MONSIEUR BARCLAY Du Même Auteur

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MONSIEUR BARCLAY Du Même Auteur MONSIEUR BARCLAY Du même auteur : Concerto pour transistors. Stock, 1976. Arthur Rubinstein ou l'amour de Chopin. Messine, 1980. L'Amérique de George Gershwin. Messine, 1982. Paderewski, l'idole des Années Folles. Balland, 1984. Eric Lipmann MONSIEUR BARCLAY BALLAND © Editions Balland, 1985 A Marie-France Brière et Edouard Ruault, sans qui... Avant-propos Parmi tous les gens plus ou moins intéressants mais en tout cas célèbres qui jalonnent l'Histoire du Spectacle, Eddie Barclay est un des rares qui n'aient pas encore écrit leurs « Mémoires ». Est-ce parce qu'il m'a dit un jour : — Pourquoi veux-tu que je les écrive, alors que je n'ai jamais été foutu de lire ceux des autres ? Peut-être que ce petit ouvrage l'incitera à revenir sur cette décision. C'est en tout cas tout le mal que je lui souhaite. E. L. 1. — Allô, Mardochée ? Ça va ? — Oui, ça va... — Et ton film, alors... tu es content? — Très content. On va faire 180000 entrées à Paris cette semaine. — Et ton problème de chèque? Tu as réglé ton problème de chèque ? — Oui, oui. La banque a tout payé ce matin. — Bon... alors je vois que tu as quelqu'un dans ton bureau. Rappelle quand tu seras seul, que tu me dises un peu la vérité... Cette histoire typiquement « show-business » amuse toujours les invités d'Eddie Barclay. C'est Grégoire Katz, ancien directeur général de la firme de disques du maître de maison, qui vient de la raconter. Son accent yiddish est tellement au point que j'en pleure. Inénarrable, le narrateur Katz. C'est la première fois que je pénètre dans la célèbre « Maison du Cap ». A priori, je n'étais pas très emballé. J'étais comme la quasi-totalité de ceux qui ne l'ont jamais rencontré : — Barclay ? Non merci. Il est trop « Barclay ». Pas du tout mon genre. Charme négatif, image contradictoire que notre ami commun Quincy Jones parvint à dissiper en quelques arguments persuasifs : — Come on, man... tu verras. Il est formidable. Et puis tu n'auras jamais aussi bien mangé de ta vie... C'est donc attiré par ce leurre hautement intellec- tuel que je découvris le propriétaire du sanctuaire tropézien sis au bout de la plage de Tahiti... Fidèle à son image, il était de blanc vêtu et de casquette d'officier de marine coiffé, le regard bleu posé légèrement au-dessus de l'horizon méditerranéen, la main refermée sur un pastis. Il me regarda pour ce que j'étais : le quatre cent trente-huit mille quatre-vingt-quatorzième copain-de-copain qui venait jeter un œil sur cette réussite de légende : — Bienvenue, faites comme chez vous, servez- vous, allez vous baigner, on ne passera pas à table avant quatorze heures. Une bouteille fraîchement ouverte de champagne Barclay ruisselait de charme dans un seau argenté, reine d'une importante population d'alcools de toutes sortes, posées sur une table basse entourée de canapés moelleux, dans lesquels se prélassaient Kidadah et Rachidah, les filles de Quincy. Près de la fenêtre dominant la piscine, Eddy Mitchell, José Artur, Daniel Hechter et Guy Hagnon jouaient au poker. La chaîne hi-fi distillait la voix légèrement surannée de Nat « King » Cole à travers de multi- ples haut-parleurs dissimulés dans le jardin domi- nant la mer, au bout duquel trônait une tente chamarrée style « Camp du Drap d'Or ». C'est sous cet édifice royal que nous fut servi le déjeuner. Repas intime : nous n'étions que vingt- quatre à nous partager les célèbres rillettes de la meilleure ferme sarthoise, les cochonnailles fine- ment sélectionnées, les loups grillés au beurre de caviar, les fricandeaux de ris de veau et de cervelles aux morilles, les poulardes de Bresse à la crème d'estragon avec leurs petits légumes, le soufflé au gruyère, les fromages comme chez Androuet, les salades de fruits rouges et leurs sorbets... arrosés par un choix d'une demi-douzaine de vins allant d'un prodigieux Muscadet, plus fruité qu'un Châ- teauneuf, au Château-Latour 61, en passant par un Tavel bien frappé et un rouge de Provence éton- namment suave. Assise en face du maître qui goûtait à tout, mais juste un peu, la compagne de l'heure (et future Mme Barclay VII), Catherine Esposito, veillait au manège de deux demoiselles habillées de blanc qui amenaient les plats de la cuisine sur une petite voiture électrique recouverte d'un dais à rayures. Les invités, que des habitués, dégustaient cela comme un ordinaire plutôt cantinier. Seuls Quincy Jones et moi poussions des « oh ! » des « ah ! » et des « hmmm ! » lyriques, incapables de participer à la conversation animée par Grégoire Katz, Olivier de Kersauson (fils adoptivo-putatif d'Eddie Bar- clay, professionnel de l'embarcation solitaire