Article "Eskimo languages in Asia, 1791 on, and the Wrangel Island-Point Hope connection" Michael E. Krauss Études/Inuit/Studies, vol. 29, n°1-2, 2005, p. 163-185. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/013938ar DOI: 10.7202/013938ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit :
[email protected] Document téléchargé le 9 février 2017 01:45 Eskimo languages in Asia, 1791 on, and the Wrangel Island-Point Hope connection Michael E. Krauss* Résumé: Les langues eskimo en Asie depuis 1791 et la connexion île Wrangel-Point Hope Ce que constate Merck à propos des quatre langues «tchouktches sédentaires» (Eskimo), ou quatre variétés de langue le long de la côte Tchouktche en 1791, est absolument remarquable et mérite d'être interprété avec soin. Par sa description de leur répartition géographique, il est très facile d'identifier les trois premières langues comme étant 1) le sirenikski, 2) le yupik sibérien central, y compris expressément l'île St Laurent et 3) le naukanski.