Joan Francés Blanc Los aujòls de Joan Baptista Blanc XV: Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas: generacion 29

© 2018 Joan Francés Blanc Licéncia Creative Commons CC-BY-NC-SA Genealogia n°35 http://j.f.blanc.free.fr

-ii- ENSENHADOR

I. Pourquoi ce livre n’est pas en français...... v About this book...... vi Introduccion...... vii Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Lista corta...... 1

II. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Lista corta...... 217

III. Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Las vint primièras generacion. Lista longa...... 571

IV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Lista longa, generacions 1 a 23...... 935 V. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Lista longa, generacions 24 a 28...... 1387 VI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Lista longa, generacions 29 a 61...... 1867

VII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacions 1 a 20...... 2219 VIII.Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacions 21 e 22...... 2671 IX. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 23...... 3161 X. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 24...... 3509

iii XI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 25...... 3937 XII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 26...... 4375 XIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 27...... 4783 XIV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 28...... 5225 XV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 29...... 5557 XVI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacion 30...... 5901 XVII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacions 31 a 33...... 6381 XVIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas. Generacions 34 a 61...... 6689

iv Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Generacion 29 379.716.096: Fonts: - persona: H.deRiberolles(Base Tournemire), JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011 - defunció: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011 - família: H.deRiberolles(Base Tournemire), JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011, J-P de Palmas (Histoire de la maison des Baux, par Gustave Noblemaire, 1913 ) 2 viii 2011

379.716.097: Non mentionnée par ma source ? J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009

Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011, H.deRiberolles(Base Tournemire) - naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - família: H.deRiberolles(Base Tournemire), JL.Mondanel (généalogie des Baux) 12 iii 2011, J-P de Palmas (Histoire de la maison des Baux, par Gustave Noblemaire, 1913 ) 2 viii 2011

379.716.098: Ursus or Orso (died 892) succeeded his father, Aiulf II, as Prince of Benevento in 890 or 891. Ursus did not long hold this post. He was deposed after the capture of Benevento by the Byzantine strategos of Calabria, Sybbaticius. Benevento became, albeit briefly, the capital of the thema of Langobardia. His epitaphium says: «Ursus . . . splendida progenies . . . hunc genuit princeps Bardorum stemmate clarus Radelchis».

http://en.wikipedia.org/wiki/Orso_of_Benevento

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.716.112: A l’occasion du millénaire de sa mort célébré en 1994, un congrès international fut organisé du 12 au 14 mai 1994, à Valensole, berceau de saint Mayol, sous le patronage de Georges Duby et de Don Philippe Dupont, abbé de Solesmes. Les actes de ce congrès intitulé « Saint Mayeul et son temps » furent publiés en 1997. Naturellement il fut question des origines paternelles et maternelles de notre saint, qu’évoqua notamment le RP Jean de la Croix Bouton o.c.s.o (historien, abbaye d'Aiguebelle) dans sa communication intitulée « La fondation du prieuré de Valensole (Maison paternelle de St Mayeul). Je cite (p 54 des Actes) : "Les possessions de Folcherius, père de Mayeul et fils d'un autre Folcherius, sont connues grâce à trois chartes de Cluny, les chartes n° 105, 106 et 107. Le 3 septembre, Raymonde petite fille de Mayeul 1er et belle sœur de d'Arbald III, d'une famille mâconnaise venue s'établir dans le pays d'Apt, avait épousée en Avignon Fulchérius, riche propriétaire du pays d'Apt. Déjà en 852 le grand père de Fulcherius, Robert, possédait une grande partie du territoire situé au pagus Albionensis au nord d'Apt (in cartulaire d'Apt, p 65 et 68). A l'occasion de son mariage, Folcherius, avec le consentement de ses frères Rainoard et Gérard, fit don à sa femme de plus de cent manses, soit au moins 1500 hectares dans les régions d'Apt, Aix, Sisteron et Riez. () A noter que Fulcherius se marie juxta legem -5557- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas meam romanam. Il sait donc que sa famille est d'origine romaine et, quand on connait ses biens immenses on sent qu'un tel domaine n'est pas improvisé : il ne pouvait appartenir qu'à une très ancienne maison qui le possédait déjà à la fin du Bas Empire (.) Folcherius mourut en 915, peu après la naissance de son fils Mayeul. Les terres familiales furent pillées par les sarrasins et le jeune Mayeul fut recueilli avec sa mère Raymonde par le père de celle ci, Mayeul, vicomte en Mâconnais."

Source: Philippe d’Allemagne (mail) 21/07/2009

Bibliographie

 H. Dubled, Le Cartulaire de l’Église d’Apt et l’histoire du droit et des institutions du haut Moyen Âge, Provence Historique, T. 17, fasc. 68, 1967.  Millénaire de la mort de Saint Mayeul, 4e abbé de Cluny, 994-1994 : actes du congrès international Saint Mayeul et son temps : Valensole 12-14 mai 1994 / sous le patronage de Georges Duby et Philippe Dupont., publ. Digne-les-Bains : Société scientifique et littéraire des Alpes de Haute- Provence, 1997.

Liens externes

 Wikipédia

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Medieval Genealogy: vicomte de Narbonne + C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009, J-P.de Palmas (H. Dubled, Le Cartulaire de l’Église d’Apt et l’histoire du droit et des institutions , Provence Historique, T. 17, fasc. 68, 1967) 2015. - defunció: J-C de Vaugiraud (actes du congrès de Valensole, 1994) 03/08/2009 - casament: J-C de Vaugiraud (Medieval Genealogy: vicomte de Narbonne + C. Settipaani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009

379.716.113: Medieval genealogy la pense fille de Gauthier de Narbonne (le frère de Mayeul) Christian Settipani la pense fille de Mayeul ! J-C de Vaugiraud (Medieval genealogy: vicomtes de Narbonne) 19/07/2009

Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène Debax (2008)la considère aussi comme fille d'un Mayeul, mais un autre Maïeul de Narbonne: . C.Saint-Félix 12x2014

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Medieval Genealogy: vicomte de Narbonne + C. Settipaani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 - casament: J-C de Vaugiraud (Medieval Genealogy: vicomte de Narbonne + C. Settipaani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009

379.716.113b: Quatrième abbé de Cluny, Mayeul fut spontanément reconnu comme saint immédiatement après sa mort, et son culte, qui constitua le premier grand culte -5558- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas abbatial clunisien, fut l'un des plus importants du Moyen Âge et persista au Puy et à Souvigny jusuq’à la Révolution.

En 916, des troubles importants embrasent la Provence, lutte contre les Sarrasins et guerres féodales entre les princes(conflits entre les familles aristocratiques provençales et les familles bourguignonnes amenées en Provence en 911 par Hugues Capet). C’est ainsi que la fille du vicomte de Narbonne, Raymonde, accompagnée de son fils Mayeul, se réfugie dans le Mâconnais auprès de son frère le vicomte de Mâcon Albéric Ier.

Mayeul entre dans le clergé séculier, étudie à Lyon, devient ensuite chanoine de la cathédrale Saint-Vincent de Mâcon, puis archidiacre à vingt et un ans. En 930, il refuse l’archevêché de Besançon. Ce n'est que dix ans plus tard qu'il rentre comme moine à Cluny, où il prononce ses voeux en 943 ou 944. Il exerce alors la fonction d'«armarius » (garde des livres et maître des cérémonies). En 948, l'abbé Aymard de Cluny devenu aveugle, lui laisse diriger le monastère comme coadjuteur. Aymard démissionne de sa charge d'abbé en 954, ouvrant 40 ans d'abbatiat à Mayeul. Ses bonnes relations avec Adélaïde, sœur du roi de Bourgogne Conrad le Pacifique (937-993) et épouse du roi de Germanie Otton 1er, empereur dès 962, lui confèrent une certaine influence tant à sa cour qu'à celle de son fils Otton II. Il intervient jusque dans des querelles privées de la famille impériale, ce qui lui valut de se voir proposer le siège pontifical après la mort de Benoît VI et de Benoît VII, siège qu'il refusa, se jugeant plus utile au milieu de ses moines. Les liens avec l'Empire favorisèrent l'extension de l'"Ecclesia Cluniacensis" vers l'est. Il fut certainement l'un des conseillers de Hugues le Grand, duc des Francs, ce qui lui permit de réformer des monastères et d'y placer des abbés réguliers. Enfin, il poursuivit les relations qu'Odon avait nouées avec la papauté.

Mayeul prit à cœur le développement financier de l'abbaye, gérant avec soin les donations qui affluaient vers un abbé dont le renom était immense. Dès 967, Mayeul poursuit également l'œuvre de réforme initiée par Odon, instaurant la règle bénédictine dans de nombreux monastères, renforçant ainsi l'influence de Cluny en Occident. En juillet 972, sa capture dans les Alpes par les Sarrasins de Fraxinetum (La Garde-Freinet), entraîne une mobilisation générale de l’aristocratie provençale autour du comte Guillaume. De nombreux objets de culte et d'orfèvrerie du trésor de Cluny furent fondus pour payer sa rançon. Dès sa libération, Guillaume de Provence organise « au nom de Mayeul » une guerre de libération contre les Sarrasins, qu’il chasse de Provence après la bataille de Tourtour (973). Appelé par Hugues Capet à réformer Saint-Denis, Mayeul s'éteint en route, au prieuré de Souvigny le 11 mai 994, où il est enterré. Le roi prend en charge ses funérailles. Avant sa mort, il avait fait élire Odilon pour diriger la destinée de l'abbaye.

La famille de dom Mayeul, quatrième abbé de Cluny

Dom Mayeul, ce prince de la vie monastique – l’expression est de son successeur Odilon – fut à la fois un fin lettré, un grand seigneur féodal et un politique avisé. Tout au long de son abbatiat son influence fut primordiale. Il la devait, tout d’abord, à son milieu familial. Sa branche paternelle avait fourni au Royaume d’Arles les comtes et les vicomtes de Provence et la maternelle ceux de Narbonne puis de Bourgogne. Jean Barruol, en comparant, le Cartulaire de ClunyNote1 à celui d’Apt a pu reconstituer l’origine et l’état de ses familles paternelle et maternelle du Xe au XIIe siècle. Il indique d’ailleurs que la plus grande partie des personnages du Cartulaire d’Apt appartiennent à cette Maison. En effet, Robert 1er, arrière-grand- père paternel de l’abbé de Cluny, en 852, possède une partie du Pagus Albionis (Apt, C. XI et Cluny, C. 1071)note27. Son père Foucher II de Valensole, en 909, épouse à Avignon, Raymonde de Narbonne (Cluny, C. 105). Le couple eut au moins

-5559- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas deux fils dont Eyric, frère aîné de Mayeul.Raynouard 1er de Saignon (Apt, C. XIII, XV, XVI, et Cluny, C. 105) est le frère cadet de Foucher, le père de dom Maïeul et d’Eyric. Raynouard - dit encore Raynald – meurt vers 960. Il est le héros des chansons de geste « Guillaume le Libérateur » et « Alyscamps » où il est décrit comme un géant doué d’une force prodigieuse. Sa notoriété fut telle que Dante le plaça dans son « Paradis » aux côtés de Roland et de Charlemagne. Du côté maternel, son plus lointain aïeul est aussi son arrière-grand-père Mayeul 1er, vicomte de Narbonnenote3. Son grand-père Mayeul II (Cluny, C. 697), devient vicomte dans le Mâconnais, et son grand-oncle Albéric 1er, comte de Mâcon (Cluny, C. 432).

note1↑ Cf. A. Bernard et A. Bruel, Recueil des chartes de l'abbaye de Cluny, T. 1 à 6, Paris, 1871-1888 note2↑ C’est le pays ou plateau d’Albion qui se situe au nord d’Apt. note3↑ Le vicomte qui décéda avant 911 est cité par dom Vaissète dans son HGL, T. III, p. 77.

Liens externes Wikipédia Fonts: - persona: P.d'Allemagne (La maison de Mayol, Jean de Mayol de Lupé), P.Deries (11/05/09), J-P.de Palmas (H. Dubled, Le Cartulaire de l’Église d’Apt et l’histoire du droit et des institutions du haut Moyen Âge, Provence Historique, T. 17, fasc. 68, 1967.) 22 ii 2015

379.716.224: Fonts: J-L. Dega

379.716.225: Fonts: J-L. Dega

379.716.228: Fidèle du comte Acfred qui lui lègue des biens en Gévaudan en 927. Fonts: J-C de Vaugiraud (Voir détail des sources: fiche d'Etienne de Gévaudan) 19/09/08

379.716.229: Sans doute de la famille des Dalmatii pour C. Settipani. Fonts: J-C de Vaugiraud (Voir détail des sources: fiche d'Etienne de Gévaudan) 19/09/08

379.716.230: Les vicomtes mentionnés par la documentation auvergnate

 Bertrand 966-977 et 980/4 Brioude. CCCCXLIX (936-983), Brioude. CCLXXXVI (955- 985) (susp.), Sauxillanges. 55 ou 368 (954-986)

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296) 07/09/2008, J-P de Palmas (notes: Vicomtes et vicomtés en Auvergne et dans ses marges IXè-Xè s., par Christian Lauranson-Rosaz, Fac.de droit Lyon) x2009, J-L. Dega, C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006 - defunció: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 3i2015

-5560- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296) 07/09/2008, J-L. Dega

379.716.231: Fonts: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296) 07/09/2008, J-L. Dega

379.716.231a: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296) 07/09/2008, C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12 v 2006

379.716.232: Fonts: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux") 7v2006

379.716.233: Fonts: - família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux") 7v2006

379.716.233b: Fonts: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" , 2007) 25ii2011

379.716.256: Une Cautela et son fils Garibert sont évoqués en 852.

Fonts: - persona: http://hal.archives- ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf - família: http://hal.archives- ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf

379.716.257: Fonts: http://hal.archives- ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf

379.716.257b: Fonts: - persona: http://hal.archives- ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf

379.716.257c: Fonts: http://hal.archives- ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf

379.716.272: The name of Hilduin's wife is not known. Hilduin & his wife had [one possible child]: LIUTHARD "Ildinus" donated property to Aniane for "parentes meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice mea.Senegunde et filios meos et filias uxore mea Archimberta" by charter dated 8 Oct 972 subscribed by "Allidulfo, Ermengaudo, Odone"[1390]. [1390] Aniane, CCLIII, p. 378. Problablement descendant de Leuthard de Fezensac.C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

-5561- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011 - família: J-L. Dega

379.716.273: Fonts: - família: J-L. Dega

379.716.288: Boson d'Arles (885 - † 936) dit aussi Boson VI de Provence, Comte d'Avignon et Vaison (911-931), comte d'Arles (926-931) et marquis de Toscane (931-936). Il est fils de Théobald d'Arles[1] et de Berthe, une fille illégitime de Lothaire II de Lotharingie. Biographie En 926, il succéda à son frère Hugues d'Arles en tant que comte d'Arles lorsque celui-ci quitta Arles pour l'Italie. Boson d'Arles s'engagea lui aussi en Italie et fut nommé marquis de Toscane en 931 par son frère après la déposition de Lambert. En Provence, Boson fut remplacé alors par son gendre, le mari de sa fille Berthe et fils de Richard le Justicier, lui aussi appelé Boson (895-935) ou parfois Boson Ier[2]. Boson d'Arles intervient également en Lorraine contre Henri Ier de Germanie. Il fut finalement déposé et arrêté en 936[3] et remplacé par un fils illégitime d'Hugues : Hubert. En réalité Boson d'Arles périt probablement assassiné sur l'ordre de son frère Hugues. A l'instigation de sa femme Willa, il aurait en effet tenté un coup de force contre ce dernier. Généalogie D'une première épouse non identifiée, il aurait eu un enfant :

 Roubaud Ier ou Rotbold l'Ancien (v. 907-936) qui épousa Ermengarde d'Aquitaine, fille de Guillaume Ier d'Aquitaine, et fut assassiné par son oncle le roi Hugues en 936.

Il épousa ensuite Willa de Bourgogne, fille de Rodolphe Ier de Bourgogne et de Willa de Provence. De cette union naquirent quatre filles[4]:

 Berthe d'Arles (av. 912- ap. 18 août 965), comtesse d'Arles qui épousa probablement en 924[5] Boson (895-935), appelé aussi Boson Ier[6], fils du duc de Bourgogne, Richard II de Bourgogne dit Richard le Justicier. Boson était abbé laïc de l'abbaye Saint-Pierre de Moyenmoutier et de l'abbaye de Remiremont dans les Vosges. Devenue veuve, Berthe d'Arles épousa en 936 Raymond II († 961), comte de Rouergue [7] Il est également dit qu'elle accueillit son oncle Hugues à Arles en 947.  Willa III (912-970) qui devint reine d'Italie en 930 en épousant Bérenger II, roi d'Italie.  Richilde  Gisèle

Notes et références

1. Le père de Boson, Théobald (850-895), comte d'Arles et Vienne, est le cousin de Boson roi de Bourgogne Cisjuranne de 879 à 887 2. Controverse sur ce Boson ; voir Boson II d'Arles 3. Frédéric de Gingins-La-Sarra - Mémoires pour servir à l'histoire des royaumes de Provence et de Bourgogne-Jurane – 1851, page 97 ici [archive]

-5562- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 4. "Bertam, Willam, Richildam et Gislam" are named (in order) as the four daughters of Boso and Willa by Liutprand (cf. comtes de Provence [archive]) 5. Les dates de 931 et 933 sont parfois avancées. Mais Berthe était déjà mariée lorsque son père partit en Italie en 931 ; la date de 924 est donc plus probable, malgré le jeune âge de la mariée 6. Voir page de discussion pour la date de décès de ce Boson 7. ↑ On trouve aussi les dates de 935 et 940

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 29 x 2012 - defunció: J-P de Palmas (périt probablement assassiné sur l'ordre de son frère Hugues) - família 2: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.289-2c: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.289-2d: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.290: À sa mort en 886, Bernard Plantevelue, descendant de Thierry, comte d'Autun sous Pépin le Bref, et de l'illustre saint Guillaume de Gellone, marquis d'Espagne et comte de Toulouse sous Charlemagne, laisse à son fils Guillaume une vaste principauté (Auvergne, Velay, Gévaudan, Limousin, Berry, Gothie, Mâconnais), constituée en soutenant les rois carolingiens en titre contre les grands révoltés, Bernard de Gothie et Boson de Vienne. Guillaume poursuit d'abord la même politique, et obtient de Charles le Gros la reconnaissance de ses terres. Après la déposition de Charles et l'élection du roi Eudes, il s'efface devant Rannoux II, comte de Poitiers, qui se proclame roi d'Aquitaine mais meurt en 890. Il soutient alors Ebles Manzer, bâtard de Rannoux II, contre Adhémar, nommé comte de Poitiers par Eudes, d'où une campagne d'Eudes en Aquitaine en 892. Eudes prive Guillaume de tous ses honneurs et le remplace par un certain Hugues, mais Guillaume réagit en tuant Hugues au combat. La réconciliation de juillet 893, par laquelle il recouvre ses terres et obtient la dignité d'abbé laïc de Saint-Julien de Brioude, précède de peu le couronnement de Charles le Simple qui reconnaît Guillaume. Celui-ci se désintéresse alors du problème dynastique et se consacre au gouvernement de sa principauté, où il n'a de pouvoir incontesté que dans le noyau primitif fondé par l'Auvergne. Il cherche à créer son propre réseau de fidélités parmi les membres de la noblesse locale, se heurtant en particulier au refus du comte Géraud d'Aurillac. Il fonde de nombreuses abbayes, ce qui lui vaudra le surnom de Guillaume le Pieux. C'est lui qui en 909 (ou 910), donne le domaine de Cluny 1, situé dans le Mâconnais, à l'abbé Bernon, d'une famille de Bourgogne, pour y construire une abbaye à placer sous la règle de saint Benoît, la mettant sous la sauvegarde directe du Saint-Siège et décidant l'élection libre de ses abbés par les moines : c'est l'origine de la grande congrégation clunisienne. En 898 il prend de sa propre initiative le titre jamais porté de "comte, marquis et duc d'Aquitaine", titre transmis à ses successeurs. À sa mort sans héritier direct en 918, le duché passe à son neveu Guillaume, fils du comte de Carcassonne, et se désagrège rapidement, pour sombrer dans le désordre à la mort du dernier représentant de la famille en 927. [ Dictionnaire des personnages historiques, s. d. J.-L. Voisin, Paris, éd. De Fallois, Le Livre de Poche, 1995, p. 449-450] Iconographie Initiale ornée représentant Guillaume le Pieux ~ manuscrit du XIIème siècle ~ Ms Lat 17716, f° 85 ~ (c) Bibliothèque Nationale de France -5563- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Références

1. L'Abbaye de Cluny Guillaume Le Pieux faisait donc partie de la haute aristocratie féodale de cette époque. La fondation du monastère de Cluny est un acte politique, notamment par le choix de son emplacement, et religieux par son contenu. L’abbaye de Cluny, est fondée pour le repos du roi Eudes, mort en 898, et à distance respectable des capitales, la plaçant hors de portée des ambitions territoriales des souverains. Cluny se trouve alors situé à l’extrémité de ses terres, à la frontière entre le royaume de Francie occidentale, le royaume de Germanie et celui de Bourgogne (reste de la Lotharingie qui s’étend sur les Alpes et la vallée du Rhône, et au nord jusqu’à Besançon). Enfin, par la charte de fondation signé à Bourges en 909 ou 910 (selon que l’on considère la treizième année du règne du roi Charles le Simple ou de l’indiction) Guillaume déclare faire don “des biens qui sont ma propriété aux apôtres Pierre et Paul : à savoir le domaine de Cluny avec sa cour, sa réserve et la chapelle dédiée à Marie, la sainte mère de Dieu, et à saint Pierre, prince des apôtres, avec tout ce qui en dépend en fonds, chapelles, serfs de l’un et de l’autre sexes ; vignes, champs, prés, bois, plans d’eau et cours d’eau, moulins, voies d’accès et de sortie, terres cultivées et incultes, le tout en intégralité.” Il le libère ainsi de toute ingérence des pouvoirs féodaux, tant laïcs qu’épiscopaux, pour ne l’assujettir qu’à celui du pape, héritier de Saint Pierre. Il en confie la charge à Bernon, moine de l’empire germanique, abbé de Baume-les- Messieurs dans le Jura, connu pour avoir réformé plusieurs monastères, qui débutera avec six moines de son abbaye de Baume et six autres de son monastère de Gigny. Il y impose “la règle du bienheureux Benoît”, c’est à dire celle de Saint Benoît de Nurcie (composée entre 534 et 547 dans le monastère qu’il à fondé en 529 au sommet du mont Cassin en Italie) telle qu’elle avait été revue par Benoît d’Aniane, à la demande de l’empereur Louis le Pieux, fils de Charlemagne, en 817.

2. GUILLAUME, DUC D'AQUITAINE Jeune encore, Guillaume avait été recommandé à son parent, Géraud, baron d’Aurillac. Alors qu’il était témoin des instincts guerriers de son père Bernard, les exemples de douceur et de piété de Géraud laissèrent dans son esprit des traces indélébiles. C’est ainsi qu’il s’appuya sur le clergé vers la fin de sa vie. Sa mère, Ermengarde, ayant établi un monastère de femmes à Blesle, près de Brioude, il pensa, lui aussi, à établir des fondations religieuses qui lui valurent de la part des moines les titres d’homme excellent, digne de louanges en beaucoup de choses, bon, très libéral, et bien sûr, le nom de Guillaume le Pieux que l’histoire a conservé.

Après avoir passé une grande partie de sa vie à affermir sa puissance, il la voyait exposée à tomber en des mains étrangères. La mort prématurée de son fils Boson le laissant sans héritier direct, il avait adopté son neveu Guillaume, fils ainé de sa sœur Adelinde, mariée à Alfred, comte de Carcassonne. Le moment était donc venu pour le vieux duc de penser au salut de son âme. Peut-être, dans la secret de sa conscience, il se remémora le long cortège de sa recherche insatiable du pouvoir, des contrées ravagées par les guerres qu’avait suscitées son ambition, les hommes sacrifiés dans nombre de batailles meurtrières, sans oublier le meurtre du comte Hugues, tué de ses propres mains dans un accès de colère. Il pensa racheter ses fautes en accomplissant l’œuvre d’expiation et de charité qui était considérée comme la plus méritoire de toutes, c'est- à-dire en fondant un monastère. -5564- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

L’occasion s’offre à lui puisqu'il possédait dans le comté de Mâcon des terres et des forêts. Un jour qu’il s’y trouvait, il pria Bernon, abbé du monastère de la Balme dans le Jura, de venir le rejoindre. Ce dernier s’y rendit, accompagné d’Hugues, abbé de Saint-Martin d’Autun. Guillaume leur fit part de ses projets. Ses interlocuteurs lui affirmèrent que le lieu était particulièrement propice à recevoir un monastère. Comme le duc hésitait à se dépouiller de ces domaines qui étaient sa principale résidence de son comté, affirmant que les chasseurs et les chiens, nombreux dans ce pays, troublaient le silence des forêts voisines. Bernon lui répondit : « Chassez d’ici les chiens, et remplacez les par des moines, car vous savez lequel vous sera le plus utile auprès de Dieu, ou des cris des chiens de chasse ou des prières des moines. » Guillaume accueillit ce conseil : « Ton avis est assurément le meilleur, mon père, et puisque tu l’exprimes sans déguisement, qu’il soit fait, avec l’aide du Christ, ainsi que ta bonté nous y exhorte. » ( Vita S. Hugonis monachi Eduensis, Saec. Bened. T. VII, p.97 )

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud 13/09/2008, J-P de Palmas (L'Abbaye de Cluny) vi2009 - casament: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.291: ENGELBERGA ([877]-after Jan 917). Her parentage and marriage are deduced from her donation to Cluny with her husband dated Jan 917, in which her brother "Ludovico" is named[34]. The Annales Bertiniani record the betrothal in 878 of "filiam Bosonis" and "Karlomanno filio suo [=Hlodowici rex]"[35]. It is assumed that this daughter was Engelberga, who must have been an infant at the time, but no proof has been found which confirms that this is correct. "Bosonis" could refer either to the future King Boson or to Count Boson, husband of the adulterous Engiltrudis (see below). While Boson of Provence had refused to swear allegiance to Louis II "le Bègue" King of the West Franks ("Hlodowici rex") on the latter's accession, it is not known whether he was still in rebellion the following year. Assuming that some reconciliation had taken place, a marriage alliance between the two parties would have been a likely possibility. The other Count Boson was presumably of less political importance and, in addition, his problems with his adulterous wife may have rendered his daughters unmarriageable at the time. The Annales Bertiniani indicate that Engelberga was born from her father´s [second] marriage when they record that "Richardus frater Bosonis" took “uxorem Bosonis et filiam eius” back to “comitatum suum Augustudensem” in 882 after the capture of Vienne by the forces of King Carloman[36]. Engelberga is named as co-founder with her husband of the of Cluny in a charter dated 11 Sep 910[37]. She died as a nun at San Sisto, Piacenza. [Betrothed (11 Sep 878) to CARLOMAN, son of LOUIS II "le Bègue" King of the Franks & his first wife Ansgardis --- (867-killed accidentally Bézu-la-Forêt, near Andelys, Eure 6 Dec 884, bur église de l'abbaye royale de Saint-Denis). He succeeded his brother in 882 as CARLOMAN King of the West Franks.] m (before 898[38]) GUILLAUME I "le Pieux" Duke of Aquitaine, son of BERNARD "Plantevelue" Comte d'Auvergne & his wife Ermengarde [d'Auvergne] (-6 Jul 918, bur Abbaye de Brioude, Haute-Loire). [34] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye de Cluny (Paris) Tome I, 205, p. 193. [35] Annales Bertiniani III 878. [36] Annales Bertiniani III 882. [37] Cluny Tome I, 112, p. 124.

-5565- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [38] ES III 731. Settipani (1993), p. 375, gives "before 910" as the date of the marriage. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 2 xii 2013 - casament: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.291b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.292: Fonts: - naixement: J-P de Palmas (Tournemire) - família 1: O.Guionneau (C.Settipani " la préhistoire des Capétiens"; 17 VI 08)

379.716.293: fille illégitime de Léon VI empereur d'Orient

Fonts: - persona: Maxim Olenev [email protected]

379.716.293-1a: Fonts: - persona: O.Guionneau (C.Settipani " la préhistoire des Capétiens"; 17 VI 08)

379.716.294: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014 - naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - família: R.Dewkinandan> WW-2, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.295: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014 - família: R.Dewkinandan> WW-2, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.295c: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014 - família: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.295d: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.295e: -5566- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Manassès d'Arles (? - † 961), fut archevêque d’Arles (914-961), évêque de Véronne, de Trente et de Mantoue, ainsi qu'archevêque de Milan (948-948). Il était par sa mère Teutberge, le neveu d'Hugues d'Arles qui fut roi de Provence et d'Italie.

Biographie

Un proche d'Hugues d'Arles

D’origine bourguignonne, il est le fils de Teutberge d'Arles, la sœur d'Hugues d'Arles, et du comte Warnarius (Garnier) (tué en combat le 6 décembre 924), vicomte de Sens et comte de Troyes 895/96.

Un évêque puissant sous Hugues d'Arles

Manassès reçoit l’archevêché d’Arles vers 914, à la suite de l’installation d'Hugues d'Arles dans la cité provençale en 911 et peu après en 921 reçoit du roi Louis III des droits sur la ville dont ceux perçus sur les Grecs et les autres gens venant à Arles[1]. Son installation sur le siège archiépiscopal arlésien s'inscrit dans le cadre des conflits de cette époque. La venue d'Hugues crée en effet une forte opposition entre l'aristocratie locale et la nouvelle aristocratie bourguignonne amenée par le comte. Ces tensions qui se traduisent parfois par des meurtres, culminent dans les années 915-920[N 1]. En 923, il cède à l’Église de Marseille, menacée par les bandes sarrasines, les églises de Fos[N 2] et l’abbaye Saint-André de la Cape où l’évêque de Marseille, Drogo peut se réfugier.

En 926, quand Hugues part en Italie, il le suit. Il se fait nommer sur les évêchés de Véronne, de Trente et de Mantoue et reçoit de nombreuses abbayes tout en assumant la fonction de premier ministre auprès de son oncle. Tant de faveurs soulèvent jalousie et rancoeurs auprès de la noblesse italienne[2].

Des temps plus difficiles après la disparition d'Hugues

En 948[N 3], la disparition de son protecteur et oncle Hugues d'Arles qui avait du fuir l'Italie, ouvre pour lui et les proches du comte une période pleine d'aléas. En Provence, dès le mois de septembre, Manassès fait une donation - des biens sis dans le comté de Chalon[N 4]- à Cluny, probablement pour l’âme de sa mère récemment décédée[N 5] et peu après, le 7 octobre 948, il organise l'élection d' Honorat[N 6], évêque de Marseille, de la famille des vicomtes de Marseille. Il vend en 949 le domaine de Montmajour à Theusinde dite aussi Teucinde, femme appartenant à une famille aristocratique d’origine bourguignonne qui le cède aux moines bénédictins vivant sur cette île entourée de marécages. En Italie, à la mort de l'archevêque Ardaric décédé le 13 octobre 948, il est nommé à l’archevêché de Milan par Bérenger II et son épouse Willa la fille de Boson d'Arles. Il s'ensuit alors une période de conflits avec ses rivaux Adelman et Walpert qui se termine par le triomphe de ce dernier en 953[3]. Les dernières années de Manassès sont peu connues. Depuis au moins l'an 951, il est secondé par un coadjuteur nommé Radon et décède vers 961 ou 962[4].

Un rôle prépondérant

A propos de Manassès, on a pu parler de la prépondérance écrasante de l'archevêque d'Arles (J.-P. Poly). L'archevêque d'Arles devient le seul métropolitain en Provence. Il réussit à placer à la tête des évêchés des clercs de son entourage. Les évêques de Fréjus, de Vaison, de Venasque, résident à Arles et exercent les -5567- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas fonctions de prévôt du chapitre. Les évêques ne jurent plus fidélité au roi, mais à l'archevêque d'Arles.

Prélat puissant, Manassès est aussi un riche propriétaire terrien. L'inventaire du domaine de l'archevêque établi peu après son décès vers 961, montre que Manassès possédait un grand domaine foncier qui s'étendait sur la totalité du territoire du diocèse d'Arles, notamment en Argence, Autavès, Camargue et Crau[5]. Lui étaient également rattachées les trois abbayes d'Aniane, de Goudargues et de Cruas[6].

L'importance des archevêques du Xe siècle résulte aussi d'un pouvoir et d'une richesse foncière qui ne sont pas encore diminués ni par les monastères ni par les papes. Mais l'Église d'Arles, comme plus généralement celle de Provence, doit commencer à composer avec les grandes familles comtales et vicomtales qui à partir de la seconde moitié du Xe siècle essayent de faire entrer la mense ecclésiastique dans leur patrimoine familial.

Notes et références Notes

1. Cf. Meurtre par exemple des parents de l'Mayeul, le futur abbé de Cluny. 2. Concédée un temps à l'évêque de Marseille par l'archevêque d'Arles, Manassès, elle fut ensuite restituée à ce dernier une cinquantaine d'années plus tard. 3. Le 10 avril 948. 4. Manassès donne en 948 des possessions sises dans le comté de Chalon (CLU n° 726) d'après Eliana MAGNANI - « Cluny, Saint-André de Gap, le Dévoluy, L'implantation clunisienne en Haute-Provence – milieu Xe-XIe siècle » ici [archive]. 5. "matris mee Theotberg" in the Sep 948 donation to Cluny of her son "Manases archiepiscopus Arelatensis" made for her soul, presumably indicating that she was then deceased. Compte tenu de la date de cette donation - après le décès de son protecteur et oncle Hugues - on peut supposer que Manassès essaye de renouer des liens avec le puissant coadjuteur de Cluny, l'abbé Mayeul. 6. Honorat est nommé le 7 octobre 948 évêque de Marseille par une transaction entre Theusinde, Manassès et le chapitre d'Arles (Albanès, Ev. de Mars. n° 65).

Références

1. Louis Stouff - Arles au Moyen Age, page 62. 2. Augustin Fabre - Histoire de Provence, page 376 ici [archive] : Il (Hugues) donna trop de confiance et de crédit à son neveu Manassès, archevêque d'Arles, qui l'avait suivi dans ses nouveaux états. Il le fit son premier ministre, le pourvut de riches abbayes, et lui conféra les évêchés de Véronne, de Trente et de Mantoue. Ces faveurs accumulées sur la tête d'un parent privilégié , soulevèrent contre Hugues beaucoup d'ambitions jalouses. 3. Liutprand de Crémone (c. 920-972) écrit vers 961: Walpert archevêque de Milan, échappé autant mort que vif à la fureur de Bérenger et d'Adalbert, vint trouver Otton et lui déclara qu'il ne pouvait pas supporter la cruauté des deux rois, ni celle de Willa qui contre tout droit divin et humain avait fait monter sur le siège de Milan l'évêque Manassès d'Arles; il disait également que Willa était une calamité pour son église parce qu'elle lui enlevait ce dont elle et les siens avaient besoin. -5568- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 4. Jean-Pierre Papon - Histoire générale de Provence - Moutard, 1777 - t.1, page 307 ici [archive] : On croit qu'il mourut en 962. Il avoit un coadjuteur nommé Radon , pour gouverner l'église d'Arles en son absence ; dé-là vient qu'on donne à celui-ci le titre d'archevêque, dans une charte de l'an 951. 5. Martin Aurell, Jean-Paul Boyer, Noël Coulet - La Provence au Moyen Âge, page 20 6. ↑ Édouard Baratier (sous la direction de) - Histoire de la Provence, page 117.

Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, J-P de Palmas (wikipedia) x2009

379.716.295f: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.296: N'est pas fils de Textulle du Gâtinais ! Les parents d'Ingelger demeurent inconnus à ce jour !

Wikipédia à l'aide des "tablettes généalogiques" de Jean de Turkheim, datées par ce site de 1964 (alors que c'est une ré-édition d'un grimoire datant de 1810 !) donne quelques bon faits historiques sur la famille des ascendants du Gâtinais mais il serait très dommageable pour la crédibilité de la base que l'on fasse état aujourd'hui de telles filiations ! Pas un seul des chercheurs/historiens/généalogistes de notre siécle (et même du siècle écoulé) ne tiendrait pour sérieux ce type de filiation : pour ma part je souhaite que l'on détache la descendance de ce Textule de la filiation des Ingelger. Je suis assailli par un doute : quelque magicien ayant sous les yeux un vieux grimoire du XVI- XVIIème ne serait-il pas tenté un de ces jours, de remettre "à jour" la généalogie des rois de France jusqu'aux Troyens ( cela figurait texto alors !) JB de La Grandière 7/6/2010

D'après la Gesta Consulum Andegavorum, les parents d'Ingelger sont Tertulus fils de Torquatus et Pétronille de Bourgogne fille d'Hugues. Torquatus, père de Tertulus aurait été un forestier breton méritant. Charles le Chauve aurait donné la moitié du comté d'Orléans à Torquatus et l'autre moitié à Eudes, fils de Robert le Fort. Tertulus aurait succédé à son père Torquat à la fin du règne de Charles le Chauve. Les historiens n'ont pas considéré ces informations comme crédibles car ces deux personnages n'ont pas laissé de traces dans la documentation de cette époque ce qui est généralement jugé comme impossible. A ce jour, Ingelger n'a donc pas de famille (l'antroponyme est rare pour ne pas dire inexistant) même si K. F. Werner montre qu'un Ingelger abbé de Saint-Calais en 863, s'oppose aux revendications de l'évêque du Mans sur son abbaye, déclarant qu'il s'agissait d'une abbaye royale (p 59). (C.Saint-Félix,Source : site de Thierry et Hélène Bianco [email protected]/drupal/?q =node/93 ) Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014 - naixement: L. Gustavsson/o guionneau HG 99-164 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014 -5569- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.716.297: Dans le dernier quart du IXe siècle, une certaine Aelindis reçut en dot de ses oncles Adalard (Adalardus) archevêque de Tours de 875 à 890 et Rainon ou Renaud (Regino) évêque d’Angers, le fief d’Amboise, lors de son mariage avec Ingelger, vicomte d'Angers. Fonts: - persona: L. Gustavsson/o guionneau H&G99-164, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.298: Fonts: H.deRiberolles(Base de Carné)

379.716.299: Fonts: H.deRiberolles(Base de Carné)

379.716.299c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.300: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Katharine S. B. Keats-Rohan) viii 2010,JL.Mondanel (généalogie du Maine) 25 iii 2011 - defunció: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P de Palmas (Généalogie de Carné) ii-2009

379.716.301: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P de Palmas (Généalogie de Carné) ii-2009

379.716.301c: Fonts: B.Yeurc'h (Le Lien)

379.716.302: "Settipani pense qu'il est le fils d'Albéric, noble de Sens et vicomte de Narbonne. Medieval genealogy: vicomtes de Narbonne ne nomme pas ses parents !" J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 Cette hypothèse est aussi celle que privilégie Jacqueline Caille dans son article de 2008 sur les vicomtes de Narbonne in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène Debax. C.Saint-Félix 12x2014 Mayeul [Maiolus] [I], son of --- (-before 15 Jun 911). Vicomte de Narbonne. m Raymonde, daughter of --- (-[before 15 Jun 911]). A charter dated 15 Jun 911, under which Arnust Archibishop of Narbonne donated property to Saint-Paul de Narbonne, names "infantes Majolo vicecomite et uxori suæ RaymundæWalchario etAlbericho vicecomite", the wording implying that the parents were deceased at that date[547]. Settipani suggests that she was the daughter of Raymond I Comte de Toulouse[548]. Maieul [I] & his wife had two children. [1601] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CLIX, p. 708, and 3rd Edn., Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 38, col. 138. [1602] Settipani (2004), p. 19.

-5570- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas J-C de Vaugiraud (Medieval genealogy: vicomtes de Narbonne) 19/07/2009 Fonts: - persona: C. Saint-Félix (site de d'Agos www.dagos.org) 20ix2005, G.Hazard (Pavillet) i2008, J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 - naixement: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 - defunció: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 - família: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc"), C. Saint-Félix (site de d'Agos www.dagos.org) 20ix2005, J-P.de Palmas (Jacqueline Caille - Vicomtes et vicomté de Narbonne - Pages 37 à 52, 2008) 22 ii 2015

379.716.303: "Settipani pense qu'elle est la fille de Raymond, comte de Toulouse et de Berthe. Medieval genealogy: vicomtes de Narbonne ne nomme pas ses parents !" J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 JB de La Grandière 2/12/2013 : J'efface une date "exacte" de naissance qui était indiquée 845 qui était de nature à fausser les analyses. Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Rudy Nadales-Lerate) 28 i 2011 - família: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc"), C. Saint-Félix (site de d'Agos www.dagos.org) 20ix2005, J-P.de Palmas (Jacqueline Caille - Vicomtes et vicomté de Narbonne - Pages 37 à 52, 2008) 22 ii 2015

379.716.303b: Fonts: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009

379.716.303f: Fonts: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009

379.716.304: Adalberto I (880 circa – 930 circa) è stato un marchese italiano, figlio di Anscario I, resse la marca di Ivrea dal 900 circa al 930 circa. Prima moglie di Adalberto fu Gisla (intorno al 903),[1] figlia di Berengario del Friuli, più tardi re d'Italia. Da questa unione egli ebbe Berengario II, nato intorno al 904 circa, che a sua volta divenne marchese d'Ivrea e re d'Italia dal 950 al 961. Adalberto, rimasto vedovo intorno al 914, sposò in seconde nozze Ermengarda figlia del marchese di Toscana Adalberto II il Ricco, da cui ebbe il figlio Anscario II. Con Adalberto, compare per la prima volta la definizione del titolo marchionale, in un documento del 28 febbraio 926, in cui si legge: Ego Adalberto gratia dei humilis marchio hic in Italia. In un documento di donazione del Castelvecchio di Asti nel 924 da parte di re Rodolfo verso il visconte Autberto, compaiono come "intervenienti" Ermengarda ed i figli di Adalberto, Berengario ed Anscario, che in quel frangente sono definiti "incliti comites".Questo lascia supporre, che i due nobili fossero insigniti di qualche comitato minore. Alcuni studiosi suppongono che Anscario II reggesse il comitato di Asti e Berengario quello di Torino. Adalberto, dopo il matrimonio con Ermengarda, guidò un movimento avverso a Berengario con lo scopo di rovesciarlo e mettere al suo posto Rodolfo di Borgogna. http://it.wikipedia.org/wiki/Adalberto_I_d%27Ivrea

Adalbert I (died 923) was the son of Anscar of Ivrea and, from his death in 902, margrave of Ivrea. He married firstly, before 900, Gisela of Friuli, a daughter of the -5571- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Emperor Berengar. With her, he had two children: Berengar, successor Bertha, abbess of Modena Around 915, he married Ermengard, the daughter Adalbert II of Tuscany and Bertha, daughter of Lothair II. From this marriage he had a second son, Anscar, Duke of Spoleto. http://en.wikipedia.org/wiki/Adalbert_I_of_Ivrea Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de ; Manuel Abranches de Soveral - família 2: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de

379.716.305: Gisla (circa 876 – dopo il 23 gennaio 913) figlia di Berengario I (re d'Italia dall'888 al 924) fu la prima moglie di Adalberto I d'Ivrea e madre di Berengario II d'Ivrea (re d'Italia dal 950 al 961).

Non si sa molto sulla vita di Gisla. Perfino Liutprando, lo storico contemporaneo di Berengario II, è abbastanza reticente. Sua madre era probabilmente Bertilla, la prima moglie di Berengario I; e poiché le nozze fra Bertilla e Berengario si svolsero verso l'875, si presume che Gisla sia nata l'anno successivo. Non si sa con certezza neanche quando avvenne il matrimonio di Gisla con Adalberto, ma si stima che il matrimonio sia avvenuto con buona approssimazione tra il 902 e il 903: non più tardi del 903 perché nel 918 il figlio Berengario doveva avere almeno quindici anni essendo già conte e messo imperiale, non prima del 902 perché Adalberto era ancora alleato di Ludovico di Provenza, l'avversario di Berengario del Friuli; probabilmente le nozze con Gisla, unica figlia di Berengario del Friuli, segnarono il cambiamento delle alleanze. Non è noto, infine, con certezza neanche la data di morte di Gisla: era ancora in vita il 26 gennaio 913, poiché il marito è chiamato in un diploma da re Berengario I "gloriosissimus marchio et dilectissimus gener noster" (gloriosissimo marchese e nostro amatissimo genero), ma poco tempo dopo, evidentemente vedovo, Adalberto sposerà Ermengarda, figlia di figlia di Adalberto II di Toscana e di Berta di Lotaringia, con un matrimonio che segnerà un nuovo cambiamento delle alleanze. http://it.wikipedia.org/wiki/Gisla_del_Friuli Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.716.305b: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de

379.716.305c: Amedeo I d'Ivrea ( – 962) fu conte di Pombia tra il 940 ed il 950. Amedeo era figlio di Adalberto I e fratello di Anscario II e Berengario II. In seguito ai contrasti degli anscarici con re Ugo di Provenza, nel 940 dovette ridimensionare le proprie mire di potere. Nel 950 fu primo conte di Pombia. Ebbe due figli: Adalberto e Dadone di Pombia. Entrambi succedettero al padre nella carica comitale di Pombia, in seguito alla sua morte (962); il primo fu conte dal 962 al 973, il secondo fino al 998. Dadone ebbe quattro figli tra cui Arduino d'Ivrea. http://it.wikipedia.org/wiki/Amedeo_I_d%27Ivrea

Fonts: persona: Manuel Abranches de Soveral

379.716.305-2a: Fonts: persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de

379.716.307:

-5572- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - família: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.307c: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.307d: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.716.308: http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_comtes_de_Metz

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com) , Manuel Abranches de Soveral, J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006 - família: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com), H.de Lagarde (Base Pierfit), J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006

379.716.309: née entre 908 et 916. Fonts: - persona: J-M.Thiebaud Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard).27 vii 2009, F-L. Jacquier (Christian Settipani & Patrick Van Kerrebrouck, La préhistoire des capétiens, 1993) - família 1: J-M.Thiebaud Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard).27 vii 2009 - família 2: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com), H.de Lagarde (Base Pierfit), J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006

379.716.309-1a: Fonts: Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard).27 vii 2009

379.716.310: "Il faut noter que Liétaud était à la fois comte de Maçonnais dans le duché français et comte de Besançon dans le royaume de Bourgogne : en ces deux qualités, il était vassal du duc de Bourgogne Hugues le Noir." J-C de Vaugiraud (Georges de Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle , 1908, P. 147) 5 ii 2013 Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Béatrice Serisier) 18 vii 2009, Aurejac, J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006, F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac - GeneaNet "aurejac") 27-04- 2006 - família 1: J-M.Thiebaud (base Michel Besson) 1 x 2011, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Béatrice Serisier) 18 vii 2009, J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006 - família 2, família 3: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 26i2014

379.716.311:

-5573- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [ERMENGARDE (-before [941]). She is named as wife of Letaud in the latter's charter dated [12 Apr] 935, which also names both his and her parents[817]. Manassès Comte de Dijon & his wife Ermengarde are the only contemporary noble couple with these names which has so far been identified in the region, but it is not certain that they were the parents of Ermengarde wife of Letaud. m (before [12 Apr] 935) as his first wife, LETAUD Comte de Mâcon, son of AUBRY [I] Comte de Mâcon & his wife Tolana de Mâcon (915-3 Nov 961).]

[817] Cluny, Tome I, 432, p. 420.

Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Béatrice Serisier) 18 vii 2009, J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006, J-P.de Palmas (FMG) 2 xii 2013 - família: J-M.Thiebaud (base Michel Besson) 1 x 2011, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Béatrice Serisier) 18 vii 2009, J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Addenda 1998 comtes palatins de Bourgogne) 16/09/2006

379.716.311a: Ce fils présumé est inconnu des chartes. Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.716.312: Fonts: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.313: Fonts: - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.716.316: Fonts: - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 vi 2016

379.716.317: Fonts: - persona: O.Guionneau ( http://fmg.ac/Projects/MedLands/LOTHARINGIAN%20(LOWER)%20NOBILITY.htm #ReginarIdied915) 8 VI 15 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 vi 2016

379.716.317b: Fonts: - persona: Aurejac,

379.716.317d: [LAMBERT (-after [960/75]). According to Miræus, Lambert was the son of "Ragineri I et Alberadæ, frater Ragineri II Longicolli, Hannoniæ comitis", although he cites no primary source which provides the basis for this statement[885]. No primary source has yet been found which confirms the parentage of Lambert. However, the name of his son suggests a family connection with the comtes de Huy, although it is recognised that this could have been through the female line, maybe through Lambert´s wife and the mother of Ansfrid [III]. Comte de Louvain. Advocate of Gembloux . "Otho…Rex Lothariensis et Francigenum" appointed "Lamberto comiti Lovaniensi" to the advocacy of Gembloux by charter dated to 948 (aspects of this document suggest that it may be spurious in some form)[886]. A manuscript Catalogo Abbatum Gemblacensium records that "nobilum virum

-5574- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Lambertum" donated "medietatem ecclesia de Wiettine in pago Masaw" to Gembloux and to "eiusque advocato…Aufrido filio Lamberti", undated[887]. It should be noted that this passage is not included in the manuscript Catalogus Abbatum Gemblacensium which is reproduced in the Monumenta Germanica Scriptores series, presumably from a different source[888]. His date of death is estimated very approximately on the basis that this entry in the Catalogo indicates that Lambert had relinquished the advocacy of Gembloux in favour of his son, who must therefore already have been adult at the time.] m ---. The name and origin of Lambert's wife are not known. Vanderkindere suggests that she was ---, daughter of Ricfried Graaf van Betuwe, for onomastic reasons and considering the origins of the counties which were inherited by Ansfrid [III]. Lambert & his wife had one child. [885] Miraeus (1723), Tome I, XXXII, p. 41 footnote (3). [886] Miraeus (1723), Tome I, XXXII, p. 41. [887] Miraeus (1723), Tome I, XXXII, p. 41 footnote (3). [888] MGH SS XIII, Catalogus Abbatum Gemblacensium, pp. 291-2. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 vi 2016 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 vi 2016

379.716.318: Fonts: - persona: J-P de Palmas (migrations) i2010 - naixement: [w:JL.Mondanel]] (généalogie rois d'Allemagne) 30 iii 2011 - família: M.Rébeillé-Borgella, Jean-Marie Thiébaud (genealogie-dupuis.org) 29 viii 2009

379.716.319: Sainte Mathilde naquit dans les dernières années du IXe siècle. Sa mère, après la mort de son époux, quitta le monde et entra dans un monastère. Mathilde fut élevée par des religieuses, sous les yeux maternels. Cette éducation produisit des fruits merveilleux, et l'on ne savait ce qu'il fallait admirer davantage en elle de sa beauté, de ses progrès dans les sciences ou de son habileté dans les travaux de son sexe. Le duc Othon de Saxe, ravi de tant de belles qualités, rehaussées par une piété rare, la demanda en mariage pour son fils Henri, qui, peu d'années après, devenait empereur d'Allemagne, sous le nom d'Henri Ier. Henri mourut, jeune encore, malgré les soins dévoués de sa sainte épouse, et sa mort fut pour Mathilde l'objet d'une longue et profonde douleur. Dès lors le monde ne fut plus rien pour elle, et elle ne s'occupa que de sa sanctification. L'oraison, les jeûnes, l'aumône, la mortification, remplirent sa vie, et les nuits suppléaient à la brièveté des jours pour prolonger ses colloques intimes avec Jésus-Christ. Elle avait coutume de réciter tout le Psautier avant le premier chant du coq. Les pauvres recevaient ses premières et ses dernières visites; elle savait si bien suffire à toutes leurs nécessités, qu'ils n'avaient qu'une voix pour l'appeler leur mère. L'empereur, prévenu contre sa mère, l'exila; mais ce coup douloureux, qu'elle supporta avec une angélique patience, fut bientôt suivi d'une éclatante réparation. Peu de temps avant sa mort, Mathilde se retira dans un couvent pour se préparer à la mort. On la vit descendre au rang des simples religieuses, remplir avec joie les plus viles fonctions, et donner à toute la communauté l'exemple d'une régrut couchée sur un cilice recouvert de cendres, le 14 mars 968. Fonts: - persona: Jean de Villoutreys (pour les notes: Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950) 23.03.08urs, Mame, 1950) 23.03.08 - defunció: Jean de Villoutreys (Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950) 23.03.08 - família: M.Rébeillé-Borgella, Jean-Marie Thiébaud (genealogie-dupuis.org) 29 viii 2009

-5575- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.716.319e: Brunon fut archevêque de , et l'Église l'a mis au rang des saints;

Bruno the Great (or Bruno I) (925-965) was Archbishop of Cologne, Germany, from 953 until his death, and Duke of from 954. He was the brother of Otto I, king of Germany and later Holy Roman Emperor. Bruno was the youngest son of and his second wife Matilda of Ringelheim. While he was still a child, it was decided that he should pursue an ecclesiastical career, and he was educated appropriately. In 951, Otto appointed Bruno as his archchaplain. Bruno soon received further advancement. In 953, the Archbishopric of Cologne fell vacant just when Conrad the Red, Duke of Lotharingia and Otto's son-in-law, had joined a rebellion against Otto. By appointing Bruno to the vacant position, Otto provided himself with a powerful ally against Conrad in Lotharingia (much of which fell under the archdiocese of Cologne) just when he needed one most. By the next year, the rebellion had collapsed. Otto deposed Conrad as Duke of Lotharingia and appointed Bruno in his place. Bruno was to be almost the last duke of the whole of Lotharingia: in 959 two local nobles, Godfrey and Frederick, were appointed as margraves of and Upper Lotharingia respectively. Both margraves were recognised as dukes after Bruno's death. The two duchies would only be reunited between 1033 and 1044 under Gothelo I, Duke of Lotharingia.

The combined positions of archbishop and duke - or archduke, as his biographer Ruotger called him - made Bruno the most powerful man after Otto not just in Germany but also beyond its borders. After the deaths of Louis IV of in 954 and , his most powerful feudatory, in 956, Bruno, as brother- in-law to both of them and maternal uncle to their heirs Lothair, the new king, and , acted as regent of west Francia. From 961 onwards, Bruno was also appointed as Otto's regent in Germany while Otto was absent in . Bruno died in Reims in 965 and was buried in the monastery of St Pantaleon, which he had founded, just outside Cologne. Bruno's position in Cologne was little short of royal. Indeed, Otto delegated to Bruno and his successors as archbishop a number of normally royal privileges - the right to build fortifications and set up markets, to strike coins and collect (and keep) such taxes as the special ones on in return for royal protection, those on market trading and tolls from traffic along the Rhine. Even though Bruno's successors as archbishops would not be dukes as well, they would be the secular as well as the ecclesiastical rulers of Cologne until the battle of Worringen three centuries later. Bruno's court in Cologne was the main intellectual and artistic centre of its period in Germany - far more so than that of his brother Otto, which was far more peripatetic and militarily oriented. Among others, Ratherius and Liutprand of Cremona spent time at the court. Many of the next generation of German ecclesiastical leaders were educated at Bruno's court, like Everaclus of Liège, Gerard bishop of Toul, Wikfrid, bishop of Verdun, and Theoderic, bishop of Metz. Bruno's effect on medieval Cologne was immense. Apart from building a palace, he extended the cathedral to the point where it was regarded as rivalling St Peter's in (this cathedral burned down in 1248 and was replaced by the current one). He brought the area between the old Roman walls and the Rhine within the city fortifications; and built new churches to Saint within this area and to Saint Andrew just outside the northern city wall and a Benedictine monastery dedicated to St Pantaleon to the south-west of the city. Bruno translated St. Patroclus' from Troyes and buried them in 964 at St Patrokli Dom in Soest, where Patroclus is still today venerated. References Timothy Reuter, Germany in the early Middle Ages (1991, Longman. ISBN 0-582- 49034-0 ) Pierre Riché, The Carolingians: a family who forged Europe (trans. Michael Idomir Allen, 1993, University of Pennsylvania Press. ISBN 0-8122-1342-4) Carl Dietmar and Werner Jung, Kleine illustrierte Geschichte der Stadt Köln (9th edition, 2002, J. P. Bachem Verlag, Köln. ISBN 3-7616-1482-9) Cora E.Lutz,

-5576- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Schoolmasters of the Tenth Century. Archon Books 1977.

http://en.wikipedia.org/wiki/Bruno_the_Great

379.716.328: En 890, Louis III est proclamé roi de Provence ; il réside à Vienne et entreprend au début de son règne (896) quelques tentatives contre les Sarrasins qui continuent à dévaster la Provence. Il se décharge ensuite sur le comte Thibert dit d'Avignon, comte d'Arles, de l'administration de son royaume, notamment lors de ses expéditions en Italie. Thibert intervient dans plusieurs cités, en particulier à Arles. Il meurt certainement en 908, puis on perd sa trace vers 908. Un de ses petits-fils est à l'origine de la famille des vicomtes de Marseille. Selon différents historiens, Arlulf de Marseille serait le fils de Thibert II d'Arles, seigneur de 925 à 942

Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas (wikipedia) - família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

379.716.329: Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

379.716.356: BERNARD [I] . The testament of "Guillerma" is dated 26 Jan [922], chooses her burial "in ecclesia Sancti Petri sedis Magalone", and names "Bernardo comiti filio suo"[1255]. The document is dated 29 Jan 899 in the cartulary of Maguelone[1256]. Comte de Melgueil et de Substantion. m ---. The name of Bernard's wife is not known. Bernard [I] & his wife had [three] children.

[1255] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 48, col. 145.

[1256] Maguelone, Tome I, III, p. 4. Sur le comté de Melgueil, voir Julien Rouquette, « Saint Louis et le comté de Melgueil », Revue d'histoire de l'Église de France, 5, 1914, pp. 182-199. Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 24 ii 2011 - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 28 ii 2011

379.716.357: Fonts: - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 28 ii 2011

379.716.400: Né d'une concubine de Rannoux d'après C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges". Source : C.Saint-Félix - 12v2006 Ebalus or Ebles Manzer or Manser (c. 870 - 935) was Count of Poitou and Duke of Aquitaine on two occasions: from 890 to 892 and from 902 (Poitou) and 927 (Aquitaine) to his death. Ebles was an illegitimate son of Ranulf II of Aquitaine. "Manzer" or "Mamzer" was -5577- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas a shameful designation that meant bastard, son of a prostitute, or illegitimate.[1] It appears that Ebles did not mind his name, and his "illegitimacy became a part of his style."[2] Upon the death of his father (who was poisoned), Ebles assumed his father’s mantle and acquired the role of Count of Poitou. But Ebles could not hold onto the title for long. Aymar, a descendant of one of Ramnulf II’s predecessedors, challenged Ebles right to rule, as Ebles was merely a bastard son. In 892, Aymar, who was supported by Eudes of France, successfully overthrew Ebles, and Ebles fled to the safety of his father’s allies, Count Gerald of Aurillac and William the Pious, count of Avergne and Duke of Aquitaine.[3] William the Pious had taken Ebles under his care and assured the boy’s education after the death of Ebles’ father.[4] In 902, Ebles, with the assistance of William the Pious, a distant relative, conquered Poitiers while Aymar was away, and restablished himself in his former position. Charles III, who knew Ebles as a childhood companion, then formally invested Ebles with the title, Count of Poitou. Ebles would hold this title until this death.[4] The comital title was the only one to which he ever had legitimate investiture. Ebles allotted the abbey of Saint-Maixent to Savary, Viscount of Thouars, who had been his constant supporter. He restructured Poitou by creating new viscounties in Aulnay and Melle and dissolved the title and position of Viscount of Poitou upon the death of its holder, Maingaud, in 925. In 904, he conquered the Limousin. In 911 he, with two other French commanders were aligned in opposition to Rollo, a Danish invader who had plundered the countryside. Ebles and the other two commanders intended to lead their armies in defense of the city of Chartes. Part of Rollo’s army camped on a hill (Mont-Levis) north of the city, while the rest were stationed on the plains outside Chartes.[5] On Saturday, July 20, 911, the battle between the French and Danish armies commenced. "Rollo and his forces were shamefully routed, smitten, as the legend tells, with corporeal blindness. A panic assuredly fell upon the heroic commander, a species of mental infirmity discernible in his descendants: the contagious terror unnerved the host. Unpursued, they dispersed and fled without resistance." At the end of the day, 6,800 Danes lay dead on the field of battle.[6] Ebles was somewhat slow in arriving at Chartres, so he was unable to "take his due share in the conflict." His victorious partners proudly boasted of their success, and mocked Ebles and his tardy army. To redeem his honor and quiet the ridicule, Ebles accepted a challenge to confront the remant of the Danish army that remained camped on the Mont-Levis. But instead of driving the Danes away, Ebles’ army was defeated soundly. "In the dark of the night, the Northmen, sounding their horns and making a terrible clamour, rushed down the mount and stormed" Ebles camp. Ebles fled and hid in a drum in a fuller’s workshop. His cowardice and dishonor was derided in a popular French ballad of the Plantagenet age.[7] When Ebles’ benefactor, William the Pious, died, William was succeeded as Duke of Aquitaine by William the Younger. In 927, William the Younger died, and he left his title to his brother Acfred; but Acfred did not live even a year. Acfred made Ebles his heir, and in 928 Ebles assumed the titles Duke of Aquitaine, Count of Berry, Count of Auvergne, and Velay[8] In 929, King Rudolph started trying to reduce the power of Ebles. He withdrew from him access to Berry, then in 932 he transferred the titles of Duke of Aquitaine and Count of Auvergne to the Count of Toulouse, Raymond Pons. Moreover, the territory of La Marche, which was under the control of the lord of Charroux, vassal of Ebles, was transformed into an independent county. Marriage and issue Ebles' first wife was Aremburga, whom he married before 10 Oct 892.[4] His second wife was Emilienne, whom he married in 911. When Emilienne died in 913, Ebles married Adele the following year.[9] Adele has been commonly referred to as the daughter of Edward the Elder.[10] Some sources believe that Adele was the same person as Edward's daughter, Ælfgifu, but that the confusion equating -5578- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Ælfgifu to Adele arose from the fact that English historians did not recognize her name after it was translated into French. She has also been called Adela, Adele, Alaine, or Aliana. Ebalus had two children by Adele:[11] Ebalus, Bishop of Limoges and Treasurer of St. Hilary of Poitiers[12] William III of Aquitaine married Gerloc, daughter of Rollo of See also Dukes of Aquitaine family tree [Sources 1.^ Joseph Hurst Lupton, St. John of Damascus (London: Society for Promoting Christian Knowledge, 1882), 61; Edward C. Hegeler, The Monist, Volume XX (Chicago: The Open Court Publishing Company, 1910), 15. 2.^ Sir Francis Palgrave, The History of Normandy and of , Volume I (London: Macmillan and Co., 1878), 143, 657. 3.^ Anna Trumbore Jones, Noble Lord, Good Shepherd: Episcopal Power and Piety in Aquitaine, 877-1050 (Boston: Brill, 2009), 68; Sir Francis Palgrave, The History of Normandy and of England, Volume I (London: Macmillan and Co., 1878), 656-657. 4.^ a b c Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136. 5.^ Sir Francis Palgrave, The History of Normandy and of England, Volume I (London: Macmillan and Co., 1878), 676-677; Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136 6.^ Sir Francis Palgrave, The History of Normandy and of England, Volume I (London: Macmillan and Co., 1878), 677; Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136 (this source claims that the battle occurred on Saturday, August 21, 911) 7.^ Sir Francis Palgrave, The History of Normandy and of England, Volume I (London: Macmillan and Co., 1878), 678; E. Littre, Histoire de la Langue Francaise; Etudes sur les origins, l’etymologie, la grammaire, les dialectes, la versification, et les lettres au Moyen Age. Tome 2. (Paris: Didier, 1863), 143. The words of the ballad were: Mult par en fu puis tut le meis Estrange eschar entre Franceis; Vers en firent e estraboz U out assez de vilains moz. 8.^ Havilland Le Mesurier Chepmell, A Short Course of History: Second Series, Vol. II, V. History of the Middle Ages, Continued (London: Whittaker and Co., 1857), 156; Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136. 9.^ Roderick W. Stuart, Royalty for Commoners: The complete known lineage of John of Gaunt, son of Edward III, King of England and Queen Philippa (Baltimore, MD: Genealogical Pub. Co., 1995), 83; Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136. 10.^ Sir Francis Palgrave, The History of Normandy and of England, Volume II (London: John W. Parker and Son, 1857), 10; E. Henry Gurney, Reference Handbook for Readers, Students, and Teachers of English History (Boston: Ginn & Company, 1890), 22-23; William Bernard Mac Cabe, A Catholic History of England, Vol. II (London: T. C. Newby, 1849), 328; James Augustus St. John, History of the Four Conquests of England, Vol. I (London: Smith, Elder, & Co., 1862), 348-349; M. P. Thompson, “Traditions and Folk-Lore of Poitou,” The Catholic World 38(228) (March 1884), 779; Egerton Brydges, Ataviæ Regiæ (Florence: J. Marenigh, April 1820), 6 (Table XI), 64 (Table LXXXVII). 11.^ Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136; American Historical Company, Colonial and Revolutionary Lineages of America: A collection of genealogical studies, completely documented, and appropriately illustrated, bearing upon notable early American lines and their collateral connections, Volume 23 (New York: American Historical Co., 1965), 312; D. Van Hoogstraten, M. Brouerius van Nidek, and J. L. Schuer, Groot algemeen historisch, geographisch, genealogisch, en oordeelkundig woordenboek, behelzende zo het voornaamste, dat vervat is in de woorden-boeken van Morery, Bayle, Buddeus, enz., (Amsterdam: Brunel, 1729), 277; Maurice La Châtre E. Giuseppe Latty, Storia del Dispotismo ossia Papi, Imperatori, Re, Ecc. Loro Fasti E Reati, Volume IV (Torino: Presso Editodo, 1853), 420. 12.^ Manuel Ortiz de la Vega, Los Héroes y las Grandezas de la Tierra (Madrid: Libreria de D. Jose Cuesta, 1856), 136 Lewis, Archibald R. The Development of Southern French and Catalan Society, 718-1050. [1] [2] Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Ebalus,_Duke_of_Aquitaine -5579- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

379.716.401: Fonts: - persona: ???, complément par E.Polti (d'après Y.Sassier)

379.716.402: Statue de Rollon, sur le socle de celle du Conquérant, à Falaise (Calvados).

ROLLO ["Ganger" Hrolf], son of [RAGNVALD "the Wise" Jarl of Möre in Norway & his wife Ragnhild ---] (-Rouen [928/33], bur ---, transferred [1064] to Rouen Cathedral[6]). The parentage of Rollo/Rolf is uncertain and the chronology of his life confused. Richer names "Rollone filio Catilli" as leader of the who raided along the Loire and against whom "Robertus Celticæ Galliæ dux" campaigned[7]. No further reference has been found to "Catillus/Ketel". Flodoard provides no information on Rollo´s ancestry. The early 12th century William of Malmesbury states that "Rollo…[was] born of noble lineage among the Norwegians, though obsolete from its extreme antiquity" and adds that he was "banished by the king´s command from his own country"[8]. The later is more specific, naming “Hrolf who conquered Normandy” as son of “Earl Rognwald” and his wife “Ragnhild the daughter of Hrolf Nose”, adding that he was so big that no horse could carry him, giving rise to his name “Göngu-Hrolf”[9]. Snorre names "Rolf and Thorer" as the two sons of "Earl Ragnvald" and his wife Hild, recording that Rolf was banished from Norway by King Harald and travelled to the , settling first in before moving southwards through , and eventually conquering Normandy[10]. The Historia Norwegie records that, after Orkney was conquered by "principi Rogwaldi" and his followers, "de quorum collegio…Rodulfus" captured Rouen in Normandy, commenting that he was known as "Gongurolfr" because he was obliged to walk as he was too large to travel on horseback[11]. This source makes no reference to any blood relationship between Rollo and "principi Rogwaldi". Guillaume de Jumièges refers to an unnamed Danish warrior “dux” who left two sons “maior natu Rollo, alteriunior Gurim”[12]. He records that the king of Denmark defeated the two brothers and killed Gorm, that Rollo fled the country for “Scanzam insulam”, from where he went “ad Anglos”, and made peace with "rex AnglorumAlstemus"[13]. If this refers to Æthelstan King of Wessex, the account must be confused given King Æthelstan´s accession in 924. Freeman suggests that Guillaume de Jumièges must be referring to "Guthrum-Æthelstan of East- Anglia"[14], although this does not resolve the chronological problems assuming that the Anglo-Saxon Chronicle is correct in recording Guthrum´s death in 890[15]. Guillaume de Jumièges records that “Rollo” attacked “Walgrensesgens barbara”, devastated “in Walgras” allied with “Alstemus rex Anglorum”, and defeated “Rainerium Longi-colli Hasbacensme et Hainaucensem ducem et Radebodum Frisiæ regionis principem” whose help “Walgris” had sought[16]. The same source records that "Dani cum suo duce Rollone" left “Scaldi” [Schelde river] in 876, sailed “Sequanica” [Seine] and arrived at “Gemmeticum” [Jumièges] where they deposited the body of “virginis Amaltrudæ” which they had transported “a Britannia”[17]. Orderic Vitalis records that "xxx annis post cladem Hastingi [dated to 851 in other sources, see the document CENTRAL FRANCE NOBILITY], Rollo dux cum valida Danorum juventute" entered “Neustriam”, besieged Paris for four years and captured Bayeux (“Baiocas”)[18]. The Chronicon Sancti Michaelis records that “venit Rollo in Normannia V Kal Dec” in 876[19]. The date 876 is stretched from a chronological point of view: Houts suggests that it should be corrected to [900][20]. Guillaume de Jumièges records that "Rollo" took “Rothomo” [Rouen], sailed to "apud Hasdans quæ Archis dicitur", that “Rainaldus totius Franciæ dux” led his army to meet them “super Authuræ fluvium” and sent “Hastingum” from “Carnotena urbe” [Chartres] in an unsuccessful attempt at negotiation, that “Rotlandus signifer Rainaldi” was killed in the ensuing battle and that Rollo captured “Mellenti municipium”[21]. Guillaume de Jumièges also records that "Rainaldus" was killed in battle during a later campaign, that Rollo besieged Paris, -5580- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas captured “Baiocasensem urbem” [Bayeux] along with "nobilissimam puellamPopam filiamBerengarii illustris viri" whom he married “more Danico” and by whom he had “WillelmumfiliamqueGerloc”, before capturing “Ebroicam civitatem” where he killed “episcopumSibor”[22]. Guillaume de Jumièges records that Rollo besieged “Carnotenam urbem” [Chartres] but was forced to withdraw by "Richardus Burgundionum duxcumAntelmus episcopus"[23]. William of Malmesbury records that "Rollo…experienced a check at Chartres" but escaped the "plentiful slaughter" of the Vikings by the townspeople, before capturing Rouen "in 876"[24]. Guillaume of Jumièges records that Charles III "le Simple" King of the West Franks granted "terram maritimam ab Eptæ flumine usque ad Britannicos limites" together with "sua filiaGisla" to Rollo who renounced his campaigns, that the king added "tota Britannia" and that “ipsius provinciæ principibus Berengerio atque Alanno” swore allegiance to Rollo[25]. The charter which confirms the original grant (assuming that there was such a document) has not survived. However, the grant of land is inferred from a charter dated 14 Mar 918, under which land was donated to the monastery of Saint-Germain-des-Prés specifying that the donation excluded "that part…which we have granted to the of the Seine, namely to Rollo and his companions"[26]. The uncertain nature of the demise was the source of future conflict between the French crown, which claimed that Normandy was an enfeofment for which the ruling duke owed allegiance, and the later dukes of Normandy, who claimed that it was an unconditional allod for which no allegiance was owed[27]. The version of events recorded by Flodoard provides a different slant and names two Viking leaders. Firstly, Flodoard records that in 923 "Ragenoldus princeps Nortmannorum" who occupied "in fluvio Ligeri" devastated "Franciam trans Isaram", that "Nortmanni" made peace in 924 "cum Francis", that King Raoul granted them "Cinomannis et Baiocæ" [Maine and Bayeux], but that "Raginoldus cum suis Nortmannis" devasted the land between the Loire and the Seine[28]. This passage makes no mention of the supposed earlier grant of land along the shore. Secondly, the same source records that "Raginoldus cum suis Nortmannis" devasted Burgundy in 925, that Héribert [II] Comte de Vermandois besieged Norman castles "super Sequanam", that "Nortmanni" devastated "pagum Belvacensem atque Ambianensem" [Beauvais and Amboise], while Comte Héribert and Arnoul Count of Flanders forced "Rollo princeps" from his strongholds[29]. Thirdly, Flodoard states that "Hugo filius Rotberti et Heribertus comes" campaigned against "Nortmannos" in 927, that "filius Rollonis" did homage to ex-king Charles at "castellum…Auga", and that "Rollo" held "filius Heriberti Odo" as a hostage in 928, which suggests some sort of alliance between Rollo and Comte Héribert[30]. Guillaume of Jumièges records that Rollo was baptised in 912 by "Francone archiepiscopo", adopting the name ROBERT after "Rodbertus dux" who acted as his sponsor, and records the donations he made at the time to various religious institutions[31]. William of Malmesbury records that "it was determined by treaty, that [Rollo] should be baptised, and hold the country of the king as his lord"[32]. William of Malmesbury records that Rollo died at Rouen[33]. The date of his death is uncertain: Flodoard names Rollo as living in 928 (see above) but the same source names "Willelmus princeps Nortmannorum" in 933[34]. The Chronicon Sancti Michaelis records the death of “Rollo” in 917 and the succession of “Guillelmus filius eius”[35]. The Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris records that "Rollo et Willelmus filius eius" were buried "apud Rothomagum in ecclesia beatæ Mariæ"[36]. Orderic Vitalis implies that the transfer of Robert's body to Rouen Cathedral took place after the "the ninth year" in office of Archbishop Maurilius, who had succeeded Mauger de Normandie[37], which would date the event to [1064]. He is known to history as ROBERT I Comte [de Normandie], although no early source has been identified which refers to him by this name or t itle.

[m] [firstly] ---. The identity of Rollo´s first wife or concubine is not known. m [secondly] ([886] or after, repudiated, remarried after 912) POPPA, daughter of BERENGAR Comte de Bayeux & his wife ---. Guillaume de Jumièges records that -5581- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Rollo captured “Baiocasensem urbem” [Bayeux] along with "nobilissimam puellamPopam filiamBerengarii illustris viri" whom he married “more Danico” and by whom he had “WillelmumfiliamqueGerloc”[38]. Orderic Vitalis records that "xxx annis post cladem Hastingi [dated to 851 in other sources, see the document CENTRAL FRANCE NOBILITY], Rollo dux cum valida Danorum juventute" entered “Neustriam”, captured Bayeux (“Baiocas”), killed “Berengarium comitem” and married “Popamfiliam eius”[39]. The Chronico Rotomagensis records that "mortua a Gisla, accepit Rollo propriam uxorem filiam comitis Silvanectensis Widonis"[40]. Robert of Torigny combines the information, recording that "Rollo dux Northmannorum" married "Popam prius repudiatam uxorem…filiam…Berengarii comitis Baiocensis neptem vero Widonis comitis Silvanectensis"[41]. The Historia Norwegie records that, after capturing Rouen, "Rodulfus" married the daughter of its deceased count by whom he was father of "Willelmum…Longosped"[42]. Another indication of Poppa´s family origin is provided by Guillaume of Jumièges who records that Louis IV King of the West Franks, after the death of the father [Poppa´s son Guillaume I “Longuespée”] of Richard I Comte [de Normandie], marched on Rouen, was received by “Rodulphus et Bernardus atque Anslech totius Normannici ducatus tutores”, and captured Richard, who was taken to Laon but was freed by “Osmundusconsilio cum Yvone patre Willelmi de Belismo” and taken to “Silvanectis” where “Bernarduscomes” [presumably identifiable as Bernard [II] Comte de Senlis, who, assuming that the reconstruction proposed in the document CAROLINGIAN NOBILITY is correct, was Poppa´s uterine half-brother] protected “nepotem suum Richardum”[43]. It would be possible to reconcile the different versions if Comte Bernard's mother was married twice, her first husband being Bérenger Comte de Bayeux. Guillaume of Jumièges records that Rollo married "repudiatam Poppa" again after the death of his wife [Gisela][44]. m [thirdly] (912) GISELA, daughter of CHARLES III "le Simple" King of the West Franks & his first wife Frederuna --- ([908/16]-before her husband). The Genealogica Arnulfi Comitis names (in order) "Hyrmintrudim, Frederunam, Adelheidim, Gislam, Rotrudim et Hildegardim" as the children of "Karolus rex…ex Frederuna regina"[45]. Guillaume of Jumièges records that Charles III "le Simple" King of the West Franks granted "terram maritimam ab Eptæ flumine usque ad Britannicos limites" together with "sua filiaGisla" to Rollo who renounced his campaigns, in a later passage their marriage, and in a subsequent chapter the fact that she died childless[46]. Her marriage is recorded in the Norman annals for 912, which state that she died without issue, presumably soon after the marriage when Gisela must still have been an infant. The chronicle of Dudo of Saint-Quentin[47] describes her as of "tall stature, most elegant…", which is of course inconsistent with her supposed birth date range. The Liber Modernorum Regum Francorum records the marriage of "filiam suam [=rex Karolus] nomine Gillam" to "Rollo"[48]. Settipani considers that the marriage did not occur, and that the Norman sources confused it with the marriage of Gisela, daughter of Lothaire II King of Lotharingia, to the Viking leader Gotfrid[49]. Rollo & his [first wife] had two children. Robert & his [second] wife had two children. [6] Chibnall, M. (ed. and trans.) The Ecclesiastical History of Orderic Vitalis, Vol. III, (Oxford Medieval Texts, 1969-80), Book V, p. 91. [7] Guadet, J. (ed.) (1845) Richeri Historiarum (Paris), Tome I, I, XXVIII, p. 62. [8] Sharpe, Rev. J. (trans.), revised Stephenson, Rev. J. (1854) William of Malmesbury, The Kings before the Norman Conquest (Seeleys, London, reprint Llanerch, 1989), II, 127, p. 110. [9] Orkneyinga Saga 4, p. 26. [10] Snorre, Harald Harfager's Saga, 24. [11] Historia Norwegie VI, p. 66. [12] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, I, p. 221. [13] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, II, III, IV and VI, p. 221-5.

-5582- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [14] Freeman (1877), Vol. I, 3rd. Edn, pp. 165-6. [15] Garmonsway, G. N. (trans) (1972) The Anglo-Saxon Chronicle (Dent), A and E 890. [16] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, VIII, p. 226. [17] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, IX, p. 227. [18] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, I, p. 7. [19] Labbé, P. (ed.) (1657) Novæ Bibliothecæ Manuscript Librorum, Tome I (Paris), Chronicon Duplex Sancti Michaelis in periculo maris, (“Chronicon Sancti Michaelis (Labbé, Tome I 1657)”, p. 348. [20] Houts, E. van (ed. and trans.) (2000) The Normans in Europe (Manchester University Press), p. 14. [21] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, X, p. 228. [22] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XII, p. 229. [23] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XV, p. 230. [24] William of Malmesbury, II, 127, p. 110. [25] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XVII, p. 230. [26] Houts (2000), p. 25. [27] Houts (2000), p. 185. [28] Flodoardi Annales, 924, MGH SS III, p. 374. [29] Flodoardi Annales, 925, MGH SS III, pp. 374-5. [30] Flodoardi Annales, 927 and 928, MGH SS III, pp. 377-8. [31] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XVIII, p. 231. [32] William of Malmesbury, II, 127, p. 111. [33] William of Malmesbury, II, 127, p. 111. [34] Flodoardi Annales, 933, MGH SS III, p. 381. [35] Labbé, P. (ed.) (1657) Novæ Bibliothecæ Manuscript Librorum, Tome I (Paris), Chronicon Duplex Sancti Michaelis in periculo maris, (“Chronicon Sancti Michaelis (Labbé, Tome I 1657)”, p. 348. [36] Giles, I. A. (ed.) (1845) Scriptores rerum gestarum Willelmi Conquestoris (London) Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris, p. 14. [37] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. III, Book V, p. 91. [38] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XII, p. 229. [39] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, I, p. 7. [40] Chronico Rotomagensis 913, RHGF IX, p. 88. [41] Delisle, L. (ed.) (1872) Chronique de Robert de Torigni, abbé de Mont-Saint- Michel (Rouen), Vol. I, 912, p. 14. [42] Historia Norwegie VI, pp. 66 and 68. [43] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, II, III, IV, pp. 239- 40. [44] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XXII, p. 233. [45] Genealogiæ Comitum Flandriæ, Witgeri Genealogica Arnulfi Comitis MGH SS IX, p. 303. [46] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XVII, XIX, XXII, pp. 230 and 232-3. [47] Felice Lifshitz (ed.) Dudo of St Quentin's Gesta Normannorum, The Online Reference Book for Medieval Sources, (6 Jan 2003), Chapter 12. [48] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet Actus MGH SS IX, p. 381, undated but the following sentence records the baptism of Rollo in 912 by "Franco Rothomagensis archiepiscopus" which presumably indicates that the two events were simultaneous or at least related. [49] Settipani (1993), p. 326.

Rollon (mort entre 928 et 932) est le chef viking à l'origine du duché de Normandie. En 911, en contrepartie de l'arrêt de ses pillages, il reçoit du roi Charles le Simple un territoire autour de Rouen. Environ cent ans plus tard, cette concession deviendra le duché de Normandie. Il est assez difficile de fixer la trame de la vie de

-5583- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Rollon, car elle est également l'objet de récits légendaires.

Rollon, (Robert) se sépara de sa femme Poppa pour épouser Giselle, la fille de Charles III "le simple" Roi de France, après la signature du traité de St Clair sur Epte qui entérine la propriété de la Normandie à Rollon. Rollon répousera Poppa rapidemment après.

Baptême de Rollon en 912 en la cathédrale de Rouen.

Les Vikings qui touchèrent les côtes de notre région venaient du Danemark et de la Norvège. Depuis la mer d'Irlande, les Norvégiens lançaient des expéditions vers le Sud contre les côtes du royaume franc, du Cotentin à la Gironde. L'Etat de Nantes, concédé par le roi Robert 1er en 922, disparut en 937. Seuls les Norvégiens installés dans le nord du Cotentin, s'y maintinrent et tombèrent sous la coupe des Danois de Rouen en 933. En effet, depuis 841, des pirates danois ravageaient les rives de la Seine. Impuissant à réduire ces bandes de guerriers, Charles le Simple dut conclure le traité de St-Clair-sur-Epte en 911. Il céda à Rollon le territoire correspondant sensiblement aux départements actuels de la Seine-Maritime et de l'Eure, à condition qu'il protège le royaume franc contre de nouvelles incursions et que lui et ses compagnons se convertissent au christianisme. Puis ce territoire s'agrandit en 924, 933 et 1052. Ainsi s'est constituée le duché de Normandie, pays des "hommes du nord". Les historiens actuels estiment que Rollon fut probablement fait comte, vraisemblablement avec les fonctions classiques d’un comte carolingien, à savoir assurer la protection et l’administration de justice, en tant que vassal du roi des Francs. Quelques sources médiévales postérieures l’appellent également duc, comme l’ont été nombre de ses successeurs. Le Père Anselme indique à tort que son corps a été transféré ultérieurement à Fécamp (confirmé par Jacques Le Maho, historien de la Normandie, à Nicolas Danican, le 10 novembre 2007, lors du congrès sur les sépultures des ducs normands à Fécamp) La fin incertaine de Rollon La date et les circonstances du décès du premier jarl des Normands restent incertaines. D'après Richer de Reims, Rollon le Marcheur meurt en 925, lors du siège du château d'Eu, conduit par Herbert II de Vermandois et Arnoul, comte de Flandre. C'est en effet possible puisqu'en 927, on voit son fils Guillaume Longue- -5584- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Épée, prêter serment de fidélité pour les Normands. Toutefois, Flodoard, dans un passage ambigu, sous-entend que Rollon vivait encore en 928. Surtout, selon Dudon de Saint-Quentin, le premier jarl n'aurait pas été tué : il aurait abdiqué en faveur de son fils et vécut ensuite cinq ans. L'historiographie actuelle reprend généralement ce récit et place la mort de Rollon vers 932-933. Par contre, l'historien anglais David Douglas ne croit pas à cette période de transition et croit plutôt à une date de décès autour de 925-927. Selon Adémar de Chabannes, Rollon aurait pratiqué des sacrifices humains en l'honneur des dieux païens peu de temps avant sa mort, en 932-933, tout en faisant des dons aux églises normandes. Cette anecdote est douteuse. Selon le père Anselme, il est inhumé dans la cathédrale de Rouen, puis sa dépouille transférée à l'abbaye de Fécamp dans la seconde moitié du Xe siècle, sous le principat de Richard Sans-Peur, son petit-fils.

Gisant de Rollon (Rollo, en latin), dans la cathédrale de Rouen.

Liens externes wikipedia

Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-163/Renaud de Paysac, J-P de Palmas (FMG et wikipedia, Notes et Iconographie) 2 v 2011 - naixement: J-C de Vaugiraud (Thierry Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 70 - bateig: J-P de Palmas (baptised in 912 by "Francone archiepiscopo") - defunció: J-C de Vaugiraud (Thierry Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 71 - casament 1: J-C de Vaugiraud (Thierry Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 71) 26 x 2012 - família 1: J-C de Vaugiraud (Thierry Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 71 et notes 14 et 15 P. 110) 11 x 2011

379.716.403: Popa de Bayeux: "Guillaume of Jumièges records that Rollo took "Popa, fille de Bérenger, homme illustre" when he captured Bayeux and "s´unit avec elle, à la

-5585- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas manière des Danois"[815]. According to Orderic Vitalis, Rollo "stormed and captured Bayeux, slew its count Berengar and took to wife his daughter Poppa"[816]. In another passage, the same source records that Rollo besieged Paris, captured Bayeux, killed "Berengarium comitem" and married his daughter Popa, in 886[817], although this date appears early in light of the likely birth date range of the couple's son Guillaume. The Chronico Rotomagensis records that "mortua a Gisla, accepit Rollo propriam uxorem filiam comitis Silvanectensis Widonis"[818]. Robert of Torigny combines the information, recording that "Rollo dux Northmannorum" married "Popam prius repudiatam uxorem…filiam…Berengarii comitis Baiocensis neptem vero Widonis comitis Silvanectensis"[819]. Guillaume de Jumièges records that "le comte Bernard" (presumably identifiable as Bernard [II] Comte de Senlis, who, assuming that the reconstruction proposed in the present document is correct, was Poppa´s uterine half-brother) welcomed "son neveu Richard" (grandson of Rollo) at Senlis after his escape from captivity[820], although in another passage he describes how Rollo captured Bayeux and took "une très-noble jeune fille Popa, fille de Bérenger" in the town, marrying her "à la manière des Danois"[821], in a later passage adding that Rollo married Poppa, whom he had previously repudiated, a second time after the death of his wife[822]. It would be possible to reconcile the different versions if Comte Bernard's mother was married twice, her first husband being Bérenger Comte de Bayeux. m (886 or after, repudiated, remarried after 912) as his second wife, Rollo, later known as Robert I Comte [de Normandie], son of [Ragnvald "the Wise" Jarl of Möre in Norway & his wife Ragnhild] ([846]-[928])."

Les références renvoient aux sources primaires utilisées par Medieval Genealogy. Source : J-C de Vaugiraud (Medieval Genealogy, Other unconnected carolingian nobility in France, Ninth century) 11 x 2011 Pistes pour sa filiation En 1991: Christian Settipani, pensait pouvoir suivre une source du X° siècle: "La complainte sur la mort de Guillaume", qui donnait Wido de Senlis époux de Ne (peut-être Cunegundis) comme parents de Popa ! Je note cette filiation en parents possibles. Source : J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La préhistoire des capétiens", 1991, T. I/1, P. 326, note 922) 11 x 2011 En 2000: Katherine Keats-Rohan estime que : «Popa était bien la fille du comte Béranger. Pour sa mère, elle propose deux hypothèses: Soit 1°) Adallinde, fille d'Henri de Thuringe et d'Ingeltrude, elle même fille d'Évrard, marquis de Frioul et de Gisèle (Carolingienne). Soit 2°) Adela, issue de la maison de Vermandois.» Source : J-C de Vaugiraud ( Katherine Keats- Rohan : "Poppa de Bayeux et sa famille", dans "Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval", Oxford, Prosopographica et genealogica, 2000, 310 pages, p. 140-153 ) 11 x 2011 En 2000: Il est à noter que Christian Settipani avait modifié son point de vue car dans le travail de Katharine S. B. Keats-Rohan, il est précisé : « Il existe toutefois une dernière possibilité, qui nous a été suggérée indépendemment par Christian Settipani, qui offre une solution beaucoup plus simple au problème posé par les origines de Poppa en sauvegardant toutes les informations fournies par Dudon. Il s'agit d'accepter d'en faire la fille du marquis Bérenger, lui-même fils du marquis Henri, et de reconnaître en sa mère une Vermandois qui épousa ensuite le père de Bernard de Senlis (qui serait donc né après 896, ce qui s'accorde bien avec sa carrière, trente à quarante ans plus tard). De la sorte, Bernard de Senlis serait bien l'avunculus - oncle maternel - de Guillaume Longue-Epée. » Source : J-C de Vaugiraud ( Katherine Keats-Rohan : "Poppa de Bayeux et sa famille", dans "Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval", Oxford, Prosopographica et genealogica, 2000, 310 pages, p. 150) 11 x 2011 En 2011: Thierry Le Hête suit les hypothèses de Katherine Keats-Rohan en disant que : « Rollon épouse 2° more danico Poppa de Bayeux, fille de Béranger, comte de Bayeux (+ vers 896) et de Ne N. » [p. 71] et en ajoutant en note 14, p. 110, la position de Katherine Keats-Rohan et en note 15, p. 110 la réfutation de la thèse de Settipani de 1991. Source : J-C de Vaugiraud ( Thierry Le Hête : "Les ducs de Normandie et leur descendance", 2011, P. 71 et notes 14 et 15 P. 110 ) 11 x 2011

-5586- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Attention l'ascendance de Popa a été rectifiée. Popa était notée par erreur comme étant une fille de Pépin de Senlis x Ne de Rennes. Après échanges de messages avec Tom Blanchet, je l'ai retranchée des enfants de ce couple. Note de : J-C de Vaugiraud ( Voir mon message sur le forum 2012-10-26 10:23:16 ) 27 x 2012 Notice on FMG POPPA . Guillaume de Jumièges records that Rollo captured “Baiocasensem urbem” [Bayeux] along with "nobilissimam puellamPopam filiamBerengarii illustris viri" whom he married “more Danico” and by whom he had “WillelmumfiliamqueGerloc”[909]. Orderic Vitalis records that "xxx annis post cladem Hastingi [dated to 851 in other sources, see the document CENTRAL FRANCE NOBILITY], Rollo dux cum valida Danorum juventute" entered “Neustriam”, captured Bayeux (“Baiocas”), killed “Berengarium comitem” and married “Popamfiliam eius”[910]. The Chronico Rotomagensis records that "mortua a Gisla, accepit Rollo propriam uxorem filiam comitis Silvanectensis Widonis"[911]. Robert of Torigny combines the information, recording that "Rollo dux Northmannorum" married "Popam prius repudiatam uxorem…filiam…Berengarii comitis Baiocensis neptem vero Widonis comitis Silvanectensis"[912]. Another indication of Poppa’s family origin is provided by Guillaume of Jumièges who records that Louis IV King of the West Franks, after the death of the father [Poppa’s son Guillaume I “Longuespée”] of Richard I Comte [de Normandie], marched on Rouen, was received by “Rodulphus et Bernardus atque Anslech totius Normannici ducatus tutores”, and captured Richard, who was taken to Laon but was freed by “Osmundusconsilio cum Yvone patre Willelmi de Belismo” and taken to “Silvanectis” where “Bernarduscomes” [presumably identifiable as Bernard [II] Comte de Senlis, who, assuming that the reconstruction proposed in the document CAROLINGIAN NOBILITY is correct, was Poppa’s uterine half- brother] protected “nepotem suum Richardum”[913]. Guillaume of Jumièges records that Rollo married "repudiatam Poppa" again after the death of his wife [Gisela][914]. m (886 or after, repudiated, remarried after 912) as his second wife, ROLLO, later known as ROBERT I Comte [de Normandie], son of [RAGNVALD "the Wise" Jarl of Möre in Norway & his wife Ragnhild] ([846]-[928]). [909] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XII, p. 229. [910] Le Prévost, A. (1845) Orderici Vitalis Historiæ Ecclesiasticæ (Paris) ("Orderic Vitalis (Prévost)"), Vol. II, Liber III, I, p. 7. [911] Chronico Rotomagensis 913, RHGF IX, p. 88. [912] Delisle, L. (ed.) (1872) Chronique de Robert de Torigni, abbé de Mont-Saint- Michel (Rouen), I, 912, p. 14. [913] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, II, III, IV, pp. 239-40. [914] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber II, XXII, p. 233. Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 71 et notes 14 et 15 P. 110 + K. Keats-Rohan: Poppa de Bayeux et sa famille, P. 142) 11 x 2011 - casament 1: J-C de Vaugiraud (Thierry Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 71) 26 x 2012 - família 1: J-C de Vaugiraud (Thierry Le Hête: Les ducs de Normandie et leur descendance, 2011, P. 71 et notes 14 et 15 P. 110) 11 x 2011 - família 2: Renaud de Paysac

379.716.404: Attention (J-C de Vaugiraud 30 i 2014): Ce degré est le premier donné comme cetain par Jean Gouget et Thierry Le Hête "Les comtes de Blois et de Champagne et leur descendance agnatique", 2004 "Thibaud l'Ancien, mort vers 940, ép. Richilde" d'après Yves Sassier (dans "Hugues Capet", chez Fayard) Ascendance incertaine : certaines sources lui donnent pour père Garnegaud de BLOIS. Nous suivons ici le tableau généalogique qui figure au château de Blois.

-5587- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Descendance de Thibauld l'Ancien de Blois par Miroslav Marek http://genealogy.euweb.cz/blois/blois1.html#HB Fonts: - persona: E.Visseaux/Brian Tompsett, F-L Jacquier (Miroslav Marek - Web Genealogy.eu), J-P de Palmas (dictionnaire de la Noblesse par de La Chenaye- Desbois Paris 1863) - família: J-C de Vaugiraud (J. Gouget et T.Le Hête : "Les comtes de Blois , 2004, p. 28 et notes 10 et 11) 26 vi 2016

379.716.405: Attention (J-C de Vaugiraud 26 vi 2016) : Je ne vois pas de source la disant fille de Hughes de Bourges (que je viens de supprimer) et de Rothilde (Carolingiens) ? Je viens de lui rendre son vrai père, le premiser et seul epoux de sa mère. A propos de l'identification des parents de Richilde voir :

 Katharine S. B. Keats-Rohan, Christian Settipani : "Onomastique et parenté dans l'occident médiéval", 2000, page 65 et 145

Chercher le lien de Parenté fort probable entre cette Richilde et une autre Richilde, l'épouse de Renaud Torench, vicomte d'Anjou.:

 Teddy Véron : "L'intégration des Mauges à l'Anjou au XIe siècle", pages 51-56  Teddy Véron : "L'intégration des Mauges à l'Anjou au XIe siècle", pages 61-68

Fonts: J-C de Vaugiraud (J. Gouget et T.Le Hête : "Les comtes de Blois , 2004, p. 28 et notes 10 et 11) 26 vi 2016

379.716.405b: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek - Web Genealogy.eu)

379.716.405c: Fonts: - persona: Maxim Olenev [email protected]

379.716.405d: Fonts: - persona: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06) - família 1: J-P de Palmas (wikipedia) - casament 2: B.Yeurc'h (A.Aurejac)

379.716.406: Herbert II, né vers 880, mort le 23 février 943, fut comte de Vermandois, de Soissons et de Meaux à la mort de son père Herbert Ier survenue entre 900 et 907. Ayant hérité des biens de son père, il augmente sa puissance territoriale vers le Vexin et la Champagne. En 922, il participe à la révolte des grands du royaume contre le roi Charles le Simple qu'il capture par traîtrise en 923. Il le garde prisonnier, et s'en sert comme moyen de pression vis-à-vis du roi Raoul obtenant ainsi de ce dernier le siège archiépiscopal de Reims pour son fils Hugues. En 926, il s'empare d'Amiens. Il obtient le comté de Laon en 928, et y construit une citadelle (château Gaillot), mais doit rendre la ville en 931 et la citadelle en 938. En 931, il se rapproche du roi de Germanie Henri l'Oiseleur, mais se soumet au roi de France en 935. Il intervient ensuite plusieurs fois à Reims pour restaurer son fils. Selon Dom Le long qui rapporte une mémoire locale, il aurait été pendu sur ordre de Louis IV d'Outremer[1],[2]. Après sa mort, son beau-frère, Hugues le Grand

-5588- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas partage ses biens entre ses différents fils, afin de mettre fin à la puissance vermandoise.

Références

1. L'esprit des journaux [archive] J. J. Tutot, 1785, p. 89 2. ↑ Philippe Lauer, Le régne de Louis IV d'Outr-mer, É. Bouillon, 1900, p. 292,293

Liens externes et sources

 wikipedia  Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993 (ISBN 2-9501509-3-4)

Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-164, J-P de Palmas ( FMG - Settipani) v2009, JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010 - naixement: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 28 ii 2012 - defunció: pendu sur ordre de Louis IV d'Outremer - casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 28 ii 2012 - família: J-P de Palmas (wikipedia)

379.716.407: Souvent "Adèle" pour les historiens français. (E.Polti) Fonts: - persona: L.Guion,JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010 - casament: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 28 ii 2012 - família: J-P de Palmas (wikipedia)

379.716.407c: Fonts: - persona: D.de Raugl (ppmr), C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

379.716.407d: Hugues de Vermandois, né vers 920, mort à Meaux en 962, fut comte et évêque de Reims de 925 à 931, puis de 940 à 946. Il était fils d'Herbert II, comte de Vermandois, et d'Adèle de France. Son père lui procura le siège épiscopal à la mort de Séulf, alors qu'il n'avait pas cinq ans, mais le roi Raoul reprit le diocèse en 931 pour le confier à Artaud. Il reçut peu après les ordres mineurs et fut ordonné prêtre en septembre 940 par Gui, évêque d'Auxerre. Herbert II avait repris la ville de Reims en juillet 940, chassa Artaud et replaça son fils comme archevêque. Le roi Louis IV d'Outremer lui confirma sa charge en 941, mais le destitua en 946. En 948, le légat du pape le débouta définitivement du diocèse, le pape ratifie les décisions du synode d'Ingelheim. À la mort d'Artaud, en 961, il se porta candidat pour sa succession, mais ne fut pas choisi. Il mourut pendant un pèlerinage à Saint- Jacques-de-Compostelle. Sources wikipedia, Patrick Van Kerrebrouck, Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1 : La Préhistoire des Capétiens (par Christian Settipani), 1993 -5589- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: D.de Raugl (ppmr), confirmé par E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P de Palmas (wikipedia)

379.716.407e: Régent de Meaux et de Troyes pour son neveu Herbert le Jeune. Fonts: - persona: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010

379.716.407i: Filiation probable restant à confirmer http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Belleme.pdf Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds -- page 28693) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28693.html, F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly")

379.716.472: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Geneanet alaindufour citant : une charte de la bibliothèque de St Martial de Limoges, cotée n° 1785, f° 142 v°.) 21 ix 2016 - família: J-P.de Palmas (Geneanet alaindufour citant : une charte de la bibliothèque de St Martial de Limoges, cotée n° 1785, f° 142 v°.) 21 ix 2016

379.716.473: Vente d'un aleu situé dans la centene du Bugue en Périgord, faite par Grimoad et Aladaude sa femme, à Guigues, abbé de St Martial de Limoges, et au monastère de Paunat, pour 200 sols. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Geneanet alaindufour citant : une charte de la bibliothèque de St Martial de Limoges, cotée n° 1785, f° 142 v°.) 21 ix 2016 - família: J-P.de Palmas (Geneanet alaindufour citant : une charte de la bibliothèque de St Martial de Limoges, cotée n° 1785, f° 142 v°.) 21 ix 2016

379.716.500: Fonts: F.de Bernis (base alboui) 27 i 08

379.716.501: Fonts: - família: F.de Bernis (base alboui) 27 i 08

379.716.610: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008 - naixement: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008 - defunció: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008

379.716.611: Didier Panfili confirme la position d' Adaltrude N dans "Aristocraties méridionales", pp.41-48,Presses Universitaires de Rennes, 2010 comme mère de Géraud d'Aurillac et belle-mère d'Hildebert de Limoges

-5590- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Cet auteur la donne aussi comme fille probable d'Immon de Turenne.

Note de : JB de La Grandière - 08.07.2015 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06.09.2008, JB.de La Grandiere ( analyse Settipani + ) 6 xi 2009 - família: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008

379.716.611a: Saint Géraud (né en 855 au château Saint-Étienne d’Aurillac - mort le 13 octobre 909 à Cezeinac en Quercy, peut-être Saint-Cirgues), était le fils de Géraud, seigneur d’Aurillac, et d’Adeltrude, qui fut également canonisée. Saint Arède d’Atane et saint Césaire d’Arles figuraient parmi ses ancêtres indirects. Fondateur de l'abbaye d'Aurillac, modèle de celle de Cluny, sa vie a été relatée par Odon de Cluny qui en a fait le modèle chevaleresque du seigneur chrétien qui met sa force et ses richesses au service de la Justice et des humbles. Biographie sur wikipedia

Dans La Vita Geraldi Auriliacensis (Vie de Géraud d'Aurillac), une oeuvre majeure de la littérature hagiographique du Haut Moyen Âge. Ecrite peu après la mort du saint (909) par son disciple et ami, Odon (ou Eudes), abbé de Cluny de 927 à 942, à la demande de l'évêque Turpi(o)n de Limoges, qui est un témoin précieux de la société des temps carolingiens auvergnats et méridionaux il n'est pas fait de mention de mariage ou descendance pour Saint Géraud.Saint Géraud d’Aurillac (855-909), fils de Géraud II d’Aurillac (vers 823-879) et d'Aldetrude de Quercy (vers 830-vers 879), petit-fils de Gérard Ier d’Auvergne (800-841), marié en seconde noce à Mathilde, fille de Pépin Ier d'Aquitaine et petite-fille de Louis Le Pieux (778-840) et de Ermengarde de Hesbaye, fils et successeur de Charlemagne (Medieval Lands : Rainulf [archive]).

↑ Odon de Cluny, Vita Geraldi, I.1 [archive] : « Son père avait nom Géraud, et sa mère Adeltrude. Si la noblesse de sa naissance lui conféra un rang supérieurement brillant, c'est qu'entre les nobles maisons des Gaules, sa famille à lui révélait assez cette excellence aussi bien par la fortune que par la probité morale. L’honnêteté des mœurs, en effet, et l’esprit religieux, dont ses parents donnèrent toujours des preuves, furent chez eux, nous rapporte-t-on, comme une sorte de trésor héréditaire. Deux témoins issus de la même souche en sont une preuve qui se suffit largement à elle-même : à savoir Césaire l’évêque d'Arles, et le bienheureux Abbé Yrieix » (=Aredius). Cette prétention a été mise en doute par le passé, mais les travaux de Christian Lauranson-Rosaz en ont montré le bien-fondé, même si l’établissement d’une filiation reste fragmentaire (Christian Settipani, La Noblesse du Midi Carolingien, Oxford, Linacre College, Unit for Prosopographical Research, coll. « Occasional Publications / 5 », 2004, 388 p. (ISBN 1-900934-04-3), p. 190- 204).

↑ Odon de Cluny, Vita Geraldi, I.34 [archive] : Géraud d'Aurillac « était si hautement estimé dudit Guillaume qu'il voulut lui donner sa sœur en mariage : leur mère Ermengarde le désirait vivement elle aussi, car elle portait à Géraud une sainte affection. Mais le Christ, Fils d'une Vierge, depuis longtemps lui avait inspiré un profond amour de la chasteté, et il s'y était dès sa jeunesse tellement attaché qu'il ne consentit pas à s'en laisser détourner même dans la perspective d'une aussi glorieuse union ».