et de la grosse tête collective), Guy Hagnon (ex-cham- pion de Judoka devenu le principal challenger du célèbre marchand de cigares Davidoff) et quelques personnages ornés de chaînes Boucheron et de montres Cartier qui ne semblaient pas encore avoir été totalement dépossédés par le pouvoir actuel. — On vit nos derniers instants de bonheur ! affirma une blonde bien en chair en triant quelques grains de caviar. — Ils nous saignent à blanc ! professa un athlète bronzé en se resservant cinq doigts de Latour. — On se croirait en 1792, me glissa Kersauson, qui commençait à se sentir l'âme combative. — Je ne crois pas! objecta puissamment Gré- goire Katz, l'homme-qui-n'a-jamais-réussi-à- embrasser-Carlos-sur-la-bouche Il me semble au contraire que plus « ils » sont au pouvoir, plus « ils » s'habituent à la bonne vie. Matignon, c'est Capoue. — Poil aux genoux, ajouta Eddy Mitchell, tou- jours anxieux de participer aux débats de l'esprit. — Katz a raison, soutint José Artur. Rien de tel que les tables ministérielles pour équilibrer les princes qui nous gouvernent : deux gueuletons par jour recentrent les âmes les plus gauchisantes. — L'ennui, conclut Katz, c'est qu'ensuite ils y prennent goût : très difficile de les virer. Ils ne 1. Les ventres de ces deux sympathiques personnalités leur interdisent pareilles privautés. veulent pas retourner aux radis-beurre de leurs débuts... Les miroitements du soleil qui se reflétaient dans la grande bleue toute décorée de voiles blanches, la plage dorée de Tahiti, les gazouillis sympathiques des cigales constituaient un décor idéal pour traiter par la dérision toute préoccupation politique. Lors- qu'un des invités voulut faire prendre un tournant sérieux à la conversation, Barclay émit en souriant son credo personnel : — Moi, je m'en fous complètement. Je pourrai toujours redevenir barman et jouer du piano pour les clients. C'est peut-être difficile à croire, dit-il en me regardant plus précisément, mais je ne suis pas un homme d'argent... « Air connu, répondis-je avec courage dans ma tête. Plus ils sont bourrés, plus ils disent que ça leur est égal de bouffer des sandwichs et de vivre sous la tente... » — C'est vrai, dis-je à Quincy en glissant une pastille de faux sucre dans mon café après avoir ingurgité quatre cent trente-sept mille huit cent quatre-vingt-treize calories : C'est vrai, quoi. Je me souviens qu'un jour, je suis allé voir mon premier patron, Marcel Bleustein-Blanchet, pour lui demander une augmentation. Il était dans son merveilleux bureau, au cinquième étage de l'im- meuble Publicis. Meubles Boulle, Picasso, Renoir et Toulouse-Lautrec aux murs, trois portes-fenê- tres donnant sur l'Arc-de-Triomphe. Il m'a reçu, un Davidoff plus imposant que la trompette de Miles Davis aux lèvres. « Alors, mon pauvre Lip- mann, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? » Je lui dis mon désir de gagner un peu plus. « Mais vous ne pensez qu'à l'argent! Moi, je vais vous dire : je n'y pense jamais. Faites comme moi, et bientôt, vous verrez : vous en aurez plein ! » — Tu sais, me répondit Quincy (qui en était à cinq millions d'exemplaires du Thriller de Michael Jackson qu'il a produit) ce n'est pas si bête ce qu'il a dit. A la condition d'avoir une passion, bien sûr. La passion, c'est le vrai moteur. Eddie Barclay s'était joint discrètement à nous. — Alors c'est vrai ? Vous accepteriez sans sour- ciller de ne plus être milliardaire ? Il eut un petit hochement méprisant : — Ça veut rien dire, d'être milliardaire. C'est une expression pour lecteurs de France-Dimanche ! Ce qu'il y a de vrai, c'est que je ne serai jamais pauvre. D'abord parce que j'adore travailler. Ensuite parce que, très sincèrement, je m'en fous complètement. Je regardai la gigantesque baie que nous sur- plombions, toute constellée de propriétés somp- tueuses : — Ils sont tous comme vous, alors... des natures généreuses, passionnées, désintéressées. Un seul défaut : ils font mal leurs relations publiques. Alors que vous... — Il y a un peu de tout, là-dedans, comme partout ailleurs. L'argent n'a jamais empêché un homme d'être heureux ou malheureux. Moi, ceux que je n'aime pas — ceux que j'appelle les méchants — ce sont ceux qui ne dépensent pas. Ceux qui thésaurisent. L'argent est fait pour être dépensé. Mais ça ne veut pas dire qu'il faut le jeter par les fenêtres. Parce que je suis capable de claquer des dizaines de millions pour mes amis ou pour la promotion de mes artistes, mais je finis toujours le petit morceau de pain qu'il y a dans mon assiette, et je ferme toujours la lumière en sortant d'une pièce. C'est peut-être débile par rapport à mon style de vie, mais c'est une morale atavique.
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