ aussi, firent arrêter le car à l'entrée de la h ■ célèbre cité moyenâgeuse, où tout le monde put, à loisir, examiner les célèbres l tours et les vastes fortifications, qui sup­ portèrent tant de batailles, dont les prin­ cipales se situent vers le XII* siècle, au cours desquelles Simon de Montfort, venu du nord, sur ordre du roi pour anéantir le h catharisme. -< La deuxième halte fut Narbonne, vers midi, où tout ce monde se trouva réuni s! autour d’une bonne table à l’Hôtel Restau- rant « Le Lion d’Or >» dont le patron est iH M. Bonnet. Disons tout de suite que, M. Deltour, qui suivait le convoi avec sa fi voiture particulière, avait demandé à M. ' Sarzi, Président de la Fédération du Midi, \ • de faire préparer un menu, qui fit la joie des * participants. 1 Et puis enfin, l’on prit la route qui conduit à la mer et, à 15 heures, alors que chacun avait reconnu sa chambre, la grande bleue était là à 150 mètres, ce fut alors le plongeon sous la surveillance d’un gentil C.R.S. qui surveillait la baignade des

estivants de septembre. V Le lendemain vers 9 heures, après un bon petit déjeuner, débuta la première Puis, c’est au tour de M. Jeantroux, chef M. Sarzi, qui avait été l’invité de M. 9 Les conditions d’hébergement et les répétition dans la grande salle réservée à de Musique à Fleurance, jeune et dyna­ Deltour assista à la dernière répétition, ne ; i salles de travail mis à leur disposition par la cet usage du moment, mise à la disposition mique, il dirigea trois œuvres de musique pouvant assister au concert de 21 heures, | Municipalité ne pouvaient que les inciter à des stagiaires, par M. Gimie, Maire de contemporaine Hello Dolly de Jerry ne pouvant conduire la nuit. Il fut enchanté U un travail fructueux. Gruissan. Et cela continua l’après-midi et Herman, The Muppets Show Theme de les jours suivants. Henson et Franck Coffield et The Pinck Les œuvres mise à l'étude étaient diri- Panther de Mancinni. Faisant partie de sique^arsrjE5rsr«£ ; elle fut accueillie par un tonnerre |: ateliers^cA^zsüiBss * gées par M. Deltour « La Marche du l’Harmonie Juniors, M. Deffes, jeune chef d’applaudissements venu droit de ces Jj Prophète » de Meyerbeer, par M. Rossato, de musique à Lectourne, avait tenu, étant jeunes musiciens. jj — solfège rythmique et chanté chef de Musique à Mirande avec donné la fragilité de l’instrument, de faire la La température de ces dernières jour- •! histoire *J.e !® m.u3ic^.e . . .. « L’Important c’est la rose » Bécaud ; di­ partie de Contrebasse avec un énorme nées d’Août n’étant pas favorable, le ri — travail individuel de I instrument (instru- sons que M. Rossato qui est un excellent Tuba d’orchestre, offert par la Municipalité concert fut donné dans la grande salle où h mei?t3à..ven5®t P>ano) bassiste se mettait au pupitre des basses de Lectourne à son harmonie, coût bon nombre de vacanciers apportèrent § ~~ ,n,t,at,on à la musique de groupe lorsqu’il ne dirigeait pas. 18 000 francs. leurs applaudissements à ce joli concert. h C’est cette dernière activité qui a le plus Le Concert qui devait avoir lieu dans la intéressé les stagiaires, car en effet la Salle des Fêtes deGruissan, fut annulé en : plupart d’entre eux n’avaient jamais connu dernière minute, les commerçants du vil- ; cette expérience, lage ayant décidé de faire leur fête le ; L’éventail des instruments présents al­ même soir au Phébus. lant de la flûte à la basse a permis la Après ce stage plein d’enthousiasme et ? constitution d'un groupe harmonie assez d’avenir, jeunes et dirigeants se préparent (• complet qui a travaillé à l’étude des au stage régional organisé par la Région œuvres suivantes : Midi-Pyrénées, qui doit avoir lieu le fj 17 octobre 1982 à Montauban. espérons j — Largo (Haendel) que les jeunes musiciens du Gers y feront — Te Deum (Charpentier) une bonne prestation. J; — Chant Religieux (Palestrinat) dà G8 heures U\'ourne

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-- - FÉDÉRATIONS RÉGIONALES

