REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE وزارة المـوارد المـائـيـــة MINISTERE DES RESSOURCES EN EAU الوكالـة الوطنيـة للتسييـر المدمـج للمـوارد المائيـة AGENCE NATIONALE DE GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU وكالة الحوض الهيدروغرافي الوهراني الشط الشرقي AGENCE DE BASSIN HYDROGRAPHIQUE ORANIE CHOTT CHERGUI

Information et Sensibilisation

Mois mars 2020 N° : 76/ Mars info Com 2020 2 Revue de presse

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Tlemcen: Eau potable et Jeunesse et Sports au menu de l'APW

Le directeur de la Jeunesse et des Sports (DJS) de la wilaya de Tlemcen, Abdelouahid El Ayachi a relevé, dimanche dernier, les retards enregistrés dans les travaux de construction de la majorité des infrastructures sportives, concernant son secteur et le manque d'encadrement de certaines maisons de jeunes. Intervenant lors de la quatrième session ordinaire de l'Assemblée populaire de la wilaya (APW) de Tlemcen de 2019, qui s'est tenue en présence du nouveau wali, Amoumène Mermouri, du secrétaire général de la wilaya, Djamel Menia, des directeurs de l'Exécutif de la wilaya, des chefs de daïra, des présidents d'APC ainsi que des représentants du mouvement associatif et la société civile, le DJS de Tlemcen s'est engagé à relancer tous les travaux des projets à l'arrêt et à réceptionner, au plus tard le 1er novembre prochain, les trois piscines semi-olympiques de Nedroma, Sidi Djillali et Ouled Mimoun, la piscine de proximité de Sabra et le stade de football de Bouhanak (Mansourah) qui abritera, dès sa réception une Académie des sports. Le directeur a indiqué que « le secteur de la Jeunesse et des Sports de la wilaya a connu un saut qualitatif grâce aux moyens mis en œuvre par l'Etat qui vont concourir à la promotion des activités physiques et sportives, le sport communal ainsi que les handisports et le sport féminin, dans la wilaya.

Ces actions, fortement soutenues par les pouvoirs publics, vont renforcer le parc infrastructurel, mobiliser plus de jeunes autour des activités sportives et de jeunesse, toucher les localités déshéritées, et promouvoir l'activité sportive en ancrant une animation permanente, dans toutes les communes de la wilaya avec l'implication effective des Associations de quartiers ». La wilaya de Tlemcen qui dispose, selon le DJS, de 75 établissements de jeunes, occupe la 4ème position sur le plan national. La wilaya qui compte également près 26 centres sportifs de proximité (CSP) occupe le 1er rang. En 2018, près de 74 stades communaux et de proximité, financés sur le budget de la wilaya, ont été recouverts en tartan artificiel (cette opération a été poursuivie en 2019). Il a été aussi procédé à l'acquisition de près de 34 piscines mobiles (hors sol) à l'occasion de la saison estivale 2019.

Par ailleurs, le secteur des ressources en eau a été largement développé lors de cette session de l'APW. L'accroissement de la population, la diminution non négligeable de la pluviométrie03 mars ainsi 2020 que le développement socio-économique de la région a poussé les autorités locales à chercher à mobiliser, encore plus, de ressources en eau avec la mise en service de 2 nouvelles stations de dessalement d'eau de mer, à Honaine et Souk Tleta (actuellement à l'arrêt pour des travaux de maintenance). Selon le directeur des Ressources en eau, Abdelkader Meksi, l'approvisionnementPage - 0 en6 - eau potable des populations de la wilaya est, aujourd'hui, assuré convenablement et rationnellement par la station de dessalement de Honaine (193.000 m³/jour), le barrage de Béni-Bahdel (70.000 m³/jour), le barrage de Hammam Boughrara (38.000 m³/jour), le barrage d'El Mefrouch (10.000 m³/jour), le barrage de Sekkak (prêt pour la distribution), les eaux de Chott el Gharb (8.000 m³/jour) ainsi que les eaux souterraines (55.000 m³/jour). Parmi quelque 293.690 habitants, plus de 150.000 habitants de Maghnia, Hammam Boughrara et Ain Fettah reçoivent de l'eau du robinet H/24 (37.000 m³/jour). Les autres communes de la bande frontalière (145.690 habitants) sont desservies par environ 52.000 m³/jour. Pour pallier à l'arrêt de la station de dessalement de Souk Tleta et répondre rapidement aux besoins de la population du couloir-ouest, des crédits d'un montant total de 8,4 milliards de DA ont été dégagés par le ministère de tutelle pour régler le problème d'adduction d'eau potable que connaissent, aujourd'hui, les communes de Nedroma, Souahlia, Tient, Djebala et un peu moins la commune de Dar Yaghmorassen.

