Samedi 28 novembre 2020 / N° 288

SOMMAIRE ANALYTIQUE

Décrets, arrêtés, circulaires

textes généraux

ministère de la transition écologique

1 Arrêté du 20 novembre 2020 fixant au titre de l’année 2021 le nombre de postes offerts à l’examen professionnel d’accès au grade de chargé d’études documentaires principal du corps interministériel des chargés d’études documentaires 2 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel de vérification d’aptitude aux fonctions de pupitreur

ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports

3 Arrêté du 16 novembre 2020 relatif au label « Internat du XXIe siècle » et à l’appel à projet « Internat d’excellence » relevant du programme France Relance

ministère de l’économie, des finances et de la relance

4 Arrêté du 5 novembre 2020 portant annulation et report de l’épreuve de mathématiques du concours interne pour l’accès au corps des ingénieurs de l’industrie et des mines au sein du ministère de l’économie, des finances et de la relance au titre de l’année 2020 5 Arrêté du 24 novembre 2020 aménageant les catégories de prêts servant de base à l’application des dispositions relatives à l’usure pour les prêts aux syndicats de copropriétaires 6 Arrêté du 25 novembre 2020 portant application des articles L. 562-3 et suivants, L. 745-13, L. 755-13 et L. 765-13 du code monétaire et financier 7 Arrêté du 27 novembre 2020 portant application des articles L. 562-2 et suivants du code monétaire et financier 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère des armées

8 Arrêté du 25 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 7 septembre 2020 fixant le nombre et la répartition des postes ouverts en 2021 aux concours de praticiens confirmés et certifiés sur épreuves en médecine d’armée et en recherche

ministère de l’intérieur

9 Arrêté du 9 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 19 octobre 2011 relatif aux opérations de restructuration ouvrant droit au sein des directions départementales interministérielles au bénéfice de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint (58) 10 Arrêté du 18 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 19 octobre 2011 relatif aux opérations de restructuration ouvrant droit au sein des directions départementales interministérielles au bénéfice de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint (60) 11 Arrêté du 23 novembre 2020 fixant les taux de promotion dans les corps militaires de la gendarmerie nationale pour les années 2021 et 2022 12 Arrêté du 23 novembre 2020 fixantla date limite de l’élection des représentants des communes et des établissements publics de coopération intercommunale au conseil d’administration du service départemental d’incendie et de secours de Guyane et de l’élection des représentants des sapeurs-pompiers et des fonctionnaires territoriaux du service départemental d’incendie et de secours n’ayant pas la qualité de sapeur-pompier professionnel à la commission administrative et technique du service d’incendie et de secours de Guyane

ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales

13 Arrêté du 17 novembre 2020 portant modification de l’arrêté du 18 novembre 2019 portant ouverture des concours externe et interne d’attaché territorial organisés par le centre de gestion de la fonction publique territoriale de la Martinique (session 2021)

ministère de la justice

14 Décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020 portant diverses dispositions relatives notamment à la procédure civile et à la procédure d’indemnisation des victimes d’actes de terrorisme et d’autres infractions 15 Décision du 13 novembre 2020 portant modification du règlement intérieur national de la profession d’avocat

ministère de la culture

16 Arrêté du 20 novembre 2020 portant inscription sur la liste mentionnée au 1o de l’article L. 122-5-1 du code de la propriété intellectuelle

ministère des solidarités et de la santé

17 Décret no 2020-1453 du 27 novembre 2020 portant attribution d’une aide exceptionnelle de solidarité liée à la crise sanitaire aux ménages et aux jeunes de moins de vingt-cinq ans les plus précaires 18 Décret no 2020-1454 du 27 novembre 2020 modifiantle décret no 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire 19 Arrêté du 23 novembre 2020 portant prorogation de la liste des associations habilitées à délivrer la formation de base des représentants d’usagers du système de santé 20 Arrêté du 24 novembre 2020 fixant le montant du financement exceptionnel de l’Etat pour le maintien de la prise en charge des jeunes majeurs par l’aide sociale à l’enfance jusqu’au 31 décembre 2020 21 Arrêté du 27 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 30 mai 2020 définissant les critères de distance et de durée du contact au regard du risque de contamination par le virus du covid- 19 pour le fonctionnement du traitement de données dénommé « StopCovid » 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère de l’agriculture et de l’alimentation

22 Arrêté du 12 novembre 2020 modifiantl’arrêté du 14 juin 2004 relatif aux modalités d’élection des membres des conseils des établissements d’enseignement supérieur agricoles publics 23 Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à l’agrément d’un organisme de sélection (association Bovinext) 24 Arrêté du 24 novembre 2020 relatif au financement du régime de protection sociale des travailleurs indépendants agricoles en Guadeloupe, en Guyane, à la Martinique, à La Réunion, à Mayotte, à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin pour l’année 2020

ministère de la transition écologique

transports 25 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe exceptionnelle au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) 26 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo- France) 27 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au titre de l’année 2021 au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) 28 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe normale au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) 29 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) 30 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours interne, examen professionnel et sélection professionnelle pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne 31 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture des concours et de l’examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs électroniciens des systèmes de la sécurité aérienne 32 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours et examen professionnel pour l’accès au corps des techniciens supérieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile 33 Arrêté du 24 novembre 2020 portant report des dates de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 34 Arrêté du 24 novembre 2020 portant report de la date de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 35 Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile

mesures nominatives

ministère de la transition écologique

36 Arrêté du 4 novembre 2020 portant nomination d’un directeur régional adjoint de l’environnement, de l’aménagement et du logement (région Auvergne-Rhône-Alpes) 37 Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Eta­ blissement public Grand Paris Aménagement 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

38 Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration du Fonds pour le développement d’une politique intermodale des transports dans le massif alpin 39 Arrêté du 25 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’établissement public chargé de l’aménagement de la Ville nouvelle de Sénart

ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports

40 Arrêté du 21 octobre 2020 portant nomination des membres du conseil scientifique de l’Institut des hautes études de l’éducation et de la formation

ministère de l’économie, des finances et de la relance

41 Arrêté du 23 novembre 2020 portant admission à la retraite (attachés d’administration) 42 Arrêté du 24 novembre 2020 portant cessation de fonctions (inspection générale des finances) 43 Arrêté du 24 novembre 2020 portant désignation du directeur du service d’analyse de risque et de ciblage par intérim 44 Arrêté du 26 novembre 2020 portant nomination (administration centrale) 45 Arrêté du 26 novembre 2020 portant nomination (administration centrale)

ministère des armées

46 Arrêté du 9 novembre 2020 portant réintégration, admission à la retraite et radiation des cadres (ingénieurs civils de la défense) 47 Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au grade d’infirmier en soins généraux et spécialisés de 2e grade du ministère de la défense au titre de 2021 48 Arrêté du 23 novembre 2020 portant admission à la retraite et radiation des cadres (ingénieurs civils de la défense) 49 Arrêté du 25 novembre 2020 portant nomination de rapporteurs au conseil prévu à l’article L. 4139-15-1 du code de la défense

ministère de l’intérieur

50 Décret du 27 novembre 2020 portant nomination de la sous-préfète de Commercy - Mme GUÉNEAU (Camille) 51 Décret du 27 novembre 2020 portant nomination de la sous-préfète de Verdun - Mme TOURTE-TROLUE (Marie-Paule) 52 Arrêté du 25 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de la police 53 Arrêté du 27 novembre 2020 portant cessation de fonctions de la commissaire déléguée de la République pour la province Nord auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie 54 Arrêté du 27 novembre 2020 portant nomination de la commissaire déléguée de la République pour la province Nord auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie

ministère de la justice

55 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) 56 Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels) 57 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) 58 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) 59 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’un notaire salarié (officiers publics ou ministériels) 60 Arrêté du 20 novembre 2020 constatant le transfert d’un office de notaire (officiers publics ou ministériels) 61 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

62 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) 63 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une société à responsabilité limitée à associé unique (officiers publics ou ministériels) 64 Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels) 65 Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à une société par actions simplifiée (officiers publics ou ministériels) 66 Arrêté du 20 novembre 2020 constatant le transfert d’un office de notaire (officiers publics ou ministériels) 67 Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels) 68 Arrêté du 25 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 18 décembre 2019 portant désignation d’assesseurs des tribunaux pour enfants (1re liste DOM-COM) 69 Arrêté du 25 novembre 2020 portant admission à la retraite (tribunaux administratifs et cours administratives d’appel) 70 Arrêté du 26 novembre 2020 portant maintien en détachement (Conseil d’Etat)

ministère de la culture

71 Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination de la directrice de l’Ecole du Louvre

ministère des solidarités et de la santé

72 Arrêté du 18 novembre 2020 désignant les membres des commissions nationales du vote électronique (CNVE) instituées en vue des élections organisées pour le renouvellement des unions régionales de professionnels de santé 73 Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales 74 Arrêté du 25 novembre 2020 portant abrogation de l’arrêté du 13 février 2018 portant nomination des membres de la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles

ministère de l’agriculture et de l’alimentation

75 Arrêté du 18 novembre 2020 portant admission à la retraite (inspecteurs de santé publique vétérinaire)

ministère de la transition écologique

logement 76 Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Eta­ blissement public Grand Paris Aménagement

ministère de l’économie, des finances et de la relance

comptes publics 77 Arrêté du 20 octobre 2020 portant admission à la retraite (administrateurs des finances publiques) 78 Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination (agents comptables) 79 Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination (agents comptables) 80 Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination (agents comptables) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

conventions collectives

ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion

81 Arrêté du 6 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire (no 2216) 82 Arrêté du 20 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 6 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du tourisme social et familial (no 1316) 83 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention nationale de la coopération maritime (no 2494) 84 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale du commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie (no 1487) 85 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des industries des jeux, jouets, articles de fêtes et ornements de Noël, articles de puériculture et voitures d’enfants, modélisme et industries connexes (no 1607) 86 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant aux conventions collectives nationales pour les ouvriers, employés, dessinateurs, techniciens et agents de maîtrise de la production des papiers, cartons et celluloses (no 1492) et de la transformation des papiers et cartons et des industries connexes (no 1495) 87 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale des taxis (no 2219) 88 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Bourgogne) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 89 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Franche-Comté) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 90 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Bretagne) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 91 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Centre) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 92 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Corse) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 93 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Alsace) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 94 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Champagne-Ardenne) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 95 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Basse-Normandie) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 96 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Haute-Normandie) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 97 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Aquitaine) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) 98 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Occitanie) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise du bâtiment (no 2609) 99 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la convention collective de l’industrie des métaux du Bas-Rhin (no 1967) 100 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective de la métallurgie de la Drôme-Ardèche (no 1867) 101 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective de la métallurgie de Saône-et-Loire (no 1564) 102 Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective des industries de la métallurgie de Belfort-Montbéliard (no 2755) 103 Avis relatif à l’extension d’un avenant à la convention collective nationale du personnel sédentaire des entreprises de navigation 104 Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du personnel sédentaire des entreprises de navigation 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

105 Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du personnel des entreprises de transport en navigation intérieure 106 Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale des ateliers et chantiers d’insertion

ministère de l’agriculture et de l’alimentation

107 Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord départemental de prévoyance complémentaire des salariés non cadres des exploitations de la production agricole du Calvados

Conseil constitutionnel

108 Décision no 2020-867 QPC du 27 novembre 2020 109 Décision no 2020-868 QPC du 27 novembre 2020

Commission nationale consultative des droits de l’homme

110 Projet de déclaration sur l’état d’urgence sanitaire (EUS)

Commission de régulation de l’énergie

111 Délibération no 2020-278 du 19 novembre 2020 portant vérificationde la conformité du barème des tarifs réglementés de vente de gaz proposé par Engie pour le mois de décembre 2020

Conseil supérieur de l’audiovisuel

112 Décision no 2020-800 du 18 novembre 2020 relative à un appel aux candidatures pour l’exploitation d’une fréquence par un service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet sur l’autoroute A355 113 Décision no 2020-801 du 18 novembre 2020 modifiant les décisions autorisant la SARL Bella’Com à exploiter le service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse 114 Décision no 2020-802 du 18 novembre 2020 modifiant les décisions autorisant la SARL Bella’Com à exploiter le service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé NRJ Corse 115 Décision no 2020-803 du 18 novembre 2020 portant changement de titulaire et de catégorie de l’autorisation délivrée pour l’exploitation du service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en mode numérique dénommé Skyrock dans la zone Lille étendu 116 Décision no 2020-804 du 18 novembre 2020 portant changement de titulaire et de catégorie de l’autorisation délivrée pour l’exploitation du service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en mode numérique dénommé Skyrock dans la zone Marseille intermédiaire 117 Décision no 2020-805 du 18 novembre 2020 portant reconduction de l’autorisation délivrée à la SAS SE CD COM pour l’exploitation du service de radio de catégorie B par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Champagne FM 118 Décision no 2020-807 du 18 novembre 2020 modifiant la décision no 2015-418 du 18 novembre 2015 autorisant la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R1 119 Décision no 2020-808 du 18 novembre 2020 modifiant la décision no 2015-419 du 18 novembre 2015 autorisant la SAS Nouvelles télévisions numériques à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R2 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

120 Décision no 2020-809 du 18 novembre 2020 modifiant la décision no 2015-420 du 18 novembre 2015 autorisant la SA Compagnie du numérique hertzien à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R3 121 Décision no 2020-811 du 18 novembre 2020 modifiant la décision no 2015-422 du 18 novembre 2015 autorisant la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R6 122 Décision no 2020-812 du 18 novembre 2020 modifiantla décision no 2012-520 du 24 juillet 2012 autorisant la société MHD7 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des éditeurs de services de télévision par voie hertzienne terrestre du réseau R7 123 Délibération du 10 novembre 2020 relative à la possibilité de reconduire pour cinq ans hors appel aux candidatures une autorisation délivrée dans le ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Lyon

Haute Autorité de santé

124 Décision no 2020.0233/DC/SCES du 15 octobre 2020 du collège de la Haute Autorité de santé portant adoption de la procédure de certification des établissements de santé

Haut Conseil des finances publiques

125 Avis no HCFP-2020-7 du 23 novembre 2020 relatif à l’amendement des projets de lois de finances et de financement de la sécurité sociale pour l’année 2021

Informations parlementaires

Assemblée nationale

126 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE 127 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS

Sénat

128 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES 129 DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES 130 DOCUMENTS DÉPOSÉS 131 DOCUMENTS PUBLIÉS

Offices et délégations

132 OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

Informations relatives au Conseil économique, social et environnemental

133 FORMATIONS DE TRAVAIL 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

Avis et communications

avis de concours et de vacance d'emplois

ministère des armées 134 Avis relatif aux concours externes d’admission à l’Ecole de l’air en 2021

ministère de l’agriculture et de l’alimentation 135 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur

Informations diverses

liste de cours indicatifs

136 Cours indicatifs du 27 novembre 2020 communiqués par la Banque de France

Annonces

137 Demandes de changement de nom (textes 137 à 158) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 158

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

Arrêté du 20 novembre 2020 fixantau titre de l’année 2021 le nombre de postes offerts à l’examen professionnel d’accès au grade de chargé d’études documentaires principal du corps interministériel des chargés d’études documentaires NOR : TREK2031926A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 20 novembre 2020, le nombre de postes offerts à l’examen professionnel d’accès au grade de chargé d’études documentaires principal du corps interministériel des chargés d’études documentaires, au titre de l’année 2021, est fixé à 6 postes. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 158

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel de vérification d’aptitude aux fonctions de pupitreur NOR : TREK2031780A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 24 novembre 2020 est autorisée, au titre de l’année 2021, l’ouverture à compter du lundi 30 novembre 2020, d’un examen professionnel de vérification d’aptitude aux fonctions de pupitreur. La date de clôture des inscriptions est fixée au vendredi 8 janvier 2021 à 12 heures (heure de Paris), terme de rigueur. La date de l’épreuve écrite est fixée au mardi 20 avril 2021. Les épreuves orales se dérouleront à partir du lundi 31 mai 2021. La composition du jury fera l’objet d’un arrêté de la ministre de la transition écologique. Nota. – Les demandes d’admission à concourir peuvent revêtir deux formes. Chacune des formes nécessite l’accomplissement de deux formalités distinctes, l’une relative à l’inscription et l’autre à la transmission des pièces justificatives. Aucune demande d’inscription hors-délais ou non conforme aux présentes instructions ne sera prise en compte. Une forme intégralement dématérialisée Sur internet : www.concours.developpement-durable.gouv.fr puis « inscription ». Pour que votre inscription soit prise en compte, effectuez bien toute la procédure jusqu’à l’obtention de la confirmation d’inscription que vous devez impérativement imprimer et conserver. La date de fin de saisie des inscriptions par internet est fixée au vendredi 8 janvier 2021 à 12 heures (heure de Paris). Une forme intégralement par dossier papier Les candidats ne pouvant s’inscrire par internet pourront obtenir un dossier imprimé sur demande écrite. Ce courrier, accompagné d’une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm affranchie au tarif en vigueur correspondant à un poids jusqu’à 100 g et libellée au nom et à l’adresse du candidat, devra être adressé par voie postale au ministère de la transition écologique, sous-direction du recrutement et de la mobilité, bureau des recrutements par concours, pôle Administratif SG/DRH/D/RM, EVA Pupitreur, Grande Arche Paroi Sud, bureau APS 14N67, 92055 La Défense Cedex. Attention : Les candidats devront donc veiller à demander leur dossier d’inscription suffisamment tôt pour tenir compte des délais d’acheminement du courrier, afin de pouvoir respecter la date limite de fin d’inscription fixée au vendredi 8 janvier 2021, le cachet de la poste faisant foi. Les candidats en situation de handicap qui demandent un aménagement des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de six mois avant le déroulement des épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que des aménagements nécessaires pour permettre aux candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans des conditions compatibles avec leur situation. Le certificat médical doit être transmis par le candidat au plus tard le mardi 30 mars 2021 conformément au décret du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap. Nota. – Les questions liées à cet examen professionnel seront envoyées à l’adresse courriel ci-dessous : concours.eva- [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

Arrêté du 16 novembre 2020 relatif au label « Internat du XXIe siècle » et à l’appel à projet « Internat d’excellence » relevant du programme France Relance NOR : MENE2027980A

Le ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports, Vu le code de l’éducation, notamment ses articles L. 213-1, 213-2, 213-3, 214-5, 214-6 et 214-7, Arrête : Art. 1er. – Le label « Internat du XXIe siècle » est attribué aux projets qui répondent aux critères définis dans le cahier des charges joint en annexe au présent arrêté. Art. 2. – Dans la limite des crédits prévus au titre des internats d’excellence dans le cadre du Plan France Relance, une subvention d’un montant ne pouvant excéder 50 % du montant total des dépenses éligibles peut être accordée aux collectivités porteuses d’un projet de création, extension ou réhabilitation de places d’internats d’excellence. Les critères d’examen des projets, dans le cadre du label « Internat du XXIe siècle », sont définis dans le cahier des charges joint en annexe au présent arrêté. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 16 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de l’enseignement scolaire, E. GEFFRAY Nota. – Le présent arrêté et son annexe seront consultables au Bulletin officiel de l’éducation nationale en date du 3 décembre 2020 sur le site http://www.education.gouv.fr. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 5 novembre 2020 portant annulation et report de l’épreuve de mathématiques du concours interne pour l’accès au corps des ingénieurs de l’industrie et des mines au sein du ministère de l’économie, des finances et de la relance au titre de l’année 2020 NOR : ECOP2027046A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 5 novembre 2020, l’épreuve écrite d’admissibilité de « mathématiques » qui s’est déroulée le mardi 15 septembre 2020 est annulée. Cette épreuve obligatoire sera à nouveau organisée le mardi 1er décembre 2020 à Paris. Les candidats autorisés à concourir à l’épreuve du 15 septembre 2020 seront à nouveau convoqués, à l’exception des candidats absents à cette épreuve. L’épreuve orale d’admission se déroulera le jeudi 17 décembre 2020 à Paris. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 24 novembre 2020 aménageant les catégories de prêts servant de base à l’application des dispositions relatives à l’usure pour les prêts aux syndicats de copropriétaires NOR : ECOT2029437A

Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, Vu le code de la consommation, notamment son article L. 314-6 ; Vu le code monétaire et financier, notamment ses articles L. 313-5-1 et L. 313-5-2 ; Vu la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis ; Vu l’arrêté du 24 août 2006 modifié fixant les catégories de prêts servant de base à l’application de l’article L. 314-6 du code de la consommation et de l’article L. 313-5-1 du code monétaire et financier, relatifs à l’usure ; Vu l’avis du comité consultatif du secteur financier en date du 6 octobre 2020 ; Vu l’avis du comité consultatif de la législation et de la réglementation financières en date du 16 octobre 2020, Arrête : Art. 1er. – Pour l’application de l’article 1er de l’arrêté du 24 août 2006 susvisé, les contrats de crédits accordés à des syndicats de copropriétaires sont assimilés à des contrats de crédits consentis à des consommateurs au sens des 1o et 2o de l’article 1er de l’arrêté du 24 août 2006 susvisé. Art. 2. – Le directeur général du Trésor est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 novembre 2020. BRUNO LE MAIRE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 25 novembre 2020 portant application des articles L. 562-3 et suivants, L. 745-13, L. 755-13 et L. 765-13 du code monétaire et financier

NOR : ECOT2029498A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 25 novembre 2020, vu la décision 2013/798/PESC du Conseil du 23 décembre 2013 concernant des mesures restrictives à l’encontre de la République centrafricaine, modifiée notamment par la décision (PESC) 2020/1194 du 12 août 2020 ; vu le code monétaire et financier, notamment ses articles L. 562-3 et suivants, L. 745-13, L. 755-13 et L. 765-13, Les arrêtés des 26 mai 2020 (NOR : ECOT2012337A) et 6 août 2020 (NOR : ECOT2021027A) sont abrogés. A Saint-Barthélemy, Saint-Pierre-et-Miquelon, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, dans les îles Wallis et Futuna et dans les Terres australes et antarctiques françaises, les fonds, et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés par les personnes mentionnées dans l’annexe sont gelés. Le présent arrêté entre en vigueur à la date de sa publication au Journal officiel de la République française pour une durée de six mois.

Notification des voies et délais de recours Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois à compter de sa notification, soit par recours gracieux adressé au ministère de l’économie, des finances et de la relance au 139, rue de Bercy, 75572 Paris Cedex 12, télédoc 233, ou à [email protected], soit par recours contentieux auprès du tribunal administratif de Paris, 7, rue de Jouy, 75181 Paris Cedex 04, téléphone : 01-44-59-44-00, télécopie : 01-44-59-46-46, urgences télécopie référés : 01-44-59-44-99, [email protected]. En l’absence de réponse à un recours gracieux dans les deux mois qui suivent la date du recours, il y a rejet implicite de la demande et le tribunal administratif de Paris pourra être saisi dans les deux mois suivant le rejet implicite.

ANNEXE

PERSONNES PHYSIQUES, MORALES, ENTITÉS, ORGANISMES LIÉS À LA RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE *HISSENE Abdoulaye Alias : a) Abdoulaye Issène ; b) Abdoulaye Hissein ; c) Hissene Abdoulaye ; d) Abdoulaye Issène Ramadane ; e) Abdoulaye Issene Ramadan ; f) Issene Abdoulaye Date de naissance : a) 1967 ; b) 01/01/1967 Lieu de naissance : a) Ndélé, Bamingui-Bangoran, République centrafricaine ; b) Haraze-Mangueigne, Tchad Titre : a) Président du Conseil national de défense et de sécurité et chef militaire du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique ; b) Général Nationalité : a) République centrafricaine ; b) Tchad Passeport : a) Passeport diplomatique centrafricain no : D00000897 délivré le 05/04/2013, valable jusqu’au 04/04/2018 ; b) passeport diplomatique centrafricain numéro D00004262, délivré le 11 mars 2014 (expire le 10 mars 2019) No national d’identification : Tchad carte nationale d’identité du Tchad no 103-00653129-22, délivrée le 21.04.2009, date d’expiration le 21.04.2019 Adresses : a) KM5, Bangui République centrafricaine ; b) Nana-Grébizi République centrafricaine ; c) Ndjari, N’Djamena, Tchad ; d) Ndélé, Bamingui-Bangoran (adresse principale depuis août 2016) Renseignements complémentaires : Abdoulaye Hissène a été inscrit sur la liste le 17 mai 2017 en application des dispositions du paragraphe 16 et du paragraphe 17, point g), de la résolution 2339 (2017) pour “s’être livré ou avoir apporté un appui à des actes qui ont compromis la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine, notamment des actes qui ont menacé ou entravé le processus politique, la stabilisation et la réconciliation ou alimenté les violences” et “pour avoir préparé, donné l’ordre de commettre, financé ou commis des attaques contre 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 158 les missions de l’ONU ou les forces internationales de sécurité, notamment la MINUSCA, les missions de l’Union européenne et les forces françaises qui les soutiennent. Désigné par la résolution 2339 des Nations Unies du 17/05/2017, par le règlement (UE) 2017/890 du 24/05/2017, modifié par les règlements (UE) 2017/1090 du 20/06/2017, (UE) 2019/757 du 13/05/2019, (UE) 2020/1171 du 07/08/2020" *ADAM Nourredine Alias : a) Nureldine Adam ; b) Nourreldine Adam ; c) Nourreddine Adam ; d) Mahamat Nouradine Adam ; e) Mohamed Adam Brema Abdallah Date de naissance : 1970 ; b) 1969 ; c) 1971 ; d) 01/01/1970 ; e) 01/01/1971 Lieu de naissance : a) Ndele, République centrafricaine ; b) Algenana, Soudan Titre : a) directeur général du Comité extraordinaire de défense des acquis démocratiques (CEDAD) ; b) ministre de la sécurité ; c) général Nationalité : a) centrafricaine ; b) soudanaise Passeports no : D00001184 (centrafricain) ; b) P04838205, délivré le 10/06/2018 à Bahri, Soudan, expire le 09/06/2023, au nom de Mohamed Adam Brema Abdallah No national d’identification : a) 202-2708-8368 (Soudan) Adresse : a) Birao, République centrafricaine ; b) Soudan Renseignements complémentaires : a été inscrit en tant qu’individu qui s’est livré ou a apporté un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité ou la sécurité de la République centrafricaine Désigné par les Nations-unies le 09/05/2014, par le règlement (UE) 691/2014 du 23/06/2014, modifié par les règlements (UE) 1276 du 01/12/2014, (UE) 2017/906 du 29/05/2017, (UE) 2019/1574 du 20/09/2019 *Armée de Résistance du Seigneur Lord’s Resistance Army Alias : a) LRA ; b) Lord’s Resistance Movement (LRM) ; c) Lord’s Resistance Movement/Army (LRM/A) Adresse : a) Vakaga, République centrafricaine ; b) Haute-Kotto, République centrafricaine ; c) Basse-Kotto, République centrafricaine ; d) Haut-Mbomou, République centrafricaine ; e) Mbomou, République centrafricaine ; f) Haut-Uolo, République démocratique du Congo ; g) Bas-Uolo, République démocratique du Congo ; h) adresse présumée : Kafia Kingi (territoire situé à la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud dont le statut final reste à déterminer). Renseignements complémentaires : a émergé dans le nord de l’Ouganda dans les années 80. A enlevé, tué et mutilé des milliers de civils en Afrique centrale, dont des centaines en République centrafricaine. Son chef est Joseph Kony ; inscrite pour s’être livrée ou avoir apporté un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine ; pour y avoir préparé, donné l’ordre de commettre ou commis des actes contraires au droit international des droits de l’homme ou au droit international humanitaire ou constituant des atteintes aux droits de l’homme ou des violations de ces droits, notamment des violences sexuelles, attaques dirigées contre des civils, attentats à motivation ethnique ou religieuse, attentats commis contre des écoles et des hôpitaux, enlèvements, déplacements forcés ; pour avoir recruté ou utilisé des enfants dans le conflitarmé du pays, en violation du droit international ; et pour avoir apporté un appui à des groupes armés ou à des réseaux criminels par l’exploitation illégale ou le trafic de ressources naturelles de la République centrafricaine telles que les diamants, l’or, les espèces sauvages ou les produits qui en sont tirés Désignée par les Nations-unies le 07/03/2016, par règlement (UE) 2016/354 du 11/03/2016, modifié par le règlement (UE) 2017/906 du 29/05/2017 *BARRET NGAÏKOSSET Eugène Alias : a) Eugene Ngaikosset ; b) Eugene Ngaikoisset ; c) Eugene Ngakosset ; d) Eugene Barret Ngaikosse ; e) Eugene Ngaikouesset ; f) le boucher de Paoua” ; g) Ngakosset Date de naissance : 08/10/1967 No national d’identification : no d’identification militaire dans les forces armées centrafricaines (FACA), : 911-10-77 Adresse : Bangui, République centrafricaine Renseignements complémentaires : ancien membre de la garde rapprochée de l’ancien président François Bozizé, fait partie du mouvement anti-balaka. Il s’est évadé de prison le 17/05/2015 après avoir été expulsé de Brazzaville. Il a créé sa propre faction anti-balaka, composée notamment d’anciens soldats des Forces armées centrafricaines ; s’est livré ou a apporté un appui à des actes qui ont compromis la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine, pour avoir préparé, donné l’ordre de commettre ou avoir commis, en République centrafricaine, des actes contraires au droit international des droits de l’homme ou au droit international humanitaire ou constituant des atteintes aux droits de l’homme ou des violations de ces droits (violences sexuelles, attaques dirigées contre des civils, attentats à motivation ethnique ou religieuse, attentats commis contre des écoles et des hôpitaux, enlèvements, déplacements forcés), et pour avoir préparé, donné l’ordre de commettre, financé ou commis des attaques contre les missions de l’ONU ou les forces internationales de sécurité, notamment la MINUSCA, les missions de l’Union européenne et les forces françaises qui les soutiennent Désigné par les Nations-unies le 17/12/2015, par les règlements (UE) 2015/2454 du 23/12/2015, 2017/906 du 29/05/2017, (UE) 2018/698 du 08/05/2018 *BI SIDI SOULEMAN 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 158

