Il n'y a pas de précédent. 1)'UNE AILE A L'AUTRE On n'a jamais Minis- vu un .J tre du Commerce conser- )-..a< ver le titre et les fonctions L'exportation libérera de Président d'une grande vous association vrivée. aDrès - avoirétéappeléàpartager les responsabilités du Gouvernement. l'Etat. Pierre-Etienne la Flandin de saurait être, tutelle de ne à la fois, Ministre du Commerce et Prési- dent actif de l'Aéro-Club de . L'un Ou l'autre: Ministre Président, L'industrie aéronautique, doit être fascinée le client unique ou ou 1 pour vivre une vie saine, ne pas par travailler : Wing. dans numéro, prétend que l'Etat français. Elle doit « » le marché extérieur et accomplir un effort qui s'impose. *Aé.-C.F. ce veut et va devenir un grand cer- Un constructeur qu'à certain point, raison qui développé, de prodigieuse cle parisien. Sans*tenir compte decela, connu est venu me un vous avez, guerre a Slniplement voir. en prétendant que quelques-uns d'entre façon, cette industrie; et, la paix ve- en considérant l'Aéro-Club tel L'une de constructeurs, il dix combien assigné qu'il est' — vos thèsesfavorites, me nous, sommes fascinés par nue, y a ans, ont est présentement, il impossible dit-il, les avionneurs l'Etât-client dehors de lui, à l'Aviation rôle intéressànt Que président le Ministre Com- est que devraient et qu'en tout un en son soit du chercher à s'affranchir de Il dehors de possibilités militaires 'merce. C'est impossible mille la tutelle de le reste nous paraît négligeable. y a ses P pour et l'Etat français créant clientèle beaucoup de vérité mais, Ceux qui réussi, chez le doi- fjne raisons qu'il est superflu dépréciser en se une là,je l'avoue, ont nous, particulière. L'Aéronautique, d'après voulez-vous: c'est déformation commandes du Ministère de ,lCi. pour le moment. que une vent aux Larent yous, ne deviendra vraiment une grande qu'a subie l'Aéronautique et que l'on la Guerre; celui-ci a permis de réaliser ( Eynac peutimposerses vues industrie le ,au que jour où elle compren- doit, à la fois, à sa naissance trop ra- la fabrication en série, la seule qui, long- Président de l'Aéro-Club de France; il plus qui ne dra qu'elle ne doit se contenter de pide et à la guerre a encore pré- temps, fût productive, rémunératrice.- peut que composer avec le Ministre du vendre à l'Air;ides de qui voulurent s'orienter dans Commerce, discuter d'égal, é.g"aL;. Cela avions guerre, cipité cette croissance. Les autres à qu'elle cherchera des débouchés autre Lés premières applications de l'Aéro- la recherche dans l'Aviation ne peut être; il ne fautpas que cela soit. pure, com- part, dans l'aviation civile, commerciale nautique naissante ont été militaires merciale, dans l'Aviation privée n'ont Ou Ministre ; ou Président. L'un ou et privée, et auprès des acheteurs étran- c'est l'Armée qui 'été le premier client dans les les plus favorables, que lautre, mais non l'un et l'autre. a pu, cas gers, gouvernements. et particuliers.Jus- sérieux de notre industrie; c'est la végéter. Vous nous dites: « Ne vous Ou, alors, nous demandons respectueuse- ment à M. Laurent Eynac de vouloir bien Ppsersacandidature à la présidence J^dérationAéronautique de la Nationale de Un vaste effort consacré routes et ports rance et des Colonies. Le sain principe aux aux de l'égalité sera sauf.

Le Comité Français de Propagande Aéronautique ayant soumis à Il y a, certes, un risque d'erreur à arrêter aujourd'hui un ensemble Dans ce Numéro : M. Chaumié son programme d'action, le Directeur de l'Aéronautique de travaux devant répondre aux besoins d'une aéronautique future que Marchande au Ministère de l'Air, a donné son approbation entière à ce nous ne pouvons qu'imaginer. Mais l'expérience nous montre que les audacieux, L'exportation vous libèrera plan, en particulier en ce qui concerne l'organisation de l'infrastructure. programmes en leur temps, comme celui du Colonel Sa- de la tutelle de l'Etat C'est, en somme, la consécration de la politiqued'Aviation que soutient ccnney, ont été, non seulement, confirmés, mais dépassés. tant de persévérance le Comité Français de Propagande Aéronau- Ce risque, qui souvent fait rejeter des demandes de crédits dont Georges HOUARD avec a par tique. l'utilité immédiate n'apparaissait pas, est bien faible, si on le compare L'avion risque certain de lancer, préparation, des lignes nouvelles Dyle et Bacalan 70 Il est intéressant, dans ces conditions, de reproduire la lettre adressée au sans et. cependant, la même quand il s'agit par André FRACHET par M. Chaumié Général Boucabeille, directeur du C.F.P.Aé. opinion, timorée de nous donner au iea de créer outillage dont l'installation L'autre décentralisation moyens un ne donne lieu à « » Mon Général, aucun communiqué de presse, marque son impatience si on ne la satis- par VERAX fait pas de réussites périlleuses et improvisées. Les Je m'excuse d'avoir tardé à répondre à votre communication du Nevoyez dans ma remarque aucun reproche, bien contraire; si problèmes de la « chasse» au 12 octobre dernier. J'ai pris connaissance avec intérêt de la note sur le je m'adresse à vous pour faire pénétrer dans le public cette notion né- par OBSERVER d'action de Comité m'avez Je Quelques piogramme votre que vous communiquée. cessaire, c'est justement parce que c'est dans ce sens que vous avez précisions sur l'emploi ne peux que l'approuver. orienté vos efforts. Le Budget de. 1930 prévoit environ 6 millions de de mon avion de tourisme il est un point, cependant, sur lequel je me permettrai de vous de- francs pour les installations à terre et les subventions aux Chambres de mander d'insister dans efforts l'opinion publique, néces- par Pierre SCORDEL vos sur c'est la Commerce tandis que millions de francs sont affectés aux Compa- Notre sité. que vous sentez si bien, d'organiser l'infrastructure et de doter notre gnies de Navigation Aérienne. Il est hors de doute que le rapport entre industrie n'a pas et notre domaine colonial d'un outillage àla hauteur de leuravenir deux chiffres singulièrement révélateur d'une de dessinateurs d'études pays ces est situation qui peut aéronautique. devenir grave. J'ai malheureusement le dans le public, Général, par A. ODIER sentiment que, comme au Veuillez m'excuser, mon de m'être ainsi laissé aller à vous Parlement, l'importance l'urgence Le développement de l'aviation on ne sent pas assez et d'un vaste confier librement le fond de ma pensée et croyez, je vous prie, à l'ex- marchande et le eflort consacré aux routes et aux ports aériens. pression de ma haute considération. commerce En cette matière en effet plus que en toute autre, il faut anticiper Pour le Ministre et P. O., intérieur des Etats-Unis actuels, .mr l'avenir et concevoir un programme que les besoins d'ail- le Directeur de l'Aéronautique Marchande! par R. CROZET leurs trop souvent mal connus, ne semblent pas justifier. CHAUMIE. fixez pas sur l'Etat-client, voyez plus tout de même, les constructeurs fran- loin, prospectez les marchés étrangers, çais ne dédaignent pas le marchéétran- civile. Evidemment, si l'Aviation » vous ger et que nos exportations ne sont COSTES BELLONTE raison, je suis de qui qu'elles devraient être, elles exis- et avez ceux vous pas ce comprennent, mais il est bien difficile tent néanmoins.Nous exportons, cha- de lâcher une voie au bout de laquelle que année, pour plus de 200 millions on entrevoit la manne dorée des com- de matériel aéronautique. mandes de série pour s'engager dans C'est insuffisant et les chiffres bais- viennent de faire rentrer dont l'issue inconnue - une autre est et sent d'année en année. Celui de 1929 que nous savons, en tout cas, pavée inférieur à celui de 1928. et les JSLNT JETJ&LJBLMTCJE3. de difficultés nombre. sera sans prix ont augmenté. Je vous le dis: un le principal - Tant qu'une industrie dépend du effort s'impose! bon vouloir et des possibilitésfinanciè- — Que l'Etat nous aide! - Record du Monde d'un seul client surtout quand res — ce — Voyez la déformation: dès qu'un client est l'Etat — elle ne peut préten- problème surgît,, d'avions dre à vie saine, à le constructeur, une une prospérité pousse cri, toujours le même: Au , en réussissant réelle générale. Je maintiens: son « et voyez secours, l'Etafl» Laissez donc l'Etat PANSTZÏTZÏEAn soitplusde1.1)118kilom. • (Chine) loin, voyez grand. Travaillez les mar- tranquille aujourd'hui tout chés étrangers et puisque — pour au nous pouvons moins —et demandez-voua plutôt si enuneseuleétape prétendre aux meilleurs avions militai- les constructeurs français font du monde, attendant tout ce leurBRÉGUET res en que nous qui est en leur pouvoir pour augmenter sur ayons aussi les autres, efforçons-nous le chiffre de leurs exportations. En -.-. d'en fournir puissances qui les Moteur BISPAlfO-SUIZA- et aux cette matière, l'initiative appartient aux achètent à l'extérieur. Les constructeurs constructeurs; demandez à l'Etat préoccupent suffisamment des ne pas du ne se pas de la prendre: il vous ferait payer ses Après la première fratwsêedelAtlanfique-Sud et letour marchés étrangers ,croyez-moi. Si vous services trop cher et, de plus, monde triomphal de COSTES et LE BRIX, après la traversée de voulez ne se- monde ne pas encore vous attaqueraux raient-ils sans doute pas ce qu'il fau- VAtlantique-Sud par JIMENEZ et IGLESIAS, lerecorddu avions commerciaux ou privés — où, drait qu'ils soient. de vitesse sur 5.000 kilomètres de GIRlER etWEISS, aprèsI* déjà, à mon sens, il y a à faire faites première traversée française de l'Atlantique-Nord LEFEVRE, effort — Aussi bien, vous avez un organisme par un pour placer vos productions mi- indiqué organiser la conquête ASSOLLANT, LOTTI, le record de COSTES confirme litaires. C'est utile, c'est nécessaire. tout pour des marchés étrangers. N'êtes-vous pas LA SUPERIORITE INCONTESTABLE DU MOTEUR N'oubliez pas que si vous ne faites groupés en Chambre Syndicale? Ne se- pas cet effort, d'autres vous supplan- rait-ce pas le rôle de cette Chambre Syn- HISPAINO-SUIZA teront. C'est déjà arrivé dans quelques dicale d'étudier le grave problème de pays où le matériel anglais, allemand, nos exportations, de constituer une sorte italien a remplacé le matérielfrançais. d'agence commerciale avec ce but uni- N'oubliez pas que les Etats-Unis vi- que: vendre du matériel français quelle sent nettement à la conquête des mar- qu'en soit la marque?. chés étrangers du globe et que, si vous Ce groupe de vente des constructeurs Société Française Hispatlo-Suiza n'y prenez garde ,cette concurrence de- français n'existe Il faut le créer. viendra vite redoutable. N'oubliez pas. Rue du Capitaine-Guynemer, BOIS-COLOMBES (Seine) pas, Dites-vous bien que l'effort d'un cons- enfin qu'en dehors de l'intérêt national tructeur, cette matière, peut suf- présente l'exportation de en ne ,,,.,,,~,,, que notre pro- fire: sont seulement les efforts "I,.;LZ-:;::.}r\";"¡i1:;t';.:?..:. ":::;::.;.t'-L;;:";::::;J;;:r:";;';'; duction aéronautique, ce con- ,.. c'est un des jugués de tous les industriels de l'Aéro- I moyens de vous affranchir, dès mainte- contrebalancer FORGES FOULAI nautique qui peuvent de Ni nant, de la tutelle financière de l'Etat organisés et massifs, de la français, client unique. ceux, con- currence étrangère. Bureaux ; , 34, rue de Llége àFOUI.AIN CHaUite-Marae. —Mais nous sommes bien d'accord. Tél.: CENTRAL 45-00 ra. N* Cependant, vous n'ignorez pas que, (Voir la suite à la page 4) -- "Toutes pièces forgées et matricée9 Les commentaires de Wing. L'Avenir? Mais il est préparé1 Il est l'AÉRONAUTIQUE et spécia- même magnifique. Vous ne savez pas pour les projets? — Un hôtel de six millions lement en alliages légers à haute Noir, dans les environs de l'Etoile, une salle impair de jeu, une piscine, des courts de tennis résistance" à la campagne et, dans un coin, une pe- et manque tite salle pour la Commission d'Aviation. Cela coûtera cher, me dites-vous? On mettra les cotisations à 1.000 Ir. 14 Novembre 1929. par- an. comme dans les cercles chics1 DURALUMIN, Ceux à qui cela plaira n'auront etc. 1 ne pas Vous savez aussi bien que moi com- qu'à s'en aller. Et voilà. bien, même sous le Ministère du souriant Depuis longtemps déjà, certains trou- Tardieu, il est difjicile de rire un brin. vaient que rAé.'-"C.F. n'était pas un mi- Vraiment, le monde est morose et les lieu très mondain. On y voyaitencore (12.460km)11 occasions de s'amuser sont rares. Eh! des pilotes qui discutaient le coup ou des PARISTANANARIVE bien, je viens de trouver le comble de la techniciens qui s'empoignaient sur des rigolade en l'an de grâce 1929. formules. Mœurs de vilains. Ce qu'il Les ballonniers veulent se fédérer. Ils faut à notre doyenne qui joue les petites ont assez d'être sous la coupe d'une folles, c'est une société de clubmen, des association ingrate qui les laisse tomber. gens chics et neutres qui viendraient à a étéeffectué par le brillant équipage ! Ils veulent lui tirer leur chapeau,secouer l'Aéro-Club de France, le malin, soi- la poussière de leurs sandales sur son gner leur prostate avec de la gymnastique Bailly=Reginensi=Marsot paillasson et se bâtir une maison sous un suédoise; le soir, risquer cent louis sur ciel plus clément. la rouge, et, de temps en temps, écouter des représentations à bureaux fermés. Dans ma candeur naïve, je croyais que en 8 jours et 5 heures 1 si VAéro-Club pouvait plus s'enten- Mais que devient l'aviation là-dedans? ne soit heures de moins le précédent meilleur dre avec les aviateurs, il faisait du moins — Une simple couverture, le pavillon 52 que temps très bon ménage avec les champions des qui fait passer la marchandise. Aux sur monoplan bulles de gaz. yeux du client éventuel, l'Aéro-Club de PARUAN GNOME etRHONE "TITAI" 230 ev Il ;.'en est rien et l'effervescence est France, ça fait plus sérieux que le Zi- mo eur aussi grande dans dans gouigoui-Club de France. un camp que en faisant exclusivement usage de l'autre. Séjo, un ami des ballonniers, Chacun est libre de mener ses affai- des de qui.aiment leur sport, res à sa guise, mais nous n'attendions purs, ceux confirma- n'écrit-il pas dans L'Action Francaise que pas de l'Aé.-C.F. une pareille tion de la thèse avions présen- « l'Aéro-Club ne doit pas être un ins- que nous trument destiné à pousser tel ou tel poli- tée : à savoir qu'il n'était qu'une société ticien et à répandre sur les membres de comme une autre. Et comme il ne nous la France son Comité de Direction une manne de plaît pas que les affaires de décorations aussi abondante que possi- soient entre les mains d'une maison de ble ». jeux, nous disons nettement que si le Le comble de la rigolade, vous dis-je! projet en cours se réalise, les pouvoirs Aviateurs d'un côté, ballonniers de l'au- sportifs devront être retirés à l'Aéro- tre renient l'Aé.-C.F. Les uns et les au- Club. Il faut choisir: ou la roulette, ou tres veulent travailler normalement, sai- l'homologation. nement. Quelle drôle d'idée! Quelle Qu'on se le dise! vague de purisme! Quelle sale blague, WING. aussi, pour l'Aé.-C.F. qui croyait, dur P. S. —- le m'aperçois une fois de ¡' comme fer, que la plaisanterie durerait plus que je suis d'une naïveté rare. Je dont BAILY-REGINEHSt-MARSOT"'étaient déjà déclarés si satisfait dans aussi longtemps lui. Maintenant, il croyais le Mandarinat de M. P.-E. leur précédent PARIS-SAIGON-PARIS. que que CASTROL peut plus se tirer du mauvais Flandin était fini avec la nomination de De tels résultatsviennent prouver, une fois de plus, que l'huile ne pas avec possède, plus que toute autre les îés exceptionnelles (graissage parfait, des discours ou des pirouettes. Comble l'Excellence au Ministère du Commerce. qua l'Aé.-C. sécurité de marche, meilleurs rendem nt des moteurs) exigées pour réussir de malheur, son président, appelé au Il n'en est rien. Le Président de dans les entreprises les plus audacieuses de l'aviation. du s'en Que confiant dans avenir ministé- gouvernement pays, va. F., peu son ,"RJfImtIIlIIHtllftIltHIJfmtiftllfll"'ntlll!IfMtlllrlltttllll'ratIIIIhI'IIIIIlnUlIIIIII/IUmUUI.IJlllltlltltlmullllllll""IIIIIIII'"llmlllllll"IIII"lIIllIillllmIIIIIJ1111111111111111111f111l11IlU!tlIIlt"HUI"mtlllllllll¡,!lllllnllmmri!1[11111111111111lllllnllll!lllnlllll' faire Quel chapeau prendre? Entre riel, supplié par ses amis, condescend à aviateurs et ballonniers, entre cette te- conserver sa tiare. Et nous allons assis- Société des Huiles CASTROL naille, est-ce que la tête ne va pas cra- ter à ce spectacle bizarre d'un Ministre quer comme une noix creuse? L'Avenir, du Commerce dirigeant une maison de 19, r. des Minimes, à Courbevo e (Seine) ¡ qui le préparera? jeux. — W. LES AILES S'OUVRENT Le<*i»>mODoplan. de transport B.D. B.leu 70

entièrement métallique pour 28 passagers, trimoteur Hispano-Suiza de 1.800 ev.

