Un
Ecole
Maison
facteur
D.E.A.
doctorale François
des
Nom
soumis
Université
Le
Sciences
Villes
paysage Botté,
Présenté
de
Mémoire
Sciences
à
l’unité Maître
la
et
Année
François-Rabelais
temporalité
Territoires
de Membres
dans de
par
de
l’Homme conférence,
de
2003-2004
Adélaïde
de
recherche
l’image du
recherche
l’Homme jury
et — discipline “Villes
Aménagement
aux
de
Sallès
la
d’accueil
volontés
et
Tours
ville: scientifique
et
de
Territoires”
la UNIV.TOLJRS
politiques
Société
ll
I D21
IlU
lUi fln41Q2 EPU
I
i
U DA
il
I CESA
Ul
Le paysage dans l’image de la ville: un facteur soumis à la temporalité et aux volontés politiques
[ntroduction 1
PARTIE I: Le volet paysager de l’image de la ville 3
I Le paysage dans l’image de la ville 4 1.1 L’image de la ville facteur identitaire attractif 4 1.2 Le paysage espace physique de l’image de la ville 7 1.3 L’image paysagère comme capital attractif 10
II Le capital paysager urbain 13 2.1 Méthode dana1vse de l’image paysagère de Kévin Lvnch 13 2.2 Les composantes du capital paysager urbain 16 2.3 Synthétiser les données pour repérer les éléments clefs de Fimage paysagère 19
III Détermination de sites comparables pour analyser l’image paysagère (Appliquer aux villes Amiens et Tours) 20 3.1 Détennination du terrain d’étude 20 3.2 Recherche axée sur l’image paysagère des centres villes 21 3.3 La nécessité d’avoir des sites comparables 22
PARTIE ll:Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études 25
I Le capital paysager du centre ville d’Amienset de Tours en 1990 26 1.1 Grille comparative 26 1.2 Quelques éléments historique justifiant l’image paysagère (évolution comparée Arniens/Tours) 28 1.3 Coupler les premiers résultats aux opérations d’aménagement 31
II Détermination des sites d’études comparables 33 2.1 Cartographie comparative du capital paysager urbain et des opérations d’aménagement 33 2.2 Composition des lieux d’étude retenus en 1990 36 2.3 Lieux complémentaires pour l’étude 38
III Méthode 41 3.1 Une méthode en deux temps 41 3.2 Déterminer le positionnement des acteurs politiques et la volonté de mener des opérations d’aménagement 42 3.3 Juger si ces volontés ont permis de faire évoluer l’image paysagère (indicateurs) 43
PARTIE III: L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménagement du aysage sont impulsées par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? 44
I Volontél)olitique et image paysagère 45 1.1 Présentation des campagnes 45 1.2 Positionnement des acteurs politiques face à l’image paysagère de 1990 47 1.3 De quels volontés sont nés les opérations d’aménagement du paysage sur les sites retenus 53
II Juger I’impactdes opérations d’aménagement du paysage sur l’image de la ville 57 2.1 Places et axes piétonniers 57 2.2 Leurs place dans l’ensemble de la ville 61 2.3 Une évolution incontestable 64
fil Confirmation de l’hypothèse avec quelques nuances 67
3.1 Les opérations d’aménagement agissent sur l’image 67 3.2 Nuance apporté à l’hypothèse 68 3.3 Les volontés politiques direct d’agir sur l’image grâce aux opérations dainénagement pennet un meilleur contrôle de Févolution de Fimage 69
onclusion 70
3ibliographie 71 Fable des matières 75 PARTIE I L INTRODUCTION
INTRODUCTION
Ce mémoire est basé sur l’image de la ville et plus particulièrement le volet paysager qui la compose. À l’intérieur de cette thématique de travail, c’est sur les volontés politique)de mener des opérations d’aména gement du paysage et leurs influences sur l’image paysagère de la ville que va s’orienter la recherche. Nous chercherons à confirmer ou infirmer l’hypothèse suivante L’image paysagère évolue quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique d’agir sur l’image de la ville.
Thème: Le volet paysager de l’image de la ville
IL. Question spécifique: Les volontés politiques de mener des opérations d’aménagement du paysage permet tent-elles de jouer directement sur l’image paysagère de la ville?
Hypothèse: L’image paysagère évolue quand les actions d’aménagement du paysage sont impul- : sées par une volonté politique d’agir sur l’image de la ville.
Dans ce mémoire, c’est l’image interne de la ville qui va être abordée. Privilégier la dynamique d’image in terne ne répond pas seulement à un souci d’efficacité. C’est également justifié par le fait que l’image doit susciter l’adhésion du citadin-citoyen, de renforcer la notoriété et l’attractivité de la ville, mais elle doit d’a
bord être une parole collective : «voici la ville où nous vivons, et voici le projet que nous avons pour elle ».
Nous saisissons la ville à travers nos représentations, c’est-à-dire les images mentales qui émergent de notre personnalité ou de notre culture, de notre désir de comprendre, de notre volonté d’agir. Ainsi nous voyons la ville à travers ce que nous sommes, mais aussi à travers notre façon de penser, à travers ce que nous vou lons.
Dès 1960, K. Lynch, dans « l’image de la ville », montre comment chaque citadin choisit mentalement des repères (grands axes et bâtiments, carrefours, repères physiques... ) pour se situer dans le temps et dans l’espace urbain; il fait en même temps référence aux significations de la ville, au symbolisme des limites (culturelles, historiques) et des quartiers. Par une double lecture des composantes structurelles et symboli ques de la ville, il construit mentalement des réseaux préférentiels qui lui permettent de pratiquer la ville. Ainsi lors d’un déplacement automobile va-t-il suivre des axes structurants, suivre les progrès de son dépla cement grâce au passage de limites et à la vision du paysage. Mais ces éléments n’ont de sens que s’ils peu vent être interprétés; chaque axe, quartier, chaque repère (marqueur) est porteur de symboles, de sens et d’imaginaire.
Une grande partie de la démarche de vérification de l’hypothèse va être basée sur l’ouvrage de Kévin Lynch, l’image de la ville.
1 PARTIE I INTRODUCTION
Dans la première partie du mémoire nous aborderons le volet paysager de l’image de la ville, ou nous abor derons tout d’abord le volet paysager de l’image de la ville, puis le capitale paysager urbain où les apports de Lynch seront largement abordés. Pour terminer cette partie nous verrons pourquoi les villes d’Amiens et de Tours ont été retenu comme cas d’étude.
Dans la seconde partie, une grille d’analyse va être mis en place pour permettre de déterminer des sites d’é tude comparableau sein des villes d’Amiens et de Tours. Puis à la fin de cette partie nous aborderons la méthode permett’antde vérifier l’hypothèse.
Dans la dernière partie, nous allons à l’aide de la méthode exposée dans la deuxième partie vérifier,1l’hy- pothèse émise
L’image paysagère évolue quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique d’agir sur l’image de la ville.
Deux axes de recherche vont être entrelacés au sein de ce mémoire
• La volonté politique de mener des opérations d’aménagement du paysage • L’impact des modifications apportés par les opérations d’aménagement sur l’image paysagère
2 PARTIE 1
Le volet paysager de l’image de la ville PARTIE “ Le volet paysager de l’image de la ville
I LE PAYSAGE DANS L’IMAGE DE LA VILLE
1.1 L’image de la ville facteur identitaire attractif
1.1.1 Idéologie urbaine et les composantes de l’image
L’image d’une ville
Elle exprime l’identité que la ville (dans son sens large) s’est donnée à développer et à promouvoir. Assez pro che de la réalité pour que chacun s’’ reconnaisse et y reconnaisse la ville, assez symbolique pour être un vec teur de désir et de mobilisation, l’image est constituée par une sélection de thèmes. d’idées et par le choix de modalités dexpression. de signes. Il ne s’agit pas de la comprendre comme l’image iconographique de la ville, mais de la concevoir comme un symbole, une idée d’un lieu. L’image d’une ville relève d’une mémoire collec tive constituée dans le temps de l’histoire. Nourrie d’idées reçues et d’expériences transmises, elle est une sorte de mémoire accumulée au dedans d’elle-même et au dehors, sans lien immédiat ni automatisme avec sa réalité
présente. La mémoire d’une ville se forme par rémanence ; certains moments, certains événements perdurent
.1.sous des formes matérielles ou culturelles, pour quelque décennies ou pour plusieurs siècles. Une ville est une réalité des plus complexes qu’il soit, car elle est à la fois physique et humaine, temporelle et intemporelle, uni verselle et culturelle. Du point de vue de son image, elle relève à la fois du vécu et de l’imaginaire. C’est pour- quoi l’image d’une ville ne se laisse pas maîtriser comme celle d’un produit. Image collective, elle est aussi le lieu de rapports fragiles entre des imaginaires et des vécus personnels. Parler d’image, c’est parler d’identité, c’est-à-dire de ce qui différencie des autres. On ressent bien, dans la plupart des villes, que chacune d’elles a quelque unique une sorte de personnahte qui se traduit dans son espace et dans sa vie quondienne - chosed
Depuis une quarantaine d’années, la ville, disons pour réactualiser. le milieu urbain, entretient avec « l’image » des rapports conflictuelles. Terme souvent méprisant aujourdhui pour exprimer une démarche formaliste déconnectée de la société ou au contraire jouant sur le désir de paraître de celle-ci, il y a peu, se parer de vertus pour qualifier la représentation mentale suscitée par un vécu complexe ou une expérience onirique. (Reine. V. , Larnizet.B. et Sanson.. P. 1997).
Deux objectifs de la politique d’image
La reconnaissance mutuelle vient fonder une conviction commune. C’est la recherche de cette dynamique qui doit guider tout travail sur l’image d’une ville. L’objectif central d’une politique d’image est de gérer Lepatrimoine-image et de le rendre productif pour la stratégie de développement. Les deux sous-objectifs principaux d’une politique d’i mage est de
• Renforcer la relation des citadins à leur ville : l’opinion que chaque citadin a de la ville dans laquelle il vit ou il travail participe au premier chef de la production de l’image de cette ville. Pour que cette image soit positive, il faut qu’elle associe satisfaction et fierté. Pour qu’elle soit convaincante, il faut qu’elle soit informée. L’i mage forcée se retourne vite contre la ville elle-même, en ôtant toute crédibilité à ses messages. La première politique d’image, c’est assurer à chaque citadin et à chaque visiteur la qualité de vie quotidienne et de services qu’il attend
• Faire de chaque personne, de chaque entreprise un ambassadeur de sa ville chaque citadin est un porteur «passif» de l’image de la ville, par ce qu’il en dit à ceux qu’il rencontre, par la manière dont ii,.en parle. Mais il peut également devenir un porteur « actif», en prenant conscience du rôle qu’il peut jouer auprès d’un parent touriste potentiel, auprès d’une entreprise avec laquelle il est en relation,...
C’est pourquoi l’image que promeut le marketing peut tirer légitimement sa substance des orientations du plan stratégique. conçues à travers une large concertation démocratique. Limage promue exprime la ville en tant qu’engagement collectif.
4 PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville
La représentation de l’image de la ville est multiple. ConMne’Ion peut le voir dans les deux schémas suivant, présen tant les diverses appréhensions d’une ville, selon Beaumont”et Hunot en 1994. On distingue plusieurs niveaux de la ville. représentation : mentales, théoriques, politiques correspondant aux différents acteurs de
Des représentations multiples de la ville, Beaumont et Huriot, 1994
La ville
La ville abstraite La villevécue La ville aménagée (représentationsthéoriques) (représentationsmentales) (représentationspolitiques)
Positive Nonnative (Optimale.4utopique) Trois représentations de la ville, in Représenter la ville,Beaumont et Huriot, 1994
ReprésentaJns de l’arnénageur La ville Représentationsdu chercheur: et diipolitique: imaginairedes descriptionset constructionsabs projets(planifier.décider) traites(théories et modèles)
Représeationsuchan:le
culture,histoire,genrede vie. “écu,...)
1.1.2 Le temps long de la construction de l’image
Temporalité de l’image:
Lorsque l’on parle d’une silhouette urbaine, dans un grand paysage, on n’évoque pas seulement tel ou tel objet construit mais l’interaction de tous les objets construits et des espaces libres qui les relient à la manière d’un infini tissu conjonctif L’approche du grand paysage - pour poursuivre la métaphore biologique du tissu conjonctif - consi dère le territoire comme un organisme. Elle permet dc replacer chaque geste, chaque objet, chaque modification dans son contexte à la fois spatial et temporel. Elle pose la question dc la gestion, de l’évolution dans le temps du devenir et des interactions. La temporalité de l’image joue un rôle important dans la diffusion et le rattachement identitaire à celle-ci. Mais la construction de l’image 5d’un ville n’est pas une simple affaire. L’image d’une ville se construit sur le long terme, et elle doit d’abord être acceptet portepar les habitants pour être véritablement exportable.
Le rôle de la ville centre en terme d’image pour l’agglomération:
Pour les agglomération le rôle de la ville centre en terme d’image joue un rôle indéniable pour l’attractivité de cette dernière4 La ville cent’reest porteuse d’image pour l’ensemble de l’agglomération au quelle elle se réfère. C’est autour de la ville centre que se fonde le ralliement communautaire et l’emblème de l’agglomération. Ce n’est pas tant à travers la pratique d’un espace qu’un lieu, une commune, prend une signification, mais également à travers l’image que les gens s’en font et à laquelle ils adhèrent (Aniphoux. 1988). Si la population se répartit dans les conmiunes de l’agglomération de façon beaucoup plus subtile et variée que ne le ferait le seul mécanisme du marché, c’est que la commune centre à une image, ou plutôt des images. Ainsi le « connu », les éléments-éléments phares ou la réputation sont autant d’éléments constitutifs d’un sentiment d’appartenance et d’attraction de
1‘agglomération.
D PARTIE T Le volet paysager de l’image de la ville
1.1.3 Image de la ville et communication urbaine
L’image de la ville peut aussi être comprise comme un outil de manipulation. L’image est indissociable d’aptitudes propre à l’homme : appréhender intellectuellement le monde, le traduire matériellement et enfin communiquer avec ses congénères. Des professions dont celles touchant l’aménagement des villes ambitionnent d’utiliser ce vecteur de communication efficace dans ses dimensions tant matérielles ie symboliques pour conditionner la population. En effet, l’aménagement du cadre de vie n’est plus aux mains de/es usagers directs. Dans le milieu urbain, celui où se concentre les hommes, les entreprises, les décisions, l’espace ‘ést suffisamment rare et cher pour que spéculateurs et expert se soient très tôt chargés d’en rationaliser l’utilisation. Il importe alors à ces derniers d’encourager une réponse des habitants conforme à ce qu’ils en attendent en stimulant des réactions de l’ordre du réflexe, ou en les faisant adhérer aux idéologies souhaitéeyle tout à l’aide de diverses techniques dont l’image physique image artisti que, publicitaire, emblématique,.. Suet.P-L. , Larnizet.B. et Sanson..P. 1997). .( I Frise d’évolution de la communication urbaine (Réalisation Sallès.A. 2003. D’après Lussault 1993)
1960 1970 1977 1983 4 4 4 4 4 Avant l960.l’image La premièrephase de Dans les aunées 70. ce mou- De 77 à 83, c’est Le mouvement s’est que projeta”les villes communicationdes vement se confirmeet s’ac- la troisième poursuividepuis 1983, vers l’extérieurétait le villes court durant les centue,avecnotamment phase, sur 34 vil- c’est la quatrièmephase plus souventlimitéeau aimées60: c’estcelle l’appelauxprofessionnels. les de plus de qui marqueune quasi- stéréotype touristique des prémices.Quel- De plus il sembleque les 100000 hab, 19 généralisationdu phéno ou architectural (cf. les quesvilles se lancent électionsmunicipalesde 77 créentun service mèneaccompagnée, blason/et flammespos- dans la publication avecleur fort renouvelle- de communica- d’uneamélioration des tales, /Coste. M. Les d’un périodiqueet ment -politiqueet de généra- tion. dontParis. teclmiqueset d’une ex images de comnmnica- donnent naissance à tion—ait constituéune nota- tensiondesmoyens. tion des villes. 1989). des services d’infor- ble impulsion. mation.
Dans
Le capital image d’une ville, est essentiellour son pouvoir d’attractivité. Mais la cohésion sociale désirée par les hommes politiques ne sera pas obtenue par le recours à une seuI9jrnagephysique. Et les publicitaireÇdesannées 1970 l’avaient bien compris quand pour vendre un appartement en banlieue à un client traumatisé par le nodèle négatif des grands ensembles, ils lui vantait un art de vivre chargé de références idéologiques capables de la toucher. En fait les agents de communication des collectivités locales appliquent le même principe en vendant outre certains projets sym boles de l’esprit d’entreprise local, de jouir d’une vie calme et culturellement dynamique dans tin cadre de vie de choix. (Lamizet.B. et Sanson. P. 1997). Le capital image d’une ville sert à faire naître et à renforcer le sentiment d’appartenance des habitants et l’identité et las particularité d’un lieu, le démarquant des autres. Ce capital est aussi porteur d’images collective vers l’extérieur du territoire, et de ce fait participe à l’attractivité de la ville.Politiques de communication ou communications politi ques, la limite entre les deux notions est d’autant plus fragile que le maire de la commune apparaît comme une figure à la fois emblématique et médiatique de la collectivité. Alain Mons note à cet égard que «le corps du maire et plus largement sa « personnalité » constituent des paramètres importants dans les stratégies d’images des villes » (Mons. A. 1992.).
6 PARTIEI ‘-s-> Le volet paysager de l’image de la ville
1.2 Le paysage: espace physique de l’image de la ville
1.2.1 Le paysage: cadre de vie matériel
Le paysage peut être qualifié connue un agencement matériel d’espace —naturel et social—qui est appréhendé vi Le paysage suellement, de manière horizontale ou oblique, par un obser vateur. Représentation située, le paysage articule plusieurs La définition du paysage qui va être ici utilisée est plans. permettant l’identification des objets contenus et com celle employée par la convention européenne du
prend une dimension esthétique.( Lévy. J. et Lussault. M.) (I paysage. Le paysage désigne une partie de territoire telle que perçue par les populations.dont le caractère résulte l’action Le paysage établit une prééminence du visible. La vision est de de facteurs naturels chou Immains et de leurs interrelations. Le terme paysage est donc privilégiée par rapport aux autres sens et l’objet paysager r’défini comme une zone ou un espace. tel que perçu devient essentiellement l’objet perçu. le visuellement Mais par les habitants du lieu ou les visiteurs, dont l’aspect paysage peut aussi être abordé sous l’angle qualitatif (en r et le caractère résultent de l’actionde facteurs natu terme de formes. de couleurs, d’habitat). Quand à la fin des rels etlou culturels (c’est-à-direhumains). Cette défi- années 1960, émerge la question de l’environnement, . mtion tient compte de l’idée que les paysages évo- :l /Georges Bertrand est le premier qui propose de mettre en luent dans le temps. sous l’effetdes forces naturelles :Lt Iavant l’étude des interactions entre les fluides, air et et de l’actiondes êtres humains. Elle souligne égale- Jj les éléments vivants, végétations et sols, qui constituent l ment l’idéeque le paysage forme un tout dont les élé cadre de vie des sociétés humaines, leur environnement qui ments naturels et culturels sont considérés simultané 1 ment. Cette définition n’est \est lui-même modifié par l’action consciente ou non des pas restrictiveet prend en ociétés. compte aussi bien les paysages dit « urbains » que « naturels ». Le paysage est la représentation terntorialisée de l’environ nement, qui est situé géographiquement et caractérisé par Convention Européenne du Paysage. des composantes matérielles qui ont aussi une valeur culturelle.
1.2.2 L’espace public est paysage urbain
D’usage assez récent en urbanisme, la notion d’espace public n’y fait cependant pas toujours l’objet d’une définition rigoureuse. On peut considérer l’espace public comme la partie du domaine public non bâti, affectée à des usages pu blics. L’espace public est donc formé par une affectation d’usage. (Merlin. P. Choay F 2000). L’espace public Le paysage urbain quand à lui se limite visuellement aux Au sens strict, un des espacespossiblesde la pratique limites matérielles (murs, bâti,...) sur lesquelles la vue sociale des individus, caractérisépar son statut public. Se vient se bloquer. Il y a donc une superposition entre les différencieainsi de l’espacecommun, soit l’ensemble limites des espaces publics et les limites des espacespossibles de la pratique socialedes indivi du paysage ur dus. .fJbain. Mais le paysage urbain dépassant quelque fois les L’espacepublic peut-être défini de manière simple limites de l’espace public puisque la vue d’un observateur ne se conscrit LIcomme l’espace ressortissantstrictementà la sphère pu pas seulement aux limites de l’espace pri blique. c’est à dire tout espace n’appartenantpas à une vé/public. « personnemorale de droit privé ». L’espacepublic est un espace accessibleà tous. De taille La notion d’identité de la ville se forge autant sur l’es limitéepar rapport à l’espace de référence.l’espace pu pace public que sur le paysage urbain. Par ce concept. blic a la capacité de résumer la diversitédes populations d’identité. l’effort vise à la construction d’une identité et des fonctions d’une sociétéurbaine dans son ensem Ltaussi positive (emblématique) ble que possible. La forme ur banistique et architecturale des espaces public pour une Lévv.I Lussaulr. M. agglomération, mais aussi la manière dont elle solutionne Dictionnaire de la géographie et de / ‘espace des sociétés. 2003
7 PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville les enjeux de mobilité. d’usages publics, de sociabilité, tous ces éléments permettent de construire une identité, une image de marque disent les professionnels du marketing public. Les collectivités urbaines du monde entier cherchent à se construire, dans des rivalités parfois très vives, une identité qui les distingue les une des autres et surtout qui les rende attractives. L’enjeu identitaire est donc énorme, d’autant plus que chaque habitant use de cette image de marque pour se construire sa propre identité. Selon que les citoyens partagent la même identité, la cohésion de la collectivité sera plus ou moins grande. ce qui retentit sur le bon fonctionnement collectif La mise en scène de la vie urbaine passe par la création et l’aménagement d’espaces publics, ou l’on pourrait aussi dire par l’aménagement du paysage urbain. C’est par eux que les citadins —étantdonné leur diversité—prennent conscience de leur coexistence et de leur place dans le monde. C’est dire l’importance des espaces publics et du paysage urbain. La forme urbanistique et architecturale des espaces publics donne sens à l’urbain, par le fait qu’ils impliquent mobilité, usages publics, sociabilité, identité. Pourtant, les professionnels de l’espace sont convaincus que c’est d’abord par l’action sur la morphologie qu’ils agissent sur ces enjeux. Il n’est pas question dc nier l’importance de ce point de vue, cependant il n’est pas le seul par lequel on intervient sur cet aspect dc l’urbain. Les composantes culturelles, économiques, politiques et sociales sont nécessaires et complémentaires à l’action. En bref, on peut plaider pour que la réflexion et l’action sur les espaces publics urbains soient interdiciplinaires, et la mise en scène de la vie urbaine doit se faire avec les usagers. (Bassand M Compagnon. A; Joye . D; Srein . V. 2001
On peut considérer que les espaces publics sont porteur comme le paysage urbain de nombreuses valeurs
• Les espaces publics, d’une part, impliquent indissociablement des aspects géographiques physiques, formels et des aspects relatifs aux acteurs sociaux qui mettent en oeuvre des processus. des pratiques, des usages, des représentations, des relations, d’autre part. • Souvent il sont présenté comme fonctionnant d’eux-mêmes. C’est une erreur. La société ou des processus macro sociaux interviennent significativement dans la société est indispensable pour comprendre notamment les usages, les représentations. les décisions politiques conditionnant les pratiques et les formes des espaces publics, etc.
L’identité urbaine, ou l’image de marque, que chaque ville construit est liée en grande partie à la qualité (urbanistique, architecturale, culturelle, etc) de ses espaces publics/paysage urbain.
Les espaces publics que l’on peut assimilé au paysage urbain so des lieux de vies, offrant le plus grand choix d’activité, donc lieu de liberté, des lieux de sociabilisation que la mal1eur cellule d’habitations ne remplacera jamais. Prolongements de la vie d’intérieur, les espaces publics urbains serVent de réceptacle, plus encore de vecteurs des multiples aspirations contradictoires des citadins qui cherchent toujours, plus ou moins consciemment, à être en osmose avec leur unité de voisinage, leur quartier, leur ville. ( de Sablet. M 1988 ). Beaucoup plus que la qualité esthétique et historique des bâtiments qui les bordent, c’est la capacité de ces lieux à générer des tranches de vie collective qui en fait le ciment organique de la ville. Elle crée les caractères et les personnalités propres à chacune de ces communautés vivantes que doivent être les cités. Au-delà de leur capacité à émouvoir, ils sont en quelque sorte le sang qui irrigue une agglomération et lui fournit son oxygène. Ils jouent ce rôle essentiel : être la colonne vertébrale à partir de laquelle la ville est innervée, comme en un réseau capillaire au long duquel se trouvent les espaces dont la variété des fonctions, des formes, des densités d’utili sation rythme la vie, forge l’âme de la cité, en fait un organisme vivant.( de Sablet. M 1988).
Pour Sylvie Salles « l’espace public s’est d’abord défini en négatif, comme vide résultant du bâti, avant de s’imposer comme un espace de valorisation attaché à la notion de “qualité dc vie”. Mais l’espace public est un espace de valorisation urbaine. Ses mises en forme organisent le regard et les pratiques. Elles participent à la mise en scène de la ville. Les concepteurs vont tenter d’en faire un espace de visibilité. S’ouvrant vers les espaces environnants. l’espace public permet le passage d’un lieu vers un autre. Il se constniit en paysage à regarder et permettant de voir. Il révèle un horizon, nouveau ou préexistant, où le regard est arrêté par quelque chose qui nous projette au-delà. Représentation emblématique de la ville, l’espace public se laisse modeler par son contexte, comme une forme dans la ville. Il se construit, au gré du jeu des acteurs, par l’ouverture d’horizons, qui se renouvellent au fil des itinéraires. Ces écrans servent à délimiter des espaces où le regard peut en même temps s’arrêter (s’ils sont opaques) et s’ouvrir en profondeur (s’ils sont transparents).
8 PARTIE t Le volet paysager de l’image de la ville
1.2.3 Paysage porteur de valeurs collectives
Le paysage est chargé de valeurs. Les unes sont collectives, quand les représentations globales, devenues croyances sont Perception de I espace assez pregnantes pour depasser les personnahtes et les statuts; et d’autres tiennent aux cultures et aux appartenances de classe L C’estune activité à la fois sensorielleet cogni de groupe: d’autres encore, aux personnes. Ces valeurs se tive par laquellel’individuconstituesareprésen diffusent et se généralisent d’autant plus que les paysages sont tation intérieur(son imagementale)de l’espace montrés. commentés et médités. Les descriptions sociales l’environnantde sonexpérience. privilégient toujours les représentations globales, ou celles du groupe dominant; mais la production de l’espace est animée par Représentation de l’espace l’ensemble des représentations, dans leur différence et dans leur communauté Constructionmentaleou/et objectalefigurantun espacegéographique. Il guide les pratiques. il donne Le paysage a une valeur d’usage. . . . . - . . . ‘ Levv.I Lussault. M les repères. la famihante avec les lieux. Il se fait patrimoine. Il a Dictionnaire de la géographie il une valeur affective. Le paysage familier est aimable, ou est et de I ‘espacedes sociétés. J’ chargé de toutes les haines et de toutes les frustrations. La 2003 description du paysage, surtout si elle est réussie, nous apprend bien plus sur son auteur que sur le paysage même. Elle dit un état d’âme, plus qu’un état du lieu.