François Monteil sur forum 4 iv 2015

-5591- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: H.deRiberolles, J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008

379.716.866: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingien pp 154/159 Gramat, Oxford 2004 ) 27 x 2009 - família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi carolingien" pp 154/159 -Gramat- Oxford 2004 ) 26 x 2009

379.716.867: Fonts: - família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi carolingien" pp 154/159 -Gramat- Oxford 2004 ) 26 x 2009

379.880.704: Sanche (III ou IV) Garcia duc et comte de Gascogne, comte d'Agen eut deux femmes, le premier mariage fut annulé pour cause de parenté. Sanche IV-Garsie (qui succède de 920 à 930 à Garsie II-Sanche "Le Tors" ou "Le Courbé") est toujours qualifié de "comte et marquis de Gascogne" et de "comte d'Agen". Marié deux fois, il est à l'origine de la plupart des grands lignages gascons par ses nombreux enfants dont la postérité forme notamment les comtes de Barcelone, ceux d'Angoulême (ville dont les armes sont celles des Marsan), les vicomtes de Lomagne, d'Oloron, de Dax, de Gabarret, de Tursan, de Maremne, de Marsan, de Louvigny, et les seigneurs d'Albret, ceux de Doazit, et ceux de Samadet. Sanche IV fut père notamment de deux personnages contemporains d'Hugues Capet : par le premier lit, Guillaume Sanche, le fondateur du monastère de Saint-Sever, dont le prénom est issu d'une lignée nordique, celle de sa mère Aremburge de Périgord, et, par le second lit - d'une épouse dont on ne connaît pas le nom - Ezi Sanche, septième ou huitième fils (et dernier en tout cas), premier vicomte de Marsan, marié vers 935 et tige des vicomtes de Marsan, ancêtres des seigneurs de Cauna, des vicomtes de Maremne et des seigneurs de Samadet. (BdeRauglaudre, Jacques de Cauna in Cadets de Gascogne, la Maison de Marsan de Cauna, tome I) Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005) - família 1, família 2: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.880.705: Fonts: - família: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.880.705e: Il rentra dans les ordres une fois veuf, il fut évèque d'Agen et de Gascogne, de Bazas, d'Aire, de Dax d'Oloron et de Lescar avant 997.Archevêque de Bordeaux en 989. Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.880.705-1a: Mort sans postérité Fonts: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.880.944: Fonts: C.Saint-Félix (Sébastien Fray thèse "L'aristocratie laïque" ) 29ix2014

379.880.945: Berthe, nièce de roi et issue du sang carolingien, épouse légitime et mère des héritiers de Raymond de Toulouse. Berthe était la nièce du roi d’Italie Hugues d’Arles, par conséquent la petite-fille d’une autre Berthe, fille illégitime du roi de -5592- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Lotharingie Lothaire II : P. RICHÉ, Les Caroligiens, tableau n° VIII. Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Sébastien Fray thèse "L'aristocratie laïque" ) 29ix2014 - família: C.Saint-Félix (Sébastien Fray thèse "L'aristocratie laïque" ) 29ix2014

379.880.945b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Sébastien Fray thèse "L'aristocratie laïque" ) 29ix2014

379.880.956: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

379.880.957: Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 1 viii 2014 - família: J-L. Dega

379.880.957a: Fonts: - persona: J-L. Dega

379.880.957c: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Stasser (Thierry) origine de 3 comtesses de Pallars anuario de estudios medievales Barcelona 1996) 1 vi 2016

379.880.957e: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Stasser (Thierry) origine de 3 comtesses de Pallars anuario de estudios medievales Barcelona 1996) 1 vi 2016

379.880.958: RAYMOND [I] de Rouergue, son of ERMENGAUD Comte de Rouergue & his wife Adelais --- (-killed [Feb/9 Sep] 961]). "Ermengaudus comes et filius suus Regimundus et Rainus vicecomes et vicarius" donated property "in pago Ruthenico in ministerio Curiense in villa…Seviniaco" to Vabres by charter dated Jan [934], subscribed by "…Ugone filio Ermengaudo, Bernardo vicecomite, Ildoino, Adalone"[1867]. He succeeded as Comte de Rouergue. Duke of Aquitaine 936, Marquis de Septimanie. Seigneur de Quercy et d'Albigeois. Notice concerning the privileges of the church of St Medardi de Prisca was given before "Regimundum comitem" by charter dated 13 Jul 960[1868]. Hugues Bishop of Toulouse names "Ramundo comite et filio suo Hugoni…" as his executors in his testament dated to [960][1869]. The treatise of Bernard scholasticus of the church of Angers records that "Ragemundi", father of "urbis Ruthenicæ comes Ragemundus", was killed "in via sancti Jacobi" (en route to Santiago de Compostela)[1870]. The testament of "Raymundus comes" is dated 961, donated property acquired from "Guillelmo comite consanguineo meo" (identified as Guillaume II Duke of Aquitaine, Comte d´Auvergne?), and bequeathed property for life to the following beneficiaries (not all of whom can be identified): "alodes…in Nemosense…castello…Casso" to "Bertanæ" and after her death to "Raymundo filio suo" and if he died without heirs to "Bernardo et uxori suæ Adelais", and in case of their death without heirs to "Hugo"; "alode de Plumberias…de Balarug…de Palagio…de Caucos" to "Bertanæ et Raymundo filio meo"; a donation of "alodes qui fuerunt Amelio vicecomite de Carcassona…in Narbonensi"; "alode de Brocello" to "Bernardo filio Rotgerio";

-5593- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "alode de Bricio" to "Froterio episcopo"; "alode de Francitia" to "Berengarius"; "ecclesia de Sancto Marcello" to "Bernardo episcopo"; "alode de Loveziaco Sancta Cæcilia" to "Nodbertus"; "alode de Sancto Victore, Sancti Vincentii" to "Ermengaudus abbas"; "alode de Vertucio" to "Bernardo et uxoris suæ Adelaus"; "alode de Carliago" to "Rogerio filio Arnaldo"; "alode de Donadfrancio" to "Willelmo Garcianæ"; "alode de Sancti Martini de Bellocasso" to "Bosomeus"; "alode de Circiolis" to "Ugoni nepote meo" and after his death half to "Arnaldo et filio suo Siguino"; "alode de Losolario" to "Hugo filius noster"; "alode de Bellopogio" to "Aymericus"; "alode de Malopertuso…" to "Ugoni nepoti meo" and after his death to "Raymundo fratre suo"; "alode de Laugiago…Fessago…Campoguidano…Valencio" to "Ademario vicecomite Tolosano"; "alode de Braciaco…castello…Vuandalors" to "Raymundo filio meo et Hugoni filio meo"; "alode de Genebrerias" to "Raymundo et Amalvino fratre suo"; "parte…in castello de Gordone et…alode de Godronense" to "Aymerico…et Geraldo filio suo et ad filios Geraldo"; "castello de Caganione…castello de Parisio" to "Hugoni et Ermengaudo fratre suo"; "ecclesia de Sancto Simplicio" to "Stephanus et filius suus"; "castello de Albinio" to "filios meos quos…habeo de filia Odoino"; "manso de Carausiaco" to "filia mea quam habeo ab ipsa filia Odoini"; "alode de…Hermo" to "Ingelberto"; "alode de Elvas" to "Jaldeberto…Grimaldo fratri suo"; "alode de Laugiaco" to "Stephano"; "alode de Lobegiaco" to "Genesio", "Rocha inter Aymerico et Genesio" and if Genesius died childless to "Geraldo fratre suo"; "ecclesia de Lobegaico" to "Galberto"; "alode de Livrone" to "Raymundo filio Umberto", "alode de Gignalio" to "Bernardo filio Umberto…mater illorum"; "castello de Cerveria…de Sancto Laurentio…de Petrilense…de Granolheto…de Mala-Morte…de Dargon…de Ventagione…de Monasterio" to "Raymundo filio meo"; adding that the testator made the donations for the souls of "…fratres meos"[1871]. m (945[1872]) as her second husband, BERTA d'Arles, widow of BOSON Comte in Upper Burgundy, daughter of BOSO Comte d'Arles, later Marchese of Tuscany, & his wife Willa of Upper Burgundy (-after 18 Aug 965). "Bertam, Willam, Richildam et Gislam" are named (in order) as the four daughters of Boso and Willa by Liutprand[1873], who in a later passage names Berta as "Bosonis Arelatensis comitis viduæ" and mentions her marriage soon after the death of her first husband to Raymond, by virtue of which she was deemed guilty of incest[1874]. "Bertha comitissa" donated property inherited from "avunculi mei Ubonis, regis in regno Gociæ in comitatu Sustantionensi…villam…Candianicus…" to Montmajour by charter dated 26 Feb 960, signed by "…Emens vicecomes…"[1875]. The testament of "Raymundus comes", dated 961, bequeathed property for life "alodes…in Nemosense…castello…Casso" to "Bertanæ" and after her death to "Raymundo filio suo" and if he died without heirs to "Bernardo et uxori suæ Adelais", and in case of their death without heirs to "Hugo"[1876]. "Berta…comitissa et filius meus Raimundus…comes" donated property "in comitatu Nemausense" to Nîmes Notre- Dame by charter dated 7 Sep 961[1877]. "Berta…comitissa" donated property "in comitatu Nemausense" to Nîmes Notre-Dame by charter dated 18 Aug 965, subscribed by "Raimundus filius meus"[1878]. She is cited at the time of a synod held after 1004 (maybe [1012])[1879].

Mistress (1): ---, daughter of EUDOIN & his wife ---. The testament of "Raymundus comes", dated 961, bequeathed property for life "castello de Albinio" to "filios meos quos…habeo de filia Odoino"; "manso de Carausiaco" to "filia mea quam habeo ab ipsa filia Odoini"[1880]. The absence of a reference in the text to "filia Odoino" being Raymond's former wife suggests that these children were illegitimate. This interpretation is also supported by the succession of Raymond's son Raymond to his father's county, presumably indicating that he was the oldest son. As the testament shows that Raymond junior was the son of Raymond senior's wife Berta, it is unlikely that his half-brothers by "filia Odoino" would have been older than

-5594- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas him.

Comte Raymond I & his wife had five children.

Comte Raymond [I] had illegitimate children by Mistress (1).

[1867] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 59, col. 163.

[1868] Beaulieu, XLVII, p. 83.

[1869] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 109, col. 236.

[1870] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXVI, p. 674, and 3rd Edn., Tome V, Preuves, Chroniques, 3, p. 12.

[1871] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 111, col. 240.

[1872] Settipani (2004), p. 31.

[1873] Liudprandi Antapodosis IV.10, MGH SS III, p. 318.

[1874] Liudprandi Antapodosis V.31 and 32, MGH SS III, p. 336.

[1875] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 107, col. 233.

[1876] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 111, col. 240.

[1877] Nîmes Notre-Dame LXI, p. 102.

[1878] Nîmes Notre-Dame LXVI, p. 109.

[1879] Robertini, L. (ed.) (1994) Liber miraculorum sancte Fidis (Spoleto), I, 98, cited in Settipani (2004), p. 31.

[1880] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 111, col. 240.

Raymond II (also Ramon or Raimundo and sometimes numbered Raymond I) (was born circa 904 to Ermengaud de Rouergue (c870-937) and Adelaide (c875-?) and died 961 or 965) was the count of Rouergue and Quercy from 937 to his death. Under Raymond, Rouergue achieved a suzerainty over neighbouring counties and he successfully titled himself Margrave (marchio) of Septimania. Raymond's lordship extended over Albi and Nîmes and, at least around 960, as far north as the Limousin. Raymond was the head of his family, which also ruled Toulouse. Even in his time, his family appeared to be declining. He willed a Gascon fief to Duke Sancho V and allowed it to become allodial after his death. Nonetheless, his power was such that he could command lands as far north as Auvergne and was the most powerful lord of Aquitaine, even holding a "vicar's court" in the Limousin. His will of 961 is presereved. In it, not only does he reference the aforementioned lands in Auvergne and Gascony, but he mentions seventeen castles and a rocheta. Some castles were given to his wife and heirs and some to the churches of Albi and

-5595- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Cahors and to various abbeys. Raymond married Bertha, daughter of Boso of Tuscany. He was succeeded by his son Raymond III.

Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Raymond_II_of_Rouergue

D'après la thèse de Sébastien Fray (2011), Raymond serait mort sans postérité.

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, , J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014, C.Saint- Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014 - família 1: J-L. Dega - família 2: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

379.880.959: BERTA d'Arles, widow of BOSON Comte in Upper Burgundy, daughter of BOSO Comte d'Arles, later Marchese of Tuscany, & his wife Willa of Upper Burgundy (- after 18 Aug 965). "Bertam, Willam, Richildam et Gislam" are named (in order) as the four daughters of Boso and Willa by Liutprand[1873], who in a later passage names Berta as "Bosonis Arelatensis comitis viduæ" and mentions her marriage soon after the death of her first husband to Raymond, by virtue of which she was deemed guilty of incest[1874]. "Bertha comitissa" donated property inherited from "avunculi mei Ubonis, regis in regno Gociæ in comitatu Sustantionensi…villam…Candianicus…" to Montmajour by charter dated 26 Feb 960, signed by "…Emens vicecomes…"[1875]. The testament of "Raymundus comes", dated 961, bequeathed property for life "alodes…in Nemosense…castello…Casso" to "Bertanæ" and after her death to "Raymundo filio suo" and if he died without heirs to "Bernardo et uxori suæ Adelais", and in case of their death without heirs to "Hugo"[1876]. "Berta…comitissa et filius meus Raimundus…comes" donated property "in comitatu Nemausense" to Nîmes Notre- Dame by charter dated 7 Sep 961[1877]. "Berta…comitissa" donated property "in comitatu Nemausense" to Nîmes Notre-Dame by charter dated 18 Aug 965, subscribed by "Raimundus filius meus"[1878]. She is cited at the time of a synod held after 1004 (maybe [1012])[1879].

[1872] Settipani (2004), p. 31.

[1873] Liudprandi Antapodosis IV.10, MGH SS III, p. 318.

[1874] Liudprandi Antapodosis V.31 and 32, MGH SS III, p. 336.

[1875] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 107, col. 233.

[1876] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 111, col. 240.

[1877] Nîmes Notre-Dame LXI, p. 102.

[1878] Nîmes Notre-Dame LXVI, p. 109.

[1879] Robertini, L. (ed.) (1994) Liber miraculorum sancte Fidis (Spoleto), I, 98, cited in Settipani (2004), p. 31.

-5596- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1880] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 111, col. 240.

Berthe d'Arles (av. 912- ap. 18 août 965), comtesse d'Arles qui épousa probablement en 924 Boson (895-935), appelé aussi Boson Ier, fils du duc de Bourgogne, Richard II de Bourgogne dit Richard le Justicier. Boson était abbé laïc de l'abbaye Saint-Pierre de Moyenmoutier et de l'abbaye de Remiremont dans les Vosges. Devenue veuve, Berthe d'Arles épousa en 936 Raymond II († 961), comte de Rouergue. Il est également dit qu'elle accueillit son oncle Hugues à Arles en 947.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et wikipedia) 29 x 2012, C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom") 2x2014 - família 1: J-Louis Dega (Wikipedia) - família 2: J-L. Dega - família 3: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom") 2x2014

379.880.959a: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.880.959-2a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

379.880.959-2b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

379.880.960: Fonts: - persona: J-L. Dega(Jaurgain) - família: J-L. Dega(Jaurgain)

379.880.961: Fonts: - família: J-L. Dega(Jaurgain)

379.880.964: OLIBA [II] ([830/40]-[879]). Cros-Mayrevieille suggests that Oliba [II] was the son of Oliba [I][491]. The name obviously suggests a close relationship but, in the absence of documentary evidence to the contrary, Oliba [II] could just as easily have been the nephew or grandson of Oliba [I]. In addition, assuming that Oliba [II] was in his thirties when granted property in 870 (which is suggested if his sons were minors when he died), he must have been born late in the life of Oliba [I] if he was the son of the latter. Comte de Carcassonne. Charles II "le Chauve" King of the West Franks granted property "in pago Carehasensi" to "Olibam…comitem", by charter dated 20 Jul 870[492]. The Annales Bertiniani record that King Charles II granted “Carcasonem et Rhedas” to “Bernardo…Tholosæ comite” in 872[493]. A charter dated 23 Sep 873 records the foundation of the church of Notre-Dame de Formiguera by "comitibus…Vuifredo et fratre eius Mirone et comitibus Olibano et fratre eius Ayfredo"[494]. Emperor Charles II "le Chauve" granted property "res in Gotia" previously held by "Mirone infideli nostro filio Beram" and “in Carcasense” by “Fredario et uxori suæ Deufianæ…infidelis noster” and “Hostiliti et fratrum suorum…infidelium nostrorum” to "Oolibam comiti Carcasensi", by charter dated -5597- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 11 Jun 877[495]. A charter of Charles III “le Simple” King of the West Franks dated 3 Nov 908, confirming the assets of “monasterio Crassensi”, mentions property donated by “Bencio comes bonæ memoriæ” which “Oliba comes” held[496].

m ---. The name of Oliba's wife is not known. Comte Oliba [II] & his wife had two children.

[491] Cros-Mayrevieille Tome I (1846), p. 116.

[492] RHGF VIII, CCXXXII, p. 627.

[493] Annales Bertiniani 872, RHGF VII, p. 114.

[494] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, XCIX, p. 661.

[495] RHGF VIII, CCLXXV, p. 663.

[496] RHGF IX, XXXIX, p. 505.

Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul) - família: J-L. Dega

379.880.965: Fonts: - família: J-L. Dega

379.880.965a: BENCIO [I] ([860/70]-908). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. Comte de Carcassonne. A charter of Charles III “le Simple” King of the West Franks dated 3 Nov 908, confirming the assets of “monasterio Crassensi”, mentions property donated by “Bencio comes bonæ memoriæ” which “Oliba comes” held[497].

[497] RHGF IX, XXXIX, p. 505.

Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de M.Mahul)

379.880.965c: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi carolingien" pp 67/72 Oxford 2004 ) 26 x 2009 - família: B.de Fournas (http://www.dagos.org/lautrec.htm)

379.880.972: NOTICE ODON 877-918

on Foundation for Medieval Genealogy

-5598- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas ODON [Odonus/Eudes], son of RAYMOND I Comte de Toulouse & his wife Berthe -- - (-after 16 Jun 918). His parentage is confirmed by the charter dated 3 Nov 862 under which "Raymundus…comes et marchio et uxor mea Berteyz" founded the abbey of Vabres, naming "Bernardum filium nostrum…Fulgualdus filius noster…Odo filius noster" (all three of whom also subscribed the document)[225]. He succeeded as ODON Comte de Toulouse. "Bertheiz sagaci" donated property to Vabres, for the souls of "genitoris mei Remigii hac genetricis meæ Arsinda" and for "iugale meo Raimundo et filio meo Bernardo qui fuerunt quondam, seu et filio meo Odone et Benedicto", by charter dated 6 Apr 883[226]. "Oddo…comes uxorque mea Garsindis" exchanged property with Frotaire Archbishop of Bourges by charter dated to [886] witnessed by "Airberti fratris eius, Garsiæ scriptoris comitis, Willelmi comitis…"[227]. "Oddo…comes uxorque mea Garsindis" sold property "in comitatu Lemovicino…villa…Orbaciacus" by charter dated Aug 887, with the consent of "fratre nostro Airberto" and subscribed by "Garsis comitis, Willelmi comitis…"[228]. The charter dated 16 Jun 918, which records an audience at Ausonne in the diocesis of Carcassonnne held by "Aridemandus episcopus sedis Tolosæ civitatismissus advocatus Raymundo comite Tolosæ civitatis et marchio" with the consent of "Odone comite genitore suo"[229], suggests that Odon resigned the county in favour of his son Raymond before he died.

m GERSENDE, daughter of ---. "Oddo…comes uxorque mea Garsindis" exchanged property with Frotaire Archbishop of Bourges by charter dated to [886] witnessed by "Airberti fratris eius, Garsiæ scriptoris comitis, Willelmi comitis…"[230]. "Oddo…comes uxorque mea Garsindis" sold property "in comitatu Lemovicino…villa…Orbaciacus" by charter dated Aug 887, with the consent of "fratre nostro Airberto" and subscribed by "Garsis comitis, Willelmi comitis…"[231]. The HGL suggests that she was Gersende d'Albi, daughter of Ermengaud Comte d’Albi & his wife, basing this on Gersende naming her second son Ermengaud[232]. Even if it is correct that Gersende was connected to the comte d´Albi, it is presumably possible that she was a more remote relation of Ermengaud than his daughter.

Comte Odon & his wife had [three] children.

[225] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, LXXXVII, p. 652, and 3rd Edn., Preuves, 160, p. 329. [226] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXI, p. 669, and 3rd Edn., Preuves, 203, p. 405. [227] HGL 3rd Edn. Tome II, Preuves, 204, p. 407. [228] Beaulieu, X, p. 24. [229] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CLXIII, p. 709, and 3rd Edn., Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 43, col. 137. [230] HGL 3rd Edn. Tome II, Preuves, 204, p. 407. [231] Beaulieu, X, p. 24. [232] HGL 2nd Edn. Tome II, p. 321.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les comtes de Toulouse et FMG) v 2010 et xi 2013

379.880.973: [GERSENDE . "Oddo…comes uxorque mea Garsindis" sold property "in comitatu Lemovicino…villa…Orbaciacus" by charter dated Aug 887, with the consent of "fratre nostro Airberto" and subscribed by "Garsis comitis, Willelmi comitis…"[177]. The HGL suggests that the wife of Odon Comte de Toulouse was the daughter of Ermengaud Comte d’Albi, basing this on Gersende naming her second son Ermengaud[178]. Even if it is correct that Gersende was connected to

-5599- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas the comte d´Albi, it is presumably possible that she was a more remote relation of Ermengaud than his daughter. m ODON Comte de Toulouse, son of RAYMOND I Comte de Toulouse & his wife Berthe --- (-[918/19]).]

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 xi 2013

379.880.976: Fonts: - família 2: J-L. Dega (Jaurgain)

379.880.977: LUPA Sánchez . The Codex de Roda names "domna Lopa" as the child of "Sanzio Garseanis…ex anzilla", stating that she was mother of "Regemundo de Bigorra"[202]. She was probably much older than her legitimate brother and sisters, her husband being the great-uncle of the second husband of her half-sister Velasquita Sánchez. m --- de Bigorre, son of --- (-after 930).

[202] Lacarra ‘Textos navarros del Códice de Roda (1945), 13, p. 236.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014

379.880.977-2b: Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain) - família: J-L. Dega (Jaurgain)

379.880.984: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - naixement: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/genallemand/html/dat252.htm#16) - defunció: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/genallemand/html/dat252.htm#16)

379.880.985d: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.880.985e: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.881.024: Guifré I, anomenat el Pilós ( v 840 - 897), Comte d'Urgell i Cerdanya (870-897); Comte de Barcelona i Girona (878-897); Conflent (896-897); Comte d'Osona (886- 897) de facto, encara que de jure ho fou del 878 al 897, malgrat que del 878 al 885 la regió era gairebé despoblada.

La llegenda el fa fill del comte Guifré d'Arrià, cavaller del Conflent, i venjador de la -5600- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas mort del seu pare assassinat per Salomó, al qual Guifré el Pilós donà mort. Hi ha qui situa el naixement de Guifré a Rià (Conflent). Ara bé, a partir de l'estudi de Ramon d'Abadal La família catalana dels comtes de Carcassona. Genealogia de Guifré el Pilós dins d'Els primers comtes catalans (Barcelona, Edicions Vicens Vives, 1958 pàgs 13-29), es considera que Guifré era fill de Sunifred I, nomenat Comte d'Urgell i de Cerdanya el 834 per l'emperador Lluís el Pietós, i Comte de Barcelona, Girona, Narbona, Nimes, Agde, Besiers i Magalona el 844 pel rei franc Carles el Calb. Sunifred era fill de Bel·ló de Carcassona, comte de Carcassona en temps de Carlemany; per això, els comtes descendents de Sunifred i del seu germà Sunyer I d'Empúries i Rosselló (834-848) se'ls denomina bel·lònides.

En les lluites dinàstiques sorgides a l'Imperi franc després de la mort de Lluís el Pietós (840) i del Tractat de Verdun (843), Bernat de Septimània, comte de Barcelona i Girona (825-832 i 835-844), Narbona, Besiers, Agde, Magalona i Nimes (828-832 i 835-844) i de Tolosa (835-844) va alinear-se amb Pipí II d'Aquitània, i els bel·lònides a Carles el Calb; el 844, després d'haver-se apoderat de Tolosa, Carles hi capturà Bernat i el féu executar. Després de la fi de Bernat, Carles el Calb concedí els comtats de Barcelona, Girona, Narbona, Nimes, Agde, Besiers i Magalona a Sunifred d'Urgell-Cerdanya.

El 848, Guillem de Tolosa, fill de Bernat de Septimània nomenat comte de Barcelona per Pipí II, s'apoderà d'aquest comtat i del d'Empúries on féu executar Sunifred i Sunyer I, lleials a Carles el Calb. I aquest fet significà la fi provisional dels bel·lònides.

Les investidures, per Carles el Calb el 870, de Guifré el Pilós com a comte d'Urgell i Cerdanya i del seu germà Miró per al càrrec comtal de Conflent s’inscriuen en la represa del clan bel·lònida, iniciada el 862 amb el nomenament dels germans Delà i Sunyer II, fills de Sunyer I d'Empúries-Rosselló i cosins germans de Guifré i Miró, com a comtes d'Empúries.

El juny del 870 a l'assemblea d'Attigny, i havent mort el comte Salomó d'Urgell, Cerdanya i Conflent, un personatge que ens és desconegut per manca de documentació, el jove Guifré, va rebre aquests honors del rei Carles el Calb. El Conflent el va cedir al seu germà Miro (conegut per Miró el Vell).

Rebel·lat Bernat de Gòtia, comte de Barcelona, Rosselló, Narbona, Agde, Besiers, Magalona i Nimes, contra Carles el Calb, Guifré el Pilós, ajudat pel seu germans Miró de Conflent i Sunifred (després abat d'Arles), i pel vescomte de Narbona Lindoí, que es posaren del costat de Carles i després del seu fill Lluís el Tartamut, avançaren per la Septimània on eliminaren per la força als nobles fidels a Bernat (com el bisbe Sigebut de Narbona), i expulsaren de les seves esglésies els sacerdots que n’eren partidaris. Això devia passar al començament de l'any 878, potser el març i abril. La rebel·lió de Bernat es va ensorrar; l'agost, el concili de Troyes, presidit pel papa Joan VIII i per rei Lluís el Tartamut va prendre decisions religioses i polítiques. En aquest concili hi foren presents Guifré el Pilós d'Urgell i Cerdanya, Miró de Conflent, Sunyer II d'Empúries, i Oliba II de Carcassona com a personalitats polítiques, i els bisbes d'Elna, Girona, Barcelona i Urgell com a principals personalitats eclesiàstiques de la Gòtia. L'11 de setembre del 878 Bernat fou declarat desposseït dels seus honors que foren repartits; arran d'aquest repartiment Guifré el Pilós fou investit comte de Barcelona, Osona, Girona i Besalú. Narbona, Besiers, Agde, comtats que fins llavors anaven vinculats a Barcelona van quedar-ne separats. El seu germà Miró de Conflent va rebré el comtat de Rosselló; Guifré va cedir l'administració de Besalú al seu germà Radulf (878-920). Sunifred serà abat d'Arles i Riculf bisbe d'Elna.

-5601- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Després de les investidures del 878, els dominis de Guifré abastaven tant l'àrea muntanyenca -Urgell i Cerdanya- com la marítima -Barcelona i Girona-; durant tot el segle IX, excepte en el breu període de Sunifred (844-848), el pare de Guifré, com a comte d'Urgell, Cerdanya, Barcelona, Girona i Narbona, aquestes dues zones s’havien mantingut separades, regides sempre per comtes diferents; en gran part, perquè hi impedia la comunicació l'espai buit central configurat per les actuals contrades del Ripollès, la Vall de Lord, el Berguedà, el Lluçanès, la Plana de Vic, el Moianès, les Guilleries i el Bages, ço és el territori despoblat arran de tot el trasbals de la revolta d'Aissó.

En aquesta àrea buida, però, a finals del segle IX s’hi registra un fort corrent d'inmigració procedent de les contrades pirinenques -Pallars, Urgell i Cerdanya-; després de gairebé dos segles –des dels inicis de la crisi de la monarquia visigoda fins a la fi del poder carolingi- d'haver acollit els que abandonaven les terres planes a causa dels riscos de la inestabilitat política, ara, les terres d'alta muntanya havien arribat a patir superpoblació; per això, a molta gent no li quedà cap altre remei que intentar establir-se a les terres baixes.

Davant d'aquesta situació, Guifré el Pilós, els comtats del qual envoltaven tota aquesta àrea de nova població, intervingué a la zona per canalitzar la colonització; va nomenar-hi veguers per delimitar les àrees de colonització i els nuclis de poblament, així com també integrà aquest territoris dins de les estructures comtals. En un principi, quan les característiques i situació de la zona ho permetien, Guifré annexionà les àrees repoblades a un comtat ja existent: la Vall de Lord fou inclosa dins del comtat d'Urgell, i el pagus de Berga -l'actual Berguedà- al comtat de Cerdanya; ara bé, la regió central del Ripollès, Plana de Vic, Lluçanès i les Guilleries configurava un territori tradicionalment estructurat al voltant de les ciutat d'Ausa amb una tradició ètnica pròpia -era l'antic país dels ausetans- per això, Guifré va crear-hi un districte propi, el comtat d'Osona, on també hi foren incloses les terres del Moianès i el Bages les quals, tot i tenir un nucli tradicional - la ciutat de Manresa- i també una personalitat històrica derivada d'haver estat el país dels lacetans, per la seva situació de primera línia de frontera amb l'Islam i pel seu escàs poblament, no tenien prou entitat com per estructurar-hi una demarcació específica; d'ací el valor merament geogràfic i mai jurídic de l'expressió comtat de Manresa, freqüent als documents. Al nou comtat d'Osona, Guifré, havent-s’hi reservat el càrrec de comte, el 885 va nomenar-hi un vescomte, amb la missió d'exercir-hi les funcions comtals en absència del comte.

En la vessant eclesiàstica, calgué integrar la xarxa de parròquies, erigides, sovint, pels mateixos colons, dins de la jerarquia episcopal; a conseqüència de la seva proximitat geogràfica, les parròquies del Berguedà i les de la Vall de Lord foren incloses dins de la diòcesi d'Urgell, ara bé, a l'àrea central, va ser necessari restaurar la seu d'Ausa, destruïda per la invasió àrab del segle VIII. El 886, Guifré el Pilós va aconseguir de l'arquebisbe de Narbona, metropolita dels bisbats sud- pirinencs, el restabliment de la diòcesi i la consagració episcopal de l'arxipreste Gotmar; el nou bisbe va fer erigir la nova catedral fora del recinte d'Ausa -una ciutat abandonada i en ruïnes, a causa de les destruccions provocades primer pels musulmans i, després, per la revolta d'Aisó- i la situà en un nou nucli de població, proper a l'antiga ciutat, un veïnat - vicus en llatí-, origen de l'actual Vic. Dins de la reorganització eclesiàstica de la nova regió, Guifré fundà els monestirs de Ripoll (880) i de Sant Joan de les Abadesses (885), dotats no sols de terres sinó també de drets públics i privilegis jurídics. Així, Ripoll va rebre els beneficis dels serveis reials deguts pels habitants d'Estiula i Ordina, de les pesqueries del Ter i del Freser, com també un terç del teloneu del mercat, i, a més, el monestir fou declarat exempt de la jurisdicció dels tribunals comtals en matèria d'homicidis, raptes i altres delictes, com també als monjos els fou reconegut el dret d'elegir lliurement el seu abat segons la regla de Sant Benet. El monestir -femení- de Sant Joan va

-5602- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas rebre, a més de grans latifundis, el castell de Montgrony amb el seu terme i la seva església. Per la seva banda, el 899, Emma, filla de Guifré el Pilós feta nomenar abadessa de Sant Joan pel seu pare, va aconseguir del rei Carles el Simple un privilegi d'immunitat respecte del govern dels comtes per a l'abadessa i el cenobi, posats sota exclusiva jurisdicció reial; i el 913, ultra obligar, en virtut d'una sentència judicial, els habitants de la vall de Sant Joan a reconèixer la propietat monacal sobre les terres que ocupaven, Emma, després d'haver guanyat un plet contra el seu germà el comte Miró II de Cerdanya, va aconseguir afirmar la jurisdicció abacial, excloent els pobladors de la rodalia de prestar serveis reials al comte.

Mort Lluís el Tartamut (879), el regne franc va dividir-se entre els seus fills, tots dos menors d'edat: Lluís III va rebre Nèustria, Austràsia i Lorena; Carloman, la Borgonya, Aquitània, Septimània i els comtats sud-pirinencs.

El buit de poder causat per aquesta successió va agreujar-se, precisament, per les morts de Lluís III (882) i de Carloman (884); llavors, a causa dels difícils moments del regne a causa dels continus atacs dels normands contra les costes atlàntiques, es descartà d'entronitzar Carles el Ximple -fill pòstum de Lluís el Tartamut, de només cinc anys d'edat- i, per tal de buscar un monarca capaç de plantar cara als invasors escandinaus, a l'assemblea de Ponthion (885) els magnats optaren per oferir la corona al fill de Lluís el Germànic Carles el Gros, rei de Germània coronat emperador pel Papa el 881. Tot el territori carolingi quedava, doncs, de nou sota el domini d'un únic sobirà.

Tanmateix, l'emperador Carles el Gros, nét de Lluís el Pietós, de seguida va demostrar que no tenia el tremp del seu avi -ni, menys encara, el del seu besavi-: davant del setge a París pels normands entre novembre del 885 i octubre del 886, Carles només fou capaç de comprar-ne la retirada a canvi de pagar-los un tribut; a més, a la França oriental, tampoc no va veure’s amb cor de dominar les revoltes de Francònia, Saxònia, Turíngia, Baviera i Suàbia. Per tot això, doncs, el 887 Carles fou destronat.

A la mort de Carles el Gros (888), esdevinguda enmig de la indiferència i l'oblit general, el sistema carolingi caminava cap a la seva desaparició. A la França oriental, la nissaga semblava poder tenir alguna continuïtat amb el nebot de Carles, Arnulf, fill il·legítim de Carloman de Baviera, proclamat rei de Germània, el 887, en revolta contra el seu oncle, i, malgrat la seva condició de bastard, coronat emperador pel Papa el 896. Ara bé, a la mort de Lluís el Nen (899-911), fill i successor d'Arnulf de Germània, els nobles alemanys elegiren rei Conrad, duc de Francònia, aliè a la dinastia carolíngia la qual ja no va tornar a regnar mai més a Germània. Per la seva banda, a Itàlia, la deposició de Carles el Gros (887) va iniciar un procés de lluites entre els magnats, els quals aconseguiren, a més, de convertir el Papat en un instrument dels seus propòsits imposant-hi pontífexs servils i de baixa condició moral. Finalment, a la França occidental, la persistència, a causa de la vergonyosa capitulació de Carles el Gros, dels atacs normands plantejà de nou la necessitat de trobar un monarca amb dots de cabdill militar; el 888, menystenint novament els possibles drets de Carles el Ximple, els nobles elegiren rei Odó comte de París, que no pertanyia a la nissaga carolíngia, trencant així el principi de legitimitat.

Seguint la tradició del clan, els bel·lònides -Guifré el Pilós, Miró de Rosselló- Conflent i els comtes d'Empúries Delà i Sunyer II- acataren els monarques carolingis Carloman (879-884) i Carles el Gros (885-888), tal com ho testimonien la visita a la cort reial del 881 duta a terme pels jerarques catalans per sol·licitar-hi privilegis, i el precepte atorgat el 886 per Carles el Gros a Teotari, bisbe de Girona.

-5603- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Ara bé, aquesta lleialtat dels bel·lònides pren, després de mort Lluís el Tartamut, un caràcter passiu; els comtes catalans, si bé no s’alçaren mai contra els carolingis, evitaren d'implicar-se en les lluites del regne. El 879, Lluís III i Carloman marxaren contra Bosó, autoproclamat rei de Provença, títol privatiu dels descendents de Carlemany; els comtes catalans van posicionar-se a favor de Carloman però no s’uniren a l'expedició, actitud força diferent de la decidida i ferma actuació, només dos anys enrere, de Guifré i Miró a Septimània contra els seguidors de Bernat de Gòtia; igualment, cap dels jerarques sud-pirinencs no assistí a l'assemblea de Ponthion (885) ja que, per als comtes catalans, els atacs normands representaven una qüestió aliena i llunyana.

Per tot això, els bel·lònides rebutjaren, en un primer moment, el rei intrús Odó (888-898) però tampoc no s’alçaren contra l'usurpador en defensa dels drets del carolingi Carles el Ximple. Al seu torn, Odó, absorbit per les lluites contra els normands, no va poder endegar cap actuació política al sud del regne, tot i que, al final, va haver-hi un cert acostament dels comtes catalans cap a aquest rei, a causa de la crisi eclesiàstica motivada per l'actuació irregular del prevere Esclua.

El 886, aprofitant l'absència de l'arquebisbe Teotard de Narbona, el clergue cerdà Esclua va anar a la Gascunya i s’hi féu consagrar bisbe d'Urgell, diòcesi d'on, per instigació del comte Ramon I de Pallars-Ribagorça i amb l'aprovació tàcita de Guifré el Pilós, -comte d'Urgell- va expulsar-ne el bisbe titular Ingobert. La situació va complicar-se, però, quan Esclua va proclamar-se metropolità de la Tarragonesa, sostraient així les diòcesis catalanes a l'obediència de Narbona; amb aquesta condició de pretés metropolità, el bisbe intrús d'Urgell va intervenir en el contenciós creat el 887, quan els comtes Delà i Sunyer II d'Empúries rebutjaren Servus Dei, clergue consagrat bisbe de Girona pel metropolità Teotard de Narbona, d'acord amb Guifré el Pilós; accedint a les peticions dels comtes emporitans, Esclua va consagrar, amb el concurs de Frodoí de Barcelona i Gotmar de Vic, un nou bisbe de Girona en la persona d'Eremir; el 889 Servus Dei, expulsat de Girona, va haver de refugiar-se al monestir de Banyoles. Per altra banda, el 888, Esclua va complaure Ramon I –li devia l'accés a la seu d'Urgell-, amb l'erecció del bisbat de Pallars, com també, per assegurar-se el suport de Sunyer i Delà, va disposar-se a restablir l'antiga seu d'Empúries, existent fins a la invasió àrab.

Guifré el Pilós, si, en un primer moment, va tolerar la deposició d'Ingobert -no hi deuria tenir gaire bona relació-, ara, per l'amistat amb Teotard de Narbona, no podia admetre les pretensions metropolitanes d'Esclua; a més, per l'interès dels comtes en l'existència de seus episcopals als seus dominis, per controlar-les situant-hi familiars propers o per negociant-ne la concessió a canvi de contrapartides polítiques o econòmiques –d'ací l'actuació de Ramon I i de Delà i Sunyer II en tot aquest afer-, Guifré no podia permetre l'erecció d'uns nous bisbats -Pallars i Empúries- constituïts retallant el territori de diòcesis situades en els seus comtats d'Urgell i Girona. Per tot això, ara Guifré va posicionar-se contra d'Esclua i a favor de Teotard i dels bisbes destituïts, Ingobert i Servus Dei.

Davant d'aquesta situació, els comtes d'Empúries cregueren convenient acostar-se a Odó i reconèixer-lo com a rei tot i el seu caràcter d'intrús; el 889 el comte Sunyer II i el bisbe Eremir acudiren a Orleans, a la cort d'Odó i n'obtingueren uns preceptes que, al comtat d'Osona, incloïen una sèrie de donacions reials a favor del bisbat clarament lesives per a Guifré el Pilós. Enfortits, doncs, per aquesta aprovació reial, Sunyer i Delà ocuparen el comtat de Girona, calculant que Odó els en podria concedir la investidura. En aquestes circumstàncies, Teotard també va decidir acostar-se a Odó, de qui va obtenir un precepte de protecció reial per a l'arxidiòcesi de Narbona. Aprofitant la reconciliació del bisbe Gotmar de Vic amb Guifré, Teotard va poder convocar, el 890, a Port -localitat propera a Nimes- un concili amb l'assistència dels arquebisbes metropolitans d'Arles, Ais de Provença, -5604- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Embrun, Ate i Marsella com també dels titulars de diòcesis sufragànies de Narbona: Nimes, Carcassona, Albi, Uzès, Magalona, Agda, Besiers, Tolosa, Lodeva, Elna i Vic. En aquest concili, on va formular-s’hi una condemna a les usurpacions d'Urgell i Girona, el bisbe Gotmar de Vic va declarar-se penedit d'haver col·laborat amb Frodoí de Barcelona i Esclua en la consagració anti-canònica d'Eremir, i obtingué el perdó dels pares conciliars, amb l'encàrrec de comunicar les resolucions sinodals a Sunyer II d'Empúries.

La crisi eclesiàstica va cloure’s definitivament amb un nou sínode a Urgell (892) on Esclua i Eremir, obligats a comparèixer-hi, foren desposseïts formalment de les seus que ocupaven, les quals foren restituïdes als seus legítims titulars; el bisbe Frodoí de Barcelona va conservar la mitra només perquè va obtenir el perdó de l'arquebisbe Teotard. De tot l'afer, només va restar-ne, temporalment, l'existència del bisbat de Pallars; aquesta diòcesi, el 911, es reconegué que subsistiria només en vida del seu titular Adolf; tanmateix, Ató, fill del comte Ramon I va aconseguir succeir Adolf i regir el bisbat fins a la seva mort, el 949; llavors, la diòcesi pallaresa va extingir-se i les seves parròquies foren reintegrades al bisbat d'Urgell.

L’afer Esclua és un testimoni de la pèrdua per la monarquia franca del control de la situació als comtats catalans i a d'altres regions meridionals del regne a finals del segle IX. Per una banda, al sud del Pirineu els únics comtes que reconegueren Odó com a rei foren els d'Empúries i, encara, pel seu interès propi d'afirmar la situació d'Eremir com a bisbe de Girona; Guifré el Pilós, Miró de Rosselló-Conflent i Ramon I de Pallars no feren cap acte d'acatament a aquest monarca, d'ací que no en rebessin mai cap precepte reial, van permetre’s, doncs, de mantenir una actitud de rebuig cap a un sobirà que consideraven il·legítim. Per altra banda, en tota aquesta crisi, els monarques -tant el carolingi Carles el Gros (885-888) com l'intrús Odó (888-898)- mantingueren una actitud passiva, inconcebible en temps de Lluís el Tartamut i els seus predecessors -Carles el Calb, Lluís el Pietós, Carlemany i Pepí el Breu-; aquests sobirans, d'haver-se trobat amb un afer d'aquestes característiques hi haurien pres part activament enviant una comissió de missi dominici a resoldre el problema; en canvi, Carles el Gros no va prendre cap mesura davant de les deposicions contra dret d'Ingobert d'Urgell (886) i Servus Dei de Girona (887), i, al seu torn, Odó va mantenir una actitud incoherent concedint privilegis primer a Eremir (889) i, després, al seu rival Teotard (890); per a Odó, concedir privilegis a tot aquell qui acudia a la seva cort era un mitjà per aconseguir ser reconegut com a rei, i no pas una actuació orientada a resoldre la crisi, superada, per tant, gràcies a l'actuació no pas del monarca sinó dels poders eclesiàstics i civils de la regió mitjançant els concilis provincials de Port (890) i Urgell (892) on l'absència de delegats del sobirà permeté la deposició d'Eremir tot i els preceptes reials que havia obtingut el 889.

El 883 o 884 els musulmans es van sentir amenaçats per l'expansió de Guifré el Pilós, que va voler establir la frontera en els rius Llobregat i Segre, amb posicions al Bages (Cardona per exemple), a Osona, al Berguedà i a la Vall de Lord (i algunes aprisions a la Vall de Cervelló al sud del riu Llobregat), i repoblant els territoris, construint i consolidant esglésies i monestirs, al voltant dels que es fixava la població.

La frontera del comtat passava al nord de Solsona segurament per Besora, Tentellatge i Correà; la de Berga per Sorba, Gargalla i Serrateix; i la d'Osona per Cardona, Manresa i Montserrat. La ciutat de Lleida fou fortificada, i Guifré va veure-ho com una provocació i va atacar la ciutat, governada pel valí de la família dels Banu Qasi, Ismail ben Musa. L’atac no va sortir bé. L'historiador Ibn al Athir diu que els àrabs van fer gran mortaldat entre els atacants.

-5605- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas El successor de Ismail, Llop Ibn Muhammad atacà Barcelona uns anys després, i Guifré morí en la lluita l'11 d'agost de 897, a la Vall d'Ora, al Solsonès. Les seves despulles romanen al monestir de Ripoll. http://ca.wikipedia.org/wiki/Guifr%C3%A9_el_Pil%C3%B3s

GUIFRÉ [Guifred/Wifredus] [I] "el Pilós/el Velloso/the Hairy" de Barcelona, son of SENIOFREDO Count in the March of & his wife Ermesende --- (-killed in battle near Santa María del Puch [21 Aug 897/31 Dec 898], probably 11 Aug 898, bur Santa María de Ripoll monastery). The Gesta Comitum Barcinonensium names "Guiffredus…cum filio suo Guiffredo qui cognomento est Pilosus"[90]. The Crónica de San Juan de la Peña names "Guiffré que fue de la villa Darriá, sitiada en la tierra de Conflent cerca el río de Ter" when recording that he received "del Rey de Francia, el Condado de Barschinona", as well as "su fillo…Guiffré Pelloso" (stating that the latter was so-called "porque pellos hauía en lugars do homs nondan acostupnado de hauer")[91], although the Crónica is very confused in its narrative about the early rulers of Barcelona. No other source has so far been found which identifies two separate counts named Guifré, father and son. He was confirmed by Charles II "le Chauve" King of the West Franks as Comte de Urgell, Cerdanya and Conflent in 870, and as Comte de Barcelona and Girona in 878. A charter dated 23 Sep 873 records the foundation of the church of Notre-Dame de Formiguera by "comitibus…Vuifredo et fratre eius Mirone et comitibus Olibano et fratre eius Ayfredo"[92]. "Wifredus…comes et marchio et Winiedildes cometissa" donated "Castru Mochoronio cum ecclesias Sancta Maria et Sanctum Petrum et Sanctum Stephanum" to the monastery of "Sancti Johannis Babtiste…in comitatu Ausona in Valle Riopullo juxta flumen Tezer" [San Juan de las Abadesas], when "filiam nostram Emmone" became abbess, by charter dated 27 Jun 875, which names "fratre meo…Seniefredo clerico"[93]. “Wifredocomes et marchio et Winedildis commetissa” donated “castro Mochoronioet in valle Riopullo villareSendarein valle Martiniqui mihi advenitde fratri meo Soniefredo” to San Juan Bautista de Osona, and “Winedildes commetissa” donated “in comitatu Impuritano villaChabannas de comparacionem de patre meoSonifredo”, by charter dated 26 Jun 885[94]. He encouraged colonisation in the unsettled frontier areas of Urgell and Cerdanya along the valley of the River Lord. He restored the Bishopric of Vic in 887. The death in 888 of Emperor Karl III marked a decline in Carolingian power and a trend towards independence of the Catalan counties. This was helped by their geographical remoteness from the central Frankish authority, their own relative stability and the direct relations which they had established with the Papacy[95]. A charter dated 20 Apr 888 records that “Wifredus comes et Widinilles comitissa” dedicated Ripoll Santa Maria and donated “in alaudoin comitatu CerdaniavillaLoci[que] nobis advenit ex comparatione de partibus Sesenando”[96]. “Guifredus comeset Winildis comitissa” donated property to Ripoll Santa Maria when “filium suumRodulfo” entered the monastery by charter dated 20 Apr 888[97]. “Wifreduscomeset Widinildis comitissa” dedicated Ripoll Sant Pere by charter dated 25 Jun 890[98]. “Wifreduscomes et marchio et uxor mea Guinezelles” donated property “in villa Exaduce” to Ripoll Santa Maria by charter dated 31 Jul 890, subscribed by “Willermus vicecomes”[99]. A charter dated 21 Aug 897 names Wifredo and his wife Winidilda[100]. Guifré was killed resisting a Moorish incursion which reached Barcelona. The Crónica de San Juan de la Peña records that "Guiffré" (meaning Guifré the father, see above) was killed "cerca de la villa de Senyora Sancta Maria del Puch"[101]. A necrology of Ripoll Sant Joan monastery records the death "III Id Aug" of the founder of the monastery (who was Guifré) and his burial there[102]. On his death, his territories were divided between his sons. m (before 27 Jun 875) GUINIDILDA, daughter of SENIOFREDO & his wife --- (-[21 Aug 897/18 Feb 900]). Wifredo "el Velloso" and his wife Winidilda donated property

-5606- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas to Ripoll Sant Joan monastery by charter dated 27 Jun 875 which names "fratre meo…Seniofredo"[103]. Her parentage is confirmed by charters dated 875, 877 and 878 under which "Winidildes commitissa" donated property "in comitato Impuritano in villa…Kabannas omnem portionem mihi…de comparatione de cuondam patrem meum…Seniofredo" to Ripoll Sant Joan monastery[104]. The name of her father "Seniofredo" suggests that Guinidilda may have been a close relative of her husband, whose father had the same name. [According to Weir[105], she was Gunhild, daughter of Baudouin I Count of Flanders. It is assumed that this is based on the Gesta Comitum Barcinonensium which records that Charles II "le Chauve" King of the Franks gave a daughter of the Count of Flanders in marriage to "Pilosi" at the same time as granting him the [106], although this source is unreliable in points of detail concerning the family of the early counts of Barcelona. The Crónica de San Juan de la Peña also records that "Iuffré Pellos" married "una filla del..Conte de Flandres"[107]. Considering that the early counts of Flanders were in 877 still in the process of consolidating their newly founded county, it is not clear what contact they would have had with a count whose territory was so distant from their own sphere of activity, or the advantages they would have seen in such a dynastic marriage. The only known point in common between the two counts appears to have been King Charles II "le Chauve" who was suzerain of both. Gunhild is not shown among the children of Count Baudouin in Rösch[108]. In any event, this supposed Flemish origin is disproved by the charters quoted above.] "Wifredus…comes et marchio et Winiedildes cometissa" donated "Castru Mochoronio cum ecclesias Sancta Maria et Sanctum Petrum et Sanctum Stephanum" to the monastery of "Sancti Johannis Babtiste…in comitatu Ausona in Valle Riopullo juxta flumen Tezer" [San Juan de las Abadesas], when "filiam nostram Emmone" became abbess, by charter dated 27 Jun 875, which names "fratre meo…Seniefredo clerico"[109]. “Wifredocomes et marchio et Winedildis commetissa” donated “castro Mochoronioet in valle Riopullo villareSendarein valle Martiniqui mihi advenitde fratri meo Soniefredo” to San Juan Bautista de Osona, and “Winedildes commetissa” donated “in comitatu Impuritano villaChabannas de comparacionem de patre meoSonifredo”, by charter dated 26 Jun 885[110]. A charter dated 20 Apr 888 records that “Wifredus comes et Widinilles comitissa” dedicated Ripoll Santa Maria and donated “in alaudoin comitatu CerdaniavillaLoci[que] nobis advenit ex comparatione de partibus Sesenando”[111]. “Guifredus comeset Winildis comitissa” donated property to Ripoll Santa Maria when “filium suumRodulfo” entered the monastery by charter dated 20 Apr 888[112]. “Wifreduscomeset Widinildis comitissa” dedicated Ripoll Sant Pere by charter dated 25 Jun 890[113]. “Wifreduscomes et marchio et uxor mea Guinezelles” donated property “in villa Exaduce” to Ripoll Santa Maria by charter dated 31 Jul 890, subscribed by “Willermus vicecomes”[114]. A charter dated 21 Aug 897 names Wifredo and his wife Winidilda[115]. She died before 18 Feb 899, the date of a charter which confirmed the possessions of "domna Hemmone habbatissa" in "comitatu Cerdaniensis in valle Petrariense in villa…Stegale", in the presence of "Mirone comite et judices…", the document specifying the exclusion of "ipsa hereditatem de Domna Windilde cometissa condam…in villa…Provenca…qui sunt de Recosindo"[116].

Guifré [I] & his wife had [ten] children.

[90] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 68.

[91] Crónica de San Juan de la Peña XXII, pp. 98-9.

[92] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, XCIX, p. 661.

-5607- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [93] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXVI, p. 15.

[94] Ordeig i Mata (1999), Vol. IV, Part 1, 4, p. 67.

[95] Payne, S. G. (1973) A History of Spain and Portugal, Volume 1 - Antiquity to the Seventeenth Century (University of Wisconsin Press), in the Library of Iberian Resources Online, consulted at http://libro.uca.edu/payne1/spainport1.htm (15 Dec 2002), Chapter 5, p. 87.

[96] Marca Hispanica (1688), Appendix, XLV, col. 817.

[97] Marca Hispanica (1688), Appendix, XLVI, col. 818.

[98] Marca Hispanica (1688), Appendix, L, col. 822.

[99] Marca Hispanica (1688), Appendix, LI, col. 823.

[100] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 37, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1 and 2.

[101] Crónica de San Juan de la Peña XXII, p. 99.

[102] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 37, citing Archivo de Ripoll en el Necrológico antiguo.

[103] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 4, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1 and 2.

[104] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 17, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1, 2, 3 and 4.

[105] Weir, A. (2002) Britain's Royal Families: The Complete Genealogy (Pimlico), p. 6.

[106] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 68.

[107] Crónica de San Juan de la Peña XXIII, p. 102.

[108] Rösch, S. (1977) Caroli Magni Progenies (Verlag Degener & Co, Neustadt an der Aisch), p. 99.

[109] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXVI, p. 15.

[110] Ordeig i Mata (1999), Vol. IV, Part 1, 4, p. 67.

[111] Marca Hispanica (1688), Appendix, XLV, col. 817.

[112] Marca Hispanica (1688), Appendix, XLVI, col. 818.

-5608- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [113] Marca Hispanica (1688), Appendix, L, col. 822.

[114] Marca Hispanica (1688), Appendix, LI, col. 823.

[115] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 41, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1 and 2.

[116] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXXII, p. 24.

Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux") 7v2006 , Manuel Abranches de Soveral,, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014 - defunció: bataille - família: E.Visseaux/ Brian Tompsett, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

379.881.025: GUINIDILDA, daughter of SENIOFREDO & his wife --- (-[21 Aug 897/18 Feb 900]). Wifredo "el Velloso" and his wife Winidilda donated property to Ripoll Sant Joan monastery by charter dated 27 Jun 875 which names "fratre meo…Seniofredo"[103]. Her parentage is confirmed by charters dated 875, 877 and 878 under which "Winidildes commitissa" donated property "in comitato Impuritano in villa…Kabannas omnem portionem mihi…de comparatione de cuondam patrem meum…Seniofredo" to Ripoll Sant Joan monastery[104]. The name of her father "Seniofredo" suggests that Guinidilda may have been a close relative of her husband, whose father had the same name. [According to Weir[105], she was Gunhild, daughter of Baudouin I Count of Flanders. It is assumed that this is based on the Gesta Comitum Barcinonensium which records that Charles II "le Chauve" King of the Franks gave a daughter of the Count of Flanders in marriage to "Pilosi" at the same time as granting him the county of Barcelona[106], although this source is unreliable in points of detail concerning the family of the early counts of Barcelona. The Crónica de San Juan de la Peña also records that "Iuffré Pellos" married "una filla del..Conte de Flandres"[107]. Considering that the early counts of Flanders were in 877 still in the process of consolidating their newly founded county, it is not clear what contact they would have had with a count whose territory was so distant from their own sphere of activity, or the advantages they would have seen in such a dynastic marriage. The only known point in common between the two counts appears to have been King Charles II "le Chauve" who was suzerain of both. Gunhild is not shown among the children of Count Baudouin in Rösch[108]. In any event, this supposed Flemish origin is disproved by the charters quoted above.] "Wifredus…comes et marchio et Winiedildes cometissa" donated "Castru Mochoronio cum ecclesias Sancta Maria et Sanctum Petrum et Sanctum Stephanum" to the monastery of "Sancti Johannis Babtiste…in comitatu Ausona in Valle Riopullo juxta flumen Tezer" [San Juan de las Abadesas], when "filiam nostram Emmone" became abbess, by charter dated 27 Jun 875, which names "fratre meo…Seniefredo clerico"[109]. “Wifredocomes et marchio et Winedildis commetissa” donated “castro Mochoronioet in valle Riopullo villareSendarein valle Martiniqui mihi advenitde fratri meo Soniefredo” to San Juan Bautista de Osona, and “Winedildes commetissa” donated “in comitatu Impuritano villaChabannas de comparacionem de patre meoSonifredo”, by charter dated 26 Jun 885[110]. A charter dated 20 Apr 888 records that “Wifredus comes et Widinilles comitissa” dedicated Ripoll Santa Maria and donated “in alaudoin comitatu CerdaniavillaLoci[que] nobis advenit ex comparatione de partibus Sesenando”[111]. “Guifredus comeset Winildis comitissa” donated property to Ripoll Santa Maria when “filium suumRodulfo” entered the monastery by charter dated 20 Apr 888[112]. “Wifreduscomeset Widinildis comitissa” dedicated Ripoll Sant Pere by charter dated 25 Jun 890[113]. “Wifreduscomes et marchio et uxor

-5609- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas mea Guinezelles” donated property “in villa Exaduce” to Ripoll Santa Maria by charter dated 31 Jul 890, subscribed by “Willermus vicecomes”[114]. A charter dated 21 Aug 897 names Wifredo and his wife Winidilda[115]. She died before 18 Feb 899, the date of a charter which confirmed the possessions of "domna Hemmone habbatissa" in "comitatu Cerdaniensis in valle Petrariense in villa…Stegale", in the presence of "Mirone comite et judices…", the document specifying the exclusion of "ipsa hereditatem de Domna Windilde cometissa condam…in villa…Provenca…qui sunt de Recosindo"[116].

Guifré [I] & his wife had [ten] children.

[103] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 4, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1 and 2.

[104] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 17, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1, 2, 3 and 4.

[105] Weir, A. (2002) Britain's Royal Families: The Complete Genealogy (Pimlico), p. 6.

[106] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 68.

[107] Crónica de San Juan de la Peña XXIII, p. 102.

[108] Rösch, S. (1977) Caroli Magni Progenies (Verlag Degener & Co, Neustadt an der Aisch), p. 99.

[109] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXVI, p. 15.

[110] Ordeig i Mata (1999), Vol. IV, Part 1, 4, p. 67.

[111] Marca Hispanica (1688), Appendix, XLV, col. 817.

[112] Marca Hispanica (1688), Appendix, XLVI, col. 818.

[113] Marca Hispanica (1688), Appendix, L, col. 822.

[114] Marca Hispanica (1688), Appendix, LI, col. 823.

[115] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 41, citing Real Archivo, armario de S. Juan de las Abadesas num. 1 and 2.

[116] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXXII, p. 24.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014 - família: E.Visseaux/ Brian Tompsett, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

379.881.025c: Fonts: - persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011 -5610- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.881.025d: Fonts: - persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011 - enterrament: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

379.881.025e: SENIOFREDO [I] (-948). "Suniefredus comes" donated property to the monastery of San Pablo del Campo de Barcelona, for the souls of "genitore meo Wifredo comite et genitrice mea…Winedelde", by charter dated 11 Aug 939[158]. He succeeded his father in 897 as Comte de Urgell. "Suniefredus comes de Urgel et uxor mea Adalezi" donated property to the monastery of Santa Maria de Urgel by charter dated 12 Jul 936[159].

m ADELAIDA, daughter of ---. "Suniefredus comes de Urgel et uxor mea Adalezi" donated property to the monastery of Santa Maria de Urgel by charter dated 12 Jul 936[160]. Bofarull suggests that Adelaida was her husband´s niece, daughter of his brother Sunyer [I] Comte de Barcelona[161]. The latter´s daughter is named "Adalaiz comitissa que vocant Bona filia, filiam Suniarium comitem et Richildis chomitissam" in the charter dated 24 Jun [951] which records her donation to Ripoll Sant Joan[162], the title "comitissa" indicating that she was married to, or was widow of, a "comes" at the date of the document. However, Bofarull´s hypothesis appears to be based on nothing more than the fact that the two individuals bore the same name (which was not an uncommon one at the time), although it is correct that no "Adalaiz comitissa" has been identified at the time except for the wife of Seniofredo [I]. Seniofredo & his wife had one child :

a) BORRELL de Urgell (-after 12 Jul 936). A record of the possessions of , undated but dated to the 10th century, names "Miro comis Cerdaniensis, Soniarius comis Barchinonensis vel Ausonensis…Borrellus filius Suniefredo comis Urgillitanensis…et domna Emma abbatissa" donated property to the monastery of Santa Maria de Urgel by charter dated 12 Jul 936[163]. He presumably died before his father.

[158] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 68, citing Archivo del monasterio de San Pablo del Campo: Bagá Plecg2. De privilegis y donacions, n. 23.

[159] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 69, citing Baluzio en sus Capitulares tomo 2, col. 1014, nota 138.

[160] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 69, citing Baluzio en sus Capitulares tomo 2, col. 1014, nota 138.

[161] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 132.

[162] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXLII, p. 51.

[163] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 70, citing Archivo de Ripoll, armario 1 del Comun legajo rotulado abadia y monasterio cajón 1, legajo 1 fol. 8, antiguamente n. 113.

Fonts: - persona: J-L. Dega , Manuel Abranches de Soveral, , J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

-5611- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.881.025h: Fonts: - persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

379.881.026: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, JB.de La Grandiere (Stasser (Thierry) origine de 3 comtesses de Pallars anuario de estudios medievales Barcelona 1996) 1 vi 2016 - família: Manuel Abranches de Soveral

379.881.027: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família: Manuel Abranches de Soveral

379.881.027b: The Codex de Roda names "Regemundo ac domno Galindo seu domna Aba" as the children of "Uernardus" and his wife [Lacarra, J. M. 'Textos navarros del Códice de Roda'].

fhttp://fmg.ac/Projects/MedLands/ARAGONESE%20NOBILITY.htm #GalindoRibagorzaMVelasquitaNavarre

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família: J-L. Dega

379.881.028: SUNYER [II] . Comte de Roussillon. He is named in the charter which records the donation made by his son Comte Gausbert but no primary source has yet been identified which names Sunyer in his own capacity.

m ERMENGARDA, daughter of ---. "Waldaldus…sedis Elenensis (Elne, Pyrénées- Orientales) et Gauzbertus comes" donated property to "domum Sanctae Eulaliae…matrem omnium ecclesiarum Russulionensium sive Confluentium" for the souls of "Suniario comite et uxori Ermengardis et Bencone comite et Almerado episcopo condam et…Franchone vicecomite et uxori suae Eirtsinde et Oddone vicecomite" by charter dated 10 Apr 931[1627]. Sunyer [II] & his wife had [five] children.

[1627] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 55.II, col. 157.

Roi de Catalogne 886-915, Duc d’Espagne 886-915, Comte d’Ampurias et Perelada 884-915, Comte de Roussillon et Conflent 864-890, Comte de Roussillon 895-915, Comte d’Ausone 868-872, Comte de Cerdagne et Urgel 868-872 (CM d'Amat - Aurelio Isamat)

Fonts: - persona: J-L. Dega, , J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014 - naixement: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7 - defunció: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7 - casament: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7 - família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

-5612- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.881.029: Fonts: - persona: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7 - casament: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7 - família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

379.881.029b: BENCIO [I] (-[4 Mar/1 Sep] 916). He succeeded as Comte de Empúries. “Bentio comes” donated “villarePalatiolum superiorem” to the church of Elna, for the souls of “meæ etuxoris meæ Godlanæ”, by charter dated 4 Mar 916[1632]. “ElmeradusElnensis ecclesiæepiscopus” consecrated the church of Elna, and confirmed donations made by “benignæ recordationis germani mei Bentionis comitis ex villa Palaciolisfratris mei Gauzberti comitis”, by charter dated 1 Sep 916[1633]. "Waldaldus…sedis Elenensis Elne, Pyrénées-Orientales et Gauzbertus comes" donated property to "domum Sanctae Eulaliae…matrem omnium ecclesiarum Russulionensium sive Confluentium" for the souls of "Suniario comite et uxori Ermengardis et Bencone comite et Almerado episcopo condam et…Franchone vicecomite et uxori suae Eirtsinde et Oddone vicecomite" by charter dated 10 Apr 931[1634].

m GOTLANA de Roussillon, daughter of MIRON [I] Comte de Roussillon et de Conflent & his wife Cixilona --- (-after 4 Mar 916). “Bentio comes” donated “villarePalatiolum superiorem” to the church of Elna, for the souls of “meæ etuxoris meæ Godlanæ”, by charter dated 4 Mar 916[1635]. The primary source which confirms her parentage has not yet been identified.

[1632] Marca Hispanica (1688), Appendix, LXVI, col. 840.

[1633] Marca Hispanica (1688), Appendix, LXV, col. 839.

[1634] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 55.II, col. 157.

[1635] Marca Hispanica (1688), Appendix, LXVI, col. 840.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014

379.881.029c: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

379.881.029d: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

379.881.029f: [ARSINDE (-before 10 Apr 931). "Waldaldus…sedis Elenensis Elne, Pyrénées- Orientales et Gauzbertus comes" donated property to "domum Sanctae Eulaliae…matrem omnium ecclesiarum Russulionensium sive Confluentium" for the souls of "Suniario comite et uxori Ermengardis et Bencone comite et Almerado episcopo condam et…Franchone vicecomite et uxori suae Eirtsinde et Oddone vicecomite" by charter dated 10 Apr 931[1639]. As the donors were Gausbert [I] Comte de Empúries, Comte de Roussillon and his brother, and the other named individuals were their parents and deceased brothers, the presence of Arsinde and -5613- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas her family in the list would best be explained if she was their sister.

m FRANCON [de Narbonne], son of --- (-924).]

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 viii 2014

379.881.030: FRANCON [II] . Guifré [I] Conde de Barcelona appointed Franco as Vizconde in Ausona (now Vic, comarca Osona, provincia Barcelona, , Spain) in [879][1618]. same person as…? FRANCON (-924). A charter dated 17 Dec 924 records a donation to the abbey of Montolieu by "Oddo…vicecomes…cum uxore mea…Richelde" of property "in comitatu Narbonensi" inherited from "genitoris…Franconis et meæ genetricis…Ersindis" granted to them by Charles III "le Simple" King of the West Franks[1619]. m ARSINDE, daughter of --- (-before 10 Apr 931). "Waldaldus…sedis Elenensis (Elne, Pyrénées-Orientales) et Gauzbertus comes" donated property to "domum Sanctae Eulaliae…matrem omnium ecclesiarum Russulionensium sive Confluentium" for the souls of "Suniario comite et uxori Ermengardis et Bencone comite et Almerado episcopo condam et…Franchone vicecomite et uxori suae Eirtsinde et Oddone vicecomite" by charter dated 10 Apr 931[1620]. As the donors were Gausbert [I] Comte de Empúries and Comte de Roussillon and his brother, and the other named individuals were their parents and deceased brothers (see CATALONIA NOBILITY), the presence of Arsinde and her family in the list would be explained if she was their sister, Arsinde daughter of Sunyer [II] Comte de Empúries, Comte de Roussillon & his wife Ermengarde ---. Francon & his wife had one child. [1618] D'Abadal, R. (1980) Els primers comtes catalans (Barcelona, 3rd ed.), p. 91. Also see HGL 3rd Edn, Tome IV, p. 151, Stasser (1993), p. 490, and Settipani (2004), p. 18. [J.-C. Chuat] [1619] HGL 3rd Edn. Tome II, Preuves, Chartes et Diplômes, 50, col. 147. [1620] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 55.II, col. 157. Fonts:- persona: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009, J-P.de Palmas (FMG citant : Settipani (2004), p. 18) 4 viii 2014 - naixement: Arsinde.0 de Narbonne - defunció: Arsinde.0 de Narbonne - família: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc")

379.881.031: L'une des deux hypothèses de Christian Settipani la dit fille de Mayeul de Narbonne ? Elle serait donc Arsinde de Narbonne ! J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 Une autre hypothèse, défendue par Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax (2008) est qu'elle serait soeur d'Eudes de Toulouse . C.Saint-Félix 12x2014 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 - naixement: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La noblesse du midi carolingien, p 17 à 20) 19/07/2009 - família: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc")

379.881.032: Sancho Garcés I (n. ? 865 - † Resa, 10 de diciembre de 925) Rey de Pamplona entre los años 905 y 925. -5614- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Miembro de la estirpe de magnates llamada Jimena es hijo de García Íñiguez y doña Urraca. Tras la muerte de su padre en el año 861, es gobernante de la Valdonsella y pronto comienza a intervenir en todos los territorios circundantes. Ocupa Pamplona cuando todavía reina Fortún Garcés, ayudado por Alfonso III de Asturias, junto con el conde de Pallars. Eliminados los derechos patrimoniales de los hijos de Fortún Garcés, estos recaerán en su nieta Toda, casada con Sancho Garcés I, que los hizo valer y se proclamó rey de Pamplona. Al morir el conde de Aragón Galindo Aznárez II, Sancho Garcés I ocupó las tierras de Aragón ignorando los derechos sucesorios de todos. Fue causa que justificó las luchas del gobernador musulmán de Huesca at-Tawil que tenia derechos sucesorios, por estar casado con Sancha que era hermana del conde. Se solucionó el problema al prometer en matrimonio a Andregoto Galíndez, hija de Galindo Aznárez II, con el hijo de Sancho Garces I, el futuro rey García Sánchez I que era un niño. Amplió considerablemente las fronteras meridionales del reino hasta llegar a tierras riojanas mediante una serie de campañas militares contra los musulmanes. Conquistó Nájera y estableció allí su corte, dotando de una organización definitiva al reino de Pamplona. Aliado con Ordoño II de León venció a un ejército cordobés en San Esteban de Gormaz (917), pero fue derrotado por Abd al-Rahman III en Valdejunquera (920). Durante su reinado se comienza a acuñar moneda, siendo el primer reino cristiano que use tal regalía. Así mismo, aparece el sistema de tenencias, que se perpetuará en Navarra y Aragón hasta principios del siglo XIII. El centro político del mundo cristiano estaba en la corte de Nájera que dio como resultado varios matrimonios reales de las hijas de Sancho Garcés I y la reina Toda Hija 1: Urraca de Pamplona, casada con Ramiro II de León. Hija 2: Oneca de Pamplona, casada con Alfonso IV "El Monje" de León. Fue reina de León entre 926 y 931. Murió en 931. Hija 3: Sancha de Pamplona, casada en primeras nupcias con Ordoño II de León, en segundas con el Conde alavés Alvaro Herraméliz y en terceras, con Fernán González, Conde de Castilla. Hijo 4: García I Sánchez, Rey de Pamplona, casado con Andregoto Galíndez y con Teresa de León. Hija 5: Velasquita o Belasquita Sánchez, casada en primeras nupcias con el Conde vizcaíno Mumo (Nuño), en segundas con Galindo de Ribagorza y en terceras con Fortún Galíndez. Hija 6: Munia (Muña) de Pamplona, casada con Ordoño I de Asturias. Hija 7: Orbita de Navarra. El rey Sancho Garcés I murió en las cercanías de Resa, a orillas del río Ebro, el día 10 de diciembre del año 925 y fue enterrado en San Esteban de Resa. De Wikipedia, la enciclopedia libre Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família 2: H.R.Moser/EuSt-II/54

379.881.033: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.881.033b: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.881.033c: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.881.033e: The Codex de Roda names "Garsea rex et domna Onneca et domna Sanzia et domna Urraca…domna Belasquita, necnon et domna Orbita" as the children of "Sanzio Garseanis" and his wife "Tota Asnari", stating that Velasquita married -5615- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "domni Momi comitis Bizcahiensis", secondly "domni Galindi filium Uernardi comitis et domne Tute" and thirdly "Furtunio Galindonis"[Lacarra, J. M. 'Textos navarros del Códice de Roda']. "Sancius rex…cum coniux mea Tuta regina" donated property to the monastery of San Martín de Albelda by charter dated 5 Jan 925, confirmed by "…Garsea eiusdem principis filius, Enneca eiusdem principis filia, Belaschita eiusdem principis filia…" [Albelda 3]. http://fmg.ac/Projects/MedLands/NAVARRE.htm #VelasquitaSanchezM1MunioVelazAlava Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família 2: J-L. Dega

379.881.034: Galindo II Aznárez fue Conde de Aragón (893-922), sucediendo a su padre Aznar I Galíndez. Patrocinó el golpe de estado de Pamplona (905), del que resultó el cambio de la dinastía pamplonesa por otra rama más favorable a los intereses de Aragón. Se casó dos veces: con Sancha Garcés y con Acibella Garcés. Tuvo dos hijas: Toda, casada con Hunfredo Bernat, conde de Ribagorza, y Andregota Galíndez (condesa 922-925), casada con García Sánchez I, rey de Navarra (925-970) Murió en 922. De Wikipedia, la enciclopedia libre. Fonts:- persona: R.Dewkinandan> WW-2, Manuel Abranches de Soveral - naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 3i2015

379.881.035: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família 1: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 3i2015

379.881.035-1a: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.881.035-1b: Fonts: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 3i2015

379.881.035-1c: Fonts: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 3i2015

379.881.036: His letter dated 912 to the town of Brañosera confirmed the rights granted by his grandparents, whom he names [Becerro de Cardeña ]. Referred to as "comes in Burgos" in 899 [Pérez de Urbel]. He built the castle of Lara in 902, and populated Aza, Clunia and San Estebán in 912 [Pérez de Urbel]. He is last mentioned in Castile in 916 [Pérez de Urbel]. He may have been banished to Navarre from 920 to 930, a "Gundisalvus comes" witnessing royal Navarrese documents during this period [Pérez de Urbel], although if this is correct it is surprising that his wife did not accompany him, established as she was in the castle of Lara during that time. A "Gundisalvus Fredinandiz comes" witnessed a 932 donation, signing immediately after King Ramiro II and before "Fredenandus comes" (presumed to be Fernando González). http://fmg.ac/Projects/MedLands/CASTILE.htm#FlamulaMGonzaloTellez Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

379.881.037: Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral

-5616- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.881.037b: "Momadonna cometessa" donated property to the monastery of Santa María de Lara, confirmed by her sons "Fredinando Gundisalviz, Ramiro Gundisalviz", by charter dated 28 Jan 929 [Zabalza Duque]. He has not been identified in later documents, which suggests that he may have died soon after.

http://fmg.ac/Projects/MedLands/CASTILE.htm#FlamulaMGonzaloTellez

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.881.088: Sunyer I (v 870 - monestir de la Grassa, Conflent 950 ), comte de Barcelona i Girona (911-947) i comte d'Osona (911-939 i 943-947).

Fill de Guifré el Pilós i germà de Guifré II Borrell, Sunifred II d'Urgell i Miró II de Cerdanya. Des de la mort del seu pare, el 897, va estar associat al govern sota la tutela de Guifré II i a partir de la mort d'aquest, el 911, va governar sol.

En política interior, va protegir i enfortir les institucions eclesiàstiques concedint- los terres i tributs i estimulà el repoblament del comtat d'Osona.

En morir el seu oncle Radulf I de Besalú, vers el 920, va sorgir un conflicte entre Sunyer I i el seu germà gran Miró II de Cerdanya per la possessió del comtat de Besalú. Al final es va decidir incorporar Besalú a Cerdanya i a canvi Miró II renunciava a les seves aspiracions al comtat de Barcelona.

En les relacions exteriors, va abandonar l'actitud defensiva habitual entre els comtes catalans i lluità contrà els sarraïns a Lleida i Tarragona, alhora que mantingué relacions diplomàtiques amb Còrdova. Eixamplà i repoblà, a partir de 929, el seu comtat pel Penedès fins a Olèrdola).

El 912, el governador sarraí de Lleida, Muhammad al-Tawil, va dirigir un atac contra el comtat de Barcelona que va derrotar els exèrcits de Sunyer a la vall de Tàrrega. Però el 914, Sunyer va organitzar una expedició de resposta que va donar mort a Muhammad al-Tawil.

Durant el període 936-937, va dirigir una expedició militar contra els musulmans al llarg del litoral català cap al sud. Sembla que va tenir molt d'èxit ja que, a banda de provocar una gran mortaldat entre els seus enemics, on també hi va morir el Cadí de València; va aconseguir que els musulmans abandonessin temporalment Tarragona, que va quedar com a terra de ningú; i va imposar el pagament d'un tribut a la ciutat de Tortosa.

Es casà en primeres núpcies amb Aimilda l'any 914 i van tenir una filla.

Gudinilda (915-960), casada amb Hug I, comte de l'alt Carcí. L'any 925 es va casar en segones núpcies amb Riquilda de Tolosa, filla del comte de Roergue Ermengol, i van tenir:

Ermengol I d'Osona (925-943), comte d'Osona

-5617- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Miró I de Barcelona (926-966), comte de Barcelona

Borrell II (927-992), comte de Barcelona

Adelaida (928-v955), casada amb el seu oncle Sunifred II d'Urgell i posteriorment abadessa del Monestir de Sant Joan de les Abadesses

Guillem (929-986)

El 947 es retirà a fer vida monacal després d'haver cedit el govern dels seus dominis als seus fills.

http://ca.wikipedia.org/wiki/Sunyer_I

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (Iconographie : Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse vue depuis le village) 28 x 2017 - defunció: E.Visseaux/ Brian Tompsett, L. Gustavsson - família 1: L. Gustavsson, JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011 - família 2: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

379.881.089: [RICHILDE de Rouergue (-after 954). Szabolcs de Vajay suggests[1852] that the second wife of Sunyer [I] Conde de Barcelona was the daughter of Ermengaud de Toulouse Comte de Rouergue & his wife Adelais ---, to explain the transmission of the name Armengol [Ermengaud] into the Barcelona family.

m ([920/25]) as his second wife, SUNYER I, Conde de Barcelona, son of GUIFRE I "el Velloso/el Pilós/the Hairy" Conde de Barcelona & Guinidilda --- (-950).]

[1852] Vajay, S. de 'Comtesses d'origine occitane dans la Marche d'Espagne aux 10e et 11e siècles', Hidalguia 28 (1980), pp. 598-9. [J.-C. Chuat]

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014 - família: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

379.881.089a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (NLTaylor "Will et Society") 2i2015

379.881.089c: Fonts: - persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

379.881.089d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (NLTaylor "Will et Society") 2i2015

379.881.089-1a: Fonts: - persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

-5618- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.881.089-1b: Fonts: - persona: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011 - defunció: JL.Mondanel (Wikipedia) 16 viii 2011

379.881.089-1c: Elle serait en fait à fusionner avec Guidinilde de Toulouse fille de Raymond de Toulouse C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.881.098: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família: J-L. Dega

379.881.099: Fonts: - família: J-L. Dega

379.881.099a: Fonts: - persona: J-L. Dega, JL Mondanel, 16 vii 2010 (orthographe)

379.881.099c: Fonts: - persona: J-L. Dega

379.881.099d: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

379.881.099e: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

379.881.120: Ce "viking" serait à l'origine de nombreuses familles normandes et anglo-saxonnes : de TANCARVILLE, de HAUTEVILLE, d'ABBETOT, Le DISPENCER devenue SPENCER Mais ces premiers quartiers paraissent fortement sujet à caution.

Voir sur le Web la Généalogie des seigneurs de TANCARVILLE de la première race, premiers titulaires de l'office de "Dispensator", sur Internet http://perso.wanadoo.fr/spens/presentation.htm

Descendants of Guiscard d'Hauteville : The information about the Spencer line comes from a variety of sources, some of which are questionable. In particular, the generations before John Spencer (b. 1505) have not been proved to be part of the family line. In addition, there are unproved connections (noted where they occur) in the generations preceding John. No doubt the name Spencer was derived from an occupation. Within a castle or large manor, the majority of individuals were referred to by their function. Those who were closest to the King or Lord of the Manor were held in high esteem. One such honored position was the "spencer" a Middle English word (derived from the

-5619- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Middle French word "despense") or chamberlain, who was in charge of all property, finances, and household affairs. "Le despenser" was the one who made decisions regarding the household. According to some sources, the despenser for was an early ancestor of the Spencer line, Robert d'Abbetot. However, the " role" of companions of William the Conqueror in 1066, list not only Abbetot, but a William Despenser, and someone designated as "Le Chamberlain de Tancarville". The matter of the early generations is not settled. The name Spencer evolved by appending "Le Despenser" as part of an earlier name or being adopted directly as an occupational surname. Very little is known about the family before Tancred. The family was already part of the Norman nobility as the Tancarville family castle is described as more ancient than 900 AD, located near Lillebonne, France, about 30 miles southeast of Le Havre. The ruins are still visible. http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~irwin/histories/spencer.htm

Voir également le site Web consacré à la généalogie de la famille Spencer http://www.spencer.com

Fonts: F-L. Jacquier - généalogies normandes

379.881.121: Fonts: - família: F-L. Jacquier - généalogies normandes

379.881.124: Vicking, compagnon de Rollon, venu de Norvège, il se fixa en Normandie. Fonts: - persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes - família: F-L. Jacquier - généalogies normandes

379.881.125: Fonts: - família: F-L. Jacquier - généalogies normandes

379.881.136: Fonts: E.Polti (Wikipedia) 1 ii 2013

379.881.137: Fonts: - família: E.Polti (Wikipedia) 1 ii 2013

379.881.138: Gisulf I (also Gisulph, Gisolf, Gisulfo, Gisolfo, Gisulphus, or Gisulfus) (May 930 – November or December 977) was the eldest son of his father, Guaimar II, and his second wife Gaitelgrima. He was associated with his father as prince of Salerno in 943 and he succeeded him on his death in 952. He was originally under the regency of his mother and Prisco, treasurer and count of the palace. In 946, he was assaulted by an alliance of Landulf II of Benevento and John III of Naples, but his own ally, Mastalo I of Amalfi, came to his rescue and ambushed Landulf's forces at La Cava. In the next year, he allied with Landulf and besieged Neapolitan Nola. In October 953, he issued a diploma favouring the bishop of Naples, but the unscrupulous diplomacy of his neighbours never seemed to favour him. Sometime after 955, however, he was made a patrician by Marianus Argyrus, the Byzantine strategos of Bari. In Autumn 966, Pope John XIII led a Roman-Tuscan-Spoletan army against Landulf III of Benevento and his brother Pandulf Ironhead, but Gisulf came to his rescue and no battle was given. The pope and Gisulf made a treaty at Terracina. It was this act which bought him later assistance from the powerful Ironhead.

-5620- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Gisulf was deposed and removed from office by a religious insurrection led by his brother Landulf in 974. His neighbour, the prince of Benevento and Capua, Pandulf Ironhead, restored Gisulf as his vassal. Though Gisulf was married to Gemma, he died heirless in late 977 (or perhaps 978) and Pandulf succeeded in Salerno.

http://en.wikipedia.org/wiki/Gisulf_I_of_Salerno Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, Joël Chirol (base familiale) 09/08/05 - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

379.881.139: Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05 - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

379.881.140: Landulf IV (died 13 July 982) was the prince of Capua (as Landulf VI) and Benevento from 968, when he was associated with his father, Pandulf Ironhead, and prince of Salerno associated with his father from 977 or 978. In 968, his uncle Landulf III died and this was the occasion of his rise, Pandulf ignored the rights of Landulf's son Pandulf, his nephew, and instead associated his own son with the government. In 969, the Ironhead was captured in the Battle of Bovino. The strategos of Bari, Eugenius, captured the town of Avellino and besieged Capua, then Benevento. Landulf's mother, Aloara of Capua and Landulf, Archbishop of Benevento, took over the government in his name, to defend the city from the Byzantines. In 977, after the Ironhead's release, he joined his father in an expedition in defence of Monte Cassino against the predations of Count Bernard of Alife. On Pandulf's death in March 981, the great Lombard principality was divided: Landulf, the eldest son, received Capua-Benevento and Spoleto, and Pandulf, the second son, received Salerno. However, the Emperor Otto II, who was in the Mezzogiorno at the time, fighting the Saracens, dispossessed Landulf of the duchy of Spoleto and gave it to Thrasimund, duke of Camerino and count of Penne. Soon thereafter, Landulf was forced also to recognise the division of Capua- Benevento, united since 899. His cousin, the aforementioned deprived Pandulf, as prince of Benevento, perhaps as an underling. Thereafter, Landulf was merely prince of Capua, in which capacity he supported the Cluniac reform and founded the church of San Croce at Caiazzo. He joined his deposed brother Pandulf in Calabria, where they fought the Saracens with Otto. They both died in the Battle of Stilo on 13 July. He was succeeded by his younger brother Landenulf, who was under the regency of Aloara http://en.wikipedia.org/wiki/Landulf_VI_of_Capua Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05 , Manuel Abranches de Soveral - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

379.881.141: Fonts: - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

379.881.144: Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05, J-P.de Palmas (FMG) 14 x 2016 - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

379.881.145: Fonts: - família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05

-5621- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.896.488: Fonts: - família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ) 30ix2008, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28ii2011

379.896.489: apparentée à la famille vicomtale de Lodève. Le prénom de la mère de Fulcran, Blitgarde, est livré par un ses biographes, Pierre de Millau, abbé de Mazan et auteur de la Vita secunda. Ce texte est perdu et c'est Bernard Gui (évêque de Lodève 1324-1331) qui nous le rapporte : Ferturque genitrici ejus Bligardi nomine per noctem ostensa visio Notons que d’autres auteurs suggèrent que la mère de Fulcran se nommait Eustorge.

C Settipani, conservant ce lien entre Fulcran et les comtes de Sustantion/Melgueil propose le schéma ci-dessus.

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ) -5622- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 30ix2008, J-P.de Palmas (Thierry & Hélène Bianco - "Aux origines des Guilhem de Montpellier" : note & stemma) 9 vii 2017 - família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ) 30ix2008, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28ii2011

379.896.489b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ) 30ix2008

379.896.489c: Saint Fulcran fut évêque de Lodève de 949 à 1006. Fête le 13 février. Sa date et son lieu de naissance sont incertains. D'après une vie rédigée au XVIIe siècle, il serait né dans un humble moulin de la vallée du Lignous à Mérifons dans le diocèse de Lodève, mais Dom Vic et Dom Vaissette suggèrent dans leur Histoire de Languedoc, qu'il soit issu de l'une des familles de Roquefeuil. Aucun acte ne permet d'étayer formellement cette hypothèse. Sa mère avait pris un soin particulier de son éducation et l'avait mis sous la discipline de Thierri, évêque de Lodève, qui vivait dans une grande réputation de sainteté. Après avoir passé par tous les degrés ecclésiastiques, il parvint enfin à la dignité d'archidiacre de Maguelonne[1]. Il est le trentième évêque de Lodève, où il fit édifier la cathédrale romane qui porte aujourd'hui son nom. Famille D'après Dom Mabillon, sa mère, à qui les uns donnent le nom d'Eustorge, les autres celui de Biligarde, étoit fille d'un comte de Substantion ou de Maguelonne. Dans ce cas, comte tenu de l'époque de sa vie, elle devait être la fille du comte Bernard (+922), premier comte de Melgueil dont le nom nous soit parvenu. On possède une copie du testament de Fulcrand daté de 988, dans lequel il fait mention de ses frères de Pons et Aranfred, de son neveu, d'André, et d'Emme, sa proche parente. On lui donne encore deux sœurs qu'on assure avoir été dames de Montpellier. Enfin, par le même testament, il se dit coseigneur d'une terre de Roquefeuil, relevant des vicomtes de Nîmes, ce qui peut faire croire qu'il appartenoit à une famille de Roquefeuil[4]. Il fait aussi une donation au prieuré de Nant, qui était une dépendance de l'Abbaye de Vabres. Bibliographie

 Bernard Gui, Vie de Saint Fulcran, traduite et annotée par l'abbé J. Rouquette, Montpellier, Valat, 1911, 124 p.  Gérard Alzieu, Une nouvelle vie de saint Fulcran de Lodève, dans Études sur l'Hérault, 1988, p. 53 à 60.  Henri Vidal Un évêque de l'an mil, saint Fulcran évêque de Lodève, Montpellier, Société archéologique, Mémoires, tome XXII, 1999.

Liens externes Généalogie de Saint Fulcran

Références

1. Dom Mabillon, Histoire générale du Languedoc, LIV, 13. 2. H. Vidal, Saint Fulcran, évêque de Lodève 3. L'arbre et le fruit, Jacques Gélis, Fayard,1984, page 53 4. ↑ Dom Mabillon, Histoire générale du Languedoc, LIV, 13.

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ) 30ix2008, J-P de Palmas (wikipedia et FMG) v 2010 -5623- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.896.489d: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011

379.896.489e: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011

379.897.349: Fonts: - persona: BdeRauglaudre, Jacques de Cauna (Cadets de Gascogne, la Maison de Marsan de Cauna) 7vii2008 - família: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.897.349a: Mort sans postérité

Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005) - defunció: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.897.349-2e: Il rentra dans les ordres une fois veuf, il fut évèque d'Agen et de Gascogne, de Bazas, d'Aire, de Dax d'Oloron et de Lescar avant 997.Archevêque de Bordeaux en 989.

Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

379.897.351: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.897.351a: El Libro de la Regla de Leire names "Garsea Santiones…matre sua domna Tota regina et uxore sua regina Eximina" (presumably an error for Andregoto), recording that they had "duos filios…Sanctius et Ramirum" [Canellas, A. 'Un documento original del rey Sancho Garcés II Abarca']. "Garsea rex…cum genitrice…Tuta regina et cum filiis Sancio et Ranimiro adque Urraka" donated property to the monastery of San Martín de Albelda by charter dated 953, witnessed by "Sancio rex et Ranimiro rex…" [Albelda 20]. "Fortunius Garseani" donated property to the monastery of Sahagún by charter dated 20 Jan 962, confirmed by "Ramirus Garseani prolis et provintie Pampilonie…" [Sahagún I]. He was established as king of Viguera in 970, in accordance with the testament of his father [Sabaté Curull]. "Santio…rex…cum fratre meo Ranimiro et domna Urraca regina" donated property to the monastery of San Millán de la Cogolla by charter dated [10 Dec 970], confirmed by "…Fortunio Galindonis, Scemeno Santionis…" [San Millán de la Cogolla I]. "Santio rex simulque frater meus Ranimirus et dompna Urraca regina" confirmed a donation to the monastery of San Millán de la Cogolla by charter dated 971, confirmed by "…Dompna Urraca, eiusdem regis germana, Garsea ipsius regis filius…Furtunio Galindonis dux, sennor Eximino Santionis, Furtunio Garseanis…" [San Millán de la Cogolla I]. The dating clause of a charter dated 22 May 974, under which the monks of San Martín de Albelda exchanged property with the men of Leza, names "regnante…principe nostro Sancio in Pampilona et sub illius imperio frater eius Ranimiro in Vekaria et in Leza" [Albelda 26]. "Sancius rex et Urraka regina…cum germanis nostris Ranimiro et Eximino" -5624- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas confirmed a prior donation to San Pedro de Siresa by "genitor noster Garsea rex" by charter dated 15 Feb 979, confirmed by "Eximino Sancionis, Garsea Furtunionis, Belasco Lihoriz" [Siresa 11]. The Codex de Roda records the death of "Tuta regina" followed by "Ranimirus nepus eius", undated but immediately following the record of the death in 970 of her son King García III [Lacarra, J. M. 'Textos navarros del Códice de Roda']. "Sancho Garcés II Abarca y su mujer la reina Urraca" donated property to the monastery of Leire, in memory of "el difunto rey Ramiro de Viguera", by charter dated 15 Aug 981 [Canellas, A. 'Un documento original del rey Sancho Garcés II Abarca']. "Sancho Garcés II Abarca, la reina Urraca" donated property to the monastery of Leire, for the soul of "Ramiro de Viguera, hermano del rey", by charter dated 15 Feb 991 [Canellas, A. 'Un documento original del rey Sancho Garcés II Abarca'].

http://fmg.ac/Projects/MedLands/NAVARRE.htm #TodaGarcesVigueraMFortunSanchezNajera

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família: J-L. Dega

379.899.904: Vicomte de Lavedan (65)

Fonts: - família: J-L. Dega (Navelle)

379.899.905: Fonts: - família: J-L. Dega (Navelle)

379.899.952: CENTULE [III] de Béarn (-after [995]). His parentage is assumed confirmed by the patronymic attributed to him in primary sources. Vicomte de Béarn. "…Centuli Gastoni, Gastoni Centuli de Bearno…" signed the charter dated 993 under which "Willelmus Sancius comes" restored the monastery of Saint-Sever[880].

m ---. The name of Centule's wife is not known. Centule [III] & his wife had [one child]:

Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013 - família: J-L. Dega

379.899.953: Fonts: - família: J-L. Dega

379.899.956: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

379.899.957: Fonts: - família: J-L. Dega -5625- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.899.957b: Fonts: J-L. Dega

379.899.957c: Fonts: J-L. Dega(Jaurgain)

379.912.233: Fonts: Manuel Abranches de Soveral

379.912.236: D. Gonçalo Mendes assume em 950 o condado de Portugal e em 962 revolta-se contra D. Sancho I de Leão, conseguindo a independência e soberaria da terra portucalense. O condado de Portugal não incluia o condado de Coimbra, então na posse de D. Gonçalo Moniz. Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.912.237: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.912.238: Fonts: Manuel Abranches de Soveral

379.912.240: Fonts: Manuel Abranches de Soveral

379.912.241: Dada a raridade do prenome Inderquina, sua mãe D. Eilo devia ser neta de D. Inderquina Menendez Pala. Mas não, como põe a hipótese Luiz de Mello Vaz de São-Payo, através de D. Ermesenda Gondesendes. Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.912.243: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.912.245: Fonts: Manuel Abranches de Soveral

379.912.245-2a: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 16 v 2012

379.912.264: Florence Humblot le 13 ix 2013: En recoupant différentes lectures pas toujours fluides j'en arrive à ceci .. encore avec quelques hésitations sur ce type de période :

 I/Pons Arbald est Pons Arbaud de Castellane (fils de Engelbert de Callian) marié à Hermengarde d'Arles ou Albion dont :

o I/Dodon marié à Galburge de Reillane dont Pons Pulverel + Rippert etc

-5626- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas o II/Isnard marié à Odile de Nice dont Mison Laget de Sisteron.

Pons Arbald est dit fils de Engelbert prince de Callian lui même fils de Bertillon ou Berlion frère de Hugues roi d'Italie et frère aussi de Boson d'Arles (mais dans Medieval Genealogy il n'est pas cité. oublie du site ou erreur de la part des généalogistes?)

Sources sur Gallica non exhaustives: I/Généalogie et histoire de la maison de Sabran Ponteves par Remerville de Saint Quentin p 7-8:ark:/12148/bpt6k55425242 II/Dictionnaire des familles française par Chaix d'Est Ange T IX III/Annales des Basses Alpes,Bulletin de la société scientifique et littéraire des Basses Alpes T XII p106:ark:/12148/cb32694207g/date IV/Bulletin historique et archéologique du Vaucluse p6:ark:/12148/cb327290860/date Pons-Arbalt Son prénom composé rappelle celui de son grand-père et peut confirmer une partie de son ascendance.

En 978 (ou plus exactement en 986), Pons-Arbalt et sa femme Ermengarde détenaient illégalement des dîmes de l’évêché. Ils reçoivent alors en précaire les dîmes des localités de Saint-Saturnin, Saint-Etienne, Agnane, et Antignane où se trouvent les églises de Saint-Sulpice et Saint-Philibert sous certaines conditions concernant les prêtres et l’évêque d’Apt (CA [19]).

En 988, Pons Arbalt donne les vignes de Silvolas, situées au sud du château de Roussillon, à 8 km au nord-Ouest d'Apt, vignes qui lui viennent de sa mère (CA n° 78). Pons et Ermengarde sont encore mentionnés dans une charte de Montmajour (HM p 97) non datée, par laquelle le moine Gibernus fait donation à l’abbaye de divers biens au comté d’Apt que lui avait donné Pons et sa femme Ermengarde et ses fils Dodo, Ripert, Arbalt et Pierre. Les enfants de Pons et Ermengarde sont, d'après E Magnani qui semble s'appuyer sur une charte de donation de Gibernus (HM p 97) Poncius et uxor sua Ermengarda et filii sui Dodo, Ripertus, Arbalus, [Petrus] :

 Dodon qui suit ;  Ripert ;  Arbalt cité en 1043 ;  Ermengarde mariée à Aldebert de Lacoste ;  Abellon décédé vers 990 (T Pécout) ; son fils Pons de Saint Martin et son neveu, Ripert, fils de Dodon, font donation pour son âme en 1039.

Thierry & Hélène Bianco citant E.Magnani

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Florence Humblot citant notamment : Chaix-d'Est-Ange, tome IX ; Hélène & Thierry Bianco, Les Castellane, citant : E Magnani ) 24 ix 2013 et 2016 - família: J-P.de Palmas (Hélène & Thierry Bianco, Les Castellane, citant : Uc de Castellane et T Pécout) 3 iv 2016

379.912.265: En 991, Ermengarde donne à Notre-Dame d’Apt et aux chanoines la cinquième

-5627- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas partie de ses biens dans un certain nombre de localités sises entre Apt et Saint- Saturnin. Ses soeurs supposées (d'après E Magnani-Soarès) Aremberte mariée à Garac de Lacoste et Teucinde femme de Nivelong de Cavaillon approuvent la donation (CA n° 100).

Jean Barruol pensait que les trois soeurs étaient filles d'Eric, frère de Saint Mayeul. Il complétait la fratrie avec Humbert et Lambert, souches des familles d'Agoult et de Reillanne. Les médiévistes modernes ont montré que cette thèse ne tenait pas.

-5628- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Par contre, la présence de l'anthroponyme Teucinde rapproche ces trois princesses de la fondatrice de Montmajour qui est décédée en 977. Chronologiquement, elle pourrait être leur grande tante. Nous ne savons pas comment est introduit dans ce lignage le prénom Ripert, qui apparait dès la génération suivante. Ne le doit-on pas à la famille d'Ermengarde ? La réponse à cette question pourrait nous donner une piste de recherche pour découvrir le lignage dont elle est issue Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Hélène & Thierry Bianco, Les Castellane, citant : ) 4 iv 2016 - naixement: F.de Bernis (base deret) 4 vii 07 - defunció: F.de Bernis (base deret) 4 vii 07 - família: J-P.de Palmas (Hélène & Thierry Bianco, Les Castellane, citant : Uc de Castellane et T Pécout) 3 iv 2016

379.912.265b: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani) iv-2009 et 2016

379.912.265d: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani) iv-2009 et 2016 - família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani) iv-2009 et 2016

379.912.265e: Son fils Pons de Saint Martin et son neveu, Ripert, fils de Dodon, font donation pour son âme en 1039. Fonts: - persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco, citant : Eliana Magnani) iv-2009 et 2016 - defunció: J-P de Palmas (Hélène & Thierry Bianco citant : T.Pécout) 2016

379.912.320: Fonts: - casament 2: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010

379.912.321: Fonts: - persona: Aurejac,JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010 - defunció: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010 - casament: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010

379.912.321b: Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux)

379.912.321-1b: Fonts: - naixement: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux) - família: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux) -5629- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.912.336: Igor was a Varangian ruler of Kievan Rus from 912 to 945. Very little is known about him from the Primary Chronicle. It has been speculated that the chroniclers chose not to enlarge on his reign, as the region was dominated by Khazaria at that time. That he was Rurik's son is also questioned on chronological grounds.

He twice besieged Constantinople, in 941 and 944, and concluded with the Emperor a favourable treaty whose text is preserved in the chronicle. In 913 and 944, the Rus plundered the Arabs in the Caspian Sea and laid siege to the capital of Albania (modern-day Azerbaijan). It is not clear whether Igor had anything to do with this campaign, or it may have been an independent group of Varangians. Igor was killed while gathering tribute from Drevlians in 945 and revenged by his wife, Olga of Kiev. The Primary Chronicle blames his death on his own excessive greed.

http://en.wikipedia.org/wiki/Igor_of_Kiev

Fonts: - persona: L.Orlandini , Manuel Abranches de Soveral - família: Euro.St. L.Orlandini

379.912.337: Dopo la conversione al cristianesimo assunse il nome di Elena 945-55 Regent Dowager Grand Duchess Olga of Kiev and Novgorod (Russia

Regent for son Svyatoslav after the murder of her husband, Grand Duke Igor I, in 945. In 957, she was baptized while on a trip to Constantinople. Although she worked hard to persuade other Russians to adopt her new faith, the mass conversion of Russians to Christianity did not occur until after the baptism in 988 of her grandson, Grand Prince Vladimir. Later declared a saint, she lived (ca. 890- 969). Olga (Russian: Ольга also called Olga Prekrasa, or Olga the Beauty, : Helga) (died July 11, 969 in Kiev) was a Pskov woman of Varangian extraction who married the future Igor of Kiev, arguably in 903. The Primary Chronicle gives 879 as her date of birth, which is rather unlikely, given the fact that her only son Svyatoslav was probably born some 65 years after that date. She spent great effort to avenge her husband's death at the hands of the Drevlians, and succeeded in slaughtering many of them and interring some in a ship burial, while still alive. After Igor's death, she ruled Kievan Rus as regent (945-c.963) for their son, Svyatoslav. She was the first Rus ruler to convert to Christianity, either in 945 or in 957. The ceremonies of her formal reception in Constantinople were minutely described by Emperor Constantine VII in his book De Ceremoniis. After her baptism she took the Christian name Yelena, after the reigning Empress Helena Lekapena. Olga was one of the first people of Rus to be proclaimed saint, for her efforts to spread the Christian religion in the country. However, she failed to convert Svyatoslav, and it was left to her grandson and pupil Vladimir I to make Christianity the lasting state religion.

Edward Gibbon upon Olga's conversion Photius of Constantinople, a patriarch, whose ambition was equal to his curiosity, congratulates himself and the Greek church on the conversion of the Russians. Those fierce and bloody Barbarians had been persuaded, by the voice of reason and religion, to acknowledge Jesus for their God, the Christian missionaries for their teachers, and the Romans for their friends and brethren. His triumph was transient and premature. In the various fortune of their piratical adventures, some Russian chiefs might allow themselves to be sprinkled with the waters of baptism; and a Greek bishop, with the name of metropolitan, might administer the sacraments in the church of Kiow, to a congregation of slaves and natives. But the seed of the -5630- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas gospel was sown on a barren soil: many were the apostates, the converts were few; and the baptism of Olga may be fixed as the aera of Russian Christianity. A female, perhaps of the basest origin, who could revenge the death, and assume the sceptre, of her husband Igor, must have been endowed with those active virtues which command the fear and obedience of Barbarians. In a moment of foreign and domestic peace, she sailed from Kiow to Constantinople; and the emperor Constantine Porphyrogenitus has described, with minute diligence, the ceremonial of her reception in his capital and palace. The steps, the titles, the salutations, the banquet, the presents, were exquisitely adjusted to gratify the vanity of the stranger, with due reverence to the superior majesty of the purple. In the sacrament of baptism, she received the venerable name of the empress Helena; and her conversion might be preceded or followed by her uncle, two interpreters, sixteen damsels of a higher, and eighteen of a lower rank, twenty-two domestics or ministers, and forty-four Russian merchants, who composed the retinue of the great princess Olga. After her return to Kiow and Novogorod, she firmly persisted in her new religion; but her labours in the propagation of the gospel were not crowned with success; and both her family and nation adhered with obstinacy or indifference to the gods of their fathers. Her son Swatoslaus was apprehensive of the scorn and ridicule of his companions; and her grandson Wolodomir devoted his youthful zeal to multiply and decorate the monuments of ancient worship. The savage deities of the North were still propitiated with human sacrifices: in the choice of the victim, a citizen was preferred to a stranger, a Christian to an idolater; and the father, who defended his son from the sacerdotal knife, was involved in the same doom by the rage of a fanatic tumult. Yet the lessons and example of the pious Olga had made a deep, though secret, impression in the minds of the prince and people: the Greek missionaries continued to preach, to dispute, and to baptize: and the ambassadors or merchants of Russia compared the idolatry of the woods with the elegant superstition of Constantinople. They had gazed with admiration on the dome of St. Sophia: the lively pictures of saints and martyrs, the riches of the altar, the number and vestments of the priests, the pomp and order of the ceremonies; they were edified by the alternate succession of devout silence and harmonious song; nor was it difficult to persuade them, that a choir of angels descended each day from heaven to join in the devotion of the Christians. http://en.wikipedia.org/wiki/Olga_of_Kiev

Fonts: - persona: L.Orlandini/ppmr , Manuel Abranches de Soveral - família: Euro.St. L.Orlandini

379.912.346: (ca. 935 - May 25, 992), son of the semi-legendary Siemomysł, was the first historically known Piast duke of the Polans, who gave their name to the country that would later be called "." Mieszko was not the duke's actual name but was given to him later - contemporary documents called him Mesco, Misico, Mesico, Msko or similar, with one strange exception - he also appeared as Dagome in document called Dagome iudex.

In 965 he married Dobrawa (Dobrava, Dubrawka), daughter of Boleslav I, Duke of Bohemia. In 980 he married Oda von Haldensleben, daughter of Dietrich (Theoderic) of Haldensleben, Count of the North March (965-985), after abducting her from the monastery of Kalbe.

The early career of Mieszko was dominated by fighting with the tribes of Wieletes and Volinians south of the Baltic Sea, and their ally, the Saxon count Wichman. Mieszko was baptised in 966, probably under the influence of his Christian first -5631- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas wife or perhaps in order to avoid confrontation with the Holy Roman Empire to the west. He built a church dedicated to Saint George at Gniezno and in 968 he founded the first Polish cathedral in Poznań dedicated to . Those events are also known as the baptism of Poland.

At the time of the reign of Mieszko there was no single place serving as the capital, instead he built several castles around his country. Of the most important were: Poznań, Gniezno and Ostrów Lednicki. The latter was a ring-fort some 460 feet in diameter, containing his residence, a fine stone palace, the country's first monumental architecture.

He had probably one sister of unknown name, and two brothers: one of them, name unknown, was killed in battle around 964; the second, named Czcibor, died in the Battle of in 972.