La Société des Ateliers Dyle et Baca- ques, sont d'une construction analogue à lan, écrasée sous la lourde charge que re- celle de la voilure. moto-propuleurs. L'avion D.B. présentait, il y a quelques mois encore, la Groupes — bien failli 70 est équipé de trois moteurs Hispano- construction des prototypes, a chacun abandonner les intéressantes et importan- Suiza de 600 CV. Ils actionnent une hélice tractive par l'intermédiaire d'un ré- tes réalisations qu'elle avait en étude de- ducteur. Puis plusieurs années. L'opiniâtreté de Ces moteurs sont fixés à l'avant de trou son directeur général, M. Létang, a pu supports solidaires du corps central. Afin de heureusement triompher de ces difficul- diminuer l'intéraction des propulseurs, les tés. supports sont nettement avancés par rapport dernier. isolés de la , Ainsi l'actif correspondant des à ce Les moteurs sont que pare-feu Ailes à Bordeaux, nous l'a appris, les cabine par une cloison et par une Société Dyle deuxième cloison destinée à absorber le ateliers d'aviation de la et bruit. Un néanmoins réservé Bacalan devenus la propriété de la passage est sont pour que le mécanicien puisse accéder aux Société Aérienne Bordelaise créée de accessoires. concert avec Nieuport-Astra et des capita- Le support du moteur central, plus long, listes bordelais. Les appareils en cours de contient le poste de pilotage, biplace à dou- construction dans ces ateliers, notam- ble commande, et aménagé en conduite in- ment le D. B. 70, donc être termi- térieùre. A la suite de ce poste, un compar- ont pu timent est.réservé mécanicien de bord. nés avec, cependant, quelque retard. au Marie Celui-ci, chargé de surveiller la marche des Notre collaborateur Pierre nous moteurs, les cadrans avait donné d'intéressantes pré- a sous ses yeux corres- également - pondants différentsgroupes moto-pro- cisions B. aux sur ce que serait le D. 70, pulseurs. Il peut, à ce sujet, aisément com- grand monoplan entièrement métallique muniquer avec les pilotes. Ce compartiment du poids total de treize tonnes.. enferme également un moteur auxiliaire uti- Cet important avion dont nous avions lisé pour actionner le compresseurdes démar- Pu voir, en 1928, à Bordeaux, quelques reurs et une génératrice de secours. éléments maintenant L'essence est contenue dans deux réser- de sa structure, est litres. Complètement achevé. voirs d'une capacité totale de 2.800 Ces réservoirs sont accrochés dans l'aile, à La mise au point de ce « géant» de bonne distance des moteurs. 37 m. d'envergure et de 1.800 CV de Les canalisations d'essence, ainsi que les Puissance est confiée à Charles Descamps. robinets d'arrêt, sont facilement accessibles Elle ne saurait être mise entre de meil- en vol. leures mains. - Le refroidissement, eau et huile, est as- Sans vouloir préjuger des résultats qui suré par des radiateurs Lamblin à lamés en seront obtenus, le D.B. 70 représente d'air, placés sous le ventre des fuseaux mo- néanmoins, dès à présent, un intéressant teurs. et utile effort constructif, les études né- Train d'atterrissage. — L'atterrisseur a cessitées la mise de réa- une voie de 8 m. 50. pour en œuvre sa Il est formé de deux demi-trains, lisation constituant déjà un acquis pré- compor. cieux. ;ant, chacun, un jumelage de 1.300 sut 300, montés aux deux extrémités du corps D'autre part, et quoi qu'il advienne, la central. formule du D.B. 70 est incontestablement Chaque jumelage est supporté par un V une solution viable et d'avenir. On y re- longitudinal renforcé par une traverse orien. trouve le principe de l'aile habitable, telle tée vers l'axe du corps central. L'amortie que l'ingénieur L. de Monge la concevait, seur, oléo-pneumàtique, comprend un pis. telle Junkers l'a partiellement appli- ton lié au moyeu et un cylindre solidaire du que train. Les sont équipées de freins. quée à son 38. roues J. Aménagements. Le post3 de pilotage, à Le D.B. 70' représente, outre, — en un double commande débrayable, installé autre stade, un pas en-avant, vers: les est gos transaériens de l'avenir. Ne possède- entre le groupe moto-propulseur central et t-il le bord d'attaque de la partie médiane de pas, en effet; des moteurs accessibles la voilure. Les pilotes placés côte à côte, bé- en vol, des postes de pilotage, de méca- néficient d'une vue très dégagée. D'autre niciens, de navigateur et de radio indépen- part, ils peuvent facilement communiquer dants les uns des autres. Ses vastes cabi- avec le mécanicien et le navigateur. Ce nes se prêtent, de plus, à des aménage- dernier est logé, ainsi que le mécanicien, ments aussi variésqueconfortables.Ain- dans un compartiment spécial. Il aura à sa SI qu'on vaie-voir, cet avion doitpermet- disposition un dérivomètre, un compas de tre de transporter aisément 28 passagers. grande navigation, une planche à cartes et Son des casiers pour les contenir. emploi comme appareil sanitaire a été Une troisième cabine, complètement iso- également Dans il - envisagé. ce cas, pour- lée, sera réservée àla T."S.F., le D.B. 70 fait contenir 20 blessés ou malades cou- devant recevoir des appareils radigoniomé- chés et une petite salle spécialement ou, triques ainsi que tous les instruments de tillée permettrait"de leur donner, le cas navigation nécessaires aux vols de nuit. échéant, des soins immédiats. L'espace réservé aux passagers comprend Les enseignements de tous ordres deux cabines latérales réunies par un grand le que salon. Il total, surface d'en- D. B. 70 va nous apporter, seront donc, couvre, au une sans viron 30 mq. avec une hauteur libre de aucun doute, des plus instructifs. 88. Chaque cabine André FRACHET. 1 m. occupe une travée latérale du corps central et se prolonge dans du la, première portion du fuselagecorrespon- Voilure. La voilure D.B. rappelle dant. , — 70 - Sa largeur est de 1 m. 80 pour unq ans monoplan - ses grandeslignes celledu profondeur totale de 5 m. 35. type 10,précédemmentréalisé dans la mê- L'aménagement cabings du salon file "de ces et .usine.Elle estconstituée,parunçorps différera selon quel'agpajeil sera destiné à ,1 central viennent fixertous sur lequel se les effectuer des voyagese jour ou --de - nuit.; Comité Français de Propagande Aéronautique PALLADIUM Direction: 23, avenue de Messine. Paris- Tél. Carnot 48=79 est le spécialiste dU PARTIE OFFICIELLE PNEUAERO COMMISSION Rocque du programme général des tra- CONFERENCES AERIENNE vaux et enquêtes confiés à la Commission; RADIOPHONIQUES DE DEFENSE Constitution des Sous-Commissionsd'étu- de la Commission La première réunion des. Ainsi qu'il a été annoncé dans le der- de Défense Aérienne, instituée par le Co- COMMISSION DU GROUPE nier communiqué, des causeries l'Avia- Français de Propagande Aéronau- sur mité tion sont faites chaque mardi, à 18 h. 30, tique, lieu le mercredi 20 novembre MOTO-PROPULSEUR aura Comité, par le Directeur du Comité Français de 1929, à 17 heures, au siège du La Commission du Groupe Moto-pro- de Messine. pulseur s'est réunie le lundi novembre, Propagande Aéronautique et diffusées par 23, avenue 4 des PALLADIUM Ordre du jour à 18 heures, siège du Comité. la station radiotéléphonique P. T. T. : au Les premières les Allocution de M. le Maréchal Lyautey, Elle a examiné un projet de concours causeries ont eu lieu Président du C. F. P. Aé.; de bougies qui lui a été présenté par 5 et 12 novembre; la prochaine aura lieu grande-Ceinture, 8 Waseige. 8, Rue de la Exposé par le Lieutenant-Colonel de la M. le mardi 19 courant. ABSENTEUIL(S.-&-0.) SOCIÉTÉS Dans le premier cas, il doit pouvoir em- LA POLITIQUE DES AÉRONAUTIQUES mener 28 passagers, 10 par cabine et 8 dans '- ,.----' de nui):, nombre DELA ",.,. le salon. Pour les vols ce réduit à dont 16 cou- LE CONGRES FEDERATION serait 24 personnes réservoirs ; chées dans les cabines et 8 assises dans le Les salon. Chaque cabine contiendrait alors deux rangées de quatre fauteuils séparées par un tiendra Paris les 6 et 7 Décembre PDITE dispositif simple se à central. Un per- S. passage mettrait alors de transformer ces fauteuils disposées deux étages. en couchettes en Le projet de statuts de la « Fédération Aéronautique Nationale de Dans l'installation de jour, les sièges se- France et des Colonies définitivement arrêté présenté ront de simples fauteuils en rotin. L'ameu. »est et sera blement du salon comportera deux tables et à la ratification du Congrès de décembre où sera constituée la huit fauteuils. Son éclairage est assuré pai Fédération. de larges baies ménagées dans le bord d'at- | i taque et sur l'extrados du corps central. Ça Le Comité Provisoire de la leur adhésion à la Fédération. Dès à en de bagages y est!. quer RIVÉ Il a été prévu 40 kilos par pas- Fédération Nationale Aéronautique a dé- présent, ila été décidé que seraient conviés DURALUMIN S; sager, soit au total 1.180 kilos, qui seront le Comité cale particulière d'un finitivement arrêté le projet de statuts au- Français de Propagande Aéro- logés dans une vo- quel elle travaille depuis si longtemps. nautique, l'Union des Pilotes Civils, l'As- lume de 10 me. Dans sa séance du 26 octobre, le Comité sociation des Professionnels Navigants de I Caractéristiques générales: laque ; mètres; a entendu la lecture de ce projet, y a l'Aviation et le Club Aéronautique Univer- sans gomme Envergure totale: 37 modifications ceci sitaire. Mardi dernier, d'une Longueur totale apporté d'ultimes et, au cours nou- : 21 m. 30; velle réunion, le Comité Provisoire J, Hauteur totale 50 fait, a décidé de la présenter au Congrès a dû (Brevetés s.g.d.g.) : 7 m. ; ajouter associations quelques Profondeur des ailes: 4 m. 80; Constitutif de la Fédération. Ce Congrès, à ces autres Surface portante: 200 mètres carrés en- a décidé le Comité, se tiendra à Paris les dont la participation au Congrès est égale- EQU PENT viron ; 6 décembre dans salle qui n'est ment désirable. 1 Hispano de 600 CV. et 7 une | Puissance: 3 moteurs ; pas encore désignée mais qui ne sera pas, kilos; 11111111111111111111111111111 111111111111111111111111111 Poids à vide: 7.700 tout des salons de la Fran- Il LA PLUS du combustible équipage 2.200 en cas, un rue Poids et : çois-Ier. Bien inspiré, le Comité pensé kilos; a POUR ECHAPPER A LA TUTELLE ! PARTIE kilos; effet, le Congrès devait tenir GRANDE Charge utile payante: 3.100 en que se en Poids total en ordre de vol: 13.000 kilos; zone neutre, hors de l'influence de l'Aéro- Charge mètre carré 65 kilos; Club. L'IIPOBTATIO. au : <1 des Charge au cheval: 7 kilos 200; Nous laisserons à notre collaborateur, Puissance mètre carré: 9 CV. 1 APPAREILSMILITAIRES par Henri Rabault le soin d'étudier et de com- théoriques libérera. Performances : menter le projet élaboré par le Comité Pro- vous kms-h. Vitesse au sol : 190 ; visoire. Nous ne retiendrons aujourd'hui et ! Rayon d'action 1.000 kms; question la répartition i : mètres; que la grave de des Plafond pratique: 2.800 voix dans les votes de la Fédération. Après (Suite de l'article de la page 2) ( CIVILS signale les deux qvoir examiné diverses suggestions, le Co- N. B. — On nous que moteurs Renault du Lioré et Olivier 240 mité Provisoire s'est rallié, à l'unanimité, C'est le seul moyen d'ailleurs de sup- sonj démarreurs Viet. Le petit principe de l'égalité de voix socié- les POITE équipésauxiliairede au aux primer sur marchés extérieurs le plus || Etablissements S. J, moteur Bristol placé dans le tés nationales et aux sociétés régionales. le plus des obstacles caisson n'étant utilisé que pour ac- Car la Fédération appelée à gros, grave que nous support est grouper rencontrons la i1 40, rue des Longs-Prés, 40 tionner la génératrice. des sociétés appartenant à l'une des trois y : concurrence que se Les démarreurs Viet ont donné toute sa- catégories voici: font, entre eux, les constructeurs fran- BILLANCOURT (Seine) |i tisfaction cours des premiers essais, à que çais. Je pourrais citer dix histoires au moins d'une 10 Associations nationales dont l'action con- 14-86 | Antibes, lançant les moteurs en où, dans la fable de La ( Téléphone: Moïïtoi minute, sans brassage d'hélice. s'étend sur toute la France et ses colonies; nues comme 6 ; 2° Associations régionales dont l'action Fontaine, Salon du Ski Thoret au s'étend à une région déterminée; Tandis que coups de poing trottaient,- 3° Associations affiliées qui limitent Et champions songeaient à le 21 que nos se Un Salon du Ski » ouvre ses portes no- leur action à un but bien particulier. Il stand [défendre, vembre, rue Saint-Didier, a Paris. Le Les sociétés nationales et régionales Excursions aériennes Arrive troisième larron. N.. 17 sera celui des Il au ayant égalité de voix, les associations affi- un Mont-Blanc à bord des avions H- Potez ». Con- Tho- liées (troisième catégorie) disposeront d'un constructeur allemand, anglais ou tinuant son œuvre de propagande aérienne, —- stand où l'on vendra pourcentage atteignant 20 o/o au maximum italien qui emporte le marché. Cette ret tiendra lui-même ce des voix accordées — di très belles photos du Mont-Blanc, prises natu- aux autres, pourcenta- concurrence entre nationaux est déplora- rellement avion. ge réduit à 10 a/a pendant la période de ble à points de et la faire en plein Pa- début de la Fédération. tous vue ces- Dans ce Salon du Ski, on verra, en est la première condition du succès ris, des sauts en ski d'une quinzaine de mètres C'est sur ce point important que la ba- ser neige artificielle et un Potez 36, muni de taille s'engagera Congrès des 6 et 7 en matière d'exportations. aur au préférable, le I skis, pendu au plafond. décembre. Il est infiniment on ! DEMAHHEURAUTO-VIHEUI AMMm