Il a une valeur de conservation. L’esthétique du paysage est de ces sujets inépuisables. Elle anime les arts et les bavards. Par définition, l’esthétique du paysage est conservatrice; magnifiant ce que l’on voit dans l’état où on le voit, elle ne supporte pas que change cet état et que se transforme les paysages. Le paysage devient mythe. Il est des paysages qui dépaysent, et d’autres qui rassurent. parce qu’ils sont conventionnels, classés, chargés d’un habitus et d’un sens symbolique. (Brunet. R. Ferras. R. Thérj H. 1993).
Le paysage se situe donc d’abord dans la conscience des sujets sociaux qui l’observent, le révèlent ou le créent. Le paysage est avant tout humain, champ symbolique des sociétés et de leur histoire. «Le paysage n’existe que perçu », rappelle sans relâche Brunet. «Le paysage est signe et signature» souligne-t-il aussi.( Brunet. R. 1987). Le paysage traduit la manière dont les sociétés l’ont produit. Pour Augustin Berque, le paysage se définit par la « médiance » concept singularisant « le sens du lien qui existe entre une société et son environnement ». Sens du milieu, par consé quent, soit une manière d’associer l’ordre du territoire et celui de son élévation symbolique et artistique: le paysage.
On peut dire qu’il existe une interrelation entre les éléments physiques d’un lieu et le représentation, le vécu des observateurs. Ceux-ci découvrent par ses sens les signes qui composent le paysage. Ils leur confèrent alors significa tion et unité sur lesquels les individus pratiquant régulièrement tin lieu forge en partis leur identité. La richesse symbolique du paysage suggère et révèle l’instance territoriale vécu.
Si le paysage annonce le territoire en exhibant ses facettes sensorielles, il n’en constitue pas moins une dimension spécifique et autonome (une médiance) des rapports de l’Homme et de la société à leur environnement. C’est donc dans une curieuse situation de copépendance, mais aussi de singularité de chacun des deux termes que le territoire et le paysage se tiennent et se confortent, l’un par rapport à l’autre. Relevant tous deux de l’expérience du vécu dans laquelle se mêlent les domaines de l’affectivité. de l’imaginaire et de l’apprentissage socioculturel, le territoire comme le paysage ne se réduisent pas à la matérialité du monde extérieur. On ne peut les ramener au seul contenu concret de l’instance géographique. Même s’ils dépendent de cette réalité.
Nous pouvons terminer ce paragraphe par une citation d’Augustin Berque, qui souligne les interrelations intervenant autour de la notion de paysage : «Le paysage est une entité relative et dynamique où, société, regard et environne ment sont en constante interaction ».
Comme nous venons de le voir, le paysage est porteur de valeurs collectives. Ces valeurs lui confère un potentiel d’attractivité. C’est à partir des valeurs que porte le paysage. que va être promu les qualités d’un lieu, dans le but d’attirer des investisseur, habitants, touristes,...
9 PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville
1.3 Le paysage comme capital attractif
1.3.1 Le paysage devient cadre de vie quand on s’y sent vivre
Le paysage urbain n’est pas seulement la nature en ville, comme le croient trop souvent un certain nombre de personnes ; c’est Cadi e de vie aussi et surtout le cadre de la vie quotidienne. Tout ce qui constitue l’environnementde la vie L’identité d’une région, ou d’un lieu, est à l’origine d’un sentiment IL quotidienne comprendl’habitation son milieu d’appartenance, du bien-être de se trouveihez soi. Comme nous le trajet domicile-travail,l’organisationet l’offre le rappelle D. Martins, dài son mémoir.Je paysage constitue de loisirs. Conceptrelativementnouveau, et ar notre cadre de vie, il rassembi 1sreprs qui nous sont néces- gurnentd’attractionde la part de villes ou de saires. « les milieux naturels et les paysages s’intercale toujours contrées qui cherchentà séduire. Son emploi le prisme des civilisations » Cette réflexion est à la base de ce traduit un glissementde l’individuelau collec que l’on peut entendre par “site paysager”. Sur le fond originel . tif: naguère. les compagniesminières savaient offert par la “nature” les “civilisations” apposent un paysage qui soigner hierarchiquementles cadresde vie indi viduels des directeurs, des mgémeurs.des po devient le constituant majeur de toute forme d identite locale. Il . , nons, sans employer 1expression de nos jours, vie, il evolution. Le site tout est leur cadre de date leur est a , il s’offreà une population.mêmelimitéeprise fois, il est nature en sa phase première, il est paysage en sa phase dans sonensemble.En fait, le cadrede vie ne ultime, il devient alors attribut du sensible pour sa perception et concerneguère que la vie des cadres,qui sont son évolution, bien qu’aujourd’hui cette évolution dépende pres\ les ciblesde ce discourspublicitaire. que essentiellement d’une structuration scientifique qui tente\ Des entreprisesmettentaussi en avantle cadre d’asservir le sensible dans des normes de moins en moins objecti-f de vie, plus ou moinsdiscrètementproposé ves, voir consensuelles... commeélémentdu salaire« réel », pennettarit [L de limiterle nominal,et intègrentla « qualitédu cadrede vie» dans leurs stratégiesde localisa- Meyer en 1992 et Joye en 1995.- montre. par leurs études que l’at- L , tion: «la qualitede la vie est unepartieme- tache des habitants a un lieu se fait par le vecu du par le paysage . , granted un systemede productionperformant». urbain et son image : (Rybakov.A.Les enfantsde l’Arbat)
À la suite notamment de la multiplication des expériences de les mots de la géographie, mobilité et de l’éclatement des espaces liés à la pendularité, dictionnaire critique r5 les appartenances se conçoivent bien davantage en fonction Brunet .R. Ferras. R. Théiy. H. des images que l’on a de son environnement qu’en référence à 1993 des pratiques exclusives des espaces géographiques comme le quartier.
• Il en découle que les politiques du cadre de vie prennent une place de plus en plus importante parmi les politiques urbaines, dans la mesure où elles peuvent concerner l’image du quartier telle que les habitants la construisent ou telle que le reste de la ville la perçoit. Dans cette hypothèse, les enjeux sociaux doivent avoir un peu perdu de leur acuité, même si la crise actuelle tend à en renouveler l’actualité.
On peut aussi souligné que le paysage urbain reflète le cadre de vie matériel (comme nous l’avons vu précédem ment ) de la ville. Quand se paysage urbain procure des sentiments positifs, d’identité, de bien être, il peut provoquer l’envi de vivre et de s’installer à un visiteur, touriste, futur entrepreneur Ce sont les divers composants du capital paysager qui crée chez les habitants et les visiteurs de la ville un ensemble de réactions psychologiques et de sensa tions qui font que le paysage urbain est mi espace émotionnel : chaque espace doit pouvoir offrir ces différentes im pressions plus ou moins riches, plus ou moins combinées, soit par sa destination propre et son caractère, soit selon la façon dont on entre en contact avec lui.
Les valeurs porté au cadre de vie et au paysage urbain dépendent fortement des ambiances et de l’appropriation des lieux par les individus qui le fréquente, mais aussi de la qualité de vie qui leur est associées.
10 PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville
1.3.2 Ambiances et appropriation du paysage
Bien évidemment, les ambiances résultent des formes architecturale et urbanistique, du contexte urbain et des enjeux des espaces publics. Ambiance Deux dimension supplémentaires doivent être relevées pour qualifier les ambiances des espaces publics d’une part, les temporalités définies par [L La notion d’ambiance est la synthèse les heures diurnes et nocturnes, les fins de semaine et les différentes sai- perceptive pour un individu des sons; d’autre part. le sensoriel, notamment le visuel, le sonore, le tactile, impressions multiples et parfois ‘r l’olfactif. contradictoirequ’il reçoit d’un lieu ou L’ambiance de l’espace public doit encore être saisie par le sensoriel. d’un paysagequi l’environne. Évidemment, le visuel qui implique les formes architecturales et urbanis Lo,seau.J-M Terrasson. F. Tocher. L les tiques.- les materiaux. de construction.. le mobilier.. urbam. . perspectives. . Le paysage urbain la vue plus ou inoms panoramique. la lumiere. Le sonore n est pas moins 1993 important; lui aussi est conditionné par la forme, les matériaux, le mobi lier urbain (fontaines, cloche....), mais surtout par l’animation découlant des activités et des flux. Le tactile est conditionné également par le revêtement du sol. Enfin n’oublions pas l’olfactif qui dépendra de l’animation, des activités, de l’existence du végétal, de plans d’eau, de l’écoulement des égouts. (Bassand. M: Compagnon. A: Joye. D: Srein. V.200]).
L’ambiance est ce que perçoit un observateur d’un lieu dans lequel il est situé. Ce qu’il en perçoit est fonction de sa sensibilité de l’instant. En premier lieu, une ambiance se ressent, dans un second temps elle peut éventuellement être analysée. L’ambiance est le résultat global dans notre conception de la synthèse fugitive entre eux des volumes, de la lumière, du rapport plein-vide, de la couleur, du végétal, des sons, des odeurs, du mouvement, de l’agitation, du si lence... . Sans épithète ajoutée, le terme d’ambiance est neutre tout lieu, cheminement.., possède objectivement une ambiance ou une succession d’ambiance qui peuvent nous apparaître comme harmonieuse ou dishannonieuses. agréables, sereines, agressives, effrayantes. Cette ambiance s’exprime certes à travers notre subjectivité du moment mais peut aussi être créée par les relations établies entre les différentes composantes du pavsage.
Les ambiances rencontrées en parcourant un paysage urbain sont à la base du sentiment d’appropriation des lieux. Un paysage comportant des ambiances connoté positivement à plus de chance à terme d’être approprié par les individus qui le côtoies. Le paysage, c’est une mosaïque de lieux et de comportements. territoire intimes et traces de mémoire à explorer. Les interactions sont multiples entre le social et le domaine perceptif dans l’étude des comportements hu mains au sein des pavsages urbain. En matière de composition urbaine et paysagère la prise en compte des images mentales permet une approche à la fois intime et concrète de la perception, à travers les usages et les comportements.
Pour se sentir à l’aise dans un espace, l’Homme a besoin de repères ; ceux-ci lui apportent un sentiment de cohérence et le rassurent. Les repères visuels par leur impact ou leurs caractéristiques créent des événements dans le paysage. Ils donnent une identité aux lieux et permettent aux individus de se situer dans un milieu. Eléments naturels ou urbains. ils sont à différentes échelles ce peut être un arbre qui se particularise par son caractère isolé ou la rareté de son espèce, un bord de plateau, une ligne de crête, une fontaine, une place, un ouvrage d’art, un monument, un panneau publicitaire,.,,, Ces éléments de repère, leur assemblage et leur environnement forge l’ambiance d’un site.
Michel Conan souligne le fait que «Le paysage est le symbole du groupe et de ses idéaux. Un territoire ne deviendra pays, lieux ou paysage que par la valeur symbolique que lui confèrent des rites de propriété effectués par les mem bres d’un groupe social ».
L’image que les habitants se font de leur ville se compose donc aussi bien d’éléments physiques, tel que le paysage ou l’architecture. que de caractéristiques sociales définies par l’ambiance ou la convivialité de la population rési dente. Le sentiment d’appartenance qui va découler des valeurs positive porté par le paysage urbain, s’il dépend de nombreux facteurs, est à même d’expliquer aussi bien certains comportements et attitudes face aux problèmes aux quels la ville se trouve confronté, qu’un éventuel engagement en faveur de celle-ci. En se l’appropriant, les habitants en deviennent un des ardeurs défenseur du paysage urbain. Le paysage approprié fait donc ainsi parti de leur identité, de leur environnement.
il PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville
1.3.3 L’aménagement fait évoluer le paysage et son image
L’évolution physique va influencer le ressentief:
Comme le souligne Sarah Rouy: «Les modifications de la substance paysagère, souvent durables ou ineffaçables, la transforment dans sa structure et dans ses équilibres. Mais d’autres changements, ponctuels, transforment, pour un temps, l’aspect des paysages ». Selon Jean-Pierre Dufay, «une chose est certaine, c’est qu’aujourd’hui, le paysage n’est plus vu sous un côté statique. La notion de protection entendue cmme la fixation d’un paysage dans le temps est complètement révolue, et la fonction de gestionnaire du paysage est \entrée dans les moeurs ». La loi devrait tenir compte de la capacité dynamique des paysages, et encadrer l’évolution glôbale d’une esthétique souhaitée, en ntrant plus en amont dans la phase opérationnelle du processus d’aménagement urbain.
Étudierun paysage c’est avant tout poser un problème de méthode. On passe ici du paysage perçu au paysage vécu. Ainsi se pose la question de savoir comment donner un sens aux actions d’aménagement, comme l’indique Sylvie
Rimbert . Augustin Berque, quand à lui nous rappeltque «le rôle de l’aménageur se traduit par sa motivation paysa gère, par la façon dont il donne un sens au milieu ». Pour Jacques-Marie Loiseau, François Terrasson, et Yves Tro chel «Comprendre le paysage, c’est d’abord l’analyser dans les composantes visuelles car c’est avant tout sur celles- ci qu’intervient l’aménageur. C’est le paysage visible. C’est ensuite déceler les liens d’équilibre dynamique qui unis sent ces composantes au système producteur qui leur a donné naissance. C’est le paysage signe. C’est enfin observer les usages et représentations qui sont faits. C’est le paysage vécu. Territoire à vision et perception variable, le paysage nous oblige à considérer le site à aménager non plus comme une simple surface plane, mais comme un espace chargé de signes ». C’est cette citation qui est en partie représentée ci-dessous, où il est schématisé l’influence des opérations d’aménagement sur le « site géographique », le «patrimoine urbain » et sur la « morphologie du plan urbain » (ces notions ont été définies précédemment), et les répercussions qu’ont ces opération sur la perception et le représenta tion de la ville. Cette répercussion pouvant par la suite influencer directement ou indirectement, volontairement ou non. l’image de la ville.
Échelle d’action et image
Suivant l’échelle d’intervention choisit pour mener une opération d’aménagement, celle-ci aura un impact différent sur l’image de la ville. A une grande échelle, la structure paysagère, son fonctionnement général, son armature de dé veloppement dans le cas d’un site urbain y apparaisse clairement. L’image produite est épurée, filtrée, synthétique, mettant en valeur les éléments clef de l’image paysagère globale de la ville. Intervenir par le biais d’une opération d’aménagement sur une vaste échelle, celle de la ville dans son ensemble, va donc avoir inévitablement à termeun impact direct sur l’image de la ville. Cet impact va d’abord se faire ressentir sur la vision même des habitants (image interne de la ville), puis par la suite sur la vision externe. Cet impact peu être renforcé par la communication faite sur les opérations d’aménagement mener, et va permettre d’accélérer le changement d’image, voir même de l’influencer. Mais il faut souligner le fait que la communication n’arrive pas toujours à ces fin, et l’image promu n’est pas obliga toirement celle qui va être reçue.
Àl’échelle d’un quartier, les opérations d’aménagement, n’influencent pas forcément l’image de la ville dans son en semble. Mais plusieurs petites interventions dans divers quartiers de la ville peuvent néanmoins agir sur le long terme sur l’image de la ville. De plus la localisation de ces interventions n’est pas à laisser aux hasards. Les opérations si petites soient-elles menées dans un quartier emblématique de la ville vont parfois avoir plus d’impact sur l’image de la ville qu’une grande opération d’aménagement effectuer dans un quartier comportant une moindre notoriété. Les actions mener sur les relations inter-quartier, on souvent le but de renforcer et de créer de nouvelles dynamiques in ternes à la ville. Ces actions qui sont souvent entrepris pour recoudre la ville (elle intervienne particulièrement dans les villes dont la reconstruction d’après guerre à engendrée de nombreuse fracture interne, ou dans les quartier de grands ensembles,...). Ces opérations sont souvent très communiquer de façon interne (par le biais des bulletins mu nicipaux, ou intercommunaux), mais leur impact sur l’image de la ville, ou sur la création de nouvelles dynamiques internen’estpas toujours prouvées.
Dans certains cas, où la collectivité décide d’intervenir sur unestatut, un arbre, si celui-ci est perçut par la population comme un «emblème », si petit soit-il, les habitants vont se grouper contre l’intervention de la collectivité sur celui ci de peur que l’opération nuisse à leur référant identitaire.
12 PARTIE
2.1.1 Dans
qu’il paysage chez té, mais devient
duite Dans mation sentation de et Les
Bâtir
pêcher « tent à se L’environnement Du dans nes teraction
commode Structure cond qu’on « image groupe Une nombre
que «Il nous Face
de
la
Les
image Une
Q
pour produise
son
la
théories
fait à
lumière
plus semble
les
nomme rarement,
en
son
image à
le
l’opération l’imae
De
lieu de
utiliserons à
ville.
images
ouvrage
le
image
la
et
son utilisable
essentielle
tant I
cette
examiner phénomène nombreux habitants
urbain.
qu’ils
Le
d’images grandes
paysagère)
«
ouvrage.
mentale ou
reconnaisse
d’une fois
à
et
l’image
de
l’image
image guider
collective une
que que
volet
identité de
et
moins
similitude,
«
de
par
les
de
agissent
ou la
image
ses
«
même
Bien
image
pour perçue
l’environnement
donc
quantités qui
méthode
l’image
séparer
requiert
jamais, de
l’environnement suggère les généralisée l’environnement.
mentale
l’action. doit
lorsqu’on individuelles. paysager Kevin
de
propres
au
de
d’interaction
utilisées
plusieurs
consiste
sensations
que
n’importe
citadins. comme de
processus
en réalité l’environnement
cohérente. comprendre
2.1
sur
entre par
l’environnement
Lynch, partie pour
de
la
communiquée,
d’abord des
exposées
d’acquérir
d’habitants
Méthode objectifs
l’environnement
ses clarté,
la
se
physique, dans
de
une
le qu’un
à
distinctions
villes
l’analyse,
[...J. cité»
place II
les habitants.
trouver
qu’elle
immédiates
volet
Ou de
aborde
l’image
peut
qui Le
entité
le
LE
l’identification ou éléments
sont
la
fabrication Pour
par
Chaque peut-être
individu -
Américaines.
chapitre
fait
à
une
paysager relation est
choisit,
d’analyse lisibilité,
d’une
s’analyser
l’échelle
d’une ville
CAPITAL
son
Lynch
le séparée. la
»
tout
et qu’un comprendre
à
identité
».
de
à et
qualité
résultat
l’origine
pourtant
chemin,
et
représentation
l’image
de donnée
Lvnch
ville:
physique,
des
se
en I y la
culture
organise
spatiale
par
se
de
de
de
méthode objet a-t-il
ne
fait de
ville
se
relations
Cela
à
et rapproche
de
cette
visuelle l’image l’image.
C’est le
d’un soit
travers zones la
d’une
rappelant
se
une
du
il elle
de
le
paysagère
une souvenir
réel
commune l’image
ville, cela,
PAYSAGER
ou
existe base ce
et
nullement
maillon
partie,
monde
les
l’image.
ordonnance
objet,
cette
rej développés
série
charge paradigmatique nomme ne
d’accord
opération
et trois de
de
il individuelle urbanistes Les
du oint
principalement
fortement
soit
une
l’observateur
ne
la qu’en
la
représentation
de
point comme
de d’images
physique
ce
images
composantes
stratégique et 1
ville
faut ville
de ‘image
qu’à
Des
image
l’expérience
identité,
la
la
d’une
qui
que
sens
réalité
de de
seule à
par
ville pas
(chapitre
en
environnements
peine
portent
la
on
suppose
des
l’on collectives,
vue
va-et-vient
est collective
URBAIN
collective
étudiant collectives
nature ce
ce
extérieur. suite
considérer
peut de
propriété
de
au
définitions
elles -
unique,
dernier
sur
qu’il de est
peut
ordonné
avec
l’objet
mentale
:
Kevin sens
d’une
un
passée,
la I identité. le
l’image
la
physiologique
qu’on
du
se
s’attendre voit.
taille,
remarquer la
une intérêt
clarté
qui
[.1. d’individualité
pour présentent
mémoire) une Selon
représentations
entre
représentation
avec correspondant
la
importante
longue
ou
de Lynch
grande est (de Il et
différents
le
ville
partie de structure
de
apparente
remarquable,
analyser y
la
elle
l’observateur. primordial
distingue l’observateur
Lnch, l’enveloppe
l’image
a
la
l’environnement,
qualité
à
comme
familiarité.
plusieurs
avec
durée
sert
voir
et
capacité
de
toujours
identique.
d’une
la
son
contribuent et
à l’image cette
les
apparaître
ou
de
vision
visuelle mentale ou
chacune
et
interpréter
signification.
des
une
mentales
à
citation
contenu
la
d’unicité.
de
façons
« peut
d’un
belle
d’adaptation l’agent
image
ensemble.
et
»
ville,
[.. lisibilité autres
chose
la
»
de
paysagère
.1
son
ne
de
complexi grand
de
à
ville,
Lvnch,
sous
la
pour
extraites
ou
un
paysage
n’est
commu
est
pas
la
la
l’infor
externe
en
milieu.
choses,
repré
En
résis
ville
ville
»
pro Il
l’in elle
soi,
em
Une
que
du
est se
et
13 PARTIE
2.1.2 Les
Les lement coup les
Les
ganisation. Les probablement servent
inensions, Les Les ral taine
se voies individus,
Les transport, Les partir noeuds
concentration le rellement, concept événements dans les
Les
Les gles ou
sont
C’est
>
reconnaissent autres
foyer
qui
voies
voies
limites
quartiers limites
montagne. foyers
quartiers
noeuds
noeuds
points
points de
Définition et mesure,
externes.
presque
ou
desquels
le (rues.
permet
de
à peuvent
gens,
Le
et de
cas
les
éléments
sont
des
où mais croisement
références
intenses
beaucoup
le
de sont
sont
de
noeud
volet
quartiers
des sur
des
distances un
sont
résumé moins toutes la ce
les
repère de
de repère
Ce Certains
il
aussi
les plupart
des
tours des les
observateur
être
allées du sont
certaines
voyage.
chenaux
les
est
des paysager
sont
de
des
éléments
trajets.
dehors,
points
les
que
éléments
identifier.
de de
lié d’un
l’environnement simplement
sont
latérales les
qui
ou
isolées, parties
variées, piétonnières.
habituellement
quartiers,
images,
points
la des
noeuds
à
les
points éléments
sont Cela
le
un celui
ville
quartier, fonctions
stratégique
De
gens
voies, on
long peut
de linéaires
autre
de
des
plutôt
les de
composant
manière
peut
dépassant
les considérée.
participe Cette
de
et
de
l’image
la
structurent
pénétrer
leur
desquels
repère
dômes
des
éléments
dans jouent
prédominants voie utilise
type ville,
convergence
sur
être
des
ou
que
identification
centre
que
sont
points des d’une
lequel certains
similaire, de
puisque
de
voies
essentiellement
sont
d’une
dorés, à
pour
le
à de d’axes
par
objets
certains
l’observateur l’image
l’observateur
disposés la
référence
l’extérieur prédominants.
sommet
leur
de ville,
la
des fois de
rayonne
la de
beaucoup
taille
des
cas
ville
polarisation.
les
pensée, de
de
de physiques
ville,
rassemblement métropolitain,
il objets
aux
pénétrables
caractères
de
est
grandes points
ces
est voies,
leur
et coordonnées.
des
assez
ponctuelle,
la
mis deux
comme
toujours leur
avec
noeuds
lié
éléments
éloignés. des
n’emploie et se
ville de image.
de
au
lieux
D’ailleurs,
en
grande, qui
déplace
influence,
définis gens
collines.
natures des
points
jonction En
physiques,
concept relations
selon
peuvent
par
références.
se
possible
des
variations
Les
de
tous
mais
un
qui
reconnaissent
plus
dont
Ces
tm
assez
qu’on de pas
habituellement, passage
Lynch canaux,
rôle
:
gens
tirent
les point
observateur,
cela
et jonction,
de
dans sont
petits,
le
être éléments
la
ou
où
quand
important Certains
cas simplement
quartier,
long
se nature
observent
C’est
ne
ne
entre
par
la
de
ce
ils
leur
d’une
des
représente
on
et
caractéristique dépend
considère
de
jonction
cas
se
nature
on
servant
parce
endroits
peut
voies
les de
de
est
importance
ces
dressent
de
puisque
l’observateur
structure
est
et
de
occasionnellement, cette
limites,
individus
d’être
la
ces
voies
trouver
points
pas
qu’elles des
caractéristiques
de à
immeuble,
ville
de comme
et
l’intérieur, pas
noeuds
où
manière
chemin
seulement,
convergences
point
comme points
les vus
on
bien
focaux
à quand
comme
prédominante.
du
plusieurs
suivant
une
centres
ont
change
sous
un
de
n’y de
fait
qu’ils de
de
que,
enseigne,
un
un
autre.
concentration
espace
ils
et concentration.
intenses
référence pénétrant fer).
de
des
qu’ils semble-t-il,
caractére
symbole.
que
si
sont
y
servant
de
dans
points
ou
nombreux
prédominent
de
circulent,
les
voies.
Ou
Pour
système
se à
potentiel
par
voies,
quartiers
boutique,
sont
deux
une
vers
bien sont
nodaux
radiale.
à
pas,
beau
nature
géné
Elles
Natu
l’or
cer
sont
et
une des
di
des
les
les
an et
Le
de
ils
à
14 PARTIEI “s> Le volet paysager de l’image de la ville
2.1.3 Des manques à paliers
L’image d’une réalité physique donnée peut parfois changer de type quand varient les circonstances de vision. Aucun des Le paysage types d elements que Lvnch distingue n existe dans la realite,, à l’état isolé. Les quartiers sont structurés par des noeuds cir- LI,Le paysage désigne une partie de territoire telle que conscnts par des limites, transperces par des voies et parse- perçue par les populations. dont le caractère résulte més de points de repère. Nonrialement, les éléments se che- de l’actionde facteurs naturels et/ou humains cl dc vauchent et se pénètrent les uns les autres. Si l’analyse de ‘ leurs inierrelations.Le terme paysage est donc défini Lynch commence par séparer les données d’expérience en comme une zone ou un espace, tel que perçu par les catégories, elle doit. pour terminer, les réintégrer dans l’i- . habitants du lieu ou les visiteurs, dont l’aspectet le mage globale. ... caractère résultent de l’actionde facteurs naturels etf
LI ou culturels (c’est-à-direhumains). Cette définition l’image tient compte de l’idéeque les paysages évoluent dans ‘I Mais Lynch ne prend en compte que les éléments de . L - . . . . le temps. sous l’effetdes forces naturelles et de lac se reportant prmcipalement a des facteurs humains. constniit . - . . tion des etres humains.Elle souligneegalement1idee par 1homme. Il conçoit que les paysages urbain evoluent que le paysage forme un tout dont les éléments natu dans le temps sous l’effet de l’action des êtres humains. rels et culturels sont considérés simultanément.Cette Lynch passe très succinctement sur les éléments dit naturels, définition n’est pas restrictive et prend en compte il ne les considères que comme points de repères. Dans son aussi bien les paysages dit « urbains » que discours, les facteurs naturels composant le paysage urbain ‘ «naturels ». tiennent peu de place. Pourtant la définition du paysage utili sé dans se mémoire tient compte de l’interrelations des fac- Convention Européenne du Paysage. teurs humains et naturels. La Convention Européenne du paysage souligne également l’idée que le paysage forme un LI. tout dont les éléments naturels et culturel (C’est-à-dire hu- mains) sont considérés simultanément.
