f pm. '£r m - N° 356 OCTOBRE 1982 ORGANE MENSUEL DES 49 FÉDÉRATIONS, journal de la DES 6.000 SOCIETES ET ECOLES r.\ . • . ET DES 600.000 MUSICIENS FEDERES Là C.M.F. est reconnue d’UtlIità publique par décret du 2 Janvier 1957 et agréée par le minis­ tère dé la Culture et le ministère de la Jeunesse et des Sports. Elle est affiliée à la Confédérs- ■ tion Internationale des Sociétés Populaires de Musique et membre du Comité National de la * A. Musique. Confédérationmm B ■ ■ Numéro de la commission paritaire 34407. \ : Musicale de France ÜmV- : que n’a de valeur que si elle estprécédée et suivie de silence» Editorial Remise de la Croix d’Officier de la Légion d’Honneur au Président Gabriel Rolando Conseils par André Amellér, Président de la C. M. F. •> E voudrais évoquer ici un souci, non des moindres, c’est celui de la participation .de nos Le samedi 11 septembre, à la Maison des Jeunes et de la Culture de Saint-Fons Sodétés et éventuellement de nos musiciens. r~v J C'est avec une joie Intense et du Sud-Est, se sont réjouis à quelques instants par Mr. André N’oublions pas que toutes nos associations sont placées beaucoup d’émotion que fut l'annonce de votre nomination au Amellér, Président de la Confédé­ | sous la loi de 1901, c’est à dire à but non lucratif. remise la Croix de la Légion grade d'Officier dans l'Ordre de la ration Musicale de France qui . AJ Cependant, nombreuses sont les doléances de respon­ d’Honneur à M. Rolando. Le dis- Légion d’Honneur. aura l'honneur de vous remettre > * J cours d'introduction de la céré­ cette décoration. •i sables de nos Sociétés qui, ignorant les lois, se mettent monie fut prononcé par M. Peré- Cette haute distinction récom­ dans des situations d’où U est difficile de sortir. simo-Gravallon, Président de pense les éminents services que Permettez-moi simplement de % l'Industrie Harmonie de St-Fons, vous avez rendus pendant toute rappeler que pendant plus d'un Nos Sociétés, nos ensembles, sont autorisés à votre vie à la jeunesse, à nos demi-siècle de présence à la Fé- 4 M. Maurice ADAM, Président de • .•■.4 recevoir des dons ; des subventions peuvent être | la Fédération du Sud-Est, prit Sociétés Musicales d'amateurs et dération du Sud-Est, vous avez en particulier à une Société qui gravi tous les échelons du Conseil 4 f accordées à l’occasion de prestations. Mais où le bât ensuite la parole : vous est chère: l'Harmonie Administration, depuisle poste I blesse, c’est lorsque les formations, les ensembles ou Cher Monsieur Rolando, « l'industrielle » de Saint-Fons. d archiviste jusqu à celui de Pré- l encore quelques musiciens de talent envisagent de se Vos nombreux amis musiciens Vos nombreuses activités au s^ent- et notamment ceux que vous sein des associations culturelles I faire rémunérer ; leurs prestations entrent dans le comptez aü sein de la Fédération et sociales seront retracées dans • Suite page 3 I cèdre du professionnalisme et il leur est alors I absolument nécessaire de se mettre en règle au regard des lois; je pense entre autre à l’U.R.S.S.A.F. et je sais que de nombreux procès engagés se sont soldés par des amendes importantes. •Li ■fl * S Mais ce qui est beaucoup plus grave c’est le cas de m sSUî**. ! nos Sociétés ayant créé des Ecoles de Musique et qui r • ■■■ ■ n rétribuent régulièrement les professeurs. Là aussi •A * • • J i-vi'K.'' r- ? 1 1 beaucoup d’amertume et .de désillusions. Il est, avant v j toute chose, nécessaire de prendre conseil auprès de A'ïs't é gens compétents et ne pas s’engager sur une pente y. dangereuse. Le rôle des municipalités est important en J la circonstance et des accords au bénéfice de tous sont \ réalisables. ■fm H existe déjà - et bientôt se sera général - dans •f chaque département et région, des délégués musicaux j • - qui pourront apporter un concours précieux en maintes occasions. Dès que possible vous devrez vous ; \ v mettre en relation avec eux. Ils appartiennent au ,• !• Ministère de la Culture et particulièrement à la ÿt .•.