Au « Dans le domaine de la guerre aérienne, des avions actuels. fur et à mesure hors de la suggestion des bombes de l'en- Certes, loin de nous la pensée de cher- les idées doivent être de dix ans en avance que le rayon d'action progressera, le dan- nemi. cher les responsables. Ils sont innombra- Au lieu sur les faits. Notre conception de la guerre ger de destruction totale Cloîtra. L'avenir de cela notre aviation a été bles. Tout de même, qu'il nous soit per- ramassée, d'étroits aérienne retarde de vingt ans. » rendra ce danger angoissant. en doses massives, dans mis de dire que les Etats-Majors de la Ce n'est qu'uneerreur, Ceci été écrit dans journal même, Les stationnements ont été rendus défi- secteurs. pas c'est Guerre et de la Marine ne sont point les a ce faute, qui vicie, il quinze jours, lasignature de nitifs entre 1920 et 1928. Par exemple, un une dès l'origine, toute seuls coupables. Il se peut que des ques- y a sous mobilisation, M. Jean Herbillon. Rien n'est plus exact. régiment de bombardement de jour sta- la qui diminue dans une large tions de basse politique aient joué dans le Nous l'aptitude offensive défensive choix des garnisons de paix, mais les allons en administrer une preuve irré- tionné en Rhénanie est transformé en ré- mesure, ou di- futable qu'il s'agit de faits bien vi- giment de nuit: il s'installe en 1928 à de nos forcesI rigeants de l'Aéronautique ont toujours été parce Première sibles de tous. Nous voulons parler du Reims où de coûteuses installations sont conséquence: à l'heure « H », consultés. S'ils avaient eu une saine vi- le devoir des formations serait filer sion du proche avenir stationnement en France et en Méditerra- édifiées. Le régiment de Nancy descend, de vers et un peu de cou- née, des Forces Aériennes françaises. Per- en 1927, du plateau de Malzéville et s'ins- des bases de départ inconnues. Elles s'épar- rage, leurs avis eussent été prépondérants. sonne n'a osé, à jour, tirer les ensei- talle, sous béton, à quelques kilomètres de pilleraient avant d'attaquer à leur tour. Ils sont largement responsables de la si- ce tuation inquiétante gnements graves qu'il comporte. Nous là, à Essey. C'est un régiment lourd, dont Alors que l'attaque et la défense aériennes que nous croyons de- début d'une voir évoquer ici. De façon, allons essayer de le faire, en nous inspi- la base serait tout spécialement visée. auront, au guerre, entièrement toute le mal le caractère d'un match de vitesse dans la rant des idées qui auront cours vers 1940, Plusieurs centaines de millions été restera. ont mise des aviateurs Ou plus tard, à moins que des faits nou- dépensés.pour incruster solidement toutes en œuvre moyens, nos aaa veaux obligent sortir d'une devraient tout d'abord songer à leur sé- nenous à mor- ces formations là où elles se trouvent. La On décentraliser les usines telle Nous rendrons curité. Car s'ils devaient mobiliser sous va aéronau- torpeur. en tout cas permanence dans l'erreur est donc bien tiques qui, disséminées dans l'énorme sensible l'opinion publique, le mauvais les bombes, le temps qu'ils perdraient et à établie. agglomération parisienne, cependant calcul des probabilités de la aérienne les pertes qu'ils subiraient, pourraient nous sont guerre aaa bien plus loin de l'attaque aérienne qui présidé, depuis 1920, destinées coûter la guerre. Or, nous le répétons, le que a aux le seraient, premières heures d'une militaires de la France. A stationnement géographique de leurs for- ne aux quel concept de la guerre a-t-on voulu les centaines d'avions parqués Aux enseignements de la mations, appellera l'attaque massive et la guerre, sur faire face? guerre les rives la Moselle de la Méditer- aaa certainement. Les facilitera. L'ennemi profitera de cet avan- de ou mondiale très armées ranée. Les deux trois kilomètres les fronts, l'aviation stationne tage qu'il connaît aussi bien que nous. ou cents D'un tableau chacun peutdresser, il tiennent à supplémentaires l'assaillant devrait que li- Seconde conséquence. Le gagneraient- que résulte ceci: l'arrière, aussi près que possible des faire, dans les traquenards de la défense, afin de rien perdre ils, match de vitesse, des installa- — Cinq régiments complets, deux ma- gnes ne de son rayon ce que pour atteindre les usines sont, tout de for- tions, des services, du matériel, des écoles gasins généraux sont stationnés entre 50 d'acion. Lorsque « l'assiette» de nos même, quelque chose qui diminuerait les fixée resteraient place seraient la proie et 350 kilomètres de la frontière militaire ces aériennes a été comme nous ve- sur et chancs de succès. Rien de tel pour Thion- du Reich (i). nons de le voir, on a considéré que les commode de puissantes interventions. Pour ville, Metz, Nancy, Strasbourg, Reims bases ainsi créées pourraient servir de éviter des pertes effroyables, il faudrait re- même; rien de tel Saint-Raphaël, Un régiment est à moins de 250 ki- d'opération. Erreur capitale. fouler l'intérieur les organisa- pour lomètres- bases vers toutes Berre et le reste. Tout cela est à l'avant- de la plaine du Pô. tions immédiatement jetées dans la Car le jour de l'Armistice, tous les en- non scène. Pourquoi parle-t-on pas de pla- Huit escadrilles terrestres ou mari- fournaise de l'attaque. ne times,- (Saint-Raphaël) seignements de la guerre, en ce qui tou- ces moins chères? un centre important Il faudrait créer, à l'intérieur de la Sont stationnés façade la Méditer- chait l'action de l'aviation, sont devenus La raison simple. La décentra- en sur France, une seconde zone de bases aéro- en est ranée. caducs. Le progrès technique allant con- lisation des usines la conséquence d'une nautiques pour mobiliser les formations de est tinuer à produire ses fruits, la mobilisation, décision du Conseil supérieur de la Dé- p* Un centre important (Berre) est à réserve, pour instruire le personnel dans moins base de toute intervention, se présente- fense nationale, actionné, doute, de 50 kilomètres de la mer. les dépôts. Qu'on le veuille ou non, c'est sans aucun rait sous des aspecs inconnus. Il fallait voir le Conseil supérieur de la Guerre. Tous ces centres et ces formations com- loin dans l'avenir, moins, réserver à quoi nous serons fatalement contraints et par ou, au Mais l'on se gardera, longtemps encore, Portent des installations concentrées, tou- cet avenir prudemment, sagement. des millions seront encore engloutis. Ne jours sera-t-il alors permis Français de d'évoquer « l'autre décentralisation ». L'af- coûteuses, parfois d'un intérêt vital Pour établir l'assiette de paix de for- pas aux Pour l'Aéronautique. La destruction de nos demander des comptes? faire serait un peu fort de café. Des res- ces, on pouvait, sans crainte d'erreur, tenir ponsabilités seraient qui tien- Saint-Raphaël serait catastrophe. Les Et nous passons sous silence, faute de engagées ne une compte de la mobilité de l'aviation et par l'être. On saurait magasins généraux de Romilly et de Dijon place, nombre de problèmes posés par nent pas à ne tenter, sans conséquent de son aptitude à se concentrer couvrir ridicule, déplacement de sont gorgés de matériel irremplaçable avant une qui prend un relief saisissant se de le rapidement sur des bases choisies et pré- erreur régiments vient terminer l'ins- de longs délais-, Berre devient école au moment où des avions, aptes à dont on de une parées en secret. On pouvait oublier se de première nécessité. Quant ne pas défendre à à tallation. On attendra. toute aux l'extrême sensibilité des bases attaques et transporter 12 15 tonnes régiments, ils des qui aux d'explosifs de à kilomètres, On attendra les événements nous ont parcs ne pour- aériennes. On pouvait tenir compte ou gaz T.000 que raient arrachés encore jetés dans la circulation mondiale. saisissent à la être du sol en quelques des progrès la technique permettrait sont gorge, comme en 1913, heures. que demander les crédits. Et si la d'obtenir dans le d'action des D pour sur- rayon ma- aa prise survient les du Bref, les deux tiers des Forces Aériennes chines la puissance des bombardements. Quelles les d'une telle avant que erreurs rfançaises et excuses auteurs passé aient été réparées, si le malheur veut sont stationnés en des régions Il fallait éloigner de l'assaillant les pourront-ils Une orga- imprévision invoquer? les deux tiers de forces aériennes Particulièrement accessibles aux attaqiXes nisations les stationnant loin l'aviation de allemande était que nos terrestres en seule: guerre sombrent dans l'ardente fournaise, il aériennes de l'ennemi éventuel. Ces forces à l'intérieur, afin de les rendre moins vul- sera détruite. Mais ne vovait-on pas naître l'avia- commode d'accuser le monde se trouvent dans le rayon normal d'action nérables et de faciliter, cela même, la encore tout par tion commerciale? L'Allemagne ne don- le Parlement. mobilisation des échelons volants. nait-elle signes et pas des manifestes de sa Les vrais responsables auront vécu, ho- (1) Cettefrontière a été fixée par le Traitt de Il fallait éparpiller l'aviation opérer volonté de déchoir dans l'ordre vVersailles 50 pour ne pas norés, cravatés. à kilomètres de la rive droite du aérien? tthin ., sa mobilisation et sa concentration rapides VERAX.

AéronauHtwp militaire. UNE CONTROVERSE que, dans cette deuxième phase, la maniabi- lité l'emporte. PROILIDIES Or, passe-t-il L'adjudant-chef Réginensi. du 34e Rgt ; DI que se actuellement lorsque je - LA sergent de réserveBailly, du Centre de Mo- LIS caASSI l'on crée un appareil à vitesses horizontales bilisation 21, sont inscrits le de ng pour grade élevées? Les rayons de giration augmentent sous-lieutenant à la suite du tableau d'avan- considérablement avec la vitesse et, seule, cement pour 1929. M. Michel sait réunir les inconciliables. Le « rapace de l'attaque Gé- — » peut être abordée avec chance de Le capitaine Cornillon, du 8e Rgt de l'air, vu par un « as ». Nos chasseurs ont-ils un canon pour lutter succès. .ue, détaché 12* Rgt. est admis avec son — grade au contre le multiplace? Y a-t-il incompatibilité entre un appareil actuel dans l'Aéronautique militaire.. à grande vitesses horizontales 10> Le Combat. et un appareil tructionSont désignés pour suivre le cycle d'ins- « Il faut songer au 500 à l'heure, au 20 à évolution serrée? des commandants, les chefs de bataiL- blindage, à l'abordage. Il faut songer à L'attaque nécessite des performances éle- Nous répondre lon Durand, du 33e Rgt; Poupon, détaché à vées. En mot la supériorité de l'attaque pouvons non. l'E. M. Comité l'armement. » un n'y incompatibilité, taire du général président du Mili- appartient à l'appareil pour lequel le laps Il a pas mais le cons- Battle,Allié; Lafay, du Magasin Général n° 2; Telles étaient les conclusions de la pre- tructeur ne devra jamais perdre devue que 32e Morel, du 12- Rgt; de temps écoulé entreladécisionde l'âtta- du 3lo du Rgt; Pratt, mière série des consultations que nous l'arrivée l'adversaire le pour obtenir des vitesses très élevéesavec Rgt; Hiéronimus. de la Direction Géné- que et sur est plus des de giration petits, rale des Forces Aériennes; Villetard de La- avons publiées jeudi dernier. Voici aujour- court. rayons il faudra que guerie, du 22, Rgt; Bollon, de la Commission d'hui l'opinion de M. Michel Wibault, le Ceci implique, comme je le disais, la supé- le moment d'inertie de l'avion varie en rai- d'Etudes son inverse de la vitesse. 34e du Camp de Cazaux; Laurent, du jeune et vigoureux constructeur, le « lan- riorité de performances. Cette supérorité de Rgt; du 1er Rgt d'Aérostation; Les Samson, ceur », en France, de la construction in- performances peut s'acquérir soit au moyen En d'autres termes, plus l'appareil sera Boudillet,capitaines Fondi de Niort, du 34e Rgt; tégralement métallique. d'un appareil à grande vitesse horizontale, rapide, plus les masses de l'appareil devront fle de la Commission d'Essais du Camp être concentrées maximum. Cazaux; Arbitre, du 38e Rgt; Faierstein, de soit, au contraire, au moyen d'un appareil au Direction « J'ai réfléchi depuis longtemps à l'in- à plafond élevé et à grande vitesse C'est d'ailleurs la raison fondamentale qui Générale Technique. fluence qu'il lieu d'attribuer à l'accrois- ascen- 'Ub Sont nommés grade d'adjudant-chef, y a sionnelle, ce qui, en d'autres termes, équi- m'a fait adopter l'aile surbaissée pour les lesRebard, au sement de la vitesse, dans la maniabilité, à capitalisation des vitesse hori- appareils de chasse rapides. adjudants du personnel navigant Waeckerle, l'armement dire, dans les vaut une Gatta, du 1er Groupe d'Ouvriers; Au- et, pour tout pro- zontales. En effet, pour obtenir une plus grande vi- raaite, du 35e Gueudet, Hamel, Gautret, grammes d'avions de chasse. Lorsque l'appareil portée tesse, il importe de réduire maximum Lécrivain,Lamirault, Rgt; sera à de tir de au du 34e Rgt; Vous entendez bien souvent des pilotes son adversaire, deux solutions apparaîtront: les résistances passives; la suppression de avion, Surtel, détachés au Groupe des de chasse émettre l'avis qu'un avion très La première bénéficiant du facteur la mâture s'impose. Ouazine,nouveaux; Pardaillan, Libot, Schmit, : sur- rapide forcément de maniabilité prise qui lui été conféré la Nous arrivons donc à traiter l'appareil de du 37" Rgt; Buisson, Petit, du 5e Grou- manque et aura par sou- u d'Ouvriers; Thibault, Gâte, Ratel, Raffali, qu'en cours de combat, ils préféreraient em- daineté de l'attaque due à la supériorité des chasse en cantilever. Vergniaud,du3e Groupe d'Ouvriers Dubuc, du 36e Groupe; ployer un appareil plus lent, donc plus ma- performances, le chasseur aura réussi at- Mais on pourra remarquer que l'aile can- son tilever n'est possible qu'à condition d'aug- du dit 1er Groupe d'Afrique; Urcun, niable. taque et le problème du combat ne se pose Les39eadjudantsRgt; D'autres, au contraire, estiment que la su- plus. menter l'épaisseur de l'encastrement. l'Aéronautique spécialistes Urruty, détaché à périorité des performances prime la mania- La seconde : ayant échoué dans l'attaque, Dans ces conditions la solution devient in- giment;Morin,Indochinoise; Tanguy, du34e Ré- bilité. le chasseur démasqué dans l'obligation compatible dit 5" d'Ouvriers; Du- sera avec tout ce que nous avons du Groupe Comment concilier ce qui, au premier d'engager le combat contre l'adversaire prcédemment, la solution parasol, du du 35" Rgt; Auneau, du 11e Rgt; Grenon, abord, pour pour 31* Rgt; Menguy, du 39" Rgt; Bonnet, paraît inconciliable? en avoir raison. puisque l'épaisseur de l'aile augmentant, on Orihuel, Le problème de la chasse comprend deux Dans cette deuxième p-hase, la supériorité dans l'obligation, la Anjubault,du 37e Rgt; Meunier, du 330 Rgt; se trouve pour assurer du 1er Groune rl'Ouvriers: Coste. du phases différentes appartiendra à Vappareil dont les rayons de même visibilité que dans le cas du para- 21e Rgt. ,0 L'Attaque. giration seront les plus petits. On voit donc sol semi-cantilever. de reculer le Dilote et d'avancer le rnotelt, pour assurer le même permettre un maximum de feu dans le mi- centrage.Ils'ensuivradoncfatalemc^nt que nimum de temps. le moment d'inertie longitudinal de l'appa- Voila l'expression fidèle de mon raisonne- reil augmentera en même temps que la vi- ment concernant la conception de l'avion de tesse, alors que l'inverse devrait se pro- chasse telle que me l'a donnée une longue ex- duire. périence Je reste convaincu, aussi bien au- Aucontraire, en mettant le pilote et le mo- jourd'hui qu'à la fin de la guerre — car mon teur au-dessus do l'aile, on a toute possibi- idée est restée la même — que nous venons lité de grouper les masses à l'extrême, et sous peu >e réaliser cet oiseau,strictement de donner une solution logique au pio- fait pour le champ de batailley apte aux 300 blème posé. kilomètres à l'heure à 4.000 mètres, tirant D'ailleurs, les essais de mon monoplace 3 à 4,000 coups-minute et ne dépassant pas à"ailes surbaissées, type 210, ont démontré les 1.300 kilos. de l'hypo- catégoriquement l'exactitude Vitesse maniabilité, légèreté, voilà !a thèse ». lègle de notre correspondant. Nous croyons Laissant de côté le pilotage et l'armement, quant, à nous, que la v'tesse d'utilisation M. Michel Wibault attaque franchement le pratique de 300 kilomètres sera largement problème de construction posé par la con- dépassée. dans deux ans. Car il serait ciliation de la plus grande vitesse horizon vraiment paradoxal que le record de vi- taie ..avec le plus petit rayon de giration. Il tesse pure approchât les 600 kilomètres- indique une solution. heure, et qu'il faille considérer que les La Giration, voilà un mot auquel nous servitudes du combat et de la navigation Le Caudron C. 68 à moteur Anzani 50 CV. faisons un sort. Les chasseurs en connais- imposeront toujours une réduction de moi- sem bien la signification Icrsque, désireux tié de la vitesse-récord. L'AVIATION PRIVÉE EN FRANCE de pousser J'attaque jusqu'au « hniîh », leur avion les entraîne invinciblement