De plus, Lvnch ne prend pas en compte les éléments historiques et ne met pas en avant les éléments patrimoniaux. Il ne les considère pas comme des éléments fort constituant l’image collective. Pourtant. le patrimoine est une notion essentielle, elle permet de fixer spontanément des valeurs sociales et Fappropnation des lieux. Les référent historique et patrimoniaux ont néanmoins un rôle fort car ils permette de,:
• comprendre l’organisation du paysage
• renseigner sur l’origine d’images mentales collectives
• expliquer certains usages, ou leurs successions
De ce fait, il apparaît nécessaire de compléter les éléments composant l’image dc la ville de Lvnch, en y apportant deux autres notions:
• Les éléments naturel (aussi appelés, éléments du site géographique, liés à la morphologie naturelle originelle du lieux)
• Les éléments historiques et principalement patrimoniaux
Les éléments d’analyse évoqués dans la méthode de Lynch s’apparentent essentiellement au plan urbain et à sa mor phologie. De ce fait, nous retiendrons pour caractériser le capital paysager urbain ces trois composants (le site géo graphique, les éléments patrimoniaux, la morphologie du plan urbain). Mais bien sur comme la souligné Lynch même si l’on sépare les données dans un premier temps, c’est pour mieux, par la suite. les réintégrer dans l’image globale.
15 PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville
2.2 Les composants du capital paysager urbain
Le capital paysager urbain est complexe et fait appel à de divers notions. On peut distinguer 3 grandes composante de capital paysager urbain
• Le site géographique, qui prend en compte la morphologie originel du milieu naturel sur lequel la ville s’est construite et se construit (coteaux, fleuve, plateau, colline, marais,...).
• Le patrimoine et les emblèmes urbain, qui représente les éléments bâtie ou site ayant une valeur patrimoniale forte et qui ont une grande importance dans la perception du paysage urbain (centre ancien, bâtiment embléma tique,...).
• La morphologie du plan urbain, qui permet aux individus de se repérer et permettant la lisibilité des lieux.
Même si le capital paysager urbain peut se diviser en trois catégories, comme nous venons de le voir et qui vont être détaillées par la suite, ces catégories sont interdépendantes les unes des autres. C’est l’analyse complète et comparé des trois catégories composant le capital paysager urbain qui permet réellement d’établir sa composition.
2.2.1 Le site géographique
C’est à partir de l’analyse du milieu physique naturel, sur lequel est établi la ville, que doit se reposer l’étude du site géographique. Cette composante du capital paysager urbain est très importante pour la compréhension du sys tème paysager urbain. li s’agit ici de voir comment et pourquoi la ville c’est installer sur un lieu précis, et de voir qu’elle sont les atouts (rempart naturelle grâce au bras d’un fleuve, point de vue sur le haut d’une colline,...) ou inconvénient (proximité d’un fleuve provoquant des crues. des coteaux abrut propices aux glissements de terrain. ...) du site sur le quel la ville s’est installée,
Cette composante du capital paysager, doit être observé par le biais de l’histoire. Le paysage se modifie comme tout organisme vivant. Ses processus d’évolution ou d’involution se traduisent par des mouvements. Certains de ceux-ci se déroulent sur des rythmes temporels et cycliques qui ne sont pas de l’ordre de la durée de vie d’un individu. Ce sont les cycles lents qui correspondent à la formation des paysages naturels. Ils échappent totalement ou en partie à ‘l’individu durant sa période de vie
• Cycles géologiques
• Grands cycles climatiques et végétaux
• Cycles de civilisations
Mais aussi à des cycles moyens, qui correspondent aux grands cycles de la végétation, en général hors de porté de la durée humaine, et aux transformations du paysage par l’homme. L’agriculture, principale facteur de transfonnation des paysages par l’homme, sur des périodes de temps longues, dépasse parfois la durée de la vie humaine. De nom breux paysage ruraux, que l’on pourrait presque croire «naturels », ont en fait été façonnés par l’homme et sont res tés stables pendant des siècles.
Les activités cycliques de l’homme en se modelant plus ou moins sur les phénomènes naturels impriment aussi des marques sur le paysage.
16 PARTIE I Le volet paysager de l’image de la ville
2.2.2 Le patrimoine et les emblèmes
Toute société. tout groupe social se caractérise par un ensemble de valeurs que partagent ses membres et qui font lien entre eux. Et toute société babille de formes concrètes ces valeurs qu’elle a Patrimoine faites siennes. Des lieux peuvent jouer un tel rôle de mise en Ce qui est censéméritéd’êlretransmis du passé, forme. Ils deviennent alors des hauts lieux s’ils font l’objet de pour trouverune valeur dans le present. pratiques collectives, plus ou moins ritualisees. et si de fait ils sont l’objet d’expériences individuelles et collectives à forte ré Embleme territorial sonance identitaire. Le haut lieu est donc a la fois une localisa- tion géographique particulière, vécu comme étant singulière en Fractiond’un espace.en généralun lieu ouletun raison de sa forte charge symbolique, et un lieu qui rend possible monument.qui.par métonymie,représenteet l’expression dune adhésion individuelle à une idéologie collecti- mêmesignifiecet espaceet les valeursqui lui vement partagée. sontattribuées.
Le patrimoine, quand à lui, est un ensemble d’attributs, de repré- ‘ Haut lieu sentations et de pratiques fixé sur un objet non contemporain . . dont est décrété collectivement l’importance présente intrinsèque Lieuqui expnme symboliquement,au traversde ses représentationset de ses usages,un système (ce en quoi cet objet est représentatif d’une histoire légitime des de valeurs collecflvesou une ideologie. objets de societe) et intnnseque (ce en quoi cet objet recele des qui exige qu’on le valeurs supports d’une mémoire collective), Lévy.I Lussault. M conserve et le transmette. Dictionnaire de la géographie et de 1‘espace des sociétés. L’existence d’un emblème territorial suppose que le lieu en ques- 2003 :. tion puisse fixer spontanément des valeurs sociales et l’appro- priation des lieux. Il faut atissi que ce lieu soit à la fois mis en image, via une imagerie suffisamment homogène et normé pour qu’elle soit comprise. appropriable par le plus grand nombre et diffiisable. et mis en langages verbaux. Car un emblème territoriale n’existe pas s’il n’est pas, via son « iconographie » et les discours et récits qu’elle autorise, médiatisable, comme un stéréotype spatial susceptible de faire sens pour le groupe humain. ( Lévv..1.Lussault. M. 2003 )
Le paysage urbain est soit composé en parti d’éléments patrimoniaux. d’emblème(s). voir de haut lieu, ou il est dans son ensemble. patrimoine, emblème ou haut lieu.
Patrimoine, emblème et haut lieu paysager font appel aux notions historiques. L’histoire permet de comprendre la formation et les référents sociaux et culturels qu’ils portent
• L’histoire permet de comprendre l’organisation du paysage. Souvent différentes société qui se sont succédées sur un sites ont laissé des aménagements divers dont parfois on ne connaît plus la raison d’être et qui n’ont plus de cohérence entre eux. L’histoire va permettre de comprendre la situation.
• L’histoire donne des informations techniques très utiles en particulier sur le système hydraulique, la nature et l’état du sous-sol, les risques naturels.
• L’histoire renseigne sur l’origine d’images mentales collectives qui créent des réflexes d’attachement ou de rejet parfois très forts à tel ou tel élément de l’espace: un arbre, une place, une statut,... indépendamment de sa qualité propre.
• L’histoire peut aussi permettre d’expliquer les usages, ou la succession d’usages connus sur le site.
17 PARTIE
peuvent parcellaire, parfois orientations L’étude 2.2.3 génère La autoroute, progressivement. cas, fondateur où historiques.... La trouvent maillage La organisationnelle A avec facilement de ambiances d’appel l’observateur La Après comme limites, paysagères. d’une trent dans parcours, du découpage continuité. La établissant de Les se données aménagements
rents
l’échelle
il
la
parcours déplacement trame trame trame
morphologie
retrouve
la
morphologie exemples
convient
le
à
syntaxe
où
un
Morphologie
morphologie avoir
l’intérieur
son
centre,
désorganisent
éléments ou I donner
les
des peut
leurs
et
Le
induisant
viaire, ensemble,
est
viaire
physique
des
syntaxe réseau
au
et
point
les entre évolution les
humaine,
dont La
autoroutier
quartiers,
et volet
Les
vu
tracés
donc
s’appliquer paysagère le
et
coeur
de
tant ambiances
correspondances
).
picturaux,
réintégrer le
voies,
de
lieu
les
traduit ressenti
perception voir
détermine la
Ces en
discerner
focal.
fleuve
ces la
du
La du séquences principaux ferrés
de
détails.
pour
du
un paysager des
ou de
composants
liaison représentation
dans à
du
du
structurants cohérence
champ
trame
aussi
c’est plan
de
éléments
et les
une ceux-ci.
le
support
la
mental. le
les
plan plan
directions
(Lynch.
plan
l’organisation
en
et
en la
le
:
du
ville. promeneur
bâtiments,
une
cinématographiques urbaine dans
paysage,
les
nouvelle
Une les urbain
grâce
fluviaux).
noeud et est lecture
guider
en
viaire témoigne. l’échelle
avec
paysage,
de
urbain
de
sont urbain
de formes de
urbain
lecture
de
un
quelque fondamental
1
perception
grands
des Un séquence
dans
‘image
hiérarchiser K
lecture du
séquentielle l’observateur
à
le
joue apporte
exemple.
l’image
et
(notion
de
est
dans
la formées
des
dessine
relevé organisation fait
1960). relations plan tel
capital
les
les
des voit
physiques lisibilité les
séquentielle. déplacements
Cependant
ainsi
fait
source Extrait
aussi
paysages. et
globale.
partie
son murs paysages
de
sorte
paysages
points que
séquences,
urbain est
le
des
d’ambiance
de
du
les
naître un
de
que la
La
Ces paysager
d’une
cheminement. fonctionnement
de
un
aussi les
visuelles.
les bâti
de
du
domaines du nombreuses de ville de paysages
maillage.
tin
la
ou notion d’un
fait l’organisation dans rôle éléments des
de
différents
de
clôture, plan
les patrimoine son
ordonné
ville perspectives, Lynch
infrastructures
paysagers
non
et
arrêt
des
un
suite
que
:
l’espace. repères,
paysages constitue
important
nouveaux
le à les
du
la
contexte,
paysage
de
fragment urbain, urbain
urbain.
qui
défilement
la
La
hiérarchisation
séquences
très parcellaire
diversifiés,
voies,
dans Ce
distingue dans
sequence
de
bref
spatiaux
axes
et a
fois
vitesse
indication
Les
sont
diffé- plans
de été point mon-
d’un
que
que
l’armature
souvent tout
nous
une
spatiale
dans
les
tracés
les ce
d’angle en perspective la de de
le
abordé
des
les routières
nous
ville
réseau
LL.
‘ site [L ‘.
ce ‘.
communication.
met
alors
la note
individus
tracés
qui
qui
Dès fixe, rique, alentours. mière. d’appel leur forte, dessus perception C sur
qu’il rectiligne des
(tracé
discernons des
précédemment:
en
de
est
paysagère
Point
des dessine constitue
désormais
ne
qu’une
pouvoir
le
puis zones évidence
(nie,
principalement
vues.
vue,
et le
le
le
s’agisse
de
s’insèrent
viaire
détails
en
paysage
point
regard
regard angle
se
balaie couleurs
Loiseau.J-A/I.
focal
Il
fonction .
avenue,
elle
repèrent. image
permet des
qui
du
existe
attractif.
La
constituent
les
dappel
traditionnelle
des
revenant .
certaine de aborder est
paysage,
sans d’une
ou
de
convergences,
sont
hiérarchisation permet
matériaux oin
urbain
pas
apparaît
une et
vue attiré
vieilles
façon
Partie
focalisation de
boulevard, aux de
forcément
dont destinées
linéaires
leur
dans hiérarchie
d’
ville
joue
Terrasson.
formes,
se
par
particularités
comment
rapide
de appe
et
les
individus I,
et
1 fixer dans
contrastes
rues
ce
attraction
est
la
2.2.2).
ou
diriger du un
éléments de
Le
sa
point I
structure
et
la c’est
naturellement qui
l’un
d’un paysage
des des à rôle paysage
la
des
des
du voir perception.
route
saccadée zone
F.
être
synthétiser
ville
organisent
d’appel,
vieux
points
ramifications
regard
à des
de
Trochet. le
Dans
fort de
vues
est
terroir.
dire la
périphé
du urbanisées
principaux
lu-
nationale.
regard
la
existante
se éléments urbain :
structure
suit
dans
relation
site.
de
1993
les dépend
centres
plus certain
situer le
Y
Elle
des
ces Le
les ou
Le
de
18
b PARTIE
2.3.1
en Pour Il
seront • • • • Pour •
et • Pour •
2.3.2
titaires L’image de depuis
les • Seront • • • •
morphologie Les 2.3.3
à ble. paysager
mettre et C’est
s’agira
aux tant
( se symboliques éléments I’ les éléments Caractériser les les Recenser pencher Les Les Les Les Les Le Les La utilisés symboles La L’évolution qu’élément Les Son Son grâce à de I de de éléments éléments éléments Le forme ici prendre paysagère, relief symbolique naissance voies limites points noeuds que composants longue localiser modeler l’image liens édification évolution 2.3 de volet historiques à du l’on comportés sur comprendre satisfaisante l’élaboration les Synthétiser et qui véhiculés de plan en compris compris date compris ïévolution clef paysager leur spécifiquement de sera éléments est ensemble repère et de les compte comme physique urbain) sa les en physiques souvent considérer de l’objet évolution rapprochent. plus ayant représentation tant dans l’image représenter dans par dans dans leur », apte l’image de clefs les de ne qu’élément historique les ou les permis il les essentielle la le le compositions carte sont faut l’image éléments données à de entre (couleur, éléments morphologie paysagère. comme site patrimoine composants récurent faire ces l’éléments de les que d’ériger géographique de les cartographiquement éléments mental coïncider la des modeler identitaire localisation la référant divers de dans et matière,...) ville historiques. pour de matière éléments de et la et certains du du l’image l’attachement les principalement sont mettre ville éléments ensemble. ces capital plan repérer mental emblèmes première les soumises derniers constituant des éléments urbain, en principaux paysagère paysager collectif, éléments évidence les Dans de urbain collectif pour se à éléments la en l’image une sont l’image composition un points urbain au référent représentant obtenir leur mis le construction contexte cours les à point chevauchement en paysagère la à éléments paysagère. clefs (site prendre l’image collectif. ville. évidence de essentiel réel, qui géographique, l’histoire de l’identité Il lente. à développés l’image à globale. en tous est permis La l’échelle dans sera compte donc durabilité ces ainsi De de l’attachement les de Cette éléments paysagère nombreux nécessaire la patrimoine que de sont: par d’ériger composants ville. la cartographie les des Kévin ville. liens Il agissent éléments ces éléments de est aux Lynch Pour et référencer historiques éléments important du emblème, valeurs ensem aboutir va capital iden qui sont per 19 IL. PARTIE li, 3.1.1 Amiens situés acquis Elle 3.1.2 Amiens Amiens 5 peuplée Tours tional. 369 3.1.3 161 Mais fin deux appel gne mettre Ces politiques marquant 500 Q Le Le céan portants Fleuve ronne, III des est 000 000 campagnes nous Amiens dans plus régime ... lancées ... une le de en capitale aussi par 1 est de années DES L’attractivité fait n’est du est de habitants Amiens utilisant habitants. plus partie côtier long grande permettra (48uz3/s) un le la se traversé face grand la ligérien, le la traversé vieille base donner vaste et qu’en à qu’au fleuve région plus SITES capitale 1980, de de aux à la Tours, promotionnelles et notoriété l’image de Picardie, leur même estuaire en l’ancienne Abbeville, bassin ou par L’aire important Amiens, notions 1990. très 39e de de un la par au des 1999, Centre. capital méthodologie la France deux mieux régionale point irrégulier début des COMPARABLES le rang époque crues paysagère Somme parisien remonté urbaine tributaire nationale Cher. paysagères (APPLIQUER soit débouchant villes: et villes temporel que Touraine, mais des des ; violentes paysager cerner les 1220 un dans (pluvio-nival vont Lin par nous picarde, et années unités Hortillonnages amiénoise gain fluviales 3.1 c’est de affluent de la rôle km et la qui à une être la pour de Selle, (9800m3/s retiendrons internationale dans marée leur un de Détermination pour est Manche; pour urbaines sera Orléans 1990 de départ politique essentielle près moment située la la ville. vanter de AUX un la jusqu’à jusqu’à un compte exposé Baie leur préfecture une la de bassin communication, de pour relevés POUR de dans qui Elérnents Loire. française. 22 245 leurs VILLES de pour politique communication ces donné La de Tours, La Nantes. la par 220 de pour Somme est 000 de l’analyse km. ville. promotion le Somme affluents. à Loire cadre le part Ces la 120 du de la Orléans). 000 département habitants (début choix Né le pluvial ANALYSER suite. qui capitale de Quand AMIENS deux l’Indre-et-Loire. par 000 son terrain déroulement Les de dans habitants promotion sera de un de km2. inscription vie, La des en 10 fleuves de la l’image l’Aine, de delta. ces à depuis indispensable hivers régionale. moyenne Somme communes et leur Tours, Née campagne d’étude l’image de deux leur ET en encadre à ville. au de de après la paysagère. 1990. 1999, Fontsornme. TouRs) dynamisme. au la L’IMAGE mont villes «nourrie leur ce Somme. s’établissant C’est ville patrimoine L’aire Amiens Angers), mémoire de de 1990) Elle image soit le Gerbier à est la également l’unité est la centre se Encvclopé De 61 ville, urbaine le Étouffée construction » le traverser il et territoriale. occasionne trouve aussi fait à 000 arrose plus, positionnement de puisqu’elles mondial 875 ville. urbaine PAYSAGÈRE Tours et Jonc. qu’elles de de m3/s. de l’aire l’étude du die ainsi Saint-Quentin. entre par plus nombreux Elle Tours ont Hachette des paysage de ne de Politique un au urbaine se développé rejoint Paris qu’en vont L’UNESCO, étiages totalisent ce de fleuve soient 16e est mémoire ces des 1 nous rang et canaux forte l’O- Ipha 1962 im la campa qui Pé acteurs qui toutes Lille. plus que per à na fait de à et 20 la et ,JJ PARTIE 3.2.1 Les tité points En porteur 3.2.2 Pour 3.2.3 rés Les • • • • France, • • • • de centres des plan Le effectuer Restreindre Le Habitats Commerces Etc,.. Services de exemple leur ils ils la d’images. I édition centre ville. L’attractivité sont centre sont convergence sont cartographique forte les villes des souvent « centres C’est ce sur ville Blav utilisés fréquentation Ç ville .-. Centre sont mémoire, lieux Certaines le les _._.,i aussi porteur champs Foldex d’Amiens ‘ villes des éléments l’objet de faisant 3.2 » ville des des nombreux régulièrement un lieux l de ont Recherche - lieux centres d’image villes: d’opérations Amiénois d’étude champs facilite Plan L I : l’objet ces de d’évolution su et — concentration de de images restédes Guide flux. villes passage l’édification de rôle Tours d’étude collective t: par nombreuses -.‘ axée Les Blay -, vont d’aménagement de d’Amiens les historique), emblèmes images quasi la va sur hommes Foldex se —x de communication, être retrouver de l’image multiples obligé, :- études portées référents .:- réduit et - pour de politiques Plan Tours et dans aux (cela paysagère la par de fonctions largement mentaux ville. ville centres l’image les qui facilitant dans (j IL centres de fi apparaîtront - - Amiens représente leurs villes collectifs fréquenté. l’image des globale les Centre , sont discours centres car modalités et souvent que Tours forgeant de tout souvent _, ‘ ville De la véhicule - au sur villes ce _I ville, agglomération. Tourangeaux de très fait, long la son l’image recherche, ville importante les et de dynamisme la - n - ville. du ce centres de mémoire paysage - la _ comme •. ville pour - villes : , et _= -•-- sont sont l’iden par sont .‘ ; des ti ‘r 21 -4 PARTIE I L’attractivité des villes: rôle de la communication, de l’image de la ville, et du paysage 3.3 La nécessité d’avoir des sites comparables 3.3.1 Des éléments du capital paysagers similaires On ne peut comparer que des éléments semblables. C’est pour cette raison que l’une des première étape méthodologi que va être de trouver des sites qui comportent des éléments du capital paysager qui soient comparables. Pour ce faire. il semble nécessaire d’élaborer une grille comparative permettant de mettre en évidence des lieux qui par leur fonctions et leur rôle soit comparable. Celle-ci comprendra les trois points essentielles composant le capital paysager urbain (comme nous l’avons vu précédemment). 3.3.2 Des sites comportant des opérations d’aménagement De plus, pour confirmer ou infirmer l’hypothèse émise, il est nécessaire que se soit des lieux qui pendant la période d’étude retenu (de 1990 à nos jours) est fait l’objet d’opérations d’aménagement du paysage. La définition retenue pour les opérations d’aménagement du paysage est la suivante. Aménagement du paysage Il comprend Lesactions présentant un caractèreprospectifparticulièrementaffinné visant la mise en valeur, la restauration ou le création de paysages. Cette définition se rapportantà trois expressionsqui sont les principes d’action sur le paysage envisagés de manière dynamique et prospective: • La protection des paysages.concerne les mesures prises dans le but de préserver le caractère et la qualité existants d’un paysage auquel les populations attachent une grande valeur du fait de sa forme naturelle ou culturelle particulière. Cette protection doil être active et s’accompagnerde mesures d’entretienpour maintenir les aspects significatifs d’un paysage; • La gestion des paysages, concerne les mesures prises conformément au principe de développement durable pour ac compagner les transformations induites par les nécessités économiques. sociales ou environnementales.Elles visent à assurer l’entretienrégulier d’unpaysage et à veiller à ce qu’il évolue harmonieusement et de manière à satisfaire les besoins économiqueset sociaux. La gestion doit être dynamiqueet tendre à améliorer la qualité des paysagesen fonc tion des aspirations des populations; • La conception de paysages, concerne le processusformel d’étude,de conception et de constructionpar lequel de non- veaux paysages sont créés de manière à répondre aux aspirations de la populationconcernée.Il s’agitd’élaborerde vé le et détériorés L ritables projets d’aménagement,notammentclansles espaces les plus touchés par changement fortement (banlieues, zones périurbaines et industrielles, littoraux). Ces projets d’aménagementvisent à restructurer profondé L ment des paysages dégradés. L Il est utile de signaler ce qui doit être entendu, dans la formulation de l’hypothèse, par « volonté politique de mener des opérations d’aménagement du paysage ». Il sera retenu comme opération d’aménagement du paysage tout projet réalisé ou en cours de réalisation dont la formulation indique ou non, une intervention ou une influence sur le paysage. C’est à dire tout projet rentrant dans le cadre de la définition de «l’aménagement du paysage » fait par la convention européenne du paysage. Pour obtenir des sites d’études comparables il va donc valoir que ceux-ci comportent des éléments composant le ca pital paysager urbain qui soit similaire et ayant fait l’objet d’opérations d’aménagement du paysage pendant la pé riode d’étude prise en compte. C’est à partir du croisement cartographique (comme nous l’avons vu précédemment) que seront réellement déterminer les sites qui feront l’objet précis de cette recherche. 22 PARTIE 3.3.3 Éléments Composants Ensembles Symbolique Bâtiments Bâtiments Les Symbolique Les Les Pour Les et ville hiérarchisation indéniablement de voies noeuds limites points Grille Tours. déterminé I topographiques L’attractivité isolé publiques Eléments collectic Éléments bâtis Éléments de portée physiques portée comparative Pour repère La Le à anciens selon 1 des dans morphologie patrimoine ‘architecture facilité Le d’importance qui a essentiels sites faible la (linéaire) site le ant (de joue composition poids des qui géographique de la une surface) lecture et un détermination soit villes: emblématique du des place dans les rôle plan comparable emblèmes éléments l’image de forte dans de rôle urbain celle-ci l’image dans l’image de du du Capital des cette la et le capital centre de sites communication, relever capital du grille la centre Paysager ville, d’étude paysager pa les sera Présence est Éléments cette Svrnbolesportéspar coteau, de sants Présence dont mis mais Bâtiments Bâtiments mes nu environnant Symboles nioniaux Les sont éléments Les ciation sager Les Les des culière ville. élaboré la importante des d pour urbain axes ambiances lieux barrières élénients J de ville physiques Urbain grille ‘être qui ‘anciennetés points urbain plateau grandes entre sont et de structurants dont sur de la ne de hiérarchisés reconnu qui qui du simultanément (fleine, emblématiques. fera entrant reliefi ville. et des convergences, sont une deux clef l’image qui capital par de la visuelles mais dans qui et points importances. présence apparaître part partie de la pas leur fortement et sont faille,...) sites représentant comme les en ne part distinction les I paysager qui leur ‘architecture fonctions contenu porté axes de ligne etou connaissant reconnus distincts. de éléments de leur de joue repère spécificité ensemble la pour de la visuels grâce par phyriques aux structurant ville de hauteurs, rasseniblemnent, ville, un entre dans la incontournable, et leur compte les divers en topographiques et rôle de vie à leur traditionnelle de de tant patrimonial. centres tin fonctions, qu’une se des regroupement et ce public la fort reconnaissance marquant architecture ensembles leurs jeu dégage du dernier que dont ville lieux dans dans de paysage tel de villes reconnaissance spécificité la (éolline, ou diversfiés. l’image couleur leur du la commue prédominance t et leur la de ‘édification et cité. bâtis reste d’Amiens les de situations dii’ersité sont dfféren entrant ont inoin, de bâtis compo emnblè— pain parti du de une deve per la bâti la 23 PARTIE 3.3.3 tions Tout reprit par mentaire La reconnaissance d’analyse II Les ront Éléments Opérations semble • • colonne • • • • • la ! éléments l’objet les d’aménagements Grille dans suite Gestion Protection de être comporter Conception être 1 éléments sants L’attractivité autour préférence collective Éléments Éléments Éléments important mis seront présent soumis cette érigés indiquant de comparative en (composant du la d’aménagement collective grille de évidence capital localisé recherche. des mis en aux dans ayant qui essentiels l’hypothèse faible que être tant opération le en même joue du paysager le types les des comme cartographiquement. évidence une des qu’éléments du faible. paysage de capital éléments un Les opérations capital détermination types dans place villes d’opération rôle villes d’aménagement émise. coinpo- sites Ces paysager du l’image dans énoncés forte d’opération dans paysager : ayant derniers qui d’Amiens rôle de paysage qui la dans l’image l’image seront portera grille du urbain une de La par soient Le des et couplés le centre Cette morphologie la patrimoine la place Opérations du retenu d’identification sur opération capital Le sites du communication, reconnu (Période et Convention principalement comprit aujourd’hui paysage site centre cartographie de les forte avec d’étude devront géographique paysager Tours composants d’intervention) d’aménagements collectivement. et d’aménagement dans dans mais du des les Européenne plan tenninées opérations de emblèmes les le qui des urbain devant sur capital centres 1990 urbain ne composants de les du sont mais types permettre l’image à paysager capital d’aménagement du villes Cela du nos pas ne Paysage: paysage) référencé jours contenu permettra connaissant du de de paysager urbain capital la faire ressortant dans ville, dans mais de Types du ressortir paysager qu’une venir ce la urbain paysage et ne définition dernier d’opération du des connaissant compléter les reconnaissance urbain paysage deux des pouvant sites des centres grilles seront qui l’argu opéra qu’une être fe 24 PARTIE II Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études PARTIE Les Rappel 1.1.1 Éléments Composants • Q • éléments I Composants Pour graphie Pour LE II de Application Elémenis Éléments Elé,nc’nts collective topographiques Symbolique la CAPITAL Tours Amiens régionale sigiq,fi physiques mis qui avant en essentiels : identitaire faible Lussault.1993 cation portée : De évidence joue de de (de (linéaire) une Robien, PAYSAGER la Picardie, surface) un du clans place grille Capital nle du jeux dans site 1988 I et 1.1 dans forte ‘image comparative • • 1998 . . . • de • • 2001 cette géographique Paysager Le de vle La Dc du affi na D Grille Le •.!..