Alias : a) Sidiki ; b) “General” Sidiki ; c) Sidiki Abbas ; d) Souleymane Bi Sidi ; e) Bi Sidi Soulemane Date de naissance : 20/07/1962 Lieu de naissance : Bocaranga, République centrafricaine Nationalité : République centrafricaine Numéro de passeport : Laissez-passer no 235/MISPAT/ DIRCAB/DGPC/DGAEI/SI/SP, délivré le 15 mars 2019 (délivré par le Ministre de l’intérieur de la République centrafricaine) Adresse : Koui, Préfecture de l’Ouham-Pendé, République centrafricaine Renseignements complémentaires : Bi Sidi Souleman a été inscrit sur la Liste le 5 août 2020 en application des dispositions des paragraphes 20 et 21 b) de la résolution 2399 (2018), réaffirmées au paragraphe 5 de la résolution 2507 (2020), pour s’être livré ou avoir apporté un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine, notamment des actes qui menacent ou entravent la stabilisation et la réconciliation ou alimentent les violences, entre autres activités interdites, et pour avoir préparé, donné l’ordre de commettre ou commis, en République centrafricaine, des actes contraires au droit international des droits de l’homme ou au droit international humanitaire ou constituant des atteintes aux droits de l’homme ou des violations de ces droits, notamment des attaques dirigées contre des civils, attentats à motivation ethnique ou religieuse, attentats commis contre des biens de caractère civil, y compris des centres administratifs, des tribunaux, des écoles et des hôpitaux, enlèvements, déplacements forcés. Désigné par le conseil de sécurité des Nations unies le 05/08/2020, et par le règlement (UE) 2020/1194 du 12/08/2020 *BOZIZE François Yangouvonda Alias : a) Bozize Yangouvonda ; b) Samuel Peter Mudde Date de naissance : a) 14/10/1946 ; b) 16/12/1948 Lieu de naissance : a) Mouila, Gabon ; b) Izo, Soudan du Sud Nationalité : a) centrafricaine ; b) Soudan du Sud Adresse : a) Ouganda ; b) Bangui, République centrafricaine (depuis son retour d’Ouganda en décembre 2019) Passeports no : a) D00002264, délivré le 11/06/2013, (délivré par le Ministre des affaires étrangères à Djouba, Soudan du Sud. Expire le 11/06/2017. Passeport diplomatique délivré au nom de Samuel Peter Mudde) ; b) M4800002143743 (No personnel figurant sur le passeport) Renseignements complémentaires : ancien chef d’état de la République centrafricaine ; professeur ; fils de Martine Kofio ; François Yangouvonda Bozizé a été inscrit sur la liste le 9 mai 2014 en application des dispositions du paragraphe 36 de la résolution 2134 (2014), en tant qu’individu qui s’est livré ou a apporté un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité ou la sécurité de la République centrafricaine. La date de naissance 16/12/1948 à Izo, Soudan du Sud, est associée uniquement à l’alias b) Samuel Peter Mudde Désigné par les Nations-unies le 09/05/2014, par le règlement (UE) 691/2014 du 23/06/2014, modifié par les règlements (UE) 1276 du 01/12/2014, (UE) 2017/906 du 29/05/2017, (UE) 2018/325 du 05/03/2018, (UE) 2020/1171 du 07/08/2020" "Bureau d’achat de diamant en Centrafrique Alias : a) Badica Kardiam ; b) Kardiam Adresse : a) BP 333, Bangui, République centrafricaine (Tel. +32 3 2310521, Fax. +32 3 2331839, mail : [email protected] ; site web : www.groupeabdoulkarim.com) ; b) Anvers, Belgique Renseignements complémentaires : Dirigé par Abdoul-Karim Dan-Azoumi, depuis le 12/12/1986, et par Aboubakar Mahamat, depuis le 01/01/2005. MINAiR et SOFIA TP (Douala, Cameroun) en sont des succursales ; a été inscrit(e) sur la liste des personnes et entités “apportant un appui aux groupes armés ou aux réseaux criminels par l’exploitation illégale ou le trafic de ressources naturelles (diamants, or et animaux sauvages ou produits provenant de ces animaux) de la République centrafricaine” Désigné par les Nations-unies le 20/08/2015, par le règlement (UE) 2015/1485 du 02/09/2015, modifié par le règlement (UE) 2017/906 du 29/05/2017 *GAYE Haroun Alias : a) Haroun Geye ; b) Aroun Gaye ; c) Aroun Geye Date de naissance : a) 30/01/1968 ; b) 30/01/1969 Passeport République centrafricaine no : O00065772 expirant le 30/12/2019 (lettre O suivie de trois zéros) Adresse : a) Bangui, République centrafricaine ; b)Ndélé, Bamingui-Bangoran Titre : Rapporteur de la coordination politique du Front Populaire pour la renaissance de Centrafrique (FPRC) Renseignements complémentaires : Haroun Gaye a été inscrit sur la liste le 17 décembre 2015 en application des dispositions du paragraphe 11 et du paragraphe 12, points b) et f), de la résolution 2196 (2015) pour s’être livré ou avoir apporté un appui à des actes qui ont compromis la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine, pour avoir préparé, donné l’ordre de commettre ou avoir commis, en République centrafricaine, des actes contraires au droit international des droits de l’homme ou au droit international humanitaire ou constituant des atteintes aux droits de l’homme ou des violations de ces droits (violences sexuelles, attaques dirigées contre des civils, attentats à motivation ethnique ou religieuse, attentats commis contre des écoles et des hôpitaux, enlèvements, déplacements forcés), et pour avoir préparé, donné l’ordre de commettre, financé ou commis des attaques contre les missions de l’ONU ou les forces internationales de sécurité, notamment la MINUSCA, les missions de l’Union européenne et les forces françaises qui les soutiennent. Renseignements complémentaires : 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 158

Désigné par les Nations-unies le 17/12/2015, par le règlement (UE) 2015/2454 du 23/12/2015, modifié par les règlements (UE) 2017/906 du 29/05/2017, (UE) 2020/1171 du 07/08/2020 *KONY Ali Alias : a) Ali Lalobo ; b) Ali Mohammad Labolo ; c) Ali Mohammed ; d) Ali Mohammed Lalobo ; e) Ali Mohammed Kony ; f) Ali Mohammed Labola ; g) Ali Mohammed Salongo ; h) Ali Bashir Lalobo ; i) Ali Lalobo Bashir ; j) Otim Kapere ; k) « Bashir » ; l) « Caesar » ; m) « One-P » ; n) « 1-P » Date de naissance : a) 1994 ; b) 1993 ; c) 1995 ; d) 1992 Titre : commandant adjoint, Armée de résistance du Seigneur Adresse : KafiaKingi (territoire situé à la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud dont le statut finalreste à déterminer) Renseignements complémentaires : est un commandant adjoint de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), entité inscrite sur la Liste, et fils du chef de la LRA, Joseph Kony, personne inscrite sur la Liste. Ali a été intégré à la hiérarchie dirigeante de la LRA en 2010. Il fait partie d’un groupe d’officiers de haut rang de la LRA basés aux côtés de Joseph Kony Désigné par les Nations-unies le 23/08/2016, par le règlement (UE) 2016/1442 du 31/08/2016, modifié par le règlement (UE) 2017/906 du 29/05/2017 *KONY Joseph Alias : a) Kony ; b) Joseph Rao Kony ; c) Josef Kony ; d) Le Messie sanglant Date de naissance : a) 1959 ; b) 1960 ; c) 1961 ; d) 1963 ; e) 18/09/1964 ; f) 1965 ; g) 08/1961 ; h) 07/1961 ; i) 01/01/1961 ; j) 04/1963 Lieu de naissance : a) village de Palaro, commune de Palaro, comté d’Omoro, district de Gulu, Ouganda ; b) Odek, Omoro, Gulu, Ouganda ; c) Atyak, Ouganda Nationalité : ougandaise Titre : commandant du Lord’s Resistance Army (l’Armée de résistance du Seigneur) Adresses : a) Vakaga, République centrafricaine ; b) Haute-Kotto, République centrafricaine ; c) Basse-Kotto, République centrafricaine ; d) Haut-Mbomou, République centrafricaine ; e) Mbomou, République centrafricaine ; f) Haut-Uolo, République démocratique du Congo ; g) Bas-Uolo, République démocratique du Congo ; h) adresse présumée : Kafia Kingi (territoire situé à la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud dont le statut final reste à déterminer). En janvier 2015, 500 éléments de la LRA auraient été expulsés du Soudan Renseignements complémentaires : est le fondateur et le chef du Lord’s Resistance Army qui, sous son autorité, a enlevé, tué et mutilé des milliers de civils dans toute l’Afrique centrale. La LRA a enlevé, déplacé, soumis à des violences sexuelles et tué des centaines de personnes en République centrafricaine ; elle a en outre pillé et détruit des biens appartenant à des civils. Le nom du père de Kony est Luizi Obol, celui de sa mère est Nora Obol Désigné par les Nations-unies le 07/03/2016, par le règlement (UE) 2016/354 du 11/03/2016, modifié par le règlement (UE) 2017/906 du 29/05/2017 *KONY Salim Alias : a) Salim Saleh Kony ; b) Salim Saleh ; c) Salim Ogaro ; d) Okolu Salim ; e) Salim Saleh Obol Ogaro ; f) Simon Salim Obol Date de naissance : a) 1992 ; b) 1991 ; c) 1993 Titre : commandant adjoint, Armée de résistance du Seigneur Adresse : a) Kafia Kingi (territoire situé à la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud dont le statut final reste à déterminer) ; b) République centrafricaine Renseignements complémentaires : est un commandant adjoint de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), entité inscrite sur la Liste, et filsdu chef de la LRA, Joseph Kony, personne inscrite sur la Liste. Salim a été intégré à la hiérarchie dirigeante de la LRA en 2010. Il fait partie d’un groupe d’officiersde haut rang de la LRA basés aux côtés de Joseph Kony Désigné par les Nations-unies le 23/08/2016, par le règlement (UE) 2016/1442 du 31/08/2016, modifié par le règlement (UE) 2017/906 du 29/05/2017 *KOUMTAMADJI Martin Alias : a) Abdoulaye Miskine ; b) Abdoullaye Miskine ; c) Martin Nadingar Koumtamadji ; d) Martin Nkoumtamadji ; e) Martin Koumta Madji ; f) Omar Mahamat Date de naissance : a) 05/10/1965 ; b) 03/03/1965 Lieu de naissance : a) Ndïnaba, Tchad ; b) Kobo, République centrafricaine ; c) Kabo, République centrafricaine Nationalité : a) tchadienne ; b) centrafricaine ; c) congolaise Passeports : a) passeport diplomatique centrafricain no 06FBO2262, délivré le 22/02/2007 valide jusqu’au 21/02/2012 ; b) passeport de service congolais no SA0020249, délivré le 22/01/2019 valide jusqu’au 21/01/2022 Titre : président et commandant en chef du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC) Adresse : a) Am Dafok, préfecture de la Vakaga, République centrafricaine ; b) Ndjamena, Tchad (depuis son arrestation en novembre 2019) Renseignements complémentaires : Martin Koumtamadji a créé le FDPC en 2005. Il a rejoint la coalition Séléka en décembre 2012 avant de la quitter en avril 2013 après la prise du pouvoir par les rebelles à Bangui. À la suite de son arrestation au Cameroun, il a été transféré à Brazzaville. Il n’a jamais cessé de diriger ses troupes sur le terrain 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 158 en République centrafricaine, même lorsqu’il se trouvait à Brazzaville, avant son retour en République centrafricaine (entre novembre 2014 et 2019). Le FDPC a signé l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine le 6 février 2019, mais Martin Koumtamadji reste une menace pour la paix, la stabilité et la sécurité de la République centrafricaine. Désigné par les Nations unies le 20/04/2020, par le règlement (UE) 2020/582 du 20/04/2020, modifié par les règlements (UE) 2020/717 du 28/05/2020 et (UE)2020/1171 du 07/08/2020 *SOUSSOU Habib Alias : Soussou Abib Date de naissance : 13/03/1980 Lieu de naissance : Boda, République Centrafricaine Titre : a) coordinateur des anti-balaka (préfecture de Lobaye) ; b) caporal-chef des forces armées centrafricaines (FACA) Nationalité : centrafricaine Adresse : Boda, République Centrafricaine (Tél +236 72 198628) Renseignements complémentaires : Le 20 août 2015, en application du paragraphe 11 et du paragraphe 12, points b) et e), de la résolution 2196 (2015), Habib Soussou a été inscrit sur la liste des personnes et entités “se livrant ou apportant un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine, y compris des actes qui mettent en péril ou violent les accords de transition, menacent ou entravent la transition politique, notamment la transition vers des élections démocratiques libres et régulières, ou alimentent les violences” ; “préparant, donnant l’ordre de commettre ou commettant, en République centrafricaine, des actes contraires au droit international des droits de l’homme ou au droit international humanitaire ou constituant des atteintes aux droits de l’homme ou des violations de ces droits (violences sexuelles, attaques dirigées contre des civils, attentats à motivation ethnique ou religieuse, attentats commis contre des écoles et des hôpitaux, enlèvements, déplacements forcés)” ; “faisant obstacle à l’acheminement de l’aide humanitaire destinée à la République centrafricaine, à l’accès à cette aide ou à sa distribution dans le pays”. Désigné par les Nations-unies le 20/08/2015, par le règlement (UE) 2015/1485 du 02/09/2015, modifié par les règlements (UE) 2017/906 du 29/05/2017, (UE) 2020/1171 du 07/08/2020 *YEKATOM Alfred Alias : a) Alfred Yekatom Saragba ; b) Alfred Ekatom ; c) Alfred Saragba ; d) colonel Rombhot ; e) Colonel Rambo ; f) Colonel Rambot ; g) Colonel Rombot ; h) Colonel Romboh Date de naissance : 23/06/1976 Lieu de naissance : République centrafricaine Nationalité : centrafricaine Adresse : a) Mbaïki, préfecture de la Lobaye, République centrafricaine (tél. +236 72154707/+236 75094341) ; b) Bimbo, préfecture d’Ombella-Mpoko, République centrafricaine (adresse précédente) ; c) La Haye (depuis son transfert à la Cour pénale internationale le 17 novembre 2018) Titre : caporal-chef des forces armées centrafricaines (FACA) Renseignements complémentaires : A été inscrit sur la Liste des personnes et entités “se livrant ou apportant un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité ou la sécurité en République centrafricaine, y compris des actes qui mettent en péril ou violent les accords de transition, menacent ou entravent la transition politique, notamment la transition vers des élections démocratiques libres et régulières, ou alimentent les violences” Désigné par les Nations-unies le 20/08/2015, par le règlement (UE) 2015/1485 du 02/09/2015, modifié par les règlements (UE) 2017/906 du 29/05/2017 et (UE) 2020/1171 du 07/08/2020 *YOUNOUS ABDOULAY Oumar Alias : a) Oumar Younous ; b) Omar Younous ; c) Oumar Sodiam ; d) Oumar Younous M’Betibangui Date de naissance : 02/04/1970 Titre : général de l’ex-Séleka Nationalité : soudanaise Passeport diplomatique centrafricain no : D00000898 délivré le 11/04/2013 (valable jusqu’au 10/04/2018) Adresse : a) Bria, République centrafricaine (Tél + 236 75507560) ; b) Birao, République centrafricaine ; c) Toullous, Darfour méridional, Soudan (ancienne adresse) Renseignements complémentaires : trafiquantde diamants, général trois étoiles des Séléka et proche confidentde l’ancien président par intérim de la République centrafricaine, Michel Djotodia. Description physique : couleur des cheveux : noirs ; taille : 180 cm ; appartient au groupe ethnique des Foulani. Serait décédé le 11/10/2015 Désigné par les Nations-unies le 20/08/2015, par le règlement (UE) 2015/1485 du 02/09/2015, modifié par les règlements (UE) 2015/2454 du 23/12/2015, (UE) 2016/1442 du 31/08/2016, (UE) 2017/906 du 29/05/2017 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 158

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 27 novembre 2020 portant application des articles L. 562-2 et suivants du code monétaire et financier NOR : ECOT2028960A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance et du ministre de l’intérieur en date du 27 novembre 2020, vu le code monétaire et financier,et notamment ses articles L. 562-2 et suivants, les fonds et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés par l’association « Barakacity », déclarée le 9 janvier 2010 à la préfecture du Val-d’Oise sous le numéro W952001402, par la société britannique « Barakacity Limited », domiciliée Carlyle House, Lower Ground Floor 235-237 Vauxhall Bridge Road London SW1V 1EJ, et enregistrée sous le numéro 10540976 ainsi que les fonds et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés par M. Idriss YEMMOU SIHAMEDI, né le 19 novembre 1984 à Paris (France), font l’objet d’une mesure de gel des avoirs pour une durée de six mois. La mise à disposition, directe ou indirecte, et l’utilisation de fonds ou ressources économiques au profit de ces personnes sont interdites pour une durée de six mois. Le ministre de l’économie, des finances et de la relance et le ministre de l’intérieur sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de la mise en œuvre du présent arrêté qui entre en vigueur à la date de sa publication par extrait au Journal officiel de la République française.

Notification des voies et délais de recours Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois à compter de sa notification : – par recours gracieux adressé au ministre de l’intérieur, direction des libertés publiques et des affaires juridiques, place Beauvau 75800 Paris Cedex 08 ou au ministre de l’économie, des finances et de la relance, 139, rue de Bercy 75572 Paris Cedex 12, télédoc 233, [email protected] ; – ou par recours contentieux auprès du tribunal administratif de Paris, 7, rue de Jouy 75181 Paris Cedex 04, téléphone : 01-44-59-44-00, télécopie : 01-44-59-46-46, urgences télécopie référés : 01-44-59-44-99, greffe. [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 158

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MINISTÈRE DES ARMÉES

Arrêté du 25 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 7 septembre 2020 fixant le nombre et la répartition des postes ouverts en 2021 aux concours de praticiens confirmés et certifiés sur épreuves en médecine d’armée et en recherche NOR : ARMK2032857A

Par arrêté de la ministre des armées en date du 25 novembre 2020, le II de l’arrêté du 7 septembre 2020 fixant le nombre et la répartition des postes ouverts en 2021 aux concours de praticiens confirméset certifiéssur épreuves en médecine d’armée et en recherche est remplacé par les dispositions suivantes : « II. – Le nombre et la répartition des postes ouverts aux concours de praticiens certifiés sur épreuves en médecine d’armée et en recherche des armées ouverts pour l’année 2021 sont fixés comme suit :

Corps des médecins des armées

QUALIFICATION DOMAINE DE COMPÉTENCES NOMBRE DE POSTES

Médecine aéronautique et spatiale 2

Médecine hyperbare et de la plongée 1 Médecine d’armée Gestion sanitaire des risques et évènements nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques (NRBC) 1

Recherche Neurosciences et sciences cognitives 1

Corps des pharmaciens des armées

QUALIFICATION DOMAINE DE COMPÉTENCES NOMBRE DE POSTES

Recherche Contre-mesures médicales des agressions NRBC 2

Corps des vétérinaires des armées

QUALIFICATION DOMAINE DE COMPÉTENCES NOMBRE DE POSTES

Santé publique vétérinaire, option hygiène des aliments et de l’eau 1 Médecine d’armée Santé publique vétérinaire, option épidémiologie animale 1 ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 158

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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 9 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 19 octobre 2011 relatif aux opérations de restructuration ouvrant droit au sein des directions départementales interministérielles au bénéfice de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint (58) NOR : INTA2030720A

Le ministre de l’intérieur, Vu le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 modifié instituant une prime de restructuration de service et une allocation d’aide à la mobilité du conjoint ; Vu le décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif aux directions départementales interministérielles ; Vu l’arrêté du 19 octobre 2011 modifié relatif aux opérations de restructuration ouvrant droit au sein des directions départementales interministérielles au bénéficede la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint ; Vu l’arrêté du 26 février 2019 fixant les montants de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint instituées par le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 ; Vu l’avis du comité technique de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations d’Ille et Vilaine en date du 2 juillet 2020, Arrête : Art. 1er. – L’annexe de l’arrêté du 19 octobre 2011 susvisé est complétée par un alinéa ainsi rédigé : « – fermeture du site d’abattage de Vezin-le-Coquet à Rennes et restructuration de l’équipe d’inspection sanitaire permanente de la direction départementale de la cohésion sociale de la protection des populations d’Ille-et-Vilaine ». Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 9 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : Le préfet, secrétaire général, J.-B. ALBERTINI 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 158

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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 18 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 19 octobre 2011 relatif aux opérations de restructuration ouvrant droit au sein des directions départementales interministérielles au bénéfice de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint (60) NOR : INTA2031726A

Le ministre de l’intérieur, Vu le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 modifié instituant une prime de restructuration de service et une allocation d’aide à la mobilité du conjoint ; Vu le décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif aux directions départementales interministérielles ; Vu l’arrêté du 19 octobre 2011 modifié relatif aux opérations de restructuration ouvrant droit au sein des directions départementales interministérielles au bénéficede la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint ; Vu l’arrêté du 26 février 2019 fixant les montants de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint instituées par le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 ; Vu l’avis du comité technique de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations des Landes en date du 18 février 2020, Arrête : Art. 1er. – L’annexe de l’arrêté du 19 octobre 2011 susvisé est complétée par un alinéa ainsi rédigé : « – fermeture du site d’abattage de Mont-de-Marsan et restructuration de l’équipe d’inspection sanitaire permanente de la direction départementale de la cohésion sociale de la protection des populations des Landes ». Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 18 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : Le préfet, secrétaire général, J.-B. ALBERTINI 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 158

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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 23 novembre 2020 fixant les taux de promotion dans les corps militaires de la gendarmerie nationale pour les années 2021 et 2022 NOR : INTJ2013056A

Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la défense, notamment son article L. 4136-4 ; Vu le décret no 2008-946 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des officiers de gendarmerie, notamment son article 32-1 ; Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie, notamment son article 23-1 ; Vu le décret no 2008-953 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier des corps de sous-officiers et officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale, notamment son article 17-1 ; Vu le décret no 2012-1456 du 24 décembre 2012 modifié portant statut particulier des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale, notamment son article 20-1 ; Vu l’avis conforme du ministre de l’économie, des financeset de la relance et de la ministre de la transformation et de la fonction publiques en date du 18 novembre 2020, Arrête : Art. 1er. – Le taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade pouvant être prononcés au choix dans le corps des officiers de gendarmerie au titre des années 2021 et 2022 est fixé, par grade, comme suit :

TAUX APPLICABLE GRADE 2021 2022

Chefs d’escadron 20 % 20 %

Lieutenant-colonel 27,40 % 27,40%

Colonel 20,30 % 20,30 %

Art. 2. – Le taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade pouvant être prononcés au choix pour les officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale au titre des années 2021 et 2022 est fixé, par grade, comme suit :

TAUX APPLICABLE GRADE 2021 2022

Capitaine 35 % 35 %

Commandant 21 % 21 %

Lieutenant-colonel 26,40 % 22 %

Colonel 25 % 25 %

Art. 3. – Le taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade pouvant être prononcés au choix dans le corps des sous-officiers de gendarmerie au titre des années 2021 et 2022 est fixé, par grade, comme suit :

GRADE TAUX APPLICABLE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 158

TAUX APPLICABLE GRADE 2021 2022

2021 2022

Maréchal des logis-chef 33 % 42,90 %

Adjudant 22,06 % 20,59 %

Adjudant-chef 12,80 % 12,90 %

Major 12,40 % 12,50 %

Art. 4. – Le taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade pouvant être prononcés au choix pour les sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale au titre des années 2021 et 2022 est fixé, par grade, comme suit :

TAUX APPLICABLE GRADE 2021 2022

Maréchal des logis-chef 23,10 % 23,10 %

Adjudant 23 % 23 %

Adjudant-chef 23,90 % 23,90 %

Major 13,70 % 13,70 %

Le nombre maximum de sous-officiersdu corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale détenteurs de l’échelle de solde no 4 est fixé comme suit : 1o 58 % de l’effectif de ce corps, hors les militaires du grade de major, en 2021 ; 2o 62 % de l’effectif de ce corps, hors les militaires du grade de major, en 2022. Art. 5. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : L’adjoint au directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, O. COURTET 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 158

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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 23 novembre 2020 fixantla date limite de l’élection des représentants des communes et des établissements publics de coopération intercommunale au conseil d’administration du service départemental d’incendie et de secours de Guyane et de l’élection des représentants des sapeurs-pompiers et des fonctionnaires territoriaux du service départemental d’incendie et de secours n’ayant pas la qualité de sapeur-pompier professionnel à la commission administrative et technique du service d’incendie et de secours de Guyane NOR : INTE2028802A

Le ministre de l’intérieur, Vu le code général des collectivités territoriales, parties législative et réglementaire ; Vu le décret no 2020-1089 du 26 août 2020 fixant la date du renouvellement général des conseillers municipaux et communautaires des communes d’Awala-Yalimapo, Iracoubo, Matoury, Papaichton, Remire-Montjoly, Roura et Saül et portant convocation des électeurs, Arrête : Art. 1er. – La date limite de l’élection des représentants des communes et des établissements publics de coopération intercommunale au conseil d’administration du service d’incendie et de secours de Guyane et de l’élection des représentants des sapeurs-pompiers et des fonctionnaires territoriaux du service d’incendie et de secours n’ayant pas la qualité de sapeur-pompier professionnel à la commission administrative et technique du service d’incendie et de secours de Guyane est fixée au 25 février 2021. Art. 2. – Le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises et le président du conseil d’administration du service d’incendie et de secours de Guyane sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la sécurité civile, A. THIRION 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 158

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MINISTÈRE DE LA COHÉSION DES TERRITOIRES ET DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES

Arrêté du 17 novembre 2020 portant modification de l’arrêté du 18 novembre 2019 portant ouverture des concours externe et interne d’attaché territorial organisés par le centre de gestion de la fonction publique territoriale de la Martinique (session 2021) NOR : TERB2032587A

Par arrêté du président du centre de gestion de la fonction publique territoriale de la Martinique en date du 17 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 18 novembre 2019 portant ouverture des concours externe et interne d’attaché territorial (session 2021) : Le nombre total de postes ouverts aux concours externe et interne du concours d’attaché territorial, session 2020, est modifié et porté à 55 postes, répartis comme suit : «

Interne Externe (30 % au moins Spécialités (50 % au plus des des postes Total postes ouverts) ouverts)

Administration générale ...... 35 12 47

Gestion du secteur sanitaire et social ...... 2 2 4

Urbanisme et développement des territoires ...... 2 2 4

Total 39 16 55 ». Les autres dispositions de l’arrêté du 18 novembre 2019 restent inchangées. Le présent arrêté sera affiché dans les locaux du centre de gestion de la Martinique. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020 portant diverses dispositions relatives notamment à la procédure civile et à la procédure d’indemnisation des victimes d’actes de terrorisme et d’autres infractions

