Le Genre Humain
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Les Films 13 présentent Le Genre Humain UNE TRILOGIE DE CLAUDE LELOUCH [ première partie ] • Les parisiens • à Ticky «Pas d’intrigue, pas d’autre nœud qu’un fil, ce fil qui CE DOSSIER DE PRESSE EST DISPONIBLE s’atténue quelquefois au point de devenir invisible SUR LE SITE OFFICIEL DE LA TRILOGIE www.legenrehumain.com mais qui ne casse jamais, ce fil mystérieux du grand DANS LA RUBRIQUE ESPACE PRESSE labyrinthe humain. Car je considère le genre humain comme un grand individu collectif». Pour accéder à l’espace presse, il vous suffit de rentrer les infos ci-dessous : Login : presse Mot de passe : ag Vous pouvez y trouver les éléments suivants téléchargeables : Victor HUGO - Une sélection de photos du film libres de droit - Photos de travail «La Légende des siècles» - Portraits d’acteurs - L’affiche du film - La filmographie de Claude Lelouch - Celles des principaux acteurs Sur le site, vous pouvez : - Visionner les films-annonces (formats : windows media player, real player) - Écouter quelques notes de la musique originale Vous pourrez aussi avoir accès à de nombreuses autres informations sur les films de Claude Lelouch en liaison avec le site officiel des Films 13 : www.lesfilms13.com Distribution mondiale presse & communication Les Films 26 Arlette Gordon Jean-Paul de Vidas Assistée de Valérie Taborin Tél. : 01 56 80 26 26 Tél. : 01 44 13 11 13 e-mail : [email protected] [email protected] distribution france Les Films 13 Barbara Schweyer Tél. : 01 44 13 11 13 / 01 44 13 11 40 Fax : 01 44 13 11 47 [email protected] [email protected] Durée : 1h59 SORTIE LE 15 SEPTEMBRE • page 2 • Note d’intention - LE GENRE HUMAIN • page 07 Synopsis - LES PARISIENS • page 09 Liste artistique • page 11 Une question à Claude Lelouch • page 13 Deux questions à quelques Parisiens • page 15 Tourner sans pellicule • page 39 La musique • page 42 Liste technique • page 46 CD audio • page 51 • page 4 • • page 5 • • Le Genre Humain • Une histoire sans fin Voici une modeste note d'intention en forme de confession pour un projet immodeste. J'aime à rappeler cette évidence : "La vie est le plus grand artiste de l'univers". Aucun autre n'a eu autant d'imagination, autant de talent dans l'élaboration des lumières et des décors, autant de génie dans les inventions, autant d'inspiration dans le miracle des caractères. La vie a toujours été et demeure ma référence absolue. Je n'en suis que l'observateur, le serviteur fasciné. C'est ce qui me rend sans doute un peu plus curieux que la moyenne des ours. Enfant, je trouvais que les personnages que je voyais au cinéma étaient plus attachants que ceux de la réalité : plus courageux, moins lâches, plus fiables ; des gens de la rue mais réussis. En devenant metteur en scène, je n'ai pas eu d'autre ambition que de faire en sorte que mon cinéma ressemble à la vie... J'ai toujours avec moi un carnet sur lequel je note au vol tous les petits cadeaux que la vie veut bien me faire : les histoires qui m'amusent ou m'émeuvent, et, d'une manière générale, tout ce que je recueille en observant les hommes et les femmes à travers mon petit microscope personnel. Depuis quarante ans les carnets s’accumulent. Depuis longtemps je rêve d’en faire un film-somme… C’est pour cela que j’ai choisi le principe de la trilogie, comme une valse à trois temps sur ce que je connais le mieux : LA SOCIÉTÉ DU SPECTACLE ET LE SPECTACLE DE LA SOCIÉTÉ. Il va de soi que je parlerai encore et toujours de l’amour, de son usure, de son éternel et merveilleux recommencement, de nos rêves, de nos angoisses, de Dieu et de ses absences, bref L’HISTOIRE DE GENS ORDINAIRES À QUI IL ARRIVE DES CHOSES EXTRAORDINAIRES. • page 6 • • page 7 • [ première partie ] • Les parisiens • synopsis Imaginons un satellite-espion survolant notre globe, flashant sur un échantillon d’individus (et comme une goutte d’eau peut résumer un océan, Paris pourrait symboliser ce monde) des individus aussi humains qu’inhumains : un banquier ruiné, un SDF pour qui la fin est préférable à la faim, le patron d’une brasserie Gare du Nord en quête d’aventure, un commissaire de police fou amoureux de la femme de son collègue, un réalisateur à la recherche d’un sujet, une vendeuse de bijoux… qui n’est en réalité qu’une croqueuse de diamants, un faux chauffeur de taxi mais véritable escroc, un - les parisiens - impresario aussi séduisant que machiavélique, un agent immobilier véreux, une vache folle égarée sur la voie d’un TGV, une prostituée aussi honteuse que maternelle, un restaurant clandestin qu’on ne trouve dans aucun guide, un Christ crucifié devant le Sacré-Cœur, des politiciens mélomanes et échangistes, bref tout un inventaire à la Prévert, tout un échantillon d’hommes et de femmes qui rêvent