Some historians suggest that Mieszko I had pledged allegiance to emperor Otto I the Great, to emperor Otto II and again to emperor Otto III. However, there is much dispute over this point from the Polish side - mainly whether his allegiance represented the whole of Poland, or only part (the disputed fragment is "usque Varta fluvium"). One medieval chronicle also states that Mieszko pledged allegiance to Margrave Gero, but since the chronicle itself is believed to be an abstract of another which does not mention this, it is now generally considered to be a myth.

His reign began around 962 in Greater Poland (Wielkopolska), Kuyavia (Kujawy) and possibly in eastern Pomerania. In the he probably at least partially conquered western Pomerania, and in the 990's he conquered Silesia (Śląsk) and Little Poland (Małopolska).

Much of his military activity was along the Baltic coast, in territory later called Pomerania. He defeated Margrave Hodo of the Northern March at Cedynia in 972, and reached the mouth of the Oder (Odra) river in 976. The decisive battle, fought in 979, ensured Mieszko's position as ruler of the area. The following year he celebrated his temporary conquest by dedicating a fortress at Gdańsk. Settlements there have existed for millennia and Pomeranian and Prussian territories overlap at the mouth of the Vistula River.

In 981 Mieszko I lost the land known only as Grody Czerwieńskie to Vladimir I, prince of Kiev. In 986, upon the death of emperor Otto II, he pledged allegiance to the Emperor Otto III, and helped him with wars with the Polabians. Shortly before his death he gifted his state to the pope and received it as a fief of the Pope in a document usually called the Dagome Iudex. This document indexes the lands of (Mieszko), referred to as "Dagome" in the document, and his wife, former nun Oda and her sons by him. The other son Boleslaw I is not mentioned. It is assumed that the real name was Dago or Dagr and that he was of the royal Daglinger of Norway.

From his first marriage he had a son, his successor Boleslaus, and two daughters, Sygryda and the other of an unknown name. Sygryda was the wife (as queen Sigrid the Haughty) of Eric the Victorious, king of Sweden and then (as queen Gunhilda) of king Sweyn Forkbeard of Denmark, and mother of king Canute of Denmark and England. "Świętosława" is generally accepted by historians as the best approximation of this first daughter's Slavic name. The second daughter was most likely married to a Pomeranian Slavic Prince.

-5632- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas From his second marriage he had three sons; Mieszko, Lambert, and Świętopełk.

http://en.wikipedia.org/wiki/Mieszko_I

Fonts: - persona: L. Gustavsson/ WW-Person , Manuel Abranches de Soveral - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1: 922) 11 iv 2010 - bateig: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010 - família 1, família 3: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010 - casament 3: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010

379.912.347: Fonts: - persona: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13

379.912.347-1a: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010

379.912.352: Thierry Ier, mort vers 959, fut comte en Frise de 916 à 959. Il était probablement fils de Gérulf II, comte dans le Kennemerland.

Il reçut des terres autour d'Egmond de Charles le Gros en un lieu nommé Bladella (actuellement: Bladel) in 922.

Gérulf II, mort avant 916, comte dans le Kennemerland, est probablement le père de Thierry Ier, comte en Frise. Il est peut-être le fils ou le petit-fils d'un autre Gérulf, lui aussi comte en Frise à l'époque du règne de Louis le Pieux, vers 833.

Gérulf II fit partie des comtes qui tuèrent le chef viking Godfrith à Herespich (actuellement Spijk) en 885.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Thierry_Ier_de_Hollande

Fonts: - persona: F.L. Jacquier , Manuel Abranches de Soveral - família: F.L. Jacquier

379.912.353: Fonts: - persona: F.L. Jacquier - família: F.L. Jacquier

379.912.354: Arnoul Ier de Flandre dit Arnoul le Grand, Arnoul le Riche ou Arnoul le Vieux (°v.873 - † 27 mars 965), est le fils et successeur (en 918) de Baudouin II le Chauve et d'Elftrude de Wessex. On orthographie aussi Arnould. Son père lui fait épouser Alix de Vermandois, scellant sa réconciliation avec Herbert II, comte de Vermandois.

-5633- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Au début de son principat, il se range du côté carolingien et soutient Charles le Simple lors de la bataille de Soissons (923). Il soutient ensuite Raoul de Bourgogne contre le duc normand Rollon. Lorsque Sifrid le Danois et ses Normands viennent s'emparer, en 928, de l'endroit où s'élèvera ensuite la ville de Guînes, Arnoul renonce à la contre-attaque et livre sa fille Elstrude en mariage au pirate normand, qu'il investit comte de Guînes, vassal du comte de Flandre.

Cherchant à agrandir son domaine, il s’empare entre autres du château de Mortagne (dans le Tournaisis) en 931. En 933, à la mort de son frère Adolphe, il prend possession de la riche abbaye de St-Bertin, qu’il attribuera en 943 à Gérard, déjà abbé de St-Pierre de Gand, en se réservant toutefois pour lui-même Calais.

D’abord allié d'Hugues le Grand et du futur empereur et roi de Germanie Otton Ier contre le Carolingien Louis IV d’Outremer, il prend Montreuil à son comte légitime Herluin, qui lui reprend avec l’aide du duc Guillaume de Normandie, dit Guillaume Longue Épée; il inspire alors lors d’une entrevue à Pecquigny (942) l’assassinat par ruse de ce duc, puis une coalition contre son héritier Richard, dans laquelle entrent Otton Ier et Louis IV, dont il devient un fidèle allié. Otton, sur l’avis d’Arnould, met le siège devant Rouen : c’est un lourd échec, mal ressenti par le roi de Germanie; Arnoul lève le camp et, de dépit, Otton envahit les états de son ancien allié. Gand est détruite. Otton y fait construire le “Novum Castrum” dont la garde est donnée à Wichmann, et fait creuser la “fosse ottonienne”, délimitant les possessions impériales en Flandre. Finalement réconciliés, Otton laisse la suzeraineté du castrum à Arnould, qui marie sa fille Lutgarde à Wichmann. Montreuil est définitivement acquise en 948. Entre temps, Arras a été prise également (932).

En 958, le comte de Flandre convoque une assemblée des États à Gand, au cours de laquelle il remet le gouvernement du comté à son fils Baudouin III. Après la mort prématurée de ce dernier, son petit-fils Arnould II n’étant âgé que de douze ans (961) , il reprend la charge comtale. Il meurt trois ans plus tard, à l’âge vénérable de nonante-deux ans, ayant encore augmenté le comté du domaine ecclésiale de Lambres, promis par l’évêque de Cambrai en échange de son aide contre la ghilde de Cambrai révoltée.

Il avait fondé l’église de Thorout, établi un chapitre à St-Donat de Bruges, construit la chapelle St-Jean à Gand, et s’était appliqué à restaurer l’abbaye de St-Amand.

Il avait épousé en 934 Alix de Vermandois (v.915 † 960), fille d'Herbert II, comte de Vermandois, et d'Adèle de France, et avait eu :

Egbert (937 † 953) Baudouin III (940 † 962), comte de Flandre Hildegarde (934 † 990), mariée vers 943 à Thierry II (930 † 988), comte de Frise Occidentale Liutgarde (938 † 964), mariée en 950 à Wichmann II comte d'Hamaland Elftrude, née vers 932, mariée en 964 à Siegfried († 965), seigneur de Guines. http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnoul_Ier_de_Flandre

[P. 32] "A la mort de Baudouin II [en 918] Adalolfe recevait aux dires de Folcuin de Saint-Bertin "civitatem Bononiam et regionem Taruennicam paeiterque Sancti Bertini () abbatiam". A première vue la disparition prématurée d'Adalolfe, dès 911, ne lui laissa pas le temps d'imprimer sa marque. Son frère récupéra ses possessions, réunifiant le marquisat paternel. Le contrôle des pays méridionaux était d'ailleurs indispensable pour Arnoul, dont la lutte contre l'influence normande fut un souci majeur durant tout son principat." [P. 36] "Dhondt a démontré qu'Adalolfe avait deux fils, qui se révoltèrent avec -5634- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas l'espoir de récupérer les possessions méridionales de leur père. L'oncle réussit à éliminer l'un de ses neveux rebelles, mais le survivant, qui portait aussi le prénom d'Arnoul, poursuivit la lutte jusqu'à ce que l'empereur Lothaire intervienne pour le réconcilier avec son parent." J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005 P. 32-36) 15 x 2011

A comparer au travail des bénédictins qui disent: "933. Arnoul, comte dê Flandre , hérita du comté de Boulogne et du Ternois après la mort d'AdaloIfe, son frère. (Bouquet, ibid., p. 133.) Il eut aussi l'abbaye de Saint-Bertin, dont il se démit, l'an 944 en faveur de Gérard, abbé de Brogne. (Gall. Chr., T III, col. 492). Mais il garda la terre de Guines, qui en dépendait, et se l'appropria. Arnoul étant mort l'an 965 (V. S.), Guillaume, comte de Ponthieu, assisté du roi Lothaire, ee rendit maître du Boulonnais, qui devint le partage d'un de ses fils [Ernicule ou petit Arnoul], qui suit." - Grande divergence: les bénédictins disent qu'à sa mort le comté passe entre les mains du comte de Ponthieu et de son fils, ce qui est contredit par J-F. Nieus qui fait de l'héritier un fils d'Adalolfe ? J-C de Vaugiraud (L'art de vérifier les dates, reédition 1818, T. XII, P. 348) 19 x 2011

Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-163 , Manuel Abranches de Soveral, F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds -- page 28690) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28690.html - defunció: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 33) 15 x 2011 - família: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds -- page 28690) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28690.html, J-P.de Palmas (Descendance sur wikipedia) 28 vi 2012

379.912.355: Adèle de Vermandois (910–960), fille de Herbert II comte de Vermandois et de sa première épouse Adèle de France. Voir sa descendance sur wikipedia Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds -- page 28690) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28690.html - família 1: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds -- page 28690) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28690.html, J-P.de Palmas (Descendance sur wikipedia) 28 vi 2012 - família 2: T.Blanchet(http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I5386&tree =00)

379.912.355c: Mariée en 950 à Wichmann II comte d'Hamaland et de Gand 1. Ils eurent quatre enfants :

 Théodoric Ier de Gand (ap 950- ?), comte de Gand  Wichmann de Gand (ap. 951- ?)  Adèle de Gand (v. 955 -1017)  Lutgarde de Gand (v. 950-?)

Références

1. J.Depoin, Secrétaire général de la Société historique du Vexin, membre de -5635- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas la Société Française d'Archéologie, conteste le titre de comte de Gand, à l'époux de Lutgarde de Flandre : voir Wicman II, par J.Depoin

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Descendance sur wikipedia) 28 vi 2012

379.912.355-2a: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (P. Chesnel - Département de la Manche, le Cotentin et l'Avranchin sous les ducs de Normandie). - naixement: T.Blanchet(http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I110100&tr ee=00) - defunció: T.Blanchet(http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I110100&tr ee=00) - família: Joël Chirol (Rootsweb 03/08/07), F-L. Jacquier (P. Chesnel - Département de la Manche, le Cotentin et l'Avranchin sous les ducs de Normandie).

379.912.356: Cunégonde eut-elle deux ou trois maris ? (p. 19) Les hypothèses émises portent soit sur un troisième mari de Cunégonde, soit sur un chainon manquant (p. 19). Tout cela satisfait la logique mais n'est pas suffisamment attesté pour être définitivement assuré (p. 20). J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008 Le troisième mari épousé en 925 est Siegfried von Ostmark + 943 J-B de La Grandière (forum) 05/10/2009 Pour Medieval Genealogy, le troisième mari de Cunégonde et père de Siegfried pourrait être un frère de Wigéric: Nn N ! J-C de Vaugiraud 06/10/2009 Various names: "Wigerich - Wéderic", "Richwin of Verdun/", "Wigeric of /", "Also known as ‘Ricuinus (Ricwin) Prince of Ardenne’", "Wigerich Count /Palatine/", "Wigerich Graf im Bidgau und Adennengau", "Wigeric of Thiergau de Luxemburg", "Wigeric of Thier Thergau-Ardennes", "" Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008, T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Wigeric-of- Lotharingia/6000000011927175372) - naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Wigeric-of- Lotharingia/6000000011927175372) - defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Wigeric-of- Lotharingia/6000000011927175372) - família: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008

379.912.357: CUNIGONDE ([895]-after [930/40]). Her parentage and first marriage are indicated by the charter dated to [915] under which Charles III “le Simple” King of the West Franks donated the abbeys of Hastières and Saint-Rombaut to Liège Saint-Lambert, granting the enjoyment for life to "comes Windricusuxoris eiusCunegundis et unius filiorum ipsorumnostri nepotis Adelberonis"[323]. Her first and second marriages are confirmed by the Vita Iohannis Gorziensis which names "episcopo…Adalberone" (her son by her first husband) and "vitrico…eius Richizone" (her second husband)[324]. Her parentage is confirmed more specifically because the mother of Siegfried Count of Luxembourg is named

-5636- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "Cynigund", daughter of "Irmindrud" daughter of Louis II "le Bègue" King of the West Franks, in an 11th century genealogy which traces the ancestry of Siegfried's daughter Empress Kunigund[325]. The family relationship between Count Siegfried and the descendants of Wigerich [III] is confirmed by a reference in one of Gerbert's letters to Siegfried being patruus of the Wigerich's grandson Gozelo[326]. However, Siegfried’s birth is estimated to [930/40] which indicates that he could not have been the son either of Wigerich or Cunigonde's second husband Richwin. The only explanation which is consistent with all the sources is that Cunigonde married for a third time after the death of her second husband and that she was the mother of Siegfried by her third marriage. This necessitates a somewhat broad interpretation of “patruus” in Gerbert. The identity of her supposed third husband has not been ascertained. m firstly ([907/09]) WIGERICH [III], Comte d’Ardenne, son of --- (-[19 Jan 916/919], bur Abbaye de Saint-Glossinde, Metz). m secondly ([916/19]) as his second wife, RICHWIN [Richizo], Comte [de Verdun], son of --- (-murdered 923). [m thirdly ---, son of ---.] [323] Miraeus (Le Mire), A. (1723) Opera diplomatica et historica, 2nd edn. (Louvain), Tome II, II, p. 805. [324] Vita Iohannes Gorziensis 105, MGH SS IV, p. 367. [325] Tabula Genealogica ex Codice Bibl. Regiæ Monacensis, MGH SS II, p. 314. [326] Havet, J. (ed.) (1889) Lettres de Gerbert 983-997 (Paris), 52, p. 48, and Epistola XXXV, RHGF IX, p. 283. Prinzessin Kunigunde von Verdun - (src G.KEPEKLIAN - 25 iv 2006 http://www.ahneninfo.com/de/genealogien/tschudijakob.htm) Michel Parisse, dans "Publication de la section historique de l'Institut du Grand- Duché de Luxembourg" tome XCV p 9 à 40, explique les "flous" qui existent à ce niveau ! Cunégonde a eu deux et peut-être même trois époux (Wigeric, Ricuin (dont peu d'historiens admettent une postérité) et Peut-être Nn). Cunégonde aurait eu sept enfants. Du premier époux ne sont attestés que deux enfants (Adalbéron et Liutgarde) auxquels nous pouvons sans doute ajouter Gozlin (dit frère germain d'Adalbéron). Trois autres enfants ne sont prouvés que de la même mère (Sigebert, Frédéric, Giselbert), le père n'étant pas défini ! Sigefroid pourrait être le petit fils et non le fils de Cunégonde ? Ou bien il serait issu du troisième mariage non identifié ? Mathilde n'est pas citée par Michel Parisse ? Liutgart de Haute-Lorraine n'est pas citée par Michel Parisse ? J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 02/05/2008 Pour Georges Poull, sept enfants sont de Cunégonde et Wigéric (Frédéric, Adalbéron, Sigebert, Giselbert, Gozlin, Sigefroi et Liutgarde) ! Mathilde n'est pas citée par Gorges Poull ? J-C de Vaugiraud (G.Poull: La Maison souveraine et ducale de Bar: page 8 à 10) 02/05/2008 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40 et C. Settipani : La préhistoire des Capétiens, T. I, 1993, P.318) 05/10/2008 et 21 viii 2012 - naixement: J-C de Vaugiraud (C. Settipani: La préhistoire des Capétiens, T. I, 1993, P.318) 21 viii 2012, - defunció: J-C de Vaugiraud (ES I-2 1999, T. 202) 05/10/2008, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - casament 1: Jean-Marie Thiébaud (forum) 05/10/2009 - família 1, família 3: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008 - família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 3 vi 2016

-5637- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.912.357-1a: Fonts: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 02/05/2008

379.912.357-1e: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - defunció: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.912.357-1f: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008 - defunció: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 05/10/2008

379.912.357-2a: OTTO, son of RICHWIN Comte de Verdun & his wife Cunegondis --- (-943). Widukind names "præfciensque regioni Lothariorum Oddon em, Ricwinus filium, et ut nepotem suum filium Isilberhti, optimæ pulata est coniugio"[93]. He was installed as OTTO joint Duke of Lotharingia in 940. Adalbero [I] Bishop of Metz expelled the canons of Saint-Arnoul, with the consent of "ducis nostri Ottonis", by charter dated 15 Mar 942[94]. Regino records the death in 943 of "Otto dux"[95]. Widukind records that "Conrado" was installed as duke of Lotharingia after the deaths of "Oddone, Lothariorum præside, ac regis nepote Heinrico"[96]. [93] Widukindi Res Gestæ Saxonicæ II.26, MGH SS III, p. 445. [94] Calmet, A. (1748) Histoire de Lorraine (Nancy), Tome II, Preuves, col. clxxxviii. [95] Continuator Reginonis Trevirensis 943, MGH SS I, p. 619. [96] Widukindi Res Gestæ Saxonicæ II.33, MGH SS III, p. 447. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 3 vi 2016

379.912.358: Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds) http://hindskw.cts.com/genealogy.html; Grégory Grattepanche (fichi - família: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28708.html

379.912.359: de Ferrette = von Pfirt Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds) http://hindskw.cts.com/genealogy.html - naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - família: F-L.Jacquier (Genealogy of Ken Hinds) http://hindskw.cts.com/KennethHinds/28708.html

379.912.361: Fonts: - persona: Aurejac

379.912.364: Fonts:- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 vi 2016 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 -5638- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.912.365: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.365b: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.365c: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.365d: THIETMAR von Stade (-12 Mar 1001). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. of Corvey 983. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.376: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de - família: R.Dewkinandan> WW-2

379.912.377: Fonts: R.Dewkinandan> WW-2

379.912.377d: Fonts: R.Dewkinandan> WW-2

379.912.378: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 19 viii 2009 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.379: MATHILDE von Arneburg (-3 Dec 992). The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. Thietmar records the death of his paternal grandmother Mathilde on 3 Dec in the same year in which her son Siegfried died[167]. m LOTHAR [II] Graf von Walbeck, son of LOTHAR [I] Graf von Walbeck & his wife - -- (-986). [167] Thietmar 4.17, p. 163. Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base des frères Pire) 19 viii 2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 vi 2016 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.379a: LOTHAR [III] von Walbeck (-25 Jan 1003, bur Köln Cathedral). Thietmar names his paternal uncle Liuthar, recording that he attempted to deprive his mother of all her possessions after the death of his brother Siegfried[1894]. Graf im Derlingau und im Nordthüringgau 982. He succeeded in 982 as LOTHAR I Markgraf der Nordmark. The Annalista Saxo records that he was installed as Markgraf after "Teoderici ducis et marchionis" was deprived of the dignity following the destruction by the Slavs of the churches "Branneburch et Havelbergan" and their relapse into paganism[1895]. Thietmar records the death on 25 Jan, in the first year of the reign of King Heinrich II (1003), of "Markgraf Liuthar" and his burial at Köln[1896]. m as her first husband, GODILA, daughter of WERNER [Graf von Rothenburg] & his wife --- (-1015). Thietmar names a "nobly born woman from the West…Godila" as wife of Lothar, naming her father Werner and specifying that her cousin was

-5639- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Wicfrid Bishop of Verdun[1897]. Thietmar records that Godila remained unmarried for four years after her husband died then married secondly "her relative Hermann"[1898]. She married secondly (1007) Hermann [II] Graf von Werl. Godila's second husband has been identified as Hermann [II] Graf von Werl[1899]. If this is correct she must have been his second wife as Thietmar records that "she was denied any hope of future offspring" as she was excommunicated for the marriage, her husband being "her relative"[1900]. Graf Lothar [III] & his wife had [four] children. [1894] Thietmar 4.17, p. 163. [1895] Annalista Saxo 1010. [1896] Thietmar 6.86, p. 294. [1897] Thietmar 4.39, p. 179. [1898] Thietmar 6.86, p. 294, footnote 147 citing Thietmar MGH SrG n.s. IX, p. 378 footnote 1 ("Godila's second husband was Hermann [II] Graf von Werle"). [1899] Thietmar, p. 294, footnote 147 citing Thietmar MGH SrG n.s. IX, p. 378 footnote 1 ("Godila's second husband was Hermann [II] Graf von Werle"). [1900] Thietmar 6.86, p. 294. Fonts: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.379c: SIEGFRIED [I] "der Ältere" von Walbeck (-Walbeck 15 Mar 992). Thietmar names his father Siegfried, recording that "then a young man and unmarried" he supported Markgraf Hodo against Miezsko of Poland at the battle of Zehden[1921]. Graf von Walbeck. "Otto…imperator augustus" gave judgment in a dispute between Werner Abbot of Fulda and Gozbert Abbot of Hersfeld, concerning ship travel along the Hörsel, by charter dated 30 Dec 979, which names "comites nostros Sigebertum, Sigefridum et Brunonem"[1922], Siegfried presumably being Graf Siegfried [I]. Thietmar records his father's death on 15 Mar, in the same year that his mother died, at the fortress of Walbeck[1923]. m (end 972) KUNIGUNDE von Stade, daughter of HEINRICH "der Kahle" Graf von Stade & his first wife Judith von der Wetterau [Konradiner] ([956]-Burg Germersleben 13 Jul 997, bur Germersleben). Thietmar records that his father Siegfried "was mourned by his wife Cunegunde", stating that her brother-in-law Liuthar attempted to deprive her of all her possessions after the death of her husband, although all was restored to her with the emperor's help[1924]. Her marriage can be dated approximately from Thietmar describing her husband as unmarried at the time of the battle of Zehden[1925], which is dated to 24 Jun 972. The Annalista Saxo records the death in "Germersleve" on "III Id Iul 998" of "Cunigund comitissa uxor Sigefridi de Waldbike", specifies that she was sister of "Heinrici, Sigefridi et Udonis" and names her five sons (in order) "Thietmarum, Sigefridum, Brunonem, Heinricum, Fridericum"[1926]. In another passage, the Annalista Saxo records "Iudhithe comitisse filie Heinrici Calvi de Stadhen" as wife of "Sigefridi comitis de Waldbike"[1927]. Thietmar records the death of his mother at Burg Germersleben on 13 Jul[1928]. Graf Siegfried [I] & his wife had five children. [1921] Thietmar 2.29, p. 114. [1922] D O II 209, p. 237. [1923] Thietmar 4.17, pp. 162-3. [1924] Thietmar 4.17, p. 163. [1925] Thietmar 2.29, p. 114. [1926] Annalista Saxo 998. [1927] Annalista Saxo 1049. [1928] Thietmar 4.38, p. 179. External links Wikipedia Fonts: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

379.912.379d: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 -5640- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.912.380: Fonts: R.Dewkinandan> WW-2

379.912.381: Fonts: R.Dewkinandan> WW-2

379.912.381c: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.912.382: Fonts: - persona: Auréjac, F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008 - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

379.912.383: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com), F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

379.917.312: Ascendance : D’après Maurice Bony de Lavergne, Archambaud de Comborn serait issu de Foucher « de Ségur », construction non étayée par les sources 1. Descendance : La filiation réelle n'est attestée qu'à partir de d'Archambaud "Jambe pourrie". Source : Guillaume de Paysac ( Bernadette Barrière : « La dénomination chez les vicomtes limousins… » ) octobre 2006 B. Barrière, « La dénomination chez les vicomtes limousins… » , fait le point sur le lignage des origines au XIVe siècle.

1. D’ailleurs B. Barrière, « La dénomination chez les vicomtes… », ne la reprend pas, sans toutefois, se prononcer sur les conditions d’extraction du lignage. Le premier se sert d’un acte daté « vers 930 » pour asseoir le lien généalogique. De même, il n’y a aucune certitude pour faire de l’Archambaud signalé dans la donation de l’évêque Turpion, en 936-942, le fondateur des Comborn.

D'après la thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques", Archambaud est fils de Aymard. Il a un frère Dacbert, et une soeur Aldesinde, épouse d'Aimon, d'où Archambault dont descendent les seigneurs de Bourbon. Origine des Comborn donnée par Sébastien Fray in "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques" (démonstration de la page 1292 à 1296). Note de : C.Saint-Félix ( op. cit.) 21 ix 2014 Voir le stemma ci-après :

-5641- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: C. Saint-Félix ( C. Lauranson-Rosaz : "L'Auvergne et ses marges" ) 12 v 2006, J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, PU du Mirail, Toulouse, 2008) 5 i 2014 - família 1: J-P.de Palmas (B. Barrière, « La dénomination chez les vicomtes limousins… ») 5 i 2014 -5642- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família 2: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.917.313: Ildéarde (Hildegarde) est donnée comme fille d'Hildegaire vicomte de Limoges +>937 et petite-fille d'Hildebert vicomte de Limoges +<914 et d'Adaltrude d'Aurillac fille de Géraud x Adaltrude (C.Settipani "La Noblesse" pp 154/159 - Gramat- Oxford 2004; jblg 25/10/2005

Thèse de Sébastien Fray : "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques", page 1296

nous verrions volontiers en Hildegarde, la mère d’Archambault Jambe-Pourrie et la grand-mère d’Èbles, une parente proche – fille ou nièce du comte de Poitiers Èbles Manzer († 935) 5711. Car Èbles Manzer était par son père Ramnulfe l’arrière petit- fils du comte Gérard, lequel avait épousé une fille de Pépin d’Aquitaine nommée Hidelgarde 5712, ce qui implique qu’il n’y aurait rien d’étonnant à une parente proche d’Èbles Manzer nommée Hildegarde. De même, cette alliance prestigieuse expliquerait la promotion d’Archambault au rang vicomtal, le Limousin étant alors dominé par Guillaume Tête d’Étoupe, le fils d’Èbles Manzer. Enfin, elle justifierait également que le nom d’Èbles ait éclipsé l’onomastique adémaride chez les enfants d’Archambault Jambe-Pourrie et de Sulpicie, d’autant que les Adémarides descendaient probablement d’une soeur du comte de Poitiers Adémar, lequel avait tenté de spolier Èbles Manzer du Poitou 5713.

5711 A. RICHARD, Histoire des comtes de Poitou…, t. I, p. 72.

5712 R. LE JAN, Famille et pouvoir, p. 300. Pépin était le fils de Louis le Pieux, donc le petit-fils de Charlemagne et Hildegarde.

5713 Sur les rapports des Adémarides avec Adémar fils d’Emenon, voir ci-dessus la troisième section. Sur le conflit entre Adémar et Èbles Manzer, A. RICHARD, Histoire des comtes de Poitou…, Paris, 1903, t. I. thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques", page 1296, J-P.de Palmas 4 x 2014

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingien pp 250/258 Aubusson ) 26 x 2009, J-P.de Palmas (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques", page 1296, 2014) 10 vii 2015 - família: J-P.de Palmas (B. Barrière, « La dénomination chez les vicomtes limousins… ») 5 i 2014

379.917.314: BERNARD (-after [947/48]). The cartulary of Tulle St Martin records the testament of "Ademarus comes…[et] uxor mea Gauzla…Gausbertus frater meus…Bernardus filius meus" dated [922], subscribed by "Gausberti, Bosonis…"[1076]. "Ademarus" donated property by charter dated [930] which names "uxor mea Gauzla…Gausbertus frater meus…Bernardus filius meus"[1077]. "Ademarus et uxor mea Gauzla" made several testaments, of which some are dated [922] and [930/31], one of which clarifies that "Gauzla" and "Bernardus filius meus" both predeceased Ademar[1078]. The cartulary of Tulle St Martin records a donation subscribed by "donno Bernardo Abbate filio Ademari Vicecomitis" dated [947/48][1079]. Vicomte

-5643- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas de Turenne. [963/64]. Lay-abbot of Tulle. m DEDA, daughter of --- (-after 984). The cartulary of Tulle St Martin records a donation by "Deda vicecomitissa" made "pro anima viri mei Bernardi Torennensis vicecomitis et…filii mei Ademari vicecomitis" dated Oct 984[1080]. Vicomte Bernard & his wife had three children. [1076] Tulle Saint-Martin 12, p. 22. [1077] Beaulieu, XLIX, p. 90. [1078] Tulle Saint-Martin 10-14, p. 21. [1079] Tulle Saint-Martin 291, p. 175. L’implantation d’un vicomte à Turenne est signalée vers 941, avec Bernard, époux de Deda, fille du vicomte Adémar dit « des Echelles » (Tulle), elle-même qualifiée de vicomtesse en 984. À la même date, leur seul fils connu, Adémar vicomte, est dit défunt et le couple n’a plus que deux filles, mariées respectivement à Archambaud de Comborn (le Boucher) et à Ramnulphe d’Aubusson dit « Cabridel ». La détention du château de Turenne est l’objet d’un âpre conflit entre ces deux personnages, mais c’est le premier qui semble s’imposer. À partir de 992 en effet, le fils d’Archambaud et de Sulpicie de Turenne, Ebles dit « le Vieux », est vicomte de Comborn et de Turenne. C’est à la génération suivante qu’une séparation est opérée entre les deux héritages : Guillaume, dont le prénom fait référence aux guillelmides, réactive la lignée des Turenne alors que son frère cadet Archambaud II, assure la continuation des Comborn. Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, PU du Mirail, Toulouse, 2008) Fonts: - persona: J-P.de Palmas (La noblesse du Midi carolingien, par Christian Settipani, 2004 , FMG et Le phénomène vicomtal (pp. 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, PU du Mirail, Toulouse, 2008) - família: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014

379.917.315: Fonts: - família: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014

379.917.315c: Fonts: J-P de Palmas (La noblesse du Midi carolingien, par Christian Settipani, 2004)

379.917.344: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.345: HILDEGARDE du Perche, daughter of HERVE [I] Comte du Perche & his wife Mélisende --- (-14 Apr [1021/22]). "Hildegardis, vicecomitissa Castridunensis" donated property "alodum meum de Bello Monte" to "sanctissimo Petro Carnotensis cœnobii", with the consent of "filio meo Hugone, archiepiscopo Turonorum", by charter dated to 1020, signed by "Hugo archipræsul., Gausfridi nepotis eius…Helgaudi filii archiepiscopi…"[582]. The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. The necrology of Chartres cathedral records the death "XVIII Kal Mai" of "Hildegardis vicecomitissa de Castellodunis", stating that "filius eius Hugo Turonensis episcopus" donated property at "Viverus" for her soul[583]. The necrology of Saint-Père-en-Vallée records the death "XVII Kal Mai" of "Hildegarda vicecomitissa" and her donation of "allodium de Bellomonte"[584].

-5644- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [582] Chartres Saint-Père I, Liber Sextus, Cap. VI, p. 117.

[583] Obituaires de Sens Tome II, Eglise cathédrale de Chartres, Nécrologe du xi siècle, p. 10.

[584] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Saint-Père-enVallée, p. 186.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família 1: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011 - família 2: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.345a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise, Sorbonne) v 2010, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.345b: Hugues de Châteaudun, mort en 1023, fut vicomte de Châteaudun de 989 à 1003, puis archevêque de Tours de 1003 à 1023. Il était fils de Hugues Ier, vicomte de Châteaudun, et d'Hildegarde. Son père était probablement issu des Rorgonides (voir Maison du Maine). C'était un fidèle du comte Thibaut le Tricheur. Ce dernier s'empara de Chartres et de Châteaudun en 956, et plaça Geoffroy comme vicomte dans la seconde ville. Geoffroy meurt peu après 987, et Hugues lui succéda. Il est cité à de nombreuses reprises entre 989 et 1003. On ne sait s'il se maria, mais on lui connait deux enfants, Helgaud et Hugues, probablement illégitimes, car ils ne lui succédèrent pas à Châteaudun. En 1003, après la mort d'Archambaud de Sully, il est élu archevêque de Tours, avec le soutien comte de Blois Eudes II et Robert II le Pieux, roi de France, alors alliés. En 1014, la Basilique Saint-Martin de Tours est consacrée par ses soins. La Basilique est reconstruite entre 904 et 918 avec une abside et un déambulatoire, elle préfigure ainsi les Cathédrales des siècles à venir. En meme temps des fortifications entourent le bâtiment et les habitations environnantes. Foulques le Bon, Comte d'Anjou, tenait beaucoup à son titre de Chanoine de l'Abbaye Saint Martin de Tours, il était ami du Tourangeau Saint Odon, premier Abbé de Cluny, qui a terminé sa vie dans l' Abbaye Saint Julien. L'église est incendiée en 994 suite à la prise de Tours par le Comte d'Anjou Foulques Nerra. Une nouvelle église s'élève de 1003 à 1014 sous l'impulsion du Trésorier de l'Abbaye, Hervé de Buzancais. La chasse de Saint Martin est replacée dans l'église le jour de sa consécration, le 4 juillet 1014. Elle est remaniée dans la seconde partie du XIème siècle. Elle est endommagée par plusieurs incendies en 1096, 1122 et 1202 qui conduisent à la modifier substantiellement.

Références

 Christian Settipani, « Les vicomtes de Châteaudun et leurs alliés », dans Christian Settipani et Katharine S. B. Keats-Rohan, Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval, 2000

Liens externes Basilique Saint-Martin de Tours (très belle page de Francebalade)

-5645- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, J-P de Palmas (wikipedia) 20-ii-2009, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.345c: de Chinon Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P de Palmas (wikipedia), C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.346: Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011 - família: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.347: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011 - família: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.347b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.917.352: Notice biographique Wikipedia : A la lecture des chroniques médiévales normandes, Yves Ier de Bellême pourrait être l'un des personnages-clés dans l'évasion du jeune duc de Normandie Richard Ier (942-996). Ce dernier est élevé après la mort de son père à la cour du roi de France, Louis IV d'Outremer. Le duc de Normandie n'a alors que 10 ans. Vers 943- 945, son fidèle intendant, Osmond de Centeville, craint que son protégé devienne prisonnier du roi de France. Il organise donc une évasion. Dans ce but, il complote avec un certain « Yves, père de Guillaume de Bellême »[1]. Il s'agit sûrement d'Yves de Bellême puisque ce dernier est connu comme le père de Guillaume Ier de Bellême. Le chroniqueur Orderic Vital précise dans son Historia ecclesiastica son nom et sa fonction « Yves de Creil, grand-maître des arbalétriers du roi »[2]. Yves de Creil et Yves de Bellême pourraient donc être la même personne. Sur les conseils d'Yves et Osmond de Centeville, l'enfant feint d'être malade, ce qui a pour conséquence un relâchement dans la surveillance des gardes. Osmond en profite pour cacher le jeune duc dans une botte de foin et s'enfuit inaperçu avec lui. Ils trouvent refuge à Coucy puis à Senlis, chez le comte Bernard de Senlis. On peut supposer que ce refuge fut conseillé par Yves l'Ancien/Yves de Creil. Bernard de Senlis devait être le seigneur d'Yves (Creil est à 10 km de Senlis). L'identification entre Yves de Bellême et Yves de Creil est toutefois l'objet d'un débat. En effet, chronologiquement, il semble peu plausible que le comploteur des années 943-945 soit Yves de Bellême, lequel meurt après 1005. Orderic Vital s'est-il trompé ? L'historien Geoffrey H. White émet l'hypothèse qu'Yves l'Ancien est le fils d'Yves de Creil. Néanmoins, si Yves de Creil a certainement existé, il n'existe pas de preuve d'un lien entre lui et les seigneurs de Bellême. Yves serait le fondateur du château d'Alençon. -5646- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Son fils, Guillaume Ier, lui succède à la tête de la seigneurie de Bellême.

Notes et références

1. Guillaume de Jumièges, Orderic Vital et Robert de Torigni, Histoire des ducs de Normandie, éd. Guizot, 1826, p.82-83 2. ↑ Orderic Vital, Histoire de la Normandie, éd. Guizot, tome III, livre IV, 1826, p.75-76

 Autres sources : La maison de Bellême in " Fragments historiques sur le Perche ", par M-J-F Pitard en 1866.

Château des Ducs d'Alençon Le premier château d'Alençon, construit par les deux premiers seigneurs de la ville Yves de Bellême et son fils Guillaume Ier, a complètement disparu. Vers 1050, Guillaume le Bâtard vient assiéger le château dont s'est emparé Geoffroy Martel. Il est décrit : « Avait a cel terms un fossé, Haut e parfont e réparé ; Sur le fossé ont hériçon, E dedenz close une maison ; Entor ont bretesches levées, Bien planchies e Kernelées ». Lors de l’assaut, Guillaume, fait combler le fossé et incendier les défenses « Li bois fu secs, li feu s'esprent. Que par le feu qu'il alluma, Que par l'assaut qu'il lor dona, Les uns sont ars (brulés), li altre pris, E tel i a hunte occis »

Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012 - família: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

379.917.353: Peut-être fille d'Avesgaud d'Illiers d'après François Doumerc. Note de : C.Saint-Félix - 2 ii 2014 Fonts: - persona: G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014 - família: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

-5647- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.917.353a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

379.917.353c: Il succède comme évêque du Mans à son oncle, Sigefroy de Creil- Bellême.AVESGAUD de Bellême (-Verdun 27 Oct 1035). Abelin lists his donations of property at Le Mans to Marmoutier by charter dated [1064/10 May 1065], naming "Ivonis de Belismo [et] filiis illius Guilelmo, Avesgaudo præsule atque Ivone"[88]. Bishop of Le Mans. The Actus pontificum Cenomannis records the installation of "Avesgaudus, nepos ipsius" as Bishop of Le Mans after the death of "Segenfrido" (in [997])[89]. "Avesgaudus…Cenomannensium presul, meusque frater Ivo" donated property to Saint-Vincent du Mans by charter dated to [995/1032][90]. Bishop Gervais names "avunculi mei Avesgaudi…genitoris cum genetrice mea Haimonis et Hildeburga" in his testament dated [1040/47], which also specifies that "avunculi mei domini Avesgaudi episcopi" died "apud Verdunis VI Kal Nov" on returning from Jerusalem, that "sororis eius, matris mee Hyldeburge" died the same day that "patris mei Haimonis" died "XVIII Kal Feb", and that he was ordained "XIV Kal Jan"[91]. [88] Château-du-Loir 24, p. 10. [89] Busson, G. and Ledru, A. (eds.) (1902) Actus Pontificum Cenomannis in urbe degentium (Le Mans) (“Actus pontificum Cenomannis”), p. 355. [90] Le Mans Saint-Vincent, Liber primus, 12, p. 16. [91] Château-du-Loir 17, pp. 6-7. Fonts: - persona: P Ract Madoux (comte de Semallé: "Le Saosnois". Mamers.1932) 30 xi 2004, J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012

379.917.353e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

379.917.360: N'est pas connu comme étant seigneur de Montdidier, ce qui est le cas pour son fils, "premier seigneur de Montdidier qui soit avéré comme tel". En conséquence, c'est bien son fils qui est noté comme "Hilduin I de Montdidier", et non cette fiche. Note de : JB.de La Grandiere - 13/10/2012 Hildouin de Ponthieu pourrait doublonner avec Hilduin N Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu Recherches sur les premiers comtes de Dammartin pp. 1/59 Paris 1996) 12 x 2012

379.917.361b: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu Recherches sur les premiers ctes de Dammartin pp. 1/59 Paris Île-de-France 1996) 12 x 2012

379.917.372: Fonts: - persona: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du XVIIe siècle, 1998). - família 1: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du XVIIe siècle, 1998). - família 2: JL.Mondanel (archives de Valenciennes) 23 iii 2011

-5648- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.917.373: Fonts: - persona: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du XVIIe siècle, 1998). - família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du XVIIe siècle, 1998).

379.917.373-2a: Searait la fille de Rainer III de Hainaut et de Mathilde d'Arleux ? Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Yves Wicquart - GeneaNet)

379.917.834: Fonts: - persona: Guillaume de Paysac

379.917.836: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net, J-C de Vaugiraud (B-F: Aunay) 14/02/2007 - família: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net

379.917.837: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net - família: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net

379.917.837b: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (B-F: Aunay) 14/02/2007

379.917.837c: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (B-F: Aunay) 14/02/2007

379.917.837d: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (B-F: Aunay) 14/02/2007

379.917.952: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.953: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.954: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.955:

-5649- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.964: de Tulle

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.965: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.965b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.965c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

379.917.972: N.. d’Aubusson n’est connu que par ses enfants, qui furent : 1° Ranulfe, qui suit ; Turpion, évêque de Limoges, mort en 944 ; 3° Aimon, abbé de Saint-Martial, mort en 942 ; 4° Martin, abbé de Saint-Gyprien de Poitiers.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Volume 3 Par Joseph Nadaud) 10xi2011 - família: J-P de Palmas (Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Volume 3 Par Joseph Nadaud) 10xi2011

379.917.973: Fonts: - família: J-P de Palmas (Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Volume 3 Par Joseph Nadaud) 10xi2011

379.917.973b: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Volume 3 Par Joseph Nadaud) 10xi2011

379.917.973c: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, Volume 3 Par Joseph Nadaud) 10xi2011

379.917.973d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014 -5650- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.917.974: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.917.975: ascendance probable mais non certaine

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.917.975b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

379.917.984: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Chridtian Rémy in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014 - família: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Christian Rémy in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014

379.917.985: Fonts: - família: C.Saint-Félix (Didier Delhoume et Christian Rémy in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014

379.917.996: Nous ne connaissons pas son épouse. Rothilde de Brosse est l'épouse d'Archambaud vicomte de Comborn : voir Christian Settipani "La Noblesse du midi carolingien", pp 250/258 Aubusson", Oxford 2004

Un travail de réfection des premiers degrés Bourbons est en cours sous la houlette de Pierre Fauchère; ce qui est indiqué actuellement ne correspond pas à une réfection mais est un "simple état des lieux avant réfection". Merci de signaler vos apports non sur les fiches mais sur : Familles:Sires_de_Bourbon (voir dans "sommaires des notes diverses" puis "familles" puis "Sires de Bourbons")

Fonts: - persona: réfection : Pierre Fauchère & JB de La Grandière ( Max Fazy "Sires de Bourbons" 1924 ) 16 xii 2009

379.917.997b: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

379.917.997c: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006 -5651- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.917.997d: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

379.917.998: En attente de référencement à la source primaire, nous nous sourcons sur ESS XIV Bourbon pour le couple Albouin (qui n'est pas un sgr de Sully !) x Almodis.

Fonts: - persona: réfection : Pierre Fauchère & JB de La Grandière ( d'après Max Fazy "Sires de Bourbons" 1924 ) 16 xii 2009

379.917.999: En attente de référencement à la source primaire, nous nous sourcons sur ESS XIV Bourbon pour le couple Albouin (qui n'est pas un sgr de Sully !) x Almodis

Fonts: - persona: réfection : Pierre Fauchère & JB de La Grandière ( d'après Max Fazy "Sires de Bourbons" 1924 ) 16 xii 2009

379.918.820: Evêque de Quimper (1003-1022), comte de Cornouailles

Fonts: - persona: LFlichy 15v06 (base chistera), B.Yeurc'h (http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html) - família: B.Yeurc'h (http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html), LFlichy 15v06 (base chistera)

379.918.821: Fonts: - persona: B.Yeurc'h (http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html), LFlichy 15v06 (base chistera) - família: B.Yeurc'h (http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html), LFlichy 15v06 (base chistera)

379.918.821b: mort en 1065 selon source non citée mort en 1074 selon B.Yeurc'h (Le Lien)

Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Le Lien n°4) - família: C.Saint-Félix (Tonnerre et Chédeville "La Bretagne féodale") 30i2011

379.918.821c: AVAN (-after 1037). Her parentage and marriage are confirmed by the charter dated 1037 which records a donation to Sainte-Croix de Quimperlé by "Huelin Berengarii filius", in the presence of "Alani Cornubie consulis", for the soul of "…uxoris mee Auan", with the consent of "filio meo Guegon et uxore mea", signed by "Alanus consul Cainard, Budic Venetensis episcopus…Huelin…Guegon filius eius, Auan uxoris eiusdem Huelini et predicti consulis soror…"[410].

m HUELIN Seigneur d´Hennebont, son of BERENGER & his wife --- (-after 1037).

-5652- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [410] Quimperlé Sainte-Trinité, X, p. 149.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 ii 2014 - família: LFlichy 15v06 (base chistera)

379.918.821d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Tonnerre et Chédeville "La Bretagne féodale") 30i2011 - família: C.Saint-Félix (Tonnerre et Chédeville "La Bretagne féodale") 30i2011

379.918.821e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Tonnerre et Chédeville "La Bretagne féodale") 30i2011

379.918.822: mort en 1005 selon B.Yeurc'h (Le Lien). Bourrousse de Laffore dit qu'il est mort assassiné en 1005.

Fonts: - persona: A.Euverte(nobiliaire de Guienne et Gascogne par Bourrousse de Laffore)31.08.2005

379.918.823: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Turton, Plantagenet Ancestry)

379.918.823-1a: Fonts: - família: C.Saint-Félix (J. Quaghebeur "La Cornouaille du IXe au XIIe s.") 27xii2011

379.918.832: Trésorier de Saint-Martin les Tours en 1047. Attesté en 1047, 1060 et 1063.

Fonts: - persona: LoicFlichy 8iii06 (source : base chistera & adecarne), JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 724 (Vendôme) Marburg 1989) 28 vi 2012 - família: LoicFlichy 8iii06 (source : base chistera)

379.918.833: Attestée en 1068 ; dates modifièes jblg 28/6/2012

Fonts: - persona: LoicFlichy 8iii06 (source : base chistera & adecarne) - família: LoicFlichy 8iii06 (source : base chistera)

379.918.834: Une grossière méprise en faisait un comte de Nevers en 1031.alors que son père était en vie ainsi que deux frères aînés !..

Comte de Vendôme en 1031 puis, de nouveau en 1056 puis de 1058 à 1066 (casse- tête pour ceux qui tiennent absolument à suivre une dévolution de fief sans fautes

-5653- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas sur la base ..)

JB de La Grandière

FOULQUES "l'Oison" de Vendôme (-Ferrières-en-Touraine 21 or 22 Nov 1066, bur Vendôme). A charter dated to [1007/50] records that "Rainaldus episcopus Parisiensis, filius Burchardi Vetuli" cleared the forest of Gâtines and built Ville- l´Evêque, that after his death Foulques "Nerra" Comte d´Anjou granted Ville- l´Evêque to "Hamelino patre Walterii", that "Burchardus…cum matre sua Adela" confirmed all the previous concessions, that after his death his mother associated "Fulconem filium suum" in the county but later sold it to "fratrem suum Goffredum…Andecavorum comitem"[1142]. "Gaufredus comitatus Andecavensis naturalis heres" made donations to Marmoutier dated 1055 in which he names "nepotibus meis…Fulcone vincocinensium comite naturali, Gaufredo et altero Fulcone"[1143]. A charter dated to [1060/64] records that "Fulco de Vindocino" raided La Trinité de Vendôme, after the death of Geoffroy II "Martel" Comte d´Anjou [in Nov 1060], but repented[1144]. It appears that he was restored as Comte de Vendôme some time after the death of Comte Geoffroy II, but the circumstances of this restoration have not yet been traced. "Fulconis comitis, uxor eius Petronillæ…" witnessed a charter dated to [1060/66] which records an agreement between "Odone de Camaziaco" and La Trinité de Vendôme concerning property[1145]. "Fulconem comitem Vindocinensem", on his deathbed, donated rights to Marmoutier by charter dated 1066, confirmed by "uxor eiusdem comitis…Petronilla" after her husband died, witnessed by "Albericus de Monte- aureo, Ingelbaldus Brito, Wlgrinus filius Ingelbaldi, Rainaldus cantor frater ipsius Petronille, Fulcherius de Turre, Matheus de Monte-aureo, Drogo frater eius, Tetbaldus filius Leterii"[1146]. The Chronicon Vindocinense records the death "XI Kal Dec" in 1066 of "Fulco Vindocini comes"[1147]. The necrology of Vendôme La Trinité records the death "XI Kal Dec" of "Fulco comes Vindocini"[1148]. m PETRONILLE de Château-Renard, daughter of GUICHER [I] Seigneur de Château-Renard & his wife --- (-Château-Rainard 1 Nov 1078, bur Vendôme). "Comite…Fulcone…cum coniuge sua…Petronilla" confirmed the donation by "Rotbertum de Monte Comiturno et Fulcherium de Turre nepotem ipsius", by charter dated 1061[1149]. The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. "Fulconis comitis, uxor eius Petronillæ…" witnessed a charter dated to [1060/66] which records an agreement between "Odone de Camaziaco" and La Trinité de Vendôme concerning property[1150]. "Fulconem comitem Vindocinensem", on his deathbed, donated rights to Marmoutier by charter dated 1066, confirmed by "uxor eiusdem comitis…Petronilla" after her husband died, witnessed by "Albericus de Monte-aureo, Ingelbaldus Brito, Wlgrinus filius Ingelbaldi, Rainaldus cantor frater ipsius Petronille, Fulcherius de Turre, Matheus de Monte-aureo, Drogo frater eius, Tetbaldus filius Leterii"[1151]. A charter records the death "Kal Nov" at Château-Renard in 1078 of "Petronilla mater Burchardi comitis" and her donation before dying to La Trinité de Vendôme of property previously held by "Fulconis comitis mariti sui", with the consent of "Burchardo filio suo comite Vindocini"[1152]. Comte Foulques & his wife had four children.

[1142] Vendôme La Trinité, Tome I, I, p. 1. [1143] Marmoutier-Dunois CXVII, p. 183. [1144] Vendôme La Trinité, Tome I, CLXXIV, p. 303. [1145] Vendôme La Trinité, Tome I, CLXXIX, p. 309. [1146] Marmoutier-Vendômois, LXXXVI, p. 134. [1147] Chronicon Vindocinense 1066, p. 487. [1148] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de la Trinité de Vendôme, p. 203. [1149] Marmoutier-Dunois, Cartæ Prioratuum Dunensium, CXXVI, p. 117. -5654- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1150] Vendôme La Trinité, Tome I, CLXXIX, p. 309. [1151] Marmoutier-Vendômois, LXXXVI, p. 134. [1152] Vendôme La Trinité, Tome I, CCLXX, p. 421. Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-4 p 724 (Vendôme) Marburg 1989) 28 vi 2012, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 iii 2017 - família: Y. Gobilliard (16-7-06)

379.918.835: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy La Société dans le comté de Vendôme p 579 (Château-Renault) Paris 1993) 3 v 2012 - família: Y. Gobilliard (16-7-06)

379.918.835a: On la voit citée avec son mari dans dans une foule de circonstances, l'est encore à la date de sa mort pour la restitution de la terre des Ajeux à Saint-Serge. Elle vivait en 1106. Fonts: - persona: C. Chéneaux (Europäische Stammtafeln-III.4/723), J-P de Palmas (wikipedia) v-2009 - família: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln), Y. Gobilliard (16-7-06), J-P de Palmas (wikipedia) v-2009

379.918.835b: Bouchard III de Nevers, dit le Jeune, comte de Vendôme (1066-1085), fils de Foulques l'Oison et de Pétronille de Château-Gontier. Mineur à son avènement, sa tutelle fut assurée par son cousin Guy de Nevers, seigneur de Nouastre, de 1066 à 1075. Celui-ci mourra sans enfants en 1084, lui léguant la terre de Nouâtre . Comme son père, Bouchard III fut régulièrement en conflit avec l'abbaye de la Trinité ; en un accord mit fin à la brouille en 1083. Sans alliance, il mourut en 1085. Bibliographie

 Dominique Barthélemy, La Société dans le comté de Vendôme : de l’an mil au XIVe siècle, Fayard, Paris, 1993, 1118 p. (ISBN 2-213-03071-5) [détail des éditions]  Jean-Claude Pasquier, Le Château de Vendôme, 2000 [détail des éditions]  lien externe : les comtes de Vendôme

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 5ii2011

379.918.838: Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade"), J-C de Vaugiraud (ES XFFF T 111) 11/10/2006 - família 1, família 2: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.839: Fonts: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.839-2a: Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.839-2b: -5655- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.839-2c: Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.839-2d: Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.839-2e: Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

379.918.840: En 1040, il participe à la consécration de l'abbaye de la Trinité de Vendôme, aux cotés de Geoffroy Martel. Il lutta activement pour le compte de Geoffroy contre Gervais, évêque du Mans et seigneur de Château-du-Loir. Deux Salomon et deux Aveline ainsi que deux Gaimard de Lavardin vivaient au XII° siècleils ont malheureusement été confondus dans ce document JB de La Grandière 24/11/2015. Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere ( Dominique Barthélémy "La Société dans le comté de Vendôme de l'an mil au XIVème siècle" art Lavardin, 1993 ) 28 vi 2012 - família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), J-P de Palmas (Hypothèse filiative pour Hildebert) ii-2009

379.918.841: Fonts: - família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), J-P de Palmas (Hypothèse filiative pour Hildebert) ii-2009

379.918.841a: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade") - família 1, família 2: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

379.918.841b: ATTENTION : Deux Aveline de Lavardin ne doivent pas être confondues ..; l'une ( Aveline de Lavardin ) était grand'mère de l'autre ( Aveline de Lavardin ) ! c'est ce qui est établi par Dominique Barthélemy dans "La Société dans le Comté de Vendôme", p.306 art. Lavardin (1993), auteur assurément à suivre ainsi que, dans une moindre mesure ce document JB de La Grandière 24/11/2015. Il faut dire qu'avec deux Salomon et plusieurs Gaimard qui étaient confondus, il était facile de confondre deux Aveline.. JB de La Grandière 24/11/2015.. Fonts: - persona: E.Polti (d'après "La Capétiens" d'Yvan Gobry, chez Tallandier), JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy "La Société dans le comté de Vendôme de l'an mil au XIVème siècle" art Lavardin, 1993) 28 vi 2012 - família 1, família 2: E.Polti (d'après "La Capétiens" d'Yvan Gobry, chez Tallandier)

379.918.844: C'est un fidèle de Geoffroy Martel, alors comte de Vendôme. Engelbaud est présent en 1040 lors de la dédicace de l'Eglise Abbatiale de la Trinité de Vendome.

-5656- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Son "patronyme" a été une fabrication nécessaire pour que la "lignée" soit apparente sur la base. Son patronyme ainsi que celui de son père, de son frère et de ses enfants reste "sans identité véritable" sinon un "surnom".. JB de La Grandière 21/11/2015

Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade") - família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

379.918.845: HILDEGARDE [Dometa/Domitilla] (-[1100/01]). A charter dated to [1060/81] records that "Ingebaldus Brito…uxori eius Hildegardi" unjustly appropriated property which had been donated to Marmoutier, and names "filiis…eorum primogenito Wlgrino…Fulcherio et Paganello…Hugo", witnessed by "Herveo de Lavarzino, Avelina uxore eius…"[1187]. Her parentage and marriage are confirmed by the charter dated to [1066/75], relating to the dispute with Marmoutier about the mill at La Chappe, in which "Ingelbaldo Brittone" names "Fulcherius pater uxoris sue"[1188]. "Dometa…de Vindocino" donated three quarters of the church of Lancé to Marmoutier, and "Drogo Ansberti filius" the remaining quarter with the consent of "conjugis suæ Aemeline filiorumque suorum Bernardi et Hugonis ac filiarum suarum Tesseline, Aremburgis, Johannæ", by charter dated 1090[1189]. A charter dated 1101 records the purchase by "filii Domitelle [recently deceased] Fulcherius…et Gaufredus cognomento Paganus" of property from Marmoutier[1190]. m INGELBAUD Brito, son of --- (-after Nov 1066). [1187] Marmoutier-Vendômois, CXXVIII, p. 219. [1188] Marmoutier-Vendômois, XXXII, p. 51. [1189] Marmoutier-Vendômois, Lancé, LIX, p. 372. [1190] Marmoutier-Vendômois, CLXXXVII, p. 266. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 xi 2012 - defunció: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009 - família: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

379.918.845b:  cité en 1050 et 1062

Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere (Dominique Barthélemy "La Société dans le comté de Vendôme", p. 772, Engebaud le Breton, Paris 1993)) 22 xi 2015

379.918.845c: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

379.918.845d: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere (Dominique Barthélemy "La Société dans le comté de Vendôme", p. 772, Engebaud le Breton, Paris 1993) 22 xi 2015

379.919.876: L’historien Jérôme Belmon 1 a conduit, dans le cadre de sa thèse, une longue et brillante enquête généalogique sur les premiers sires d’Anduze qu’il a astucieusement reliés aux comtes de Toulouse. Nous ne connaissons ses -5657- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas conclusions qu’au travers de celles reprises par Christian Settipani.2

Nous n’avons aucune certitude sur ce mariage Almerade x Blitgarde mais "l’Histoire générale du Languedoc" reproduit une charte qui nous apprend que la mère de Bernard se nommait Bligarde (HGL V n° 425).

Références

1. Positions des thèses de l’école des Chartes 1992 Jérome Belmon 2. Le midi carolingien 2004 Christian Settipani

Fonts: - persona: J-P de Palmas (La Maison d'Anduze) - defunció: JBLG : ES XIV tableau 35-sgrs d'Anduze - , 1991 - família: J-P de Palmas (La Maison d'Anduze)

379.919.877: Hélène Débax propose que l’anthroponyme Blitgarde nous renvoie à une riche propriétaire de la fin du IXe siècle qui dote à plusieurs reprises l’église de Nîmes (CN n° 1 bis et 5). D’après Léon Ménard, au commencement de l’épiscopat de Gilbert, en 976, une certaine Blitgarde donne divers biens d’une valeur considérable, dont la terre de Bisac, à son église. Bernard, son fils, reprend ces domaines (c’était une coutume de l’époque) obligeant l’évêque à porter plainte. Après un plaid tenu dans cette même ville, Bernard restitue le don de sa mère. Blitgarde, bienfaitrice de l’église de Nîmes, pourrait être la parente (trisaïeule ?) de Blitgarde mère de Bernard-Pelet. C Amado cite une autre Blitgarde (Bligarde) qui apparaît comme mère de l’évêque de Lodève, Saint-Fulcran (949-1006). Fonts:- persona: J-P de Palmas (La Maison d'Anduze) - defunció: JBLG : ES XIV tableau 35-sgrs d'Anduze - , 1991 - família: J-P de Palmas (La Maison d'Anduze)

379.930.624: Fonts: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05

379.930.625: Fonts: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05

379.931.712: Comte de Charroux, c'est à dire de la Marche dont Charroux était le chef-lieu. Très¨probablement apparenté à Roger comte de Limoges Fonts:- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 8, 29/11/2012

379.931.714: Fonts: JB.de La Grandiere (Settipani in "La noblesse du midi carolingien",pp 181- 187, Turenne, 2006) 9 vii 2015

379.931.715: Epouse possible mais non prouvée d' Hildebert de Limoges Message 2015-07-09 09:58:37 de Frédéric Chevalier : La généalogie des vicomtes de Limoges a été revue et corrigée en détail dans la thèse de Vincent Roblin :

V. Roblin, "Les vicomtes de Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", thèse de doctorat nouveau régime de l'Ecole Pratique des Hautes -5658- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Etudes (D. Barthélemy dir.), Paris, 2007

Malheureusement, cette thèse n'est pas éditée et seulement consultable sous forme de microfiches par les chercheurs. Cependant, Vincent Roblin apporte un condensé de la généalogie des vicomtes dans son Recueil des actes des vicomtes de Limoges, Paris, Droz, 2009.

Il apparaît dans cet ouvrage de multiples éléments de correction à apporter aux fiches Roglo. Je vous propose de vous présenter ces éléments par individu.

Concernant tout d'abord Hildebert de Limoges, voici ce qu'en dit "l'esquisse de l'histoire des vicomtes de Limoges" (p. 8 du Recueil des actes) :

"Le lignage vicomtal tire son origine d'un vassal de Charles le Chauve, Hildebert, confortablement implanté aux portes de Limoges. A la charnière des IXe et Xe siècles, en échange d'une charge publique honorable de vicomte, ce vassus dominicus accepta d'entrer au service du comte de Limoges de l'époque, le comte d'Auvergne (). Bénéficiant d'une large redistribution de pouvoirs, Hildebert devint le représentant officiel de l'autorité comtale à Limoges, avec le titre de vicomte."

Voici maintenant les informations extraites de la notice consacrée à Hildebert (pages 18-21) :

- il est mentionné pour la première fois en 876 dans une donation faite en sa faveur par Charles le Chauve. - il est mentionné avec la titulature vicomtale post mortem, en 914. - Hildebert a probablement vécu au moins jusqu'en 904 et serait mort avant 914. - Adaltrude d'Aurillac, l'épouse d'Hildebert, pourrait être une sœur de Géraud d'Aurillac mais ce n'est pas une certitude, faute de documents.

Il n'est aucunement fait mention d'une autre épouse, Deda ( Deda de Turenne alias Deda de Quercy, alias Deda N. ) , dans cet ouvrage. C'est une hypothèse formulée par C. Settipani dans La noblesse du midi carolingien, p. 229.

Les parents d'Hildebert ne sont pas mentionnés dans l'ouvrage de V. Roblin et Settipani ne donne pas Foulques (quelle source ?) mais propose un certain Foucher, sous toute réserve. JB de La Grandière 8/7/2015

Deda de Turenne a été déliée d' Hildebert de Limoges qui reste -à ce jour un mari potentiel mais non factuel. L'onomastique, les fonctions d'abbesse de "La Règle" à Limoges -pour Deda de Turenne et Aine de Turenne et la chronologie avaient sans doute "dicté" les positionnements de Christian Settipani. Adaltrude d'Aurillac (voir sa fiche) a été étudiée par d'excellents chercheurs qui ont publié en 2008-2010- 2013 en croisant les données pour dire qu'elle est bien la sœur du saint (ce qui corrige des données antérieures, y compris celles de Christian Settipani.. Pour ces périodes, les fondements des filiations sont essentiellement dus aux universitaires spécialistes médiévaux régionaux.. Obtenir des actes faisant preuve indubitable est toujours mieuxmais attention : les chercheurs médiévaux savent bien qu'une bonne partie des actes qui font foi (ceux tirés des cartulaires) sont des fauxconstruits par les clercs pour faire valoir des droits Nous ne sommes que des béotiens en ces matières et la "matière" ne sera jamais une science exacte, surtout pour ce qui est déjà vieux de plus d'un millénaire ! En notant sur fiches de simples hypothèses d'experts, nous sommes justes. En notant comme filiations avérées ce qui est exprimé par des experts reconnus comme probabilité sans preuves -mais avec

-5659- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas faisceaux d'indices concordant-, nous sommes aussi justes quitte à infirmer ou confirmer avec des analyses plus récentes.. , souvent des mêmes auteurs. Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani in "La noblesse du midi carolingien",pp 181-187, Turenne, 2006) 9 vii 2015 - família: JB.de La Grandiere (Settipani in "La noblesse du midi carolingien",pp 181- 187, Turenne, 2006) 9 vii 2015

379.931.716: Wulgrin fut établi comte d'Angoulême et de Périgord par Charles le Chauve dont il était parent. Il livra plusieurs combats aux Normands, bâtit les châteaux de Marsillac et de Mastas pour arrêter leurs courses. Il fit relever les murs d'Angoulême et répara cette ville que ces barbares avaient brûlée. < VULGRIN (-3 May 886, bur Angoulême Saint-Cybard). The Chronicle of Adémar de Chabannes records that Charles II "le Chauve" King of the West Franks installed "Vulgrimnum propinquum suum, fratrem Aldoini abbatis" with "Engolisme et Petragorice" after Comte Emenon was killed (in 866), commenting that Vulgrin had been missus in Aquitaine for "Carlo magno imperatore fratre eius" and was already "senex" when appointed to Angoulême[202], although this is inconsistent with his parents' marriage date as shown above. Vulgrin's family relationship with the Carolingian kings was through his mother as shown above. His parentage is confirmed by the charter dated 2 Nov 889 under which "Vulfardus" donated property to Saint-Benoît-sur-Loire for the souls of "genitoris mei Vulfardi et genetrice mea Susannane necnon et germanorum fratrum meorum Adelardo, Vulgrino, Ymo et sorore mee Hildeburga vel nepote meo Vulgrino"[203]. The death in 886 of "Vulgrimnus comes" is recorded in the Annales Engolismenses[204]. [202] Adémar de Chabannes III, 19, p. 137. [203] Saint-Benoît-sur-Loire XXXI, p. 85. [204] Annales Engolismenses, MGH SS IV, p. 5.

VULGRIN, son of VULFARD Comte de Flavigny (Flavigny-sur-Ozerain, Côte d'Or)[413] & his wife Susanna de Paris (-3 May 886, bur Angoulême Saint-Cybard). The Chronicle of Adémar de Chabannes records that Charles II "le Chauve" King of the West Franks installed "Vulgrimnum propinquum suum, fratrem Aldoini abbatis" with "Engolisme et Petragorice" after Comte Emenon was killed (in 866), commenting that Vulgrin had been missus in Aquitaine for "Carlo magno imperatore fratre eius" and was already "senex" when appointed to Angoulême[414], although this is inconsistent with his parents' marriage date. Vulgrin's relationship with the Carolingian kings was through his mother. The Chronicle of Saint-Maxence records that King Charles II installed "Vulgrinum propinquum suum, fratrem Aldoini abbatis ex monasterio Sancti Dionysii" with "Engolismæ et Petragoricæ" after the death of Emenon Comte de Poitou[415]. He was installed as Comte d'Angoulême, Comte de Périgord in 866. His parentage is confirmed by the charter dated 2 Nov 889 under which "Vulfardus" donated property to Saint-Benoît-sur-Loire for the souls of "genitoris mei Vulfardi et genetrice mea Susannane necnon et germanorum fratrum meorum Adelardo, Vulgrino, Ymo et sorore mee Hildeburga vel nepote meo Vulgrino"[416]. The Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, records that “Vulgrinus” built “castellum Mastacium et Marcilliacum” as part of his strategy against Viking attacks and sent “in Marcilliaco Robertum, legis doctum, et amicum Rannulfum”, making the latter “vicecomitem”[417]. The Chronicle of Adémar de Chabannes records the death "V Non Mai" of "Vulgrimno" and his burial "iuxta basilicam Sancti Eparchii"[418]. The death in 886 of "Vulgrimnus comes" is recorded in the Annales Engolismenses[419].

[413] J. C. Chuat, in a private email to the author dated 13 Jun 2007. [414] Adémar de Chabannes III, 19, p. 137. [415] Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. -5660- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 369. [416] Saint-Benoît-sur-Loire XXXI, p. 85. [417] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XIV, p. 20. [418] Adémar de Chabannes III, 20, p. 138. [419] Annales Engolismenses, MGH SS IV, p. 5. Il y a divergence sur le prénom de l'épouse suivant les sources. J-C de Vaugiraud 06/09/2008 Christian Settipani le confond avec Vulgrin d'Agen. C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015 Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) - naixement: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008 - defunció: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008 - família: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net, J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008

379.931.717: Rogelinde, épouse de Wulgrin d'Angoulême, fille de Bernard, duc de Toulouse, eut l'Agénois pour sa dot. REGELINDIS, daughter of [BERNARD Comte d'Autun, Marquis de Septimanie [Toulouse] & his wife Dhuoda ---] ([842/44]-). The Chronicle of Adémar de Chabannes records that Vulgrin's wife was "sororem Willelmi Tolosani" and that he held "Aginnum…urbem" through her[420]. The identity of "Willelmi Tolosani" is unclear. The HGL speculates that he was Guillaume Comte de Bordeaux (who it refers to as comte de Toulouse) and therefore that Regelindis was the daughter of Bernard and his wife Doda[421]. This seems far from certain as this Guillaume, if he was indeed comte de Toulouse, could only have ruled the town briefly. In addition, it seems strange that the relationship with her more illustrious (or notorious) father, Bernard, would not have been used in the source to place the wife of Vulgrin, if she had been the daughter of Bernard. The difficulty is that no other comte de Toulouse named Guillaume has been identified in the mid-9th century. If she was the daughter of Bernard and Doda, she must have been born in [842/44] as the Manual of Dhuoda states that their second son Bernard was his mother's second child[422]. The primary source which confirms her name has not yet been identified. [420] Adémar de Chabannes III, 19, p. 137. [421] Devic, Dom C. & Dom Vaissete (1840-42) HGL 2nd Edn. (Toulouse), Tome II, p. 413. [422] Manuel de Dhuoda, Introduction, 5, p. 52. Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien", Oxford 2004, pense qu'elle se nomme Sancia. François de Boisdeffre et Claude Barret la nomme Rogelinde ! Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 10xi2011 - família: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net, J-C de Vaugiraud (Christian Settipani, "la noblesse du midi carolingien") 06/09/2008

379.931.718: RAYMOND ([815/20]-before 17 Apr 865). "Raymundus…comes et marchio et uxor mea Berteyz" founded the abbey of Vabres for the souls of "genitoris nostri Fulgualdi et…genetrice mea Senegundi et…germano meo Fredolone quondam" by charter dated 3 Nov 862, which names "Bernardum filium nostrum…Fulgualdus filius noster…Odo filius noster" (all three of whom also subscribed the document), subscribed by "…Begonis vicecomitis…"[199]. He was appointed Comte de Rouergue et Comte de Quercy in 849 by Charles “le Chauve” King of France, in

-5661- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas recognition for his help in fighting Pippin II King of Italy. He succeeded in 855 as RAYMOND I Comte et Marquis de Toulouse. “Raimunduscomis et marchio” confirmed possessions “in comitatu nostro Paliarense” to the monastery of Burgal by charter dated Aug 859[200]. He founded the abbey of Vabres in 862 (see charter quoted above). The Annales Bertiniani record that "Hunfridus Gothiæ marchio" expelled "Tolosam Reimundo" in 863[201]. m BERTHE [Bertheis], daughter of REMY [Remigius] & his wife Arsinde --- (-after 6 Apr 883). "Raymundus…comes et marchio et uxor mea Berteyz" founded the abbey of Vabres by charter dated 3 Nov 862[202]. "Berteiz comitissa et filius meus Bernardus comes et marchio Tolosensis" donated property "in pago Ruthenico…in Tarnesca" to Vabres, constructed by "genitor noster Raymundus marchio quondam Tolosensis…cum genetrice mea Berteiz iam dicta", by charter dated 17 Apr 865, subscribed by "…Begoni vicecomiti…"[203]. "Bertheiz sagaci" donated property to Vabres, for the souls of "genitoris mei Remigii hac genetricis meæ Arsinda" and for "iugale meo Raimundo et filio meo Bernardo qui fuerunt quondam, seu et filio meo Odone et Benedicto", by charter dated 6 Apr 883[204]. Comte Raymond I & his wife had [six] children. [199] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, LXXXVII, p. 652, and 3rd Edn., Preuves, 160, p. 329. [200] D´Abadals i Vinyals (2009), Part 2, 55, p. 313. [201] Annales Bertiniani III 863. [202] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, LXXXVII, p. 652, and 3rd Edn., Preuves, 160, p. 329. [203] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, XC, p. 655, and 3rd Edn., Preuves, 164, p. 339. [204] HGL 2nd Edn. Tome II, Preuves, CXI, p. 669, and 3rd Edn., Preuves, 203, p. 405. "Raimond a épousé Berteiz, elle-même fille d’un Rémy et d’une Arsinde, et il en a eu quatre fils Bernard Foucauld Eudes Quant au dernier fils il a posé problème aux historiens, qui ont cru bon de le dédoubler Benoît et Airbert n’étant qu’une seuleet même personne Il faut y ajouter un certain nombre de filles" J-C de Vaugiraud (S. Frey, Thèse de doctorat : "L’aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques des pays d’Olt et de Dordogne (Xe-XIe siècles)", 1367 pages, 2013) 24 ix 2014 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004, pages 3 à 5 et 339) 23 ix 2014, J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014 - defunció: E.Visseaux/Brian Tompsett - família: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004, pages 3 à 5 et 339) 23 ix 2014

379.931.719: Aucune source d'époque ne la dit de Reims ou de Roucy ? Je retranche ! "Berteiz, elle-même fille d’un Rémy et d’une Arsinde." J-C de Vaugiraud (S. Frey, Thèse de doctorat : "L’aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques des pays d’Olt et de Dordogne (Xe-XIe siècles)", 1367 pages, 2013) 24 ix 2014 Fonts: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004, pages 3 à 5 et 339) 23 ix 2014

379.931.719a: décès en 872 d'après la thèse de François Doumerc

Fonts:- persona: J-P de Palmas (Les comtes de Toulouse) v 2010

379.931.719c:

-5662- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

[FOUCHER (-after [888]). [Vicomte de Limoges]. A continuator of the Chronicle of Adémar de Chabannes records that “Eudes King of France” installed "Fulcherium" at Limoges and "Lemovicinum per vicecomites ordinavit", dated to [888] from the context[393]. The later Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Fulcherius" as first to receive the viscounty of Limoges from King Eudes[394], presumably based on Adémar

-5663- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas de Chabannes. The editor of the version of Adémar’s Chronicle consulted comments that the whole section of which this passage forms part “est de pure fantaisie”[395]. Indeed, the same passage also records that King Eudes was “filius Raimundi comitis Lemovicensis” and that he was first consecrated “in Aquitania rex” at Limoges where “coins were struck with his name” in place of his predecessor “Caroli”. This passage appears to confuse King Eudes with Odon Comte de Toulouse, son of Raymond I Comte de Toulouse, who succeeded his father in 886 (see the document TOULOUSE KINGS, DUKES & COUNTS). However, it is possible that Comte Raymond I held Limoges among his other territories and that his son enjoyed the jurisdictional competence to appoint a vicomte de Limoges. This possible confusion was highlighted by Lasteyrie in 1874, Ferdinand Lot explaining how the confusion could have resulted by highlighting three charters relating to property “Orbaciacus” sold by Comte Odon to the archbishop of Bourges, who donated it to Beaulieu abbey, the donation being confirmed by a charter of King Eudes[396]. Lot also argues convincingly that the passage in question could be attributable to Adémar himself, restoring some credibility to the text[397]. Fage dismisses the existence of this Vicomte Foucher, but he is assuming that he was the same person as Foucher Vicomte de Segur who is named in charters dated to the 940s, which is improbable from a chronological point of view[398]. Assuming that this Vicomte Foucher did exist, it is likely that he was closely related to Hildebert, father of Vicomte Hildegaire, maybe his brother. It is possible that he died without direct heirs, the title passing either to Hildbert or to Hildegaire.] [393] Adémar de Chabannes III, 20, p. 139, note y. [394] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 41, RHGF XII, p. 425. [395] Adémar de Chabannes, p. 139 footnote 1. [396] Lot, F. ‘Le roi Eudes “Duc d’Aquitaine” et Adémar de Chabannes’, Annales du Midi, Vol. 16 (Toulouse, 1904), p. 509, citing Lasteyrie, R. de (1874) Etudes sur les comtes et vicomtes de Limoges antérieurs à l'an 1000 (Paris), pp. 26-29, 55 and 59 [the latter not yet consulted]. [397] Lot ‘Le roi Eudeset Adémar de Chabannes’, (1904), p. 512. [398] Fage, R. ‘La maison de Ségur, son origine, ses vicomtes’, Bulletn de la Société archéologique et historique du Limousin, Tome XXVI (Limoges, 1878), p. 276. Christian Remy, « L’ancrage territorial de l’aristocratie limousine (XIe-XVIe siècles) : quelques réflexions », Siècles [En ligne], 38 | 2013, mis en ligne le 08 octobre 2014, consulté le 10 juillet 2015. URL : http://siecles.revues.org/2322 Le Limousin est connu pour être une terre de vicomtes. L’origine de ces grandes lignées prétendant exercer des prérogatives d’origine régalienne et leurs degrés de parenté restent toujours en débatnote 1. Toutes ces grandes familles vicomtales (Limoges, Turenne, Comborn, Ventadour, Aubusson, Brosse, Rochechouart), auxquelles on peut associer les comtes de la Marche qui, contrairement à ce que leur titre pourrait laisser croire, ne sont pas plus « légitimesnote 2 » que leurs homologues de rang vicomtal, ont en commun de contrôler plusieurs forteresses. Bien sûr, toutes ces familles s’identifient d’abord à un site castral, souvent éponyme : c’est le cas des Aubusson, des Brosse, des Comborn, des Ségur, des Turenne, des Ventadour. Seuls les vicomtes de Limoges et les comtes de la Marche ne semblent pas associer leur autorité à un site fortifié emblématique : Limoges n’est pas (plus ?) la résidence privilégiée des vicomtes à partir du XIIe siècle et les comtes de la Marche, quoique tenus pour originaires de Charroux, ne semblent pas y demeurer particulièrementnote 3 (Fig. 1).

Fig. 1 – Les vicomtés du Limousin au XVe siècle

-5664- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

1. Limites départementales ; 2. Anciennes limites du diocèse de Limoges ; 3. Site castral vicomtal ou comtal ; 4. Emprise hypothétique de vicomtés éphémères (Aubusson, Gimel, Ségur) ou tardives (Bridiers).

C. Remy, d’après P. Marcilloux 1991, B. Barrière 1994 et V. Roblin 2007 note 1 Essai de synthèse dans Didier Delhoume et Christian Remy, « Le phénomène vicomtal en Limousin, IXe-XVe s. », dans Hélène Débax (dir.), Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval, Toulouse, P. U. du Mirail, 2008, p. 237-250. Mais la question des origines doit être profondément revisitée grâce à Vincent Roblin, Les vicomtes de Limoges (Xe-XIVe s.). Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord, thèse de doctorat (D. Barthélemy dir.), EPHE, 2007 [vicomtes de Limoges, de Ségur et de Brosse] et à Sébastien Fray, L’aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques des pays d’Olt er de Dordogne (Xe-XIe s.), thèse de doctorat (D. Barthélemy dir.), Université Paris IV, 2011, p. 1215-1249 et 1291-1297 [vicomtes d’Aubusson, de Comborn et de Turenne]. note 2 Les comtes de la Marche ne sont pas issus de la génération des comtes carolingiens du IXe siècle ; ils semblent émerger de manière un peu empirique, au cours du Xe siècle, quoique rapidement reconnus par leurs pairs, notamment par le comte de Poitou : cf. Bernadette Barrière, « Le comté de la Marche. Une pièce originale de l’héritage Lusignan », dans Isabelle d’Angoulême, comtesse-reine et son temps, 1186-1246, Poitiers, Centre d'études supérieures de civilisation médiévale, 1999, p. 27- -5665- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 34.

note 3 Les Limoges sont très liés au chef-lieu du diocèse, au travers de leur résidence du « Château Saint-Martial », mais ce n’est pas leur résidence privilégiée : cf. Luc Bourgeois et Jean-François Boyer, « Les palais carolingiens d’Aquitaine : genèse, implantation, destin », dans Demeurer, défendre et paraître (actes du colloque de Chauvigny, 2012), Chauvigny, à paraître ; V. Roblin, Les vicomtes de Limoges […]. Les comtes de la Marche ne sont pas bien documentés mais ils semblent varier leurs lieux de résidence : Georges Thomas, « Les comtes de la Marche de la Maison de Charroux (Xe s.-1177) », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, t. XXIII, 1925-27, p. 561-700 ; Robert-Henri Bautier, « Les origines du comté de la Marche », dans Mélanges Henri Hemmer, Guéret, 1979, p. 10-19. Pour Antoine Thomas (« Les archives du comté de la Marche », Bibliothèque de l’École des chartes, 1881, p. 36-51), leur « capitale » du XIIIe siècle est Bellac.

J-P de Palmas : Christian Remy, « L’ancrage territorial de l’aristocratie limousine (XIe- XVIe siècles), 2013

Fulguald / Foucaud / Foulques / Folcher / Foucher me semblent "interchangeables" suivant le scribe, la région et la période JB de La Grandière 8/7/2015 Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Stemma : Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal - Pages 218 à 263 in Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval de Hélène Debax, 2008 et FMG) 10 vii 2015

379.931.719f: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.931.719g: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 25i2014

379.931.720: Message 2015-07-09 09:58:37 de Frédéric Chevalier :

La généalogie des vicomtes de Limoges a été revue et corrigée en détail dans la thèse de Vincent Roblin :

V. Roblin, "Les vicomtes de Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe- XIVe siècle)", thèse de doctorat nouveau régime de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (D. Barthélemy dir.), Paris, 2007

Malheureusement, cette thèse n'est pas éditée et seulement consultable sous forme de microfiches par les chercheurs. Cependant, Vincent Roblin apporte un condensé de la généalogie des vicomtes dans son Recueil des actes des vicomtes de Limoges, Paris, Droz, 2009.

-5666- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Il apparaît dans cet ouvrage de multiples éléments de correction à apporter aux fiches Roglo. Je vous propose de vous présenter ces éléments par individu.

Concernant tout d'abord Hildebert de Limoges, voici ce qu'en dit "l'esquisse de l'histoire des vicomtes de Limoges" (p. 8 du Recueil des actes) :

"Le lignage vicomtal tire son origine d'un vassal de Charles le Chauve, Hildebert, confortablement implanté aux portes de Limoges. A la charnière des IXe et Xe siècles, en échange d'une charge publique honorable de vicomte, ce vassus dominicus accepta d'entrer au service du comte de Limoges de l'époque, le comte d'Auvergne (). Bénéficiant d'une large redistribution de pouvoirs, Hildebert devint le représentant officiel de l'autorité comtale à Limoges, avec le titre de vicomte."

-5667- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Voici maintenant les informations extraites de la notice consacrée à Hildebert (pages 18-21) :

- il est mentionné pour la première fois en 876 dans une donation faite en sa faveur par Charles le Chauve. - il est mentionné avec la titulature vicomtale post mortem, en 914. - Hildebert a probablement vécu au moins jusqu'en 904 et serait mort avant 914. - Adaltrude, l'épouse d'Hildebert, pourrait être une sœur de Géraud d'Aurillac mais ce n'est pas une certitude, faute de documents.

Il n'est aucunement fait mention d'une autre épouse, Deda ( Deda de Turenne alias Deda de Quercy, alias Deda N. ) , dans cet ouvrage. C'est une hypothèse formulée par C. Settipani dans La noblesse du midi carolingien, p. 229.

Les parents d'Hildebert ne sont pas mentionnés dans l'ouvrage de V. Roblin et Settipani ne donne pas Foulques (quelle source ?) mais propose un certain Foucher, sous toute réserve.

JB de La Grandière 8/7/2015

Deda de Turenne a été déliée de son mari qui reste -à ce jour "potentiel mais non factuel".

LE PHÉNOMÈNE VICOMTAL EN LIMOUSIN, IXe-XVe SIÈCLES

ANNEXE 1 : LE LIMOUSIN, TERRE DE VICOMTES

Le premier vicomte « du Limousin »

Or, c’est dans le dernier quart du IXe siècle (et donc durant la « période toulousaine » du comté), qu’un nouvel interlocuteur – le vicomte – fait son apparition sur la scène politique limougeaude. La question des origines du titre et du personnage a été l’objet de conjectures et même de controverses vives de la part des érudits limousins que nous synthétisons ici sommairement 25 [Fig. 2]. La mention la plus ancienne semble remonter à l’année 875, où un diplôme désigne un certain Aldebert ou Hildebert « du Limousin » (Aldebertus Lemovicensis) comme bénéficiaire d’une donation de deux villae du fisc par l’empereur Charles le Chauve 26. Ce personnage n’est pas revêtu du titre vicomtal mais il est qualifié par l’empereur de « fidèle » (quidam fidelis noster). Il est également mentionné, un an plus tard, parmi les proches du comte Eudes de Toulouse 27. La première mention connue et explicite du titre vicomtal date, en fait, de 884 ; elle a été relevée dans un acte de concession donné par l’abbé de Saint-Martin de Tours en faveur d’Hildegaire, désigné comme « vicomte du Limousin » (Lemovicinorum vicecomes) 28. Or, en 914, une donation d’Hildegaire est faite « pour l’âme de son père Hildebert (Aldebertus) » : le lien de parenté entre ces deux personnages est donc attesté, et il est intéressant de constater d’une part, que le lignage fait partie de l’entourage du souverain carolingien et du comte de Toulouse et de Limoges, d’autre part que seul le fils porte le titre de vicomte, alors même qu’on voit encore apparaître le père – non titré – dans un acte de 904 (certes sujet à caution). Hildegaire, quant à lui, semble avoir assumé sa charge durant une longue période, puisqu’il est présent à un plaid du comte de Poitiers en avril 927 29, à moins que l’on ait ici affaire à deux personnages distincts ayant successivement assumé la charge vicomtale. Un acte du cartulaire de Saint-Etienne de Limoges, daté des années 936- 942, laisse entendre qu’Hildegaire serait étroitement apparenté (consanguineus) à d’autres personnages à l’origine des « rameaux vicomtaux » qui apparaissent alors à

-5668- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Tulle, Aubusson et Comborn : cette question sera approfondie plus loin. La place d’un certain Foucher dans la généalogie de ces premiers vicomtes pose également de nombreux problèmes : plusieurs auteurs y voient l’ancêtre commun aux différentes branches vicomtales qui apparaissent en Limousin, notamment les Ségur et les Comborn, mais sans aucune source probante à l’appui de leur affirmation. Il semble d’ailleurs que beaucoup de mentions du début du Xe siècle, muettes sur les questions de parenté, renvoient, en fait, à des personnages distincts portant le même prénom.

25. Pour alléger les références aux sources, nous renvoyons à D. Delhoume, « Les vicomtes de Limoges et l’abbaye de Saint-Martial de Limoges : difficultés et enjeux d’un pouvoir urbain (fin IXe-fin XVe siècles) », dans Cl. Andrault-Schmitt (éd.), Saint- Martial de Limoges. Ambition politique et production culturelle, Xe-XIIIe siècles, Limoges, 2006, p. 71-86. 26. R. de Lasteyrie, Étude sur les comtes et vicomtes…, p. 63 et P.J. n° III, p. 100-101. 28. Étienne Baluze, Historia Tutelensis libri tres, Paris, 1717, p. 58. 27. BNF, collection Moreau, t. III, f° 188, cf. M. Bony de Lavergne, Une ascendance…,p. 154. 29. R. de Lasteyrie, Étude sur les comtes et vicomtes…, op. cit., p. 65 et P.J. n° VII p. 107. Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal - Pages 218 à 263 in Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval de Hélène Debax, 2008

-5669- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

HILDEBERT [Audebert] (-[14 May 904/1 May 914]). Emperor Charles II “le Chauve” granted "villasCavaliacusin comitatu Lemovicensi" to "fidelis nosterHildebertus" by charter dated 17 Jul 876[399]. “Sicbardus et conjuves mea Alaitrudis” sold a vine “infra ur[be Lemov]icino in pago Burgolio in villaTedlido” to “Eldeberto [et conjuge] sua Adaltrudis” by charter dated Sep 883[400]. A charter dated 14 May 904 records a judgment by Ebles Comte de Poitou ordering "Aldeberto Lemovicensi" to return “silvam Sanctæ MariæBoerecia” to the abbey of Nouaillé[401]. [Vicomte de Limoges]. He is named as vicomte in his son’s donation dated 1 May 914 (see below), but no primary source has yet been identified which accords him the title during his lifetime. -5670- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas m firstly ADALTRUDE, [sister of GERAUD d'Aurillac, daughter of GERAUD Comte [d’Aurillac] & his wife Adaltrude ---] (-after Sep 883). “Sicbardus et conjuves mea Alaitrudis” sold a vine “infra ur[be Lemov]icino in pago Burgolio in villaTedlido” to “Eldeberto [et conjuge] sua Adaltrudis” by charter dated Sep 883[402]. It has been suggested that Adaltrude was the sister of Gérard Comte d’Aurillac[403]. m secondly DEDA, daughter of --- (-after 920). “Deda femina” donated property “in pago Limovicensi in vicaria Novicense in villaAdiola” to Limoges Saint-Etienne, for the soul of “Hildeberti conjugis mei” and for the damage caused to the church by “filius noster Hildebertus abba”, with the consent of “filio meo Helia”, by charter dated 920, signed by “DedaneHelie, Eldegarii, Fulcherii, Gerao, Ingelberti, Gozberti, Guillebaldi”[404]. The absence of the viscomital title attributed to Hildebert in this document suggests that Deda’s husband may not have been the same person as Vicomte Hildebert. However, the names of the third, fourth and fifth witnesses, possibly the donor’s step-children, indicate a connection to the vicecomital family. In addition, no other individual of named Hildebert has been noted in the documentation of Limoges Saint-Etienne at that time.

Vicomte Hildebert & his first wife had [four] children.

Vicomte Hildebert & his second wife had two children.

[399] RHGF VIII, CCLXIV, p. 654.

[400] Rivain, C. ‘Textes bas-latins des ix et x siècles’, Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, Tome XXVII (Limoges, 1879), 1, p. 338.

[401] Monsabert, P. de (ed.) (1936) Chartes de l’abbaye de Nouaillé de 678 à 1200 (Poitiers) ("Nouaillé"), 32, p. 57.

[402] Rivain ‘Textes bas-latins des ix et x siècles’, Tome XXVII (Limoges, 1879), 1, p. 338.

[403] Settipani, C. (2004) La Noblesse du Midi Carolingien. Etudes sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IXe au XIe siècles (Prosopographica et Genealogica, Oxford), p. 231, and Roblin, V. (2009) Recueil des actes des vicomtes de Limoges (Genève), Introduction, p. 19 [available in Google Book, Limited Preview], citing firstly Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines IV, tiré à part (Paris), p. 145.

[404] Limoges Saint-Etienne, XII, p. 33.

Bibliographie L’ancrage territorial de l’aristocratie limousine (XIe-XVIe siècles) : quelques réflexions, par Christian Remy, 2013

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015, J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal - Pages 218 à 263 in Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval de H. Debax, 2008, FMG et V. Roblin, "Recueil des actes des vicomtes de Limoges") 10 vii 2015 - família: JB.de La Grandiere ( Europäische Stamtafeln t III-4 p 773 Marburg 1989 ) 6 xi 2009, J-P de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal - Pages 218 à 263 in Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval de Hélène Debax, 2008 et FMG) 2008 et 2015 -5671- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.931.721:

JB de La Grandière : Dans "Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médièval" par Hélène Débax -PU du Mirail Toulouse 2008, page 73-74-75 , Didier Panfili au chapitre "Bas Quercy et Haut-Toulousain : un kaléidoscope à vicomtes", (accessible dans google books) énonce que 'Benoit vicomte de Toulouse, otage du comte Raimond est un neveu de Géraud d'Aurillac,le Géraud qui teste en 909 : Géraud d'Aurillac De ce Benoit I vicomte de Toulouse, sont issus les vicomtes de Toulouse Benoit I avait un frère cadet Rainard et une sœur cadette Raingarde ainsi qu'un frère ainé 'Bernard, viguier d'Alzone père d'Aton I vicomte d'Albi,+>942 époux de Diafonisse d'où les vicomtes de Saint-Antonin ancêtres des premiers vicomtes de Lautrec ! Ces éléments amènent à modifier Settipani qui dit bien en français, dans son "Noblesse du midi carolingien" pp 154/159 -Gramat-édité à Oxford en 2004 qu'Avigerne était sœur de Géraud d'Aurillac et, à l'aide de Didier Panfili, il faut dire qu'Avigerne est fille de Géraud sgr d'Aurillac et d'Adaltrude et donc soeur de Géraud + 909 c'est à dire l'abbé d'Aurillac, canonisé.. L'autre sœur du saint, Adaltrude est l'épouse d'Hildebert, vicomte de Limoges

ADALTRUDE, [sister of GERAUD d'Aurillac, daughter of GERAUD Comte [d’Aurillac] & his wife Adaltrude ---] (-after Sep 883). “Sicbardus et conjuves mea Alaitrudis” sold a vine “infra ur[be Lemov]icino in pago Burgolio in villaTedlido” to “Eldeberto [et conjuge] sua Adaltrudis” by charter dated Sep 883[402]. It has been suggested that Adaltrude was the sister of Gérard Comte d’Aurillac[403].

[402] Rivain ‘Textes bas-latins des ix et x siècles’, Tome XXVII (Limoges, 1879), 1, p. 338. [403] Settipani, C. (2004) La Noblesse du Midi Carolingien. Etudes sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IXe au XIe siècles (Prosopographica et Genealogica, Oxford), p. 231, and Roblin, V. (2009) Recueil des actes des vicomtes de Limoges (Genève), Introduction, p. 19 [available in Google Book, Limited Preview], citing firstly Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines IV, tiré à part (Paris), p. 145.

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( ES III-4 vicomtes de Limoges Marburg 1993) 6 xi 2009 - família: JB.de La Grandiere ( Europäische Stamtafeln t III-4 p 773 Marburg 1989 ) 6 xi 2009, J-P de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy - Le phénomène vicomtal - Pages 218 à 263 in Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval de Hélène Debax, 2008 et FMG) 2008 et 2015

379.931.726: Hugues Ier, mort entre 939 et 955, fut comte du Maine de 900 à sa mort, de la famille des Hugonides. Il était fils de Roger, comte du Maine, et de Rothilde.

Il succéda à son père en 900 et dut lutter contre le prétendant rorgonide, Gauzlin II. Ils firent la paix, et le prénom de certains descendants d'Hugues, laisse penser que la paix se conclut par un mariage entre Hugues et une fille probable de Gauzlin, pour laquelle le prénom de Bilichilde est proposé. Il y eut aussi en 914 un mariage entre sa sœur Judith et le robertien Hugues le Grand. Vers 920, le roi Charles le Simple retira le bénéfice de l'abbaye de Chelles à Rotilde pour le confier à son favori Haganon, entraînant une révolte qui plaça Robert Ier, le père d'Hugues le Grand, sur le trône. Petit à petit, le Maine passa sous la suzeraineté du duc de France, suzeraineté qui fut confirmée par le roi Raoul, mais Hugues eut le

-5672- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas premier rang parmi les vassaux d'Hugues le Grand. De son épouse, probable fille de Gauzlin II, il eut : Hugues II († avant 992), comte du Maine Gauzlin, père d'un Rorgon probablement Hervé Ier, comte de Mortagne wikipedia Nommé vicomte de Paris, par le duc Hugues le Grand, possesseur du duché de France, pour en exercer les fonctions comtales en ses lieux et place. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de Pontoise, fascicule III, 1901) 28 i 2012, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier" - 2010) 19i2014 - família: D.Thuret (famille Sisyphe, Pierfit)13 xii 2009, F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly"), C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011

379.931.727: Fonts: - persona: D.Thuret (famille Sisyphe, Pierfit)13 xii 2009, F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly"), C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014 - família: D.Thuret (famille Sisyphe, Pierfit)13 xii 2009, F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly"), C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011

379.931.727e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

379.931.727f: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.931.796: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009

379.931.797: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009

379.932.046: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI)., F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel) http://perso.wanadoo.fr/emmanuel.hamel/dat41.htm#102 - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel) http://perso.wanadoo.fr/emmanuel.hamel/dat41.htm#102

-5673- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.932.047: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les familles de Monfort-sur-Risle & Bertrand de Bricquebec, H&G 2003, pp. 321-324), F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel) http://perso.wanadoo.fr/emmanuel.hamel/dat41.htm#102, T.Blanchethttp://homepages.rpi.edu/~holmes/Hobbies/Genealogy/wc_idx/sur.htm) - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel) http://perso.wanadoo.fr/emmanuel.hamel/dat41.htm#102

379.932.047a: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie Vicking)., F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047b: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI). - defunció: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les familles de Monfort-sur-Risle & Bertrand de Bricquebec, H&G 2003, pp. 321-324) - família 1, família 2: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047c: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047d: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI). - família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047e: Domaine : Seigneur de Saint-Céneri (alias Saint-Célerin), actuellement commune de Saint-Céneri-le-Gérei (Orne). Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI). - família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047f: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047g: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.047i: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI)., F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel - GeneaNet "hamel") 05-05-2005 - casament: F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel) http://perso.wanadoo.fr/emmanuel.hamel/dat66.htm#191 - família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI)., F-L. Jacquier (Emmanuel Hamel - GeneaNet "hamel") 05-05-2005

379.932.047j: Fonts: F-L. Jacquier (Paul Leportier, Les Ducs de Normandie, XXXXI).

379.932.272:  cité vers 1079

-5674- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Mornac" , 2003, déposé par ses "ayant droit" aux archives de la bibliothèque municipale de Bordeaux) 29 xii 2016

379.932.273b: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Mornac" , 2003, déposé par ses "ayant droit" aux archives de la bibliothèque municipale de Bordeaux) 29 xii 2016

379.932.416: Fonts: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 291) 11/03/2010

379.932.417: Fonts: J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p. 291) 11/03/2010

379.932.418: Paraît dans un acte de donation de son père du 13/05/988. Source : J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006 Décès : après 1005 ou en 1014/1015. Fonts: - família 2: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 11i2015

379.932.419: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

379.932.419a: Fonts: - persona: Paraît dans un acte de donation de son père du 13/05/988. J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

379.932.448: Fonts: - persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011 - naixement: JL.Mondanel (généalogie Rançon) 22 iii 2011 - defunció: JL.Mondanel (généalogie Rancon) 22 iii 2011 - família 1: JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011 - família 2: J-L. Dega

379.932.449: Fonts: - persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011 - família: J-L. Dega

379.932.449-1a: Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011

379.932.450: Fonts: - persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rançon) 22 iii 2011 - família: J-L. Dega

379.932.451: -5675- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - família: J-L. Dega

379.932.458: Ce Geoffroy était le troisième fils de Raoul II, vicomte du Maine, et d'une de ses femmes, Guinor ou Godehilde (V. t. XXX, p. 190). Ses frères aînés étaient Yves, clerc et archidiacre ; Raoul, qui succéda à son père comme vicomte ; les deux plus jeunes se nommaient Hubert et Eude. Son frère, le vicomte Raoul, est celui que nous avons vu cité en 994 avec son père dans la charte d'Évron.

L'oeuvre de Geoffroy fut la fondation du prieuré de Solesmes en faveur de l'abbaye de la Couture. Il en obtint de son frère le domaine et d'autres terres : Chantemesle et Rocheteau, de la donation du comte Hugue, de beneficio nostro, dit ce dernier. De son côté, Geoffroy ajouta Melleray, Bousse, les Vallières, Bouessay, dons d'un homme de bien nommé Primault, qui s'était consacré à Dieu ; de son propre, il concéda la sépulture des bourgeois de Sablé et les Bresnières. Le jour de la consécration de l'église, devant le comte, la femme et les enfants du fondateur consentirent. La donation primitive, qui date de 1010, fut confirmée par une charte contemporaine du comte et plus tard par ampliation de 1065 à Angers, et par Guillaume le Conquérant, à Bonneville, le 30 mars 1073.

Geoffroy avait épousé Adélaïs, d'une famille inconnue ; il fut père de :

1° Dreux, cité dans la première charte ;

2° Bouchard ;

3° Lisiard, mentionnés seulement dans les ampliations ;

4° Geoffroy, qui fut moine à Marmoutier. Ce dernier, dit Geoffroy le jeune, pour le distinguer de son père, n'est cité que dans une charte dont l'original existe aux archives d'Indre-et-Loire ; il y est dit frère d'Avoie dans des lignes qui ont été écrites sur un passage gratté;

5° une fille nommée Avoie, dite Blanche, qui resta seule héritière, par le décès ou la profession religieuse de ses frères. La première maison de Sablé se réduit à Geoffroy, qui n'est connu que par la fondation de Solesmes ; par des fils morts jeunes, ou religieux, et par une seule héritière qui transmit la terre et le nom de la famille à son

-5676- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas époux, ou à ses descendants. in A. ANGOT, « Sablé », dans Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, 1919, n° 35, p.166-189, 266-278, 369-380.

A propos du château de Sablé Le château de Sablé fut édifié au dernier tiers du Xe siècle par le comte du Maine, Hugue III, « comes Cenomanensis quando fecit castellum de Sabolio » (Cart. de la Couture, no 29). Il construisit ensuite l'église de Saint-Malo : « Fecit in eo ecclesiam Sancti Machuti » (Ibidem). Il le donna plus tard par inféodation au frère de son vicomte, Geoffroy, et c'est le seul don de cette nature qui ait été fait sûrement et intégralement dans le Maine par le comte, car Mayenne et même Laval n'ont pas été délégués sans ingérence du comte d'Anjou. On ne doit pas faire remonter plus haut l'inféodation, puisqu'il est dit expressément que c'est le constructeur qui en disposa et que d'ailleurs il n'est pas mention de château édifié plus anciennement dans la province. in A. ANGOT, « Sablé », dans Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, 1919, n° 35, p.166-189, 266-278, 369-380.

Fonts: - persona: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln), B.Yeurc'h ([email protected]), J-P de Palmas (A.Angot, Archives de la Mayenne et FMG) - família: B.Yeurc'h ([email protected]), J-P de Palmas (in A. ANGOT, « Sablé », dans Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, 1919, n° 35, p.166-189, 266-278, 369-380. ) 19-ii-2009

379.932.460: Brand'Honneur et "Medieval Lands" ne donnent qu'un enfant à Tristan de Vitré : Robert.

Je m'interroge donc sur cet autre fils que lui attribue Roglo, sans prénom, marié à une femme pas mieux précisée, auteur de la branche de Montbourcher. Je n'ai pas les moyens de nier cette filiation (invisible à la fois chez Brand'Honneur et "Medieval Lands" comme je viens de le dire) mais je crois qu'il serait souhaitable de l'asseoir sur des preuves. Le Laboureur ????

Dominique Druhen - 2012-09-12 19:03:28

Transformation de ce lien par la fonction parents possibles.

J-P de Palmas - 2012-09-19 Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (corrections sur données Auréjac : Michel Brand'Honneur in Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes p 290 (Vitré) Rennes 2001 ) 11 ix 2012 - família: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 11xii2012

379.932.461: Michel Brand'Honneur ne donne pas d'ascendance à cette Enoguen/Innoguent.

Riwallon N (alias Riwallon de Vitré) ne saurait être son père puisqu'il est son beau- père ! (anciennes données Auréjac éliminées).

Son "patronyme" n'a aucune importance : les patronymes n'existaient pas à -5677- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas l'époque. Enoguen, épouse d'un Vitré, mère de deux Vitré pouvait être dénommée dans les actes de plusieurs manières dont celle de dame de Châtillon (-en- Vendelais) ou douairière de Vitré ou..et nous aurions du la nommer N. ce qui la ferait se "fondre" au milieu de dizaine de milliers d'autres anonymes ce qui n'est pas tout à fait son cas.. Dominique Druhen dans un message (2012-09-12 19:03:28) indique Michel Brand'Honneur la désigne par son seul prénom. "Medieval Lands" la nomme Enoguen de Fougères, fille de Juhel Bérenger de Rennes. Ce rattachement semble venir de la chronique de Le Baud. En me reportant à la descendance des comtes de Rennes donnée par M. Brand'Honneur (p. 94), je constate que celui-ci n'y fait pas figurer cette Innoguen. Pour ce qui est des filiations données par Michel Brand'Honneur dans Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes- (p. 290, Vitré) Rennes 2001, son incomparable travail a comme but principal de montrer les dévolutions de fiefs et les alliances majeures ; on peut compléter quelques unes de ses filiations à l'aide des d'éléments fournis par l'auteur sur d'autres "arbres" présentés

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Brand'Honneur "Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes p 290 Vitré Rennes 2001 ) 20 xi 2009 - família: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 11xii2012

379.932.462: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base Patrick Déret) 16 vi 2009 - família: C.Saint-Félix (M; Brand'Honneur "Manoirs et chteaux.") 6i2013

379.932.463: Fonts: - família: C.Saint-Félix (M; Brand'Honneur "Manoirs et chteaux.") 6i2013

379.932.463b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (M; Brand'Honneur "Manoirs et châteaux.") 6i2013

379.932.620: Vivant en 940.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010,JL.Mondanel (généalogie Saumur) 23 iii 2011 - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

379.932.621: Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

379.932.622: HERVE [I] (-after 25 Jun 955). "Hugonis ducis, filiorum eius Othonis et Hugonis, Odonis comitis, Hugonis comitis Cenomannorum, Hervei comitis Mauritaniæ, Lamberti vicecomitis" subscribed the charter dated 25 Jun 955 under which "Lambertus filius Ansberti cum Girberga sorore mea…" donated property "in territorio Corbonensi" to Chartres Saint-Père[2503]. Comte de Mortagne. Comte du Perche.

m MELISENDE, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage

-5678- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas has not yet been identified.

[2503] Saint-Pére de Chartres I, 73, p. 199.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.932.623: des Fulco-Rampo de Châteaudun

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 30 xii 2011, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.932.623d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.932.623e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.932.624: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015 - família: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015

379.932.625: Fonts: - família: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015

379.932.625a: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015

379.932.625c: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015

379.932.628: Est attesté vers 1050.

Fonts: -5679- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - persona: F.de Bernis ( Geneanet : base "adecarne" ) 10 i 2009, J-C de Vaugiraud (unification du nom) 19 vi 2011 - família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008, F.de Bernis (base adecarné) 10 i 09, .J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

379.932.629: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008, F.de Bernis (base adecarné) 10 i 09, .J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

379.932.629a: "Dalmace II de Centarben, 1033, lequel continua les aînés, d'où sortirent les Damas du Chalonnais et les Damas de Cousan en Forez, etc." J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008, J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011 - defunció: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 12/09/2008

379.932.629b: "Pierre, quidam miles pronomen habens de Cachiaco, époux d'Adélaïs (Charte 17), seigneur de Chaumont, château voisin de celui de la Guiche (Saône-et-Loire), tige de la famille de ce dernier nom."