NOR : JUSC2025012D

Publics concernés : magistrats, directeurs des services de greffe judiciaire, greffiers, huissiers de justice, Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions, commissions de surendettement, avocats, médecins experts judiciaires spécialisés en réparation du dommage corporel, victimes d’infractions pénales et particuliers. Objet : le décret ajuste diverses dispositions à la suite de l’entrée en vigueur du décret no 2019-1333 du 11 décembre 2019 réformant la procédure civile et du décret no 2019-1380 du 17 décembre 2019 relatif à la procédure applicable aux divorces contentieux et à la séparation de corps ou au divorce sans intervention judiciaire. Il clarifie les différents modes de saisine du juge des contentieux de la protection dans le cadre de la procédure de traitement des situations de surendettement, renforce les droits et garanties des victimes de terrorisme lors de l’examen médical réalisé à la diligence du Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme (FGTI) et d’autres infractions, et allège le formalisme des notifications opérées entre les commissions d’indemnisation des victimes d’infractions instituées et le FGTI. Il insère dans le décret no 2004-1463 du 23 décembre 2004 relatif aux experts judiciaires des dispositions permettant aux médecins, experts judiciaires, de bénéficier d’une formation sur l’expertise des victimes d’actes de terrorisme dispensée par l’Ecole nationale de la magistrature. Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le 1er janvier 2021 et s’applique aux instances en cours à cette date à l’exception des dispositions des 19o et 25o de l’article 1er et des articles 7 à 10. Les dispositions des 19o et 25o de l’article 1er de l’article 10 entrent en vigueur le 1er janvier 2021 et sont applicables aux instances introduites à compter de cette date. Les dispositions des articles 7 à 9 entrent en vigueur le lendemain du jour de la publication du décret au Journal officiel. Notice : le décret modifieles exigences tenant à l’acte introductif d’instance. Il supprime diverses mentions dans l’assignation et dans la requête. Devant le tribunal judiciaire, il prévoit l’obligation de communiquer le projet d’assignation pour obtenir une date d’audience. Il étend ensuite la possibilité de statuer sans audience et précise cette procédure ainsi que les procédures dans lesquelles le juge dispense une partie de se présenter à une audience ultérieure. Il contient encore différentes dispositions relatives aux matières et aux procédures dans lesquelles l’exécution provisoire peut être ordonnée. Il supprime par ailleurs l’obligation d’indiquer, dans la déclaration d’appel, les pièces sur lesquelles la demande de l’appelant est fondée. Une modification similaire est apportée à la déclaration de pourvoi en matière d’élections professionnelles. Il prévoit la procédure applicable à l’appel d’un jugement statuant en cours de mise en état sur une question de fond et sur une finde non-recevoir. Il harmonise les dispositions applicables aux divorces contentieux avec celle du code de procédure civile et précise l’énonciation du fondement de la demande en divorce. Le décret clarifiepar ailleurs les modes de saisine du juge des contentieux de la protection dans le cadre de la procédure de traitement des situations de surendettement. Il renforce également les droits et garanties des victimes de terrorisme lors de l’examen médical réalisé à la diligence du Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions. Il allège le formalisme des notifications qui sont adressées à ce dernier par les commissions d’indemnisation des victimes d’infraction. Il permet aussi aux médecins experts spécialisés dans l’examen médical des victimes de terrorisme de bénéficier d’une formation dispensée par l’Ecole nationale de la magistrature. Le décret donne enfin compétence au juge des contentieux de la protection pour constater la résiliation du bail et ordonner la reprise des lieux lorsque le bien a été abandonné par ses occupants. Références : les textes créés et modifiés par le décret peuvent être consultés dans leur version issue de cette modification sur le site Légifrance (https://www.légifrance.gouv.fr). Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de la relance et du garde des sceaux, ministre de la justice, Vu le code des assurances ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

Vu le code de la consommation ; Vu le code de procédure civile ; Vu le code des procédures civiles d’exécution ; Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 706-3 à 706-15 et R. 50-1 à R. 50-28 ; Vu le code de la sécurité sociale ; Vu le code du travail ; Vu la loi no 71-498 du 29 juin 1971 relative aux experts judiciaires ; Vu la loi no 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice ; Vu le décret no 2004-1463 du 23 décembre 2004 relatif aux experts judiciaires ; Vu le décret no 2011-945 du 10 août 2011 relatif aux procédures de résiliation de baux d’habitation et de reprise des lieux en cas d’abandon ; Vu le décret no 2019-1333 du 11 décembre 2019 réformant la procédure civile ; Vu le décret no 2019-1380 du 17 décembre 2019 relatif à la procédure applicable aux divorces contentieux et à la séparation de corps ou au divorce sans intervention judiciaire ; Vu l’avis no 2020-33 du Comité consultatif de la législation et de la réglementation financières en date du 28 juillet 2020 ; Vu l’avis du comité technique spécial de service placé auprès du directeur des services judiciaires en date du 29 octobre 2020 ; Vu l’avis du Conseil supérieur de la prud’homie en date du 16 octobre 2020 ; Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu, Décrète : Section 1 Dispositions relatives à la procédure civile devant les tribunaux judiciaires, les tribunaux de commerce et les conseils de prud’hommes et aux procédures civiles d’exécution Art. 1er. – Le code de procédure civile est ainsi modifié : 1o L’article 54 est ainsi modifié : a) Le deuxième alinéa est supprimé ; b) Le 6o est abrogé ; 2o Après le 3o de l’article 56, il est inséré un 4o ainsi rédigé : « 4o L’indication des modalités de comparution devant la juridiction et la précision que, faute pour le défendeur de comparaître, il s’expose à ce qu’un jugement soit rendu contre lui sur les seuls éléments fournis par son adversaire. » ; 3o L’article 127 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 127. – Hors les cas prévus à l’article 750-1, le juge peut proposer aux parties qui ne justifieraient pas de diligences entreprises pour parvenir à une résolution amiable du litige une mesure de conciliation ou de médiation. » ; 4o Au deuxième alinéa de l’article 446-3, les mots : « de l’article 446-2 » sont remplacés par les mots : « des articles 446-2 du présent code ou L. 212-5-1 du code de l’organisation judiciaire » ; 5o Au troisième alinéa de l’article 510, après les mots : « acte de saisie » sont insérés les mots : « ou à compter de l’audience prévue par l’article R. 3252-17 du code du travail » ; 6o A l’article 751, les mots : « tout moyen au demandeur selon des modalités définies par arrêté du garde des sceaux » sont remplacés par les mots : « le greffe au demandeur sur présentation du projet d’assignation. Un arrêté du garde des sceaux détermine les modalités d’application du présent article » ; 7o Les deuxième, troisième, quatrième et cinquième alinéas de l’article 754 sont remplacés par les deux alinéas suivants : « Sous réserve que la date de l’audience soit communiquée plus de quinze jours à l’avance, la remise doit être effectuée au moins quinze jours avant cette date. « En outre, lorsque la date de l’audience est communiquée par voie électronique, la remise doit être faite dans le délai de deux mois à compter de cette communication. » ; 8o Au troisième alinéa de l’article 758, après les mots : « de l’article 832 » sont insérés les mots : « et indique les modalités de comparution devant la juridiction » ; 9o Le cinquième alinéa de l’article 761 est remplacé par les dispositions suivantes : « Dans les matières relevant de la compétence exclusive du tribunal judiciaire qui ne sont pas dispensées du ministère d’avocat, les parties sont tenues de constituer avocat quel que soit le montant sur lequel porte la demande. » ; 10o L’article 763 est complété par la phrase : « Toutefois, si l’assignation lui est délivrée dans un délai inférieur ou égal à quinze jours avant la date de l’audience, il peut constituer avocat jusqu’à l’audience. » ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

11o L’article 795 est ainsi modifié : a) Après les mots : « du juge de la mise en état » sont insérés les mots : « et les décisions rendues par la formation de jugement en application du neuvième alinéa de l’article 789 » ; b) Le 2o est complété par une phrase ainsi rédigée : « lorsque la fin de non-recevoir a nécessité que soit tranchée au préalable une question de fond, l’appel peut porter sur cette question de fond ; » ; 12o Au deuxième alinéa de l’article 818, les mots : « ou lorsqu’elle est formée aux fins de tentative préalable de conciliation » sont remplacés par les mots : « , lorsqu’elle est formée aux fins de tentative préalable de conciliation ou lorsque la loi ou le règlement le prévoit. » ; 13o L’article 828 est ainsi modifié : a) Le deuxième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Dans ce cas, le juge organise les échanges entre les parties. Celles-ci formulent leurs prétentions et leurs moyens par écrit. La communication entre elles est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par notification entre avocats et il en est justifié auprès du juge dans les délais qu’il impartit. Le juge fixe la date avant laquelle les parties doivent communiquer au greffe leurs prétentions, moyens et pièces. A cette date, le greffe informe les parties de la date à laquelle le jugement sera rendu. Celui-ci est contradictoire. » ; b) Au troisième alinéa, le mot : « tribunal » est remplacé par le mot : « juge » ; 14o L’article 831 est ainsi modifié : a) Les mots : « et dans celui mentionné aux deux premiers alinéas de l’article 828 » sont supprimés ; b) Les mots : « tribunal dans les délais que le juge impartit. A l’issue, ce dernier » sont remplacés par les mots : « juge dans les délais qu’il impartit. A l’issue de la dernière audience, le greffe » ; 15o Aux articles 834 et 835, les mots : « juge du contentieux de la protection » sont remplacés par les mots : « juge des contentieux de la protection » ; 16o Après l’article 836, il est inséré un article ainsi rédigé : « Art. 836-1. – A tout moment de la procédure, les parties peuvent donner expressément leur accord pour que la procédure se déroule sans audience conformément aux dispositions de l’article L. 212-5-1 du code de l’organisation judiciaire. Dans ce cas, il est fait application de l’article 828 et, lorsque la représentation par avocat n’est pas obligatoire, de l’article 829. » ; 17o L’article 839 est complété d’un alinéa ainsi rédigé : « A tout moment de la procédure, les parties peuvent donner expressément leur accord pour que la procédure se déroule sans audience conformément aux dispositions de l’article L. 212-5-1 du code de l’organisation judiciaire. Dans ce cas, il est fait application de l’article 828 et, lorsque la représentation par avocat n’est pas obligatoire, de l’article 829. » ; 18o L’article 843 est complété de deux alinéas ainsi rédigés : « A tout moment de la procédure, les parties peuvent donner expressément leur accord pour que la procédure se déroule sans audience conformément aux dispositions de l’article L. 212-5-1 du code de l’organisation judiciaire. Dans ce cas, le président de la chambre organise les échanges entre les parties. Celles-ci formulent leurs prétentions et leurs moyens par écrit. La communication entre elles est faite par notification entre avocats et il en est justifié auprès du président de la chambre dans les délais qu’il impartit. Il peut faire application des dispositions prévues au cinquième alinéa de l’article 446-2 et à l’article 446-3. Il fixe la date avant laquelle les parties doivent communiquer au greffe leurs prétentions, moyens et pièces. A cette date, le greffe informe les parties de la date à laquelle le jugement sera rendu. Celui-ci est contradictoire. « Le président de la chambre peut décider d’organiser une audience s’il estime qu’il n’est pas possible de rendre une décision au regard des preuves écrites ou si l’une des parties en fait la demande. » ; 19o Le troisième alinéa de l’article 853, est ainsi modifié : a) Après les mots : « 10 000 euros » sont insérés les mots : « ou qu’elle a pour origine l’exécution d’une obligation dont le montant n’excède pas 10 000 euros » ; b) Il est complété par la phrase suivante : « Le montant de la demande est apprécié conformément aux dispositions des articles 35 à 37. » ; 20o L’article 861-1 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 861-1. – La formation de jugement peut, conformément au second alinéa de l’article 446-1, dispenser une partie qui en fait la demande de se présenter à une audience ultérieure. Dans ce cas, le juge organise les échanges entre les parties. La communication entre elles est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par notification entre avocats et il en est justifié auprès de la formation de jugement dans les délais qu’elle impartit. A l’issue de la dernière audience, le greffe informe les parties de la date à laquelle le jugement sera rendu. » ; 21o Au premier alinéa de l’article 901 et aux articles 933 et 1000, après les mots : « les mentions prescrites par » sont insérés les mots : « les 2o et 3o de l’article 54 et par le troisième alinéa de » ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

22o L’article 905 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 905. – Le président de la chambre saisie, d’office ou à la demande d’une partie, fixe les jours et heures auxquels l’affaire sera appelée à bref délai au jour indiqué, lorsque l’appel : « 1o Semble présenter un caractère d’urgence ou être en état d’être jugé ; « 2o Est relatif à une ordonnance de référé ; « 3o Est relatif à un jugement rendu selon la procédure accélérée au fond ; « 4o Est relatif à une des ordonnances du juge de la mise en état énumérées aux 1o à 4o de l’article 795 ; « 5o Est relatif à un jugement statuant en cours de mise en état sur une question de fond et une finde non-recevoir en application du neuvième alinéa de l’article 789. « Dans tous les cas, il est procédé selon les modalités prévues aux articles 778 et 779. » ; 23o L’article 916 est ainsi modifié : a) Au troisième alinéa, les mots : « la fin de non-recevoir tirée de l’irrecevabilité de l’appel ou la caducité de celui-ci ou sur l’irrecevabilité des conclusions et des actes de procédure en application des articles 909, 910, et 930-1 » sont remplacés par les mots : « une fin de non-recevoir ou sur la caducité de l’appel » ; b) Au quatrième alinéa, la référence : « 58 » est remplacée par la référence : « 57 » ; 24o Le deuxième alinéa de l’article 946 est remplacé par l’alinéa suivant : « La cour ou le magistrat chargé d’instruire l’affaire peut, conformément au second alinéa de l’article 446-1, dispenser une partie qui en fait la demande de se présenter à une audience ultérieure. Dans ce cas, la cour ou le magistrat chargé d’instruire l’affaire organise les échanges entre les parties. La communication entre elles est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par notification entre avocats et il en est justifié auprès de la cour ou du magistrat chargé d’instruire l’affaire dans les délais qu’elle impartit. A l’issue de la dernière audience, le greffe informe les parties de la date à laquelle la décision sera rendue. » ; 25o Au premier alinéa de l’article 1045, les mots : « n’est pas de droit exécutoire à titre provisoire » sont remplacés par les mots : « ne peut être assorti de l’exécution provisoire » ; 26o A l’article 1054-1, au deuxième alinéa de l’article 1055-3, à l’article 1055-10 et au premier alinéa de l’article 1178-1, les mots : « n’est pas de droit exécutoire à titre provisoire » sont remplacés par les mots : « n’est exécutoire à titre provisoire que si elle l’ordonne » ; 27o Aux articles 1067-1 et 1149, les mots : « n’est pas de droit exécutoire à titre provisoire » sont remplacés par les mots : « n’est exécutoire à titre provisoire que s’il l’ordonne » ; 28o Au premier alinéa de l’article 1074-1, les mots : « ne sont pas, de droit, exécutoires à titre provisoire » sont remplacés par les mots : « ne sont exécutoires à titre provisoire que si elles l’ordonnent » ; 29o L’article 1107, dans sa rédaction issue de l’article 5 du décret no 2019-1380 du 17 décembre 2019 relatif à la procédure applicable aux divorces contentieux et à la séparation de corps ou au divorce sans intervention judiciaire, est complété d’un alinéa rédigé ainsi qu’il suit : « Lorsque le demandeur n’a pas indiqué le fondement de la demande en divorce dans l’acte introductif d’instance, le défendeur ne peut lui-même indiquer le fondement de la demande en divorce avant les premières conclusions au fond du demandeur. » ; 30o L’article 1108, dans sa rédaction issue de l’article 5 du décret du 17 décembre 2019 relatif à la procédure applicable aux divorces contentieux et à la séparation de corps ou au divorce sans intervention judiciaire susvisé, est ainsi modifié : a) Les deuxième, troisième, quatrième et cinquième alinéas sont remplacés par les deux alinéas suivants : « Sous réserve que la date de l’audience soit communiquée plus de quinze jours à l’avance, la remise doit être effectuée au moins quinze jours avant cette date. « En outre, lorsque la date de l’audience est communiquée par voie électronique, la remise doit être faite dans le délai de deux mois à compter de cette communication. » ; b) Le septième alinéa, devenu cinquième alinéa, est complété par la phrase suivante : « Toutefois, si l’assignation lui est délivrée dans un délai inférieur ou égal à quinze jours avant la date de l’audience, il peut constituer avocat jusqu’à l’audience. » 31o Au premier alinéa de l’article 1117, dans sa rédaction issue de l’article 5 du décret du 17 décembre 2019 relatif à la procédure applicable aux divorces contentieux et à la séparation de corps ou au divorce sans intervention judiciaire susvisé, la référence : « 789 » est remplacée par la référence : « 791 » ; 32o Au troisième alinéa de l’article 1137, les mots : « ainsi que la constitution du défendeur doivent » sont remplacés par le mot : « doit » ; 33o Après le premier alinéa de l’article 1140, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « A tout moment de la procédure, les parties peuvent donner expressément leur accord pour que la procédure se déroule sans audience conformément aux dispositions de l’article L. 212-5-1 du code de l’organisation judiciaire. Dans ce cas, il est fait application des articles 828 et 829 du code de procédure civile. » 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

Art. 2. – Le code des procédures civiles d’exécution est ainsi modifié : 1o Au deuxième alinéa de l’article R. 121-1, après les mots : « de l’acte de saisie » sont insérés les mots : « ou à compter de l’audience prévue par l’article R. 3252-17 du code du travail » ; 2o L’article R. 121-7 est ainsi modifié : a) Au début de l’article, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Lorsque la représentation par avocat n’est pas obligatoire, les parties se défendent elles-mêmes. » ; b) Au premier alinéa devenu deuxième, les mots : « Sauf disposition contraire, les parties » sont remplacés par le mot : « Elles » ; 3o L’article R. 121-9 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 121-9. – Le juge peut, conformément au second alinéa de l’article 446-1 du code de procédure civile, dispenser une partie qui en fait la demande de se présenter à une audience ultérieure. Dans ce cas, le juge organise les échanges entre les parties. La communication entre elles est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par notification entre avocats et il en est justifié auprès du juge dans les délais qu’il impartit. A l’issue de la dernière audience, le greffe informe les parties de la date à laquelle le jugement sera rendu. » ; 4o A l’article R. 321-20, le mot : « deux » est remplacé deux fois par le mot : « cinq » ; 5o A l’article R. 442-2, les mots : « déclaration faite ou remise contre récépissé » sont remplacés par les mots : « requête remise ou adressée au greffe de la juridiction ». Art. 3. – L’article R. 142-13-3 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié : 1o Le troisième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes : « Le premier président ou son délégué peut, conformément au second alinéa de l’article 446-1 du code de procédure civile, dispenser une partie qui en fait la demande de se présenter à une audience ultérieure. Dans ce cas, le juge organise les échanges entre les parties. La communication entre elles est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par notification entre avocats et il en est justifié auprès du premier président ou de son délégué dans les délais qu’il impartit. A l’issue de la dernière audience, le greffe informe les parties de la date à laquelle le jugement sera rendu. » ; 2o Au début du quatrième alinéa, le mot : « Il » est remplacé par les mots : « Le premier président ou son délégué ». Art. 4. – Le code du travail est ainsi modifié : 1o L’article R. 1454-19-2 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. R. 1454-19-2. – Le bureau de jugement peut, conformément au second alinéa de l’article 446-1 du code de procédure civile, dispenser une partie qui en fait la demande de se présenter à une audience ultérieure. Dans ce cas, le bureau de jugement organise les échanges entre les parties. La communication entre elles est faite par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par notification entre avocats et il en est justifié auprès du bureau de jugement dans les délais qu’il impartit. A l’issue de la dernière audience, le greffe informe les parties de la date à laquelle le jugement sera rendu. » ; 2o A l’article R. 1455-10, les mots : « articles 484, 486 et 488 à 492 » sont remplacés par les mots : « articles 484, 486, 488 à 492 et 514 ». Art. 5. – Au II de l’article 55 du décret du 11 décembre 2019 susvisé, les mots : « des articles 3 » sont remplacés par les mots : « de l’article 3 ». Section 2 Dispositions relatives au contentieux du surendettement des particuliers Art. 6. – Après le premier alinéa de l’article R. 713-2 du code de la consommation, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Par dérogation, lorsque la commission est destinataire d’un recours ou d’une contestation formé en application du présent livre, le juge est saisi par lettre simple du secrétariat de la commission. » Section 3 Dispositions relatives au Fond de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions Art. 7. – Le deuxième alinéa de l’article R. 422-7 du code des assurances est remplacé par trois alinéas ainsi rédigés : « Dans les trente jours de cet examen, le médecin envoie un pré-rapport au fonds de garantie, à la victime et, le cas échéant, à leurs avocats et au médecin qui a assisté la victime. Ils disposent d’un délai de trente jours à compter de sa réception, pour formuler leurs observations écrites. « Le rapport définitif du médecin doit faire mention des suites données aux observations des parties. Il doit être adressé dans un délai de vingt jours au fonds de garantie, à la victime et, le cas échéant, à leurs avocats et au médecin qui a assisté la victime. Ce délai court à compter de la réception des dernières observations. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

« Si le dommage de la victime n’est pas consolidé, le médecin se prononce dans son rapport sur son état santé actuel et sur ses perspectives d’évolution. Il propose à la victime une nouvelle date d’examen, à laquelle la consolidation est susceptible d’être intervenue. » Art. 8. – Le code de procédure pénale est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa de l’article R. 50-12-2, après les mots : « au demandeur et » sont insérés les mots : « par lettre simple » ; 2o Au premier alinéa de l’article R. 50-17, après les mots : « demande d’avis de réception » sont insérés les mots : « au demandeur et par lettre simple au fonds de garantie » ; 3o A l’article R. 50-20, la seconde phrase est remplacée par la phrase suivante : « Lorsque les parties ne sont ni présentes ni représentées, celles-ci sont informées de ce renvoi par lettre recommandée avec demande d’avis de réception, à l’exception du fonds de garantie qui est informé par lettre simple. » Section 4 Dispositions relatives à la formation des experts judiciaires Art. 9. – I. – Après l’article 34 du titre IV du décret du 23 décembre 2004 susvisé, il est inséré un article 34-1 ainsi rédigé : « Art. 34-1. – Les médecins spécialisés en évaluation des dommages corporels inscrits sur les listes des experts judiciaires dressées par les cours d’appel qui ont démontré un intérêt pour l’examen médical des victimes de terrorisme peuvent suivre une formation sur les enjeux spécifiques de leur prise en charge dispensée par l’Ecole nationale de la magistrature, dont la durée est fixée par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice. » ; II. – Au premier alinéa des articles 38-3 et 38-4 du décret du 23 décembre 2004 susvisé, les mots : « dans sa rédaction en vigueur le lendemain de la publication du décret no 2014-1338 du 6 novembre 2014 relatif à la procédure civile applicable devant la Cour de cassation » sont remplacés par les mots : « dans sa rédaction résultant du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020. » Section 5 Dispositions relatives aux procédures de résiliation de baux d’habitation et de reprise des lieux en cas d’abandon Art. 10. – Le décret du 10 août 2011 susvisé est ainsi modifié : 1o Au premier alinéa de l’article 3, les mots : « juge du tribunal judiciaire » sont remplacés par les mots : « juge des contentieux de la protection » ; 2o L’article 7 est ainsi modifié : a) Aux deuxième et troisième alinéas, le mot : « tribunal » est remplacé par les mots : « juge des contentieux de la protection » ; b) Au cinquième alinéa, le mot : « tribunal » est remplacé par le mot : « juge ». Section 6 Dispositions relatives à l’entrée en vigueur et à l’application outre-mer Art. 11. – I. – A l’article 1575 du code de procédure civile, les mots entre « dans sa rédaction résultant » et « , à l’exception des dispositions » sont remplacés par les mots : « du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020 » ; II. – L’article R. 641-1 du code des procédures civiles d’exécution est ainsi modifié : 1o Après le deuxième alinéa, il est inséré l’alinéa suivant : « L’article R. 121-1 dans sa rédaction résultant du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020 » ; 2o Le quatrième alinéa devenu cinquième est remplacé par les deux alinéas suivants : « Les articles R. 121-6, R. 121-11, et R. 121-13 dans leur rédaction résultant du décret no 2019-1333 du 11 décembre 2019. « Les articles R. 121-7 et R. 121-9 dans leur rédaction résultant du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020. » ; 3o Après le quinzième alinéa devenu dix-septième, il est inséré l’alinéa suivant : « L’article R. 442-2 dans sa rédaction résultant du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020. » ; III. – A l’article R. 771-1 du code de la consommation, le tableau est remplacé par le tableau suivant :

ARTICLES APPLICABLES DANS LEUR REDACTION

R. 711-2 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 712-2 à R. 712-11 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 712-12 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 712-13 à R. 712-19 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

ARTICLES APPLICABLES DANS LEUR REDACTION

R. 713-2 Résultant du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020

R. 713-3 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

Article R. 713-4 Décret no 2019-1333 du 11 décembre 2019

Articles R. 713-5 à R. 713-11 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 721-1 à R. 721-6 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 722-1 à l’exception de son dernier alinéa et R. 722-2 à R. 722-4 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 722-5 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 722-6, R. 722-8 et R. 722-11 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 723-1 à R. 723-8 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 724-1 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 724-2 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 724-3 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

et R. 724-4 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 724-5, R. 724-7 et R. 724-8 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 731-1 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 731-2 et R. 731-3 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 732-1 et R. 732-2 Résultant du décret no 2018-94 du 13 février 2018

D. 732-3 Résultant du décret no 2017-302 du 8 mars 2017

R. 733-1 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 733-2 à R. 732-4 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 733-5, R. 733-6 et R. 733-8 à R. 733-15 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 733-16 et R. 733-17 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 733-18 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 741-1 et R. 741-2 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 741-3 Résultant du décret no 2018-94 du 13 février 2018

R. 741-4 à R. 741-10 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 741-11 et R. 741-12 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 741-13 à R. 741-18 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 742-1 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 742-2 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 742-3 à R. 742-8 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 742-9 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 742-10 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 742-11 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 742-12 et R. 742-13 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 742-14 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 742-15, R. 742-16 à R. 742-22, R. 742-25, R. 742-26, R. 742-42, R. 742-44, R. 742-45 à R. 742-50, Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016 R. 742-52

R. 742-53 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 158

ARTICLES APPLICABLES DANS LEUR REDACTION

R. 742-54 à R. 742-57 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 743-1 Résultant du décret no 2017-896 du 9 mai 2017

R. 743-2 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016

R. 761-1 Résultant du décret no 2016-884 du 29 juin 2016 IV. – A l’article R. 422-10 du code des assurances, les mots : « dans leur rédaction résultant du décret no 2017-643 du 27 avril 2017 relatif au Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions » sont remplacés par les mots : « dans leur rédaction résultant du décret no 2020-1452 du 27 novembre 2020. » Art. 12. – Les articles 7 à 9 entrent en vigueur le lendemain du jour de la publication du présent décret au Journal officiel. Les autres articles entrent en vigueur le 1er janvier 2021. Ils s’appliquent aux instances en cours à cette date, à l’exception des 19o et 25o de l’article 1er et de l’article 10, qui s’appliquent aux instances introduites à compter du 1er janvier 2021. Art. 13. – Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre des outre-mer et le garde des sceaux, ministre de la justice, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 27 novembre 2020. JEAN CASTEX Par le Premier ministre : Le garde des sceaux, ministre de la justice, ÉRIC DUPOND-MORETTI Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, BRUNO LE MAIRE Le ministre des outre-mer, SÉBASTIEN LECORNU 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Décision du 13 novembre 2020 portant modification du règlement intérieur national de la profession d’avocat NOR : JUSC2031098S