tous d’être sur le même échelon de ce que nous pourrions appeler l’échelle amoureuse de Richter. Evidence : on est rarement sur le même échelon que l’autre… ET ON EST FIDÈLE TANT QUE L’ON N’A PAS TROUVÉ MIEUX… On est même tous, par rapport à l’autre, en permanent décalage horaire. C’est bien connu A aime toujours B qui aime C qui lui préfère D… Racine en faisait des tragédies, nous vous proposons, quant à nous, de décliner cette quête d’amour en pure comédie ; on pourrait même dire presque en comédie musicale puisque le fil rouge des PARISIENS est tissé par un couple de chanteurs (Shaa et Massimo) qui commentent en chansons ce microcosme humain. Ces deux chanteurs vont même devenir peu à peu les personnages principaux de cette aventure, et à eux seuls symboliser quelques unes des joies et des difficultés à vivre dans la ville lumière… • page 8 • • page 9 • • Liste artistique • LES PARISIENNES Mathilde Seigner Maïwenn Arielle Dombasle Agnès Soral Alessandra Martines LES PARISIENS Massimo Ranieri Michel Leeb Ticky Holgado Francis Perrin Pierre Santini GrÉgori Derangère Constantin Alexandrov Et par ordre alphabétique : Michèle Bernier Thierry Antoine Laurine Bressler Sébastien Bihi Evelyne Buyle Régis Bouquet Cyrielle Clair Frédéric Bouraly Géraldine Danon Axel Brucker Christelle Dominguez Denis Brandon Alexandra Kazan Guillaume Cramoisan Lise Lametrie Xavier Deluc Sachka Lelouch Angelo di Domenico Salomé Lelouch Julien Drach Sarah Lelouch Antoine Duléry Shaya Lelouch André Falcon Sylvie Loeillet Patrick Fierry Sophie Mayer Charles Gérard Nathalie Marshak Richard Gotainer Julie Messean Stéphane Hossein Mélanie Page Patrice Kerbrat Mireille Perrier Didier Lockwood Karine Pinoteau Roland Marchisio Cristiana Réali Jean-Michel Martial Nadia Samir Lionel Ménard Saskia Jean Michel Meunier Catherine Tavernier Olivier Mine Thiam Robert Namias Annabella Vilaseca Fabrice Roux Mathilde Vitry Yannick Soulier Jean-Marie Retby Roger Van Hool Eric Viellard • page 10 • • page 11 • • Une question à Claude Lelouch • «Les Parisiens» n’est que le premier volet d’une trilogie dont «Le Genre Humain» constitue le titre générique. Faut-il s’attendre à une sorte de concentré de vos quarante films précédents ? Il est évident que chaque film invente celui d’après et crée un nouveau désir. Cela dit, le cerveau d’un réalisateur qui raconte ses propres histoires est un lieu très tortueux. Il m’arrive parfois de découvrir mes films quand ils sont terminés. Ce n’est qu’à ce moment-là que je peux dire ce que je voulais vraiment faire. Je suis comme un type qui rêve de voyage en regardant une carte. Ce n’est qu’au retour qu’il pourra dire si le voyage lui a plu. Au cinéma, le scénario c’est ma carte, c’est ce qui permet d’alimenter mon désir. Pour cette trilogie, tout a commencé au début des années 80 quand je suis tombé par hasard sur la phrase de Victor Hugo que j’ai mise au début du film et de cette brochure. Filmer l’invisible, ce fil mystérieux qui nous rattache les uns aux autres et qui ne casse jamais. Des hommes et des femmes lancés dans une folle course de relais pour essayer de côtoyer, de temps en temps, ces fameux parfums de vérité et d’espoir dont nous raffolons. Après quarante films et près de cinquante ans de cinéma, je dois l’avouer, j’ai vu plus de belles choses que de vilaines. Je serais bien ingrat de ne pas en faire un film. C’est l’un des thèmes principaux de ce premier épisode : l’histoire d’un film et de ceux qui iront le voir à travers l’étonnante compétition que se livrent les bons et les mauvais moments de la vie pour nous séduire. Bref, un “genre humain” que j’ai longtemps hésité à appeler le “genre féminin”. • page 12 • • page 13 • • Ticky Holgado • … 2 questions à quelques parisiens… • page 14 • • page 15 • • Mathilde Seigner • • Maïwenn • Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Mathilde seigner : Deux Parisiennes jumelles qui rêvent d’ailleurs. Maïwenn : J’interprète une Parisienne qui galère, qui a des rêves L’une des deux m’échappe complètement et je ne sais pas pourquoi superficiels et éphémères. J’ai l’impression que c’est une partie de et comment je ressemble à l’autre. moi que je n’exploite pas toujours dans la vie. Je pense que chacun de nous possède un côté pervers, fou, déraisonnable… Êtes-vous une parisienne ? Mathilde seigner : Non, je n’aime plus Paris. Êtes-vous une parisienne ? Maïwenn : Moi, une Parisienne ? Je ne peux pas vivre sans Paris. Les vacances m’ennuient la plupart du temps. • page 16 • • page 17 • • Arielle Dombasle • • Agnès Soral • Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Quel genre de parisienne interprétez-vous ? Arielle Dombasle : Une Parisienne isolée dans son château à la AGNès soral : Une Parisienne qui se hâte vers ce qu’elle veut de la campagne.