Read Ebook {PDF EPUB} Lettres D'afrique 1914-1931 by Isak Dinesen out of Africa : L'histoire Vraie Derrière Le Film Avec Meryl Streep Et Robert Redford

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Read Ebook {PDF EPUB} Lettres D'afrique 1914-1931 by Isak Dinesen out of Africa : L'histoire Vraie Derrière Le Film Avec Meryl Streep Et Robert Redford Read Ebook {PDF EPUB} Lettres d'Afrique 1914-1931 by Isak Dinesen Out of Africa : l'histoire vraie derrière le film avec Meryl Streep et Robert Redford. OUT OF AFRICA - Classique multi-récompensé du cinéma américain, Out of Africa est adapté du roman autobiographique de la véritable Karen Blixen. [Mis à jour le 23 août 2020 à 20h50] Réalisé par Sydney Pollack, Out of Africa a marqué les années 1980, restant encore aujourd'hui un film majeur de la cinéphilie outre-Atlantique. Le long-métrage a été plébiscité par les cérémonies des remises de prix, notamment aux Oscars où il a reçu sept statuettes en 1986 (dont celle du Meilleur film). Mais saviez-vous que l'idylle entre Meryl Streep et Robert Redford dépeinte à l'écran est inspirée d'une histoire vraie ? Le scénario d'Out of Africa est en effet adapté de plusieurs ouvrages, mais principalement du roman autobiographique écrit par la véritable Karen Blixen sous le pseudonyme Isak Dinesen. Dans cet ouvrage, intitulé La Ferme Africaine et publié en 1937, la baronne revient sur les dix-sept ans qu'elle a vécus au Kenya, entre 1913 et 1931. Dans La ferme africaine, Karen Blixen décrit sa découverte du continent africain, de la culture kenyane et de sa population, mais également sa liaison passionnée avec l'aristocrate anglais Denys Finch Hatton, retranscrite dans Out of Africa. Ce dernier la quitte finalement pour une aviatrice britannique, avant de mourir tragiquement dans un accident d'avion en 1931. Après son retour d'Afrique, Karen Blixen s'est illustrée comme une femme de lettres, en écrivant Sept contes gothiques et Les Contes d'hivers sous pseudonyme. Elle devient une illustre figure de la vie artistique danoise grâce à son cercle littéraire très prisé ou ses prises de paroles à la radio. Elle meurt le 7 septembre 1962. Le film de Sydney Pollack sort 23 ans après sa mort. Out of Africa est une adaptation d'un roman autobiographique d'Isak Dinesen, le pseudonyme de la véritable Karen Blixen. Réalisé par Sydney Pollack, le film sort en mars 1986 en France, c'est à dire quelques mois après sa sortie initiale aux Etats-Unis. Meryl Streep et Robert Redford, acteurs déjà célèbres à l'époque, sont admirables dans leurs rôles respectifs. Plébiscité, Out of Africa a été récompensé par de nombreux prix dont sept Oscars et trois Golden Globes en 1986. Newsletter. Synopsis - En 1913, Karen (Meryl Streep), une riche norvégienne, s'engage dans un mariage arrangé avec le Baron Bror Blixen (Klaus Maria Brandauerse). Les jeunes époux décident de s'installer au Kenya dans le but de monter une ferme laitière. Bror achète à défaut une plantation de caféiers, qui ne l'intéresse guère finalement. Volage et féru de chasse, il délaisse peu à peu Karen. Sous le charme de l'Afrique, la jeune femme voue alors son existence à la culture de caféiers. Elle fait figure de pionnière dans ce domaine. C'est alors qu'elle se lie d'amitié avec Denys (Robert Redford), un aventurier dont elle tombe éperdument amoureuse. Malheureusement, il lui sera difficile de retenir cet homme épris de liberté. Karen Blixen, entre les lignes. Quittant rapidement les faubourgs du nord de Copenhague, la route longe la mer. Paysage bleu, blanc, vert. Sur la mince frange côtière, les villas blanches posées au milieu des arbres ont des noms italiens. La Suède est si proche, de l'autre côté de l'eau, qu'il semble qu'on pourrait, tendant le bras, la toucher. Quelques dizaines de kilomètres, et voici Rungstedlung : une antique maison aux murs clairs, une cour, un puits. C'est là qu'est née Karen Blixen, en 1885 ; là que, depuis 1962, elle est enterrée, au fond du vaste jardin, sous un marbre sobre. A Rungstedlung, celle dont l'histoire littéraire du XXe siècle a essentiellement retenu les années passées en Afrique, a vécu l'essentiel de son existence. C'est de cette seconde partie de la vie de l'écrivain, commencée en 1931 _ elle avait alors 46 ans _, lorsqu'elle revint du Kenya où elle avait dû abandonner sa ferme africaine, que nous parle la correspondance aujourd'hui traduite en français chez Gallimard, faisant suite à un premier volume de Lettres d'Afrique, paru il y a seize ans. L'Afrique, bien sûr, y demeure présente. Mais comme en creux. Comme un désir qui peu à peu prend les couleurs d'une promesse qui sait avec une certitude croissante qu'elle ne sera jamais tenue : « Quand je suis rentrée d'Afrique, écrit-elle dans une de ses lettres, j'ai dit à mère qu'elle