Le Conseil national des barreaux, Vu la loi no 71-1130 du 31 décembre 1971 modifiée portant réforme de certaines professions judiciaires et juridiques, notamment son article 21-1 ; Vu le décret no 91-1197 du 27 novembre 1991 modifié organisant la profession d’avocat, notamment son article 38-1 ; Vu la décision du Conseil national des barreaux du 12 juillet 2007 modifiée portant adoption du règlement intérieur national (RIN) de la profession d’avocat, Décide : Art. 1er. – Le règlement intérieur national de la profession d’avocat susvisé est modifié conformément aux articles 2, 3, 4, 5, 6 et 7 de la présente décision. Art. 2. – A l’article 14.2. – « Conditions d’établissement du contrat de collaboration libérale ou salariée », après l’alinéa : « Le conseil de l’ordre peut, dans un délai d’un mois, mettre en demeure les avocats de modifier la convention afin de la rendre conforme aux règles professionnelles. », il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Il procèdera régulièrement à un contrôle des conditions d’exécution du contrat, selon des modalités qu’il fixe. » Art. 3. – A l’article 14.2. – « Structure du contrat », après l’alinéa : « – la possibilité pour l’avocat collaborateur libéral de constituer et développer une clientèle personnelle, sans contrepartie financière ; », il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « – le respect du principe de délicatesse dans l’usage des outils numériques. » Art. 4. – A l’article 14.3. – « Rétrocession d’honoraires, rémunération et indemnisation des missions d’aide juridictionnelle et de commissions d’office », après l’alinéa : « Pendant ses deux premières années d’exercice professionnel, l’avocat collaborateur libéral doit recevoir une rétrocession d’honoraires qui ne peut être inférieure au minimum fixé par le conseil de l’ordre du barreau dont il dépend. », il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « A partir de sa troisième année d’exercice professionnel, l’avocat collaborateur libéral doit recevoir une rétrocession d’honoraires qui ne peut être inférieure au minimum fixé pour la deuxième année d’exercice professionnel par le conseil de l’ordre du barreau dont il dépend, sauf accord exprès et motivé des parties et après contrôle de l’ordre. » Art. 5. – L’article 14.5 est remplacé par les dispositions suivantes : « 14.5 PARENTALITÉ DE L’AVOCAT COLLABORATEUR LIBÉRAL « 14.5.1. PÉRIODES DE SUSPENSION DE L’EXÉCUTION DU CONTRAT DE COLLABORATION LIBÉRALE « CONGÉ MATERNITÉ LIÉ A L’ACCOUCHEMENT DE LA COLLABORATRICE LIBÉRALE « La collaboratrice libérale enceinte est en droit de suspendre l’exécution de sa collaboration pendant au moins seize semaines à l’occasion de son accouchement, réparties selon son choix avant et après son accouchement, avec un minimum de trois semaines avant la date prévue de l’accouchement et un minimum de dix semaines après l’accouchement, et sans confusion possible avec le congé pathologique. « A compter du troisième enfant, cette durée peut être portée à vingt-six semaines. « En cas de naissances multiples, cette durée peut être portée à trente-quatre semaines et à quarante-six semaines pour les grossesses multiples de plus de deux enfants. « CONGÉ PARENTALITÉ « Le père collaborateur libéral ainsi que, le cas échéant, le conjoint collaborateur libéral de la mère ou la personne collaboratrice libérale liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle a le 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 158 droit de suspendre l’exécution de sa collaboration pendant onze jours consécutifs à l’occasion de la naissance de l’enfant. Cette durée est portée à dix-huit jours consécutifs en cas de naissances multiples. Cette période de suspension débute dans les quatre mois suivant la naissance de l’enfant. « Le collaborateur ou la collaboratrice en avise celui avec lequel il ou elle collabore un mois avant le début de la suspension. « CONGÉ EN CAS D’ADOPTION « Le collaborateur libéral ou la collaboratrice libérale qui adopte un enfant est en droit de suspendre l’exécution de sa collaboration jusqu’à dix semaines, à l’occasion de l’arrivée de l’enfant. En cas d’adoption multiple, le congé d’adoption peut être porté à seize semaines. Cette période de suspension débute dans les quatre mois suivant l’arrivée au foyer de l’enfant. « Le collaborateur libéral ou la collaboratrice libérale qui adopte un ou plusieurs enfants en avise celui avec lequel il collabore un mois avant le début de la suspension. « 14.5.2. INDEMNISATION, RÉMUNÉRATION ET DROIT À CONGÉS RÉMUNÉRÉS « CONGÉ MATERNITÉ LIÉ A L’ACCOUCHEMENT DE LA COLLABORATRICE LIBÉRALE « La collaboratrice libérale reçoit pendant la période de suspension de sa collaboration à l’occasion de son accouchement sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous la seule déduction des indemnités perçues dans le cadre du régime d’assurance maladie des professions libérales ou dans le cadre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. « La période de suspension ouvre droit à repos rémunérés. « CONGÉ PARENTALITÉ « Le père collaborateur libéral ainsi que, le cas échéant, le conjoint collaborateur libéral de la mère ou la personne collaboratrice libérale liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle reçoit pendant la période de suspension de sa collaboration à l’occasion de la naissance sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous la seule déduction des indemnités journalières perçues dans le cadre du régime d’assurance maladie des professions libérales ou dans le cadre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. « La période de suspension ouvre droit à repos rémunérés. « CONGÉ EN CAS D’ADOPTION « Le collaborateur libéral ou la collaboratrice libérale adoptant reçoit pendant la période de suspension de sa collaboration sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous la seule déduction des indemnités journalières perçues dans le cadre du régime d’assurance maladie des professions libérales ou dans le cadre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. « La période de suspension ouvre droit à repos rémunérés. « 14.5.3. RUPTURE DU CONTRAT DE COLLABORATION LIBÉRALE EN CAS DE PARENTALITÉ « MATERNITÉ LIÉE A L’ACCOUCHEMENT DE LA COLLABORATRICE LIBÉRALE « A compter de la déclaration par la collaboratrice libérale de son état de grossesse, qui peut être faite par tout moyen, et jusqu’à l’expiration de la période de suspension de l’exécution du contrat à l’occasion de la maternité, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu par le cabinet, sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à l’état de grossesse ou à la maternité. « Sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à l’état de grossesse ou à la maternité, la rupture du contrat de collaboration est nulle de plein droit lorsque le cabinet est informé de la grossesse de la collaboratrice dans un délai de quinze jours à compter de la notification de la rupture. La collaboratrice informe le cabinet en transmettant, par lettre recommandée avec avis de réception ou remise en main propre et contresignée, un certificat médical justifiant de son état de grossesse. « Au retour de la collaboratrice de son congé maternité, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu pendant un délai de huit semaines, sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à la maternité. Dans ce cas, la rupture est notifiée par lettre dûment motivée. « PARENTALITÉ « A compter de l’annonce par le père collaborateur libéral ainsi que, le cas échéant, par le conjoint collaborateur libéral de la mère ou la personne collaboratrice libérale liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle de son intention de suspendre son contrat de collaboration après la naissance de l’enfant, qui peut être faite par tout moyen, et jusqu’à l’expiration de cette période de suspension, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu par le cabinet, sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à la parentalité. « Sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à la parentalité, la rupture du contrat de collaboration est nulle de plein droit lorsque le cabinet est informé de la parentalité dans un délai de quinze jours à compter de la notificationde la rupture. Le collaborateur ou la collaboratrice informe le cabinet en transmettant, par lettre recommandée avec avis de réception ou remise en mains propres et contresignée, une attestation justifiant de la parentalité. « Au retour du collaborateur ou de la collaboratrice de son congé parentalité, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu pendant un délai de huit semaines, sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à la parentalité. Dans ce cas, la rupture est notifiée par lettre dûment motivée. « ADOPTION 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 158

« A compter de l’annonce par la collaboratrice ou le collaborateur libéral de son intention de suspendre sa collaboration à l’occasion de l’arrivée de l’enfant, qui peut être faite par tout moyen, et jusqu’à l’expiration de cette période de suspension, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu par le cabinet, sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à l’adoption. « Sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à l’adoption, la rupture du contrat de collaboration est nulle de plein droit lorsque le cabinet est informé de l’adoption dans un délai de quinze jours à compter de la notification de la rupture. La collaboratrice ou le collaborateur informe le cabinet en transmettant, par lettre recommandée avec avis de réception ou remise en main propre et contresignée, une attestation de l’organisme compétent justifiant de l’arrivée de l’enfant. « Au retour de la collaboratrice ou du collaborateur de son congé d’adoption, le contrat de collaboration libérale ne peut être rompu pendant un délai de huit semaines, sauf manquement grave aux règles professionnelles non lié à l’adoption. Dans ce cas, la rupture est notifiée par lettre dûment motivée. » Art. 6. – Les dispositions de l’article 5 sont applicables aux contrats de collaboration libérale en cours, à l’exception des contrats de collaboration libérale dont l’exécution a été suspendue pour raison de maternité, parentalité ou adoption avant la date de publication de la présente décision. Art. 7. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 13 novembre 2020. La présidente, C. FÉRAL-SCHUHL 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA CULTURE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant inscription sur la liste mentionnée au 1o de l’article L. 122-5-1 du code de la propriété intellectuelle NOR : MICE2028401A

Par arrêté de la ministre de la culture et de la secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des personnes handicapées, en date du 20 novembre 2020, sont inscrits sur la liste mentionnée au 1o de l’article L. 122-5-1 du code de la propriété intellectuelle : 1o Au titre des personnes morales et établissements qui peuvent assurer la reproduction et la représentation d’une œuvre dans les conditions prévues au 1o de l’article L. 122-5-1 du même code : – Association Audiothèque Boucles de Seine 78, 131, rue du Général-Leclerc, 78000 Chatou ; – APAJH Sarthe-Mayenne, S3AS-Centre Jean-Marie Genouël, 52, rue du Puits-de-la-Chaîne, 72000 Le Mans ; – Service de la Lecture publique de la ville de Laval, place de Hercé, BP 1315, 53013 Laval Cedex ; – Ville de Nantes, Bibliothèque municipale, 15, rue de la Haluchère, 44300 Nantes ; – Ville de Nice, Bibliothèque municipale à vocation régionale, 1, avenue Saint-Jean-Baptiste, 06364 Nice 4 ; – Clermont Auvergne Métropole, Réseau de lecture publique, 64, avenue de l’Union-Soviétique, 63007 Clermont-Ferrand ; – Ville de Charenton-le-Pont, Médiathèques (Médiathèque des Quais et Médiathèque de Bercy, 36, quai des Carrières, 94220 Charenton-le-Pont ; – Nantes Métropole, Muséum d’histoire naturelle, 2, cours du Champ-de-Mars, 44923 Nantes Cedex 9 ; – Conseil départemental des Landes, Médiathèque Départementale des Landes (MDL), 240, avenue David- Panay, 40000 Mont-de-Marsan ; – Université Claude Bernard Lyon 1, Service commun de documentation, Bâtiment ASTREE, 6, avenue Gaston-Berger, 69622 Villeurbanne Cedex ; – Université des Antilles, Service commun de la documentation, Campus de Fouillole, BP 250, 97157 Pointe-à- Pitre ; – Université de Corse-Pascal Paoli, Service commun de documentation, avenue du 9-Septembre, bâtiment Desanti, Campus Grimaldi, BP 52, 20250 Corte. 2o Au titre des personnes morales et établissements agréés en vue de demander la mise à disposition des fichiers numériques déposés par les éditeurs en application du 2o de l’article L. 122-5-1 du même code : – Université des Antilles, Service commun de la documentation, Campus de Fouillole, BP 250, 97157 Pointe-à- Pitre ; – Conseil départemental des Landes, Médiathèque Départementale des Landes (MDL), 240, avenue David- Panay, 40000 Mont-de-Marsan. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Décret no 2020-1453 du 27 novembre 2020 portant attribution d’une aide exceptionnelle de solidarité liée à la crise sanitaire aux ménages et aux jeunes de moins de vingt-cinq ans les plus précaires

NOR : SSAA2028806D

Publics concernés : bénéficiaires d’une aide personnelle au logement (APL) âgés de moins de vingt-cinq ans et non étudiants et bénéficiaires d’une aide personnelle au logement (APL) ayant des enfants à charge ; bénéficiaires de l’allocation de solidarité spécifique (ASS), de la prime forfaitaire pour reprise d’activité, de l’allocation équivalent retraite (AER), du revenu de solidarité active (RSA), du revenu de solidarité (RSO) et, à Saint-Pierre-et- Miquelon, de l’allocation de rentrée scolaire ; caisses d’allocations familiales, caisses de mutualité sociale agricole, caisse de sécurité sociale de Mayotte, caisse de protection sociale de Saint-Pierre-et-Miquelon, Pôle emploi. Objet : attribution d’une aide exceptionnelle liée à la crise sanitaire causée par l’épidémie de covid-19. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication. Notice : le décret prévoit le versement d’une nouvelle aide exceptionnelle aux jeunes de 18 à 25 ans, ainsi qu’aux foyers modestes afinqu’ils puissent faire face aux difficultésfinancières liées à la crise sanitaire causée par l’épidémie de covid-19. Cette aide exceptionnelle est de 150 euros pour les bénéficiairesd’une aide personnelle au logement (APL) âgés de moins de 25 ans non étudiants, du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation de solidarité spécifique(ASS), de la prime forfaitaire pour reprise d’activité, de l’allocation équivalent retraite (AER) ou du revenu de solidarité (RSO), et de 100 euros par enfant à charge pour les bénéficiaires du RSA, de l’ASS, de la prime forfaitaire pour reprise d’activité, de l’AER, du RSO, d’une APL ou, à Saint-Pierre-et-Miquelon, de l’allocation de rentrée scolaire. Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment ses articles L. 262-1, L. 262-24 et L. 522-14 ; Vu le code de la construction et de l’habitation, notamment son article L. 821-1 ; Vu le code général des impôts, notamment son article 81 (9o) ; Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 161-1-5, L. 553-2 et R. 512-2 ; Vu le code du travail, notamment ses articles L. 5423-1 et L. 5425-3 ; Vu la loi no 2007-1822 du 24 décembre 2007 modifiée de finances pour 2008, notamment son article 132 ; Vu la loi no 2016-1917 du 29 décembre 2016 modifiée de finances pour 2017, notamment son article 87 ; Vu l’ordonnance no 77-1102 du 26 septembre 1977 modifiée portant extension et adaptation au département de Saint-Pierre-et-Miquelon de diverses dispositions relatives aux affaires sociales, notamment son article 11 ; Vu l’ordonnance no 2002-149 du 7 février 2002 modifiée relative à et à la généralisation des prestations familiales et à la protection sociale dans la collectivité départementale de Mayotte, notamment son article 13 ; Vu le décret no 2002-423 du 29 mars 2002 modifié relatif aux prestations familiales à Mayotte, notamment son article 2 ; Vu le décret no 2008-1024 du 7 octobre 2008 modifié étendant et adaptant à Saint-Pierre-et-Miquelon le régime des prestations familiales, notamment son article 1er ; Vu le décret no 2009-608 du 29 mai 2009 instituant à titre exceptionnel une allocation équivalent retraite pour certains demandeurs d’emploi, notamment son article 1er ; Vu le décret no 2010-458 du 6 mai 2010 instituant à titre exceptionnel une allocation équivalent retraite pour certains demandeurs d’emploi, notamment son article 1er ; Vu l’avis de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle en date du 23 octobre 2020 ; Vu l’avis du conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales en date du 3 novembre 2020 ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 158

Vu l’avis du conseil central d’administration de la Mutualité sociale agricole en date du 4 novembre 2020 ; Vu la saisine du conseil territorial de Saint-Pierre-et-Miquelon en date du 27 octobre 2020 ; Vu la saisine du conseil départemental de Mayotte en date du 28 octobre 2020, Décrète : Art. 1er. – I. – Une aide exceptionnelle de solidarité est attribuée, dans les conditions fixées à l’article 2 du présent décret, aux bénéficiaires d’au moins une des allocations suivantes au titre des mois de septembre ou d’octobre 2020 : 1o Le revenu de solidarité active mentionné à l’article L. 262-1 du code de l’action sociale et des familles ; 2o Le revenu de solidarité mentionné à l’article L. 522-14 du même code ; 3o L’une des aides personnelles au logement mentionnées à l’article L. 821-1 du code de la construction et de l’habitation ou, à Saint-Pierre-et-Miquelon, l’allocation de rentrée scolaire prévue par le 10o de l’article 11 de l’ordonnance du 26 septembre 1977 susvisée ; 4o L’allocation de solidarité spécifique mentionnée à l’article L. 5423-1 du code du travail ; 5o La prime forfaitaire mentionnée à l’article L. 5425-3 du même code dans sa rédaction antérieure à la loi du 29 décembre 2016 susvisée ; 6o L’allocation équivalent retraite mentionnée au II de l’article 132 de la loi du 24 décembre 2007 susvisée, ainsi qu’à l’article 1er du décret du 29 mai 2009 et à l’article 1er du décret du 6 mai 2010 susvisés. II. – Une seule aide est due par foyer. Art. 2. – I. – Les bénéficiaires du revenu de solidarité active mentionné au 1o de l’article 1er ont droit, au titre de l’aide exceptionnelle de solidarité, à un versement de 150 euros sous réserve que le montant de leur allocation dû au titre du mois de septembre ou d’octobre ne soit pas nul. II. – Les bénéficiaires de l’une des allocations mentionnées aux 2o, 4o, 5o et 6o de l’article 1er ont droit à un versement de 150 euros au titre de l’aide exceptionnelle de solidarité, sauf lorsque ce versement est déjà dû pour le foyer au titre du revenu de solidarité active. III. – Les bénéficiaires, âgés de moins de vingt-cinq ans, de l’une des allocations mentionnées au 3o de l’article 1er ont droit, au titre de l’aide exceptionnelle de solidarité, à un versement de 150 euros. Le versement mentionné au premier alinéa du présent III est également accordé aux foyers dans lesquels le conjoint, le concubin ou le partenaire de pacte civil de solidarité d’un bénéficiaire de l’une des allocations mentionnées au 3o de l’article 1er remplit la condition d’âge prévue au même alinéa. Les étudiants sont exclus du bénéfice de l’aide exceptionnelle prévue au 1er alinéa du présent III, sauf s’ils sont par ailleurs signataires d’un contrat prévu à l’article L. 6221-1 du code du travail ou s’ils sont salariés. Le versement mentionné au premier alinéa du présent III n’est pas cumulable avec les versements mentionnés au I et au II. IV. – Les bénéficiaires de l’une des aides mentionnées au 3o de l’article 1er ont droit, au titre de l’aide exceptionnelle de solidarité, à un versement de 100 euros par enfant à charge. Pour être considérés comme à charge, les enfants doivent être à la charge effective et permanente du bénéficiaire de l’aide et remplir les conditions mentionnées à l’article R. 512-2 du code de la sécurité sociale ou, s’agissant du département de Mayotte, à l’article 2 du décret du 29 mars 2002 susvisé ou, s’agissant de la collectivité de Saint-Pierre-et- Miquelon, au 1o de l’article 1er du décret du 7 octobre 2008 susvisé. V. – Les bénéficiaires de l’une des allocations mentionnées aux 1o, 2o, 4o, 5o et 6o de l’article 1er ont également droit, au titre de l’aide exceptionnelle de solidarité, à un versement de 100 euros par enfant à charge, sauf lorsque ce versement est déjà dû pour le foyer au titre d’une des aides personnelles au logement ou, à Saint-Pierre-et- Miquelon, au titre de l’allocation de rentrée scolaire. La notion d’enfant à charge est celle mentionnée au IV et, pour la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon, celle mentionnée au 1o de l’article 1er du décret du 7 octobre 2008 susvisé. Art. 3. – L’aide exceptionnelle de solidarité prévue par le présent décret est à la charge de l’Etat. Elle est versée directement aux foyers bénéficiaires par les organismes débiteurs des prestations mentionnées à l’article 1er. Art. 4. – I. – Tout paiement indu de l’aide exceptionnelle de solidarité attribuée en application du présent décret est récupéré pour le compte de l’Etat par l’organisme chargé du service de celle-ci. La dette correspondante peut être remise ou réduite par cet organisme dans les conditions applicables au recouvrement des indus de l’allocation au titre de laquelle le versement de l’aide exceptionnelle a été perçu. II. – Les articles L. 161-1-5 et L. 553-2 du code de la sécurité sociale, le 13o de l’article 11 de l’ordonnance du 26 septembre 1977 susvisée et l’article 13 de l’ordonnance du 7 février 2002 susvisée sont applicables au recouvrement des montants indûment versés de l’aide exceptionnelle de solidarité attribuée en application du présent décret par les caisses d’allocations familiales, les caisses de la mutualité sociale agricole et la caisse de sécurité sociale de Mayotte, ainsi que par la caisse de prévoyance sociale de Saint-Pierre-et-Miquelon. Art. 5. – Sous réserve des dispositions de l’article 4 du présent décret, l’aide exceptionnelle de solidarité attribuée en application du présent décret est incessible et insaisissable. Art. 6. – La ministre de la transition écologique, le ministre de l’économie, des finances et de la relance, la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, le ministre des outre-mer, le ministre des solidarités et de la santé, la ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du logement, et le ministre délégué 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 158 auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 27 novembre 2020. JEAN CASTEX Par le Premier ministre : Le ministre des solidarités et de la santé, OLIVIER VÉRAN La ministre de la transition écologique, BARBARA POMPILI Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, BRUNO LE MAIRE La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, ELISABETH BORNE Le ministre des outre-mer, SÉBASTIEN LECORNU La ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du logement, EMMANUELLE WARGON Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, OLIVIER DUSSOPT 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 158

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Décret no 2020-1454 du 27 novembre 2020 modifiant le décret no 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire NOR : SSAZ2033094D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé, Vu la directive (UE) 2015/1535 du Parlement européen et du Conseil du 9 septembre 2015 prévoyant une procédure d’information dans le domaine des réglementations techniques et des règles relatives aux services de la société de l’information, et notamment la notification no 2020/734/F ; Vu le code civil, notamment son article 1er ; Vu le code des postes et des communications électroniques, notamment son article D. 98-8-7 ; Vu le code de la santé publique, notamment son article L. 3131-15 ; Vu le décret no 2020-1310 du 29 octobre 2020 modifié prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ; Vu l’urgence, Décrète : Art. 1er. – I. – Le décret du 29 octobre 2020 susvisé est ainsi modifié : 1o L’article 4 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 4. – I. – Tout déplacement de personne hors de son lieu de résidence est interdit à l’exception des déplacements pour les motifs suivants en évitant tout regroupement de personnes : « 1o Déplacements à destination ou en provenance : « a) Du lieu d’exercice ou de recherche d’une activité professionnelle et déplacements professionnels ne pouvant être différés ; « b) Des établissements ou services d’accueil de mineurs, d’enseignement ou de formation pour adultes mentionnés aux articles 32 à 35 du présent décret ; « c) Du lieu d’organisation d’un examen ou d’un concours ; « 2o Déplacements pour effectuer des achats de biens ou pour les besoins de prestations de services qui ne sont pas interdits en application des chapitres 1er et 3 du Titre IV ; « 3o Déplacements pour effectuer des consultations, examens et soins ne pouvant être assurés à distance et pour l’achat de médicaments ; « 4o Déplacements pour motif familial impérieux, pour l’assistance aux personnes vulnérables et précaires, pour la garde d’enfants, ainsi que pour les déménagements ; « 5o Déplacements des personnes en situation de handicap, le cas échéant accompagnées de leur accompagnant ; « 6o Déplacements, sans changement du lieu de résidence, dans la limite de trois heures quotidiennes et dans un rayon maximal de vingt kilomètres autour du domicile, liés aux activités de plein air suivantes : « a) Activité physique ou loisirs individuels, à l’exclusion de toute pratique sportive collective et de toute proximité avec d’autres personnes ; « b) Promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile ; « c) Besoins des animaux de compagnie ; « 7o Déplacements pour répondre à une convocation judiciaire ou administrative ou pour se rendre dans un service public ou chez un professionnel du droit, pour un acte ou une démarche qui ne peuvent être réalisés à distance ; « 8o Participation à des missions d’intérêt général sur demande de l’autorité administrative ; « 9o Déplacements à destination ou en provenance d’un établissement culturel pour les activités qui ne sont pas interdites en application des chapitres 1er, 4 et 5 du titre IV ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 158

« 10o Déplacements à destination ou en provenance d’un lieu de culte ; « 11o Participation à des rassemblements, réunions ou activités sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public qui ne sont pas interdits en application de l’article 3. « II. – Les personnes souhaitant bénéficier de l’une de ces exceptions doivent se munir, lors de leurs déplacements hors de leur domicile, d’un document leur permettant de justifier que le déplacement considéré entre dans le champ de l’une de ces exceptions. « Les mesures prises en vertu du I ne peuvent faire obstacle à l’exercice d’une activité professionnelle sur la voie publique dont il est justifié dans les conditions prévues à l’alinéa précédent. « III. – Le représentant de l’Etat dans le département est habilité à adopter des mesures plus restrictives en matière de trajets et déplacements des personnes lorsque les circonstances locales l’exigent. Toutefois, dans les collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la Constitution, sous réserve que le présent décret leur soit applicable en vertu des dispositions de l’article 55, le représentant de l’Etat est habilité à prendre des mesures d’interdiction proportionnées à l’importance du risque de contamination en fonction des circonstances locales, après avis de l’autorité compétente en matière sanitaire, notamment en les limitant à certaines parties du territoire. » ; 2o L’article 4-1 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 4-1. – Dans les cas où le lieu d’exercice de l’activité professionnelle est le domicile du client, les déplacements mentionnés au a du 1o du I de l’article 4 ne sont, sauf intervention urgente, autorisés qu’entre 6 heures et 21 heures. » ; 3o L’article 28 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 28. – Les établissements relevant des types d’établissements définis par le règlement pris en application de l’article R. 123-12 du code de la construction et de l’habitation peuvent accueillir du public, dans des conditions de nature à permettre le respect des dispositions de l’article 1er, pour : « – les services publics, sous réserve des interdictions prévues par le présent décret ; « – la vente par automates et autres commerces de détail hors magasin, éventaires ou marchés n. c. a. ; « – les activités des agences de placement de main-d’œuvre ; « – les activités des agences de travail temporaire ; « – les services funéraires ; « – les cliniques vétérinaires et cliniques des écoles vétérinaires ; « – les laboratoires d’analyse ; « – les refuges et fourrières ; « – les services de transports ; « – les services de transaction ou de gestion immobilières ; « – l’organisation d’épreuves de concours ou d’examens ; « – l’accueil d’enfants scolarisés et de ceux bénéficiant d’un mode d’accueil en application de l’article L. 227-4 du code de l’action sociale et des familles dans des conditions identiques à celles prévues à l’article 36 ; « – l’activité des services de rencontre prévus à l’article D. 216-1 du code de l’action sociale et des familles ainsi que des services de médiation familiale ; « – l’organisation d’activités de soutien à la parentalité relevant notamment des dispositifs suivants : lieux d’accueil enfants parents, contrats locaux d’accompagnement scolaire et réseaux d’écoute, d’appui et d’accompagnement des parents ; « – l’activité des établissements d’information, de consultation et de conseil conjugal mentionnés à l’article R. 2311-1 du code de la santé publique ; « – les assemblées délibérantes des collectivités et leurs groupements, et les réunions des personnes morales ayant un caractère obligatoire ; « – l’accueil des populations vulnérables et les activités en direction des publics en situation de précarité ; « – l’organisation des dépistages sanitaires, collectes de produits sanguins et actions de vaccination ; « – les événements indispensables à la gestion d’une crise de sécurité civile ou publique et à la continuité de la vie de la Nation. » ; 4o L’article 32 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 32. – I. – Dans les établissements et services d’accueil du jeune enfant mentionnés à l’article R. 2324-17 du code de la santé publique, dans les maisons d’assistants maternels mentionnées à l’article L. 424-1 du code de l’action sociale et des familles et dans les relais d’assistants maternels mentionnés à l’article L. 214-2-1 du même code, l’accueil est assuré dans le respect des dispositions qui leur sont applicables et dans des conditions permettant de limiter au maximum le brassage des enfants appartenant à des groupes différents. « Pour chaque groupe d’enfants que comporte l’établissement, celui-ci est soumis aux dispositions du premier alinéa de l’article R. 2324-43-1 du code de la santé publique dès lors qu’il accueille quatre enfants ou plus. « Un accueil est assuré par les établissements mentionnés au premier alinéa, dans des conditions de nature à prévenir le risque de propagation du virus, au profit des enfants âgés de moins de trois ans des personnels indispensables à la gestion de la crise sanitaire et à la continuité de la vie de la Nation lorsque l’accueil des usagers y est suspendu. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 158

« II. – Les structures mentionnées aux II et III de l’article R. 227-1 du code de l’action sociale et des familles, à l’exclusion de l’accueil de scoutisme avec hébergement et de l’activité d’hébergement mentionnée au dernier alinéa du II du même article, et au troisième alinéa de l’article L. 2324-1 du code de la santé publique sont autorisées à accueillir du public, dans le respect des dispositions qui leur sont applicables et de l’article 36 du présent décret. » ; 5o L’article 35 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 35. – Dans des conditions de nature à permettre le respect des dispositions de l’article 1er : « 1o Les établissements mentionnés au titre V du livre III de la sixième partie du code du travail peuvent accueillir les stagiaires pour les besoins de la formation professionnelle, lorsqu’elle ne peut être effectuée à distance ; « 2o Les établissements mentionnés au livre II du code de la route peuvent accueillir des candidats pour les besoins de l’apprentissage de la conduite et des épreuves du permis de conduire ; « 3o Les établissements mentionnés au chapitre II du titre VII du livre II de la cinquième partie du code des transports sont autorisés à ouvrir au public, lorsque les formations concernées ne peuvent être assurées à distance ; « 4o Les établissements assurant la formation professionnelle des agents publics peuvent accueillir des stagiaires et élèves pour les besoins de leur formation, lorsqu’elle ne peut être effectuée à distance ; « 5o Les établissements mentionnés à l’article L. 5547-3 du code des transports peuvent accueillir les stagiaires pour les besoins de la formation professionnelle maritime, lorsqu’elle ne peut être effectuée à distance ; « 6o Les établissements d’enseignement artistique mentionnés au chapitre Ier du titre VI du livre IV de la deuxième partie du code de l’éducation et les établissements d’enseignement de la danse mentionnés au chapitre II du titre VI du livre IV de la deuxième partie du code de l’éducation sont autorisés à ouvrir au public, pour les seuls pratiquants professionnels et les formations délivrant un diplôme professionnalisant, et les établissements mentionnés à l’article L. 216-2 du code de l’éducation sont autorisés à ouvrir au public pour l’accueil des seuls élèves inscrits dans les classes à horaires aménagés, en série technologique sciences et techniques du théâtre, de la musique et de la danse, en troisième cycle et en cycle de préparation à l’enseignement supérieur, lorsque les formations relevant du présent 6o ne peuvent être assurées à distance ; « 7o Les établissements mentionnés à l’article D. 755-1 du code de l’éducation et les organismes de formation militaire peuvent accueillir les stagiaires et élèves pour les besoins de leur préparation aux opérations militaires, lorsqu’elle ne peut être effectuée à distance ; « 8o Les activités de formation aux brevets d’aptitude aux fonctions d’animateur et de directeur, prévus au 1o de l’article R. 227-12 et au 1o du I de l’article R. 227-14 du code de l’action sociale et des familles, lorsqu’elles ne peuvent être effectuées à distance. » ; 6o L’article 36 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 36. – I. – L’accueil des usagers dans les établissements mentionnés au présent chapitre est organisé dans des conditions de nature à permettre le respect des règles d’hygiène et de distanciation mentionnées à l’article 1er. « Toutefois, dans les établissements et services mentionnés au I de l’article 32, dans les écoles maternelles ainsi que pour les assistants maternels, dès lors que le maintien de la distanciation physique entre le professionnel et l’enfant et entre enfants n’est par nature pas possible, l’établissement ou le professionnel concerné met en œuvre les mesures sanitaires de nature à prévenir la propagation du virus. « Dans les établissements mentionnés au II de l’article 32, l’observation d’une distanciation physique d’au moins un mètre s’applique dans la mesure du possible. Les activités proposées dans les accueils de loisirs extrascolaires, les accueils de jeunes et les accueils de scoutisme sans hébergement sont organisées en plein air. « Dans les établissements d’enseignement relevant des livres IV et VII du code de l’éducation, à l’exception de ceux mentionnés au deuxième alinéa, l’observation d’une distanciation physique d’au moins un mètre ou d’un siège s’applique, entre deux personnes lorsqu’elles sont côte à côte ou qu’elles se font face, uniquement dans les salles de cours et les espaces clos et dans la mesure où elle n’affecte pas la capacité d’accueil de l’établissement. L’accueil est organisé dans des conditions permettant de limiter au maximum le brassage des élèves appartenant à des groupes différents. « II. – Portent un masque de protection : « 1o Les personnels des établissements et structures mentionnés aux articles 32 à 35 ; « 2o Les assistants maternels, y compris à domicile ; « 3o Les élèves des écoles élémentaires ; « 4o Les collégiens, les lycéens et les usagers des établissements mentionnés aux articles 34 et 35 ; « 5o Les enfants de six ans ou plus accueillis en application du II de l’article 32 ; « 6o Les représentants légaux des élèves et des enfants accueillis par des assistants maternels ou dans les établissements mentionnés à l’article 32. « Les dispositions du 2o ne s’appliquent pas lorsque l’assistant maternel n’est en présence d’aucun autre adulte. » ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 158

