Confédération Musicale De France

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Confédération Musicale De France ' : 1 v Reconnue «milité Publique par Décret du 2 janvier 1957 Agrrcéc par le Ministère des Affaire* Culturelles •1 et. le Secrétariat d'Etat à la Jeunesse et aux Sports • 1 journal delà Affiliée à la Confédération Internationale des Populaires Musique Membre du Comité National do la Musique Uirecleiir-Gérant : M. A. EH R MAN N FRANCE un an 4 F Abonnement (10 n°’) • - V ETRANGER un an 5,50 F onfédération C I" oct. au 30 sept. •' -h \ •’ LE NUMERO: 0,50 F Compte Chèque Postal 4638-65 PARIS ; CONFEDERATION MUSICALE .DE FRANCE . 121, rue La Fayette, PARIS-tO* i Tél. 87.83.942 Musicale de DIX NUMEROS PAR AN: Octobre Novembre Décembre - Janvier Février —. Mars Avri 1 v; Mai Juin. - Juillet Août • Septembre. rance N° 172 ORGANE MENSUEL DES 44 FEDERATIONS, DES 6 000 SOCIETES,F ECOLES ET DES 600 000 MUSICIENS FEDERES AVRIL .1964 . SOUS LE HAUT PATRONAGE r DU SECRETARIAT D'ETAT A LA JEUNESSE ET AUX SPORTS NOS STAGES 1964 «LE MESSIE» de Haëndel AIX-en-PROVENCE (Bouches- du-Rhône) 10-, - du 15 au 26 juillet A L’EGLISE SAINT-ROCH 50e Congrès C.M.F. et Séminaire (Unesco) 1964 (60 places) LES ^9, 30 i-T 31 MAI 1964 HOULGATE (Calvados) — du 1 ES exécutions intégrales du monu- . Bretagne ne connaissait vraiment plus organisé à Dijon à l'occasion des manifestations artistiques 21 au 29 juillet 1964 (30 places). mental oratorio «Le Messie», de* de gloire musicale et l'étranger Georg pour le bi-centonaire de la mort de J.-Ph. RAMEAU. Dernier délai d’inscription 15 mai 1964) (pour les conditions Haëndel, ne sont pas précisément fré- Friedrich Hàëndel, qui se fil d'ailleurs Au cours de ces journées, aura lieu sous l'égide du Conseil International de quentes en France. Monter un tel ou»' la Musique (UNESCO) et de la Municipalité de Dijon, un Séminaire où les sujets a admission, se reporter au journal naturaliser anglais à i'âge de quarante- de février 1964). vrage représente en effet une entré- et-un ans après seize ans de séjour, fut suivants seront traités : prise si considérable que beaucoup de vite considéré comme le grand et génial 1 ) Collaboration entre les amateurs et les musiciens professionnels ; «hefs d'orchestre, tout comme les co- musicien national. Il s'était voué à 2) Les amateurs servant de base pour le recrutement des musiciens professionnels ; . mités des associations symphoniques et : l'Angleterre et, selon son suprême désir. 3) La participation des pédagogues, professeurs de musique et de chant et des Chorales, reculent devant elle. Je n'ai dès qu'il mourut en 1759, le Samedi- professionnels dans les activités des orchestres et chorales d'amateurs ; donc pas manqué de retenir ma pjace Saint 14 avril, il reçut l'honneur quasi- 4) L'éducation et le perfectionnement des directeurs de sociétés instrumentales et à l'église Saînt-Roch dès que j'ai appris ' royal d'une sépulture dans l'Abbaye de des chefs de ch::rales d'amateurs ; que le « Tübïnger Kantatenchor » et Westminster. 5) Les Ecoles de Musique comme base d'activité des musiciens amateurs; l'Orchestre de Chambre de Reutlingen, Il serait vain de discuter pour savoir 6) Connaissance des grands classiques et en particulier de l'œuvre cle J.