DOSSIER DE PRESSE LE MARTINIQUE SURF PRO 2018

Edition exceptionnelle : les femmes rejoignent la compétition

De nouveau inscrit au calendrier 2018 tiniquais attire chaque année des des Qualifying surfeurs venus des quatre coins du Series (QS), le Martinique Surf Pro se monde et désireux d’en découdre sur déroulera du 17 au 24 mars. Cette 4ème la vague de Basse-Pointe (Nord-Atlan- édition sera marquée, entre autres tique de la Martinique). nouveautés, par l’arrivée de la compé- tition féminine puisque 50 surfeuses viendront elles aussi se défier sur les longues et puissantes droites du spot de Basse-Pointe, au Nord-Est de la vainqueur Martinique. Avec deux compétition, une masculine réunissant 110 spor- 2017 tifs et une féminine, le MSP rassem- Ricardo Christie blera, pour la première fois, pas moins de 160 athlètes. Cette édition promet Au terme d’une finale haletante et déjà d’être grandiose! de toute beauté, le Néo-Zélandais et ancien pensionnaire du Cham- Ella WILLIAMS [NZL] Organisé en partenariat avec la World pionship Tour Ricardo Christie WSL/Thomas Lodin Surf League (la ligue internationale remporte le troisième Martinique professionnelle de surf), le Martinique Surf Pro. Surf Pro constitue la première étape Il devance ainsi le Brésilien Bino- caribéenne des Qualifying Series (QS) Lopes, 2ème, l’Australien Soli Bailey et la seule des Antilles françaises. Fort et le Costaricain Noe MarMcGonagle. de la réputation qu’il a su se forger dès sa 1ère édition, le rendez-vous mar- La WSL régit cinq tours II- La WSL professionnels internationaux :

􏰀e L Championship Tour (CT) • QS 1,000 = 1 000 pts (10 à 15 UN ÉVÈNEMENT CO-ORGANISÉ Ce circuit réunit l’élite du surf mondial, 000$) (le prize money peut varier AVEC LA WORLD SURF LEAGUE à savoir les 34 meilleurs surfeurs et selon les régions pour les QS les 17 meilleures surfeuses, qui se re- 1,000). trouve sur onze épreuves (dix pour les La WSL, la ligue internationale femmes) réparties aux quatre coins du 􏰀unior J Qualif ying Se r ies (JQS) professionnelle de surf monde (Australie, Fidji, Afrique du Sud, Réservé aux moins de 18 ans, ce cir- Polynésie, États-Unis, France, Portu- cuit regroupe les jeunes les plus pro- Créée en 1976, la WSL s’intitule alors Europe, Afrique, Japon, Hawaii et Aus- gal, Hawaii). metteurs. De nombreuses épreuves IPS (International Professionnal Sur- tralasie. Son siège international se sont programmées toute l’année. Et à fers). En 1983, l’IPS devient l’ASP situe en Californie, à Santa Monica, et 􏰀 Le Wor Ld Sur f Le ague Qua- chaque fin de saison, les 6 meilleurs (Association of Surfing Professionnal) on trouve également un bureau dans lif ying Se r ie s (QS) juniors garçons et les 2 meilleures puis, en 2015, prend le nom de World chacune des sept régions. Pour l’Eu- Pour espérer intégrer le Championship juniors filles de leur région se qualifient Surf League (WSL). rope, il est à Hossegor, dans le Sud- Tour, les compétiteurs participent à pour le Championnat du monde Junior, Ouest de la France. des épreuves qualificatives à travers grande épreuve finale qui permet La WSL est divisée en 7 « régions » : ce circuit des Qualifying Series (QS). de décerner le titre mondial. Amérique du Nord, Amérique du Sud, (Le Martinique Surf Pro en fait partie). À la fin de la saison, les dix premiers 􏰀 Longboar d Qualif ying Se r ies des QS rejoignent les 34 meilleurs (LQS) mondiaux. Les épreuves des QS per- Le tour mondial compte 2 épreuves, mettent aux surfeurs d’engranger un une en Papouasie Nouvelle-Guinée maximum de points. et une en Chine. Elles sont échelonnées en cinq ni- veaux, en fonction du nombre de 􏰀e L Big Wave Tour (BWT) points qu’elles rapportent au vain- Championnat de surf de grosses queur et du “prize money” (le montant vagues, organisé selon deux demi-sai- des gains offerts aux concurrents lors sons : la première dans l’hémisphère d’une compétition) : sud avec 2 événements, la seconde • QS 10,000 = 10 000 pts (260 000$) dans l’hémisphère nord avec 2 autres • QS 6,000 = 6 000 pts (150 000$) rendez-vous. • QS 3,000 = 3 000 pts (75 000$). (Le Martinique Surf Pro est un QS

