« La Fille Du Tambour Major »
Total Page:16
File Type:pdf, Size:1020Kb
Le Théâtre Municipal de l'Odéon présente la pièce : « La Fille du Tambour Major » Samedi 31 mai 2014 et Dimanche 1er juin 2014 à 14h30 Au Théâtre de l'Odéon 162 La Canebière -13001 Marseille Sommaire Présentation de la Pièce « La Fille du Tambour Major » Informations Pratiques Présentation de la pièce « Dernier Coup de Ciseaux » Distribution La Fille du Tambour Major Opérette en trois actes Livret de DURU et CHIVOT Musique de Jacques OFFENBACH Mise en scène Jack GERVAIS Assistant mise en scène Sébastien OLIVEROS Décors Laurent MARTINEL Costumes Maison GROUT Direction musicale Bruno CONTI Orchestre du Théâtre de l'Odéon Choeur Phocéen (chef de choeurs Rémy LITTOLFF) Caroline GÉA..........................................................................................Stella Emmanuelle ZOLDAN..............................................La duchesse Della Volta Kathia BLAS.........................................................................Claudine Simone BURLES.....................................................................................La supérieure Lionel DELBRUYÈRE.............................................................Robert Philippe FARGUES..............................................................................Monthabor Frédéric MAZZOTTA.....................................................................Griolet Claude DESCHAMPS.................................................................Bambini Jacques LEMAIRE.................................................................Della Volta Mikhael PICCONE............................................................................Clampas Antoine BONELLI......................................................................Zerbinelli «La Fille du tambour major» est sans doute la plus cocardière de nos opérettes. Elle méritait bien de retrouver les feux de la rampe à la veille des célébrations du centenaire de la guerre de 14, non parce qu'elle évoque cette période tragique de notre histoire mais parce qu'elle représente le sursaut patriotique par excellence. Offenbach, après la guerre de 70, en pleine période «revancharde» n'hésitait pas à introduire le célèbre «Chant du départ» dans l'épisode de l'entrée des français à Milan. Cette oeuvre est en quelque sorte le chant du cygne du grand Offenbach qui arrive au soir de son existence après tant de chefs d'oeuvre et qui retrouvera son inspiration de jadis pour composer ses ultimes réussites que sont «Madame Favart» et «La Fille du tambour major». Cette dernière nous propose une partition étincelante de verve, de jeunesse et de fraîcheur, pleine de drôlerie et de situations cocasses. Offenbach se souvient de ses premiers succés, de ceux qui lui valurent le surnom de «petit Mozart des Champs Elysées». SYNOPSIS Une compagnie de soldats, à la tête de laquelle se trouve le lieutenant Robert, franchit les Alpes et va rejoindre l'armée lancée en Italie par le premier Consul pour harceler les troupes italiennes commandées par le général Mélas. La compagnie du lieutenant Robert, avec le tambour-major Monthabor et le petit tambour Griolet, envahit un couvent de femmes qui ont fui, apeurées. Seule, l'une d'elles plus audacieuse, Stella, fille du duc et de la duchesse della Volta, est restée. Le lieutenant Robert se met à aimer cette vaillante petite personne qui suivra dorénavant le régiment. Or, voici que Robert reçoit un billet de logement dans le palais du duc de Novare; et - le hasard des opérettes le voulant ainsi – le tambour-major Monthabor et la duchesse della Volta, sa femme divorcée, se retrouvent: Stella est leur fille! Stella n'écoutant que son cœur, s'engage comme vivandière dans la compagnie de son père. On se met à la poursuite de Monthabor, de Robert et de Stella: celle-ci prise par la police autrichienne, va être forcée d'épouser un marquis Bambini, choisi par ses parents, lorsque la victoire de Bonaparte vient tout changer in extremis. Les Francais entrent, acclamés, dans la ville de Milan qui salue ses libérateurs, et Stella se mariera avec Robert ! Mise en scène Jack GERVAIS Originaire du Gard, il fait ses classes à l’Opéra de Paris où il côtoie les plus grands metteurs en scène internationaux. Il signe en 1990 sa première mise en scène d’opérette au Théâtre de Rennes avec «Le Pays du Sourire». En 2002, il est invité au Théâtre de l’Odéon à Marseille pour «Les Mousquetaires au Couvent». De cette première expérience suivront 28 mises en scène plus des reprises, en 10 ans. En 2003 il est invité au prestigieux Festival de Baalbeck au Liban, pour mettre à l’honneur la célèbre héroïne de Bizet, «Carmen». Une «Carmen» qu’il doit retrouver en 2011 pour le Festival de Sanxay où il vient de mettre en scène «Norma». Des ouvrages tels que «Les Pêcheurs de