Ce programme d'urgence d'alimentation en eau potable, à partir de la station de dessalement de Honaine, a été mis en œuvre par la wilaya de Tlemcen, afin de pallier les perturbations de l'alimentation des populations de ces communes. Outre les crédits de ce programme d'urgence, une enveloppe de 960 millions de DA a été débloquée pour compenser le manque d'eau, dans les 14 communes du couloir ouest qui connaissent des perturbations dans l'alimentation en eau potable. par Khaled Boumediene

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05 mars 2020

Chlef: Des «anomalies» dans les chantiers de l'eau

Lors de la session ordinaire d'automne, tenue le 1er octobre 2019 des élus ont demandé la constitution d'une commission d'enquête de l'APW pour faire la lumière sur la gestion de l'eau, notamment l'affaire des 19 opérations pour un montant de 100 milliards de centimes accordé à la direction des Ressources en eau (DRE) en 2016 elle avait entamé ses travaux le 3 octobre 2019 et a présenté un rapport détaillé lors de la 3ème journée de la session ordinaire hivernale lu par le rapporteur de la commission compétente. Ces 19 opérations concernent l'alimentation en eau potable au niveau de plusieurs communes, à l'image de Sendjas, Ouled Farès, Sidi Akkacha, Benaïria, Oued Fodda, Chlef, Harchoune, etc. Plusieurs anomalies ont été constatées parmi lesquelles : mauvaise qualité des travaux, travaux non achevés jusqu'au château, travaux partiels privant d'eau un hameau (commune de Oued Sly), travaux réalisés sans études, réalisation de travaux sans respect des études. La commission a constaté des piquages illicites sur les conduites principales et l'opposition des propriétaires terriens pour la réalisation des conduites. La commission précise qu'une ou plusieurs anomalies sont présentes au niveau de l'ensemble des projets.

Dans la conclusion, la commission demande au wali une enquête financière et administrative pour ce dossier. Lors des débats, cinq élus sont intervenus. Un élu dira : «le volet financier a été omis. Les pompes acquises sont de mauvaise qualité et cédées à des prix exorbitants» et ajoutera : «des projets de 500 m3 voire 1.000 m3 n'ont pas été raccordés. Où va l'eau ? Peut-être pour l'irrigation des vergers d'oliviers ? Pourquoi a-t-on abouti à cette situation en l'espace de 2 ou 3 années ? La ressource humaine qualifiée existe au niveau de la direction des Ressources en eau. Je demande de situer les responsables. Qui est responsable de cette situation ?» Un autre élu demande que «ces pratiques cessent» et que «les montants alloués pour les travaux d'assainissement sont encore plus importants. La situation est-elle identique que les 19 opérations ? Le wali dans son intervention déclare : «l'Etat a donné tous les moyens pour l'amélioration des conditions de vie des citoyens. Au niveau local, l'absence de coordination, entre autres, a conduit à cette situation. Il y a eu accumulation de problèmes. Il n'y a que le travail quotidien et permanent qui permet la solution des problèmes d'une manière régulière, au moment opportun. La DRE a certes une grande part de responsabilité dans ce dossier qui n'honore pas les élus. Tout le monde était au courant. Le dossier nécessite une expertise approfondie et précise pour laquelle je ne dispose pas de moyens mais je le transmettrai au ministère. Il suit son cours même s'il faut que la justice soit saisie. Il n'y a aucun problème mais seulement après l'expertise». par Abbad Miloud

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16 mars 2020

Mascara: L'alimentation en eau renforcée

Chose promise, chose due. Les directives du ministère des Ressources en eau viennent de se concrétiser par un apport en eau potable qui passe à un volume de 122.000 m³/jour, ce qui est conséquent pour une wilaya qui souffrait dans un passé récent d'un important déficit. Cette décision a été prise devant les autorités locales et en présence des gestionnaires de l'Algérienne des Eaux qui se sont engagés, à court terme, à améliorer la situation au niveau de 31 communes qui ont commencé à être alimentées quotidiennement. Parmi celles-ci, Bou-Hanifia, Bouhenni, Sidi Abdelmoumen, Mohammadia, Ras El Ain Amirouche, et sont approvisionnées H24.