-Ph. Rameau. BEETHOVEN sous la direction du Professeur Hermann si Haëndel fut plus Anglais qu'Allemand, Etude des recommandations qui furent émises par le congrès du C.I.M. à A PETIT CROQUIS Àchenbach, allaient exécuter l'immense ou le contraire. Pour moi, je me range Rome, en septembre 1962 : chef-d'œuvre de Haëndel dans la soirée résolument à l'opinion du grand musi­ Que les autorités compétentes : D'UN GRAND MUSICIEN du 27 février. J'en avais parfois entendu cologue allemand Hugo Riemann qui dit a) appuient moralement et financièrement tout effort tendant à améliorer la qua­ des exécutions fragmentaires mais ja­ de lui : « s'il doit son éducation musî- lité et à accroître le nombre des activités musicales d'amateurs ; maginlftiorwles "foules. S - mais encore je n'avais eu la joie de l'é-’’- cèle- aux organistes allemands et aux b) renforcent les possibilités accordées aux amateurs d'entrer en contact direct les musiciens qui ont reçu un tel r-,.-; coûter dans son ensemble • et presque maîtres de l'Opéra français et italien, il avec la musique contemporaine, en commandant à des compositeurs de réputa­ pouvoir et hormis Mozart. Beetho- intégralement, car la coupure qui a été a cependant subi l'influence considéra­ tion consacrée, des œuvres pour chorales et pour orchestres d'amateurs ; ven est l'exception qui confirme ble dans la partie médiane n'était bie de.Purcell et des traditions de la c) donnent aux chorales et orchestres d'amateurs une part active dans la vie cul­ cette règle.. N’importe qui, inter­ guère importante. Elle fut seulement musique anglaise et, surtout, il s'est turelle des communautés. roge n’importe où, trouvera « Pi­ casso », un dessin un peu bizarre pratiquée, semble-t-il, pour que l'exécu­ efforcé, pendant la plus grande partie ORDRE DU JOUR DU CONGRES C.M.F. tion n'excédât. pas la limite des douze comme il dira c'est du Beethoven et la partie capitale de sa carrière, de 1 ) Appel des délégués ; pour un air parfois bien loin du coups de minuit. travailler au goût anglais et il y a par- 2) Allocution du Président ; style de l’auteur de la «Pastorale» Cette mémorable manifestation musi- faitement réussi. Il a, pour ainsi dire, 3) Rapport du secrétaire général ; Beethoven a mie telle que les musiciens lùi^accordenï cale et culturelle avait été organisée créé et élevé au plus haut degré l'ora- 4 ) Rapport du trésorier ; .v- àvec le plus grand soin — comme il *or'° anglais et ses œuvres, en ce genre, 5 ) Examens fédéraux ; se devait — par l'Institut Supérieur ont toujours occupé et occupent encore 6) Guide-Annuaire; la «cinquième» ou la «septième» d'Electronique de Paris et nous en lui • aujourd'hui, en Angleterre, le premier 7 ) Stages ; sans préciser l’auteur . tellement devons une grande reconnaissance. Elle ran9 dans Ie répertoire des concerts. 8) Journal ; c est-logique, tant sa production est Mais . une personnalité aussi extraordi­ ; . Je fut, il faut le dire, dans un souci de 9) . Questions diverses. symbole ae perfection dans cette rapprochement franco-allemand sous le nairement puissante quë celle de Haën­ forme musicale. v ' Le Comité de réception se trouvera le vendredi 29 mai, de 14 h. à 19 h., haut patronage de S. Exc. Mgr Blanchet, del n'est en ' réalité ni anglaise ni alle­ Pavillon du Tourisme, place Darcy. Qu’est-ce qui à travers lui nous recteur de l'Institut Catholique de Paris, mande. Pour l'apprécier justement, Il La première réunion du Comité du Séminaire est fixée au vendredi 29 mai 1964, touche tant? Est-ce sa surdité qui de l'Ambassade de la République Fédé- ^aut avant tout voir en lui le plus émi- à 16 heures 30. étonné toujours le profane, sa lutte rate d'Allemagne et de la Direction gé- nent représentant de la culture euro- féroce contre un destin cruel.' cet Réunion plénière, vendredi 29 mai, à 20 h. 30, Salle de Flore. nérale des Affaires Culturelles et Tech- péenne au XVIII0 siècle... Il a, pendant état- de calme surhumain qu’il a niques du Ministère des Affaires Etran­ (Suite page 2) SAMEDI 30 MAI 1964 . pu atteindre alors que nos vicissi­ tudes nous empêchent d’émerger de gères. Mgr. Blanchet, ainsi que plusieurs Congrès de la C.M.F., de 9 h. à 11 h. De 11 h. à 12 h. 30, suite