n'avait pas grand-chose à attendre de moi, car une moitié de moi était restée à Ngong Hills _ et maintenant j'ai le sentiment que la moitié du reste repose _, non pas au cimetière, mais dans le passé, en quelque sorte, ou dans l'univers même, sans aucune relation avec la vie de tous les jours ou du moins avec certaines de ses exigences. » Trente ans pendant lesquels elle va se consacrer à l'écriture. Le présent, l'avenir de Blixen, c'est donc le Danemark, à propos duquel elle confie par exemple, à sa tante Lidda, en 1942 : « Quand je dis que j'ai peur du Danemark, je n'ai pas peur qu'il me rende malheureuse, j'ai peur qu'il m'anéantisse _ et même si je ne pense pas que ce soit un grand malheur, je ne peux pas m'empêcher personnellement de trembler ! Au cours des dix années que j'ai vécues au Danemark, après l'Afrique, j'ai l'impression d'avoir beaucoup reculé. Vous me direz peut-être que je suis devenue plus gentille, mais ce n'est pas un gros progrès, car je ne deviendrai jamais extrêmement gentille. Mais le Danemark m'a pris mon courage, et le courage m'apparaît comme la seule qualité que j'avais en plus des autres. (. ) Ici, je ne parle pas seulement du courage de tuer des lions _ dont on peut se passer _ mais du courage, par exemple, en art. Là, il en faut presque plus que partout ailleurs. » Paradoxalement, et en dépit de ces craintes, ces quelque trente années danoises seront pourtant véritablement celles où Blixen se consacrera à son art, l'écriture. Si elle avait rédigé, jeune fille, quelques brefs récits, c'est avec la parution, en avril 1934, à New York, des Sept contes gothiques, que Karen Blixen _ alias Isak Dinesen, Dinesen étant son nom de jeune fille, son patronyme d'avant le mariage avec le baron Blixen-Finecke _ allait s'imposer sur la scène littéraire internationale, pour ne plus en quitter les premières loges jusqu'à sa mort, au début des années 1960. L'oeuvre en cours est omniprésente tout au long des trente années que couvre cette correspondance de l'écrivain, qu'elle se confie par écrit à son frère Thomas (1), à sa soeur Elle, à ses tantes, à ses amis poètes ou non, à ses éditeurs. De cette oeuvre, souvent écrite en anglais, et où domine la forme du conte, Carson McCullers, qui l'admirait, disait apprécier la « qualité archaïque ». Fictions « gothiques », fantaisistes, fantastiques, voyageant sans encombre dans l'espace et le temps (2). Elle traduisit elle-même ses fictions en danois. Si elles contiennent finalement peu de confidences, encore moins de révélations, les Lettres du danemark de Karen Blixen nous la font découvrir, entre les lignes, d'une façon formidablement proche : mélange de pudeur et de franchise, et d'autorité et d'attention aux autres. On la devine aussi artiste rigoureuse, intransigeante, presque maniaque, sans vanité mais sûre de son talent, par-dessus tout convaincue de sa responsabilité d'écrivain. En témoigne, par exemple, la décision rapidement prise de traduire elle-même ses fictions, souvent écrites en anglais, dans la langue danoise. En témoigne encore, au milieu des années 1940, son opposition farouche à voir son roman The angelic avengers (en français, Les Voies de la vengeance), qu'elle avait signé du pseudonyme Pierre Andrézel, paraître aux Etats-Unis sous son propre nom : « . Je préfèrerais ne pas publier le livre du tout que de le voir publié sous le nom d'Isak Dinesen ou de Karen Blixen ! » Un pseudonyme, pourquoi ? « Les rois, les princes, et autres personnages de rang élevé utilisent de temps en temps, quand ils voyagent, et quand ils ont envie de s'amuser un peu, un incognito, et leur entourage accepte de le respecter, explique-t-elle. (. ) Ce n'est pas une supercherie, c'est un masque ! Les gens ont le droit de deviner le vrai nom de la personne qui se trouve derrière le masque, mais ils doivent se conformer à l'esprit du jeu et ne jamais s'adresser à lui par son nom. » En fait, plus que l'atmosphère soupçonnée délétère du Danemark, sa douce prison pleine d'odeurs d'enfance, c'est la maladie qui sera, au cours de ces trois décennies, sa principale ennemie, l'obstacle permanent posé sur sa route. La dame n'est pas du genre à s'épancher, loin de là. Simplement voit-on se multiplier les périodes contraintes à l'inactivité, les mentions de longs séjours à l'hôpital, les déplacements reportés ou annulés. Simplement, sur les photographies, voit-on peu à peu se creuser le visage jusqu'à l'os, s'affiner la silhouette, jusqu'à atteindre cet état d'hallucinante épure immortalisé, à la toute fin de la vie de l'écrivain, par l'oeil impeccablement juste de Cecil Beaton. (1) De Thomas Dinesen, vient de paraître A l'ombre du mont Kenya, traduit du danois par Jacques Privat, Editions Esprit ouvert, 158 p., 19 E.
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