7o L’article 37 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 37. – I. – Les magasins de vente et centres commerciaux, relevant de la catégorie M, mentionnée par le règlement pris en application de l’article R. 123-12 du code de la construction et de l’habitation, peuvent accueillir du public dans le respect des conditions suivantes : « 1o Les établissements dont la surface de vente est inférieure à 8 m2 ne peuvent accueillir qu’un client à la fois ; « 2o Les autres établissements ne peuvent accueillir un nombre de clients supérieur à celui permettant de réserver à chacun une surface de 8 m2 ; « 3o La capacité maximale d’accueil de l’établissement est affichée et visible depuis l’extérieur de celui-ci. « Lorsque les circonstances locales l’exigent, le préfet de département peut limiter le nombre maximum de clients pouvant être accueillis dans les établissements mentionnés au présent article. « II. – Les établissements mentionnés au I ne peuvent accueillir de public qu’entre 6 heures et 21 heures, sauf pour les activités suivantes : « – entretien, réparation et contrôle techniques de véhicules automobiles, de véhicules, engins et matériels agricoles ; « – fourniture nécessaire aux exploitations agricoles ; « – distributions alimentaires assurées par des associations caritatives ; « – commerce de détail de carburants et combustibles en magasin spécialisé, boutiques associées à ces commerces pour la vente de denrées alimentaires à emporter, hors produits alcoolisés, et équipements sanitaires ouverts aux usagers de la route ; « – commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé ; « – commerce de détail d’articles médicaux et orthopédiques en magasin spécialisé ; « – hôtels et hébergement similaire ; « – location et location-bail de véhicules automobiles ; « – location et location-bail de machines et équipements agricoles ; « – location et location-bail de machines et équipements pour la construction ; « – blanchisserie-teinturerie de gros ; « – commerce de gros fournissant les biens et services nécessaires aux activités mentionnées au présent II ; « – services publics de santé, de sécurité, de transports et de solidarité ouverts la nuit ; « – cliniques vétérinaires et cliniques des écoles vétérinaires ; « – laboratoires d’analyse ; « – refuges et fourrières ; « – services de transport ; « – toutes activités dans les zones réservées des aéroports ; « – services funéraires. » ; 8o L’article 38 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 38. – Les marchés ouverts ou couverts ne peuvent accueillir du public que dans le respect des conditions prévues au présent article. « Les dispositions du III de l’article 3 ne font pas obstacle à ce que les marchés, couverts ou non, reçoivent un nombre de personnes supérieur à celui qui y est fixé,dans le respect des dispositions qui leur sont applicables, dans des conditions de nature à permettre le respect des dispositions de l’article 1er et à prévenir, en leur sein, la constitution de regroupements de plus de six personnes, et sous réserve que le nombre de clients accueillis n’excède pas celui permettant de réserver à chacun une surface de 4 m2 dans les marchés ouverts et de 8 m2 dans les marchés couverts. « Le préfet de département peut, après avis du maire, interdire l’ouverture de ces marchés si les conditions de leur organisation ainsi que les contrôles mis en place ne sont pas de nature à garantir le respect des dispositions de l’alinéa précédent. « Dans les marchés couverts, toute personne de plus de onze ans porte un masque de protection. » ; 9o L’article 42 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 42. – I. – Les établissements relevant des catégories mentionnées par le règlement pris en application de l’article R. 123-12 du code de la construction et de l’habitation figurant ci-après ne peuvent accueillir du public : « 1o Etablissements de type X : Etablissements sportifs couverts ; « 2o Etablissements de type PA : Etablissements de plein air. « II. – Par dérogation, les établissements mentionnés au 1o du I et les établissements sportifs de plein air peuvent continuer à accueillir du public pour : « – l’activité des sportifs professionnels et de haut niveau ; « – les groupes scolaires et périscolaires et les activités sportives participant à la formation universitaire ou professionnelle ; « – les activités physiques des personnes munies d’une prescription médicale ou présentant un handicap reconnu par la maison départementale des personnes handicapées ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 158

« – les formations continues ou des entraînements nécessaires pour le maintien des compétences professionnelles ; « Les établissements sportifs de plein air peuvent également accueillir du public pour : « – les activités encadrées à destination exclusive des personnes mineures ; « – les activités physiques et sportives des personnes majeures, à l’exception des sports collectifs et des sports de combat. « III. – Les hippodromes ne peuvent recevoir que les seules personnes nécessaires à l’organisation de courses de chevaux et en l’absence de tout public. » ; 10o L’article 44 remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 44. – I. – Les activités physiques et sportives autorisées dans les établissements mentionnés par le présent chapitre se déroulent dans des conditions de nature à permettre le respect d’une distanciation physique de deux mètres, sauf lorsque, par sa nature même, l’activité ne le permet pas. « II. – Sauf pour la pratique d’activités sportives, les personnes de plus de onze ans accueillies dans ces établissements portent un masque de protection. « III. – Les vestiaires collectifs sont fermés. » ; 11o L’article 45 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 45. – I. – Les établissements relevant des catégories mentionnées par le règlement pris en application de l’article R. 123-12 du code de la construction et de l’habitation figurant ci-après ne peuvent accueillir du public : « 1o Etablissements de type L : Salles d’auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple, sauf pour : « – les salles d’audience des juridictions ; « – les salles de vente ; « – les crématoriums et les chambres funéraires ; « – l’activité des artistes professionnels ; « – les groupes scolaires et périscolaires, uniquement dans les salles à usage multiple ; « – la formation continue ou professionnelle, ou des entraînements nécessaires pour le maintien des compétences professionnelles, uniquement dans les salles à usage multiple ; « 2o Etablissements de type CTS : Chapiteaux, tentes et structures, sauf pour l’activité des artistes professionnels ; « 3o Etablissements de type P : Salles de danse et salles de jeux ; « 4o Etablissements de type Y : Musées, salles destinées à recevoir des expositions à vocation culturelle (scientifique, technique ou artistique, etc.), ayant un caractère temporaire ; « II. – Lorsque l’accueil du public n’y est pas interdit, les gérants des établissements mentionnés au I, l’organisent, à l’exclusion de tout évènement festif ou pendant lesquels le port du masque ne peut être assuré de manière continue, dans les conditions suivantes : « 1o Les personnes accueillies ont une place assise ; « 2o Une distance minimale d’un siège est laissée entre les sièges occupés par chaque personne ou chaque groupe dans la limite de six personnes venant ensemble ou ayant réservé ensemble ; « 3o L’accès aux espaces permettant des regroupements est interdit, sauf s’ils sont aménagés de manière à garantir le respect de l’article 1er. « III. – Sauf pour la pratique d’activités artistiques, les personnes de plus de onze ans accueillies dans les établissements mentionnés par le présent article portent un masque de protection. La distanciation physique n’a pas à être observée pour la pratique des activités artistiques dont la nature même ne le permet pas. « III bis. – Les établissements de type S : Bibliothèques, centres de documentation et de consultation d’archives, sont autorisés à accueillir du public dans le respect des dispositions des 2o et 3o du II et du III du présent article. « IV. – L’article 44 est applicable aux activités physiques et sportives pratiquées dans les établissements mentionnés au II du présent article. » ; 12o L’article 46 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 46. – I. – Sont ouverts par l’autorité compétente dans des conditions de nature à permettre le respect et le contrôle des dispositions de l’article 1er et de l’article 3 : « 1o Les parcs, jardins et autres espaces verts aménagés dans les zones urbaines ; « 2o Les plages, plans d’eau et lacs. « II. – Le préfet de département peut, après avis du maire, interdire l’ouverture si les modalités et les contrôles mis en place ne sont pas de nature à garantir le respect des dispositions des articles 1er et 3. « Le préfet de département, de sa propre initiative ou sur proposition du maire, peut, en fonction des circonstances locales, décider de rendre obligatoire le port du masque de protection pour les personnes de plus de onze ans. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 158

« III. – L’autorité compétente informe les utilisateurs de ces lieux par affichage des mesures d’hygiène et de distanciation. » ; 13o L’article 47 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 47. – I. – Les établissements de culte, relevant de la catégorie V, sont autorisés à rester ouverts. Tout rassemblement ou réunion en leur sein est interdit à l’exception des cérémonies religieuses dans la limite de 30 personnes. « II. – Toute personne de onze ans ou plus qui accède ou demeure dans ces établissements porte un masque de protection. « L’obligation du port du masque ne fait pas obstacle à ce que celui-ci soit momentanément retiré pour l’accomplissement des rites qui le nécessitent. « III. – Le gestionnaire du lieu de culte s’assure à tout moment, et en particulier lors de l’entrée et de la sortie de l’édifice, du respect des dispositions mentionnées au présent article. « IV. – Le préfet de département peut, après mise en demeure restée sans suite, interdire l’accueil du public dans les établissements de culte si les conditions de leur organisation ainsi que les contrôles mis en place ne sont pas de nature à garantir le respect des dispositions mentionnées au présent article. » ; 14o L’article 56 est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 56. – Les dispositions de l’article D. 98-8-7 du code des postes et communications électroniques sont applicables à la transmission des messages d’alerte et d’information des pouvoirs publics destinés au public pour atténuer les effets de la catastrophe sanitaire. » II. – Les dispositions du I sont applicables aux collectivités de l’article 74 de la Constitution et à la Nouvelle- Calédonie dans les mêmes conditions que les dispositions qu’elles modifient. Art. 2. – Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre de l’intérieur, le ministre des outre-mer et le ministre des solidarités et de la santé sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur immédiatement. Fait le 27 novembre 2020. JEAN CASTEX Par le Premier ministre : Le ministre des solidarités et de la santé, OLIVIER VÉRAN Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, BRUNO LE MAIRE Le ministre de l’intérieur, GÉRALD DARMANIN Le ministre des outre-mer, SÉBASTIEN LECORNU 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Arrêté du 23 novembre 2020 portant prorogation de la liste des associations habilitées à délivrer la formation de base des représentants d’usagers du système de santé NOR : SSAZ2031554A

Le ministre des solidarités et de la santé, Vu le code de la santé publique, notamment le II de son article L. 1114-1 ; Vu l’arrêté du 17 mars 2016 fixant le cahier des charges de la formation de base des représentants d’usagers ; Vu l’arrêté du 4 juillet 2017 fixant la liste des associations habilitées à délivrer la formation de base des représentants d’usagers du système de santé, Arrête : Art. 1er. – L’arrêté du 4 juillet 2017 fixant la liste des associations habilitées à délivrer la formation de base des représentants d’usagers du système de santé est prorogé jusqu’au 31 décembre 2020. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 23 novembre 2020. OLIVIER VÉRAN 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 158

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Arrêté du 24 novembre 2020 fixant le montant du financement exceptionnel de l’Etat pour le maintien de la prise en charge des jeunes majeurs par l’aide sociale à l’enfance jusqu’au 31 décembre 2020 NOR : SSAA2028032A

Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, et le secrétaire d’État auprès du ministre des solidarités et de la santé, chargé de l’enfance et des familles, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment l’article L. 222-5 ; Vu la loi no 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19 ; Vu la loi no 2020-935 du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020, Arrêtent : Art. 1er. – L’enveloppe financière de 50 millions d’euros ouverte par la loi de finances rectificative du 30 juillet 2020 susvisée, au titre de la prise en charge exceptionnelle, par l’Etat, d’une partie du surcoût pour les départements d’un maintien jusqu’au 31 décembre 2020 de la prise en charge des jeunes sortant de l’aide sociale à l’enfance, est répartie au prorata du nombre estimé de ces jeunes précédemment confiés à chaque conseil départemental et devenus majeurs au cours de l’année 2020. Ce nombre est estimé sur la base : – du nombre de jeunes de 16 à 17 ans confiésà l’aide sociale à l’enfance au 31 décembre 2018, issu de l’enquête annuelle « Aide sociale » de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques ; – et de l’évolution entre le 31 décembre 2018 et le 31 décembre 2019 du nombre de mineurs non accompagnés confiés par l’autorité judiciaire et pris en charge par le conseil départemental, calculée à partir des informations transmises par le département au ministère de la justice en application de l’article R. 221-14 du code de l’action sociale et des familles. Les dotations de chaque département figurent dans le tableau annexé au présent arrêté. Art. 2. – La directrice générale de la cohésion sociale et la directrice du budget sont chargées, chacune en ce qui la concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 novembre 2020. Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, OLIVIER DUSSOPT Le secrétaire d’État auprès du ministre des solidarités et de la santé, chargé de l’enfance et des familles, ADRIEN TAQUET 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 158

ANNEXE

01 Ain 462 020 € 52 Haute-Marne 107 294 €

02 Aisne 490 486 € 53 Mayenne 325 166 €

03 Allier 240 864 € 54 Meurthe-et-Moselle 612 012 €

04 Alpes de Haute-Provence 198 165 € 55 Meuse 190 501 €

05 Hautes-Alpes 112 768 € 56 Morbihan 471 874 €

06 Alpes-Maritimes 585 736 € 57 Moselle 759 815 €

07 Ardèche 195 975 € 58 Nièvre 221 157 €

08 Ardennes 200 355 € 59 Nord 1 917 055 €

09 Ariège 133 570 € 60 Oise 662 375 €

10 Aube 297 795 € 61 Orne 261 665 €

11 Aude 264 950 € 62 Pas-de-Calais 1 447 371 €

12 Aveyron 189 406 € 63 Puy-de-Dôme 421 511 €

13 Bouches-du-Rhône 1 549 191 € 64 Pyrénées-Atlantiques 426 985 €

14 Calvados 689 746 € 65 Hautes-Pyrénées 169 699 €

15 Cantal 91 966 € 66 Pyrénées-Orientales 366 770 €

16 Charente 279 183 € 67 Bas-Rhin 697 410 €

17 Charente-Maritime 264 950 € 68 Haut-Rhin 624 056 €

18 Cher 254 002 € 69D Département du Rhône 171 889 €

19 Corrèze 117 147 € 69M Lyon Métropole 964 549 €

20R Collectivité de Corse 137 949 € 70 Haute-Saône 210 208 €

21 Côte-d’Or 371 149 € 71 Saône-et-Loire 391 951 €

22 Côtes-d’Armor 351 442 € 72 Sarthe 394 140 €

23 Creuse 101 820 € 73 Savoie 333 924 €

24 Dordogne 383 192 € 74 Haute-Savoie 571 504 €

25 Doubs 401 804 € 75 Paris 1 497 733 €

26 Drôme 321 881 € 76 Seine-Maritime 1 301 758 €

27 Eure 572 598 € 77 Seine-et-Marne 1 091 550 €

28 Eure-et-loir 365 675 € 78 Yvelines 711 642 €

29 Finistère 745 582 € 79 Deux-Sèvres 332 830 €

30 Gard 291 226 € 80 Somme 517 857 €

31 Haute-Garonne 960 170 € 81 Tarn 364 580 €

32 Gers 176 268 € 82 Tarn-et-Garonne 170 794 €

33 Gironde 1 265 629 € 83 Var 702 884 €

34 Hérault 793 755 € 84 Vaucluse 396 330 €

35 Ille-et-Vilaine 870 393 € 85 Vendée 534 279 €

36 Indre 120 432 € 86 Vienne 493 770 €

37 Indre-et-Loire 528 805 € 87 Haute-Vienne 266 045 € 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 158

38 Isère 665 659 € 88 Vosges 272 614 €

39 Jura 257 286 € 89 Yonne 366 770 €

40 Landes 391 951 € 90 Territoire de Belfort 79 923 €

41 Loir-et-Cher 295 605 € 91 Essonne 1 422 190 €

42 Loire 766 384 € 92 Hauts-de-Seine 1 128 774 €

43 Haute-Loire 244 148 € 93 Seine-Saint-Denis 1 825 089 €

44 Loire-Atlantique 931 704 € 94 Val-de-Marne 927 325 €

45 Loiret 573 693 € 95 Val-d’Oise 787 186 €

46 Lot 90 871 € 971 Guadeloupe 118 242 €

47 Lot-et-Garonne 222 251 € 972 Martinique 214 588 €

48 Lozère 42 699 € 973 Guyane 171 889 €

49 Maine-et-Loire 631 719 € 974 Réunion 340 493 €

50 Manche 332 830 € 976 Mayotte 150 000 €

51 Marne 267 140 € 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 158

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MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Arrêté du 27 novembre 2020 modifiantl’arrêté du 30 mai 2020 définissantles critères de distance et de durée du contact au regard du risque de contamination par le virus du covid-19 pour le fonctionnement du traitement de données dénommé « StopCovid » NOR : SSAP2031658A

Le ministre des solidarités et de la santé, Vu le décret no 2020-650 du 29 mai 2020 relatif au traitement de données dénommé « StopCovid », notamment son article 2 ; Vu l’arrêté du 30 mai 2020 définissant les critères de distance et de durée du contact au regard du risque de contamination par le virus du covid-19 pour le fonctionnement du traitement de données dénommé « StopCovid » ; Vu l’avis de l’Agence nationale de santé publique en date du 10 novembre 2020, Arrête : Art. 1er. – A l’article 1er de l’arrêté du 30 mai 2020 susvisé, les mots : « un contact à moins d’un mètre pendant au moins 15 minutes entre les utilisateurs de l’application « StopCovid ». » sont remplacés par le signe de ponctuation « : », et sont ajoutés deux alinéas ainsi rédigés : « 1o Soit un contact à une distance inférieure ou égale à un mètre pendant cinq minutes ; « 2o Soit un contact à une distance supérieure à un mètre et inférieure ou égale à deux mètres pendant quinze minutes. » Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 27 novembre 2020. OLIVIER VÉRAN 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 158

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MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION

Arrêté du 12 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 14 juin 2004 relatif aux modalités d’élection des membres des conseils des établissements d’enseignement supérieur agricoles publics

NOR : AGRE2025823A

Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le code de la recherche, notamment le chapitre II du titre 1er du livre 1er ; Vu le code de l’éducation, notamment son livre VII ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment son livre VIII ; Vu le décret no 2011-595 du 26 mai 2011 relatif aux conditions et modalités de mise en œuvre du vote électronique par internet pour l’élection des représentants du personnel au sein des instances de représentation du personnel de la fonction publique de l’Etat ; Vu l’arrêté du 14 juin 2004, relatif aux modalités d’élection des membres des conseils des établissements d’enseignement supérieur agricoles publics modifié par l’arrêté du 15 décembre 2006 ; Vu l’avis du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche agricole, agroalimentaire et vétérinaire en date du 12 novembre 2020,

Arrête : Art. 1er. – L’arrêté du 14 juin 2004 susvisé est ainsi modifié : I. – L’article 1er est ainsi rédigé : « Art. 1er. – Le présent arrêté fixe les modalités d’élection des représentants des personnels et des étudiants au conseil d’administration, au conseil d’une école interne créée par arrêté du ministre chargé de l’agriculture, au conseil scientifique, au conseil des enseignants et au conseil de l’enseignement et de la vie étudiante des établissements d’enseignement supérieur agricole publics énumérés par l’article D. 812-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé, à l’exception du 4° de cet article, sous réserve des dispositions particulières figurant dans leur décret statutaire. » ; II. – Après l’article 2, il est inséré un article 2-1 ainsi rédigé : « Art. 2-1. – Pour les élections aux différentes instances énumérées à l’article 1er, le collège des professeurs et personnels assimilés comprend les catégories de personnels suivantes : 1o Professeurs de l’enseignement supérieur agricole et professeurs de l’enseignement supérieur agricole associés ou invités ; 2o Professeurs des universités ; 3o Professeurs des universités-praticiens hospitaliers ; 4o Professeurs des écoles nationales supérieures d’architecture ; 5o Directeurs de recherche des établissements publics scientifiques et technologiques ou de tout autre établissement public ayant une mission de recherche, figurantsur la liste mentionnée à l’article L. 112-6 du code de la recherche susvisé, et chercheurs remplissant des fonctions analogues. Les personnels énumérés au 5o sont assimilés aux professeurs de l’enseignement supérieur agricole sous réserve des dispositions de l’article 3. » III. – Après l’article 18, il est inséré un article 18-1 ainsi rédigé : « Art. 18-1. – Il peut être recouru au vote électronique par internet pour l’élection des représentants des étudiants dans les conditions fixées par les articles 2 à 17 du décret no 2011-595 du 26 mai 2011 susvisé relatif aux conditions et modalités de mise en œuvre du vote électronique par internet pour l’élection des représentants du personnel au sein des instances de représentation du personnel de la fonction publique de l’Etat. » Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 158

Fait le 12 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : La directrice générale de l’enseignement et de la recherche, I. CHMITELIN 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 158

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MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION

Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à l’agrément d’un organisme de sélection (association Bovinext)

NOR : AGRT2032163A

Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le règlement (UE) 2016/1012 du Parlement européen et du Conseil du 8 juin 2016 relatif aux conditions zootechniques et généalogiques applicables à l’élevage, aux échanges et à l’entrée dans l’Union de reproducteurs de race pure, de reproducteurs porcins hybrides et de leurs produits germinaux, notamment ses articles 4, 7 et 8 ; Vu le règlement d’exécution (UE) 2017/716 de la Commission du 10 avril 2017 portant modalités d’application du règlement (UE) 2016/1012 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les modèles de formulaires à utiliser pour la présentation des informations à mentionner sur les listes des organismes de sélection et des établissements de sélection agréés ; Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le chapitre III du titre V du livre VI ; Vu l’arrêté du 12 décembre 2013 modifié relatif à l’enregistrement et à la certification de la parenté des bovins ; Vu l’arrêté du 28 janvier 2015 modifié relatif aux organismes de sélection des animaux d’élevage des espèces bovine, ovine, caprine et porcine ; Vu l’arrêté du 29 avril 2015 fixant la liste des races des espèces bovine, ovine, caprine et porcine reconnues et précisant les ressources zoogénétiques présentant un intérêt pour la conservation du patrimoine génétique du cheptel et l’aménagement du territoire ; Vu l’arrêté du 5 juillet 2019 modifié relatif à l’agrément des organismes de sélection des ruminants et des porcins ; Vu l’avis de la commission thématique interfilières « ressources zoogénétiques » de FranceAgriMer en date du 24 septembre 2020, Arrête : Art. 1er. – Le tableau figurant au I de l’annexe à l’arrêté du 5 juillet 2019 susvisé est complété par une ligne ainsi rédigée : «

Association Bovinext 9, rue de la Vologne Redyblack France 1 20 novembre 2020 54520 Laxou Date d’agrément : 20 novembre 2020

». Art. 2. – I. – L’annexe I à l’arrêté du 12 décembre 2013 susvisé est ainsi modifiée : 1o Dans le tableau figurant au I, il est inséré une ligne ainsi rédigée : «

Redyblack 28

». 2o Dans le tableau figurant au II, la ligne : «

Stabiliser 28

» est supprimée. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 158

II. – Dans le tableau I figurant en annexe à l’arrêté du 29 avril 2015 susvisé, il est inséré une ligne ainsi rédigée : «

Redyblack ». Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour le ministre et par délégation : L’administrateur principal des affaires maritimes, sous-direction filières agroalimentaires, T. ROCHE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 158

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MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION

Arrêté du 24 novembre 2020 relatif au financement du régime de protection sociale des travailleurs indépendants agricoles en Guadeloupe, en Guyane, à la Martinique, à La Réunion, à Mayotte, à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin pour l’année 2020

NOR : AGRS2018282A

Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre des outre-mer, le ministre des solidarités et de la santé et le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le livre VII et les articles D. 781-24, D. 781-27, D. 781-46, D. 781-47, D. 781-48, D. 781-73 et D. 781-74 ; Vu l’avis du conseil central d’administration de la Mutualité sociale agricole en date du 30 juillet 2020 ; Vu l’avis du conseil d’administration de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale en date du 25 septembre 2020 ; Vu l’avis du conseil d’administration de la Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés en date du 22 septembre 2020 ; Vu l’avis du conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales en date du 29 septembre 2020, Arrêtent : Art. 1er. – I. – La cotisation d’assurance maladie et maternité prévue à l’article D. 781-46 du code rural et de la pêche maritime susvisé est calculée suivant les modalités fixées ci-après : – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 2 hectares pondérés et 40 hectares, le montant de la cotisation est égal à 528,26 € majoré de 70,22 € par hectare au-delà de 20 hectares ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 40,01 et 120 hectares, le montant de la cotisation est égal à 1 932,34 € majoré de 55,23 € par hectare au-delà de 40 hectares ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 120,01 et 800 hectares, le montant de la cotisation est égal à 6 351,67 € majoré de 26,13 € par hectare au-delà de 120 hectares ; – lorsque la superficieréelle pondérée de l’exploitation est supérieure à 800 hectares, le montant de la cotisation est égal à 24 111,85 € majorés de 0,37 € par hectare au-delà de 800 hectares. II. – La cotisation d’assurance invalidité prévue à l’article D. 781-46 du code rural et de la pêche maritime est calculée suivant les modalités fixées ci-après : – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 2 hectares pondérés et 40 hectares, le montant de la cotisation est égal à 47,35 € majoré de 6,30 € par hectare au-delà de 20 hectares ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 40,01 et 120 hectares, le montant de la cotisation est égal à 173,23 € majoré de 4,94 € par hectare au-delà de 40 hectares ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 120,01 et 800 hectares, le montant de la cotisation est égal à 569,38 € majoré de 2,33 € par hectare au-delà de 120 hectares ; – lorsque la superficieréelle pondérée de l’exploitation est supérieure à 800 hectares, le montant de la cotisation est égal à 2161,42 € majorés de 0,03 € par hectare au-delà de 800 hectares. Art. 2. – La cotisation d’assurance maladie et maternité prévue à l’article D. 781-48 du code rural et de la pêche maritime est calculée suivant les modalités fixées ci-après : – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 2 hectares pondérés et 40 hectares, le montant de la cotisation est égal à 282,76 € majoré de 61,63 € par hectare au-delà de 20 hectares ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 40,01 et 120 hectares, le montant de la cotisation est égal à 1 515,36 € majoré de 48,48 € par hectare au-delà de 40 hectares ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 120,01 et 800 hectares, le montant de la cotisation est égal à 5 394,76 € majoré de 22,93 € par hectare au-delà de 120 hectares ; – lorsque la superficieréelle pondérée de l’exploitation est supérieure à 800 hectares, le montant de la cotisation est égal à 20 985,09 € majoré de 0,32 € par hectare au-delà de 800 hectares. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 158