3000). *le prize money correspond au gain • QS 1,500 = 1 500 pts (25 000$) attribué aux sportifs.

10 leurs surfeurs locaux, se tiendront Le samedi 10 mars, le Martinique III- MSP 2018, le samedi 3 mars, à Trinité, de 7h30 Surf Pro invite tous les curieux à sa à 17h. Les deux finalistes recevront grande Journée surf populaire au tom- une wild card (invitation) qui leur ou- bolo de Sainte-Marie, de 10h à 15h. SOUS LE SIGNE vrira les portes du Martinique Surf Pro. Placée sous le signe de la convivialité Une sacrée opportunité pour les spor- et organisée en partenariat avec les tifs de l’île et une façon d’assurer une professionnels de la discipline, la ma- DE LA NOUVEAUTÉ meilleure représentation martiniquaise nifestation permettra aux familles de au MSP. s’initier au surf à tarifs réduits.

8 jours d’action, d’émotions et de suspens jusqu’au duel Airshow WSL/Poullenot final. 8 jours haletants qui mettront les nerfs des athlètes à rude épreuve…pour le plus grand plaisir des spectateurs !

Un plateau sportif chaque fois plus relevé

Épreuve QS 3,000, le MSP se situe à le plateau sportif du Martinique Surf un échelon intermédiaire de ce cir- Pro est chaque fois plus relevé. L’en- cuit qualificatif : après les QS 10,000 trée en lice des femmes va encore et 6,000, et avant les QS 1,500 et augmenter le challenge et l’intérêt 1,000. L’événement a donc une im- déjà croissant pour la compétition. Du portance certaine : le gagnant et la ga- très beau spectacle en perspective. gnante rafleront chacun 3000 points qui peuvent faire la différence en fin • La récompense (“Prize money”) de saison pour entrer dans le Cham- pour les hommes est de 75 000 $ pionship Tour, l’élite du surf mondial... • La récompense (“Prize money”) Ainsi, avec ses stars, ses pension- pour les femmes est de ? naires des QS et ses jeunes talents,

De l’action dès le 3 mars

Cette année, le Martinique Surf Pro calisées dans les communes de Trinité innove et prend ses quartiers dès et de Sainte-Marie. début mars avec deux grandes mani- Les Trials du MSP, grande compéti- festations ouvertes au public et délo- tion de qualification ouverte aux meil-

14 Un site totalement repensé

Avec ses falaises et ses rochers, simplicité et convivialité. Les organi- le spot de Basse-Pointe charme par sateurs ont décidé, pour cette 4ème son authenticité, son côté nature mais édition, d’offrir plus de confort aux aussi par sa proximité avec le public. spectateurs avec de vraies places as- En effet, sa configuration permet aux sises et une brumisation sur une plus spectateurs d’être véritablement au grande partie du site. L’objectif est coeur de la compétition et de ne rien de permettre aux visiteurs de profi- rater du spectacle offert par les com- ter pleinement et plus longtemps des pétiteurs sur l’eau. épreuves. Une nouvelle configuration Jusqu’à présent, le public s’installait qui devrait séduire et permettre une sur la plage et les rochers, en toute fréquentation intergénérationnelle.

Encore plus d’animations !

