Le Roi De Lahore

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Le Roi De Lahore Massenet • LE ROI DE LAHORE f^Npéra DE/I BORDEAUX Jules Massenet — Louis Gallet LE ROI DE LAHORE Opéra en cinq actes et sept tableaux Musique de Jules Massenet — Livret de Louis Gallet Direction musicale : Patrick Fourmilier Assistant à la direction musicale : Franck Villard Mise en scène : Jean-Louis Pichon Assistante à la mise en scène : Sylvie Auger Décors : Alexandre Heyraud Costumes : Frédéric Pineau Lumières : Michel Theuil Direction des études chorales : Jacques Blanc Régisseur général : Rodrigue André Alirn, Roi de Lahore : Luca Lombardo (25, 29 nov., 3 déc.), Emil Ivanov (26,28 nov.) Sciiiilin, ministre du Roi Alun : Jean-Marc Ivaldi (25, 29 nov., 3 déc.), Evgenij Demerdjiev (26, 28 nov.) Timour, Grand-Prêtre : Reda El Wakil Indra, Dieu hindou : Fernand Bernadi (25, 26 nov.), René Schirrer (28, 29 nov., 3 déc.) Sitâ, prêtresse, nièce de Scindia : Michèle Lagrange (25, 29 nov., 3 déc.), Isabelle Vernet (26, 28 nov.) Kaled : Claire Larcher Un soldat : José-Luis Victoria Deux officiers : Christian Le Masson, Jean-Marc Bonicel Chœur Lyrique de Saint-Etienne, chef de chœur : Laurent Touche Chœur de l'Opéra de Bordeaux Orchestre National Bordeaux Aquitaine RENÉ SCHIRRER, Indra Après des études de chant à Strasbourg, à la Musikakademie de Bâle et au Mozarteum de Salzbourg, René Schirrer entre à l'Atelier Lyrique de l'Opéra de Lyon puis intègre la troupe de ce théâtre de 1983 à 1989. Il aborde ainsi de nombreux rôles tels que Créon (Médée de M.-A. Chaipentier), Jupiter (Platée de Rameau), Basilio (Il Barbiere di Siviglia), Pistola (Falstaff), le Pharaon (Aida), Monterone (Rigoletto), Priam (Les Troyens), Truffaldin (Ariadne auf Naxos)... Sa carrière le conduit régulièrement à l'Opéra du Rhin où il se produit dans Boris Godounov (Rangoni), Tarare de Salieri ainsi que dans plusieurs ouvrages de Janâcek : Les Voyages de Monsieur Broucek (Wtirlf), L'Ajfaire Makropoulos (Prus) et De la Maison des morts. Citons aussi ses interprétations de Raimondo (Lucia di Lammermoor), du Grand Inquisiteur dans Don Carlo (rôle qu'il reprend au Landestheater de Salzbourg), ainsi que la création de Tristes Tropiques de G. Aperghis. Plus récemment, on a pu l'applaudir dans La Damnation de. Faust (Brander) au Théâtre du Châtelet (mise en scène : Y. Kokkos), La Traviata et Otello aux Chorégies d'Orange, Hamlet (Claudius) d'A. Thomas, La Bohème (Colline) et Carmen (Zuniga) à Rouen, Lohengrin (Le Héraut) à Nancy et à Strasbourg, Les Aventures du Roi Pausole d'Honegger à l'Opéra du Rhin et La Damnation de Faust à Genève puis La Sonruimbula (Rodolfo) à l'Opéra-Comique. En 1998-1999, il chante La Mascotte à l'Opéra de Montpellier, Zelinira (Leucippe) à Lyon el au Théâtre des Champs-Élysées, Ariadne auf Naxos (Truffaldin) à l'Opéra du Rhin. Il se produit régulièrement en concert, abordant un vaste répertoire avec une prédilection pour la redécouverte de la musique ancienne (avec îles chefs comme M. Corboz, W. Christie, J.-C. Malgoire...) et un attachement particulier pour le Lied. Parmi ses prochains engagements figurent I Quattro Rusteghi. (Lunardo) à l'Opéra-Comique, La Damnation de Faust en concert avec l'Orchestre de Paris, Pelléas et Mélisande et Roméo el Juliette (Frère Laurent) à l'Opéra National du Rhin, Don Carlo à Toulon, La Mascotte à l'Opéra de Saint- Étienne et à Marseille où il se produira également dans Ariadne auf Naxos. H a participé à de nombreux enregistrements notamment avec W. Christie (Anacréon, Castor et Pollux), J. E. Gardiner (Tamerlano de Haendel, Scylla et Glaucus de J.-M. Leclair, La Damnation de Faust, Les Brigands, La Juive) et C. Dutoit (Les Troyens)... Il a incarné Nourabad dans Les Pêcheurs de perles à l'Opéra de Bordeaux (février 1997). CHŒUR LYRIQUE DE SAINT-ÉTIENNE L'Esplanade-Saint-Étienne Opéra est désormais reconnue comme un des acteurs incontournables de la vie lyrique française. Ce résultat n'a pu être atteint que grâce au travail de fond visant à régéné­ rer les masses orchestrales et chorales. Aujourd'hui, le Choeur Lyrique de Saint-Étienne constitue un outil de niveau professionnel incon­ testable qui, grâce à la rigueur apportée dans le recrutement de chacun des artistes et au travail collectif, permet d'assurer des prestations individuelles de qualité. Le Chœur Lyrique de Saint-Étienne est aujourd'hui placé sous la responsabilité musicale de Laurent Touche. Jean-Lxniis Pichon Directeur de l'Esplanade-Saint-Étienne-Opéra Acte 1: 50 mn — Entracte : 20 mn — Actes II et III : 50 mn Entracte : 20 mn — Actes IV et V : 45 mn Durée totale du spectacle (avec les précipités) : 3 h 15 mn environ. \ CQNSE*. HCJONAi m & wMAIRIE DE BORDEAUX AQUfTAINE Opéra de Bordeaux Jules Massenet — Louis Gallet Roi DE LAHORE Coproduction