ALLIER BUSINESS ET PLAISIR. TOUJOURS. A VERY ENGLISHMAN UN FILM DE A VERY ENGLISHMAN UN FILM DE MICHAEL WINTERBOTTOM

avec Steve Coogan, , Imogen Poots, Tamsin Egerton

Grande-Bretagne - 2013 - 1h41

SORTIE LE 19 JUIN 2013

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DISTRIBUTION PRESSE PRETTY PICTURES Sophie Bataille 33, rue du Faubourg St Antoine 49, rue Jean Bleuzen 75011 Paris 92170 Vanves Tél : 01 43 14 10 00 Tél : 06 60 67 94 38 [email protected] [email protected] SYNOPSIS Londres, 1958, ouvre le «Raymond Revue Bar», théâtre et club privé où apparaissent des femmes dénudées au grand dam de l’Angleterre conservatrice. Producteur de revues dansantes, il devient éditeur de «Men Only», magazine pour adulte qui connaît un succès instantané. Roi de , il acquiert un à un les immeubles du quarti er, jusqu’à devenir l’homme le plus riche du Royaume en 1992. S’il mène sa carrière avec brio, sa vie personnelle n’est pas en reste: Paul Raymond est partagé entre Jean, sa femme jalouse, Fiona, sa maîtresse et star de sa revue, et sa fi lle Debbie qui aimerait suivre les traces de son père. NOTES DE PRODUCTION En 1992, il est nommé l’homme le plus riche d’Angleterre, et à sa mort en 2008, on esti me QUI sa fortune personnelle à 650 millions de dollars. N’ayant jamais réussi à séparer sa vie professionnelle de sa vie personnelle, il travaille dans un premier temps avec son épouse Jean, dont il aura un fi ls, Howard, et une fi lle Debbie. EST Son aventure avec Fiona Richmond, qui durera presque 7 ans, sera tout aussi privée que publique. Quant à sa fi lle Debbie, elle est véritablement l’amour de sa vie. Il entreti ent avec elle une PAUL relati on privilégiée et souhaite lui léguer son empire. Mais Debbie meurt d’une overdose en 1992, à l’âge de 36 ans. Paul Raymond se reti re alors de la vie publique, sans se remett re RAYMOND ? jamais de la dispariti on de sa fi lle.