de la hautes personnalités de l'Ambassade èt la réalité quotidienne ? Qui pourra réunion plénière, Salle Flore. dire comment sa grande pensée du Ministère ont effectivement honoré de Colloque public à 14 h. 30, avec les délégués internationaux et les délégués peut servir de refuge hors des leur présence ce magnifique festival. Coupe Marc DELMAS nationaux, sous la présidence de M. le Chanoine KIR, député, maire de la Ville temps, hors de toutes les morales. On sait que Haëndel, l'un des plus La coupe Marc-Delmas sera mise er* de Dijon. (Salle des Etats de Bourgogne). parce que la sienne est Illustres musiciens, Allemand par sa nais­ . compétition au concours international de d aller par la- solitude à l’immense A 18 h., vernissage de l'Exposition RAMEAU. sance et son éducation première, pass' . Châteaudun, le 7 juin 1964. De plus, cette cohorte souffrante de l’humanité. épreuve sera qualificative pour le orochain A 21 h., manifestation au Théâtre. la maievre partie de sa vie en Angle­ concours- C.I.S.P.M. DIMANCHE 31 MAI 1964, 8 h. 30, réunion du Bureau C.l.S.P.M. terre où il devint le compositeur offi­ Nous sommes très reconnaissants ù Mme * * ciel de la Cour et où il rendit l'âme Marc Delmas d’avoir bien voulu augmen­ Grand'messe à la Cathédrale Saint-Benigne, à 10 h. D’origine Flamande (de Mali- dans sa soixante-quinzicnie année. De­ ter le capital du prix Marc Delmas de A 12 h., place de l'Hôtel de Ville, hommage par les écoles de la Ville de Dijon 100.000 anciens francs, ce qui porte ce nes), la famille Beethoven s’était puis la mort de Purcell, la Grande- prix à 15.000 anciens francs. à J.-Ph. RAMEAU; à 15 h., Festival Fédéral. installée, depuis deux générations à Bonn. Parmi les sept enfants de Johann Beethoven trois seulement vécurent. C’est dans un milifeu mu­ Pour le local de la CM F sicien mais modeste que lë‘ jeune COMMENT l ÉDUCA TION MUSICALE Ludwig naquit en 1770 entouré de MONTANT DES SOMMES DEJA PARUES l’affection d’une mère douce mais 22.408,05 F.
Recommended publications
  • Paul Dukas: Villanelle for Horn and Orchestra (1906)
    Paul Dukas: Villanelle for Horn and Orchestra (1906) Paul Dukas (1865-1935) was a French composer, critic, scholar and teacher. A studious man, of retiring personality, he was intensely self-critical, and as a perfectionist he abandoned and destroyed many of his compositions. His best known work is the orchestral piece The Sorcerer's Apprentice (L'apprenti sorcier), the fame of which became a matter of irritation to Dukas. In 2011, the Grove Dictionary of Music and Musicians observed, "The popularity of L'apprenti sorcier and the exhilarating film version of it in Disney's Fantasia possibly hindered a fuller understanding of Dukas, as that single work is far better known than its composer." Among his other surviving works are the opera Ariane et Barbe-bleue (Ariadne and Bluebeard, 1897, later championed by Toscanini and Beecham), a symphony (1896), two substantial works for solo piano (Sonata, 1901, and Variations, 1902) and a sumptuous oriental ballet La Péri (1912). Described by the composer as a "poème dansé" it depicts a young Persian prince who travels to the ends of the Earth in a quest to find the lotus flower of immortality, coming across its guardian, the Péri (fairy). Because of the very quiet opening pages of the ballet score, the composer added a brief "Fanfare pour précéder La Peri" which gave the typically noisy audiences of the day time to settle in their seats before the work proper began. Today the prelude is a favorite among orchestral brass sections. At a time when French musicians were divided into conservative and progressive factions, Dukas adhered to neither but retained the admiration of both.
