Lundi 14 Septembre 2015 P r ov i n c e s 1 9 Ngounié/Département de la Louetsi-Bibaka/Malinga/Infrastructures routières La localité coupée du reste du A G n N o A i I n N A U ' A H L T

M E s

P e h v A p i L e h

s c c i r o r A J E

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o o o t t t o o o h h h L'état de la voie à l'entrée de Malinga, en prove- P P P Malinga se trouve enclavée avec l'effondrement de nance de Mbigou, à la montée de Biranga : sans Cette voie à Malinga est plutôt une piste. ce pont sur l'axe menant à Mbigou. commentaire.

AIM Malinga-Gabon routier Malinga‐Mbigou. blics basée à Mbigou s’est gou, pour des raisons in‐ més au départ de Mourem‐ vais état des routes, la cou‐ Ce pont présentait, en effet, toujours retranchée dans connues. Pour l’heure, la bou, ne sont pas arrivés à pure depuis bientôt six depuis quelques mois, un un mutisme incompréhen‐ seule possibilité de relier le leur terme. Et dire que des mois du réseau de télépho‐ risque à la circulation du sible. département de la Louetsi‐ efforts avaient été faits par nie mobile Airtel Gabon, fait de son mauvais état. En Les engins qui étaient déjà Bibaka reste le passage par les cadres de la région qui l’arrêt des travaux du mini‐ LE chef‐lieu du départe‐ ont fourni des lubri"iants ment de la Louetsi‐Bibaka, dépit des cris de détresse en mouvement sur le ter‐ l’axe routier Mébé‐Ma‐ barrage hydroélectrique et des populations appuyés rain pour un début des tra‐ linga. Seulement, les 45 km aux TP, mais c’était peine de la perception. Avec l'ef‐ dans la province de la perdue. par les interpellations des vaux au départ de Mbigou de ce tronçon sont imprati‐ fondrement de ce pont, Ngounié, au sud du Gabon, L’effondrement du pont ne est coupé, depuis samedi, élus de cette localités, en pour Malinga ont, curieu‐ cables, du fait de l’abandon fait qu’empirer le désencla‐ c'est le département de la du reste du pays, suite à l’occurrence le sénateur sement, été retirés il y a un de son entretien par les vement du département Louetsi‐Bibaka qui est to‐ l’effondrement du pont sur Élie Ngoungourou, la sub‐ mois par le responsable de Travaux publics. Tout avec, entre autres, le mau‐ talement enclavé. Il y a la rivière Bibaka, sur lW’axeoledivuisi-oNn tdees mtrav/aDux épup‐ alar tsuebdmiviseion TtP ddeu M bNi‐ tecommm/e Blesi ttaravmaux/ eEntxa‐ploitation agricodloenc urgence. Les coopératives locales s'approprient “la Graine” B B B S S S S S S

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o o o t t t o o o h Vue d'une bananeraie d'une des coopératives re- h h P P P groupées au sein de la confédération mise sur pied Un véhicule chargé de produits agricoles avant la li- Le temps de la récolte des tubercules de manioc. par Denise Okomo. vraison.

SSB Bitam/Gabon pagnes. Mais bien avant, Denise Okomo, par ailleurs mem‐ bre du bureau politique du Parti démocratique gabo‐ LE projet Gabonaise des nais (PDG), du 3e siège de réalisations agricoles et des département du , s'y initiatives des nationaux était déjà engagée, dès engagés (Graine), une ini‐ 2007, avec la mise sur pied, tiative du chef de l'Etat, Ali avec le «c oAnwcoouurlsa dAef fosceks Bongo Ondimba, poursuit cBoidnzgié, Vnoèriee sd,u d S'uunde » confédé‐ son ancrage local dans les ration différentes localités du , avec 23 pays. Des groupes de coo‐ coopératives dans les can‐ pératives se constituent. Le ton Koum, Kess et Mboa et programme, qui se veut un une bonne trentaine en programme d’accompagne‐ cours de création. Leurs ment dans les démarches composantes considèrent de création et de dévelop‐ l'avènement de Graine pement de coopératives qu'elles se sont appropriées agricoles sur le territoire comme un soutien indénia‐ national pour l'émergence ble aux populations rurales de nouveaux exploitants, (les femmes en majorité). est venu booster l'élan de Et bien plus, un stimulus pour l'autonomisation "i‐

plusieurs compatriotes B S

nancière de l'ensemble des S

dans ce domaine en met‐ :

exploitants de la terre. A o t

tant en avant la nécessité de o

mettre à leur actif, 7 planta‐ h cultiver un peu plus la terre, P tions sur une surface de 8 la richesse naturelle de Les membres de la coopérative Voie du Sud se sont appropriés le projet Graine. l'homme devant, à terme, ha. Cette année, indique De‐ favoriser le développement nise Okomo, la production économique en milieu évaluée à 2 tonnes de diffé‐ rural. La démarche consiste rents produits vivriers (tu‐ bercules de manioc, la sont attendues pour cer‐ bien localement qu'à ment à la réduction du vo‐ c'est le combat des plus également à prévenir et à tains producteurs ce mois et bien au‐delà, à . lume des importations des hautes autorités du pays en‐ réduire l'exode rural, une bananeraie, maïs) a débuté en juin 2015. Les récoltes en cours. Cette production L'objectif pour elle et les au‐ denrées alimentaires de gagées dans l'amélioration vraie gangrène de nos cam‐ devra être écoulée aussi tres est de participer active‐ première nécessité dont de la sécurité alimentaire.