“pas mal pour un gamin de Liverpool qui a débarqué ACTE 1 à Londres avec £5 dans sa LA rENCONTrE poche.” Paul Raymond MICHAEL WINTErBOTTOM / STEVE COOgAN A VERY ENGLISHMAN marque la quatrième collaborati on de Michael Winterbott om et Steve Coogan. Né en 1925 à Liverpool dans une famille ouvrière, Paul Raymond «La première fois que j’ai travaillé avec Michael, ça a été une révélati on pour moi», dit quitt e l’école à 15 ans et vit de peti ts boulots: batt eur pour un Coogan. «Ça m’a libéré, d’un point de vue créati f, compte tenu de mon expérience dans groupe de danse, vendeur de bas-nylons et de coupons d’essence après la guerre ou le registre comique. Il y a une part de moi qui veut être prise au sérieux. J’ai une relati on encore medium sur le port de Clacton dans l’Essex. assez schizophrénique avec la comédie ! J’adore ça, mais parfois je trouve ça trop simpliste, Il se lance dans le milieu du cabaret en organisant des tournées où des femmes nues trop réducteur. En tant que comique, il faut être tout le temps dans le contrôle, dans la posent comme des statues. La loi Chamberlain alors en vigueur dans le Royaume interdit précision. Mais avec Michael, j’ai appris à lâcher prise, à apprécier le fait de ne pas tout de présenter des femmes nues en mouvement sur scène. contrôler.» En 1958, il ouvre son premier club dans le West End, le «Raymond Revue Bar», et présente des spectacles chorégraphiés par sa femme Jean, où apparaissent des femmes nues, cett e fois en mouvement. Mais ce club étant privé, il ne contrevient pas aux règles en vigueur. Il transforme les clubs de strip-tease en des endroits branchés où se côtoient les Beatles, , Judy Garland ou encore Frank Sinatra. En deux ans, 45 000 membres ACTE 2 rejoignent le club. pOUrQUOI pAUL rAYMOND? En 1971, il se lance dans l’aventure de l’éditi on et publie le magazine«Men Only», mett ant Pour le fi lm The Trip, Steve Coogan interprète le rôle de Steve Coogan, célébrité qui en avant Fiona Richmond, sa maîtresse qui y jouera le rôle de modèle et d’éditorialiste. s’embarque dans un road-trip avec son vieil ami Rob, interprété par le comédien Rob Personnage extravagant, aimant conduire de belles voitures, boire du champagne millésimé Brydon lui-même. Coogan s’y moque de sa réputati on fl amboyante auprès des femmes et et apparaître avec une femme au bras – voire deux si possible, il n’en est pas moins un de son goût pour la belle vie qui faisait la joie des tabloïds. Rien d’étonnant alors à ce qu’il excellent businessman qui investi t dans l’immobilier et achète un à un les immeubles de s’intéresse à Paul Raymond, qui partage cett e même réputati on d’hédoniste. Soho, ce qui lui vaudra le surnom de «King of Soho». Lors du tournage de The Trip, «Steve est venu me voir», se rappelle Winterbott om. «Il m’a dit qu’il aimerait bien jouer Paul Raymond. Et il m’en a fait une très bonne imitati on sur le champ. Il m’a expliqué pourquoi ce serait une bonne idée : Raymond et lui ont grandi dans le Nord de l’Angleterre, ils sont tous deux catholiques, ont eu une éducati on religieuse, et puis ils ont migré vers le Sud et y ont fait fortune. Il y avait d’autres aspects : la manière dont le public les perçoit, leurs prétendues réputati ons avec les femmes et leur passion pour les voitures.» Sur les conseils de Winterbott om, Coogan rencontre le scénariste dans l’arrière-salle du café du cinéma Cornerhouse de . «Il a imité Paul Raymond pendant une heure et demi», rapporte Greenhalgh. «Tout le monde dans le café se marrait, Steve ne me laissait pas le temps d’en placer une, et j’étais écroulé de rire. Il m’a demandé si je souhaitais écrire ce fi lm que Michael allait réaliser. Je connaissais Paul Raymond comme tout le monde. J’achetais ces magazines, je connaissais le Raymond Revue Bar. Je ne savais pas en revanche qui il était