plus aaa l'adversaire qu'il le faudrait. l'emploi loin de ne tousémi- "Quelques précisions Nous doutons que toutes les conséquen- Autre réponse d'un chef, entre sur ces pratiques du problème de maniabili- nent. té et de manœuvre ainsi posé aient été J'insiste sur le fait que, nous, chasseurs, de mon avion de tourisme. étudiées Nous so,nmes prêts, en uut cas, ne sommes pas libres de choisir notre vitesse. à insérer l'opinin de nos lecteurs; Elle nous est imposée par celle des gens que nous poursuivons. Si les avions d'observa- Nous poursuivons notre enquêtesur les touristes de l'air, proprié- aaa faire kilomètres-heure, crinion qui cellelà, d'un tion arrivent à 350 taires d'un petit avion personnel. Nous consacré précé Autre énane bien obligés de faire du 40D ou avons nos de la chasse française, nous serons dents à MM. Raoul Lhuillery, Albert Japy, L. B. Dick. fi as » « as 0 au\ nous cesserons d'être chasseurs. Evidem- articles muVples victoires, ment la tactique d'emploi sera tout à tait le combat tournoyant vécu. simplement dans la c Tout d'abord la logique doit faire en- modifiée et aura Eh! bien, c'est depuis mai 1924 que je pos- gendarmes — tout - trevoir les qualités. à rechercher dans un Evidemment, aussi, tous les pilotes ne se- sède avion Caudron 68, biplace à ailes de la gendarmerie. capables de conduire utilement de un cU„ avion de chasse. En raisonnant, nous pou- ront pas repliables, moteur Anzani 50 CV. Il était, au moins, là, à ari combien dans cadre d'emploi : tels bolides, mais trouvera-t-on en vons nous placer son delà de A ce moment-là, je ne pensais pas qu'il fût rieux. l'avion de chasse représente au mieux l'oi- face d'observateurs, en état, au 300 doit pouvoir kilomètres-heure, de manœuvrer convena- possible de conserver un avion aussi long- a seau rapace et, comme lui, difficultés Il cependant, l'heure actuelle,, croiser ralenti surveiller zone blement leur tourelle? Ainsi les temps. est à au pour une parallèlement aussi bien l'at- toujours excellent état. On croit généralement les frais dans laquelle il recherche sa proie, pour ton- croissent pour en que élevts. elle maximum de taque pour la défense et, peut-être, com- En cinq ans, je n'ai jamais fait de grands tretien d'un avion de tourisme sont dre ensuite sur avec un « que progrès mécanique, rapidité Il ressort donc qu'il lui faut pos- me dans tout espèce de raids. Des voyages à Sens, à Paris, à Orléans, du tout. n, là aussi, plus tôt gue s0-U séder, à ce moment précis, pour pouvoir rem- trouverons-nous que nous à Lyon Mme Herriot Mans, La consommation d'essence n est essentiel, celui sinon plafond, tout au moins — avec — au celle cylindres dix- plir sa mission, un moyen ne croyons, un ont été les plus grands; mais, par contre, j'ai périeure à d'une six : palier. U de la vitesse. un fait quantité de petits vols dans litres à l'heure au plus, en biplace, pour vitesse horizontale est donc, a avis, une un rayon La mon aaa de 100 kilomètres autour de Chaumont. Je 50 la qualité primordiale à donner à l'avion de Quant que aiP combats aé- compte aussi centaine de baptêmes. auxréparations,celles jen chasse. Ceux qui ont vécu les Enfin, terminons aujourd'hui par une faireCV.moi-même place été bien co avaient le désir toujoias nous sur ont riens de 1914-1918 lapidaire et chargée de sens, plaisamment du 21 folle vitesse aussi bien une pensée, a effectuées par le Parc • Plus grand de la adresse correspondant. dans l'attaque que dans la défense. que nous un Vitesse! Cela signifie que le pilote, Le chasseur n'aura la peau du multi- L'avion atterrit dans très petit espace o ne pas le jour un montant un appareil vite, se trouvera dans place, sans y laisser la sienne, que condition essentielle pour faire du tourisme. la nécessité d'être toujours à toute allure où il l'attaquera au canon, et naturellement -C'est qui m' permis, bien des fois, d'aller Des avantages? Une quantité!. principe s'accorde le porté l'avion, le plus vite, ce a dans l'espace. Le avec au canon par lui faire visite à des amis à la campagne, en me A Chaumont, le terrain militaire est à quaj proverbe qui peut plus, peut moins ». La le plus haut, etc. C'est la grâce que je « besoin. posant dans un quelconque champ voisin — tre kilomètres de la ville, suffisamment gran vitesse sera utilisée au moment du souhaite! dans la Vittel Bourbonne, tirera augmentation sensi- même région de et et assez plat. Le' hangar est vaste. Je me s Le pilote en une Nous aussi. cependant si ble d'assurance et de confiance. P. C. C peu propice aux atterrissages en de l'un et de l'autre sans frais. La vitesse du monoplace doit, de plus, être OBSERVER. campagne. mi-e en parallèle avec celle des autres appa- Il a reils qu'il aura à combattre, pour qu'elle soit supérieur à celle de e* toujours nettement ces L'avion est très léger, si bien qu'on peut le En campagne, chacun est complaisant derniers. aviation légère ne se développera que rentrer soi-même le portant épaule. bienveillant. Les ennuis commençant que En outre, le monoplace devra être d'une ré- en sur son ne maniabilité pouvoir, L' dans un régime de liberté. Il faut 'extrême pour au cours duire les exigences des services tech- de vitesse d'attaque, prendre position de sa malgré celles niques si l'on - veut que les constructeurs tir par de rapides manœuvres appareils à bon marché. Il défense de l'adversaire. Son encom- produisent des de — faut simplifier les formalités de réception et -brement devra se réduire au minimum et son matériaux et accessoires ensemble dépasser un poids limité n'imposer, comme ne pas kilos.Son armement homologués, que ce qui est strictement indis- aux environs de 1.300 sécurité. devra être aussi puissant que possible pour pensable à la

r,. lII"iI 4 * L'ALIMENTATION il * DU MOTEUR D'AÉRONAUTIQUE l PARSYSTÈME--s Le Caudron 68 de M. Scordel sur la route LE é ~:~ lorsqu'on fréquente les frequen 5. Ceci a toujours été un motif d'étonnement terrains. M.99 h;*' joyeux, surtout sur les terrains militaires. ~Bn Qui de n'évoque les files nonchalantes o «l nous | de mécaniciens geignant le bord d'attaque !" sur d'un Bréguet le sortir du hangar, les l'habitude de ec; m ~-' pour et A part Nancy, qui a l'hospital.lteese discussions bruyantes autour du chariot porte- voir des avions civils et dont iwM ! queue!.^ le moindre charme, les terrains mililaireS a méfient toujours de un peu l'impossibilitérvous.«je Ne vous ai-je pas écrit dateres , Un autre avantage de mon Caudron— m'étais trouvé, il quatre mois, y a manceyres chose indispensable faire du tourisme d'un de Villacoublay, LA pour pra- groupe en 's Pompe A. M. tique l'aile repliable. Un propriétaire Saran-Orléans, litre POMPE mouvement — est sur le terrain de vingt-cinq iyfe4,èfris*i* MMfiéi d'avion particulier n'a pas— en cas de panne d'essence. les facilités de réparation immédiate des a militaires- il faut donc : pouvoir rentrer l'avion S.N-AA dans la la f'j't AUTORGULATRICE" remise ou grange la plus proche, Quantaux terrains régis par le 99 en attendant la pièce de rechange. faut carte D montrant ne s y poser qu en allez-vous? on Or, les constructeurs tout comme les fa- che. D'où venez-vous? Où est bricants d'automobiles - sont jamais veut tout ne pres- savoir.tela VLQ d'expédier - Enfin inconvénient sés ce qu'on leur demande: vous un autre est Veritas attendez quelquefois huit jours une soupape trimestrielle obligatoire du bureau : indéréglable Laisserez-vous la fait-on subir aussi automobiles?.. et son ressort. votre avion ne aux dans un champ pendant ce temps? o qu'elle est onntà parce a C'estdire que, jusqu'àprésent, MÉTALLIQUE beaucoup les pilotes qui ~j;;'~ ENTIÈREMENT L'annéedernière, allant à Troyes, j'ai dû, courage pas piaisir.. leurs frais pour leur propre pour une soupape cassée, me poser dans un besoin champ du inondé avons-nous d'encouragement?inte,rneure« — reste — près de Lusigny. satisfaction personnelle A la ronde, le moindre hangar a est etvertIca,eaU" OULLINS (Rhône) pas ou On la trouve à partir de 800, à la la E. MARTIN, Constructeur, à abri. champs des bois, quand le soleilfaIt Mon qui s'était mis pieds et pa" ChatHudwa, BOULOOKB-Iar-IBDIII passager, nus pour de l'hélice halo lumineux qUe Technique, de du champ, tour un et a, A. MOULET, Agent 5, rue sortir et moi, avons roulé l'avion ville n'est plus qu'une tache la jusqu'à la rose sur TÉL. AUTEUR ensa route nationale, et sur cette route, lette de l'horizon. : pendant deux kilomètres, grand verte étonnement * au PierreSCORDEt* *» des automobilistes. Je l'ai rentré chez les ::»» 1ii-.II— —«—» buer à l'auteur de celui consi- lem, cela suffit c'est cela, seul, qui :' A PROPOS D'UNE CHRONIQUEDE L'INTRANSIGEANT que nous car dérerons le meilleur, d'abord une plaquette importe. A plus forte raison, l'Etat doit- d'art, ensuite une citation dans Les Ailes, il ficher la paix aux particuliers qui LE MEILLEUR ARTICLE ceci comme le double témoignage de la re- n'exploitent pas d'entreprises commer- connaissance de l'opinion aéronautique. ciales, qui ne lui demandent rien pour L'auteur d'un article comme' celui de à leur gré, M. Hervé Lauwick mérite témoignage pratiquer l'Aviation, selon de propagande aéronautique ce le matériel de reconnaissance, car il sert admirable- leur bon plaisir et avec qui la Ce leur convient. Il du meilleur ment cause de l'Aviation. n'est que Les Ailes" décerneront une plaquette à l'auteur justice de le lui rendre. Le Ministère de l'Air est entré dans Article de propagande aéronautique que publiera un quotidien En même temps, demandons à la bonne voie accordant des Novembre 1929 le nous nos en proro- de Paris ou de Province entre le 15 et lecteurs de seconder l'initiative que nous gations d'un an. Mais ça ne suffit lep Mars 1930. prenons, en nous signalant tous les articles, Qu'il soit beau joueur; qu'il re- rentrant dans le cadre de la,;propagande pas. publie rarement des- articles heureux connaisse son erreur et qu'il ne nous La grande presse d'information pure, qui leur tomberont sous les yeux. parle plus jamais de l'âge des avions! l'Aviation. Pourtant, elle pourrait jouer, dans la voie de la pro- Nous voyons beaucoup de journaux, mais 'sur premier Au les La liberté pour l'aviation privée! pagande aéronautique, un rôle de tout plan*.. journaliste ne voyons pas tous, et lacollaboration qui comprendrace rôle et qui le jouera le mieux, Les Ailes veulent des amis des Ailes nous est, à cet égard, -.j,O.I..:_-- la. reconnaissance indispensable. Nous savons qu'ils ne nous .-.-- .- large publicité, LA SECURITE manifester, par un souvenir et une la ménageront du monde aéronautique. pas. Ajoutons, enfin, que nous examinerons B faut combattre tous les articles qui auront été publiés du de lecteurs L'Intransigeant publié, la semaine der- qui dépasse le niveau ses ou 15 novembre 1929 1er 1930 inclus a sensationnel qui passionne la au mars rière, la signature de M. HervéLau- le « bobard» et que nous reproduirons le meilleur dans les méfaits du brouillard sous elle n'exploite guère que la perfor- wick, un article remarquable intitulé: Mon- foule; notre deuxième numéro de mars prochain. tez mance transcendante ou le détail horrible L'aviation enregistré, l'autre semaine, erv avion, retentissant. L'aviation a de l'accident '11111'1111IlIl..1..1..1.11.1.il§àa@&IlauRue8.81Ma1"1. deux accidents graves dus au brouillard. Nous n'avons pas une indulgence exces- d'usage courant, l'aviation de tout le LES AVIONS A LA FERRAILLE Un trimoteur Junkers qui assure le service sive pour tout ce que publie L'Intransi- monde, l'acte quotidien, normal, régulier, Londres-Berlin, ayant huit personnes à bord, geant. Nous n'en sommes donc que plus à banal des pilotes de ligne, des pilotes mi- est entré en collision avec des arbres que le 6 novembre, près l'aise pour exprimer cette opinion que ja- litaires, des pilotes privés, l'acte qui donne Ça suffit pas! le pilote ne voyait pas, ne de Godstone, dans le Comté de Kent. Sept mais peut-être jusque-là, un journal quoti- l'aviation vrai visage et dans lequel dien à son personnes trouvèrent la mort dans cette col- d'information n'avait encore publié un réside son intérêt essentiel, tout cela est Ça lision due brouillard. Article aussi heureux la propagande négligé, confrères n'a pas traîné. Le Ministère de au pour laissé de côté, par nos l'Air, qui avait commis unebêtise Le 9, un avion postal du service Paris- aéronautique. de la grande presse. en Strasbourg, monjté par deux pilotes, le retirant avions dont la construction Manoff, pris La d'information comprend L'article de M. Hervé Lauwick est une aux Français Parrain et le Bulgare presse ne remonte à plus de dix le droit de dans le brouillard, a heurté des arbres, dans Pas comprend mal le rôle considérable exception heureuse à une règle devenue ans, heures du ou C'est pourquoi l'en félici- voler, prodigue des prorogations à ceux la région de Bar-le-Duc, vers 7 qu'elle pourrait jouer pour amener le grand générale. nous matin, et a fait une chute dans laquelle les Public à l'Aviation. Elle pratique trop tons; nous l'en remercions et reproduisons qui veulent bien les lui demander. Après deux aviateurs furent tués. Volontiers ou l'article d'allure scientifique ci-dessous le beau « papier» qu'il a écrit. la C.A.F. dont les A.R pourront con- Le brouillard, l'a dit maintes fois, est tinuer leurs bons loyaux services, on )»+-1—— et le pire ennemi de la navigation aérienne. Ses Maurice Finat vient d'être autorisé à se méfaits sont d'autant plus navrants qu'ils Montez avion servir de monoplaces Nieuport. sont le fait d'un phénomène météorologique et en î ses celui du matériel aéronautique. La sécu- non Preuve que nous avions raison et que la rité de la route aérienne doit être étudiée, le du public. Sur les lignes décision ; J'en veux à tous nos journaux, à pres- pas cas com- du Ministère de l'Air ne répon- comme celle du matériel et, à cet égard, on que tous les nôtres, du moins. Et à tous merciales, la perte de vitesse n'est-guère dait à rien de sérieux. demande que soient activement poussées tou- iesjournaux espagnols exception; et rencontrée, l'aile à fentes peut d'ailleurs tes les recherches qui tendront à réduire les sans Dans ces conditions, la mesure doit du vol dans le brouillard. Les $quelques journaux anglais encore et y parer, et la faute de pilotage, quand on conséquencs ; soi des Thoret être rapportée intégralement et procla- Allemands paraissaient être dans la bonne moins aux journaux allemands, car ils sont, a l'honneur d'avoir avec ou L'ont-ils aban- des Bajac, n'est à considérer. mée nulle et non avenue. Il ne suffit pas, voie avec la sonde Boehm. IPQur la plupart, ceux qui ont compris qu'un pas donnée? Pourquoi? Les Américains ont an- accident d'avion n'est pas l'événement Ne négligeons donc pas la perte de vi- comme on le fait, d'accorder des pro- noncé à grand fracas la performance du lieu- Principal de la journée, et qu'il était inutile tesse, c'est le seul défaut de l'aviation ac- rogations d'un an mais de retirer pure- tenant Doolittle, décollant et amerrissant dans jde Fautogire monter en épingle toutes les chutes tuelle. L'aile à fentes l'atténue, ment et simplement une décision qui le brouillard. Pourquoi le Guggenheim Funds avion oubliant complètement de la supprime toujours. constituait regrettable. ne s'empresse-t-il pas de révéler le procédé — en une erreur utilisé l'application soit généra- Parler des millions de kilomètres parcou- Reste le feu, contre lequel le Diesel- La Compagnie Aérienne Française, la pour que en rus contre-partie, èt qui de- défendre, moins lisée? Enfin, ces temps-ci, on a beaucoup qui en sont la Clerget va nous du en Société le Développement de l'Avia- parlé et parlons nous-même dans vraient, dans l'esprit du public, le com- l'air, et contre lequel le dispositif air- pour — nous en « tion des entreprises subvention- ce numéro — des nouveaux procédés Loth. jpenser. sécurité ou un autre système à fulmico- sont non Les résultats annoncés sont-ils réels? Ne », nées. Qu'on soumette leur matériel On se plaint, après cela, que le public ton, vu au Salon dernier, peuvent nous au sont-ils pas exagérés? Sont-ils dès à présent lançais soit air minded qu'il n'ait défendre déjà. La brume enfin, dans la- contrôle du Bureau Veritas, c'est une applicables? Dans la négative, il convien- ne pas — espoirs qui 'Pas, car' cette expression est intraduisible, quelle notre ami Lalouette et quelques au- mesure quise défend. Mais si le Ve- drait de ne pas soulever des ne l'état voler fort bien, mais dans la- se justifient pas dans l'affirmative, on d'esprit aérien! tres savent ritas reconnaît le bon état de ce matériel, le ministère; de l'Air Les tranquilles quelle il demeure indiqué d'atterrir. compte sur pour pas. Allemands l'ont, soyez peu fût-il construit au temps de Mathusa- ser, le plus vitepossible, à la réalisation. ou; plutôt, non, ne le soyez pas trop). Et En cas de brume,qui vous empêche de Ses Anglais commencent à l'avoir. rentrer au terrain d'attente,ou.mieux en- Chez nous? core de rester chez vous? Aucune com- blm>«m>«b4m 4»0 pagnie aérienne risque volontairement .