Événement total, le Martinique Surf lage artisanal, des jeux et lots à gagner, Pro déplace jusqu’à 10 000 specta- des défilés de mode sportswear et de teurs à chaque édition. Fans de sport, maillots de bain, des performances, curieux, touristes, familles, scolaires des “air shows”… Encore une fois, et amateurs d’arts se pressent donc le patrimoine martiniquais sera mis pour suivre la compétition mais aussi à l’honneur avec des spectacles de pour profiter des nombreuses ani- bèlè et des démonstrations de bwa flo mations d’une manifestation qui allie (“surf” traditionnel de Martinique, voir sport, musique et culture dans une plus loin). Et, bien sûr, la semaine de ambiance des plus festives. compétition se clôturera avec la très La programmation 2018 se veut attendue Surf Pro Night Party qui sera encore plus riche, en particulier les animée par le collectif de Djettes les week-ends avec des animations pour Brunes Platines, et par les DJs Maza les enfants, des concerts live, un vil- et Payou. Martinique terre de surf…

De par son caractère insulaire et sa traditionnel martiniquais propre aux situation géographique, la Martinique côtes houleuses de Grand-Rivière et est naturellement une destination de de Basse-Pointe : le bwa flo. Pratiqué sports et plaisirs nautiques. Du Nord par les Amérindiens qui l’ont transmis au Sud, l’île offre de nombreux spots aux esclaves, il consiste à chevaucher de surf (et tous ses dérivés) pour la mer sur un tronc d’arbre. Le bwa flo tous les niveaux de pratique. L’eau est permettait l’acheminement des mar- chaude toute l’année et, bonne nou- chandises des bateaux jusqu’à terre. velle, les spots sont plutôt tranquilles. Peu connu et à découvrir lors du Martinique Surf Pro, il existe un surf

Démonstration de BWA FLO DVN Photography

Que LQue s spots d e sur f e n Mar Tinique

Basse-Pointe, le Chaudron • 1 Tartane, Anse Bonneville • 2 Sainte-Marie, Anse Charpentier • 3 Prêcheur, Anse Couleuvre • 4 Prêcheur, Anse Tomate • 5 Diamant, Banzaï • 6 Sainte-Anne, Sacrifice • 7

15 Un éco-événement

Depuis sa création, le Martinique Surf Pro est un événement écologiquement responsable. Il intègre les notions de développement durable et de protec- tion de l’environnement à tous les ni- veaux de son organisation et s’engage à sensibiliser toutes les personnes prenant part à l’événement : visiteurs, sportifs, exposants et membres du staff.

Cette démarche respectueuse de l’en- vironnement se traduira encore cette année par des actions très concrètes et exigeantes : • Utilisation de matériaux biodégra- dables pour la construction des espaces d’accueil, et de mobilier en carton recyclable • Espace dédié à la sensibilisation à l’éco-responsabilité, activités lu- diques sur l’eau, le tri, la pollution et les énergies renouvelables • Mise en place d’une consigne avec des gobelets réutilisables • Utilisation de poubelles bi-flux et de bacs déchets organiques et verres sur l’ensemble du site • Distribution de cendriers de poche réutilisables • Promotion d’une plateforme inte- ractive de co-voiturage