vraiment, et comment il a parti cipé à rendre l’Angleterre plus libérée et a changé notre façon de voir le sexe. Quand j’ai découvert sa relati on avec sa fi lle, j’étais conquis. Il y a plus que le côté représentati on du personnage.» Paradoxalement, Paul Raymond était un homme assez privé. Mais beaucoup d’archives étaient disponibles. «J’ai regardé beaucoup de vieilles cassett es de lui», explique Coogan. «J’ai rencontré sa précédente peti te amie, ses associés, ses amis, des gens qui le connaissaient. Il faut faire toutes ces recherches, se faire sa propre idée du personnage, à travers les portraits confl ictuels que dressent parfois tous ces gens. Mais le fi lm n’est pas pour autant un documentaire. On a voulu en faire un drame, avec des pointes de comédie. Je sentais que je devais en rajouter dans le personnage, y apporter de l’humour, de l’esprit, tout en restant fi dèle à l’esprit de Paul Raymond.» Pour avoir déjà réalisé des portraits de personnes ayant réellement existées, Winterbott om avait conscience de cett e responsabilité. À ce propos, la productrice Melissa Parmenter souligne le « niveau de stress émoti onnel à réaliser un fi lm sur de vrais gens. Vous voulez resti tuer la vérité au plus près possible. Mais en même temps, c’est un fi lm qui se tourne, on ne doit pas perdre de vue le côté diverti ssant. C’est un équilibre compliqué à att eindre. Michael sait tout cela. Et il sait comment bien le faire.» ACTE 2 pAUL rAYMOND & LES FEMMES Malgré le côté aristocrati que qu’arborait toujours Paul Raymond, il était né Geoff rey Anthony Quinn, dans une banlieue modeste de Liverpool. Son père les a abandonnés alors qu’il était encore un enfant. Il a été élevé par sa mère Maud et ses sœurs. Il leur att ribua la cause de son amour des femmes et, comme il aimait le clamer, le profond respect qu’il leur portait. Avant de faire son entrée dans le monde de l’éroti sme, il faisait parti e d’un circuit de diverti ssement, côtoyant faux guérisseurs et diseurs de bonne-aventure. «Il s’est créé une personnalité haute en couleurs, alors qu’il venait d’un milieu modeste.» explique Coogan. «Il a changé son nom, et en quelque sorte, s’est créé son propre fantasme de vie. J’aime jouer ce genre de personnage, que l’on peut aimer et détester en même temps, pour leur donner corps.» Bien que leur mariage n’ait duré que 10 ans, Jean Raymond est un personnage central dans la vie de Paul. Chorégraphe des premiers spectacles du «Raymond Revue Bar», et mère de Howard et Debbie, elle a su fermer les yeux sur les incartades de son mari. Mais quand Paul Raymond rencontre Fiona Richmond, elle met un terme à leur mariage et obti ent grâce à ce divorce, une grande parti e de sa fortune. Richmond, de vingt ans sa cadett e, auditi onne pour un rôle muet d’une nageuse dans l’une de ses farces, «Pyjama Tops». Elle s’appelle alors Julia Rosamund Harrison mais change son nom quand Raymond lui propose de tenir une chronique assez osée dans son magazine, «Men Only». «Elle n’était pas qu’une passade dans sa vie», affi rme Tamsin Egerton, qui interprète Fiona dans le fi lm. « Ils étaient de vrais partenaires, dans la vie comme dans le business. C’est une fi lle brillante et intelligente, et fi nalement assez épargnée par ce monde de l’éroti sme. On pourrait facilement croire que cet environnement va la briser. Mais c’est fi nalement l’inverse.» Ces deux femmes ont un rôle majeur dans la vie de Paul Raymond. Mais celle qui a eu le rôle central, c’est sa fi lle, Debbie. Père indulgent, il lui pardonne tous ses écarts de conduite, et cède à tous ses désirs. Il va jusqu’à monter un spectacle pour elle, malgré ses talents plus que modestes de chanteuse. Malheureusement, cett e faiblesse envers sa fi lle l’empêche de la protéger contre ses addicti ons à la drogue et à l’alcool. ACTE 3 WELCOME TO SOHO