--üPTiüüË-Ëi-p¡ËGiÕÑ-Ë-LËŸiiLÜtis--i------Chez nous, je voudrais voir, en man- ne chette de tel journal qui étale en première ses passagers dans le « coton». tageleschutes d'avion, cette phrase répé- * tée tous les mois: ** français à I Le mois passé, les avions eux Alors, pourquoi ne volez-vous pas? LEVALLOISPERRET .:. 86, raeChaptal.88.:. LBVALLOIS-PERBft f eulsont couvert 365.822 kilomètres sans Pourquoi n'empruntez-vous pas, pour vous- 9 Marine ]Un accroc. Car c'est ce qu'on oublie tous colis, les lignes aérien- Fournisseur des Ministères Fronçais le to Guerre el de is f même, pour vos 9 les jours de dire, c'est qu'il importe des Principaux Gouvernements Etrangers îousles et ce nes? Je lisais dans un livre récent d'un jours de répéter. technicien l'air offrait à l'avion le mê- que 6 6 * me appui solide que le ciment de la route à une auto. L'image est forte, mais elle 1 0.S0 Cet été, Sir Alan Cobham, l'illustre pi- est vraie. Je vous l'assurel, o. lote voilà, parlé a Seulement, britannique, est allé faire une tournée on ne vous a que i9 I tie propagande. Il a emmené 40.000 pas- d'accidents! C'était ce qui se passait pour sagers. Tous ont dîné chez eux le soir et l'automobile à ses débuts.Je connais un P. P. ! Pnt pris leur déjeuner le lendemain. voiturier sourd et ivre qui fait de nuit une 8 Les petit 40.000 avaient échappé au péril mor- route provinciale, avec des chevaux pres- 6 tel de l'aviation. bytes. Il a été tamponné deux fois par des L. L.. Les deux fois, imprimé acci- Si on regarde les choses bien en face, autos. on a : à à On dent d'auto! voit les accidents d'aviation di- que se à n- r»— 1 ssent, C'est qui produit pour l'aviation; : r ! chose curieuse, en trois catégories ce se égales cela ne peut qu'en décourager le public. pour rlntralaemlntPentr&îMBMnt Mau tirMr aérieaaérien A : j Viseur-Colimateor clair le tir de chasse Panne de moteur. Quand Lena Bernstein a « mis en pile » i pour i : Aéronautique Militairt Française Faute de pilotage perte de vitesse. son appareil, près de Brive, on lui a fait iadoptésx par, ou publicité.- le mois Alti-télémètre spécial la défease anti-aérienneêA Incendie ou brouillard au sol. une immense Quand, ponr Le été d'un seul vol jusqu'à Tu- : Adopt; dl rwmlweuzGauvememént»Gau"erll.e-..MS arti.ngen de après, elle AdoptéAnombreuxpar étranger*A fait petites parde reste est causes rare- a , mentIL. rencontrées. nis, avec de l'essence jusque dans ses po- • le premier danger éliminé ches, on i. trouvé cela tout naturel. Or est sur un Formez-vous habitude d'esprit lmoteur, à plus forte raison un multi- cette : hthmmiukI sur knoteur quand vous lirez quelque part un accident ce qui est le cas des appareils alle- du mands de quelques français. Le d'aviation, songez à tous ces avions et mana- monde qui totalisé jour-là le tour ter d'une ligne hispano-allemande se van- ont ce ,aIt de la qui après vols innombra- auprès de moi de n'avoir jamais eu un terre, ces atterrissage forcé. bles ont atterri sans ennui, et pensant que Efficacité absolue : joie des le béné- Le second cas (comme le premier), dis- c'étaitpour la uns, pour contre les retours de flammes Paraît fice des autres, pour porter un sérum, hâ- > l'autogire. Il n'est fréquent 2 avec u'avec les débutants, les élèves. ter un médecin, sauver des malades, vous 6 ans avec aussi volontiers Sans diminulionde puissance doute, il est momentanément dange- ne direz plus : - ktflX Cette sale invention!. augmentation de consommation ®essayerd'apprendre à piloter; et périlleux - sans des appareils neufs. Mais n'est Hervé LAUWICK. ce UN SEUL ELEMENT ABSOLUMENT INDEFORMABLE ) -+. ( f A l'ordre de l'opinionaéronautique. SOCIETE D'APPLICATIONS , ', be aéronautique Pourquoi esprit'r' nombreux articles dans le genre et l'opinion ? ne pas f de M. Hervé Lauwick, répandus à leur demander d'exaucer ce voeu? DES MACHINES MOTRICES rofUSiOll dans la grande presse d'informa- Nous le leur demandons. Et déci- «Ort nous PIO — ellf de Paris et de province — dons de classer tous les articles de propa- 37, Rue du Général-Foy, PARIS Paient chose extrêmement désirable. gande aéronautique qui, à mrtir du 15no- Pourquoi Téléphone LABORDE 19-49, 19-50 X journalistes, ne pas dire aux journaux, aux vembre prochain, passeront dans la presse i que ceci répondrait au vœu de quotidienne de langue française, afin d'attri- "1ll:1h" jjj LESAVIONSMAUBOUSSIN—LPEY CO N STR UCTEUR I i S UNEFORVMULEN0 L E E N F R A N C E

:h'5 -- MASJRGUSSl^' 1 ltfb'seUl,t: ---,Renseignements---auxAVIONS PARIS -:- Téléphone: Gutenberg 08-37 - 08-39 It.C.Seine65.766 LA FORMATION DES TECHNICIENS Notre industrie n'a pas Un nouveausuccèsà l'actif du Farman190 de dessinateurs d'études. Paris=MadagascarA quelques jours d'intervalle de la première liaison Notre ami Odier poursuit ici sa courageuse.campagneenfaveurde la formation des dessinateurs d'études.Ne confondez dit-il, le par GOULETTE-MARCHESSEAU-BOURGEOIS pas, avion dessinateur qui étudie la réalisation d'un projet avec le calqueur dont sur FARMAN F.190, moteur SALMSON 230 CV. le rôle est simplement de reproduire. BAILLY-RIGINENSIMARSOI C'est un lieu commun de dire que pres- et celui qui dicte ep détail un texte Qu'il que toutes les inventions sont françaises. développe sur des données imposées. Quand, par hasard, une idée féconde naît télégraphient: hors de nos frontières, elle vient généra- aQa lement en France chercher ses lettres de TANANARi/:136SA3TPKN14010h.30 Nous avoir des succès dé- t VOI.Î L.-.Û.. noblesse témoin Wright. Il est également avons pu au - : FARMAN 8i'_LAN00l!RTO inutile do dire artisans les but de chaque industrie parce que, au dé- - Ine) que nos sont plus habiles. Comment expliquer alors que, but, tout est simple. Les premières, autos B¡:"LAO!!RT(SelM) dès qu'une innovation devient utilisable, comme les premiers avions ne pouvaient r_ „ nécessiter d'études complètes 1 .•* 1 la France soit si vite distancée et que toutes parcequ'à i près les données théoriques .°-(o..;.] •<>»•"•.°* r nos trouvailles nous reviennent si tôt avec peu toutes et : ------des marques étrangères? Le défaut est fa- pratiques étaient inconnues; l'initiative et cile le bon français, l'audace dans les -—10 h.M! à révéler c'est que nous ne savons sens l i pas ou ne voulons pas dessiner. essais suffirent pour que, des échecs et des succès, l'on puisse démêler les di- 1 v La est presque toutes t - preuve en que rectives exactes. nos grandes firmes travaillent des plans ! sur Mais, avec les progrès, tout s'est telle- 1 étrangers Cail, Peugeot, Thomson, BATTU*rtFQORD PARIS 4NANARI PAffFAfT : ment compliqué la spécialisation T Vf 5.3 tUrRES AVION Gnôme, Rosengart, d'autres, exé- que est i et tant devenue nécessaire. J'ai dû, pour mes pre- i' cutent une grosse part de leurs travaux miers avions, il y a vingt ans, me char- i BAILLY REGJNE'JSI MARSOT sur des pians étrangers, à cela près que ger moi-même de faire le planeur, l'hélice, i des dessinateurs qui n'ont besoin d'aucune jusqu'aux Or, il avait initiative et roues. y en tout mettent les cotes en métrique et moins de travail d'études qu'il n'yen a t les annotations en français. Pour l'avia- aujourd'hui dans le dessin d'une planche tion qui nous intéresse ici particulièrement, de bord complète, commode et montable, PARIS-MADAGASCAR (1J.000 km) dire Ecole Supérieure jours on peut notre en que unique détail d'un avion 8 parce que cet d'Aéronautique forme les meilleurs ingé- moderne demande foule de connais- PARIS-SAIGON-PARIS en 18 jours nieurs, une que les souffleries d'Eiffel ont été sances, une réflexion minutieuse et beau- MISSION DE LAIR-AFRIQUE AU copiées dans le monde entier, que nos de patience attentive. TCHAD. coup constructeurs sont les plus secondés. Or, En improviser nous sommes loin du 600 à l'heure de somme, nous avons pu pour tracer les voies; pour reconquérir tous l'avion l'avion qui vole 15 jours sans escale, du avec dirigeable du du monde de l'hydro notre place, il faut une minutieuse étude tour et des détails. Ce peut être le même à 169 passagers. C'est qu'il nous manque ne Farman F.190Titan 230 simple accessoire homme qui jongle avec les intégrales tri- un qui est, malheureu- oies qui s'appesantir le dévelpp- ev. sement, indispensable c'est le dessina- peut sur : oement des ferrures, le compte du poids teur d'études. Nos techniciens et nos cons- des rivets ou le tracé de gravité! Tout cela, tructeurs n'ont exactement rien entre le c'est de l'étude créateur qui imagine et calcule, et l'ou- et personne ne veut ou ne sait la faire. vrier qui exécute, à part le calqueur qui classe seulement ini- o DO qui se ainsi comme peut mettre au net, sans l'avion exclusif des voyages aériens utilitaires tiative, un croquis coté. Ils sont dans la à grande distance. situation du chirurgien célèbre, au dia- « Avant la guerre, dit Ambroise Got, jt gnostic sûr, qui, ne voulant ou ne pou- les diverses écoles techniques allemandes -- opérer lui-même, chargerait des aides accueillaient 400.000 élèves, tandis que vant 1~~M——t~~——————~~-~~- incompréhensifs lis établissements français similaires n'en des plus graves opérations VIENT DE PARAITRE k recevaient 20.000. Pour l'enseigne- tousvotreATEztnc UBS que Catalogue (gratis) de AVI D. ment technique supérieur, les écoles poly- préféréenép a a techniques allemandes avaient 11.030 élè- portez Livres rAviation gle de broche pour cra- cravate ou en ves en 1911 et en ont aujourd'hui 23000; sur des L'absence d'un mot suffi à créer qui vate de chasse. Réduction exacte a une !e nombre des jeunes gens suivent Bréguet, Satmson, Spa., confusion: personne ne désire, en France, des études universitaires décroît constam- marques: sesqu»- Morane, Nieuport (biplans et accepter la profession de dessinateur d'étu- ment tandis qu'il augmente sans cess dans réduction- des qu'elle avec une liste d'ouvrages ptans). Insignes de Pilote en parce demande un savoir con- l'enseignement technique. » sidérable de la dif- en langues étrangères Prix défiant concurrence et que peu personnes Aux Etats-Unis, les écoles techniques 1927 1928 1929 toute férencient du métier de dessinateur mé- - - iaint-Hauf. : spécialisées sont innombratrles. Tari) sur demande, PORTtLET, 130, rue tier provisoire qu'acceptent des jeunes gens Ouvert iusqu 20 PARIS ¡XII Les succès industriels de ces deux pays Demandez le Manuel a heures au sortir de. l'école, avec le désir d'en de construction des Planeurs sortir plus tôt, métier rebutant, prouvent bien que la formation de techni- j ) au sans (Vient de 12 fr. BREVETSCONSULTATIONS gloire et mal payé. Beaucoup de construc- ciens spécialisés paie largement au pavs paraître). -~~--~<~,~,~ teurs considèrent leur bureau de dessin la dépense. Tous sont orientés vers une Voir les numéros précédents des"Ailes" i technique utilisable qui perd jamais GRATUITES comme une plaie dont il faut limiter les ne demaôde le contact avec la réalité. Tous sont capa- Librairie des Sciences Aéronautiques Tarif brevets étrangers envoyé sur dégâts, et ils en notent les frais en profits Brevet français depuis 660 fr. tout compr5, bles d'imaginer en raisonnant et de des- 1905 'W'EISS, et pertes — u côté pertes — comme, Fondée en E. Ing..(ons.E.C.p, exemple, les impôts, heureux si, siner pour permettre l'exécution; c'est F.