Hondo, L'homme Du Désert

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Hondo, L'homme Du Désert PARAMOUNT HOME ENTERTAINMENT FRANCE: FHCOM - Frédéric Henry Mobile : 06 20 83 23 73 [email protected] COMMÉMORATION DU CENTENAIRE DE JOHN WAYNE À CANNES : “HONDO, L’HOMME DU DÉSERT” EN 3D ET PLUS ENCORE Célébration des cent ans d’une icône du cinéma sur la Riviera française Le 26 mai 2007 est le jour du centième anniversaire de la naissance de John Wayne. Le sondage Harris 2007 sur les plus grandes stars du cinéma américain place la légende d’Hollywood en troisième place. Ce classement est exceptionnel si l’on considère que le dernier film de John Wayne est sorti en 1976 et que la vedette est décédée en 1979. Pour commémorer le centenaire du héros américain par excellence, le festival de Cannes diffusera cette année, cinquante ans après sa sortie, le seul film en 3D du “Duke”. Il s’agit d’un véritable événement puisque c’est en effet la première fois que le film “Hondo” sera diffusé en 3D en Europe. La société Batjac Productions de Gretchen Wayne (la belle-fille de John Wayne) est en train de procéder à la restauration numérique de plusieurs classiques dans lesquels John Wayne a joué et/ou a produit et que la société Paramount Home Entertainment International s’apprête à sortir en DVD sur le marché européen. Outre “Hondo”, les restaurations incluent l’ancêtre des films catastrophe, “Écrit dans le ciel”, l’émouvant “Aventure dans le Grand Nord”, ainsi que le célèbre western-comédie “Le Grand McLintock”. La première diffusion à Cannes du film “Hondo” en 3D n’est pas un hasard quand on connaît l’amour de longue date que porte la France aux films hollywoodiens. Elle nous rappelle aussi que ce sont d’anciens critiques devenus réalisateurs, tels que Jean- Luc Godard et François Truffaut, qui ont popularisé la notion de “film d’auteur” : l’idée que les films, tout comme les romans, avaient des auteurs. Et bien que souvent considéré uniquement comme star du cinéma, il n’est pas inutile de rappeler que John Wayne a été un pionner du cinéma indépendant, et qu’il a non seulement joué des rôles mais aussi réalisé et produit des films engagés, avec un véritable point de vue. En 1952, il a fondé la société Wayne-Fellows Productions pour faire des films en toute indépendance et récolter les fruits de son labeur. Après que Robert Fellows eut quitté la société, Wayne l’a renommée “Batjac Productions” en référence à la société commerciale fictive Batjack de son long-métrage à succès de 1948 qui se déroulait dans les mers du Sud, “Le Réveil de la sorcière rouge” (pour l’anecdote, la faute d’orthographe de la secrétaire de Wayne, qui avait écrit Batjac au lieu de Batjack, a perduré.) John Wayne, le héros américain populaire. Son nom est synonyme d’Amérique. Sa carrière a commencé à décoller pendant la Seconde Guerre mondiale. John Wayne possédait une personnalité à laquelle les gens pouvaient s’identifier. Il était authentique, pas de tromperie sur la marchandise. « La seule chose qu’il changeait entre le dîner familial et le grand écran, c’était sa garde-robe », disait Michael, le fils aîné de John Wayne. Wayne était originaire des champs de maïs de l’Iowa, dont il avait conservé les valeurs que seul le Midwest américain pouvait offrir, bien qu’il eût déménagé en Californie avec sa famille à l’âge de 2 ans. Il eut la vie dure, d’abord dans la communauté du désert de Palmdale, puis ensuite en banlieue, à Glendale. Le garçon timide que les pompiers de Glendale surnommaient Big Duke quand il passait devant leur caserne en allant à l’école ne se séparait jamais de son chien Little Duke, un terrier Airedale qui l’accompagnait dans tous ses déplacements. Il préférait “Duke” à son prénom, Marion Michael Morrison, et ses amis proches l’appelaient toujours par ce surnom, particulièrement bien choisi pour un garçon qui réussira à intégrer l’aristocratie hollywoodienne. John Wayne a commencé à travailler dans le cinéma en 1927 en tant que manœuvre et accessoiriste dans les studios de la Fox pendant ses vacances d’été, alors qu’il était étudiant à l’Université de Californie du Sud où il avait pu entrer grâce à une bourse accordée pour ses performances en football américain. C’est à cette époque qu’il est devenu ami avec John Ford, un jeune réalisateur qui se faisait un nom en tournant des westerns, des comédies et des drames muets. Ford a été le premier à faire jouer Wayne dans de petits rôles et à le recommander au réalisateur Raoul Walsh pour le rôle principal de “La Piste des géants” (1930), un western tourné en 70 mm. Bien que ce film sorti au début de la Grande Dépression n’ait remporté aucun succès au box- office, il