±nts la La présence surtout moins d’elle mide l’eau. ; de Les d’ couleur. clans I Brac es ?mage , la centre somme, fleuve du I ambrcux pancipale ; UjS DU î parti d’est ‘ Fresnault-Deruelle. i sence à ais itre ‘e allée Ce même. centre le symbolique s nord de comparative par proximité canaux e s ilonnages de ‘ fort d’un capital (vers Le sentiment du présence par en CENTRE la ille son Urbain le fleuve dc collective la de pour du (EN ouest Perrière, site cenfre du AMIENS fleuve symbolique lui-même canaux est la grand Somme l’est), l’Avre tiré centre son site Somme géographique payscger installé de traversant que la de sont 1990) présent est des la géographique niais nombre des se porté sont ville l’eau, détermination et du ville la renforcé 1999 un est sont de écrits au VILLE présence porté centres capital présent Guedez, qui éléments beaucoup et par à la et urbain plein le les de proximité ; sont Selle, au Association ne centre la par zone et par liortillon ville sein coeur sont à ah— paysager est de recherche les villes l’ex- la mais Lussault, den clef D’AMIENS hu pas des I ne en • . • ville, • associé Ces • contenu des connaissant sites de Le ville Les Le face La en les 1990 Groupe de C notoriété lui suivante deux professeurs mais la est cenire partie Loire, Cher symbole. parties est coteaux au à Loire d’études la dans la fleuves conféré. centre. c’est Loire vaste (affluent EIDOS, ET canalisé ville national fleuve tra c ce marquent cpi Cela TOURS la dii encadrent DE ersant étendu est :uî d’histoire dernier Loire ‘une Cher dit de principalement est situé est et 1992 TOURS sauvage reconnaissance la international la renforcé qui plane porteuse une Loire).fleuve ville dans le est et rupture centre du le la de par de centre vallces plus géo dans plus qui sa 26 PARTIE II “. Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études 1.1.2 Les emblèmes patrimoniaux Capital Paysager Urbain AMIENS TOURS Le patrimoine et les emblèmes petite ‘ Ensembles bâtis patrimoniaux • Le quartier Saint Leu est composé de • Le vieux Tours est composé de maisons basses d’allure médiévale (R+l maisons de villes R+3 et combles ca et combles), mais d’époque variées. ractérisé par la présence de colomba ges et de briques de boulanger surtout sur la place Plumereau • Les Prébendes Bâtiments isolés à 1‘architecture em- . La cathédiL. classé Patrimoine Mon- • La cathédrale blérnatique diale de l’Humanité à UNESCO • La tour RI! i, cette construction fut la plus haute tour habitée en Europe. Bâtiments publiques d’importance • L’hôtel de ville • L’hôtel de vïlle Symbolique portée • La tour Perret fait partie des ‘utopies ré- • C’est le vieux Tours qui fédère le plus alisées”. réalisé par Perret lors de la re- les représentations collective. construction d’après guerre • C’est par la présence du jardin de pré . C’est le quartier Saint Leu qui porte le bende d’Oé et de la sobriété de son plus de symbole mais est loin de fédérer bâti, appelant aux calme que se quar l’affectif collectif tier est devenu un référent collectif 1.1.3 La morphologie du plan urbain Capital Paysager Urbain AMIENS TOURS La morphologie du plan urbain Les voies • La nie des Trois Cailloux. Elle ne fut • L’axe central Tn1ck pas de tout temps la rue principale d’A- Grandmont ajoué et joue toujours un miens. Son tracé correspond à celui des rôle prépondérant. La voie nord-sud remparts du XIIe siècle qui corsetaient constitue. la « matrice harmonique » de la ville médiévale. De nombreuse modi- Tours. un des fondement de I image ur fication dans l’implantations des bâti- baine globale. Il est qualifié « d’épine ments. et la construction de la gare dorsale », « de moelle épinière » de la porte de Noyon vont lui conférer sa vo- ville. cation commerciale et le statut d’axe • Les boulevards principal de la ville. • Les boulevards Les noeuds • La Place Ganibetta • La Place Jcaii Jaurès • La Place Aiphonse Fiquet • La Gare • La Place dc l’Hôtel de ville • La Place Léon Gonthier Les limites • Espaces vides « créés » lors de la re- • La Loire construction, apparaissent conuniedes fractures dans l’espace urbain Les points de repère • La cathédrale • La cathédrale • La tours Perret • Le pont Wilsou 27 PARTIE et Tours Que canaux vieux 1.2.1 entièrement Le Le quaires, tant par est Vers l’animer, (mais tre qui sécuritaire. Votée une Le La tourangelle se sauvegardés aux constante dation. Pour dans historique mis nouvelle Après approfondie, vont distinguait ram der son Une de doter, > Quartier quartier ville. vieux peut-être détruit politique celle-ci, bonne à de se des secteurs au sauvegarde. Les par Société 1990, être les Tours remettre sauver à d’époque le soit et la une (Lussault. fait II point. artisans, syndicats Application Ce avec fonctions 4 Tours: une en symboles le population rasées forme, depuis part 60 de août nettement Pourtant, Saint-Leu, à ce très Saint qu’il enquête refaits, possède bâti qui continuité et lier », d’Economie les d’architecture Tours de un société % la Lyon, quartier Rénover, leur reste de dont tôt variées) lui du 1962, ancien, cité, et plan restaurateurs, remise au vieux fallait Seul Leu les une sa et M. de patrimoine l’objet feront vaut centre. récurrents ses ou ravage l’un une Chartres typicité Tours années une Amiénoise, économique, il d’aménagement un les général 2001) 1.2 les la une nouvelle la avec est de est à quartiers, ponts, revivifier peut-être est en requinqué c’est plus des vie véritable immeubles maison loi Amiens canaux, Mixte place la toujours de sorte un Quelques Saint des est quand valeur le traditionnelle « moderne, 1970, architecturale seul grille politiques grande et site divisé renouveler, centre Malraux ses en ... l’une des bombardements à Sarlas. de vie est Leu qui des état.( après grand les cette si un qui à identitaire maisons plan à et sociale petit des vieux et très la comparative créée lui attachants, aux en à a ville. notoriété très a (évolution des sociétés vieux qui cherche pimpant. fin que éléments conserver perdu été rétablir attachement Royer une de périmètres îlots assez » insalubre de ensemble Amsterdam premières s’étend vaste des anciens quartiers crée qui fait en c’est sauvegarde fonda ancienne. sauvegarde et basses quartiers phase pour a lors grande années vétuste. propose seront et architecturale . que la les été la J. parking accueille donner les de souvent de historique désormais réputation comparée la continuité de 1977) et de bâti « les quartiers. d’allure établi le pour anciens, la intégrer. ceux identitaire villes ville. secteur voir, bâties. avec la parti 1980, dégra sont quartier Amiénois. dernière Et aux ancien a et reconstruction souterrain une été réussissent n’a la artiste, qui de ses la des été à Les il propriétaires médiévale ont La détermination mise nuit, jamais Bâti allaient justifiant AmienslTours) épargné canaux, Saint du composants impor été vieilles guerre restauration anti Cela cen de peu en en au-dessus Leu. fait â la valeur. être partis Place halles, Maisons de (Source l’objet Cela l’image démolis (Source important ces restauré. vient Le Plumereau duquel des peu espace belles de : typiques quartier géographie Association . compléter sites après : paysagère s’expliquer véritable carte une du mais insuffisant, 00 d’études caractéristique avoir à Saint Capital amiénoises galerie postalancienne) ; régionale Saint-Leu des vétuste opération les professeurs été par Leu, effet marchande, Paysager acquis de toujours le demeures ou encore Picardie) fait de de s’entrelace du d’histoire la avec que restauration vieux urbain. rénovation. présent encombré, de le une leur O vieux Tours les et mai les de ter- Le ai 28 PARTIE Amiens La de marque des définissent Qui 1.2.2 qui dans viaires, place certains ble saire gèrement Malgré soulignant mage Camot, Tours valorisant cette La cal plupart Tours Il croissance de l’axe tie» apparaissent: Champ «de ses que structure: sobriété, «L’équilibre y la morphologie l’image centre. varie constante. immeubles, de visiteurs se a dans la reconstruction, moelle pour L’évolution suggère de « central mental un apparaît : penche l’équilibre dilatation une une Un la image s’est II important des : lieux la Application entre Une stéréotype sa grâce les largueur planter Tours dans Et les les gare, urbaine. urbaine axe vaste volonté références mesure épinière élaboré ». frondaisons des Tranché-Grandmont ceci l’ordonnance par trame « » grands la sur différents préexistante 10 traditionnellement prédominant: â aient du [Tours] des les celle cohérence. la habitants excessive opération leur la mètres des le des appliqué dans de importante plan globale. publicités ville présence de axes ». géométrique viaire plan en Les un tenté » axes l’image arbres de configuration axes Leveel hiérarchiser de au de une réalisant urbain nouveau a lieux termes la bien urbain et du de le la territoire constituants qui la de loin mairie, urbains cartésienne, 20 de à de ville » (Lussault. centre goût d’alignement la ses ville. dc grille l’espace réintroduire dc : bâti: de fait pour à ses et plantation mètres, crée puissance de la d’Amiens peu commerces. magnifiques «harmonie des qui Tours: trop plan la appliqué des valorisée voies. écho qualité faire a La la historique cette les ville, Tours chez comparative de et joué hiérarchisée ne édifices rue régulière perspectives voie d’Amiens constitue urbain. leur axes de Tours, M. compte apparaître par la la ( phrase fut les du il et sociale de la Breitman. cette susceptibles traduction ou qualité et à nord-sud 2001) importance, est cette joue depuis urbains Général », ville. habitants lancée. la de de l’espace arbres de ses Il difficile qu’il des «clarté géographie que dimension briques Tours un synthétise qui, la est toujours affirmation: de projets. de des sans la rues. ville atout pour la par Faisant s’agisse » constitue, M sûr Leclerc ce l’espace dans physique fin place prédominances. (Boylesve). urbain. un sont de », de comme l’implantation fin sur Krier. stéréotype d’Amiens, que, A du pour sentiment la « redonner un Cela repérer l’ombrage perdue l’exception investi très l’essentiel (...), ordre les XVIIIe René contre détermination de joignant rôle dans « urbain. l’embellissement La R la de rues contrasté: s’implique l’axe celles le .1989 elle « », Goblet principes prépondérant, dans une forme à Paysage caractère la mauvaise mésologique matrice circonscrite aux siècle). et de « l’envi commercial a verdoyant création La le ordonnancement hiérarchie des de d’alignement des Seul concernant repérage le les ) rues port Voulant —au forme pierres comme goût qualité cendres, monuments dans également urbain hannonique la spirituels. parfaitement l’échelle aval fortune sens des rue et de au à de des la commode souvent, sur poussent urbaine l’importance espace recréer l’intérieur de le la des de sites se description large sens les la la platanes, long arboré, ligne les la bon caractérise ville. L’espace et Trois ville (Lussault.M. paysages à qui rue », large places d’études » le un planté. : une et, de coeur, qualifié français participent de paysage sobre à profil et orientent des Elle continue autre Cailloux ces quoique de la l’utiliser Tours, hiérarchie rapide. de retrouve urbain. de de en somme Trois ses la offre axes Ainsi, la ou et par urbain champ la variant cette largeur « de boulevards, n’admet ville plus celles 1993) ville. d’épine de un le la les «la Cailloux, sont se la à Tours comme Dans une au privilégiant passant «géométrie, ce représentation. s’évaporer des place entre distingue d’un : architectes structure important ville paysage Les boulevard dans des Il champ évoquant hiérarchie fondement l’opulence marque les qui dorsale hauteurs vérita les néces mes élément bien la et l’i re guides plaît axes qui lexi lé plus ( bâ de de la sa la », 29 à PARTIE Arniens: 1.2.3 né Malgré tant la Les rieux grâce Le leurs développé Néanmoins, vente disparaît « tion compte • • • • pour Plus • Ces Tours. mat À réputation L’urbanité bord de ment en dans jardin La difiée, culteurs d’espace De En Malgré (Royer. Amiens, seul cathédrale relevé de développement côté Association > Association Syndicat Association S.O.S. château, la hortillonnages 300 ville englobant de associations plus Les garde terres que (petits son la au dans les les le France urbaine, public sa la Touraine II na les de population. ha Les marché Application cette de périurbain au produits Prébende «jardins» J. fleuve. la se accueille La population présence mais hortillonnages vert pour l’eau les hortillons de au fertiles de tourangelle été 1977) symbolique la fil canaux) sont intercommunal hortillonnages les civilisaient sont ville », jardins quasi jeux réputation la barque sein le par du englobé cultivée, pour syndicale si des figurer hortillonnages expression fluviale, Touraine. sur Au succédées. : bois ont des les temps. de Jardin de sont du habitant assuraient d’Oé de en depuis d’images chasseurs central en l’eau. début que la leur aussi et hortillonnages éléments sur symboles Tours qui qui maraîchage des plein l’image quelque de protection dans d’anciens a les définitivement lié leur éminente, ont l’on prégnante, de les Les aussi culture. permet s’étendent des qui hâtes la La une des 1874, nombreuses «jardin au semble-t-il aujourd’hui, inscrit : coeur la pour La arrive la doigts conduit cour 6 et jeunes peut grille jouit canaux une de majorité fleuve, France m2 années une d’Amiens sculpture vocation depuis fort tradition sorte-, pour de et gibier d’accoster sur l’aménagement « de production Florissant au et (contre est découvrir la dans mots. a d’une en marais-jardins d’une place de de comparative au diminue les la ne ville, été jardin, le forêt la le d’hortillonnages précoce, les tête longtemps la et 1990 des employée sauvegarde que l’image quartier d’eau “ ville. jardins poursuive associations l’identité boulevard constamment pédagogique sont profane se En coeur” France le hortillonnages position presque reste main. 2,5 de la du nombreux plus botanique, poursuit dans (comme Touraine, et au en Somme Larçay en importante restées à des classement de dès un tourangeaux Rouen, début barque l’accueillant tard surface, de », de une dès déjà local: hortillonnages et descendre symbole pas intacte, particulière » l’époque Bérenger, dont du l’agglomération pour la la toujours composés liées encore. un le on n’est le mise du hortillons et site reprise capté l’oeuvre cathédrale. pour sauvegarde il ou 2,4 met XVe parvient certain elle touristique, d’Amiens était ils siècle qui aux la des à et depuis en à identitaire pas romaine, sont en pied lequel ce est apparaissent sur détermination de Lyon, alimentait à siècle, le un capital et scène hortillonnages grandes par de être valeur à rapport (on mise temps mercredi l’environnement la arrivaient déclinée la resté l’origine marché depuis au leurs bien Vouées capitale des rapport terre la jouent un dénombrait amiénoise. 1,3 chiffre déjà quand en en que limite semble-t-il la fort un en référant hortillonnages des villes si à parents organisant directement valeur, ferme le grille Marseille très au au limite sites la particulier et peu de un pour à à aux chemin historique.(Lussault. les lustres. assez communale ville le la fil bord fleur. 13 véritable urbaine. française en des comparative) samedi. identitaire rois, sans culture collectif. autres des et Cet 905 la de la bras capitale des ; 1990 étonnant grands-parents. de ville ville. au sites des Depuis de la ans et Tours heurter espace quelque «cultivateur» Amiens à leurs de hortillonnages ville, moyen-âge, halage. composants 1,2 la Cette maraîchère dans visites rôle s’est et pour la Cela avec d’études On nature à important. fflt des bénéficie barques Somme plusieurs de est dans d’attachement Bordeaux) les le peut peu image depuis seul et le d’abord se la siècles. de 32 capital entrecoupé berges), ses nombre qu’est prouve Riche M ce nomades découverte m2 les remarquer il Aujourd’hui au du à et alentours, d’une en nouveau . longtemps est ici par hortillonnages 2001) cornets génération Moyen de celle paysager Les « 1906), le Extra de pour suffisamment part milieu de habitant. fossés jardin, cité Prébendes. de de identitaire ce du mètre qu’à l’implica ( quartier du a mettre Age, 55 château ce en qui précoce «nez «jardin été détour >, on délimi urbain, site. et métier d’horti km partie fait le mo carrés d’a et en cli de — la 30 PARTIE En 1.3.1 Les de et ments la L’urbanité bord tamment 1.3.2 peu Pourtant Mais population du reconnaissance • • 1990, • • • • • • • • autres de Amiens dans faible Tours: La Les il liés duits Dans puis France. La samedi. pace le n’a Les d’un l’urbanisme la La L’axe 1977). La Le La place n’en II Application cette bois reprise Amiens cathédrale Gare. ville place Loire vieux cathédrale hortillonnages les à éléments jardins jamais tourangelle plusieurs intérêt vert Paysagement ». l’hebdomadaire l’espace dans reste central est jeux : des des réputation (Lussault. La de deux Deux Jean Tours par et attachée. ne Tours composants capitulé. Touraine le hâtes pas collective de s’y d’images déclinée et du habitant comprend capital Grandmont-Nationale-Tranché,L/ éléments Jaurès génération public la la paysagistes, moins privatisent a capital de municipalité et ville. arrive aussi M. reste de Le la la Elle paysager est au et Télérama la 1993). est et que : grille point forêt Au très 6 depuis paysager en essentiels aux paysagers que ville. fil de réputée peu m2 s’affirme d’horticulteurs les tête cours à des mots. prégnante de Yves ensembles à deux La (contre l’image comparative être éléments envers retenir de 1.3 longtemps du ans Larçay décrivait ville pour des urbain la éléments Cette lié classement de Prunier Analyse et même ville multiplmais 2,5 accueille années au ces pour de l’image des et la on essentiel bâtis. image traumatisme à reste l’on l’espace et tours espaces. douceur se siècles. délà Rouen, de parvient l’image et dans important sont pour 1980, des souhaite plus Isabelle Ces secondaire, des paysagère depuis capté d’une dans de son succédées. résultats Pourtant public, grandes 2,4 de derniers en la paysagère on en au l’image ces ce image. subi cité son détermination plus à forgeant 1874, assiste désaccord la Auricoste. chiffre rapport Lyon, termes valoriser, précocement qui climat, même par villes paysagère ne les paysagère sur de La même d’Amiens se l’architecture assez jardin sont 1,3 son si la le : tradition française restreint. s’ils Nom: la avec signent particulier à boulevard grille comme image que Marseille richesse étonnant à mis dans sont la de des sa urbaine, Tours, des est reprise se la paysagère: à réputation une pour Pourtant des l’on le sites que éléments part ville « poursuit à Bérenger, de mouvement de bétonnière et éléments création la Surnom: peut le celle-ci cultivée, des celui sa 1,2 32 d’études en nature nombre terre, la grands m2 1990 à l’observer: secondaires. toujours des Bordeaux). maîtrise un contemporaine par ne capitale qu’est auxquels » éminente, la sont Prébendes, de marché des comporte de projets. habitant. qualité mètre la le idées le urbaine du reconstruction mercredi jardin, une En au Ce jardin carrés La de a qui pas n’ont (Royer. fleur. englobant manques été partie ses place à à et agitent d’élé cons Tours Tours de d’es et pro d’a que De de de la le J. 31 PARTIE tion éléments tes mencer Cette 1.33 (case paysage Amiens Amiens mieux Pour Arniens Tours Ville Tours Tours compris c’est Les resté étape une et II juger pendant Application qui opérations Les La La effectuer Le La Les Lhôtcl La Le Les La Éléments n’est Lhôtel Les La La La L’axe La La la blanche), La Grandmont Le terminer permet Opérations dans Soniine Loire quartier cathédrale vieux tour n’ont cathédrale rue Place canaux horti Place Place Place Place pont Place Prébendes les boulevards posants pas central des la Perret de interrelations de une lionnages Wilson Tours pas de Léon de A Gal Jean de mis lors période terminé ville ville Trois la Saint (de ainsi d’aménagements l la mettre même d’aménagement fait en détermination Tranché-Nationale- du de de Jaurês Saint Gare Hel jnthier des Leu évidence CaiHoux. que capital la ;e cette la l’objet considérer, (case Fiquet de centres catégorie en grille les eu des ville période évidence paysager ) sites colorié pendant comme (gare) sites comparative villes de où La Le du du et de considérés seront sites les appartenant com- en un paysage d’Amiens morphologie patrimoine capital cette Le 1990 bleu). projet sites site comparables, aussi période Maillage Restauration Mise Mise à Ravalement Ravalement Piétouisation Mise Espace Espace Espace Espace Espace Espace Espace paysager qui géographique sur nos avec Les d’aménagement pour et mis et à en les en seront de en du Jours une les opérations public d’opérations public public public le public, valeur public, Composition public, lumière Tours composants lumière à pédestre la plan emblèmes reste l’écart urbain, même de de détermination l’étape retenu des urbain ( de façade, façade dc mise mise mise projet de (spectacle canaux l’espace (case 1990 typologie commencées leur ayant pour est cartographique en en en du des d’aménagement (projet à ouverture valeur valeur valeur à venir) en environnement colorié capital opérations effectuer nos fait public nocturne) cours a urbaine jours urbaine, urbaine urbaine l’objet des venir) paysager en sur , à mais piétonisation sites une la mauve). d’aménagements l’espace est (même d’opérations suite piétonnisation dont du date urbain. nécessaire, d’études urbain paysage de public la Seront antérieur fonction). ce réalisation mémoire. seront d’aménagement donc nous et dont retenu n’a mis permettant Les pas la à sites des l’écart récep com si du et de 32 PARTIE 2.1.1 Q + 2.1 La Quelques II Gonthier Application Place Cartographie II Noeud Léon Point éléments DÉTERMINATIONS de - de Place repère comparative du la L’Hôtel grille centre - La ._— Bâtiment comparative ville Place de La du d’Amiens Ville Place Gambetta capital deville DES I de pour , Les paysager l’Hôtel SITES boulevards la détermination La / D’ÉTUDE urbain rue (Canaux des et La Trois des Tour des —La COMPARABLES Saint opérations et Cailloux Les sites 1 vieux Perret l’Est cathédrale Leu Voie Ensemble hortillonnages d’études de quartier) - d’aménagement Saint Rue bâti leu Gare) patrimonial à 33 2.1.2 PARTIE Quelques II Noeud Point Le éléments vieux de - Place repère du Tours La centre -. Place Bâtiment ville Plumereau de Tours La Place Jean Anatole La rue France Nationale Ensemble Voie..j de Avenue Grandmont Ville La de bâti cathédrale patrimonial 34 PARTIE II Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études 2.1.3 Mise en évidences des sites d’études similaires (AmienslTours) Sites retenus pour Amiens France La Place de l’Hôtel de ville La rue Nationale La Place Gambetta 4 La rue des Trois Cailloux La Place Jean Jaurès Deux places dans chaque ville Justificationdeschoix: Justificationdeschoix: La Place de L’Hôtel de ville d’Amiens La Place Jean Jaurès (Placede L’Hôtel de ville) à Tours Elles sont toutes deux des composantes du capitalpaysager urbain Elles sont toutes deux des composantes de la morphologie du plan urbain Elles comportent toutes deux des opérations d’aménagement du paysage pendant la période considérée Elles sont situées à l’entrée d’un axe urbain entrant dans la composition du capital paysager Elles comportent toutes deux la présence d’un édifice public emblématique (Hôtel de ville) La Place Gambetta La Place Anatole France Elles sont des composants du capital paysager urbain Elles sont des composantes de la morphologie du plan urbain Elles comportent toute deux des opérations d’aménagement du paysage pendant la période considérée Elles sont situées sur un axe urbain entrant dans la composition du capital paysager Un axe urbain dans chaque ville Justificationdeschoix: Justificationdeschoix: La rue des Trois Cailloux La Rue National Elles sont des composants du capital paysager urbain Elles sont des composantes de la morphologie du plan urbain Elles comportent toute deux des opérations d’aménagement du paysage pendant la période considérée 35 2.2.1 3ARTIE Ses • • • ville, Ces vers ciale. tons. pace l’espace Un La Des deux places Places modes ce présence Se Il espace façades Application dévolu qui places sont sont central majeurs nuit de des dévolu Place de aux noircies transports sont de à commerces espaces AMIENS la de piétons) véritables Place de caractérisées mise de la essentiellement L’Hôtel par Place la Gambetta en et très le 2.2 grille leurs valeur temps noeuds Gambetta conflictuelles de Composition par: comparative Ville rapports des routiers à façades la comporte voiture avec entre du des commer coeur pour les un les (Seul lieux pié es di de la gelle. La Grandmont sud Cette pace Ces environnant ble Les volu long arc Quelques d’étude ges nale. Cette De « ment Il détermination vide place n’y noeud de sur axes de espaces du forme à est place C’est Elle un place cercle. la Loire. » a l’axe bâti quasi Jean dévolu divise lieu quasiment routier. retenus voiture commerces, s’ouvre à sur et (pelouse, et se rectangulaire, la strictement majeur de d’est Jaurès autours cette dévolu trouve forme la aux passage. La qui des place largement en en Place place place pas piétons. de est est d’une sites ouest 1990 fontaines bar-brasseries à à des en Tours l’une de l’extrémité l’élément Jean piéton la Anatole que espaces deux d’études elle sur commerces, demi mise sur TOURS trône Jaurès des : les et Rue quart sont le offre lune en parterres France grandes vert. boulevards. dominant pont l’hôtel î nord Nationale-avenue se scène de de ?JH s’ouvre sont un Cest Wilson cercle, large c’est de de place de des grand nichés de la ville. l’espace fleurs). du trotoire principale bâtiments dont et rue ce Touran nord les vérita sur espace natio l’es ber dé au de les le 36 PARfit 2.2.2 des La pal loux) Ce Avec gure sation de 2.2.3 Comme deux l’espace On l’époque. piétonisation n’est a La Trois peut de A’es enfin Des une axes de Place parent II qu’en Application nus aussi Cailloux gare. plusieurs seule sites urbains La décidé urbains de pouvons Place pauvre 1987 remarquer La l’Hôtel imbriqués rue des La la Rue (rue interdite rues Gaitib% AMIENS rues mise que rue parmi le dc des de AMIENS des du la remarquer du des viHe en que la Trois majorité centre Trois centre aux les place Trois 2.2 grille les grandes voiture. Cailloux sites Composition Cailloux d’Amiens Cailloux d’un ville sur et comparative du espace Vieux retenu Conseil ces projet à (Saint villes Amiens commencée et deux quarer (Trois cathédrale nie se Leu) de françaises Munici r LJ trouve cartes, piétoni Nationale) des fait Espac1 pour cail fi lieux rue à les proximité la Cest les bien quenté. cié De situé place d’étude détermination sont N f plus à nombreux bâtie l’idée de 1 retenu étroitement La un Elle connu part ( à des rue ». retenus : Amiens a et ((Tours pour toujours Nationale axe commerces et d’autre les faire imbriqués. Tourangeaux des en comme La plus la de été sites 1990 Rue l’objet ville fré- TOURS le sont asso La à Nationale rue. d’études Tours) La Place de TOURS Place ce ______ France Jean mémoire du Anatole centre Jaurès ainsi cathédrale ancien Quartier — que et les de 37 PARTIE II Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études 2.3 Lieux complémentaires pour l’étude 2.3.1 Des différences d’évolution des vieux quartiers Amiens et Tours ne se sont pas préoccupées de leurs centres anciens aux mêmes périodes. Tours est une ville fait of fice de précurseur dans ce domaine. Grâce sa politique de remise en valeur des anciens noyaux (voir parie II 1), trou vant une partie de ses justifications dans la traditionnelle réputation tourangelle qu’il fallait revivifier, la qualité ar chitecturale se réaffirme fortement. après une phase de dégradation, comme emblématique de la ville. Cette redyna misation, est bien sensible au sein des représentations individuelles où le paysage urbain et patrimoine sont dans l’en semble bien qualifiés comme le souligne les recherches effectuées par Michel Lussault au début des années 1990. Un questionnaire réalisé par se dernier montre que le Vieux Tours obtient respectivement 65% et 76% dopinion très fa vorables ou favorable, reconnaissant ce quartier comme un emblème de la ville. En revanche, le quartier Saint leu d’Amiens est loin de fédérer autant d’opinions positifs. Les opérations de mise en valeur et de sauvegarde sont beaucoup plus tardives. Elles datent du début des années 1990 et dc 1997/2000 polir les opérations menées sur le Sud de ce quartier et englobant la cathédrale, ce qui lui valu le nom d’opération ZAC Cathé drale. Cette forte différence de périodicité ne nous permet pas de fonder le raisonnement qui va suivre sur ces sites, mais leur prise en compote sera essentiel dans la suite du mémoire. Fiche projet du centre ancien Amiénois Saint Leu: Ce projet avait pour but que: • L’université située à St Leu doit jouer un rôle intense ; au lieu de paraître repliée sur elle-même elle doit se dévelop per horizontalementet se disperser dans le quartier: c’est la condition d’un brassage intellectuel comparable à l’irriga-, lion des canaux. . • La pénétration des bras de la Somme dans la ville, doit être . \ remise en valeur telle le rû des Tanneurs; l’élément liquide j I-: doitjouer un rôle accru et prolonger les hortillonsjusqu’au L.._...... pied du centre ville, tout en préservant les cheminements piomuers. h • La mise en valeur du bati et le developpeinent de se site comme espace de flâneries Source des illustrations: Mairie d’Amiens ZAC Cathédrale: Le projet de ZAC cathédrale commencé par Robert Krier (1983-1987) est refusé et jugé trop historiciste, la ville confie à Bernard Huet (consultation de 1989) la tâche de dénouer l’écheveau complexe qui entremêle. autour de ce magnifique monument gothique, la topographie, l’histoire, les projets. Pour recoudre les morceaux de ville déchirés, il choisit de « puiser dans l’histoire ce qui peut l’être », y compris dans l’histoire récente : autour de la cathédrale, il met en valeur l’aménagement réalisé par Dufau à la Reconstruction et des- L sine une deuxième place, antichambre du parvis, destinée à i associer les différents éléments existants. Le long du canal. il, conçoit des logements et. sur le parvis Nord, le projet d’lnsti- tut du monde gothique défendu par la Ville prend forme (marché de définition en 2001). 