-LonisVIVIEM.48.r.lfesÉCBles.PAHIS-TT' par trop le rôle dévolu dessinateur 53,23 au bout de l'année, quelque loup exactement au 6, rue Faustin-Hélie, PARIS T.: Aut « » re- d études. On ajouter malgré leur - tentissant d'un dessinateur ne les met pas peut que, ---- m immmm 1%,~,~~-Iqw-«Ç>Iqwlu - en trop grave posture. Le rôle du simple dessinateur n'a aucun rapport avec celui du dessinateur d'études capable, en échan- "VENUS" ge d'un projet sommaire, de donner une liasse de bleus d'atelier rigoureusement Un nouveausuccès les bougies exacts et complets. Celui-là ne peut faire pour courir aucun risque; il ne donne pas l'idée première, mais seulement la réalisation parfaitement précisée et permet simple- ment, avant construction, de juger — pour- vu que son étude soit tout à fait complète t— du prix, du temps et du résultat pro- bable que donnera la réalisation. Daa La France ne forme pas de dessinateurs d'études : la preuve en est que lesrares qui existent sont autodidactes et qu'il n'y a aucune école qui oriente vers le dessin d'études spécialisées. Toutes les' écoles — trop peu nombreuses — où l'on fait du dessin industriel, ont, à leurs program- mes d'épreuves de dessin, la reproduc- tion, par exemple à une autre échelle, d'un dessin existant, ou le relevé du dessin coté d'un organe existant, ce quin'est qu'une - copieet pas du tout une étude. Par con-' tre, toutes les écoles qui enseignent les données nécessaires à la création s'éten- dent sur la théorie et le calcul, dédaignant trop le travail matériel du dessin indus- triel, bon seulement, semble-t-il, pour des sous-ordres. Malheureusement, ces sous- ordres n'existent pas. Or, il faut bien se pénétrer de cette idée élémentaire qu'il y a autant de différence entre un dessina- teur qui se bonze à reproduire etun des- sinateur d'études capable de transformer un calcul ou un croquis en un tout de construction possible,qu'entre la dactylo Ilnllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll111111111111 Les Ateliers des Mureaux et leur excellent ingénieur Brunet ont produit ce beau lllllllllllllllItlIIIIIIIUIIIIIIIIIIIIIIIlillllllllllllt monoplan qui appartient à la série des A 2. L'appareil qui est actuellement à Villacoublay j^,rnbre c'est-à-dire Grands Lacs, erchésimpressionnant ils restent très re- suscite un intérêt justifié par la valeur de ses performances. Piloté par Desjoberts, le Appalaches, Nord. et royalement payés. « Brunet-Les Mureaux» se révèle comme un des meilleurs A 2. Nous revriendrons Est Atlantique, le pays yankee par excellence.. ai les exemples précis de plusieurs d'ailleurs prochainement sur cet intéressant avion militaire. Il faut, à cette d'hyper-activité, des Flets zone qui, sans être exceptionnels, sont moyens de communication ultra-rapides. Ses 'triplement d'une bonne moyenne et dont différents centres, de New-York à Chicago, e salaire annuel est compris entre 4.500 L'AVIATION MARCHANDE AMÉRICAINE sont étroitement solidaires. Cette partie de 1 5.500 dollars. Je crois pouvoir affirmer l'Union trafique non seulement avec le monde Q.e, si dessinateurs elle nous avions formé des Le développement de l'ovlollon marchande entier, mais trafique sur elle-même. études spécialisés dans J'av;ation, notre L'avion participe à activité fébrile ,uPrématie cette par Les naurait pas ou être entamée. le tronçon New-York-Chicago et par les nom- frais de leur formation de leurs Irs et sa- et le commerce Inierieor des Eials-Unls breuses lignes qui rayonnent autour de ces n'auraient représenté qu'un infiniment deux villes de Cleveland. petit et autour à-côté des sommes astronomiques dé Cette région du Nord-Est dans le esées qu'on appelle la mise puise reste pour ce au Les lignes aériennes, aux Etats-Unis, ont une clientèle qui s'accroît de l'Union des quantités massives de matières Oln! mais quel'on peut traduire par in- rapidement. Cette prospérité de l'aviation marchande américaine Ilf/lsance est premières. Elle fait également appel aux au- d'étude. due à les premières lignes du réseau aérien été Etats de la Et tous les n'auraient ce que ont organi- tres fédération pour son approvi- constructeurs pas sées des l'intensité des échanges sionnement denrées alimentaires. En che leur existence empoisonnée par ce cau- sur parcours connus par commer- en retour, "emar qu'est bureau de dessin, lors- ciaux et bancaires, elle leur vend une quantité énorme de produits tout manufacturés. Trois on est contraint de le dénommer im- formes de transactions qui roprem..ent bureau d'études. La prospérité économique des Etats-Unis est Dans l'intérieur du territoire de l'Union, le supposent échange de correspondance, mouve- liée, large à deux éléments développement ments de fonds, déplacement de business-men.- A. ODIER. pour une part, des transports aériens a large- fondamentaux. Tout d'abord, les Etats-Unis ment bénéficié des deux conditions favorables L'Ouest,pays des grains et des fruits, exutoire unité territoriale dans la- des produits de l'Union l'Extrême-Orient constituent une vaste indiquées plus haut ,1 longues distances à fran- vers Une antériorité du Pacifique, directement in- autre quelle il y a une variété de productions suf- chir à travers de configuration par ses ports est un pays mas- téressé à commercial dont l'im- fisante pour que le pays puisse vivre en grande sive (il y a aussi loin de New-York à San ce mouvement D'autre (les pulsion vient du Nord-Est. Ici l' avion à la roue américaine partie sur lui-même. part limites Francisco que de Brest à Terre-Neuve), ab- encore, qui séparent entre eux les Etats de l'Union de barrières intérieures, d'où possibi- peut intervenir pour accélérer le trafic. Le tron- sence New-York-Chicago prolonge jusqu'à C'tbt avec un peu de tristesse et beaucoup ne comptant pas au point de vue des échan- lité de réalisation d'un plan général avoir çon se de sans San Francisco de des mélancolie que nous venons de constater iges) l'absence de barrières intérieures dans un à compter le compartimentage, les né- avec, en cours route, ùe , avec nœuds de lignes affluentes greffent la fameuse nouveauté américaine, la pays qui est à peu près à l'échelle de l'Eu- gociations diplomatiques, les égoïsmes natio- oui se sur iye Goodyear était deux fois française. le grand à Des Moines, Cheyenne, « » rope, a favorisé au plus haut degré l'établisse- naux qui retardent, en Europe, la réalisation tronçon la, nous avons montré quela roue de M. circulation Salt Lak City. t.h\'aher, ment d'un ensemble de voies de d'un réseau sur un plan vraiment européen de Moulins, constituait une an- tendant le mieux des intérêts « » elorité péremptoire à l'invention améri- à assurer, pour et commercial. Ce réseau intérieur américain, aaa la les échanges intérieurs. On llne. Cette fois, c'est plus loin dans de r.ation, peut dont le développement s'accélère avec une encore les Etats-Unis long- Il n'y l'Ouest lointain. Il le que nous allons chercher les pre- même ajouter que se. sont, remarquable rapidité, s'est, le plus souvent, a pas que y a ¡¡cres actuellement de préoccupés exclusivement d'assurer modelé les Centre, les grandes plaines à blé à maïs, straces — connues — temps, sur- sur courants de circulation dont et ette, invention du pneu d'aviation à basse tout les communications intérieures, négligeant, l'existence est bien antérieure à la naissance les prairies et les usines à viande. Le Centre, l'hé- lui la --on et de petit diamètre. En 1924, jusqu'en1917-1918, de se doter de la flotte de l'avion. C'est là, doute, qui aussi, participe à vie matérielle du Nord- toPtèr. de M. Ed. Douhéret était muni sans ce ex- marchande nationale indispensable aux rela- plique, dans l'ensemble, le succès réel de Est et en reçoit outillage, machines, etc,, ùn roue sans jante ni rayon qui se com- extérieures. l'aviation L'avion vole de Chicago à Cincinnati, de Chi. v*Saitd'une enveloppe ballon d'une tions commerciale américaine, aussi bien fa¡nbre « » des lignes postales des lignes qui font» cago à Saint-Louis, de Chicago à Dallas. à air spéciale et d'un moyeu en aaa que « Il le Sud-Est, le belt, °rme de bobine. C'était exactement l'allure des passagers en même temps de la poste. y a encore cotton que grand fournisseur de brut les fila- ée la roue Goodyear. A cette bienheureuse Le réseau aérien, lui aussi, été, jusqu'à Quelles sont donc directions du coton pour Poque, a ces com- du Nord-Est, grand producteur de M. Douhéret, le cœur léger, pré- derniers temps, un réseau intérieur. Il com- merce intérieur américain et dans quelle tures ta- enta Service Technique de l'Aé- ces me- bac, de de fruits tropicaux, doté, sa roue au mence à peine à franchir les frontières Nord sure le réseau aérien s'y est-il conformé? Il y sucre, en ticie. Inutile de dire qu'il ne recueil- le Canada (Seattle-Vancouver et Albany- Etats-Unis, hyper-industrielle, outre, d'un appendice, la Floride qui s'avance clt aucunsuccès et qu'on désintéressa vers a. aux une zone devant des Antilles. Les Antilles elles- "omplètcment se Montréal) surtout les frontières Sud énorme foyer d'affaires industrielles, au de ses travaux et de ses in- et vers commer- les piles Nous le Mexique, l'Amérique Centrale et même ciales et bancaires et, par-dessus le marché, mêmes sont d'un gigantesque pont ami itions. serions toutefois curieux de arches immatérielles rapidement esquissées sVolrs si l'opinion de services officiels l'Amérique du Sud. région de forte population. C'est le Nord-Est, pai s, nos le vol des hydravions des Panaméricain Air- est éclairée le temps et si la Wallon avec roue qui conduit chaudes de », autrefois élucubration honnie, ways, pont aux terres maintenant quelque intérêt. l'Amérique Centrale, terres à fruits, à pétrole, d rc pas en La première photographie, publiée France, de l'avion Junkers G-38 qui vient de Plt de la rigueur des standards. en « » à mines d' Par ici les faire à Dessau son premier vol. On lira, en page 12, l'article que notre collaborateur argent, etc. encore, saci Jean Romeyer consacre à cette nouvelle production des usines Junkers. sureU* postaux doivent être bien bourrés et les ca- est propre. Eux aussi trafiquent LA ROUE ROnUR" bines ailées garnies de businessmen la grande ranes qui « sont », mes et, perpendiculairement à les dans les pétroles, d'autres dans les versale New-York-San Fancisco, des uns Angee- cotons, d'autres encore dans les fruits, sans méridiennes relient Seattle à Los les élégants compter qui vont se montrer sur passant par San Francisco. caril SociétéAnonyme au Capital de 1.150,000 frana. les plages de la Floride. De Chicago de ou Tout inachevé qu'il soit encore - ae New-York, vole Atlanta, le f' Roues brevetées on vers d'Atlanta est certainement inachevé res. but pour Aviation et Automobile Miami — dans un vers et, au delà, on survole les eaux américain apparaît comme conçu ont tièdes du golfe les réalisateurs n Paliers à billes spéciaux Aviation vers Antilles, Panama, etc. strictement commercial. Ses leuriln- pour Revenons à l'ouest, du Pacifique. les difficultés que aux pays eu à vaincre que in1:ré.f Ils seulement les1'®s u Flasques aluminiumpourAviationetAutomobile ne vivent pas des relations avec posaient le relief ou le climat ou le Nord-Est. Ils sont assez étendus du nord fisances de la technique. Ils ont traceunOi- sud (ci des latitudestrès différentes) appliquant suivre surtout Fournisseur des GouvernementsFrançais, Etrangers au sous seau en s à dï Ii. avoir entre des échanges actifs entre rectives déjà 1intensité j), : et des Principales Firmes CAVWIM : pour eux connues pour tard, eSt le Nord et le Sud. Il y a aussi loin de Seattle fie postal, bancaire, etc. Tôt ou MttttMttMtttt Los Angeles Pay, SIEGE SOCIAL ET USINE 1 à que de Paris à Tombouctou. américaines payent ou « 5," Hgnes « » de Oe D'autre la barrière des Rocheuses, qui de principes, il passa part, Hors d 22. (Marne) n yea rue des Moulins. REIMS ces.1' reste, malgré tout, assez difficilement franchis- politique d'aviation marchande. CRUROZET* Téléphoae ; 1U7 B. C.ftebu tMM sable, leur impose une vie économique qui leur REPRESENTANT .d'" 1 R. D. &ARATOARL 15. Véron PARIS rue - LES AILES EN ALLEMAGNE Téléphone : Marcadet 67-01 "G-38" mm - 11 - -- LE PREMIER VOL DU Etablissements CLAUDES BArrOI" d'effectuer L'avion Junkers G-38, un nouvelavion géant, vient à -ftL{::-¡lnd Dessau sa première sortie. C'est un appareil d'une formule intéres- Desnouettes, PARIS-XVO Rue sante, orienté vers l'aile habitable. faIt,er- et Les uns après les autres, plus tôt, cer- La cellule, en effet, est tout à 1 TREUILS TENDERS. s .cer- tes, que la plupart des gens ne l'avaient velle. A la seule vue de l'avion,oncofiçtrue, «(AERAZUR»tnirn le pour Aêrostatioa imaginé, les avions géants sortent des fa- çoit des progrès réalisés par xé*l'aile l briques qui indice, le but qu'il s'est et — ce est un peut- teurs vers en de1ai^l'aileje' Constructionsaéronautique* être le meilleur indice des progrès de la habitable. Grand allongement deS VOITURES * de * construction aéronautique — ils volent, sans porte-à-faux, grande épaisseurdisparitédes OeOLabo-Photographiquel histoires, sans ennuis, si l'on peut dire, parition presque du fuselage, enaVca- du premier quelles soient les moteurs dans l'aile, hélices très BALLONS Météorologique' coup, que les câ. Ateliers audaces que leur fabrication représente. telles apparaissent au premier abord d'observation et de protection Nous avons vu le Géant-Dornier, cet ractéristiques du « G-38 ». N., etc. été. C'est un hydravion. Voici le géant Le brevet, pris completelpar ,1nent'an! 090 Junkers, avion. en 1910 PARACHUTES un prévoit que le fuselage aura 4 Le G-38 terminé tout récemment, En a\ Homologués le S. T. I. Ad s « », disparu. Ici le fuselage demeuie.cablneiotJtle par quittait son hangar de Dessau le 7 no- de l'ailé, il contient, dans une vembre. Et, actionné par ses quatre mo- de pilotage deux pilotes, g 35et 37, Rue Tierre-Lhomme, COURBEVOIE totale poste pour rjce teurs d'une puissance de 2.400 CV, contre ce poste, dans l'aile de deux m il faisait son premier vol d'essai. Pendant de se — rrn'ïiMffi m d'épaisseur se trouve le couloir demi-heure, il maintenait à mè- La 1 une se 500 qui donne accès aux moteurs. Phar- i tres d'altitude; après quoi, il atterrissait centrale de l'aile et le fuselage sont normalement. sés compartiments recevoir la C A. Le G-38 l'un des grands en pour s. plus « » est ge utile. F. roue'-;, pla-1a- avions du monde. Voici quelques chiffres , L'appareil quatre * le concernant envergure, 45 m. lon- repose sur ; : ; cées de chaque côté du fuselage et -.+.as : gueur, 23 m.; poids à vide. 13 tonnes; ftisci derrière l'autre. A l'arrière du StêFse de Fabrication Aéronautique poids en vol, 20 à 24,3 tonnes; groupe mo- : la béquille a été remplacée par une aillet- î topropulseur, 4 moteurs Junkers rayon 1appareil, * * ; * 79, Route de Saint-Cloud à Rueil (S.-ft-O.) d'action: avec 3.000 kilos de charge utile, De sorte qu'avec les freins, pertrèS * : environ kilomètres, soit la sol, est très maniable. Les freins tr~' Société à Responsabilité Llnlltée, au Capital de 560.000Frg 4.000 distance course de Berlin au golfe Persique. tent aussi un départ après une : Adr. Tél. Aérostock, Rueil Téléphone : : s 341 Le « G-38 » aurait dû être équipé de les * moteurs à huile lourde, mais, soit brève.Le professeur Junkers est d'avibatic : :! que MOTEURSMOTEURS D-AD AVÏATÏONVIATION ceux-ci n'aient été à fait point, effectifs n'ont lieu dan pas tout au progrès que ainsdll ï[ soit que l'on ait jugé préférable de ne pas développement parallèle de la cellulePr0.flS J les de essayer à la fois une cellule nouvelle et moteur. Attendons maintenant cq> toutes marques françaises et étrangères l'équipement de !: * un groupe motopropulseur nouveau. le essais de l'appareil et lourde. i GROUPES MARINS « G-38 » n'a pas été équipé de 4 moteurs lui-ci avec des moteurs à huileROMEYt" Diesel-Junkers, mais de moteurs à essence. Jean * Pièces détachées pour tous Moteurs ! .***.*.*.*.**********.***********.**.*.*.*.**.** A COUPS DE CISEAUX Li rI"" - —— - --, - -LOUIS BRÉGUET Ce qu'écrivent les autres. Le fait de reproduire, sous cette rubrique, quelques opinions caracté- AEROPLANES METALLIQUES ristiques de nos confrères ne signifie nullement que ces opinions sont les nôtres. Mais nous pensons qu'il y a, dans la presse, certains MILITAIRES & COMMERCIAUX propos que les lecteurs des « Ailes» ne doivent pas ignorer. - - cfe_ Vue nuit Lycn Les pentes, au loin, sont constellées, a tIltr sur le nocturne reflète la HYDRAVIONS qu-Aucentre,ciel lesenseignesse versicoloressur Du PROGRES DE LYON ce compte rendu J d'un de Genève à Lyon, boient au faîte des maisons en lueurs O/l' etour nocturne plus , à bord d'un Fàrman 190 de la C. A. F., cendie. La ville silencieuse ne 7'it :'¡/'fC Bvem 115, Rue de la Pompe. — PARIS*XV^ nous que parses feux.C'estcommeun Úo- : piloté par Bouthier. changeantp-aillete, roéptNHw1M*SVnm,«M» manteau de velours .1 pierreries bia'bra- Tout de suite, nous montons à 1.500, le dé, rayé, piqué à Vinfini de AteUen : à VBLIZY-VILLACOUELAY (Selne-et-Otw| soleil oblique creuse sous nos Pieds les abî- sillantes. rni|>m» avMUSI. IMi, mi iMt — YIlUD 1 mes. La silhouette des Alfes maintenant est Au da toute blanche par endroitsJ les longs ras sol. 0 avec la gur Registre ComiKyrc* SEINE, la dm t g6-ta6 reflets roses du couchant. L'INTRANSIGEANT nous a offert, sur étude "— Le chaos des montagnes est plus sombre maine dernière, une intéressantel'aviation —1 ,—,<-|| T n—Tl-I 1-, ..hIfQ et leur, veiiire si somptueuse ce matin Tire l'action, au ras du sol, de exercle-f- h.