Perles», «Lakmé», «Cosi Fan Tutte», «Il Trovatore», mais aussi «La Belle Hélène», «La Vie Parisienne», «Les Brigands», «Coquin de Printemps», «Le Sire de Vergy»… lui ont permis de séduire le public ainsi que la création d’une de ces trop rares zarzuela dont l’Espagne a le secret «Pan Y Toros». Il a plus d’une cinquantaine d’ouvrages à son répertoire. Direction Musicale Bruno CONTI Après des études de piano, trombone et musicologie en Sorbonne où il obtient une licence en 1982, il entame des études de direction d’orchestre avec Benoît Renard puis Jean-sébastien Bereau et enfin Dominique Rouits avec qui il obtient un diplôme de direction d’orchestre à l’école normale supérieure de musique de Paris. Tout d’abord chef de plusieurs orchestres de jeunes, notamment aux conservatoires de Brive la Gaillarde, Versailles et Villefranche sur Saône, il devient assistant de Jean-Marc Cochereau à l’orchestre symphonique Arpèges, en région Rhône-Alpes, ainsi qu’au festival de théâtre musical de Loches. Il est pendant dix ans chef d’orchestre titulaire de l’ensemble orchestral Synaxis Vienne-Vallée du Rhône avec lequel il présente des concerts symphoniques, choro-symphoniques et lyriques. Depuis 1993, il effectue des directions d’orchestres d’opérettes, opéras et comédies musicales tant en France qu’à l’étranger. D istribution Caroline GÉA dans le rôle de Stella Née à Madrid. C’est au Conservatoire de Musique de Grenoble qu’elle effectue ses études de chant avec Angèle Garabedjian, avant d’orienter son parcours lyrique au CNR de Marseille. Elle y obtiendra notamment les Premiers Prix d’Art Lyrique et de Chant ainsi qu’un Premier Prix au Concours «Enfants du Monde». Elle obtient le Prix du Public ainsi que le Prix de la revue Opérette lors du Concours International d’ Opérettes de Marseille en 2003. Son répertoire s’étend également à l’opéra avec «Carmen», «Lakmé», «Tosca» ainsi qu’à la musique sacrée. Elle se produit notamment au Théâtre de l’Odéon à Marseille où elle est régulièrement invitée. Emmanuelle ZOLDAN dans le rôle de La duchesse Della Volta Diplômée de la Faculté d’Arts et de Lettres d’Aix en Provence, elle entre parallèlement au Conservatoire où elle obtient en 2004, son Prix de Chant à l’unanimité, ainsi que les encouragements de Madame Mady Mesplé. Admise au Centre National d’Insertion Professionnelle d’Artistes Lyriques pour deux saisons consécutives, elle participe à de nombreux récitals et obtient son premier engagement en 2005: celui de Clarice dans «Il mondo della luna» (Haydn), au Théâtre Toursky. La même année par le biais du CNIPAL, c’est le rôle de Thisbé dans «La Cenerentola» de Rossini, qu’elle interprète à l’Opéra de Marseille et l’année suivante celui de Cupidon dans l’ «Orphée aux enfers» d’Offenbach. Dans le cadre du Festival de Musique Sacrée de Marseille de Juin 2006, elle chante la partie mezzo de la «Grande messe en ut». Elle a été distinguée en avril 2009, au Concours International d'Opérettes de Marseille, par le Premier Prix Féminin et le Prix Spécial de l'Académie Nationale de l'Opérette. Elle a obtenu un très grand succès personnel à l'Odéon dans «La Grande Duchesse de Gerolstein», «Barbe Bleue» et dans «La Fille de Madame Angot». Kathia BLAS dans le rôle de Claudine En 1986, elle entre à l’École Départementale de Musique du Thor, puis, après des études de chant, théâtre et danse, elle entre au CNIPAL. Elle possède à son répertoire plus de 25 rôles qu’elle a chantés dans de nombreux théâtres : «Violettes Impériales», «La fille du Tambour Major», «Prince de Madrid», «Hello Dolly», «Nos Folles Années», «My Fair Lady». A la télévision, elle a participé à de nombreuses émissions de Pascal Sevran. Au Théâtre de l’Odéon, nous l’avons applaudie dans «Le Tzarevitch», «La Belle de Cadix», «Les Mousquetaires au Couvent», «La Périchole», «L’Auberge du Cheval Blanc», «Les Cloches de Corneville», «Le Jour et la Nuit», «Méditerranée», «La Mascotte», «Ciboulette», «Princesse Czardas», «Andalousie», «Valses de Vienne», «Le Chanteur de Mexico» et «RIP». Simone BURLES dans le rôle de La Supérieure Premiers Prix de Chant et d’Art Lyrique du Conservatoire National de Région Pierre Barbizet de Marseille où elle fut l’élève de Pierre Mercadel. Spécialiste des opérettes marseillaises, très souvent aux côtés de Jackie et Fernand Sardou avec qui elle était très liée. Elle a notamment participé à la reprise de «Un de la Canebière» donné au Théâtre de la Renaissance à Paris et retransmis à la télévision. Elle fut très souvent partenaire d'Henri Génes. Elle a fait un détour très remarqué par le café théâtre où elle a participé à deux créations dont un spectacle sur l’Alcazar de Marseille “Les Évadés de l’Alcazar“ qu’elle co-produit et co-écrit et qui à tourné ensuite pendant quatre années. Dans le cadre d'Aix en Musique à Aix-en-Provence, elle a participé