Source : J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

379.932.629c: "Heldin, père de Bertrand, nobilissimus miles, de Gauthier de Perrigny, Walterius de Parriniaco, et d'Anseide, Ansedeus, (ch. 103), d'où sortirent les seigneurs de Perrigny, de Parriniaco." J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011 - família: Hervé Balestrieri ( d'après Jean-Claude de Vaugiraud, citant Révérend du Mesnil : "Le capitaine Poncenat et sa famille", in "Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais", 1893, P. 85 et ss.) 02.09.2011

-5680- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.932.629e: "Guichard, tué dans l'église de Vitry-les-Charolles (Saône-etLoire)."

Source : J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

379.932.629f: "Adaltrude, Adaltrudis." J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

379.932.629g: "Aremburge, Aremburgis, filles dont nous ignorons la destinée." J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011 Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Révérend du Mesnil: Le capitaine Poncenat et sa famille, in Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais, 1893, P. 85 et ss.) 19 vi 2011

379.947.072: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.073: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.328: Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.332: He is recorded as Conde de Álava in 919 in the cartulario de Valpuesta [Salazar Acha]. It appears that on his death his sons did not inherit the county as Álvaro Herraméliz, son-in-law of King Sancho García, is then recorded as Conde de Álava. Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.333c: She and her husband made a joint donation in 943 [Salazar Acha 'Los Velas']. Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.333-2a: The Codex de Roda names "Azenari Momiz et Lupe Momiz hac Sanzio Momiz et domna Belasquita" as the children of "domni Momi comitis Bizcahiensis" and his wife Velasquita [Lacarra, J. M. 'Textos navarros del Códice de Roda']. He and his -5681- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas brothers are named with their mother (and her third husband) at Nájera shortly after 931 [Pérez de Urbel], and are also referred to by Salazar Acha, who says that nothing is known about them. http://fmg.ac/Projects/MedLands/NAVARRE%20NOBILITY.htm #MunioVelazdied926 Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.333-2b: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.333-2c: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.333-2d: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.340: He is referred to as Conde de Castilla 1 Mar 899, 1 Feb 909 and 23 Jul 909, although he was probably not in control of the whole county [Pérez de Urbel].

Su primera aparición histórica en 882 está relacionada con la repoblación y defensa de la fortaleza de Castrogeriz desde Amaya. En ese año, el conde Diego Rodríguez Porcelos se encontraba defendiendo el desfiladero de Pancorbo de las fuerzas musulmanas mientras, según las crónicas, Munio estaba en Castrogeriz intentando fortificar el castillo. En la primera incursión del ejército emiral, tuvo que huir mientras que ya en la segunda ocasión, en el año 883, con las obras más adelantadas, pudo resistir tras los nuevos muros. En enero de 885, falleció el conde Diego Porcelos en Cornudilla sin que parezca que haya dejado a un hijo con edad para sucederle. No fue hasta el 1 de marzo de 899 cuando Munio Núñez aparece por primera vez como conde en Castilla mientras que el conde Gonzalo Fernández gobernaba Burgos. En 909 apoyó la sublevación de los hijos de Alfonso III que le obligó a abdicar y que llevó al trono leonés a García I. Desde este momento parece que se traslada a León junto a su yerno y ya no vuelve a ser nombrado conde de Castilla aunque sí de Amaya. Desde sus bases de Castrogeriz y Muñó, cuyo castillo y comarca le deben su nombre, en el bajo Arlanzón, será uno de los tres protagonistas de la expansión hacia el Duero de los castellanos en 912, año en que Munio repobló Roa de Duero [Gonzalo Martínez Díez, El Condado de Castilla (711- 1038): la historia frente a la leyenda (Tomo I), 2005 Valladolid].

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.341: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.341a: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.341c: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

-5682- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.947.368: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.947.369: 941, enero 9. Gútier [Osórez] e Ildoncia [Menéndez] hacen donación a [San] Rosendo y al monasterio de Celanova de la vila de Faramontaos y de los 'uillares' de 'Couello' y 'Pacini', anejos a la misma. TC, f20v-21r. Celanova 65.

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral (Os Ribadouro)

379.947.450: C.Settipani le dit propriétaire à Gisat et Mazerat.

C.Settipani pense qu'il est l'ancêtre de la famille de Damas (qui tire de lui son nom).

Les vicomtes mentionnés par la documentation auvergnate

 Dalmas II v. 954-980 o Saux. 82 (954-av. 962), Saux. 367 (954-962), o Saux. 179 (964-970), Saux. CCCCXLIX (936-983), o Saux. 783 (954-983), Saux. 434 (980-985), o Saux. 58 (954-986)

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 302) 07/09/2008, J-P de Palmas (Vicomtes et vicomtés en Auvergne et dans ses marges de Chr.Lauranson-Rosaz) x2009, C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006 - defunció: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 311) 07/09/2008 - família 1: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296) 07/09/2008 - família 2: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

379.947.451: Nommée Aldegarde par Manuel Abranches de Soveral !

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306) 07/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296) 07/09/2008

379.947.451-2a: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

379.947.560:

-5683- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas prince en Danemark.

"Bernard de Pont-Audermer, järl, est fils de Ragnvald Eysteinsson le Sage de Heidmark, järl de Moere, né à Uppland (Danemark) vers 835, décédé aux Orcades (Écosse) en 894, et de Ragnhilde de Moere, ca 845 - /889. Ragnvald Eysteinsson le Sage de Heidmark est le fils de Eystein Heidmad, järl de Moere, ca 810-872, et d'Aseda de Vestfold, o ca 820. Eystein Heidmad est le fils d'Ivar, järl de Moere, né v. 760 (base Bernard Audra)." [message de Jean-Marie Thiébaud sur le forum, 04-02-2009, 01h29].

Biographie

Son surnom suggère qu'il est originaire du Danemark. Il a pu s'installer en Normandie avec ses compatriotes vikings autour de l'an 900. C'est un compagnon de Rollon le Marcheur, le fondateur du duché de Normandie[1].

Au début des années 930, il convainc le fils et successeur de Rollon, Guillaume Longue-Épée de sortir immédiatement de Rouen pour combattre l'armée de Riouf (un Normand de l’Ouest), venue assiéger la ville. Riouf est vaincu sous les murs de la capitale normande. Le rôle politique de Bernard émerge véritablement après l'assassinat de Guillaume en décembre 942. Il fait partie d'une sorte de triumvirat qui dirige le futur duché de Normandie en attendant la majorité de Richard Ier[2]. Dudon de Saint-Quentin le montre comme un acteur omniprésent des années 942- 946 aux côtés de ses compatriotes normands Anslech, Osmond de Conteville et Raoul Taisson. Pendant cette période, il fait preuve d'une intelligence tactique qui, si l'on se fie au récit du chanoine, permet à la jeune Normandie de survivre à l'appétit de ses voisins, en l'occurrence le roi carolingien Louis d’Outremer et le duc des Francs Hugues le Grand.

À deux reprises, Bernard le Danois accueille le roi à Rouen et lui garantit la soumission des Normands. L'armée royale se déploie en Normandie tandis que le jeune Richard Ier est emmené en France pour y être éduqué. Mais en secret, Bernard fait appel en 945-946 aux Danois du roi Harald « à La Dent Bleue » (Harald Blåtand) pour reprendre la main[3]. Grâce à l'intervention des Danois, Bernard s'empare de Louis d’Outremer. Cette capture assure dans les mains normandes un atout d'importance pour négocier le retour de Richard Ier en Normandie. Le roi est effectivement libéré puis le jeune jarl est ramené dans son pays.

Bernard le Danois disparaît ensuite du récit de Dudon.

Bernard le Danois serait le père de Torf et, ainsi, à l’origine de deux grandes familles anglo-normandes, les Beaumont et les Harcourt. Si l'on ne possède pas de preuve d'une filiation entre Bernard le Danois et Torf, cette origine est cependant mentionnée par de nombreuses généalogies[4] et a été reconnue par les rois de France, comme en attestent notamment les lettres patentes octroyées par Louis XIV pour l'érection du duché d'Harcourt en 1700[5].

Sources

Le personnage est connu par la chronique du chanoine Dudon de Saint-Quentin, moribus et actis primorum Normanniae ducum. Or certains passages de cette œuvre panégyrique sont sujets à caution, contredits notamment par Flodoard. Le Gesta Normannorum ducum de Guillaume de Jumièges et le Roman de Rou de

-5684- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Wace évoquent également Bernard mais ces auteurs ne font que reprendre le récit de leur prédécesseur.

 Dudon de Saint-Quentin, De moribus et actis primorum Normanniae ducum, Éd. Jules Lair, Caen, F. Le Blanc-Hardel, 1865  Guillaume de Jumièges, Histoire des Normands, éd. Guizot, Brière, 1826, Livre IV (traduction française des Gesta Normannorum ducum écrits vers 1172).

Le château d'Harcourt

Le Château médiéval est l'un des mieux conservés de notre pays ; enchâssé dans un écrin de verdure, il ne demande qu'à être découvert. Le domaine fut concédé en 912 à Rollon, lequel l'offrit à Bernard le Danois, fondateur de la famille d'Harcourt. Pendant près de 9 siècles les d'Harcourt seront présents, sauf durant l'occupation anglaise de 1418 a 1449

Liens externes Wikipédia

Notes et références

1. Dudon de Saint-Quentin, « De gestis Normanniae ducum seu de moribus et actis primorum Normanniae ducum », J. Lair (éd.), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie, tome XXIII, 1865, p.189-190. La liste des compagnons de Rollon est controversée mais la citation de Dudon apporte une certaine crédibilité à l'inclusion de Bernard dans cette liste 2. Guillaume de Jumièges, Histoire des Normands, éd. Guizot, Brière, 1826, Livre IV, p.79(traduction française des Gesta Normannorum ducum écrits vers 1172) 3. Guillaume de Jumièges, ibid, p.88. Flodoard le présente plutôt comme un chef normand de la région de Bayeux 4. Gilles-André de La Roque, Histoire Généalogique de la Maison de Harcourt, 1662, T.I, T. III et T. IV 5. ↑ Louis XIV, Lettres patentes pour l'érection du marquisat de Harcourt en -5685- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas duché héréditaire, 1700 : « sa maison tire son origine de Bernard le Danois, un des seigneurs de Danemark, qui vinrent en Normandie avec Rollon, qui en fut le premier duc, en l'an 876, de qui Bernard le Danois eut la seigneurie d'Harcourt et plusieurs autres terres; il fut aussi fait gouverneur de Normandie et tuteur de Richard Ier, petit-fils du duc Rollon, et les descendants de ce Bernard ont été revêtus des premières charges et alliances fort illustres. » in P. Anselme, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume, 1726-1733

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com ; Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/; Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes"), J-P de Palmas (wikipedia) 15i2011 - família: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com), F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/, F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")

379.947.561: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com) - família: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com), F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/, F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")

379.947.561b: Fonts: - família: P Ract Madoux (L'Estourmy: "Recherche de La Galissonnière: Pont l'Evêque") 4 viii 2004

379.947.564: Fonts: - persona: E.Wilkerson-Theaux(Laura Little), F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes") - família: Laura Little, F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")

379.947.565: Fonts: - persona: E.Wilkerson-Theaux(Laura Little), F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes") - família: Laura Little, F-L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")

379.947.565a: Fonts: - persona: E.Wilkerson-Theaux(Laura Little) - família: Laura Little

379.947.565c: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Alain de Carné - généalogie de Carné) http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm

-5686- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.947.572: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 10 x 2012

379.947.573: "Achardie" devait être un surnom donné à la compagne d'Achard !

 sœur probable d'Aimon comte d'Auxois (+ <1020)

Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010, JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996 ) 10 x 2012

379.947.573b: Arcades de l'Ancienne Eglise Notre Dame de Soissons, Villers-Cotterêts ; musée Alexandre Dumas Betbeder, graveur, vers 1825 Inscription en bas : Ces magnifiques débris de l'Architecture Romane sont les derniers restes d'un des sanctuaires les plus célèbres de notre France. L'Eglise ND de Soissons que le Comité Archéologique s'efforce à bon droit de conserver à tous les amis des Arts. Sa construction qui remonte au milieu du XIIe Siècle fut toujours regardée comme un monument de la piété et de la reconnaissance nationales. Les précieuses reliques apportées des Croisades ; Le Tombeau de saint Drausin XXII Evêque de Soissons et Fondateur de la Vieille Abbaye ; ceux de saint Voué de St Leudard ; Les riches Mausolées des hautes et puissantes Princesses de Châtillon, de Luxembourg, de Bourbon et de Lorraine qui figurent au nombre des 17 Abbesses issues du sang royal y attirèrent pendant le cours des Ages, une affluence immense de Pèlerins, de Malades, de Chevaliers et de Curieux (Voir la Monographie de la Célèbre Abbaye par Mr l'Abbé Poquet) Base Joconde

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 10 x 2012

379.947.616: Fonts: - persona: T.Blanchet (http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I186563&tree=00) 2/10/2012 - família: T.Blanchet (http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I186563&tree=00) 2/10/2012

379.947.617: Fonts: - persona: T.Blanchet (http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I186563&tree=00) 2/10/2012 - família: T.Blanchet (http://www.ourfamilyhistories.org/getperson.php?personID=I186563&tree=00) 2/10/2012

-5687- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.947.652: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net - família: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net

379.947.653: ses parents ne peuvent-etre Gorm & Tyre, car elle n'est pas reprise parmi leurs enfants in "O.Brenner(1978)--Nachkommen Gorms des Alten" & Todd A. Farmerie, Society of Medieval Genealogy (1996), dans l'article "Robert de Torigny and the family of Gunnor, Duchess of Normandy" dit: "She has also been claimed as daughter of the Danish royal family, but there is no evidence for this" & "Thus we are left with the more ambiguous statements of Torigny and others that she was a member of a Norman family of Danish origins".

Fonts: - persona: , L.Frere (note) 6 x 2011;F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net - família: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net

379.947.656: disputa la couronne à Alain Le Grand (B.Yeurc'h (Dom Morice))

Judicael of Rennes (died in battle 888), was count of Rennes and duke of Brittany, from 877 to his death. He became ruler of Brittany after the death of his father Gurvand and his rival in Brittany, Pasquitan of Vannes. His accession was disputed with Alan of Vannes, brother of Pasquitan.

He reconciled with him to fight the Vikings, however. Together with Alan of Vannes he defeated at the Battle of Questembert in 888 but lost his life in the fighting.

http://en.wikipedia.org/wiki/Judicael%2C_Duke_of_Brittany

Fonts: - persona: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/) , Manuel Abranches de Soveral - defunció: B.Yeurc'h (Dom Morice), B.Yeurc'h (Le Lien), B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)

379.947.658: Alain le Grand réussit à réunir les Bretons sous sa bannière en 888 et chasse les Normands de Bretagne, qui n'oseront plus revenir de son vivant. Il est reconnu comme roi de Bretagne mais l'Anjou et le Cotentin refusent sa souveraineté. Il favorise l'expansion des abbayes. À sa mort, les attaques normandes reprennent de plus belle. Toute l'élite bretonne fuit en Angleterre, les abbayes et les bibliothèques sont pillées La Bretagne connaît une des périodes les plus noires de son histoire. Les Bretons attendent leur "sauveur". Un abbé parvient à convaincre le petit-fils d'Alain le Grand de quitter l'Angleterre pour sauver le peuple breton.

-5688- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Plaque commémorant la bataille du Trieux entre Alain Barbetorte et Incon, apposée sur la façade de la mairie de Plourivo

Aidé par les Saxons, Alain Barbe-Torte débarque en Bretagne en 936 et chasse les envahisseurs Normands de la ville de Nantes. Plus tard en 939, Barbe Torte battra les Normands près de Cancale sauvera l'unité de la Bretagne. Il refuse le titre de roi, se contentant d'être duc de Bretagne. Alain Barbe- Torte meurt en 952 laissant derrière lui un pays libre, prospère et indépendant.

La devise de la Bretagne « Plutôt la mort que la souillure » aurait été choisie par Alain Barbe Torte à l'issue d'une bataille avec les Normands. Barbe Torte et ses soldats étaient poursuivis par les Normands et poussés vers une rivière en crue, et pleine de boue. Barbe Torte vit alors une hermine poursuivre un renard, au lieu de s'enfuir, elle fit face au renard. Barbe Torte suivit son exemple et lança à ses troupes : « Plutôt la mort que la souillure ». En 952, Alain II meurt. Son fils Drogon lui succède, mais il meurt trois ans après. Un problème de succession se pose alors Alain Barbe-Torte ayant eu deux enfants bâtards soutenus par Foulque le Bon, comte d'Anjou. Konan, comte de Rennes, revendique le trône. C'est finalement son fils Geoffroy qui l'obtiendra après une lutte de près de quarante ans. Geoffroy épouse Havoise, la soeur de Richard de Normandie, renforçant ainsi les liens qui unissent cette région à la Bretagne. Il a deux fils, Alain III qui régnera de 1008 à 1040 et qui abolira le servage et Eudon qui obtiendra le célèbre apanage des Penthièvre cf la guerre des deux Jeanne. Le fils d'Alain III, Konan II, meurt en 1066 sans successeur. La couronne échoit à Hoël de Cornouaille gendre d'Alain III et cousin de Guillaume le Conquérant.

Mariages et descendances En 925 Alain Barbetorte se marie avec Roscille d’Anjou (née vers 906, décédée vers 948, fille de Foulque Ier comte d’Anjou et de Roscille de Loches, dame de Villandry). Certaines généalogies leur attribue une fille, Gerberge, bien qu'aucun document contemporain ne la mentionne. Toujours selon ces généalogies, Gerberge se serait mariée avec Juhel Bérenger, comte de Rennes et serait la mère Conan comte de Rennes tué le 29 juin 992 à la bataille de Conquereuil. En 948 Alain Barbetorte épouse à Blois, Roscille de Blois (sœur de Thibaud Ier de Blois et fille de Gello Ier, comte de Blois et de Richilde de Gothie). Ils ont un enfant : Drogon de Nantes, appelé également Dreux, (né en 950, futur comte de Nantes, mort en 958).

Alain Barbetorte a également une maîtresse : la noble Judith (décédée entre 948 et 952).

-5689- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas De cette relation extramatrimoniale, ils auront trois enfants illégitimes :

 Hoël futur comte de Nantes, né vers 930 et  Guérech duc de Bretagne, né vers 933. Ils ont aussi une fille,  Judith, mariée à Pons de Marseille.

Les deux fils illégitimes seront assez âgés pour souscrire un acte avec lui vers 945. Frères bâtards du jeune Drogon, c’est ce dernier qui deviendra en premier comte de Nantes. Alain Barbetorte est enterré dans la collégiale Notre Dame à Nantes, ville qu’il avait choisie pour sa capitale et dont il avait encouragé la reconstruction après les destructions dues aux Normands.

Alan II Wrybeard or Barbe-Torte (died 952) was Count of Vannes, Poher, and Nantes, and Duke of Brittany from 938 to his death. During his rule, he had to defend Brittany from Viking invasions. He had to take refuge, along with his father Mathuedoi, Count of Poher, with the English king Edward the Elder, because the Norsemen had invaded Armorica. He became ruler of Brittany after a 33 year interregnum from the death of his maternal grandfather, Duke Alan the Great. He landed at Dol in 936, at the invitation of the monk Jean de Landévennec and with the aid of Edward's successor, Athelstan the Glorious. By 937 he was master of most of Brittany and the Vikings had been forced back to the Loire. In 938, he was elected Brittonum dux. On 1 August 939, his victory was made complete by defeating the Norse at Trans. Alan declared that date a national holiday. Alan renounced the Cotentin, Avranchin, and Mayenne, but Louis IV of France recognised that Brittany had "never formed part of his kingdom." Alan was closely allied with the king of France, for both had been exiles in England at the same time. He was also close to Theobald the Old, the count of Chartres. He died and was buried in his capital, Nantes, in the Basilique Notre Dame. He was succeeded by his son Drogo. http://en.wikipedia.org/wiki/Alan_II%2C_Duke_of_Brittany

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (La Bretagne féodale XIe - XIIIe siècle), Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (wikipedia) - naixement: B.Yeurc'h ( http://jeanjacques.villemag.free.fr/ )

-5690- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família 1: J-P de Palmas (wikipedia) - família 2: J-P de Palmas (wikipedia) - família 3: J-P de Palmas (wikipedia)

379.947.659: Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice) - família: J-P de Palmas (wikipedia)

379.947.659-2b: Fils cadet illégitime d’Alain II de Bretagne et de la noble Judith, il succède à son frère Hoël Ier de Bretagne à la mort de celui-ci. Guérech est élévé à l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire près d’Orléans. Évêque élu de Nantes en 981, mais vraisemblablement non consacré, il n’exerce pas le sacerdoce mais retient pendant les sept années de son règne le temporel de l’évêché qu’il administre avec le comté de Nantes. En 981, à la mort de l’évêque Gautier Ier, Hoël fait élire son frère Guérech, qui a reçu une formation ecclésiastique, à l’évêché de Nantes et ce dernier part pour Tours obtenir sa consécration de l’archevêque de cette ville. Cette même année, alors que Guérech voyage vers Tours, un certain Galuron assassine Hoël sur l’ordre de Conan. Sitôt prévenu, Guérech quitte sa future charge d’évêque de Nantes avant sa consécration, et se fait élire comte de Nantes. Il poursuit le combat initié par son frère contre le comte de Rennes Conan le Tort. Guérech signe un traité avec le comte Guillaume IV de Poitiers qui confirme les possessions nantaises au sud de la Loire — les pagi d’Herbauges, de Tiffauges et de Mauges — obtenues par son père Alain II de Bretagne en 942. Guérech se rend ensuite en 983 à la cour du roi de Francie Occidentale Lothaire pour lui prêter hommage, et s’arrête, sur le chemin du retour, chez le comte Geoffroy Ier d’Anjou.

Déjà commanditaire selon la Chronique de Nantes de l’assassinat de Hoël Ier, Conan le Tort, craignant, à juste titre, une alliance entre les comtes de Nantes et d’Anjou contre lui, aurait convaincu le médécin de Guérech, Héroicus, également abbé de l’Abbaye Saint-Sauveur de Redon d’empoisonner le duc.

Guérech meurt comme son frère prématurément, en 988 et est inhumé dans l’Abbaye Saint-Sauveur de Redon. Son épouse Aremburge, dame d’Ancenis, lui donnait un fils unique, Alain, qui ne lui survivra que deux ans.

La vie du comte Guérech comme celle de son frère Hoël nous est essentiellement connue par la Chronique de Nantes compilée au XIe siècle et qui est défavorable aux bretons en général et aux rennais en particulier.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gu%C3%A9rech_de_Bretagne

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) ; Manuel Abranches de Soveral

379.947.659-3a: Drogon de Bretagne comte de Nantes et duc de Bretagne de 952 à 958.

Drogon (ou Dreux), seul fils légitime d'Alain Barbetorte et de Roscille de Blois, sœur du comte Thibaut Ier de Blois, devient comte de Nantes et duc de Bretagne en 952 - soit à l'âge de 2 ans - après le décès prématuré de son père.

Sa tutelle fut assurée par son oncle Thibaud Ier de Blois, qui remarie très vite sa

-5691- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas sœur avec le comte Foulque II d'Anjou.

Le pouvoir sur la Bretagne est alors partagé: Foulque reçoit le comté de Nantes et la garde du jeune duc, Thibaut conservant la suzeraineté sur le nord de la Bretagne. Il délégue l'administration de cette région trop éloignée de son propre domaine à ses deux alliés le comte Juhel Béranger de Rennes qui devient son vassal et Jutohen, archevêque de Dol.

La disparition brutale, par empoisonnement (?), de Drogon vers 958 à Angers, dans laquelle, selon la "Chronique de Nantes", certains virent la main de Foulque II d'Anjou, car ce dernier devint comte de Nantes en 958 jusqu'à sa mort en 960. Ensuite, les Nantais feront appel à Höel, nouveau comte de Nantes, puis après sa mort, à Guérech, évêque de la même ville, les deux fils de Barbetorte pour assumer le pouvoir dans le comté.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia)

379.947.659-4a: Fils naturel

Fonts: - persona: B.Yeurc'h (A.Aurejac)

379.947.662: ROBERT de Vermandois, son of HERIBERT [II] Comte de Vermandois & his wife Adela [Capet] (-after 19 Jun 966). "Rodberti filium Heriberti comitis" witnessed a charter of "Gauzfredus comes" dated Jul 940[2214]. Under the division of the territories organised subsequent to his father's death in 943, Robert became Comte de Meaux. He became Comte de Troyes in 956 on the death of his father-in-law, by right of his wife. Richer names "Robertus Trecarum princeps, Heriberti tiranni filius, Hugonis vero abdicate frater" when recording his rebellion against King Lothaire and capture of Dijon in 959[2215]. The Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis records that “Rotbertum comitem” expelled “Ansegisum Trecarum Episcopus” who sought refuge “in Saxoniam ad Ottonem Imperatorem”, dated to 959[2216]. Otto I King of Germany sent his son Bruno to besiege Troyes, and King Lothar attacked Dijon which capitulated in 960[2217]. "Gaufridus…Andecavorum comes" issued a charter dated 19 Jun 966 subscribed by "Roberti comitis Trecassinorum…"[2218].

m (before 950) [as her first husband,] ADELAIS [Wera], daughter of GISELBERT Duc des Bourguignons, Comte de Chalon-sur-Saône et de Troyes & his wife Ermengarde [of Burgundy] ([930/35]-after Aug 967). "Trecassine urbis comitem Robertum" donated land to "Gratianum abbatem monasterii Sancti Petri Dervensis" by charter dated 6 Aug 959, signed by "Adelais comitisse, Erberti filii eorum, Walterii vicecomitis"[2219]. The Chronicle of Saint-Bénigne de Dijon records the death in 956 of "Gislebertus comes Burgundionum", names "filia Leudegarde" and "aliam…filiam…Werram", and the latter's marriage to "Robertus comes Trecassinorum"[2220]. It is unclear why these two sources refer to the wife of Comte Robert by different names, as "Adelais comitisse" who signed the 959 charter must have been the same person as the wife of Robert named in 956 because the former document also refers to "Erberti filii eorum". It is possible that the reference to "Werram" is a transcription error as no other reference to this name has so far been found in other contemporary French sources. Her birth date

-5692- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas range is estimated from her own daughter's estimated birth date of [950].

Comte Robert & his wife had [four] children.

[2214] Cluny, Tome I, 511, p. 496.

[2215] Richer III.XI, p. 12.

[2216] Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis, Spicilegium II, p. 470.

[2217] Settipani (1993), p. 231.

[2218] Broussillon, B. de (ed.) (1903) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin d'Angers (Paris) (“Angers Saint-Aubin”) 2, p. 4.

[2219] Montiéramey 14, p. 19.

[2220] Chronicle of Saint-Bénigne de Dijon 956, p. 135, quoted in Settipani (1993), p. 232 footnote 299, although this reference does not appear in the edition consulted.

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Préhistoire des capétiens) 15/09/2006, J-P.de Palmas (FMG) 12 ix 2012 - naixement: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010 - defunció: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp 211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 v 2016

379.947.663: Préhistoire des capétiens note 302 p 232 dit "Sur la famille d'Adelais, il existe pour lors aucun travail satisfaisant". J-C de Vaugiraud 15/09/2006.

Il semble toutefois à exclure formellement qu'Adélaïde épouse de Robert soit la même qu'Adelaïde épouse de Lambert, les études modernes montrent bien que ce sont deux personnes différentes.

Fonts: - persona: Aurejac, J-C de Vaugiraud (Préhistoire des capétiens) 15/09/2006 - defunció: J-C de Vaugiraud (Préhistoire des capétiens) 15/09/2006 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 25 v 2016

379.947.663a: HERIBERT [V] "le Jeune" ([945/50]-28 Jan 995 or 996, bur Abbaye de Lagny-en- Mussien). "Trecassine urbis comitem Robertum" donated land to "Gratianum abbatem monasterii Sancti Petri Dervensis" by charter dated 6 Aug 959, signed by "Adelais comitisse, Erberti filii eorum, Walterii vicecomitis"[2221]. He succeeded his father in 966 as Comte de Meaux et Comte de Troyes . It is assumed that Héribert [V] succeeded his paternal uncle Héribert [III] in [983/Apr 985], based on the following argument. A letter of Gerbert dated 983 records that "Heriberti Trecassini et Oddonis comitis filii Tedbaldi" were enemies of "Adelbero Remonis archiepiscopus"[2222]. However, a letter dated to Apr 985 names "Ottonis et -5693- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Heriberti", while a letter dated to mid-985 records that "Ottonem, Heribertum" made peace with the archbishop[2223]. Another letter of Gerbert dated to [late 986/early 987] records that "O et Heribertus comites" were part of the council of Emma Queen of France[2224]. It is assumed that "Oddonis/Ottonem/O" all refer to the same person. However, it is suggested that only the first letter applies to Héribert [III], the change to Héribert [V] being indicated in the subsequent letters by "Heribertum" being named after "Ottonem" instead of before, which suggests that he was the junior of the two from Apr-985. On the death of his paternal uncle Héribert [III] "le Vieux", Lothaire King of France invested him with Epernay and le Perthois. He helped King Lothaire conquer Lotharingia, and imprisoned the comte de Verdun[2225]. m ---. 959. The name of Héribert's wife is not known. Bur suggests[2226] that she was a daughter of Etienne [Stephanus] Comte de Gévaudan & his second wife Adelais d'Anjou, basing his theory on the transmission of the name "Stephanus" to the couple's son. Héribert [V] & his wife had one child.

[2221] Montiéramey 14, p. 19.

[2222] Gerbert 17, p. 13.

[2223] Gerbert 59, p. 58.

[2224] Gerbert 97, p. 89.

[2225] The letters of Gerbert cited above, and Settipani (1993), p. 234.

[2226] Bur, M. 'A propos du nom d'Etienne: le mariage aquitain de Louis V et la devolution des comtés champenois', Annales de Midi (1990), pp. 339-47, cited in Settipani (1993), p. 233

Fonts: - persona: Aurejac, J-C de Vaugiraud (Préhistoire des capétiens) 15/09/2006, J-P.de Palmas (FMG) 12 ix 2012 - família: J-C de Vaugiraud (Préhistoire des capétiens) 15/09/2006, J-P.de Palmas (FMG) 12 ix 2012

379.947.663b: [ARCHAMBAUD (-29 Aug 968, bur Sens Saint-Pierre-le-Vif). Archbishop of Sens 959. The Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis records that “Archembaldus” was installed as archbishop “V Kal Jul”, in 959 from the context[2243]. According to Gallia Christiana[2244], Archambaud Archbishop of Sens was the son of Robert Comte de Troyes and his wife Adelais de Bourgogne. This may be based on the Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis which records the death “in…mense Augusto” (in 968 from the context) of “pater ipsius Rotbertus…vir nobilis”, referring to archbishop Archambaud[2245], assuming that this refers to Robert Comte de Troyes whose activities are recorded earlier in the same source. However, the chronology is unfavourable for this parentage to be correct. The Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis records the death “IV Kal Sep” (in 968 from the context) of “Archembaldus Archiepiscopus…adhuc iuvenis” and his burial “in basilica beati Petri”[2246]. Although stated to be “iuvenis” when he died, he must have been a young child when installed as archbishop if the estimated dates of marriage and birth of the members of Comte Robert´s family are correct. His extreme youth at the time of his appointment is not commented on in the sources so far consulted. In any case, the name Archambaud is not otherwise found in the family of the comtes de Vermandois, which also suggests that the suggested

-5694- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas parentage might not be correct.]

[2244] Gallia Christiana, Sens et Auxerre, p. 34.

[2245] Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis, Spicilegium II, p. 470.

[2246] Chronicon Sancti Petri Vivi Senonensis, Spicilegium II, p. 470.

Renaud I ou Renard dit le Vieux succéda l'an 951 au comte Fromond son père. L'an 965 des Saxons qu' Anségise, évêque de Troyes avait amenés d'Allemagne sous la conduite de Brunon, frère de l'empereur Otton Ier, pour l'aider à recouvrer cette ville usurpée sur lui par Robert de Vermandois, n' ayant pas réussi à cette entreprise s'acheminaient vers la ville de Sens, dans le dessein de la surprendre et de la piller. L'archevêque Archambaut et le comte Renaud, les voyant arriver vont à leur rencontre, les attaquent dans un lieu nommé Villers et remportent sur eux la victoire. Helpon l'un de leurs chefs, tué dans la mêlée, est reporté dans les Ardennes, sa patrie, et Brunon ramène en Saxe les débris de son armée. in L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes .., par Maur-François Dantine.

Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P de Palmas (FMG et L'Art de vérifier les dates)

379.948.672: La famille d'Albon, ou Guigonides (nom donné par certains généalogistes en raison de nombreux membres nommés Guigues ou Guy), est une famille noble originaire du comté de Vienne mentionnée dès l'époque carolingienne[réf. nécessaire]. La puissance de la famille commence avec Guigues Ier qui s'intitule comte et acquiert des fiefs dans le Grésivaudan et dans le Briançonnais. Il recevra vers 1030 la partie sud du comté de Vienne que l'archevêque de Vienne vient de scinder en deux ; l'autre partie, le nord-est, étant donné à Humbert aux Blanches Mains. Ce nouveau fief relevant de l'archevêque prendra le nom de comté d'Albon.

Son descendant Guigues IV recevra le surnom de « Dauphin » et donnera son nom à sa principauté, le Dauphiné de Viennois. Cette branche aînée s'éteindra avec Béatrice d'Albon, qui portera le Dauphiné à la maison de Bourgogne.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012 - família: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012

379.948.673: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012 - família: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012

379.948.673b: Son successeur au siège épiscopal de Grenoble, soit de 1025 à 1035, fut son neveu Mallen (ou Mallenus).

Source : Hervé Balestrieri ( Jules Marion : "Cartulaires de l'église Cathédrale de Grenoble, dits Cartulaires de Saint- Hugues", Cambridge University Press, 23 sept. 2010 ) 12.11.2013

-5695- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012

379.948.673c: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012

379.948.673d: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Albon) 31 vii 2012 - família: J-P.de Palmas (Le Royaume de Bourgogne autour de l'An Mil, Université de Savoie, 2008) 2 iv 2016

379.948.680: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016 - família: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016

379.948.681: Fonts: - família: J-M.Thiebaud (Base Familles Visse, de Normandie) 19 iii 2016

379.948.768: http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_comtes_de_Metz

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.948.776: Fonts: - naixement: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2 XII 06) - defunció: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2 XII 06)

379.948.777: Fonts: - naixement: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2 XII 06) - defunció: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2 XII 06)

379.948.780: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 - família: j, R.Dewkinandan> WW-2

379.948.781: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de - família: j, R.Dewkinandan> WW-2

379.948.781d: Fonts: R.Dewkinandan> WW-2

-5696- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.948.781e: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.948.781f: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.948.788: LOUIS, son of CHARLES III "le Simple" King of the Franks & his second wife Eadgifu of England ([10 Sep 920/10 Sep 921]-Reims 10 Sep 954, bur Reims, Abbaye de Saint-Rémi). Rodulfus Glaber names "Ludowicum filium…regis Caroli"[376]. After his father was deposed in 923, his mother fled with Louis to England where he was brought up at the court of Æthelstan King of Wessex. His return to France after the death of King Raoul in early 936 was negotiated by Hugues "le Grand" [Capet]. He was crowned 19 Jun 936 at Laon by the Archbishop of Reims as LOUIS IV "d’Outremer" King of the Franks. He asserted his autonomy from Hugues "le Grand", to whom he awarded the title dux francorum, by establishing himself with his mother at Laon in 937[377]. His reign was characterised by constant disputes with his nobles, in particular Hugues "le Grand", Héribert II Comte de Vermandois, Arnoul Count of Flanders and Guillaume "Longuespée" Comte [de Normandie]. Despite constant military activity, he only increased the territory directly held by the kings of France by the counties of Laon (captured in 938 from Héribert II Comte de Vermandois) and Reims. He also temporarily held Amiens and Ponthieu. Following a revolt in Lotharingia against Otto I "der Große" King of Germany, Louis was offered the crown of Lotharingia in 939 by Duke Giselbert. King Otto responded by raiding Frankish territory, allying himself with Hugues "le Grand", Héribert II Comte de Vermandois, Arnoul I Count of Flanders and Guillaume "Longuespée" Comte [de Normandie], and obliged King Louis to renounce Lotharingia. Héribert and Hugues besieged Reims, forcing the restoration of Héribert's son as archbishop, and besieged King Louis at Laon. After the murder of Guillaume "Longuespée" Comte [de Normandie], King Louis detained Richard his heir, but was held captive himself by the people of Rouen after Richard escaped. King Otto launched a revenge attack, but was defeated by the Normans. After Louis was released by Hugues "le Grand", he was transferred to the custody of Thibaut Comte de Blois who held him captive for a year in 945/46[378]. King Louis died after falling from his horse on his way from Reims to Laon[379].

m (end 939) as her second husband, GERBERGA of Germany, widow of GISELBERT Graf [im Maasgau] Duke of Lotharingia, daughter of HEINRICH I King of Germany & his second wife Mathilde von Ringelheim [Immedinger] (Nordhausen [913/14]-Reims 5 May 984, bur Abbaye de Reims). Liutprand states that the wife of "Gislebertum Lotharingorum ducem" was "regis sororem"[380]. Flodoard names her "Gerbergam" when recording her second marriage[381]. King Louis married her without the permission of her brother Otto I King of Germany, presumably to increase his hold on Lotharingia (which had been ruled by her first husband). She was active in the defence of Laon in 941 and of Reims in 946, accompanied her husband on expeditions to Aquitaine in 944 and Burgundy in 949, and was active during his period of imprisonment in 945/46[382]. An educated person, she commissioned from Adso of Moutier-en-Der the De ortu et tempore antichristi[383]. Her husband gave her the abbey of Notre-Dame de Laon in 951, taken from his mother on her second marriage. Abbess of Notre Dame de Soissons in 959[384]. "Gerberga…Francorum regina" donated "alodo…Marsnam in comitatu Masaugo" to Reims Saint-Rémy, confirmed by "comitibus Emmone et Ansfrido", for the souls of "senioris nostri piæ memoriæ Gisleberti suique…patris…et matris Rageneri et Albradæ", by charter dated 10 Feb 968, signed by "Arnulfi comitis…Emmonis comitis, Ansfridi comitis…"[385]. The necrology of Reims Saint- Rémi records the death "III Non Feb" of "Gerberga Francorum regina"[386].

-5697- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas King Louis IV & his wife had seven children. [376] Rodulfi Glabri, Historiarum I.7, p. 15. [377] McKitterick (1983), p. 315. [378] McKitterick (1983), p. 316. [379] Settipani (1993), pp. 328-9. [380] Liudprandi Antapodosis IV.20, MGH SS III, p. 321. [381] Flodoard 939, MGH SS III, p. 386. [382] McKitterick (1983), p. 318. [383] McKitterick (1983), p. 278. [384] Settipani (1993), p. 330. [385] Miraeus (Le Mire), A. (1723) Opera diplomatica et historica, 2nd edn. (Louvain), Tome I, XXXVII, p. 48. [386] 'Obits mémorables tirés de nécrologes luxembourgeois, rémois et messins', Revue Mabillon VI (1910-1911), p. 273. Mort à Reims le 10 septembre 954 des suites d'une chute de cheval, il fut inhumé dans la basilique Saint-Rémi. Son fils Lothaire lui succéda. Le roi ayant dit à sa cour :

"le comte d'Anjou s'est fait chanoine et chante comme un clerc". Foulques Le Bon lui répondit par manuscrit : "Monseigneur, sachez qu'un roi qui n'est pas lettré est un âne couronné". Le roi ne semblerait pas en avoir pris ombrage, lui répondant même qu'il avait raison, ayant sans doute plus à faire contre le puissant Hugues Le Grand, comte de Paris et duc de France D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010 Bibliographie

 Mémoire de Master I de Denis Piel, 2009, citant la thèse de doctorat Le règne de Louis IV d'Outremer, par Philippe Lauer, Bouillon, Paris, 1900  Le règne de Louis IV d'Outre-mer [Texte imprimé] / par Ph. Lauer, Paris, Librairie Émile Bouillon, 1900, ident. pérenne de la notice, Sudoc

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Louis IV d'Outremer à Rouen - bibliothèque de l'Arsenal ; biblio ; FMG) 2010 et 6 ii 2017 - defunció: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux) - enterrament: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux) - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 ii 2017

379.948.792: Graf Gozello im Bidgau Fonts: - persona: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), J-C de Vaugiraud (ES I-2 1999, T. 202) 05/10/2008, T.Blanchet (Detzler - version 2, C.Huber)) 6/4/2012 - defunció: G.KEPEKLIAN (25 iv 2006 http://www.ahneninfo.com/de/genealogien/tschudijakob.htm) - casament: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), T.Blanchet (Detzler - version 2, C.Huber)) 6/4/2012

379.948.793: Fonts: - persona: Aurejac, T.Blanchet (Detzler - version 2, C.Huber)) 6/4/2012 - naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/) -5698- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/) - casament: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), T.Blanchet (Detzler - version 2, C.Huber)) 6/4/2012

379.948.793a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.948.793c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.948.793d: Adalbéron de Reims, né vers 925 et décédé à Reims le 23 janvier 989, est le trente- neuvième archevêque de Reims de 969 à 989. Homme de lettres et de sciences, Adalbéron est nommé archevêque de Reims par le roi Lothaire pour y imposer une série de réformes religieuses dans cette province ecclésiastique. Il commence par appeler à la tête de son école épiscopale, Gerbert d'Aurillac, l'un des plus grands savants de son temps. Natif d'une famille lotharingienne, Adalbéron aspire au retour d'un vaste empire en Occident qui serait dirigé par les Ottoniens. Après les attaques répétées du roi Lothaire contre Otton II pour récupérer la Lotharingie, Adalbéron se détourne du roi des Francs et se rapproche de l'empereur germanique. Accusé de trahison par Lothaire puis par son fils Louis V, il est convoqué à Compiègne pour y être jugé (986-987). Sauvé par les morts successives des deux souverains, le prélat reçoit le soutien du duc des Francs Hugues Capet qu'il sacre roi probablement à Noyon en juillet 987. Pensant à tort qu'Hugues Capet deviendrait un serviteur de l'Empire, Adalbéron est ainsi le principal artisan de l'accession au trône de la famille capétienne. À sa mort en 989, dans un contexte de crise (prise de Laon par Charles de Lorraine), le siège rémois échoit à Arnoul, un fils illégitime de Lothaire, plutôt qu'à Gerbert d'Aurillac, le futur pape Sylvestre II. Lire la suite sur wikipedia Fonts: M.Rerolle (Wikipedia) 14/10/06

379.948.796: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009, F d'Avigneau (geneanet frebault), J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 02/05/2008 - defunció: J-C de Vaugiraud (Pub.section hist.de l'Inst.du G-D de Luxembourg XCV p 9 à 40) 02/05/2008 - enterrament: J-C de Vaugiraud (G.Poull: La maison souveraine et ducale de Bar) 02/05/2008 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009

379.948.797: Fonts: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009

379.948.798: Photo : "The statue in Magdeburg Cathedral that is often assumed to represent Otto I, the Holy Roman Emperor."

-5699- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009, Jean- Marie Thiébaud (genealogie-dupuis.org) 29 viii 2009 - naixement: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2 XII 06) - defunció: O.Guionneau (site http://fmg.ac/Projects/MedLands/GERMANY; 23 IX 09) - enterrament: O.Guionneau (site http://fmg.ac/Projects/MedLands/GERMANY; 23 IX 09) - família 2: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009 - família 3: R.Dewkinandan> WW-2

379.948.799: Un peu plus de 1.000 ans après son décès, la Reine Eadgyth a été retrouvée dans une cathédrale d'Allemagne. Ses ossements ont depuis été remis à des chercheurs dans sa région natale, le Wessex, afin de confirmer son identité.

Oldest remains of English Royalty confirmed Bones found in a tomb of a German cathedral have been confirmed as the oldest surviving remains of the English Royal family.

By Richard Alleyne, Science Correspondent Published : Telegraph, 17 Jun 2010

Archeologists dug up the 1,000 year-old skeleton in 2008 in one of the most exciting historical founds of recent years. They believed they belonged to Queen Eadgyth, the great granddaughter of Alfred the Great, but could not prove it. Now scientists using hi-tech radioactive analysis of the remains have been able to prove that the bones belong to someone who grew up in Wessex before moving to Germany. Professor Harald Meller of the State Office for Heritage Management and Archaeology, Saxony-Anhalt, Director of the project, said: “Medieval bones were moved frequently, and often mixed up, so it required some exceptional science to prove that they are indeed those of Eadgyth. “It is incredible that we have been able to do this using the most recent analytical techniques.” Queen Eadgyth, the old spelling of Edith, died aged 36 in 946AD. It was thought that her actual remains were lost when they were last moved in 1510 and that a monument built in Magdeburg Cathedral in eastern Germany, was a cenotaph in her honour. But when the tomb was investigated as part of a wider research project, a lead coffin was found inside bearing her name and inside that the nearly complete skeleton of a woman aged between 30 and 40. Now the University of Bristol has carried out tests on the bones to prove beyond doubt they are those of England's oldest regal ancestor.

-5700- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

The crucial scientific evidence came from the teeth preserved in the upper jaw. The team matched radioactive isotopes embedded in the bones to those found in her birthplace in England. Eadgyth was the granddaughter of Alfred the Great and the half sister of Athelstan, the first acknowledged King of England. She was sent to marry Otto, the king of Saxony in AD 929, and bore him at least two children, before her death at around the age of 36. < She lived most of her married life at Magdeburg, Otto gave her as dowry, and was buried in the monastery of St Maurice. Her bones were moved on at least three occasions, before being interred in an elaborated tomb in Magdeburg Cathedral in 1510. Dr Alistair Pike, Senior Lecturer in the Department of Archaeology and Anthropology at Bristol University, explained: “Strontium isotopes on tiny samples of tooth enamel have been measured. "By micro sampling, using a laser, we can reconstruct the sequence of a person’s whereabouts, month by month up to the age of 14.” Mark Horton, Professor in Archaeology at Bristol University, added: “Eadgyth seems to have spent the first eight years of her life in southern England, but changed her domicile frequently, matching quite variable strontium ratios in her teeth. "Only from the age of nine, the isotope values remain constant. “Eadgyth must have moved around the kingdom following her father, king Edward the Elder during his reign. "When her mother was divorced in 919 – Eadgyth was between nine and ten at that point – both were banished to a monastery, maybe Winchester or Wilton in Salisbury."

Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009 ; Photo : L.Guion (maxisciences.com) 22 i 2010 - enterrament: L.Guion (maxisciences.com) 25 i 2010 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009

379.948.799-1a: -5701- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Illustration : Mayence, vue du sud-est, en 1631. À gauche, l'abbaye St. Alban avec chœur et campanile. Dessin de Wenceslas Hollar.

Source : Hervé Balestrieri ( Stadtarchiv Mainz, Juillet 2007, sur Wikimedia Commons par Martin Bahmann, domaine public ) 11.07.2014

Guillaume (929 – 2 mars 968), fils d'Otton Ier du Saint-Empire et d'une fille de Vaclav de Stodor (prince de Havolane, fut archevêque de Mayence du 17 décembre 954 à sa mort. Il est nommé après la mort de l'archevêque Frédéric, opposant à Otton. Guillaume reçoit la confirmation du pape Agapet II et le titre de vicaire apostolique du royaume de Germanie, dépendant directement du Saint-Siège. Il reçoit également de son père le titre d'archi-chapelain de l'Empire. C'est pendant son mandat que le Pontificale Romano-Germanicum fut compilé. Mort à Rottleberode en 968, il fut enterré à l'Abbaye Saint-Alban devant Mayence.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) viii2009

379.948.799-3a: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.948.799-3b: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.948.799-3d: 966-99 Princess-Abbess Mathilde I von Sachsen of Quedlingburg997-99 Regent of the Holy Roman Empire Daughter of Emperor Otto I, she was appointed the first Princess-Abbess - Reichsäbtissin - of Quedlinburg. She also acted as "domina imperialis", and followed her brother Otto II on journey to Italy and acted regent for her nephew, Otto III and as his representative in Sachsen with the additional titles of Metropolitana of Quedlinburg and Matrixcia of Sachen. She lived (955-999) Fonts:- persona: ppmr

379.948.800: Je relève dans le travail de C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?", que les Chapteuil: 1° Ne portaient pas encore de patronyme au IX° siècle. 2° Seraient (peut-être) un rameau des Clérieu. 3° Que le premier connu serait un Manfred (ce qui collerait avec Mainfroy). 4° Que "Les seuls travaux les concernant relèvent de la plus pure fantaisie, avec des généalogies sans fondement et aucune rigueur scientifique" (ce qui retrancherait les 24 premiers degrés donnés) !

Voici les extraits suivants qui nous intéressent: (chapitre 2a, page 9) En Velay, une dernière grande famille semble se partager le sol avec les Beaumont, les Armand, les Mercoeur et les Chanteuges, mais elle nous est très mal connue. Ce sont les Chapteuil, originaires comme les Mercoeur, de la vallée du Rhône et du Vivarais-Valentinois, apparentés (sans doute) aux Clérieu de Vienne et ayant en héritage ces terres montagnardes, probablement en tant que cadets de famille. Leur castrum sera à Chapteuil, près du Mont Meygal, au coeur du Velay, et comme pour les Mercoeur ils se déplacera ensuite à l’Est, à Faÿ (au Nord du Mézenc) donnant naissance au prestigieux lignage des Faÿ-Chapteuil. Les rares mentions qui nous font connaître les Chapteuil sont dues au cartulaire de Saint- -5702- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Chaffre, abbaye dont ils seront tour à tour protecteurs et « prédateurs » à la manière des vicomtes Dalmas à Brioude. Les manses qu’ils cèdent se situent tout près du monastère ou plus au Nord vers le castrum de Chapteuil et surtout dans la chaîne vivaroise, près du Mézenc dont ils seront les maîtres. Nous n’en savons pas plus et c’est hélas peu par rapport aux grandes familles d’Auvergne.

(chapitre 2a, page 25) La famille des Chapteuil, du nom de leur castrum féodal est très mal connue avant de devenir « de Faÿ ». Les seuls travaux les concernant vraiment relèvent de la plus pure fantaisie, avec des généalogies sans fondement et aucune rigueur scientifique, même si certaines hypothèses avancées sont intéressantes. Tout ce qu’on peut dire de raisonnable, c’est que cette famille est sans doute issue de la prestigieuse lignée valentinoise des Clérieu qui apparaissent au détour de nombreuses chartes de l’abbaye Saint-André-le-Bas de Vienne. Les Chapteuil en seraient la branche vellave, colonisatrice comme les Mercoeur, des plateaux de l’Auvergne du Sud-Est. Les seuls degrés généalogiques qu’on puisse aligner nous sont donnés par les chartes-notices de l’abbaye voisine de Saint- Chaffre avec laquelle les Chapteuil eurent affaire.

(chapitre 2a, page 29) CHAPTEUIL

Manfred Xe s. | Rédempt advocatus et defensor de Saint-Chaffre, fin Xe s. Ép. Astrude ou Légarde ou Hélène |______? ______(a) Silvion ;(b) Redempt ;(c) Bermond ;(d)Adon ; nobilis vir, infensissimus vir, dominus castri in vicaria Capitoliensi. cités fin XIe s. 998/1014 ─ 1016/1036. Ép. Tantafille, 1034 remariée ? à Guillaume (de Bouzols ?) 1036-1042 |______(a)Pons ; (b)Bertrand ; (c)Rédempt ; (d)Arcald ; (e)Raymond

(chapitre 2b, page 26) Redemptus, Rédempt, « Racheté », est aussi un nom des futurs Chapteuil, nom assez rare et sur lequel nous ne pourrons beaucoup nous attarder, marquant simplement son originalité et son côté méridional très net.

(chapitre 2b, page 25) Silvius, Salvius, Silvion, est porté exclusivement par les futurs seigneurs de Chapteuil installés en Haut-Velay et en Vivarais-Valentinois, et apparentés aux Clérieu. Cela explique que le passé anthroponymique de ce nom nous entraîne dans la vallée du Rhône, justement à Valence. Il y aura donc peu de choses à dire, la démonstration se faisant une fois de plus d’elle-même, des raisons du choix. Retenons pour notre propos saint Silvius, évêque de Toulouse, honoré en Aquitaine (saint Salvius, évêque d’Albi, saint Savy en Dordogne, saint Sauves d’Auvergne), mais surtout les deux évêques Salvius et Silvius, à Valence fin VIIe siècle et début IXe, qui sont sans aucun doute les deux personnages célèbres auxquels se réfèrent les Clérieu valentinois et les Chapteuil leurs cadets.

J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008 Voir 1° partie: http://www.droit.u- clermont1.fr/pages_statiques/Recherche/CentreRecherche/ -5703- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas LeCentredEtudesRomanistiquesDAuvergne/GERHMA/these2a.pdf Voir 2° partie: http://www.droit.u- clermont1.fr/pages_statiques/Recherche/CentreRecherche/ eCentredEtudesRomanistiquesDAuvergne/GERHMA/these2b.pdf

Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, J-C de Vaugiraud (C.Lauranson- Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008 - família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05

379.948.801: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Lauranson-Rosaz "L’Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudant) du VIIIe au XIe siècle. la fin du monde antique ?") 13/05/2008 - família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05

379.948.816: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 296 et 310) 07/09/2008, C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006, C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 3i2015 - naixement: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 310) 08/09/2008 - defunció: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 310) 08/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 311) 07/09/2008

379.948.817: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 311) 07/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 311) 07/09/2008

379.948.928: Clérieu (actuellement Clérieux) en Isère.

Parait en 931.

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008, J-P de Palmas (Essai historique sur la baronnie de Clérieu par Anatole de Gallier) i2010 - família: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008

379.948.929: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008 - família: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008

379.966.082: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006 - família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006 -5704- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.966.083: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006 - família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006

379.966.528: Fonts: - persona: C.de Moncade

379.966.529: Fonts: - persona: J-L. Dega, C.de Moncade - defunció: C.Saint-Félix (NLTaylor "Will et Society") 2i2015 - família 1: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.529-1b: une fille

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - família: Hervé Balestrieri ( d'après C.Saint-Félix, citant Hélène Debax : citation d'Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" ) 31.12.2014

379.966.529-1c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.529-1d: "princeps" Olerdola

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - defunció: C.Saint-Félix (NLTaylor "Will et Society") 2i2015 - família 1, família 2: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.560: Fonts: - persona: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.2006, J-L. Dega,JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur "Les nobles aieux ;;" -vicomtes de Gabarret p 330 Tossa del Mar 2004 ) 31 x 2009 - família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.2006, J-L. Dega

379.966.561: Fonts: - família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.2006, J-L. Dega

379.966.561b:

-5705- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.2006

379.966.720: Seigneur Bonç = Bonuci de Claramunt = Bonucius, Prince Royal d’Israël- Catalogne-Egara 974-1017 = Bonuci II, Comte d’Egara 985-1017, Baron de Claramunt 985-1017.

Fonts: - persona: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721: Mariage 1ere: avec la Dame Sisenande Beuves = Sisenanda Vives = Sisenanda Vivas = Sigsenand, de famille du Seigneur Beuves = Vives = Vivas -995, Eveque de Barcelona 974-995. (CM d'Amat - Aurelio Isamat)

Fonts: - persona: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721f: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721g: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

-5706- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família: CM d'Amat (Aurelio Isamat) 15-9-7, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.721h: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.728: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729f: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729g: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014 - família 1, família 2: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

-5707- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.966.729h: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729i: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.729j: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.730: GERIBERT (-after 26 Jun 1019). "Geribertus vicecomes, filium Guitardi vicescomiti condam" donated property to the see of Barcelona by charter dated 2 Mar 986[480]. Vescomte de Barcelona. "Gueriberto filius Guitardi vicecomitis" sold property to Sant Cugat del Vallés by charter dated 18 Feb 992[481]. This is the only document so far identified which accords the title "vescomte" to Geribert. The implication is that it was withdrawn from him shortly afterwards, presumably in a dispute with his brother Udalard about their inheritance. The testament of "Borellus comes" dated 24 Sep 993 appoints "filio meo Raimundo comite…et Udalardo vicecomite cum fratre suo Girbert et Bonifilio cum fratre suo Bonucio" to "comitatu Barchinonense"[482]. "Geiriberto filio condam Witardo et uxori mea Ermengards" exchanged property with "Geiriberto filio condam Gotmar et uxori tua Aigo" by charter dated 26 Jun 997[483]. "Geriberto filio condam Guitardo et uxori mea Ermengarda" exchanged property with "Geriberto filio condam Gotmar et uxor tua Aigo" by charter dated 26 Jun 1019[484].

m ERMENGARDE de Barcelona, daughter of BORRELL [II] Comte de Barcelona & his first wife Ledgarda [de Toulouse] (-after 17 Oct 1029). "Geiriberto filio condam Witardo et uxori mea Ermengards" exchanged property with "Geiriberto filio condam Gotmar et uxori tua Aigo" by charter dated 26 Jun 997[485]. The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. A charter dated 19 Dec 1015 relating to a sale of property names "Ermengardis filia condam Borrelli comitis" and "Geriberto" but does not expressly make the connection between the two[486]. "Geriberto filio condam Guitardo et uxori mea Ermengarda" exchanged property with "Geriberto filio condam Gotmar et uxor tua Aigo" by charter dated 26 Jun 1019[487]. The testament of "Ermeniardis", dated 17 Oct 1029, appoints "…soror mea Richel…" as one of her helemosinarii, bequeathes "Subiratis…castel" to "Mir filio meo" on condition he donates it to "sua nepota filia de Reimundo", donates property "pro anima de viro meo domnus Geribertus", bequeathes property to "Guillelm filio de Mir…Fulcus filio…nepta mea filia de Reimundo…Seniol per dominicatione de filia mea Guilla…Adalet filia de Mir"[488]. Geribert & his wife had [four] children.

[480] Ruiz-Domènec (2006), 4, p. 219.

[481] Sant Cugat del Vallés Vol. I, 278, p. 234.

[482] Els Testaments, 5, p. 76.

-5708- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [483] Ruiz-Domènec (2006), 10, p. 225.

[484] Ruiz-Domènec (2006), 28, p. 251.

[485] Ruiz-Domènec (2006), 10, p. 225.

[486] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 151, citing Archivo de la Sta Iglesia de Barcelona, lib. 4 de sus antigüedades, folio 159 n. 374.

[487] Ruiz-Domènec (2006), 35, p. 258.

[488] Ruiz-Domènec (2006), 30, p. 253.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014, J-L. Dega - família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 13x2014

379.966.732: vicecomes en 978-1004, vicecomes Bisuldunense avant 1018

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014 - família: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014

379.966.733: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014 - família: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014

379.966.733a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014 - família: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014

379.966.733b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014

379.966.733c: "ex castro Caprerensi"

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (André Constant in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 15x2014

-5709- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.966.734: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 14x2014 - família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 14x2014

379.966.735: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 14x2014 - família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 14x2014

379.966.735a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 14x2014

379.966.880: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

379.966.881: Fonts: - família: J-L. Dega

379.966.892: HUG [I] de Empúries, son of GAUSFRED Comte de Empúries, Comte de Roussillon & his first wife Ava Guisla --- (-after 12 Jul 1036). He succeeded his father as Comte de Empúries i Perelada. “Guislabertuscomes etUgonecomes” donated property “in comitatu Petraletense infra termines de villa Castilione in adjenctia sancti Iohannis” to by charter dated 3 Nov 1008[1397]. "Domno Ugonem comitem urbe Impurias…" is named as present in a charter dated 16 Jun 1025 which records a judgment in the court of "domna Ermesindis…comitissa filioque suo domno Berengario…comes et marchio"[1398]. “Ugocomes et uxor mea Guisla comitissa et Pontius filius meus et Gauzfredus comes et Sonierius frater eius” sold property to Sant Pere de Rodes by charter dated 16 Jan 1030[1399]. "Uggo comes et uxor mea…Guila et filii mei…Poncius et Raimundus" confirmed donations to the abbey of la Grasse by "Gaufrido comite patre suo et de matre sua…Ava comitissa" by charter dated 12 Jul 1036[1400].

m GUISLA, daughter of --- (-after 31 Jul 1061). “Ugocomes et uxor mea Guisla comitissa et Pontius filius meus et Gauzfredus comes et Sonierius frater eius” sold property to Sant Pere de Rodes by charter dated 16 Jan 1030[1401]. "Uggo comes et uxor mea…Guila et filii mei…Poncius et Raimundus" confirmed donations to the abbey of la Grasse by "Gaufrido comite patre suo et de matre sua…Ava comitissa" by charter dated 12 Jul 1036[1402]. “Guisla comitissa uxor quæ fui Ugonis comitis” donated property to the church of Girona, for the soul of “viri mei Ugonis”, by charter dated 31 Jul 1060[1403]. “Guisla comitissa uxor que fui Ugonis comitiset Raimundus Ugonis clericus filius huius predicte Guisle” donated “alodiumin valle deRodis” to Santa Maria de Roses by charter dated 31 Jul 1061[1404].

Hug [I] & his wife had two children.

-5710- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1397] Marca Hispanica (1688), Appendix, CLVIII, col. 968.

[1398] Sant Cugat del Vallés Vol. II, 496, p. 146.

[1399] Marca Hispanica (1688), Appendix, CCII, col. 1042.

[1400] Grasse 96, p. 146.

[1401] Marca Hispanica (1688), Appendix, CCII, col. 1042.

[1402] Grasse 96, p. 146.

[1403] Marca Hispanica (1688), Appendix, CCLII, col. 1118.

[1404] Marquès i Planagunà, J. M. (ed.) (1986) El cartoral de Santa Maria de Roses (segles X-XIII) (Barcelona) (“Santa Maria de Roses”), 2, p. 29.

Fonts: - persona: J-L. Dega, , J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014 - família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014

379.966.893: GUISLA, daughter of --- (-after 31 Jul 1061). “Ugocomes et uxor mea Guisla comitissa et Pontius filius meus et Gauzfredus comes et Sonierius frater eius” sold property to Sant Pere de Rodes by charter dated 16 Jan 1030[1401]. "Uggo comes et uxor mea…Guila et filii mei…Poncius et Raimundus" confirmed donations to the abbey of la Grasse by "Gaufrido comite patre suo et de matre sua…Ava comitissa" by charter dated 12 Jul 1036[1402]. “Guisla comitissa uxor quæ fui Ugonis comitis” donated property to the church of Girona, for the soul of “viri mei Ugonis”, by charter dated 31 Jul 1060[1403]. “Guisla comitissa uxor que fui Ugonis comitiset Raimundus Ugonis clericus filius huius predicte Guisle” donated “alodiumin valle deRodis” to Santa Maria de Roses by charter dated 31 Jul 1061[1404].

Hug [I] & his wife had two children.

[1402] Grasse 96, p. 146.

[1403] Marca Hispanica (1688), Appendix, CCLII, col. 1118.

[1404] Marquès i Planagunà, J. M. (ed.) (1986) El cartoral de Santa Maria de Roses (segles X-XIII) (Barcelona) (“Santa Maria de Roses”), 2, p. 29.

Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014 - família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014

379.966.893b: RAMON (-after 1069). "Uggo comes et uxor mea…Guila et filii mei…Poncius et Raimundus" confirmed donations to the abbey of la Grasse by "Gaufrido comite patre suo et de matre sua…Ava comitissa" by charter dated 12 Jul 1036[1417]. “Guisla comitissa uxor que fui Ugonis comitiset Raimundus Ugonis clericus filius huius predicte Guisle” donated “alodiumin valle deRodis” to Santa Maria de Roses -5711- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas by charter dated 31 Jul 1061[1418]. Bishop of Elna. An inscription at Elna records the dedication of the altar in 1069 by "episcopus istius ecclesie Raimundus et Gaucefredus comes simulque Azalaiz comitissa"[1419].

[1417] Grasse 96, p. 146.

[1418] Santa Maria de Roses, 2, p. 29.

[1419] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Inscriptions, 16, p. 6.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 viii 2014

379.967.121: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.967.121-3c: Gonzalo of Sobrarbe and Ribagorza

Gonzalo Sánchez (c. 1020 - 26 June 1043) was made Count of Sobrarbe and Ribagorza, two small Pyrenean counties, before 1035 by his father, Sancho III of Navarre. He succeeded to these domains after his father's death in that year and ruled them as vassal of his brother García Sánchez III until his death.[1] Gonzalo is thought to have been ineffectual and unpopular, with vassals defecting to his brother Ramiro during his own life, and one failing to name him in a list of rulers of Ribagorza written within a decade of his death.

The Historia silense (c. 1115) does not mention Gonzalo in its version of the division of Sancho III's realm. It even records that Ramiro was given the "remote" region of Aragon on account of his illegitimacy, despite that Gonzalo's division was more remote and his legitimacy unquestioned. The anonymous Chronica naierensis (c. 1200), basing its account entirely on the Silense, likewise knows nothing of Gonzalo and blames Ramiro's position on his bastardy.[2] An independent source, though influenced by popular legends and ballads, the Liber regum (c. 1200) shows no awareness of Gonzalo.[3]

According to a document of 14 April 1035 preserved in San Juan de la Peña recording Sancho's grant of Aragon to Ramiro, the castle of Loarre and monastery of San Emeterio with their dependent villages were detached from that province and given to Gonzalo.[4] Gonzalo subsequently confirms many charters alongside his brother and they often appear together in dating clauses.[5] With the title of king, Gonzalo appears beside all his brothers and the "emperor" Vermudo III of León in the carta de arras of Ramiro (22 August 1036). In 1037 Gonzalo was reunited with his brothers García and Ramiro-and the churchmen Sancho, Bishop of Pamplona; Paterno, a Cluniac reformer; and Abbot Blasco of San Juan de la Peña-to confirm a donation of Jimeno Garcés, Ramiro's godfather, to the monastery of Leire. In this document García uses the title princeps (prince) to indicate his superiority, but Ramiro and Gonzalo use the title regulus (petty king) are referred to as in Aragone.[6] The three brothers and Ferdinand were all at Anzánigo (Andizaniku) in 1037 or perhaps 1043, after Ferdinand had succeeded to the Kingdom of León.

A late source, the Chronicle of San Juan de la Peña, reports his assassination by

-5712- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas one of his own knights, Ramonat de Uasconya (a Gascon named Ramonet?), who threw him from the bridge over the Esera at Montclús, near Lascorz.[7] He was interred at San Victorián.[8] On his death, García awarded his counties to Ramiro, which initiated several centuries of Aragonese expansionism.

Gonzalo's death on 26 June appears in the necrology of San Victorián, but the year has been subject to much debate. Among the early modern historians, Zurita places it in 1035 and José de Moret in 1042 or 1043. The Chronicle places it in 1037, but there is disputed charter of September 1039 confirmed by Gonzalo.[9] As Ramiro confirmed the rights of Bishops of Urgell in Ribagorza in September 1040, it would appear that Gonzalo was dead by then. Pérez de Urbel thus places it between December 1039 and September 1040 and casts doubt on the dates of several documents mentioning Gonzalo after 1040 (a donation of Blasquita from 1041, a charter of Ramiro's from 1042, and a donation of Ramiro to Atón Garcés in 1043). Accepting these, Ubieto Arteta places Gonzalo's assassination in 1046. Nelson gives reason to believe that it was 1043.[10]

References

[edit] Sources Nelson, Lynn H. "The Aragonese Acquisition of Sobrarbe and Ribagorza." Estudios en Homenaje a Don Claudio Sánchez Albornoz en sus 90 Años, 2 (1982):227-36. Pérez de Urbel, Justo. "La división del reino por Sancho el Mayor." Hispania, 14, 54 (1954):3-26. Ubieto Arteta, Antonio. "Gonzalo, rey de Sobrarbe y Ribagorza." Pirineos, 8 (1952): 299-325. Zurita, Gerónimo. Anales de la Corona de Aragón I. Edited by Antonio Ubieto Arteta and María Desamparados Pérez Soler. Valencia: 1967.

Notes

1.^ In contemporary documents, sometimes both counties are named-domino Gondesalbo in Suprabi et in Ripacorza-other times one is singled out and the other ignored. 2.^ Pérez de Urbel, pp. 4-5. 3.^ Pérez de Urbel, pp. 6-7. 4.^ Pérez de Urbel, pp. 14-16. 5.^ On 25 May 1036 he confirms the donation of a lady Blasquita of the village of Ballarán to San Juan de la Peña with the dating clause regnante rex domino Ranimiri in Aragone et frater ejus Gondesalbus in Superarbi ("the lord king Ramiro reigning in Aragon and his brother Gonzalo in Sobrarbe"), cited in Pérez de Urbel, p. 18. 6.^ This meeting probably took place either in Pamplona or in Leire, but neither the day or month of the occurrence has come down to us. The presence of this title in the presence of García is evidence that it was not usurped. Cf. Pérez de Urbel, p. 19-20. 7.^ Pérez de Urbel, p. 21. 8.^ Nelson, pp. 228-29. 9.^ Pérez de Urbel, p. 22. This is a concession of Aznar Atón, lord of Tena, to Abbot Aldhelmo of Alaon, witnessed by Ramiro, his queen, and Raymond III of Pallars Jussà. Its authenticity was denied by Ubieto Arteta. 10.^ Nelson, pp. 230-31.

http://en.wikipedia.org/wiki/Gonzalo_of_Sobrarbe_and_Ribagorza

379.967.121-3d: Fonts: - persona: J-L. Dega

379.967.121-3e: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

-5713- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.967.121-4a: Fonts: - família: LFlichy 16xii2005 (site chistera)

379.967.152: Kazimierz I the Restorer (Polish: Kazimierz I Odnowiciel; 26 July 1016 - 28 November 1058), was a Duke of Poland of the and the de facto monarch of the entire country. He is known as the Restorer mostly because he managed to reunite all parts of Poland after a period of turmoil and permanently attached Masovia, Silesia and Pomerania. Son of Mieszko II Lambert and Richensa of Lotharingia, Casimir failed to crown himself the King of Poland, mainly because of internal and external threats to his rule.

Relatively little is known of Casimir's early life. Born to Mieszko II of Poland and Richensa of Lotharingia, he must have spent his childhood at the royal court of Poland in Gniezno. Mieszko II was crowned the king of Poland in 1025 after his father's death. The many landlords, however, feared the single rule of the monarch. This situation led to conflicts in the country, in which Mieszko's brothers turned against him and the Emperor Conrad II's forces attacked the country, seizing Lusatia. Years of chaos and conflict followed, during which Mieszko died (1034) in suspicious circumstances after his forced abdication and a brief restoration.

After the death of her husband, Richensa probably tried to seize the power in the country and secure the crown for her son. However, she failed and Casimir had to flee to the Kingdom of Hungary while the central parts of Poland were controlled by Bezprym. The region of Greater Poland revolted against the nobles and clergy and a mass Pagan revival ensued there. Also the land of Masovia seceded and a local landlord named Miecław formed a state of his own there. Similar situation happened in Pomerania, where the power was held by a local dynasty loosely related to the Piasts. Duke Bretislaus I of Bohemia, observing the period of turmoil in Poland, took advantage of his neighbour's weakness and invaded the country. After a short struggle he conquered Silesia and Lesser Poland and severely pillaged Greater Poland, burning Gniezno to the ground and looting the relics of Saint Adalbert.

The following year the new Holy Roman Emperor, Henry III, allied himself with the exiled Polish ruler against the Bohemians. Casimir was given a troop of 1,000 heavy footmen and a significant amount of gold to restore his power in the country. Casimir also signed an alliance with Yaroslav I the Wise, the Prince of Kievan Rus'. The alliance was sealed by Casimir's marriage with Yaroslav's sister, Maria Dobronega. With such support Casimir returned to Poland and managed to retake most of his domain. In 1041 defeated Bretislaus signed a treaty at Regensburg in which he renounced his claims to all Polish lands except for Silesia, which was to be incorporated into the Crown of Bohemia. It was Casimir's success in strengthening royal power and ending internal strife that earned him the epithet of "the Restorer".

The treaty gained Casimir a period of peace at the southern border and the capital of Poland was moved to Kraków, the only major Polish city relatively untouched by the wars. It is probable that the Holy Roman Emperor was happy with the balance of power restored in the region and forced Casimir not to crown himself the king of Poland. In 1046 Emperor Henry held royal and imperial courts at Merseburg and Meißen, at which he ended the strife among the Dux Bomeraniorum (Duke of Pomerania), Duke Bretislaus of Bohemia, and Poland's Casimir I. In 1047 Casimir, aided by his Kievan ally, started a war against Masovia and seized the land. It is probable that he also defeated Miecław's allies from Pomerania and attached

-5714- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Gdańsk to Poland. This secured his power in central Poland. Three years later, against the will of the emperor, Casimir seized Czech-controlled Silesia, thus securing most of his father's domain. In 1054 in Quedlinburg the Emperor ruled that Silesia was to remain in Poland in exchange for a yearly tribute of 117 kilograms of silver and 7 kg of gold.

At that time Casimir focused on internal matters. Conflicted with the Emperor in the Silesian case, he supported the Papacy in the Investiture Controversy and gained the support of the church. To strengthen his rule he re-created the bishopric in Kraków and Wrocław and erected the new Wawel Cathedral. During Casimir's rule heraldry was introduced in Poland and, unlike his predecessors, he promoted landed gentry over the drużyna as his base of power. One of his reforms was the introduction, to Poland, of a key element of feudalism: the granting of fiefdoms to his retinue of warriors, thus gradually transforming them into medieval knights.

http://en.wikipedia.org/wiki/Casimir_I_of_Poland

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

379.967.153: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - naixement: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

379.967.153a: Fonts: - persona: L. Gustavsson/ WW-Person, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : 1041/44 lub 1046/1048) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : zimą / en hiver) 18 iv 2010

379.967.153b: wygnany po 11 iv 1079 exilé après le 11 iv 1079

Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

379.967.153d: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

-5715- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

379.967.153e: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

379.967.154: Vratislaus II or Wratislaus II (Czech: Vratislav II) (died 14 January 1092), the son of Bretislaus I and Judith, daughter of Henry of Schweinfurt, was the first King of Bohemia from 15 June 1085. The royal title was a grant, however, from the Holy Roman Emperor and was not hereditary. Before being raised to kingship, he had ruled Bohemia as duke since 1061. He was one of the greatest of medieval Czech rulers.

On his father's death in 1055, Vratislaus became duke of Olomouc. He argued with his brother Spytihnev II and was exiled to Hungary. Vratislaus regained his Moravian ducal throne with Hungarian assistance and eventually reconciled with his brtoher and succeed him in the dukeship of all the lands of the Bohemian Crown.

Vratislaus was, from the beginning, a vassal and ally of the Emperor Henry IV. He supported Henry in both the Investiture Controversy and the rebellions in Saxony which dominated his long reign. Pope Gregory VII, having already gained the support of Boleslaus II of Poland, was keen on roping in the duke of Bohemia to surround the emperor with adversaries fighting for the church. The pope confirmed Vratislaus in the privilege of wearing the mitre and tunic which his predecessors had had. The pope also expressed gratitude for the regular payment of tribute to the Holy See. Vratislaus was often at odds with his brother Jaromir, the bishop of Prague, and he wore his religious vestments around the bishop to irritate him. Jaromir, for his part, ignored the creation of a new Moravian dicoese by Vratislaus in 1063. Jaromir even went so far as to take by arms the relics removed from Prague to Moravia. Despite the pope's support for Vratislaus' new see, the Bohemian duke was unswayed in his allegiance to the Empire.

The Saxons revolted under their Duke Magnus and Otto of Nordheim, Duke of Bavaria, in 1070 and Boleslaus of Poland attacked Bohemia in 1071. In August 1073, Henry responded with an invasion of Poland, but a new Saxon revolt drew him back in 1075. Vratislaus joined him and they defeated the rebels on June 9 at the First Battle of Langensalza. The Bohemian troops showed conspicuous bravery. Henry then took Jaromir to Germany to be his chancellor by the name of Gebhard and Vratislaus was greatly relieved.

Vratislaus also took part in the wars against the anti-kings who opposed Henry's rule and were elected by a part of the nobility to replace him. At the Battle of Flarchheim, only through the aid of Vratislaus' contingent was the imperial army capable of overcoming the rebels of the papally-approved claimant Rudolf of Rheinfelden, Duke of Swabia. Vratislaus even succeeded in seizing Rudolf's gold sword. The gold sword was carried in front of Vratislaus on state occasions. Vratislaus raised an army to serve in Henry's Italian campaign of 1081. In 1083, Vratislaus and his Czechs were with Henry when they enterred the Eternal City itself. Despite his serving an excommunicate emperor, Vratislaus maintained good relations with the papacy. Nonetheless, Gregory refused to grant Vratislaus permission to use the Slavonic liturgy. Never, however, did Vratislaus link his fate

-5716- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas with that of Henry's antipope, Clement III.

Vratislaus covetted the largely Slavic marches of Meissen and Lusatia, but, in spite of Henry's promises and Bohemian successes against the rebellious margraves, he never received them. Vratislaus always obediently returned any territory conquered from Poland or the margraviates to the emperor. Between 1075 and 1086, he held some land in Lower Lusatia in hopes that eventually Henry would confirm it in his possession permanently, but in 1088, with the insurrection of the anti-king Egbert II of Meissen, Henry granted the region to Henry of Ostmark. Vratislaus was thereafter cool to Henry's military adventures. He never adjusted his loyalty, but he abstained from giving the emperor martial aid.

http://en.wikipedia.org/wiki/Vratislaus_II_of_Bohemia

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : zimą / en hiver) 18 iv 2010

379.967.155: Fonts: - defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13

379.967.155b: Fonts: - defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13

379.967.155-2c: Fonts: - persona: E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source généralement "Rübel Blass") 8 xii 2012 - defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13 - família: E.Polti (Relatives of Raphael Ackermann Switzerland/RootsWeb ; source généralement "Rübel Blass") 8 xii 2012

379.967.155-2d: Vladislav I (1065–1125), duke of Bohemia from 1109 to 1117 and from 1120–April 12, 1125.

Vladislav I was a son of Duke, later King, Vratislav II of Bohemia by his second wife Swatawa, a daughter of Kazimierz I of Poland. Together with his cousin Svatopluk, Vladislav expelled his brother Bořivoj II from Bohemia in 1107. In 1109 Svatopluk died, and Vladislav I succeeded as duke of Bohemia. Bořivoj II returned from exile with the support of Prince Bolesław III Wrymouth of Poland, but was defeated and imprisoned by Vladislav in 1110, who exiled him into the custody of his ally, Emperor Henry V.

In spite of his victory, Vladislav I remained under Polish pressure, and was forced to recognize a younger brother, Soběslav, as subordinate ruler of Moravia in Znojmo (Znaim) from 1111. In 1117 Vladislav I formally abdicated in favor of Bořivoj II but retained much of the actual power. In 1120 Bořivoj was deposed again and endowed with Znojmo, while Vladislav resumed the throne, which he held until his death in 1125.

-5717- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Vladislav I ruled in a difficult time with considerable success. Although he continued to acknowledge the suzerainty of the Holy Roman Empire, he weathered the interventions of Poland into Bohemian affairs, conflicts with his kinsmen in Moravia, and undertook offensive campaigns against both Poland and Austria. In 1110–1111 Vladislav accompanied Emperor Henry V on his Italian expedition, and he encouraged continued German settlement into Bohemia's border regions.

By his wife Richza, daughter of Count Henry I of Berg, Vladislav I had several children, including:

Vladislav II of Bohemia

Jindřich (Henry), who was the father of Vladislav Jindřich of Bohemia

http://en.wikipedia.org/wiki/Vladislaus_I_of_Bohemia

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13

379.967.155-2e: Fonts: - defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13

379.967.156: Auteur de la Maison de Tourov

Iziaslav Yaroslavich (1024-1078), Kniaz' (Prince) of Turaw, Velikii Kniaz (the Grand Prince) of Kiev (since 1054), the oldest son of Yaroslav I the Wise. Iziaslav was one of the authors of "Pravda Yaroslavichey" - a part of the first Russian legal code called Russkaya Pravda.

In 1043 his father Velikii Kniaz (Grand Prince) Yaroslav made an agreement with King Casimir I of Poland that recognized Cherven as part of Kiev. The agreement was sealed with a double marriage—Casimir to Dobronega, Yaroslav's sister; and Iziaslav to Gertrude, Casimir's sister. From this marriage was born Iziaslav's son Yaropolk. His other son, Sviatopolk, was illegitimate.

As a result of the popular uprising in 1068, Iziaslav was deposed and fled to Poland. In 1069 he retook Kiev with the help the Polish army, however, he was ousted again by his brothers in 1073. Iziaslav turned to German emperor, Polish king and the Pope for help on several occasions. In 1077 he succeeded in retaking Kiev once again, but soon died in an internecine war against princes Oleg Svyatoslavich and Boris Vyacheslavich.

http://en.wikipedia.org/wiki/Iziaslav_of_Kiev

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek) - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) -5718- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.967.157-2a: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - família: H.R.Moser/EuSt+Baumgarten, A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

379.967.157-2b: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

379.967.157-2c: Dworzaczek l'ignore. Baumgarten lui donne comme epoux Mieszko.

Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

379.967.424: Fonts: - persona: G.Marsan (http://www.herve.gros.nom.fr/index3.htm, A.F.Marsan- Lapierre) - defunció: G Marsan (base Vincent Charmion - fév 2005, A.F.Marsan-Lapierre) - família: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)

379.967.425: Fonts: - família: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)

379.967.425b: Nom de personne d'origine germanique, Harihard (hari = armée + hard = dur). Il partage le pouvoir avec ses deux frères.

Auteur de la branche des Marsan de Cauna

Fonts: - persona: G.Marsan (http://www.damsethi.com/rep1/dat187.htm#86), G Marsan (base Vincent Charmion - fév 2005) - enterrament: G Marsan (base Vincent Charmion - fév 2005) - família: G Marsan (base Vincent Charmion - fév 2005)

379.967.425c: Il accompagne son père à la prise de possession du comté de Bordeaux par Odon de Poitiers en 1033.C.Saint-Félix (Frédéric Boutoulle in H.Debax "Vicomtes et vicomtés") 18i2015

Fonts: - persona: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)

-5719- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.968.512: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France balade") - família: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France balade")

379.968.513: Fonts: - família: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France balade")

379.968.514: "Foundation for medieval genealogies", excellent site, ignorait le premier mariage d ' Hugues Doubleau et avait donc attribué tous ses enfants à sa seconde épouse. Le "Dictionnaire. du Vendômois" de Raoul de Saint-Venant t.2 p.402/403 (en ligne) indique bien une première épouse avec 3 enfants dont un fils qui continue la lignée et fût seigneur de Mondoubleau.

JB de La Grandière 1/3/2015 (mail de Michel de Sachy de Fourdrinoy, généalogiste émérite du Vendômois).

A son avenement et avec l'accord de son frère Hugues, il fit don de la forêt de Varenne (près de Mondoubleau) et de terres à Cormenon à l'Abbaye de la Trinité de Vendome. Il fit plus tard d'autres dons à l'Eglise Saint Bienheuré de Vendôme et à l'Abbaye de Tuffé. Il est mort assassiné en 1057 au retour d'un pélerinage à Rome et enterré dans l'église de l'Abbaye Saint Vincent du Mans.

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere M. de Sachy, "Dictionnaire du Vendômois" t.2 p.403 St-Venant) 1 iii 2015, E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France balade"), E.Polti (d'après la Toile, site "France balade") - defunció: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009 - família: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France balade"), JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009

379.968.515: Fonts: - família 1: JB.de La Grandiere (D. Barthélemy " Le Comté de Vendôme" ) 16 ix 2009 - família 2: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France balade"), JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009 - família 3: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

379.968.515a:  mineur à la mort de son père  mort avant 30 ans, probablement non marié, en tout cas sans postérité.

Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), JB.de La Grandiere ("Dictionnaire du Vendômois" t.2 p.404 St-Venant ) 1 iii 20154

-5720- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.968.672: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Yvon Corfa - base tournemire), N. Danican 4iv05, F-L. Jacquier (Europäische Stammtafeln, III-4, tafel 700) - família: H.R.Moser/EuSt-III.4/700, J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 v 2011

379.968.673: WEWA . Guillaume de Jumièges records that "Gunnor" had “excepta Sainfriaduas sorores Wewam et Avelinam”, adding that Wewa married “Turulfo de Ponte- AudomarifiliusTorf” by whom she had “Humfridum de Vetulis patrem Rogerii de Bellomonte”[1660]. She and her three sisters, as well as their husbands, are named by Robert de Torigny[1661]. The Genealogia Fundatoris of Tintern Abbey, Monmouthshire records that the (unnamed) sister of ”Gunnora comitissa Normanniæ” married “Turulpho de Ponte-Adomaro”[1662].

m THOROLD de Pont-Audemer, son of TORF & his wife --- (-after 1040).

[1660] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXVII, p. 312. [1661] Robert de Torigny, Book VIII, c. 37. [1662] Dugdale Monasticon V, Tintern Abbey, Monmouthshire III, p. 269.

 Wévée : sans doute une variante pour "Albareda", "Auberede", "Aubrée"

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 22 vi 2016 - família: H.R.Moser/EuSt-III.4/700, J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 v 2011

379.968.673c: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/ - família: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 vii 2012

379.968.673d: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb ) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/ - família: H.R.Moser/EuSt-III.4, F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb )

379.968.676: Hugues Ier fut vicomte de Meulan à la fin du XIe siècle. Né aux alentours de 965, il succéda à son père Galéran II. Il est cité comme vicomte de Meulan en 998 et pourrait l'avoir été dès 991, selon les Europaïsche Stammtafelm.

Il épousa Oda de Vexin, fille de Gautier II, comte de Vexin, d'Amiens et de Valois et d'Adèle, et eut :

 Galéran III († 1068), vicomte puis comte de Meulan  Hugues II, vicomte de Vexin

-5721- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas  Hellouin, vicomte du Mantois, père d'un Richard de Meulan, cité en 1066.

Il mourut peu après le 25 août 1005. Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III-4, T0701A) 21 xi 2010, J-P.de Palmas (FMG et wikipedia) 27 xi 2012 - defunció: J-C de Vaugiraud (ES III-4, T0701A) 21 xi 2010 - família: J-P.de Palmas (FMG) 27 xi 2012

379.968.677: Appelée (cerainement à tort) Alix de Vexin par John Luddy Burke - Ancestry.com ! Appelée (certainement avec raison) Ne de Valois par http://fmg.ac/Projects/MedLands/NORTHERN%20FRANCE.htm #dauGautierIVValoisMHuguesMeulan. J-C de Vaugiraud 21 xi 2010 Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 xi 2012 - família: J-P.de Palmas (FMG) 27 xi 2012

379.968.677b: Hugues II de Meulan, dit Tête d'Ours fut vicomte de Vexin de 1023 à 1033, probablement nommé dans cette charge par son oncle Dreux, comte de Vexin et d'Amiens. Il était fils d'Hugues Ier, vicomte de Meulan, et d'Oda de Vexin. Durant sa période vicomtale, il restitua la terre de Juziers, à l'abbaye Saint-Père de Chartres. Cette terre avait été donné en 978 par la comtesse Lietgarde, veuve de Raoul II, à l'abbaye, mais cette terre lui avait été retirée par la suite. Il mourut en 1033 ou en 1034. Il ne laissait pas d'enfant de son épouse Helwisa ou Héloïse, qui se remaria avec un Azzelin, puis à la mort de ce dernier devint recluse à l'abbaye de Coulombs qui hérita de ses biens. Sources

 (de) Detlev Schwennicke, Europäische Stammtafeln, vol. III.4, 1983, p. 700  (fr) Comtes de Meulan  (fr) Édouard de Saint Phalle, « Les comtes de Gâtinais aux Xe et XIe siècle », dans Onomastique et Parenté dans l'Occident médiéval, Oxford, Prosopographica et genealogica, 2000, 310 p. (ISBN 1-900934-01-9), p. 230-246

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 xi 2012

379.968.677c: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 xi 2012

379.968.678: Voir une vue aérienne actuelle de la commune actuelle de Conteville (Eure), située en bordure de l'estuaire de la Seine. (Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National) Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 07.02.2014 Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, N de Meyrignac (stirnet.com, 29x2007), F- L.Jacquier

-5722- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, F-L.Jacquier

379.968.679: Fonts: - persona: F-L.Jacquier - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, F-L.Jacquier

379.968.679c: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com), N de Meyrignac (stirnet.com, 29x2007) - família: N de Meyrignac (stirnet.com, 29x2007)

379.968.679d: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (John Luddy Burke - Ancestry.com)

379.968.708: Représentation de ses deux fils Odon (gauche) et Robert (droite), et de son beau- fils Guillaume (centre), sur la Tapisserie de Bayeux.

Herluin de Conteville (vers 1001 – vers 1066), fut un seigneur normand, vicomte ou comte de Conteville. Il est le père de deux personnages importants du règne de son beau-fils Guillaume le Conquérant, Robert de Mortain et Odon de Bayeux.

Voir une vue aérienne actuelle du hameau de Grestain, commune actuelle de Fatouville-Grestain (Eure), en bordure de l'estuaire de la Seine, où se situait l'ancienne abbaye où fut inhumé Herluin de de Conteville. (Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut Géographique National)

Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 30.01.2014

Biographie Il aurait été le fils de Jean de Conteville, mais il s'agit probablement d'une invention a posteriori, car ses origines sont obscures[1]. Il est possible qu'au moment de son mariage, il ait été établit comme un soutien loyal au duc en moyenne Normandie[2]. Il épouse Arlette de Falaise († vers 1050), l'ancienne « frilla » (concubine à la manière danoise) de Robert le Magnifique, duc de Normandie, et mère de Guillaume le Conquérant. La date de leur mariage est inconnue, et il a existé deux théories opposées sur ce point. La plus ancienne s'appuyait sur le récit du chroniqueur Guillaume de Jumièges, contemporain des faits : « Mais après que le duc pèlerin de Jérusalem fut mort, un certain Herluin, brave chevalier, prit Herlève pour femme, et en eut deux fils, Eudes et Robert, qui dans la suite parvinrent à une grande illustration » [3]. Aujourd'hui, les historiens s'accordent à penser que le duc a arrangé un mariage pour sa maîtresse avec Herluin aux alentours de 1030, soit peu après la naissance de son fils[2]. Certainement peu après son mariage, il est fait vicomte ou comte de Conteville[2]. Il fonde l'abbaye de Grestain avec son fils Robert vers 1050 et c'est là que lui et ses femmes furent inhumés. D'après un récit maintenant perdu, il avait eu une vision dans laquelle la fondation d'un monastère lui guérirait sa lèpre[4]. Familles et descendance En premières noces, il épouse Arlette de Falaise († vers 1050), ancienne « frilla » (concubine à la manière danoise) de Robert le Magnifique, duc de Normandie, et

-5723- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas mère de Guillaume le Conquérant. Ensemble ils ont[5] :

 Robert de Mortain († 1090), comte de Mortain, et de Cornouailles, compagnon du Conquérant ;  Odon de Bayeux († 1097), évêque de Bayeux, comte de , compagnon du Conquérant.  Muriel, qui épouse Eudes « au chapeau », vicomte du Cotentin, que Wace liste parmi les conseillers du duc en 1066[6].

Pour David Bates[7], ils engendrent aussi :

 Adelaïde de Normandie (v. 1026-v. 1090), comtesse d'Aumale ;  Très probablement une fille inconnue qui épouse le baron normand Guillaume, seigneur de La Ferté-Macé.

En secondes noces, il épouse Fredesensis. Ensemble, ils ont[7] :

 Raoul ou Ranulf de Conteville († après 1089). Il est enregistré dans le Domesday Book comme propriétaire dans le Somerset et le Devonshire en 1086 ;  Jean de Conteville, probablement mort jeune.

Notes et références 1-↑ David R. Bates, « Notes sur l'Aristocratie Normande 1. Hugues, évêque de Bayeux 2.Herluin de Conteville et sa famille », Annales de Normandie 23 (1973), p. 22. 2-↑ a, b et c Brian Golding, « Robert of Mortain », Anglo-Normans Studies : XIII. Proceedings of the Battle Conference, édité par Marjorie Chibnall, Boydell & Brewer Ltd, 1990, p. 119. 3-↑ Guillaume de Jumièges, Gesta Normannorum ducum, Éd. Guizot, Paris, Brière, 1826, livre VII, chapitre III, p. 169. 4-↑ Brian Golding, « Robert, count of Mortain (d. 1095) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004. 5-↑ David C. Douglas, William the Conqueror, University of California Press, 1964, p. 380-383. 6-↑ Elisabeth M. C. Van Houts, « Wace as Historian », The History of the Norman people: Wace's Roman de Rou, collaborateurs : Glyn Sheridan Burgess, Elisabeth M. C. Van Houts, publié par Boydell Press, 2004, p. xxxv. 7-↑ a et b David Bates, « Odo, earl of Kent (d. 1097) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004. His notice on Foundation for Medieval Genealogy HERLUIN, son of --- (-[1066], bur Grestain). [Vicomte] de Conteville. Orderic Vitalis records that “Herluinusde Contavilla” married “Herlevam Rodberti ducis concubinam”[860]. He founded the abbey of Grestain after 1050[861]. It is possible that either Herluin or his wife were related to an ancestor of Robert of Rhuddlan (see above): Orderic Vitalis names “Roberto de Rodelento nepos eius” among the followers of “Odopalatinus Cantiæ consul”[862]. The relationship between the two families has not been traced. m firstly ([after 1035]) HERLEVE, mistress of ROBERT II Duke of Normandy, daughter of FULBERT & his wife [Doda/Duwa] --- (-[1050]). Guillaume of Jumièges names “Herleva Fulberti cubicularii ducis filia” as the mother of “Willelmusex concubina Roberti ducisnatus“, and that after Duke Robert died “Herluinusmiles” married her by whom he had “duos filios Odonem et Robertum”[863]. The dating of her marriage is in doubt: William of Malmesbury records that it took place “ante -5724- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas patris [referring to Robert II Duke of Normandy] obitum”[864]. Orderic Vitalis records that “Herluinusde Contavilla” married “Herlevam Rodberti ducis concubinam”[865]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to the mother of Duke Guillaume as "filia…Herbertus pelliparius et uxor eius Doda sive Duwa", specifying that the family was from Chaumont in the diocese of Liège but moved to Falaise although others said that they were from Huy, and specifies her marriage to "Herlewino de Vado comitis"[866]. Orderic Vitalis calls her "Duke Robert's concubine", and specifies her marriage, referring to her husband as stepfather to Duke Guillaume[867]. She presumably died before her husband founded the abbey of Grestain as she is not referred to in the abbey's confirmation charter dated 14 Nov 1189[868]. Robert of Torigny's De Immutatione Ordinis Monachorum records that "Herluinus de Contevilla…et Herleve uxor eius" were buried in "mon. Sanctæ Mariæ Gresteni"[869].

m secondly FREDESENDIS, daughter of ---. She is named as the wife of Herluin in the confirmation charter of the abbey of Grestain, dated 14 Nov 1189[870].

[861] ES III 694B.

[862] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, II, p. 270.

[863] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, III, p. 268.

[864] Stubbs, W. (ed.) (1889) Willelmi Malmesbiriensis monachi De Gestis Regum Anglorum, Vol. II (London) (“Willelmi Malmesbiriensis”), Liber III, 277, p. 333.

[865] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VII, XV, p. 246.

[866] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1032, MGH SS XXIII, pp. 784-5.

[867] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. IV, Book VII, p. 99.

[868] Quoted in CP VII 125 footnote g (from previous page).

[869] Robert de Torigny, Vol. II, p. 201.

[870] Quoted in CP VII 125 footnote g (from previous page).

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et wikipedia) xi 2010 - família 1: B.Yeurc'h (Le Lien), H.R.Moser/EuSt-III.4 - família 2: F-L. Jacquier (Leo van de Pas), J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) xi 2010

379.968.720: Sgr de Dinan 1040. problème : Josselin serait le fils de Haimon (Aimon) et Roïanteline, vicomtesse de Dol (qui serait la soeur de Wicohen) selon A.Robet (selon actes de divers abbayes) .

Fonts: - persona: Benoît Goullin (déc 2006, Alix Robet / comtesse de la Motte Rouge), J-P de Palmas (Frédéric Morvan in Chevalerie Bretonne et la formation de l'armée

-5725- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas ducale, 2009) - família: Benoît Goullin (déc 2006, Alix Robet : livre comtesse de la Motte Rouge)

379.968.721: Fonts: - persona: Benoît Goullin (déc 2006, Alix Robet : livre comtesse de la Motte Rouge), C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010 - família: Benoît Goullin (déc 2006, Alix Robet : livre comtesse de la Motte Rouge)

379.968.721b: accompagne "Guillaume" à la conquête de l'Angleterre. sans alliance connue.

Fonts: - persona: Benoît Goullin (déc 2006, Alix Robet : livre comtesse de la Motte Rouge)

379.968.724: attesté en 1148 et 1154

Fonts: - persona: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22; Brand'honneur, 2001) 15 vii 2010 - família: F-L. Jacquier (Philippe Gaudebert - GeneaNet "gaudebert")

379.968.725: Fonts: - persona: C.Denancé (Brand'honneur, 2001) 18 ii 2009 - família: F-L. Jacquier (Philippe Gaudebert - GeneaNet "gaudebert")

379.968.725b: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Philippe Gaudebert - GeneaNet "gaudebert") - família: F-L. Jacquier (Philippe Gaudebert - GeneaNet "gaudebert")

379.968.725c: Fonts: - persona: C.Denancé (Brand'honneur, 2001) 18.02.09

379.968.736: dit "du castrum Felicense"

Fonts: - persona: C.Denance (M.Brand'Honneur: " Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes" p. 276, Rennes 2001, via J.-B. de La Grandière, forum du 30/05/2011) - família: C.Denance (M.Brand'Honneur: " Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes" p. 276, Rennes 2001, via J.-B. de La Grandière, forum du 30/05/2011)

379.968.737: d'après F. Mazel in "Pouvoir local et enjeux ecclésiaux à Fougères à l'époque grégorienne", elle pourrait être fille d'Eudes de Penthièvre. C.Saint-Félix 12xii2012

Fonts: - persona: C.Denance (M.Brand'Honneur: " Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes" p. 276, Rennes 2001, via J.-B. de La Grandière, forum du 30/05/2011) - família 1: C.Saint-Félix (M. Brand'honneur "Manoirs et châteaux") 11i2013 -5726- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família 2: C.Denance (M.Brand'Honneur: " Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes" p. 276, Rennes 2001, via J.-B. de La Grandière, forum du 30/05/2011)

379.968.737a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (F.Mazel "Pouvoir local et enjeux ecclésiaux à Fougères") 12xii2012

379.968.737b: mort rapidement après son père

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (F.Mazel "Pouvoir local et enjeux ecclésiaux à Fougères") 12xii2012

379.968.737e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (M. Brand'honneur "Manoirs et châteaux") 11i2013

379.968.737-1a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (M. Brand'honneur "Manoirs et châteaux") 11i2013

379.968.738: accompagnied the Conqueror to England, Killed in a skirmish with Welsh His family assumed the tittle Earls of Clare, but properly they were Earls at Clare. II. Guilbert, IIème comte de Brionne, fonde en 1034 l Abbaye du Bec en Normandie, avec Hellouin, seigneur de BONNEVILLE, qui en sera le Ier Abbé. x dont 2 fils Richard et Baudoin qui accompagnent leur oncle Guillaume.(LM) PS: ce qui est confirmé par votre FitzGuibert qui veut bien dire fils de Guibert (LM) III. - Richard le BOUTEILLER, IIIème comte de BRIONNE, fait grand échanson, puis comte de CLARE, par Guillaume le Conquérant. (n.: qui était donc toujours vivant ?) (n. Clare est une ville d Irlande dépendante du roi de Munser, Donald O Brian, qui y fondera une abbaye en 1194) x dont 3 fils: Gilbert (n.: qui suit), Roger (sp), Gauthier (sp)(LM) ------

 * Bienfaîte à Saint-Martin-de-Bienfaite-la-Cressonnière (14) qui jouxte Orbec  Clare = Clères (76) !!!.il est possible que Clare en Irelande ait été nommée ainsi en mémoire de Clères ???? JB de La Grandières 20/8/2015

Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Ronald Wells), F-L. Jacquier (Jeanine Gardye - Généalogie de Nicole de Reviers) http://jeanine.gardye.free.fr/revier.html, F-L. Jacquier (GeneaNet - base "pierfit" Apollon) - família: Renaud de Paysac (Ronald Wells), F-L. Jacquier (Alain de La Bouillerie - GeneaNet "alboui")

379.968.739: la date de 1031 pour Roger de Clère est incohérente, vérification en cours)

-5727- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: P Ract Madoux (Clères), F-L. Jacquier - família: Renaud de Paysac (Ronald Wells), F-L. Jacquier (Alain de La Bouillerie - GeneaNet "alboui")

379.968.739a: Gilbert Fitz Richard (1065-1115) was son and heir of Richard Fitz Gilbert, earl of Clare, and heiress Rohese Giffard. He succeeded to his father's possessions in England in 1090; his brother, Roger Fitz Richard, inherited his father's lands in Normandy. Earl Gilbert's inheritance made him one of the wealthiest magnates in early twelfth-century England.

Gilbert may have been present at the suspicious death of William II in the New Forest in 1100. He was granted lands and the Lordship of Cardigan by Henry I, including Cardigan Castle. He and his wife Adeliza had nine children, two of whom became peers of the realm. He founded the Cluniac priory at Stoke-by-Clare, Suffolk.

Gilbert Fitz Richard

From Wikipedia, the free encyclopedia

Gilbert FitzRichard

Lord of Clare, Tonbridge, and Cardigan

De Clare Coat of Arms

Spouse

Adeliza/Alice de Claremont

Issue

Walter de Clare

Adelize/Alice de Clare Margaret de Clare Baldwin Fitz Gilbert de Clare, Lord of Bourne Richard Fitz Gilbert de Clare Hervey de Clare Gilbert Fitz Gilbert de Clare Rohese de Clare

Father Richard fitz Gilbert

Mother Rohese Giffard

Born Clare, Suffolk, England Died 1114/7 England

Gilbert Fitz Richard (died 1114/7) was son and eventual heir of Richard Fitz Gilbert of Clare and heiress Rohese Giffard. He succeeded to his father's possessions in England in 1091; his brother, Roger Fitz Richard, inherited his father's lands in Normandy. Gilbert's inheritance made him one of the wealthiest magnates in early -5728- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas twelfth-century England. He was the earl of Hertfordshire, but references rarely indicated the county; he was consistently called Earl Gilbert or Gilbert earl of Clare.

Gilbert may have been present at the suspicious death of William II in the New Forest in 1100. He was granted lands and the Lordship of Cardigan by Henry I, including Cardigan Castle. He founded the Cluniac priory at Stoke-by-Clare, Suffolk.

He married Adeliza/Alice de Claremont, daughter of Hugh, Count of Clermont, and Margaret de Roucy. She remarried one of the sons of Hervé de Montmorency after his death. They had at least eight children: Walter de Clare, d. 1149 Adelize/Alice de Clare, d. 1163, m. (ca. 1105), Aubrey II de Vere, son of Aubrey I de Vere and Beatrice. She had 9 children and in her widowhood was a corrodian at St. Osyth's, Chich, Essex. Margaret de Clare, d. 1185, m. (ca. 1108), Sir William de Montfitchet, Lord of Stanstead Mountfitchet. Baldwin Fitz Gilbert de Clare, Lord of Bourne, d. 1154, m. Adeline de Rollos. Richard Fitz Gilbert de Clare, d. 1136 Hervey de Clare Gilbert Fitz Gilbert de Clare, d. 1148, 1st Earl of Pembroke Rohese de Clare, d. 1149, m. (ca. 1130), Baderon of Monmouth[1] Source:http://en.wikipedia.org/wiki/Gilbert_Fitz_Richard

Fonts: - persona: D.de Raugl (M.Olenev)/Renaud de Paysac (Tompsett) - casament: T.Blanchet(Odessa Heninger Family) - família: o guionneau

379.968.739b: ROBERT FitzRichard de Clare, son of RICHARD de Brionne Lord of Clare and Tonbridge [Normandy] & his wife Rohese Giffard (-[1134], bur Priory of St Neot). Guillaume of Jumièges names “Richardum strenuissimum militem” as the son of “comes Gislebertus filius Godefridus comitis”, adding that he donated property to Bec with “filii eius Gislebertus, Rogerius, Walterius, Rodbertus”[865]. Orderic Vitalis names “Rogerium et Gislebertum, Gualterium et Rodbertum atque Ricardum” as the children of “Gisleberti comitis [filium] Ricardum” and his wife “Roaldem Gualterii Gifardi filiam”[866]. Henry I King of England granted him the fiefdom of Little Dunmow, Essex[867]. A manuscript history of the foundation of Dunmow Priory records the death in 1134 of “Robertus filius Ricardi, primus patronus canonicorum de Dunmawe” and his burial “apud Sanctum Neotum”, although the dating of events in this source appears shaky[868].

m ([1112]) as her first husband, MATILDA de Senlis, daughter of SIMON de Senlis Earl of Huntingdon and Northampton & his wife Matilda of Huntingdon (-before 1163). Ingulph's Chronicle of the Abbey of Croyland names "Simon, Waldev and Matilda" as the children of Simon Earl of Huntingdon and his wife Matilda, commenting that they "are still young and in their infancy"[869]. A manuscript narrating the foundation of Daventre priory records that “Symonis de Seynliz” had two sisters “quarum una…Matildis Seynliz” married “Robertus filius Ricardi”, but does not name the second sister[870]. A manuscript history of the foundation of Dunmow Priory records the marriage in 1112 of “Robertus filius Ricardi” and “Matildam de Sancto Lisio”, although the dating of events in this source appears shaky[871]. She married secondly (1136) Saher de Quincy. The Complete Peerage records her second marriage, citing Hatton’s Book of Seals for “proof of this marriage”, and in a later passage that “her charter of dower lands in Essex and London, bearing her seal, is witnessed by her sons Walter FitzRobert and Saher”[872]. The 1157/58 Pipe Roll records "Matildi de Seinliz" in Essex and Hertfordshire under "Nova Placita & Noue Conuentiones", suggesting that this

-5729- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas related to her dower land soon after the death of her husband[873]. A manuscript history of the foundation of Dunmow Priory records the death in 1140 of “Matildis de Sancto Licio uxor Roberti filii Ricardi”, although the dating of events in this source appears shaky[874].