    [Show full text]
  • 02-Pasler PM
    19TH CENTURY MUSIC Deconstructing d’Indy, or the Problem of a Composer’s Reputation JANN PASLER The story of a life, like history, is an invention. notion of someone well after their death—the Certainly the biographer and historian have roles social consensus articulated by the biographer— in this invention, but so too does the composer as well as the quasi-historical judgment that for whom making music necessarily entails we make with the distance of time. This often building and maintaining a reputation. Reputa- produces the semblance of authority, the au- tion is the fruit of talents, knowledge, and thority of one manifest meaning. achievements that attract attention. It signals In reality, reputation is also the result of the renown, the way in which someone is known steps taken during a professional life to assure in public or the sum of values commonly asso- one’s existence as a composer, a process in- ciated with a person. If it does not imply public volving actions, interactions, and associations admiration, it does suggest that the public takes as well as works. This includes all efforts to an interest in the person in question. The ordi- earn credibility, respect, distinction, and finally nary sense of the word refers to the public’s prestige. As Pierre Bourdieu has pointed out, these inevitably take place in a social space, be it of teachers, friends and enemies, social and professional contacts, institutions, jobs, awards, A previous version of this article, here expanded, appeared in French as “Déconstruire d’Indy,” Revue de musicologie or critics any of whom may influence the con- 91/2 (2005), 369–400, used here by permission.
    [Show full text]
  • Memorial Library of Music Collection
    http://oac.cdlib.org/findaid/ark:/13030/kt6r29p0pm No online items Partial Guide to the Memorial Library of Music Collection Special Collections staff Department of Special Collections Green Library Stanford University Libraries Stanford, CA 94305-6004 Phone: (650) 725-1022 Email: [email protected] URL: http://library.stanford.edu/spc/ © 2006 The Board of Trustees of Stanford University. All rights reserved. Partial Guide to the Memorial MLM 1 Library of Music Collection Partial Guide to the Memorial Library of Music Collection Collection number: MLM Department of Special Collections and University Archives Stanford University Libraries Stanford, California Processed by: Special Collections staff Date Completed: 2003 Encoded by: Bill O'Hanlon © 2006 The Board of Trustees of Stanford University. All rights reserved. Descriptive Summary Title: Memorial Library of Music collection Collection number: MLM Collector: Keating, George T. Collection Size: ca. 27 linear ft. Repository: Stanford University. Libraries. Dept. of Special Collections and University Archives. Abstract: This library is a collection of musical manuscripts and of printed and engraved scores inscribed by great composers, and constitutes a unique addition to Stanford's educational and cultural resources. Languages: Languages represented in the collection: English Access Collection is open for research; materials must be requested at least 24 hours in advance of intended use. Publication Rights Property rights reside with the repository. Literary rights reside with the creators of the documents or their heirs. To obtain permission to publish or reproduce, please contact the Public Services Librarian of the Dept. of Special Collections. Preferred Citation Memorial Library of Music Collection, MLM. Dept. of Special Collections, Stanford University Libraries, Stanford, Calif.