Art. 3. – La cotisation forfaitaire prévue à l’article D. 781-47 du code rural et de la pêche maritime est fixée à 26,50 €. Art. 4. – La cotisation mentionnée à l’article D. 781-73 du code rural et de la pêche maritime est calculée suivant les modalités fixées ci-après : – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 2 hectares pondérés et 20 hectares pondérés, le montant de la cotisation est égal à 40,63 € ; – lorsque la superficieréelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 20,01 hectares pondérés et 28 hectares pondérés, le montant de la cotisation est égal à 76,57 € ; – lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 28,01 hectares pondérés et 120 hectares pondérés, le montant de la cotisation est égal à 180,27 €, majoré de 3,76 € par hectare au- delà de 80 hectares ; – lorsque la superficieréelle pondérée de l’exploitation est supérieure à 120 hectares, le montant de la cotisation est égal à 331,27 €. Art. 5. – Le montant de la cotisation mentionnée à l’article D. 781-74 du code rural et de la pêche maritime est égal à 3,87 € par hectare lorsque la surface réelle pondérée de l’exploitation est inférieure ou égale à 20 hectares pondérés et à 21,48 € par hectare lorsque la surface réelle pondérée de l’exploitation est comprise entre 20,01 et 100 hectares pondérés. Lorsque la superficie réelle pondérée de l’exploitation est supérieure à 100 hectares, le montant de la cotisation est égal à 1 796,72 €. Art. 6. – Le montant de la cotisation mentionnée à l’article D. 781-27 du code rural et de la pêche maritime est égal à 2,94 € par hectare lorsque la surface réelle pondérée de l’exploitation est inférieure ou égale à 20 hectares pondérés et à 14,78 € par hectare lorsque la surface réelle pondérée de l’exploitation est supérieure à 20 hectares pondérés. Art. 7. – Le montant du plafond de l’exonération prévue à l’article D. 781-24 du code rural et de la pêche maritime est fixé à : – 2 045,71 € pour les jeunes agriculteurs bénéficiant d’une exonération de 65 % ; – 1 730,98 € pour les jeunes agriculteurs bénéficiant d’une exonération de 55 % ; – 1 101,53 € pour les jeunes agriculteurs bénéficiant d’une exonération de 35 % ; – 786,81 € pour les jeunes agriculteurs bénéficiant d’une exonération de 25 % ; – 472,09 € pour les jeunes agriculteurs bénéficiant d’une exonération de 15 %. Art. 8. – Le directeur des affaires financières, sociales et logistiques et la directrice de la sécurité sociale sont chargés, chancun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 24 novembre 2020. Le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Pour le ministre et par délégation : Le directeur des affaires financières, sociales et logistiques, C. LIGEARD Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, Pour le ministre et par délégation : La sous-directrice chargée de la 6e sous-direction de la direction du budget, M. CHANCHOLE Le ministre des outre-mer, Pour le ministre et par délégation : La directrice générale des outre-mer, S. BROCAS Le ministre des solidarités et de la santé, Pour le ministre et par délégation : La chef de service, adjointe au directeur de la sécurité sociale, M. KERMOAL-BERTHOME 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 158

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MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

TRANSPORTS

Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe exceptionnelle au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) NOR : TRAA2032452A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée au titre de l’année 2021, l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe exceptionnelle au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France). Le nombre de places offertes à cet examen sera fixé ultérieurement. La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 1er décembre 2020. La date de clôture des inscriptions est fixée au 31 janvier 2021, terme de rigueur. L’épreuve écrite d’admissibilité se déroulera le 16 mars 2021. L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 15 juin 2021. Le dossier de reconnaissance des acquis de son expérience professionnelle constitué par le candidat en vue de l’épreuve orale d’admission doit être transmis au service organisateur. Il sera établi en six exemplaires, sous forme papier, et devra impérativement arriver au service organisateur avant le 4 juin 2021 à 16 h 30. Tout candidat ayant déposé son dossier en retard ou incomplet ne sera pas retenu. Les candidats veilleront à envoyer leur dossier en tenant compte des délais d’acheminement du courrier (les remises en main propre sont acceptées). La composition du jury et la liste des candidats admis à concourir feront l’objet d’un arrêté du ministre chargé de l’aviation civile. Cet examen s’adresse uniquement aux assistants d’administration de l’aviation civile justifiant d’au moins un an dans le 5e échelon du deuxième grade et d’au moins trois années de services effectifs dans un corps, cadre d’emplois ou emploi de catégorie B ou de même niveau au 31 décembre 2021. L’arrêté du 9 novembre 2021 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe exceptionnelle au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) est rapporté. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats doivent s’adresser à : direction générale de l’aviation civile, SG/SDP/GCRH/DCE, 50, rue Henry-Farman, 75720 Paris Cedex 15, mél : concours-administratifs-sg-sdp@aviation-civile. gouv.fr. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 158

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MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

TRANSPORTS

Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) NOR : TRAA2032453A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France). Le nombre de places offertes à l’examen professionnel sera fixé ultérieurement par arrêté. La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 1er décembre 2020. La date de clôture des inscriptions est fixée au 31 mai 2021, terme de rigueur. L’épreuve écrite d’admissibilité se déroulera le 21 septembre 2021. L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 30 novembre 2021. Le dossier de reconnaissance des acquis de son expérience professionnelle constitué par le candidat en vue de l’épreuve orale d’admission doit être transmis au service organisateur. Il sera établi en six exemplaires, sous forme papier, et devra impérativement arriver au service organisateur avant le 12 novembre 2021, à 16 h 30. Tout candidat ayant déposé son dossier en retard ou incomplet ne sera pas retenu. Les candidats veilleront à envoyer leur dossier en tenant compte des délais d’acheminement du courrier (les remises en main propre sont acceptées). La composition du jury et la liste des candidats autorisés à se présenter à cet examen professionnel feront l’objet d’arrêtés du ministre chargé de l’aviation civile. Cet examen professionnel est ouvert aux assistants d’administration de l’aviation civile qui justifient, au 1er janvier de l’année de l’examen, de six années de services publics dans un corps ou cadre d’emplois de catégorie B ou de niveau équivalent. L’arrêté du 10 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) est rapporté. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats doivent s’adresser : Direction générale de l’aviation civile, secrétariat général, sous-direction des personnels, bureau de la gestion collective des ressources humaines, division concours et examens (SG/SDP/GCRH/CEX), 50, rue Henry-Farman, 75720 Paris Cedex 15. Mél : [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 158

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MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

TRANSPORTS

Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au titre de l’année 2021 au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) NOR : TRAA2032454A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée, au titre de l’année 2021, l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France). Le nombre de places offertes à cet examen sera fixé ultérieurement par arrêté. La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 1er décembre 2020. La date de clôture des inscriptions est fixée au 31 mai 2021, terme de rigueur. Le dossier de reconnaissance des acquis de son expérience professionnelle constitué par le candidat en vue de l’épreuve d’admission de reconnaissance des acquis et de l’expérience professionnelle doit être transmis au service organisateur. Ce dossier sera établi en six exemplaires, sous forme papier, et devra impérativement arriver au service organisateur avant le 17 septembre 2021 à 16h30. Tout candidat ayant déposé son dossier en retard ou incomplet ne sera pas retenu. Les candidats veilleront à envoyer leur dossier en tenant compte des délais d’acheminement du courrier (les remises en main propre sont acceptées). L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 5 octobre 2021. La composition du jury et la liste des candidats admis à concourir feront l’objet d’arrêtés du ministre chargé de l’aviation civile. Cet examen s’adresse uniquement aux fonctionnaires du corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat, rattachés à la direction générale de l’aviation civile ou à Météo-France justifiant au plus tard le 31 décembre 2021 de 3 ans de services effectifs dans un cadre d’emploi de catégorie A ou de même niveau et avoir atteint le 5e échelon du grade d’attaché. L’arrêté du 9 novembre 2020 autorisant l’ouverture d’un examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat, au titre de l’année 2021, au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) est rapporté. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats doivent s’adresser à : Direction générale de l’aviation civile, SG/SDP/GCRH/DCE, 50, rue Henry-Farman, 75720, Paris Cedex 15. Mél : [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe normale au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) NOR : TRAA2032455A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe normale au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France). Le nombre de places offertes à cet examen sera fixé ultérieurement. La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 1er décembre 2020. La date de clôture des inscriptions est fixée au 31 janvier 2021, terme de rigueur. L’épreuve écrite d’admissibilité se déroulera le 9 mars 2021. L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 26 mai 2021. Le dossier de reconnaissance des acquis de son expérience professionnelle constitué par le candidat en vue de l’épreuve orale d’admission doit être transmis au service organisateur. Il sera établi en six exemplaires, sous forme papier, et devra impérativement arriver au service organisateur avant le 14 mai 2021, à 16 h 30. Tout candidat ayant déposé son dossier en retard ou incomplet ne sera pas retenu. Les candidats veilleront à envoyer leur dossier en tenant compte des délais d’acheminement du courrier (les remises en main propre sont acceptées). La composition du jury et la liste des candidats admis à concourir feront l’objet d’un arrêté du ministre chargé de l’aviation civile. Cet examen s’adresse uniquement aux adjoints d’administration de l’aviation civile justifiant de sept années de services publics au 1er janvier de l’année 2021. L’arrêté du 10 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe normale au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) est rapporté. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats doivent s’adresser à : Direction générale de l’aviation civile, secrétariat général, sous-direction des personnels, bureau de la gestion collective des ressources humaines, division concours et examens (SG/SDP/GCRH/CEX), 50, rue Henry-Farman, 75720 Paris Cedex 15. Mél : [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) NOR : TRAA2032457A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée au titre de l’année 2021, l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France). Le nombre de places offertes à l’examen professionnel sera fixé ultérieurement par arrêté. La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 1er décembre 2020. La date de clôture des inscriptions est fixée au 1er mars 2021, terme de rigueur. L’épreuve écrite d’admissibilité se déroulera le 27 avril 2021. L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 14 septembre 2021. Le dossier de reconnaissance des acquis de son expérience professionnelle constitué par le candidat en vue de l’épreuve orale d’admission doit être transmis au service organisateur. Il sera établi en six exemplaires, sous forme papier, et devra impérativement arriver au service organisateur avant le 20 août 2021, à 16 h 30. Tout candidat ayant déposé son dossier en retard ou incomplet ne sera pas retenu. Les candidats veilleront à envoyer leur dossier en tenant compte des délais d’acheminement du courrier (les remises en main propre sont acceptées). La composition du jury et la liste des candidats admis à concourir feront l’objet d’arrêtés du ministre chargé de l’aviation civile. Cet examen s’adresse uniquement aux adjoints d’administration de l’aviation civile justifiant de onze années de services publics au 1er janvier de l’année au titre de laquelle la nomination intervient. L’arrêté du 9 novembre 2020 autorisant, au titre de l’année 2021, l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistant d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) est rapporté. Nota. – Pour tout renseignement, les candidats doivent s’adresser : direction générale de l’aviation civile, SG/SDP/GCRH/DCE, 50, rue Henry-Farman, 75720, Paris Cedex 15, [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours interne, examen professionnel et sélection professionnelle pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne NOR : TRAA2032458A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours interne, examen professionnel et sélection professionnelle pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne au ministère de la transition écologique et solidaire – direction générale de l’aviation civile. Le nombre de places offertes au recrutement par concours, examen professionnel et sélection professionnelle ainsi que leur répartition seront fixés ultérieurement par arrêté. Les dates d’ouverture et de clôture des inscriptions sont fixées comme suit :

Date de début des inscriptions Date de clôture des inscriptions

Concours interne 1er décembre 2020 17 janvier 2021

Examen professionnel 1er novembre 2020 24 décembre 2020 Sélection professionnelle

Les dates des épreuves d’admissibilité et d’admission sont fixées comme suit :

Epreuve(s) écrite(s) Epreuve(s) orale(s)

Concours interne 15 et 16 avril 2021 à compter du 5 mai 2021

Examen professionnel à compter du 9 mars 2021 Sélection professionnelle

La composition des jurys et les listes des candidats admis à concourir feront l’objet d’arrêtés du ministre chargé de l’aviation civile. L’arrêté du 14 octobre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours interne, examen professionnel et sélection professionnelle pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne est rapporté. L’arrêté du 27 octobre 2020 modifiant le calendrier des inscriptions et des épreuves du concours interne, de l’examen professionnel et de la sélection professionnelle pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne ouverts par arrêté du 14 octobre 2020 est rapporté. Pour tout renseignement et inscriptions, s’adresser à : DGAC/SG/SDP/GCRH/DCE, 50, rue Henry-Farman, 75720 Paris Cedex 15, mél : concours-techniques-sg- [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture des concours et de l’examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs électroniciens des systèmes de la sécurité aérienne NOR : TRAA2032460A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée au titre de l’année 2021, l’ouverture des concours et de l’examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs électroniciens des systèmes de la sécurité aérienne au ministère de la transition écologique - direction générale de l’aviation civile. Le nombre de places offertes aux concours susmentionnés sera fixé ultérieurement par arrêté. Les dates d’ouverture et de clôture des inscriptions sont fixées comme suit :

Date de début des inscriptions Date clôture des inscriptions

Concours externe par spécialités 15 février 2021

Concours externe spécial 1er décembre 2020 15 février 2021

Concours interne 17 janvier 2021

Examen professionnel 9 décembre 2020 14 janvier 2021

Les dates des épreuves d’admissibilité et d’admission sont fixées comme suit :

Epreuves écrites Epreuves orales

Concours externe par spécialités 7 et 8 avril 2021

Concours externe spécial à compter du 7 juin 2021

Concours interne 7 et 8 avril 2021

Examen professionnel 16,17 et 18 mars 2021 La composition des jurys et les listes des candidats admis à concourir, feront l’objet d’un arrêté du ministre chargé de l’aviation civile. L’arrêté du 16 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture des concours et de l’examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs électroniciens des systèmes de la sécurité aérienne est rapporté. Nota. – Pour tous renseignements concernant les concours externes, les candidats doivent s’adresser à : Ecole nationale de l’aviation civile, département Admissions et vie des campus, 7, avenue Edouard-Belin, BP 54005, 31055 Toulouse Cedex (téléphone : 05-62-17-40-72). Les inscriptions s’effectuent uniquement sur le site internet de l’ENAC : https://concours.enac.fr. Pour tous renseignements concernant le concours interne et l’examen professionnel, les candidats doivent écrire par messagerie à l’adresse suivante : [email protected]. Pour le concours interne, les inscriptions s’effectuent uniquement par voie dématérialisée sur le site du ministère de la transition écologique, concours aviation civile : https://www.ecologie.gouv.fr/concours-du-ministere ou sur le site intranet de la direction générale de l’aviation civile « Bravo Victor – concours et examens professionnels ». Pour l’examen professionnel, les inscriptions s’effectuent uniquement par voie dématérialisée sur le site intranet de la direction générale de l’aviation civile « Bravo Victor – concours et examens professionnels ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours et examen professionnel pour l’accès au corps des techniciens supérieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile NOR : TRAA2032461A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée, au titre de l’année 2021, l’ouverture d’un recrutement par concours et examen professionnel pour l’accès au corps des techniciens supérieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile au ministère de la transition écologique, direction générale de l’aviation civile. Le nombre de places offertes aux concours et à l’examen professionnel seront fixés ultérieurement par arrêté. Les dates d’ouverture et de clôture des inscriptions sont fixées comme suit :

Date de début des inscriptions Date clôture des inscriptions

Concours externe 1er février 2021 1er décembre 2020 Concours interne 17 janvier 2021

Examen professionnel 4 janvier 2021 23 février 2021

Les candidats pourront s’inscrire : – au concours externe sur le site internet de l’ENAC (https://concours.enac.fr/) ; – au concours interne sur le site du ministère de la transition écologique (https://www.ecologie.gouv. fr/concours-du-ministere#e1) ou le site intranet de la direction générale de l’aviation civile ; – à l’examen professionnel sur le site intranet de la direction générale de l’aviation civile. Les candidats au concours interne ou à l’examen professionnel devront compléter leur dossier d’inscription des pièces justificatives demandées au format PDF dans le questionnaire en ligne ou à défaut les transmettront par mél avant la date de clôture des inscriptions à l’adresse suivante : [email protected]. Faute d’envoi dans ces délais de ce dossier, l’inscription en ligne sera annulée. Les dates des épreuves d’admissibilité et d’admission sont fixées comme suit :

Epreuves écrites Epreuves orales

Concours externe 12 et 13 avril 2021 2,3 et 4 juin 2021 Concours interne

Examen professionnel 1er juin 2021 1, 2 et 3 septembre 2021 La composition des jurys et les listes des candidats admis à concourir, feront l’objet d’un arrêté du ministre chargé de l’aviation civile. L’arrêté du 16 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un recrutement par concours et examen professionnel pour l’accès au corps des techniciens supérieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile est rapporté. Nota. – Pour tous renseignements concernant les concours externes, les candidats doivent s’adresser à : Ecole nationale de l’aviation civile, département Admissions et vie des campus, 7, avenue Edouard-Belin, BP 54005, 31055 Toulouse Cedex, mél : [email protected]. Pour tous renseignements concernant le concours interne et l’examen professionnel, les candidats doivent écrire par messagerie à l’adresse suivante : [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 portant report des dates de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 NOR : TRAA2032462A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, les dates de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 sont reportées aux 10 et 11 décembre 2020. L’arrêté du 13 novembre 2020 portant report des dates de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour l’avancement au grade d’attaché principal d’administration de l’Etat au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 est rapporté. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 158

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Arrêté du 24 novembre 2020 portant report de la date de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 NOR : TRAA2032463A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, la date de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019, autorisant, au titre de l’année 2020, l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France), est reportée au 16 décembre 2020. L’arrêté du 17 novembre 2020 portant report de la date de l’épreuve orale d’admission de l’examen professionnel pour le recrutement d’assistants d’administration de l’aviation civile de classe supérieure au ministère de la transition écologique (direction générale de l’aviation civile et Météo-France) ouvert par arrêté du 5 novembre 2019 est rapporté. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 158

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TRANSPORTS

Arrêté du 24 novembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile NOR : TRAA2032464A

Par arrêté du ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, en date du 24 novembre 2020, est autorisée, au titre de l’année 2021, l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile au ministère de la transition écologique - direction générale de l’aviation civile. Le nombre de places offertes au recrutement par concours interne, examen professionnel et sélection professionnelle visés à l’article précédent, ainsi que leur répartition seront fixés ultérieurement par arrêté. La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 5 octobre 2020. La date de clôture des inscriptions est fixée au 5 novembre 2019 (terme de rigueur). La date des épreuves écrites d’admissibilité est fixée au 6 janvier 2021. L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 7 juillet 2021. La composition du jury et la liste des candidats admis à subir les épreuves, feront l’objet d’un arrêté du ministre chargé de l’aviation civile. L’arrêté du 23 septembre 2020 autorisant au titre de l’année 2021 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps des ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile est rapporté.

Pour tout renseignement et inscriptions, s’adresser à : DGAC/SG/SDP/GCRH/DCE, 50, rue Henry-Farman, 75720 Paris Cedex 15. Mél : [email protected]. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 158

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MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

Arrêté du 4 novembre 2020 portant nomination d’un directeur régional adjoint de l’environnement, de l’aménagement et du logement (région Auvergne-Rhône-Alpes) NOR : TREK2028376A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique et de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales en date du 4 novembre 2020, M. Yannick MATHIEU, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, est renouvelé dans les fonctions de directeur régional adjoint de l’environnement, de l’aménagement et du logement (groupe II) de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à compter du 1er janvier 2021, pour une durée d’un an. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Etablissement public Grand Paris Aménagement NOR : TREK2031854A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 23 novembre 2020, M. Jérôme ROQUES, directeur adjoint des routes à la direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’Ile-de-France, est désigné représentant de l’Etat au conseil d’administration de l’Etablissement public Grand Paris Aménagement, au titre des transports, en tant que suppléant. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration du Fonds pour le développement d’une politique intermodale des transports dans le massif alpin NOR : TRET2027541A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 24 novembre 2020, M. Didier KRUGER, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, est nommé en tant que membre du conseil d’administration du Fonds pour le développement d’une politique intermodale des transports dans le massif alpin, en qualité de personnalité qualifiée du secteur de l’environnement. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

Arrêté du 25 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’établissement public chargé de l’aménagement de la Ville nouvelle de Sénart NOR : TREK2029535A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 25 novembre 2020, M. Hervé SCHMITT, directeur régional et interdépartemental adjoint de l’équipement et de l’aménagement de la région d’Ile-de-France, est nommé représentant de l’Etat au conseil d’administration de l’établissement public chargé de l’aménagement de la Ville nouvelle de Sénart, en tant que titulaire au titre de l’urbanisme, du logement et des transports, en remplacement de M. Pierre-Yves THOMASSON. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 158

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MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

Arrêté du 21 octobre 2020 portant nomination des membres du conseil scientifique de l’Institut des hautes études de l’éducation et de la formation NOR : MENH2025176A

Par arrêté du ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de la ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation en date du 21 octobre 2020, sont nommés membres du conseil scientifique de l’Institut des hautes études de l’éducation et de la formation : Mme Frédérique ALEXANDRE-BAILLY, directrice générale de l’Office national d’information sur les enseignements et les professions ; Mme Yuri BELFALI, cheffe de la division petite enfance et enseignement scolaire de l’Organisation de coopération et de développement économiques ; M. Alain BOISSINOT, inspecteur général honoraire ; Mme Elisabeth CRÉPON, directrice générale ENSTA ParisTech, présidente de la CTI ; M. Jean-Richard CYTERMANN, inspecteur général honoraire ; M. Thomas FAUCONNIER, sous-directeur du recrutement et de la formation à la direction des ressources humaines du ministère de l’intérieur ; Mme Christine GANGLOFF-ZIEGLER, rectrice de la région académique de la Guadeloupe ; M. Sébastien JAKUBOWSKI, directeur de l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation de Lille ; Mme Delphine MANCEAU, directrice générale, NEOMA Business School ; M. Pierre MATHIOT, directeur de l’Institut d’études politiques de Lille ; M. Romuald NORMAND, professeur des universités à la faculté des sciences sociales de l’université de Strasbourg, directeur du Centre franco-chinois pour l’innovation en éducation, professeur associé à l’Université normale de Pékin ; M. Bertrand PAJOT, inspecteur général de l’éducation, des sports et de la recherche ; M. Franck RAMUS, directeur de recherche à l’Ecole normale supérieure de Paris, membre du conseil scientifique du ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports ; Mme Bénédicte RAVACHE, préfiguratrice de l’Agence d’accompagnement à la reconversion des agents de l’Etat, membre du Comité d’orientation pour l’emploi et du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes ; Mme Dominique SCHNAPPER, présidente du Conseil des sages de la laïcité, directrice d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 23 novembre 2020 portant admission à la retraite (attachés d’administration) NOR : ECOP2032284A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 23 novembre 2020, M. Soria Sin, attaché d’administration de l’Etat, est admis, par limite d’âge, à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 1er mars 2021. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 24 novembre 2020 portant cessation de fonctions (inspection générale des finances) NOR : ECON2031155A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 24 novembre 2020, il est mis fin, à compter du 1er janvier 2021, aux fonctions d’inspecteur des finances auprès du service de l’inspection générale des finances exercées par M. John HOULDSWORTH, administrateur territorial hors classe. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 24 novembre 2020 portant désignation du directeur du service d’analyse de risque et de ciblage par intérim NOR : ECOD2032704A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 24 novembre 2020, M. Yann AMBACH, directeur des services douaniers de 2e classe, adjoint au chef du service d’analyse de risque et de ciblage (SARC), est chargé d’assurer l’intérim des fonctions de directeur du SARC, à compter du 1er décembre 2020, jusqu’à la désignation du nouveau titulaire des fonctions. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 26 novembre 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : ECOP2027464A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 26 novembre 2020, Mme Coralie OUDOT, ingénieure générale des mines, est renouvelée dans l’emploi de sous- directeur des ressources humaines, des affaires financières et de l’organisation à la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, à l’administration centrale du ministère de l’économie, des finances et de la relance, pour une durée de trois ans, à compter du 26 décembre 2020. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

Arrêté du 26 novembre 2020 portant nomination (administration centrale) NOR : ECOP2027477A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 26 novembre 2020, M. Benjamin DELOZIER, administrateur hors classe de l’Institut national de la statistique et des études économiques, est renouvelé dans l’emploi de chef du service de la compétitivité, de l’innovation et du développement des entreprises de la direction générale des entreprises, à l’administration centrale du ministère de l’économie, des finances et de la relance, pour une durée de deux ans, à compter du 26 décembre 2020. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES ARMÉES

Arrêté du 9 novembre 2020 portant réintégration, admission à la retraite et radiation des cadres (ingénieurs civils de la défense) NOR : ARMH2032616A

Par arrêté du directeur du centre ministériel de gestion de Lyon en date du 9 novembre 2020, M. Jean-Pierre CARIOU, ingénieur civil divisionnaire de la défense, en position de détachement, est réintégré au ministère des armées et, est admis à faire valoir ses droits à la retraite, sur sa demande, à compter du 1er mars 2021. A cette même date, l’intéressé est radié des cadres du ministère des armées. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES ARMÉES

Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au grade d’infirmier en soins généraux et spécialisés de 2e grade du ministère de la défense au titre de 2021 NOR : ARMH2032339A

Par arrêté du ministre des armées en date du 23 novembre 2020, sont nommées au choix au grade d’infirmier civil en soins généraux et spécialisés de 2e grade du ministère de la défense à la date du 1er janvier 2021 :

Centre ministériel de gestion de Saint-Germain-en-Laye Mme Cécile MESSAGER. Mme Sophie PAYAN.

Institution nationale des invalides Mme Elsa WOUE. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES ARMÉES

Arrêté du 23 novembre 2020 portant admission à la retraite et radiation des cadres (ingénieurs civils de la défense) NOR : ARMH2032586A

Par arrêté de la directrice du centre ministériel de gestion de Metz en date du 23 novembre 2020, M. Gilles BOMBARDE, ingénieur civil de la défense, est admis à faire valoir ses droits à la retraite, sur sa demande, à compter du 1er mars 2021. A cette même date, l’intéressé est radié des cadres du ministère des armées. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES ARMÉES

Arrêté du 25 novembre 2020 portant nomination de rapporteurs au conseil prévu à l’article L. 4139-15-1 du code de la défense NOR : ARMH2032806A

Par arrêté de la ministre des armées en date du 25 novembre 2020 : I. – Le capitaine Jonathan RIDOU est renouvelé dans ses fonctions de rapporteur du conseil prévu à l’article L. 4139-15-1 du code de la défense. II. – La capitaine Laurianne BONINO est nommée rapporteur du conseil prévu à l’article L. 4139-15-1 du code de la défense, en remplacement de la commandante Céline PETETIN. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Décret du 27 novembre 2020 portant nomination de la sous-préfète de Commercy - Mme GUÉNEAU (Camille) NOR : INTA2031145D

Par décret du Président de la République en date du 27 novembre 2020, Mme Camille GUÉNEAU, administratrice territoriale, est nommée sous-préfète, sous-préfète de Commercy. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Décret du 27 novembre 2020 portant nomination de la sous-préfète de Verdun - Mme TOURTE-TROLUE (Marie-Paule) NOR : INTA2031146D

Par décret du Président de la République en date du 27 novembre 2020, Mme Marie-Paule TOURTE-TROLUE, sous-préfète hors classe, est nommée sous-préfète de Verdun. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 25 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de la police NOR : INTC2029389A

Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 25 novembre 2020, sont nommés membres du conseil d’administration de l’Ecole nationale supérieure de la police : En qualité de représentants élus des personnels affectés à l’école : Au titre des organisations syndicales Alliance Police nationale – SNAPATSI – Synergie officiers – SICP : M. Gilles GARIN (titulaire), en remplacement de M. Laurent DENOUVION (titulaire) ; M. Sébastien ELGER (suppléant), en remplacement de M. Gilles GARIN (suppléant). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 27 novembre 2020 portant cessation de fonctions de la commissaire déléguée de la République pour la province Nord auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie NOR : INTA2030211A

Par arrêté du ministre de l’intérieur et du ministre des outre-mer en date du 27 novembre 2020, il est mis fin aux fonctions de commissaire déléguée de la République pour la province Nord auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie exercées par Mme Marie-Paule TOURTE-TROLUE, sous-préfète hors classe en position de service détaché. Elle sera appelée à de nouvelles fonctions. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 158

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MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 27 novembre 2020 portant nomination de la commissaire déléguée de la République pour la province Nord auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie NOR : INTA2031121A