„ -jssfsif* réagit immédiatement : Didier Declerck à la Messages de Paix d’Autun, et le Père de duelis, Curé de 1 trompette se tailla un joli succès avec L’œuvre de Bério se veut une contribu- Saint-Marcel. La Maîtrise Paroissiale et I PHarmonie de Saint-Omer en interprétant tion à la Paix ; de fait elle prit avec les l’Union Musicale, sous la direction de Louis «Vaxuôsity» de Field ; de même Ferdi­ évènements horribles de Beyrouth, un Prost et Martial Sylvan accompagnèrent nand Dhaussy, clarinette, dans une œuvre relief tout particulier, ce que souligna M. cette messe de chants et musiques. A de Meister avec Arras et Cambrai. Quant à Diego Novell!, Maire de Turin, dans son _ cette occasion,___ M., Louism Prost directeur de Eugène Dufour, le batteur de l’Harmonie mot de bienvenue lors de la réception des Û M nomm®Par Monseigneur^Le d’Anzin, il fit presque un « tabac » dans un musiciens français au Palais Madame: jj Bourgeois, sur Ordre dei Sa Sainteté Sept harmonies et le carillon mambo remarquablement enlevé et qui fut ambulant de Douai bissé ; 10 000 personnes ou plus suspen­ ambassadeurs dues au jeu de ses baguettes, cela mérite d’être souligné. ««"SBïHSîC’est le messa i SFiSHfiMSfoff ifl du Nord-Pas-de-Calais à Turin. voulu confier à chacun des musiciens, § nisés prouve la qualité des personnes qui D’autres concerts eurent lieu en ville le message d’amitié aussi qui prit la forme de ont l’honneur de la recevoir. Partis jeudi, revenus lundi soir très samedi après-midi *L ils rencontrèrent là la médaille de la Fédération des Sociétés Un court défilé, au sortir de la messe, fatigués, les quelque six cents musiciens encore, l’intérêt des turinois. Musicales du Nord-Pas-de-Calais, remise conduisit tes musiciens et leurs épouses représentant sept harmonies du Nord-Pas- par le président Lestavel au Maire de ul au déjeuner amical qui fut servi à la salle de-Calais ont été trois jours durant les « Accordo » Turin, après les remerciements prononcés h des fêtes. ambassadeurs de la Musique Populaire si par M. Host, délégué régional à la mu- ÿ1* A 15 heures, un défilé, composé de cinq riche de notre région. Le carillon ambulant L’œuvre de Bério est un hymne à la sique. de Douai joué par Jacques Lannoy fut, de Paix, une vaste construction sonore qui !,’) sociétés musicales, avec en tête une son côté, un autre ambassadeur (de poids) fait usage de références familières aux M. D. voiture très ancienne, fit un passage dans celui des traditions et de l’histoire de la auditeurs, comme « l’Internationale », le § les principales rues et se rendit au stade région, et il sut séduire. chant américain de l’Indépendance, une £ municipal. chanson italienne, un chant de parti­ tsAiic ct miiic Le Festival de musique commença Des concerts en ville, au parc régional sans russes. Les harmonies sont répar­ SAuNE-ET-LOiRE alors. Chaque société donna un concert de la Mandria, deux grandes soirées en ties en quatre groupes nommés par les succinct sur la scène : l’Harmonie de plein air sur la place San Carlo, c’était là points cardinaux ; sur la place San sp Chagny, la Batterie Fanfare de Ciry le pour les musiciens nordistes un pro­ Carlo les quatre groupes étaient dis­ [« Noble, L’Harmonie de Chalon-sur-Saône, posés en ligne, le départ de l’œuvre fut L’Union Musicale de Saint-Marcel gramme chargé qui entrait dans le cadre a fêté son centenaire. H la Formation Jazz de l’Harmonie de Cha- du « septembre musical » de Turin, mani­ fc donné par un authentique coup de n tenoy-le-Royal et enfin la prestigieuse festation de grande envergure comprenant | canon. Cette formation de fanfare, très connue !1 Fanfare des Amis Réunis de Montceau- plus de quarante concerts. en France et à l’étranger, a 100 ans. Cet | les-Mines, (née en 1887), musique d’Hon- Lors de la création à Lille « Accordo » 4 Les soirées de samedi et dimanche ont évènement a été fêté dignement les 19 et U neur composée de 90 musiciens, sous la avait peut-être manqué d’un peu 20 juin 1982. if direction de Roger Nectoux. Cette forma- été l’occasion pouf les harmonies fran­ d’espace pour respirer pleinement ; à çaises de redonner l’œuvre du composi­ N’oublions pas que l'Union Musicale, I l’inverse, à Turin, l’œuvre a perdu du Classée en division d’honneur depuis I iamnwwte rhnhfnufMAtfir* teur italien Luciano Bério créée l’an dernier fait des dimensions même de la place ; au cour du Festival de Lille « Accordo ». certains effets en ont souffert comme 1956, est composée d’une centaine de g™?# Sous là baquette drRoqe® ces étonnants passages de sons du membres et se trouve depuis 1943, sous la {.# rS?