* rapidement du gris au noir. A mesure qu'on guerre. Voici d'abord quelques ef LtAVION avance, des traînées de feux rouges s'allu- que les troupes du Général Baibo ont de devant fond des vallées. Les ment nous au fectués aux portes de Rome ÉCOLE cimes du Grand-Colombier, du Semnos se : font plus farouches. L'angoisse de la nuit Le camp d'aviationmilitairede LtAVION rôde autour de nos ailes. On a hâte de celio, proche la capitale,savait que, a 9 j,'. à quitter ces profondeurs de cauchemaT d'où res, il serait attaqué far air. Toute j1 dé- de CHASSE montent des buées de Plus en plus épaisses. fense était parée, artillerie, avions de cïlltlS rrl On salue, comme une délivrance, le fil Et tous attendaient, guettaient, et les qui apparaîtrait dans le ciel. du Rhône qui étincelle encore, guidant notre et ce eSy route. Devant, lecrépuscule s'éteint comme Soudain, àc)heitres, àtrois cents 111,/1 par l'AVION de TRANSITION une barre de fer rouge. Bientôt le papillote- du camp, de derrière, au-dessus de h 1. vient des lumières plus serrées annonce les deMontecelio,surgit,seprécipita,à q ",i- approches de la ville, et voici, clignotant mètres du sol, l'escadrille ennemIe, ques Pd-,sa,,e- 'à notre gauche, les signaux cramoisis de trailleuses en jeu. En un instant, elle de l'aérodrome de Bron. Mais l'immense stin- ayant jeté partout des débris de cartoth tillement de Lyon qui s'allume nous attire présentant ce qu'eussent été les éclats Par delà. ses bombes. Trois avionsrevinrenten lt. Il L'ons'abaisse un peu four mieux voir d'eux s'épandait un liqitidesubstancerotiioX'llll!lete., MORANE-SAVLNIER et repérer le plan lumineux des avenues et figurait ce qu'eiii été une flÚ' des rites. Les grandes usines crépitent de Une surface de flOtS cents mètres sur leurs mille vitrages embrasés avec au-des- cents mètres en fut couverte. D'autres••} I les stries Plus discrètes de leurs loits vaient, et d'eux répandait un brlltfe S, Volta, 3 PVTEAVX (SeIDe) sus se rue - dents de scie. Les points éclatants des tombant sol, brouillard inoffensittji en au réalise, ..,;/ fenêtres innombrables se fondent dans la la manœuvre mais qui, dans la perspective en lignes pétillantes continues. été de gaz mortels. LE BEAU VOYAGE SUR LES TERRAINS I L'arrivée à Tananarive 99agrogrome en aéroflrome HYDRAVIONS de Bailly et Reginensi A Villacoublay. SCHRECKF.BA Le temps de moins en moins favorable, journées de fêtes ont contribué André Bailly, Réginensi et Marsot, parlii ainsi que ces d à réduire le d'activité de l'aéro- e Paris le 28 arrivés le 4 encore peu octobre, étaient no- drome. mbre à les de l'Océan tdJen. Quilimane, sur rives Chez Lioré et Olivier, quelques trécep- après une traversée fulgurante du con- tions de bimoteurs de bombardement ont lrient africain. On pouvait croire que, sui- été effectuées par Schnée. De même, chez Vant. point des N..62 de sé- son programme, l'équipage du Farman- Nieuport, la mise au "itan allait quelques jours à rie. Delmotte a convoyé à Villacoublay quel- » se reposer cet Hanriot "droit la France ques Caudron C. 59 et Berthelin, sur et regagner ensuite en remon- CV., exécuté des vols d'eal. a/Jt la la Salmson 95 a vallée du Nil. Il n'en fut rien et Albert A. continue, Course Le monoplan 10 sous à travers le monde continua. la conduite de constructeur, ses essais Le but capitale de son réel était Tananarive, no- pour l'obtention du certificat de naviga- te îlede des lançaIs, Madagascar, avant bien ignorée bilité. célèbre la grâce de l'aviation. maintenant par A Toussus-le-Noble. HYDRAVIONS-ECOLE Goulette, Marchesseau et Bourgeoit avaient déjà touché, but. Puisque la course mauvaises conditions atmos- ce Malgré les MIIHHl 5,C°ntinuait,Réginensiil fallait faire mieux qu'eux. Et phériques qui ont'régné au cours de plu- reprit les commandes. Le ca- sieurs journées de la semaine écoulée, M. AMPHIBIES DE TRANSPORT nal du Mozambique fut- heureusement traversé Pitot, de la C.I.D.N.A., vient de terminer du pilotage visibilité. 1res une dernière étape de1.000kilomè- les épreuves sans ,res, Bailly, Marsot leurs Les pilotes du Ministère de l'Air en cours Réginensi et posèrent ainsi Mlle Léna Bern- (hues le terrain de Tananarive à 14 heures d'instruction, que (heuresur le Capitaine Le Guen et plusieurs pi- RECONNAISSANCE TOVRISME locale), correspond 11 heures stein, ce qui à lotes amateurs ont également exécuté quel- eure de Paris). ques vols d'entraînement. Ils ont, en outre, iiniiMii De Paris à Tananarive, il leur avait fallu utilisé les périodes de mauvais temps par C heures 50, soit un peu plus de huit jours. des séances d'eilltraement, sur 1le banc, BYDBAYIONS PDIJB LANCEMENT PAS CATAPULTE .oulette, Marchesseau et Bourgeois avaient au sol, et à suivre des cours sur les instru- mIS 248 heures 40 pour effectuer le même par- ments. cours. La Bailly gagnait donc la pal- Le jeune Anthon, candidat au brevet de mission terminé dernières épreuves ¿e de 51 heures 50, soit tourisme, a ses ; avec une avance les élèves continuent leur formation eux jours, 3 heures 50 minutes. autres sous la conduite du moniteur Freton. Quai Seine ARGENTEUIL (8eine-et-(Mse) Cette lutte, toute pacifique et toute spor- de - - ve: deux Plusieurs appareils F. 190 — dont les a permis de mettre en pleine valeur nouvelles performances des équipages Gou- qUlpages, Il Téléphone 1 deux moteurs et. un seul avion. lette-Marchesseau et Bailly-Reginensi vien- hst bien difficile de dire quel le meilleur est nent de confirmer l'excellence — sont en Gaîvani$5-y6 Argenteuiî196 fnune, quelle est la meilleure mécanique. cours de montage. L'un d'eux, destiné à un OUs ont été excellents et l'ont prouvé. Pour nouveau raid devant être exécuté par le /J?tre sympathique Lieutenant de vaisseau Le part, nous englobons dans de mêmes féli- Cltations les de succès les Brix, va incessamment commencer ses es- auteurs ces et tous sais. Le chef pilote Coupet s'occupe de la ¡rIlsans qui ont permis double de GUERCHAIS-L. 12-WO ce voyage mise au point d'un F. 170 monomoteur pour t défaillance, kilomètres, sans une sans 8 passagerget de plusieurs autres appareils. I AVIONS POSTAUX Uil Incident. milieu des difficultés des atJgers au et de la brousse équatoriale. @@BesognionsRalluma Cette Bilan m conclusion fut du reste celle de nos Un beau vol de Buenos-Ayres deTOURISME SPORT °.Ciels d puisque M. Pietri, Ministre des Colo- 1 les>nies envoyé tél égramme ded félicitationsf '1" a.ux a "1un à Santiago-du-Chili 7 h. 15 ÉCONOMIQUES : deux équipages pour leur magnifique réus- en iSite qui laissait espérer une liaison prochaine la Métropole la Grande Ile. De Le pilote russe de Sonchein a accompli, la se- et son belle HENRIOT j~ot.é, maine dernière, une très performance. : M. Laurent Eynac a adressé des sou- alts analogue Parti de Buenos-Ayres, il est allé se poser à San- tiago-du-Chili après 7 'heures 15 minutes de Des récompenses dès maintenant et ISes.Réginensi, sont pro- vol effectif. Le passade de la Cordillère des An- il actuellement adjudant-chef des exigea montée à 5.000 mètres fut au 34e une et Régiment du Bourget, vient d'être ins- effectué en 1 h. 30. j il ¡Tlt Chargeutile onpayante i,e sur le tableau d'avancement de 1929 pour Ce voyage fait partie d'une tournée de propa- II grade de sous-lieutenant. André Bailly, ser- gande en Amérique du Sud, entreprise par M. de été 50 à 400 Jkilos en du pilote fent Sonchein monoplan Morane-Saulnier, sus de réserve, recevra une distinction ana- sur un Ogue. type 130, à moteur Salmson 230 CV. Le parcours II Nous Buenos-Ayres-Santiago, le dur de la Société d'Exploitation des Carburateurs L. HENRIOT espérons Goulette et Marchesseau avec passage El e que Cordillère qu'il comporte, est donc à l'actif d'un 54, Av. du Maréchal-Foch, SAINT-CLOUD (S.etO.) andeserontsignification,pas oubliés. Leur voyage, outre sa d'un de série. t I permis de avion et moteur rigoureusement M U jeur a mettre en va- Le Morane-Saulnier 130 est l'avion que Dé- Tél. : Val d'Or 02-22 *quiun bon matériel français. De plus, ce sont troyat conduisit à la victoire dans la Coupe- Mi- ont ouvert la voie. chelin 1929. /,/,,/,/,/,/,/,/v/,,//,/,',//,/,/ 1 ffL AIR UJNIION La A surprise avait été totale. L'effet lut Le Coq de Kerland, parue dans La Revue )leee}lelltant, tout eût été détruit, toute résis- Politique et Parlementaire. C'est la vieille <~~«m~ annihilée. question l'Air qui M. jL S, Rue iltider, 9 ,7j de Intégral durant la aviateur ita- surnage. : S~ /e1tlà, guerre, un Cari Le Coq de Kerland a beaucoup de ta- S PARIS Cavara, avait surpris, 1918, S zJjdk § /rze en deuxqua- lent et nous regrettons beaucoup que sa POUR LES PASSAGERS: gll.es.navires autrichienss'avançantsur Surpris par le tir anti-aérien des plume laisse deviner une inclination vers Le Golden Ray, avion de luxe ./gG Q'lres, les idées de la Guerre de la Marine. Nous il se laissa tomber à fleur d'eau et et X POUR LES 11taintint vol, entre les deux lignes redresserons les tendances de l'au- MARCHANDISES ET LA POSTE: son ne pas fi L'avion de nuit S Asvaisseaux ennemis.Ceux-ci ne pouvaient teur. Le problème a reçu une solution sur a/,,/,,/,,,,,,,,,,-,,,,/A f "s agir lui. s'échappa eer contre Il pour por- laquelle jamais le Parlement ne reviendra l'alarme à la flotte italienne, il s'échappa puisqu'il s'agit, fin d'analyse, du salut ------n en gardant son vol bas et en zigzaguant. du Pays. L'Air Intégral existe et ne se ÉTABLISSEMENTS De là à déduire une tactique nouvelle d'at- discute même plus. taquet maritime il n'y qu'un pas. s1nPs a Par clair, une escadre n'apercevrait, et Il est impossible de ne tenir aucun compte ACFOB et CUIRVET (tiSl'aspect de légères stries horizontales, de la défense contre avions. Il existe, il est esalentavionsâpprochésennemis, que lorsque ceux-ci se vrai, une école de gens qui prétendentque à cinq mille mètres. Deux la défense contre avions, aussi bien alle- tillzutes plus tard, elle serait sous leur ac- mande que française, n'a fait aucun progrès 102, Rue Amelot, PARIS Y.eue a-II depuis la guerre et que les effets de ses tirs C'est la politi- twaaaaam bes nononmii fruçau * étuniis c- volant très bas, entre cinq et vingt- sont négligeables. pratiquer cinq mètres au-dessus du sol, des escadrilles que de l'autruche. Il ne s'agit plus ici d'opi- ,,'Hbreuses accouraient, quelle serait notre nions, mais de faits. eellse? Les Allemands viennent de sortir un canon MANUFACTURE DE de mètres de vitesse initiale et leurs mé- Cesescadrilles ainsiaccourant, 900 VÊTEMENTS DE VOL à Portée en somme thodes de tir ont acquis une grande perfec- pabord; de fusil, seraient, peut-il sembler tion. Sur des objectifs aériens doubles ou tri- très vulnérables. Mais par quoi.' ples de de la dernière dotés de lt'r le ceux guerre, Equipements Ignifugés Equipements flottants faudraittir du fusil ou de la mitrailleuse? vitesses et de maniabilités inférieures eh pro- - nnendroitsupposer qu'elles passent au-des- portion, il est certain que la défense contre Sous-Vêtementschauffants Electriques ait-été où, précisément, ce feu au- avions de l'avenir aura beaucoup plus de préparé, il faudrait admettre que prise. En plus des canons contre avions, il Bottes Casques Gants Lunettes tirezirs ne seront pas surpris par la sou- les avions de chasse, les ballonnets, - - - c®l)ieté de l'attaque, il faudrait consentir à y aura e/!re sans compter tout ce que l'on inventera d'ici 'Ji:;ecitéqu'un tir instantané peut avoir une quelques années. contre un objectif surgissant et dis- En résumé, la thèse de l'aviation n'est Muteax flfTin pair ratssant dans un bref instant. applicable sile ministre de VAir parvient: tj/r'urtilleriepourrait-elle que Avlàne agir? Toute l'ar- à annihiler la défense contre avions ennemie; n AIIO erle actuellement antiaérienne est conçue à disposer en permanence d'une quantité 'l1Oll de vUlIlMii«-Sfl«ris- exécuter des tirs s'approchant la certlcale, d'avions imposante; à se libérer des pactes ùfflire Que pourraient des canons à tir genevois; à être certain du sens des réactiens ;:lt,Clzé contre cible basse et proche, de obstacles m unt de l'adversaire. Si un seul ces Trench-Coaîs, Equipements mote Tous-Temps ais se dérobant à la plus grande vitesse n'est pas levé, la France risque de s'être am- °°ligéant variations d'angle nsidérables?le canon à des putée sans profit d'une partie de ses forces organisées, indispensablessur le champ de ba- ---.-..--.-.-.--..-..-.-.-.---.--.-.---..-. Derniers échos taille. Si tout réussit, évidemment il est per- Notices et Tarifs sur Demaade mis d'espérer une abréviation de la guerre. d'une grande bataille En tout cas, c'est une grosse carte à jouer. Coéditions Spéciales Pirsuail Navigant Libre à chacun d'estimer laquelle des deux Il A titre documentaire, nous reproduisons conceptions met le plus de chances de notre, ltelques , passages d'une étude de M. Carl côtéa. Nouveau départ pour Madagascar? Le classement officiel La Lufthansavientd'effectuer Le pilote Roux, au Bourget, se prépare à voler du Challenge de Tourisme liaisonpostale de 2.000 kms iur les traces de Goulette-Marchesseau et de une Bailly-Réginensi. Enfin, le classement officiel du Challenge Inter- devait conduire à Ma- Berlin et Constantinople Lui aussi doit — ou — national de Tourisme a été publié. Tout vient à entre dagascar un monoplan Farman F. 190. Mais l'ap- point qui sait attendre et avoir attendu, les fois, d'un Lor- pour pareil serait équipé, cette moteur concurrents n'auront rien perdu. Qu'onen juge: Le 25 octobre, un équipage de la Lufthansa 1er Morzik, sur B.F.W.-M. 23; gagne 100.000 Quittait l'aérodrome de Berlin, à 3 h. 25, sur un francs, un vase de Sèvres, un avion Fiat avec avion Arado à moteur « Hornet » de 525 CV.; moteur, trois médailles, une plaquette, deux mo- après 10 h. 45 de vol, il arrivait à Constanti- tocyclettes, 10.000 couronnes de la ville de Pra- nople. Le 29 octobre, le même équipage quittait gue, une coupe de Hambourg; la capitale turque à 2 h. 25 du matin et, malgré 2° Broad, sur « Moth » : 50.000 francs, des temps très mauvais, arrivait à Berlin le même 500 marks, un moteur italien, trois médailles, jour, en 10 h. 15 de vol, à une vitesse moyenne une coupe, une jumelle; de 200 kilomètres à l'heure. Ces deux voyages 3° Carberry, sur Raab-Katzenstein : 25.000 fr., de 2.000 kilomètres, avec départ dans une nuit une motocyclette, un vase de Sèvres, une coupe très noire, sont intéressants à plus d'un point de de Bohême, trois médailles; vue. Von 4° Lusser, sur Klemm : 7.350 francs, une L'équipage se composait des deux pilotes 6 CV. Renault et une médaille. Schrôder et Albrecht et du mécanicien Eichen- Viennent ensuite : 59 Guazzetti; 6e Von Dun- topf. Il ne nous est pas inconnu. Une nuit de 7° Kleps 8e Castaldo; ge Gelmetti; septembre, le 7, à 2 h. 35, il était de Berlin gern; ; parti 10e Miss Spooner; 11° Roeder; 12e Benassati; pour Séville où il arrivait le même jour, après 13° Lombardi; 14e Bottala; 15e Hans Wirth; 15 heures de vol et une courte escale à Mari- 169 Siebel; 17e Kneer; 18e Offerman; 19e Kirsch; gnane. Le lendemain, à 3 h. 45 du matin, il avait 20e Siebel. quitté Séville pour rentrer à Berlin dans Kaprès- L'ingénieur W. Loth Dans ce classement on compte cinq Klemm, midi. Aller et retour, il venait d'accomplir près quatre Roméo, trois B.F.W., deux Fiat. deux de 5.000 kilomètres en 29 h. 25 de vol. M. William Loth invente Junkers, deux Moth, un Raab et un Avia. Ce sont également ces hommes qui, pour le a Delmotte, le seul Français qui figure au pal- compte de la Lufthansa, ont fait les premiers marès dans les prix de catégories, reçoit la coupe vols d'essais en direction de Vladivostock et de de radio-phares, Jun- nouveaux offerte par le Prince Bibesco, Président de l'Extrême-Orient, vols effectués avec un ln' l'Aéro-Club de Roumanie, être arrivé le kers W.