Robert FitzRichard & his wife had [four] children.

[865] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber IV, XVIII, p. 247.

[866] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XIII, p. 344.

[867] Domesday Descendants, p. 399.

[868] Dugdale Monasticon VI, Dunmow Parva Priory, Essex, I, Historia Fundationis necnon Fundatorum et Benefactorum eiusdem domus, p. 147.

[869] Ingulph's Chronicle, p. 146.

[870] Dugdale Monasticon V, Davintre Priory, Northamptonshire, I, De prima Fundatione eiusdem, p. 178.

[871] Dugdale Monasticon VI, Dunmow Parva Priory, Essex, I, Historia Fundationis necnon Fundatorum et Benefactorum eiusdem domus, p. 147.

[872] CP XII/2 745, footnote e, citing Loyd, L. C. & Stenton, D. M. (1950) Christopher Hatton’s Book of Seals (Clarendon), no. 282 note [not yet consulted], and CP XII/2 746, footnote c quoting Loyd & Stenton (1950), no. 145.

[873] Pipe Roll 4 Hen II (1157), Essex and Hertfordshire, p. 133.

[874] Dugdale Monasticon VI, Dunmow Parva Priory, Essex, I, Historia Fundationis necnon Fundatorum et Benefactorum eiusdem domus, p. 147

received the forfeited fiefs of the Baynards in the eastern counties, and founded the house of FitzWalters and ancestors of the Butlers

Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Ronald Wells), J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 14 ix 2016 - família: Renaud de Paysac (Ronald Wells), J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 14 ix 2016

379.968.739c: héritier de son père Richard pour ses biens en Normandie, mort sans héritiers

Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Ronald Wells)

379.968.739d: posseded all Nether-Went in Wales, dsp

-5730- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Ronald Wells)

379.968.739e: Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Tompsett)

379.968.739f: Fonts: - família: Renaud de Paysac (Ronald Wells)

379.968.739g: Fonts: - persona: Renaud de Paysac - família 1: Renaud de Paysac - família 2: Renaud de Paysac (Ronald Wells)

379.968.739h: Fonts: - família: Renaud de Paysac

379.968.739i: Fonts: - família: Renaud de Paysac (Ronald Wells)

379.968.739k: Fonts: - persona: F-L. Jacquier - naixement: J-P de Palmas - família: F-L. Jacquier

379.968.744: Le château de Combourg

Le château de Combourg Il a été construit entre le XIe siècle et le XVe siècle sur une butte, au bord du "Lac Tranquille".

L'évêque de Dol, Junken, fils du vicomte de Dinan, élève à Combourg un premier château dès 1016 pour proteger son fief de Comburnium.

A la fin du XIème siècle, les seigneurs de Combourg reçoivent le titre de "porte étendard de Saint-Samson", patron de la cathédrale de Dol.

-5731- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas En 1162, Combourg passe par alliance à Harsulfe de Soligné, époux d'Yseult de Dol. Puis le domaine échoit aux Du Guesclin, et vers le milieu du XIVème siècle à la maison de Châteaugiron-Malestroit.

En 1553, le château est acquis par le marquis de Coëtquen; au XVIIIème siècle son descendant, le dernier du nom, cède le château à sa fille, l'épouse de Emmanuel- Félicité de Durfort, duc de Duras.

Ce dernier le vend en 1761 à René-Auguste de Chateaubriand, un riche armateur de Saint-Malo, père du futur écrivain. L'écrivain François-René de Chateaubriand, qui a immortalisé ce château dans ses mémoires, y passa une partie morose de sa jeunesse dans les années 1770. En 1786, à la mort de leur père, c'est Jean-Baptiste de Châteaubriand, frère aîné de François-René et époux d'une petite-fille de Malesherbes, qui hérite du château. Le domaine est pillé pendant la Révolution, Jean-Baptiste et son épouse sont guillotinés pendant la Terreur. C'est le petit-neveu de Châteaubriand qui entreprendra, sur les conseil de Eugène Viollet-le-Duc, de restaurer l'édifice dans le style "néo-gothique" et en 1876 fait également redessiner le parc dans le goût anglais par Denis et Eugène Bühler.

extrait de wikipedia

Fonts: - persona: C.Denancé (Brand'honneur, 2001) 18.02.09, J-P de Palmas (Le château de Combourg et La Chevalerie Bretonne, Frédéric Morvan, 2009 : Anselme) iv 2010 - defunció: ou 1046 d'aprsè Frédéric Morvan - família: C.Denancé (Brand'honneur, 2001) 18.02.09, JB.de La Grandiere (Michel Brand'Honneur Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes p. 273 sgrs de Dol) 17 ix 2012

379.968.745: Fonts: - persona: C.Denancé (Brand'honneur, 2001) 18.02.09 - família: C.Denancé (Brand'honneur, 2001) 18.02.09, JB.de La Grandiere (Michel Brand'Honneur Manoirs et Châteaux dans le comté de Rennes p. 273 sgrs de Dol) 17 ix 2012

379.968.745a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (M. Brand'Honneur "Manoirs et châteaux.") 6i2013

379.968.745b: Archiepiscopat de Dol

JUTHAEL vel JOHONÉE gagna par ses présents la protection du duc Alain III, qui lui confia l'archevêché de Dol avant 1040, époque de la mort de ce prince. Il fut sacré par les évêques bretons malgré la défense du Pape. Ce Johonée fut un prélat scandaleux, simoniaque et débauché ; il se maria publiquement et dilapida le patrimoine de l'Eglise de Dol pour enrichir ses bâtards. Le pape Léon IX ordonna à ce faux archevêque de venir avec ses prétendus évêques suffragants se justifier à Rome en 1050 ; mais Johonée ne bougea pas, et fut excommunié avec tous les évêques qui lui étaient attachés. On dit que les habitants de Dol chassèrent eux- mêmes de leur ville cet indigne prélat, qui se réfugia au Mont Saint-Michel vers l'an 1076 (D. Morice, Histoire de Bretagne, I, 984 – Catalogue des Evêques, LV).

-5732- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Le Chapitre de Dol élut alors archevêque l'un de ses membres, saint Gilduin, fils de Rivallon, seigneur de Combourg, et neveu de l'archevêque Ginguené. Il était encore très jeune, et n'osant se charger d'un aussi lourd fardeau, il alla trouver à Rome Grégoire VII, le priant de nommer à sa place Even, abbé de Saint-Melaine, qui l'accompagnait dans ce voyage ; il revint lui-même en France et mourut en l'abbaye de Saint-Père de Chartres, où de nombreux miracles illustrèrent son tombeau ; sa fête se célèbre le 27 janvier.

ÉVEN, abbé de Saint-Melaine, fut, en 1076, sacré archevêque de Dol par Grégoire VII lui-même. Ce saint Pape l'autorisa provisoirement à porter le pallium. Even conserva l'administration de son abbaye, mais il fut bientôt, comme archevêque, attaqué par le méchant Johonée qui, avec le secours du roi d'Angleterre, ne cessait de harceler les Dolois ; puis par l'archevêque de Tours, mécontent de la faveur dont il jouissait à Rome. Le prélat de Dol se débarrassa des attaques de Johonée, mais il fut moins heureux contre son second adversaire. Le Concile de Saintes ordonna à tous les évêques bretons de reconnaître l'archevêque de Tours pour leur métropolitain. Even mourut peu de temps après, le 25 septembre 1081 ; son corps fut inhumé à Rennes dans l'abbaye de Saint-Melaine

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les Archevêques de Dol et La Chevalerie bretonne de Frédéric Morvan, 2009) iv 2010

379.968.745d: Après la mort de Rolland, Jean de Dol, fils de Rivallon, seigneur de Combourg, et frère de saint Gilduin, fut élu archevêque ; il avait, dans sa jeunesse, fondé le prieuré de Saint-Florent, près de Dol, et, ayant renoncé au monde, s'était mis sous la discipline de Guillaume, abbé de Saint-Florent de Saumur, son oncle. Après son élection à l'archevêché de Dol, Jean fit le voyage de Rome pour demander le pallium au Pape, mais il mourut avant d'être sacré et fut inhumé dans l'église de Sainte-Sophie. Baudry, son successeur, lui composa l'épitaphe suivante :

SPLENDIDUS EX ATAVIS, ATAVORUM SPLENDOR ET IPSE, GENTE BRITANNUS, HOMO CONDITUR HOC TUMULO. HIC ARMIS, PATRIA, NATIS CUM MATRE RELICTIS, DUX MODO, CONTINUO DE DUCE FIT MONACHUS. METROPOLITANÆ SEDI, QUIA VIXIT HONESTE, CUI DOLUS EST NOMEN, PRÆSUL HIC ELIGITUR ; UT QUIBUS EXTITERAT CONSUL, DE CONSULE PRÆSUL, PRÆSUL QUAM CONSUL CONSULERET MELIUS. AD PAPAM VENIT, SACRARI POSCIT AB IPSO ; QUOD DUM DIFFERTUR, IN DOMINO MORITUR. PONITUR HIC CULTOR ET RELIGIONIS AMATOR, QUEMQUE DOLENT BRITONES SANCTA SOPHIA FOVET. SI QUÆRAS NOMEN, NOMEN SIBI SCITO JOHANNEM ; SI QUIS DIEM MORTIS, DA DECIMAM DECIMI (Dom Morice, Catalogue des Evêques de Bretagne).

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les Archevêques de Dol et Frédéric Morvan in Chevalerie Bretonne et la formation de l'armée ducale, 2009) iv 2010

379.968.745e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (M. Brand'Honneur "Manoirs et châteaux.") 6i2013 - família: C.Saint-Félix (M. Brand'Honneur "Manoirs et châteaux.") 6i2013

379.968.745f: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (M. Brand'Honneur "Manoirs et châteaux.") 6i2013

-5733- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.968.752: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, R.Sekulovich, (geneanet: 040363) - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.968.753: Fonts: - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.968.754: Ma source ne donne pas le nom de son épouse et lui donne directement pour fils Richard du Hommet ? J-C de Vaugiraud (abbé Bernard annoté par E. Lepingard: La baronnie du Hommet in Notices, mémoires et documents Manche, 17° vol, pages 1 à 47) 10 iii 2011

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com - família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

379.968.755: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com - família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

379.968.756: Mentionned before 1098 in ancient charters of Sai near Argentan in Normandy.

Fonts: - persona: Renaud de Paysac, F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com - família: Renaud de Paysac, F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie Vicking).

379.968.757: Fonts: - persona: Renaud de Paysac - família: Renaud de Paysac, F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie Vicking).

379.968.757a: rebelled with Geoffrey de Mandeville against King Stephen in 1144

Fonts: - persona: Renaud de Paysac - família: Renaud de Paysac

379.968.758: Enguerrand, fils d'Illebert de Lacy, succéda à Gonnier d'Aunay en 1104 et gouverna la ville de Caen jusqu'en 1106, époque où la ville de Caen abandonnant son légitime souverain, Robert de Courteheuse, voulut le livrer à son frère Henri

-5734- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Ier. Le·Duc Robert, par une fuite précipitée échappa aux suites fâcheuses que lui firent entrevoir la conjuration des Caennois, et Enguerrand s'échappa avec lui.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com, J-P de Palmas (Chronologie Historique des Baillis et des Gouverneurs de Caen, par Michel Béziers, 1769) 3 v 2011 - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.968.759: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.968.760: "Adelme de Bruis, le Normand, qui vint en Angleterre vers l'année 1050 avec d'autres seigneurs de Normandie pour assister la reine Emma, près de laquelle il resta. Après sa mort, extrêmement haï des Anglais, il fut obligé de se réfugier en Ecosse, qui était alliée à la Normandie et où il obtint la terre de Boulden, soit par mariage ou par donation du roi. Par la suite, en l'année 1066, il se joignit à Guillaume le Bâtard, duc de Normandie, dans sa conquête de l'Angleterre, et pour ses vaillants services, il reçut de grands biens, en particulier le château et la baronnie de Skelton, la seigneurerie de Cleveland et beaucoup d'autres" (George MacKenzie, manuscrit de 1672 consacré à la noblesse d'Ecosse, Bibliothèque Nationale d'Ecosse). Ce texte est sans doute érroné, car les biens des Bruce en Angleterre ne leur furent pas concédés avant 1106, sous Robert II de Bruce, fils présumé d'Adelme.

The Bruces are of Norman descent, their ancestor Robert de Brus being one of the Knights who accompanied William the Conqueror in his invasion of England in 1066. Following the victory obtained at Hastings, he was sent by this King to quell the unrest in the north country and from whom he obtained the lands of Skelton, in Yorkshire, Hert and Hertness in Durham, to which he added numerous others throughout the term of his life. He married Emma, daughter of Allan, Earl of Brittany, and had issue, Adam de Brus, said to have gone to England before his father and married to Emma, daughter of Sir William de Ramsay. Source: http://www.stepneyrobarts.co.uk/16785.htm .

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com - defunció: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse). - família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

379.968.761: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Ancestry.com - Pablo Mera Gadea). - família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

379.968.761a: The wife of Ralph Basset and Ralph Taillebois of Middleham are possibly two different Agatha's.

-5735- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas The parentage of Agatha(married to Ralph Basset) apeears to be correct.

Ralph Taillebois of Middleham's wife's parents are probably Robert de Bruce and Agnes Paynel. This Agatha was born about 1120. This would make more sense as her son was born in 1145.

Source: http://www.celtic-casimir.com/webtree/4/32444.htm

Message de Tom Blanchet sur le forum 2012-07-22 23:12:52

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Sherry Huggins - Ancestry.com) http://ancestry.com, J-P de Palmas (The Complete Peerage par Burke) - naixement: T.Blanchet(Ancestry.com) - defunció: T.Blanchet(Ancestry.com) - família: F-L. Jacquier (Mark Willis Ballard - RootsWeb.com)

379.968.761c: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

379.968.761d: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

379.968.762: GUILLAUME d'Arques (-[1090]). Guillaume de Jumièges names Guillaume d'Arques as son of Godefroi[582]. "Guillelmus et Gislebertus filii Godefredi Archarum vicecomitis" donated land in Montvilla to Sainte-Trinité de Rouen dated 1059[583]. Vicomte d'Arques. Lord of [584]. A charter dated 1080 relates that "Gozelinus vicecomes de Archis…cum coniuge sua et filiis" founded Sainte-Trinité de Rouen and donated property, and that "Willelmus de Archis heres defuncti…avi sui Gozelini" confirmed the donation[585].

m BEATRIX Malet, daughter of GUILLAUME [I] Malet & his wife Esilia [Crespin]. “Beatrix soror Roberti Malet” donated property to Eye priory, for the souls of “fratrum meorum Roberti Maleth et Gilberti Malet”, by undated charter[586]. Brown indicates that Beatrix donated Redlingfield to Eye by undated charter which confirms her as husband of "William vicomte of Arques"[587]. “Willielmus de Abrincis miles dominus de Folkestan” confirmed donations to , including the donations made by "Beatrix post mortem domini sui Willielmi de Archis" of "terram dotis suæ de Newenton" by undated charter[588]. Guillaume & his wife had two children:

 (a)MATHILDE d'Arques . Guillaume de Jumièges names Mathilde as daughter of Guillaume d'Arques and wife of "Guillaume de Tancarville le Camérier", and adds that they were parents of one son Rabel[589].  (b)EMMA d'Arques

[582] WJ VIII.37, p. 301.

[583] Rouen Sainte-Trinité, XXV, p. 433.

-5736- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [584] ES III 695.

[585] Rouen Sainte-Trinité, LXXXII, p. 462.

[586] Dugdale Monasticon III, Eye Priory, Suffolk, II, p. 405.

[587] Brown, V. (1994) Eye Priory Cartulary and Charters (Boydell), Part 2, Introduction, p. 6, DB 320a [Limited Preview in Google Book].

[588] Dugdale Monasticon IV, Folkestone Priory, Kent, II, p. 673.

[589] WJ VIII.37, p. 301.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 2 v 2012 - naixement: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet) - família: J-P.de Palmas (FMG) 2 v 2012

379.968.763: BEATRIX Malet . “Beatrix soror Roberti Malet” donated property to Eye priory, for the souls of “fratrum meorum Roberti Maleth et Gilberti Malet”, by undated charter[635]. Brown indicates that Beatrix donated Redlingfield to Eye by undated charter which confirms her as husband of "William vicomte of Arques"[636]. “Willielmus de Abrincis miles dominus de Folkestan” confirmed donations to Folkestone priory, including the donations made by "Beatrix post mortem domini sui Willielmi de Archis" of "terram dotis suæ de Newenton" by undated charter[637]. m (before 1086) GUILLAUME Vicomte d´Arques, son of GODEFROI Giffard Vicomte d´Arques & his wife --- de Rouen (-[1090]).

[635] Dugdale Monasticon III, Eye Priory, Suffolk, II, p. 405.

[636] Brown (1994), Part 2, Introduction, p. 6, citing DB 320a.

[637] Dugdale Monasticon IV, Folkestone Priory, Kent, II, p. 673.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 2 v 2012 - família 1: F-L. Jacquier, J-P.de Palmas (FMG) 9 xii 2016 - família 2: J-P.de Palmas (FMG) 2 v 2012

379.968.763c: EMMA d'Arques (-after 1140). “Willielmus de Abrincis miles dominus de Folkestan” confirmed donations to Folkestone priory, including the donations made by "domini Nigelli de Munevilla quondam domini de Folkestan antecessoris mei…cum uxore sua Emma" for the souls of "antecessorum suorum…Willielmi de Archis et Beatricis uxoris illius" by undated charter, which also records that Nele died without male heirs and that Henry I King of England married "filiam eius…Matildam" to "Rualoni de Abrincis"[590]. “Manasses Gisnensis comes et Emma uxor eius…filia Willielmi de Arras” founded Redlingfield priory by charter dated 1120, witnessed by “Widonis fratris mei, Rosæ filiæ meæ”[591]. The Historia Comitum Ghisnensium names "Emmam filiam Roberti camerarii de Tancarvilla in Normannia, viduam Odonis de Folkestane in Anglia" as wife of "Manasses"[592], which appears to be incorrect. "Manasses Gisnensium comes et Emma comitissa" granted the

-5737- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas administration of the church of Saint-Léonard to Saint-Bertin by charter dated 1129[593]. According to Domesday Descendants she became a nun at Saint- Leonard de Guines after the death of her second husband[594].

m firstly NELE de Muneville, son of --- (-1103). Lord of Folkestone.

m secondly (before 1106) MANASSES Comte de Guines, son of BAUDOUIN Comte de Guines & his wife Adela [Christina] [of Holland] (-Ardres 1137). Emma & her first husband had one child.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 v 2012 - família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012 - família 2: F-L. Jacquier (Alain de Carné)

379.968.763-1a: Elle était descendante d'une très haute famille saxonne, et était héritière de nombreux domaines et châteaux dans le comté de Lincoln.

Elle était nièce de Robert Malet of Eye et d'Alan of Lincoln, elle était apparentée à Thorold the Sheriff.

Dans la "Chronicle of the Abbey of Croyland", Ingulph indique que William le Conquérant arrangea le mariage de Lucy avec Ivo Taillebois, Lucy étant "sister of Edwin et Morcar". Sa dot était constituée de terres à Hoyland. A la mort d'Ivo et suite à son enterrement au prieuré de Spalding, Peter de Blois mentionne que l'unique fille née de leur mariage était morte précédemment à son père bien qu'ayant été donné en mariage à un mari "de noble naissance". Le prénom de cette fille est "Beatrix" (les deux filles mentionnées dans la fiche : Christiana et Adeliza ne sont pas mentionnées).

Lucy se remarie, un mois à peine après la mort de son premier époux avec Roger de Romar (fils de Gerald de Romar).

Elle est nommée dans la charte de son second mari qui donne des biens à St Mary's, York pendant la période 1094-1098. Elle épouse en troisièmes noces Ranulf "Meschin" comte de Chester.

Dans une charte du roi Henri II adressé à son fils Ranulf comte de Chester (et datée de 1153), la comtesse Lucy est mentionnée comme étant la nièce de Robert Malet of Eye et de Alan of Lincoln, mais ses parents ne sont pas mentionnés.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier, Joël Chirol (Web 06/08/07)C.Maubois (projects Medlands) 27 vi 2012 - naixement: O.Guionneau (site de L. van De Pas) 16 VII 11 - família 1: Joël Chirol (Web 06/08/07) - família 3: H.R.Moser/Burke-ext

379.968.764: Compagnon de Guillaume le Conquérant au combat en 1066 à Hastings.

Il épouse Lesceline qui lui apporte Fontenay-le-Pesnel et des terres dans le

-5738- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Cotentin.

Seigneur des Moutiers-Huberttet de Hambye, il acheta la seigneurerie de Hambye.

Armes: «D'argent aux trois pommes de pin de Sinople. Octofeuille de gueules à la pointe de l'écu (*) (*) marque la noblesse bourgeoise.

La famille PAYNEL : Sources : - La revue Franco-Américaine, tome IX, juillet 1912, extrait page 251. - Article ; la Nation Franco-Normande au Canada par le Vicomte Forsyth de Fronsac. - "Revue généalogique normande" n°47 juillet-septembre 1993, publiée par l'Union des Cercles Généalogiques et Héraldiques de Normandie pages 256 à 263. - "La famille Paynel", par J.Polonovski et P. Leportier. - "Revue généalogique normande" n°51 juillet-septembre 1994, publiée par l'Union des Cercles Généalogiques et Héraldiques de Normandie pages 255 à 266. - "Noble lignée Hambie-Painel", par Jacques Polonovski. - "Revue généalogique normande" n°52 octobre-décembre 1994, publiée par l'Union des Cercles Généalogiques et Héraldiques de Normandie pages 351 et 352. - "La famille Paynel (Manche)" (Rectificatif) par Jacques Polonovski.

HAMBYE : L'abbaye Notre-Dame d'Hambye, de l'ordre de saint Benoît, a été fondée au XIIe siècle par Guillaume Paynel dans la forêt de la vallée de la Sienne. Les moines y coulent des jours paisibles jusqu'à la Révolution où ils sont chassés. En 1819 l'abbaye est vendue et sert de carrière de pierre. Seuls les cris des corneilles résonnent dans le vide des ogives, le vent emporte cette nostalgie bruyante dans la vallée qui a oublié l'écho des chants des moines. Au début du siècle les ruines appartiennent à deux propriétaires, ce qui n'arrange pas les premiers touristes romantiques et les amoureux de vieilles pierres. Dans les années 30, sur l'initiatives de ces derniers, est créée l'association des amis de l'abbaye, comprenant : Madame Anthouard de Cherbourg, MM. Abbé Briand de Caen, Léon Briand de Caen, Mme Delisle de Saint-Lô, M. Léopold Delisle de Saint-Lô, M. J. Déchosal pharmacien à Bondy, Mme Dewey de Chicago, M. Dodeman Maire de Bayeux, M. Havel d'Hambye, Melle Lachner de Bricquebec, M. H. Touroude pharmacien à Paris et la Société des Laiteries du Cotentin de Pont-Hébert Le conseil général du département de la Manche achète une partie importante des ruines en 1964 pour assurer leur sauvegarde et leur restauration. Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - famille de Bricqueville, H&G1998, pp.127- 131) - defunció: http://www.gatinaisgeneal.org/michelf/genealogie/Ja_001/Fiches/D2/P479.htm#1 - casament 1: http://www.gatinaisgeneal.org/michelf/genealogie/Ja_001/Fiches/D2/P479.htm#1 - família 1: N. Danican (P. Leportier, Familles médiévales normandes) 20xii05, F- L.Jacquier (Ancestry.com - Justin Swanstrom) http://awt.ancestry.com/cgi- bin/igm.cgi?op=GET&db=justin&id=I63187 - família 2: F-L. Jacquier (Paul Leportier - famille de Bricqueville, H&G1998, pp.127- 131)

379.968.765: Lesline married Guillaume Paynel of Les Moutiers & Hambye, son of Gervais Paynel and Unknown. (Guillaume Paynel of Les Moutiers & Hambye was born about 1035 in Les Moutiers-Hubert, Normandie, France and died about 1087 in

-5739- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Hambye, Manche, Normandie, France.)

source : http://www.celtic-casimir.com/webtree/3/5232.htm

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com - casament: http://www.gatinaisgeneal.org/michelf/genealogie/Ja_001/Fiches/D2/P479.htm#1 - família: N. Danican (P. Leportier, Familles médiévales normandes) 20xii05, F- L.Jacquier (Ancestry.com - Justin Swanstrom) http://awt.ancestry.com/cgi- bin/igm.cgi?op=GET&db=justin&id=I63187

379.968.765a: Cité en 1093. Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Aymeric d'Erceville) - http://www.geocities.com/aderceville/Paynel.htm - família: F-L. Jacquier (Aymeric d'Erceville) - http://www.geocities.com/aderceville/Paynel.htm

379.968.765b: Fait seigneur de Huntley par le roi Guillaume "Le Roux".

Fonts: - persona: F-L.Jacquier (généalogie Paynel - http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Paynel.pdf)

379.968.765c: Seigneur des Moutiers-Hubert et Hambye, de Drax, West-Rasen, Hooton-Paganel et shérif du Lincolnshire en 1088 puis du Yorkshire.

Residence: Hooton Pagnell, Yorkshire, England.

Fonts: - persona: N. Danican (P. Leportier, Familles médiévales normandes) 20xii05, F-L. Jacquier (Ancestry.com - Justin Swanstrom)., F-L.Jacquier - família 1: F-L. Jacquier (Ancestry.com - Justin Swanstrom). - família 2: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.968.765d: Fonts: - persona: F-L.Jacquier (généalogie Paynel - http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Paynel.pdf)

379.968.765f: Fonts: - persona: F-L.Jacquier (généalogie Paynel - http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Paynel.pdf)

379.968.766: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected])

-5740- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas http://pierremaraine.multimania.com - naixement: F-L. Jacquier (Ancestral Roots - James S Mills Jr - March 2003). - defunció: F-L. Jacquier (Ancestral Roots - James S Mills Jr - March 2003). - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.968.767: Fonts: - família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, [email protected]) http://pierremaraine.multimania.com

379.969.127: Fonts: - naixement: C.Chéneaux - defunció: C.Chéneaux - família: L. Gustavsson/ WW-Person

379.969.127-1a: Fonts: - persona: G. Képéklian (src. Aurejac - 1er mai 2005)

379.969.127-3a: Ne figure pas comme fille d'Agnès dans ESS : JB de La Grandière 29/9/2009;

Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Marie Josée Delrieu-François Castaigne) 18 vii 2009, R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Marie Josée Delrieu-François Castaigne) 18 vii 2009, R.Dewkinandan> WW-2, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009

379.969.127-3c: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.969.127-3d: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.969.127-3e: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.969.136: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

379.969.137: Fonts: - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

379.969.536: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 124, sgrs de Lèves, 1990) 15 v 2016 -5741- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.970.048: Seigneurie de Limoges-Fourches, 77.

Ansoud II Le Riche de Paris joua un rôle important dans les affaires de son temps. Le 3 juillet 987, Hugues Capet ceignait la couronne royale. Les guerres qu’il allait être forcé de soutenir, contre son compétiteur et contre ses sujets rebelles, devaient entraîner le nouveau roi en dehors du duché de France ; il importait à Hugues d’avoir un lieutenant fidèle et expérimenté qui pût le remplacer soit dans l’administration du Parisis, soit à la tête de l’armée.

Le roi songea à son ami Bouchard de Vendôme ; le comte de Corbeil fut nommé comte royal de Paris, cornes regalis ; sous ce titre, il était non pas vassal, mais officier [Eudes de Saint-Maur, op. cit., page XIII]. En outre, le 1er janvier 988, Hugues Capet fit sacrer son fils Robert et lui donna un conseil de régence pour exercer le pouvoir dans la part du royaume concédée à Robert, durant la minorité de celui-ci.

Ce conseil se composait de Bouchard, de Hugues comte de Dreux, d’Ansoud Le Riche et de Hugues vicomte de Meulan ; leurs signatures sont au bas d’un [Historiens de France, X, p. 574. — Gallia christiana, VII, instr., col. 25. - De Lasteyrie, Cartulaire général de Paris, tome I, pp. 97, 101, 112] du roi Robert, daté de la deuxième année du règne, et il est difficile de ne pas y voir les quatre grands officiers de la couronne.

De la vie privée d’Ansoud II, il nous reste bien peu de chose. En juin 990, une charte de Cluny, datée de Vitry en Mâconnais, tout près du monastère, constate la vente au prêtre Gerbaud d’un champ dans cette localité par Ansoud et sa femme Reitrude. Ansalt et uxor sua Rotrudis qui vindicione ista fierint et firmare rogaverunt [Bruel, Chartes de Cluny, III, p. 71]. A Dijon où les descendants d’Ansoud occupèrent la vicomté, un climat s’appelait les vignes de Reitrude, ad vineas Retrudis, et l’église Saint-Étienne en possédait une partie ; Reitrude n’était-elle pas originaire de Dijon et peut-être parente de Humbert de Mailly ? Le 1er mars 1006, Ansoud assista à la cour plénière de Corbeil où Bouchard dicta ses dernières volontés [Tardif, Monuments historiques, n° 247], S. Ansoaldi Divitis Parisii ; cette amitié n’a rien qui surprenne, puisque, habitant la même ville, les deux conseillers royaux étaient devenus promptement amis. N’est-ce point à sa considération que Bouchard avait épargné Ménard, lors de la restauration de Saint-Maur ?

Le 11 novembre 1006 [Archives nationales, K. 18, n° 8. — Tardif, Monuments historiques,n° 254. - J. Depoin, Recueil des chartes et documents de Saint-Martin- des-Champs, n° 4], avec sa femme Reitrude, Ansoud donna aux chanoines de Saint- Denis de la Châtre sept manses et demie à Fourches dans le Parisis ; la donation ratifiée par Renaud II, comte de Melun et évêque de Paris, fut confirmée par un diplôme de Robert le Pieux. Peu après, Ansoud y ajouta [Archives nationales, K 18,n° 7. - Tardif, op. cit., n° 255. - J. Depoin, op. cit., n° 5. - Limoges-Fourches, commune du canton de Brie-Comte-Robert, arrondissement de Melun (Seine-et- Marne)] la villa de Limoges-en-Brie avec l’église et toutes ses dépendances. Un acte postérieur [Gallia christiana, VIII, instr. col. 49. - J. Depoin, Recueil de chartes et documents de Saint-Martin-des-Champs, I, page 260] attribue à Ansoud et à Reitrude la fondation de l’église Saint-Denis de La Châtre, et la dotation de la collégiale à l’aide de biens dépendant en fief de l’évêché de Paris, notamment des dîmes de Marcoussis et de Nozay [Marcoussis, arrondissement de Rambouillet, canton de Limours (Seine-et-Oise).

Nozay, arrondissement de Versailles, canton de Palaiseau] ; ces deux seigneuries -5742- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas se trouvent encore, un siècle plus tard, entre les mains des Le Riche issus de Lisiard, fils d’Ansoud, ainsi qu’il appert de divers textes du cartulaire de Longpont [Cartulaire de Longpont, n° 247, 288, etc.]. Malgré les liens qui l’attachaient de plus en plus au Parisis, Ansoud conserva des possessions importantes en Bourgogne ; peut-être fut-il vicomte d’Auxerre, comme nous l’avons présumé de son père. Une bulle du pape Benoît VIII adressée en 1016 aux évêques de Bourgogne, pour obliger les spoliateurs de Cluny à restituer les biens qu’ils avaient détournés, réclame l’appui des notabilités du pays et leur envoie la bénédiction apostolique, domno Wigoni vicecomiti et fratri ejus domno Willelmo, domno quoque Odulrico, et domno Ansoldo et ceteris principibus et optimatibus totius Burgundiae [Historiens de France, X, p. 434].

De son mariage avec Reitrude, Ansoud Le Riche de Paris eut au moins huit enfants :

 Thion d’Etampes, prévôt de Paris en 1082, que sa charge nous fait considérer comme l’aîné et sur lequel nous reviendrons;  Guérin qui suit,  Lisiard,  Gautier,  Guy,  Herbert,  Hécelin de Paris qui vivait en 1035 [Historiens de France, XI, page 570. - Labbe, Spicilegium, V, p. 552], et peut-être :  Thibaud File-Étoupes, forestier du roi Robert et souche par les femmes des seigneurs de Montlhéry [P. Anselme, Histoire de la maison de France, III, p. 666. — J.Depoin, Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise, page 486. - Cartulaire de Longpont].

Lisiard, archidiacre de Meaux en 1011, faisait résider à sa place un certain Gilon [Du Plessis, Histoire de l’église de Meaux, I, page 106 ; II, page 7, n° 8. - Guérard, Cartulaire de Notre-Dame, I , page 321] ; archidiacre de Paris quelques années plus tard, il s’empara de l’évêché de Meaux vers 1026 sans l’autorisation du roi et des autres évêques de la province, grâce à l’appui du comte Etienne, puis de son successeur Eudes. Par les démarches de Fulbert, évêque de Chartres, dont il nous reste cinq lettres [Historiens de France, X, pages 470-478. - M. Lecomte, Chronologie des évêques de Meaux, II, page 474] relatives à cette affaire, l’usurpation ne fut pas de longue durée ; Lisiard, excommunié par l’archevêque de Sens, dut se soumettre et rentra en grâces [Gallia Christiana, VII, col. 193]. Il reprit ses fonctions d’archidiacre, et à l’avènement d’Imbert de Vergy sur le siège de Paris, il se donnait en même temps le titre de doyen de Notre-Dame [Guérard, Cartulaire de Notre-Dame, I, passim.]; son dernier acte,dont la date paraisse certaine, est de 1045 [Archives nationales, K 19. n°2.6 - Dom Bouillart, Histoire de Saint-Germain des Prés, pr., n° XXXIV. - R. Poupardin, Recueil des chartes de Saint-Germain-des-Prés, n°58].

Jean-Pierre de Palmas : Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais, tome XXX, Fontainebleau, 1912.

Liens externes Les Le Riche, ascension d'une famille à travers ses alliances, sous les premier capétiens Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise) v 2010, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011, JB.de La -5743- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Grandiere (ajout fiefs et localisation) 23 i 2012 - família: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise) v 2010, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011, JB.de La Grandiere (Gustave Estournet "Les origines des sgrs de Nemours II " Annales Sté Gâtinais p 33 Fontainebleau 1912) 23 i 2012

379.970.049: Fonts: - persona: G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011 - família: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise) v 2010, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011, JB.de La Grandiere (Gustave Estournet "Les origines des sgrs de Nemours II " Annales Sté Gâtinais p 33 Fontainebleau 1912) 23 i 2012

379.970.049a: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Histoire genealogique de la maison, de France. Rev. et augm. en , Volume 1) 14 x 2014 - família: J-P.de Palmas (Histoire genealogique de la maison, de France, Par Scevole et Louis de Sainte-Marthe ) 14 x 2014

379.970.049c: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX, Fontainebleau, 1912) v 2010 - família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

379.970.049e: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX, Fontainebleau, 1912) v 2010

379.970.049f: Gautier, vicomte d’Auxerre, que nous avons proposé de rattacher à Ansoud II, n’est connu que par la mention de l’obituaire au 18 août : de ce Gautier descendait sans doute Lisiard, chanoine de la cathédrale d’Auxerre, dont l’anniversaire était célébré au 3 mars.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX, Fontainebleau, 1912) v 2010

379.970.049g: Guy Le Riche, dit le Bourguignon par opposition aux Le Riche de Paris et de Senlis, fut vicomte de Dijon vers 1006, sous la dépendance de son cousin Humbert de Mailly, ainsi qu’il a été exposé. En 1030, il assista au jugement de Robert le Pieux contre le voyer de Guérin à Antony, Fulco miles Silvanectensis, Wido miles cognomento Burgundiolus [R. Poupardin, op. cit., I, p. 79]. En 1043, il souscrivit une donation de Robert, duc de Bourgogne, pour l’abbaye de Saint-Germain-des- Prés [R. Poupardin, op. cit., I, p. 93. - Historiens de France, XI, page 609. - Pérard, op. cit., p. 189]. La même année, il abandonna sa charge à son fils aîné Gautier, ainsi qu’il ressort d’une donation faite par lui à Saint-Bénigne de Dijon. S. Widonis militis Divionensis, S. Walterii vicecomitis filii praedicti Widonis, S. Wilenci fratris

-5744- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Walterii [Historiens de France, XI, page 611]. En 1053, une charte est signée par Guy Le Riche et deux de ses fils, S. Widonis Divitis, S. Walterii filii ejus et vicecomitis, S. Widonis fratris ejus [Historiens de France, XI, page 614. - R. Poupardin, op. cit., I, page 97].

L’année suivante, le cartulaire de Saint-Bénigne de Dijon nous offre encore sa souscription. S. Widonis, S. Walterii vicecomitis filii ejus [Historiens de France, XI, p. 6l5]. Vers cette époque, par son testament, il donne à l’église Saint-Étienne de Dijon un manse sis à Bréchon avec toutes ses dépendances du consentement de ses fils Garnier, archidiacre de Bassigny au diocèse de Langres et abbé de Saint- Étienne de Dijon ; Gautier, vicomte de Dijon ; Hugues leur frère, et Guy leur neveu, laudantibus meis filiis Warnerio supradictae ecclesiae abbate, Walterio proconsule et Hugone eorum fratre et Widone eorum nepote et quampluribus Divionis castri opidanis militibus [Pérard, op. cit., p. 71. - Fyot, Histoire de l’église Saint-Etienne de Dijon, pr., n° 107].

Garnier Le Riche succéda, en 1051, comme abbé de Saint-Etienne, à son cousin Garnier de Mailly, fils d’Humbert et de Anne de Sombernon : il figure sur des chartes de 1059 et 1066 ; le 30 juin 1077, il fit consacrer son église et mourut avant 1081 [Gallia Christiana, IV, p. 752. - Fyot, op. cit., p. 81]. Gautier continua la descendance des vicomtes de Dijon.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX, Fontainebleau, 1912) v 2010 - família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

379.970.049h: Châtelain de Gallardon (Eure-et-Loir). Herbert prit sans doute le surnom de Gallardon parce qu’il avait été appelé en ce lieu, comme garde du château, par son cousin Aubert III Le Riche, neveu d’Ansoud II. En se faisant moine à Saint-Père, sous l’abbé Hubert (1064-1079), Herbert de Gallardon donna, du consentement de ses enfants, Hervé, Foucher et Guibourg, un aleu dans le Dunois à Premeville qui lui venait de sa mère Reitrude. Sa postérité a été étudiée : J. Depoin, Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise, page 468. Fonts:- persona: JB.de La Grandiere ( Gustave Estournet : "Les origines des seigneurs de Nemours", II, "Annales Sté Gâtinais", p 33, Fontainebleau 1912) 23 i 2012, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011 - família: JB.de La Grandiere (Gustave Estournet "Les origines des sgrs de Nemours II " Annales Sté Gâtinais p 33 Fontainebleau 1912) 23 i 2012, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011

379.970.049i: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX, Fontainebleau, 1912) v 2010

379.970.049j: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX, Fontainebleau, 1912) v 2010

-5745- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.970.176: Branche des seigneurs du Donjon d'Yerres

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise, Sorbonne et "Société Historique et Archéologique de Corbeil, d’Etampes et du Hurepoix (XLVIII, 1978)) v 2010 - família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012

379.970.177: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012 - família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012

379.970.192: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Joseph Depoin : "Les vicomtes de Corbeil pp. 3/12 Corbeil 1917) 29 vii 2016

379.970.196: Fonts: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012

379.970.197: Fonts: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012

379.970.197b: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 29 i 2012

379.970.210: Fonts: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

379.970.211: Fonts: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

379.970.211a: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

379.970.211b: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

379.970.240: Fonts: - persona: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006 - defunció: C-H.Maigret (T. Delvaux : " Le sang des Saint-Omer") 17 vii 2012 - família 1: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006 - família 2: J-P de Palmas (wikipedia) iv2010

379.970.241: -5746- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006 - família: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006

379.970.241b: Emmon, mort le 5 février 1078, fut comte de Looz de 1046 à 1078. Il était fils de Gislebert, comte de Looz, et d'Erlande de Jodoigne.

Certains historiens pensent qu'Emmon et son frère Otton dirigèrent conjointement le comté de Looz, mais d'autres en doutent et considèrent qu'ils se partagèrent le comté, Otton recevant le comté de Duras. Marié à Suanehilde, fille de Thierry III le Hiérosolymitain, comte de Frise Occidentale et d'Othelandis de Nordmarck, ils eurent :

 Arnoul Ier († 1139), comte de Looz  Thierry († 1125), comte de Horn  Sophie, mariée à Henri, comte de Schwalemberg  Mathilde, abbesse de Munsterbilsen en 1096

Fonts:- persona: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), J-P de Palmas (Projects- MedLands) iv2010 - família: D.Thuret (Geneanet, Josiane Lefondeur), J-P de Palmas (Projects- MedLands) iv2010

379.970.241-2a: Fonts:- persona: G.Bor/EuSt/Theroff - família: G.Bor/EuSt/Theroff

379.970.256: Louis Ier de Chiny, tué le 28 septembre 1025, fut comte de Chiny de 987 à 1025 et de Verdun de 1024 à 1025. Il était fils d'Otton Ier, seigneur de Warcq. En 1024, Raimbert, évêque de Verdun lui donna le comté de Verdun, qu'il avait repris quand le comte Hermann s'était retiré dans un monastère. le frère d'Herman, Godefroy le Barbu, qui convoitait la ville, l'envahit et tua Louis. Louis avait épousé une Adélaïde, qui donna naissance à :

 Louis II, comte de Chiny  Liutgarde, mariée à Richer de Sancy.

Source Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993 (ISBN 2- 9501509-3-4)

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et et Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens", 1993) 20 xi 2012 - família: J-P.de Palmas (FMG et et Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens", 1993) 20 xi 2012

379.970.257: -5747- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et et Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens", 1993) 20 xi 2012 - família: J-P.de Palmas (FMG et et Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens", 1993) 20 xi 2012

379.970.257b: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et et Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens", 1993) 20 xi 2012 - família: J-P.de Palmas (FMG et C.Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1, éd. P. van Kerrebrouck, 1993) 20 xi 2012

379.970.280: Doublon avec Rainier de Hainaut ?

Fonts: - persona: P.de Lacoste (Notice historique et généalogique sur les Seigneurs de Braine-le-Chateau, Corneille Stroobant) 27 vi 2017 - família: P.de Lacoste (Notice historique et généalogique sur les Seigneurs de Braine-le-Chateau, Corneille Stroobant) 27 vi 2017

379.970.281: Doublon avec Mathilde d'Arleux ?

Fonts: - persona: P.de Lacoste (Notice historique et généalogique sur les Seigneurs de Braine-le-Chateau, Corneille Stroobant) 27 vi 2017 - família: P.de Lacoste (Notice historique et généalogique sur les Seigneurs de Braine-le-Chateau, Corneille Stroobant) 27 vi 2017

379.970.288: Fonts: J-M.Thiebaud (Généalogie Pire-Sechehaye) 6 vi 2011

379.970.289: Fonts: - família: J-M.Thiebaud (Généalogie Pire-Sechehaye) 6 vi 2011

379.971.592:  1065 : fait don d'un précieux reliquaire à l'abbaye de Saint Aubert de Cambrai.  1067 : souscrit la charte de la dédicace de l'église de Saint Martin des Champs promulguée par le roi Philippe 1er.

Fonts: - persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825. - família: T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de France - t1)

379.971.593: Fonts: - família: T. Denis (St-Allais : Nobil. univ. de France - t1)

379.971.593c: Fonts: - persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.

-5748- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.971.593d: Fonts: - persona: C.Maubois 14.05.2009 "histoire généalogique et héraldique des pairs de France"de JB de Courcelles, 1825.

379.971.844: Fonts:c- família: Y. Gobilliard (16-7-06)

379.971.845: Fonts: - família: Y. Gobilliard (16-7-06)

379.971.904: Le premier à filiation assurée mentionné dans le travail de Jacques Duguet (1994). Rien ne dit qu'il soit bien le fils d'Aimery II et d'Aliénor ! Source: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

Ascendance à revoir. C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 11i2015

-5749- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

J-P de Palmas (Christian Settipani, La noblesse du Midi carolingien, 2000) 29 i 2015

ARBERT [I] de Thouars, son of AIMERY [II] Vicomte de Thouars & his [first] wife Aliénor [Hardouine] --- (-[before 13 May] 988). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. Vicomte de Thouars.

-5750- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "Guillelmus…Aquitanici ducatus comes" was present in a property transaction recorded by charter dated Jul 959 subscribed by "…Arberti vicecomiti…"[1544]. "Aimericus et uxor sua…Milesenda" sold "salina mea…in pago Alieninse in marisco…Truncca" to "Mainardi vicecomes et coniux sua Rixenda" by charter dated Feb 957 or 960, signed by "…Arbertus vicecomes, Hadelus vicecomes…"[1545]. "Adraldo vicecomes, Arbertus vicecomes, Kadeloni vicecomes…" subscribed the charter dated Jan 969 under which "Wilelmus…Aquitaniensium dux et cœnobii…Hylarii abbas" donated property to "Mainardo", at the request of "patruus noster domnus Ebolus, sancte Lemovicensis sedis episcopus atque…beati Hylarii archiclavus"[1546]. "…Arberti vicecomitis…" subscribed the charter dated Jan [965/66] under which "Ebulus…Lemovicensium sedis episcopus" donated property to Saint- Maixent[1547]. m ALDEARDE d'Aulnay, daughter of CADELON [II] Vicomte d'Aulnay & his first wife Sénégonde --- (-[1020]). "Senegundis" donated property "in pago Alnisio" to the Saint-Maixent by charter dated May 964 subscribed by "Cadelonis, Ebulonis, Ode, Aldeardis, Goscelmi"[1548], "Aldeardis" presumably referring to her daughter. "Audeardis et filii meum" returned property to Saint-Maixent by charter dated 13 May 988 which refers to the burial of "Arbertum seniorem meum" and was subscribed by "…Aimerici filii sui…"[1549]. "…Hildegardis matris eius…" subscribed the charter dated [994/95] under which "Aimericus vicecomes Toarcensium…uxori meæ Eluis" donated property "in pago Toarcinse in vicaria ipsius castri" to the abbey of Saint-Florent near Saumur[1550]. The document which links these references and confirms that Aldéarde, wife of Vicomte Arbert [I], was the daughter of Vicomte Cadelon [II] has not so far been located. She married secondly (before 13 May 988) as his second wife, Arnaud "Mancer" Comte d'Angoulême. An agreement between the of Jumièges and Bougeuil concerning an exchange of land in Poitou, by charter dated [13 Apr/4 Apr] 1012, is subscribed by "Richardus…filius Ricardi principi magni…Vuillelmus Pictavorum comes…Rodulfus vicecomes et uxor eius [not named] et mater eius Heldiardis et Gosfredus frater eius"[1551].

Arbert [I] & his wife had five children.

[1544] Saint-Maixent, Vol. I, XX, p. 32. [1545] Nouaillé, 61, p. 103. [1546] Saint-Hilaire de Poitiers, XXXVI, p. 40. [1547] Saint-Maixent, Vol. I, XXXIII, p. 48. <

<<1548] Saint-Maixent, Vol. I, XXX, p. 45.

[1549] Saint-Maixent, Vol. I, LVI, p. 171.

[1550] Saint-Florent, Saumur XXXIV, p. 47.

[1551] Jumièges, Tome I, 7, p. 16.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net, L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé),J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre, J-P.de Palmas (FMG) 30 i 2015 - família: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010, L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé), J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

-5751- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.971.905: Paraît en 969, 973, 988 et 992 dans le travail de Jacques Duguet (1994). J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

Aldéarde (ou Hildegarde) fille de Cadelon Ier, vicomte d'Aulnay et de Sénégonde de Marcillac. En 971, Aldéarde fonde l'église d'Airvault, elle mourut après l'an mil. Herbert et Aldéarde eurent plusieurs enfants : Aimery III, Savary III, Raoul Ier, Thibault et Geoffroy. Aldéarde est restée célèbre par la mésaventure qui lui est arrivée vers les années 980. Ayant eu une liaison avec le comte de Poitiers Guillaume Fier à Bras, elle s'est trouvée exposée à la vindicte de la femme de ce dernier, Emma de Blois. Emma se vengea en faisant rudoyer et violer sa rivale lors d'une rencontre. Emma se réfugia alors dans le château de Chinon, où elle attendit que son mari lui pardonne cette action. [J-P de Palmas voir les Les vicomtes de Thouars]

Fonts: - persona: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010, F-L. Jacquier (Claude Barret) http://www.claude.barret.net, J-P.de Palmas (FMG) 30 i 2015 - família 1: C. Denancé (courriel E. Prud'homme: Ph. Le Barbier CG22) 15 vii 2010, L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé), J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006 - família 2: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

379.971.905d: Paraît dans un acte de donation de son père du 13/05/988. J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

379.971.905e: Paraît dans un acte de donation de son père du 13/05/988.

Source : J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

379.972.100: Fonts: - persona: Aurejac - família: R.Dewkinandan> WW-2, J-P de Palmas (wikipedia)

379.972.101: La Reine Berthe et les fileuses, 1888

-5752- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas par Albert Anker (1831-1910)

BERTA (-after 2 Jan 966). Liutprand names "Bertam Suevorum ducis Bruchardi filiam" as wife of "Rodulfus rex Burgundionibus"[66]. The Annales Sangallenses record the marriage in 922 of "filiam Purchardi ducis" and "Ruodolfus rex"[67]. "Berta matre nostra" is named in the charter of "Chuonradus rex" dated 8 Apr 962[68]. Luitprand records the marriage of "Burgundionum rex Rodulfus…viduam Bertam" to King Ugo[69]. m firstly (922) RUDOLF II King of Upper Burgundy, son of RUDOLF I King of Upper Burgundy & his wife Willa [de Vienne] (-937). m secondly (12 Dec 937) as his fourth wife, UGO King of Italy, son of THEOTBALD Comte d'Arles & his wife Berta of Lotharingia [Carolingian] ([880]-10 Apr 947).

[66] Liudprandi Antapodosis II.60, p. 299.

[67] Annales Sangallensis 922, MGH SS I, p. 78.

[68] Cluny II.1127, p. 217.

[69] Liudprandi Antapodosis IV.12, MGH SS III, p. 318.

Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, J-P.de Palmas (FMG) 21 viii 2012 - família 1: R.Dewkinandan> WW-2, J-P de Palmas (wikipedia) - família 2: R.Dewkinandan> WW-2

379.972.101a: Burchard Ier (Né vers 923 - Mort le 22 juin 963) était un homme d'Église français qui fut archevêque de Lyon (948-963).

Fils du roi Rodolphe II de Bourgogne, et de Berthe de Souabe dite La Filandière. Frère du roi Conrad le Pacifique et de l'impératrice Adélaïde de Bourgogne, épouse de l'empereur Otton Ier du Saint-Empire. Archevêque de Lyon (948-963), il restaura le monastère de Savigny et lui donna une règle.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia)

379.972.104: Père très probable de Guillaume !

Note de : J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010

Il usurpe le titre comtal d'Auvergne vers 986.

Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12 v 2006, J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010 - família: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006, J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010 -5753- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.972.105: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006, J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010 - defunció: J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010 - família: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006, J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010

379.972.174: Fonts: - família: F-L. Jacquier (Dirck Peters - Rootsweb) 10-07-2007

379.972.175: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Dirck Peters - Rootsweb) 10-07-2007 - família: F-L. Jacquier (Dirck Peters - Rootsweb) 10-07-2007

379.972.212: Fonts: - defunció: L. Gustavsson/ WW-Person

379.972.213: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

379.972.224: Freelannus de Camiliaco, senior castri de Sinemuro. J-C de Vaugiraud (Memoires de la Societe eduenne, 1887, P. 254) 15/06/2010

Pour les seigneurs de Semur voir l'abbé Cucherat: Mémoires de la Société éduenne (1872), Ou, plus facile à consulter voir: Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F. Cucherat, Mémoires de la Société Eduenne, Tome 15 (1887) et tome 16 (1888)

Voir (avec précautions, des erreurs) Louis Chasot de Nantigny, Les généalogies historiques, T. IV, Les généalogies historiques des rois, ducs, comtes de Bourgogne (Tableau P. 64): http://books.google.fr/books?id=pq1BAAAAcAAJ&pg=PA62&dq=

Froilan, fils de Guillaume, deuxième baron de Semur comte du Brionnais.

Je ne puis que transcrire ici ce que disent de Froilan de Semur MM. de Reffye et de Montmegin : « Au temps de Froilan de Semur, le Brionnais se sentit de l'irruption des Normands dans la Bourgogne. Chacun ayant couru aux armes, il n'est pas à présumer que ce seigneur, l'un des plus puissants vassaux du souverain, soit demeuré dans une honteuse inaction, et n'ait point aussi couru avec les siens à la défense du pays que l'ennemi inondait de toutes parts. On se battit auprès de Charolles, qui n'est éloigné de Semur que de quatre lieues ou environ. » Vers 892. Courtépée constate les mêmes malheurs, sans pouvoir donner plus de détails : « Semur, dit-il, a essuyé bien des révolutions. Les Normands, les Hongrois, qui ravagèrent la Bourgogne, portèrent la désolation jusques aux rives de la Loire et

-5754- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas saccagèrent cette ville [Descript hist du duché de Bourgogne, édit. de 1779, t. IV, p 187, l. 16, 22, etc. A la page 179, l. 16, Courtépée dit : « Semur au neuvième siècle était une châtellenie qui relevait des comtes de Chalon » Depuis le milieu du neuvième siècle, la baronnie de Charolles relevait de Chalon : le Brionnais formait une petite souveraineté indépendante.] On ignore le nom et la famille de la baronne de Semur, femme de Froilan. Ils eurent de leur mariage au moins les quatre enfants dont les noms suivent :

1° Artaud de Semur, nommé dans le Cartulaire avec son père et ses frères ; 2° Joceran, qui suit ; 3° Froilan, surnommé le Blanc, qui eut Briennon pour apanage et fut la souche d'une grande et puissante maison appelée des Blancs, laquelle au temps de saint Hugues fît, sur cette paroisse, des donations au prieuré de Marcigny ; 4° Dalmace de Semur dont on ignore la destinée.

Jean-Pierre de Palmas : Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F. Cucherat, Mémoires de la Société Eduenne, Tome 15 (1887) et tome 16 (1888)

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306) 07/09/2008; Jean-Marie Thiébaud (cartulaire de Marcigny) 28 viii 2009 - família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306) 07/09/2008, J-P.de Palmas (Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F.Cucherat, 1887-1888) 25 iv 2013

379.972.225: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306) 07/09/2008 - família: J-C de Vaugiraud (C.Settipani: la noblesse du midi carolingien p 306) 07/09/2008, J-P.de Palmas (Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F.Cucherat, 1887-1888) 25 iv 2013

379.972.225a: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F.Cucherat, 1887-1888) 25 iv 2013

379.972.225c: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F.Cucherat, 1887-1888) 25 iv 2013

379.972.225d: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Semur-en-Brionnais, ses barons, ses établissements civils, judiciaires et écclésiastiques depuis l'an 860 jusqu'à nos jours, par l'abbé F.Cucherat, 1887-1888) 25 iv 2013

379.972.228: Les évêchés étaient parfois considérés comme des biens patrimoniaux, et il n’est pas rare de voir un siège occupé durant plusieurs générations par des clercs de la -5755- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas même famille. Or, après Jean, fils d’Ansoud et de Raingarde, l’évêché d’Auxerre fut donné à Hugues [Voir la généalogie des vicomtes de Dijon dans F. Lot, Les derniers Carolingiens, p. 324 et suivantes. - J.L. Bazin, Les comtes héréditaires de Chalon- sur-Saône, pp. 18-40], fils de Lambert, comte de Chalon, et petit-fils de Robert, vicomte de Dijon. D’autre part, au mois de décembre 958, avec sa femme Engeltrude et son fils Lambert, Robert, vicomte de Dijon, donna à Saint-Benoît-sur- Loire, pour le repos de l’âme de Raingarde, la chapelle Notre-Dame sur l’Arroux, au pays d’Autun, avec ses serfs et ses dépendances, et ce qu’il possédait à Mauny [Pérard, Recueil de plusieurs pièces servant à l’histoire de Bourgogne, page 39. - Prou et Vidier, op. cit., p. 131].

Le nom de Raingarde, assez rare d’ailleurs, ne saurait viser la concubine de Hugues le Grand, qui se remaria vers la fin de 956 avec Ansoud, et lui donna plusieurs enfants ; ici il ne peut indiquer que sa mère, mère en même temps du vicomte Robert. L’identification nous paraît d’autant plus probable que, un demi-siècle plus tard, la famille Le Riche détenait la vicomté de Dijon après extinction des héritiers directs de Robert. En 1006, Humbert de Mailly tenait la ville et le comté de Dijon en fief de Hugues II de Beaumont. Humbert, le plus puissant seigneur du pays, avait épousé Anne, fille aînée de Garnier, sire de Sombernon

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (généalogie des vicomtes de Dijon dans F. Lot, Les derniers Carolingiens, p. 324 et suivantes. - J.L. Bazin, Les comtes héréditaires de Chalon-sur-Saône) 27 i 2012 - família: F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac - GeneaNet "aurejac") 27-04-2006

379.972.229: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac - GeneaNet "aurejac") 27-04-2006 - família: F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac - GeneaNet "aurejac") 27-04-2006

379.972.432: [P. 33] "Dhondt a démontré qu'Adalolfe avait deux fils, qui se révoltèrent avec l'espoir de récupérer les possessions méridionales de leur père. L'oncle réussit à éliminer l'un de ses neveux rebelles, mais le survivant, qui portait aussi le prénom d'Arnoul, poursuivit la lutte jusqu'à ce que l'empereur Lothaire intervienne pour le réconcilier avec son parent." [P. 36] "Après avoir récupéré les possessions de son père, Arnoul de Boulogne- Thérouanne n'apparaît plus guère dans les sources. Un acte de 972 le qualifie de comes Bononiesis On ne sait à peu près rien sur son successeur à la tête du Boulonnais." J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005 P. 33 et 36) 15 x 2011

A comparer au travail des bénédictins qui disent: "965. Ernicule, ou le petit Arnoul, fut mis en possession par Guillaume, son père, du comté de Boulogne, séparé des comtés de Saint-Pol et de Guines. II s'y maintint malgré les effort qne fit le danois Sifroid pour le déposséder (Voy. les comtes de Ponthieu). On voit une charte de Saint-Pierre de Gand, qu'il signa l'an 972 ; mais on ne trouve plus de traces de son existence depuis ce tems-là. Lambert d'Ardres lui donne une fille, Mathilde, femme d'Ardolphe, comte de Guines, avec deux fils, Ernulphe et Eustache, morts vraisemblablement avant lui, et inhumés l'un et l'autre, suivant le même auteur, à l'abbaye de Samer" - Grande divergence: les bénédictins le disent fils de Guillaume, comte de Ponthieu, ce qui est contredit par J-F. Nieus ? La fourchette floue dans ce que nous connaissons, 972 à 988, laisserait place pour le comte Guy à la barbe blanche, attesté par les bénédictins (mais non repris par les auteurs modernes). -5756- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Mais comment intercaler ce dernier qui pourrait aussi bien être un frère cadet qu'un fils aîné d'Arnoul ? A approfondir. J-C de Vaugiraud (L'art de vérifier les dates, reédition 1818, T. XII, P. 348) 19 x 2011

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Paul D. Abbot: Provinces, pays and seigneuries of France: Boulonnais, p 118-119) 28/02/2010, J-C de Vaugiraud (C. Dehay: Histoire des territoires ayant formé le département du Pas-de-Calais, 1946, P. 49) 16 x 2011 - defunció: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 36) 15 x 2011 - família 1: J-C de Vaugiraud (Paul D. Abbot: Provinces, pays and seigneuries of France: Boulonnais, p 118-119) 28/02/2010 - família 2: J-C de Vaugiraud (L'Art de vérifier les dates, reédition 1818, Volume 12, P. 348-349) 19 x 2011

379.972.433: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Paul D. Abbot: Provinces, pays and seigneuries of France: Boulonnais, p 118-119) 28/02/2010 - família: J-C de Vaugiraud (Paul D. Abbot: Provinces, pays and seigneuries of France: Boulonnais, p 118-119) 28/02/2010

379.972.433a: Attention, ce n'est qu'une hypothèse d'attache

Si le personnage n'est pas légendaire, son attache, que nous avons mise suivant la proposition des bénédictins, n'est nullement assurée. Si il est le fils d'Arnoul de Boulogne (qui ne s'est probablement pas marié avant 935), il est peut-être un peu jeune pour avoir une barbe blanche ? J-C de Vaugiraud (réflexion) 19 x 2011

"Guy, comte de Boulogne, surnommé Barbe-Blanche, donna en 986, au monastère de Samer, où il fut enterré, plusieurs biens situés dans le Boulonnais, entre autres la terre de Fromessent (Dubuisson, man. de la bibliothèque de Boulogne, f. 262.)" J- C de Vaugiraud (Bulletin de la Commission des Antiquités Départementales du Pas- de-Calais, 1862, T. II, P. 66) 19 x 2011

"Gui à la Barbe blanche ne figure que dans un fragment de généalogie en langue romane, que Duchesne déclare contemporaine de Louis IX et dont tous les détails sont fort invraisemblables." J-C de Vaugiraud (Recueil des bulletins Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Commission royale d'histoire, 1898, P. 412)

A comparer au travail des bénédictins qui disent: "Gui, à la Barbe Blanche, fut le successeur d'Ernicule, dont il était peut-être fils. Malbrancq dit au contraire qu'il c'était son père, mais il ne donne aucune preuve de cette opinion. Gui fit du bien à l'abbaye de Samer, ou il eut sa sépulture, comme ses prédécesseurs. L'ancienne généalogie des comtes de Boulogne, composée sous le règne de saint Louis, lui donne trois fils et deux filles. Le premier est Baudouin, qui suit; le second, Hugues, à qui son père, dit l'écrit cité, donna le comté de Saint-Pol (ce qui est contredit par Lambert d'Ardes, qui fait Hugues premier comte de Saint-Pol, fils de Roger, lequel eut pour bisaïeul Guillaume Ier, comte de Ponthieu); le troisième fils est Guillaume, comte de Guines , ou plutôt de Marck, selon Malbrancq. L'aînée des deux filles de Gui se nommait Alix, ou Adélaïde: son père, en la mariant à un comte de Hollande, lui donna la terre de Varenne. La seconde, Béatrix, épousa le comte de Frise, à qui elle porta en dot la terre de Terrouenne. Telle fut la famille de Gui, suivant la -5757- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas généalogie dont nous venons de parler. (Du Chêne, Génèal. de la M. dé Guines, pr., p. 5.)." Attention très grandes divergences d'après les sources ? J-C de Vaugiraud (L'art de vérifier les dates, reédition 1818, T. XII, P. 349) 19 x 2011

Le monastère bénédictin de Samer (Salviniacum) près de Boulogne, qui prendra plus tard le nom d'abbaye Saint-Wulmar.

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Hypothèse d'attache) 19 x 2011

379.972.433c: "C'est avec le second des petits-fils d'Adalolfe, souvent dénommé Arnoul de Ternois, que l'on se rapproche doucement du futur comté de Saint Pol." J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005) 15 x 2011

J-F Nieus montre, page 42, qu'Arnoul "exercait le "comitatus manarchiam" suivant l'expression forte des Miracula, et imposait une autorité directe dont la captation des biens d'église [de l'abbaye Sainte Berte] sous couvert de l'avouerie."

Source : J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005) 18 x 2011

[P. 46] "S'il faut en croire les Miracula de Sainte Berthe, le comte avait au moins deux fils. Ont-ils disparus avant leur père ? Ont-ils été écartés sous la contrainte ?." [Note 87] "Miracula Sanctae Bertae c. 12, ed. J-B. Solerius, P. 57: Arnoul apparaît "cum uxore sua et filiis""

Source : J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005 P. 46) 15 x 2011

Et après lui Le premier comte de saint-Pol sera Roger N. La ville de Saint-Pol fait partie des territoires du Ternois, et était donc avant sous le contrôle d'Arnoul de Boulogne. Comme nous savons qu'un oncle de cet Arnoul, autre Arnoul protégeait ces territoires façe aux normands. [P. 39] "Le contrôle des pays méridionaux était d'ailleurs indispensable pour Arnoul, dont la lutte contre l'influence normande fut un souci majeur durant tout son principat.", nous avons la preuve que le Ternois (puis Saint-Pol) étaient zone sensible entre Flandres et Normandie.

Source : J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005 P. 39) 15 x 2011

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (C. Dehay: Histoire des territoires ayant formé le département du Pas-de-Calais, 1946, P. 49) 16 x 2011 - família: J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 46) 18 x 2011

379.972.444: Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac),JL.Mondanel (généalogie Limbourg) 30 iii 2011 - família: F d'Avigneau (geneanet aurejac) -5758- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.972.445: Fonts: - persona: E.Visseaux (J.M.Gil) - família: F d'Avigneau (geneanet aurejac)

379.972.445b: Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Limbourg) 30 iii 2011 - família: JL.Mondanel (généalogie Limbourg) 30 iii 2011, JB.de La Grandiere ( qui corrige un salmigondi à l'aide de ES Europäische Stammtafeln t I-2 p. 229 (Limbourg) 1999 ) 2 v 2013

379.972.456: Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

379.972.457: Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

379.972.560: Rie

From Ryes, three leagues north of Bayeux. "Geoffrey de Rie was living c. 980. His son Odo Fitz Geoffrey gave half the church of Rie to Fescamp Abbey, which was confirmed 1027 by Richard II. of Normandy (Neustria Pia, 218)."—The Norman People. It was Hubert de Rie, who, in 1047, saved the life of the young Duke of Normandy—the future Conqueror of England—when flying from the conspirators of the Cotentin. He had made his escape by night from Valognes, without armour or attendants, and "dared not," says Wace, "turn towards Bayeux, for he knew not whom to trust, so he took the way which passes between Bayeux and the sea. And as he rode through Rie before the sun rose, Hubert de Rie stood at his gate, between the church and his castle, and saw William pass in disorder, and that his horse was all in a sweat. 'How is it that you travel so, fair sire?' said he. 'Hubert,' said William, 'dare I tell you?' Then Hubert said, 'Of a truth,' most surely! say on boldly!'—'I will have no secrets with you; my enemies follow seeking me, and menace my life. I know that they have sworn my death.' Then Hubert led him into his hostel, and gave him his good horse, and called forth his three sons. 'Fair sons,' said he, 'muntez! muntez! Behold your lord; conduct him till ye have lodged him in Falaise. This way ye shall pass; it will be ill for you to touch upon any town.' So Hubert taught them well the ways and turnings; and his sons understood all rightly, and followed his instructions exactly. They crossed all the country, passed Folpendant at the ford, and lodged William at Falaise. If he were in bad plight, what matters so that he got safe?

"Hubert remained standing on his bridge: he looked out over valley and over hill, and listened anxiously for news, when they who were pursuing William came spurring by. They called him on one side, and conjured him with fair words to tell if he had seen the Bastard, and whither and by what road he was gone. And he said to them, 'He passed this way, and is not far off; you will have him soon: but wait, I will lead you myself, for I should like to give him the first blow. By my faith I pledge you my word that if I find him, I will strike him the first blow if I can.' But Hubert only led them out of the way till he had no fear for William, who was gone by another route. So when he had talked to them enough of this and that, he

-5759- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas returned back to his hostel."—Roman de Rou.

From Falaise, the young Duke, well out of reach of his pursuers, went to seek and obtain the succour of the King of France, and returned to win the decisive victory of Val-es-dunes. He never forgot the man who had done him so signal a service,[28] and Hubert de Rie remained through life his friend and counsellor. When Edward the Confessor, shortly before his end, sent over a messenger to Normandy, requesting that some trustworthy envoy might go to him on the Duke's behalf, a great council was called together by William, to consider the choice of a representative. But the assembled nobles, one and all, hung back. They would not undertake the embassy to England. "They remembered what had been done at Guilford" (the massacre of the Norman companions of the son of Ethelred) "and refused to visit the barbarous people." Then Hubert de Rie stepped forward, volunteered to take upon himself the risk and the responsibility, and, "praised by all and rewarded by the Duke," set forth on his mission with a great train, picked men on splendidly trapped horses, equipped with all the pomp the Norman court could furnish. He was well received by Edward, who presented him with some lands in Esce (Ashe in Hampshire): and returned to Normandy with "the promise of the kingdom, and the tokens confirming the promise:" a two-handled sword of which the hilt enclosed the relics of certain saints, a hunter's horn of gold, and a great stag's head.

For this second important service, the grateful Duke promised him the office of Dapifer: but, soon after the Conquest, disturbances broke out in Cennomania which Hubert, "prompt of hand and good at council," was sent over to quell, and we do not hear of him again in England. He was then an old man, and must have died before 1086, as his sons only are entered in Domesday. There were four: Ralph, Hubert, Adam, and Eudo, all of them magnificently endowed by the Conqueror.

1. Ralph, who, like Adam and Eudo., was generally called Fitz Hubert, was Castellan of Nottingham, and held land in Leicester, Stafford, Nottingham, and Lincoln; but the head of his great barony was Crich in Derbyshire, where he had received the whole estate of a rich Saxon named Levenot, comprising thirty-six manors. Dugdale asserts that he was hung in 1140 for "divers crimes and cruelties"; but, as he was old enough to be the Duke's guide across country in 1044, he must then have been for many years resting in his grave.[29] The senior male line of the house ended with his grandson Hubert, who died about 3 Hen. III., and left two daughters. Julian, the eldest, married Ansger de Frecheville, and the Derbyshire lands continued vested in her descendants till they died out in the reign of Charles II. One of the manors that Ralph held at Domesday—Whitwell, was, however, for several centuries the seat of a junior branch of the family; till in 1583, Edward Rye, then its representative, sold his ancient home, and is lost sight of altogether.

2. Hubert, the next brother, founded another baronial family, which proved of even briefer duration. He held the Honour of Hingham in Norfolk, comprising thirty-five knights' fees, and succeeded Ralph Guader as Castellan of Norwich in 1074. His wife, Agnes de Todeni, a daughter of the first Baron of Belvoir, had been the richly- dowered widow of one of the De Beaufoes, and brought him several other manors in the county. "He cast his lot in closely with the church, half founded and richly endowed the splendid cathedral of Norwich," and assumed the cross in his later years. Both his son and his grandson, who in turn succeeded him, worthily emulated his munificence to the church: and with the latter, another Hubert, the line expired in 1188. This last Baron of Hingham again left two coheirs; Isabel, first married (without the King's license) to Geoffrey de Chester, and afterwards to Roger de Cressy; and Aliva, or Avelina, the wife of John le Mareschal. Aliva had no children, and on her death in 1263, Isabel succeeded to her moiety of the barony. -5760- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas She was then a very aged woman "of ninety and more," and yet survived till about 1270.

3. Adam, the third son, held considerable estates in Kent under Bishop Odo, and was one of the compilers of Domesday Book. Little is known of him, and nothing of his descendants, except that a Robert de Rie of Kent—presumably one of them—is mentioned in the Pipe Roll of 1189.

4. Eudo—generally styled Eudo Dapifer—the last born, was by far the ablest and most distinguished of the four brothers. He received princely possessions, not only in Essex, where his principal estates lay, but in Norfolk, Suffolk, Herts, Cambridge, Berks, Bedford, Northampton, &c, with the great hereditary office of Seneschal or Dapifer, that had been promised to his father, and then appertained to the Conqueror's early friend, William Fitz Osbern. Dugdale gives a whimsical account of the time and circumstances of this grant. While Eudo was "personally attending the Court, it so hapned that that William Fitz Osberne, then Steward of the Houshold, had set before the King the Flesh of a Crane, scarce half rosted: whereat the King took such offence, as that he lifted up his Fist, and had struken him fiersly, but that Eudo bore off the blow. Whereupon Fitz Osberne grew so displeased, as that he quitted his Office, desiring that Eudo might have it. To which request the King as well for his Father Hubert's demerits," (sic) "and his own, readily yeilded." This must have taken place before 1074, when he witnesses a charter of donation at Bayeux as Eudo Dapifer.

He was in attendance on his master's death-bed at Caen, and mindful of his last wishes, hurried away to secure the succession of his son. He was the first to land in England, and, concealing the King's death, went straight to Winchester, to demand in his name the keys of the Treasury from the Treasurer, William de Pont de l'Arche: thence proceeded to Dover, Hastings, Pevensey, and the other strongholds of the south coast, and, as the King's appointed emissary, made the Castellans in charge swear to open their gates only at his command. Having secured these castles and harbours, he returned to Winchester, announced the Conqueror's death, and "while the rest of the Nobles were consulting in Normandy touching the succession" handed over the keys of the Treasury to William Rufus, who was at once proclaimed King. Thus the new sovereign "began to reign without a hand or a voice being raised against him." He was not ungrateful to Eudo. He confirmed him in his office of Dapifer, and bestowed upon him the town of Colchester, partly at the request of the townsmen, who had petitioned "that they might have this famous Eudo to govern amongst them." For Eudo was not only a faithful servant, and an astute and sagacious politician, but one of the very few Norman rulers that endeared themselves to their English vassals: "he eased the oppressed, restrained the insolent, and pleased all." Moreover, he was a great prince in all his doings and dealings. The castle he built at Colchester could boast of the largest Keep ever seen in England (the White Tower of London is not more than half its size), and he founded a magnificent Abbey on the site of a wooden church then dedicated to St. John the Evangelist. In this humble edifice "it had been observed," writes one of the monks, "that Divine Lights sometimes appeared by night, and also the sound of Heavenly Voices devoutly praising God (and yet no man there). And moreover, taking notice of what had hapned to a certain man, who had been put in Fetters by the King's command: viz. that standing in that Church at the celebration of Mass, the Bolts of his Fetters flew out, whereby he was suddenly loosed, he" (Eudo) "became so much transported with these Miracles, he resolved to found an Abbey in that place, wherein perpetual suffrage might be made for his Soul."

He reached a good old age, and died in 1120 at the castle of Preaux in Normandy; Henry Beauclerk standing by his bed side, and conferring with him as to the disposal of his property. No son was left to inherit; for his wife Roesia, the -5761- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas daughter of Richard Fitz Gilbert, Justiciary of England, had given him one only daughter, Margaret. She married William de Mandeville, and her son Geoffrey, Earl of Essex, was Steward of Normandy in her right.

In addition to the Ryes of Whitwell in Derbyshire, of whom I have already spoken, there were numerous other offsets from the parent stock. William de Rye—perhaps the same William mentioned in Norfolk in 1272 (Rot. Hund.) was Conservator of York in 1287. Ranulph de Rie held Gosberkirk, Surflete, Donyngton and Quadryng in Lincolnshire of the Honour of Richmond.—Gale's Richmondshire. John de Rye was in arms with Simon de Montfort during the baronial war, and taken prisoner at the storming of Northampton in 1263. He was pardoned in 1268 at the instance of the King's brother, and his estates in Lincoln and Oxford are entered in the Hundred Rolls of 1272. In 1290 he gave his manor of Rye to St. John's Abbey.— Morant's Essex. Nicholas de Rye was Sheriff of Lincoln in 1276 and 1277; and in 1280 Ralph de Rye obtained the King's license for a weekly market and yearly fair at Gosberkirk, with free warren there and in his other manors in the county. He was present in 1309 at the Dunstable tournament, which was attended by two others of the family, Ralph de Rye of Whitwell, and William de Rye. This latter bore Gules a bend Ermine (the coat of the Barons of Hingham) with a label of three points Or, and was seated at Swan ton in Norfolk, which soon after (in 1327) had passed to a female heir. But the name lived on in Norfolk, where Roger Ree or Rye presided as Sheriff in 1461, though of its former high estate few memories remain. "The only traces now left of the Ryes are the 'Court of the Honor of Rye,' which still exists as a tribunal in the district which belonged to them, and a few yeomen- descended namesakes like myself, who take pride in belonging to a county with which their name has been so long connected."—Walter Rye (Herald and Genealogist, vol. 7, p. 243). During the brief period of their ascendancy, they were conspicuous for their liberality to the Church. They founded St. John's Abbey at Colchester, Binham Abbey, Beeston Abbey, Aldeby Priory, and a chantry at Walsingham in Norfolk, and magnificently contributed to the foundation of Norwich Cathedral.

extract from The Battle Abbey Roll, with some account of the norman Lineages, vol.III, by the Duchess of Cleveland, London, John Murray, Albermale Street, 1889

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011 - família: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011

379.972.561: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011 - família: J-P de Palmas (Pedigree) 5 v 2011

379.972.576: Chourses ou Chourches est une très mauvaise interprétation du toponyme français Sourches, à Saint-Symphorien 72

Fonts: - persona: R. Sekulovich

379.972.592: Fonts: - persona: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012 - família: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012

-5762- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.972.593: Fonts: - família: C-H.Maigret (L'art de vérifier les dates) 6 ii 2012

379.972.624: Fonts: - família: J-P de Palmas (Dynasties célèbres)

379.972.625: Fonts: - família: J-P de Palmas (Dynasties célèbres)

379.972.625b: Il célébra le mariage de Robert II et Berthe de Bourgogne en décembre 996.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynasties célèbres) 19-ii-2009

379.972.632: Fonts: - persona: T.Blanchet(http://mauriceboddy.org.uk/Bourges.htm), C.Saint-Félix (Jacques Péricard in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène Debax) 19x2014 - família: T.Blanchet(http://mauriceboddy.org.uk/Bourges.htm)

379.972.633: Fonts: - persona: T.Blanchet(http://mauriceboddy.org.uk/Bourges.htm) - família: T.Blanchet(http://mauriceboddy.org.uk/Bourges.htm)

379.972.633b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jacques Péricard in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax) 19x2014

379.972.672: RAOUL [I] "le Large" (-952). A manuscript entitled "Progenies Dolensium Principum" names "Radulphus Largus" as son of "Ebbonis nobilis"[717]. "Ebbo" donated "alodium…in Albari villa" to "ecclesiam in vico Dolensi", by charter dated 21 Sep 927, signed by "Ebbonis, Hildegardis uxoris eius, Rodulfi filii eius, Launionis archidiaconus, Vuillelmi fratris eius…"[718]. Sire de Déols. A manuscript entitled "Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny" records that "Raoul son [Ebbes] fils" built "Châteauroux"[719]. m ---. The name of Raoul's wife is not known. Raoul [I] & his wife had one child.

[717] Progenies Dolensium Principum, RHGF XII, p. 456.

[718] Besly (1647), Preuves, p. 236.

[719] Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny, RHGF XII, p. 456.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 ii 2015

-5763- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.972.673: Fonts: - persona: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 2004

379.973.124: Bâtit le donjon de Sens, les châteaux de Châteaurenard et Joigny sur une terre appartenant à Notre Dame du Charnier. Premier comte héréditaire indépendant de Joigny.

Renaud I ou Renard dit le Vieux succéda l'an 951 au comte Fromond son père. L'an 965 des Saxons qu' Anségise, évêque de Troyes avait amenés d'Allemagne sous la conduite de Brunon, frère de l'empereur Otton Ier, pour l'aider à recouvrer cette ville usurpée sur lui par Robert de Vermandois, n' ayant pas réussi à cette entreprise s'acheminaient vers la ville de Sens, dans le dessein de la surprendre et de la piller. L'archevêque Archambaut et le comte Renaud, les voyant arriver vont à leur rencontre, les attaquent dans un lieu nommé Villers et remportent sur eux la victoire. Helpon l'un de leurs chefs, tué dans la mêlée, est reporté dans les Ardennes, sa patrie, et Brunon ramène en Saxe les débris de son armée. in L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes .., par Maur-François Dantine

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, J-P de Palmas (L'Art de vérifier les dates, vol.11) iii2010 - família: J-C de Vaugiraud (Dugenne, Dictionnaire de l'Yonne, T. V, p. 1556-1557) ) 20/03/2010,

379.973.125: Fonts: - família: J-C de Vaugiraud (Dugenne, Dictionnaire de l'Yonne, T. V, p. 1556-1557) ) 20/03/2010,

379.973.125b: Le fondateur de la forteresse de Châteaurenard est bien entendu Renard (et non Renaud). la seigneurie héréditaire ne se fixera que dans les deux générations qui suivent. Le suzerain direct nommant les tenants de forteresses suivant les mérites de chacun; à titre précaire. Nul ne sait en ce début du XXIème siècle, si Josselin de Châteaurenard (père d'Athon de Courtenay ) est apparenté au fondateur de Châteaurenard, et rien n'indique qu'il pourrait exister un tel lien.

Note de : J-B de La Grandière - 19/3/2010

Fonts: - persona: correction : JB.de La Grandiere (Etudes sur Joigny et Courtenay par Edouard de Saint Phalle ) 19 iii 2010 - defunció: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

379.973.125c: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne, Dictionnaire de l'Yonne, T. V, p. 1556-1557) ) 20/03/2010,

379.973.147:

-5764- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - família: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1 ii 2014

379.973.152: Une généalogie assez complète des Beaujeu est donnée dans l'ouvrage "Histoire de la souveraineté de Dombes : justifiée par titres, fondations de monastères, anciens manuscrits, etc. / par Samuel Guichenon, , publ. avec des notes et des documents inédits par M.-C. Guigue, - T1"

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t XI p 156 (Beaujeu) Marburg 1986 ) 4 xii 2017, G.Hazard (Histoire de Dombes - Guichenon) iv2009, - família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque municipale d'Eaubonne)

379.973.153: Chaume proposes that Wandalmodis, wife of Bérard de Beaujeu, was the daughter of Humbert de Salins, for onomastic reasons as her son was named Humbert and her grandson Leotold[258]. "Vuandalmodis et filius meus Vuichardus" donated property "in pago Augustodunense…in villa Trescurtis…[et] in villa Vualiaco" to Cluny for the soul of "Letaudi filii mei" by charter dated to [987/96], subscribed by "Vuigonis, Lamberti, Girardi, Bernardi, Josberti, Aimini, Annoni, Humberti, Ermenardi, Roberti, Ermenrici"[259]. m BERARD Seigneur de Beaujeu, son of --- (-[9 Dec 961/966]).]

[258] Chaume, M. (1925-1931 reprint 1977) Les origines du duché de Bourgogne, 2 vols. (Dijon), Vol. I, p. 533, cited in Bouchard (1987), p. 289.

[259] Cluny, Tome III, 1762, p. 25.

Il n'y a aucune raison d'adopter une latinisation de son prénom J'ai corrigé : JB de La Grandière 4/12/2017

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25 ii 2011 - família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque municipale d'Eaubonne)

379.973.153a: Il fit, avec son épouse Adelmodis, don à l'abbaye de Cluny des dîmes de la paroisse de Saint-Georges pour le repos des âmes de Beraud, son père, de Vandelmode, sa mère, et de ses frères Etienne et Humbert, l'an 976. Guichard de Beaujeu est supposé décédé cette même année, son épouse étant remariée, l'an 977, à un chevalier Ansède.

Fonts: - família: G.Hazard (Histoire de Dombes - Guichenon) iv2009

379.973.153d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 26i2014

379.973.248: -5765- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Monceaux est l'actuelle commune de Monceaux-le-Comte (Nièvre) à 8 kms au nord de Corbigny (Nièvre).

Note de : J-B de La Grandière - 28.06.2010

BODO (-after Nov 950). The Historia Nivernensium Comitum names "Bodonem" as the son of "Hildegarii nepoti Landrico" and his wife "[ex] stirpis Andegavorum", specifying that "Bodo de Montibus" was his godfather and that Bodo built "castellum…Moncellis"[3127]. Seigneur de Monceaux-le-Comte. "Bodo" donated property "in pago Matisconense in villa Lanco" acquired from "Rainaldo cognate meo" to Cluny "pro receptione filii mei" by charter dated Nov 950, subscribed by "Gisoni, Attoni, Landrici"[3128], although it is not certain that this is the same Bodo. Although the identity of "Rainaldo cognate meo" has not been established, the name suggests a family connection with the Comte de Nevers. Settipani suggests that he was related to the Comtes d'Anjou, through Bodo's mother[3129].

m ---. The name of Bodo's wife is not known.

Bodo & his wife had [two] children.

[3127] Origine et Historia Brevi Nivernensium Comitum, RHGF X, p. 258.

[3128] Cluny, Tome I, 783, p. 737.

[3129] Settipani, C. 'Les origines des comtes de Nevers: nouveaux documents', Keats-Rohan, K. S. B. and Settipani, C. (eds.) (2000) Onomastique et Parenté dans l'Occident medieval (Prosopographica et Genealogica, Vol. 3), p. 87.

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C Dugenne; Dict Yonne t III p 994) 27/08/2008, J- P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 iii 2017 - família: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinaires de Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)

379.973.249: Fonts: - família: Guillaume de Paysac / Jacques BIERRE "Les vies extraordinaires de Hervé IVde Donzy et de Mahaut de Courtenay" (Delayance, La-Charité, 1977)

379.973.258: RAINARD . The Chronicle of St Bénigne de Dijon names "miles Rodulfus…de Barrensi castro…et filius ipsius Rainardus"[171]. same person as…? RAINARD (- after [997]). Comte [de Bar-sur-Seine]. "Milo comes…Raynardus comes…" witnessed the charter dated to [992] under which “Umbertus…et mee conjugis…Giberge” donated property "in villa…Curtis-Secreta…in comitatu Tornodorense" to Saint-Michel de Tonnerre[172]. Ernest Petit suggests this co- identity, pointing out that Coussegré was situated in the domaine of Chaource, which in part was a dependency of the county of Bar-sur-Seine[173]. There appears to be no other evidence of the existence of Rainard, son of Raoul, and Bouchard points out that the dating of the charter in question is uncertain[174]. She suggests that it is more likely that "Rainardus comes" was either Rainard Comte de Sens or Rainard Comte de Tonnerre, the son of Ermengardis. However, the latter suggestion appears incorrect as "Miles comes", who would have been the father of Rainard Comte de Tonnerre, is also named in the [992] charter. "…Raynardi

-5766- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas comitis…Milonis comitis…" subscribed a charter dated to [997] which deals with the property at Coussegré[175].

m ---. The name of Rainard’s wife is not known. Rainard & his wife had [one possible child].

[171] Chronicle St-Bénigne de Dijon, p. 161.

[172] Quantin, M. (ed.) (1860) Cartulaire general de l'Yonne (Auxerre) (“Yonne”), Tome I, XXC, p. 154.

[173] Petit, E. (1888) Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne (Paris), Vol. II, p. 430.

[174] Bouchard, C. B. (1987) Sword, Miter, and Cloister: Nobility and the Church in Burgundy 980-1198 (Cornell University Press), p. 372.

[175] Petit, Vol. II, 685, p. 427.

Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Alexandre Pecking) 30 x 2014, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 iii 2017 - família: J-M.Thiebaud (base Alexandre Pecking) 30 x 2014

379.973.259: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Alexandre Pecking) 30 x 2014 - família: J-M.Thiebaud (base Alexandre Pecking) 30 x 2014

379.973.376: Dit fils illégitime de Robert II de France. Son père lui donna Montfort (l'Amaury) d'où le nom de famille qu'il a transmis.

Fonts: - persona: Renaud de Paysac - naixement: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012 - defunció: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012 - família: Th. Pingault (JH Favre)

379.973.377: Fonts: - naixement: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012 - defunció: C-H.Maigret (H. & G.) 18 vii 2012 - família: Th. Pingault (JH Favre)

379.973.377a: Cité dans une charte de l'abbaye de Marchiennes de 955. [C-H. Maigret (P. A. du Chastel de La Howardries)18 ii 2012]

Fonts: - persona: Th. Pingault (JH Favre) - família: Th. Pingault (JH Favre)

-5767- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.973.377c: Fonts: - persona: F.de Bernis (geneanet base puechuzal) 28 v 09 - família: F.de Bernis (geneanet base puechuzal) 28 v 09

379.973.378: - Landri, nom que trouvons porté, un siècle auparavant, par un comte de Dreux, père d'Hugues de Dreux et aïeul d'Hugues de Beauvais. J-C de Vaugiraud (M. Chaume: Recherches d'histoire chròetienne et médiévale , p. 137) 02/11/2009

- Pour M. Chaume, Hugues de Beauvais appartiendrait à la famille de Dreux et serait le frère de l'évêque Roger, hypothèse des plus vraisemblables. J-C de Vaugiraud (K. S. B. Keats-Rohan: Onomastique et parenté dans l'Occident médiéval, p.259) 02/11/2009

- le comte Hugues de Dreux (dit souvent « Hugues de Beauvais »), frère du chancelier Roger, évêque-et comte de Beauvais. J-C de Vaugiraud (M. Chaume: Les origines du duché de Bourgogne, p.482) 02/11/2009

- Pourrait aussi être un Hugonide ? Voir: http://fr.wikipedia.org/wiki/Hugonide . Cette filiation serait à recouper avec d'autres sources ! J-C de Vaugiraud 02/11/2009

- Un article (ancien) de A. de Dion à consulter: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k454178v.image .r=M%C3%A9moires+Rambouillet.f169.langFR

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile de France, du XIème au XIIIème siècle, p 83 + divers) 02/11/2009 - família: J-C de Vaugiraud (André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile de France, du XIème au XIIIème siècle, p 83) 02/11/2009

379.973.379: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile de France, du XIème au XIIIème siècle, p 83) 02/11/2009 - família: J-C de Vaugiraud (André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile de France, du XIème au XIIIème siècle, p 83) 02/11/2009

379.973.460: OSBERN de Crépon (-murdered Vandreuil [1038/42]). Orderic Vitalis records that “Osbernus Herfasti filius” was “de pago Calcegio oriundus”, although in the context of a passage which is anachronistic[1609]. "Duke Richard [II]" donated property to the abbey of Mont Saint-Michel by charter dated to [1026], subscribed by "…Osbernus filius Arfast, Ranulfus frater eius"[1610]. "…Osbe filius Herfasti…" witnessed the charter dated to [1030] under which Robert II Duke of Normandy confirmed rights of Mont Saint-Michel[1611]. Steward (dapifer) of Robert II and Guillaume II Dukes of Normandy. "Rotberti comitis, Osberni dapiferi…" witnessed the charter dated to [1030/35] under which "Erchembaldus vicecomes" donated "prata de Salhus et…in Sarlosvilla jure hereditario" to the abbey of Sainte-Trinité de Rouen[1612]. An undated charter, recording a donation to Sainte-Trinité de

-5768- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Rouen, records that "Osbernus dapifer" was killed "a suis hostibus"[1613]. He is named "Osberni cognomento Pacifici" in the charter dated to [1035/60] which records the donation by his widow and two sons to Rouen Sainte-Trinité for his soul[1614]. Guillaume of Jumièges records that “Osbernusprocurator principalis domus, Herfasti Gunnoris comitissæ fratris filius“ was killed while sleeping “in cubiculo ducis cum ipso in valle Rodoili” by “Willelmo Rogerii de Montegumeri filio”, dated to early in the reign of Duke Guillaume II from the context[1615]. m EMMA d'Ivry, daughter of RAOUL d'Ivry Comte de Bayeux & his wife Aubrée [Eremburge] --- (-after [1067]). Guillaume of Jumièges records that one of the daughters of “Rodulphum” and his wife “Erembergamnatam in quadam villa Calcini territoriiCavilla” married “Osberno de Crepon de qua natus est Willelmus filius Osberni”[1616]. "Willelmus et frater eius Osbernus" donated "terram…Herchembaldus vicecomes et Turoldus, comitissæ Gunnoris camerarius" and revenue from land received by "Croco et Erchembaldus filii eiusdem Erchembaldi vicecomitis" to the abbey of Sainte-Trinité at Rouen, with the consent of "matre eorum Emma", for the soul of "patris sui Osberni cognomento Pacifici", by charter dated to [1035/60][1617]. "Emma Osberni dapiferi uxore" is named as "dominis mei" with her two sons in the undated charter of Ansfredus[1618]. "Erchenbaldo filio Erchenbaldi vicecomitis", on the point of leaving "ultra mare", donated property to Sainte-Trinité de Rouen, with the consent of "rege Anglorum et duce Normannorum Guillelmo", by undated charter, signed by "…Willelmi filii Osberni, Emmæ matris eius, Ansfredi filii Athlæ…"[1619]. "Ansfredus, Osberni de Ou vicecomitis, postea…Hierosolimitani monachi, filius…cum conjuge mea Emma" offered "unicum filium meum…Goiffredum" as a monk at Sainte-Trinité de Rouen, with the consent of "dominis meis Emma, Osberni dapiferi uxore et filiis eius Willelmo et Osberno…Willelmo…principe Normannorum", by undated charter[1620]. Osbern & his wife had three children.

[1609] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, VII, p. 94.

[1610] Round (1899), 702, p. 249.

[1611] Lambert, M. ´Les anciens vicomtes de Bayeux´, Mémoires de la société d´agriculture, sciences, arts et belles-lettres de Bayeux, Tome VIII (Bayeux, 1879), p. 252.

[1612] Rouen Sainte-Trinité, V, p. 425.

[1613] Rouen Sainte-Trinité, VI, p. 425.

[1614] Rouen Sainte-Trinité, IV, p. 424.

[1615] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, II, p. 268.

[1616] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XXXVIII, p. 288.

[1617] Rouen Sainte-Trinité, IV, p. 424.

[1618] Rouen Sainte-Trinité, 49, p. 447.

-5769- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1619] Rouen Sainte-Trinité, XLVII, p. 446.

[1620] Rouen Sainte-Trinité, XLIX, p. 447.

Sénéchal décédé en 1040. (Il fut assassiné près de Guillaume 1er de Normandie dans la résidence ducale du Vaudreuil par Guillaume de Montgommery. Ce dernier fut immédiatement tué par un proche d'Osbern, son prévôt Barni de Glos).

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Paul Leportier : "Familles Médiévales Normandes", - Reviers-, pp. 228/242 Elbeuf juin 2005) 20 viii 2015, F-L. Jacquier (W. H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), J-P.de Palmas (FMG) 20 viii 2015 - família: F-L. Jacquier (W. H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), H.R.Moser/EuSt- III.4, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 21 viii 2015

379.973.461: EMMA d'Ivry . Guillaume de Jumièges records that one of the daughters of Raoul & his wife married Osbern de Crepon[747]. "Willelmus et frater eius Osbernus" donated "terram…Herchembaldus vicecomes et Turoldus, comitissæ Gunnoris camerarius" and revenue from land received by "Croco et Erchembaldus filii eiusdem Erchembaldi vicecomitis" to the abbey of Sainte-Trinité at Rouen, with the consent of "matre eorum Emma", for the soul of "patris sui Osberni cognomento Pacifici", by charter dated to [1035/60], signed by "…Godeboldi, Daneboldi, Ansfredi filii Osberni, Gisleberti filii Turgisii…"[748]. "Osberni frater eius [Willelmi]" witnessed a charter dated 1038 or after[749]. After her husband died, she became abbess of St Amand at Rouen[750]. m OSBERN de Crepon, son of HERFAST & his wife --- (-murdered [1040]).

References [747] WJ VII.38, p. 231. [748] Rouen Sainte-Trinité, IV, p. 424. [749] Rouen Sainte-Trinité, 4, p. 424.

[750] ES III 694A.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (FMG) 5 v 2011 - família: F-L. Jacquier (W. H. Thurton, The Plantagenet Ancestry), H.R.Moser/EuSt- III.4, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 21 viii 2015

379.973.461b: OSBERN (-1101). "Willelmus et frater eius Osbernus" donated "terram…Herchembaldus vicecomes et Turoldus, comitissæ Gunnoris camerarius" and revenue from land received by "Croco et Erchembaldus filii eiusdem Erchembaldi vicecomitis" to the abbey of Sainte-Trinité at Rouen, with the consent of "matre eorum Emma", for the soul of "patris sui Osberni cognomento Pacifici", by charter dated to [1035/60][1627]. "Osberni frater eius [Willelmi]" witnessed a charter dated 1038 or after[1628]. "Ansfredus, Osberni de Ou vicecomitis, postea…Hierosolimitani monachi, filius…cum conjuge mea Emma" offered "unicum filium meum…Goiffredum" as a monk at Sainte-Trinité de Rouen, with the consent of "dominis meis Emma, Osberni dapiferi uxore et filiis eius Willelmo et Osberno…Willelmo…principe Normannorum", by undated charter[1629]. Chancellor of England. Bishop of Exeter 1072[1630].

-5770- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1627] Rouen Sainte-Trinité, IV, p. 424.

[1628] Rouen Sainte-Trinité, IV, p. 424.

[1629] Rouen Sainte-Trinité, XLIX, p. 447.

[1630] ES III 695.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 21 viii 2015

379.973.461c: EMMA . "Willelmus Vernonensis filius Hugonis eiusque conjux Emma" donated property at "castrum Vernonense" to Sainte-Trinité de Rouen, with the consent of "Willelmo rege Anglorum et duce Normannorum", by undated charter[1631]. Guillaume de Vernon, his son Hugues and his wife Emma donated property to Rouen Holy Trinity, confirmed in the charter dated to [1067][1632]. Her parentage is confirmed by a charter of Priory, which names “Johannem et Ricardum” as the two sons of “Willielmum filium Osberni marescallum…comitem Herefordiæ” who predeceased their father, and records that their inheritance went to “Ricardo de Rivers, nepoti prædicti Willielmi filii Osberni, tunc comiti Exoniæ”[1633].

m GUILLAUME de Vernon, son of HUGUES de Vernon & his wife --- (-[4 Jun ----]).

[1631] Rouen Sainte-Trinité, XVI, p. 430.

[1632] Round (1899), 82, p. 23.

[1633] Dugdale Monasticon VI.2, , Isle of Wight, I, p. 1041.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 21 viii 2015 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 21 viii 2015

379.973.462: ROGER [II] de Tosny [Conches] (-[after 1040]). Orderic Vitalis records that “Rogerius de Toenio” founded “cœnobium Castellionis alias de Conchis”[2889]. "…Rodgerii filii Rodulfi…Rogerii de Conchis" subscribed the charter dated to [1040] under which "Vuillelmus Ricardi magni ducis Normannorum filius" donated property to the abbey of Jumièges[2890]. Roger’s place of burial is confirmed by the charter dated to [1130] under which Henry I King of England confirmed the foundation of Conches by "Rogerius senior…", quoting the confirmation by "Radulphus de Totteneio cum Godehilde matre mea" for the burial of "patris mei Rogerii"[2891].

m as her first husband, GODECHILDIS, daughter of ---. Henry I King of England confirmed the foundation of Conches by "Rogerius senior de Toenio et filius eius Radulphus senex et Radulphus juvenis filius prædicti Radulphi senis et Rogerius filius Radulphi juvenis", quoting the foundation by "Rogerius filius Radulphi Toteniensis" for the soul of "coniugis meæ Godehildis", dated to [1130][2892]. The Miracles of Sainte-Foy recount her being cured of a serious illness by miracle, when she was still married to her first husband[2893]. She married secondly

-5771- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Richard Comte d'Evreux. Guillaume of Jumièges records that “Richardus Ebroicensis comes filius Roberti Archiepiscopi” married “uxore Rogerii de Toenia” by whom he had “Willelmum qui nunc Ebroicensibus principatur”[2894]. Henry I King of England confirmed the foundation of Conches by "Rogerius senior de Toenio et filius eius Radulphus senex et Radulphus juvenis filius prædicti Radulphi senis et Rogerius filius Radulphi juvenis", quoting the donation by "Godehildis comitissa Ebroicæ civitatis, quondam uxor Rogerii de Totteneio" with the consent of "seniore meo comite Richardo", dated to [1130][2895]. Roger [II] & his wife had [three] children.

[2889] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, I, p. 12.

[2890] Jumièges, Tome I, XX, p. 63.

[2891] Gallia Christiana, XI, Instrumenta, V, col. 128.

[2892] Gallia Christiana, XI, Instrumenta, V, col. 128.

[2893] Liber Miraculorum sancte Fidis, ed. A. Bouillet (Paris, 1897), pp. 144-5, quoted and trans. by Houts (2000), p. 214.

[2894] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, IV, p. 269.

[2895] Gallia Christiana, XI, Instrumenta, V, col. 128.

[2896] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. III, Book V, p. 129.

[2897] Dugdale Monasticon VI.2, Wotton Wawen Abbey, Warwickshire III, p. 995.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015 - família: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015

379.973.480: Abbaye de Micy.

RAOUL [III] [Roscelin] de Beaumont (-before 1040). "Rodulfus…Cenomannus vicecomes…mee bone coniugis Godehelt…filio Rodulfo" donated property to the abbey of Saint-Victeur du Mans by charter dated to [994][536]. "Rodulfus Cenomanensium vicecomes" donated two serfs to the abbey of Saint-Florent, Saumur, in the presence of "conjuge mea Widenore et filiis meis Rodulfo, Gosfrido, Ivelino et Huberto" by undated charter, signed by "Ivelini clerici, primogeniti sui, Gosfridi et Rodulfi et Huberti filiorum eius"[537]. “Widdo Lononis filius” donated “Gaudiacus” to Saint-Pierre de la Couture, with the consent of “dominis meis Hugone atque Herberto comitibus et vice comite Radulpho eiusque filiiYvo archidiaconus, vice comes Radulphus atque Gaufridus” by undated charter dated to [1000/15][538]. Vicomte du Maine. "Hugo Cenomannensis comes" donated property to the abbey of Mont-Saint-Michel by charter dated 1014, witnessed by "Roscelini vicecomitis, Hameli de Leido Castello, Haymonis de Medano, Herberti fratris comitis, Droci filii Milonis, Odilarii Drudi"[539]. Latouche suggests that "Roscelinus" was a diminutive form of "Rodulfus" and that this person must be the same person as Raoul [III] or Raoul [IV][540]. This appears to be correct as his son Geoffroy is named "filius Roscelini vicecomitis". If it is correct, it is more likely that -5772- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas the charter refers to Raoul [IV]. "…Radulphi vicecomitis, Odonis fratris eius…" witnessed the charter dated to [1010] under which "Gaufridus de Sabolio" founded the priory of Solesmes[541].

m (after 997) EREMBURGIS, daughter of IVES & his wife --- (-1 Jan before 1049). The primary source which confirms her parentage and marriage has not yet been identified. She became a nun at Cluny. Raoul [III] & his wife had two children.

[536] Le Mans Saint-Victeur I, p. 1.

[537] Saint-Florent, Saumur (Chartes mancelles), III, p. 354.

[538] Couture Saint-Pierre, IV, p. 7, and Latouche (1910), 16, p. 141.

[539] Le Mans Saint-Victeur IV, p. 5.

[540] Latouche (1910), p. 129 footnote 6.

[541] Piolin (1856), Tome III, Pièces justificatives XIII, p. 639

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 i 2014, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014, J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise, Sorbonne) v 2010 - família 1: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln), J-P de Palmas (wikipedia) v- 2009 - família 2: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014 - família 3: J-P de Palmas (Depoin, Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise, Sorbonne) v 2010, C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

379.973.481: Elle paraît en 1012, avec ses deux fils et sa bru, Godeheult, à l'acte de confirmation par Richard II de Normandie du domaine de Longueville à l'Abbatiale Saint-Ouen de Rouen.

D'après la thèse de François Doumerc, il s'agirait en fait de Widenor de Thouars, morte apprès 1015. C.Saint-Félix 2ii2014

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) v-2009 et 2014 - família: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln), J-P de Palmas (wikipedia) v- 2009

379.973.481b: Geoffroy, tige de la maison de Braitel. Il est connu comme fils et frère de Raoul, oncle du vicomte Hubert. Il porte presque toujours dans les nombreux actes où il paraît le titre de vicomte, ce qui l'a fait prendre comme un tuteur de son neveu Hubert, faussement, car il ne prend pas le titre de vicomte du Maine, mais seulement de vicomte, même dans des actes postérieurs à la mort de son neveu. Le même usage sera suivi par les vicomtes de Montreveau, ses neveux. Geoffroy est le

-5773- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas premier qui ait porté le nom de Beaumont.