    [Show full text]
  • Garçon, L'audition! De L'ouvreuse Du Cirque D'été
    GARÇON, L'AUDITION! DE L'OUVREUSE DU CIRQUE D'ÉTÉ LETTRES DE L'OUVREUSE. BAINS DE SONS. RYTHMES ET RIRES. LA MOUCHE DES CROCHES. ENTRE DEUX AIRS. NOTES SANS PORTÉES. ACCORDS PERDUS. LA COLLE AUX QUINTES. DE WILLY MAÎTRESSE D'ESTHÈTES. UN VILAIN MONSIEUR. CLAUDINE A L'ÉCOLE. En préparation : CLAUDINE A PARIS. UN VOYAGE SENTIMENTAL. Exemplaire N° EMILE COLIN, IMPRIMERIE DE LAGNY ^5,-JÎ* H>J L'OUVREUSE DU CIRQUE D'ÉTÉ GARÇON L'AUDITION! PARIS H. SIMONIS EMPIS, ÉDITEUR 21, RUE DES PETITS-CHAMPS, 21 IÇOI Tous droits de traduction et de reproduction réservés pour tous pays, y compris la Suède et la Norvège. S'adresser, pour traiter, à M. H. Simonis Empis. A GUSTAVE LYON GARÇON, L'AUDITION! O 7 (J'est vraiment gentil à (Jhevillard. d'avoir organisé un concert le 1er janvier! Justement on ne sait jamais à quoi employer cette journée-là : pas de visites à faire, pas de marrons glacés à recevoir, pas de polichinelles à mettre dans le tiroir des fillettes sages, pas d'écheveaux de souhaits à débrouiller, rienî Grâce au gendre immortel de l'immortel Patron, nous avons eu de quoi occuper cette après-midi dominicale. Et quel joli temps pour se rendre au Cirque en ba­ teau ! A propos de bateau je vous redirais bien que Ghevillard nous sert des programmes où l'inédit ne foisonne pas (Beethoven, Wagner et même Jannequin sont de petits jeunes gens qui ont déjà fait leurs preuves), mais à quoi bon rabâ­ cher ? Les chefs d'orchestre ne m'écouteront pas plus aujourd'hui qu'hier, demain qu'aujourd'hui.
    [Show full text]
  • Boston Symphony Orchestra Concert Programs, Season 27,1907-1908, Trip
    MUSIC HALL . • . CINCINNATI Twenty-seventh Season, J 907- 1908 DR. KARL MUCK, Conductor flnigrattmwB of MATINEE FRIDAY AFTERNOON, JANUARY 31 AT 2.30 PRECISELY AND CONCERT SATURDAY EVENING, FEBRUARY 1 AT 8.15 PRECISELY WITH HISTORICAL AND DESCRIP- TIVE NOTES BY PHILIP HALE PUBLISHED BY C. A. ELLIS, MANAGER " ; f THIRTY-FOURTH YEAR FINEST CONSERVATORY IN THE WEST Detroit Conservatory of Music FRANCIS L. YORK, M.A., Director One of the Three Largest Conservatories in America. Unsurpassed ad- vantages for a Complete Musical Education. EVERY BRANCH TAUGHT HEADS OF DEPARTMENTS: YORK, Piano ; YUNCK, Violin; NORTON, Voice RENWICK, Organ, Theory; DENNIS, Public School Music; OCKENDEN, Elocution ; LITTLE, Drawing. Fifty thoroughly reliable instructors. Rates of tuition range from $10 to $60 per term (twenty lessons). Many free advantages. Send for catalogue. 530 WOODWARD AVENUE JAMES H. BELL, Secretary EIGHTH PRINTING of " one of the most important books on music that have ever been published ... a style which can be fairly described as fascinating. — W. J. Henderson. With a chapter by Henry E. Krehbiel, covering Richard Strauss, Cornelius, Goldmark, Kienzl, Humperdinck, Smetana, Dvorak, Charpentier, Sullivan, Elgar, etc., in addition to his earlier chapter on Music in America. Practically a cyclopaedia of its subject, with 1,000 topics in the index LAVIGNAC'S "MUSIC AND MUSICIANS" By the Author of" The Music Dramas of Richard Wagner" Translated by WILLIAM MARCHANT i2mo. $1.75 net (by mail $1.90). **# Circular with sample pages sent on application This remarkable book by the doyen of the Paris Conservatory has been accepted as a standard work in America and reprinted in England.