®”?1•^QinfirH°8ir Un accueil groupe à l’autre ou les stridences du direction du talentueux chef, Louis Prost. Hp rviln Certes le flou, dans certains cas, de début qui manquaient de puissance. La Cetteoene tantarefanfare a renrésentpreprésente la FranreFrance dansriana fjcf ^alfar,pQur trompettei de Gneg de , AndanteWa, Berg du. La Concerto chauve l’organisation générale de ces journées sonorisation hâtivement mise en place les Concours Internationaux de Bolzano Souris, de J. Strauss ; et Fête Polonnaise, italiennes, a quelque peu agacé les musi­ n’a guère amélioré l’écoute, c’est (Italie), Wormerveer (Hollande), Vichy du Roi malgré lui, de Chabrier. ciens français, mais finalement, une fois dommage mais il nous reste toute la fin (France)... Son classement en division passée la fatigue d’un long voyage en bus, de l’œuvre, très réussie, lorsque toutes d’honneur a été confirmé au Concours Si nous ajoutons à toutes ces festivités. l’esprit redevint serein et chacun se sou- les marches militaires jouées de façon National d’Aix-les-Bains en 1980 en rem- Si deux journées admirablement ensoleillées, vient de l’accueil exceptionnel du public plus ou moins superposées, Bério suit portant un 1* Prix avec la note de 30/30. I nous pouvons affirmer aujourd'hui que le turinois. Les différentes harmonies avaient en cela les découvertes de l’Américain Le Centenaire de cette société ne pou- jjj Centenaire de l’Union Musicale fut un préparé soigneusement leur programme Ives, se taisent pour laisser place à un vait donc qu’être à la mesure de son talent. $ véritable succès. chacune étant appelée à jouer en ou­ accord très intense, puis à des martèle­ Le déroulement des festivités commença jl Le Secrétaire, verture du concert de la place San Carlo : ments d’accords d’où naît bientôt une ;• le samedi matin 19 juin par un défilé, 1 R. Nicolas les harmonies ...vd’Aire-sur-la-Lys JfA . (direction. , 1 sorte de Chorale, l’œuvre s’achevant \\ jusqu’au Monument aux Morts de la Hî Roger Squadrelli) ; d Anzin (direction Jean L dans la douceur sous une pluie de jj Commune. Cette manifestation de recon- fi W: Pepeck) ; de Fives (direction Henri Bail- g petits papiers portant un poème il naissance envers les anciens musiciens 3 leul) ; de Nœux-les-Mines (direction jj d’Edoardo Sanguineti tandis qu’une décédés, fondateurs de la Société, se SARTRE Georges Fontaine) ; de Saint-Omer (direc multitude de ballonnets blancs s’élè- trouvait fort rehaussée par la participation tion Bruno Humetz) ; les Harmonies p vent dans le ciel pour porter au loin le des autorités locales: M. Lotte, Député; d’Arras (direction Jean-Pierre Tronche) et ji même texte, le même message de Paix, M. Leborne, Conseiller Général ; M. Baîan, ET MAYENNE de Cambrai avaient pour leur part préparé On était loin sans doute de la perfec­ Maire de Saint-Marcel et Président d’Hon- un programme en commun dirigé par tion technique dans l’interprétation neur de l’Union Musicale ; M. Berthaud, Victor Martin. mais là n’est pas l’essentiel : il s’est Président honoraire, Père de Guelis, Curé ]) Musique Municipale 10 à 20 000 personnes le premier soir, passé réellement quelque chose ces de Saint-Marcel, tous les Présidents des | de Fresnay-SUr-Sarthe „<>*** Sociétés locales et les Musiciens d’Hon- presqu'autant le lendemain, rarement sans | deux soirées là, sans compter la somme Placé sous la Présidence de M. le doute nos harmonies auront eu l’occasion considérable de travail fourni par les neur de la Société. Un repas officiel fut servi à la salle des fêtes. Docteur Riant, Président de l’Harmonie, de se faire entendre devant un public aussi musiciens et leurs responsables dans p Maire, accompagné de Madame, ce nombreux et réceptif, un public très sen­ chaque société, ce qui est déjà en soi L’après-midi fut essentiellement 3 concert n’a pas réuni toute l’assistance sible aux performances des solistes et qui une réussite. consacré à l’animation musicale de Saint- que sa qualité méritait. Marcel, par des concerts et prestations sur les diverses places de la commune. Ont Le concert a débuté par la « Marche Lorraine » dans une reconstitution de efrtDétlnteCedl aSairi-Marce|ro Majorettes | Clalllde Ther°u «R a retrouvé et complété Girl’s Parade de Chalon sur Saône, l’Or- | quelques cartons de cet arrangement joué chestre champêtre des Chabert’s de p par toutes les musiques