11sera aussi réalisé un restau rant imiversitaire (une partie de l’Université étant situé au si- 38 PARTIE II Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études 2.3.2 Les quartiers « gares» Les secteurs gares d’Amiens et de Tours connaissant aussi un fort décalage temporelle entre les opérations d’aména gement. La Place de la Gare de Tours a été réaménagée à la fin des années 1990. Puis le Palais des Congrès de Jean Nouvel, le Vinci. qui s’est imposé, dès son inauguration en 1993, en face de la gare. Au cours des années 1980, le ré aménagement de la Place de la Gare et la création du Palais des Congrès sont un réel grand projet pour la ville. Deux paysagistes, Yves Prunier et Isabelle Auricoste, sont intervenu sur la place de la Gare et signent une création contem poraine à Tours et d’un Paysagement de la ville. La Place de la Gare d’Amiens, appelé Place Alphonse Fiquet n’a pas été réellement réaménagé. seul une opération à été réalisé au cours des années 1980. Mais cette dernière ne s’est penchée que sur le fonctionnement de la voirie. La place Alphonse Fiquet est une place ordonnancée sur un mode classique plutôt brutaliste d’inspiration italienne qui fait explicitement référence aux grandes places des villes du Nord. Une opération d’aménagement de grande enver gure est prévu dans les années à venir, où sera réalisé le projet de Claude Vasconi. Fiche projet de la Place Fiquet d’Amiens Architectes: Van de Wyngaert(sommetde la tour Perret); C. Vasconi (place de la gare) Aux abords de la gare. le parvis, « qui n’a de place que le nom» aux dires du maire, est un lieu inachevé,désorganisé.dys fonctionnel, manquant de lisibilité. Sa recompositiona pour objectif de le rapprocher du centre, le muer en pôle attractif à l’identité affirmée, créer une dynamiqueet, bien sûr, organiserun noeudmultimodal.La multiplicitédes intervenantset des enjeux (y compris écologiquesen raison des risques d’inondation)expliquela complexitédes débats.Entre aussi en ligne de compte la symboliqued’un lieu où se cristallisel’ambivalencedes sentimentsqui animent les Amiénoisvis-à-vis de leur cité, de la guerre. de la Reconstniction. Depuis les appels d’idées lancés dès 1990,de nombreux concepteursont participéà la réflexion, en particulier Jean-Marie Duthilleul, François-XavierLegenne, Bruno Fortier... De consultationsen appels d’offres,les options se précisent.Paul Cliernetov,choisitpour écrire le projet urbain du quartier, conduit la ZAC gare —Lavallée. La place de la gare sera remode lée par Claude Vasconi.Monument emblématiques,la tour d’AugustePerret va être achevéepar Thierry Van de Wing haert. avec une horloge lumineuseen forme de sablier en verre qui traverse ses quatre derniers niveaux. Projet Claude Vasconi pour laplace de la gare dénommé Place Aiphonse Fiquet, rebap tisé « Espace Auguste Perret » t : , ‘r w I, I I Sources des illustra I tions ,, II • IlI I I I Ijairie d 4,niens • II II I, II I I II ;a ii 39 PARTIE Ii Q> Application de la grille comparative pour la détermination des sites d’études 2.3.3 Nature en vile Avec 1 election de Germain succedant a Royer, la ville de Tours se tourne de plus en plus sur le fieurissement de la ville. On peut même considérer que, via le plan d’embellissement qu’il a lancé, Jean Germain a particulièrement acti vé les représentations du « milieu naturel » pour justifier, notamment, la politique de fleurissement, de réhabilitation des espaces publics, de réaménagement ou/et de création de jardins et de parcs. Un constat initial fondait cette démar che « Tours est une belle ville, mais la qualité des espaces urbains s’est dégradée sous l’ère Royeriste car Jean Royer était plus sensible aux grands geste urbanistiques qu’au traitement fin des lieux publics et des jar dins (Germain)». Mais le fleurissement de la ville insérer dans le plan d’embellissement recoupe les opérations d’a ménagement menées sur la rue National (et le reste de l’axe Nord-Sud) et sur les places retenues pour ce mémoire. C’est pour cette raison que le fleurissement de la ville sera évoqué conjointement avec les opération faissant l’objet de ce mémoire. L’un des projets phare pour la ville d’Amiens est la réalisation du Parc Saint-Pierre, qui à pour but d’offrir un lieux de détente, de verdure et de tranquillité en plein coeur de ville, mais surtout de faire renaître une cohésion (pour effa cer les fracture laissé béante depuis la reconstruction d’après guerre) entre le centre ville et les quartiers situés au Nord. Désormais, à la suite du Parc Saint-Pierre, du square Saint-Denis et de la plantation des entrées de la ville (au total, ce sont 4006 arbres qui ont ainsi été plantés), le Plan d’Action Municipal prévoit le lancement d’un grand concours paysager, pour développer la place de l’arbre et du végétal dans la ville. La ville est loin d’offrir les condi tions idéales de développement et de survie des arbres. La fin des travaux de la rocade offre en outre une chance ines pérée de faire reculer la place autrefois consacrée à l’automobile au profit des arbres. Mise en scène végétale pour la place de la gare de Tours Fleurissement Maîtres d’ouvrage Ville de Tours La politique de fleurissements’appuie sur le plan d’embellissement,instrument de le «reconquête », qui donne au à la vé gétalisation une place cruciale. Tout d’abord, par le fleurissementla ville souhaite affirmer le caractère indispensablede la relation de l’individu aux éléments naturels, ce que les espacesverts sont censés permettre. Parallèlement,cela insiste sur la qualité esthétique et les capacitésde créer de nouveauxpaysages qu’apportentle fieurissement,le développementdes plan tations, les parcs etjardins. Les plans de plantation utilisés pour mettre en scène le végétal en ville, s’inspirentdes élémentsmis en avant lors des festi vals organisés à Chauinont. Le parc Saint-Pierre: mettre la ville d’Amiens en scène Parc saint-Pierre: Maîtres d’ouvrage Ville Paysagiste : Jacqueline Osty Livraison: 1994 Au coeurd’Amiens, la paysagiste Jacqueline Osly a conçu un parc « ancré dans le territoire poétique du fleuve et de son labyrinthe d’eau ». A l’intérieur du parc, elle crée une « chevelure d’eau» reliée aux hortillonnages,ce paysage où fusion nent le fleuve et les champs découpésen longues lanières.De grandes promenadesle traversent d’est en ouest et du nord au sud. Chaque lisière, chaque interface du parc avec la ville, reçoit un traitement différencié. Ainsi devient-il un élément de liaison urbaine, partie prenante du projet global. 40 3.3.1 .1.2 .1.1 urbain. tal Les ustiflé ARTIE chéma ‘image paysager 2. 1. sites Représentation Confirmer Deux • • • • • L’impact La si: La II représentant Application en paysagère Les façon Il Le Cette Existe retenus volonté schématisation y actions axes sentiment urbain a acteurs une volonté positive un pour des de ou politique volonté lien (A) vont d’Aménagement recherche infirmer ont l’imbrication est modifications schématique effectuer identitaire et de fort et dans évolue compléter ces avec va la de qui de actions grille donc un maîtriser l’hypothèse lonté paysage peu entrelacés a mener la fier premier été quand et Opération recherche des être l’argumentaire de l’appropriation tout comparative apporté politique créé/ou capital du ont Héritage diffraction éléments dont réduite des 3.1 Patrimoine la paysage ou Morphologie permis les temps relation plan partie opérations paysager daménagement la Une opérations de qui par réalisation architectural aux direct III urbain ce une soutenant d’influencer a des les méthode urbain entre été mémoire de éléments pour des Hypothèse. urbain. volonté éléments MÉTHODE du opérations ce amélioré d d’aménagement lieux l’image va ‘agir mémoire. d la l’hypothèse ‘aménagement modi du sont détermination d’agir en numéroté du et et/ou sur au de deux et des d’aménagement 1 sein la la de sur ‘image éléments ville qualité modifier temps émise ci-dessus, l’image de du l’image par de du paysage de des les paysage la comprit ïimage de la ville. habitants même ville la sites interne sur (B) ville, (A) dans l’image paysagère d’études si sont qui d’autres est la impulsées se plus morphologie paysagère traduit entre éléments forte PAYSAGÈRE MODIFICATION DE LA TO par par qu’en LIMAGE VILLE (B) et la du du une TI suite TO plan capi de DE vo 41 4 Efficience le èctuer 3.2.2 lée .es )ans ‘our Cette rois ARTIE une nstitutionnels 3.2.3 era .2.1 par ‘ette aysagers deux Cette faire L’analyse lonté la • • • • de un légitimités - en partie des déterminer les ville. Présentation un Comprendre compréhension - évoluer villes. Analyser térise Positionnement telle darités Le d’échanger. Le tutionnel La d’agir Forces tournées contraintes Les analyse Réalités la concernées Les s’agit un partie fondement II principaux second villes. Application ville positionnement contexte reconnu parallèle capacité Pour technique sera contraintes doit distorsions autoroute en ici sur abordée. à de autorise et vers va jouer, basé Ceci même en temps, mettre et le le permettre et de façon faiblesses, l’image principalement irréductibles positionnement en reconnu de opportunités... discours images entre géographique lesquels d’échange acteurs le en confronter dans ont manière importe passe dont et temps positionnement grande une en de positive nous et de cohérence les (habitants. paysagère le s’attache 3.2 évidence aptitudes la de la l’image relation et et : politiques par il but images politique nous Variables une la grille ville partie une voir moins la est Déterminer interne quatre ou distorsion, cette la de volonté identité également justification attarderons de s’effectuer doit des si réalité atténuables, voir active aux cela, par sur politique comparative paysagères chefs de que la image. la et Amiénois lié points acteurs prendre les des volonté d’environnement mouvements si la rapport externe ville cest l’histoire et aux de des les entre d’entreprises, ville. éléments en acteurs le le tournée. essentiels instigateurs mener par sur apporte opérations : optique, la contexte situations dans acceptée positionnement toute la contraintes le utilisés de à Elle légitimité et à les crédibilité la pouvoir la des mener mis la pour Tourangeaux l’image politiques ville lecture impacts la réels doit des symbolique des échanges en ce mesure. dans dans de opinions et valeur en la des des opérations sont aussi d’aménagement plus politique et contraintes l’action reconnue contoumables paysagère des des détermination terme tient la lequel variables des campagnes opérations les dans campagne qu’aux par permettre journaux pratiques auxquels opérations ; des à extérieures...). manques de que ainsi de ce Noisette on local l’image par capital la acteurs que promu, la et apparences d’aménagement l’on internes municipalité. que les d’aménagement définit. publicitaires et aptitude publicitaire la ou municipaux de avec ceux et citoyens les de daménagement ville veut sur paysagers. promue négociables, révéler des Vallérugo en politiques similitude citoyens, auxquels les les Il terme : a véhiculer. sites formelles qu’il l’environnement participé, y représentations recherches face a ou et en L’existence ont et là (1996) de d’études le faut non les 1990 elle des sur aux du entre utilisés capital capital contraintes acteurs : paysage sur Le et si concurrences reconnaître les s’adresse la volontés que ces déjà l’image positionnement présence Firnage discours identité, des paysager d’une volontés ses économique. que économiques effectuées est éléments pouvant politiques y motifs et les paysagère vision liée verront et de publics on la et de personnes apprécier, telle cherche a réalité. va des cha actuels une être parta sur carac ef à qui insti ou soli et tenu la vo ces re 42 Il à iernie9ermettront our \utres Ces .3.3 i .3.2 ndicateurs ARTIE .3.1 est • • Qz. • • • • • • • • indicateurs Les obtenir difficile Les Les Les Les Les L’inscription Les Les Repartions immobilières L’évolution L’évolution L’évolution indicateurs II Application indicateurs limites indicateurs noeuds limites voies ambiances symboliques mis plus pour en se de 3.3 d’objectivité évidences à référent du du des vérifier dans d utiliser et l’espace (effet Juger appuver qualitatifs prix nombre quantitatifs des types de ressortant le la offices de aux l’hypothèse quartier visuel) conjointement de par si suivant grille l’immobilier de le(,nnernent. dans sentiments ces commerces Kevm commerces de notarJ volontés a comparative l’aménagement les méthode Lynch: émise divers identitaires avec (principalement d’Amiens de ont fonctions d’étude ceux se permis pour fier mis des et uniquement utilisée, allouées de en la habitants de basé Tours) détermination évidence faire des sur et à des indicateur évoluer des par à entretiens leur indicateurs Kevin fréquentation des l’image quantitatifs Lynch: sites téléphoniques qualitatifs. paysagère d’études des vont lieux être avec nécessairej des agences (. Ces 43 PARTIE III L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménage ment du paysage sont impulsees par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? PARTIE 1.1.1 té La més: l’univers sée • • C’est • Amiens nous qualités Chacun porte lités sa Colombia Montpellier Amsterdam spectaculaire le amiénoise Amiens campagne une Comité pencher, sur iii de ? des de plus » cette Bas, AMSTERDAM Elle ces concentriquement 714 quais des que la Amsterdam deux paysage ou d’Expansion : communication grandes L’image ou ou XVIIe visuels le 000 dernière puisque est la Amiens? campagne qui située publicitaire bordés choix villes Amiens? Amiens? ville célèbre Amstellodamois I s’entant et VOLONTÉ sont est notoriété. à «vend XVffle comparées. de d’entrepôts c’est que paysagère 550 accompagnés pour Capitale de de la impulsées 1.1 au sur nous rivalisé publicité publicité la km publique siècles. » coeur par ses son Présentation Somme trois de du longs allons l’affiche dont et Bien de capital évolue Paris. avec royaume d’hôtels POLITIQUES la principaux comparative comparative par locale. d’un 5 canaux fut ville, sûr plus % des paysager. Population une une en t-elle d’étudiants. « texte et Amiens particulier des particulièrement ventant villes Amsterdam des déployés pour première volonté Amiens’? visuel Pays- exposant positivement campagnes qu’à ses qui à les orien réali nom dans politique AMIENS de com Dans et 20% belle la mondial ET qua les de ou Somme Paris. d’étudiants. canaux, Montpel1ieru cathédrale IMAGE le Colon’iF’ia de coeur de quand Source Population Capitale au.x communication directe l’UNESCO. des historique maisons des gothique, Elle les étangs PAYSAGÈRE de illusfrations d’agir actions offre la : 136 typiques Picardie, et ou de inscrite un 62 la 000 Arniens sur km grand ville, : d’aménagement Amiens’? Comité bordent Amiénois située l’image de au les parc cours patrimoine Expansion quais à urbain. la 1 d’eau ‘ h de dont plus de 15 la de ville? la du Somme 45 PARTIE La dont 1.1.2 (communication Il «TGV: d’une sée Cette mais de Ce desservie faires « Ecole de faire LES INSTITUT UNE à Source En Septembre l’Ouest ville Logistique visuel été à Jean Touraine, plusieurs, aussi Tours: publicité de partir d’Ingénieurs affiche TOURANGEAUX retenu DE III PLACE ET CANDIDATE de part Paris des DES de Royer Européen. était L’INSTiTUT TECHNIQUI:s insérer Tours TOURS France. de 3 SCIENCES et 90, paysage seront pour visuels (ayant une à c’est ça d’autre accompagnée L’image fut septembre 55 le interne) DANS est fait Tours: et - décida dans TGV communication A élaborée mn... ce VAL avancer Centre ses Notre de le L’IMPIÀmATION un de une ET DES de mémoire nouveaux sont maire Commerce, DE TECHNIQUES la moment communication Atlantique DU LEUR la qu’aux double Tours paysagère en ville International presse LOIRE SCIENCES gare 1990. vraiment» VOUS ViVANT par impulsées 1988 du s’offrait ne TGV, trois JARDIN vient qu’on texte l’agence atouts. non-Tourangeaux nationales destinée: se Cette DU renforce Téléport de FONT contente diverse VIVANT volet technopôle V de V évolue donne suivant: se de une de Pour publicité par faire Congrès doté Diamant la de l’im « communication presse Cette et externe diffusé, 55 campagne Tours architectes»: <(En de Cette breux français, suivant «Conçu minutes Tours, et pas Tours-Val position leur centre la une un mn... t-elle Tours municipale. d’une d’être communication autour lantation Touraine. publicité chance publicité grand exemples haut a à nationale. volonté faire la de Vert International à été la (communication de par la Tours de positivement tradition, stratégie : l’automne une localisation de la de Paris conception le de élaborer un Tours Léonard de pas aux à ville, gamme, Vinci. promotion l’Université des de à pas, l’été Loire de à ça vient externe par »: politique grands été Ce été ISVT villes comme la fait Tours fut c’est globale le de élaboré longue Le de visuel 1990, élaboré 1990, impulsé sous quartier Candidate de de TGV associé un de Transport Vinci, architectes. les texte » bien, et faire son a tout quand externe). et carrefour moment ISTV. confié la mieux interne), et lors était passion qui de directe des Centre sous lors d’af en suivant forme diffu- Chambord, un par autant dans rentrera communication. de exclusivement à. à et grand de les la la Jean la de qu’on cueillir International ville nationales nouveau Tours, pair. Ces cibles. la forme ville la d’agir campagne destinée accompagnait actions la presse pratiquement Nouvel, construction pas Touraine publicités dynamique » perle TGV donne de douceur des d’un 5 défi, ». Tours: sur dès à j de ;,,,, manifestations Le aux d’aménagement l’un la de destiné soutenant dépliant, leur C’est Tours nos pour la l’image dépliant publicité et Congrès furent Tourangeaux présente fm des dans ce ardeur du châteaux, chance « justifie de en plus visuel: le Palais à le l’année destinées la bel mais • 1989 fut la hall, et de de . «TGV: au brillants .Tm,: communication nationales aux d’Affaires. ouvrage candidature un vivre son est très plan la des aussi il grand que 1992. un grands ville? pourra eux-même ambition lient largement du Congrès mondiale. vont à architectes des Paris la dans divers ». pas. et Par de ville nom Pour A de ac inter Jaire 55 ce à de de la 46 A PARTIE chefs Cibles des 1.1.3 pagne Cette Amiens! La ques-uns nationale dature Cibles publique placardée « Elle La Cette Les Amiens tre plus 1.2.1 ner citement Environnement ment La Le d’aller rences « TGV: 1h15 cible communication habitants années chef communication de ces fut elle Les d’entreprise campagne campagne sur Lecture de se de de décline caricaturales à de visuels. reproduite iii d’entreprise veut visée, Paris du n’oubli de Paris positionner les la cibles et les la la sur Paris 1980. communication figura ville communication ses Centre chefs de murs paysage faire les à depuis les et les L’image 1.2 Tours. critères De 55 urbain de » n’affiche pas à panneaux début analyse à et dans du connaître au d’entreprise chefs l’accueil avantages mn... externe publicité plus Ouest, amiénoise « Positionnement de pressé cadres. de de métro dos Amsterdam 550 sont des et l’homme le mentionner de le la d’entreprise Tours qualité paysagère du supplément km» de pas destiné Comité même choix vise d’information armées (en Amiénoise de parisien. tourangelle ses impulsées Elle s’adresse bulletin l’image qu’il fait directement ISTV, et est-il par la vient atouts, de d’affaire (environnement à cadres. manière. donc à question : d’Expansion 1990. c’est fait ces n’est sa vanter la municipal de y de donc paysagère évolue spécial ville: donc principale des trois en apparaît honneur l’objet dolents faire par le Mais municipale. pas les en aux voir de choix fonctionna, acteurs n’est à visuels Amsterdam ce une un —co-édité un valorisant t-elle cible nécessaire prend d’une « N°33 mieux de pour qui segmentée aux grand vaste même décideurs qualité promu de urbain, volonté la concerne à particulière, l’unité politiques positivement règles aussi les Somme vaste de attirer Ces public que pas là, pas par et qu’est décembre publicitaires dans ou environnement de en panneaux en le d’autres » » d’or politique campagne de la de en Amiens? des parisiens, illustre tant risque rechercher prend extérieur Arniens, mentionnant mairie mesure savoir les fonction sa de face même investisseurs, que proximité campagnes la 1990 villes un quand de la sont de s’il communication ?) à support directe d’affichage qui volontairement ne campagne autre à à l’image si Tours— de devrait et la qui ailleurs est industriel destinés pas joue mondiale elle implicitement connut ses Touraine. les de effectivement on risque mentionner de de est parisien diverses d’agir seul la du préférer le actions communication paysagère un communication de capitale avant distribua plutôt une sur quotidien et en ici, sur publicité par Mais urbaine formation s’affichant décalé les forme sur un ou le lecture tout quasi d’aménagement prédestiné qu’elle un. directement murs française. vaste non, choix plus cette l’image gracieusement, aux régional intra-urbaine, pour dc puisqu’il externe menée inconsciemment facile des du du marché campagne supérieure). conforme aussi piétons 1990 externe. quasi Amsterdam. territoire, métro touristes, implicitement Paris. de dans la ou en à peut exclusive sont la qui Nouvelle des visant plus parisien la ville? aux vise la se en est du villes. presse La de réunis rapide candi permet étant desti réfé impli Un aussi quel cam Ré fin au De tel 47 à PARTIE coeur une artifice La « • Les • • Une La • • tion • tes Le • quille Le données matique Rois En 1993) Ces rée tour nimale « lage C’est moderne Les Le Le capital Château capital. Place Les La A publicité palais dépliant belle irremplaçables d’octobre espaces du du communication trois de patrimoine patrimoine crénelée, qui Tours ou canaux Tours assurance toujours jardins se blason, château III la : de même, Plumereau, du endormie évoquerait, un retrouve de visuels Amiénoise ville » « de la vert soutenant milieux. Tourangelle arc et congrès, Eiffel, paysage Loire fluviaux 1988. matière Tourangeaux, Chambord, reprise dynamique s’imposera L’image la » de en qui architecturale architecturale et de et que ville également d’une Chambord. naturel contrairement ciel, valley emblème l’innovation « lui un emblème Il lui, a nous les qui utilisant du grise la qui qui sont est choisit nouveau vaut qui candidature entrepôts l’harmonie tradition, utilise blason inscrit paysagère » emblème de parcours aussi colore, de et venons rappelle prend » une impulsées se rappelant Parisien la dans la (Touraine d’utiliser des typique «Il emblématique les généralisera principalement villes mémoire écrit cet traditionnel renommée à logo aux donc des la emblèmes vieux d’abordé ne la et comme le édifice architecturale et le fois hôtels description que de s’agit évolue « et et a couleurs centre de slogan l’équilibre l’idée valorise, 62 été comme par national, ses Economie. Tours quartier annonciatrice Tours urbaine. l’amiénois l’avait kms dans créé particuliers mondiale pas, alentours sont sur et ancien une «Touraine, de patrimoniaux t-elle « créant à ». les de l’on offre tous pour affirme-t-on, une la la les du la « historique qui fait urbains. volonté et cours emblèmes signé matière ville localisation novembre patrimoine choses de positivement peut continuité historique les les «qualité associé sous en un : la des étangs. de : médias d’eau jeu » son besoins jardin la ville le par XVII les grise cadres politique - de cathédrale, voir d’association temps de à patrimoniaux de qualificatifs le 1990). Tours de parc et la de historique d’ampleur : la de officiels. et prend ci-dessous « nouveau de l’audace de place vie futurs qualité ISTV, les XVIIIème la l’Humanisme urbain quand la canaux France» sur longs directe campagne des et Plumereau, et le montre Le de sa gratuite logo d’innovation national avec de couleurs plan comme réaffirmant d’orienter les » canaux reconnaissant vie logo « d’Amiens, siècles d’agir que jardin actions le culturci, - la publicitaire, de est toponyme, . et Le la place base pour déployés », la provocatrice, » associé ville de ce logo le sur devraient Renaissance architecturale. son de d’aménagement vendre nom vision la visuel importante patrimonial, de mondiale: l’image France communication: vise ancrage au concentriquement inscrite Tours et de chiffrée sur: à slogan la à faire la l’emblématique la mais proximité », ville, dans » vient forme de accordée de dans (Lussault. d’Amsterdam UNESCO paysager, Avec suivant de la donc vallée ainsi les de ville? un la très du l’utilisa précep se de tran quadril aux qu’une des inspi créer. la au cli M mi 48 PARTIE rapport Positionnement CONTRAINTES CAPACITE III Tableau à veut CONTEXTE: la DISTORSIONS paysage symbolique L’image véhiculer comparatifs D’ECHANGE de ET l’image sont APTITUDES paysagère que impulsées par sur l’on le • positionnement • • . évolue Aucune par changes • • Contrainte: • Aptitude: • • Très tres l’inconscient Leu alors pourtant retenu tres que Volonté té patrimoniaux Utiliser la Jouer mettre parc de qualité par nois Montrer internationalement l’inscription l’humanité comme thédrale, Etc, ment Réseau La de en Modifier Jouer donc offrant exemple: capital de personnes n’est la importantes concurrente grandes peut-elle la atout proximité une est et pour nature t-elle vie sur référence capitale tounstique qui plus espaces en c’est sur de pas de d’échange les une de traditionnelle patrimoine que volonté l’eau la « avant AMIENS vie pourtant grand (UNESCO) le collectif positivement villes se en celle proche cette meilleur référents la campagne vraiment externes des pour le côté l’étouffe de grâce ville positionner verts proximité de car (éléments par aux patrimoine le qui acteurs intérêt dernière autours la politique suscité et l’image ville par rapport bien la de (image existe, ville fédère capacités à toujours qualité de mondiale à toucher historiques- à la la la le cathédrale et développe- provinciale de être politiques de ville d’Amiens présence la de naturel). qui biais nature reconnu quand de en à interne) le pas comme quali- de Paris amié- d’au- directe la et pour plus Saint a d’au- tant d’é- vie été de ca- de de la et » les • • • dans • cite: change, Une • présence Pourtant mis Aptitude: • • • tion car Une très même mage d’agir actions national, La mereau. plicitement la Paris jours patrimoniaux « de Utiliser capital Jouer être présence grande La « quartiers, son des laisser Rapprochement aux la provinciale Jouer bien prégnante Une le en Tourame les seule Tours l’image utilisé de vie proximité distorsion ville petit Congrès) capital, histoire et châteaux avant paysagère jardins si on que pour sur mais limage sur réputation la traditionnelle du place la d’aménagemeiat pour cette référence Paris sur renommés). qui l’a Eiffel, se les capacité la de proximité les l’image qualité fleuve promue : mettre que celle-ci place TOURS capital mais Jardin aussi mais sont associé et de vendre pour référents à de parcs la le ». réputation apparaît « ses emblème de la Paris ce Tours, de la peu nature de n’est aussi d’échange pouvant de comme côté à aux modernité en de suscité vallée de en la I traditions q&on reste et ‘image Tours la à de à ville-jardin présent vie la mais avant 1990 la ville la jardins proximité de avec en capacité montrer ville-jardin historiques- châteaux France» ville Parisien ville? en place de est grâce très respectant pas la du faire aucun trouve qui de en la liée le sachant l’utilisa- dans qualité ville toujours (Palais (vieux impli Loire de Tours est Plu- bien tou à aussi non- 1990, im d’é à de très cas et de la la l’i à la », 49 Vision PARTIE 1.2.2 De tuelles par de «-aucune deux nue. Des René sévères persés moignages construction notre teur arguments berté. Plusieurs pal nale Amiens. Points La Attractivité • • • • • • Points • • • • • travail, Robien qui loux, saleté propreté: Une Des L’absence : Palais façades tion surtout Des L’absence nopole fique image La d’emplois. stupéfiant. [... Le bâtiments La semble heures L’important La en Analyse (éléments Lamps. ville. de intéressantes, 1988. et aboutit III faibles: place (comme IQuand courant évolution. présence qualité lieux espaces piétonisation de forts: ne la Palais 1988 idée de points avoir ? dénonce de qu’avant symbole de Inconscience de peu St qualité Vocation remplissent de noircies des où paysage etesffiétisme: effectuée nombreuses justice) Malgré de publics cette des Leu directrice. selon l’OPAC de L’image d’un liberté, Second ressortant esthétique il » au des attractifs de de Breitman. opérations si la faibles verts d’un (Interview rôle expose places discours justice, le gare n’est cadre 1998) sympathie de la «inconsciences points projet négative les lui mais par pouvoir les universitaire séparés technique que la nombreux minimum je sont patrimoine à Empire à ? élections avec et pas pas la cris le ville de coupable, vais paysagère et son Aucune Projet (square une façades des rien peuvent des points d’approche architectural M, hâte temps. ...) de de vie, tenus impulsées leur précisée de d’alarme la projet qui préférait par forme flâner bulletins de que boulevards jardins Krier. comme réhabilitation (Cirque, Tour Gille ne architectural il du encore rôle. la a mais forts de de idée les ou historique est vers rencontre justifient des jouer complète déjà tout vie patchwork pour esthétique au de la 1989 volets acteurs R Perret, de : évolue sans [...JNi où places apparaissent attractifs vue lancés d’ensemble souvent lieu place vivre et municipaux défiguration: .Le centre 1990 trop effort au homogène par Musée, Robien l’eau la les de dans circulaires. aucun d’avenir. où stade nouvel notamment ville à la soit duré. la et isolé) René ou Amiénois politiciues de une global tristes sur les par t-elle eux esthétique ville l’on et utilisée » rénovation d’embellissement. ville invisibles son partielle? premier pour par ...). un arguments abondent. du s’il les la Gilles doute volonté Faire seuls Goblet Amiens. et fait . dans ». ouvrage dans et ensemble qualité Du «concours et ou par Jean-Louis positivement espaces est -il des les Mais des peu par ses puissent missions d’Amiens: dans l’échec coup cet élu). de faut de les la ordre loisirs, le étant jardins (jardins ou ouvrages du courses conviviales, l’ancienne quartier Robien la discours Les politique grilles, aspect aujourd’hui financiers, de 1989 : pouvoir verts les de par quartier Atout Tour qui avec récompensé la principal symboles d’idées Crinon. vraiment la la zones ponctuelles publics coup, ville de ; est dans peu promenade. ou Place APHGR (St les Perret St notamment coeur, quand suivants tenu l’ESCAE vivre un équipe lieu St Leu directe murs Leu d’attractivité séduisant ni des du », la le 1990, véritable superbes Leu en des par les se de l’image ville. et centre où saupoudrage, et dans projet projet par bâtiments bas de ou les réunir. incomplète l’identité 7 contraintes municipale même équipes et Gifle se de où Vocation ou Il Picardie. un d’agir les la plus de actions sa distrait que ville, faut Robien. pour Krier) Gille repoussoir de cathédrale symbole cachés intérêt parkings ville, de la sur (place largement bien la Rue municipales que publics Robien d’une Amiens. c’est sur de préfecture) l’ensemble ? quand culturelle quelques Amiens rejoindre d’urbanisme d’aménagement (18 économique par Mélange Atout l’on des St Robien de d’une l’image (ex encore Fuscien). ville ans pour mais de et isolés la visiteurs puisse elle l’effet Edition : coeur, son hauts gare, de : l’Hôtel ville sont opérations soutien réunies facilement une les aussi ou immobilier inaccessibles, de existe une communisme) par conseil de dire touristes vocation nées rue positif marqué la murs capitale qui à projet reprochent grande Rue des l’ensemble la Amiens ville, de des les autour bouge d’une ville? «j’ai ville grilles munici : du de ponc de les mêmes son pour 3 généra la ou régio scienti incon la et Cail l’en té voca dis ou de est re ou lieu Li une mo à des le 50 PARTIE Vision positif urbaine. Les nault-Deruelle. tion, L’image tion sources substance • • • naturelles L’histoire matiques, 11 véritable des Autre territorial. oulet nombreux. tre la croissance sport, Une pour II tant. bénéficie Le Royer relle urbaine la territoire structure; Champ donnance Les Quatre y • • • Q> • « « « est lettre discours comme cité, a phases dans climat Tours le Tours Poursuivant L’histoire Le La Le autre bien termes spirituelle, caractériser Tous (éléments de de flagrant registre, de logo, in , associe Lussault. site juste milieu de ville municipale où la la important la écriture de points culture fondamentales les que à là ici de garde Les cité phrase la entières» Tours Tours ville économique, qualité «personnalité durée, cartésienne, ces La l’on un politique originel Tours paysage les spécification : bien millénaire» éléments avant Tours de harmonie, l’expression que L’image P. plaquette emplois d’histoire les rôle et et éléments souvent slogans ressortant peut forts ». ce le la une et des M. ses 1993). les est la la clef bâtie dans références » la de Ces tout de tradition éminent qui de la qu’il d’information ville vile (capital par traditions historicisée. relation 1993 caractères place analyser civilisations tenus Sylvain apparaissent: la richesse sont l’image reprise patrimoine naturels fait données grâce du l’épaisseur dans en publicitaires, la ville le Patrimoine: et des paysagère en clarté, il » bien sagisse brève », des traduction mot biais général est de presque son ; la par impulsées interrelation dans Tours, géographique) «identité discours, ... son par ville/fleuve au Livernet. à réputation plus l’histoire. bâti: le le bulletins de de préservés Jean sont environnement, façonnent la ordre, » avec de géographiques mais patrimoine résultat capital les discourt la Dans des Tours: l’histoire. rigueur avec ». d’une du associé. du sa cette des intacte, définition encore Royer acteurs ((Tours la évolue physique paysages nette à 23 «beauté temps participent des », travers ses pratiquement légendes douceur par municipaux image, Par de phrase créent de la fois avril «caractère est induite sur ces icônes, constnictions d’un et notables, qualité La la au politiques mettant ou/et Le politiques les une historique. très t-elle est : son Tours paysages. Touraine, 1990 sein territoriale: Tours ville les naturelle de patrimoine ou patrimoniales l’élément la ainsi matériaux synthétise du ancrage inscrite et prégnante, par volonté à conseil à grâce des publications principes des de de l’âme, des climat, ce est positivement en : et toutes », ils que tous est « l’axe l’espace textes. harmonieuses l’image champ terme des Tourangeaux: avant dotée hommes. « le tourangelle, le Ainsi Quand ». «jardin «une dans de au mentalité municipal la historique développement les à sont utilisés, ouvrages l’essentiel politique « géographique centrale donnant les phrase la spirituels. rythme l’identité Jean évoquant La l’emprise d’un les bulletins lexical sont le on ville véhiculer urbain. données ville municipales notamment à notification paysage paysages de Lussault. retrouve Royer l’histoire, patrimoine livrées par «entre », dans quand Tranché-Nationale-Grandmont. naissance la de inspirée sur est suivants ce en de des tous de directe France La la la l’architecture municipaux, symbolique que présent. la «naturelles» matière l’équilibre.« utilise l’histoire. dans la que croissance vie qualité forme pèse en de qualité urbains connotés Loire M. ville, chez l’urbanisme les le spécifiques, par de première ou Tours forme : » les —un à député-maire 2001 d’agir souvent dans Tours: actions dont l’ancienneté la d’environnement, ses L’histoire au le Jean et c’est-à-dire de discours de présences héritage— sont génie Cher sens de n’est destructions l’espace ce par de ; géographique l’édification la la qu’imposent La Dans Royer, : justification sur Images la patrimoine nombreuses ville eaux, ville autant le un d’aménagement large dans ville donc ». de Loire pas terme politiques est l’image sens la la nomme: serait est d’un de des urbain. à ceux climats, le bien son ville, de au une le de Loire une dans la sous-produit dans moral, de jardins. reflet «gommant la sein de la véritable ensemble ville, les la d’économie, stnicture bâtie de ». évoquent richesse de ville «Mésopotamie» l’affiche. lettres ville la de la ». Les capitale. royeristes. l’ensemble Le termes conditions de «la paysage l’attachement des «personnalité ville. demeure la de » numéro : nombreuses références et suggère paysage beauté d’informa données ville? l’inscrip «corps» politique du matérielle est et l’équilibre. plus » de Fres Jean une résul parfois une de Tours la fort très cli 27 natu neti l’or plus au de à 51 PARTIE forme politique Autant habitants sent portent qu’ils quand moins qualité comme r Ils 1.2.3 en équipe politique car de port cours et dominée entre une le vaste nois principalement motifs porte place Autre Royer. la développement ce soulignent 1959). • • l’équipe période à est population (discours début sur et 1962 parmi de Des servent. la La transformé la de point Pause-renouveau-renaissance siste nisation une l’offre grands quête tion saire des Milletière devient ordonnancés prenant que attirer technique même financiers les municipale de sur toutes totalement de III beauté ville laquelle par Tourangeaux, conquête: quatre municipale qu’ils des connaissances la tradition discours de réalités Même la d’abord grande et leur pour publique de à de les de les ville. d’emploi travaux la ville la sur paysage éléments une outil mettre 1970. aussi modèle et villes Les très mandat, naturelle pause, Gille friche création hommes L’image vivent sur grandes ville. de à le a points le la prendre Tours-Nord. le (...). si image encore possèdent redémarrage. de Ils de développement la de ampleur, tantôt sur acteurs reste différentes précis ville. 195 différent des politiques le député-maire la a des d’équipement en Renaissance. en de (18 « sur la la portent Ils Schmidt, (...) constitué le Les fait 9-1975/77: où concurrence dans forts. renaissance d’ensemble Enfin, décembre sont éléments Touraine dans et de au ville avant, Robien et de « assez métropoles sauvages, points très se les ans soutenu quelques les indiquant pouvant Tours fléau que paysagère deux les la politiques début grands servent cités une cela pour ville positive, investissements le des de impulsées Ces de peut-être entreprises, On la sur le présent les dans Le du noirs. Bulletin arands l’un Tours. succède s’engage communisme) ville période et TGV de il éléments pouvait est des 1989 et de ». quatre On contribuant points Tours belle sa boulevard atteindre la a chômage 1977-1991: » équipements voulait du bonnes de la pour avec sur Aménagement les rappelé pour Tours-Nord, la des européennes qualité aussi vision en aimées d’Amiens, de renaissance Les atlantique, : dans autant Val ces différence évolue tournant un arclutecture, places, C’est «tradition l’image retrouve Municipal plus points grande car lire urbanisme Jean noirs la depuis dans la 1990 par régénérer discours regard de points lié forts le initiative ville » ville. et les périphérique, les de Jean dans puis 1990, domaine Loire. à importants période entre les au ont la la Germain une à mis mettre t-elle les la discours. prédominent trois sur situés ». ici lutte peu qualité, et la le structurants. prégance type 1995 quand discours dans qui On le négatifs plus affirme Royer et ville de été ». de fi reconquête quartiers,...). centre de bien en d’agglomération: utilisent volonté Amiénois la ouverture la 1960 N°18 Cette rapport modernité: justifie (les grandes discours savaient la (réhabilitation contre peut de en tempérés. ville positivement de rappeler de qualité avant devrait l’histoire dans objectifs (et vallée au à des communication place y mais l’art». politique tradition « dernière et chantiers le international Cette eux, : amiénois pour particulièrement aussi a en de élection de lors futur il le aspects aussi 1975 le de installé sont politique d’esprit dans ailier faut respectant du périodes de du sa chômage la présentation en voir ne aussi entre centre sont le que nombreux BM «fausse de mettre tant « que noter royeriste Cher, politique parc centre la particulier le parc sont Les en que remplacer de nouvelle élection leurs à l’étude « se : d’Europe. projet ville. l’équipe beaucoup N°34 de l’image Amiens pour soulignent relation de la modernité son parti les pour de tournée technologique ville, de discours renouveler Tours technologique quand peut-être le pas perfection, ». ville en qui 1989 dela Saint-Leu). « grand acteurs directe discours, développement congrès. mise fief Mais la de Cette Janvier leurs à dû du avant des pour que infrastructure du éléments ont de Tours en tradition l’assistance et et la intime la ville. l’aménagement municipale a vers a et projet depuis aux budget, en du plus raisons Puis, l’avenir travaux les connu 1989) revanche Gloriette: été qualité s’appuie l’on lutte Tourangeaux caractérisé montrer les Tours, de autant un Tourangeaux leurs la 1991: concurrence l’application fonctionnalité d’agir patriiuoine l’expansion manques BM actions dure. et acteurs avec nombreux de certain zone négatif de (Lussault. nome se de Le de française de qu’ils ils à sa parc décembre volonté la de fonde paysagère) économiques une la les fatalistes, «urbanisme » 18 qui rapport 1975 sur de la longue économique les leurs Royer «recréer vallée d’emplois «grande les à mené Tours vallée sur rivière, ans discours «roveriste l’habitai technologique, laquelle Amiénois discussion dégrade l’humanisme et pointillisme dans mettent utilisent d’aménagement d’attention discours sur urbain à de vont sont si 1991) scientifique, attachements points l’image de locale, qui de » du 1988. et a sont depuis du date présente ancienne/nouvelle le 1986: la est leurs su un communisme. parcs harmonie sur faire Cher, percée développement Cher de quand et en continuer vallée collectif, et attractif, ils Amiénois en enjeu. maintenir concept de sûrement ( pour (...) d’habitations faibles. 20 appauvrit le Tours la n’en Tourangeaux oublis jean première Tours ». s’est discours ces succèdent avant et la évoluer s’inscrit la de et regard ville de à ans du D’ailleur jardins ville soumis à », du Tours que restructura rappeler le l’innovation Royer L’urbanisme l’ancienne début oublient ». eux côté la propre instaurée la qui une de à reconnais- progrès que prenant Cher, a sous de Les la pour », moder portent présente ville? par sa ville enregistré qu’ils ont plus la dans du sur élection (...) Amié marquer tantôt ville néces époque à Le in par Tours de place, a de acteurs ville. en- à la lors qui, aux des la en se pas rap et Jean au a 52 ‘II PARTIE journaliste Volontés ville Lors 1.3.1 Les • • • tants • Pour cacement gare) Il aux qui Les drale. sur cailloux souligne bole voir Faire peut king Un ches-rue miens Réussir enfants, Une recommandations celle contribuerait d’Amiens de interventions sollicitations Les de que gare, Rollin. «Lorsque La dire zone villes celle dez-vous, hôtel Cette ». toute la III du politique se souterrain Robien, d’une Amiénoises vont Place de (bacs les Places campagne à la Jean-Louis reproduire réveil rapidement piétonne que Place aussi éclairages ont l’embellissement Emest de son opération paysage vastes place la souhaitent se des de L’image ville Gambetta conception. à l’on au 1.3 où centre. les concrétiser «le et que de moderne fleurs, René à se d’urbanisme engagées se places moins de Cauvin. l’embellissement axes l’on programmes habitants la ouvert peut créer De ? électoral traitement de situe «Ceci avec publics, la Crimon, de (...) ville. s’insère sont la Gobelet, Les mener colonnes descendre quels aime maison piétonniers de piétonisation paysagère aménager une centrales pourrait un à de le cette sur par aménagements Robien La impulsées implique une dans Palais réel place de mobilier pour du bien panneaux Amiens il dans les des volontés place la des Place place quartiers dizaine de d’urbanisme. souligne Pigeonnier coeur une Morris jouer municipalité plus les opérations d’Amiens au flâner. ou de la le détails sont un des Gambetta majeurs: évolue une opération pins culture centre élections Ga.mbetta, là, un Justïce urbain avec de minimes. et Projet ce par de d’information. grandes annonçant sont donc serait endroit injustement le écoute ville, ou rôle, est facilement mètres). de dans problème ou une ville, une t-elle dans l’on d’aménagement Urbain (façade tout la Un nés débarrassé de il semble la d’Etouvie, reconnu municipales englobant parce construire Place L’imagination places permanente l’immédiat de Place nous volonté véritable place coin Robien aime aussi le en les les positivement référence. cadre sur noirâtres. que délaissés fait lié . de opérations faut toute de évènements de Pourquoi d’Amiens où ...) bien important en lequel à l’Hôtel marque rue, de le ils l’Hôtel c’est ou politique «place l’image tant l’on de des à dc secteur l’aménagement désignée son ne de converser. Amiens d’Elbeuf. la du une » ». 1989, hauts nous probablement que doit grilles se la piétonisation savent parking de paysage: ne de une (Hôtel placette, populaire pour rencontre population du quand sportifs d’aménagement tel revenir cathédrale Ville, pas reviendrons ville. de directe une lieux pour réelle centre délabrées, par pas l’esthétique ou Robien, (...) imaginer de intérieur grande de ou les tenir de les une public et très au Ville, volonté de facilement, », ville Une la à et mais culturels, la habitants. la d’agir pouvoir dont actions point l’axe la arrière Place bien une ce plus ZUP met par parking place Place d’Amiens place une voire Gambetta, rôle aussi de elle d’agir volonté fort piétonnier la s’ils l’accent grande. Gambetta sur Sud-Est, partie cour du la pour suite. à centrale bancs, d’aménagement de Léon prendra Lors commune. où dans N°1 ville condition intérieur vont l’image paysage ces sur l’on peuvent envisager affirmée de et et d’un de sur Gonthier tous et l’image grilles. bacs descendre quartier rue c’est surtout cette et et se le convivialité, le le alors de interview les nom conviviale. donne confort bien Robert Toutes de à besoin contribuer peut place sable de la quartiers Cette toute de la place c’est Pierre qu’un rue : sûr répondre ZAC ville? la ren à être pour de des du pour les en des d’en la solution formule ville avec à de sym Luzar par Cathé habi effi d’A Trois la la les re et le 53 PARTIE Volontés mémoire Jean C’est maire l’on rissernent, litique cité, dée Un tégie lieux vise du Ce exemplaires, du d’un ment Cette locale. les nouveaux injecte Ce Dans prend (ainsi ses pour Dans Son sacrifier de sement. Jean vie» aimait vivre renouveau chantier N°2 souci constat son espaces titre sous analyse espaces à d’aménager Germain plan bimestriel via de publics Germain et le sortant politique le requalifier et ce la avait que que Tout tant dans choix de 111 fleurissement à médiatisation. doit cours à l’ère et Tourangelles ville. Ainsi le dc contexte. notre tecture loppant puis « d’embellissement la de redonner paysages ce dans « initial plan sur Nous majeur depuis verts promouvoir évoquer. - les verts végétalisation le d’abord, de être paysage et qui réhabilitation lors et magazine, a « royeriste faire A du la la n’est art discours L’image des s’appuiera particulièrement argumentaires spécifique, dc nouveaux continue d’autre d’embellissement la a lire l’ensemble défendu créative. municipalité sont rue fondait voulons magazine, dc de ». de qualité porté il de 1995) jardins. ville la aux qu’apportent pas la la n’est le Nanional Tout vivre on ville censés réaménagement de de sont Cette campagne convivialité car récit, supports), des Tourangeaux pour fort la sur sans affirme d’avoir, cette la qui paysagère mener », aménagements et pas une donc cela Pour une création Jean de des » Tours » France, références répond la impulsées écrit d’originalité on lu, des stratégie (cet c’est permettre. se réactiver embellir notre étonnant déployés put, démarche ville scène (ainsi place espaces étant lit le révèlent sur Royer cela, des activé espaces le art Jean puisqu’elle le d’horizon 2001, maire on que particulièrement que du caractère qui aux puis entre le époque, humaine, fleurissement. opérations qui mis locale cruciale. que trouve évolue il est le même plan la Germain de le Jean était nombreuses le les se publics. que au attentes d’améliorer faut Parallèlement, par désir en s’appuie résume les vie publics en fleurissement : passée les sur stéréotype des la fleurissent» retrouve «Tours représentations sein d’embellissement, les 2001, plus Tours Germain relation rue leviers (aménager de mélangeant ». Tourangeaux, coup, indispensable s’imprégner le une se réalisations t-elle une de Et principes nombreux d’aménagement reste du Nationale poursuit de dans des ainsi par sensible jouir (rues. ce sur le volonté ville se est bimestriel réaménagement le dans lier de le à pour jury Tourangeaux; du avec positivement la la de voit son développement la l’image ce a plan une des cette et publication qualité son places, exprime on lien lancé, à qualité cet la le les et qu’il du reconnu que des aux éditorial un attribuer vivre ». de belle et énoncés du insiste espaces plan ville, d’embellissement, les action de politique avec axe) ambition milieulcaractère genres, fait dc milieu raisons notre Tours «Tours milieu patrimoniale. grands cherche instrument que urbaine la objectifs ...). du avec ville, la d’embellissement de du la embellir ont des relation sur la au place au les milieu). «personnalité publics, une Là à du la paysage: oulet cité, «le propice les d’horizon quand qualité vues partir pour quartiers geste fonds multiples, une la des N°5 mais réélection (Lussault. interventions est encore, même directe à et quatrième populations qualité développement de Jean atteindre de de de de plantations, renommée la identité, le de justifier, de de urbanistiques ce la de et de jours. « son redonner vie), à création l’individu les la (de ordre. Tours Jaurès, qualité janvier Tours, qui la la Faction qui l’image vivants ainsi la « esthétique d’agir qui actions joie de politique 2001). histoire, la reconquête diffusé création » était fleur vise, lancé offrant notamment, Jean ville de vont Ainsi, sur d’Horizon et que pour de capitale des c’est-à-dire de 1999, aux les les et s’est la locale entrepris. aux sur en rappelons-le, les jardins vivre, économique, le par Germain et de en divers, ville. espaces qu’au d’aménagement parcs de usages.» culturelle sa Tourangeaux et et des au 1999 programme de places éléments l’image la accompagnée à la moyenne de les douceur, », ses et du printemps l’occasion ses plus ici sensations, municipalité Dans (Juin-Juillet et qui traitement justifier l’inventivité et la par capacités jardin avec contradictions, Dans de urbains jardins. transmuée habitants) - retenues de politique générale donne pour le et l’hpercentre, d’autres naturels, parcs. de à une oui, jury son à festive son électoral « dc le le 100 1999, la du embellir objectif, s’est Enfin. de au archi la dune cadre mais déve fin goût bien-fondé pour national ville? éditorial 2000). démarrage Cette de en que à en du France. 