Il est impossible de dissocier le nom de Paul Raymond de celui de Soho. Si au début du 20e siècle, le quartier est un havre de paix pour des écrivains bohèmes et des peintres, il va évoluer tout au long du siècle pour devenir cent ans plus tard un lieu branché. Quand Paul Raymond y ouvre son premier club en 1958, dans la rue piétonne Walker’s Court, c’est le coin des strip-clubs et autres bars un peu louches où la population nocturne est fortement alcoolisée. Paul Raymond investit ensuite dans des lieux plus «respectables», toujours dans le West End, Le Windmill Theatre et le Whitehall Theatre. Il y jouera des productions telles que «Pyjama Tops» et «Let’s Get Laid».

Si Soho a énormément changé, certains lieux sont toujours d’actualité et ont pu servir de «décor naturel» pendant le tournage : Ronnie Scott’s, un club de jazz qui a ouvert juste après le «Raymond Revue Bar», Les restaurants Kettners sur Romilly Street, et L’Escargot sur Greek Street. En revanche, le Revue Bar a dû être recréé intégralement en studio. Paul Raymond a cédé le bail en 1997, tout en gardant les murs de la propriété. Le nouveau propriétaire a fermé les portes en 2004, suite à de nombreuses augmentations de loyer.

Parvenir à recréer l’époque sans avoir l’impression que les vêtements ne soient que des costumes et les appartements ou bureaux des décors de cinéma, et sans tomber dans le kitsch était l’une des ambitions de l’équipe. «La plupart du temps, je portais un costume, ou rien du tout», dit Coogan. «Le rituel de mettre une montre Rolex, des colliers et un bracelet, de me coiffer, me permettait de rentrer dans le personnage. Quand vous portez des chaussettes en soie et que vous avez une magnifique chemise avec boutons de manchettes, vous ne vous comportez pas de la même façon. Paul Raymond était toujours impeccable, en ce sens.» LE CASTING STEVE COOGAN

Paul Raymond STEVE COOGAN

Né en 1965, Steve Coogan grandit à Manchester. Il y apprend le méti er d’acteur à l’école Polytechnique de Théâtre. Il débute sa carrière en prêtant sa voix pour des spots publicitaires et des émissions télé. À la radio, il crée le personnage iconique d’Alan Partridge, pseudo-présentateur et animateur radio. Le succès est tel qu’en 1997, il reprend ce personnage à la télévision dans l’émission «Knowing Me, Knowing You présenté par Alan partridge», pour laquelle Steve Coogan reçoit les prix de Meilleur Performance Comique, Meilleure Personnalité Comique, et Meilleur Émission TV comique aux Briti sh Comedy Awards. En 2011, il signe la fausse autobiographie «Je suis Alan partridge», parue chez Harper Collins. FILMOgrApHIE SéLECTIVE Après plusieurs peti ts rôles, notamment dans resurrected de Paul Greengrass et L’indien 2013 A VERY ENGLISHMAN de Michael Winterbott om du placard de Franck Oz, c’est Michael Winterbott om qui lui off re un premier rôle en 2001 ALAN PARTRIDGE : ALPHA PAPA de Declan Lowney pour où il interprète Tony Wilson, le patron de Factory Records, le PHILOMENA de Stephen Frears célèbre label de musique qui signera des arti stes comme les Happy Mondays ou New MOI, MOCHE ET MECHANT 2 de Pierre Coffi n et Chris Renaud (voix) Order. 2012 ELLE S’APPELLE RUBY de Jonathan Dayton et Valerie Faris ALAN PARTRIDGE ON OPEN BOOKS WITH MARTIN BRYCE (Série TV) Il sera ensuite à l’affi che de Coff ee And Cigarett es de Jim Jarmusch, Le tour du monde en 2010 MID MORNINGS WITH ALAN PARTRIDGE (Série TV) 80 jours aux côtés de Jackie Chan et Cécile de France, Marie-Antoinett e de Sofi a Coppola, THE TRIP de Michael Winterbott om La nuit au musée et sa suite, La nuit au musée 2, avec Ben Sti ller qui le dirige en 2008 dans VERY BAD COPS de Adam McKay Tonnerre sous les tropiques. En 2012 on a pu aussi le voir dans Elle s’appelle ruby aux côtés PERCY KACKSON LE VOLEUR DE FOUDRE de Chris Columbus de Paul Dano et Zoe Kazan. 2009 LA NUIT AU MUSEE 2 de Shawn Levy Il retrouve par deux fois Michael Winterbott om, une première fois en 2005 pourTournage IN THE LOOP de Armando Iannucci dans un jardin anglais, et une nouvelle fois pour le road-trip comique et culinaire The Trip, 2008 TONNERRE SOUS LES TROPIQUES de Ben Sti ller où il partage l’affi che avec Rob Brydon. Il vient de terminer Philomena de Stephen Frears 2006 LA NUIT AU MUSEE de Shawn Levy et dès le 16 août son personnage légendaire d’Alan Partridge sera sur les grands écrans MARIE-ANTOINETTE de Sofi a Coppola anglais dans Alan partridge : Alpha papa réalisé par Declan Lowney. 2005 TOURNAGE DANS UN JARDIN ANGLAIS de Michael Winterbott om A VERY ENGLISHMAN est sa quatrième collaborati on avec Michael Winterbott om. Steve 2004 LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS de Franck Coraci et Michael vont également se retrouver très prochainement pour tourner en Italie The 2003 COFFEE AND CIGARETTES de Jim Jarmusch Trip 2. 2001 24 HOUR PARTY PEOPLE de Michael Winterbott om 1997 I AM ALAN PARTRIDGE (Série TV - jusqu’en 2002) 1995 L’INDIEN DU PLACARD de Franck Oz 1989 RESURRECTED de Paul Greengrass Jean Raymond ANNA FRIEL