démontrait tout le potentiel de Wayne à l’écran. Ce fut Walsh qui rebaptisa le jeune Marion Morrison du nom de John Wayne. Dix ans plus tard, après une décennie de films de série B et d’apparitions dans des feuilletons, Wayne atteint enfin le statut de star quand Ford le recrute en 1939 pour jouer Ringo Kid dans “La Chevauchée fantastique”, un classique du western. De tous les grands du cinéma qui ont un jour crevé le grand écran, rares sont ceux qui brillent encore au firmament hollywoodien. Seule une poignée d’entre eux sont restés dans les mémoires et leurs noms résonnent encore dans le cœur des publics d’aujourd’hui, John Wayne en fait partie. Peu d’acteurs peuvent entrer dans ses bottes, ou dans son Stetson. Peu à peu, John Wayne est donc devenu une véritable icône de l’art du 20e siècle, le cinéma. Bien qu’il ait joué des rôles d’une grande diversité dans plus de 172 films au cours d’une carrière qui aura duré six décennies, le Duke a avant tout consolidé sa robuste image cinématographique grâce aux westerns et aux fictions militaires, avec des rôles de cow-boy américain et de soldat sans peur et sans reproche. Du haut de son mètre quatre-vingt quinze, avec sa démarche caractéristique, ses répliques laconiques, sa forte personnalité et sa carrure d’athlète, Wayne s’est imposé à l’écran comme un homme d’action qui pouvait s’occuper de lui-même et des autres. Portant un Stetson et des jambières de cuir, un casque de soldat et un bourgeron, une casquette d’officier et un uniforme blanc de la Navy ou un béret vert et une tenue de camouflage, Wayne patrouillait les frontières, éliminant les bandidos et les Indiens tout en conquérant le Far West, ou combattant les Nazis, les forces impériales japonaises ou la guérilla vietnamienne. Immédiatement après la fin de la guerre, les films américains débarquaient dans les cinémas européens. Dans la plupart des pays occupés par l’Axe, les films hollywoodiens avaient été interdits et nombre de ceux tournés entre 1939 et 1946 avaient John Wayne pour vedette. Durant l’après-guerre, l’identité de leader du “Duke” et l’image qu’il entretenait à l’écran se sont donc consolidées auprès du public européen. Sergio Leone, un jeune réalisateur italien qui avait grandi sous Mussolini et inaugurerait plus tard un nouveau genre de films de cow-boys avec les westerns spaghetti des années 60, avouera avoir été largement influencé par le travail de Wayne. Durant une vingtaine d’années, John Wayne a tenu des rôles et réalisé des films mémorables, comme en 1948 avec son rôle de capitaine Kirby dans “Le Massacre de Fort Apache” de John Ford et celui de Tom Dunson dans le film de Howard Hawk, “La Rivière rouge”. Pendant cette période fructueuse, Wayne est apparu dans d’autres films de Ford, jouant le capitaine Nathan Cutting Brittles dans “La Charge héroïque” (1949), Sean Thornton dans “L’Homme tranquille” (1952), Ethan Edwards dans “La Prisonnière du désert” (1956) et ainsi de suite. Ce parcours remarquable a été couronné grâce à l’Oscar reçu par le Duke pour son rôle de Rooster Cogburn dans “100 dollars pour un shérif” (1969). Tout long de sa carrière, l’homme, l’image cinématographique et la personnalité publique se sont mêlés dans la conscience mondiale pour former l’icône du héros des films d’action américain. “Hondo” représente la symétrie parfaite entre l’acteur et son rôle de héros idéal, sans doute parce qu’il est sorti à une époque où, ayant acquis son statut de superstar, Wayne pouvait se permettre de jouer sur son influence au box-office et de prendre le contrôle de ses créations. “Hondo” En 1953, le comédien John Wayne commençait à bénéficier du statut de superstar lorsqu’il prit un risque majeur pour son avenir en fondant sa propre société de production. Le Duke adopta également la nouvelle innovation technologique du cinéma, la “3D”, avec son nouveau western “Hondo”, premier et unique film de Wayne utilisant le procédé du cinéma tridimensionnel. Dans sa nouvelle “The Gift of Cochise”, le célèbre romancier Louis L’Amour décrivait Hondo Lane comme « un homme grand, aux larges épaules et au visage émacié d’un cavalier du désert. Il n’y avait aucune douceur en lui. Sa dureté était enracinée et profonde. Il était sans cruauté mais rapide, ferme et dangereux. S’il existait quelque puits de bonté en lui, il était enfoui et profond ». Le personnage principal de l’histoire est un éclaireur à cheval métis américain dont le seul compagnon est un chien au mauvais caractère. Ils font la rencontre d’une femme solitaire et de son jeune fils, vivant dans une propriété frontalière au milieu des Apaches en conflit.
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