Plage de Basse-Pointe WSL/Poullenot IV- DES RETOMBÉES IMPORTANTES

Web, réseaux sociaux, TV, radios, sollicite une centaine d’entreprises presse… chaque année, les images martiniquaises pour la mise en place de la compétition font le tour du de la compétition. Près de 300 spor- monde. Au cumul, sur les trois pre- tifs, accompagnateurs et journalistes mières éditions, plus de 150 millions sont hébergés dans les structures de personnes ont été touchées ! Une hôtelières et chez l’habitant dans les exposition médiatique sans précédent communes du Nord atlantique. Com- pour l’événement mais aussi pour le merçants, agriculteurs, restaurateurs territoire martiniquais. et artisans bénéficient de la fréquen- Le MSP est particulièrement présent tation de l’événement (10 000 visi- sur le digital : sur son site internet et teurs sur toute la semaine). ceux de ses différents partenaires L’exposition médiatique internationale (en moyenne 900 000 pages vues sur qu’offre le MSP bénéficie au secteur le site de la WSL), et sur les réseaux touristique, valorisant ainsi la desti- sociaux. La page Facebook de l’évé- nation Martinique, son potentiel nau- nement cumule aujourd’hui plus de tique, et ses communes du Nord. 32 000 fans, un chiffre en constante De façon générale, le Martinique Surf progression. Pro participe à la dynamisation du De par son envergure, la compétition tissu économique du Nord comme génère aussi des retombées écono- l’illustrent les actions mises en place miques importantes pour la commune, avec notre partenaire la CCIM : Do you le Nord de l’île, et la Martinique dans speak tourist ? et Qualité tourisme. son ensemble. Outre la petite centaine de saisonniers qu’il emploie, le MSP V- UNE HISTOIRE DU SURF

Diego MIGNOT [FRA] WSL/Poullenot C’est dans les îles du Pacifique que le début du 20ème siècle pour que le surf surf trouve ses origines. Les premiers connaisse un véritable essor, sous Européens à découvrir le surf sont l’impulsion de Duke Kahanamoku, les explorateurs britanniques Samuel champion olympique de natation Wallis (à Tahiti) et James Cook. Cook (100m nage libre en 1912 et 1920) qui, en 1778, jette l’ancre aux Îles et donc surfeur. Duke Kahanamoku Sandwich (Hawaii). Il aperçoit alors des devient un véritable ambassadeur du locaux chevauchant les vagues sur de surf, notamment aux états-Unis et en longues planches de bois, taillées dans Australie où il effectue des démons- des troncs d’arbres. trations très remarquées. De fait, le surf est au 18ème siècle une Mais il demeure un frein au dévelop- pratique répandue chez les popula- pement du sport : un matériel très tions des îles hawaiiennes. Plus qu’un contraignant. Les planches en bois sport, il s’agit d’une part importante de pèsent en effet une cinquantaine la culture, permettant de déterminer de kilos ! À partir des années 30, les la considération sociale accordée aux matériaux utilisés pour la fabrication individus. C’est ainsi que les chefs de commencent à changer. Les planches tribus utilisent le surf pour prouver leur deviennent plus légères, plus fines, habileté. plus maniables. Le surf se démocra- Dans les années 60, de nouveaux multiplient aussi. En 1970 se tiennent Au 19ème siècle, la colonisation des tise et les pratiquants affluent vers matériaux permettent de construire les premiers championnats du monde. îles d’Hawaii s’amorce. Choqués par Hawaii dès les années 50. Le sport des planches encore plus légères Six ans plus tard, le surf professionnel la quasi-nudité des autochtones sur s’implante sur les côtes françaises à qui offrent une liberté accrue au sur- se structure avec la création de l’IPS leurs planches, les missionnaires amé- partir de 1955/1956 grâce au scéna- feur. La discipline explose auprès du (International Professionnal Surfers), ricains interdisent le surf, qu’ils consi- riste Peter Viertel. Lors d’un tournage grand public, la jeunesse s’approprie structure qui régit un circuit de com- dèrent comme un acte de dépravation. à Biarritz, il remarque la puissance des les codes du surf qui devient un véri- pétitions attribuant un titre mondial à La pratique perdure discrètement à vagues et se fait envoyer une planche table art de vivre. Une « culture surf » la fin de chaque année. L’IPS deviendra Hawaii car certains bravent l’inter- des états-Unis. D’autres lui emboîtent se répand dans le cinéma, la musique, l’ASP en 1983 et la WSL en 2015. dit. Ceci dit, il faut patienter jusqu’au rapidement le pas... les magazines... Les compétitions se VI- SURF, LES “FILLES” AUSSI