-i Direction de la Musique, qui n’hésite pas à se pencher ,T*i sur les problèmes les plus délicats et ces problèmes, f étudiés à temps, pourraient être facilement résolus. André AMELLÉR. ... - j Vous trouverez ••‘1 i dans ce numéro instrument ; PAGES Le luth• Suite du dernier numéro O Un article sur Frédéric Mistral et les arts cir^avant e xvll- siè- N«?s dégage^ gner un enterrement et il pensait que son autre cousin Gaultier Charles Gounod S «f aéocentriaue e? a f»ur fi- les luthistes les plus représenta- d'Angleterre devrait jouer dans un gure llS cenl du tooque tifs, tâche aœn.e dans la mesure cabaret, parce que son jeu était O Le cours d’enseignement dérpntrée et a Dour fioure Tel- où bien des familles possèdent très tape à l'œil et bruyant. M. Du­ Hpse Un mondi inœnnu^ffre à plusieurs générons de luthistes faut, disait-il, aurait fait un bon or­ musical nos luthistes, celui des raffine- “"Sn ii Sot lester' ganiste car son jeu était lourd et O Le séminaire de musicothèque ments du cœur où l’esprit introduit les Pinel, les Gallot, les Mer- qu'il affectionnait trop les règles ses expressions, délicates et sub- cure...;. pédantes de la musique, que M. Mercure aurait du mener les © Le 75e anniversaire de tiles. Commençons par ce jugement, plein; d'ironie, d'Ènnemond Gaul- ours au marché pour les faire la Fédération de Picardie danser. En outre, il disait que s Dans le cadre de cet article, il tier (1575-1651) sur ses contem- t nous est impossible d’entrer dans porains luthistes (18) : « II . disait M. Blanrocher jouait trop bien © L’Office franco-allemand les détails de cette école de luth que MM. Pinel, Dubut et Vincent parce que trop vite et faisait trop française. Parmi la marée de auraient été de bons violonistes d'ornements qui selon lui gâ­ : © Le Congrès de Bristol joueurs de luth, plus de cinquante car leurs leçons étaient très légè- chaient toute la musique. » luthistes se détachent et feraient res et leurs sarabandes et cou- Ennemond Gaultier, Sieur de © Le stage de Bourg-Lastic à eux seuls l’objet d’un ouvrage. rantes auraient très bien pu se Nèves, était joueur de luth de la Pendant soixante ans le luth chanter et se danser Quant à son Reine Marie de Medicis. Mary © Les échos des fédérations «st-yn ohénomène social qui a at- cousin Gaultier de Pans, il affir- â uneSé to^entière et mait qu’il était apte à accompa- • Suite page 7 régionales y STCy: ■ I; " ' . ■ %• V*.* : '• ï: :.V. ■ •; < - 1........ — •AV*--..:.- ■■ Ms- VA**, r? . '■-ü V;'-C:V>. - • Vf •.<•* • . ? ' " i •V •Y /• • ; m;r-m ■ i *>,ï - • •V M&- m?."’ NOUVEAUTES * i SEMINAIRE INTERNATIONAL i DE MUSICOTHERAPIE i w PÉDAGOGIQUES 1982 I « : Le Comité de la Section Française a le plaisir de vous annoncer que la France a été choisie par l’UNESCO pour l'organisation d’un Séminaire International sur la Musicothéràpie à Paris. Le séminaire aura lieu au Foyer d’Accueil International de ■ M-î ■ j g i ri ■ ■ ■ iii a Btrcr; n Paris-La Défense, du 16 au 19 novembre 1982 inclus et aura pour 4HH2- thème :• V. ïf *-"■ i 14, rue de l'Echiquier, 75010 PARIS - (1) 770-14-46 « La musique au senrice des handicapés : U; ï L’éducation spécialisée » Le programme définitif vous sera adressé lors de votre inscription, mais d’ores et déjà, nous pouvons vous annoncer la participation de conférenciers étrangers (Allemagne, Argentine, ! ENSEIGNEMENT CLARINETTE Hongrie, Portugal, U.S.A.) au côté des conférenciers français. Il est également prévu des projections de films, démonstra­ — Y. DESPORTES : Initiation au — KLOSÉ : A la portée des jeunes ? mks . tions... langage musical . Vol. 3 : L’évolu­ clarinettistes, célèbre méthode mr/j La langue pariée est le Français. tion musicale. revue et corrigée par Guy DAN- Lieu : Foyer International d’ACcueil de Paris-La Défense. — N. PHILIBA : Solfèges dans le GAIN. Dans un cadre agréable, à la sortie de la station du Métro-RER mi 7 volumes. «Nanterre-Préfecture», c’est-à-dire à 6 minutes de l’Etoile et w style italien. des Champs-Elysées, à 9 minutes de l’Opéra et des grands ■■ m* Solfège chanté en 5 degrés. — J.-P. HOLSTEIN : 12 études sur magasins et à 12 minutes du Châtelet (Centre Pompidou et 1 des modes arabes. Forum des Halles). m — L. CROIX : Musiques vivantes. il V Cours déformation musicale clas­ — KRAKAMP : 20 études revues ; : -/ • par J. LANCELOT. , ?:/■ / . sés en: y. Volume 2. Vol. 1 : Réflexions sur la psycho­ Albert Ehrmann il i ■ pédagogie de l’éveil musical. TROMPETTE Vol. 2 : L’éveil *, livre du profes­ reçoit la Croix d’Honneur : M seur et chansonnier de l'élève. — P. TH1BAUD : ABC du jeune Vol. 3 : Initiation commandée sur trompettiste.. Le comité de la Confédération Internationale des exemples musicaux de 2 volumes parus. des Sociétés Musicales (CISM) a conféré à M. le n. compositeurs contemporains et — G. SENON : 130 études techni­ Président d’honneur Albert Ehrmann la croix ■ . du répertoire. d’honneur, ceci en reconnaissance de ses émi­ ques et mélodiques en 4 volumes. nents mérites pour la vie musicale internationale m conformément aux objectifs de la CISM. r 4 Degrés suivants en préparation TROMBONE M. le Président d’honneur Albert Ehrmann est Collection dirigée par M. Bleuse, la première personnalité qui a été décorée de ? M.
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