Festival Massenet L'Esplanade Saint-Étienne-Opéra Opéra de Bordeaux Grand-Théâtre de Bordeaux Novembre - Décembre 1999 Jules Massenet — Louis Gallet LE ROI DE LAHORE Opéra en cinq actes et sept tableaux Musique de Jules Massenet — Livret de Louis Gallet Personnages : Alirn Scindia Timour Indra Un chef Sitâ Kaled Créé le 27 avril 1877 à l'Opéra de Paris, avec Marius Salomon (Alim), Jean-Louis Lassalle (Scindia), Auguste Boudouresque (Timour), Paul Menu (Indra), Numa Auguez (un chef), Joséphine de Reszké (Sitâ), Jeanne Fouquel (Kaled), direction Émile Deldevez. Tombeau des Rajahs, photographie de Louis Rousselet. ARGUMENT Acte I L'entrée du temple d'Indra à Lahore Les Musulmans ont envahi l'Inde et le peuple est venu implorer le secours de la divinité. Timour, le Grand-prêtre, encourage les suppliants. Cependant arrive Scindia, le ministre du roi Alim ; resté seul avec Timour, il déclare son amour pour sa propre nièce, Sitâ, devenue prêtresse du temple, et demande à Timour de déga­ ger celle-ci de ses vœux. Comme Timour refuse, Scindia lui révèle qu'un inconnu est reçu par la jeune fille, encouragé dans un espoir sacrilège. Timour, indigné, s'en­ gage à vérifier le bien fondé de l'accusation : si Scindia dit vrai, Sitâ lui sera livrée. Le sanctuaire d'Indra Sitâ est entourée de prêtresses. Scindia s'approche d'elle, lui dit de douces paroles et parvient à lui arracher l'aveu. Scindia la supplie d'abord d'oublier cet étranger, puis s'emporte et la menace. Comme elle ne cède point, il appelle les prêtres, accuse devant eux Sitâ d'un amour sacrilège. L'étranger a coutume de venir lorsque Sitâ entonne la prière du soir : on veut donc forcer la malheureuse à com­ mencer l'hymne, afin d'attirer le coupable. Elle refuse et les prêtres furieux s'ap­ prêtent à la frapper, quand soudain s'ouvre une porte dérobée : l'étranger apparaît et on reconnaît en lui le roi Alim, qui avoue la tendresse qu'il ressent pour Sitâ et réclame la jeune fille pour femme. Mais Timour élève la voix : l'amour du roi est un crime qui doit être expié. Que le roi, en guise de pénitence, rassemble ses troupes et parte à leur tête combattre les Musulmans. Scindia, déçu dans sa passion, bouillonne de haine contenue et projette contre Alim une embûche mortelle. Acte II Le désert de Thôl où le roi Alim a dressé son camp Sitâ a tenu à suivre Alim. Elle attend qu'il revienne du combat. Or, voici qu'un 7 tumulte monte ; des soldats fuient jetant leurs armes. C'est la déroute des troupes d'Alim. Le bruit se répand que le roi est mortellement blessé. Scindia lui-même se présente et déclare que c'est là la peine du sacrilège. Par d'habiles paroles, il conquiert les soldats à sa propre cause et s'apprête à usurper le trône de Lahore. Alim, mourant, se dresse vainement contre le perfide Scindia qui, sûr de son pou­ voir désormais, raille impudemment son ancien maître, que tous abandonnent bientôt. Sitâ reste seule auprès d'Alim. Les deux amants connaissent un instant la joie d'être réunis sans témoins. Mais bientôt Alim s'effondre : la mort a fait son œuvre. Sitâ se désespère. Des soldats passent et, sur un ordre de Scindia, s'emparent de la malheureuse puis l'entraînent avec eux. Acte III Le paradis d'Indra L'âme d'Alim se présente devant le dieu Indra. Elle paraît triste malgré les splendeurs qui l'entourent, malgré la présence divine. Doucement Indra interroge. Alim regrette la terre et surtout l'amour de Sitâ : à tout prix, il voudrait vivre de nou­ veau. Indra s'apitoie : la vie sera rendue à Alim, mais non point avec elle, toutefois, la magnificence royale. Alim revivra sous la forme d'un homme de la condition la plus humble. Acte IV A Lahore Alim dort sur les marches du palais des rois. Il entend encore les célestes mélodies et se réveille, l'âme remplie de bonheur et de reconnaissance. Devant lui passent des officiers du palais. Le couronnement de Scindia va avoir lieu. Mais Alim ne pense qu'à Sitâ. Bientôt défile le cortège. L'usurpateur, salué par toute la foule, s'apprête à rejoindre Sitâ, à lui déclarer une fois de plus son amour. A ce moment, Alim s'avance et interpelle brusquement Scindia ; tous frémissent de stu­ peur car ils reconnaissent les traits et la voix d'Alim. Scindia est épouvanté devant celui qu'il prend pour un spectre vengeur. Mais presque aussitôt, quand Alim revendique Sitâ, une clameur s'élève : c'est un fou. Rassuré, Scindia ordonne de tuer l'insolent. Mais Timour s'interpose, et avec lui les prêtres et le peuple : il faut respecter le pauvre illuminé, qu'un dieu inspire ; une vénération superstitieuse fait place à la frayeur, Alim est sauvé pour l'instant, et Timour déclare qu'en récla­ mant Sitâ, l'illuminé n'a fait qu'exprimer la volonté de dieu à qui Sitâ fut vouée.
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