militaires. Lou- Moulins, les Fanfares de Sevrey d’Ouroux $ verture de! «Orphée aux Enfers » de pari sur Saône, de Saint-Germain du Plain, et y Jacques Offenbach a rappelé ce climat de l’Harmonie de Chatenoy le Royal. bonne humeur, de gaîté naturelle qui animait ce musicien plein de verve et A 18 heures, toutes ces sociétés, les g d'humour. Guy Soucheres au cor, Fran- Le triomphe visiteurs et les habitants de la commune, çojse Marzorati à la flûte, Bernard Groult à accuellièrent les musiciens de la Garde | j£ clarinette, Véronique Therou au Républicaine de Pans à la salle des fetes, h saxophone ont assuré les soli et cadences de ia ou un vin d honneur fut servi sous la g de cette pièce joyeuse. Qualité présidence de M. Savey, Président de la F.M.S.L. Le Président de l’Union Musicale, l Le Concerto, de Bellini. pour hautbois, Henri Tavernier, prononça le discours fj transcrit pour saxophone par Claude d’usage et remit la médaille du Centenaire sa n?us a Permls d aPPf?c,5r 6 ta en.! aux sociétés participantes. de Véronique Therou, médaillé de vermeil a .« , .. r\t\ a . * . .. n au Conservatoire du Mans cette année A partir de 19 h 30, la foule se pressait aux H dans la classe de Jacques Maffei. Cette deux entrées du stade Municipal ou était ! œuvre particulièrement mélodique offre au installé un immense chapiteau. A soliste l’occasion de montrer sa technique, 21 heures précises, commençait le sa musicalité, bref tout son art... et l'inter­ Concert de l’Harmonie de la Garde Répu­ prétation de Véronique Therou fut en tous blicaine, sous la direction de Roger Boutry, points remarquable. Grand Prix de Rome. Ce concert débuta par l’interprétation magistrale de l’ou­ La Sérénade de Tielt pour cor et flûte a verture d’Hector Berlioz : Benvenuto Cel- séduit l'assistance par la délicatesse des lini, puis le quatuor de saxophones, ac­ solistes. Pascal Desommes au cor (le 2° compagné de l'orchestre jouèrent Alter­ corniste fresnois) et Françoise Marzerati, nance de Roger Boutry. le professeur de flûte depuis 15 ans. Cette œuvre a recueilli les applaudissements Des œuvres de musique contemporaine nourris des spectateurs, appréciant la furent alors interprétées : Cap Kennedy de virtuosité et la musicalité des solistes. « Le Serge Lancen, Hommage à Mistral de f Colonel Bogey » toujours prisé des audi- Pierre Ancelin, puis, l’œuvre de Georges ? teurs, clôturait cette première partie. p Gershwin : un américain à Paris, termina En intermède, la chorale du collège sous ce concert, qui fut bissé. Nos gardes 1 ; la direction de Francis Rossier et l’accom- Républicains nous offrirent alors le Vol du I pagnement de l’Harmonie, donnait le grés­ Bourdon de Rimsky Korshakoff. il que trop célèbre Chœur des Esclaves de Dès le concert terminé, la scène fut vite $ Nabucco, revu par Claude Therou, et la occupée par l’orchestre des Chabert’s, qui ' Marche des Dragons de Noailles. Ainsi se avait participé à l’animation de l’après- i trouvait réuni une centaine de musiciens midi. Cet orchestre, tout nouvellement ! sous la baguette de Claude Therou. Instruments de Musique affilié à la Fédération Musicale du Centre, fj La deuxième partie débutait par Merle et fit danser jeunes et moins jeunes, sur un • ; P. GAUDET Pinson, célèbre polka de Reynaud jouée répertoire adéquat, jusqu’à une heure fi par Claude Therou et un de ses brillants 8,rue Nancy 75010 Paris avancée de la nuit. y élèves, Laurent Beunache, jeune espoir de Le Dimanche 20 juin commença pour les | 14 ans. René Duval-Destin, sous-chef, 607.77.85 : i membres de l'Union Musicale, par une à assurait la direction de ce « morceau de ■Ü participation à la messe célébrée par combat ». Devenant soliste, René Duval- Monseigneur Le Bourqeois, évêque U Destin jouait avec beaucoup de soins ' % 1 I - t

FÉDÉRATIONS RÉGIONALES