Par arrêté du ministre de l’intérieur et du ministre des outre-mer en date du 27 novembre 2020, Mme Annick BAILLE, ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts de classe normale, est nommée commissaire déléguée de la République pour la province Nord auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle- Calédonie. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031241A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date 20 novembre 2020, Mme DIAS (Nely) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société civile professionnelle « LAPEYRE DUCROS AUDEMARD, notaires associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial » à la résidence d’Avignon (Vaucluse). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031242A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020 : Mme LALA (Salma), anciennement notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société civile professionnelle « Jean-Marc MAREL, Christophe POPINEAU, Valérie ROCCA, Marie-Josée AH-FENNE, Nathalie CHAN KHU HINE et Sylvie PONS-SERVEL, Notaires associés (Société Civile Professionnelle titulaire d’un office notarial) » à la résidence de Saint-Denis (La Réunion), est nommée notaire associée, membre de la société civile professionnelle « Société Civile Professionnelle Pierre SAHUC, Kate HO KIN et Pauline SAYNHO, notaires associés », titulaire d’un office de notaire à la résidence de Saint-Leu (La Réunion). La dénomination sociale de la société civile professionnelle « Société Civile Professionnelle Pierre SAHUC, Kate HO KIN et Pauline SAYNHO, notaires associés » est ainsi modifiée : « Société Civile Professionnelle Pierre SAHUC, Kate HO KIN, Pauline SAYNHO et Salma LALA notaires associés ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031243A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, Mme CORBINAIS (Morgane, Gaëlle) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société d’exercice libéral à responsabilité limitée « OFFICE NOTARIAL PAIMPOLAIS » à la résidence de Paimpol (Côtes-d’Armor). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031244A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, Mme BLAIS (Emilia, Agathe) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société d’exercice libéral à responsabilité limitée « Guillaume DEVENYNS, Stéphane BENASLI et Emmanuelle DEXMIER, notaires associés - Office des Arts » à la résidence de Nantes (Loire-Atlantique). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’un notaire salarié (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031245A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, M. BOURDEIX (Hugues, Edouard, Pierre, René) est nommé en qualité de notaire salarié au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société d’exercice libéral à responsabilité limitée « Fideis Notaires » à la résidence de Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 constatant le transfert d’un office de notaire (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031246A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, l’office de notaire à la résidence de Divonne-les-Bains (Ain) dont est titulaire Mme FERRARI (Vanina), épouse CRISTOFINI, est transféré à la résidence de Valleiry (Haute-Savoie). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031247A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, Mme RAZAT (Marleen, Jennifer) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire Mme EPAILLY (Louise, Marie), épouse LANTERNA, à la résidence de Beauzelle (Haute-Garonne). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031248A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, Mme BARBARIT (Alice, Sophie) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société d’exercice libéral par actions simplifiée « Pierre-Alain LE GAL, Grégoire TAGOT, Maxime BERTIN et Olivier ALLILAIRE, notaires associés » à la résidence de Melun (Seine-et-Marne). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une société à responsabilité limitée à associé unique (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031249A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020 : La démission de Mme RENOUST (Béatrice, Sylvie), épouse POMPA, notaire à la résidence de Reyrieux (Ain), est acceptée. La société à responsabilité limitée à associé unique « BEATRICE POMPA – OFFICE NOTARIAL DE REYRIEUX », constituée pour l’exercice de la profession de notaire, est nommée notaire à la résidence de Reyrieux (Ain), en remplacement de Mme RENOUST (Béatrice, Sylvie), épouse POMPA. Mme RENOUST (Béatrice, Sylvie), épouse POMPA, est nommée notaire associée. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 portant nomination d’une société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031250A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020 : La démission de Mme JAVOUHEY (Elisabeth, Marie-Pierre), épouse BEAUNÉE, notaire à la résidence de Dijon (Côte-d’Or), est acceptée. La société civile professionnelle « Constant JOUFFROY, Nicolas JOUFFROY, Arielle BONNOTTE, Sébastien MIGNEREY, notaires, associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office de notarial », titulaire d’un office de notaire à la résidence Dijon (Côte-d’Or), est nommée notaire à la résidence de Dijon (Côte-d’Or), en remplacement de Mme JAVOUHEY (Elisabeth, Marie-Pierre), épouse BEAUNÉE. Mme JAVOUHEY (Elisabeth, Marie-Pierre), épouse BEAUNÉE, est nommée notaire associée, membre de la société civile professionnelle « Constant JOUFFROY, Nicolas JOUFFROY, Arielle BONNOTTE, Sébastien MIGNEREY, notaires, associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office de notarial » pour exercer dans l’office dont cette dernière est devenue titulaire à la résidence de Dijon (Côte-d’Or), suivant le présent arrêté. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à une société par actions simplifiée (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2031252A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020 : M. MATIVET (Laurent, Jacques, Charles) et M. SUZZONI (Pierre-Dominique, Charles, Mathieu) sont nommés notaires associés, membres de la société par actions simplifiée « Jean-François MATIVET & François Mathieu- SUZZONI, Notaires Associés », anciennement société civile professionnelle « Maîtres Jean-François Mativet et François, Mathieu Suzzoni, notaires, associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial », titulaire d’un office de notaire à la résidence d’Ajaccio (Corse-du-Sud). Le retrait de M. MATIVET (Jean-François, Michel) et de M. SUZZONI (François, Mathieu), notaires associés, membres de la société par actions simplifiée « Jean-François MATIVET & François Mathieu-SUZZONI, Notaires Associés », sont acceptés. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 constatant le transfert d’un office de notaire (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2032041A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020, l’office de notaire à la résidence de Flayosc (Var) dont est titulaire Mme GIRAUDI (Patricia, Elvire, Gina) est transféré à la résidence de Figanières (Var). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 20 novembre 2020 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels) NOR : JUSC2032042A

Par arrêté de la garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 20 novembre 2020 : M. MOUZON (Alexandre) est nommé notaire associé, membre de la société civile professionnelle « Robert MOUZON et Jean-Paul CATTELAIN, Notaires associés », titulaire d’un office de notaire à la résidence de Charleville-Mézières (Ardennes). La dénomination sociale de la société civile professionnelle « Robert MOUZON et Jean-Paul CATTELAIN, Notaires associés » est ainsi modifiée : « SCP R. MOUZON, J.P. CATTELAIN et A. MOUZON ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 25 novembre 2020 modifiant l’arrêté du 18 décembre 2019 portant désignation d’assesseurs des tribunaux pour enfants (1re liste DOM-COM) NOR : JUSF2026916A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 25 novembre 2020, les dispositions de l’arrêté du 18 décembre 2019 portant désignation d’assesseurs des tribunaux pour enfants (1re liste DOM-COM) sont modifiées comme suit : Les mots :

« COUR D’APPEL DE FORT-DE-FRANCE Tribunal pour enfants de Fort-de-France Assesseur suppléant : M. VERBODE Olivier » sont remplacés par les mots :

« COUR D’APPEL DE FORT-DE-FRANCE Tribunal pour enfants de Fort-de-France Assesseur suppléant : M. VEBODE Olivier ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 158

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MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 25 novembre 2020 portant admission à la retraite (tribunaux administratifs et cours administratives d’appel) NOR : JUSE2032063A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 25 novembre 2020, Mme Brigitte Vidard, présidente du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, est admise, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 1er avril 2021. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 26 novembre 2020 portant maintien en détachement (Conseil d’Etat) NOR : JUSE2031473A

Par arrêté du Premier ministre en date du 26 novembre 2020, M. Eric AUBRY, conseiller d’Etat, est maintenu dans la position de détachement auprès du président du Sénat, pour une durée de deux ans, à compter du 20 octobre 2020, afin de continuer d’exercer les fonctions de conseiller spécial auprès du président du Sénat. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 158

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MINISTÈRE DE LA CULTURE

Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination de la directrice de l’Ecole du Louvre NOR : MICB2028485A

Par arrêté de la ministre de la culture en date du 23 novembre 2020, Mme Barbillon (Claire), professeure des universités, est nommée directrice de l’Ecole du Louvre, en renouvellement de son mandat. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 158

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MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Arrêté du 18 novembre 2020 désignant les membres des commissions nationales du vote électronique (CNVE) instituées en vue des élections organisées pour le renouvellement des unions régionales de professionnels de santé

NOR : SSAS2031668A

Par arrêté du directeur de la sécurité sociale et de la directrice générale de l’offre de soins en date du 18 novembre 2020, et en application de l’article R. 4031-23 du code de la santé publique : 1o Sont nommés à la commission nationale du vote électronique compétente pour les médecins : a) Pour la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) : MM. Jean-Paul ORTIZ, Franck DEVULDER et Luc DUQUESNEL, titulaires ; MM. Rémi UNVOIS, Bruno PERROUTY et Stéphane LANDAIS, suppléants. b) Pour la Fédération des médecins de France (FMF) : M. Claude BRONNER, Mme Corinne LE SAUDER et M. Jean-Marc LARUELLE, titulaires ; M. Jean-Pierre FUSARI, M. Pierre-Jean TERNAMIAN et Mme Geneviève RICHARD, suppléants. c) Pour la Fédération française des médecins généralistes (MG France) : M. Jean-Louis BENSOUSSAN, Mme Isabelle DOMENECH-BONET et M. Jean-Claude SOULARY, titulaires ; Mme Alice PERRAIN et M. Gilles URBEJTEL, suppléants. d) Pour le Syndicat des médecins libéraux (SML) : MM. Philippe VERMESCH, Frédéric TRYNISZEWKI et Jean-Luc LEYMARIE, titulaires ; Mme Sophie BAUER, M. William JOUBERT et Mme Patricia LUBELSKI, suppléants. e) Pour l’Union française pour une médecine libre – Syndicat (UFML-S) : MM. Jérôme MARTY, Stephan MELLER et Philippe PIZZUTI, titulaires ; M. David SCHAPIRO, Mme Lamia SLITINE et Mme Valérie BRIOLE, suppléants. f) Pour l’union syndicale « Avenir Spé » « Le BLOC Union AAL-SYNGOF-UCDF » : MM. Philippe CUQ, Patrick GASSER et Bertrand DE ROCHAMBEAU, titulaires ; MM. François HONORAT, Vincent PRADEAU et Bruno STACH, suppléants. 2o Sont nommés à la commission nationale du vote électronique compétente pour les chirurgiens-dentistes : a) Pour Les Chirurgiens-dentistes de France (Les CDF) : M. Christophe BARBOU, M. Rémi MARCHAND et Mme Sonia VEROT, titulaires ; MM. Frédéric CAMELOT, Gérard MOREL et Pierre-Olivier DONNAT, suppléants. b) Pour la Fédération des syndicats dentaires libéraux (FSDL) : MM. Jean-Paul COPPI, Matthieu DELBOS et Patrick SOLERA, titulaires ; Mme Béatrice ALDEGUER, M. Gérard TOLILA et Mme Isabelle SALECK, suppléants. c) Pour le Syndicat des femmes chirurgiens-dentistes (SFCD) : Mmes Nathalie DELPHIN, Marianne FRANCHI et Nathalie RICHARD, titulaires ; Mmes Constance GAN, Clémence BERTRAND et Marie-Christine BARBOTIN, suppléantes. d) Pour l’Union dentaire (UD) : M. Sébastien ABIN, Mme Sophie BRASSART et M. Franck MOUMINOUX, titulaires ; Mme Muriel WAGNER, M. Bruno LEVOLLANT et M. Clément NEVEU, suppléants. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 158

3o Sont nommés à la commission nationale du vote électronique compétente pour les infirmiers : a) Pour Convergence infirmière - Confédération nationale des syndicats d’infirmiers libéraux français : Mme Sylvie CIRON, M. Xavier CALOIN et Mme Lucienne CLAUSTRES-BONNET, titulaires ; MM. Alain ROCHOIS, Frédéric DEUBIL et Franz BOUSSEGUI, suppléants. b) Pour la Fédération nationale des infirmiers (FNI) : M. Daniel GUILLERM, Mme Pascale LEJEUNE et M. Christophe MINGHETTI, titulaires ; M. Julien BOEHRINGER, Mme Corinne BOURSEAUD et M. Jean-François BOUSCARAIN, suppléants. c) Pour INFIN’IDELS Syndicat des infirmiers libéraux : Mme Michelle DROUIN, M. Pierre HOYER et Mme Cécile SALLENEUVE, titulaires ; Mme Virginie PAINSET, Mme Florence SCHNEIDER et M. Frédéric BEDAR, suppléants. d) Pour le Syndicat national des infirmières et infirmiers libéraux (SNIIL) : Mme Marianne PACHE, M. David GUILLET et Mme Audrey FERULLO, titulaires ; Mme Béatrice BEN, M. John PINTE et Mme Catherine KIRNIDIS, suppléants. 4o Sont nommés à la commission nationale du vote électronique compétente pour les masseurs- kinésithérapeutes : a) Pour le syndicat ALIZE : Mme Michèle MUTEAU, M. Pierre-Antoine GAU et Mme Marie-Aude SCHMUCKEL, titulaires ; MM. Romain BESOMBES, Jérôme ALAPHILIPPE et Ludovic BRAYE, suppléants. b) Pour la Fédération française des masseurs kinésithérapeutes rééducateurs (FFMKR) : Mme Sylvie DESALEUX, M. Philippe THEURIAU et Mme Corinne FRICHE, titulaires ; M. Ludwig SERRE, Mme Céline MARCHAL et M. Emmanuel COFFIN, suppléants. c) Pour le Syndicat national des masseurs kinésithérapeutes rééducateurs (SNMKR) : MM. Yvan TOURJANSKY, Marik FETOUH et Mickaël MULON, titulaires ; Mme Christelle BAËS, M. Matthieu SAINT-CAST et M. Marc PETITPREZ, suppléants. 5o Sont nommés à la commission nationale du vote électronique compétente pour les pharmaciens : a) Pour la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) : M. Philippe BESSET, Mme Jocelyne WITTEVRONGEL et M. Pierre FERNANDEZ, titulaires ; MM. Eric GARNIER, Frank BASQUE et Quentin LEPREVOST, suppléants. b) Pour l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) : MM. Gilles BONNEFOND, Pierre-Olivier VARIOT et Renaud NADJAHI, titulaires ; M. Auguste LAPLACE, M. Sébastien LAGOUTTE et Mme Bénédicte BERTHOLOM, suppléants. 6o Sont nommés à la commission nationale du vote électronique compétente pour les orthophonistes : Pour la Fédération nationale des orthophonistes (FNO) : Mmes Anne DEHÊTRE, Agnès SICIAK TARTARUGA et Emily BENCHIMOL, titulaires ; Mmes Marie DUTILLEUL, Sarah DEGIOVANI et Nathalie JULIENNE, suppléantes. Les six commissions nationales du vote électronique sont présidées par M. Claude LAVIGNE, inspecteur général des affaires sociales. M. François GODINEAU, expert de haut niveau à la direction de la sécurité sociale, est son suppléant. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 158

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MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales NOR : SSAS2031862A

Par arrêté du ministre des solidarités et de la santé en date du 23 novembre 2020, sont nommés en tant que membres du conseil d’administration de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales : M. Marc SCHOLLER, membre titulaire, en remplacement de M. Romain BEGUE, représentant la Caisse nationale de l’assurance maladie ; Mme Isabelle LECLERC, membre titulaire, en remplacement de Mme Marie-Christine BURNIER, représentant la Fédération hospitalière de France. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Arrêté du 25 novembre 2020 portant abrogation de l’arrêté du 13 février 2018 portant nomination des membres de la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles NOR : SSAS2032815A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance et du ministre des solidarités et de la santé en date du 25 novembre 2020, l’arrêté du 13 février 2018 portant nomination des membres de la commission des accidents du travail et des maladies professionnelles est abrogé. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION

Arrêté du 18 novembre 2020 portant admission à la retraite (inspecteurs de santé publique vétérinaire) NOR : AGRS2031549A

Par arrêté du ministre de l’agriculture et de l’alimentation en date du 18 novembre 2020, Mme Fabienne BARTHELEMY, inspectrice en chef de santé publique vétérinaire, est admise, sur sa demande, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, à compter du 1er mars 2021. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

LOGEMENT

Arrêté du 23 novembre 2020 portant nomination au conseil d’administration de l’Etablissement public Grand Paris Aménagement NOR : LOGL2031751A

Par arrêté de la ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du logement, en date du 23 novembre 2020, Mme Muriel BENSAÏD, adjointe au chef du service planification,aménagement et foncier à la direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement de la région d’Ile-de-France, est nommée représentante de l’Etat au conseil d’administration de l’Etablissement public Grand Paris Aménagement au titre de l’urbanisme, en tant que suppléante, en remplacement de M. Pierre-Yves THOMASSON. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

COMPTES PUBLICS

Arrêté du 20 octobre 2020 portant admission à la retraite (administrateurs des finances publiques) NOR : CCPE2028264A

Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, en date du 20 octobre 2020, Mme Brigitte ORMIERES, administratrice des finances publiques de 5e échelon, détachée dans l’emploi de cheffe du service des impôts des entreprises d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), est admise, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite à compter du 1er janvier 2021, en application des dispositions des articles L. 4 (1o) et L. 25 bis du code des pensions civiles et militaires de retraite. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

COMPTES PUBLICS

Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination (agents comptables) NOR : CCPE2030358A

Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, en date du 24 novembre 2020, M. Pascal BARDIN, administrateur des financespubliques adjoint, est nommé agent comptable du Groupement de coopération sanitaire « Psychiatrie publique 33 », en remplacement de M. Abdenahim CHAIBI. Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressé. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

COMPTES PUBLICS

Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination (agents comptables) NOR : CCPE2031773A

Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, en date du 24 novembre 2020, M. Thibaut GERNEZ, inspecteur des finances publiques, est nommé agent comptable de la Caisse de crédit municipal de Roubaix, en remplacement de M. Marc-Emmanuel BOUCHE. Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressé. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 158

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA RELANCE

COMPTES PUBLICS

Arrêté du 24 novembre 2020 portant nomination (agents comptables) NOR : CCPE2032561A

Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, en date du 24 novembre 2020, Mme Fatima BALLIS, inspectrice des finances publiques, est nommée agent comptable du Groupement de coopération sanitaire « SIMETRIQS » (création). Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressée. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 6 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire (no 2216)

NOR : MTRT2029775A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 26 juillet 2002 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire du 12 juilet 2001 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord du 5 mai 2020 portant mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle sur la reconversion ou promotion par l’alternance (PRO-A), conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 3 octobre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords), rendu lors de la séance du 5 novembre 2020, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire du 12 juilet 2001, les stipulations de l’accord du 5 mai 2020 portant mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle sur la reconversion ou promotion par l’alternance (PRO-A), conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. L’article 4 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 6324-1 du code du travail. Les certifications visées, ci-dessous, sont exclues de l’extension en tant qu’elles contreviennent aux dispositions prévues par l’article L. 6324-3 du code du travail. Licence Professionnelle-Logistique, spécialité Responsable d’unité opérationnelle logistique-14697. Titre RNCP-Responsable en logistique de distribution-26190. Titre RNCP-Chef de magasin-6577. Titre RNCP-Développeur marketing et commercial-28130. Titre RNCP-Responsable en développement marketing et vente-19384. Titre RNCP-Manager de rayon -Institut de formation commerciale permanente (IFOCOP) 13355. A l’article 6, les termes « les demandeurs d’emploi inscrits depuis plus d’un an sur la liste des demandeurs d’emploi » sont exclus de l’extension en tant qu’ils contreviennent aux dispositions prévues par l’article L. 6324-1 du code du travail. L’article 7 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 6324-3 du code du travail. Le premier alinéa de l’article 9 est étendu sous réserve du respect du délai de 6 mois accordé à l’ensemble des territoires visés à l’article L. 2222-1 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 6 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 158

Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/39, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 modifiantl’arrêté du 6 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du tourisme social et familial (no 1316) NOR : MTRT2031950A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 novembre 2020 portant extension de l’accord du 12 février 2020 relatif à la mise en œuvre des actions de reconversion ou promotion par alternance (Pro-A), conclu dans le cadre de la convention collective nationale du tourisme social et familial (no 1316), Arrête : Art. 1er. – L’article 1er de l’arrêté du 6 novembre 2020 susvisé est ainsi modifié : 1o Au 5e alinéa, les mots : « TP : Technicien de maintenance en chauffage, ventilation et climatisation » sont supprimés ; 2o Au 6e alinéa, les mots : « BP : Responsable d’exploitation agricole » sont supprimés ; 3o Au 7e alinéa, les mots : « TP : Titre professionnel Serveur(se) en restauration » sont supprimés ; 4o Au 8e alinéa, les mots : « TP : Responsable de salle en hôtellerie/restauration » sont supprimés ; 5o Au 9e alinéa, les mots : « TP : Titre professionnel Cuisinier (ère) » sont supprimés ; 6o Au 11e alinéa, les mots : « TP : Titre professionnel Gouvernant(e) en hôtellerie » sont supprimés ; 7o Au 12e alinéa, les mots : « Créateur d’ambiances ludiques artistiques et sportives pour tous publics » sont supprimés ; 8o Au 14e alinéa, les mots : « Assistant manager tourisme hôtellerie restauration » ; 9o Au dernier alinéa, les mots : « BTS : Assistant de gestion de PME et de PM » sont supprimés. Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – L’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/34, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention nationale de la coopération maritime (no 2494) NOR : MTRT2032218A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 12 décembre 2007 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale de la coopération maritime du 7 décembre 2004 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’avenant du 25 mars 2020 relatif à la grille des salaires minima, à la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 22 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale de la coopération maritime du 7 décembre 2004, les stipulations de l’avenant du 25 mars 2020 relatif à la grille des salaires minima, à la convention collective susvisée. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale du commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie (no 1487) NOR : MTRT2032219A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 20 octobre 1988 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale du commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie du 17 décembre 1987 et des textes qui l’ont modifiée ou complétée ; Vu l’avenant no 24 du 17 avril 2020 relatif aux salaires, à la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 22 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale du commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie du 17 décembre 1987, les stipulations de l’avenant no 24 du 17 avril 2020 relatif aux salaires, à la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’avenant est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des industries des jeux, jouets, articles de fêtes et ornements de Noël, articles de puériculture et voitures d’enfants, modélisme et industries connexes (no 1607) NOR : MTRT2032220A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 8 juillet 1991 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des industries des jeux, jouets, articles de fêtes et ornements de Noël, articles de puériculture et voitures d’enfants, modélisme et industries connexes du 25 janvier 1991, et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’avenant no 87 du 16 juillet 2020 relatif aux salaires, à la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 9 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli selon la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale des industries des jeux, jouets, articles de fêtes et ornements de Noël, articles de puériculture et voitures d’enfants, modélisme et industries connexes du 25 janvier 1991, les stipulations de l’avenant no 87 du 16 juillet 2020 relatif aux salaires, à la convention collective susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’avenant est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République Française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/12, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant aux conventions collectives nationales pour les ouvriers, employés, dessinateurs, techniciens et agents de maîtrise de la production des papiers, cartons et celluloses (no 1492) et de la transformation des papiers et cartons et des industries connexes (no 1495) NOR : MTRT2032229A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 mars 1989 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale pour les ouvriers, employés, dessinateurs, techniciens et agents de maîtrise de la production des papiers, cartons et celluloses du 20 janvier 1988, et des textes qui l’ont modifié ou complété ; Vu l’arrêté du 6 mars 1989 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale pour les ouvriers, employés, dessinateurs, techniciens et agents de maîtrise de la transformation des papiers et cartons et des industries connexes du 16 février 1988, et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’avenant no 42/41 du 22 juin 2020 relatif à la prime d’ancienneté, aux conventions collectives nationales susvisées ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 10 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords), recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale pour les ouvriers, employés, dessinateurs, techniciens et agents de maîtrise de la production des papiers, cartons et celluloses du 20 janvier 1988, tel qu’étendu par l’arrêté du 6 mars 1989, et dans celui de la convention collective nationale pour les ouvriers, employés, dessinateurs, techniciens et agents de maîtrise de la transformation des papiers et cartons et des industries connexes du 16 février 1988, tel qu’étendu par l’arrêté du 6 mars 1989, les stipulations de l’avenant no 42/41 du 22 juin 2020 relatif à la Prime d’ancienneté, aux conventions collectives nationales susvisées. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/36, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale des taxis (no 2219) NOR : MTRT2032232A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 9 octobre 2003 portant extension de la convention collective nationale des taxis du 11 septembre 2001 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord du 12 mars 2020 relatif aux rémunérations minimales des personnels roulants, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 10 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale des taxis du 11 septembre 2001, les stipulations de l’accord du 12 mars 2020 relatif aux rémunérations minimales des personnels roulants, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/36, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Bourgogne) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032197A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs, portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Bourgogne) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Bourgogne) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Franche-Comté) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032207A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Franche-Comté) du 7 janvier 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Franche-Comté) du 7 janvier 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Bretagne) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032198A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord régional (Bretagne) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord régional (Bretagne) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Centre) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032201A

La ministre du travail, de l’emploi et l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Centre) du 24 janvier 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Centre) du 24 janvier 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. À défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Corse) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032205A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord régional (Corse) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord régional (Corse) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Alsace) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032192A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord régional (Alsace) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail ; Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord régional (Alsace) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Champagne-Ardenne) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032204A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Champagne-Ardenne) du 9 décembre 2019 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Champagne-Ardenne) du 9 décembre 2019 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Basse-Normandie) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032196A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Basse-Normandie) du 18 décembre 2019 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Basse-Normandie) du 18 décem­ bre 2019 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Haute-Normandie) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032208A

La ministre du travail, de l’emploi et l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Haute-Normandie) du 8 juillet 2020 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Haute-Normandie) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord territorial (Aquitaine) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332) NOR : MTRT2032194A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord territorial (Aquitaine) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 26 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Aquitaine) du 8 juillet 2020 relatif à la valeur du point, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17 du code du travail. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de la publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/38, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord régional (Occitanie) conclu dans le cadre de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise du bâtiment (no 2609) NOR : MTRT2032217A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 5 juin 2007 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise du bâtiment du 12 juillet 2006, et des textes qui l’ont modifiée ou complétée ; Vu l’accord régional (Occitanie) du 5 mars 2020 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 30 juillet 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords), recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application professionnel de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise du bâtiment du 12 juillet 2006, et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord régional (Occitanie) du 5 mars 2020 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée. L’article 1er est étendu sous réserve de l’application du deuxième alinéa de l’article 5 de l’avenant no 1 du 26 septembre 2007 à la convention collective susvisée, qui ne réserve pas l’application des salaires minima aux seules entreprises dont l’horaire collectif de travail est à 35 heures par semaine ou à 35 heures en moyenne sur l’année. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/30, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la convention collective de l’industrie des métaux du Bas-Rhin (no 1967) NOR : MTRT2032222A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 25 juin 1997 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective de l’industrie des métaux du Bas-Rhin du 4 avril 1996 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’avenant du 21 juillet 2020 à l’accord du 22 juin 1993 relatif aux rémunérations, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 10 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective de l’industrie des métaux du Bas-Rhin du 4 avril 1996, et à l’exclusion de la réparation d’appareils électriques pour le ménage non associée à un magasin de vente, les stipulations de l’avenant du 21 juillet 2020 à l’accord du 22 juin 1993 relatif aux rémunérations, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/36 disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 158

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Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective de la métallurgie de la Drôme-Ardèche (no 1867) NOR : MTRT2032226A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 22 octobre 1996 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective de la métallurgie de la Drôme et de l’Ardèche du 24 novembre 1994 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’avenant no 62 du 19 juin 2020 relatif aux taux effectifs garantis annuels et aux rémunérations minimales hiérarchiques, à la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 12 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective de la métallurgie de la Drôme et de l’Ardèche du 24 novembre 1994, les stipulations de l’avenant no 62 du 19 juin 2020 relatif aux taux effectifs garantis annuels et aux rémunérations minimales hiérarchiques, à la convention collective susvisée. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2020/31, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un avenant à la convention collective de la métallurgie de Saône-et-Loire (no 1564) NOR : MTRT2032227A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 19 février 1981 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective de la métallurgie de Saône-et-Loire du 29 avril 1980, mise à jour le 21 juin 1995, et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’avenant du 17 juillet 2020 relatif aux salaires, à la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 10 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective de la métallurgie de Saône-et-Loire du 29 avril 1980, mise à jour le 21 juin 1995, les stipulations de l’avenant du 17 juillet 2020 relatif aux salaires, à la convention collective susvisée. Compte tenu du nouvel ordonnancement des niveaux de négociation issu de l’ordonnance no 2017-1385 du 22 septembre 2017, le quatrième alinéa de l’article 1er est étendu sous réserve de l’application de l’article L. 2253-3 du code du travail. En effet, dès lors que la rémunération minimale garantie comporte une assiette qui intègre des compléments de salaires (primes, majorations) et qu’elle constitue un montant minimum qui s’impose, les stipulations conventionnelles de branche ne peuvent avoir pour objet et légalement pour effet de faire obstacle à la conclusion d’accords d’entreprise sur le fondement des dispositions de l’article L. 2253-3 du code du travail et dans les domaines tels que définis par ces mêmes dispositions. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/36, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Arrêté du 20 novembre 2020 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective des industries de la métallurgie de Belfort-Montbéliard (no 2755) NOR : MTRT2032224A

La ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ; Vu l’arrêté du 17 mai 2010 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des industries de la métallurgie de Belfort-Montbéliard du 25 juillet 2008 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ; Vu l’accord du 7 juillet 2020 relatif aux rémunérations annuelles effectives et aux rémunérations minimales hiérarchiques, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée ; Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ; Vu l’avis publié au Journal officiel du 4 septembre 2020 ; Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ; Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à l’article R. 2261-5 du code du travail, Arrête : Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d’application de la convention collective des industries de la métallurgie de Belfort-Montbéliard du 25 juillet 2008, les stipulations de l’accord du 7 juillet 2020 relatif aux rémunérations annuelles effectives et aux rémunérations minimales hiérarchiques, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée. Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord. Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 20 novembre 2020. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général du travail, P. RAMAIN Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officieldu ministère, fascicule conventions collectives no 2020/35, disponible sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/bocc. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 158

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MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Avis relatif à l’extension d’un avenant à la convention collective nationale du personnel sédentaire des entreprises de navigation NOR : MTRT2032466V

En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans son champ d’application, les stipulations de l’avenant ci-après indiqué. Cet avenant pourra être consulté en direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15. Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail. Texte dont l’extension est envisagée : Avenant no 3 du 10 juillet 2019. Dépôt : Direction générale du travail au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion. Objet : Salaires minima. Signataires : Armateurs de France (ADF). Organisations syndicales des salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CGT et à la CFE-CGC. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du personnel sédentaire des entreprises de navigation NOR : MTRT2032505V