000 du créer fleurisse- numéros des (en ce la on dégra ficu 1996 sans de fleuris joie du fleuri. ce Royer stra plus on que Po total ap la si la de de et 54 PARTIE Amiens tre, 1.3.2 Gilles d’importants Et voir gnes lent. pulaire Le • • • • • des Les Tours Urbain. cipale aux Depuis 1 • • • • • la Dès royerisme tre sent la et label la Les en ‘image entreprendre La L’opération La projet La Le transformer richesse La La l’hôtel création Le dans mes La des tier collectivité La faire le quette, la Trois volontés avant un du formes Le directrices jouir volontés Le 1995, de règlement parvis création valorisation fin prise et célébration nouveau promotion : en volonté reprise dans projet patrimoine boulevards mixte une III maire une la urbaines l’ensemble un Robien, lien en institutionnelle, urbain de Cailloux) 1995, dans mise de des à aurait Jean en patrimoniale, a volonté urbaines. d’un vingtaine «laboratoire un l’année locaux de paysage la politiques avec ville, fait d’agglomération. (habitat, armonce du politiques compte du berges, d’étendre ZAC L’image très citadine. premier les de les en plan claires la la amiénois du Germain du festival, définit projet un de au Parc gare ascendante période retrouver avant de les documents mondial «trous» Béranger la riche nouveaux s’insère d’ensemble universitaires dc X[Xc. 2000. cette d’occupation des Cathédrale bout l’identité nouvelle Avec: dannécs autres des de sont entreprises, et Saint dès la ( de temps de un du début signes de le tend jconographie, d’architecture consensuelles. paysagère Au l’échelle ville identitaire, du a période s’organise plaisirs des mener Royer le secteur premier patrimoine de manifesté mener dans une impulsées Pierre et en compte nom opérations début de POS à d’urbanisme. années », 1’UESCO. ou des basilique des Heurteloup et Recoudre flagrants espaces être (réalisée) : cohérence l’oeuvre recherchant une un des par les plus au pour de des dc travaux métropolitaine des services, sauvegardé quartiers (réalisée) proscrit du projet, Pro mieux autours mis interventions sein la ludique l’eau, Jean opérations volonté évolue une 1850-1930 sols encore processus, opérations intitulée restructurer Loire. contemporaine publics, par Pourtant, Saint-Martin et d’un à de cette de relation Germain prévu [‘écart après et urbaine. Urbain promulgué La même se mise grands Victor Nord l’image de une les que du globale t-elle depuis premier réapproprient Mais municipalité (qui ville 5 Panorama d’aménagement conseils quartier relier une vers en ainsi constituent points une d’aménagement volonté (par en il (en le plus sur Laloux, équipements), fut le sur traumatisée Le aussi décide valeur, positivement pastiche souhaitant grâce l’arrivé consultation d’agir perspective centre, 2005) cours aboutissement entre la que le en un projet pacifiée » le gloriette biais des et de la Sud-Ouest des 1997 la aux politique d’oser d’ambiances un qui notamment de de mise eux concepteurs un sur Prébendes, la aux période autour urbain tout dc Tours périmètre réalisation) a visite qui fleuve Loire le à la demande les sur donné commandes l’intercornmunalité) en l’eau à publique (mais l’architecture rebaptisé soumettre. s’organisent premiers ville a long quand différents de place se les repris, de guidé ajoué plus du et directe qui la fluviale. définit via et à le la qui sites processus terme urbanisés nombreux urbaines d’expérimentation Tours cathédrale de sont fonde moderne, d’un Cher. ville, une orienté : quartier un à les ne accentué la saisir retenu D’ou être de quartiers. progressivement image, d’agir —20 rôle . délicatesse, principalement attention maillage actions trois contemporaine, Dans du la Il Le la constitués fit pour l’occasion souhaite de spécificité sur de technopôle, ville ou de et classement pour des longtemps dont la bâtiments et réappropriation son reconnus. nombreuses le premier 30 sur cet synthèse l’essentiel entendu Puis, Deux-Lions d’une tout d’aménagement piétonnier soutenue ce ans les action, axe l’image donc que urbanistique. mémoire en traduit abords de nouvelle - tourangelle nouvelle dans plan donc sous-estimée essentiels on France)aux du les «quitte la (Masboungi. la de du recomposer il à de est initiatives protection Val construction tourangeaux insiste le cette temps pour l’architecture les dans de étaient le édiles (Places 1850 de long passé étape, choix de objectifs la équipe à la démarche obtenir le Une (la et Loire être surtout ville? et de pour et Loire périmètre détruits. du Projet que au dans gare. du de comme conce le et des 2002). 1920. la pla impo quar muni cen rue ta au li puis en le Loire mis ce par for sur et ti à et PARTIE 1.3.3 Ce Nous mettre la Urbain Comme tion ceptée jours habitants est rence tenues On puis (même tableau ville. Volonté ville? Comme volonté Termes But Se également peut active Comparaison 1995 pouvons politique. à traduit III en par et se des la si Ce nous remarquer résume légitimisées valeur choisissent forger tête celui-ci les (qui employés entre d’action qui opérations cela d’agir . paysage dans l’avons habitants L’image tournée. de donc les est se C’est son une le la les sur a différencies traduit? lui le pouvoir des que ville abandonner remarquer patrimoine grandes réelle pour discours de l’image vue sont à aussi par d’aménagement . Cette volontés dire de se soutenir paysagère et précédemment, leur soit l’action image résumer de impulsées politique président la relation volontés de par: Robien réélection à c’est que crédibilité pour la Amiens la Amiénoises ou en municipalité de les la non la évolue orientant local active continuer de la est autours manière deux par • • deux ner « (G. la les municipalité. ou en toujours les de Par Il et communauté des Recoudre centre Créer se 2001. actions à villes au de une faut t-elle les l’action «légitimités et Tours heures « le son des voit lieux centre Robien) dont à Amiénoise la Tourangelles citoyens, biais volonté soutenir des que (G. sont président Gilles quelles action ville légitimé positivement engagés AMIENS que se de le qui de haut ville d’un l’on de L’existence traduit animé Oui tissu convivialité doit d’Agglomération). les hberte. de Robien) est sur . son les les lieux politique de » puisse Projet pour Robien lors actions de par sourire» à urbain le l’action acteurs opérations dans image. cette la la tissu public la je des son fois . communauté Urbain dire d’une municipalité. quand leur vais volonté. engagées se et dans élections poste urbain un économiques directe » . créer retrouve : actions se j’ai fondement fia- d’aménagements vision le .. traduise de les et L’une, • • oui, vivre « (J. par Ministre, municipales. les d’agir Par actions « d’Agglomération) par donc partagée le . tation Mettre Maintenir Germain) aménager ces lieux mais les par et une développement » reconnu Amiens à deux institutionnels objectifs sur de l’efficience la publics, sans volonté son en d’aménagement d’urbanisme (J. dc tête la TOURS retenu l’image avant et municipalités la C’est équipe Germain) la ville souhaite vie» sacnfier et Oui améliorer d’Amiens ville, ville une des d’agir l’autre, le sont par et technique municipale justification patrimoine autorise documents embellir de économique. Jean vers grâce notre ce mener. sur la la Tours depuis biais ont lesquels Germain répu l’image ville? art au du une la été et que veux Projet de est 1989 cohé ac rela sou les il tou de de 56 PARTIE 2.1.1 ouest, des L’opération vaux vère concours. la d’Amiens chez surfaces Trois les C’est ment ques permet La plan Flic véhicules pavés destinée des éclairés permet L’ensemble d’eau. res que, sont Gambetta immeubles. urbain La sure tion deux présente aux âgées, sible ville. Il trois place Trois fleuries. place vestiges a que personnes Juan incliné a légèrement beiges, pour la une le JUGER Cailloux. en par Comparaison matériaux de été gris rendu Autre personnes qui Des de largeur de On 1H coeur place de avec l’architecture à 1993 la Gambetta un continuité cailloux). de des traitée qui ont Roig, faite rompre profiter et la bleu. lire présente l’intérieur, retrouve nie traitements engazonnée Au plan l’Hôtel dans La est romains destinée détente. nécessaire la paysage originalité, de marches des a accès Garnbetta, que l’heure de de L’image de à place voulu nie agrémenté bas l’architecte Des la en inclinés L’IMPACTE mobilité (brique incliné cassures i’hypercentre, accompagné l’impression Noyon l’espace rupture furent du ville, qui La des deux à entre les des de parfaitement hublots des de découverts A à vitesse lieu, traduire en qui permettent de municipalité sont Ville, est la Trois mêmes et l’est la gradins, Amiens l’Hôtel offre et les d’est projets rouge pour réalisés de parties, comptant ces paysagère à la circulation et réduite conception rendent création devenu et de de et barrée la espagnol l’Hôtel reconstruction lampadaires de impulsées placés et des réduite, espaces. atténuer qui Cailloux s’asseoir, Maison hauts aujourd’hui dans en réduire, d’enfants particularités, au d’uniformité à continuité, de une pendant concerne liaisons. l’ouest l’une les est ouest. cette (handicapés, d’apercevoir de sud grâce difficile ville, d’une le son DES à de tilleuls met travaux également «fontaine-horloge bandes piétonne, le SUR même vainqueur nombre de évolue de l’aspect de ainsi par ville, recouverte préoccupation projet de sol Cette à par à et ont l’espace la et en 2.1 la banquette les profit cet un tout un OPÉRATIONS se en granit avait la est et les Culture place bas que le et un L’IMAGE de un travaux. concernant une reposer. circulation ce espace traitant effet de aménage dénivella l’histoire t-elle de Places rigide sol couvert poubelles personnes rue l’autre l’axe une traité granit peu mobilier âge...). du ces la qui jardiniè donnée jets à public où dc et volonté place des d’opti l’est) partie (rue acces sé tra as positivement est les qui bri des avec les et en de » à urbain axes DE Nord-Sud politique Grandmont L’opération gence palité vaux une d’un main main, Anatole miner ment nommée Rue peu Nord-Sud malgré pour Les assure lier porté des C’est comme Jean des ville la parce blic fréquenté. L’aménagement mobilier. la faire bas). Rue et piétoniiiers preuve donc Place atti urbain englobant manifestations été voies D’AMÉNAGEMENT massifs, Nationale LA et espace Nationale. Jaurès ont permettre puisqu’il où l’aménagement naître avec Tours sur d’une et souhaite que une particulièrement activité sa modifié, quand une France les surtout continues commencé Anatole Place VILLE la dévolu situé d’une piétonisation Cette directe et c’est qui des continuité et premières une de c’est Place d’horizon nouvelle ligne dans des assorties l’ensemble les et présente s’ouvre massifs liberté de encore par aux dans (où un harmonisation celle Une hannonisation les volonté même place la dc à France aussi places l’hypercentre. jean de la au site d’agir ces la de Place bus les actions la lors le Liberté) fontaine feuilles de de circulation qualité entre Sud pour au la interventions plus N°1 Place présentent Jaurès travaux aménagement centre sur penché évoluant qui sur les de à celui-ci la la de ville. du se et mobilier Tours gardé de Jean du circuler. l’Hôtel Loire Place sur est janvier-février mêmes forte l’axe le ces mise trouve les premier la Anatolc d’aménagement en de centre (Une bien-être rappelle que depuis L’aménagement Jaurès sur axes rue est dans espaces. vienne l’image son métal, vie qui concerne aux de dc Tiers (qui en automobile sur le urbain. très de DU des à Nationale. particularités, partie notre L’ensemble la encore espace scène ont commerciaux est ville les plus mandat Fentré cours France la cet Ville de se puis Rue tout la détails importante (qui sur de un matériaux eux PAYSAGE « trouve longue de présence axe avec d’attention cité de reconquête tout Ces de tous. le sur lieu Nationale 1999). juste des plus mais voirie va Nord lieux la de l’Avenu à non sol, ont l’espace » subtile La la détails être actuelle permis l’axe saisons ville? fort en Jean de (J. l’émer souriante, de date du de aussi Place un munici autours que ce de intacte Les sur puisque contre de la et Gera— re l’axe pour se mobi qui Ger la a Place le l’eau qui très fort de sont la tra pu de ter été et la 57 PARTIE bulletins Les 2.1.2 ques Il ment fortement l’objets teurs Même biances. l’impact répartitions ressort Tableau comparaisons L’inscription (urbanisme les Les Modifleations quantitatifs sur si III divers les municipaux En des les symboliques le fortement de basé ( Les axes Les choix (Places, Les ( revanche de indicateurs paysage l’aménagement opérations Les Les Les dans L’image fonctions sur voies ment comparaison ambiances et axes, principaux que noeuds mise limites Places) des dans espaces une de l’espace Axes) qualitatives d’Amiens et nous à matériaux rues) du sont cette en ressortant modification Tours le d’aménagent les qualitatifs paysagère allouées avant quartier paysage verts) trancherons et comparaison impulsées suivant l’organisation les et des dans (textures, municipales de Places sont modifications sur Tours importante le évolue sur La tôt ville aménagement fonctions: rassemblement La structure piétons Attribution sur tableau tion sormais merçant Forte ces Faire Fortement sation clinés) L’aménagement relief même Un incontournables, l’histoire (ambiances par les retenues l’image une couleurs, devenu Place Place cet et places) et sites des puisqu une t-elle grande réellement de espace sur de modification la impacte. (banquettes. ci-dessous fil quasi de site à (Rue ces conception de l’hvpercentre. du de Gambetta à volonté les Commerces, retenues une modifiées un l’organisation Amiens fortement comme positivement directeur LHôtel assemblages,...) elle qualitatives la n’a deux site. AMIENS Inchangées points différence différentes) strictement lieux devenu autre. des ville joue important été concentre ils de émerger villes. sont politique Troix gradins, de ressortant et que ne et centre (Les dans des est de sur à son découvertes passage faire modifié peuvent détcntcs, un basé dans très Tours. ville voies grâce les des réservé Cailloux axes l’axe l’organisa- volet apportées points de quand plusieurs sous principalement pour petit plans effets la et est ressortir espaces directe lors polari- à On d’une permettre conception du centraux : com- paysager. ... plu- modifié. son aux dé- de des peut in- mobilier un de la et les libres tole La convergence tic Fortc rendez-vous la d’agir par bus Attribution Pas l’organisation polarisation sage nale Soutenir taine ont Peu Mettre façades) leureuse riaux) actions noter Place à au Place L’action C’est et des France les été eux modifiées des sur et urbain. et de fréquentation plan mise leurs qu’à l’axe sur d’un en ces Jean aménagements opérations modifié les seuls bus) Jean donc d’aménagement modification l’axe (couleur valeur de Amiens réservé places) l’image éléments en sont principale de avec c’est de fort Inchangées Places) Jaurès. circulation TOURS Jaurès de des par L’hvpercentre. méridien valeur voies. (seul changement juger resté de et les orienté voies la chaude lié aux comme la façon apporte et équipes biais d’aménage de ressortant les conception en de du objectivement des la dont notoire piétons la surtout (Rue principale ( revêtements grande la Place des soft site dû ville? points des centre ville. du ont une techni des indica au Natio et et des Ana- maté- et fait pour dans par- pas cha am cer c’est des de au de 58 PARTIE 2.1.3 Les gation C’est hausse L’évolution ont res sont de coeur revanche A présente nées petits d’un colocation. lières diants tourangelle. de le Saint-Leu, si avec La répercuter Amiens). cher, la der. trie teurs ment qualité avait biens ces plus Christian Amiens du vieux • • vie cellule 1 et permis forte indicateurs ‘hvpercentre d’Amiens, immobilières les Modifications Les une complément de sur des de à des L’évolution L’évolution L’évolution s’accorde ne un dans studios, effectué qui évalués comme Tourangeaux spectaculaire la 111 aménagements souvent bieii ville Tours et demande discutent notaires marchandage l’évolution tarifs véritable à offices multitude d’accueil Les est Clor, comme de sur Tours, sauf associée l’achat Les du Les paysage sont n’ont principalement faire mais nouveaux le entre l’ensemble le variant reste prix L’image mais étudiants s’ils à de médiocre quantitatifs tarifs confirme notariales est plus s’accorde dire vendus de Amiénoise c’est du des du de poule presque à d’immobilier l’agence flamber fait vers des de de depuis ouantitatifs Tours, attractif ne 1300 un depuis du ne ils revenus. nombre prix logement types révélateur que sont de l’immobilier sont sites systématique. que et se la trouvent des prix cadres sont aux arrivant des paysagère Amiénois 300 au les proximité et de cantonne des des Claudette la plus, toujours interrogés relativement renforcer les le quartiers à universitaires 1990. de immo. de impulsées toujours 1500 pour prix l’immobilier oeufs logements demande changements souligné. de dire voient € prestations marché Dans biens de étudiants commerces l’immobilier de environ constate Amiénois commerces rien des savent demandé la € les dans L’ensembles petites d’or pas le ne les à à de dc chambre de trois Lelong, incontournables d’autre. l’image logements «Depuis surpris, évolue Amiens dc à la mètre évolue veulent Les location Paris deux l’ensemble des plus Amiens dans de pour que ville par similaire Lévolution sont l’immobilier Maître en surfaces indicateurs. au change. plus ». aménagements investisseurs apportés en l’immobilier carré regard que villes un (via sein une responsable depuis de un de mais surtout de t-elle et Les et pas quelque plus des grandes (principalement quartiers s’accorde étudiants. Tours. tant commerce à J-P « 17 nous le de dans volonté partent Tours par notaires l’art en les que se Car agences des m2 TGV) souvent positivement Pémont. de par la non du en déplacer de revanche agences allons Amiénois. les à ville), les les de temps, nombreuses au loyers location, tailles prix ces à la 480 a plus (l’ensemble du Amiénois étudiant à vivre» à la et comporte paravent, deux connu Cela réalisés et vie politique et 1750 immobiliè dire dernier leurs logement nous recherche de la € De les même d’indus vers deman hors pris étudiante immobi les pour qualité les 1’ est villes à que agen plus €, En une immobilier de déjà propre ache attarder c’est en les étu en aus de malgrès quand qui an est 40 il si la ce en directe y à estimations La dans Centre de ville aller Se les dans euros les maison dans petite lorsqu’il exemple, location, charme rieurs, Gresset, pants. quartier avant rées. sur Point, Dans plus mobilier les la la déplacer rues appartements cote les a au nécessité ce un cathédrale le d’agir r.. longuement le actions cour, ses un la a du D’une centre prix de secteur. cinéma piétonnes de bon mètre Saint-Leu été à ville y possible les un numéro inconditionnels jeudi 345 a 190 la quartier largement située sans à vendue état prix des au studio sur ville, Amiens, surface de carré ville, euros d’aménagement mètres à avant m2 Comptez travaux 29 et voiture, aux pied gros sont l’image car sont près flânerie de changent les de nois. de de avril à pour avant par c’est 258 de maisons, de l’hebdomadaire élevés, dépassées. carrés, 1140 travaux» maison ... l’immobilier 30 achevées, un des par à mois. 40 rentrer flâner 2004, un Maintenant mètre de 600 qui effectuer. article de avec boulevards de désormais à à appartement peu 1370 quartier avec avec, Béatrice 1220 préféreront 60 la faire en euros. Vitrine très spécial sur carrés, les chez s’étonne d’occu ville? mètres le «Des bois met du à garage euros le par centre investi rares le Amié 1680 Une A que soi, parvis Pujebet du point en de inté créé rue im la Le car et 59 un PARTIE tiers Récemment, des tionnelles Avec Elle prisés commodités, Quand adriacnsscns, que désormais comme té largement l’immobilier C’est ter A dire ces prouve: L’évolution L’évolution » Amiens Tableau bureau, que prix principalement l’on et est que réputés un à des l’arrivé L’évolution un le Amiens finalement la III de trouve prix les la nombre bien parisiens datant souligne augmenter. elle comme huit 9 faible magasins en tranquilles, de en français reste % moyen paysage président des commerces du du en est chambres centre L’image à dans que en comparaison du ment prix partir fréquentation TGV. arrive types de nettement le à rythme partie du l’agence liés qui début la Tours dc plus l’hvpercentre magasins et ville. de des nombre la hausse sont de du de s’installent à de 1214 que à les majorité l’immobilier à l’habillement. et recherché. paysagère l’ensemble nies du l’agence animalisé. 1600 commerces 488 le paysage acheteurs deux ce de impulsées au-dessus XX € nombre des de piétonnes franchisés qui du Danielle 000 de des ou salle e des prix mètre la L’évolution amiénois. à », siècle 1700 Uffi €. modifications «la fait zone Le sur personnes explique des de semble évolue de de Mais du j A Tours. Murv. centre conimerces carré par € la joue brasseries cathédrale, Stable, l’immobilier dans attirent bains, les quartiers Augmentation c’est commerce Tours prix piétonne le Tous (surtout la différence ( une Axe mètre sites être place une un t-elle pour La la Maître du du ville largement certains Le Hausse avait interroger type voir flambée ce rôle rue très et rue à commerçant rnarché nombre volonté marché Amiénois. retenues le carré. et Gambetta les l’afit phénomène et « sins de les positivement quantitatives dans des vestimentaire de à donne été belle nombre des important restaurants c’est Fournier. des AMIENS Saint-Leu et appartements légèrement Tours appartements (spectaculaire) alentours commerces, franchisés du Trois estimée principalement semble Trois Mais développé. le brasserie du et est les mettent maison sa politique nombre centre lieu du (Les moindre est et A de localisation, soumis acheteurs Cailloux principal: cette Cailloux se type à dans du Tours, à brasseries) très se à au de la des fait augmenter en de est 336 axes dominant Quartier le calmer de chambre quand niveau forte apportées la ancicns, de avec l’ambiance Les prisé ne à avant 350 lundi écarts resté beaucoup « directe maga- rue même la 000 commerces et préfèrent particulier trouvent en centraux commerçants hausse concurrence le m2. les son par nationale, légèrement, de centre € (jour relativement le les souvent régionale selon car si comprenant fait les côté [ d’agir dans actions l’immobilier Stable, par moins Augmentation et de des commerce elle que attendre Tous parisiens. que et ville tourangeaux (Place la les « et Axe fermeture restaurant la prix inexplicables le les ville n’était fréquentation difficilement Tours plus leurs notaires, sur des à rue ressentir. amiénois type quartier constate voir commerçant stable. d’aménagement opérations été trouve La plumereau un de deux notaires. Nationale sins qu’au l’image Le vestimentaire pas de à la a Places) nie province peu dans TOURS légèrement de suivie Hausse plus dans centre, commerces, franchisés du Mais Tours du salles ». Maître en ses Nationale s’accordent nombreux coût ». Ces le nombre ». théâtre preneur. excellent du spectaculaire Dans le limite de l’évolution centre et observe principale: l’on et d’aménage de vit réel a proche site. vieux maisons LcfèvTe,. alentours) les la forte réception. une augmenter ces peu dominant sont car ville? des dc brasseries Un ville avec du commer Tours état. pour Gérard quar hausse identi maga des consta biens, fait très tradi dc à le et le 60 PARTIE III L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? 2.2 Leurs place dans l’eiisemble de la ville Dans la partie 11,nous avons vue que à l’aide de la grille comparative quels étaient les éléments forts de la lisibilité de la morphologie urbaine pour les centres villes d’Amiens et de Tours en 1990. Nous allons désormais mettre en avant les évolutions apportées à la lisibilité de la morphologie urbaine par le biais des aménagements effectués sur ces dif féretits sites. Les éléments permettant de mettre en avant l’évolution connu par les deux centres villes viennent des informations et dires collectés via un petit questionnaire (Voir annexe) Se sont les mêmes codes de lecture que dans la partie Il qui seront utilisés Rappel de la sigîzfication du jeux de couleur Elèments qui loue un rôle dans / ‘image du centre mais qui ne sont pas contenu dans ce dernier IIL’niei?ts (Rai?! UOCplace forte dcin,vle capital pav.vuger urbain nuns ne conn(l/sant qu une reconnaissance collecm’e /iihl’ Eléinents essentiels dans / ‘imagedu centre 2.2.1 Aiuiens: un véritable centre a émergé A Amiens en 1990, hors mis la cathédrale, la morphologie du Capital Paysager Urbain en 1990 plan urbain ne possède pas de véritable élément essentiel for geant l’image du centre. L’ensemble des axes (voies), et des places (noeuds) ont une place forte dans le capital paysager ur La morphologiedu plan urbain bain mais de connaissent pas une reconnaissance collective forte. Les voies • La rue des Trois Cailloux. Elle ne fui pas de tout tempsla rue principaled’A- Les aménagements effectués sur l’espace public principale miens.Sontracécorrespondà celui des ment sur la rue des Trois Cailloux et la Place Gambetta ont rempartsdu Mie sièclequi corsetaient permis de faire naître une véritable identité et un caractère la ville médiévale.De nombreusemodi marqué au centre ville. ficationdans l’implantationsdesbâti ments,et la constructionde la gare Désormais ces deux éléments se distingue largement des autres porte de Noyonvont lui conférersavo de véritable espace public à l’échelle de la ville cationcommercialeet le statut d’axe et son devenu principalde la ville. et non plus seulement des éléments de repère du quartier cen • Lesboulevards tre. Les noeuds • La Place Ganibetta La cathédrale qui était déjà un élément marquant de la ville a • La Place AlphonseFiquet prie tout sont ampleur avec le spectacle de mise en lumière de FHôtel ville • La Placede de la façade. Elle est devenue un haut lieu touristique pour la PlaceLéonGonihier • La ville. Les limites • Espacesvides « créés» lors de la re construction, apparaissent commedes La place de l’hôtel de ville est quand à elle rester plus discrète. fracturesdansl’espaceurbain Pourtant elle a aussi fait l’objet d’un aménagement en cohé la place Gambetta et la rue des Trois Cailloux. Les points • La cathédrale rence avec elle se caractérise pins comme un de repère • La tours Perrel Mais d’un style plus sobre, lieu de passage. Les aménagements effectués à Amiens ont fait émergé un véritable centre ville configurer autour de deux éléments primordiaux: La rue des Trois Cailloux et la Place Gambetta. Ils sont désormais des lieux essentiels dans l’image du centre. 61 PARTIE III L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? 2.2.2 Tours : renforcer l’identité et le caractère du centre Capital Paysager Urbain en 1990 TOURS La morphologie du plan urbain Lesvoies • L’axe central Tranché-Nationale Grandmontajoué etjoue toujoursun rôle prépondérant.La voie nord-sudconstitue, la « matriceharmonique» de Tours,un des fondementde l’imageurbaine globale.II est qualifié« dépine dorsale», « de moelle épinière» de la ville. • Les boulevards Les noeuds • La Place JeanJaurès . La Gare Les limites • La Loire Les points de repère • La cathédrale . Le pont \Vilson A Tours, contrairement à Amiens, le centre ville possédait de nombreux éléments essentiels dans la morphologie de plan urbain et qui ressortaient comme référents primordiaux dans l’image du centre ville. Les aménagements effectuer sur L’axe centrale et la Place Jean laurés n’ont fait que renforcer l’image de ces lieux au coeur de la ville. Le Pont Wilson reste tin point de repère associé à l’axe centrale et à la Loire. Mais il n’est pas deve nu un point identitaire dans l’image de la ville. Les boulevards qui quand à eux non pas connu de véritable réaménagement reste des axes de passage et de déplace ments. La Loire dont la population cest en partie détournée pendant de nombreuses années revient de plus en plus sur le devant de la scène. Laménagcments des berges pour la promenade est en cours dc réalisation depuis 2003. L’inscription au patrimoine mondiale et l’engouement de plus en plus poussé des français pour les éléments naturels pousse les tourangeaux à se retourner de plus en plus vers leur fleuve. La rue nationale est le référant principal, avec le vieux Tours, de l’image de la ville de Tours. De plus le plan de dé placement du centre ville met l’accent sur les deux places situées d’un bout et de l’autre de celle-ci. Cela renforce en core plus sa situation « dépine dorsale ». L’espace gare et le palais de congrès n’ont pas émergé en tant qu’espace public mais l’architecture de la gare et du Vinci sont indéniablement de véritable points de repère et des bâtiments emblématiques de la ville de Tours. Lamé nagement réalisé face à la gare apporte un léger pittoresque au site. Les aménagements ont principalement apportés un plus esthétique aux éléments phares de l’image du centre ville. Tours a toujours été une ville comportant de nombreux référents identitaires et où la morphologie du plan urbain a été de tout temps mis en avant. 