    [Show full text]
  • Richard Wagner Et Sa Réception En France
    Richard Wagner et sa réception en France Du ressentiment à l’enthousiasme 1883-1893 volume 1 Symétrie ISBN 978-2-36485-053-8 30 rue Jean-Baptiste Say dépôt légal : décembre 2016 69001 Lyon, France © Symétrie, 2016 [email protected] www.symetrie.com Les deux volumes : 978-2-36485-049-1 Crédits illustration de couverture : La Première Représentation de Lohengrin (sur la place de l’Opéra), à la une du Petit Journal, supplément illustré du samedi 3 octobre 1891 © collection Symétrie. conception et réalisation : Symétrie impression et façonnage : Standartų spaustuvė, Vilnius, Lituanie www.standart.lt, [email protected] Les anciens et Les néophytes. QueLQues remarQues sur Les ouvriers du wagnérisme Pour Édouard Dujardin, le plus important des premiers écrits de Wagner était « le grand traité » Opéra et Drame (Oper und Drama, 185127). Le journaliste parisien résumait ainsi ce qu’il considérait comme l’essence de cet ouvrage : C’est l’œuvre la plus complète de cette première période, à la fois critique et théorique. D’abord un principe général, que l’on peut dire le caractéristique du wagnérisme : c’est une erreur, prendre pour fin, dans l’art, la musique, qui n’est qu’un moyen de l’expression artistique, tandis que, seule, l’action est la fin véritable. Puis, critique de l’opéra et de la musique modernes : tous ces genres reposent uniquement sur l’Air, qui est, à l’origine, la chanson populaire et devient la mélodie, puis le duo ou l’ensemble. Weber restitue à l’opéra sa forme populaire originelle ; avec Meyerbeer naît l’opéra à effet, historique et mélodramatique.
    [Show full text]
  • From the Salons De La Rose†Croix to the Salons D'art Idéaliste
    Lucien Midavaine Music and the Convergence of the Arts in Symbolist Salons: From the Salons de la Rose†Croix to the Salons d’Art Idéaliste Nineteenth-Century Art Worldwide 18, no. 2 (Autumn 2019) Citation: Lucien Midavaine, “Music and the Convergence of the Arts in Symbolist Salons: From the Salons de la Rose†Croix to the Salons d’Art Idéaliste,” Nineteenth-Century Art Worldwide 18, no. 2 (Autumn 2019), https://doi.org/10.29411/ncaw.2019.18.2.5. Published by: Association of Historians of Nineteenth-Century Art Notes: This PDF is provided for reference purposes only and may not contain all the functionality or features of the original, online publication. License: This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial 4.0 International License Creative Commons License. Midavaine: Music and the Convergence of the Arts in Symbolist Salons Nineteenth-Century Art Worldwide 18, no. 2 (Autumn 2019) Music and the Convergence of the Arts in Symbolist Salons: From the Salons de la Rose†Croix to the Salons d’Art Idéaliste by Lucien Midavaine Introduction Since the early 1970s, scholarship on symbolism has highlighted the preeminent role of the musical imagination and musical performance in iterations of the movement in France and Belgium. Music was a singular and at times dominant focus for symbolists in both countries. This was particularly true for idealist artists, a subset of the multifaceted symbolist movement, characterized by their link to late nineteenth-century esoterism and the deep influence of German composer Richard Wagner (1813–83) on their work. [1] In the 1890s, most of these artists briefly gravitated around French writer and occultist Joséphin Péladan (1858–1918) before losing their vigor in the decades that followed.