Il épousa Hervise de Braitel, seule héritière d'Hugue(s) de Braitel et d'Erma ; releva le nom de cette famille et eut plusieurs enfants :

 Guillaume, nommé sans doute par son bisaïeul maternel ;  Hugue(s), qui portait le nom de son aïeul ;  Geoffroi(y), qui eut celui de son père.  Eude(s), fils bâtard, est souvent mentionné au Cartulaire de Saint-Vincent.

Fonts: - persona: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln), J-P de Palmas (wikipedia) v- 2009 - família 1: J-P de Palmas (wikipedia) v-2009

379.973.481-2a: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

379.973.481-2b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

379.973.481-3a: Arnoul fils d'Albert & d'une sœur de Hugues I, Archevêque de Tours, naquit très probablement à Châteaudun. Albert prit l'habit Monastique dans l'Abbaye de Jumiege, fut ensuite Abbé de St-Mesmin, auprès d'Orleans & même son fils Arnoul étant Archevêque de Tours lui donna mal a propos l'Abbaye de St-Julien qui est dans cette ville, mais Albert fut obligé de la quitter & de retourner à St-Mesmin.

Arnoul succéda à son oncle Hugues dans le Siége de Tours l'an 1023. Le Pape différa de lui envoyer le Pallium ce qui lui fit de la peine & lui donna la pensée de quitter son Siége. Mais Fulbert, Evêque de Chartres le consola & l'exhorta à la patience. Arnoul gouverna durant vingt neuf ans l'Eglise de Tours, avec beaucoup de gloire. Nous avons le Règlement qu'il fit pour bannir désordres qui se commettaient lorsque les Archevêques de Tours allaient en procession à Marmoutier le Mércredy de Pâques. Il est digne d'un bon Evêque & il fait beaucoup d'honneur à sa mémoire. Il approuva la fondation du Prieuré de St-Martin de Lavardin.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Bibliotheque générale des auteurs de France : contenant la Bibliotheque , par Jean Liron) 24 vi 2017

379.973.482: Fonts: - persona: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln)

379.973.484:

-5774- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014 - família: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

379.973.485: Fonts: - família: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

379.973.485b: Fonts: - persona: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014 - família: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014

379.974.460: Fit bâtir une forteresse à Chatillon-sur-Marne.

A l’époque Gallo-Romaine, une petite forteresse dite " Castello Super Matronam " s’élevait déjà sur l’actuel emplacement du village de Châtillon sur Marne qui du haut de sa colline domine la vallée de la Marne. Sa situation au carrefour des routes importantes explique les destructions qu’elle a du subir au cours des siècles ( 20 fois … ), il ne reste aujourd’hui qu’un pan de muraille. Le village autrefois fortifié a gardé la trace de ses rues étroites. Une partie de l’ancien tribunal de baillage sert maintenant d’Hotel de Ville. Châtillon Sur Marne est au coeur de la Vallée de la Marne et au centre du Parc Naturel de la Montagne de Reims. Terre discrète et raffinée, pays du Champagne, La Marne cultive ses atouts et révèle ses secrets à qui sait les découvrir.

Ce château fut construit, en 926, par Hérivée, neveu de l'archevêque de Reims. Les Calvinistes poursuivis par Henri de Guise s'en emparèrent et le détruisirent, vers 1575. Les seigneurs étaient de l'illustre maison de Châtillon. Eudes de Châtillon, qui fut prieur de Binson, devint pape sous le nom d'Urbain II en 1088, approuva la première croisade prêchée par Pierre l'Ermite et mourut quelques jours après la prise de Jérusalem par Godefroy de Bouillon. Guides illustrés Michelin des champs de bataille

Fonts: - persona: N. Danican (La Chesnaye Desbois) 25iv05, J-P.de Palmas (Forteresse de Châtillon-sur-Marne) 30 viii 2015 - família: N. Danican (La Chesnaye Desbois) 25iv05

379.974.461: Fonts: - família: N. Danican (La Chesnaye Desbois) 25iv05

379.974.461c: Fonts: - persona: N. Danican (La Chesnaye Desbois) 25iv05

379.974.736: Pour Joseph Depoin, Hugues est certainement issu de la famille Le Riche de Paris et se trouve à l'origine de deux branches des Le Riche : 1° La branche du chambrier Galeran, 2° La branche des comtes de Clermont. Voici ce que dit Depoin "Hugues, qualifié « vir illustris », chef de cette branche au milieu du XI° siècle, nous apparaît comme un personnage fort généreux. Pendant que le roi Henri Ier passait à Soissons les fêtes de Noël 1047, il obtint de ce prince

-5775- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas la permission de se dessaisir, en faveur de Saint-Médard, de tous les biens héréditaires qui lui étaient échus à Vierzy, Violaine et autres paroisses de cette région. Un nombre inusité de comtes,vicomtes et chevaliers de la cour du roi souscrivirent à cet acte." et "Hugues exerça les fonctions de bouteiller du roi avant 1047 et de 1057 à 1060." ES III / 653 et Medieval Lands donnent un degré au dessus de Hugues. J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise", tome 3, pages 270 à 303 et surtout a/c de 298 + ES Band III, Tafel 653 + Medieval Lands : Clermont-en-Beauvaisis ) 2 ii 2016

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise", tome 3, pages 270 à 303 et surtout a/c de 298 + ES Band III, Tafel 653 + Medieval Lands : Clermont-en-Beauvaisis ) 2 ii 2016 - família: J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise", tome 3, pages 270 à 303 et surtout a/c de 298 + ES Band III, Tafel 653 + Medieval Lands : Clermont-en-Beauvaisis ) 2 ii 2016

379.974.737: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise", tome 3, pages 270 à 303 et surtout a/c de 298 + ES Band III, Tafel 653 + Medieval Lands : Clermont-en-Beauvaisis ) 2 ii 2016 - família: J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise", tome 3, pages 270 à 303 et surtout a/c de 298 + ES Band III, Tafel 653 + Medieval Lands : Clermont-en-Beauvaisis ) 2 ii 2016

379.974.737a: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J. Depoin : "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise", tome 3, pages 270 à 303 et surtout a/c de 298 + ES Band III, Tafel 653 + Medieval Lands : Clermont-en-Beauvaisis ) 2 ii 2016

379.975.780: Contribution à une étude de l'institution vicomtale en Normandie au XIe siècle. L'exemple de la partie orientale du duché : les vicomtes de Rouen, de Fécamp et de Lillebonne.

J.-M. Bouvris, documentaliste aux Archives départementales de l'Orne.

L'institution vicomtale en Normandie au siècle de Guillaume le Conquérant est encore mal connue en dépit des travaux que lui ont consacrés plusieurs historiens depuis le début de ce siècle. Des études anciennes et récentes ont surtout porté sur les plus représentatifs des lignages vicomtaux qui figurent à l'ouest du duché, sur l'actuel espace bas-normand : vicomtes du Cotentin, d'Avranches et de Bayeux notamment. En revanche, on a peu exploré le cas des vicomtes de la partie orientale du duché, située au-delà de la Seine. Après avoir rappelé en introduction les conditions de l'avènement et du développement du groupe des vicomtes en Normandie au XIe siècle, l'auteur se place sur ce terrain en étudiant les exemples, peu connus ou franchement ignorés, des vicomtes de Rouen, de Fécamp et de Lillebonne antérieurement à la fin du règne du Conquérant. Parmi les nombreuses fonctions dévolues à Rouen au XIe siècle qui ont fait d'elle la capitale du duché, l'une concerne son rôle de « centre administratif régional». Ce rôle est illustré avant tout par l'existence d'une vicomté. On connaît bien un vicomte en cette ville durant ce siècle : le vicomte Gosselin, contemporain des ducs Richard II et Robert le Magnifique, qu'un acte du cartulaire de l'abbaye rouennaise de la Trinité du

-5776- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Mont et un passage d'un texte narratif, le Chronicon triplex et unum, qualifient expressément de vicomte de Rouen, titre qu'il porta vers 1030-1031-1035. Dans cette charge de vicomte, Gosselin a toutes les chances d'avoir été précédé par un certain Richard. Une des interpolations de Robert de Torigni aux Gesta Normannorum ducum de Guillaume de Jumièges assigne comme épouse à ce Richard, désigné comme vicomte de Rouen, une des nièces de la duchesse Gunnor et fait de celui-ci le père de Lambert de Saint-Saëns. Deux références fournies par des actes des abbayes de Saint-Ouen de Rouen et de Jumièges et qui s'appliquent vraisemblablement à ce Lambert de Saint-Saëns semblent authentifier le témoignage de Robert de Torigni. Entre 1010 et 1030 environ, cinq documents font mention d'un Richard le vicomte qui, en deux circonstances, est dit être fils d'un certain Tesselin.

Un personnage de ce nom est cité à deux reprises dans des actes datés de 1015 et de 1015-1017. Dans l'un de ces actes, Tesselin porte le titre vicomtal. Tout porte à croire que ce dernier est le propre père du vicomte Richard, qui lui succéda dans sa charge après 1015.

A la suite de ces trois vicomtes de Rouen, et avant 1080 environ, deux personnages sont encore explicitement désignés comme vicomtes de Rouen. Une notice du cartulaire de Préaux rappelant une donation effectuée vers 1050 est attestée par Roger fils d'Onfroi, alias Roger de Beaumont (Rogerius filius Humfridi eo tempore vicecomes Rotomagï). Ce grand seigneur du duché exerça donc au moins durant un temps cette fonction vicomtale. Une autre notice du cartulaire de Préaux, relatant une libéralité faite au monastère que l'on peut dater de l'année 1078, comporte parmi les assistants et les témoins de cette donation le nom d'un certain Ansfred, vicomte de Rouen. Ce personnage doit être identifié avec un Ansfred le vicomte cité dans deux notices émanant des abbayes de Fécamp et de Marmoutier datées de 1080 et de 1081. Il se pourrait aussi qu'il soit identique à un Ansfred le vicomte, témoin à une donation faite à Saint-Ouen dé Rouen entre 1055 et 1066. S'il en était ainsi, Ansfred aurait occupé la fonction de vicomte de Rouen de cette dernière période à 1081 au moins.

Jean-Michel Bouvris, Annales de Normandie, année 1983, Volume 33, Persée

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Pedigree et Persée) 2 vii 2012 - família: J-P.de Palmas (Pedigree) 2 vii 2012

379.975.781: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Pedigree) 2 vii 2012 - família: J-P.de Palmas (Pedigree) 2 vii 2012

379.975.906: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012 - família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008)

379.975.907: Fonts: - família: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008)

379.975.980:

-5777- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.975.981: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.975.982: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.975.983: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

379.976.016: HUGUES, son of --- (-4 Jul [1000]). Kerrebrouck[1440] says there is no proof that Hugues was the son of Hilduin Comte de Montreuil (see above), and that he could have been a member of the family of Enguerrand, one of whom was abbé de Saint- Riquier at the beginning of the 11th century. The Chronique de Saint Riquier records that Hugues "Capet" King of France granted the château d'Abbeville "à un chevalier nommé Hugues" and also confiscated "Forest-Moutier" from the abbey of Saint-Riquier and granted it to him, recording in a later passage that Hugues bore the title "avoué" not comte[1441]. These territories became the foundation of the county of Ponthieu.

m (before 987) GISELE de France, daughter of HUGUES Duc des Francs [later HUGUES "Capet" King of France] & his wife Adelais [d'Aquitaine] (969) [1442]-). The Chronique de Saint Riquier records that Hugues "Capet" King of France granted the château d'Abbeville "à un chevalier nommé Hugues" who had married the king's daughter "Gisèle"[1443].

Hugues & his wife had two children.

[1440] Kerrebrouck (2000), p. 54 footnote 53.

[1441] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XII, p. 217-8.

[1442] ES II 11. Kerrebrouck (2000), p. 49, gives no date of birth.

[1443] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XII, p. 217.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017 - defunció: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017

379.976.017: GISELE de France, daughter of HUGUES Duc des Francs [later HUGUES "Capet" King of France] & his wife Adelais [d'Aquitaine] ([[969][1442]-). The Chronique de Saint Riquier records that Hugues "Capet" King of France granted the château d'Abbeville "à un chevalier nommé Hugues" who had married the king's daughter

-5778- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "Gisèle"[1443]. Hugues & his wife had two children.

[1442] ES II 11. Kerrebrouck (2000), p. 49, gives no date of birth.

[1443] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XII, p. 217.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017 - naixement: S.Fourlinnie (notes d'après l' Histoire des rois de France et des chefs d'état de Pascal Arnoux) - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017

379.976.017b: The Chronique de Saint Riquier records that "Gui…frère de Seigneur Angelran" was named abbé of Saint-Riquier[1453].

[1453] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XII, p. 217.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 4 ii 2017

379.976.392: Fonts: - persona: N.Chardiny 11-12-09 (base de Guillaume de Wailly sur généanet) - família: N.Chardiny 11-12-09 (base de Guillaume de Wailly sur généanet)

379.976.393: Fonts: - persona: N.Chardiny 11-12-09 (base de Guillaume de Wailly sur généanet) - família: N.Chardiny 11-12-09 (base de Guillaume de Wailly sur généanet)

379.976.560: Degré supposé par Warlop ! Il pourrait y avoir un Raoul supplémentaire entre Baudouin et Raoul ?

Note de : J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009 - família: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009

379.976.561: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009 - família: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009

379.976.640: seigneur de Béthune(Pas-de-Calais), baron de Béthune(Pas-de-Calais), seigneur de

-5779- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Carency et de Richebourg(Pas-de-Calais)

Béthune (de), maison des plus anciennes et des plus illustres du royaume, qui a fourni les branches de Béthune, Sully, et de Charost, si honorablement mentionnées dans l'Histoire de France, et celles de Belhune-Hesdigneul et de Saint-Venant, en Artois, également distinguées au service des rois d'Espagne et des empereurs d'Allemagne, dans les Pays-Bas.

La ville de Béthune, située dans l'ancienne province d'Artois , aujourd'hui département du Pas-de-Calais, a donné son nom à cette maison.

Robert, Ier du nom, surnommé Faisseux, par la grâce de Dieu, sire de Béthune, de Richebourg et de Carency, avoué ou protecteur d'Arras, né vers l'an 970, petit-fils d'Adalelme, dernier des anciens comtes souverains et héreditaires d'Artois, mort 932, eut en apanage, comme prince cadet de sa maison, la baronnie de Béthune, et mourut en 1037.

Fonts: - persona: L.Guion, N.Chardiny ( Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 7 de Nicolas Viton de Saint-Allais ) 11 xii 2009 - família: L.GuionN.Chardiny ( Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 7 de Nicolas Viton de Saint-Allais ) 11 xii 2009

379.976.641: Fonts: - persona: N.Chardiny ( Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 7 de Nicolas Viton de Saint-Allais ) 11 xii 2009 - família: L.GuionN.Chardiny ( Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 7 de Nicolas Viton de Saint-Allais ) 11 xii 2009

379.976.641b: Baudouin de Bethune, premier du nom, sire de Carency, second fils de Robert Ier du nom, surnommé Faisseux, sire de Bethune, signa en l'an 1033 avec son père et Robert III de Bethune, son frère, la charte par laquelle Jean, seigneur de Bouvignies, donna à l'abbaye de Saint-Waast d'Arras sa dite terre de Bouvignies.

Fonts: - persona: N.Chardiny ( Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 7 de Nicolas Viton de Saint-Allais ) 11 xii 2009 - família: N.Chardiny ( Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 7 de Nicolas Viton de Saint-Allais ) 11 xii 2009

379.976.864: D'après Lambert d'Ardres, "Historia", cité par Jean-François Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France : Saint-Pol, 1000-1300" sur googlebooks.

Fonts: - persona: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 23 vii 2012

-5780- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 379.976.865: Fonts: - persona: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 23 vii 2012

379.977.220: Fonts: - persona: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de- Brampton/6000000008640519782)1/28/2012 - família: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de- Brampton/6000000008640519782)1/28/2012

379.977.221: Fonts: - persona: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de- Brampton/6000000008640519782)1/28/2012 - família: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Juliana-de- Brampton/6000000008640519782)1/28/2012

379.977.224: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

379.977.225: Nièce de Thibaut d'Ostrevant. [C-H.Maigret (D-G.Dooghe "Les châtellenies de Flandre") 24 vii 2012]

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

379.977.230: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base André Masson) 24 x 2014 - família: J-M.Thiebaud (base André Masson) 24 x 2014

379.977.231: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base André Masson) 24 x 2014 - família: J-M.Thiebaud (base André Masson) 24 x 2014

379.977.409: Fonts: - naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel) - defunció: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

380.411.576: Fonts: - persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di Mantova"2008 http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28 III 2017 - família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di Mantova"2008 http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28 III 2017

-5781- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 380.411.577: Fonts: - família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di Mantova"2008 http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28 III 2017

380.411.632: Gautier, qui deviendra également comte de Vexin, d'Amiens et de Valois. On a longtemps pensé que Gautier était fils de Raoul II pour des raisons chronologiques, mais il a été démontré que la veuve de Raoul II n'avait pas eu d'enfant, et l'on considère maintenant Gautier comme un frère très jeune de Raoul II.

GAUTHIER [I] ([before 925]-after 987). Two possible parentages of Gauthier [I] have been suggested.

Firstly, Edouard de Saint-Phalle suggests that he was Gauthier, son of Raoul [I] Comte [d'Ostrevant][6]. This possible parentage is also shown in Europäische Stammtafeln[7]. The primary source which suggests that this might be the case has not yet been identified.

The second possibility is that he was the same person as Gauthier, Comte de Dreux : the editor of the compilation of Chartres charters suggests that "Walterius…comitis Waleranni filius" (Gauthier Comte de Dreux) inherited "comes Velcassinus" (Vexin) from his father, and "Ambianensis" (Amiens) from "matre autem Eldegarde" (acquiring Dreux from his wife's family)[8]. The primary sources on which this information is based have not yet been identified. However, two facts suggest that this second hypothesis may be correct. Firstly, Gauthier Comte de Dreux is also recorded with a wife named Eva (although the necrology entries quoted here and in PARIS REGION NOBILITY (Comtes de Dreux) suggest that there were two countesses of that name at the time). Secondly, the castle of Mantes, occupied by the descendants of Gauthier Comte d'Amiens, was near Dreux. One possible resolution of the problem is signposted by Seversmith who states that Gauthier [I] was the son of "Raoul de Gouy" whose wife he names "Eldearde"[9]. As will be seen above, the wife of Waleran, supposed father of Gauthier [I] under the second possible case, is named "Eldegardis". If Seversmith is correct, it is possible that Eldegardis married firstly Raoul [I] Comte [d´Ostrevant] and secondly Gauthier Comte de Dreux, and that Gauthier [I] was the son of her first marriage. It should be noted that the charter dated to before 967 under which Eldegardis made a donation for the soul of her husband Waleran, with the consent of "Walterio comite filio meo", does not specify that Gauthier was Waleran´s son[10], although the omission of an earlier husband from the document would be surprising if that husband had been Gauthier´s father. "Wauterii comitis, Walterii et Radulfi filiorum eius" subscribed a charter dated 975 under which "Hugo Francorum dux" restored the abbey of Saint-Jean to the abbey of Sainte-Croix d'Orléans[11]. Comte d'Amiens. A charter of "Hugo…Francorum rex" confirming the privileges of the monastery of Corvey dated 987 is subscribed by "Walteri comitis Ambianensis ac filiorum eius Walteri, Gotfredi, Rodulfi"[12]. The necrology of the abbey of Saint-Germain-des-Prés records the death "XIX Kal Feb" of "Gualterii comitis"[13]. m firstly EVA, daughter of --- (-[19 Jan or 23 Nov] ----). “Aeva” donated “alodumFulloni Campum et Mansum Roberti in villa Ludolmis in pago Castrinse” to Saint-Germain-des-Prés, for the souls of “meæsenioris mei Walterii”, by undated charter[14]. The necrology of the abbey of Sainte-Colombe records the death "XIV Kal Feb" of "Eve comitisse"[15]. m secondly ADELA, daughter of ---. A list of members of the Cathedral of Paris lists (in order) "…Walterius comes, Adela comitissa…"[16]. According to Europäische Stammtafeln[17], she was Adela d'Anjou, daughter of Foulques [I] "le Roux" Comte -5782- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas d'Anjou & his wife Roscilla [de Loches] (after 909-). The primary source on which this is based has not yet been identified; it is possible that it is speculative, based on one of her sons being named Foulques. Comte Gauthier [I] & his [first/second] wife had five children. Foundation for Medieval Genealogy 2 ii 2014 (Maj)

References

[6] Saint-Phalle, E. de 'Les comtes de Gâtinais aux X et XI siècles', Keats-Rohan, K. S. B. and Settipani, C. (eds.) (2000) Onomastique et Parenté dans l'Occident medieval (Prosopographica et Genealogica, Vol. 3), p. 234.

[7] ES III 657.

[8] Guérard, M. (ed.) (1840) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Père de Chartres (Paris) ("Chartres Saint-Père"), Tome I, p. 56 footnote 1.

[9] Seversmith, H. F. (1939-58) Colonial Families of Long Island, New York and Connecticut (Washington), Vol. 5, p. 2468 [information provided to the author by Janet Bjorndahl in a private email dated 25 Apr 2011].

[10] Chartres Saint-Père I, Liber Quartus, Cap. V, p. 87.

[11] Thillier, J. and Jarry, E. (eds.) (1906) Cartulaire de Sainte-Croix d'Orléans 814- 1300 (Paris) ("Sainte-Croix d'Orléans") LXIII, p. 123.

[12] RHGF X, IV, p. 552.

[13] Obituaires de Sens Tome I.1, Abbaye de Saint-Germain-des-Prés, p. 248.

[14] Poupardin, R. (1909) Recueil des chartes de l´abbaye de Saint-Germain-des- Prés (Paris) (“Paris Saint-Germain-des-Prés”), Tome I, XLVII, p. 76.

[15] Obituaires de Sens Tome I.1, Abbaye de Sainte-Colombe, p. 15.

[16] Obituaires de Sens Tome I.2, Eglise cathedrale de Paris, p. 1015.

[17] ES III 657

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (P. Bauduin, La première Normandie "Xe-XIe siècles", P.Univ. de Caen, Caen, 2004, 474 p. et Édouard de Saint Phalle, « Les comtes de Gâtinais aux Xe et XIe siècle », in Onomast. et Parenté dans l'Occidt médiéval, Prosopogr. et genealogica, Oxford, 2000, et FMG ) 3 xii 2010 - família: J-P.de Palmas (P. Bauduin, La première Normandie "Xe-XIe siècles", P.Univ. de Caen, Caen, 2004, 474 p. et Édouard de Saint Phalle, « Les comtes de Gâtinais aux Xe et XIe siècle », in Onomast. et Parenté dans l'Occidt médiéval, Prosopogr. et genealogica, Oxford, 2000, et FMG ) 3 xii 2010

380.411.633: D'après Europäische Stammtafeln, elle était Adèle d'Anjou, fille de Foulques [I] "le

-5783- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Roux", Comte d'Anjou & sa femme Roscille [de Loches] (après 909-).

ES III 657.

[ADELA d'Anjou . A list of members of the Cathedral of Paris lists (in order) "…Walterius comes, Adela comitissa…"[67]. According to Europäische Stammtafeln[68], Adela was the possible daughter of Foulques I Comte d'Anjou. The primary source which confirms her origin has not yet been identified. It is possible that it is speculative, based on one of her sons being named Foulques. m as his second wife, GAUTHIER [I] Comte de Valois, d'Amiens et du Vexin, son of --- ([925]-987).]

Fonts: - persona: J-P de Palmas (ES III 657. et Projects Medlands) 5 xii 2010 - defunció: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014 - família: J-P.de Palmas (P. Bauduin, La première Normandie "Xe-XIe siècles", P.Univ. de Caen, Caen, 2004, 474 p. et Édouard de Saint Phalle, « Les comtes de Gâtinais aux Xe et XIe siècle », in Onomast. et Parenté dans l'Occidt médiéval, Prosopogr. et genealogica, Oxford, 2000, et FMG ) 3 xii 2010

380.411.633b: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles), Presses Universitaires de Caen, Caen, 2004, 474 p. et Édouard de Saint Phalle, « Les comtes de Gâtinais aux Xe et XIe siècle », in Onomastique et Parenté dans l'Occidt médiéval, Prosopographica et genealogica, Oxford ) 3 xii 2010

380.411.633c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

380.411.633d: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 1ii2014

380.411.640: Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010, J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010 - defunció: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010 - família: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010

380.411.641: Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010 - família: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010

380.411.641b:

-5784- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010

380.444.864: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud "Généalogies Limousines et Marchoises" T 1 pp 119/176 ,-Pierre-Buffière, Mayenne 1982) 15 iii 2013 - família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de Vasson, Lepetit), J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014

380.444.865: Fonts: - família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de Vasson, Lepetit), J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014

380.444.876: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014

380.444.877: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014

380.475.712: Ebrard de Maulmont qui souscrivit avec Hélis, sa femme, à un titre de l'an 1088, lequel se trouve à l'abbaye de Solignac.

Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

380.475.713b: Il vivait en 1118.

Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

380.477.440: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

380.477.441: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

380.485.702: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Patrick Déret) 12 ii 2017 - família: J-M.Thiebaud (base Patrick Déret) 12 ii 2017

-5785- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 380.485.703: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Geneanet C.Gautier), J-M.Thiebaud (base Patrick Déret) 12 ii 2017 - família: J-M.Thiebaud (base Patrick Déret) 12 ii 2017

380.486.688: GERAUD [I] "Trencaléon" (-before 29 Jul 1011). The Genealogica Comitum Guasconiæ names "Gerardum Trencaleonem" as son of "Bernardum Luscum"[363]. Comte d'Armagnac. The date of his death is set by the Historia Abbatiæ Condomensis which quotes a charter dated 29 Jul 1011 under which "Ugo…Præsul, secundum lineam carnis eidem Duci propinquis et affinis", with the consent of "eodem Duce [provinciam Vasconiam Sanctione…ducatum]…et Arnaldo Vicecomite et cum coniuge sua eorumque filio Arnaldo, eiusque coniuge Adalias…", donated property to the convent of Condom[364].

m firstly ---. The primary source which confirms her marriage has not yet been identified.

m secondly as her first husband, ADELAIS, daughter of ---. Her first and second marriages are confirmed by the charter of her son (by her second marriage) who declares himself "Oddo de Lomania frater Bernardi comitis Armaniacensis" in his donation of property to the monastery of Saint-Mont dated to [1062][365]. According to Europäische Stammtafeln[366], she was Adelais de Poitou, daughter of Guillaume V Duke of Aquitaine [Guillaume III Comte de Poitou], but this appears impossible chronologically. Jaurgain states that Adelais must have been the daughter of Duke Guillaume V by his second marriage to Sancha [Brisca] de Gascogne, adding that this is the only way to explain why her son Bernard was accepted as Comte de Gascogne after the death of Eudes Duke of Gascony and Aquitaine who would, if this hypothesis was correct, have been Bernard´s maternal uncle[367]. However, as can be seen in the document AQUITAINE DUKES, the children of this couple must have been born during the period [1011/18], which means that the charter dated 29 Jul 1011 which fixes the timing of the death of Adelais´s first husband and her second marriage must be incorrectly dated by at least twenty if not thirty years. She married secondly (before 29 Jul 1011) Arnaud [II] Vicomte de Lomagne. Her second marriage is confirmed, and its date set, by the Historia Abbatiæ Condomensis which quotes a charter dated 29 Jul 1011 under which "Ugo…Præsul, secundum lineam carnis eidem Duci propinquis et affinis", with the consent of "eodem Duce [provinciam Vasconiam Sanctione…ducatum]…et Arnaldo Vicecomite et cum coniuge sua eorumque filio Arnaldo, eiusque coniuge Adalias…", donated property to the convent of Condom[368].

Comte Géraud [I] & his first wife had one child:

Comte Géraud [I] & his second wife had [two] children:

[363] Genealogia Comitum Guasconiæ, RHGF XII, p. 386.

[364] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.

[365] Saint-Mont 5, p. 11.

[366] ES III 569.

-5786- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [367] Jaurgain (1898), p. 263.

[368] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG : Jaurgain) 3 i 2014 - família 1: J-L. Dega (Jaurgain) - família 2: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

380.486.784: Fonts: - persona: E.Polti (base de Bernard Fournié sur la Toile ; 16.05.2008) - família: E.Polti (base de Bernard Fournié sur la Toile ; 16.05.2008)

380.486.785: Fonts: - família: E.Polti (base de Bernard Fournié sur la Toile ; 16.05.2008)

380.486.809-1a: Fonts: - persona: YH 01/2009 - généalogie familiale d'après Raúl Díaz Vial - "El linaje de Vial, sucesión y vinculaciones", Ediciones Gráficas, Madrid, 1960 - família: YH 01/2009 - généalogie familiale d'après Raúl Díaz Vial - "El linaje de Vial, sucesión y vinculaciones", Ediciones Gráficas, Madrid, 1960

380.486.809-2b: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

380.486.809-2c: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família: J-P de Palmas (wikipedia) 23 viii 2011

380.486.809-2d: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

380.486.809-2e: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - família: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

380.486.810: Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

380.486.811: Fonts: - família: J-L. Dega

380.486.811b:

-5787- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

380.487.168: Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 16/01/2014

380.487.169: Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 16/01/2014

380.488.224: GAUTHIER de Saint-Valéry (-after [1098]). Orderic Vitalis names him and his father1263. Domesday Book records that “Walter de Saint-Valery” held Isleworth and Hampton in Middlesex; Creeting in Suffolk[1422]. William of Tyre names "Walterius de Sancto Valerius Bernardusque filius eius" among those present at the capture of Nikaia in 1097[1423]. Murray suggests that Gauthier de Saint-Valéry and his son Bernard were the same persons who are named by Albert of Aix as "…Walterus de Domedart et eius filius Bernardus…" among those who took part in the siege of Nikaia[1424], suggesting that "Domedart" indicates a toponym derived from the saint´s name "domnus Medardus" and that it could indicate Domart-en- Ponthieu[1425]. Albert of Aix records "…Reinardus de Hamersbach, Walterus de Domedart" as those who guarded Adhémar Bishop of Le Puy into the mountains towards the port of Simeon after finding the holy lance, dated to mid-1098 from the context[1426].

m HODIERNE (Ermesende) de Montlhéry, daughter of GUY "le Grand" Seigneur de Montlhéry & his wife Hodierne de Gometz-la-Ferté (-[25 Mar] ----). The Historia of Monk Aimon names "Milonem de Brayo et Guidonem Rubeum, Comitissam quoque Reiteste, et Bonam-vecinam de Pontibus, Elizabeth etiam uxorem Joscelini de Corteciniaco, insuper dominam de Puisat, et dominam de S. Galerico" as the children of "Guidonem" and his wife[1427]. The identity of Hodierne´s husband is uncertain, but from a chronological point of view he could have been Gauthier. The necrology of Longpont records the death "IX Kal Aug" of "Guido institutor hujus loci. Guido vicecomes; Adalaidis comitissa, uxor; Wido filius eius", a supplementary section adding a further reference to the anniversary of “donni Guidonis senioris hujus loci institutoris et Guidonis comitis filii eiusIX Kal Aug” as well as the anniversary of “donne Hodierne uxoris ipsius Guidonis senioris et Ermensendis de Sancto Galarico filie amborumVII Kal Apr” with a reference to her visit to Cluny where “beato Hugoni abbati” gave her “calicemaureum”[1428]. In another passage, the necrology of Longpont records the death "VIII Kal Apr" of "domine Hodierne de Sancto Galarico"[1429].] Gauthier & his wife had one child : Bernard.

[1422] Domesday Translation, Middlesex, XII, p. 365, Suffolk, LI, p. 1290.

[1423] WT II.I, p. 33.

[1424] Albert of Aix (RHC), Liber II, Cap. XXIII, p. 316.

[1425] Murray, A. V. (2000) The Crusader Kingdom of Jerusalem: a dynastic history 1099-1125 (Prosopographica & Genealogica), p. 232.

-5788- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1426] Albert of Aix (RHC), Liber IV, Cap. XLVII, p. 422.

[1427] Ex continuatione Historiæ Aimoni Monachi Floriacensis, RHGF XI, p. 275.

[1428] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, pp. 525 and 529.

[1429] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, p. 522.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012 - casament: T.Blanchet(Morrison Family Tree)

380.488.225: Selon A. Auréjac, Hodierne et sa sœur Elisabeth sont une seule et même personne. [C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 13 ii 2012]

Fonts: - naixement: T.Blanchet(Morrison Family Tree) - defunció: T.Blanchet(Morrison Family Tree) - casament: T.Blanchet(Morrison Family Tree)

380.488.232: Plan du Bourg de Dammartin en 1769.

Ce personnage est un exemple de l’aristocrate de la fin du XIe siècle chez qui les sentiments religieux se heurtent aux impératifs du système féodal. Grâce à une documentation plus importante que pour le reste de la famille, nous pouvons reconstituer précisément le parcours d’Hugues de Dammartin et, ainsi, comprendre ses motivations pour fonder le prieuré de Saint-Leu.

Hugues est né avant 1037, date de la mort de son père Manassès. Il passe les premières années de sa vie dans l’ombre de son frère Eudes. Cadet de la famille, il n’a pas de titre. Ainsi, il est présent au côté de son frère dans les actes destinés à assurer le salut de son père. Il prend le titre de comte de Dammartin entre 1060 et 1065. La documentation nous permet de retracer son parcours dès ce moment.

Entre 1067 et 1072, nous le trouvons à quatre reprises dans des actes de Philippe Ier. Il continue alors la politique de son frère à l’égard du roi de France, préférant s’assurer son soutien. Ainsi, pendant cette période, il est à quatre reprises témoin de chartes de Philippe Ier :

 En 1067, confirmation par Philippe Ier d’une renonciation de Gui sur certaines coutumes qu’il exigeait dans la terre de Saint Benoît sur Loire34.

 En 1070, confirmation par Philippe Ier à la prière de l’abbé Gerbert, de l’immunité accordée par les rois à ses prédécesseurs au monastère de Saint-Pierre-le-Vif, de Sens35.

 En 1071, confirmation par Philippe Ier de la charte par laquelle Bouchard comte de Corbeil, accorde aux chanoines de Saint-Spire de Corbeil la liberté de leur cloître et la justice dans le cloître et sur leurs confrères, à -5789- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas la réserve des causes criminelles dont connaîtra l’évêque seul ou l’archidiacre36.

 En 1072, confirmation par Philippe Ier de la donation des églises Saint- Pierre et Saint-Laurent, de Montfort, faite par Simon de Montfort à l’église Saint-Magloire de Paris

 En 1078, le comte Hugues de Dammartin, protecteur de la collégiale parisienne de Saint-Martin, et son vassal Gautier d'Aulnay abandonnent aux bénédictins de l'Ordre de Cluny les biens et dîmes qu'il percevait sur le nord de Bondy, Nonneville (embryon d'Aulnay-les-Bondy) et de Groslay, écart de Blanc-Mesnil.

 En 1081, le comte Hugues de Dammartin en tant que seigneur de Hescerent fit don de l'église de Hescerent (Saint-Leu), chapelle romane du Xe siècle, aux bénédictins de l'Ordre de Cluny. Ils en firent une église abbatiale et fondèrent le prieuré. A partir de 1085, à l'emplacement de l'ancienne église romane furent érigés, le prieuré bénédictin et l'église Abbatiale de Saint-Leu-d'Esserent qui se trouvent étape de la route de Saint-Jacques-de-Compostelle. Les moines restèrent très attachés aux Dammartin pour que les armes de Dammartin se confondent avec celles du prieuré.

 Vers 1083, Foulques d'Annet lègue à la collégiale parisienne de Saint- Martin le fief qu'il tenait de cette église, en présence d'Hervé de Montmorency, de ses chevaliers, et du comte Hugues de Dammartin.

Dans ces chartes, Hugues est cité à deux reprises sous le nom de « Hugo de Domnomartino » et à deux reprises « comes de Domno Martino ». Hugues n’est pas le premier Dammartin à porter le titre de comte, puisque Manassès est déjà présenté ainsi dans les sources. Le cognomen « de Domnomartino » est un exemple de sa fixation dans le monde aristocratique dès la fin du XIe siècle.

Il se fait moine à Saint Leu à la fin de sa vie et meurt aux alentours de 1100.

Extrait de : Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle, 2002

HUGUES [I] de Dammartin (-[1100]). "Odo filius comitis Manassæ" donated a family of servants to "Carnotensi monasterio Sancti Petri", with the support of "fratre meo Hugone ac sorore nostra Eustachia", for the souls of "patre nostro Manasse et…nostra matre Constantia", by charter dated 9 Aug before 1060 "in palatio Meleduni castri"[2185]. Comte de Dammartin 1071. "…Hugonis comitis domni Martini…" subscribed the charter dated 1071 under which "Buccardus…Corbolensium comes" donated property to the abbey of Saint-Spire de Corbeil[2186]. Seigneur de Bulles: “Militarem Goselinum infantemfilium Ascelini de Buglis” donated “medietatem feodi de Honricourt” to Saint-Lucien de Beauvais, in the presence of “Hugone domino de Buglis et de Domno Martino et Matheo avunculo Goscelini”, by charter dated 1080, witnessed by “Matheus et Paganus avunculi Goscelini”[2187]. "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent and donated "feodum…Vuidonis de Rupe et feodum Rogerii de Nantolio", with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081, witnessed by "Petrus filius Tetbaldi, Adam frater eius, Lambertus frater eius…"[2188]. "Duo fratres Ebolus et Andreas et uxores nostre Sibilla et Adelisa et cognatus noster Hugo -5790- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas comes de Domno Martino uxorque eius Rothaidis" donated property to the church of Ramerupt Sainte-Marie by charter dated 1082[2189]. A charter dated to [1093] records an agreement between the canons of Sainte-Marie Paris and “Hugonem comitem Donni Martini”[2190].

m ROHESE, sister of ASCELIN de Bulles, daughter of ---. "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[2191]. Heiress of Bulles. "Duo fratres Ebolus et Andreas et uxores nostre Sibilla et Adelisa et cognatus noster Hugo comes de Domno Martino uxorque eius Rothaidis" donated property to the church of Ramerupt Sainte-Marie by charter dated 1082[2192].

[2185] Chartres Saint-Père I, Liber Septimus, Cap. XXVIII, p. 154.

[2186] Saint-Spire de Corbeil 1, p. 1.

[2187] Leblond (1910), 1, p. 134, citing Titres de S. Lucien (no precise citation reference).

[2188] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[2189] Arbois de Jubainville ´Les premiers seigneurs de Ramerupt´, Pièces Justificatives, I, p. 451.

[2190] Paris Notre-Dame, Tome I, I, p. 288.

[2191] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[2192] Arbois de Jubainville ´Les premiers seigneurs de Ramerupt´, Pièces Justificatives, I, p. 451.

Bibliographie

 Cartulaire du prieuré de Saint-Leu d’Esserent (1080-1538), éd. Eugène Müller, Pontoise, Société historique du Vexin, 1900-1901, 210 pages.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Patrick Van Kerrebrouck, Les Capétiens, 2000, p. 55-63), J- P de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin », Mémoires pub. par fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l’ÎDF, tome 47, Paris, 1996 et FMG) ix2009 - família 1, família 3: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014 - família 2: G.de Paysac, Anselme VIII, 401, J-P de Palmas (Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle, 2002) ix2009

380.488.233: de Bulles . The primary source which confirms her family origin has not yet been identified. "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[802]. "Duo fratres Ebolus -5791- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas et Andreas et uxores nostre Sibilla et Adelisa et cognatus noster Hugo comes de Domno Martino uxorque eius Rothaidis" donated property to the church of Ramerupt Sainte-Marie by charter dated 1082[803]. Dame de Bulles.

m HUGUES [I] Comte de Dammartin, son of MANASSES Comte de Dammartin & his wife Constance --- (-[1100]).

[802] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[803] D´Arbois de Jubainville, H. ´Les premiers seigneurs de Ramerupt´, Bibliothèque de l´école des chartes, Tome XXII (1861), Pièces Justificatives, I, p. 451.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2012 - família: G.de Paysac, Anselme VIII, 401, J-P de Palmas (Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle, 2002) ix2009

380.488.233a: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Anselme, VIII, 401)

380.488.233b: BASILIE . "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[2199].

[2199] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 x 2012

380.488.233d: EUSTACHIE . "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[2208].

[2208] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2012

380.488.233-3a: Le comte Pierre de Dammartin, fils du précédent, a épousé Eustachie, mais n'eut qu'un fils cité en 1107 et mort jeune. Il apparaît pour la dernière fois dans les documents en 1107. Lui succéda sa sœur, mariée à Aubry de Mello.

A la mort d’Hugues vers 1100 ou au moment de son entrée dans la vie monastique, son fils, Pierre, prend sa succession. Ce dernier a laissé moins de traces dans la documentation que son père. Nous pouvons néanmoins réussir à retracer son parcours. Il apparaît pour la première fois aux côtés de son père, sa mère et ses sœurs pour la fondation de Saint-Leu39. En plus de l’acte de fondation, il apparaît

-5792- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas dans sept documents:

•Il est cité dans une charte de Louis VII de 1175 ou 1176 rappelant une charte antérieure par laquelle il exemptait le village de Lagny-le-Sec du droit de gîte40.

•Il confirme vers 1104 une vente d’une vigne d’un marchand de Dammartin au prieur de Saint-Leu Aimar41.

•Il confirme vers 1105 la donation d’Aubri dit Payen de Mello au prieuré de Saint- Leu42.

•Il est mentionné dans une confirmation générale du pape Eugène III du 7 juin 1147 dans laquelle il est dit qu’il donna une terre aux chanoines du chapitre de Ruricourt.

•Il donne à l’abbaye de Molesmes des terres de Coclois près de Ramerupt43.

•Il souscrit une charte de l’abbaye de Montieramey44.

•Avant sa mort, il fait des donations au prieuré de Saint-Leu et demande à y être enterré aux côtés de son père et de sa mère vers 1107 45.

De la même façon que Manassès et, dans une moindre mesure, Hugues, Pierre trahit le roi de France. Il n’a pas réussi comme son père à limiter ses affrontements avec lui, il perd la vie mais aussi le comté à la suite de la bataille de Gournay en 1107. Le roi confisque le château de Dammartin et fait en sorte de confier la tutelle du comté à un proche : Lancelin de Beauvais.

Ses derniers jours La documentation nous apporte un cas bien précis d’inhumation d’un Dammartin à l’intérieur de l’église Il s’agit de Pierre, comte de Dammartin, fils et successeur d’Hugues de Dammartin. Les circonstances de sa mort sont assez particulières et illustrent l’importance que revêt l’enterrement à Saint-Leu pour les comtes de Dammartin. Vers 1107, Pierre est entraîné par son seigneur le comte de Champagne à combattre le roi de France, Louis VI le Gros. Au cours de la bataille de Gournay, Pierre est mortellement blessé : le texte de la charte nous dit : « captus infirmitate ». Il se réfugie dans le château de Rosnay 1 en Champagne. Ce texte, qui est une notice d’un cartulaire perdu et recopié par Baluze au XVIIe siècle, donne quelques précisions sur ce passage de la vie de Pierre. Selon ce texte, Pierre fait appel aux moines de Saint-Leu pour recevoir les derniers sacrements. Le prieur Aimar fait dépêcher à ses côtés le frère Brice. Il reçoit les dernières donations de Pierre pour le prieuré de Saint-Leu. C’est à cette occasion que nous apprenons qu’Hugues a fini sa vie en tant que moine de Saint-Leu : « pater suus [Pierre de Dammartin] Hugo comes, monachus noster ». La donation s’accompagne des souscriptions des témoins, tous des proches des Dammartin.

Par ce texte, nous apprenons qu’Hugues et sa femme Roaide, sont enterrés dans l’église de Saint-Leu. La première génération des Dammartin s’est donc bien servi de Saint-Leu comme une nécropole familiale. Il est donc normal de voir Pierre désireux d’être aux côtés de ses parents et être enterré à l’intérieur de l’église. Or, comme nous le voyons, les moines ont eu du mal à accomplir cela, « cum magno labore ac difficultate a nobis completum est ». Ces problèmes s’expliquent assez aisément : révolté contre le roi, Pierre a perdu son comté. Sa traîtrise a entraîné la confiscation du château de Dammartin-en-Goële par le roi de France, Louis le Gros, -5793- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas qui s’oppose certainement à ce que le comte soit enseveli à Saint-Leu. Faisant fi de ces problèmes, les moines réussissent à rapatrier le corps et à l’enterrer à l’intérieur de l’église. Le texte se termine par la confirmation des donations par la veuve de Pierre, Eustachie. Non seulement, il s’agit d’une priorité pour les Dammartin d’être enterré à l’intérieur de l’église de Saint-Leu, mais aussi pour les moines qui font en sorte de pouvoir respecter les désirs de Pierre de Dammartin. Ainsi, le prestige est partagé entre la famille de Dammartin et les moines. Ces derniers voient leur établissement valorisé par l’ensevelissement d’une grande famille aristocratique à l’intérieur de leur église.

Extrait de Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle, mémoire de maîtrise, 2002

Références

1. Le Rosnay (note 7) où est mort le comte Pierre de Dammartin se situe dans l'Aube et non dans la Marne (auj. Rosnay-l'Hôpital, arr. Bar-sur-Aube, cant. Soulaines-Dhuys). La mort de Pierre de Dammartin au château de Rosnay (il n'y a d'ailleurs jamais eu de château dans la petite localité de Rosnay dans la Marne) est connue par une charte de l'abbaye de Cluny, qui possédait un prieuré à Margerie (Marne, arr. Vitry-le-François, cant. Saint-Rémy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson, com. Margerie- Hancourt), près de Rosnay. Les comtes de Dammartin étaient possessionnés dans cette région, étant également comtes d'Arcis- Ramerupt, sur la Seine. Hugues, comte de Dammartin a ainsi donné à l’abbaye de Cluny,vers 1075, la moitié de Brandonvillers, près de Rosnay. Rosnay était le siège d'un petit comté, qui échut aux comtes de Dammartin, puis aux comtes de Troyes (comtes de Champagne).

PIERRE de Dammartin (-Château de Rosnay, Champagne 13 Sep [1105/06], bur Esserent Saint-Leu). "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint- Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[2193]. Comte de Dammartin. "Domino Petro comite de Domno Martino" consented to the sale of vines at Dammartin to the priory of Saint-Leu d´Esserent by charter dated 1104[2194]. "Petrus de Domno Martino comes", retained by illness "apud Rosnacum castellum…in Campania", donated milling revenue to Saint-Leu d´Esserent, in return for the privilege of burial at the priory, by undated charter later confirmed by "comitissam Domni Martini Eustachiam…uxorem defuncti filiique eius matrem"[2195]. m EUSTACHIE, daughter of ---. "Petrus de Domno Martino comes", retained by illness "apud Rosnacum castellum…in Campania", donated milling revenue to Saint-Leu d´Esserent, in return for the privilege of burial at the priory, by undated charter later confirmed by "comitissam Domni Martini Eustachiam…uxorem defuncti filiique eius matrem"[2196]. Pierre & his wife had one child.

[2193] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[2194] Esserent Saint-Leu, IV, p. 7.

[2195] Esserent Saint-Leu, XI, p. 16.

[2196] Esserent Saint-Leu, XI, p. 16.

-5794- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: J-P de Palmas (FMG (Dammartin) et wikipedia) ix2009 - defunció: blessé à la bataille de Gournay - família: J-P de Palmas (FMG (Dammartin) et wikipedia) ix2009

380.488.234: Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342). - família: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., J-P.de Palmas ( J.-N. Mathieu "Les comtes de Dammartin, Paris et Ile-de-France", Memoires,t. 47 1996) 11 x 2012

380.488.235: Fonts: - família: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342)., J-P.de Palmas ( J.-N. Mathieu "Les comtes de Dammartin, Paris et Ile-de-France", Memoires,t. 47 1996) 11 x 2012

380.488.235a: Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342). - família: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, p. 342 & H&G 2003, p. 322).

380.488.236: LANCELIN [II] de Beauvais, son of LANCELIN [I] de Beauvais & his wife --- (-[15 Jan] after 1116). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. Seigneur de Bulles, de iure uxoris. Administrator of the county of Dammartin-en-Goële 1112-1116. ["…Dominus Lancelinus…" signed the undated charter, maybe dated to [1120/30], which records donations to the priory of Saint- Leu d´Esserent[806].] The necrology of Saint-Nicolas records the death "XVIII Kal Feb" of "Lancelinus de Buglis et Adeliz uxor eius", adding that "filii eorum Manasses atque Lancelinus, Teobaldus et Rainaldus" donated property in Fouquerolles for them[807]. It is not clear which of the spouses died on the date mentioned.

m ADELA de Dammartin, daughter of HUGUES [I] Comte de Dammartin & his wife Roharde de Bulles (-1167 or after). "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[808]. Dame de Bulles. A charter of Amaury d´Auteuil dated 1114 records the consent of “Adeliza uxor Lanscelini et filii eius Manasses, Rainaldus, Theobaldus et filia Rohes” to a donation to Saint-Quentin de Beauvais[809]. "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[810]. The date of the original foundation is not known, but took place after 1116 when Adela´s husband was still living. A charter dated 1134 records that “domina Aelidis de Buglis et filii eius Lancelinuset Manasses et eorum soror Beatrix” donated “terramin territorio Harmarum” to Trie Sainte-Marie[811]. A charter dated 1136 records various donations to Trie Sainte-Marie including “domina Adelidis de Buglis et filii eius LancelinusManasses et Rainaldus sororque eorum Beatrix et eiusdem Beatricis filii Hildeburgis et Mathildis” who donated “interræ HermarumHezet Hulsoy”, witnessed by “Drogo de Merlo et filii eius Drogo et Rainaldus”[812]. “Willelmus de Merloto et frater meus Rainaldus antequam filium vel filiam haberet” granted property to “Manasserius de Bullis -5795- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas avunculus noster”, with the consent of “Adelisa matre sua et fratribus suis Lancelino atque Rainaldo”, by charter dated 1167[813]. The necrology of Saint- Nicolas records the death "XVIII Kal Feb" of "Lancelinus de Buglis et Adeliz uxor eius", adding that "filii eorum Manasses atque Lancelinus, Teobaldus et Rainaldus" donated property in Fouquerolles for them[814]. It is not clear which of the spouses died on the date mentioned.

Lancelin [II] & his wife had [eleven] children.

[806] Esserent Saint-Leu, XXIX, p. 33.

[807] Labande (1892), p. 53, citing 1er Obituaire de Saint-Nicolas, Bibl. de Troussures.

[808] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[809] Newman, W. M. (1971) Les seigneurs de Nesle en Picardie (Paris), Tome I, p. 84, quoting Nouv. acq. lat., 1921, Cartulaire de S. Quentin de Beauvais, f. 43 r.

[810] Louvet (1631), Tome I, p. 625, and Patrologia Latina, Vol. 200, Alexandri III Epistolæ et Privilegia, col. 1030D.

[811] Louvet (1631), Tome I, p. 575.

[812] Louvet (1631), Tome I, p. 576.

[813] Bibliothèque Nationale, A. Coll. Picardie 327, no. 9, Chaalis, grand fragm. du sceau [information provided by J.C. Chuat in a private email to the author dated 25 Oct 2011].

[814] Labande (1892), p. 53, citing 1er Obituaire de Saint-Nicolas, Bibl. de Troussures.

Lancelin est issu d’une famille de puissants milites urbains qui réussissent à devenir à la fin du XIe siècle et le début du XIIe siècle des seigneurs banaux du plat-pays47. Il est le frère de deux évêques de Beauvais : Foulques (1089-1095) et Pierre (1114-1133) et fils aîné de Lancelin Ier. Ce dernier est bien connu dans la documentation. Il souscrit un diplôme de Henri Ier en 1057 et plusieurs diplômes de Philippe Ier en 1069 et 1079. A la suite d’Olivier Guyotjeannin, nous pouvons l’assimiler au bouteiller du roi, son homonyme48. Lancelin I est aussi le fondateur du prieuré de Villers-Saint-Sépulchre49 dépendant de Saint-Germer-de-Fly50. Il s’agit donc d’un lignage bien implanté dans le Beauvaisis et fidèle aux Capétiens. Pour confier le comté à ce proche, le roi marie Lancelin à une des filles d’Hugues de Dammartin et sœur de Pierre : Adélaïde. Dès 1111, Lancelin est qualifié de comte de Dammartin par Suger : « Lancelinum, comes de Domno martini »51. A la même date, ses relations avec le roi de France, Louis VI le gros, se détériorent. Il continue en cela la politique des Dammartin, puisqu’il prend le parti du comte de Blois Thibaut IV. Mais, à la suite de la paix entre Thibaut IV et le roi de France, Lancelin perd le « conduit » de Beauvais : « Lancelinum, comes de Domno martini, querelam Belvacensis conductus sine spe recuperandi amiserit »52. Seigneur de Bulles par son mariage avec Adélaïde, il n’a que la tutelle sur le comté de Dammartin à la place de son neveu, le fils de Pierre. Le roi de France aurait-il agi en conséquence de cette nouvelle trahison et serait-il intervenu de nouveau dans

-5796- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas les destinées du comté ? Cette intervention royale est hypothétique, mais expliquerait le fait que nous ne trouvons aucune trace d’un comte de Dammartin entre 1111 et 1138.

Les destinées du comté sont assez difficiles à connaître après cette nouvelle trahison d’un comte de Dammartin. La solution la plus envisageable paraît être celle de Jean-Noël Mathieu publiée dans un article récent 53. Après l’essai de mise au pas des Dammartin par l’intermédiaire de Lancelin, le roi décide de retirer la tutelle du fils de Pierre et la garde du château de Dammartin à Lancelin, puis de marier le fils de Pierre, peut-être Hugues cité dans une charte du prieuré de Saint- Leu54 à Clémence de Bar. Elle est la fille de Renaud Ier de Bar-le-Duc et de Gisèle de Vaudémont.

Extrait de : Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle

53 Mathieu, Jean-Noël, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, 1996, p. 7-59

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59) ix2009 et x2012 - família: J-P de Palmas ( FMG) ix2009

380.488.237: ADELA (-[15 Jan] 1167 or after). "Comes Hugo de Domnomartino" founded the priory of Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxor…mea Roaidis…et filius meus Petrus et filie mee Basilia, Adalaidis, Eustachia", by charter dated 1081[2200]. Dame de Bulles. A charter of Amaury d´Auteuil dated 1114 records the consent of “Adeliza uxor Lanscelini et filii eius Manasses, Rainaldus, Theobaldus et filia Rohes” to a donation to Saint-Quentin de Beauvais[2201]. "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[2202]. The date of the original foundation is not known, but took place after 1116 when Adela´s husband was still living. A charter dated 1134 records that “domina Aelidis de Buglis et filii eius Lancelinuset Manasses et eorum soror Beatrix” donated “terramin territorio Harmarum” to Trie Sainte-Marie[2203]. “Willelmus de Merloto et frater meus Rainaldus antequam filium vel filiam haberet” granted property to “Manasserius de Bullis avunculus noster”, with the consent of “Adelisa matre sua et fratribus suis Lancelino atque Rainaldo”, by charter dated 1167[2204]. The necrology of Saint-Nicolas records the death "XVIII Kal Feb" of "Lancelinus de Buglis et Adeliz uxor eius", adding that "filii eorum Manasses atque Lancelinus, Teobaldus et Rainaldus" donated property in Fouquerolles for them[2205]. It is not clear which of the spouses died on the date mentioned.

According to Europäische Stammtafeln[2206], Adela married firstly Aubry [I] de Mello, son of --- de Mello & his wife ---. Presumably this hypothesis is based on the charter dated to before 1107 under which [her husband] "Albericus…vocabatur Paganus de Marlo" donated milling revenue “de Hescerens, que de feodo comitis Domni martini erat” to Saint-Leu d´Esserent, with the consent of "uxore sua Adalaide" whose dowry it was[2207]. However, that document could indicate that -5797- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Adela belonged to a family which had been enfeoffed with the property in question by the comte de Dammartin. It appears that the hypothesis is unlikely to be correct as Agnes, wife of Lancelin, did not name her son Aubry de Mello in her foundation of the priory of Wariville which names her children by her supposed second husband. m LANCELIN [II] de Beauvais, son of LANCELIN [I] de Beauvais & his wife --- (- after 1116). Administrator of the county of Dammartin-en-Goële 1112-1116.

[2199] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[2200] Esserent Saint-Leu, I, p. 1.

[2201] Newman (1971), Tome I, p. 84, quoting Nouv. acq. lat., 1921, Cartulaire de S. Quentin de Beauvais, f. 43 r.

[2202] Louvet (1631), Tome I, p. 625, and Patrologia Latina, Vol. 200, Alexandri III Epistolæ et Privilegia, col. 1030D.

[2203] Louvet (1631), Tome I, p. 575.

[2204] Bibliothèque Nationale, A. Coll. Picardie 327, no. 9, Chaalis, grand fragm. du sceau [information provided by J.C. Chuat in a private email to the author dated 25 Oct 2011].

[2205] Labande (1892), p. 53, citing 1er Obituaire de Saint-Nicolas, Bibl. de Troussures.

[2206] ES III 650.

[2207] Esserent Saint-Leu, VIII, p. 13.

La branche des Bulles

Cette branche de la famille de Dammartin est issue du mariage d’Adélaïde de Dammartin et de Lancelin de Beauvais. Il semble, en effet, qu’à la mort d’Hugues, les différentes possessions avaient été divisées entre ses enfants. Adélaïde récupère les possessions de Bulles, puisqu’elle porte le surnom « de Buglis » dans toutes les chartes dans lesquelles elle apparaît. A la suite de la trahison de Lancelin, comme nous l’avons vu, le roi confisque le titre de comte et le château de Dammartin. En revanche, il semble qu’il laisse Adélaïde garder ses droits sur Bulles. Ainsi, nous la retrouvons dans l’acte de 1138 dans lequel Renaud fait une donation à l’abbaye de Chaâlis. Elle confirme cet acte en compagnie d’un de ses fils Lancelin. Ses autres enfants portent des noms très traditionnels dans les lignages des Dammartin et des Beauvais : Manassès, Thibault, Renaud et Basilie.

Extrait de Le prieuré de Saint Leu d'Esserent et la société au XIIe siècle

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III-4 Taf 650) 20/10/2006, J-P de Palmas ( FMG et Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin », tome 47, Paris, 1996 ) ix2009 -5798- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família 1: H.R.Moser/EuSt-III/4-650, J-P.de Palmas (FMG) 21 v 2014 - família 2: J-P de Palmas ( FMG) ix2009

380.488.237b: MANASSES (-1171). A charter of Amaury d´Auteuil dated 1114 records the consent of “Adeliza uxor Lanscelini et filii eius Manasses, Rainaldus, Theobaldus et filia Rohes” to a donation to Saint-Quentin de Beauvais[821]. "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[822]. A charter dated 1134 records that “domina Aelidis de Buglis et filii eius Lancelinuset Manasses et eorum soror Beatrix” donated “terramin territorio Harmarum” to Trie Sainte-Marie[823]. A charter dated 1136 records various donations to Trie Sainte-Marie including “domina Adelidis de Buglis et filii eius LancelinusManasses et Rainaldus sororque eorum Beatrix et eiusdem Beatricis filii Hildeburgis et Mathildis” who donated “interræ HermarumHezet Hulsoy”[824]. “Manasses de Buglis et Rainaldus frater eius et Beatrix soror eorum” donated land “in territorio de Waismaisons” to Beaupré by charter dated 1144[825]. The History of Louis VII King of France names "…Manasses de Bugliis…" among those who accompanied King Louis VII on crusade in 1147[826]. The necrology of Saint- Nicolas records the death "XVIII Kal Feb" of "Lancelinus de Buglis et Adeliz uxor eius", adding that "filii eorum Manasses atque Lancelinus, Teobaldus et Rainaldus" donated property in Fouquerolles for them[827]. Seigneur de Bulles. “Willelmus de Merloto et frater meus Rainaldus antequam filium vel filiam haberet” granted property to “Manasserius de Bullis avunculus noster”, with the consent of “Adelisa matre sua et fratribus suis Lancelino atque Rainaldo”, by charter dated 1167[828]. Newman states that Manassès was abbé de Froidmont from 1142 to 1171, but does not cite the supporting source[829]. The necrology of Beaupré records the death “XVIII Kal Feb” of “Manasses de Bullis miles dominus nostre fundator et nepos eius Robertus”[830]. m (annulled before [1128]) --- [de Milly], daughter of ---. A letter of Eudes Bishop of Beauvais to Suger, dated to [1146/47], records that “P. de Miliaco” had married “neptim Manasse de Bulis” after the annulment of the marriage of “prædictus Manasses” and “hujus Petri amitam”[831].

[821] Newman (1971), Tome I, p. 84, quoting Nouv. acq. lat., 1921, Cartulaire de S. Quentin de Beauvais, f. 43 r.

[822] Louvet (1631), Tome I, p. 625, and Patrologia Latina, Vol. 200, Alexandri III Epistolæ et Privilegia, col. 1030D.

[823] Louvet (1631), Tome I, p. 575.

[824] Louvet (1631), Tome I, p. 576.

[825] Leblond (1910), 1, p. 136, citing Titres de Beaupré (no precise citation reference).

[826] Molinier (1887) De Glorioso Rege Ludovico, Ludovici filio, X, p. 158.

[827] Labande (1892), p. 53, citing 1er Obituaire de Saint-Nicolas, Bibl. de Troussures.

[828] Bibliothèque Nationale, A. Coll. Picardie 327, no. 9, Chaalis, grand fragm. du

-5799- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas sceau [information provided by J.C. Chuat in a private email to the author dated 25 Oct 2011].

[829] Newman (1971), Tome I, p. 84.

[830] Leblond (1910), 1, p. 136, citing Ancien nécrologe de Beaupré (no precise citation reference).

Fonts: - persona: J-P de Palmas ( FMG) ix2009, F.de Bernis (Le prieuré de St-Leu d'Esserent) 31 i 09 - família: F.de Bernis (Le prieuré de St-Leu d'Esserent) 31 i 09

380.488.237c: RENAUD de Bulles (-after 1167). A charter of Amaury d´Auteuil dated 1114 records the consent of “Adeliza uxor Lanscelini et filii eius Manasses, Rainaldus, Theobaldus et filia Rohes” to a donation to Saint-Quentin de Beauvais[883]. "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[884]. A charter dated 1136 records various donations to Trie Sainte-Marie including “domina Adelidis de Buglis et filii eius LancelinusManasses et Rainaldus sororque eorum Beatrix et eiusdem Beatricis filii Hildeburgis et Mathildis” who donated “interræ HermarumHezet Hulsoy”[885]. The necrology of Saint-Nicolas records the death "XVIII Kal Feb" of "Lancelinus de Buglis et Adeliz uxor eius", adding that "filii eorum Manasses atque Lancelinus, Teobaldus et Rainaldus" donated property in Fouquerolles for them[886]. “Manasses de Buglis et Rainaldus frater eius et Beatrix soror eorum” donated land “in territorio de Waismaisons” to Beaupré by charter dated 1144[887]. Seigneur de Bulles. "Lancelin, Renaud et Thibault domini castri Buglensis" donated their fief of Wavignies to the abbey of Breteuil by charter dated 1154[888]. “Rainaldus de Buglis” renounced rights over “terra de Morviler” in favour of Saint-Just-en- Chaussée by charter dated 1161[889]. “Willelmus de Merloto et frater meus Rainaldus antequam filium vel filiam haberet” granted property to “Manasserius de Bullis avunculus noster”, with the consent of “Adelisa matre sua et fratribus suis Lancelino atque Rainaldo”, by charter dated 1167[890].

m EUPHEMIE de Picquigny, daughter of GUERMOND [I] de Picquigny Vidame d´Amiens & his wife Beatrix ---. The primary source which confirms her parentage and marriage has not yet been identified.

[883] Newman (1971), Tome I, p. 84, quoting Nouv. acq. lat., 1921, Cartulaire de S. Quentin de Beauvais, f. 43 r.

[884] Louvet (1631), Tome I, p. 625, and Patrologia Latina, Vol. 200, Alexandri III Epistolæ et Privilegia, col. 1030D.

[885] Louvet (1631), Tome I, p. 576.

[886] Labande (1892), p. 53, citing 1er Obituaire de Saint-Nicolas, Bibl. de Troussures.

[887] Leblond (1910), 1, p. 136, citing Titres de Beaupré (no precise citation -5800- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas reference).

[888] Lépinois (1877), p. 117 footnote 2, quoting Arch. de l´Oise, Fonds de Breteuil.

[889] Saint-Just-en-Chaussée, VI, p. 407.

[890] Bibliothèque Nationale, A. Coll. Picardie 327, no. 9, Chaalis, grand fragm. du sceau [information provided by J.C. Chuat in a private email to the author dated 25 Oct 2011].

Fonts: - persona: J-P de Palmas ( FMG) ix2009, F.de Bernis (Le prieuré de St-Leu d'Esserent) 31 i 09 - família: F.de Bernis (Le prieuré de St-Leu d'Esserent) 31 i 09

380.488.237d: THIBAUT (-1167). A charter of Amaury d´Auteuil dated 1114 records the consent of “Adeliza uxor Lanscelini et filii eius Manasses, Rainaldus, Theobaldus et filia Rohes” to a donation to Saint-Quentin de Beauvais[840]. "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[841]. The necrology of Saint-Nicolas records the death "XVIII Kal Feb" of "Lancelinus de Buglis et Adeliz uxor eius", adding that "filii eorum Manasses atque Lancelinus, Teobaldus et Rainaldus" donated property in Fouquerolles for them[842]. Archdeacon of Beauvais. "Theobaldus archidiaconus…" witnessed the charter dated to [1150/62] which records a donation to the priory of Saint-Leu d´Esserent by "Odo cognomine Gallus" on his deathbed[843]. "Lancelin, Renaud et Thibault domini castri Buglensis" donated their fief of Wavignies to the abbey of Breteuil by charter dated 1154[844].

[840] Newman (1971), Tome I, p. 84, quoting Nouv. acq. lat., 1921, Cartulaire de S. Quentin de Beauvais, f. 43 r.

[841] Louvet (1631), Tome I, p. 625, and Patrologia Latina, Vol. 200, Alexandri III Epistolæ et Privilegia, col. 1030D.

[842] Labande (1892), p. 53, citing 1er Obituaire de Saint-Nicolas, Bibl. de Troussures.

[843] Esserent Saint-Leu, LXX, p. 71.

[844] Lépinois (1877), p. 117 footnote 2, quoting Arch. de l´Oise, Fonds de Breteuil.

Fonts: - persona: J-P de Palmas ( FMG) ix2009

380.488.237e: ROHESE (-before 1134). A charter of Amaury d´Auteuil dated 1114 records the consent of “Adeliza uxor Lanscelini et filii eius Manasses, Rainaldus, Theobaldus et

-5801- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas filia Rohes” to a donation to Saint-Quentin de Beauvais[845]. Rohese was presumably her parents´ oldest daughter as their other three known daughters are not named in this charter. She presumably died before 1134, the date of the charter in which her sister Beatrix is named with their brothers Lancelin and Manassès.

Depoin suggests that she was Rohese, wife of Thibaut de Gisors, son of Payen de Gisors & his wife Mathilde ---, because Thibaut de Gisors was helped by Guillaume de Mello abbot of Pontoise Saint-Martin during a dispute with Louis VII King of France, Abbot Guillaume being the brother of Dreux [II] Seigneur de Mello who had married the sister of Rohese de Bulles (see below)[846]. From a chronological point of view, this is unlikely to be correct as Rohese de Bulles was named in a charter dated 1114, so could have been considerably older than Thibaut de Gisors. Her correct marriage is indicated by a letter of Eudes Bishop of Beauvais to Suger, dated to [1146/47], which records that “P. de Miliaco” (reporting that he was causing difficulties in the Beauvaisis) had married “neptim Manasse de Bulis” [the wife of Pierre de Milly being recorded in another source as Amélie, daughter of Sagalon de Milly] after the annulment of the marriage of “prædictus Manasses” and “hujus Petri amitam”[847]. A charter, maybe dated to [1136], which confirms donations to the abbey of Saint-Paul-en-Beauvaisis includes the donation of “in minuta decima de Monsterelo” made by “Sagalonis de Milliaco” for the soul of “Rosciæ uxoris suæ, et Henrici”[848].

m SAGALON [IV] de Milly, son of --- (-after 1148).

[845] Newman (1971), Tome I, p. 84, quoting Nouv. acq. lat., 1921, Cartulaire de S. Quentin de Beauvais, f. 43 r.

[846] Pontoise Saint-Martin, p. 408.

[847] RHGF, Tome XV, III, p. 484.

[848] Louvet (1631), Tome I, p. 617.

Fonts: - persona: J-P de Palmas ( FMG) ix2009 - família: J-P.de Palmas (FMG) 7 x 2012

380.488.237f: BEATRIX (-after 24 Jun 1156). "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[992]. A charter dated 1134 records that “domina Aelidis de Buglis et filii eius Lancelinuset Manasses et eorum soror Beatrix” donated “terramin territorio Harmarum” to Trie Sainte- Marie[993]. A charter dated 1136 records various donations to Trie Sainte-Marie including “domina Adelidis de Buglis et filii eius LancelinusManasses et Rainaldus sororque eorum Beatrix et eiusdem Beatricis filii Hildeburgis et Mathildis” who donated “interræ HermarumHezet Hulsoy”[994]. “Manasses de Buglis et Rainaldus frater eius et Beatrix soror eorum” donated land “in territorio de Waismaisons” to Beaupré by charter dated 1144[995]. “Holdeburgis domina Britoglii” on her deathbed donated the tolls of Hermes-sur-le-Thérain to Variville priory, with the consent of “Beatricis matris suedomini Waleranni Britolii predicte Holdeburgis

-5802- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas mariti”, by charter dated 24 Jun 1156[996].

m ---. The name of Beatrix’s husband is not known, but presumably he was seigneur d’Ailly-sur-Noye, which was inherited by his older daughter. Two children.

[992] Louvet (1631), Tome I, p. 625, and Patrologia Latina, Vol. 200, Alexandri III Epistolæ et Privilegia, col. 1030D.

[993] Louvet (1631), Tome I, p. 575.

[994] Louvet (1631), Tome I, p. 576.

[995] Leblond (1910), 1, p. 136, citing Titres de Beaupré (no precise citation reference).

[996] Dion (1884) Seigneurs de Breteuil, p. 23, quoting Moreau, t. LXVIII, fol. 35, d’après les archives de Variville.

Fonts: - persona: J-P de Palmas ( FMG) ix2009 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017

380.488.237g: [daughter . Her parentage and marriage are confirmed by the charter dated 1167 under which [her son] “Willelmus de Merloto et frater meus Rainaldus antequam filium vel filiam haberet” granted property to “Manasserius de Bullis avunculus noster”, with the consent of “Adelisa matre sua et fratribus suis Lancelino atque Rainaldo”[909]. The wife of Dreux [II] Seigneur de Mello was clearly therefore one of the daughters of Lancelin [II] de Beauvais Seigneur de Bulles. No primary source has been identified in which she is named. Newman suggests that she was the sister named Basilie, as one of her daughters bore that name[910]. However, the daughter could just as easily have been named after her maternal aunt. Various documents quoted in this section which record the succession to the seigneurie de Bulles, after the deaths of the brothers Lancelin, Manassès and Renaud, name Guillaume Seigneur de Mello (son of Dreux [II]) before Robert de Conty, suggesting that his claim was superior by inheritance and that his mother was therefore one of the brothers´ older sisters. Nothing is known about the fate of the sister named Rohese. It is not impossible that she married and had children. The sister Beatrix is named in 1136 with two daughters. Their father is not known, but their names are not typical of the Mello family, although it is possible that Beatrix married Dreux [II] as her second husband. The sister named Mabile allegedly followed an ecclesiastical career, although it is possible that she embraced religion after the death of her husband. Lastly, the existence of another unrecorded older sister, already married and away from home when her mother founded Wariville so not named in the foundation document, cannot be excluded. Yet another difficulty with Guillaume de Mello´s inheritance of Bulles results from the charter dated 1181 which names "nos duo domini Bullarum…Willaumus de Meloto, Ermentrudis uxor mea et Renaldus filius meus…Robertus de Conteio alius dominus Bullarum et mei nepotes Manasserus et Johannes"[911]. The naming of Guillaume´s wife Ermentrude with him in this document would normally indicate that he had acquired his right to Bulles through her. Ermentrude is recorded in primary sources as châtelaine de Roye, although her parents have not yet been identified. The Guillaume de Mello/Ermentrude de Roye marriage can probably be dated to [1165], given Guillaume´s birth which is estimated to [1130/35], the fact that the couple are named with five children in a charter dated 1172[912], and because -5803- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Ermentrude remarried after Guillaume died in 1201. This would place Ermentrude´s birth in [1150]. If Guillaume´s right to Bulles derived from her, from a chronological point of view she must have been either the niece or great-niece of Manassès de Bulles, meaning that she would have been her husband´s first cousin or his first cousin once removed, a degree of consanguinity which would have caused obvious problems with the papacy. Despite the wording of the 1181 charter, it is probable therefore that Guillaume inherited Bulles through his mother.

m DREUX [II] Seigneur de Mello, son of DREUX [I] Seigneur de Mello & his wife Richilde de Clermont ([1095/1105]-before [13 Oct 1146/14 Jun 1147]).]

[909] Bibliothèque Nationale, A. Coll. Picardie 327, no. 9, Chaalis, grand fragm. du sceau [information provided by J.C. Chuat in a private email to the author dated 25 Oct 2011].

[910] Newman (1971), Tome I, p. 82.

[911] Lépinois (1877), p. 118 footnote 1, quoting Graves Statistique de Clermont, 60 à 72.

[912] Malinguehen, R. de ´Juvignies´, Mémoires de la Société Académique de l´Oise (1879), p. 318 [information provided by J.C. Chuat in a private email to the author dated 25 Oct 2011

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Généalogie Dammartin et FMG) ix2009 - família: J-P.de Palmas (FMG) 21 v 2014

380.488.237h: MABILIE . "Nobilis mulier Adelidis de Bullis" founded the priory of Wariville, with the consent of "filiorum suorum Lancelini…Manasseri, Renaldi, Theobaldi et filiarum suarum Beatricis, Mabiliæ, Basilidis. et quorumdam etiam successorumWillelmi de Merloto, Joannis et Roberti fratrum de Conti", confirmed by the bull of Pope Alexander III dated 10 Jul 1175[862]. Lépinois states that Mabile was prioress of Wariville, and later abbess of Fontevraud, but does not cite the primary source on which this is based[863]. According to Père Anselme, Mabile “fille de Lancelin de Beauvais et d´Alix de Bulles” married Anseau Sire de l´Isle, but he cites no primary source[864]. The names Lancelin and Manassès, introduced into the Isle-Adam family after this marriage, do suggest a connection with the Bulles family. However, no mention has been found of the involvement of the Isle-Adam family in the complicated question of the inheritance of the seigneurie de Bulles during the 12th century.

Fonts: - persona: F.de Bernis (base Pierre Bruger) 31 i 09, J-P.de Palmas (FMG) 3 v 2012 - família: F.de Bernis (base Pierre Bruger) 31 i 09

380.488.237-1a: [AUBRY [II] (-1129 or after). According to Europäische Stammtafeln, Aubry [II] was the son of Aubry [I] de Mello[1140]. It appears that this is speculative based only on the name and the hypothesis that his mother was a member of the family of the first comtes de Dammartin. 1122, 1125/29. "AmalricusSilvanectensis episcopus" confirmed the donation of “usumtotius forestæ Espioniæ de Bealci” made to Charlieu by “Albericus camerarius et filius eius Albericus comes de Dammartin”, with the consent of “Johanne scancione regis et uxore sua Helisendi et Petro filio -5804- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas suo”, by charter dated 1162[1141].]

Aubry [II] & his wife had one child.

[1140] ES III 650.

[1141] Gallia Christiana, Tome X, Instrumenta ecclesiæ Silvanectensis, XXI, col. 214.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 21 v 2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 21 v 2014

380.488.272: Guillaume (I) de Tancarville (vers 1075-1129), fils de Raoul, chambellan en chef de Normandie et d'Angleterre12. Il semble certain qu'il est le chambellan du duc Robert Courteheuse, puis celui de son frère Henri Beauclerc, après sa victoire à la bataille de Tinchebray (1106)13. Il est un proche conseiller du roi Henri Ier d'Angleterre14,15. Il est un fréquent témoin de ses actes, et exerce aussi la fonction de juge16. Considéré comme un seigneur durablement fidèle au roi par Ordéric Vital, il participe à ses côtés au siège du château d'Eu en 108917. Il participe à la bataille de Brémule (1119) aux côtés du roi d'Angleterre contre le roi de France lors d'une rencontre fortuite dans le Vexin18. D'après Henri de Huntingdon, c'est lui qui commande la force qui capture le rebelle Galéran IV de Meulan en 1124 à Bourgtheroulde. Toutefois, le chroniqueur normand Orderic Vital ne le mentionne pas dans son récit de cet événement19. Il fonde l'abbaye de Saint-Georges de Boscherville (vers 1112/1113), qui remplace la collégiale fondée par son père. Grâce à son patronage, elle attire un grand nombre de donations, notamment celle du roi Henri Ier qui lui donne le port de Bénouville20. Celle-ci devient le lieu de sépulture de la famille. Il épouse Mathilde d'Arques, héritière d'une puissante famille21.

 12↑ Charles Warren Hollister, Amanda Clark Frost, Henry I, Yale English monarchs, Yale University Press, 2001, p. 221(ISBN 9780300088588).  13.↑ H. G. Richardson, « The Chamber under Henry II », The English Historical Review', vol. 69, no 273 (octobre 1954), p. 596-611.  14.↑ Henry I, p. 243.  15.↑ Henry I, p. 266.  16.↑ a et b C. Warren Hollister, John W. Baldwin, « The Rise of Administrative Kingship: Henry I and Philip Augustus », The American Historical Review, vol. 83, no 4 (octobre 1978), p. 867-905.  17.↑ Jacques Le Maho, « L'apparition des seigneuries châtelaines », 'Archéologie médiévale, tome VI, 1976, p.62.  18.↑ Henry I, p. 264.  19.↑ Orderic Vitalis (éd. Marjorie Chibnall), The Ecclesiastical History of Orderic Vital, Oxford Medieval Texts, Oxford University Press, 1978 ; traduction de Marjorie Chibnall ; vol. 6, (livres XI, XII, et XIII), p. 348-349. (ISBN 9780198222422).  20.↑ Henry I, p. 405.  21.↑ Fille du vicomte Guillaume, petit-neveu de la duchesse de Normandie Gunnor, épouse du duc Richard Ier

GUILLAUME [I] de Tancarville (-1129). Guillaume chamberlain confirmed the -5805- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas donation to the abbey of St Georges de Bocherville by Raoul, chief chamberlain of William I King of England, and his sons Raoul, Nigel and Guillaume, and their mother Avicia, with the consent of his sons Rabel and Robert and Lucy, recorded in a charter of Henry I King of England dated 1114[1893]. "…Willo de Tancvilla…" subscribed the charter dated to [10 Apr/29 May] 1121 which records the arrangements for the marriage of "Miloni de Gloec" and "Sibilia filia Beorndi de Novo Mercato"[1894]. Henry I King of England confirmed an earlier donation to the abbey of Sainte-Barbe by "Odo Stigandus", at the request of "Guillelmi camerarii de Tancarvilla […nepos supradicti Odonis Stigandi] et Rabelli filii sui", by charter dated 1129[1895]. Henry II King of England confirmed the property of Savigny abbey, including the donation by "Guillelmi camerarii de Tancharvilla" of "landam de Tor", by charter dated to [1156/58][1896]. Henry II King of England confirmed the possessions of the priory of Sainte-Barbe-en-Auge, including donations by "Rabelli Camerarii…Willelmus camerarius pater eius…Willelmi Camerarii filii Rabelli", by charter dated to [1185/89][1897]. m MATHILDE d´Arques, daughter of GUILLAUME d´Arques & his wife Beatrix Malet. Guillaume de Jumièges records "Mathildis" as the daughter of “Willelmi de Archis”, adding that she married “Willelmus camerarius de Tancarvilla” by whom she had “filium Rabellum qui ei successit”[1898]. Guillaume [I] & his wife had three children. [1893] Round (1899) 196, p. 66. [1894] Ancient Charters (Round), Part I, 6, p. 8. [1895] Regesta Regem Anglo-Normannorum (1956), Vol. II, Appendix, CCXVI, p. 364. [1896] Actes Henri II, Tome I, LXXX, p. 184. [1897] Actes Henri II, Tome II, DCCLVI, p. 402. [1898] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VIII, XXXVII, p. 312. Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Jeanine Gardye - Famille des sires de Tancarville) , J-P.de Palmas (FMG) 11 ii 2015 - naixement: F-L. Jacquier - defunció: F-L. Jacquier - família: J-P.de Palmas (FMG) 11 ii 2015

380.488.273: MATHILDE d'Arques . Guillaume de Jumièges names Mathilde as daughter of Guillaume d'Arques and wife of "Guillaume de Tancarville le Camérier", and adds that they were parents of one son Rabel[589]. m GUILLAUME [I] de Tancarville, son of RAOUL [I] de Tancarville & his wife Avicia --- (-1129).

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 2 v 2012 - naixement: F-L. Jacquier - família: J-P.de Palmas (FMG) 11 ii 2015

380.488.273a: Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Mémoires de la Société des Antiquaires Normands, 1844, t. XIV, p. 198 & ss. - Gallica) 12iiX - família: N. Danican (P. Leportier, Familles médiévales normandes) 19xii05, F- L.Jacquier (Mémoires de la Société des Antiquaires Normands, 1844, t. XIV, p. 198 & ss. - Gallica) 12iiX

380.488.273c: Fonts: - persona: F-L. Jacquier

380.488.273d: -5806- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Lucie de Tancarville qui épousa : Guillaume Ier de Vernon, fils de Richard de Reviers, Baron de Néhou. Ils eurent au moins cinq enfants, d'où généalogie de Reviers/Vernon. About Shipbrook Castle The exact location of Shipbrook Castle is uncertain, but it is thought to be on Castle Hill near Shipbrook Bridge. During the Welsh Wars, baronial castles were built as a form of defence, and Shipbrook Castle was one of these. It was demolished in around 1850.

 53.235692°N  2.489153°W

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Jeanine Gardye - Famille des sires de Tancarville) http://jeanine.gardye.free.fr/Tancarville.htm - naixement: T.Blanchet(Keebaugh Shaner Strait Schooley Sowers) - defunció: T.Blanchet(Keebaugh Shaner Strait Schooley Sowers) - família: F-L. Jacquier (Jeanine Gardye - Généalogie de Nicole de Reviers) http://jeanine.gardye.free.fr/revier.html

380.488.274: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur Les nobles aïeux p. 373 (sgrs deTancarville) Tossa de Mar 2004) 28 xii 2017

380.488.288: JBLG 15/6/2014 : Ce Guy n'est pas mort en 1190.c'est son fils qui meurt alors ! je corrige Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", pp. 324 à 327, 2013) 19 xii 2014, F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien) - defunció: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien) - família 1: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", pp. 324 à 327, 2013) 19 xii 2014 - família 2: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)

380.488.289: Fonts: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)

380.488.289b: Fonts: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)

380.488.308: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 119 p 207) 17/06/2006,JL.Mondanel (généalogie Chièvres) 23 iii 2011 - naixement: JL.Mondanel (généalogie Chièvres) 23 iii 2011 - família: J-C de Vaugiraud (HG 119 p 207) 17/06/2006

380.488.309: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 119 p 207) 17/06/2006,JL.Mondanel (généalogie Chièvres) 23 iii 2011 - naixement: JL.Mondanel (généalogie Chièvres) 23 iii 2011 - família: J-C de Vaugiraud (HG 119 p 207) 17/06/2006

380.488.488: -5807- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (analyse généalogie Rethel + Milly+ Bazoches et onomastique Manassès) 14 x 2012

380.524.336: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Smaniotto (Michel) vicomtes d'Orthe Bordeaux 2003 p. 1/7) 18 xi 2013, J-P.de Palmas (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, Généalogie des Miramont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013 - família: J-P.de Palmas ( (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013

380.524.337:  fille probable de Guilhem, comte d'Astarac + < 13-8-1075

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Smaniotto (Michel) vicomtes d'Orthe Bordeaux 2003 p. 1/7) 18 xi 2013 - família: J-P.de Palmas ( (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans l'Occident médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013

380.524.337b: Fonts: - persona: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Frédéric Boutoulle in H.Debax "Vicomtes et vicomtés") 18i2015 - família: J-L. Dega

380.524.448: Fonts: - persona: J-L. Dega, Aurejac - naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005) - defunció: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005) - família: Aurejac, J-P de Palmas (pierfit)

380.524.449: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean de Jaurgain "La Vasconie" t II pp 156/173 ctes d'Astarac Pau 1902 ) 30 x 2009 - naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005) - família: Aurejac, J-P de Palmas (pierfit)

380.524.449c: Odon, Adon ou Otton, moine et abbé de Simorre dans le diocèse d'Auch, frère de Guillaume, comte d'Astarac, fut élevé sur ce siège (Auch) vers l'an 1000, et il y était encore en 1020.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Bibliothèque sacrée, ou Dictionnaire universel historique, dogmatique De Charles Louis Richard, tome XXVII)

380.524.456: Fils d'Arnaud II, comte d'Astarac qui lui fit donation du comté de Pardiac 1 vers

-5808- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 1025.

Le château de Montlezun 2

Dominant le ruisseau nommé Bouès, les vestiges de l'ancien château médiéval regardent tristement les voitures passer rapidement sur la D3 sans s'arrêter ! .. C'est pourtant une forteresse du 13ème siècle ayant appartenu aux Comtes de Pardiac, puis détruite à la fin du 16ème siècle .

 1 Le Pardiac, petit pays situé entre le Fezensac et le Bigorre, a pour chef- lieu le château de Montlezun 2, Mons-lugduni, distant de trois lieues à l'ouest de Mirande, dans l'Astarac dont il faisait autrefois partie.  2 Le château de Montlezun

Fonts: - persona: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun, Michel Chevallier), J-P de Palmas (Saint-Allais, tome IX & château de Montlezun) - família: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun, Michel Chevalier)

380.524.457: Marquèse d'Aragon selon le P.Anselme.

Fonts: - persona: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun, Michel Chevallier),JB.de La Grandiere (Jean de Jaurgain "La Vasconie" t II pp 156/173 ctes d'Astarac Pau 1902 ) 31 x 2009 - família: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun, Michel Chevalier)

380.524.457a: Surnommé de Fézensac, était moine de Saint-Orient, d'où il fut tiré pour gouverner l'église d'Auch en 1096. Il assista au concile de Saintes la même année et il y souscrivit au privilège de l'église de Vendôme.Il siègea jusqu'en 1118.

Fonts: - persona: Paul Libérator de Boisgelin(Descendance de Bernard de Montlezun, Michel Chevallier)

380.577.088: Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011 - naixement: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011 - família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011

380.577.089: Fonts: - família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011

380.580.356: Fils de Béraud pour C. Lauranson-Rosaz.

-5809- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006 - defunció: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010 - família: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

380.580.357: Fonts: - família: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

380.580.357a: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

380.580.357b: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Lauranson-Rosaz "L'Auvergne et ses marges") 12v2006

380.586.972: Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux") 8v2006 - família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux") 8v2006

380.586.973: Fonts: - família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux") 8v2006

380.588.034: GUIFRÉ [II] BORRELL (-murdered 911, bur Ripoll Monastery). The Gesta Comitum Barcinonensium names (in order) "Radulfum, Guiffredum, Mironem et Suniarium" as the four sons of "Guiffredus Pilosus comes" & his wife, specifying that Guifré was killed by poison "sine filio" and was buried "in monasterio Rivipolli"[132]. His parentage is confirmed by the charter dated 23 Nov 934 under which “Suniarius…comes et Marchio” donated property to the church of Girona, for the souls of “patri meo Wifredi quondam, vel fratri meo Wifredi quondam…”[133]. He succeeded his father in 897 as Comte de Barcelona, Girona i Osona, with nominal superiority over his brothers. He did homage to Charles II “le Simple” King of the Franks in 899[134]. "Wifredo…comite et marchione filii qd. Guidfredi marchione beate memorie" donated property "in castro Cervilione territorio Barch…ultra fluvium Lubricatum" to the monastery of Sant Cugat del Vallés by charter dated 12 Apr 904[135]. "Gotus et uxori mea Columba…" sold properties "in territorio de Puritano in terminio de Pinus" to "Wifredus commes et uxori sue Garesindes" by charter dated 20 Jul 905[136]. A charter dated 18 Nov 908 records the sale of "villa de Palacio" to "domno Wifredo comite hac marchio que vocant Borrello et uxori tue Gersinda"[137]. "Wifredus chomes et marchio" donated property "in comitatu Ausona" by charter dated 23 Dec 909[138]. “Idelxerus episcopus, Garsendis comitissa, Suniarius comes et marchio, Ermemirus vicecomes”, as executors of “Wifredo comite quondam filius fuit de Wifredo comite quondam”, executed the testament of the deceased by charter dated 1 Dec 911[139]. The Chronicon alterum Rivipullense records the death in 912 of “Wifredi comitis bonæ memoriæ, ciujus pater quiescit in cenobio S. Mariæ Rivipull”[140].

m (before 28 Nov 898) GARSINDE, daughter of --- (-[after 13 May 962]). Wifredo "y

-5810- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas su esposa la condesa Garsenda" bought property by charter dated 28 Nov 898[141]. The origin of Garsinde is unknown. Szabolcs de Vajay[142] suggested, for onomastic reasons only, that she may have been Garsinde [de Toulouse, daughter of Odon [Eudes] Comte de Toulouse & his wife Gersende d'Albi]. However, Garsinde/Gersende was such a common name at the time in southern France that this must be only one of numerous possibilities. "Gotus et uxori mea Columba…" sold properties "in territorio de Puritano in terminio de Pinus" to "Wifredus commes et uxori sue Garesindes" by charter dated 20 Jul 905[143]. A charter dated 18 Nov 908 records the sale of "villa de Palacio" to "domno Wifredo comite hac marchio que vocant Borrello et uxori tue Gersinda"[144]. “Idelxerus episcopus, Garsendis comitissa, Suniarius comes et marchio, Ermemirus vicecomes”, as executors of “Wifredo comite quondam filius fuit de Wifredo comite quondam”, executed the testament of the deceased by charter dated 1 Dec 911[145]. “Garsinde comitissa Suniarius comes et Ermemirus vicecomes”, as executors of “condam Guifredi comitiBorelo”, donated “in comitatu Ausona in terminis de Felgeirolas et de villa Oligo” to Sant Joan de Ripoll by charter dated 9 Sep 916[146]. "Garsindis comitissa" sold property to Vic by charter dated 17 Apr 926 which names "viro meo Vuifredo qui vocabulum fuit Borrello"[147]. A charter dated 13 May 962 refers to the testament of "condam Richildis vicecomitissa…de civitate Narbona" which appoints "suos elemosiniarios Gersindis comitissa…"[148], which, if it refers to Riquilda´s mother, indicates that she must have lived to extreme old age. Guifré [II] & his wife had [two] children. [132] Gesta Comitum Barcinonensium I, RHGF IX, p. 69. [133] Merino, A. (1819) España Sagrada Tomo XLIII (Madrid), XVII, p. 400. [134] Bisson (1986), p. 22. [135] Rius, J. (ed.) (1945) Cartulario de Sant Cugat del Vallés (Barcelona) ("Sant Cugat del Vallés") Vol I, 2, p. 4. [136] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXXXVII, p. 44. [137] Sant Cugat del Vallés Vol. I, 3, p. 6. [138] Vic, 49, p. 45. [139] Marca Hispanica (1688), Appendix, LXIV, col. 838. [140] Villanueva, J. L. (1806) Viage Literario a las Iglesias de España (Madrid) (“Viage Literario”), Tome V, Apendice, Chronicon alterum Rivipullense, p. 243. [141] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 34, citing Archivo de Ripoll en uno de los pequeños legajos sin rótulo del cajón 2 del armario 2. [142] Szabolcs de Vajay 'Comtesses d'origine occitane dans la Marche d'Espagne aux 10e and 11e siècles. Essai sur le rattachement de Richilde, de Garsende et de Letgardis, comtesses de Barcelone, et de Thietberge comtesse d'Urgel au contexte généalogique occitan', Hidalguía 28 (1980), pp. 585-616, 601-2, cited in Settipani, C. (2004) La Noblesse du Midi Carolingien. Etudes sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IXe au XIe siècles (Prosopographica et Genealogica, Oxford), p. 22, where the author emphasises the uncertainty of the hypothesis. [143] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMXXXVII, p. 44. [144] Sant Cugat del Vallés Vol. I, 3, p. 6. [145] Marca Hispanica (1688), Appendix, LXIV, col. 838. [146] Ordeig i Mata (1999), Vol. IV, Part 1, 155, p. 185. [147] Vic, 117, p. 103. [148] Vic, 346, p. 290. Fonts: - persona: L. Gustavsson , Manuel Abranches de Soveral, , J-P.de Palmas (FMG) 14 xi 2013

380.588.035: [GERSENDE (-[after 13 May 962]). Wifredo "y su esposa la condesa Garsenda" bought property by charter dated 28 Nov 898[247]. "Idelherus epicopus, Geresendes cometissa, Suniarius comes et marchio, Ermemirus vicescomes" signed -5811- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas a document dated 1 Dec 911 as executors of "Vuifredo comite condam filius fuit Vuifredo comite condam"[248]. The origin of Garsinde, wife of Guifre II Borel Conde de Barcelona, is unknown. Szabolcs de Vajay suggested, for onomastic reasons only, that she was the daughter of Odon Comte de Toulouse[249]. However, Garsinde/Gersende was such a common name at the time in southern France that this must be only one of numerous possibilities. A charter dated 18 Nov 908 records the sale of "villa de Palacio" to "domno Wifredo comite hac marchio que vocant Borrello et uxori tue Gersinda"[250]. "Garsindis comitissa" sold property to Vic by charter dated 17 Apr 926 which names "viro meo Vuifredo qui vocabulum fuit Borrello"[251]. A charter dated 13 May 962 refers to the testament of "condam Richildis vicecomitissa…de civitate Narbona" which appoints "suos elemosiniarios Gersindis comitissa…"[252], which, if it refers to Riquilda´s mother, indicates that she must have lived to extreme old age. m (898) GUIFRE [II] BOREL, Conde de Barcelona, son of GUIFRE I "el Velloso/the Hairy" Conde de Barcelona & his wife Guinidilda (-911).] [247] Bofarull y Mascaró (1836) Tomo I, p. 34, citing Archivo de Ripoll en uno de los pequeños legajos sin rótulo del cajón 2 del armario 2. [248] Udina I Abelló, A. (ed.) (2001) Els testaments dels comtes de Barcelona I dels reis de la corona de Aragó de Guifré Borrell a Joan II (Barcelona) (“Els Testaments”), I, p. 69. [249] Szabolcs de Vajay 'Comtesses d'origine occitane dans la Marche d'Espagne aux 10e and 11e siècles. Essai sur le rattachement de Richilde, de Garsende et de Letgardis, comtesses de Barcelone, et de Thietberge comtesse d'Urgel au contexte généalogique occitan', Hidalguía 28 (1980), pp. 585-616, 601-2, cited in Settipani (2004), p. 22, where the author highlights that the hypothesis is based solely on onomastic reasons and is uncertain. [250] Sant Cugat del Vallés Vol. I, 3, p. 6. [251] Vic, 117, p. 103. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 xi 2013

380.588.040: HUGUES de Rouergue, son of ERMENGAUD Comte de Rouergue & his wife Adelais --- (-[after 972]). "Ermengaudus comes et filius suus Regimundus et Rainus vicecomes et vicarius" donated property "in pago Ruthenico in ministerio Curiense in villa…Seviniaco" to Vabres by charter dated Jan [934], subscribed by "…Ugone filio Ermengaudo, Bernardo vicecomite, Ildoino, Adalone"[1829]. Comte [de Quercy]. "…Domni Pontii ducis Aquitanorum et comitis Tolosani, Guarsindis uxoris eius, Hugonis comitis, Arnaudi vicecomitis, Sicardi vicecomitis, Atonis, Pontii" signed the charter dated Aug 940 under which Aimery Archbishop of Narbonne and Rodoald Bishop of Béziers donated property to Saint-Pons de Thomières[1830]. "Atto…vicecomes" donated property to Saint-Pons de Thomières, on the advice of "uxoris meæ", for the souls of "patris mei Bernardi et matris meæ" by charter dated Apr 942, subscribed by "Frotarius episcopus, Bernardus, Hugonis comitis, Dagberga…"[1831]. The testament of "Gersindæ comitissæ", dated to [972], bequeathed property for life "ecclesiam…Sancti Symphoriani cum alode…Cabannes excepto Dauker" to "Ugoni comiti nepoti meo"[1832]. No Comte Hugues has been identified at the time except for the brother of Raymond [I] Comte de Rouergue, although no other indication has yet been found that he was still alive at the date of this testament. If the co-identity is correct, the precise relationship between him and Gersendis Ctss de Toulouse has not yet been ascertained. Vicomte de Comborn. m ---. The name of Hugues´s wife is not known. [1829] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 59, col. 163. [1830] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 74, col. 185.

[1831] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 77, col. 190. [1832] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 126, col. 274.

-5812- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas C'est peut-être son corps qui a été découvert dans l'enfeu des comtes de Toulouse. Il serait alors mort vers 957. Voir http://hal.archives- ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf . C.Saint-Félix 5x2014 Fonts: - persona: J-P de Palmas (FMG), C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014, JB.de La Grandiere ( Settipani " La Noblesse du midi carolingien " pp 154-159 Gramat, Oxford 2004 ) 7 x 2014

380.588.041: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014

380.588.042: Il est probablement cousin de Francon de Narbonne vicomte de Narbonne.C.Saint- Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014 Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010, H.deRiberolles(Base Tournemire), C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014 - naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015 - defunció: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015 - família: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, H.deRiberolles(Base Tournemire), J- C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

380.588.043: peut-être nièce du comte d'Aurillac. Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, H.deRiberolles(Base Tournemire), J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

380.588.043d: Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010

380.588.043e: Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010

380.588.043f: Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (C. Laurenson-Rosaz: L'Auvergne et ses marges du VIIIe au XIe siècle, Chapitre II, 1° partie, Clermont) 23 ix 2010

380.616.772: http://duguet.pagesperso-orange.fr/Chatel.htm

-5813- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-171, JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 270/276 (Châtellerault) Oxford 2004) 3 vi 2014 - família: J-P de Palmas (Histoire généalogique et héraldique des pairs de France De Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles), o guionneau/H&G 99-171

380.616.773: D'après C. Settipani, elle serait probablement la fille d'Engelbert, noble de Joussé vers 970, et d'Arsinde

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (prénom de l'épouse : Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 270/276 (Châtellerault) Oxford 2004) 3 vi 2014 - família: J-P de Palmas (Histoire généalogique et héraldique des pairs de France De Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles), o guionneau/H&G 99-171

380.616.774: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015

380.616.775: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015 - família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015

380.616.776: Bâtard de Guillaume, dépouillé par ses cousins, fils de Bernard , comte de Périgord, parvint à recouvrer son héritage en 975. Il soutint une longue guerre contre Hugues de Jarnac, évêque d'Angoulême, entra dans la confédération formée par Guillaume le Grand, duc d'Aquitaine, contre Guy Ier, vicomte de Limoges, et mourut en 100l. Selon plusieurs sources, sa mère, une concubine de Guillaume Taillefer, serait une juive puisque "mamzer" en hébreu désigne l'enfant d'un couple mixte entre un chrétien et une juive (c.f. Ebles Manzer d'Aquitaine). R.S. http://members.pcug.org.au/~ronwells/10-19.htm Fonts: - persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente - 1862 ), R.Sekulovich (op.cit.) 16 xii 2009 xii2009, R.Sekulovich, (op cit)

380.616.780: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG : Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines (Paris), III, Chronique de Guitres) 21 ix 2016 - família: J-P.de Palmas (FMG & Christian Settipani: La noblesse du midi carolingien, études sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IX° au XI° siècles.) 21 ix 2016

380.616.781: Fonts: - persona: J-P.de Palmas ((FMG & Christian Settipani: La noblesse du midi carolingien, études sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IX° au XI° siècles.)) 21 ix 2016

-5814- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família: J-P.de Palmas (FMG & Christian Settipani: La noblesse du midi carolingien, études sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IX° au XI° siècles.) 21 ix 2016

380.616.781a: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG : Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines (Paris), III, Chronique de Guitres) 21 ix 2016

380.616.781c: RAYMOND [I] de Fronsac, son of ADAICIUS Vicomte de Fronsac & his first wife --- de Bordeaux (-after 1012). The Chronique de Guitres names “Grimoardum vicecomitem, secundo Raymundo de Fronsiac” as the two sons of “Adaicius” by his first marriage[1714]. Vicomte de Fronsac. “Grimoardo et Raimundo [fratris eius] necnon Grimoardo et Hislono episcopis, et fratribus eorumdem Aimerico, Arnaldo, Geraldo, atque eorum consanguineo Helia Gausfredo vicario” consented to the foundation of Saint-Astier by charter dated 1012[1715]. m --- de Angle, daughter of ---. The Chronique de Guitres records that “Raymundo de Fronsiac”, son of “Adaicius” by his first marriage, married “uxorem de Angla”[1716]. Raymond [I] & his wife had one child: 1. RAYMOND [II] de Fronsac . The Chronique de Guitres names “Raymundum vicecomitem” as the child of “Raymundo de Fronsiac” and his “uxorem de Angla”[1717]. Vicomte de Fronsac. [1714] Chronique de Guitres, p. 100. [1715] Depoin (1921), p. 123. [1716] Chronique de Guitres, p. 100. [1717] Chronique de Guitres, p. 100. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG : Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines (Paris), III, Chronique de Guitres) 21 ix 2016

380.616.781d: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG : Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines (Paris), III, Chronique de Guitres) 21 ix 2016

380.616.781e: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG : Depoin, J. (1921) Etudes préparatoires à l’histoire des familles palatines (Paris), III, Chronique de Guitres) 21 ix 2016

380.616.816: Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

380.616.817: Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

380.617.689: Fonts: - família 1: E.Visseaux/P.Pluchot - família 2: J-L. Dega, J-P de Palmas -5815- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 380.617.689-1b: Theutberge, mère des enfants d'Urgel n'est pas de Provence mais de Lyon ! JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 1/66 (comtes de Toulouse) Oxford 2004 ) 4 vi 2010

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Martin Aurell Du nouveau sur les comtesses catalanes Annales du Midi t 109 p 362 Toulouse 1998 ) 4 vi 2010

380.617.690: Fonts: - persona: J-L. Dega - família 1: J-L. Dega, J-P de Palmas - família 2: J-L. Dega - família 3: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014

380.617.776: Fonts: - persona: F.de Bernis ( Revue historique de la noblesse ) 30 xii 2013 - família: F.de Bernis ( Revue historique de la noblesse ) 30 xii 2013

380.617.777: Fonts: - família: F.de Bernis ( Revue historique de la noblesse ) 30 xii 2013

380.617.780: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008 - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

380.617.781: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008 - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

380.617.890: Filiation à confirmer

380.618.040: ARIBO [I], son of [CHADALHOH Graf im Isengau & his wife ---] (-13 Feb 1000, bur Seeon). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. It is assumed that it is no more than speculation, based on transmission of the name Chadalhoh to his son. Pfalzgraf von Bayern 985. He founded Seeon in 974 and Göss in 999. "Otto…Romanorum imperator augustus" granted privileges to Kloster Seeon founded by "Arbonis comitis" by charter dated 15 Apr 999[746]. The necrology of Seeon records the death "XVI Kal Mar" of "Aribo palatinus fundator hic iacet"[747].

m as her first husband, ADELA, daughter of HARTWIG [I] Pfalzgraf von Bayern & his wife --- (-7 Sep after 1020). The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. The necrology of Seeon records the death "VII Id Sep" of "Adala com ux Aribonis" and her donation[748]. According to Wegener[749], she married secondly Engelbert [III] Graf im Chiemgau [Sieghardinger]. However, the Seeon necrology entry appears to exclude the possibility that this second marriage

-5816- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas is correct.

Pfalzgraf Aribo [I] & his wife had seven children.

[746] D O III 318, p. 744.

[747] Necrologium Seonense, Salzburg Necrologies, p. 217.

[748] Necrologium Seonense, Salzburg Necrologies, p. 217.

[749] Wegener (1965/67), p. 91.

Fonts: - persona: O.Guionneau ( Wikipedia ) 06 VIII 2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - família: O.Guionneau (wikipedia; 6 VIII 09), J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.041: ADELA, daughter of HARTWIG [I] Pfalzgraf von Bayern & his wife --- (-7 Sep after 1020). The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. The necrology of Seeon records the death "VII Id Sep" of "Adala com ux Aribonis" and her donation[748]. According to Wegener[749], she married secondly Engelbert [III] Graf im Chiemgau [Sieghardinger]. However, the Seeon necrology entry appears to exclude the possibility that this second marriage is correct.

Pfalzgraf Aribo [I] & his wife had seven children.

[748] Necrologium Seonense, Salzburg Necrologies, p. 217.

[749] Wegener (1965/67), p. 91.