Originaire du Nord-Ouest de l’Angleterre, Anna parti cipe à de nombreuses pièces de théâtre avant d’incarner la fi lle de Michael Palin dans la série «g.B.H.». Elle incarne ensuite le personnage de Beth Jordache dans le très populaire soap «», qui lui vaut le Prix Nati onal de la Meilleure Actrice TV en 1995 à l’âge de 19 ans. Elle fait ses débuts aux Etats Unis en 1999 dans la pièce «Closer» aux côtés de Ciaran Hinds, Rupert Grave et Natasha Richardson. Elle enchaîne les rôles au cinéma des deux côtés de l’Atlanti que. Mais c’est son interprétati on de Chuck dans la série américaine «pushing Daisies» qui lui vaut une renommée internati onale et une nominati on aux Golden Globes. Lorsque la série est interrompue, elle se concentre sur sa carrière au cinéma.

FILMOgrApHIE SéLECTIVE 2013 A VERY ENGLISHMAN de Michael Winterbott om THE POISONERS de Jon Amiel 2011 LIMITLESS de Neil Burger 2010 LONDON BOULEVARD de William Monahan VOUS ALLEZ RENCONTRER UN BEL ET SOMBRE INCONNU de Woody Allen 2007 PUSHING DAISIES (série TV jusqu’en 2009) 2001 ME WITHOUT YOU de Sandra Goldbacher 1999 LE SONGE D’UNE NUIT D’ETE de Michael Hoff man 1998 TROIS ANGLAISES EN CAMPAGNE de David Leland 1993 BROOKSIDE (série TV jusqu’en 1995) 1991 G.B.H. (série TV) Fiona Richmond TAMSIN EGERTON

Tamsin Egerton grandit dans le Hampshire et fait ses premiers pas sur scène dans «The Secret garden» au sein de la Royal Shakespeare Company, tout en conti nuant ses acti vités liées au mannequinat. Elle donne la réplique à Rupert Everett dans St Trinian’s : Pensionnat pour jeunes fi lles rebelles et interprète Guenièvre dans la série TV «Camelot». On la découvrira très prochainement dans Singularity de Roland Joff é.

FILMOgrApHIE SéLECTIVE 2013 A VERY ENGLISHMAN de Michael Winterbott om SINGULARITY de Roland Joff é GRAND PIANO de Eugenio Mira 2011 CAMELOT (Série TV) 2009 ST TRINIAN’S 2 2007 ST TRINIAN’S : PENSIONNAT POUR JEUNES FILLES REBELLES de Oliver Parker et Barnaby Thompson 2006 DRIVING LESSONS de Jeremy Brooks Debbie Raymond IMOGEN POOTS

La jeune Imogen Poots a déjà derrière elle une longue carrière. Après des débuts dans V pour Vendetta, elle enchaîne avec le tournage de 28 semaines plus tard. Elle collabore avec Richard Linklater pour Me And Orson Welles, avec Hideo Nakata pour Chatroom, ou encore Cary Fukunaga pour Jane Eyre. On la verra bientôt dans le biopic sur Jimi Hendrix, All Is By My Side, et A Long Way Down de Pascal Chaumeil, d’après le livre de Nick Hornby.

Filmographie sélective 2013 A VERY ENGLISHMAN de Michael Winterbottom A LONG WAY DOWN de Pascal Chaumeil ALL IS BY MY SIDE de John Ridley 2012 A LATE QUARTET de Yaron Zilberman 2011 JANE EYRE de Cary Fukunaga 2010 CHATROOM de Hideo Nakata 2008 ME AND ORSON WELLES de Richard Linklater 2007 28 SEMAINES PLUS TARD de Juan Carlos Fresnadillo 2005 V POUR VENDETTA de James McTeigue DERRIÈRE LA CAMÉRA Le realisateur' MICHAEL WINTERBOTTOM