    [Show full text]
  • Writing Through Music This Page Intentionally Left Blank Writing Through Music Essays on Music, Culture, and Politics
    Writing Through Music This page intentionally left blank Writing Through Music Essays on Music, Culture, and Politics WithJann a Foreword byPasler George Lewis 1 2008 1 Oxford University Press, Inc., publishes works that further Oxford University’s objective of excellence in research, scholarship, and education. Oxford New York Auckland Cape Town Dar es Salaam Hong Kong Karachi Kuala Lumpur Madrid Melbourne Mexico City Nairobi New Delhi Shanghai Taipei Toronto With offices in Argentina Austria Brazil Chile Czech Republic France Greece Guatemala Hungary Italy Japan Poland Portugal Singapore South Korea Switzerland Thailand Turkey Ukraine Vietnam Copyright ª 2008 by Jann Pasler Published by Oxford University Press, Inc. 198 Madison Avenue, New York, New York 10016 www.oup.com Oxford is a registered trademark of Oxford University Press All rights reserved. No part of this publication may be reproduced, stored in a retrieval system, or transmitted, in any form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording, or otherwise, without the prior permission of Oxford University Press. Library of Congress Cataloging-in-Publication Data Pasler. Jann. Writing through music : essay on music, culture, and politics / Jann Pasler.—1st ed. p. cm. ISBM 978-0-19-532489-1 1. Music—Social aspects. 2. Music—History and criticism. I. Title. ML3916.P37 2007 780.9—dc22 2006037220 135798642 Printed in the United States of America on acid-free paper For my mother, Josephine Pasler, who infused my life with music and unconditional love - This page intentionally left blank Foreword george e. lewis ringing together a group of the most important and in- fluential recent essays by a major scholar whose work bridges musicology,B ethnomusicology, the sociology of art, and other fields, Jann Pasler’s Writing Through Music directly confronts one of the most perplexing anomalies in public intellectual discourse.
    [Show full text]
  • Paul Taffanel and the Construction of the French Flute School by Dorothy
    Paul Taffanel and the Construction of the French Flute School By Dorothy Glick Submitted to the graduate degree program in Musicology and the Graduate Faculty of the University of Kansas in partial fulfillment of the requirements for the degree of Master of Music. _____________________________ Chairperson Dr. Alicia Levin _____________________________ Dr. Sarah Frisof _____________________________ Dr. Paul Laird _____________________________ Dr. Margaret Marco Date Defended: 4 April 2014 ii The Thesis Committee for Dorothy Glick certifies that this is the approved version of the following thesis: Paul Taffanel and the Construction of the French Flute School _____________________________ Chairperson Dr. Alicia Levin Date Approved: April 23, 2014 iii Abstract Beginning with Paul Taffanel and the introduction of the silver Boehm system flute in the mid- nineteenth century, the French Flute School refers to the use of vibrato, emotional approach to musical line, technique, and tone of French flutists. After Taffanel won the premier prix at the Paris Conservatoire in 1860, his playing was quickly accepted as a model of what all flutists should emulate, and he has since been acknowledged by scholars and performers as the father of the French Flute School. This thesis explores the construction and definition of the French Flute School. Although it is a term frequently uttered by musicians, and its foundation in the playing of Taffanel widely accepted, the history has never been wholly documented. In chapter one, I investigate how the structure of the Conservatoire education, noteworthy flute professors and the technical advances on the instrument built the foundation for the French Flute School and contributed to its genesis and global distribution.
    [Show full text]
  • Republican Reconfigurations of Catholicism in the Music of Third Republic Paris, 1880–1905
    SOUNDING THE RALLIEMENT: REPUBLICAN RECONFIGURATIONS OF CATHOLICISM IN THE MUSIC OF THIRD REPUBLIC PARIS, 1880–1905 JENNIFER WALKER A dissertation submitted to the faculty at the University of North Carolina at Chapel Hill in partial fulfillment of the requirements for the degree of Doctor of Philosophy in the Department of Music. Chapel Hill 2019 Approved by: Annegret Fauser Andrea Bohlman Mark Evan Bonds Tim Carter Clair Rowden ©2019 Jennifer Walker ALL RIGHTS RESERVED ii ABSTRACT Jennifer Walker: Sounding the Ralliement: Republican Reconfigurations of Catholicism in the Music of Third Republic Paris, 1880–1905 (Under the direction of Annegret Fauser) Military defeat, political and civil turmoil, and a growing unrest between Catholic traditionalists and increasingly secular Republicans formed the basis of a deep-seated identity crisis in Third Republic France. Beginning in the early 1880s, Republican politicians introduced increasingly secularizing legislature to the parliamentary floor that included, but was not limited to, the secularization of the French educational system. As the divide between Church and State widened on the political stage, more and more composers began writing religious—even liturgical—music for performance in decidedly secular venues, including popular cabaret theaters, prestigious opera houses, and international exhibitions: a trend that coincided with Pope Leo XIII’s Ralliement politics that encouraged conservative Catholics to “rally” with the Republican government. But the idea of a musical Ralliement has largely gone unquestioned by historians and musicologists alike. Thus my study of this music provokes a fundamental reconsideration of music’s role in the relationship between the French state and the Catholic Church in the Third Republic and, in doing so, dismantles the somewhat simplistic epistemological position that emphasizes a sharp division between the Church and the “secular” Republic during this period.