« Simple Aveu » de Thorne. Le concert Rosée, Directeur de l'Harmonie d’Ares, retraça la carrière administrative de nombreux auditeurs. Bravo aux organisa­ -i s’achevait avec la marche de la Fédération des Présidents : Mondret, Tanzie, Gorrex M. Andouin. dé Sarthe et Mayenne composée par teurs de ces journées de liesse, organi­ et de nombreux amis. sées par un Comité que préside M. Malek, Claude Therou pour le Président Entré en 1900 dans l’administration des O. Hureau, qui, retenu en dernière heure, sans oublier la cheville ouvrière de cette postes, il fut nommé dans la région pari­ manifestation : M. André Truffaut. n’avait pu venir à Fresnay. Ce morceau M. Mano, secrétaire de l'Harmonie sienne au service de la recette principale, , .. u ««•«.**** * écrit pour toutes les sociétés en fonction de l d'Ares, évoqua la carrière Musicale de puis il se rapprocha de sa Dordogne il Le dimanche 11 juillet était réservé à un leur possibilité, a obtenu un énorme succès M. Andouin, carrière particulièrement riche natale, en venant à Libourne au service fi Festival.de Majorettes ou dix Bataillons de et sans doute convient-il de féliciter le chef et il ne manqua pas de souligner la des transmissions téléphoniques. Il quitta 4 charmantes demoiselles, toutes aussi jo- de batterie Maurice Soucheres. personnalité de celui-ci, qui, ayant une ensuite cette branche pour embrasser la § .es unes 9Ve *es au^es* rivalisaient Rappelons ici, que cette œuvre a été connaissance profonde de l’art musical, carrière de receveur, d’abord à Lorrac, puis H d adresse et d élégance pour une assis- sut si noblement le dispenser autour de lui. à Bazas, où, pendant 18 ans, il sut S tance nombreuse et ravie et sous un soleil désignée par la Fédération Musicale M. Andouin reçut en 1976, la médaille de Sarthe et Mayenne, comme Marche Offi­ organiser et animer son bureau par son 1 éclatant. Bravo : Lorgues. chevalier des palmes académiques, une; dynamisme et sa bonne humeur. cielle, que chaque société devra jouer en distinction honorifique venant récom- . morceau d’ensemble lors de chaque Festi­ val de musique. 1 penser 62 années au service de l’art. Il C'est là qu'une retraite bien méritée fut fc [ s’intéressa particulièrement à la musique accordée à M. Andoin, après 43 années de 1 En conclusion. Fresnay avait une nou­ ï et fut le Directeur de l'Harmonie pendant loyauté et de dévouement. Après avoir lu p velle fois rempli son contrat, aussi les 65 de nombreuses années. Après avoir for­ et remis à ce bienheureux centenaire, la | Cequevoüs musiciens de ce petit pays ont-ils bien mulé des vœux pour une bonne santé et lettre de félicitations de M. Mexandeau, I mérité de prendre des vacances... mu­ encore dé longues années d’une vie Ministre des Postes et Télécommunica- ■; devezsav !r“ sicales, en attendant le prochain Concert heureuse, la parole revint à M. Ramella, tions, M. Ramella lui remit la médaille d’or & de Sainte-Cécile. Directeur départemental des P.T.T. qui de cette administration. Société Philharmonique d’Angles. Le nouveau Conseil d’Administration et son Chef de musique, seraient heureux Efg. ’ d'accueillir dans ses rangs, de nouveaux Lorgues. musiciens jeunes et anciens. GIRONDE Pour ceux qui voudraient travailler et venir s’installer dans notre Pays de la côte Ares Journée Musicale Franco-Italienne à l’occasion du Jumelage. de lumière où il fait bon vivre, même en ■ Notre Président Fédéral : Léon Rose, gramme que par l’enthousiasme des exé­ hiver (micro climat et ensoleillement remar­ M. Paul Andouin, son adjoint Marcel Demichelis et leurs cutants. L’ensemble était dirigé, tour à quable). un centenaire mélomane. épouses étaient invités, le samedi 10 juillet tour, par M. Messel, le dévoué Directeur de Pays touristique par excellence, notre dernier à un évènement sympathique dans la formation lorguaise et Ciaburro, chef de i Le 26 avril dernier, au cours d’une contrée agréable et accueillante, est de­ cette charmante localité, nichée dans la la formation italienne. venue une terre privilégiée pour ceux qui, à brillante réception à la Mairie, fut célébré le verdure du massif des Maures. centenaire de M. Paul Andouin. Cette sym­ Une prestation qui devait avoir sa répli­ l’occasion de la retraite, recherchent le pathique manifestation était présidée par le Lorgues, en liesse, accueillait effective­ calme et la détente hors des contraintes A ment que puisque le 1* août, c’était au tour de Maire, entouré par ses adjoints et de la formation musicale italienne l’Harmonie Lorguaise, sa Batterie-Fanfare des grands centres urbains. plusieurs conseillers, en présence de d'Aisone, petite localité jumelée avec Toutes les possibilités sont offertes, * Lorgues. et ses Majorettes, de se rendre à Aisone M. Ramella, Directeur départemental des pour une fête musicale en remerciement dans le cadre des loisirs