Né à Blackburn, Lancashire, Michael Winterbott om étudie dans un premier temps la litt érature anglaise à l’Université d’Oxford. Il se tourne ensuite vers le cinéma, tout d’abord en tant que monteur, puis comme réalisateur de documentaires et de téléfi lms. En 1994, il fonde Revoluti on Films avec Andrew Eaton, sa société de producti on. Il passe alors à la réalisati on de longs métrages avec Butt erfl y Kiss en 1995. Suivent alors en 1996 Jude, d’après le roman de Thomas Hardy, avec Christopher Eccleston et Kate Winslet, en 1997, présenté en Compéti ti on Offi cielle à Cannes, I Want You en 1998, Wonderland et With Or Without You en 1999 ou encore le western Redempti on en 2000. 24 Hour party people en 2002 marque sa première collaborati on avec Steve Coogan, qu’il dirigera à nouveau en 2005 dans Tournage dans un jardin anglais, en 2010 dans The Trip et en 2013 dans A VERY ENGLISHMAN. Michael Winterbott om réalise en 2004 le fi lm-concept , qui suit la vie d’un couple fi cti f pendant quelques mois, entrecoupée de scènes de concert de groupes comme Franz Ferdinand, les Dandy Warhols ou encore Black Rebel Motorcycle Club. Il dirige en 2007 Angelina Jolie dans Un cœur invaincu, qui s’inspire de la vie du journaliste FILMOgrApHIE SéLECTIVE 2004 9 SONGS Daniel Pearl, exécuté au Pakistan. 2003 2013 A VERY ENGLISHMAN 2002 24 HOUR PARTY PEOPLE Michael Winterbott om adapte ensuite l’essai de Naomi Klein, La stratégie du choc dans le 2012 EVERYDAY 2000 RÉDEMPTION documentaire du même nom, sur le capitalisme néo-libéral. 2011 TRISHNA 1999 WONDERLAND En 2010, il s’att aque au roman de Jim Thompson The Killer Inside Me en dirigeant Casey 2010 THE KILLER INSIDE ME WITH OR WITHOUT YOU Affl eck dans le rôle du sheriff psychoti que. THE TRIP 1998 I WANT YOU 2009 LA STRATEGIE DU CHOC 1997 WELCOME TO SARAJEVO 2008 UN ETE ITALIEN 1996 JUDE 2007 UN COEUR INVAINCU 1995 BUTTERFLY KISS 2006 THE ROAD TO GUANTANAMO 2005 TOURNAGE DANS UN JARDIN ANGLAIS FICHE ArTISTIQUE Paul Raymond STEVE COOGAN Jean Raymond ANNA FRIEL Productrice Debbie Raymond IMOGEN POOTS Fiona Richmond TAMSIN EGERTON MELISSA PARMENTER Tony Power CHRIS ADDISON Carl Snitcher JAMES LANCE

FICHE TECHNIQUE Réalisateur MICHAEL WINTERBOTTOM En 2004, Melissa produit son premier fi lm Top Spot, dirigé par l’arti ste britannique Tracey Scénariste MATT GREENHALGH Emin. La même année, elle travaille comme productrice associée pour 9 Songs de Michael Directeur de la photographie HUBERT TACZANOWSKI Winterbott om. Montage MAGS ARNOLS Elle produit ensuite road To guantanamo avec Andrew Eaton en 2006, Trishna, The Trip Décors JACQUELINE ABRAHAMS et Everyday. Costumes STEPHANIE COLLIE Elle a également composé la musique originale de The Killer Inside Me et de Comes A Ingénieur du son JOAKIM SUNDSTRÖM Bright Day de Simon Aboud. Musique ANTHONY GENN & MARTIN SLATTERY Productrice MELISSA PARMENTER Co-producteurs ALICE DAWSON JOSH HYAMS Producteurs Exécuti fs ANDREW EATON JENNY BORGARS KATHERINE BUTLER NORMAN MERRY DANNY PERKINS Scenariste' PIERS WENGER Producti on STUDIO CANAL MATT GREENHALGH FILM 4 REVOLUTION FILMS Distributi on France PRETTY PICTURES

Matt Greenhalgh est le créateur et scénariste de la série TV de la BBC, «Burn It». En 2005, il scénarise la vie d’Ian Curti s pour Anton Corbjin dans Control. C’est à un autre chanteur qu’il s’att aque dans de Sam Taylor-Johnson, chronique des jeunes années de John Lennon. Il a également réalisé deux courts métrages, Acid Burn et Supermarket girl.