Si l’histoire du surf féminin n’a pas été du surf féminin dont les profession- un long fleuve tranquille, les “filles” ont nels louent “la technicité, la finesse et réussi à s’imposer dans la discipline la grâce”, a encore progressé ces der- grâce à leur ténacité et à leur talent. nières années et n’a absolument rien à envier à son pendant masculin. Dans les îles hawaïennes, le surf était , Courtney Conlongue, Sil- traditionnellement pratiqué par tous vana Lima, , ou les sexes et tous les âges. Lorsque encore les Françaises Johanne Defay les Européens l’adoptent et le dif- (CT, que d’aucuns pressentent déjà fusent dans le monde, il devient et pour les JO de 2020), (qui reste pendant longtemps une pratique a évolué dans le CT) et Maud Le Car, masculine. Les femmes finissent par les athlètes femmes impressionnent s’imposer dans ce sport d’hommes et n’ont pas froid aux yeux! notamment grâce à quelques pion- Si les surfeuses sont plus nombreuses nières qui ont eu le courage de braver aussi bien sur le Tour que sur les plages, les interdits et les préjugés, et qui ont les sportives sont restées longtemps marqué l’histoire du surf. moins bien payées que les hommes. C’est le cas des Américaines Margo Aujourd’hui, la WSL, et les instances Oberg, première femme à remporter mondiales du surf, encouragent forte- le World Championship Tour en 1977, ment le développement des compéti- ou encore Lisa Andersen et Frieda tions mixtes et s’efforcent de mettre Zamba, toutes les deux quadruples en place un prize money strictement championnes du monde. La nouvelle égal entre les hommes et les femmes. génération, menée par l’Australienne D’ailleurs, le nouveau PDG de la WSL , sextuple cham- est une femme, Sophie Goldschmidt. pionne du monde et pensionnaire du Un signe des temps? CT, propose un surf décomplexé, et certaines n’hésitent pas à jouer avec le côté glamour voire sexy. Le niveau Mahina MAEDA [JPN] WSL/Masurel VII- Partenaires