Fonts: - persona: O.Guionneau ( Wikipedia ) 06 VIII 2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - família: O.Guionneau (wikipedia; 6 VIII 09), J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.041b: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.041c: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.041d: CHADALHOH (-11 Sep [1030]). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. Graf im Rottgau 1011. "Henricus…rex" granted property "villis…in pago Rottgouui et in comitatu Chadalhohi comitis" to the bishopric of Bamberg by charter dated [1011/12][769]. Graf im Isengau 1027. Vogt von St Emmeram in Regensburg [1030]. The necrology of Seeon records the death

-5817- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "III Id Sep" of "Chadelhohus fil Aribonis"[770].

m ---. Wegener suggests that the wife of Chadalhoh [IV] was --- von Rott, daughter of Graf Poppo [I] & his wife ---, as the name Pilgrim passed to his son[771].

Graf Chadalhoh & his wife had two children.

[769] D H II 240, p. 277.

[770] Necrologium Seonense, Salzburg Necrologies, p. 217.

[771] Wegener (1965/67), p. 129.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.041e: Fonts: - persona: O.Guionneau (wikipedia; 6 VIII 09)

380.618.041f: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.041g: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.272: Fonts: - persona: Aurejac

380.618.286: Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie von Gilching) 30 iii 2011 - família: JL.Mondanel (généalogie Gilching) 30 iii 2011

380.618.287: Fonts: - família: JL.Mondanel (généalogie Gilching) 30 iii 2011

380.618.288: Fonts: - persona: Auréjac,JL.Mondanel (généalogie Bavière) 23 iii 2011

380.618.336: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base de Dessus les Moustiers) 30 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base de Dessus les Moustiers) 30 vii 2009

380.618.337:

-5818- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base de Dessus les Moustiers) 30 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base de Dessus les Moustiers) 30 vii 2009

380.618.340: Fonts: - persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09 - família: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

380.618.341: GODILA (-1015). Thietmar names a "nobly born woman from the West…Godila" as wife of Lothar, naming her father Werner and specifying that her cousin was Wicfrid Bishop of Verdun[958]. Thietmar records that Godila remained unmarried for four years after her husband died then married secondly "her relative Hermann"[959]. Godila's second husband has been identified as Hermann [II] Graf von Werl[960]. If this is correct she must have been his second wife as Thietmar records that "she was denied any hope of future offspring" as she was excommunicated for the marriage, her husband being "her relative"[961].

m firstly LOTHAR [III] Graf von Walbeck, Markgraf der Nordmark, son of LOTHAR [II] Graf von Walbeck & his wife Mathilde von Arneburg (-25 Jan 1003, bur Köln Cathedral).

m secondly (1007) as his second wife, HERMANN [II] Graf von Werl, son of HERMANN [I] Graf von Werl & his wife Gerberga of Burgundy (-after 14 Sep [1029]).

[958] Thietmar 4.39, p. 179.

[959] Thietmar 6.86, p. 294, footnote 147 citing Thietmar MGH SrG n.s. IX, p. 378 footnote 1 ("Godila's second husband was Hermann [II] Graf von Werle").

[960] Thietmar, p. 294, footnote 147 citing Thietmar MGH SrG n.s. IX, p. 378 footnote 1 ("Godila's second husband was Hermann [II] Graf von Werle").

[961] Thietmar 6.86, p. 294.

Fonts: - persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - família 2: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

380.618.341a: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Faille Dedessus les Moustiers ) 02 viii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Faille Dedessus les Moustiers ) 02 viii 2009, F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

380.618.341-1a: WERNER von Walbeck (-murdered Allerstedt 11 Nov 1014, bur Walbeck Monastery). Thietmar records the birth of Werner as first son of Lothar and his -5819- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas wife, born when his mother was "in her thirteenth year"[1901]. The Annalista Saxo names "marchio Werinharius" as son of Lothar[1902]. He succeeded in 1003 as WERNER Markgraf der Nordmark, until 1009. After accusations brought against him at Merseburg by Graf Dedo [Wettin], Werner was deprived of his titles[1903]. Thietmar records Werner abduction of Reinhild "mistress of Beichlingen" in Nov 1014, his capture and planned trial, his death "on the feast of St Martin having patiently endured whatever misfortunes had hitherto come his way", and his burial[1904]. The necrology of Lüneburg records the death "11 Nov" of "Wirinher com"[1905].

m (Jan 1003) LIUTGARD von Meissen, daughter of EKKEHARD I Markgraf von Meissen & his wife Schwanehild [Billung] (-13 Nov [1012], bur Walbeck Monastery). Thietmar names Liutgard as first born child of Ekkehard and his wife Swanhild[1906]. "Liutgardem" is also named in the Annalista Saxo, which records her parentage[1907]. Thietmar describes Liutgard as "on the one side…my niece and on the other my cousin's wife" when recording her death[1908], although she was rather remotely related to Thietmar to be described as his niece. Thietmar records the betrothal of Werner & Liutgard daughter of Ekkehard after Werner abducted her from the fortress of Quedlinburg, and in a later passage their eventual marriage in Jan of the first year of the reign of King Heinrich II (1003)[1909]. Thietmar records her death on 13 Nov, in a passage dated to 1012, and her burial at Walbeck monastery[1910].

[1901] Thietmar 4.39, p. 179.

[1902] Annalista Saxo 1010.

[1903] Annalista Saxo 1009.

[1904] Thietmar 7.4-7, pp. 310-12.

[1905] Althoff (1983), Lüneburg.

[1906] Thietmar 4.39, p. 179.

[1907] Annalista Saxo 1029.

[1908] Thietmar 1.13, pp. 77-8.

[1909] Thietmar 4.40-4.42, pp. 180-1, and 6.86, p. 294.

[1910] Thietmar 6.84 and 6.85, pp. 293 and 293.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.341-1b: LOTHAR [IV] von Walbeck (-killed in battle 1033). The primary source which confirms his parentage has not yet been identified. He succeeded as LOTHAR II Markgraf der Nordmark, Graf von Walbeck.

m ---. The name of Lothar's wife is not known. Graf Lothar [IV] & his wife had one -5820- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas child.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - defunció: killed in battle - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.341-1c: BERTHOLD von Walbeck (-1018 or after). Thietmar names "Berthold, Liuthar's son", when recording that he invaded Burg Monreberg and killed Balderic in 1017, but in a later passage that he surrendered to the emperor voluntarily[1913]. 1017/18.

m [firstly] IRMGARD von Aspel, daughter of GODIZO Graf von Aspel und Heimbach & his wife --- de Verdun [Wigeriche]. The primary source which confirms Irmgard's origin has not so far been identified. However, the Vita Meinwerci records a donation (undated, but with other donations dated [1022]) of "comes…Godizo" with the consent of "coniugis suæ Addilæ ac sororis suæ heredis iustissimæ", witnessed by "Liudolfi, Udonis, Hiddonis, Acca comitum"[1914], which suggests that any children of Godizo predeceased their father.

[m secondly ---. No direct reference has been found to this second marriage. However, if it is correct, as shown above, that the wife of Berthold was the daughter of Godizo Graf von Aspel und Heimbach, the reference in the Vita Meinwerci (see above) indicates that she must have predeased her father. As the same source records that Godizo's sister was his heiress, Berthold could not have had any surviving children by his supposed marriage to Irmgard. This indicates that Berthold must have married twice, and that his second wife was the mother of his daughter, who would have been named after his first wife.]

Berthold & his [second] wife had one child.

[1913] Thietmar 7.53, p. 346, and 8.17, p. 373.

[1914] Vita Meinwerci Episcopi Paderbornensis 168, MGH SS XI, p. 144.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016 - família 1, família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.341-1d: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

380.618.424: HAMON [Hamelin] de Château-du-Loir, son of --- (-15 Jan [1030]). Gervais Archbishop of Reims wrote concerning the relics of Saint Mélaine to Even Abbé de Saint-Mélaine, dated [1055/67], naming "Rorans avia mea" and recording that she was granted the domaine of Argentré "in Cenomanensi pago" by way of dower, specifying that it was transmitted to "nepoti suo, quem de filio suscepit, Haimoni patri meo"[224]. "Hugo Cenomannensis comes" donated property to the abbey of Mont-Saint-Michel by charter dated 1014, witnessed by "Roscelini vicecomitis, Hameli de Leido Castello, Haymonis de Medano, Herberti fratris comitis, Droci filii Milonis, Odilarii Drudi"[225]. The necrology of Le Mans Cathedral records the

-5821- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas death "XVIII Kal Feb" of "Haimo de Castro Lit"[226].

m (1006 or before) HILDEBURGE de Bellême, daughter of YVES de Creil Seigneur de Bellême & his wife --- (-27 Oct ----). Avesgaud Bishop of Le Mans gave the church of Parigné-l'Evèque and Loué to "unam Hildeburgi sorori suæ primogenitæ et alteram Godehilde germanæ suæ secundæ" by charter dated [1000][227]. The primary source which confirms her parentage has not yet been identified. Bishop Gervais names "avunculi mei Avesgaudi…genitoris cum genetrice mea Haimonis et Hildeburga" in his testament dated [1040/47], which also specifies that "avunculi mei domini Avesgaudi episcopi" died "apud Verdunis VI Kal Nov" on returning from Jerusalem, that "sororis eius, matris mee Hyldeburge" died the same day that "patris mei Haimonis" died "XVIII Kal Feb", and that he was ordained "XIV Kal Jan"[228].

[224] Château-du-Loir 22, pp. 8-9.

[225] Le Mans Saint-Victeur IV, p. 5.

[226] Nécrologe du Mans, p. 10.

[227] Château-du-Loir 1, p. 1.

[228] Château-du-Loir 17, pp. 6-7.

Hamon & his wife had five children

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly"), J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 26 ii 2011 - família: F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly")

380.618.425: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly") - família: F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly")

380.618.425b: Gervais de Bellème, appelé aussi Gervais de la Roche-Guyon est descendant de Aimon, Seigneur de Château-du-Loir et de Hildeburge de Bellème. Il est neveu de l'évêque du Mans, Avesgaud, par sa mère.

La Maison de Château du Loir était liée de longue date à la Maison de Blois et la maison de Belleme à celle de la Maison d’Anjou ; Gervais de Bellème prend le parti de Eudes II de Blois dans sa lutte contre les Comtes d'Anjou, et c'est sous son influence qu'il devient évêque du Mans en 1036.

Geoffroy Martel mit plus de temps pour s'emparer du Maine. Il s'y heurtait à un triple obstacle: une dynastie locale populaire, l'Eveque Gervais de Chateau du Loir (apparenté à la Maison de Belleme) hostile aux prétentions de l'Anjou et Le Mans une capitale belliqueuse. La lutte avec l'Eveque Gervais dura plus de 20 ans. En 1047, une trahison permit a Geoffroy de capturer Gervais qui fut emprisonné pendant 7 ans en dépit des menaces du Pape. En 1048 il s'empare de Chateau du Loir établissant ainsila jonction entre l'Anjou et le Vendomois. En 1049 il se fait

-5822- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas excommunier pour son comportement à l'égard de Gervais mais aussi pour la protection qu'il apporte au celèbre écolatre Berenger de Tours et pour les débordements de sa vie privee.Toujours en 1049 Geoffroy assiege le Roi de France dans Ste Maure de Touraine. En 1051 le Comte d'Anjou est installé au Mans et à Nantes en 1057.

Le 15 octobre 1055, Gervais de Bellème est intronisé archevêque de Reims suite à la demande du roi Henri Ier au pape Victor II. Il est le 44e archevêque de Reims.

L'archevêque Gervais de Bellème procède au sacre de Philippe Ier en 1059 à la cathédrale de Reims.

Il exerce la régence du royaume de 1060 à 1066, assisté de la mère et de l'oncle du roi, le comte de Flandre Baudouin V en attendant la majorité du roi.

Il meurt en 1067.

wikipedia

Fonts: - persona: J-Louis Dega, J-P de Palmas (archevêques de Reims et wikipedia)

380.618.425c: ROTRUDE de Château-du-Loir (-after [1050]). The monks of Marmoutier record a donation by "Guido, castri…Vallis…in pago Cenomannensi conditorem ac possessorem", with the consent of "suorumque filiorum…Haimonis…Gervasii atque Guidonis, simulque Agnetis", by charter dated to [1050], witnessed by "…Rotrudis uxor predicti Widonis, Gualterius filius eius…"[240]. Her parentage is confirmed by a charter dated to [1100] under which the monks of Angers Saint-Aubin recall the history of "ecclesiam de Comburniaco", seized by "Fulcho comes" [Foulques III "Nerra" Comte d´Anjou] and given to "Hamelino de Castro Ledi", who granted it to "Widdoni de Valle cum filia sua in maritagio"[241]. If this report is correct, Rotrude must have married before [1030], the estimated date of death of her father. The monks of Marmoutier record the division of Laval fair and market profits with "Guido de Valle", with the consent of "filii eius Hamon, Hildelinda, Agnes, Hildeburgis et Guido et Gervasius" by charter dated to [1050], witnessed by "…Rotrudis supradicti Guidonis uxor, Gualterius filius eius…"[242]. These charters confirm Rotrude´s first marriage, from which "Gualterius filius eius" was presumably born. m firstly ---. The name of Rotrude´s first husband is not known. m secondly ([before 1030]) as his second wife, GUY [I] Sire de Laval, son of --- (- after 1064). Rotrude & her first husband had one child.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 26 ii 2011, C.Saint- Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014 - família 1: J-Louis Dega - família 2: J-Louis Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011

380.618.425d: Fonts: - persona: J-Louis Dega - família: J-Louis Dega -5823- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 380.618.425e: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

380.618.425f: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014

380.618.480: Fonts: - persona: N. Danican (Britain's Royal Families)

380.618.482: Máel Coluim mac Cináeda (anglicised Malcolm II) (c. 980 – 25 November 1034) was King of Scots from 1005 until his death. He was a son of Cináed mac Maíl Coluim; the Prophecy of Berchán says that his mother was a woman of Leinster and refers to him as forranach (the Destroyer or Avenger).

To the Irish annals which recorded his death, Máel Coluim was ard rí Alban, High King of Scotland. In the same way that Brian Bóruma, High King of Ireland, was very far from being the only king in Ireland, Máel Coluim was one of several kings within the geographical boundaries of modern Scotland. His fellow kings included the king of Strathclyde, who ruled much of the south-west, various Norse-Gael kings of the western coasts and the Hebrides and, nearest and most dangerous rivals, the Kings or Mormaers of Moray. To the south, in the kingdom of England, the Earls of Bernicia and Northumbria, whose predecessors as kings of Northumbria had once ruled most of southern Scotland, still controlled large parts of the south-east.

It is unclear if Máel Coluim first appears in 997, when "Cináed mac Maíl Coluim" is credited with killing Causantín mac Cuilén. Whether Máel Coluim killed Causantín or not, there is no doubt that in 1005 he killed Causantín's successor Cináed mac Duib in battle at Monzievaird in Strathearn.

John of Fordun writes that Máel Coluim defeated a Norwegian army "in almost the first days after his coronation", but this is not reported elsewhere. Fordun says that the Bishopric of Mortlach (later moved to Aberdeen) was founded in thanks for this victory over the Norwegians, but this appears to be a claim without foundation.

The first reliable report of Máel Coluim's reign is of an invasion of Bernicia, perhaps the customary crech ríg (literally royal prey, a raid by a new king made to demonstrate prowess in war), which involved a siege of Durham. This appears to have resulted in a heavy defeat, by the Northumbrians led by Uchtred, later Earl of Bernicia, which is reported by the Annals of Ulster.

A second war in Bernicia, probably in 1018, was more successful. The Battle of Carham, by the River Tweed, was a victory for the Scots led by Máel Coluim and the men of Strathclyde led by Eógan (Owen the Bald). By this time Earl Uchtred may have been dead, and Eiríkr Hákonarson was appointed Earl of Northumbria by his brother-in-law Canute, although his authority seems to have been limited to the south, the former kingdom of Deira, and he took no action against the Scots so far as is known. The work De obsessione Dunelmi (The siege of Durham, associated with Symeon of Durham) claims that Uchtred's brother Eadwulf Cudel surrendered

-5824- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Lothian to Máel Coluim, presumably in the aftermath of the defeat at Carham. This is likely to have been the lands between Dunbar and the Tweed as other parts of Lothian had been under Scots control before this time. It has been suggested that Canute received tribute from the Scots for Lothian, but as he had likely received none from the Bernician Earls this is not very probable.

Canute, reports the Anglo-Saxon Chronicle, led an army into Scotland on his return from pilgrimage to Rome. The Chronicle dates this to 1031, but there are reasons to suppose that it should be dated to 1027. Burgundian chronicler Rodulfus Glaber recounts the expedition soon afterwards, describing Máel Coluim as "powerful in resources and arms very Christian in faith and deed." Ralph claims that peace was made between Máel Coluim and Canute through the intervention of Richard, Duke of Normandy, brother of Queen Emma. Richard died in about 1027 and Rodulfus wrote close in time to the events.

It has been suggested that the root of the quarrel between Canute and Máel Coluim lies in Canute's pilgrimage to Rome, and the coronation of Holy Roman Emperor Conrad II, where Canute and Rudolph, King of Burgundy had the place of honour. If Máel Coluim were present, and the repeated mentions of his piety in the annals make it quite possible that he made a pilgrimage to Rome, as did Mac Bethad mac Findláich in later times, then the coronation would have allowed Máel Coluim to publicly snub Canute's claims to overlordship.

Canute obtained rather less than previous English kings, a promise of peace and friendship rather than the promise of aid on land and sea than Edgar and others had obtained. The sources say that Máel Coluim was accompanied by one or two other kings, certainly Mac Bethad, and perhaps Echmarcach mac Ragnaill, King of the Isle of Man and Galloway. The Anglo-Saxon Chronicle remarks of the submission "but he [Máel Coluim] adhered to that for only a little while". Canute was soon occupied in Norway against Olaf Haraldsson and appears to have had no further involvement with Scotland.

A daughter of Máel Coluim, whose name is not known, married Sigurd Hlodvisson, . Their son Thorfinn Sigurdsson was said to be five years old when Sigurd was killed on 23 April 1014 in the . The Orkneyinga Saga says that Thorfinn was raised at Máel Coluim's court and was given the Mormaerdom of Caithness by his grandfather. Thorfinn, says the Heimskringla, was the ally of the king of Scots, and counted on Máel Coluim's support to resist the "tyranny" of King Olaf Haraldsson of Norway. The chronology of Thorfinn's life is problematic, and he may have had a share in the Earldom of Orkney while still a child, if he was indeed only five in 1014. Whatever the exact chronology, before Máel Coluim's death a client of the king of Scots was in control of Caithness and Orkney, although, as with all such relationships, it is unlikely to have lasted beyond his death.

If Máel Coluim exercised control over Moray, which is far from being generally accepted, then the annals record a number of events pointing to a struggle for power in the north. In 1020, Mac Bethad's father Findláech mac Ruaidrí was killed by the sons of his brother Máel Brigte. It seems that Máel Coluim mac Máil Brigti took control of Moray, for his death is reported in 1029.

It should be said that whatever the Irish annals say, English and Scandinavian writers appear to seen Mac Bethad as the rightful king of Moray, witness their descriptions of the meeting with Canute in 1027, before the death of Máel Coluim mac Máil Brigti. Máel Coluim was followed as king or mormaer by his brother Gille Coemgáin, husband of Gruoch, a granddaughter of Cináed mac Duib. It has been -5825- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas supposed that Mac Bethad was responsible for the killing of Gille Coemgáin in 1032, but if Mac Bethad had a cause for feud in the killing of his father in 1020, Máel Coluim too had reason to see Gille Coemgáin dead. Not only had Gille Coemgáin's ancestors killed many of Máel Coluim's kin, but Gille Coemgáin and his son Lulach might be rivals for the throne. Máel Coluim had no sons, or no living sons, and the threat to his plans for the succession was obvious. The following year another man who might some day be king, Gruoch's brother or nephew, was killed by Máel Coluim.

It has traditionally been supposed that King Eógan of Strathclyde died at the Battle of Carham and that the kingdom passed into the hands of the Scots afterwards. This rests on some very weak evidence. It is far from certain that Eógan died at Carham, and it is reasonable certain that there were kings of Strathclyde as late as the 1054, when Edward the Confessor sent Earl Siward to install "Máel Coluim son of the king of the Cumbrians". The confusion is old, probably inspired by William of Malmesbury and embellished by John of Fordun, but there is no firm evidence that the kingdom of Strathclyde was a part of the kingdom of the Scots, rather than a loosely subjected kingdom, before the time of Máel Coluim's great-grandson Máel Coluim mac Donnchada.

As has been said, by the 1030s Máel Coluim's sons, if he had had any, were dead. The only evidence that he did have a son or sons is in Ralph Glaber's chronicle where Canute is said to have stood as godfather to a son of Máel Coluim. His grandson Thorfinn would have been unlikely to accepted as king by the Scots, and he chose the sons of his other daughter, Bethóc, who was married to Crínán, lay abbot of Dunkeld, and perhaps Mormaer of Atholl. It may be no more than coincidence, but in 1027 the Irish annals had reported the burning of Dunkeld, although no mention is made of the circumstances. Máel Coluim's chosen heir, and the first and last tánaise ríg certainly known in Scotland, was Donnchad mac Crínáin.

It is possible that a third daughter of Máel Coluim married Findláech mac Ruaidrí and that Mac Bethad was thus his grandson, but this rests on relatively weak evidence.

Máel Coluim died in 1034, Marianus Scotus giving the date as 25 November 1034. The king lists say that he died at Glamis, variously describing him as a "most glorious" or "most victorious" king. The Annals of Tigernach report that "Máel Coluim mac Cináeda, king of Scotland, the honour of all the west of Europe, died." The Prophecy of Berchán, perhaps the inpiration for John of Fordun and Andrew of Wyntoun's accounts where Máel Coluim is killed fighting bandits, says that he died by violence, fighting "the parricides", suggested to be the sons of Máel Brigte of Moray.

Perhaps the most notable feature of Máel Coluim's death is the account of Marianus, matched by the silence of the Irish annals, which tells us that Donnchad became king and ruled for five years and nine months. Given that his death in 1040 is described as being "at an immature age" in the Annals of Tigernach, he must have been a young man in 1034. The absence of any opposition suggests that Máel Coluim had dealt thoroughly with any likely opposition in his own lifetime.

On the question of Máel Coluim's putative pilgrimage, pilgrimages to Rome, or other long-distance journeys, were far from unusual. Thorfinn Sigurdsson, Canute and Mac Bethad have already been mentioned. Rognvald Kali Kolsson is known to have gone crusading in the Mediterranean in the 12th century. Nearer in time, Domnall mac Eógain of Strathclyde died on pilgrimage to Rome in 975 as did Máel -5826- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Ruanaid uá Máele Doraid, King of the Cenél Conaill, in 1025.

Not a great deal is known of Máel Coluim's activities beyond the wars and killings. The Book of Deer records that Máel Coluim "gave a king's dues in Biffie and in Pett Meic-Gobraig, and two davochs" to the monastery of Old Deer. As has been said, he was probably not the founder of the Bishopric of Mortlach-Aberdeen. John of Fordun has a peculiar tale to tell, related to the supposed "Laws of Malcom MacKenneth", saying that Máel Coluim gave away all of Scotland, except for the Moot Hill at Scone, which is unlikely to have the least basis in fact.

http://en.wikipedia.org/wiki/M%C3%A1el_Coluim_II_of_Scotland

Fonts: - persona: N. Danican (Britain's Royal Families), N. Danican (Buthlaw, Succession of Strathclyde, the Armorial 1961-62) / Portrait: Joël Chirol (archives perso) 05/08/05 , Manuel Abranches de Soveral - família: L.Guion

380.618.483: Une femme de l'Irish of Ossory

Fonts: - persona: G.Marsan (site sur les Spens) - família: L.Guion

380.618.483a: Fonts: - persona: L.Guion - família 1, família 2: L.Guion

380.618.483c: Fonts: - persona: N de Meyrignac (base pierfit, 05vii2008) - família: N de Meyrignac (base pierfit, 05vii2008)

380.618.484: Fonts: - persona: N. Danican (Buthlaw, Succession of Strathclyde, the Armorial 1961-62) - naixement: T.Blanchet(Salomon Family Tree) - família: N. Danican (Buthlaw, Succession of Strathclyde, the Armorial 1961-62)

380.618.485: Fonts: - persona: N. Danican (Buthlaw, Succession of Strathclyde, the Armorial 1961-62) - família: N. Danican (Buthlaw, Succession of Strathclyde, the Armorial 1961-62)

380.618.485b: Fonts: - persona: Corriere della Sera 10.3.2008 - corrispondenza con i lettori/L.Orlandini, T.Blanchet (Salomon Family Tree) 1/29/2012 - família 2: H. Albeck

380.618.488: Ethelred the Unready (c. 968 – April 23, 1016), also known as Ethelred II and

-5827- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Æþelred Unræd was King of England (978–1013, and 1014–1016).

According to William of Malmesbury, Ethelred defecated in the baptismal font as a child, which led St. Dunstan to prophesy that the English monarchy would be overthrown during his reign. This story is, however, almost certainly a fabrication.

Ethelred succeeded to the throne aged about 10 following the death of his father King Edgar and subsequent murder of his half-brother Edward the Martyr. His nickname "The Unready" does not mean that he was ill-prepared, but derives from the Anglo-Saxon unræd meaning "without counsel" or "indecisive". This could also be interpreted as a pun on his Anglo-Saxon name, Æþelræd, which may be understood to mean "noble counsel".

Ethelred married firstly to Ælflaed, daughter of Thored, the ealdorman of Northumbria; she was the mother of four sons; Æthelstan Ætheling (died 1011), Edmund Ironside, Ecgberht Ætheling and Eadred Ætheling. In 997, he remarried to Ælfgifu, daughter of ealdorman Æthelberht, who gave him two sons, Eadwig Ætheling (killed 1017) and Eadgar Ætheling the Elder. His third and final marriage, in 1002, was to Emma of Normandy, whose grandnephew, William I of England, would later use this relationship as the basis of his claim on the throne. They had two sons, Eadweard (later King of England and known now as Edward the Confessor) and Ælfred Ætheling. He also had as many as eight daughters by these three marriages.

England had experienced a long period of peace after the reconquest of the Danelaw in the first half of the 10th Century. However in 991 Ethelred was faced with a Viking fleet larger than any since Guthrum's "Summer Army" a century earlier. This fleet was led by Olaf Trygvasson, a Norwegian with ambitions to reclaim the Danelaw for his country. After initial military setbacks including the defeat of his Ealdorman Byrhtnoth at the Battle of Maldon, Ethelred was able to come to terms with Olaf, who returned to Norway to gain his kingdom with mixed success. While this arrangement won him some respite, England faced further depredations from Viking raids. Ethelred fought these off, but in many cases followed the practice of earlier kings including Alfred the Great in buying them off by payment of what was to become known as Danegeld.

Ethelred ordered the massacre of the Danes living in England on St Brice's Day (November 13) 1002 (as described in the chronicles of John of Wallingford), in response to which Sweyn Haraldsson started a series of determined campaigns to conquer England. In this he succeeded, but after his victory, he lived for only another five weeks.

In 1013, Ethelred fled to Normandy, seeking protection by his brother-in-law, Robert of Normandy, when England was over-run by Sweyn Haraldsson of Denmark and his forces. He returned in February, 1014, following the death of Sweyn Haraldsson. Ethelred died on April 23, 1016, in London, where he was buried at St Paul's. He was succeeded by his son, Edmund II of England.

Despite the steady stream of Viking attacks, Ethelred's reign was far from the disaster described by chroniclers writing well after the event. The quality of the coinage, always a good indicator of the prevailing economic conditions, remained very high during his reign. http://en.wikipedia.org/wiki/Ethelred_II_of_England

-5828- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: L. Gustavsson/ WW-Person , Manuel Abranches de Soveral - família 1: H.R.Moser/Burke+Paget+EuSt, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 v 2015 - casament 2: L. Gustavsson

380.618.489: Fonts: - família: H.R.Moser/Burke+Paget+EuSt, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 v 2015

380.618.489b: EADRED (-[1012]). "Eadred regis filius/clito" subscribed charters of King Æthelred II dated between 993 and [1012/13][1819], a charter dated 1011 specifying "Eadred tercia proles regia"[1820]. Eadred was named after "Eadmund" in all lists in which the two appear, consistent with his being his father's fourth son. If this is correct, it is assumed that Eadred was the son of King Æthelred’s "wife" Ælflæd, although he is not specifically named by Florence of Worcester as one of her children. "Eadric clito" subscribed a charter of King Æthelred II dated 1005[1821]. As this charter is not one subscribed by "Eadred", it is reasonable to assume that this is a copyist's error rather than that King Æthelred had another son of this name. "Eadred clito" countersigned his father's 1006 charter making grants to St Alban's, signing fifth among the brothers[1822]. [1819] S 876, S 878, S 891, S 893, S 896, S 897, S 899, S 901, S 904, S 906, S 911, S 912, S 915, S 918, S 920, S 921, S 922, S 923, S 924, S 925 and S 927. [1820] S 924. [1821] S 910. [1822] Luard, H. R. (ed.) (1874) Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora (London) (“MP”), Vol. VI, Additamenta, pp. 21-4. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Richard Cawley & FMG) 26 v 2015 - família: J-P.de Palmas (Geni.com) 26 v 2015

380.618.489c: ÆLFGIFU, daughter of ÆTHELRED II King of England & his first wife Ælflæd ---. Simeon of Durham's Account of the Siege of Durham records the third marriage of "Cospatric's son…Ucthred" (although from the context "Cospatric" appears to be an error for "Waltheof") and "king Ethelred…his…daughter Elfgiva"[427]. She is named as daughter of King Æthelred by Roger of Hoveden, when he records her marriage[428]. Her marriage date is estimated on the assumption that it is unlikely that she would have been married before her older sister Eadgyth. [427] Simeon of Durham, p. 766. [428] Roger of Hoveden I, p. 59. Fonts: - persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 18i2008), J-P.de Palmas (FMG) 1 vii 2014

380.618.489-2a:

A la suite de grands troubles qui désolaient l'Angleterre, le prince Édouard passa trente-cinq ans de sa vie en exil. Nous avons peu de détails sur cette période de son histoire.

Edward the Confessor

Doué d'un caractère doux, ami de la solitude, il se tenait de -5829- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas longues heures au pied des autels, assistait aux offices divins et aimait beaucoup à s'entretenir avec les religieux. Cependant toute l'Angleterre priait pour obtenir enfin la paix avec un prince légitime. Dieu apparut à un pieux évêque et lui montra, dans une vision, Édouard sacré roi par saint Pierre: "Voilà, lui dit-il, celui qui sera roi par ma faveur; il sera chéri du Ciel, agréable aux hommes, terrible à ses ennemis, aimable à ses sujets, très utile à l'Église de Dieu."

A peine établi sur le trône, Édouard s'appliqua à développer dans son âme toutes les vertus d'un prince vraiment chrétien. Délivré, par l'aide de Dieu, de tous les ennemis du dedans et du dehors, Édouard voulut accomplir le voeu qu'il avait fait d'aller à Rome vénérer le tombeau du Prince des Apôtres; mais il dut céder aux instances de ses sujets, qui avaient besoin de sa présence. Le Pape le délia de son voeu; le roi, en revanche, fit construire une belle église en l'honneur de saint Pierre.

Édouard est célèbre par son désintéressement et par sa charité envers les pauvres. A trois reprises différentes, il vit un des officiers de sa maison mettre la main aux trésors royaux; la troisième fois, il se contenta de lui dire: "Prenez bien garde qu'on ne vous y surprenne!" Le trésorier du palais se plaignant au roi de ces vols, celui-ci, comme s'il n'eût rien su, lui dit: "Pourquoi vous plaindre? Celui qui a pris cet argent en avait sans doute plus besoin que nous."

Édouard avait promis de ne jamais refuser l'aumône demandée au nom de Jean l'Évangéliste; un jour, un pauvre lui ayant tendu la main au nom de cet Apôtre, le roi, dépourvu d'argent, retira de sa main un riche anneau et le lui donna, pour ne pas le faire attendre. Une autre fois, à la demande d'un pauvre infirme tout perclus, il le prit sur ses épaules et le porta à l'église Saint-Pierre, où il fut guéri. Saint Jean l'Évangéliste se montra un jour à deux pèlerins anglais qui se mettaient en voyage pour les Lieux Saints; il leur remit un anneau en leur disant: "Portez cet anneau au roi; c'est lui qui me l'a donné un jour que je lui demandais l'aumône en habit de pèlerin; dites-lui que, dans six mois, je le visiterai et le mènerai avec moi à la suite de l'Agneau sans tache." Édouard mourut, en effet, six mois après.

Source : Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

Tapisserie de Bayeux

-5830- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Jean-Pierre de Palmas : Edward le Confesseur ordonne à Harold d'aller apprendre au duc Guillaume qu'il sera un jour roi d'Angleterre.

Fonts: - persona: Jean de Villoutreys (pour les notes); image http://www.upsdell.com/StEdwardTheConfessor/saint.htm, J-C de Vaugiraud (Patrick W.Montague-Smith, The Royal Line of Succession) 12/10/2006 - família: H.R.Moser/Burke

380.618.489-2b: Fonts: - persona: L. Gustavsson/ WW-Person

380.618.489-2c: Fonts: - família 1: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)

380.618.513: Fonts: - naixement: O.Guionneau (wikipedia) 7 VIII 11 - defunció: O.Guionneau (wikipedia) 7 VIII 11

380.618.548: HARALD "Grenske" ([947]-murdered 995). The Historia Norwegie names "Haroldum Grensca" as son of "Gudrodus", commenting that he acquired his nickname from having been brought up "in Grenlandia"[240]. Snorre names Harald as son of Gudröd & his wife, recording that, after his father's death, he fled to the Uplands and from there eastwards into Svithjod[241]. He supported the invasion of Norway by Harald King of Denmark in 965, and was rewarded with Vingulmark, Vestfold and Agder with the title of king[242]. He was murdered on the orders of Sigrid "Storrada/the Haughty", widow of Erik King of Sweden, to whom Harald "Grenske" proposed marriage (despite already being married to Asta)[243]. m as her first husband, ASTA Gudbransdatter, daughter of GUDBRAND Kula. The Historia Norwegie records the marriage of "Haroldum Grensca" and "Asta filiam Gudbrandi Culu", and her second marriage to "Siwardus Scroffa rex montanus" who was the son of Halfdan, son of "Siwardus Risi…filius Haraldi Comati"[244]. She and her father are also named by Snorre, which also records both her marriages[245]. She returned to her father after learning that her husband had visited Sigrid "Storrada/the Haughty", widow of Erik King of Sweden, with a view -5831- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas to proposing marriage to her[246]. She married secondly Sigurd Syr King in Ringerike. Morkinskinna records that “Sigurdr sýr Fonts: - persona: H. Albeck, J-P.de Palmas (FMG) 29 vii 2012 - família: H. Albeck

380.618.549: Åsta Gudbrandsdatter (c. 975/980 - c. 1020/1030) was the mother of two Norwegian kings, King Olaf II of Norway and King Harald III of Norway.[1] According to the sagas, Åsta Gudbrandsdatter was from Vestfold. Åsta's father was Gudbrand Kula from Oppland. Åsta may have been baptised at Ringerike by Olav Tryggvason, circa 998.[2] Åsta Gudbrandsdatter was married to Harald Grenske (Grenski). Their son was King Olaf II, renowned as St. Olaf, who reigned as King of Norway from 1015 to 1028.[3] From her second marriage to Sigurd Syr, she became the mother King Harald III, famous in the Heimskringla as Harald Hardrada, who reigned from 1047 to 1066. According to the sagas, Åsta and Sigurd Syr had the following children: 1.Guttorm 2.Gunnhild - married Ketil Kalv of Ringnes in Stange 3.Halfdan 4.Ingerid - married Nevstein, mother of Tore, foster-father of King 5.Harald- future King of Norway References

1.^ Åsta Gudbrandsdatter (Store norske leksikon) 2.^ Gudbrand Kula (Wikipedia for Norge) 3.^ Åsta Gudbrandsdatter - utdypning (Store norske leksikon)

Other Source Weis, Frederick Lewis Ancestral Roots of Certain American Colonists Who Came to America Before 1700 (Genealogical Publishing Company. 1992) Koht, Halvdan The Old Norse Sagas (Periodicals Service Co. 1931)

http://en.wikipedia.org/wiki/%C3%85sta_Gudbrandsdatter

Fonts: - persona: H. Albeck - família 1, família 2: H. Albeck

380.618.549-2a: Un des guerriers les plus redoutables de son époque. Après la mort de son demi-frère le roi Olaf le Saint, tombé à ses côtés à la bataille de Stiklestad (1030), Harald doit s'exiler et devient chef de la Garde Varangienne (= Viking) de l'empereur de Constantinople. Après de multiples campagnes (Russie, archipel grec, Proche-Orient, Sicile) où il amasse de grandes richesses, il devient (par la force, c'est sa méthode) roi de Norvège en 1047 et continue des raids meutriers dans les pays voisins. En 1066, il part à la conquête de l'Angleterre, débarque près de York, remporte une première victoire mais est surpris par Harold II d'Angleterre qui le bat et le tue à Stamford Bridge. Harald Sigurdsson (c. 1015 - 25 September 1066), later given the epithet Hardrada (Old Norse: harðráði, roughly translated as "stern counsel" or "hard ruler") was the King of Norway from 1047 to 1066. He also claimed to be the King of Denmark until 1064, often defeating King Sweyn's army and forcing him to leave the country. Harald participated in the Battle of Stiklestad together with his half- brother King Olaf Haraldsson in 1030, but was forced in exile to Russia following their defeat to forces loyal to Cnut the Great. After spending some time as a captain in the army of Yaroslav the Wise, he moved on to Constantinople around 1034. He then served as the commander of the Byzantine Varangian Guard, until 1042 when he returned to Russia. As Varangian commander, he saw action on the Mediterranean Sea, in Asia Minor, Sicily, possibly the Holy Land, Bulgaria and in -5832- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Constantinople. Many details of his life were chronicled in the Heimskringla and other Icelandic sources. Among English speakers, he is generally remembered for his failed invasion of England in 1066. Harald's death at the Battle of Stamford Bridge which brought an end to that invasion is often recorded as the end of the Viking Age. Early life Harald was born around 1015a[›] to Åsta Gudbrandsdatter and her second husband Sigurd Syr. Through Åsta, Harald was the youngest of King Olaf Haraldsson's three half-brothers.[1] The Icelandic sources, in particular Heimskringla, state that Sigurd, like Olaf's father, was a great-grandson of King Harald Fairhair in the male line. However, many modern scholars believe that the ancestors attributed to Harald, along with other parts of the Fairhair genealogy, are inventions reflecting the political and social expectations of the time of the authors rather than historical reality.[1][2] In 1030, Harald took part on the side of his brother Olaf in the Battle of Stiklestad. The battle was part of an attempt to restore Olaf to the Norwegian throne, as it had been taken by Danish king Cnut the Great two years earlier. The battle resulted in defeat for the brothers against the Norwegians who were loyal to Cnut, with Olaf being killed and Harald wounded. Harald was nonetheless remarked to have shown a considerable military talent during the battle.[3][4]

[edit] Exile in the East

[edit] Escape to Russia

After the defeat at the Battle of Stiklestad, Harald managed to escape by the aid of Rögnvald Brusason (later Earl of Orkney) to a remote farm in Eastern Norway. He stayed there for some time, healing his wounds, and thereafter fled in exile via Sweden to Russia. Upon reaching the land of the Kievan Rus in 1031, Harald and his men were welcomed by Grand Prince Yaroslav the Wise, whose wife Ingegerd was a distant relative of Harald. Badly in need of military leaders, Yaroslav recognised a potential in Harald and eventually made him a captain of his forces. While it is considered to be certain that Harald took part in Yaroslav's campaign against the Poles in 1031, it is possible that he also fought against other 1030s Kievan enemies and rivals such as the Chudes in Estonia, the Byzantines, as well as the Pechenegs and other steppe nomad people.[5]

Byzantine commander

After a few years in Russia, Harald and his men moved on to Constantinople, the capital of the Byzantine Empire, where they joined the Varangian Guard sometime in 1034. Although the Flateyjarbók maintains that Harald at first sought to keep his royal identity a secret, most sources agree that Harald and his men's reputation was well known in the east at the time. While the Varangian Guard primarily was meant to function as the emperor's bodyguard, Harald was found fighting on "nearly every frontier" of the empire.[6] Harald first saw action in campaigns against Arab pirates in the Mediterranean, and onwards to inland towns in Asia Minor that had supported the pirates. By this time, he had according to Snorri Sturluson become the "leader over all the Varangians". By 1035 the Byzantines had pushed the Arabs out of Asia Minor, and Harald took part in the campaigns which went as far east as the Euphrates, where he according to the sagas participated in the capture of eighty Arab strongholds.[7]

Thereafter, Harald possibly went to Jerusalem; although the sagas place this after his expedition to Sicily, modern scholars have questioned that particular chronology. Whether his trip was of a military or peaceful nature depends on if it -5833- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas took place before or after the 1036 peace treaty between Byzantine Emperor Michael IV and Caliph Ma'ad al-Mustansir Billah.[8] Harald later joined the Byzantines to Sicily in George Maniakes's attempt to reconquer the island from the Muslims, who had established the Emirate of Sicily there. During the campaign, Harald may have held command over a group of Norman mercenaries in addition to the Varangian Guard. While initially a successful campaign, Harald and the Varangian Guard were called back to Constantinople following Maniakes' imprisonment by the emperor and other more pressing issues.[9]

Harald was not affected by Maniakes' conflict with Michael IV, and he thus received honors and was regaded with distinction upon his return to Constantinople. In a Greek book written in the 1070s, Kekaumenos's Strategikon, Harald is said to have won the favour of the emperor, and he is described as "son of the king of Varangia". The book says that Michael IV appointed him manglabites, an official of the imperial court, after the Sicilian campaign. Harald was soon after called to war against the Bulgarians, and as he again served with distinction was promoted to spatharocandidate, possibly the third highest Byzantine rank.[10][11] Harald's favour at the imperial court however quickly declined after the death of Michael IV in December 1041, which was followed by the conflicts between new emperor Michael V and the powerful empress Zoe.[12]

During the turmoil, Harald was arrested and imprisoned, but the sources disagree on what grounds. The sagas claim that Harald was arrested for defrauding the emperor of his treasure, as well as for requesting marriage with a niece of Zoe, called Maria, which was turned down by the empress as she wanted to marry Harald herself. William of Malmesbury claimed that Harald was arrested for defiling a noble woman, while Saxo Grammaticus claimed that he was imprisoned for murder. DeVries suggest that the new emperor simply may have feared Harald due to his loyalty to the previous emperor.[13] The sources also disagree on how Harald got out of prison, but he may have been helped by someone outside to escape in the midst of the revolt that had begun against the new emperor. While some of the Varangians helped guard the emperor, Harald became the leader of the Varangians who supported the revolt. The emperor was in the end dragged out of his sanctuary, followed by being blinded and exiled to a monastery-the sagas claim that it was Harald himself who blinded Michael V. As Zoe was restored to the throne in June 1042 together with Constantine IX, Harald requested to be allowed to return to Norway. Although Zoe refused to allow this, Harald eventually managed to escape.[14]

Back in Russia

Harald became extremely rich during his time in the east, and secured the wealth collected in Constantinople by sending it to Russia for safekeeping. The sagas note that aside from the significant spoils of battle he had retained, Harald had participated three times in polutasvarf, a term which either implies the pillaging of the palace exchequer on the death of the emperor, or perhaps the disbursement of funds to the Varangians by the new emperor in order to ensure their loyalty. It is likely that the money Harald made while serving in Constantinople allowed him to fund his claim for the crown of Norway.[15][16] Harald had been in Constantinople through the reigns of Romanos III, Michael IV, and Michael V, and thus perhaps had three opportunities, beyond his legitimate revenues, to carry off immense wealth (with Yaroslav the Wise acting as safekeeper for his fortune[17]). Despite this, Kekaumenos lauds the "loyalty and love" Harald had for the empire.[11]

During his second stay in Russia, Harald also married Elisabeth, daughter of Yaroslav and granddaughter of King Olof Skötkonung of Sweden (referred to in

-5834- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Scandinavian sources as Ellisif).[16] Sources claim they were engaged before his departure but Yaroslav declined to confirm the marriage until Harald distinguished himself [Which Sources?]. During his service in the Byzantine Empire, Harald wrote a love poem addressed to Elisabeth, citing his many heroic deeds and complaining that "a golden-haired maiden of Gard does not like me".[18]

King of Norway

Return to Scandinavia

Harald returned to Scandinavia in early 1046, pursuing to regain the kingdom lost by his half-brother Olaf Haraldsson for himself. In Harald's absence, the throne of Norway had however been restored to Magnus the Good, an illegitimate son of Olaf. As Cnut the Great's sons had chosen to abandon Norway and instead fight over England, and his sons and successors Harold Harefoot and Harthacnut had died young, Magnus' position had been secured. No domestic threats or insurrections are either recorded to have occurred during his eleven-year reign. After the death of Harthacnut, which had left the Danish throne vacant, Magnus had in addition been selected to be the king of Denmark, and thereafter also managed to defeat the Danish royal pretender Sweyn Estridsson militarily.[19]

Having heard of Sweyn's defeat to Magnus, Harald met up with his fellow exile in Sweden (who was also his nephew), and the two joined forces against Magnus. Their first military exploit consisted of raiding the Danish coast, in an effort to impress the naives by displaying that Magnus offered them no protection, and thus also lead them to submit to Harald and Sweyn. Learning about their actions, Magnus knew that their next target would be Norway. Magnus' advisors then recommended the young king to not fight his uncle, and a compromise was reached in which Harald would rule jointly with Magnus, and Harald would share half of his wealth with Magnus. During their short co-rule, Harald and Magnus had separate courts and were rarely together, and their only recorded meeting less than a year later was very close to become physical.[20]

In 1047, less than a year into their co-rule, Magnus died and Harald became the sole ruler of Norway. After hearing the news of Magnus death, Harald quickly gathered the local leaders in Norway together, and declared himself king of Norway, as well as of Denmark.[21] Although Magnus had appointed Sweyn his successor as king of Denmark, Harald immediately announced his plans of gathering an army and ousting his former ally from the country. His plan was however thwarted on this occasion, as the Norwegian army went to attend Magnus' funeral in Nidaros (now Trondheim).[22]

Opposition in the north

The primary opponents of Harald's new rule were the descendants of Haakon Sigurdsson, of the powerful dynasty of Earls of Lade who controlled Northern Norway and Trøndelag under the Norwegian king. Haakon had ruled Norway from 975 until 995, when he was killed during the takeover of Olaf Tryggvasson. Even after Haakon's death his offspring held a certain degree of sovereignty in the north, and the family was led by Einar Tambarskjelve, who was married to Haakon's daughter. While the family had maintained good relations with Magnus, Harald's absolutism and consolidation of the kingship soon led to conflict with Einar.[23]

While the relationship between Harald and Einar was poor, confrontation did not -5835- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas occur until Harald went to his court in Nidaros. One time in Nidaros, Einar arrived at Harald's court, in a power-display accompanied by "eight or nine longships and almost five hundred men". Obviously seeking confrontation, Harald was however not provoked by the particular incident. Although the sources differ on the circumstances, the next event nonetheless resulted in Einar's murder by Harald's men, an event which threatened to put Norway into civil war. Although the remaining descendants of Haakon Sigurdsson considered rebellion against the king, Harald eventually managed to negotiate peace with them, and secured the family's submission for the remainder of his reign.[24]

Invasions of Denmark

While Harald's first plan to invade Denmark fell through, it was not long before he began embarking on constant warfare against Sweyn, from 1048 almost yearly until 1064. Similar to his campaigns (then together with Sweyn) against Magnus' rule of Denmark, most of his campaigns against Sweyn consisted of swift and violent raids on the Danish coasts. In 1048 he plundered Jutland, and in 1049 he pillaged and burned Hedeby, at the time one of the best protected and most populous towns in Scandinavia. One of two conventional battles was set to be fought between the two kings later the same year, but according to Saxo Grammaticus, Sweyn's smaller army was so frightened when approached by the Norwegians that they chose to jump in the water trying to escape; most drowned. Although Harald was victorious in most of the engagements, he was never successfully able to occupy Denmark.[25]

The second battle, a naval encounter which was more significant than the first, was the Battle of Niså on 9 August 1062. As Harald had not been able to conquer Denmark despite his raids, he wanted to win a decisive victory over Sweyn. He eventually set out from Norway with a great army and an armada of around 300 ships. Sweyn had also prepared for the battle, which had been preassigned a time and place. Sweyn did however not show up at the agreed time, and Harald thus sent home his non-professional soldiers (bóndaherrin), which had made up half of his forces. When the dismissed ships were out of reach, Sweyn's fleet finally appeared, possibly also with 300 ships. The battle resulted in great bloodshed as Harald defeated the Danes (70 Danish ships were reportedly left "empty"), but many ships and men managed to escape, including Sweyn.[26]

Harald's Denmark campaigns were unpopular at home, most notably in Trøndelag in the north, and this was manifested in some districts' withholding taxes to show their displeasure. Harald dealt with this opposition with brutal force. Sturluson comments that he "had the farmers seized. Some he had maimed, others killed, and of many he confiscated all of their property".[27] Harald maintained control of his nation through the use of his hird, a private standing army maintained by Norwegian lords. Harald's contribution to the strength of Norway's monarchy was the enforcement of a policy that made it so only the king could retain a hird, thus centralising power away from local warlords.[28] Fatigue and the cost of non- decisive battles eventually led Harald to seek peace with Sweyn, and in 1064 (or possibly 1065) the two kings agreed on an unconditional peace agreement.[29]

Domestic policies

While the sagas largely focus on Harald's war with Sweyn and invasion of England, little is said about his domestic policies. Modern historians have taken this as a sign that despite his absolutism, his reign was one of peace and progress for Norway. Harald is considered to have instituted good economic policies, as he developed a Norwegian currency and a viable coin economy, which in turn allowed -5836- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Norway to participate in international trade. He initiated trade with Russia and the Byzantine Empire through his connections, as well as with Scotland and Ireland.[30]

Harald also continued to advance Christianity in Norway, and archaeological excavations shows that churches were built and improved during his reign. He also imported priests and monks from abroad, especially from Russia and the Byzantine Empire. A slightly different form of Christianity was thus introduced in Norway from the rest of northern Europe, although it should be noted that the East-West Schism had not yet taken place. It nonetheless caused controversy when Harald was visited by papal legates, which led Harald to throw the Catholic clergy out of his court.[31]

Invasion of England

With the truce and the recognition that he would not conquer Denmark, Harald turned his attention instead to England. England had, in the early 1040s, belonged to Harthacnut, the son of Cnut the Great. Harald based a claim to the throne of England on an agreement supposedly made by Magnus and Harthacnut, which stated that if either died, the other would inherit the deceased's throne and lands. When Harthacnut died, Magnus assumed the crown of Denmark, but did not press his claim on England, allowing Edward the Confessor to take the throne. The claim was very thin, and Harald likely would not even have pursued it independently. He was pressed to do so by Earl Tostig Godwinson, brother of King Harold Godwinson of England. Tostig pledged his support to Harald, stating, "If you wish to gain possession of England, then I may bring it about that most of the chieftains in England will be on your side and support you".[32]

In September 1066, Harald landed in Northern England with a force of around 15,000 men and 300 longships. Tostig was with him. At the Battle of Fulford, two miles (3 km) south of York, on 20 September, he won a great victory against the first English forces he met. Believing that King Harold was prepared to surrender and the English to accept his claim to the throne, Harald took about two thirds of his army to collect tribute from the local people, carrying light weapons and wearing only light armour, and left the rest at the ships.

However, Harold Godwinson was not prepared to give up his throne. At the Battle of Stamford Bridge, outside York, on 25 September 1066, Godwinson's forces surprised Harald's as they collected the tribute from the locals. Godwinson's forces were heavily armed and armoured, and greatly outnumbered Harald's. Although one of Harald's men, who was a berserker, single-handedly blocked the English from the bridge for some time and was reported to have killed at least 40 of the housecarls, Harold Godwinson's best men, he fell after one sneaked under the bridge and stabbed upwards; King Harold's forces then easily broke through and both Harald and Tostig were killed. Harald's army was so heavily beaten that only 24 of the 300 longboats used to transport his forces to England were used to carry the survivors back to Norway. Harold Godwinson's victory was short lived, however, as only a few weeks later he was defeated by William the Conqueror at the Battle of Hastings. The fact that Harold had to make a forced march to fight Hardrada at Stamford Bridge and then move at utmost speed south to meet the Norman invasion, all in less than three weeks, is widely seen as a primary factor in William's hard-fought victory at Hastings.

According to Snorri Sturluson, before the battle a man bravely rode up to Harald Hardrada and Tostig and offered Tostig his earldom if he would but turn on Harald Hardrada. When Tostig asked what his brother Harold would be willing to give -5837- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Harald Hardrada for his trouble, the rider replied that he would be given seven feet of ground as he was taller than other men. Harald Hardrada was impressed with the rider and asked Tostig his name, Tostig replied that the rider was none other than Harold Godwinson.[33] According to Henry of Huntingdon, "Six feet of ground or as much more as he needs, as he is taller than most men", was Harold's response.

Issue

Harald married Elisiv of Kiev in 1045, and they had an unknown number of children. According to Snorri Sturluson, they had two daughters:[34] Ingegerd (1046-1120). Married to Olaf I of Denmark, and after his death, to Philip of Sweden. Maria (c. 1046 - 25 September 1066).

It is disputed whether Harald was married to, or had Tora Torbergsdatter as a concubine. They had at least two children:[35] Magnus II (1048-1069), King of Norway from 1066 to 1069. Olaf III (c. 1050 - 1093), King of Norway from 1067 to 1093.

Legacy

Harald was the last great Viking king of Norway and his invasion of England and death at the Battle of Stamford Bridge in 1066 proved a true watershed moment. It marked the end of the Viking age and beginning of the High Middle Ages.

Harald's invasion of England likely helped lead to the English defeat at the Battle of Hastings, as the English army had to force march to meet the Norman army after defeating the Norwegians. The English arrived at the site of battle tired and worn out, while the Norman army was rested and ready to fight.

Snorri writes, "One year after King Harald's fall, his body was transported from England north to Nidaros [the present Trondheim], and was buried in the Mary Church, which he had built. It was common observation that King Harald distinguished himself above all other men by wisdom and resources of mind; whether he had to take a resolution suddenly for himself and others, or after long deliberation. He was, also, above all men, bold, brave, and lucky, until his dying day, as above related; and bravery is half victory".

To be remembered was one of the most important wishes for a Viking. About a hundred years later his body was reinterred in Elgeseter Priory, which was demolished sometime in the 17th century.

On 25 September 2006, the 940th anniversary of Harald's death, the newspaper Aftenposten published an article on the poor state of Norway's ancient royal burial sites, including that of Harald Hardrada, which is reportedly located underneath a road built across the monastery site. In a follow-up article on 26 September, the Municipality of Trondheim revealed they would be examining the possibility of exhuming the king and reinterring him in Nidaros Cathedral, currently the burial place of nine Norwegian kings, among them Magnus I and Magnus II, Harald's predecessor and successor respectively.

Footnotes

-5838- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas ^ a: The sagas mention that Harald was fifteen years old at the time of the Battle of Stiklestad (1030).[3]

References

1.^ a b Krag, Claus. "Harald 3 Hardråde" (in Norwegian). Norsk biografisk leksikon. Store norske leksikon. Retrieved 30 July 2012. 2.^ See, for example, Joan Turville-Petre, "The Genealogist and History: Ari to Snorri", Saga-Book 20 (1978- 81), pp. 7-23 (pdf), Claus Krag, Ynglingatal og Ynglingasaga: en studie i historiske kilder, Oslo: Universitetsforlaget 1991, OCLC 256562288 (Norwegian), and Knut Helle, Cambridge History of Scandinavia, Volume I, Prehistory to 1520, Cambridge University Press, 2003, ISBN 0-521-47299-7, pp. 185, 191. 3.^ a b DeVries (1999) p. 25 4.^ Blöndal & Benedikz (2007) p. 54 5.^ DeVries (1999) pp. 25-27 6.^ DeVries (1999) p. 29 7.^ DeVries (1999) pp. 29-30 8.^ DeVries (1999) pp. 30-31 9.^ DeVries (1999) pp. 31-32 10.^ DeVries (1999) p. 33 11.^ a b Kekaumenos, Strategikon, "Oration of Admonition to an Emperor", para. 81 12.^ DeVries (1999) pp. 33-34 13.^ DeVries (1999) pp. 34-35 14.^ DeVries (1999) pp. 35-38 15.^ Sigfus Blondal and Benedikt S. Benedicz, The Varangians of Byzantium (Cambridge, 2007), pp. 80-83. 16.^ a b DeVries (1999) p. 39 17.^ Thenrik Bimbaum, "Yaroslav's Varangian Connection" in Scando-Slavica, 1600-082X, Volume 24, Issue 1, 1978, Pages 5-25 18.^ "Skaldic poetry project". Skaldic.arts.usyd.edu.au. Retrieved 2012-05-21. 19.^ DeVries (1999) pp. 39-41 20.^ DeVries (1999) pp. 42-45 21.^ DeVries (1999) pp. 45-46 22.^ DeVries (1999) p. 57 23.^ DeVries (1999) pp. 51-52 24.^ DeVries (1999) pp. 52-56 25.^ DeVries (1999) pp. 56-60 26.^ DeVries (1999) pp. 61-65 27.^ Sturluson, Heimskringla, 639. 28.^ Popperwell, Ronald G., Norway (New York: Praeger Publishers, 1972), 79. 29.^ DeVries (1999) p. 66 30.^ DeVries (1999) pp. 46-47 31.^ DeVries (1999) pp. 47-48 32.^ Sturluson, Heimskringla, 644. 33.^ Sturluson, Snorri (1966). King Harald's Saga. Baltimore, Maryland: Penguin Books. p. 149. 34.^ DeVries (1999) p. 48 35.^ DeVries (1999) pp. 48-49

Literature Blöndal, Sigfus with Benedikz, Benedikt S. (ed.) (2007) The Varangians of Byzantium, Cambridge University Press ISBN 978-0-521-21745-3. DeVries, Kelly (1999) The Norwegian Invasion of England in 1066, Boydell & Brewer Ltd. ISBN 9780851157634. Sawyer, P. H. (1994).Kings and Vikings, pp. 118-20, 146-47. Barnes and Noble Books, New York. Snorri Sturluson (2005). King Harald's Saga (Part of the Heimskringla), pp. 45, 46, 47. Penguin Classics. Snorri Sturluson, The Heimskringla: A History of the Norse Kings, trans. Samuel Laing. (New York: Norroena Society, 1906).

External links audio drama documentary Harald's Last Great Victory in England Saga of Harald Hardrade

http://en.wikipedia.org/wiki/Harald_III_of_Norway

Fonts: - defunció: L. Gustavsson, H. Albeck - casament 1: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

380.618.551: Edla, traditionally called Edla, Duchess of Venden (Edla, hertiginna av Venden)

-5839- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas (10th-11th centuries), was a Slavic Viking age woman. She was the mother of King Emund of Sweden and Queen Astrid of Norway.

Tradition says Edla was the daughter of a West Slavic Tribal chief from Northern Germany. She was brought to Sweden as a prisoner of war c. 1000 at the same time or a little before, the arrival of Estrid of the Obotrites (Estrid av obotriterna). King Olof Skötkonung married Estrid but also fell in love with Edla and took her as his mistress. She became the mother of Emund, Astrid, and probably Holmfrid. Snorre Sturlasson says that her children were sent to foster parents away from the royal court because Queen Estrid was not kind to them. This could indicate that Edla died when her children were small.

Children Emund the Old, King of Sweden Astrid Olofsdotter, married King Olav II of Norway Holmfrid, wife of Sven Ladejarl

References Ohlmarks, Åke Alla Sveriges drottningar Lindqkvist, Herman Alla Sveriges drottningar Lagerqvist, Lars O. Sverige och dess regenter under 1.000 år (Albert Bonniers Förlag AB, 1982) ISBN 91-0-075007-7.

http://en.wikipedia.org/wiki/Edla

Fonts: - persona: L. Gustavsson - família: L. Gustavsson/ S.o.R.

380.618.551b: Fonts: - persona: L. Gustavsson

380.618.551-2b: Fonts: - persona: L. Gustavsson

380.618.552: Fonts: - persona: G.Bor/EuSt-II/153 - família: G.Bor/EuSt-II/153

380.618.553: Source for data: S.de Vajay, "Grossfürst Geysa von Ungarn - Familie und Verwandschaft" S.O.Forschungen XXI, 45-101 (1962).

Adelaide Piast est dite fille ou soeur de Mieszko Ier. La source de cette hypothèse est une chronique du XIII, dite chronique polono-hongroise. Cette filiation est aujourd'hui en général considérée légendaire.

Fonts: - persona: G.Bor/EuSt-II/153 - naixement: Vajay - defunció: Vajay - família 1, família 2: G.Bor/EuSt-II/153

380.618.553-2b:

-5840- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: G.Bor/Vajay - família: G.Bor/Vajay

380.618.554: The name, Cometopuli, means "Sons of the Count," for their father, Count Nicholas. Also called Samuil. Samuil, Tsar of Bulgaria was born circa 938?. He was the son of Count Nikola Kumet the Macedonian. He married Agatha Khrysilaina, daughter of Lord of Durazzo John Khrysilios, circa 970. He rebelled in Western Bulgaria (Macedonia) along with his three brothers in 976. He was not a member of a royal family, but nonetheless proved born to rule. Tsar of Western Bulgaria (Macedonia), between 976 and 1014. He ambushed the imperial army of Emperor Basil II almost destroyed it to a man, and witnessed the flight of Emperor Basil II who fled, leaving behind his treasure hoard and a supply train, on 17 August 986 in Troyanovi Vrata. He became sole ruler of Bulgaria in 987. He proclaimed himself Tsar in 997. Tsar of Bulgaria, between 997 and 1014. He conquered Diocleia, Trebinje and Zahumlje, and made Bosnia and Raska (Serbia) vassals of Bulgaria. He died on 6 October 1014 in Prilep, Macedonia. Basil II of Byzanitum had been a long-time rival. At long last, the tides of war had turned in favor of Basil, and he sent a defeated Bulgarian army of 15,000 men back to Samuel, blind. When Samuel saw the long line of mutilated soldiers return home, it is said he died on the spot of shock.

http://www.finnestad.no/familie/slekt/3074.html

Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini , Manuel Abranches de Soveral

380.618.555: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini

380.618.555a: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini

380.618.556: Bolesław I the Brave (Polish: Bolesław I Chrobry; 966 or 967 - June 17, 1025), of the Piast Dynasty — son of Mieszko I and of his first wife, the Bohemian princess Dobrawa — ruled as Duke of Poland, 992-1025, and as King of Poland in 1025.

In 984 Bolesław married Rikdaga, daughter of Rikdag (Riddag, Ricdag), Margrave of Meißen. Subsequently he married Judith, daughter of Geza, Grand Duke of Hungary; then Enmilda, daughter of Dobromir, Duke of Lusatia; and lastly Oda, another daughter of the Margrave of Meißen. His wives bore him sons, including Bezprym, Mieszko II and Otton; and a daughter, Mathilde. After his father's death around 992, Bolesław was able to expel his father's second wife, Oda, and her sons, and unite the country again.

In 997 Bolesław sent Saint Adalbert of Prague to Prussia, on the Baltic Sea, on a mission to convert the heathen Prussians to Christianity — an attempt that would end in Adalbert's martyrdom and subsequent canonization.

By this time, Bolesław already possessed Silesia and Pomerania (with its chief city, -5841- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Gdańsk) and Lesser Poland (with its chief city, Cracow). In 999 Bolesław annexed present-day Moravia, and in 1000 or 1001, parts of present-day Slovakia.

In 1000, Emperor Otto III, while on pilgrimage to the tomb of St. Adalbert at Gniezno, invested Bolesław with the title Frater et Cooperator Imperii ("Brother and Partner in the Empire"). Some historians state that the Emperor also pledged a royal crown to Bolesław. During that same visit, Otto III accepted Gniezno's status as an archbishopric (see Congress of Gniezno).

After the untimely death of Otto III at age 22 in 1002, Bolesław conquered Meißen and Lusatia, wresting imperial territory for himself during the disputes over succession to the Imperial throne. He and his father had earlier backed Henry II, Duke of Bavaria against Otto, and Bolesław now accepted the accession, as Emperor, of Henry II, son of the earlier Henry.

Bolesław conquered, and made himself Duke of, Bohemia and Moravia in 1003 - 1004, ruling as Boleslav IV.

At the request of his son-in-law Sviatopolk I of Kiev, the Polish duke intervened in Kievan affairs: not only did he expel Yaroslav the Wise from Kiev, but possibly he deployed his troops in Rus' capital for about half a year (see Kiev Expedition). It was during this campaign that Bolesław annexed the Red Strongholds, later called Red Ruthenia.

The intermittent wars with the Holy Roman Empire ended with the Peace of Bautzen in 1018, which left Sorbian Meißen and Lusatia in Polish hands.

Emperor Henry II obliged Bolesław to pledge his fealty again in exchange for the lands that he held in fief. After Henry's death in 1024, Bolesław crowned himself king (1025), thus raising Poland to the rank of a kingdom.

Bolesław sent an army to aid his friend — more probably, nephew — Canute the Great in his conquest of England.

Bolesław's son, Mieszko II, crowned himself king immediately upon his father's death.

Bolesław was the first Polish king, since it was during his reign that Poland became a kingdom, despite the fact that some Polish rulers before 1295 would never receive a crown.

He was the first Polish ruler that had been baptised at birth, thus the first real Christian ruler of Poland. He founded the independent Polish province of the Church and made Poland a strong power in Europe.

Bolesław for the first time unified all the provinces that subsequently came to comprise the traditional territory of Poland: Greater Poland, Lesser Poland, Masovia, Silesia and Pomerania

He was a national hero to the Sorbs of Lusatia. http://en.wikipedia.org/wiki/Boleslaus_I_of_Poland

-5842- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 11 iv 2010 - casament 1, casament 3, casament 4: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - família 1, família 2, família 4: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - família 3: o guionneau/H&G 98-383, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1; N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

380.618.557: Fonts: - persona: o guionneau - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - família: o guionneau/H&G 98-383, A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1; N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

380.618.557a: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

380.618.557b: ślub : 1002 po 30 iv lub 1003

Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1 : 21 iii po 1014 r.) 18 iv 2010 - casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010

380.618.557d: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1; N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek/1) 18 iv 2010 - casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek) - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

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380.618.558: Fonts: - persona: o guionneau

380.618.559: Fonts: - persona: o guionneau - defunció: O.Guionneau (base genéanet jksir) 28 I 13

380.618.600: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Nefertiti) 31 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Nefertiti) 31 vii 2009

380.618.601: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Nefertiti) 31 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Nefertiti) 31 vii 2009

380.618.604: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek) - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

380.618.605: Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes) - família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

380.618.648:

-5844- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 - família: R.Dewkinandan> WW-2

380.618.649: Fonts: - família: R.Dewkinandan> WW-2

380.618.650: Byzantine general who defeated Ivan Vladislav, tsar of the Bulgarians (1018. Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.651: Fonts: - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.652: Caduto in combattimento Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini - família: Euro.St. L.Orlandini

380.618.653: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini - família: Euro.St. L.Orlandini

380.618.653b: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 , Manuel Abranches de Soveral - família: R.Dewkinandan> WW-2

380.618.653c: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 167/L.Orlandini

380.618.653d: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini

380.618.653e: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini

380.618.653f: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini

380.618.710: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

380.618.711: Sister of Michael I Cerularius, (b. Constantinople c. 1000 - d. 1059), also known as Michael Keroularios or Patriarch Michael I, the Patriarch of Constantinople from 1043 to 1059. In 1054 he quarrelled with legates sent by Pope Leo IX over church practises which had been differing from the Roman Church for centuries, especially the use of unleavened bread in the Eucharist. The legates excommunicated him, and he likewise excommunicated them, starting the Great Schism. This schism led to the end of the alliance between the Emperor and the Papacy, and caused later Popes to ally with the Normans against the Empire. In 1965, those excommunications were rescinded by Pope Paul VI and Patriarch

-5845- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Athenagoras when they met in the Second Vatican Council. This was a significant step towards restoring communion between Rome and Constantinople. Michael also quarrelled with Emperor Isaac I Comnenus over confiscation of church property. Isaac planned to depose Michael when Michael suddenly died in 1059, though there was no suspicion that he was murdered. http://en.wikipedia.org/wiki/Michael_Cerularius

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

380.618.711b: Fonts: - persona: Europaiische Stammtafeln - II tafel 168/L.Orlandini

380.618.720: Giorgi I (Georgian: გიორგი I) (998 or 1002 – August 16, 1027), of the House of Bagrationi, was the king of Georgia from 1014 until his death in 1027. He spent most of his seven-year-long reign waging a bloody and fruitless territorial war with the Byzantine Empire. Giorgi was born in 998 or, according to a later version of the Georgian chronicles, in 1002, to King Bagrat III. Upon his father’s death on May 7 1014, he inherited the kingdoms of Abkhazia, Kartli and Kakheti united into a single state – Sakartvelo, or all-Georgia. As his predecessor, Giorgi continued to be titled as King of the Abkhazians (Ap'xaz) and Georgians (K'art'velians). Contemporary sources, however, frequently omitted one of the two components of this title when abbreviating it. The new sovereign’s young age was immediately exploited by the great nobles, who had been suppressed under the heavy hand of Bagrat. Around the same year, the easternmost provinces of Kakheti and Hereti, not easily acquired by Bagrat, staged a revolt and reinstated their own government under Kvirike III (1010/1014-1029), who also incorporated a portion of the neighbouring Arran (Ran), allowing him to claim the title of King of the Kakhetians and Ranians. Giorgi was unable to prevent the move and sought an alliance with this kingdom, rather than attempting to reincorporate it into the Georgian state, thus leaving a long-standing claim to Kakheti and Hereti to his successors. The major political and military event during Giorgi’s reign, a war against the Byzantine Empire, had its roots back to the 990s, when the Georgian prince David III Kuropalates, following his abortive rebellion against Emperor Basil II, had to agree to cede his extensive possessions in Tao and the neighbouring lands to the emperor on his death. All the efforts by David’s stepson and Giorgi’s father, Bagrat III, to prevent these territories from being annexed to the empire went in vain. Young and ambitious, Giorgi launched a campaign to restore the Kuropalates’ succession to Georgia and occupied Tao in 1015-1016. He also entered in an alliance with the Fatimid Caliph of Egypt, Al-Hakim (996-1021), that put Basil in a difficult situation, forcing him to refrain from an acute response to Giorgi’s offensive. Beyond that, the Byzantines were at that time involved in a relentless war with the Bulgars, limiting their actions to the west. But as soon as Bulgaria was conquered, and Al-Hakim was no more alive, Basil led his army against Georgia (1021). An exhausting war lasted for two years, and ended in a decisive Byzantine victory, forcing Giorgi to agree to a peace treaty, in which he had not only to abandon his claims to Tao, but to surrender several of his southwestern possessions to Basil, and to give his three-year-old son, Bagrat, as hostage. Following the peace treaty, Constantinople was visited by Catholicos-Patriarch Melkisedek I of Georgia, who gained Byzantine financial aid for the construction of "Svetitskhoveli" (literally, the Living Pillar), a major Orthodox cathedral in the eastern Georgian town of Mtskheta. Afterwards, Basil kept the peace with Georgia, permitting prince Bagrat to return home two years later (1025): but the new emperor, Constantine VIII, who succeeded upon the death of Basil, decided to bring Bagrat back to Constantinople. However, the imperial courier could not overtake the prince – he was already in the Georgian possessions. The Byzantine- Georgian relations subsequently deteriorated, particularly after a conspiracy, -5846- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas organized by Nikiphoros Comnenus, the archon of Vaspurakan, and allegedly involving Giorgi I, was brought to light. Giorgi was evidently preparing to take revenge for his defeat, but he died suddenly in Trialeti on August 16, 1027. He was buried in the Bagrati Cathedral in his capital Kutaisi. A recently discovered grave, presumably robbed in the 19th century, is proposed to have belonged to Giorgi I. Giorgi I was married twice – first to the Armenian princess Mariam of Vaspurakan with whom he had a son called Bagrat and a daughter called Guarandukht, and second to Alde of Alania, who gave birth to a son, Demetre. http://en.wikipedia.org/wiki/George_I_of_Georgia Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval ; Manuel Abranches de Soveral - família 1, família 2: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.721: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.737: Mariam Arçrouni ou Maria de Vaspourakan est une fille de Sénéqérim-Hovhannès, roi de Vaspourakan, et de Kouschkousch Bagratouni, et la première femme de Georges Ier, roi de Géorgie. En tant que reine-mère, elle a été régente de Géorgie de 1027 à 1037 au nom de son fils Bagrat IV et impliquée dans la diplomatie avec l'empire byzantin. Biographie Elle est la première épouse du roi Georges Ier (1014-1027), mais semble avoir été répudiée pour que ce dernier puisse épouser Alda, fille du roi d'Alanie. Maria retrouve son importance après la mort de son mari et l'accession au trône de son fils Bagrat IV en 1027. Pendant la minorité de Bagrat, elle partage la régence avec les grands du royaume et particulièrement avec les ducs Liparit III Orbeliani et Ivane Abazasdze. Vers 1031-32, Mariam se rendit à Constantinople pour négocier avec le nouveau Basileus Romain III Argyre et revient avec un traité de paix, la dignité de curopalate et la main d'Hélène Argyre, nièce de Romain III, pour son fils. Mariam continue de jouer un rôle éminent dans la politique de la Géorgie, même après la majorité de Bagrat. Les chroniques géorgiennes parlent d'Arméniens qui deviennent ses sujets en raison de son lignage, évènement qui est peut-être une allusion au contrôle d'Ani par les Géorgiens avant qu'elle ne soit finalement annexée par les Byzantins en 1045. Elles mentionnent également un différend entre Bagrat et sa mère à propos de l'avenir de Démétrius, demi-frère consanguin de Bagrat, qui trahit son frère en 1033 en livrant la forteresse d'Anacopia aux Byzantins. Mariam plaida pour la réconciliation entre les deux frères et tenta vainement de faire revenir le rebelle à une conduite loyale. Durant l'exil forcé de Bagrat à Byzance, Mariam l'accompagna et passa trois ans à la cour de l'empereur Constantin IX Monomaque1. Mariam s'est distinguée par ses dons à l'église et aux fondations monastiques, notamment à celui d'Iviron (Mont Athos). Ce monastère est connu pour sa correspondance avec l'éminent moine et érudit géorgien George l'Hagiorite sous les auspices duquel Mariam allait devenir religieuse. Selon la Vie de George l'Hagiorite, après le mariage de sa petite-fille Marie avec Michel VII Doukas (1065), Mariam se rend à Antioche, dans le but d'effectuer le pèlerinage à Jérusalem, emportant avec elle des messages pour le gouverneur et le patriarche d'Antioche. Ceux-ci dissuadèrent la reine de traverser les terres sarrasines qui tenaient Jerusalem2. La mort de Mariam n'est pas mentionnée dans les chroniques, on sait qu'elle était présente à la mort de Bagrat IV, en 10723. Elle est certainement morte en 1103,

-5847- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas comme indiqué dans les registres de l'église géorgienne à Ruis [i] Urbnisi.

Notes et références

 (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Mariam of Vaspurakan » (voir la liste des auteurs).

1.↑ (en) Mariam Lordkipanidze, Georgia in the XI-XII centuries, Ganatleba, George B. Hewitt, 1987 (lire en ligne [archive]), p. 132. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 16 vii 2014, R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.738: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.739: Fonts: - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

380.618.946: RAOUL [II] de Tosny, son of RAOUL [I] [de Tosny] & his wife --- . "…Rodulphi filii Rodulphi de Todeniaco…" subscribed the undated charter under which "Richardus…Normannorum comes" confirmed property of Lisieux[2910]. Guillaume of Jumièges records that Duke Richard appointed “Nigellum Constantinensem atque Rodulfum Toennensem et Rogerium filium eiusdem” as custodians of “castrum Tegulense” (Tillières (Verneuil, Eure)), which he had built to protect against attack by Eudes [II] Comte de Blois (so dated to after 1004)[2911]. [The Chronico S Petri Vivi Senonensi records that, after his son "Rotgerius" was killed in Normandy, “Rodulfuspater eius” left for Jerusalem “per limina apostolorum et per Apuliam”, where “princeps qui totam Apuliam tenebat” [maybe Melus, whose death is recorded in 1020, which is inconsistent with the chronology of the life of Raoul’s supposed son Roger, as shown below] whom the Greeks wished to expel (“quem Greci de principatu suo eicere volebant”) requested him to abandon his pilgrimage to fight with him “usque in hodiernum diem manserunt ibi Normanni”[2912]. How far this passage is factual is uncertain. It is possible that there is confusion with the expedition to Apulia led by Rainulf “Drengot” and his brothers (one of whom was named Rodolphe/Raoul): the Chronica Monasterii Casinensis records that "Giselbertus…qui et Buttericus…[cum] quatuor fratribus suis, Rainulfo, Asclittino, Osmundo, atque Rodulfo" arrived in Capua (after Gilbert was banished from Normandy) where they joined "Melus", dated to [1015/16] from the context[2913]. Rodulfus Glaber records that "a very brave Norman called Rodulf incurred the anger of Count Richard [Richard II Comte de Normandie]" and fled to Italy, where he met Pope Benedict VIII (Pope from 1012 to 1024), fought the Greeks, and visited Emperor Heinrich II[2914]. It appears more probable that Glaber is referring to Rodolphe, brother of Rainulf “Drengot”, rather than Raoul [II] de Tosny, although the question is not beyond doubt. There is little basis for dating the events, except a reference to Rodolfe being received "joyfully" by Count Richard in Normandy the year before the death of the Emperor (1024). Chalandon suggests that meeting with the emperor must have taken place in Germany after Rodolphe accompanied Melus there after his defeat in southern Italy, dated to 1017[2915].] m ---. The name of Raoul's wife is not known. [2910] Le Prévost, A. ´Pouillés du diocèse de Lisieux´, Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, 2e Série, 3ème Volume (1842-43), p. 9, footnote 5. -5848- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [2911] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber V, X, p. 253. [2912] Clarii, Chronico Sancti Petri Vivi Senonensi 1015, MGH SS XXVI, p. 31. [2913] Chronica Monasterii Casinensis II.37, MGH SS VII, p. 652. [2914] France, J., Bulst, N. and Reynolds, P. (eds. and trans.) (1989) Rodulfi Glabri Historiarum Libri Quinque, Rodulfus Glaber Opera (Oxford) III.3, pp. 97-101. [2915] Chalandon, F. (1907) Histoire de la domination normande en Italie et en Sicile (Paris), Tome I, p. 57. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2011, S. Jahan (Fmg.ac Normandy nobility) 4 x 2015 - família 1: F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac) http://arnaud.aurejac.free.fr/ - família 2: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).

380.618.947: Fonts: - família: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).

380.618.947a: Au début du XIe siècle, Roger, sire de Tosny (près des Andelys), qui vient de revenir de la Reconquista espagnole, hérite du fief et fonde le bourg actuel, en pays d'Ouche.

Roger Ier de Tosny ou Roger d'Espagne († 1040), est le second membre de la famille de Tosny, un important lignage aristocratique du duché de Normandie. Il participe à la Reconquista espagnole, d'où son autre nom Roger d'Espagne.

Biographie En 1013, Roger garde avec son père Raoul Ier le château de Tillières pour le compte du duc Richard II de Normandie. Quelques années plus tard, pour une raison inconnue, les deux doivent s'exiler. Alors que le père s'illustre en Pouille, Roger se fait un nom en combattant les Musulmans en Espagne. Les petits États chrétiens du Nord accueillent volontiers les aventuriers qui peuvent leur prêter main forte pour la Reconquista. Le Normand est appelé par Ermesende, (voir : Ermessende de Carcassonne), comtesse régente de Barcelone après la mort de son mari Raymond Borrell de Barcelone (972-1017), car le roi musulman Musetus menace son pouvoir. Roger accourt, épouse la fille de la comtesse, — (Le mariage barcelonais est incertain. Gotelina/Godehildis, l'épouse connue de Roger n'était pas espagnole mais est-ce sa première femme[2] ?) — terrorise les Sarrasins et leur prend beaucoup de villes et de châteaux. Adhémar de Chabanais se fait l'écho des exploits plus ou moins légendaires de Roger. Il y a gagne le surnom de Mangeur de Maures. Adhémar de Chabanais raconte que chaque jour, Roger capturait des Sarrasins. Devant eux, il en coupait un en deux. La première moitié était bouillie et donnée à manger aux autres Musulmans. En ce qui concerne l'autre moitié, le Normand prétendait la ramener à la maison pour ses compagnons et lui. Roger permettait ensuite à quelques captifs de s'enfuir de manière à ce qu'ils colportent ses horreurs[3]. Avant 1024, Roger, ainsi que son père, obtiennent du duc Richard II l'autorisation de revenir en Normandie. Le père meurt peu après. Roger de Tosny est le véritable fondateur de Conches-en-Ouche. Il y construit l'église Sainte- Foy[4] (avant 1026) puis l'abbaye Saint-Pierre de Castillon (vers 1035) où des moines de Fécamp s'installent. Ce monastère est l'un des premiers de fondation baroniale en Normandie[5]. La charte de fondation révèle que le seigneur de Tosny a un noyau de possession autour de Conches et de sa forêt. En 1035, la mort du duc Robert le Magnifique inaugure une période de troubles dans le duché. Les guerres privées se multiplient et Roger, dont les relations avec ses voisins paraissent avoir été déjà conflictuelles, en est un des principaux acteurs. Selon les chroniqueurs normands[6], le seigneur de Tosny refuse de servir le nouveau duc, le futur Guillaume le Conquérant, en raison de sa bâtardise. Il profite surtout de la faiblesse du pouvoir ducal pour ravager les terres de ses voisins, notamment celles -5849- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas d'Onfroy de Vieilles. Ce dernier envoie alors son fils Roger combattre le remuant voisin. Vers 1040, ce dernier trouve la mort dans une bataille, alors que ses deux fils aînés[7] meurent quelques semaines après des suites de leurs blessures. La paix est rétablie entre la famille de Tosny et ses voisins. La veuve Gotelina/Godehildis doit épouser Richard comte d'Évreux. Famille et descendance Père : Raoul Ier de Tosny

Épouse :

 La fille anonyme de la comtesse de Barcelone Ermessende de Carcassonne (?)  Gotelina/Godehildis qui épouse, après la mort de Roger, le comte d'Évreux, Richard

Enfants :

 Helbert (mort en 1040 avec son père),  Elinand, (idem),  Raoul II de Tosny, successeur de son père  Robert de Tosny, seigneur de Stafford,  Béranger l'Espagnol,  Adelise, épouse de Guillaume Fils Osbern  Berthe, épouse de Guy de Laval  Un autre fils

Notes et références

1. .↑ Nommé ainsi par Orderic Vital 2. .↑ Lucien Musset, « Aux origines d'une classe dirigeante : les Tosny, grands barons normands du Xe au XIIe siècle », Sonderdruck aus Francia Forschungen zur westeuropäischen Geschichte, Munich, 1978, p.53. 3. .↑ Chronique d'Adhémar de Chabanais, éd. J. Chavanon, Paris, 1897, p.178-179 4. .↑ La dédicace de ce sanctuaire est liée à l'abbaye Sainte-Foy de Conques en Rouergue où probablement Roger passa à son départ de Normandie ou à son retour d'Espagne. Selon Lucien Musset, le nom de Conches « semble n'être qu'une simple transposition en langue d'oïl de celui de Conques » 5. .↑ Auparavant, la création ou la restauration de monastères provenaient d'une initiative ducale 6. .↑ Guillaume de Jumièges, Orderic Vital, Robert de Torigni, Histoire des Normands, éd. Guizot, Paris, 1826, p.169-170 7. .↑ Robert de Grandmesnil, allié de Roger Ier de Tosny

Bibliographie

 Lucien Musset, « Aux origines d'une classe dirigeante : les Tosny, grands barons normands du Xe au XIIe siècle », Sonderdruck aus Francia Forschungen zur westeuropäischen Geschichte, Munich, 1978, p.45-80  Élisabeth Van Houts, The Normans in Europe, Manchester University Press, Manchester, 2000 (Extraits en ligne sur Google Books)

-5850- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas  Martin Aurell, Les Noces du comte. Mariage et pouvoir en Catalogne (785- 1213), Paris, Publications de la Sorbonne, 1995,p. 56-58.  Lucas Villegas Aristizábal, « Algunas notas sobre la participación de Rogelio de Tosny en la reconquista Ibérica », Estudios humanísticos. Historia, nº3, 2004, p.263-274

Liens externes wikipedia La Famille de Tosny

ROGER [I] de Tosny ([990]-killed in battle [before 17 Jun] [1040]). His parentage is confirmed by Guillaume of Jumièges who records that Richard II Duke of Normandy appointed “Nigellum Constantinensem atque Rodulfum Toennensem et Rogerium filium eiusdem” as custodians of “castrum Tegulense” (Tillières Verneuil, Eure), which the duke had built to protect against attack by Eudes [II] Comte de Blois (so dated to after 1004)[2859]. Roger [I] de Tosny spent time in Spain, returned to Normandy, and was killed in rebellion against Guillaume II Duke of Normandy. The precise chronology of these events is uncertain given the contradictions in the different primary sources as we shall see. Two sources record Roger in Spain in [1017/20]. Firstly, the Chronicle of Adémar de Chabannes (written before [1034]) records that "Normanni, duce Rotgerio" (presumably identifiable as Roger [I], although he never bore the ducal or even comital title), who had been fighting Saracens in Spain, asked "comitissa Barzelonensi Ermensende…vidua" for the hand of her (unnamed) daughter[2860]. This episode is dated to [1017/20], when Ermesinde was acting for her son Berenguer Ramon I “el Curvo” Comte de Barcelona during his minority. In addition, the other events recorded by Adémar in the same paragraph, all relate to 1016/18. Secondly, the early 12th century Chronicon S Petri Vivi Senonensis records, in a section headed 1015 but whose coverage extends into later years, that "Rotgerius filius Rodulfi comitis" left Normandy with an army for Spain (“de Normannia perrexit cum exercitu in Hispaniam”) where he captured “civitates et castellaTarraconam [Tarragona] et Gerundam [Girona]”, married “sororem Raymundi Berengerii Stephaniam”[2861]. The Chronicon S Petri Vivi Senonensis records that "Rotgerius filius Rodulfi comitis" lived in Spain “cum uxore et exercitu suo per 15 annos” before returning “ad patrem suum in Normanniam” (having left “20 viris et uxore et omnibus quæ possidebant” in Spain) to make peace “cum duce Richardo”[2862]. “Duce Richardo” was either Duke Richard II or Duke Richard III, but assuming that the Chronicon’s report is accurate (which is not without doubt) Roger [I]’s return from Spain to Normandy must be dated to before Aug 1027, when Duke Richard III died. Roger’s presence in Normandy after this date is confirmed by two charters dated during the early 1030s: firstly, "…Rogerii filii Radulfi…" witnessed the charter dated to [1030] under which Robert II Duke of Normandy donated "in comitatu Abrincatensi villam…Sancti Johannis" to the abbey of Mont-Saint- Michel[2863], and secondly “Rogerii Todelensis” witnessed the charter dated [20 Jul 1031/Jul 1032] under which Robert II Duke of Normandy donated the church of Arques to Saint-Wandrille[2864]. After this time, the situation becomes confused, but indications are that Roger returned to Spain: Guillaume of Jumièges records that “Rogerius Toenites de stirpe Malahulcii qui Rollonis ducis patruus fuerat” (who was “totius Normanniæ signifer“) travelled “in Hispaniam” when Duke Robert II went on pilgrimage to Jerusalem (so dated to [1035]), that he returned after the accession of Duke Guillaume II but rebelled because of the new duke’s ignoble birth, destroyed property in particular that of “Humfridi de Vetulis”, and that the latter eventually sent his son to attack Roger who was killed with “duobus filiis suis Helberto et Elinantio”[2865]. Orderic Vitalis also names “Rogerius de Hispania” among those who rebelled against Guillaume II Duke of Normandy after his accession in 1035[2866]. In another passage, Orderic Vitalis records that “Rodbertus de Grentemaisniliocum Rogerio de Toenio” fought “Rogerium de Bellomonte”, during the course of which “Rogerius cum filiis suis Elberto et Elinancio“ were killed and “Rodbertus” mortally wounded (adding that the latter

-5851- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas later died “XIV Kal Jul”)[2867]. Guillaume of Jumièges’s account is partly corroborated by a second extract from the Chronicon S Petri Vivi Senonensis which records that, after returning to Normandy, Roger attacked a neighbour but was killed (“iste Rotgerius contra quemdam vicinum faciens bellum, interfectus est”), although the chronology of the Chronicon is suspect as this passage follows the report that Roger returned to Normandy to make peace “cum duce Richardo”[2868]. The Chronicon report is also confused by Roger’s father’s supposed journey to Apulia after Roger died, which as discussed above appears to contradict other sources and whose chronology is in any case suspect. The presence of Roger [I] in Normandy in the late 1030s is noted in two charters: "…Rodgerii filii Rodulfi…" witnessed the charter dated to [1040] under which Guillaume Comte de Talou donated property to Jumièges[2869], and "…Rodgerii filii Rodulfi…Rogerii de Conchis" subscribed the charter dated to [1040] under which "Vuillelmus Ricardi magni ducis Normannorum filius" donated property to the abbey of Jumièges[2870]. The question of the dual identity of “Roger de Tosny”, reflected in the references to “Rodgerii filii Rodulfi" and "Rogerii de Conchis" in the latter document, is discussed below under Roger [II] de Tosny. Roger [I]’s death is dated to [before 17 Jun] because firstly Guillaume of Jumièges records that “Robertus de Grentesmaisnil” died in the same battle as “Rogerius [de Toenia]“[2871], and secondly the necrology of the monastery of Ouche records the death "17 Jun" of "Robertus de Grentemesnil"[2872]. The date must be considered approximate because Orderic Vitalis records that “Rodbertus de Grentemaisnilio” was mortally wounded in the battle during which “Rogerius cum filiis suis Elberto et Elinancio“ were killed and that Robert died “XIV Kal Jul” (it is not known how many dies after the battle)[2873]. m ([1017/20]) [--- de Barcelona, daughter of RAMÓN BORELL I Comte de Barcelona & his wife Ermesinde de Carcassonne]. The Chronicle of Adémar de Chabannes (written before [1034]) records that "Normanni, duce Rotgerio" (presumably identifiable as Roger [I], although he never bore the ducal or even comital title), who had been fighting Saracens in Spain, asked "comitissa Barzelonensi Ermensende…vidua" for the hand of her (unnamed) daughter[2874]. This episode is dated to [1017/20], when Ermesinde was acting for her son Berenguer Ramon I “el Curvo” Comte de Barcelona during his minority. In addition, the other events recorded by Adémar in the same paragraph, all relate to 1016/18. Europäische Stammtafeln names her “Adelaida (Papia)”[2875]. No primary source has been identified which confirms that either of these names is correct. The early 12th century Chronicon S Petri Vivi Senonensi records, in a section headed 1015 but whose coverage extends into later years, that "Rotgerius filius Rodulfi comitis" left Normandy with an army for Spain (“de Normannia perrexit cum exercitu in Hispaniam”) where he married “sororem Raymundi Berengerii [Ramon Berenger [I] “el Viejo” Comte de Barcelona] Stephaniam” and lived there “cum uxore et exercitu suo per 15 annos” before returning “ad patrem suum in Normanniam” (having left “20 viris et uxore et omnibus quæ possidebant” in Spain) to make peace “cum duce Richardo”[2876]. The early 12th century Chronicon S Petri Vivi Senonensi records that “sororem Raymundi Berengerii Stephaniam” married as her second husband “rex Hispaniæ Garsias”[2877]. Based on this source, Jaime de Salazar Acha suggests that the widow of Roger [I] de Tosny was Estefanía who married García V King of Navarre[2878]. There are several reasons why this suggestion is unlikely to be correct. Firstly, Roger [I]’s marriage is dated to [1017/20] according to Adémar de Chabannes as noted above. If that date is correct, it is unlikely that his widow would have given birth to nine children by a second marriage, whose births are estimated between 1039 and 1054 (see the document NAVARRE KINGS). Secondly, Estefanía is named with her husband King García in a charter dated 1040, her marriage probably being dated to a couple of years earlier, whereas Roger [I] is recorded in Normandy around the same time as noted above. Thirdly, there are intrinsic problems associated with the Chronicon S. Petri Vivi Senonensis: the chronology of the whole passage, of which

-5852- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas the reference to Roger’s marriage forms part, is flawed as explained earlier, and in addition Roger’s wife could not have been the sister of Ramon Berenguer [I] Comte de Barcelona (whose birth is dated to 1023, see the document CATALONIA) if his marriage is correctly dated to [1017/20]. Roger [I] & his wife had [three] children (it does not appear chronologically possible that, in addition, Berthe (who married Guy [I] Seigneur de Laval in [1010/15]) and her [two] brothers (see below) were also children of Roger [I]): a) [ELBERT (-killed in battle [before 17 Jun] [1040]). Guillaume of Jumièges records that “Rogerius Toenites de stirpe Malahulcii qui Rollonis ducis patruus fuerat” rebelled against Duke Guillaume II and destroyed property, in particular that of “Humfridi de Vetulis” whose son eventually killed Roger [I] along with “duobus filiis suis Helberto et Elinantio”[2879]. Orderic Vitalis records that “Rodbertus de Grentemaisniliocum Rogerio de Toenio” fought “Rogerium de Bellomonte”, during the course of which “Rogerius cum filiis suis Elberto et Elinancio“ were killed and “Rodbertus” mortally wounded[2880]. Assuming that these sources are accurate, there is no indication of the identity of the mother of Elbert and Elinand. Their names are unusual, and not encountered either in the Tosny or Barcelona families, which may suggest that they were illegitimate.] b) [ELINAND (-killed in battle [before 17 Jun] [1040]). Guillaume of Jumièges records that “Rogerius Toenites de stirpe Malahulcii qui Rollonis ducis patruus fuerat” rebelled against Duke Guillaume II and destroyed property, in particular that of “Humfridi de Vetulis” whose son eventually killed Roger [I] along with “duobus filiis suis Helberto et Elinantio”[2881]. Orderic Vitalis records that “Rodbertus de Grentemaisniliocum Rogerio de Toenio” fought “Rogerium de Bellomonte”, during the course of which “Rogerius cum filiis suis Elberto et Elinancio“ were killed and “Rodbertus” mortally wounded[2882]. Assuming that these sources are accurate, there is no indication of the identity of the mother of Elbert and Elinand. Their names are unusual, and not encountered either in the Tosny or Barcelona families, which may suggest that they were illegitimate.] c) [VUASO . “Vuaso filius Rogerii Tothennensis” subscribed the charter under which Guillaume Duke of Normandy donated the church of Arques to Saint- Wandrille, dated to [1035/55][2883]. The name “Vuaso” (or similar) is not found in either the Tosny or Barcelona families, which may suggest that he was illegitimate.]

[2859] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber V, X, p. 253.

[2860] Chavanon, J. (ed.) (1897) Adémar de Chabannes, Chronique (Paris), III, 55, p. 178.

[2861] Clarii, Chronico Sancti Petri Vivi Senonensi 1015, MGH SS XXVI, pp. 30-1.

[2862] Clarii, Chronico Sancti Petri Vivi Senonensi 1015, MGH SS XXVI, pp. 30-1.

[2863] Delisle (1867), Pièces justificatives, 9, p. 10.

[2864] Saint-Wandrille, 13, p. 52.

[2865] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, III, p. 268.

-5853- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [2866] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. I, Liber I, p. 180.

[2867] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, II, pp. 40-1.

[2868] Clarii, Chronico Sancti Petri Vivi Senonensi 1015, MGH SS XXVI, pp. 30-1.

[2869] Delisle (1867), Pièces justificatives, 16, p. 17.

[2870] Jumièges, Tome I, XX, p. 63.

[2871] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, IV, p. 269.

[2872] RHGF XXIII, Ex Uticensis monasterii necrologio, p. 487.

[2873] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, II, pp. 40-1.

[2874] Chavanon, J. (ed.) (1897) Adémar de Chabannes, Chronique (Paris), III, 55, p. 178.

[2875] ES II 69.

[2876] Clarii, Chronico Sancti Petri Vivi Senonensi 1015, MGH SS XXVI, pp. 30-1.

[2877] Clarii, Chronico Sancti Petri Vivi Senonensi 1015, MGH SS XXVI, pp. 30-1.

[2878] Salazar Acha, J. de ‘Nuevos datos para la identificación familiar de la reina Estefanía de Pamplona’, Principe de Viana, Año 68, no. 242 (2007), pp. 853-64.

[2879] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, III, p. 268.

[2880] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, II, pp. 40-1.

[2881] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, III, p. 268.

[2882] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, II, pp. 40-1.

[2883] Saint-Wandrille, 17, p. 59.

Selon la Foundation for Medieval Genealogy, ce Roger de Tosny, époux de la fille du comte de Barcelone, doit être distingué de son homonyme, plus jeune (probablement son neveu), marié avec Godehilde :

One of the most controversial issues regarding the Tosny family is whether there were two individuals named Roger de Tosny who were active during the first half of the 11th century. Keats-Rohan raised the possibility that Roger de Tosny who travelled to Spain in [1018] (shown above as Roger [I]), was different from a younger Roger de Tosny (maybe nephew of Roger [I]) who founded Conches abbey (shown below as Roger [II])[2885]. The same theory has been espoused more recently by Jaime de Salazar Acha, although his main purpose is identifying the

-5854- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas wife of Roger [I] as discussed above[2886]. The theory of two individuals is confirmed by the charter dated to [1040], quoted below, which is witnessed by both "Rodgerii filii Rodulfi" (assumed to be Roger [I]) and "Rogerii de Conchis" (Roger [II]). The parentage of Roger [II] has not been ascertained, but presumably he was closely related to Roger [I]. The estimated birth date “[before 1038]” of Raoul [III], son of Roger [II] see below, suggests that Roger [II] was considerably younger than Roger [I] and therefore may have been nephew of the latter. The fact that Roger [II] was ancestor of the later Tosny family is shown by two charters which record his descendants. Firstly, Henry I King of England confirmed the foundation of Conches by "Rogerius senior de Toenio et filius eius Radulphus senex et Radulphus juvenis filius prædicti Radulphi senis et Rogerius filius Radulphi juvenis", quoting the foundation by "Rogerius filius Radulphi Toteniensis" for the soul of "coniugis meæ Godehildis", by charter dated to [1130][2887]. Secondly, Henry II King of England confirmed the property of Conches, including donations by "Rogeris senior de Toenio et filius eius Radulfus senex et Radulphus juvenis filius predicti Radulphi senex et Roger filius Radulphi juvenis", by charter dated 1165 or [1167/73][2888].

Fonts: - persona: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4, J-P de Palmas (notes, « Aux origines d'une classe dirigeante : les Tosny, grands barons normands du Xe au XIIe siècle », par Lucien Musset, 1978 et FMG) 28iv2011, S. Jahan (fmg.ac) 4 x 2015 - defunció: bataille - família: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4, J-P.de Palmas (FMG) 5 x 2015

380.618.947-1a: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac) http://arnaud.aurejac.free.fr/, JB.de La Grandiere (patronyme "aligné sur le toponyme français, ce d'autant plus que le français était alors usuel dans les "hautes sphères" anglaises) 23 ix 2016 - família: F-L. Jacquier (Arnaud Aurejac) http://arnaud.aurejac.free.fr/

380.619.264: Il fit bâtir en 1095, la tour quadrangulaire qui subsiste encore et que tout le monde appelle "La Lanterne" haute de dix mètres, bien des hypothèses surgissent sur son rôle exact : sans doute s'agissait-il d'une tour de guet. On prétend également qu'elle aurait servi de fanal afin de prévenir les garnisons alentour de l'approche d'un danger, mais cette édifice permettait plus sûrement de guide à la navigation fluviale.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010 - família: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010

380.619.265: Fonts: - família: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010

380.619.280: The House of Amboise was a French noble house, taking its name from Amboise, a town which it possessed as a seigneurie. The oldest of the house's family lines to be attested in the written sources comes from Touraine and dates to 1155. The text mentioning it traces the lives of the lords of Amboise and celebrates the virtues of each lord in turn[1]

Originally the lords of Amboise were the vassals of the first counts of Anjou but after several controversies with them the lords became independent, obtaining -5855- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas sizeable fiefdoms such as the Viscountcy of Thouars and Principality of Talmont. This powerful knightly family was called "the family of Mars". Its eldest branch ran until the 15th century with Louis d'Amboise, lord of Amboise, viscount of Thouars. The line of the cadet branch, with a magnificent estate at Chaumont-sur-Loire, has continued uninterrupted to this day, via Pierre d'Amboise, governor of Touraine and advisor to the French kings Charles VII and Louis XI.

Origins

Dating back to well before 1000, the first members of the family distinguished themselves under the counts of Anjou in repulsing Viking attacks along the River Loire. Lisois de Bazougers, issue of the Bazougers and Lavardin families and founder of the house of Amboise, was the main military leader of the powerful count of Anjou Fulk III. To reward Lisois for his services, Nerra granted him Amboise (the Roman Vicus ambaciensis, Ambacques, Castrum ambacianum, then, Ambacia, Ambaces, Amboyse, and finally Amboise) shortly before 1000 and in honour of this Lisois de Bazougers changed his name to Lisois d'Amboise. In 1002 Lisois d'Amboise went on pilgrimage to the Holy Land and, in his absence, he entrusted Touraine (of which he was sénéchal) to his brother Auger and his stronghold at Amboise (the best protected stronghold in the whole of western France) to his other brother Aubri. He returned to France in Fulk's company two years later, having both stopped off at Rome on the way back to greet Pope Sylvester II.

Crusades

Lisois's grandson Hugh of Amboise was one of the first to reply to the call from Pope Urban II in 1096. He set out from the abbaye de Noirmoutier with several lords of Touraine to fight in the First Crusade of Godefroy de Bouillon. In the following 3 years, Hugh II of Amboise fought in all the crusader battles in Palestine (the 1097 Siege of Nicaea, the June 1098 defence of Antioch, the December 1098 capture of Ma'arra, the July 1099 capture of Jerusalem and the August 1099 capture of Ascalon). Exhausted, he returned to Touraine in December 1099. He married Elisabeth de Jaligny, sister of the count of Anjou, and thus merged the two seigneuries of Amboise and became the uncontested master of Amboise, one of Touraine's main fortresses. Shortly after his marriage, he financed several construction works all around Touraine (abbeys, castles, bridges, churches and ). In 1120 he decided to go once again to the Holy Land. Setting out with two of his sons and his overlord Fulk, he lost both these sons in battle and after fighting in several battles Hugh died in Jerusalem on 2 June 1129 (shortly after assisting at Fulk's marriage with Melisende of Jerusalem). He was buried on the Mount of Olives overlooking the city.

12th to 15th centuries

After the death of Hugh, his eldest son, Sulpice III found himself at the head of several seigneuries in Touraine and he fought all his life to free himself from the patronage of his overlords the counts of Anjou and count of Vendôme, sometimes capturing them and imprisoning them at his castle in Amboise. Later he also declared war on his neighbour the count of Blois, but was captured by him and imprisoned at Châteaudun, dying there under torture on 24 August 1153. His two sons, Hervé and Hugues, captured at the same time as their father, were only freed thanks to the intervention of their cousin Henry Plantagenet, future king of England. Previously, the count of Blois had taken the precaution of razing the Amboise family fortress at Chaumont-sur-Loire in Blois's territory. His grandson, also called Sulpice, married Elisabeth de Blois, countess of Chartres, and was the -5856- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas first banneret knight of Touraine (an order created by Philip-Augustus in 1213 to reward his knights' bravery against the English). From this date, Sulpice had the Amboise arms as Six pals d'or et de gueules.

Contrary to the assertions of Père Anselme, the Amboise family descended in this era via John I of Amboise, lord of Berry, son of Sulpice's brother Hugh of Amboise. This John found himself at Philip-Augustus's side at the French victory at battle of Bouvines. His son John II had two sons, Pierre II and Hugh, guaranteeing the Amboise line via two distinct lines. Pierre (originator of the older branch, which died out with Louis d'Amboise's death in 1469) married Jeanne de Rohan. Hugh was the origin of the Chaumont-d'Amboise branch, which survives to the present. Hugh's son John III of Amboise married Jeanne de Beaumont (direct descendant of Louis the Pious). He made his début in the Hundred Years' War with Philip VI of France and died at the Battle of Crecy on 26 August 1346.