et de la culture, P.T.T., de MM. Ducout et Lefranc, Direc­ Deux jours de festivités où les éléments de l’accueil reçu dans le Var. A l’issue du mais aussi pour participer aux activités teurs adjoints, Meynien, receveur des des deux formations, unies pour la circons­ Concert, le Président fédéral devait re­ musicales de notre société qui regroupe postes d’Ares, de Ciran, Président de la tance, nous offraient un concert de choix, mettre au Directeur italien, le diplôme de la des éléments de plusieurs communes. Fédération des Sociétés Musicales du précédé d’une répétition d’ensemble, le Fédération Musicale du Var et la Médaille La Phiiar était présente en 1982, à une Sud-Ouest, Cazannielh, Président de matin même, et qui s’avérait une réussite d'Or. de la Confédération Musicale de trentaine de manifestations diverses au l'Union des Sociétés Musicales du bassin, complète tant sur sur la qualité du pro- France, sous les applaudissements des Pays Sud-Vendée. * ".'À ■■ ■■ S? Manifestations

FESTIVALS ; v.:

14-17 oct. 1962 DIGNE (Alpes de Haute-Provence) 2e Grand Prix de Composition et Festival d'Accordéon M. Dino NEGRO, Les Ferreols - 04000 DIGNE 18-19 Juin 1983 MONTIGNAC-SUR-CHARENTE (Charente) Festival da musique et majorettes M. F CHARRIER. Montlgnac 16330 - St-Amant-de-Boixe - Tél. ; (45) 39-71-02 •J 15 mai 1963 COLMAR (Haut-Rhin) XI* FESTIVAL DE CHANT CHORAL de le Jeunesse de Colmar M. Joseph MULLER, 93. rue du Vieux-Muhlbach. 68000 COLMAR et envrons. 27 Juin 1983 VIENNE (Isère) Festival l'après-midi après le concours M. le Président F.S.M.D.. 13. bd Michel Perret. 38210 TULLINS

CONCOURS

20 avril 1983 MULHOUSE 35° Concours de Chant Choral Scolaire du Haut-Rhin M. Jean-Pierre MOSER. 36. rue Anna-Schoen, 68200 MULHOUSE 29 mai 1980 COSNE-COURS-sur-LOIRE (Nièvre) Concours National de Musique réservé aux Harmonie M. Henri MALTERRE. 27, bd de la République. 58200 COSNE- COURS-sur-LOIRE S Juin 1983 Concours sauze-vaussais, 79 M. J. TERRASSIER. Maire sauze-vaussals. 79190. Tél. (49) 07-60-01 .-1 11-12 Juin 1983 VIENNE (Isère) Concours Juniors et chorales scolaires M. le Président F.S.M.D.. 13. Dd Michel Perret. 38210 TULLINS 12 Juin 1983 Concours International MEAUX M. Denis QUINCHON. 10. clos Benoist. 77100 NANTEUIL-les-MEAUX Tél. : (6) 12-06-83 12 juin 1983 MEAUX (Seine-et-Marne) Concours national de musique M. D. QUINCHON. Vice-Président de la Fédération Musicale de Selne-et-Marne, 10, clos Benoist. 77100 NAMTEUIL-les-MEAUX 26 juin 1983 COGNAC (Charente) Concours national de musique réservé aux harmonies, fanfares, M. DA SILVA, Ecole de musique. Villa FrançoIs-l*r, Bd Denfert- fanfares de marche et batteries. Rochereau, 16100 COGNAC. 26-27 Juin 1983 ALLEVARD-LES-BAINS (Isère) Concours National toutes catégories M. le Président F.S.M.D.. 13. bd Michel Perret, 38210 TULLINS ■M

16-17 oct. 1982 BLOTZHEIM (Haut-Rhin) Congrès de l'Association des Sociétés Choral d'Alsace M. Albert DIERET. 23. rue de la Couronne. 68730 8LOTZHEIM 17 octobre 1982 ROMANS (Drôme) Assemblée Générale de l'U.D, de la Drôme M. André BRUNET. Président. 26210 SAINT-SORLIN-EN-VALLOIRE. 17 octobre 1982 BLOTZHEIM (Haut-Rhin) Congrès de l'Association des Sociétés Chorales d'Alsace M. Albert DIERET. 23, rue de la Couronne, 68730 BLOTZHEIM. 16-17 oct. 1982 ST-BRIEUX (Cotes du Nord) Congrès des Fédérations M. G. GALINIER. 2, bd Joffre, 56100 LORIENT 24 octobre 1982 PUBLIER (Haute-Savoie) Assemblée Générale de l’U.D. de la Haute-Savoie M. Paul BARATAY, Président. CHAMPANGES, 74500 EVIAN. 24 octobre 1982 LONGUYON (Meurthe-et-Moselle) Congrès M. R. BOITEL. 151. avenue Poincaré - 57800 FREYMING MERLE- BACH - Tél. : (8) 704-67-10 24 octobre 1982 CAEN (Calvados) Congrès de ta Fédération de Normandie M. André PETIT. 100 ter. bd H.-Foumet. 14100 LISIEUX . Tél. : (31) 62-18-47. 24 octobre 1982 PLIVOT (près Epemay) Assemblée Générale de la Fédération des Sociétés Musicales de M. Marcel LENOIR, 14 bis, rue Houze Muiron. 51100 Reims. Marnes et Meuse. 9 h précises Tél. : 47-47-72 29-30 avril VOIRON (Isère) Congrès Rhône-Alpes et dans ce cadre Journée : Blg Band. chorales M. le Président F.S.M.D., ‘13. bd Michel Perret. 38210 TULLINS l*r mal 1983

STAGES e m : ^ cy « / • 28 nov. 1982 I IMULHOUSE | Journée de la chanson Contemporaine | M. Jean-Pierre MOSER. 36. rue Anna-Schoen. 68200 MULHOUSE.