62 Depuis PARTIE aux va façonner 2.2.3 C’est que garantir • • Les Pour confinées • moire • • Tourangeaux. Ces Pour de de ville, Etats-Unis, les Aménagements différent Donadieu, Amiens, termes soi Tisser et Lui Tous Des nisme En ville En des les aménagements iiI l’urbanité donc et Fespace : créant redonnant attribuer mails, lieux, travaux milieux pour en peuvent ordinaire la paysage points centre l’aménagement Ces le L’image cohérence l’intervention trois Tours enfin mais promenades. rendant public de réalisations d’Adolphe à des situés abordés à de vivre, dimensions, en l’espace aussi la les ont de sont utilités la grande vie pour attractif: conditions renforcer paysagère vie dans été urbaine trop le naturelle par impulsées par amiénoise. lui temps conçus Aiphand tient public; plantations ont : les partie souvent lieu Donadieu attribuer le sont introduit lieu centralités plus la et biais de à spatiales les pour être présence évolue renforcer venir. c’est à et détente, et oubliée à prendre par conditions paysager de place d’alignement, la des reprit se façonner à le volonté Jean une retrouve dire, d’une fortement t-elle temps utilités, indéniable qui de dans pour en l’espace Claude volonté sa flânerie, et attire, compte d’existence vie l’espace de positivement dans de les capacité les tous de tisser sociale peuplées l’espace circulations cartes aménagements Nicolas manière commerce, leurs public de en politique lors d’élément public: l’espace la le à et urbaine stratégies cohérence attirer et de rendant public plans et Forestier différente d’évolution l’aménagement au quand piétonnes. mettre public identitaire directe et tissu que dans attractif. effectués à spatiales urbaine rassembler en n’apportent les urbain dans en central. l’aménagement France, qu’elle d’agir avant cyclistes actions pour les dans autour : de compact le aménagements l’effet l’espace avait hors et l’ensemble temps sur le pas ceux représentent d’aménagement d’un centre des l’image souvent les de cherchent historique de de public: véritable logiques procédures «centre la ville Fredenck de ville perdues Amiénois de la des Amiénois à ville, occidentale de » marchandes la centre, créer moyens dc la d’urba ville? Olmsted du dans la nié- et et ville coeur puis a 1 de 63 PARTIE sur Cette fectués. 2.3.1 A La public. sont Points RAPPEL La les • Attractivité • • • • Amiens: • • vision la ment gare. saleté nois propreté: L’absence acteurs aussi «concours existe Une par Des l’Hôtel bles Des Rue la inaccessibles, dans de L’absence La touristes ensemble partie déjà symbole vision L’aménagement place 111 ta faibles place les lieux puissent piétonisation espaces (jardins de St dans rue trop (Partie à la ville, de est grilles, la de Fuscien). de politiques la quartier paysage René et nombreuses des base dc d’une publics duré. principalement et qualité les L’image qui leur de ville (Vision l’esthétisme: d’un d’idées 1111) la une verts 3 de vraiment zones places Goblet est ou de les Cailloux, gare ville Faire ou ville I’ESCAE projet St image surtout la un de séparés murs sont minimum nombreux en le de au Leu », avec d’attractivité volonté en paysagère la véritable qui et Palais façades de ou et 1990): la service architectural se ville 1990 de symbole et impulsées ou incomplète la qualité Palais bouge de peu la réunir. axées de même ou jardins Tour les Tour la de politique par encore (voir la mais de attractifs ou repoussoir parkings de Place justice) vie de est sur les la de Perret négative volets sur évolue Perret, l’image (place où justice, partie souvent préfecture) stupéfiant. et 2.3 la acteurs par au quand la homogène en l’ensemble les de d’agir ville comparaison (square stade l’image notam bas (ex Une de soit Amié la une III t-elle pour qui ...); elle par invisi ville politiques la de 1) par du un évolution volonté a la et les de positivement le les biais entre effets, Amiénois politique daménagements incontestable les modifications Les RAPPEL sont: • • • • nente Il nimes. répondre envisager Ville, lissement discours souligne véritable Faire place convivialité, conception. ce grilles. barrassé Palais Un terrain brées, l’immédiat Réussir rue quand le Une les éclairages culturels, Morris recommandations mettait directe cadre rôle hôtel de quartiers Gambetta, Robert L’imagination politique d’une (Partie Gambetta la parking tenus de aux à se Cette des toute annonçant rapidement les en que de de population condition de ( Justice situe bancs, engendrés principalement publics, d’agir sollicitations de avant grandes des l’aménagement son la actions ville 1111) par symbole « d’Amiens formule solution piétonisation Luzarches-rue moderne intérieur Ceci et à places parking semble les populaire une (façade ouvert bacs surtout plusieurs les bien sur panneaux doit différents de places implique la et d’aménagement par dizaine peut du évènements qui à piétonisation centrales une de toute l’image (bacs de sûr alors intérieur sable revenir sur d’urbanisme place noirâtres, réveil les Robien contribuerait effectuée mobilier se volonté d’Amiens », points d’en de mais Amiens aménagements de Ernest désignée point quun une à reproduire d pour acteurs de l’axe fleurs, de information, au mètres). d’Amiens revoir de aussi voire la écoute en faible. la sportifs pouvoir les grilles affirmée fort parking urbain sur avec gare) la piétonnier Cauvin. et ville. 1989/90 (Hôtel politiques les colonnes enfants, pour dans donc de ville? toute N°1 à Fespace du avec perma Ceux-ci plus Yembel dans déla ces La une et ». dans pour tous tenir ef de de sou dé de la ...) le mi 64 ont En PARTIE ment de l’ensemble A Dans Points RAPPEL acteurs • • • A d’intervenir ces • changement. crage ments En Il porté • Que • • Tours Robien faisant y Tours apportés L’histoire Le avant ville, dins. climat, Le l’axe La « « « comparant centraux a intégré les Tours Tours se Poursuivant bien leurs site de milieu ville ont forts III politiques discours soit (Partie centrale l’emprise la le l’aménagement de originel du donnant permis là bien fruits. ville la une cité lien comme (Vision sur paysage à créer Tourangeaux. et spécification et Mais centre millénaire» Amiens les L’image 1111) ses les d’histoire)) certaine l’espace le bâtie dans Tourangeaux, Tranché-Nationale-Grandmont. la de indicateurs Ces un en (capital lien symbolique traditions naissance les caractères élément de tradition ville, maintenir véritable 1990): grâce l’histoire: sont opérations discours les comme la valeur public paysagère à qualité et parties brève géographique) été à impulsées cela identitaire préservés à ... la quantitatifs avec centre au la de le à ajouter tenus peu vient rigueur » mais grâce Tours, ont de présences marché précédentes service la la de la Loire jouées par évolue pour ville/centre douceur nette place (que ville à collectif par induite les la les du immobilier retenus mettant contrecarrer dans mise d’un des par se opérations un agences maintien une est t-elle (Partie du soit par rôle jar- la les laissé à en an- de pour volonté la en d’un valeur positivement fort vie ville. immobilières III, de a au Amiens d’aménagements la un Amiénois point dans l’image chapitre points dégradation Ces et très politique au l’image de actions et bon faible, Les renforcement tations sont: RAPPEL Jean que publics, dins tion d’avoir, les Tours goût maire la est Un vie bains ques Royer dans jardins. palité vue espaces Ce de Tours, II à qualité et quand niveau. argumentaires une aboutie. 2.1 souci ». marque constat recommandations de de et qualitatif Germain les de du directe qu’au ont le qui s’est sortant d’horizon seul en fleurissement, était de du Jean et belle plan la ceux-ci de centre notaires puisqu’elle » (Partie publics effectués permis de se 1996 urbaine parcs. 2.2), milieu cité, les les dégradée réaménagement initial plus traitement de fait Cet Germain promouvoir d’embellissement ville, de lors d’agir a que points actions la on et et 1111) d’aménager particulièrement ne de aboutissement la (rues, Cette sensible ainsi de laisse pour ville. de et fondait déployés de remarque vise quantitatif). sur morphologie mais laisse plus dynamiser se de la sous la forts de sur - justifier, que politique fin poursuit les places, à Jean ville entendre La pour redonner campagne d’aménagement en la requalifier réhabilitation la pas aux cette des l’ère places l’image le volonté ressortes. qualité plus création au oulet la dans que Germain programme objectif, apparaître grands lieux ville ...). sein et La démarche royeriste lancé à notamment, du sentir avait urbaine. que les activé aux été et sont de de volonté des 2001, de fait pour du publics de l’ensemble axes aménagement qui création ces quasi geste rendre par Tourangeaux Jean - dans ensemble. si espaces vers bimestriel des de et la les de se aménage Von embellir d’améliorer car électoral la centraux continue : la ville? de intégrale Germain urbanisti espaces retrouve grand « représen du 1990 les et munici la attractif réélec Jean Tours analyse de Gille des ur politi espa des jar- la du ont le 65 nonce tre 2.3.2 PARTIE tion A Ces communauté nagements C’est ration • • • • est A rer d’agir Même 2.3.3 arrondissement On à qui valeur tale nes. chées, chemin tre tique A n’était puissent nit lien pour, avec Dans Amiens. partir tours, centres Strasbourg. liée le dernières des la rose retrouve fut depuis physique Cet Des lors cadre celles Se périgourdine. Enterrement le Plantation Séparation Plantation dc ligne sur ces si d’une dc au les Iii pas désafecté entrées de de contexte l’aménagement des ne le aménagement vivre liens volontés chemins de la anciens Grand les deux cohérents quartiers 1988. fer» de centre l’espace de sont du des qualité indes, paysage le d’agglomération part, la années entrées vie. et faire L’image tramway spatiaux en ensemble de même remise coeurs des cas, de de installe pas fonctionnel des L’aménagement Projet urbain. en concevant et ville ville. constituer des creux mais d’améliorer chênes haies urbaine Ce liens une public. Est périphéries. sur 1969. la les comme voies de souci d’agglomération. sont réseaux premier d’Amiens des politique fait de De à jolie le et à seul séparée de chacun ville et ». paysagère urbains continues été Paris l’avenu Ville son Il dc grosses prix partie Aussi la n’en impulsées d’améliorer l’aménagement entre l’identité eut dans à ville, mise sont d’Amiens tunnels, capitale. environnement tisser prix un de le du (GPV). d’elles pour s’arrête d’aménagement Vitrine ont et le suit d’une désormais les les cadre de réseau ses en opérations mais troisième de projet, a été la évolue Grandmont différents l’ancien origine été cas oeuvre. visible dix le Tours par Sur cohérence par De politique la créer métropole sur pas de parcours de accordé vert d’Amiens axes qualité réalisé un nombreux une recréer vie la du une là. considérées t-elle sont concours la Dans tout de ont de : tracé ville, dallage principaux en site et quartiers. construction longueur chaque et volonté continuités, bas urbaine à vues urbaine désormais constitue l’image de ville, en urbaine a un positivement Amiens du les d’embellissement du la et reçut son tissant 1991 quartiers de qualité tissu tramway, chemin le quartiers de national rappel lieu comme jour béton plein, qui de par Tours, politique le d’accès de à un métropole dans des des de premier quatre 1994, et coulées, « la de et le parc des de gris ainsi périphériques en l’Opéra d’autre des ville succession continues multiculturels paysage au éléments leur constitutives lequel les fer recousant quand façades a linéaire sein ; kilomètres entrées t-il que en projets directe qui traitement prix qui amiénois traits grâce part, des outre, et de énoncé de reliait urbain, ne ex phares à le les par la de qui ou nombreux gens de être s’arrête a les inventent créer souci auquo font communauté d’agir du la des actions lieux un promenades. fragilisés ville rassemble la et c’est des architectural, plaies menées. réalisation, l’espace tissu d’âges de traitement Bastille demi, l’objet plantations les de avec règles dans leur en largement pas sur la condition urbain autres laissées les d’aménagement novembre jalonné la et mairie image, par de la qu’au public quartiers l’image à formes simples communauté urbain, de la promenade qui travaux de de le projets et urbain de niveaux Varenne béantes penchée la chômage, de 1997 elles met les centre d’un a de tilleuls plate-forme d’un 2003 Paris. de Paris une de anciens volonté viaducs, en visant (dont et à sont coexistence rapport la 2003, sociaux véritable paysager par Saint scène ville planté espace sur on que de d’agglomé Dans ville? le « une du à la et mettre affirmé politique l’objectif la lien amého la d’amé Maur de la voie moder unitaire en réalisé ques partie le public variés ville capi tran poli an en gra 12e en en de et 66 le PARTIE ifl L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? III CONFIRMATION DE L’HYPOTHÈSE AVEC QUELQUES NUANCES 3.1 Les opérations d’aménagement agissent sur l’image Rap1• Thème: Le volet paysager de l’image de la ville Question spécifique: Les volontés politiques de mener des opérations d’aménagement du paysage permettent-elles de jouer direc tement sur l’image paysagère de la ville ? L’espace public est un composant essentiel du paysage urbain. Les opérations d’aménagement menées sur celui-ci agisse de manière directe ou indirecte sur l’image de la ville. Comme nous l’avons vue dans la premièrepartie, l’évo lution physique d’un lieu influencele ressenti. « C’estle paysage vécu. Territoireà vision et perception variable,le paysagenous oblige à considérerle site à aménagernon plus comme une simple surfaceplane, mais comme un es pace chargé de signes » (Jacques-Marie Loiseau, François Terrasson, et Yves Trochel). C’est cette citatjon retrace l’influence des opérations d’aménagement sur le « site géographique », le « patrimoine urbain » et sur la « morphologie du plan urbain » (ces notions ont été définies précédemment), et les répercussions qu’ont ces opéra tion sur la perception et le représentation de la ville. Elles s’applique relativement bien au cas d’Amiens et de Tours Cette répercussion pouvant par la suite influencer directement ou indirectement, volontairement ou non. l’image de la ville. Par le biais de l’étude de cas qui a été abordé dans ce mémoire, c’est la lisibilité de l’espace paysager urbain mis en avant par Kévin Lynch qui ressort principalement dans la méthode utilisée. Nous pouvons observer que les compo sant de l’image de la ville pour Lynch (voies, noeuds,limites, quartiers, points de repères ) évolues avec les aménage ments qui sont menés sur ceux-ci. Dans son ouvrage, Kevin Lynch, aborde la qualité visuelle de la ville en étudiant la représentation mentale de la ville chez les habitants de plusieurs villes Américaines. Les théorie évoquées par Lynch se retrouve dans les effets appor tés à l’image des ville d’Amiens et de Tours. Lynch met en avant 3 points: • Bâtir l’image : cas particulièrement mis en valeur lors de l’étude de cas des aménagements Amiénois. Àla recherche d’un réel centre ville et à des identifiant lié à ce dernier, les opération d’aménagement ont servie à construire l’image. Pour Tours, le démarche est différente, il ne s’agit pas de bâtir une image, mais de la main tenir et de la préserver. • Structure et identité: aussi bien dans le cas d’Amiens comme dans le cas de Tours, les aménagements ont fait évoluer le caractère des lieux, structure et identité on donc évoluées en même temps. • Une image collective : construire ou préserver les référant collectif de l’image de la ville. Les réalisations ef fectuées dans les centres villes Amiénois et Tourangeaux ont permis de créer ou maintenir une identité cultu rels des lieux et dépassant largement l’image du simple quartier. Nous pouvons donc nous permettre d’affirmer que les opérations d’aménagement du paysage permettent de jouer sur l’image paysagère de la ville. 67 PARTIE III L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? 3.2 Nuance apporté à l’hypothèse Hypothèse: L’image paysagère évolue quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté _:_ Dans la deuxième partie, la représentation schématique de l’hypothèse était la suivante Site géographiqueurbain 4 VOLONTE MODIFICATION POLITIQUE Patrimoine urbain DE LIMAGE D’AGIR SUR L’IMAGE Héritage architectural PAYSAGÈREDE DE LA VILLE N LA VILLE Morphologie du plan urbain Opérationd’aménagement du paysagedont la réalisationva mcxli- fier toutou partiedes élémentsdii capitalpaysagerurbain. V V Le lien reliant la case, volonté politique Le lien reliant la case, représentant les opéra- Il y a modification d’agir sur l’image dc la ville, n’est pas tions d’aménagement et la case paysage perçu. de l’image ne obligatoire. Nous ne pouvons soutenir est comme nous l’avons vue tout au long de ce s’effectue pas que seul la volonté politique d’agir sur mémoire presque indéniable. Pourtant l’action obligatoirement l’image de la ville mène à l’action et de l’un sur l’autre ne dépend pas obligatoire- au niveau de la donc au opération d’aménagement. ment de la volonté d’agir sur l’image de la ville, ville. Elle peut être à une échelle plus restreinte A ce stade, nous pouvons dès lors confirmé la première partie de l’hypothèse Les opérations d’aménagement agisse sur l’image de la ville, mais cela nest vrai en tout cas que pour les deux étude de cas étudiées ici. Nous ne pouvons la justifier comme généralité. Cette partie de L’hypothèsece confirme dans les cas présent car les sites retenus à Arniens comme à Tours sont des lieux centraux (hypercentre) et déjà chargé de réfé rents collectifs pour l’ensemble de la ville. Cela aurait pu être tout à fait différent pour d’autre sites. 68 PARTIE III L’image paysagère évolue t-elle positivement quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique directe d’agir sur l’image de la ville? 3.2 Les volontés politiques direct d’agir sur l’image grâce aux opérations d’aménagement permet un meilleur contrôle de l’évolution de l’image Hypothèse: L’image paysagère évolue quand les actions d’aménagement du paysage sont impulsées par une volonté politique d’agir sur l’image de la ville. Nous avons vues dans la deuxième partie que l’hypothèse serait justifié si (tous ces points ne seront pas abordé ci après, ils le seront dans le chapitre suivant: • Les acteurs ont dans un premier temps une volonté d’agir sur l’image de la ville, qui se traduit par la suite en actions d’Aménagement du paysage • Il y a une volonté de maîtriser la relation entre l’image et la qualité de la ville • Cette volonté et ces actions ont permis d’influencer et/ou de modifier l’image paysagère entre TOet Ti de façon positive et avec peu de diffraction • Le sentiment identitaire et ïappropriation des lieux et de la ville par les habitants est plus forte qu’en TO • Existe un lien fort qui a été créé/ou qui a été amélioré au sein de l’image interne Les acteurs ont dans un premier temps une volonté d’agir sur l’image de la ville, qui se traduit par la suite en actions d’Aménagement du paysage Que se soit pour le cas d’Amiens ou celui de Tours, les acteurs politiques ( Gilles de Robien, pour Amiens et Jean Germain, pour Tours) ont en premier ljeu souhaiter agir sur l’image de leur ville. A Amiens cette volonté c’est traduite par une volonté forte de créer un réel centre ville, comme lieu phare et chargé d’identité pour l’ensemble de la ville. Cette volonté c’est réellement traduite par l’aménagement de l’axe des Trois Cailloux et des place Gambetta et de l’Hôtel de ville. Nous avons vue dans le discours de Gilles de Robien que Fin tervention par le biais OEuneopération d’aménagement de l’espace public central Amiénois a pour but de mettre en scène un lieu de convivialité et de rencontre à l’échelle de la ville; Un lieu de reconnaissance et reconnu par l’ensem bic de la population. Jean Genriain, quand à lui est conscient des référent identitaire porté depuis de longue date par le centre ville de Tours. Sa volonté d’agir sur celle-ci semble, aux yeux de beaucoup, risquée. Il semble que Jean Germain veut se dé marquer de son prédécesseur et continuer à améliorer l’image de sa ville. Pour ce faire il axe sa volonté d’agir sur des opérations de qualité de l’espace public. Il veut par ces opérations continuer à soutenir la morphologie urbaine déjà très emblématique de Tours en y apportant une cohérence dans la gamme de matériaux et de mobilier urbain. 69 PARTIE en A étant nagement Dans existante. Entre paces personnes françaises bénéfique. centre Jean Pour les cateurs qualité. ville, piétonisation geaux En véritable Il affirmé Même L’attractivité Ce reconstruction obligatoire dans Amiénois son Amiens, semble revanche Cette Le revanche campagnes point attractivité. Germain, l’ensemble déjà Tours, les ainsi TO public ville. sentiment y si (qualitatif que Tours 1H a volonté deux beaucoup (1990) espace se arrive très apparaît à et interrogées aussi qu’a D’autre on pour se se Amiens confirme l’évolution centraux. se le paysage du et se et présente villes, nas traduit d’après celle-ci soient sentiment publicitaire L’image créer, faire l’harmonisation pour sûrement centre et de public il sert l’ensemble et identitaire Il et existe et T1(de souligne de jamais la ces y quantitatif) qu’un naître on de se tisser ces via différemment a ville. principalement s’accorde personne guerre, présageait sont ville dans actions une centrale renforce est peut l’amélioration un derniers les identitaire nos paysagère jouer vraiment un de un lien très volonté le c’est impulsées les de lien et opérations observé jour), sentiment c’est fait lien 1990 l’appropriation ont s’accord la référents pour pour différentes, fort retenus a de de fort développée d’apparaître qui véritablement que ville fort permis l’espace plus entre retrouvé l’évolution et de a ont subie façon dire beaucoup, une évolue pour qui ont I été ces de dans maîtriser d’aménagement, ; appropriation nous par d’attachement en largement pour Amiens un collectifs, a permis que la volonté créé aménagement de Amiens. d’influencer plus. positive été les la qualité public véritable une une et t-elle le dire diffractions les par relation au créé/ou de indicateurs le prouve. puisque des permis A âme de aménagements et la volonté marché le de que l’image sein Tours diminuer. semble l’action de Tours. positivement et relation lieux maintenir Cette laisser maîtriser et des lieu les avec la image/qualité identitaire de qui dc La une ont une et/ou la ville aménagements se lieux immobilier et entre ville paysagère l’image politique (noeud tout ne redonner place aller a diffraction peu intervient lien été de cohérence entre réelle été Amiens pour mettent le de la par ayant la de son nécessaire de de n’as effectué sentiment amélioré relation Jean de modifier selon ville même interne l’image image quand les diffraction créer son image la du de d’Amiens été avec directe tellement comme a Jaurès habitants pas ou population par qui prédécesseur la Lynch)de souffle sue qu’amélioré. ou effectué entre sur avoir porté distorsion ville. la en Amiénoise. pour au et d’identité avaient les l’image les et faire se création l’axe est la exergue la sein un d’agir habitants actions l’image a positionner par permis et souffert ne A faire qualité qualité un été lien naître on à du rencontre Tours, de principal semble disparues. la paysagère celle-ci. point été qui flagrante. perdurer et des dynamisme pour l’image sur au représentation Le un Un au et d’aménagement une de l’appropriation bénéfique. des de apparaissait niveau est plan axes image réel la de l’image centre pas sentiment la conforter la sur nouvelle qualité de fractures et plus passage ville. La ville changement. interne l’image de piétonniers avoir entre L’ensemble de la le de et ville mise circulation à forte ville marché diffusion qualité Nous la de Pourtant l’ensemble de été de la TO fortement image. de quasi qualité laissées de d’une en la n’ont la des qu’en relation son très fierté et ne développer ville? ville. avant à de des du Ti des lieux. Mais nouveau obligé pouvons flambé. modifié. des Touran L’amé ville d’après été la des TO par villes d’être de Cela de indi dans ville d’un déjà flux que es les La de 70 la la et Nous Les vées: deux tifs, ce (hypercentre) Cette différent marché l’immobilier indicateurs Cela ce Tours dre, offices ché nagements pondant poser quelles fausse aménagements La monter. paysage, nous que la Ayant F L’implication image ville, Q mémoire, confirme période l’évolution opérations de le il tout étude venons conclusion permettrait que et est en résultat considéré l’immobilier notariales proportions. foncier). c’est des CONCLUSION nous pour à à d’abord partie difficile les Amiens. la effectués de quantitatifs centres retenue ce dans continue et mais de ne et période d’autre entretiens du cas de d’aménagement effectués la que les déjà voir pouvons ne marché que volonté sont de car ces les étudiées va villes de résultats met D’après va De d’Amiens pour chargé dans que statuer comme plutôt sites. les cas faire derniers à où accompagné pas ont en défier plus, va immobilier, dans téléphoniques politique trancher indicateurs la présent les étudier les valeur s’attarder t-elle ici. la été de première et s’orienter les sur le on plus centres le part tous la sont et Nous retenu référents agisse constate entretiens centre peut et les pertinence l’évolution de franchement de les car des peut-elle importantes les à d’un la indicateurs mener Tours ne sur qualitatifs prendre ville aussi partie modifications question pour les sur pronostics vers choses ville réalisé pouvons Fnaim collectifs les certain sites l’image téléphoniques des ne ont CONCLUSION supposer apporter les réellement de ont-ils de éléments de et sur fait opérations reste en joués qualitatifs cet en l’image retenus limites l’hypothèse (Fédération progression et à « ce ce la : que interpréter grande pour indicateur. chauvinisme quantitatifs de influencés 15,4 posée justifier pont. qui des engendrés un que que la modifier suivre rencontrées paysagère à l’ensemble %en rôle. d’aménagement ville, concerne données (principalement ? avec les Amiens nous partie même nationale se du comme discours un la avec Il l’évolution mais les vérifiait retenu et avons tendance par reste » prix ans, de si agir complémentaires reftisant notaires engendré comme l’augmentation prudence les pour de cela façon les généralité. soit de tout de tenus sur souligné pour la indicateurs ou semble pour opérations justifier l’Immobilier) n’est ville. l’immobilier 86,9% française. les du de à directive et en quelques par l’élaboration par indicateurs (principalement Tours marché Amiens) même agence partie vrai Cela influencer dans les les Cette depuis l’hypothèse. qualitatifs des actions en agences sont Mais d’aménagement aux aurait (question difficile la d’admettre nuances immobilier?) immobilières mais tout partie prix sont troisièmes la quantitatifs six indicateurs fortement des de hausse on d’aménagement pu cette cas ans. de tendent constatées, immobilières cette de peut lieux de l’évolution ont être Même du immobilier que l’hypothèse Dans influence que savoir des été aussi tout parties type l’image recherche retenu, centraux à les pour qualita le prix corres nous obser ce si à amé mar dans sup cela fait des ca les les du sur de de du tel de et 70 le à