-33. d t les pour M. WilliamlaissentLoth personneinU^jjjarnpOU5 premier à Bucarest Caudron-Salmson.. Pour rendre compte de l'importance accor- est un sur son se moinsventions qued'autrescarM. dée à ces voyages d'études, on notera qu'un des moinsencoreencorene qued'autrescart,M..1laérienne Le pilote Roux. (Photo André, Le Bourget.) Von Schrôder, même 2330 heures et 755. pilotes de l'équipage est en s'estproposéderendrelanavigatIon'ote5j_)r0liillar<^'Pl.,')tesdeJe non temps un des directeurs de la Lufthansa. permettant aux à de 230 CV. Les préparatifs de l'expé- c'est toujours plus sûre en j raine air Ce qui fait l'intérêt de ces tentatives malgré e dition touchent à leur fin le départ lieu Les Ailes ont signalé jeudi la belle besogne qu'elles semblent indiquer la Lufthansa trouver facilement leur route et aura que ennemi acharné de del'aviation,l'aviation.beaucoupregrettéegretté dès les conditions atmosphériques le accomplie par les « remorqueurs En réalité, s'oriente résolument la poste aérienne. cet que per- ». vers C'est dire avons une mettront. les heures de vol accomplies par toute la Section Il est certain qu'elle cherchera W réalisations que nous des ggrVices de Remorquage, durant les mois qu'elle défautd'organisation une six a d'autant plus rapides, que la nécessité se fera qu un permis dassiste passés à Mourmelon sont seulement de elle de salaire Nul M. Loth ne nous ait pas Le Concours de ne pas sentir pour « mériter son ». nouvelles metro^te~eroute parachutes 755 heures mais exactement de 2.330 heures. doute l'attitude du Parlement allemand, di- démonstration de ses Le recordman le Sergent Coûtant que La dernière trouvaille consisteradio-penaeSSi °n « » est avec ^e??e 191 h. 35, suivi de l'Adjudant Pradelle (183 h.), hertzienne tracée par deux a c°n^ est commencé tourner deux dio-phares eUonstate leSergent-Chef Lagrasse (182 h.), le Sergent fait ces ra les Gosset (179 h.), tante et en disposant, à l'origine, etc. c0llStated'émissionparallèlementrencontre.entreeSeux,élevée On sait que le Ministère de l'Air a eu l'heu- L'activité de la Section de Remorquage donc a des de élevee reuse idée d'organiser une compétition entre nos été plus grande encore que l'on ne le croyait. que le lieu points diculalre constructeurs de parachutes. Tous sauf émissions trouve sur la perpen Íans.le — un — se déterminée par courbe ont répondu à l'appel. Les opérations de pesées au milieu de la base l'examen du volume des déjà La F. A. L homologué. radio-phares. Si l'on décale les deuxp Jé- et sacs ont com- a devient une ntdé. mencé à Villacoublay où une vingtaine de para- lieu des points de rencontre ^ematlC)j„umXent chutes sont présentés. .ph»re^l mais toujours mat ilfaut La Fédération Aéronautique Internationale comp exe, a terminée invariable. Pour quequelconqles ajeVien* Les épreuves dérouleront d'abord à Com- homologué plusieurs records du monde. et se courbe ^jlliart1 piègne, où les lancers auront lieu de la nacelle A l'actif de la Grande-Bretagne, d'abord le puissent tracer une il suffit que les vitesses derealiserota d'un ballon d'observation; elles se poursuivront record de vitesse sur 100 kilomètres pour hydra- et serneIlt ensuite à Villacoublay à bord d'avions. de Waghorn, Supermarine S.-6, à nent variables. C'est ce qua vions, sur mo- fort, disposantjudiCleua rune Ce concours fournira, doute, des Rolls-Royce, 531 kms-h. 200; ensuite Loth qui se fait en sans aucun i teur avec phares puissants deux points .lie enseignements intéressants et ses résultats orien- le même record passé à 533 kms-h. 800 et qui sur de tracer les services officiels dans le choix des devient la propriété d'Atcherley, le même choisis de la côte européenne, teront ma- sur hertzienne au-dessus de 1Atme3aparait route t' tériels à commander. appareil, le même , avec moteur. L'avantage immense d' tel lOSrreeI1 un quasi de suite, car il est possible, de teLepi- ment, de modifier la routeatmospheriquémise j^epi Les concluantes démonstrations de l'aile Handley-Page fonction des conditions logi.e,il lote enn'a indicationsplus à s'occuperdesradio-pharesradio-pharesde la météoroetCsériecela suitles et suit les indicationsdes Concours Guggenheim Un phareémepoint au la manière suivante. traits. eup0in de points, l'autre une série de Il semble qu'un grand nombre de de 450. L'autogire paraît faire mieux et la bonne c'est-à-direentete do ne pas con- ne pas se trouve sur route, il currents aient réussi à satisfaire conditions, il est certain le pilote conserve le contrôle de croisement des deux émissions, aux que de roUtedra d'ailleurs sévères, du concours institué par le de l'appareil au deià de l'angle d'attaque au trait continu. S'il est en dehors sa Guggenheim Funds. Ce concours prenait fin le plafond. côté du phare émettant in®a^apreS 31 octobre et alors que quelque vingt-cinq con- Ce résultat important est, en définitive, celui d'abord signal, puis quelquessait''° ce étaient régulièrement inscrits, six auquel visait le Guggenheim Funds. En dépit de l'autre phare. Il clireC currents seu- les traits modifiersa lement, au. 28 octobre, avaient été présentés à du nombre peu élevé des participants, son con- diatement de quel côté il doit cg"J'ffielitSe Mitchel Field. cours aura donc porté ses fruits en permettant au tion pour se retrouver sur le bon ce Sur ces six appareils, deux ont renoncé à la constructeur Handley-Page de confirmer la très M. William Loth a perfectionnééliminntefusÍoI1, compétition, 'ont guère effectué chose réelle valeur de ailes à fentes. câbles de guidage donrnesor trois n autre ses fameux ,end'unaérodroesur que des vols de mise au point. Seul, le petit A en croire la presse américaine, le Guggen- rants de retour qui pouvaient prêter a avion à ailes à fentes Handley-Page a effectué heim Funds cesserait de fonctionner à la fin de Il a aussi établi les plans saIlSaligne des démonstrations concluantes, ayant satisfait, cette année, estimant avoir atteint le but qu'il L'équipage de l'avion Arado lequel il serait possible d'atterrir Uneligne trois jours déjà la clôture du à s'était proposé. C'est opinion discutable visibilité, grâce signaux émis par solu avant concours, une car aux Comme la presque toutes les épreuves de qualification. quel que soit le point de perfection qu'elle attei- minuant les crédits, n'ait profondément impres- magnétique entourant le terrain. poU seCt essentielle gef3'-( L'avion Handley-Page se révèle comme exces- gne, la sécurité ne sera jamais suffisante et des sionné et, dans le même temps, hâté l'action de tion de ce problème est .j ienne. sivement intéressant; il semble vraiment qu'il recherches dans cette voie seront toujours à en- cet organisme centralisé et un peu lourd. rité complète de la navigationWilliamaér °th élimine pratiquement le risque de' perte de vi- courager. Depuis sa fondation, en avril 1925, le Il serait fauxde dire que la Lufthansa n'a bon, pensons-nous, que M. esi Il réalise de véritables descentes à plat, Guggenheim Funds aurait dépensé 187 millions le de l'aviation à l'aviation quelques renseignementssaclus 1 tesse. encore rien tenté dans sens pos- voire même cabrées, sous une pente voisine 500.000 francs. tale. Elle n'est simplement allée bout de cette question afin que nous pas au sur ennemi p le brouillard ses conceptions. En effet, une fois franchi est, maintenant, un stade primitif qui consiste à donner du courrier mentmentvaincu. vaincu. à des avions qui font le transport des passagers, Comte-Zeppelin» contlyagee". la Lufthansa avait, l'été dernier, créé des lignes Le « bre,el- uniquement postales, comme celles de Berlin- Hanovre-Essen-Cologne-Londres celle de Stral- Le Comte-Zeppelin fait encore unportat ou a L'itinéraI'renover11cornporteit sund-Stockholm. Ces lignes ne transportaient au- au-dessus de l'Allemagne, le 10 elles s'occupaient exclusivement tre 7 h. 54 et 17 h. 7. cun passager; Sud. kn rD du courrier et du fret. un circuit sur l'Allemagne du distances, si l'on le feraenCore, Mais, même sur de grandes a atterri à Francfort sur Mein.- geP gagner il faut voler la Doù, le dirigeable veut du temps, nuit. On pense que revislon la nécessité de lignes balisées, d'où l'insistance avant d'être soumis à une voyage jeSJet'àe avec laquelle on fait un devoir au Gouvernement raie et équipé pour le Pôle Nord. sufifsants condition que $LI d'accorder les crédits à cet effet. Cela, bien entendu, à il en Il faut aussi des appareils à excédent de nières difficultés soient aplanies. Mais gros dj« puissance, et à grande réserve de combustible. git chaque jour de nouvelles ! a11r¿¡itde' Pour sécurité la régularité de la ligne, L'équipage qui refusait d'aùgrne-à partir tqtiol,Y def la et ces se lis conditionssont nécessaires. L'Arado VI est ap- fin consenti, sur promesse ddd'p9s5p paru à la Lufthansacomme un des appareils deassurances.quatrejours;Les vol'expéditionls ne devaientnepasPaS présentantle meilleur ensemble de -es qualités. Equipédu mpteurPratt et Whitney aHornet» un mois. compagniesda-ls 525ev:, l'Arado à vide 1.530 kilos. Il veulentMais plusriensavoirles pourassurer ConiCotJ1 de pèse veulentvoilàplusrienque savoirpourassurerjgle emporte une chargeutile normale de 1.420 kilos. fie continuepôle, et$c^ Nous avons vucommentla,Lufthansa essaie Zeppelin pendant son voyage au { le cet appareil,en lui imposant des départs àl'ho- On dit que les pourparlers d'exp'^ le Il intéres- L'Aéro-Artic la société raireet quel,que soit temps. sera « », l'aide"~-~ sant de suivre, le passage de l'expérience, àlex- désespère pas d'étudier le Pôle 'à —cin»-atterrissage eabré

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W R., - au Havre. — Il faut de- tance; le ZEPPELIN 121, Pour mander à engagement,' dcve-- la Terre; contracter un !:ère immensepériple LABAURIE-SAHUC;autour de nir sous-officier tel, préparer et, comme !~ les appareils de oflt,irRA, l'Ecole de Versailles. Les boursiers sont )~S~ les avions et hydravions qui plus spécialement destinés faire des pilotes QUE-SUD à VERSE L'ATLANT!RADIATEURS de réserve. Prenons note de vous envoyer la étaient équipes de notice. l I VINCENT ANDRE à Il 945. Y. D.. Lvon. — est impos- CI sible de vous donner ici les précisions que DURALUMIN demandez sur équipages de la flotte | f RÉSBRVOIRS vous les ON DEMANDE Monteur^ en garan. où est recruté, sur le désir exprimé par les É homologués par le S.TJ.Ae., intéressés, le | construitseg personnel de l'Aéronautilue ON DEMANDE Contremaîtres, tis sans gomme laque, Mill- maritime. 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Ae rtéi*«•etiiaWW,n'' aura pro- ontSon i«p««aniuUS.T ~t.n~tx.tMtf«si àoi est ,10'",ot.' chain, à midi, S, TI w au Cercle National des Armées pas, le et(ioaruiu'depiDsitaitflêt*fte Goo»»fDcmPOt;oovetnemeot>Ira,.ç'.r' de, Terre de Mer, I * et place Saint-Augustin, i r à Paris, la présidence de M. Laurent- fieiieri Jt;rue LIICR) sou; 1 avions michel wibauli ( ; eiuureacx. au feflis 1 Eynac, ministre de l'Air. Les adhésions au ®a,en0J0 banquet M ".dr ttitgl. AVloJeChbYLa sont reçues au Secrétariat de E A2 sg: 31J0* l'A.C.D.F. ;111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111ffi MARIAGE. M. Jean Lebrun, membrè de | — l'A.C.D.F., nous apprend son mariage avec Mlle Cécile Demarque. Le président adresse Bons dessinateurs d'études et d'exécution A vendre fuselage d'avionnette îysage meilleuis jeunes mariés. Fédération des Aéro=Clubs un d'atterr ses vœux aux demandés. Ecrire références et prétentiuns. place avec empennage et train A*La- NÉCROLOGIE. Ecrire à — M. André Plaze, membre de du Centre Société Nieuport-Astra, 48, boulevard Gal- non terminé. Prix: j. 500. l'A.C.D.F., vient de perdre père. M. le lieni, Issv-les-Moulineaux. chassagne, Berthelot, Co son la Aéro-Clubs 17, rue président lui adresse vives condoléances. Uxe réunion de Fédération des - , nun"té ses dj Centre était annoncée pour les 9 et 10 no- Ancien pilote technique, mécanique, élec- Fuselage- contreplaqué nu et ailes a-rêtée vembre; elle devait se tenir à Saint-Etienne avec tricité, radio, parlant anglais, allemand, hau- toiléesp. monoplan. Constructionprix, £res. CÏiroDiiinjNesciolis l'ordre du jour suivant: rendu des - compte com- tes références, cherche emploi dans maison cause départ.A céder à bas Asrlières. missions, statuts de la Fédération Nationale Aéro- construction avion. Ecrire journal qui paiement. Nappez,jtés6g, Bd Vol.airc, nautique, calendrier 1930, atlas régional des ter- au rains, etc. transmettra. D. 165. La Fédération des AéiO-Clubs du Centre Pilote, marié, solides références, j DIVERS ~~—- 25 ans, compte déjà onze clubs affiliés et son exemple licences non restrictives terrestres et hydros, Pilote lyonnais, désireux de créer appe1 Les Ailes Rouba^siennes at été déjà suivi par les clubs de l'Ouest et du fait j France Nord de la France. cherche place ou étranger. Ecrire au aviation légère, région lyonnaise, journal qui D. 146. susceptibles delub. La Société « Les Ailes Roubaisiennes » a été transmettra. à tous ceux qui sont cans- fondée fin juin 1929 pour grouper tous les pi- Aéro Jeune homme sérieux, cherche travaux voir participer à la formation de ce lotes, -Clubs Bergeron qui observateurs, mécaniciens et sympathisants Ecrire, journal tr dessin industriel à faire le soir chez lui. pQur entente, au de l'aviation habitant Roubaix et cantons. ses Jeudi 14 novembre, visite des usines Môrane- Ecrire journal qui transmettra. D. 166. mettra, D. 168. ----::: S'inspirant des directives du Comité Français au deso.col!'"rrt1¡)J:P Saulnier, 3, rue Volta, à Puteaux. Rendez-vous Pilotes de réserve, de Propagande Aéronautique, elle s'eflorce d'en- à 14 h. 30, devant les usines. Moyens de vous pouvez tretenir de développer le de com- VENTE ACHAT --;la vie .qu.I 0et et « sens l'aiz » dans ET contracter assurance- sur munication: prendre à le une d'aviation les générations issues de la Guerre. la porte Maillot tram- ,, et way qui dessert Puteaux. MATÉRIEL AÉRONAUTIQUE vre sans surprime les risques sà Après une période d'organisation assez courte, Dimanche 24 novembre, visite des usines offre des garanties de premier 0 la Société procéder, cinq de Wi- vous à a pu en journées bault, 92, avenue des Moulineaux, Paris (16eK Pour renseignements,i adressez-voudre-,-sez-VOU5 vulgarisation, au baptême de l'air de 250 per- l'ilote serait acheteur avion bonne occa- tous rense ,~,nements, a Deux- D'anciens observateurs Rendez-vous à 9 h. 45, devant les usines. Moyens sion, biplace triplace de tourisme, M. P. O'Donovan, 6, Bd des sonnes. ont- pris, avec de communication: Métro porte C.? 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