Actuellement, les eaux du transfert MAO (Mostaganem-Arzew-Oran) desservent 21 communes au

quotidien. Le nombre d'agglomérations alimentées journellement est passé de 25 à 31. Dix autres localités sont alimentées à partir des eaux souterraines et forages. Quant aux localités de , El Gaâda, , Ain Farès, Sidi Abdeldjebbar et , elles seront desservies tous les jours lors de la mise en service du barrage de Oued Taht prévue fin juin 2020 et du couloir de Oued Tlélat (wilaya d'Oran). Les 10 autres communes restantes, Sidi-Kadda, , , , , , M'Naouer, , Makda et Zelamta sont toutes concernées par des réalisations de forages qui sont déjà inscrites.

Belkecir Mohamed

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31 mars 2020

Es -Senia: Lancement des travaux contre la remontée des eaux souterraines

Dans le cadre des dispositions prises par la wilaya d'Oran pour mettre un terme à la remontée des eaux souterraines, d'importants travaux ont été lancés dans la commune d'Es Senia, a-t-on appris, hier, auprès des services de la wilaya. Le mois dernier, les services de la wilaya d'Oran avaient pris, des mesures pour mettre fin à la montée des eaux, dans cette région, à l'effet de réduire la pression exercée sur les canalisations du réseau d'assainissement, à partir de la station de refoulement jusqu'à la station de traitement et d'épuration (STEP) d'El Kerma. Parmi ces décisions, la réalisation d'une opération de réorientation du réceptacle de la station de refoulement situé sur l'axe routier de la Dhaya, et partant l'allègement de la pression sur la station de refoulement située sur la route de Misserghine, a-t-on indiqué. Selon le même communiqué, un projet est prévu pour l'aménagement du réseau d'assainissement à Haï Mohamed Boudiaf qui connaît le phénomène de montée d'eaux de manière récurrente, a-t-on fait savoir. Une enveloppe de 240 millions de DA est consacrée à cette opération, financée sur budget de wilaya et qui figure parmi les priorités définies pour en découdre avec cette problématique dans la région sus-indiquée et par conséquent alléger, grâce à ces deux opérations, la pression sur les réseaux d'assainissement à hauteur de 60%.

La direction de l'Urbanisme, de l'Architecture et de la Construction envisage, également, dans le cadre de ces mesures ayant un «caractère d'urgence», de réaliser une station de refoulement au nouveau pôle urbain ‘Ahmed Zabana' à Misserghine pour la relier à la STEP d'El Kerma, qui permettra, une fois réceptionnée, d'alléger la pression dans région d'Es-Sénia. Ces mesures interviennent en application des instructions données par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors de la rencontre Gouvernement-walis, relatives à l'éradication des points noirs et zones d'ombre, a-t-on souligné. Une première réunion avait été organisée par le wali d'Oran, le mois de février, pour mettre un terme à ce phénomène.

En Effet, face aux inquiétudes exprimées par les habitants et les agriculteurs d'Es-Senia, sur la remontée des eaux souterraines, le wali d'Oran, M. Djellaoui Abdelkader, avait présidé, une réunion technique consacrée essentiellement aux dispositions à prendre pour parer à ce phénomène. Selon un communiqué de la cellule de communication de la wilaya, cette réunion a rassemblé les représentants des services techniques concernés, ainsi que les directeurs, des Ressources eu eau, de la Société de l'Eau et de l'Assainissement d'Oran SEOR, du bureau d'études chargé d'élaborer une étude sur la remontée des eaux souterraines, dans la zone d'Es-Senia. Lors de cette réunion, un expert a donné d'amples détails sur cette étude qui s'est étalée sur deux années et qui a révélé les causes principales de ce phénomène. Entre autres causes, l'expert a mis en exergue «l'emplacement géologique de la zone d'Es-Senia appartenant au bassin de la Sebkha, avec une nature géologique peu perméable; l'expansion urbaine et la réalisation de barrières souterraines dans les bâtiments (murs en béton et caves), qui entravent le cours normal des eaux souterraines vers la grande Sebkha, les aménagements opérés sur des routes et le bitumage etc.» Selon le communiqué de la wilaya, lors de la même réunion, des solutions ont été présentées pour éviter la remontée des eaux souterraines et protéger les agglomérations urbaines de la commune d'Es-Senia, tout en protégeant les grandes infrastructures situées dans cette zone, telle que l'Aéroport, l'Université…

En tant que solution urgente, la SEOR s'est engagée à réduire la pression sur la zone, en effectuant des transferts partiels vers d'autres stations. Dans le moyen terme, la solution consiste à réaliser des canaux de drainage de cette eau vers l'estuaire naturel de la Sebkha, sur une longueur de plus de 15 km, avec une couverture financière d'environ 1,5 milliard de DA. par D.B.

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