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C.M.F./OCTOBRE 1982 27

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I ; i : vf • Suite de la page 9 C’est en 1676 que sera publié -. •- le dernier ouvrage de luth en An- ■ MUSIQUE INSTRUMENTALE — PETITS ENSEMBLES — ORCHESTRES D’ELEVES L’influence des luthistes fran- gleterre « Musick Monument - du çais qui exporte le nouveau style luthiste Thomas Mace. Dans son . est aussi une des raisons de sa livre, il s'exprime toujours en héri­ ■?: disparition. tier d’une traduction vivace, en Connaissez-vous nos nouvelles collections ? -V JOUONS ENSEMBLE . !*! } L’exemplaire FLUTE complet Guiot Dix pièces faciles pour trois flûtes...... 105,00 ■ | Joubert Suite barométrique, pour quatre flûtes, assez facile 40,50 CLARINETTE f v Barthalay if!. Deux quatuors classiques (Ariette et Variations de Haydn Cf... i et Air Russe Varié) moyenne force...... l/i î{r J. ; 32,50 Delgiudice Dix divertissements pour clarinettes, en duos, trios, quatuors, moyenne force...... 40,50 Gilet Clarinette en concert, pour quatre clarinettes sib, assez facile à moyenne force...... 132,00 Gilet Dix quatuors faciles pour quatre clarinettes sib...... 82,00 SAXOPHONE Bouvard \ Rencontre à quatre, pour quatre saxophones altos, assez facile 37,50 TROMPETTE Jacques Gaultier émigre en tion de la musique française, en Barthalay Six Noëls de Provence, pour trois trompettes, moyenne force...... 39,50 1617. Dans sa lettre du 29 juillet particulier le jeu des inégalités. Devogel Quatre à quatre, pour quatre trompettes, moyenne force...... 39,50 1619 Lord Herbert, ambassadeur ? Devogel Trois pièces pour trois trompettes, assez difficile...... 39,50 de Jacques Ier, écrivant à Sir Nor­ faisant du luth un symbole de l’or­ Joubert Deux pièces pour l’ensemble de trompettes multiple de quatre, bert Nauton, nous dit : « ... Gaul- dre cosmique et de l’ordre humain moyenne force...... 27,50 tier qui pour avoir tué un brave et non un simple plaisir esthéti­ Leriche Venise, pour quatre trompettes, moyenne force...... 27,50 gentilhomme français de noble que. L’auteur a l’ambition de nous • y Martin Pour Jouer à deux ou trois, facile...... 38,50 maison... s'enfuit en Angleterre, révéler tous les secrets de l’instru- Porret Douze divertissements en duos, facile...... 32,50 où grâce à son jeu excellent sur le ments. Ses desseins seront Porret Six trios faciles...... ;...... 32,50 luth, il fut pris en faveur par my- vains. L’ouvrage est toutefois fon­ lord, le marquis de Buckingham. » damental pour sa mine de rensei- anements et ses conseils utiles. COR D’HARMONIE Il sera plus tard au service de 9p' Jacques Ier et Charles Ier. armi ceux-ci, Mace recom- f Martin Pour jouer à deux ou trois, facile. 38,50 L'épouse de ce dernier, Henriette- mande de placer le luth, pour pré­ Marie de France, emploie plu­ server les cordes en boyau, très TROMBONE sieurs musiciens français (sans fragiles à l’humidité, dans un lit. compter la famille Lanier établie non entre les draps qui gardent Girard Dix petits duos progressifs, facile...... 18,70 depuis longtemps en Angleterre) ; trop de moiteur humaine, mais Gourdeàu Dix quatuors sur des airs folkloriques, assez facile. 