John III's son Hugh fought alongside his cousin Bertrand Duguesclin at the sieges of Ardres and Balinghem and died at the Battle of Agincourt on 25 October 1415, as did his eldest son. Having lost his father and grandfather at Agincourt, Pierre d'Amboise inherited several fiefdoms in Blésois, Berry and Touraine, such as Chaumont-sur-Loire, Meillant, Preuilly, Bussy, Sagone, etc. He married Anne de Beuil, daughter of the count of Sancerre, and they had 17 children. His sons occupied high office at the start of the 16th century, the best known being Georges d'Amboise (1460-1510), cardinal and first minister of Louis XII. Under Georges' rule taxes were not increased and he succeeded in reestablishing equitable justice for all, whilst he was also one of the main figures behind introducing the Renaissance into France. Pierre's eldest son, Charles I of Amboise, was a favourite of Louis XI and worked heavily to give France the borders it has today. Count of Brienne, knight of the Ordre de Saint-Michel, governor of Île-de-France, Champagne and Burgundy, he fought in several wars in northern and eastern France. He had one son, Charles II d'Amboise de Chaumont, who accompanied king Charles VIII in his first Italian war, in October 1494.

16th century

1500 was a pivotal year between the Middle Ages and Renaissance. Among Pierre d'Amboise's nine sons, six headed for a church career. One was Georges d'Amboise (a cardinal who tried and failed to become pope in 1503), John I of Amboise (bishops and duke of Langres), Louis I of Amboise (bishop of Albi), Pierre d'Amboise (bishop of Poitiers), Jacques d'Amboise (bishop of Clermont-Ferrand) and Hémery d'Amboise (grandmaster of the order of Saint John of Jerusalem based on Rhodes). The three other sons headed for a military career - Charles was governor of Île-de-France, Champagne and Burgundy, John was lord of Bussy and governor of Normandy, and Hugh was baron of Aubijoux and captain of the légionnaires of the Languedoc. Of his eight daughters, five married gentlemen from the highest families of the kingdom (Hanguest, Rochechouart, Gouffier, Tristan de Castelnau, Crespin) and two became abbesses (of Fontrevault and Saint- Ménéhould, with Madeleine d'Amboise at the latter).

At the start of the century five members of the family died in the Italian Wars, notably at the battles of Marignan and Pavia - these were: Hugh of Amboise, baron of Aubijoux, distinguished himself at the battle of Fornoue and was made king's lieutenant-general in Tuscany by Charles VIII. Georges III of Amboise, Baron of Charenton, lord of Chaumont and Meillant, son of Charles II d'Amboise, gouvernor of Milan.(On his death all the Amboise family lands passed to his aunt Catherine d'Amboise, and then to the house of La Rochefoucault via Antoinette d'Amboise, niece of Catherine.) Jacques d'Amboise, seigneur de Bussy.(son of John, governor

-5857- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas of Normandy). Guy d'Amboise, seigneur de Ravel, son of Charles I of Amboise Charles II d'Amboise de Chaumont, viceroy of Lombardy, seigneur de Chaumont - led the French artillery at the capture of Alexandria and Tirano and acted as one of the main French generals in the Italian Wars, and was rewarded for his services by Louis XII by being made Grand Master of France (1502), marshal of France (1504, replacing the maréchal de Gié), then admiral of France (1508, replacing his father- in-law Louis Malet de Graville). In 1503, Charles II d'Amboise had an illegitimate son, Michel d'Amboise, in Naples, whose descendants still exist.

1600 to 1792

In the 18th century the three sons of John of Amboise (Michel's son) occupied high office in France. The eldest, François d'Amboise, baron of La Chartre-sur-le-Loir, was privy councillor and maître des requêtes to Henri IV. The middle son, Adrien d'Amboise, was almoner to the king and bishop of Tréguier, and the youngest Jacques d'Amboise, rector of the university of Paris. Their cousin, Louis de Bussy d'Amboise, nicknamed "le brave Bussy", was at that time a favourite of the king's brother the duke of Alençon and a lover of the king's sister Marguerite, as well as being an excellent duellist (later becoming the protagonist of Alexandre Dumas's novel La Dame de Monsoreau). Louis's father, Jacques de Clermont-d'Amboise, had inherited the seigneuries of Bussy and Saxefontaine from cardinal Georges II d'Amboise, cardinal of Rouen.

Antoine d'Amboise, son of François, continued the line as lord of Neuilly and of Clos Lucé at Amboise. By a brevet of 30 August 1643, Louis XIII made him maréchal de camp and governor of the citadel of Trin in Piedmont. He fought in several battles in Italy and, in 1650, he gave his name to his regiment, from then on known as the régiment d'Amboise. Married to Anne de la Illière, they had only one child, Charles-Jules d'Amboise, godson of Mazarin and of the duchesse de Savoie.

Charles-Jules d'Amboise, married Charlotte de Gast. He was colonel of the régiment d'Amboise then colonel of the régiment de Touraine. In 1668, after the death without issue of his cousin François-Jacques d'Amboise, comte d'aubijoux and grandson of Louis d'Amboise d'Aubijoux, he recovered the full arms of the Amboise family: "six pals d'or et de gueules".[2] Charles-Jules died on 28 February 1627 and was buried with his ancestors in the church of the cordeliers d'Amboise, though this was later destroyed in the Revolution.

Charles-Jules's grandson Henri-Michel d'Amboise was colonel of the compagnie des grenadiers of Touraine and knight of the Ordre royal et militaire de Saint-Louis. During the 1789 French Revolution he was elected deputy for the nobility for Touraine and in 1793 was imprisoned in Abbaye de Port-Royal de Paris, only being released in 1794 after Maximilien de Robespierre's death. He saved his château du Clos Lucé at Amboise (former residence of Léonard de Vinci). Henri-Michel was buried on 25 October 1812 in the cemetery of Amboise beside the duke of Choiseul - his tomb is now a monument historique.

1792 to present

After the death of Henri-Michel, his son, Georges-Alexis d'Amboise who lived at château de Pray, near Amboise, left France for England. In London he married Louisa Barwell, daughter of Richard Barwell, MP. Georges-Alexis accompanied king Louis XVIII, and the princes to Ghent during the Hundred Days. After the battle of Waterloo he returned to France as a captain in the compagnie du

-5858- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Luxembourg. On 8 July 1819, Louis XVIII personally decorated him with the royal légion d'honneur.

Georges-Charles d'Amboise, (his son), and Charles-Eugène d'Amboise, (his grandson), only returned to France at the end of the 19th century. They both set up home in Provence, near Arles. For more than a century the descendents of Charles- Eugène d'Amboise remained in this region, and at the start of the 21st century there are still two direct male descendents of this noble family - Alain-Georges d'Amboise and his brother Thierry d'Amboise.

Source: http://en.wikipedia.org/wiki/House_of_Amboise

Fonts: - persona: D.Thuret D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010 - família: D.Thuret D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010

380.619.281: "noble dame de Bazougers"

Fonts: - persona: D.Thuret D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010 - família: D.Thuret D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010

380.619.281a: Fonts: - persona: D.Thuret D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010 - família: D.Thuret D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise 1999) 30 vii 2010

380.619.284: VICOMTES du MAINE, VICOMTES de BEAUMONT-sur-SARTHE

(Notice on FMG) The earliest reference to a vicomte in the city of Le Mans and county of Maine dates to the mid-10th century. His name suggests that the family of the vicomtes du Maine descended from this Raoul [I], although no proof of the descent has been found in primary sources. The chronology suggests that he was a different person from Vicomte Raoul [II], who is named in charters which can probably be dated to the early 11th century. Sainte-Suzanne was one of the important castles held by the vicomtes du Maine, although it is not known whether it was originally constructed by the family or inherited by marriage. It was located due west of the town of Le Mans. The earliest reference to Sainte-Suzanne appears to be included in the Gesta Ambaziensium which attributes the title "Radulfi vicecomitis de Sancto Susanna" to Raoul [II] de Beaumont Vicomte du Maine[219], whose active career is dated to the late 10th/early 11th centuries. Orderic Vitalis records that William I King of England unsuccessfully besieged Hubert Vicomte du Maine et de Beaumont in the castle of Sainte-Suzanne for three years, probably dated to around 1083, emphasising the impregnability of the fortress because of its rocky position[220]. Angot reviews the family of the Vicomtes de Maine in an article which is

-5859- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas sufficiently detailed to inspire some confidence, but has the disadvantage of failing to cite primary sources, although he summarises Beaumont charters in a later section[221]. Two brothers:

1. --- (-after 951). Vicomte du Mans. This unnamed vicomte ("germanus vicecomitis Cenomanicæ civitatis") is referred to in the Actus pontificum Cenomannis as brother of "Mainardus episcopus"[222]. The chronological information is insufficient to be certain that he was the vicomte who witnessed charters in 967 and 971. same person as? RAOUL [I] (-after Feb 971). Vicomte [du Maine]. "…Rodulfi vicecomitis…" witnessed the charter dated Mar 967 under which "Girardus" donated property to Tours Saint-Julien[223]. "Hugonis comitis, Hugonis et Fulchonis filiorum eius…Rodulfi vicecomitis…" witnessed the charter dated Feb 971 under which Sigefroid Bishop of Le Mans donated property to Tours Saint- Julien[224].

2. MAINARD (-[971]). The Actus pontificum Cenomannis records that "Mainardus episcopus" was "germanus vicecomitis Cenomanicæ civitatis"[225]. Bishop of Le Mans [951]. m ---. The Actus pontificum Cenomannis records that "Mainardus episcopus" had at first devoted himself to secular life ("primum sæcularibus deditus rebus") and had “filios et filias multas”[226], so was presumably married. a) children . The Actus pontificum Cenomannis records that "Mainardus episcopus" had at first devoted himself to secular life ("primum sæcularibus deditus rebus") and had “filios et filias multas”[227]. [219] Gesta Ambaziensium Dominorum, Chroniques d'Anjou, p. 160. [220] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. IV, Book VII, p. 47, which the event is described as taking place after the death of Queen Mathilde (in 1083). [221] Angot ‘Les Vicomtes du Maine’ (1914), pp. 180-217, and pp. 404-24. [222] Actus pontificum Cenomannis, p. 350. [223] Tours Saint-Julien (Fragments), XXI, p. 60. [224] Tours Saint-Julien (Fragments), XXIII, p. . [225] Actus pontificum Cenomannis, p. 350. [226] Actus pontificum Cenomannis, p. 350. [227] Actus pontificum Cenomannis, p. 350. Les vicomtes du Maine par l'abbé A.Angot La filiation des vicomtes du Maine a été solidement établie par M. Robert Latouche pour le XIe siècle, dans son Histoire du comté du Maine (p. 127-131) ; pour la branche de Braitel par M. le vicomte d'Elbenne (Revue du Maine, t. I, p. 213). M. Depoin a donné une contribution utile à cette étude (Les vicomtes du Mans et la maison de Bellême), mais non complètement exacte. M. Hucher (Rev. du Maine, t. XI, p. 319-408) était en sérieux progrès sur tous ceux qui l'avaient précédé, surtout au point de vue monumental. L'étude de D. Guilloreau sur Étival-en-Charnie est puisée aux sources (Rev. du Maine, t.XLIX, p. 113 ; t. LII, p. 121). L'oeuvre d'Odolant Desnos, quelquefois bonne à suivre, est de valeur très inégale. Toutes les autres généalogies sont pleines d'erreurs, même pour le XIIIe siècle. Abbé A.Angot, « Les vicomtes du Maine », dans Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, 1914, n° 30, p. 180-232, 320-342, 404- 424. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 i 2014, J-P de Palmas (Depoin, "Cartulaires de Saint-Martin de Pontoise", Sorbonne et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX,) v 2010, G.Autier (Guillaume de Wailly, site geneanet "wailly") 15 ii 2011 - defunció: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un espace princier"2010) 2ii2014 - família: J-P de Palmas (wikipedia), J-P de Palmas (Depoin, "Cartulaires de Saint- -5860- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Martin de Pontoise", Sorbonne et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX,) v 2010

380.619.285: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Guillaume de Wailly - GeneaNet "wailly") - família: J-P de Palmas (wikipedia), J-P de Palmas (Depoin, "Cartulaires de Saint- Martin de Pontoise", Sorbonne et "Annales de la Société Historique & Archéologique du Gâtinais", tome XXX,) v 2010

380.619.285b: MAINARD (-[971]). The Actus pontificum Cenomannis records that "Mainardus episcopus" was "germanus vicecomitis Cenomanicæ civitatis"[225]. Bishop of Le Mans [951].

m ---. The Actus pontificum Cenomannis records that "Mainardus episcopus" had at first devoted himself to secular life ("primum sæcularibus deditus rebus") and had “filios et filias multas”[226], so was presumably married.

a) children . The Actus pontificum Cenomannis records that "Mainardus episcopus" had at first devoted himself to secular life ("primum sæcularibus deditus rebus") and had “filios et filias multas”[227].

[225] Actus pontificum Cenomannis, p. 350.

[226] Actus pontificum Cenomannis, p. 350.

[227] Actus pontificum Cenomannis, p. 350.

L'évêque Mainard avait été marié, était père de nombreux enfants et avait porté les armes avant d'aspirer à l'épiscopat qu'il occupa de 940 à 960 ou de 951 à 971 (selon les sources).

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2017

380.619.285c: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

380.619.285d: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

380.619.285e: Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade")

380.619.288: Il porte le surnom de MilleBoucliers, indication de son activité guerrière. Il vit dans les années 950 et possède Buzancais, Verneuil sur indre et la Seigneurie de la Tour à Amboise. Il a pour fils Robert I qui suit et Hervé Trésorier de l'Abbaye St Martin de Tours.

-5861- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: J-P de Palmas (France Balade) viii2009 - família: J-P de Palmas (France Balade) viii2009

380.619.289: Fonts: - família: J-P de Palmas (France Balade) viii2009

380.619.289b: Hervé est nommé Trésorier de l' Abbaye Saint Martin de Tours vers 970. Il fait reconstruire cette Abbaye après sa destruction par un incendie, les travaux se terminèrent en 1014. A la meme époque, en 1007, il fonde l'Abbaye de Beaumont lès Tours ou il fait transférer les religieuses de l'Ecrignole. Il démissionne vers 1010 et se retire dans une ile sur la Loire, près de Tours, où il fonde la Chapelle Saint Come. Il est mort en 1021 et a été inhumé dans la Basilique Saint Martin de Tours.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (France Balade) viii2009

380.622.210: Fonts: - persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009 - família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

380.622.211: Fonts: - persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009 - família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

380.622.336: HUMBAUD [I] "le Tortu" . André Abbé de Vierzon granted property in fief to "quodam milite…Humbaudo…vocabulo Tortus…dominatum exercere…in castro Virzionensi", recently arrived from "Belesma castro", by charter dated to [981][582].

[581] La Thaumassière (1679), p. 155.

Le château de Vierzon Au IXè siècle, Vierzon dépendait de Thibault, comte de Blois, qui la donna en fief à un comte particulier nommé Humbaut le Tortu. La ville était alors entourée de murailles et possédait un château fort considérable, dont on voyait encore des ruines dans le siècle dernier. En 1196, Richard d'Angleterre qui se regardait comme seigneur suzerain de Vierzon, irrité de ce que le comte Guillaume Ier, refusant de le reconnaître en cette qualité, avait rendu hommage au roi de France, détruisit la ville après l'avoir livrée au pillage. C'est à cette époque que le château fut détruit. Vierzon fut encore prise et pillée en 1356 par l'armée du prince Noir, elle resta an pouvoir de Anglais jusqu'en 1370 qu'elle fut reprise par le connétable Duguesclin. La postérité de Humhaut le Tortu, avait fini dans la personne d'une fille unique, qui épousa Geoffroy de Brabant, seigneur d'Arschot, dont la fille eut pour époux Gérard, comte de Juliers. Il existe des monnaies de cette dame, appelée Marie, qui représentent d'un côté une croix et de l'autre un lion. Extrait de France pittoresque, Volume 1, par Abel Hugo

Fonts: -5862- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - persona: JB de La Grandiére (ESS XIII- p 158 Vierzon) 29 viii 2009, J-P.de Palmas (FMG) 20 iv 2014 - família: P Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v 2004

380.622.337: Fonts: - família: P Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v 2004

380.622.337a: HUMBAUD [II] "le Riche" (-27 Jul, after 1040). Seigneur de Vierzon. "Humbaldus cognomine dives Virsionnensis dominus" became a monk at the abbey of Vierzon, with the consent of "nepos Arnulfe" to whom he granted his territories, by charter dated 1025[583]. The necrology of Vierzon abbey records the death “VI Kal Aug” of “domini Humbaldi abbatis”[584].

[583] Toulgoët-Treanna (1884), Pièces Justificatives, IX, p. 469.

[584] La Thaumassière (1689), p. 387.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière ) 20 iv 2014

380.622.338: Mehun sur Yèvre is located on the banks of the river Yèvre, south-west of Vierzon, midway between there and Bourges.

A propos du château de Mehun Le château de Mehun-sur-Yèvre est une ancienne forteresse médiévale située dans la commune de Mehun-sur-Yèvre, département du Cher, région Centre, anciennement dans le duché de Berry. Actuellement ruiné, il est situé sur une éminence rocheuse qui domine la confluence de l'Yèvre et de l'Annain. L'existence d'un château défensif à Mehun-sur-Yèvre remonte sans doute au IXe siècle, il appartenait à la famille de Courtenay au XIIe siècle, avant de passer à la maison des Artois puis revient finalement à la famille royale des Valois.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière) 21 iv 2014 - família: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière) 21 iv 2014

380.622.339: Fonts: - persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009, JB.de La Grandiere (rectifs prénoms) 28 xi 2015 - família: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière) 21 iv 2014

380.623.232: Pour Michel Bur père probable du suivant.

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne, p.142) ) 20/03/2010, - defunció: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne, p.142) ) 20/03/2010, -5863- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne, p.142) ) 20/03/2010,

380.623.233: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne, p.142) ) 20/03/2010, - família: J-C de Vaugiraud (Miclel Bur, La formation du comté de Champagne, p.142) ) 20/03/2010,

380.623.234: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Louis Halphen, René Poupardin, Chroniques des comtes d'Anjou et des seigneurs d'Amboise, 1913, P. 313) 2 ii 2011 - família: J-C de Vaugiraud (Louis Halphen, René Poupardin, Chroniques des comtes d'Anjou et des seigneurs d'Amboise, 1913, P. 313) 2 ii 2011

380.623.235: Adela "A manuscript genealogy, dated to the early 12th century, records "Letaldus comes Vesoncius et Umbertus comes Marisconensis fratres", adding "ex Umberto, Adala comitissa"[Halphen & Poupardin (1913), Genealogiæ comitum Andegavensium, V, p. 249. ]. m ---. The name of Adela's husband is not known. Adela & her husband had one child: Wandalmodis" J-C de Vaugiraud (Medival genealogy: Sires de Salins: Macon) 4 ii 2013

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Louis Halphen, René Poupardin, Chroniques des comtes d'Anjou et des seigneurs d'Amboise, 1913, P. 313) 2 ii 2011 - família: J-C de Vaugiraud (Louis Halphen, René Poupardin, Chroniques des comtes d'Anjou et des seigneurs d'Amboise, 1913, P. 313) 2 ii 2011

380.623.240: Attention - Au 3 ii 2013, Roglo lui donnait pour épouse: Adèle de Salins ! Jai coupé cette union et ascendance, très douteuse. (J-C de Vaugiraud) - Au 3 ii 2013, Roglo lui donnait à tort pour fille: Wandelmodis N (non citée par P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-1780 dans la famille de Tonnerre). A ma connaissance aucum chercheur n'a pu identifier le père de Wandelmodis, qui n'est certainement pas un Milonide. Jai donc coupé ce lien ! (J-C de Vaugiraud) Repères chronologiques "Achète Dannemoine en 943. épouse Adèle fille d'Aubri." J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779-1780) 4 ii 2013 GUY de Tonnerre ([935/60]-). His parentage is confirmed by the charter dated 29 Sep 1046 in which Milo [V] Comte de Tonnerre names some of his paternal ancestors “Milo atavus meus…Wuydo proavus meus…Milo pater meus…” (see further details below)[3231]. The difficulty with this is the absence of "abavus" and “avus” from the series of ancestors. Bouchard suggests that the charter should be interpreted as indicating that Guy was the son of Milon [II][3232]. This is probably correct, as shown by the following assessment of the chronology of the family. It is assumed that Milon [II] is identified as the “atavus” because of his mention in the document as founder of the monastery. It is likely that Milon [II] died during the 980s, as shown above, which would place his birth within the wide range of [910/40]. If this is correct, and if the birth date range of Milon [V] is correctly estimated as shown below, Milon [V] would most likely have been in the fourth succeeding generation, and therefore the great-grandson of Milon [II]. The chronology therefore indicates that neither “atavus” nor “proavus” should be -5864- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas interpreted in this document with their traditional meanings of great-great-great grandfather and great grandfather. m ---. The name of Guy's wife is not known. Guy & his wife had one child. [3231] Yonne, Tome I, XCIV, p. 180. [3232] Bouchard (1987), p. 369. Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779- 1780) 4 ii 2013, J-P.de Palmas (FMG) 12 xii 2015 - família: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779- 1780) 4 ii 2013

380.623.241: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779- 1780) 4 ii 2013 - família: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779- 1780) 4 ii 2013

380.623.241b: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P. 1779- 1780) 4 ii 2013

380.623.872: Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009

380.623.873: Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009

380.624.144: LIETAUD (-[1050] or after). His parentage is confirmed by the charter dated 26 May 1028 under which Francon Bishop of Paris agreed with "Albericum illius supradicti Gosfredi filium et heredum", concerning a prior grant by the bishop's predecessor to "Gosfrido comiti Landonensi castri", with the approval of "fratribus ipsius Alberici, filiis Hugonis Pertice…Gosfredo et Letoldo"[1857].

[1857] Devaux 'Etude chronologique des comtes de Gâtinais' (1885), pp. 81-2, and Paris Notre-Dame, Tome I, p. 326.

Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Hélène Menu) 26 vii 2011, J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012 - família: J-M.Thiebaud (base Hélène Menu) 26 vii 2011

380.624.145: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Hélène Menu) 26 vii 2011 - família: J-M.Thiebaud (base Hélène Menu) 26 vii 2011

380.624.160: Other name : Eberhard

Fonts: -5865- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - persona: Renaud de Paysac, Maxim Olenev [email protected] - defunció: http://geneweb.inria.fr/chalard?i=4610 - família: Renaud de Paysac, Maxim Olenev [email protected]

380.624.161: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Geneanet) 21 xii 2016 - família: Renaud de Paysac, Maxim Olenev [email protected]

380.624.161a: Erard II, fils aîné d'Erard Ier, mort un 16 septembre après 1105, devient comte de Breteuil, mais perd cette dignité en 1073. Il entra ensuite dans les ordres en 1077 et devient moine à l'abbaye Saint-Martin de Turenne (Marmoutier). En 1105, il fit le pèlerinage à Jérusalem.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Maison de Breteuil) ix2009

380.624.161b: ADELAIS du Puiset [de Breteuil], daughter of ERARD [I] Comte de Breteuil, Vicomte de Chartres & his wife Humberge ---. Orderic Vitalis records that, after the death of his first wife, “Rogerius [de Monte-Gomerici]” married secondly “Adelaisam Ebrardi de Pusaciofiliam”, by whom he had “unumfiliumEbrarduminter regales capellanos usque hodiein aula Guillelmi et Henrici, Angliæ regum” for about 26 years[495].

[495] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber V, XIII, p. 412.

Fonts: - persona: Renaud de Paysac, P Ract Madoux (comte de Semallé: "Le Saosnois". Mamers.1932) 30 xi 2004, H.R.Moser/EuSt-III.4/659, J-P.de Palmas (FMG) 22 vi 2016 - família: P Ract Madoux (comte de Semallé: "Le Saosnois". Mamers.1932) 30 xi 2004, J-P de Palmas (wikipedia) 4 v 2011

380.624.161d: VALERAN [I] de Breteuil, son of ERARD [I] Comte de Breteuil, Vicomte de Chartres & his wife Humberge --- (-after 25 Feb 1084). Seigneur de Breteuil. Co-seigneur de Creil. His parentage is confirmed by the charter dated 1077 under which "Waleranni…possessor in Francia castri…Bretulii" granted property for the love of "germanique mei fratris Ebrardi" who recently became a monk at Saint-Martin de Turenne, witnessed by "Ursione vicedomino Belvacensi et possessore Girbereici castri, Elia cognato eius…"[803].

m ---. The name of Valéran's wife is not known.

Valeran [I] & his wife had three children.

[803] Marmoutier-Dunois XXXIX, p. 36.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017 - família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017

-5866- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 380.624.161e: Fonts: - persona: Maxim Olenev [email protected]

380.624.164: Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 01viii2008) - família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

380.624.165: Fonts: - família: J-P.de Palmas (Famille d'Etampes) 1 ii 2012

380.624.165b: Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 01viii2008) - família: N de Meyrignac (base aurejac, 01viii2008)

380.626.032: GAUCHER [II] de Salins, son of HUMBERT [II] Sire des Salins & his wife Eremburge --- . "Vualcherius miles de Salinis" confirmed donations of "Humberto patri suo" by undated charter, dated to after 1039, in the presence of "Hugo archiepiscopus, frater Vualcherii…"[260]. Sire de Salins.

m (before 1044) as her second husband, AREMBURGE, widow of ---, daughter of ---. "Aremburgis uxor Vualcherii de Salins" made a donation to Cluny dated [1087], signed by "Vuilelmi filii sui, Arberti filius eius"[261], providing the only indication that she must have been married before marrying Gaucher, as well as "Vualterii filii eius" the latter presumably referring to her son by Gaucher.

[260] Romainmotier, p. 445.

[261] Cluny, Tome IV, 3629, p. 796.

Fonts: - persona: données de Pierre Bruger ( pbruger ), J-C de Vaugiraud (ES III-3, T. 439) 3 ii 2011, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25 ii 2011 - família: données de Pierre Bruger ( pbruger ), Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Patrick Déret) 17 vii 2009

380.626.033: AREMBURGE, widow of ---, daughter of ---. "Aremburgis uxor Vualcherii de Salins" made a donation to Cluny dated [1087], signed by "Vuilelmi filii sui, Arberti filius eius"[261], providing the only indication that she must have been married before marrying Gaucher, as well as "Vualterii filii eius" the latter presumably referring to her son by Gaucher.

[261] Cluny, Tome IV, 3629, p. 796.

Fonts: - persona: données de Pierre Bruger ( pbruger ), J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25 ii 2011 - família: données de Pierre Bruger ( pbruger ), Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Patrick Déret) 17 vii 2009

-5867- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 380.626.322: Fonts: - persona: J-P de Palmas (La famille de Traves) v-2009

380.626.432: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009

380.626.433: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Pierre Masson) 03 viii 2009

380.626.560: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Anselme II p.164) 2005

380.626.624: Celui-ci serait a l'origine de la plus ancienne famille de France, celle de Montaynard, selon la filiation prouvée - elle sévit de nos jours.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet) - família: F-L. Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)

380.626.625: Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet) - família: F-L. Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)

380.626.656: Succéda à son père vers 960

Fonts: - persona: E.Visseaux/P.Pluchot - família 1: E.Visseaux/P.Pluchot

380.626.657: Fonts: - persona: E.Visseaux/P.Pluchot - família: E.Visseaux/P.Pluchot

380.626.657b: Fonts: - persona: E.Visseaux/P.Pluchot

380.626.657c: Mort sans postérité.

Fonts: - persona: E.Visseaux/P.Pluchot

380.626.657d:

-5868- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: E.Visseaux/P.Pluchot

380.626.866: Onomastics suggest a close family connection between the family of Bruno, founder of Brunswick, and the Billung family. A hypothesis which explains this relationship is shown below but there is no proof that it is correct.

BRUNO, son of [EKBERT "der Einäugige Graf im Hastfalagau] & his wife --- ([975/85]-murdered near Niedorp[9] [1010/11][10]). There is no proof that Bruno von Braunschweig was the son of Ekbert "der Einäugige" but this appears probable in view of the names which are common to the two families and also the common references to the Derlingau. Bruno is shown in Europäische Stammtafeln as the brother of Wichmann [III] Graf im Duffelgau and Ekbert Graf im Derlingau, while another table shows Wichmann [III] as son of Ekbert[11]. His birth date range is estimated from his estimated marriage date. The estimated birth date ranges of both Wichmann [III] and Bruno are consistent with their having been brothers. Bruno founded Braunschweig. He was a candidate for the German throne in 1002[12] in opposition to Heinrich IV Duke of Bavaria, who was elected as Heinrich II King of Germany.

m ([1003/05]) as her first husband, GISELA of Swabia, daughter of HERMANN II Duke of Swabia & his wife Gerberga of Upper Burgundy (11 Nov 990-Goslar 16 Feb 1043, bur Speyer Cathedral). The Annalista Saxo names her three husbands, although the order of her first and second marriages is interchanged which appears impossible chronologically[13]. The necrology of Fulda records the death "1043 16 Kal Mar" of "Gisela imp"[14]. She married secondly ([1014]) Ernst Duke of Swabia [Babenberg] and thirdly Konrad II Herzog von Franken, who succeeded in 1024 as Konrad II King of Germany, and was crowned as Emperor Konrad I in 1027.

Bruno & his wife had [two] children.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 18 x 2016 - família: J-P.de Palmas (Geni.com) 18 x 2016

380.626.880: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud ( - Ben Verfurden - http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=bverfn&lang=nl;pz=bernardus+hendrikus;n z=verfurden;ocz=1;p=n.n.+herbertsdr;n=woirt+ter ) 24 ii 2016 - família: J-M.Thiebaud ( - Ben Verfurden - http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=bverfn&lang=nl;pz=bernardus+hendrikus;n z=verfurden;ocz=1;p=n.n.+herbertsdr;n=woirt+ter ) 24 ii 2016

380.626.881: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud ( - Ben Verfurden - http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=bverfn&lang=nl;pz=bernardus+hendrikus;n z=verfurden;ocz=1;p=n.n.+herbertsdr;n=woirt+ter ) 24 ii 2016 - família: J-M.Thiebaud ( - Ben Verfurden - http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=bverfn&lang=nl;pz=bernardus+hendrikus;n z=verfurden;ocz=1;p=n.n.+herbertsdr;n=woirt+ter ) 24 ii 2016

380.626.888: -5869- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Pierre Bruger) 05 viii 2009, R.Dewkinandan> WW-2 - família 1: J-B de La Grandière ( E.S.S t 1-1 ( refonte de 1998) Souabe pp 7 à 9 revu par Viktor Klostermann) 1 ix 2009 - família 2: R.Dewkinandan> WW-2

380.626.889: A ce stade l'imbroglio figurant dans la base "roglo" (mélange des générations, des dates, des noms) interdit toute tentative raisonnable à vouloir y mettre bon ordre Il suffit de savoir que Judith était fille de Conrad II duc de Souabe et de Regilint qui était fille de Liudolph, duc de Souabe et de Ida de Souabe. Liudolf était fils du grand empereur Othon (+ 973) et d'Edgith d'Angleterre. Les marais dans lesquels nous ont dirigès pas mal de collègues bien intentionnés sont tellement mouvants qu'il faudrait tout liquider "au karcher" pour avoir une chance de bien refaire ces lignées.. Je m'interdis d'y remettre les pieds JB de La Grandière 1/9/2009 Fondatrice du Monastère de Saint-Quirin. Préciser de nom du père : divergeance entre R.Dewkinandan> WW-2 et Auréjac ; Frebault ne donne pas les parents.

Fonts: - persona: J-B de La Grandière ( E.S.S t 1-1 ( refonte de 1998) Souabe pp 7 à 9 revu par Viktor Klostermann) 1 ix 2009 - família: J-B de La Grandière ( E.S.S t 1-1 ( refonte de 1998) Souabe pp 7 à 9 revu par Viktor Klostermann) 1 ix 2009

380.626.889-2a: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 - família: R.Dewkinandan> WW-2

380.626.889-2b: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 - família: o guionneau

380.626.889-2c: Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

380.626.920: Fonts: - persona: G.KEPEKLIAN (25 iv 2006 http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~jamesdow/) - naixement: T.Blanchet (http://www.celtic-casimir.com/webtree/) - defunció: T.Blanchet (http://www.celtic-casimir.com/webtree/) - família: G.KEPEKLIAN (25 iv 2006 http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~jamesdow/)

380.626.921: Fonts: - família: G.KEPEKLIAN (25 iv 2006 http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~jamesdow/)

380.626.922:

-5870- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: M.Rérolle (Frebault) 11/11/06, Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard).29 vii 2009 - família: N. Danican (l'Art de vérifier les dates) 25 iv 2005, M.Rérolle (Auréjac & Frebault) 11/11/06, J-M.Thiebaud Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard) 27 vii 2009

380.626.923: Fonts: - persona: M.Rérolle (Frebault) 11/11/06, Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard).29 vii 2009 - família: N. Danican (l'Art de vérifier les dates) 25 iv 2005, M.Rérolle (Auréjac & Frebault) 11/11/06, J-M.Thiebaud Europäische Stammtafeln I-2 226 Die Grafen von Pfirt, die Grafen von Lützelburg und die Grafen von Mömpelgard (Montbéliard) 27 vii 2009

380.626.923a: Fonts: - família 1: F de Bernis (Base Dmichaud) 1 v 09 - família 2: O.Guionneau (wikipedia; 11 II 11)

380.626.923b: Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Josiane Dubois) 20 vii 2009 - família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Josiane Dubois) 20 vii 2009

380.626.923c: Après le décès aussi rapide que suspect du pape Damase II, le jeune empereur d'Allemagne, Henri III, devait trouver un pape apte à réformer l'Eglise. Il fixa son choix sur Brunon, évêque de Toul. Brunon n'accepta la charge qu'à la condition d'être vraiment élu par les Romains et non imposé par l'empereur. Aussi se présenta-t-il devant Rome en habit de pénitent, nu-pieds. Les Romains, habitués à voir les ambitieux se disputer la tiare, furent conquis et allèrent à la rencontre du nouveau pape.

A peine élu, Léon IX prit son bâton de pélerin et s'en fut parcourir l'Europe. Il voulait être présent partout, assister à tous les synodes, encourager tous les abbés réformateurs, enrayer la simonie des évêques, enfin montrer au peuple ce que pouvait être un bon pape. Nul pontife n'avait autant voyagé, il faudra attendre neuf siècles pour voir Jean-Paul II lui ravir son record.

Les épreuves ne lui manquèrent pas. Les Normands accentuaient leur pression dans le sud de la Péninsule et firent prisonnier Léon IX à Bénévent. Lorsqu'enfin libéré, il put entrer à Rome, les Normands avaient fondé un nouveau royaume qui reconnaîtra bientôt le pape comme suzerain. Léon IX ne survivra qu'un mois à sa libération, il s'éteignit à Rome où on l'honora aussitôt comme un saint.

Son pontificat allait voir le dénouement pénible, quelques semaines après sa mort, du Schisme d'Orient et la rupture définitive avec Constantinople. Depuis longtemps, l'Eglise d'Orient s'éloignait progressivement de Rome et le point de rupture arriva au moment où l'Eglise d'Occident était représentée par une personnalité qui incarnait précisément la sainteté et la grandeur de la papauté.

-5871- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas (Notes de C.Chéneaux : Jean Mathieu-Rosay, historien de la papauté)

Fonts: - persona: C.Chéneaux (Jean Mathieu-Rosay, historien de la papauté), N. Danican (l'Art de vérifier les dates) 25iv05 ; Portrait: source A.Marchand par A.B. 6.05.05

380.626.923e: Fonts: - persona: M.Rérolle (Auréjac & Frebault) 11/11/06 - família: M.Rérolle (Auréjac & Frebault) 11/11/06

380.626.923f: Fonts: - família: H.R.Moser/EuSt-VIII/131, J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015

380.626.923g: Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet aurejac)

380.627.456: A suivre avec "Montréal à sire de Chastellux", publié en 2013, qui rectifie bon nombre de données généalogiques dont on a tenu compte dans l'alignement de la famille de Montréal sur la base. JB de La Grandière 19/12/2014 La "source wkipédia" créé et mentionnée par un collègue, devrait être corrigée.. Il y est question "de la famille des Anséric qui furent seigneurs de Montréal" .

L'intitulé de l'article wiki induit en erreur : Anséric n'est pas un patronyme mais un prénom ; parmi les seigneurs de Montréal (Yonne) on compte bien d'autres prénoms qu'Anséric.bien que ce dernier fusse "lignager".

Vivant au X° siècle. Fondateur du prieuré de Montréal

Les Anséric furent les seigneurs de Montréal (bourg fortifié proche d'Avallon) du XIe siècle au XIIIe siècle.

Cette puissante famille, vassale des ducs de Bourgogne et des comtes de Champagne, compta parmi ses membres deux sénéchaux de Bourgogne. Elle possédait de nombreuses terres, tant en Bourgogne qu'en Champagne. On doit à Anséric II la construction de la collégiale de Montréal. Anséric III épousa Sybille, nièce du duc de Bourgogne. Le dernier Anséric, devenu seigneur pillard, fut dépossédé de ses biens par le duc de Bourgogne en 1255 et enfermé dans la forteresse de Châtel-Gérard.

Montréal est déjà une seigneurie importante lorsqu'apparaît vers la fin du XIe siècle le premier Anséric, d'une famille champenoise originaire de Chacenay et apparentée aux sires de Noyers. Mais le bourg a été pillé par les Normands et assiégé plusieurs fois par le comte de Nevers, Landry, au début du XIe siècle. En effet, par son emplacement aux limites du duché de Bourgogne et des comtés de Champagne et de Nevers, par la configuration naturelle de son site, Montréal suscite la convoitise et les assauts de ses puissants voisins.

Les premiers Anséric relèvent la petite cité de ses ruines, favorisent son -5872- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas développement en encourageant le commerce et en l'entourant de remparts. Ils se constituent une seigneurie dans l'Avallonnais et le Tonnerrois. Vassaux des ducs de Bourgogne, ils dépendent également des comtes de Champagne pour certaines de leurs terres. Par un habile jeu politique, ils s'attirent ainsi les bonnes grâces des uns et des autres. SEIGNEURIE DE MONTRÉAL-EN-AUXOIS Par M. Ernest PETIT. PREMIÈRE PARTIE. CHAPITRE I. Coup d'oeil sur les Pays qui relevaient Jadis De Montréal. SOUVENIRS QUI S'Y RATTACHENT. Le bourg de Montréal est situé à l'intersection de la rivière du Serain et de la route d'Aisy à Avallon. Cette route offre dans certains endroits de son parcours d'assez gracieux paysages : dans les vallons d'Aisy, d'Anstrude, on trouve de l'eau, des prés, des bois, des vignes, des peupliers, toutes choses qui vues ensemble présentent un coup d'œil agréable. En traversant les territoires de Vassy cl de Sanligny, les sites deviennent plus monotones ; d'un côté, ce sont de vastes champs labourés; de l'autre, des forêts immenses qui bornent l'horizon sans y ajouter rien de pittoresque. Mais lorsqu'en quittant Santigny, on arrive au sommet de la colline où est situé le vieux château de Monthelon, la vue se repose sur un spectacle d'autant plus surprenant qu'il est plus inattendu et qu'il contraste avec la monotonie des pays que l'on vient de parcourir. A des contrées montagneuses succède une immense plaine dont on ne peut distinguer les limites : c'est la riche et fertile vallée d'Epoisses ; le Serain y trace son sinueux parcours, marque son passage par un vert ruban de peupliers et se glisse à droite derrière le côteau pour disparaître vers l'Isle où il change de direction. Mille ruisseaux et ruisselets viennent se jeter dans la rivière et fertilisent la prairie en l'assainissant; ce sont les ruisseaux de Corombles, Perrigny, Vignes, Beauvais, Ségrin, Maison-Dieu, Etrée, Roseray, Tréviselot, Saint-Martin, et enfin celui de la Planchette qui servait autrefois de limite entre la Bourgogne et la Champagne. Pour avoir une idée de l'ensemble du pays, le lecteur voudra bien se transporter avec nous sur l'une des tours en ruines de Monthelon.

Château de Monthelon.

De la hauteur sur laquelle nous sommes parvenus, nous sommes éblouis par le

-5873- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas brillant et vaste tableau qui se développe à nos regards : d'ici, nous pouvons compter plus de cinquante villages, témoins incontestables de la richesse proverbiale dn territoire, et plusieurs châteaux auxquels les événements et les noms historiques ont laissé une couronne de souvenirs : c'est Epoisses, ancienne résidence royale sous les rois de la première race, Epoisses, qui depuis son origine a vu passer sous ses murs une suite non interrompue de grands hommes et de puissants seigneurs; c'est là qne résidait le chancelier Hugonet, ministre infortuné que sa fin tragique a rendu si intéressant dans l'histoire; c'est par les fenêtres de ce château que se sont envolées quelques lettres de cette immortelle marquise qui a nom Madame de Sévigné. Les ruines de Beauvoir vous rappellent le nom illustre des Beauvoir-Chastellux, auxquels ce castel servit de berceau. Voici Guillon, célèbre par son fameux traité entre le duc de Bourgogne et le roi d'Angleterre Edouard III (1360). Au milieu d'un parc immense et de futaies séculaires, voyez- vous dominer les tours de Ragny, siège autrefois d'un puissant marquisat? Devant nous apparaît Montréal, théâtralement placé sur le sommet d'un mamelon dont les flancs, couverts de vignes, s'inclinent en pente raide du côté de la rivière. Plus près, vous apercevez Sainl-Ayeul, ancien ermitage pittoresquement situé sur le penchant d'une colline ; Thisy, vieux castel des abbés de Moûtier-Saint-Jean, Perrigny, Trévilly, Courterolles, Sceaux, Cisery, Saint-André, Tronçois; dans celte gorge étroite, vous distinguez Chérisy, Angely, Pancy et là-bas L'Isle disparaît noyé dans un massif de hautes futaies. Admirez à l'ouest la gracieuse situation d'Origny, Coutarnoux, Sainte-Colombe; à l'est, vous pouvez avec une longue-vue découvrir la flèche des clochers de Roiivray, de la Roche-en-Brenil, et à une dizaine de lieues de là les montagnes boisées du Morvand qui paraissent se confondre avec l'azur de l'horizon.

Construite à la fin du XIe et au commencemen t du XIIe siècle par Anseric III au retour de la 2e croisade préchée à Vézelay, l'église de Montréal est, selon Viollet le Duc, " un véritable bijou architectural ". Cependant Montréal joue dans ce tableau le rôle principal ; Montréal, avec sa belle église collégiale, avec les débris de ses fortifications tapissées de lierre, offre presque un coup-d'œil moyen-âgeux : mais si nous jetons un regard en arrière de cent années seulement, les hautes tours de son vieux château-fort, noirci par le temps, produiraient sur notre imagination un effet saisissant et magique. La vieille ville a bien dégénéré depuis les guerres désastreuses qui ont accéléré sa chute ; le temps n'est plus où, fière de ses franchises et de ses privilèges, elle pouvait lever des soldats, défendre ses murailles assiégées et prêter des subsides aux ducs de Bourgogne : depuis longtemps, elle a laissé ternir son blason, comme un vain hochet peu en harmonie avec sa pauvreté actuelle ; les habitants du modeste village qui représente l'ancienne ville n'ont conservé que le souvenir des malheurs de leurs ancêtres.

-5874- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas C'est que Montréal fut éprouvé par de nombreux assauts ; la situation avantageuse de cette petite ville, frontière de Bourgogne du côté de la Champagne, fut souvent un point de ralliement pour les partis ennemis ; aussi lui voyons-nous toujours jouer un rôle important aux époques les plus orageuses de notre histoire; c'est ce qui prête à ses annales un si vif intérêt. Les contrées que nous avons sous les yeux ont été, comme Montréal, maintes fois ravagées par les fléaux et la guerre; la disparition de plusieurs villages habités témoigne des vicissitudes que les hommes et les choses ont subies sur les bords du Serain, aujourd'hui si paisibles. Vous chercheriez en vain Ancy, Froideville, Varennes, Cappes, Chaumot, La Rue, Gros- Bois, les châteaux de Monlille, des Bordes et les hameaux qui en dépendaient; une simple ferme représente l'ancien village de Chérisy et rappelle une église depuis longtemps détruite; le fief de Monthelon, qui comptait une population assez importante, agglomérée autour du vieux manoir, ne se compose plus que de quelques masures à peine habitables, et si vous alliez visiter l'ancien emplacement du château de Cannes, près Thalecy, on ne pourrait vous donner aucune indication sur le grand événement qui dut amener la ruine de cette forteresse des premiers âges féodaux ; la tradition ne nous a conservé que son nom. On peut, en quelques mots, résumer les faits principaux qui se rattachent à l'histoire de la ville et du château de Montréal. S'il en faut croire Courtépée, la reine Brunehaut et son pelit- fils Thierry y résidèrent au vie siècle ; trois cents ans plus tard, suivant le même auteur qui s'en rapporte à un vieux manuscrit, la forteresse fut prise, pillée par les Normands et reconstruite ensuite par les Anséric. Landry, comte de Nevers, vint l'assiéger à plusieurs reprises pendant les guerres du roi Robert, c'est-à-dire vers 1005 environ, sans pouvoir s'en emparer. Vers la même époque, les sires de Montréal fondent le prieuré de Saint-Bernard, et en 1068 le Chapitre de cette ville.

Après la croisade de 1147, qui suivit la fameuse prédication de saint Bernard à Vézelay, Anséric fit bâtir au retour de cette expédition la curieuse église que l'on admire encore aujourd'hui.

La puissante maison de Montréal, après avoir joué un rôle des plus brillants en Bourgogne pendant près de trois siècles, est dépossédée, en 1255, par la mauvaise conduite de l'un de ses membres. Anséric X, dernier du nom, ayant par ses forfaits attiré sur lui la colère du roi saint Louis, le duc de Bourgogne reçut ordre de s'emparer de sa seigneurie et de son château de Montréal.

Cette famille ne périt pas tout entière avec le dernier des Anséric ; elle ne perdit que son nom. La maison de Beauvoir n'est qu'une branche distincte de celle des Montréal, et c'est d'elle que descendent les illustres Beauvoir-Chastellux qui laissèrent leur titre de Beauvoir pour ne garder que celui de Chastellux, dont ils possédaient le château.

Les domaines importants de Montréal furent donnés, par le testament de Hugues IV, à Hugues de Bourgogne fils de ce dernier : ce Hugues est connu dans l'histoire sous le nom de Huguenin de Montréal.

Béatrix de Bourgogne, fille de celui-ci, étant morte sans héritiers, le duc Robert éloigna les puissants et nombreux prétendants à cette succession et annexa cette terre à ses Etats avec défense expresse à ses successeurs de jamais s'en défaire.

Dès lors, Montréal devint une résidence favorite des ducs, qui venaient souvent y passer une partie de la belle saison.

C'est dans ce château que fut signé, en 13i8, un grand traité d'alliance entre Ame, comte de Savoie, et Eudes IV, duc de Bourgogne.

-5875- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas La ville fut ravagée par les Anglais commandés par Edouard III; une partie des habitants fut massacrée; l'autre eut fort à souffrir du voisinage des ennemis tant qu'ils restirenl aux environs et que l'on parlementa pour le traité de Guillon(l360).

Trois ans plus tard, Montréal devint, comme tant d'autres \illes de Bourgogne, la proie des Grandes Compagnies. Un capitaine breton, qui logeait à Arcy, parvint à s'en emparer le jour de la Pentecôte 1363.

En 1404, le duc Jean-sans-Peur, sur les représentations des Elus de la province, y publia l'ordonnance qui permettait ù ses sujets l'exportation des grains.

La première partie si agitée du xv« siècle eut un grand retentissement à Montréal ; successivement prise et reprise, la ville voyait à chaque assaut sa population décimée : tantôt les habitants couraient faire le guet et garde aux murailles à la vue des chaperons blancs d'Armagnac ; tantôt on avait à craindre les robes courtes et les hoquetons de cuir des Bourguignons eux-mêmes, qui, organisés en compagnies d'écor- cheurs, ravageaient impunément les campagnes.

Après le siège de Cravan (1423), les Armagnacs s'emparèrent de la ville et y restèrent quelque temps « logiez à puissance. » Les Écorcheurs s'en emparèrent en 1441 et y firent de grands dégâts.

Montréal élait désigné autrefois pour le passage des troupes d'Avallon à Montbard, et épargnait trois lieues et une couchée. On y fit plusieurs grandes revues au xv siècle, et notamment en 1431 et en 1433, où les gendarmes allèrent avec le duc Philippe-lc-Bon au siège do la ville d'Avallon.

En 1477, « la dicte place de Mont-Réal resta en l'obéissance du duc d'Austriche, depuis le 13 mars jusqu'au mois d'apvril en suyvant, qui est ung mois et demy. »

Le roi François 1er y tint ses Etats et donna aux habitants une confirmation de leur charte d'affranchissement et de leurs privilèges (1529). Les armoiries de la ville rappellent le souvenir de ces bienfaits ; la salamandre, la devise du roi, y est représentée.

La ville tomba au pouvoir des ligueurs en 1590, pendant l'absence de François de La Magdelaine, seigneur de Ragoy, qui en était gouverneur, mais la dame de Ragny parvint à s'en emparer par surprise.

C'était l'une des rares places de Bourgogne dont la fidélité était assurée à Henri IV ; le bailliage d'Avallon y fut quelque temps transféré pendant la Ligue ; les habitants d'Avallon et de Montréal étaient alors sans cesse en lutte les uns contre les autres, et, malgré plusieurs traités fort mal observés, de dures escarmouches et de fréquentes sorties tuaient de part et d'autre quantité de soldats et nécessitaient toujours de nouvelles représailles.

La chàtellenie de Montréal fut incorporée à la terre de Kîgny, érigée en marquisat en faveur de François de La Magdelaine (1o97). Ce fut pour Montréal un arrêt de mort et, malgré l'adjonction de la chàtellenie de Guillon en 1723, la ville n'a fait depuis lors que diminuer d'importance : la Révolution lui a porté le dernier coup en lui enlevant son titre de chàtellenie; on ne lui a même point laissé l'honneur d'être un chef-lieu de canton, honneur qu'on aurait bien du lui accorder ; ses souvenirs historiques et sa position commerciale devaient assurément lui donner le pas sur Guillon ; peut-êlre a-t-on voulu éviter le voisinage de l'Isle qui est aussi chef-lieu de -5876- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas canton.

Toutefois, s'il l'on a enlevé à Montréal son importance administrative, on n'a pu lui ravir son importance ecclésiastique et, par une exception qui n'a que deux exemples dans le département, Montréal est le chef-lieu du doyenné du canton de Guillon ; on ne pouvait enlever cet honneur à une ville qui renferme une église aussi curieuse et qui possédait autrefois dans son sein plusieurs établissements monastiques.

A SUIVRE

Ernest Petit, « Seigneurie de Montréal-en-Auxois », dans Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Année 1865, 19ème volume

Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006, J-P de Palmas (wikipedia et extrait Seigneurie de Montréal par E.Petit) ix2009 - família: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006

380.627.457: Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006 - família: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006

380.627.458: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de Montréal à Chastellux", qui corrige et complémente..la famille de Vendeuvre, p. 42, mai 2013) 15 vi 2014

380.627.459b: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de Montréal à Chastellux", qui corrige et complémente..la famille de Vendeuvre, p. 42, mai 2013) 15 vi 2014 - família: JB.de La Grandiere ( E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de Montréal à Chastellux", qui corrige et complémente..la famille de Vendeuvre, p. 42, mai 2013 ) 15 vi 2014

380.627.552: Fonts: - persona: H.deRiberolles (Remacle) - família: JB.de La Grandiere (Christian Lauranson-Rosaz L'Auvergne du VIII° AU XI° siècle pp. 145/146 Le Puy-en-Velay 1987) 6 v 2015, H.deRiberolles (Remacle)

380.627.553: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (René de Beaumont " Noblesse et chevalerie en Charolais-Mâconnais" t. 2 -Jaligny- p 387 Mayenne 2012) 6 v 2015 - família: JB.de La Grandiere (Christian Lauranson-Rosaz L'Auvergne du VIII° AU XI° siècle pp. 145/146 Le Puy-en-Velay 1987) 6 v 2015, H.deRiberolles (Remacle)

380.731.908:  Fils probable de Bermond de Thézan et de Rame Nsuivant H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, -5877- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Versailles 2006

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Hubert de Vergnette de Lamotte : "Filiations Languedociennes" t.3 (Thézan) pp.310/320 Versailles 2006) 31 vii 2014 - família: JB.de La Grandiere (Hubert de Vergnette de Lamotte : "Filiations Languedociennes" t.3 (Thézan) pp.310/320 Versailles 2006) 31 vii 2014

380.797.064: Il était probablement marié, et est peut-être le père de Matfred, Hugues et Etienne, cités dans l'acte de fondation de Fons (Paris, BnF collection Doat, t126, f°34v). C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014, JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, - família: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014

380.797.065: Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014

380.797.065b: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014

380.797.065c: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014

380.797.065d: Il est cousin de l'évêque Etienne de Clermont

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 ..) 7 x 2014, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray sur Internet) 21ix2014 - família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

380.797.066: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015 - família: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

380.797.067: -5878- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - família: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

380.797.067b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 4i2015

380.817.152: Voir aussi Noël-Yves Tonnerre "La création des prieurés nantais de l'abbaye Saint- Serge d'Angers" in "Le prince, l'argent, les hommes au Moyen-âge", presses universitaires de Rennes.

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010 - família: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

380.817.153: Fonts: - família: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

380.817.153b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010 - família: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

381.159.424: Aymeric, coseigneur de Gourdon, seigneur de Castelnau-Montratier, reçoit le castellum et les alleux du Gourdonnais et de Saint-Amarand, comme legs de Raymond II, dans son testament en 961[1]. Ce comte de Rouergue, marié à Berthe d'Arles, fille de Boson d'Arles, comte d'Arles était-il son parent ? Gourdon et Saint- Amarand ne sont en rien des arrière-fiefs que l'on donne à un proche serviteur.

Références ↑ Annales du Midi: revue archéologique, historique, et philologique de la France méridionale, Par Université de Toulouse, Publié par E. Privat, 1990, v.102 no.189- 192, p70.

Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia) vii2009 - família: J-L. Dega

381.159.425: Fonts: - família: J-L. Dega

381.159.488: attesté en 1045 et 1064

Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014 - família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

381.159.489: Fonts: - família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014 -5879- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 381.159.489b: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014 - família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

381.159.489c: Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014 - família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

381.161.538: Photo : château fort de Salignac (XIIème siècle), sur la commune de Salignac- Eyvigues (Dordogne). Source :( "Franzwa" sur Wikimedia Commons, aôut 2005, sous licence domaine public )

La famille de Salignac (ou de Salagnac) apparaît à la fin du Xe siècle avec Geoffroi de Salignac, né vers 980, qui possédait la châtellenie de Salignac, des fiefs dans le Quercy et les vicomtés de Turenne et de Gimel.

L'origine de la famille de Salignac pourrait être une branche cadette des vicomtes de Turenne de la famille de Comborn.

Bertrand de Salignac n'ayant eu que des filles de ses deux mariages, la seigneurie de Salignac passa à la famille de Gontaut par le mariage, en 1545, de Jeanne de Salignac avec Armand de Gontaud, seigneur de Madaillan, qui a fondé la branche des Gontaut-Salagnac (ou Salignac).

Le château est passé au XVIe siècle aux Montmège et au XVIIIe siècle aux Noailles.

La château est racheté en 1912 par la famille Salignac-Fénelon et revendu un siècle plus tard.

voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Salignac

Fonts: - persona: R.Sekulovich (http://www.dupuis.nom.fr/genealogie/nms_1698.html) - família: H.deRiberolles(Base de Carné)

381.161.539: Fonts: - persona: H.deRiberolles(Base de Carné) - família: H.deRiberolles(Base de Carné)

381.161.539a: Fonts: - família: R.Sekulovich (M. Lainé, Généalogie de la Maison de Salignac-Fénelon, 1844 ) 13 ii 2010

381.162.496: Fonts: - família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.2006

381.162.497:

-5880- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - família: A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri Guilhamon)08.v.2006

381.186.180: vivant 1020-1028

Fonts: - persona: JB de La Grandière (A. Debord, La socièté laique dans les pays de la Charente XIe-XIIe siècle, pp 494-498, 1984) 10 iii 2010 - família: JB de La Grandière (A. Debord, La socièté laique dans les pays de la Charente XIe-XIIe siècle, pp 494-498, 1984) 10 iii 2010

381.186.181: Fonts: - família: JB de La Grandière (A. Debord, La socièté laique dans les pays de la Charente XIe-XIIe siècle, pp 494-498, 1984) 10 iii 2010

381.186.224: Fonts: - família: JB de La Grandière (Chantal Senseby "Peuplement et Société en Touraine Méridionale pp 660/671 -Faye- Paris 1996) 10 ix 2009

381.186.225: Fonts: - família: JB de La Grandière (Chantal Senseby "Peuplement et Société en Touraine Méridionale pp 660/671 -Faye- Paris 1996) 10 ix 2009

381.187.712: Girard 1er ou Gérold d'Auvergne dit de La Tour était le neveu d'Alfred et de Guillaume, duc d'Aquitaine.

Il fit des donations aux abbesses de Saulxillanges et de Brioude et à l'église Saint Maurice de Vienne. Dans la donation de 960 il est nommé avec son parent Girozel et sa femme Gausberge de Vienne.

Girard de La Tour succéda à son beau-frère, et quitta l'Auvergne pour venir s'établir dnas les vastes possessions de sa femme.

Il épousa Gausberge de Vienne, fille de Berlion, vicomte de Vienne et soeur de Rathburne, vicomte de Vienne.

Fonts: - persona: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)26.11.2017 - família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)26.11.2017

381.188.064: Guglielmo III degli Aleramici (970 – 1042) fu marchese del Monferrato.

Guglielmo III era figlio primogenito di Ottone. Egli è il terzo marchese con il nome Guglielmo, poiché i precedenti due personaggi (Guglielmo I e Guglielmo II) furono

-5881- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas rispettivamente il padre di Aleramo e il figlio di Aleramo.

Poco si sa di lui. Molti documenti di allora ne attestano l'intervento per la costruzione di un monastero presso Spigno. In un altro testo dell'epoca, redatto intorno al 1014, Guglielmo e il fratello Riprando donarono molti beni all'abbazia di Fruttuaria. Tra il 991 e il 1002 anche la chiesa di Acqui Terme ricevette alcune donazioni da parte dei marchesi. Guglielmo in tal modo perseguiva la politica religioso-familiare incominciata da Aleramo e che verrà portata avanti anche dai suoi successori.

Nei Miracula sancti Bononii si ricorda anche la moglie di Guglielmo, Waza, la quale, viene citata mentre è intenta a pregare sulla tomba di san Bononio, abate dei Santissimi Michele e Genuario di Lucedio.

Guglielmo abbandonò la politica filo imperiale della sua famiglia per intervenire nelle lotte comunali dell'Italia degli inizi dell'XI secolo: partecipò ad un'alleanza anti imperiale, cui aderirono anche Uberto il Rosso e Olderico Manfredi II di Torino, alla cui testa stava il vescovo Leone di Vercelli.

Tra gli alleati sembra nacquero però dei disgudi che li portarono a combattersi aspramente tra loro stessi. Leone attaccò Santhià, ove resiedeva Guglielmo il quale, per vendicarsi dell'attacco del vescovo, assediò Vercelli, che poi venne data alle fiamme. In un trattato di pace tra Guglielmo e Olderico Manfredi, venne concessa in moglie la figlia di questi Adelaide con il figlio di Guglielmo, Enrico.

Quando tutti gli alleati si furono appacificati con l'Impero, Guglielmo continuò a combattere ma le cose per lui si misero evidentemente male: Corrado II distrusse la sua fortezza in Valle Orba.

Guglielmo III morì nel 1042, probabilmente prima del 29 gennaio, quando Enrico, figlio di Guglielmo, lo cita in un atto in cui dona alcune terre alla chiesa di Torino.

http://it.wikipedia.org/wiki/Guglielmo_III_del_Monferrato

Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

381.188.065: Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

381.188.065a: Fonts: - persona: H.de Lagarde (Florence Humblot : Racine et Histoire - généalogie de la famille de Montferrat) 25 iii 2014 - família 1: H.de Lagarde (Florence Humblot : Racine et Histoire - généalogie de la famille de Montferrat) 25 iii 2014 - família 2: H.de Lagarde (Florence Humblot : Racine et Histoire - généalogie de la famille de Montferrat) 25 iii 2014, J-P.de Palmas (FMG) 23 iii 2017

381.188.080: ADALBERT ([990/994]-26 May 1055, bur Stift Melk). A list of names in the Verbrüderungsbuch of Reichenau abbey reads "Luitpold marches, Rihuuar, Iudita, Heinrich, Ernust, Poppo, Luitpold, Cunigurrt, Adalbr"[61], which appears to refer -5882- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas to Markgraf Liutpold, his wife and children. The primary sources are contradictory regarding the parentage of Markgraf Adalbert. The Auctarium Vindobonense names "Adalbertus tertius marchio Austria", but does not specify his relationship with his predecessor[62]. The Altahense Annales record the sudden death in 1018 of "Heinricus marchio Austria" and specify that he was succeeded by "Adalbertus filius eius"[63]. However, the Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines name "Ernesto duci Suevorum, fratri Alberti superioris Pannonis marchionis et archiepiscopi Treverensis Popponis"[64]. As shown above, Thietmar records both Ernst Duke of Swabia and Poppo Archbishop of Trier as sons of Markgraf Liutpold[65]. The necrology of Kloster Neuburg records the death "VII Kal Jun" of "Adalbertus marchio filius Heinrici marchionis"[66], apparently confirming the parentage set out in the Atahense Annales. On the other hand, the necrology of Melk records the death "XVI Kal Mar" of "Poppo archieps Treverensis fr Heinrici marchionis"[67]. On balance, more primary sources indicate that Adalbert was the son of Markgraf Liutpold rather than of Markgraf Heinrich. His estimated birth date range is based on the birth date range estimated for his older son, with the death of Markgraf Liutpold in 994 representing the later limit of this range on the assumption that Adalbert was his son. Just to confuse the question of Adalbert's parentage even further, it should be noted that this range would not be inconsistent with Adalbert having been the son of Markgraf Heinrich. Graf im Schweinach 1010. Graf im Künzig 1011. He succeeded his brother in 1018 as ADALBERT "der Siegreiche" Markgraf der Ostmark [of Austria]. The necrology of Salzburg St Rudpert records the death "VII Kal Jun" of "Adalpreht marchio"[68]. The necrology of Melk records the death "VII Kal Jun" of "Adalbertus marchio"[69]. m firstly (before [1020/25]) --- (-before 1041). Markgraf Adalbert's first marriage is deduced from the estimated birth date range of his older son Liutpold. The identity of this first wife of Markgraf Adalbert is unknown. She has been identified as Glismod ---, daughter of Immed Graf in Utrecht & his wife Adela [von Hamaland][70]. This is presumably based on the Annales Stadenses which name "Lippoldo filio domine Glismodis" as husband of "Ida [de Elsthorpe]"[71]. "Lippoldo" has been assumed to be Liutpold Margraf der Ungarischen Mark, son of Markgraf Adalbert, but this appears to be impossible if Ida von Elstorf had four children by her first husband[72]. The only definite information concerning Glismod's husband is found in the Vita Meinwerci which names "Thiedericum, Meinwercum, Glismod et Azelam" as children of Immed and Athela and specifies that Glismod married "nobilis principis in Baioaria"[73]. Another possibility is that her name was Adelheid. The necrology of Melk records the death "VII Kal Feb" of "Adalheida marchionissa ux Adalberti marchionis Austrie"[74]. At first sight, "Adalberti" has assumed to be an error for "Ernesti" as the latter's wife is the only known "marchionissa" of that name. However, the entry may alternatively refer to the otherwise unknown first wife of Markgraf Adalbert. The necrology of Kloster Neuburg also records the death "VII Kal Feb" of "Adelheidis marchionissa"[75] but does not name her husband. m secondly (shortly before 1041) FROIZZA [Frowila] Orseolo, daughter of PIETRO OTTONE Orseolo Doge of Venice & his wife [Grimelda or Maria] of Hungary ([1015]-17 Feb 1071, bur Melk). Herimannus refers to "sororis suæ [=Peterum regem]" as wife of "marchionem nostrum Adalbertum" when recording her marriage in 1041[76]. She is named in three imperial charters, although these are not consistent about the spelling of her name. "Heinricus…Romanorum imperator augustus" granted property "in circuitu duorum fluminum…Zaiouua" to "marchioni Adalberto et coniugi suæ (Froiza)" by charter dated 21 Apr 1048[77]. "Heinricus…Romanorum imperator augustus" granted property to "Adelberti marchionis [et] uxorique sue Froize" dated 12 Nov 1051"[78]. "Heinricus…rex" granted property "in locis Ortvvinesdorf et Pirchehe…in marcha Osterriche et in comitatu Ernestes marchionis" to "Frovvilæ Adeberti marchionis viduæ" by charter dated 1 Oct 1058[79]. The necrology of Melk records the death "XIII Kal Mar" of -5883- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas "Frouza marchionissa"[80]. The necrology of Kloster Neuburg records the death "XIII Kal Mar" of "Fruoza marchionissa"[81]. Markgraf Adalbert & his first wife had two children.

[61] Autenrioth, J. (1979) Das Verbrüderungsbuch der Abtei Reichenau (Hannover), p. 146, available at (31 Dec 2006).

[62] Auctarium Vindobonense 1042, MGH SS IX, p. 723.

[63] Ekkehardi, Altahense Annales 1018, MGH SS XVII, p. 364.

[64] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1024, MGH SS XXIII, p. 782.

[65] Thietmar 5.24, p. 222, and 7.26, p. 325.

[66] Monumenta Necrologica Claustroneoburgensis, Passau Necrologies (II), p. 3.

[67] Necrologium Mellicense Antiquissimum, Passau Necrologies (II), p. 522.

[68] Monumenta Necrologica S Rudperti Salisburgensis, Salzburg Necrologies, p. 91.

[69] Necrologium Mellicense Antiquissimum, Passau Necrologies (II), p. 522.

[70] ES I.1 84.

[71] Annales Stadenses 1112, MGH SS XVI, p. 319.

[72] Hucke, Richard G. (1956) Die Grafen von Stade 900-1144 (Stade), pp. 68-71, cited in Vajay 'Mathilde', p. 257.

[73] Vita Meinwerci Episcopi Paderbornensis 2, MGH SS XI, p. 108, footnote 10 quoting her death "Non Feb" in necrologium Abdinhofense.

[74] Necrologium Mellicense Antiquissimum, Passau Necrologies (II), p. 522.

[75] Monumenta Necrologica Claustroneoburgensis, Passau Necrologies (II), p. 3.

[76] Herimanni Augiensis Chronicon 1041, MHG SS V, p. 123.

[77] D H III 215, p. 287.

[78] D H III 278, p. 379.

[79] D H IV 40, p. 49.

[80] Necrologium Mellicense Antiqu issimum, Passau Necrologies (II), p. 522.

-5884- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [81] Monumenta Necrologica Claustroneoburgensis, Passau Necrologies (II), p. 3.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015 - família: J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015

381.188.081: Fonts: - persona: Euro.St. L.Orlandini, L.Orlandini - família: J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015

381.188.081a: LIUTPOLD ([1020/25]-Ingelheim 9 Dec 1043, bur Trier). Herimannus names "Adalberto marchione et filio eius Liutpaldo" when recording their jointly leading part of the army to the southern Danube area in 1042[82]. His birth date range is estimated on the assumption that he was a young adult or late adolescent at this time. He was installed as Markgraf der Ungarischen Mark in Dec 1043 at Ingelheim[83]. Herimannus records his installation as marchio, but also his death a few days later[84]. The Chronicon of Bernold records the death in 1043 of "Liutpaldus Adalberti marchionis filius" at Ingelheim after the marriage of Heinrich III King of Germany and Agnes de Poitou[85]. The necrology of Melk records the death "V Id Dec" of "Liupoldus fortis mil fil Alberti marchionis"[86].

The first husband of Ida von "Elstorf", daughter of Liudolf Markgraf in Friesland [Braunschweig] & his wife Gertrud von Egisheim, is identified as Liutpold Markgraf der Ungarischen Mark in Europäischen Stammtafeln[87]. Presumably this is based firstly on the Annales Stadenses which name "Lippoldo filio domine Glismodis" as husband of "Ida [de Elsthorpe]"[88], and secondly on the Vita Meinwerci which names "Thiedericum, Meinwercum, Glismod et Azelam" as children of Immed and Athela, specifying that Glismod married "nobilis principis in Baioaria"[89], although there is no evidence linking the second with the first. The fact that Ida von Elstorf had children by her first husband, if correct, also indicates that that this co-identity cannot be right[90]. She married secondly Dedo Graf von Dietmarschen, and thirdly Etheler Graf von Dietmarschen.

[82] Herimanni Augiensis Chronicon 1042, MHG SS V, p. 124.

[83] ES I.1 84.

[84] Herimanni Augiensis Chronicon 1043, MHG SS V, p. 124.

[85] Bernoldi Chronicon 1043, MGH SS V, p. 425.

[86] Necrologium Mellicense Antiquissimum, Passau Necrologies (II), p. 522.

[87] ES I.1 84.

[88] Annales Stadenses 1112, MGH SS XVI, p. 319.

[89] Vita Meinwerci Episcopi Paderbornensis 2, MGH SS XI, p. 108, footnote 10 quoting her death "Non Feb" in necrologium Abdinhofense.

[90] Hucke, Richard G. (1956) Die Grafen von Stade 900-1144 (Stade), pp. 68-71, -5885- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas cited in Vajay 'Mathilde', p. 257.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015 - família: J-P.de Palmas (FMG) 6 iii 2015

381.188.082: Fonts: - família 2: H.R.Moser ( EuSt-I.1/144 ) 20 x 2012

381.188.083: Fonts: - família 1: H.R.Moser ( EuSt-I.1/144 ) 26 xii 2012

381.188.083-1a: Fonts: - defunció: L. Gustavsson - família: H.R.Moser ( EuSt-I.1/1544 ) 26 xii 2012

381.539.328: Tige des comtes de Fezensac (Montesquiou).

Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005) - família: J-L. Dega (Jaurgain)

381.539.329: Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain)

381.542.856: SANCE - GARCIE Ier du nom, Vicomte d'Aure & de Larboust, refusa, comme l'avoit fait son père Odo, l'hommage que réclamoit le Comte de Bigorre, Centulle II. Il étoit soutenu dans ses prétentions par ses parents, Bernard II, Comte de Comminges & Auger de la Barthe, fils de Sance, tous ces seigneurs contestant au Comte de Bigorre la suprématie qu'il revendiquoi au nom de sa mère Béatrix.

Cette contestation fut le sujet d'une guerre assez meurtrière entre le Vicomte d'Aure & le Comte de Bigorre, dont les péripéties ont été consignée aux Chartes du Séminaire d'Auch, & reproduites par Marca. Nous ne saurions mieux faire que de citer un passage de cette ancienne chronique.

« On apprend du Cartulaire de Bigorre qu'il survint quelque dispute entre le Comte Centulle & Sans-Gassie d'Aure, qui fut suivie d'une guerre, en laquelle les Seigneurs voisins s'intéressèrent pour les deux parties. Le sujet du différend provenoit de ce que Sans-Gassie refusoit de reconnoître pour son seigneur de fief le Comte de Bigorre, quoique son père Odo d'Aure eût fait l'hommage de sa terre d'Aure, à Centulle Ier, père du jeune Centulle (per la senhoria que Don Odo lo paire de Sans-Gassie concedo a Centod lo Coms pair de isto Centullo). Néanmoins enfin, Sans-Gassie ayant reconnu son devoir, rendit l'hommage au Comte. De quoi furent entièrement offensés Arnaud Laudic, cousin du Vicomte d'Aure, & le Comte de Comenge, qui s'étoient déclarés pour lui en cette querelle ; en telle forte que Laudic & les amis du Comte de Comenge provoquèrent Sans-Gassie à un combat; mais ils n'osèrent se mettre à la campagne, ni se trouver au lieu assigné, à cause que le Comte Centulle entreprit ouvertement la défense du Seigneur d'Aure. Enfin -5886- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Laudi offrit d'ester à droict par devant le Comte de Bigorre, & bailla des ostage pour cet effet; mais le duel ayant été ordonné juridiquement par la Cour du Comte, de personne à personne entre Sans-Gassie & Laudic, celui-ci n'osa se présenter & abandonna ses otages à la discrétion du Comte. Toutefois il continua la guerre à main armée, & déposséda de Larbost le seigneur d'Aure, ce qui obligea le Comte de Bigorre de bâtir le château d'Albespin, qu'il mit entre les mains de Sans-Gassie ; lequel, se rendant ingrat de ce bon office, s'accomoda avec Laudic, dans le sceu du Comte. De sorte que le Comte lui redemanda le Château d'Albespin; & néanmoins Sans-Gassie étant venu le trouver en compagnie de Raimond d'Aspect, il le lui laissa en main moyennant le serment de fidélité qu'il lui prêta, & sous l'assurance qu'il lui donna de lui rendre le Château à la première sommation, le Comte lui demandant avec colère ou sans colère (irato vel non irato), de quoi il donna douze otages. Cependant Sans-Gassie traita son accord avec le Comte de Comenge, qui étoit en inimitié avec le Comte de Bigorre: de quoi Centulle témoigna son ressentiment & requit l'Évêque (Saint Bertrand) & le Comte de Comenge de lui faire rendre son Château par son vassal, qui s'étoit retiré dan leurs terres, ce qu'ils ne lui accordèrent pas, & ce refus donna sujet d'un entière rupture à ces Comtes de Bigorre & de Comenge, lesquels allèrent ensuite à la Cour du Roi d'Aragon. Ils y trouvèrent Laudic, qui s'étoit rend vassal du Roi, & Sans-Gassie qui lui demandoit protection contre le Comte Bigorre. Le Roi pourvut sur cette plainte, ordonnant au Comte de ne faire aucun dommage à Sans-Gassie ; & d'autant que le Comte insistoit sur ce que Sans avoit rompu sa foi, en refusant de lui rendre le Château, le Roi, après avoir reçu Laudic pour caution de Sans-Gassie, ordonna que Sans-Gassie défendroit sa foi & sa parole en fournissant un cavalier de sa part, qui combattroit avec un-cavalier du Comte, à la charge que s'il étoit vaincu au combat, ou qu'il refusât le duel, son corps seroit forfait. Après cette ordonnance, Sans-Gassie aima mieux reconnoître son devoir, que non pas encourir le hasard de perdre sa vie & son honneur ; de sorte qu'étant revenu en deça les Monts, il se remit au pouvoir du Comte, lui rendit le Château & le prit de ses mains, lui prêtant un nouveau serment de fidélité & lui baillant des otages pour l'assurer de son service contre tous tes hommes du monde. Néanmoins il ne lui rendit pas son assistance lorsque le Comte fut pris, dit la Charte ( Cartulaire de Bigorre ) ; de forte qu'après être relâché & mis en liberté, il renouvela ses traités avec Sans-Gassie, en présence d'Arnaud de Lavedan & de Ramon Gassie, son fils, Auger des Angles, Odo de Bénac, Fortaner d'Aster, Espa d'Aster, Ramon de Bilar, & quelques autres. Ce dernier traité fut fait, el monestier davant lo cap del mas de Sent Aventi à Moravivent. Odo d'Aure, fils de Sans-Gassie, fit en même temps hommag de toutes ses terres & Châteaux au Comte Centulle. Or il faut remarquer en cet endroit que Sans-Gassie étoit obligé au Comte, non pour l'hommage d'Aure qui n'étoit pas sujet à tant de rigueur, mais particulièrement pour l'hommage du Château d'Albespin , qu'il tenoit de la gratification de Centulle. »

En effet, l'origine de toutes ces luttes sanglantes étoit l'incertitude de droits seigneuriaux, que chacun vouloit étendre au-delà de ce qui lui étoit dû. Les véritables suzerains avoient été jusqu'alors les Ducs de Gascogne, mais depuis la mort de Sanche & la division du Duché, chaque Seigneur étoit à la fois suzerain pour certains fiefs & vassal pour certains autres, situés soit en Bigorre, soit dans les pays de Comminges, de Foix, de Béarn, ou même d'Aragon. C'est pourquoi les parens du Vicomte d'Aure lui avoient reproché d'avoir rendu hommage pour le pays. d'Aure au Comte de Bigorre, lequel étoit lui-même vassal du Roi d'Aragon. Nous voyons également par ce récit, que Sans-Gassie possédoit la Vicomté de Larboust, qui faisoit partie des domaines de son grand-père, Garcie-Arnaud.

Fortaner d'Aster & Espa d'Aster, qui signèrent le dernier traité de Sans-Gassie, avec le Comte Centulle, appartiennent à la Maison des Vicomtes d'Aster, qui ne tarda pas à se fondre dans la Maison d'Aure, & dont nous aurons à nous occuper

-5887- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas très prochainement.

Sans-Gassie mourut en 1130, laissant un fils nommé Odo & une fille nommée Bertrande (Généalogie de la maison de Gramont)

Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain) - família: J-L. Dega (Jaurgain)

381.542.857: Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain)

381.605.956: Guillaume Ier des Baux (c.1155-1218), est prince d'Orange et vice-roi du Royaume d'Arles ; il appartient à une grande famille de la noblesse provençale, les Baux.

Biographie Guillaume est le fils de Bertrand des Baux, le premier prince d'Orange, et de Thiberge de Sarenom, tous deux poètes et troubadours. En 1215 (ou 1214), à Metz quand Frédéric II souhaite affirmer son pouvoir en Provence, Guillaume reçoit le Royaume d'Arles et de Bourgogne ce qui signifie probablement la vice-royauté de ce royaume. Opportuniste, il soutient le pape et la croisade de Simon de Montfort contre son rival le comte de Toulouse et marquis de Provence Raymond VI, mais fait prisonnier par les Avignonais, les fidèles alliés de Raymond, il connait une mort malheureuse en étant égorgé[1], ou, selon d'autres sources, écorché vif et découpé en morceaux[2].

Notes et références 1.↑ Édouard Baratier (sous la direction de) - Histoire de la Provence - page 153. 2.↑ Jean-Baptiste de La Curne de Sainte-Palaye, … - Histoire littéraire des troubadours: contenant leurs vies, – T.3, page 58 3.↑ Voir également FMG

GUILLAUME de Baux, son of BERTRAND, Sire de Baux & his wife Tiburge d'Orange (-Avignon 1218 before 30 Jul). The testament of Tiburge princesse d'Orange is dated [1146?], and names Bertrand de Baux husband of her daughter Tiburge, his son Guillaume V, her son Raimbaud IV, and Adhemar de Murvieux husband of her daughter Tiburgete[1198]. "Raimbaud d'Orange" names "Bertrand de Baux son beau-frère, mari de Tiburge et ses enfants Guillaume, Bertrand et Hugues de Baux…Adhemar de Murvieux et aux enfants qu'il a eus de sa sœur Tiburgette" in his testament dated 1173[1199]. Prince d'Orange. "Les frères Bertrand seigneur de Berre et Guillaume de Baux prince d'Orange" granted rights to the monastery of Boscodon by charter dated 27 Oct 1182[1200]. "…Guillelmus de Balcio, Hugo de Balcio frater eius…" witnessed the marriage contract dated 1204 between "Maria filia quondam domini Montispessulani" and "Petro Regi Aragoniæ, et comiti Barchinonis" is dated 1204[1201].

m firstly (divorced 21 Mar 1203) ERMENGARDE de Mévouillon, daughter of RAYMOND [III] Seigneur de Mévouillon & his wife Saure de Fay. "Guillaume de Baux prince d'Orange" declared his separation on grounds of consanguinity from his wife "Ermengarde", in the presence of "Raimbaud évêque de Vaison", by charter dated 21 Mar 1203, which also deals with the return of the dowry provided by "Raymond de Mévouillon son beau-père…[et] son beau-frère Raymond"[1202].

-5888- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas m secondly ALIX, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has not yet been identified. 1219.

- Guillaume & his first wife had one child.

- Guillaume & his second wife had three children.

[1198] Baux Chartes 41, p. 10, citing Mss du Dr Martial Millet, d'Orange.

[1199] Baux Chartes 68, p. 18, citing Mss du Dr Martial Millet, d'Orange.

[1200] Baux Chartes 79, p. 21, citing Biblioth.nation. Mss latins, no. 13915.

[1201] Spicilegium Tome III, p. 565.

[1202] Baux Chartes 115, p. 31, citing Ch. orig., L. 14, princ. d'Orange, Vaucluse.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 11 iii 2012 - defunció: J-P de Palmas (Ecorché vif par les Albigeois d'Avignon avant le 6 août 1218) - família 1: J-P.de Palmas (FMG) 14 i 2014 - família 2: H.R.Moser/EuSt-III/4, J-P.de Palmas (FMG) 22 v 2012

381.605.957: Fonts: - família: H.R.Moser/EuSt-III/4, J-P.de Palmas (FMG) 22 v 2012

381.605.957b: BERTRAND [II] (-after 1 Nov 1239). "Raymond I, Guillaume II et Bertrand II ses frères, princes et co-princes d'Orange" signed a charter dated 4 Apr 1230 relating to the seigneurie de Campredons[1214]. Co-Prince d'Orange. "Bertrand de Mévouillon seigneur de Mison" accorded "sa fille Galburge" in marriage to "Guillaume de Baux, fils de feu Guillaume II co-prince d'Orange", in the presence of "Bertrand de Baux frère de Guillaume", by charter dated 1 Nov 1239, which also names "sa femme Beatrix"[1215]. [1214] Baux Chartes 236, p. 66, citing Mss latin de la Bibliot. nation. no. 13916, f. 49. [1215] Baux Chartes 281, p. 80, citing L. B. 230, B.-du-R. Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 22 v 2012

381.605.957c: TIBURGE . A charter dated 9 May 1222 records a dispute between "Giraud Amic, fils de feu Giraud-Amic et de Tiburge, gendre de Guillaume de Baux prince d'Orange"[1216]. m (before 1208) GUIRAUD [III] Amic, Seigneur du Thor de Châteauneuf [Sabran] (- 1215 before 25 Aug). [1216] Baux Chartes 205, p. 56, citing Mon. Saint-André-d'Avignon, f 48 v, Mss latin no. 13916, de la Bibliot. nation. Fonts: - persona: J-P de Palmas (FMG) vii 2010, JB.de La Grandiere ( Florian Mazel La Noblesse et l'Eglise de Provence p 635 (des Baux) CTHS Villeurbanne 2002 ) 10 iii

-5889- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 2012 - família: O.AUFFRAY

381.605.957-1a: RAYMOND [I] de Baux, son of GUILLAUME de Baux Prince d'Orange & his first wife Ermengarde de Mévouillon (-1282). "Raymond I, Guillaume II et Bertrand II ses frères, princes et co-princes d'Orange" signed a charter dated 4 Apr 1230 relating to the seigneurie de Campredons[1212]. Prince d'Orange. The contract of marriage between "Amedeum comitem Sabaudiæ" and "Cæciliam Barralis domini Baucii filiam" is dated 18 Dec 1243, witnessed by "Humbertum de Seyssel dominum Aquarum…Raymundo de Baucio principe Aurasiæ, Guillelmo de Baucio nepote illius…"[1213]. "Isoard d'Aix Seigneur de Châtillon" granted the "châteaux de Châtillon, Ravel, Mensac, Treschenu…" to "Raymond de Baux I son gendre", appointing "son petit-fils Guillaume de Baux, fils de Raymond et de Malberjone sa fille" in case of invalidity of the grant, by charter dated 16 Aug 1246[1214]. He ceded all his claims to the kingdoms of Arles and Vienne to Charles de France Comte d'Anjou 23 Aug 1257[1215]. "Dom. Geraldus Ademarii, dominus Montilii Ademarii", in the presence of and with the consent of "dom Tiburgi matre sua…et dom R-dus de Baucis princeps Aurasicensis…", donated property to Monteil, for "dom Lamberto domino Montilii Ademarii", by charter dated 14 Oct 1275[1216]. m (contract 17 Jun 1239) MALBERJONE d'Aix, Dame de Condorcet et de Chatillon, daughter of ISOARD Seigneur d'Aix & his wife Dragonette de Montauban. "Isoard d'Aix Seigneur de Châtillon et Dragonette son épouse" granted dowry, consisting of "les châteaux et seigneuries de Condorcet, Montjoux, Teyssières, Aubres, Venterol, Noveysan, Rocheblave, Marsanne", to "Raymond de Baux I prince d'Orange" and to "Malberjone leur fille", by charter dated 17 Jun 1239[1217]. Her parentage is confirmed by the charter dated 2 May 1242 which records an arbitral settlement to end disputes between "Raymond de Baux I prince d'Orange" and "Dragonet de Montauban", which requires "Dragonette, fille de feu Dragonet de Montauban épouse d'Isoard d'Aix" and "Raymond de Montauban, et Malberjone épouse de Raymond de Baux, enfants d'Isoard d'Aix" to cede their rights in "les châteaux de Montjoux, Teyssières, la Bâtie de Pierre Roux, d'Aubres, Venterol, Noveysan, Rocheblave" to Dragonet[1218]. Raymond & his wife had two children. [1212] Baux Chartes 236, p. 66, citing Mss latin de la Bibliot. nation. no. 13916, f. 49. [1213] State Archives, volume 102, page 8, fascicule 2.1, and Wurstenberger (1858), Vol. IV, 165, p. 91. [1214] Baux Chartes 323, p. 92, citing Mss du Dr M. Millet. [1215] Kerrebrouck, p. 246. [1216] Chevalier, U. J. (ed.) (1871) Cartulaire municipale de la ville de Montélimar (Drôme) (Montélimar) ("Montélimar"), XXII, p. 40. [1217] Baux Chartes 280, p. 79, citing Ch. Saint-Césaire d'Arles, Carton S. B. 2, Ch. orig. avec sceau, Notre-Dame no. 8, B.-du-R. [1218] Baux Chartes 298, p. 84, citing Chart.orig, Carton de Mévouillon, Isère. Fonts: J-P.de Palmas (FMG) 14 i 2014

381.605.964: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016 - família: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016

381.605.965: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016 - família: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016

381.605.965b: -5890- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas Fonts: - persona: J-P de Palmas (Augier - Généalogie simplifiée) 5 iv 2016

381.605.966: Fonts: - persona: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges Martin)04.vi.2009, J-P de Palmas (Chronique Historique, fascicule 5, in La Penne Liguro-Burgonde et Provençale au Moyen-âge « Les premiers pennois » par Claude Augier) 5 iv 2016 - família: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges Martin)04.vi.2009

381.605.967: Fonts: - família: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges Martin)04.vi.2009

381.605.985: CONSTANCE (-1136).

m as his first wife, ROSTAIN [II] de Sabran, son of GUILLAUME de Sabran & his wife --- (-1172 or after). Fonts: - persona: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010, J-P.de Palmas (FMG) 14 xii 2014 - família: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014

381.605.985a: Fonts: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014

381.605.985b: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014

381.605.985-2b: Fonts: O.AUFFRAY

381.605.986: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 12 ii 2014 - família: J-P.de Palmas (F. Humblot citant : Courcelles, p.296) 12 ii 2014

381.605.987: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (F. Humblot citant : Courcelles, p.296) 12 ii 2014 - família: J-P.de Palmas (F. Humblot citant : Courcelles, p.296) 12 ii 2014

381.606.000: Fonts: - persona: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06; J-M.Thiebaud (Armoiries) 29 x 2010 - enterrament: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06 - família: H.R.Moser/EuSt-XV/124, J-M.Thiebaud (base Gérard Bobillot) 15 xi 2016

381.606.001: Fonts:- família: H.R.Moser/EuSt-XV/124, J-M.Thiebaud (base Gérard Bobillot) 15 xi 2016

381.606.001a: Donne à Saint-Vivant de Vergy la terre d'Arcenant en 1188.

-5891- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06; J-M.Thiebaud (Armoiries) 29 x 2010 - defunció: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06 - família: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 4, p. 111) 31/10/06

381.606.001c: Fonts: - persona: Jean-Emile Tollé 14 i 2006 - família 1: Jean-Emile Tollé 14 i 2006, H.R.Moser/EuSt-XV/185, J-M.Thiebaud (base Gérard Bobillot) 15 xi 2016

381.606.001d: Elisabeth, fille de Hugues et de Elisabeth de Vergy est donnée pour X1 Aimon de Marigny et X2 Bertrand de Saudon. Aurejac s'étant trompé, je retranche donc le mariage indiqué avec Guillaume de Champlitte. J-C de Vaugiraud (Notes) 31/10/2006

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( "Montréal à sire de Chastellux", 2013, p.171, sgrs de Marigny (sur-Ouche), qui corrige et complémente tous les écrits d'avant 2013 ) 29 iv 2015 - família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (ES XV Tafel 124) 31/10/2006

381.606.001e: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Armoiries) 29 x 2010 - família 1: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008) - família 2: A. de Maere 17.07.2005, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t XV p 126 (Noyers) Marburg 1993 ) 7 vi 2010

381.606.001f: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Armoiries) 29 x 2010 - família: H.R.Moser/EuSt-III.2/348

381.606.002:  Jobert d'Ancy-le-Franc n'est pas son fils (JB de La Grandière 6/4/2016 qui vient de redresser).

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (redressement de Dugenne avec ESP citant Faget de Casteljau et H&G n° 207 juin 2013 pp.173-174, réponse à 12.II.176 ANCY-LE- FRANC de Georges Renard ) 27 iv 2015

381.606.003: Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Georges Renard, réponse à 12.II.176 Ancy-le-Franc, H&G n° 207 Versailles 06/2013 pp. 173-174) 6 iv 2016

381.606.008: seigneur d'Oissery (77) Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (E.de Saint Phalle : "Les Thianges à Vallery", Bulletin de la Sté Archéologique de Sens n°31 pp. 15-20, 1989) 5 iii 2017 -5892- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família 1: H.R.Moser/XIII/34 - família 2: F d'Avigneau (geneanet pdes)

381.606.009: peut-être dame de La Ferté-Alais Fonts: - persona: H.R.Moser/XIII/34 - família: H.R.Moser/XIII/34

381.606.009-2a: Fonts: - persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle Les Thianges à Vallery Bulletin de la Sté Archéo de Sens n°31 pp. 15/20 1989) 5 iii 2017 - família: H.R.Moser/EuSt-XIII/35

381.606.009-2b: seigneur de Quenne, de Chitry et d'Augy (89), seigneur de La Guerche (La Guerche-sur-L'Aubois 18), seigneur de Champallement (58)

Dans ces "grandes lignées" l'aîné se doit de porter le "prénom lignager. Les parents, à cette époque, ne devaient prénommer deux fils du même prénom que pour "remplacer" un aîné disparu. Si un "aîné" est né avec un prénom lignager mais qu'il soit empêché de poursuivre la lignée - par défaut physique ou mental- ou par empêchement canonique ou en mourant sans enfant mâle légitime - la "poursuite du prénom lignager" se fera par un frère cadet (ou un cousin ou un neveu ). Celui qui est chargé de remplacer l'"empêché", quel que soit son prénom de naissance, se verra rebaptisé avec le prénom lignager et la responsabilité de poursuivre le lignage - ce qui était le principal objectif de ces familles .!

Le meilleur exemple est celui donné par la longue lignée bretonne des 15 Guy sgrs de Laval dont certains reprirent le prénom d'un aîné (frère ou oncle) disparumaintenant ainsi la continuité du prénom lignager

La base "roglo" offre l'immense avantage d'un prénom "alias".. pour moi l'époux d'Agnès est "né" Pierre et "mort" Guillaume. JB de La Grandière 6/6/2017

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle : "Les Thianges à Vallery" Bulletin de la Sté Archéologique de Sens n°31 pp. 15/20 1989) 6 ii 2013, JB de La Grandière (Edouard de Saint Phalle "Les Thianges à Vallery" Bull. de la SAS n° 31 pp 15/20 Sens 1989) 12 xii 2009 - defunció: JB de La Grandière (Edouard de Saint Phalle "Les Thianges à Vallery" Bull. de la SAS n° 31 pp 15/20 Sens 1989) 12 xii 2009 - família: G.Hazard (H.A. Desgranges - Nobiliaire du Berry - d'Autry) 11/2012, H.R.Moser/EuSt-XIII/36

381.606.009-2c: Fonts: - persona: JB de La Grandière (Edouard de Saint Phalle "Les Thianges à Vallery" Bull. de la SAS n° 31 pp 15/20 Sens 1989) 12 xii 2009 - família: JB de La Grandière (Edouard de Saint Phalle "Les Thianges à Vallery" Bull. de la SAS n° 31 pp 15/20 Sens 1989) 12 xii 2009

-5893- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas 381.606.400: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Généalogie des familles Langer - Brierre - Levreaux - Bardiot - Bardeau) 30 i 2017 - família: J-M.Thiebaud (Généalogie des familles Langer - Brierre - Levreaux - Bardiot - Bardeau) 30 i 2017

381.606.401: Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Généalogie des familles Langer - Brierre - Levreaux - Bardiot - Bardeau) 30 i 2017 - família: J-M.Thiebaud (Généalogie des familles Langer - Brierre - Levreaux - Bardiot - Bardeau) 30 i 2017

381.606.672: He is named in the Chronique de Verdun of Hugues de Flavigny which describes the difficulties of the church of Die in [1074][732].

[732] Mémoires Valentinois et Diois, p. 19.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 8 vi 2011 - família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 8 vi 2011

381.606.673: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 8 vi 2011 - família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 8 vi 2011

381.606.688: Fonts: - persona: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag126.htm#28 ; 19.11.05) - família: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag126.htm#28 ; 19.11.05)

381.606.689: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Généalogie des vicomtes de Marseille) - família 1: J-P de Palmas (Généalogie des vicomtes de Marseille) - família 2: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag126.htm#28 ; 19.11.05)

381.607.200: L'histoire de la famille Porcelet commence en avril 972. Alors, Daidonat, membre fondateur de notre maison, apparaît pour la première fois dans la documentation provençale. L'année 972 est, à bien d'égards, une année charnière. Elle préside à la restauration de l'ordre politique et à l'avènement d'une période de prospérité économique en Provence. Une vieille historiographie a maintes fois rappelé qu'à cette date le marquis Guilhem II (970-993), le «libérateur», déloge les Sarrasins de la Garde-Freinet. Mais cet événement mineur ne doit pas nous faire oublier que les envahisseurs se sont installés en Provence profitant des luttes intestines qui déchirent l'aristocratie locale. Or, à la fin du Xe siècle, le comte parvient à estomper momentanément les rivalités des grands. Sous son égide, le pays situé entre Rhône et Durance retrouve la vigueur de ses anciennes institutions publiques. Comme dans d'autres contrées du monde méditerranéen, l'inertie de sociétés très attachées aux préceptes juridiques légués par les ancêtres aussi bien que leur vitalité, qui se concrétise dans le dynamisme des alleutiers défricheurs des zones pionnières, concourent au retour à l'ordre. Cette tonalité politique et -5894- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas sociale rend propice l'émergence de nouveaux individus qui, à l'instar de Daidonat, parviennent à prendre en main les centres de décision du comté.

Percer le mystère des origines des grandes maisons nobiliaires n'a jamais été une tâche facile pour l'historien du Haut Moyen Age. La pénurie documentaire qui caractérise la période complique considérablement toute reconstitution des filiations aristocratiques avant le XII° siècle. Ainsi, Daidonat n'est mentionné que par sept textes entre 972 et 1015. Circonstance plus décevante encore, cinq d'entre eux se limitent à transmettre son nom parmi tant d'autres souscripteurs. Ces chiffres sont bien loin des dix-huit documents qui concernent la famille des vicomtes de Marseille entre les années 951 et 1008. Le fossé entre ces deux lignées ne fait qu'accroître si nous considérons que quatorze d'entre eux présentent les Marseille en tant que leurs protagonistes. Quant aux Baux, trois actes, au moins, relatifs à Ponç l'aîné (965-990) et une dizaine antérieurs à 1010 concernant Ponç le jeune permettent d'approcher les premiers temps de la prestigieuse famille (1). Cette comparaison demeure en elle-même assez instructive sur le rang que les membres de chacune de ces trois lignées occupent dans la société de leur temps. Quelques indices qui nous sont, en outre, livrés par les chartes où Daidonat intervient permettent de découvrir le milieu social dans lequel la famille Porcelet prend ses racines.

Daidonat appartient, sans aucun doute, au milieu des notables de sa ville. Il côtoie les grands de Provence quand ils séjournent à Arles : il fréquente alors la suite de Guilhem II et de son frère le comte Roubaud ; il appose son seing après celui des vicomtes de Marseille sur les chartes émises dans sa ville. Ce statut social privilégié correspond à celui du propriétaire libre et aisé. Alleutier nanti, Daidonat possède, au nord de la ville, dans le Trébon, une terre en indivision avec son frère Bernât. Plus au sud, il est peut-être détenteur de quelques biens dans l'emplacement du futur Vieux-Bourg. Certes, les moyens d'action de ces hommes libres d'Arles sont encore bien limités. Détail significatif: ils occupent les dernières places parmi les souscripteurs des diplômes des comtes de Provence à la fin du X° siècle. Ils rentrent ainsi dans là grande histoire du comté par la petite porte.

(1) Le Baron du Roure (Généalogie de la maison de Parcellet (S) p. 9) voyait dans les Porcelet une famille originaire du pays du Var qui, après avoir guerroyé contre les Sarrasins, avait reçu de Boson des terres autour de Fos, en dédommagement des pertes qu'ils avaient subies en Provence orientale. En 977, toujours d'après le Baron, le juge Lambert leur aurait concédé la seigneurie du Vieux-Bourg d'Arles. Ce qui surprend le plus ici est cette précision chronologique qui ne se fonde sur aucun document. Quant à la théorie des origines varoises des Porcelet, elle en dit long sur la place que la mythologie sarrazine occupait dans l'imaginaire des érudits provençaux de la fin du XIX° siècle. Elle est bâtie sur des indices bien faibles : la mention de Porcelet, fils de Domidia et frère de Ponç, parmi les souscripteurs de la donation que Bertran de Saint-Marcel fit, avec d'autres personnages, de ses biens à Riboux et dans l'arrière-pays de Marseille en 1057 (CSV n° 53). La même Domidia, épouse de Ponç, cédait en 1038 ses biens à Entrecasteaux (CSV n° 526). Outre le fait que l'anthroponyme Porcelet est très répandu dans l'onomastique méridionale du XIe siècle, ces textes sont trop tardifs pour donner du crédit à une pareille assertion.

Bibliographie :

 M. Aurell, Une famille de la noblesse provençale au Moyen-Âge : les Porcelet, Avignon, 1986.

-5895- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: N de Meyrignac (Christophe de Montvallon via le forum, 30i2011)

381.607.201: Fonts: N de Meyrignac (Christophe de Montvallon via le forum, 30i2011)

381.607.201b: Fonts: - persona: N de Meyrignac (Christophe de Montvallon via le forum, 30i2011)

381.607.552: Vivant en 1029, et qui, dans une charte de l'église d'Apt, en 1053, se dit petit-fils de Pons. Pons Pulverel (le poudreux) est témoin en 1040 avec ses frères Ripert et Laugier (CSV n° 58) : …Poncius, filius Dodonis, et Laudagarius, frater suus, sive Ripertus, firmavit… En 1053, Pons Pulverel confirme avec l’évêque Alfant un contrat de précaire établi par son aïeul Pons avec l’évêque Nartold par laquelle il a donné une vigne à l’évêque contre le revenu des dîmes des églises de Saint-Etienne, Saint-Sulpice et Saint-Philibert moyennant un certain nombre de conditions décrites dans l’acte (CA n° 49). Pons Pulverel est témoin en décembre 1056 de la donation faite par son frère Arbalt d’églises situées à Trigance et à Rougon …Hugo episcopus, frater Arbaldi, firmavit. Pontius Pulverellus, frater ejus, firmavit… (CSV n° 622). Pons Pulverel D'après Jugné de Lassigny, J F Remerville (1653-1730), auteur du Collectanea d'Apt, aurait vu une charte qui confirme que Boniface I est le fils de Pons Pulverel. Si la chronologie est favorable à cette hypothèse, Boniface fils de Pons Pulverel reste un personnage hypothétique alors que Boniface frère de Pons Pulverel que E Magnani considère comme Boniface I est signalé dans plusieurs chartes. Fonts: - persona: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, p.141, 1886 ; Hélène & Thierry Blanco : Les Castellane) iv-2009 et 2016 - família: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, p.141, 1886 ; Hélène & Thierry Blanco : Les Castellane) iv-2009 et 2016

381.607.553: Fonts: - família: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, p.141, 1886 ; Hélène & Thierry Blanco : Les Castellane) iv-2009 et 2016

381.607.553a: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Hélène & Thierry Blanco : Les Castellane) iv-2009 et 2016

381.607.553c: D'après Jugné de Lassigny, J F Remerville (1653-1730), auteur du Collectanea d'Apt, aurait vu une charte qui confirme que Boniface I est le fils de Pons Pulverel. Si la chronologie est favorable à cette hypothèse, Boniface fils de Pons Pulverel reste un personnage hypothétique alors que Boniface frère de Pons Pulverel que E Magnani considère comme Boniface I est signalé dans plusieurs chartes. Fonts: - persona: J-P de Palmas (Hélène & Thierry Blanco : Les Castellane) iv-2009 et 2016

381.607.556: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Chronique Historique, fascicule 5, in La Penne Liguro-Burgonde et Provençale au Moyen-âge « Les premiers pennois » par Claude Augier) 5 iv 2016

-5896- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas - família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco : Les Castellane, citant Eliana Magnani, 2005 ) 5 iv 2016

381.607.557: Fonts: - persona: J-P de Palmas (Chronique Historique, fascicule 5, in La Penne Liguro- Burgonde et Provençale au Moyen-âge « Les premiers pennois » par Claude Augier) 5 iv 2016 - família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco : Les Castellane, citant Eliana Magnani, 2005 ) 5 iv 2016

381.665.536: Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (base de Carné) - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (base de Carné)

381.665.537: Fonts: - família: J-L. Dega, J-P de Palmas (base de Carné)

381.665.796: ADEMAR de Turenne (-945). "Gozbertus et uxor mea Ricburgis" donated property "ecclesia S. Dionisii" for the souls of "patris nostri Rotberti, seu fratrum nostrorum Bosoni et Ademari, nec non etiam Odolrici seu et Rotberti et…nepotum nostrorum Bosonis verum etiam Johannis" by charter dated [943/948], subscribed by "Bosoni vicecomitis"[1064]. Vicomte des Echelles 898/941. "Ademarus" donated property by charter dated [930] which names "uxor mea Gauzla…Gausbertus frater meus…Bernardus filius meus"[1065]. "Ademarus et uxor mea Gauzla" made several testaments, of which some are dated [922] and [930/31], donating "castrum nostrum…Scalas" and other property to Tulle Saint-Martin, one of which names "Faucisburge quæ fuit uxor mea", another of which clarifies that "Gauzla" and "Bernardus filius meus" both predeceased Ademar[1066]. Comte du Quercy 935. "Gauzbertus vicecomes" donated property "in pago Lemovicino in vicaria Navensi in villa…Rael" to Tulle Saint-Martin " by charter dated Jul [936], signed by "Ademari vicecomitis fratris sui"[1067]. A charter dated to [946] recalls donations by "domni Ademari vicecomitis…[et] Fareldis"[1068]. m firstly FAUCIBURGE, daughter of ---. The Genealogia Ademari Vicecomitis Salarum in the cartulary of Tulle St Martin names "Fauciburgis prima uxor domni Ademari", undated[1069]. "Ademarus et uxor mea Gauzla" made several testaments, of which some are dated [922] and [930/31], one of which names "Faucisburge quæ fuit uxor mea"[1070]. m secondly GAUSLA, daughter of ---. [927/31]. "Ademarus" donated property by charter dated [930] which names "uxor mea Gauzla…Gausbertus frater meus…Bernardus filius meus"[1071]. "Ademarus et uxor mea Gauzla" made several testaments, of which some are dated [922] and [930/31], one of which clarifies that "Gauzla" and "Bernardus filius meus" both predeceased Ademar[1072]. Ademar & his first wife had one child : a) FAUCIBURGE de Turenne (-after 930). The primary source which confirms her parentage has not yet been identified, although her unusual name suggests that she was the daughter of Vicomte Adémar by his first wife. Nun at La Règle 930. The cartulary of Tulle St Martin records a donation by "Deda abbatissa…sorore Ademari vicecomitis" and "Faucisburgis monacha" dated [19/30] Jun 950[1073]. Ademar had two illegitimate children by unknown mistresses :

 Bernard (- après 948)  Donarel (- après 936)

[1064] Beaulieu, XXVIII, p. 57. -5897- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas [1065] Beaulieu, XLIX, p. 90. [1066] Tulle Saint-Martin 10-14, p. 21. [1067] Tulle Saint-Martin 532, p. 286. [1068] Tulle Saint-Martin 599, p. 327. [1069] Tulle Saint-Martin 291, p. 175. [1070] Tulle Saint-Martin 10-14, p. 21. [1071] Beaulieu, XLIX, p. 90. [1072] Tulle Saint-Martin 10-14, p. 21. [1073] Tulle Saint-Martin 428, p. 233. Fonts: - persona: J-P.de Palmas ( Christian Settipani : "La Noblesse du Midi carolingen", pp 181/187 ; Histoire de St Martial apôtre des Gaules et principalement de l'Aquitaine et Par le P. Bonaventure de Saint-Amable ; FMG) 27 xi 2011 - família 1, família 2: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014 - família 3: J-P.de Palmas (Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 181/187) 5 i 2014

381.665.797: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 181/187) 5 i 2014 - família: J-P.de Palmas (Christian Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 181/187) 5 i 2014

381.665.797-1a: Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014

-5898- Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

-5899-