    [Show full text]
  • Le Tour De France Du Chevalier Lohengrin
    Michal Piotr Mrozowicki Université de Gdansk Pologne Membre d’honneur du CRW-Lyon Du ressentiment à l’enthousiasme – Le Tour de France du Chevalier Lohengrin Cette fatale représentation de Tannhäuser à Paris en 1861, ne peut être considérée comme un commencement ; elle a été une plante sans racines, importée par l’ordre de l’empereur Napoléon, détruite par le Jockey-Club. L’art de Wagner n’admet point de ces procédés arbitraires ; il est une nécessité de l’esprit moderne : il ne peut donc prospérer que là où cette nécessité est sentie. Dans la France de 1861, on ne pouvait encore y penser : Tannhäuser y fit ce pèlerinage de Rome parce qu’on l’y envoya, mais il dut s’en retourner sans rien avoir obtenu, parce que le bâton ne se couvrit pas encore de feuilles. Aujourd’hui, après vingt-cinq années, le miracle s’est accompli, l’apparition du printemps après l’hiver ; le moment est arrivé pour l’esprit artistique français, où nécessairement le printemps doit venir. Baron Hans von Wolzogen (La Revue Wagnérienne , no 3, le 8 avril 1886, p. 70) Le 17 septembre 1891, le journaliste du Gaulois signant par le nom de plume d’« Intérim » se permit de commencer le compte rendu de la première représentation de Lohengrin au Palais Garnier par une remarque un peu malicieuse : Dans cinquante ans, les érudits qui voudront documenter un croquis de la vie parisienne, en l’an de grâce 1891, iront déterrer dans la poudre des bibliothèques les journaux de l’époque. Lorsqu’ils liront les comptes-rendus dramatiques des feuilles qui paraissent ce matin, lorsqu’ils y trouveront que Lohengrin a été représenté sur notre première scène lyrique, le mercredi 16 septembre 1891, ils croiront avoir été trompés et avoir reçu du garçon du bureau la collection des journaux de Carpentras.
    [Show full text]
  • Hans Richter's Conducting Career in England, 1877-1911
    HANS RICHTER'S CONDUCTING CAREER IN ENGLAND, 1877-1911 A thesis submitted to the faculty of San Francisco State University in partial fulfillment of the requirements for the degree Master of Arts in Music by Paul Cummings San Francisco, California May, 1992 Copyright by Paul Cummings 1992 CERTIFICATION OF APPROVAL I certify that I have read Hans Richter's Conducting Career in England, 1877-1911 by Paul Cummings, and that in my opinion this work meets the criteria for approving a thesis submitted in partial fulfillment of the requirements for the degree: Master of Arts in Music at San Francisco State University. Dr. William Hopkins Professor of Music Dr. Henry Onderdonk Professor Music Dr. Dean Suzuki Asst. Professor of Music sic HANS RICHTER'S CONDUCTING CAREER IN ENGLAND, 1877-1911 Paul Cummings San Francisco State University 1992 The subject of this work is the life and career of Hans Richter (1843-1916), an eminent Austro-Hungarian conductor who specialized in interpretations of German Romantic music written during the second half of the nineteenth century. Primary focus will be on the first ten years (1877-86) of his thirty-five-year career as a conductor in England. The Richter Concerts, his series of London orchestral performances between 1879 and 1902, receive the most detailed coverage, while his activities as conductor of the Vienna Philharmonic Orchestra (1875-98) are only covered where relevant. Among the areas discussed are the repertoire performed at his concerts, its reception by music critics and the public, and the similarities between Richter's London and Vienna repertoire.
    [Show full text]