91,00 les Richard, Nicolas Duval et entre le couvre lit et la couverture. : Jean Mercure sont eux aussi em- Toutefois, de bien se rappëTêr TUBA ployés à la Cour. qu’on y a glissé un luth, car il a vu ■j un bon nombre de luths brisés par v Porret Douze divertissements en duos, facile 40,50 Le luth conserve toujours un des étourdis, qui se sont affaissés >• - / certain prestige, surtout par l’in­ par mégarde sur le Ut. ALTO À CORDES termédiaire des masques (25) où il est largement utilisé. Il y avait Joubert Dix duos pour altos en première position, facile à moyenne force 38,50 dans « The Triumph of Peace » (1634), sept luths dans la sym­ VIOLONCELLE/CONTREBASSE A CORDES phonie auxquels venaient s’ajou­ ter une dizaine de théorbes. Mais, Joubert Variations sur « Si j’étais un petit-oiseau » pour quatre violoncelles quarante ans plus tard un autre ou quatre contrebasses à cordes, facile...... L...... 46,00 « Triumph of Peace » (1674) at­ ! testera du déclin du luth. Il n’oc- QUINTETTE DE CUIVRES JEAN-BAPTISTE ARBAN cupe une place que pour la basse Arban Le Carnaval de Venise, arr. Caens. difficile 62,00 continue, alors que quatre guita­ Bach J.-S. Fugue en fa mineur, arr. Caens, moyenne force res figurent dans la symphonie. 56,00 (La guitare baroque, qui connaît Joplin Pleasant moments, arr. Caens, assez facile..... 34,50 Joubert Soir et Matin, assez facile une grande vogue en France, 62,00 sera bientôt préférée au luth Leroy Le Distrait, facile 34,50 comme instrument soliste.) Quibel A la mémoire de Duke Ellington, difficile.... 62,00 Reynaud Merle et Pinson, arr. Caens, moyenne force 56,00 Toute l'influence française s’est fait sentir entre ces deux ORCHESTRES JUNIORS (nous questionner pour rinstrumentation) « Triumph » comme en témoi­ gnent d'abord le recueil « The conducteur partie Lute Apology » de Richard Ma- ! AmiotJohn Mon premier concert, très facile 21,50 7,70 thew, imprimé à Londres en 1652 Amiot/John Mon deuxième concert, assez facile 34,50 9,90 qui est le premier livre pour le luth Fromin Le petit orchestre, facile...... 32,00 7,70 .français, avec le nouvel accord, Joubert En fa pour enfants, assez facile...... 32,00 9,90 publié en Angleterre. Ensuite le • Vous trouverez la suite Joubert Divertissement baroque, pour orchestre à cordes, livre de Miss Mary Burwell, elle a copié le manuscrit de son maître de cet article dans le moyenne force...... 22,00 7,70 journal de novembre. Joubert Romance pour orchestre à cordes, facile...... 22,00 6,60 (peut-être le Français John t. RougeronQuatuors pour tous, assez facile à moyenne force 34,50 9,90 Rogers) dont la rédaction re- monte à 1650 et qui ne comporte journal de la METHODES que des luthistes français. Il nous donne de très précieuses indica- Confédération Flûte Méthode progressive de Pariat...... 152,00 tions sur le luth et sur l’interpréta- jVlusicale de France Flûte à bec La musique par la flûte à bec, de Letellier...... 40,50 Directeur-Gérant : Clarinette Méthode nouvelle et progressive de Delbecq/Gilet...... 95,00 M. André AMELLÉR Saxophone Méthode nouvelle pour tous les saxophones, de Letellier 108,00 Trompette Méthode progressive, de Porret...... 86,00 RÉPARATIONS Cor d’harmonie Le Manuel du jeune corniste, de Dijoux 64,00 Trombone J’apprends le trombone, de ...... 95,00 REMISE A NEUF Abonnement (10 numéros) Basse, contre- DE TOUS INSTRUMENTS du 1Cf janvier au 31 décembre basse, trom- CUIVRE BOIS Le numéro : 5 F bone, à pistons Méthode progressive, de Porret/Guigou 95,00 FRANCE. 1 an 50 F Nickelage - Argenture - Vernis ETRANGER 1 an 100 F Fabrication - Occasions NOTRE CATALOGUE INSTRUMENTS ET ACCESSOIRES EST ACTUELLEMENT EN ARTISAN SPECIALISE PREPARATION ET VOUS SERA ENVOYE DES SA PARUTION, SOUS QUELQUES SEMAINES. R. 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C.M.F./OCTOBRE 1982 f