Jackson BAKER [AUS] WSL/Poullenot 25 VIII- DISPOSITIF MÉDIA

Salle de presse Dispositif Dispositif TV La salle de presse se trouvera direc- photographique À partir du samedi 17 mars l’organisation tement sur le site de la compétition. du Martinique Surf Pro met à disposition Ouverture à partir du samedi 17 mars L’accès à la photothèque se fera à des TV et des agences d’images des sup- à 10H00. Elle sera équipée des bran- partir de l’adresse suivante : http:// ports vidéo. L’ensemble de ces images chements nécessaires (électricité, martiniquesurfpro.com/index.php/ vidéo sera disponible après accréditation téléphone, ADSL, WIFI, ...). media/ sur le serveur de téléchargement media : Les photographies haute définition http://martiniquesurfpro.com/ index. php/ mises à disposition sur ce site ne media/ Site officiel seront libres de droits que pour une Une alerte mail vous sera envoyée de l’événement utilisation presse exclusivement. à chaque mise à jour des images En aucun cas elles ne peuvent être sur le serveur. www.martiniquesurfpro.com utilisées à des fins de communication Le site internet sera mis à jour tout au ou commerciales par un tiers autre que long de la compétition en version fran- l’organisation du Martinique Surf Pro Contact presse locale, çaise et anglaise. Vous y retrouverez et les partenaires officiels de l’évène- France et internationale les classements quotidiens, des ar- ment. ticles, des vidéos, ainsi qu’une sélec- Pierre Rossovich : +33/(0)6 94 42 72 66 tion des plus belles photos du jour. Pour toute demande particulière, Email : [email protected] contactez Pierre Rossovich : +33/(0)6 94 42 72 66 [email protected] O Set : série de grosses vagues. Shape : forme donnée au pain de mousse lors Offshore : vent de terre apprécié des surfeurs de la réalisation du surf. car il creuse et lisse les vagues. Terme opposé IX- Lexique à « on shore ». Shaper : celui qui dessine et fabrique la planche. Off the lip : virage effectué sur la lèvre de la Shore break : vague cassant directement sur le vague. bord du rivage. du surf On shore : vent de mer peu apprécié des sur- Shortboard : forme contemporaine de la feurs car il aplatit les vagues et rend la sur- planche de surf. Sa petite taille et ses angles face de la mer clapoteuse. Terme opposé à secs permettent une grande maniabilité. A F « offshore ». Spot : endroit où l’on peut surfer. Aerial : figure qui consiste à décoller au-dessus Floater : longue glissade sur la lèvre de la vague. Swell : terme anglais signifiant « houle ». de la vague avec la planche en atterrissant de P façon à pouvoir continuer à surfer. Frontside : Position sur la planche face à la vague, face au déferlement. Terme opposé à Pad : antidérapant qui se colle à l’arrière de la T « backside ». planche au niveau des pieds. B Take off : en haut de vague, action de se lever G Peak : point où débute le déferlement de la sur la planche pour commencer à surfer. Backside : position sur la planche dos à la vague. Tube : quand le surfeur pénètre dans le rouleau vague, dos au déferlement. Terme opposé à Gauche : vague qui déferle vers la gauche quand formé par la vague. « frontside ». on la surfe. Point break : vague qui déroule de façon régu- lière le long d’une pointe rocheuse, d’une digue, mer et vagues lisses. Conditions Barre : zone de vagues qui déferlent à franchir Glassy : etc. W pour rejoindre le large. « Passer la barre », c’est idéales pour le surf. Prize money : le montant des gains offerts aux Wax : Paraffine que l’on applique sur le dessus franchir cette zone pour aller au large. position sur la planche pied droit Goofie foot : concurrents lors d’une compétition. de la planche pour ne pas glisser. Beach break : plage où les vagues déferlent sur devant. Terme opposé à « natural foot ». WCT (World Championship Tour) : champion- un fond de sable. nat du monde professionnel qui réunit les 34 Gun : planche effilée de grande taille utilisée meilleurs surfeurs mondiaux. Bottom turn : virage effectué en bas de vague pour surfer les très grosses vagues. Q Wildcards : invitations accordées à certains et précédant une manœuvre en haut de vague. jeu de planches de différentes formes Quiver : surfeurs lors d’une compétition. et tailles que le surfeur pourra utiliser en fonc- Wipeout : grosse chute dans l’impact de la L tion des conditions rencontrées. C vague. Leash : cordon élastique reliant la planche à la WSL (World Surf League) : nouvelle organisa- quand le surfeur va vers le large, action Canard : cheville du surfeur. tion qui régit le surf mondial. A succédé à l’ASP. consistant à plonger sous la mousse avec la R Lèvre : partie supérieure de la vague, celle qui WQS (World Qualification Series) : champion- planche pour se retrouver derrière la vague. Reef : terme anglais signifiant « récif ». commence à déferler. nat international (équivalent à une division 2) Curl : cœur de la vague. C’est la zone où s’effec- Reefbreak : vagues déroulant sur un fond ro- qui permet aux 10 meilleurs surfeurs de se qua- Line up : zone au large où se trouvent les sur- tue le déferlement, l’endroit où la puissance est cheux ou un récif corallien. lifier pour le WCT l’année suivante. Le Martinique maximale. feurs pour attendre et prendre les vagues. Se Surf Pro est une épreuve des WQS. Cut back : quand un surfeur effectue un virage situe derrière la barre. Regular foot (ou natural foot) : position sur la planche pied gauche devant. Terme opposé long et intérieur qui lui permet de revenir au Longboard : grande planche de surf avec une à « goofy foot ». Z point de déferlement. surface de flottabilité importante. Roller : virage en haut de la vague. Zone d’impact : zone où la lèvre tombe, zone de déferlement. D M Droite : vague qui déferle vers la droite quand Malibu : nom donné aux planches de taille inter- S on la surfe. médiaire, entre la shortboard et le longboard. Section : portion d’une vague sur le point de déferler. N Série : groupe de vagues successives. Il y a sou- Nose : pointe de la planche. vent des moments d’accalmie entre les séries.

28 COntact

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Seth Moniz [HAW] WSL/Poullenot