En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans son champ d’application, les stipulations de l’accord ci-après indiqué. Cet accord pourra être consulté en direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15. Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail. Texte dont l’extension est envisagée : Accord du 12 décembre 2019. Dépôt : Direction générale du travail au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion. Objet : Mise en place de la commission paritaire permanente de négociation et d’interprétation. Signataires : Armateurs de France (ADF). Organisations syndicales des salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CGT et à la CFE-CGC. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale du personnel des entreprises de transport en navigation intérieure NOR : MTRT2032510V

En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans son champ d’application, les stipulations de l’accord ci-après indiqué. Cet accord pourra être consulté en direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15. Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail. Texte dont l’extension est envisagée : Accord du 16 octobre 2019. Dépôt : Direction générale du travail au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion. Objet : Certificats professionnelles éligibles à la reconversion ou promotion par alternance. Signataires : Comité des armateurs fluviaux. Organisations syndicales des salariés intéressées rattachées à la CFDT, à la CGT et à la CFE-CGC. Syndicat général de la marine fluviale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L’EMPLOI ET DE L’INSERTION

Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale des ateliers et chantiers d’insertion NOR : MTRT2033083V

En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les stipulations de l’accord ci-après indiqué. Cet accord pourra être consulté en direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15. Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail. Texte dont l’extension est envisagée : Accord du 2 novembre 2020. Dépôt : Direction générale du travail au ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion. Objet : Dispositif d’activité réduite pour le maintien en emploi. Signataires : Syndicat national des employeurs spécifiques d’insertion (SYNESI). Organisation syndicale de salariés intéressée rattachée à la CFDT. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 158

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION

Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord départemental de prévoyance complémentaire des salariés non cadres des exploitations de la production agricole du Calvados NOR : AGRS2032507V

En application du code du travail et notamment des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1, le ministre de l’agriculture et de l’alimentation envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant dans le champ d’application de l’accord précité, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné. Texte dont l’extension est envisagée : Avenant no 6 du 23 janvier 2020. Signataires : La Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles du Calvados ; La Fédération départementale des coopératives d’utilisation de matériel agricole du Calvados ; Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT, à la CFDT, à la CGT-FO, à la CFTC, ainsi qu’à la CFE-CGC. Le texte de cet avenant pourra être consulté à la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de l’alimentation (secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 158

Conseil constitutionnel

Décision no 2020-867 QPC du 27 novembre 2020

NOR : CSCX2033052S

(M. MATTHIAS E.) Le Conseil constitutionnel a été saisi le 25 septembre 2020 par le Conseil d’Etat (décision no 440014 du même jour), dans les conditions prévues à l’article 61-1 de la Constitution, d’une question prioritaire de constitutionnalité. Cette question a été posée pour M. Matthias E. par Me Julien Schaeffer, avocat au barreau de Strasbourg. Elle a été enregistrée au secrétariat général du Conseil constitutionnel sous le no 2020-867 QPC. Elle est relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit de l’article L. 6361-12 du code des transports, dans sa rédaction issue de l’ordonnance no 2010-1307 du 28 octobre 2010 relative à la partie législative du code des transports. Au vu des textes suivants : – la Constitution ; – l’ordonnance no 58-1067 du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel ; – le code des transports ; – l’ordonnance no 2010-1307 du 28 octobre 2010 relative à la partie législative du code des transports, ratifiée par l’article 1er de la loi no 2012-375 du 19 mars 2012 relative à l’organisation du service et à l’information des passagers dans les entreprises de transport aérien de passagers et à diverses dispositions dans le domaine des transports ; – le règlement du 4 février 2010 sur la procédure suivie devant le Conseil constitutionnel pour les questions prioritaires de constitutionnalité ; Au vu des pièces suivantes : – les observations présentées pour l’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires, partie au litige à l’occasion duquel la question prioritaire de constitutionnalité a été posée, par la SCP Lyon-Caen et Thiriez, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation, enregistrées le 14 octobre 2020 ; – les observations présentées pour le requérant par Me Schaeffer, enregistrées le 15 octobre 2020 ; – les observations présentées par le Premier ministre, enregistrées le même jour ; – les secondes observations présentées pour le requérant par Me Schaeffer, enregistrées le 30 octobre 2020 ; – les autres pièces produites et jointes au dossier ; Après avoir entendu Me Schaeffer pour le requérant, Me Frédéric Thiriez, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation, pour l’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires, et M. Philippe Blanc, désigné par le Premier ministre, à l’audience publique du 18 novembre 2020 ; Et après avoir entendu le rapporteur ; Le Conseil constitutionnel s’est fondé sur ce qui suit : 1. L’article L. 6361-12 du code des transports, dans sa rédaction issue de l’ordonnance du 28 octobre 2010 mentionnée ci-dessus, prévoit : « L’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires prononce une amende administrative à l’encontre : « 1o De la personne exerçant une activité de transport aérien public au sens de l’article L. 6412-1 ; « 2o De la personne au profit de laquelle est exercée une activité de transport aérien au sens de l’article L. 6400-1 ; « 3o De la personne exerçant une activité aérienne, rémunérée ou non, autre que celles mentionnées aux 1o et 2o du présent article ; « 4o Du fréteur dans le cas défini par l’article L. 6400-2, « ne respectant pas les mesures prises par l’autorité administrative sur un aérodrome fixant : « a) Des restrictions permanentes ou temporaires d’usage de certains types d’aéronefs en fonction de leurs émissions atmosphériques polluantes, de la classification acoustique, de leur capacité en sièges ou de leur masse maximale certifiée au décollage ; « b) Des restrictions permanentes ou temporaires apportées à l’exercice de certaines activités en raison des nuisances environnementales qu’elles occasionnent ; « c) Des procédures particulières de décollage ou d’atterrissage en vue de limiter les nuisances environnementales engendrées par ces phases de vol ; « d) Des règles relatives aux essais moteurs ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 158

« e) Des valeurs maximales de bruit ou d’émissions atmosphériques polluantes à ne pas dépasser ». 2. Le requérant soutient que l’article L. 6361-12 du code des transports permet de punir des personnes pour des manquements imputables à l’usage d’un aéronef même lorsqu’elles ne disposent pas de la maîtrise effective de cet aéronef, qui relève des seuls commandant de bord ou équipage de l’appareil. Il en résulterait une méconnaissance du principe selon lequel nul ne peut être punissable que de son propre fait, garanti par les articles 8 et 9 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Pour les mêmes motifs, le requérant fait valoir que cet article serait contraire au principe d’égalité devant les charges publiques. 3. Par conséquent, la question prioritaire de constitutionnalité porte sur les 1o à 4o de l’article L. 6361-12 du code des transports. 4. En premier lieu, l’article 8 de la Déclaration de 1789 dispose : « La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée ». Selon son article 9, tout homme est « présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable ». Il résulte de ces articles que nul n’est punissable que de son propre fait. Ce principe s’applique non seulement aux peines prononcées par les juridictions répressives mais aussi à toute sanction ayant le caractère d’une punition. 5. Il résulte du sixième alinéa et des a à e de l’article L. 6361-12 du code des transports que l’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires peut prononcer une amende administrative à l’encontre de certaines personnes ne respectant pas les restrictions à l’usage de certains types d’aéronefs ou à l’exercice de certaines activités aériennes, les procédures particulières de décollage ou d’atterrissage, les règles relatives aux essais moteurs et aux valeurs maximales de bruit ou d’émissions atmosphériques polluantes. Les dispositions contestées prévoient que ces personnes peuvent être celles exerçant une activité de transport aérien public, celles au profit desquelles est exercée une activité de transport aérien, celles exerçant une autre activité aérienne ainsi que celles exerçant l’activité de fréteur. 6. Ainsi, les dispositions contestées se bornent à énumérer des personnes participant à l’activité aérienne et susceptibles, à cette occasion, de manquer au respect de l’une des restrictions, procédures ou règles précitées. Elles n’ont, ni par elles-mêmes ni en raison de la portée effective que leur conférerait une interprétation jurisprudentielle constante, pour objet ou pour effet de rendre une personne responsable d’un manquement qui ne lui serait pas imputable. 7. Dès lors, et en tout état de cause, manque en fait le grief tiré de la méconnaissance du principe selon lequel nul n’est punissable que de son propre fait. 8. En second lieu, le grief tiré de la méconnaissance du principe d’égalité devant les charges publiques est inopérant à l’encontre de dispositions instituant une sanction ayant le caractère d’une punition au sens de l’article 8 de la Déclaration de 1789. 9. Il résulte de tout ce qui précède que les dispositions contestées, qui ne méconnaissent aucun autre droit ou liberté que la Constitution garantit, doivent être déclarées conformes à la Constitution. Le Conseil constitutionnel décide : Art. 1er. – Les 1o à 4o de l’article L. 6361-12 du code des transports, dans sa rédaction issue de l’ordonnance no 2010-1307 du 28 octobre 2010 relative à la partie législative du code des transports, sont conformes à la Constitution. Art. 2. – Cette décision sera publiée au Journal officiel de la République française et notifiée dans les conditions prévues à l’article 23-11 de l’ordonnance du 7 novembre 1958 susvisée. Jugé par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 26 novembre 2020, où siégeaient : M. Laurent FABIUS, Président, Mme Claire BAZY MALAURIE, M. Alain JUPPÉ, Mmes Dominique LOTTIN, Corinne LUQUIENS, MM. Jacques MÉZARD, François PILLET et Michel PINAULT. Rendu public le 27 novembre 2020. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 158

Conseil constitutionnel

Décision no 2020-868 QPC du 27 novembre 2020

NOR : CSCX2033055S

(M. LOUIS-CHRISTOPHE L.) Le Conseil constitutionnel a été saisi le 28 septembre 2020 par le Conseil d’Etat (décision no 441908 du 25 septembre 2020), dans les conditions prévues à l’article 61-1 de la Constitution, d’une question prioritaire de constitutionnalité. Cette question a été posée pour M. Louis-Christophe L. par la SELARL Cabinet Bornhauser, avocat au barreau de Paris. Elle a été enregistrée au secrétariat général du Conseil constitutionnel sous le no 2020-868 QPC. Elle est relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit de l’article 150 UA du code général des impôts, dans sa rédaction résultant de la loi no 2005-1720 du 30 décembre 2005 de finances rectificative pour 2005, et de l’article 150 VI du même code, dans sa rédaction résultant de la loi no 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014. Au vu des textes suivants : – la Constitution ; – l’ordonnance no 58-1067 du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel ; – le code général des impôts ; – la loi no 76-660 du 19 juillet 1976 portant imposition des plus-values et création d’une taxe forfaitaire sur les métaux précieux, les bijoux, les objets d’art, de collection et d’antiquité ; – la loi no 2005-1720 du 30 décembre 2005 de finances rectificative pour 2005 ; – la loi no 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014 ; – le règlement du 4 février 2010 sur la procédure suivie devant le Conseil constitutionnel pour les questions prioritaires de constitutionnalité ; Au vu des pièces suivantes : – les observations présentées pour le requérant par Me Marc Bornhauser, avocat au barreau de Paris, enregistrées le 14 octobre 2020 ; – les observations présentées par le Premier ministre, enregistrées le 15 octobre 2020 ; – les secondes observations présentées pour le requérant par Me Bornhauser, enregistrées le 28 octobre 2020 ; – les autres pièces produites et jointes au dossier ; Après avoir entendu Me Bornhauser pour le requérant et M. Philippe Blanc, désigné par le Premier ministre, à l’audience publique du 18 novembre 2020 ; Et après avoir entendu le rapporteur ; Le Conseil constitutionnel s’est fondé sur ce qui suit : 1. L’article 150 UA du code général des impôts, dans sa rédaction résultant de la loi du 30 décembre 2005 mentionnée ci-dessus, prévoit : « I. – Sous réserve des dispositions de l’article 150 VI et de celles qui sont propres aux bénéfices industriels et commerciaux, aux bénéfices agricoles et aux bénéfices non commerciaux, les plus-values réalisées lors de la cession à titre onéreux de biens meubles ou de droits relatifs à ces biens, par des personnes physiques, domiciliées en France au sens de l’article 4 B, ou des sociétés ou groupements qui relèvent des articles 8 à 8 quinquies dont le siège est situé en France, sont passibles de l’impôt sur le revenu dans les conditions prévues aux articles 150 V à 150 VH. « II. – Les dispositions du I ne s’appliquent pas : « 1o Aux meubles meublants, aux appareils ménagers et aux voitures automobiles. Toutefois, cette disposition n’est pas applicable à ces biens lorsqu’ils constituent des objets d’art, de collection ou d’antiquité pour lesquels l’option prévue à l’article 150 VL a été exercée ; « 2o Aux meubles, autres que les métaux précieux mentionnés au 1o du I de l’article 150 VI, dont le prix de cession est inférieur ou égal à 5 000 € ». 2. L’article 150 VI du même code, dans sa rédaction résultant de la loi du 29 décembre 2013 mentionnée ci- dessus, prévoit : « I. – Sous réserve des dispositions propres aux bénéfices professionnels, sont soumises à une taxe forfaitaire dans les conditions prévues aux articles 150 VJ à 150 VM les cessions à titre onéreux ou les exportations, autres que temporaires, hors du territoire des Etats membres de l’Union européenne : « 1o De métaux précieux ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 158

« 2o De bijoux, d’objets d’art, de collection ou d’antiquité. « II. – Les dispositions du I sont applicables aux cessions réalisées dans un autre Etat membre de l’Union européenne ». 3. Le requérant soutient que ces dispositions seraient contraires aux principes d’égalité devant la loi et devant les charges publiques. Il leur reproche d’exclure du champ d’application de la taxe forfaitaire instituée par l’article 150 VI du code général des impôts, la vente, hors de l’Union européenne, d’objets précieux détenus par des personnes domiciliées fiscalement en France. Ce faisant, ces contribuables seraient privés de la possibilité, reconnue à ceux qui vendent de tels objets en France ou dans un autre Etat membre de l’Union européenne, d’opter soit pour ce régime d’imposition soit pour celui, de droit commun, d’imposition des plus-values mobilières. Une telle différence de traitement serait à la fois injustifiée et sans rapport avec l’objet initial de la loi. 4. Le requérant estime également qu’en soumettant l’exportation d’objets précieux hors de l’Union européenne à la taxe forfaitaire, les dispositions contestées assimilent cette exportation à une vente. Or, selon lui, cette assimilation se fonderait, de manière injustifiée, sur une présomption de fraude et elle aurait pour conséquence, lorsque l’exportation n’est pas suivie d’une vente, d’imposer le contribuable sur un revenu dont il ne dispose pas et, lorsqu’elle est bien suivie d’une vente et donne lieu à la perception d’une plus-value, de l’assujettir à une double imposition, à la taxe forfaitaire dans un premier temps et au régime général d’imposition des plus-values dans un second temps. 5. Par conséquent, la question prioritaire de constitutionnalité porte sur les mots « les cessions à titre onéreux ou les exportations, autres que temporaires, hors du territoire des Etats membres de l’Union européenne » figurant au paragraphe I de l’article 150 VI du code général des impôts et sur le paragraphe II du même article. – Sur le fond : 6. Selon l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, la loi « doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ». Le principe d’égalité ne s’oppose ni à ce que le législateur règle de façon différente des situations différentes, ni à ce qu’il déroge à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que, dans l’un et l’autre cas, la différence de traitement qui en résulte soit en rapport direct avec l’objet de la loi qui l’établit. 7. Selon l’article 13 de cette même déclaration : « Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés ». En vertu de l’article 34 de la Constitution, il appartient au législateur de déterminer, dans le respect des principes constitutionnels et compte tenu des caractéristiques de chaque impôt, les règles selon lesquelles doivent être appréciées les facultés contributives. En particulier, pour assurer le respect du principe d’égalité, le législateur doit fonder son appréciation sur des critères objectifs et rationnels en fonction des buts qu’il se propose. Cette appréciation ne doit cependant pas entraîner de rupture caractérisée de l’égalité devant les charges publiques. 8. L’article 150 VI du code général des impôts soumet à une taxe forfaitaire le produit de la cession à titre onéreux de certains objets précieux, lorsque cette cession obéit à trois conditions. D’une part, elle doit porter sur des métaux précieux, des bijoux ou des objets d’art, de collection ou d’antiquité. D’autre part, cet objet doit appartenir à une personne domiciliée fiscalement en France. Enfin, la cession doit être réalisée en France ou dans un autre Etat membre de l’Union européenne. En vertu de l’article 150 UA du même code, l’assujettissement à cette taxe forfaitaire dispense le contribuable de devoir acquitter l’imposition de droit commun des plus-values mobilières prévue à ce même article. L’article 150 VL du même code permet toutefois au contribuable d’opter pour ce dernier régime d’imposition plutôt que pour celui de la taxe forfaitaire. Enfin, le bien exporté, à titre définitif, hors de l’Union européenne est soumis à la taxe forfaitaire. – En ce qui concerne le grief tiré de la méconnaissance, du fait de l’assujettissement de certaines exportations à la taxe forfaitaire, du principe d’égalité devant les charges publiques : 9. Il ressort des travaux préparatoires de la loi du 19 juillet 1976 mentionnée ci-dessus, qui est à l’origine des dispositions contestées, que, en assujettissant à la taxe forfaitaire les exportations définitives hors de France, quel que soit l’objet de ces exportations, le législateur a entendu prévenir le risque que le bien soit soustrait, par l’exportation, à l’imposition forfaitaire en cas de cession ultérieure. Toutefois, il n’a pas instauré pour ce faire une présomption de fraude ou d’évasion fiscalesmais seulement choisi d’avancer le moment où la capacité contributive que confère la détention de ce bien est imposée au moment où ce bien quitte définitivement le territoire de l’Union européenne. 10. Par ailleurs, ces dispositions n’ont ni pour effet d’assujettir le contribuable à une imposition dont l’assiette inclurait une capacité contributive dont il ne disposerait pas ni pour effet de le soumettre à une double imposition. 11. Il résulte de ce qui précède que le grief tiré de la méconnaissance du principe d’égalité devant les charges publiques doit être écarté. – En ce qui concerne le grief tiré de la méconnaissance, du fait de l’exclusion du champ de la taxe forfaitaire des cessions à titre onéreux réalisées en dehors de l’Union européenne, du principe d’égalité devant la loi : 12. En vertu des dispositions contestées, la taxe forfaitaire ne peut s’appliquer qu’aux cessions à titre onéreux d’objets précieux, réalisées en France ou dans un autre Etat membre de l’Union européenne. Seuls les contribuables cédant leur bien dans l’un de ces Etats peuvent donc choisir d’être imposés selon le régime de la taxation forfaitaire ou selon le régime général d’imposition des plus-values. Il en résulte une différence de traitement avec les contribuables dont les biens sont cédés dans d’autres Etats étrangers, qui sont nécessairement assujettis à ce seul second régime d’imposition. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 158

13. Toutefois, il ressort des travaux préparatoires de la loi du 19 juillet 1976 que le législateur a considéré que le régime général d’imposition des plus-values qu’il instaurait par cette loi n’était pas adapté au cas des biens mobiliers précieux. En effet, ce régime général repose sur la comparaison entre la valeur d’acquisition d’un bien et sa valeur au moment de sa cession. Or, le législateur a estimé que, compte tenu des règles de cession des biens mobiliers, qui sont peu formalistes, les propriétaires d’objets précieux ne seraient pas toujours en mesure d’apporter la preuve de la date et de la valeur initiale d’acquisition de ces biens. La taxe forfaitaire a donc pour objet d’offrir aux contribuables en cause une modalité d’imposition du revenu plus simple et plus adaptée à la nature du bien cédé que celles du régime général d’imposition des plus-values. 14. Or, au regard de cet objet, il n’y a pas de différence de situation entre les contribuables imposés en France selon que la cession est réalisée au sein de l’Union européenne ou en dehors. La différence de traitement contestée, qui n’est pas non plus justifiée par un motif d’intérêt général, est donc contraire au principe d’égalité devant la loi. 15. Par conséquent, le paragraphe II de l’article 150 VI du code général des impôts doit être déclaré contraire à la Constitution. 16. En revanche, le reste des dispositions contestées, qui ne méconnaît aucun droit ou liberté que la Constitution garantit, doit être déclaré conforme à la Constitution. – Sur les effets de la déclaration d’inconstitutionnalité : 17. Selon le deuxième alinéa de l’article 62 de la Constitution : « Une disposition déclarée inconstitutionnelle sur le fondement de l’article 61-1 est abrogée à compter de la publication de la décision du Conseil constitutionnel ou d’une date ultérieure fixéepar cette décision. Le Conseil constitutionnel détermine les conditions et limites dans lesquelles les effets que la disposition a produits sont susceptibles d’être remis en cause ». En principe, la déclaration d’inconstitutionnalité doit bénéficier à l’auteur de la question prioritaire de constitutionnalité et la disposition déclarée contraire à la Constitution ne peut être appliquée dans les instances en cours à la date de la publication de la décision du Conseil constitutionnel. Cependant, les dispositions de l’article 62 de la Constitution réservent à ce dernier le pouvoir tant de fixer la date de l’abrogation et de reporter dans le temps ses effets que de prévoir la remise en cause des effets que la disposition a produits avant l’intervention de cette déclaration. Ces mêmes dispositions réservent également au Conseil constitutionnel le pouvoir de s’opposer à l’engagement de la responsabilité de l’Etat du fait des dispositions déclarées inconstitutionnelles ou d’en déterminer les conditions ou limites particulières. 18. En l’espèce, aucun motif ne justifie de reporter la prise d’effet de la déclaration d’inconstitutionnalité. Celle- ci intervient donc à compter de la date de la publication de la présente décision. Le Conseil constitutionnel décide : Art. 1er. – Le paragraphe II de l’article 150 VI du code général des impôts, dans sa rédaction résultant de la loi no 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014, est contraire à la Constitution. Art. 2. – Les mots « les cessions titre onéreux ou les exportations, autres que temporaires, hors du territoire des Etats membres de l’Union européenne » figurant au paragraphe I de l’article 150 VI du code général des impôts, dans sa rédaction résultant de la même loi, sont conformes à la Constitution. Art. 3. – La déclaration d’inconstitutionnalité de l’article 1er prend effet dans les conditions fixées au paragraphe 18 de cette décision. Art. 4. – Cette décision sera publiée au Journal officiel de la République française et notifiée dans les conditions prévues à l’article 23-11 de l’ordonnance du 7 novembre 1958 susvisée. Jugé par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 26 novembre 2020, où siégeaient : M. Laurent FABIUS, Président, Mme Claire BAZY MALAURIE, M. Alain JUPPÉ, Mmes Dominique LOTTIN, Corinne LUQUIENS, MM. Jacques MÉZARD, François PILLET et Michel PINAULT. Rendu public le 27 novembre 2020. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 158

Commission nationale consultative des droits de l’homme

Projet de déclaration sur l’état d’urgence sanitaire (EUS)

NOR : CNPX2033159X

Assemblée plénière du 26 novembre 2020 Adopté à 39 voix pour – 0 voix contre et 2 abstentions 1. Consciente de la gravité de la situation sanitaire, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) s’inquiète néanmoins de la mise en œuvre de l’état d’urgence sanitaire (EUS), à compter du 17 octobre 2020 (1) et de l’autorisation de le proroger jusqu’au 16 février 2021 par la loi du 14 novembre 2020 (2). 2. L’état d’urgence sanitaire habilite le Gouvernement à adopter par décret des mesures générales gravement restrictives de droits et libertés. La CNCDH rappelle qu’un tel état d’exception ayant pour objet la dérogation au cadre juridique de l’Etat de droit, sa mise en œuvre exige un encadrement strict, en particulier quant au caractère exceptionnel des circonstances, à son impact sur la vie de la Nation, ainsi qu’à sa durée (3). 3. La reprise du développement de l’épidémie de covid-19 était une hypothèse envisagée, notamment par le Comité de scientifiques (4). Par ailleurs, l’impact de l’épidémie sur le fonctionnement des institutions publiques n’est en aucun cas comparable à ce qu’il était au printemps 2020. Désormais, les deux Assemblées peuvent se réunir normalement et les restrictions à leur fonctionnement régulier ne peuvent plus être justifiées. Le recours à l’EUS préoccupe la CNCDH, qui y voit l’illustration du recours systématique à un régime d’exception quel que soit le nom qu’on lui donne. Ainsi, au cours des cinq dernières années, des régimes d’exception se sont appliqués pendant près de deux ans et demi (5). Le respect de la compétence exclusive du Parlement pour restreindre par des normes générales et abstraites les droits et libertés implique de limiter le recours à l’état d’urgence sanitaire aux seules situations dans lesquelles le Parlement ne peut se réunir. 4. La CNCDH regrette que le Parlement se soit dessaisi en habilitant le Gouvernement à rétablir, prolonger voire adapter par ordonnances des mesures adoptées sur la base de la loi du 23 mars 2020. Le Gouvernement peut de nouveau déroger à des règles d’organisation judiciaire et de procédure pénale, restreignant ainsi les garanties de procès équitable (contradictoire, publicité, droits de la défense) (6) comme il l’a fait dans l’ordonnance du 18 novembre 2020, notamment en étendant la possibilité de recours à la visioconférence sans recueillir l’accord des parties (article 2) (7). Le Conseil constitutionnel a interprété strictement la faculté accordée au Gouvernement en estimant que cette habilitation « à prolonger ou à rétablir les mesures mentionnées au paragraphe précédent ou à les modifier » devait n’être considérée comme applicable que « dans la seule mesure nécessaire, d’une part, à cette prolongation ou ce rétablissement et, d’autre part, à leur adaptation aux conditions particulières de l’état de la situation sanitaire. En outre, l’unique objet des ordonnances ainsi adoptées ne peut être que de remédier aux conséquences de la propagation de l’épidémie de covid-19 et des décisions prises pour limiter cette propagation » (8). La CNCDH s’inquiète de l’étendue du cumul résultant de ces habilitations et de la prorogation de l’état d’urgence sanitaire. 5. La CNCDH rappelle que, si des mesures limitatives de droits et libertés peuvent être prises compte tenu de situations exceptionnelles, c’est à la condition qu’elles respectent les principes de nécessité, d’adaptation et de proportionnalité. Le Gouvernement justifie les mesures prises par l’étendue de l’épidémie de covid-19 et ses effets sur l’organisation de la santé publique, sur la base d’indicateurs qui sont de facto devenus des critères de décisions en matière de restriction des droits et libertés. La CNCDH s’interroge sur la légitimité de mesures de restrictions des droits et libertés non fondées sur un choix du législateur, ainsi que sur la fiabilité du système de remontée des données (9). Faute d’indicateurs fiables et élaborés de façon transparente, c’est la confiance des citoyens dans les pouvoirs publics qui est en jeu. 6. La CNCDH rappelle que le caractère de nécessité des mesures restrictives de droits et liberté oblige le Gouvernement à ne retenir que des mesures absolument indispensables à la lutte contre l’épidémie s’agissant du choix des activités objet de restrictions. 7. La CNCDH exprime à nouveau ses inquiétudes sur le traçage numérique (10). Le remplacement de stop-covid par tous-anti-covid ne constitue en rien une réponse de nature à rassurer quant au respect de la vie privée et du secret médical. 8. La CNCDH rappelle également que certaines mesures restrictives de liberté, comme le confinement ou le couvre-feu, ont des effets démesurés sur les personnes les plus précaires. En ce sens, elle regrette le peu d’enseignements tirés du premier confinement. La commission est préoccupée par certaines informations alarmantes faisant état de restrictions à l’accès aux droits, en particulier aux soins, des plus fragiles notamment de personnes âgées, de celles en situation de handicap, des migrants, des travailleurs précaires, des personnes vivant dans la pauvreté, sans abri ou vivant dans des campements… Elle s’alarme d’éventuelles sanctions du non-respect par les personnes testées positives ou cas contacts de leur obligation d’isolement, ce qui pourrait dissuader du 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 158 recours au dépistage et créerait un précédent dangereux en matière de lutte contre des infections transmissibles. Elle déplore également les conditions sanitaires dans certains lieux de privation de liberté (établissements pénitentiaires, centres de rétention administrative, zones d’attente…). 9. Elle constate que les moyens humains et matériels de l’hôpital public n’ont pas été renforcés à hauteur des besoins, entraînant des déprogrammations d’interventions et retardant les diagnostics, créant ainsi un autre risque sanitaire. Elle s’alarme que des fermetures de lits soient encore préconisées (11). Enfin, elle s’émeut du manque de prise en compte des questions liées à la santé mentale et de l’impact des mesures de confinement sur les personnes isolées ou hospitalisées. 10. La CNCDH est préoccupée également par les atteintes aux droits sociaux, notamment de celles pouvant résulter de l’habilitation à remettre en vigueur, à prolonger ou à adapter par ordonnance des mesures déjà adoptées en application de la loi du 23 mars 2020 (12). La CNCDH regrette l’absence d’un véritable dialogue social lors de l’adoption de ces dispositions. 11. La CNCDH rappelle (13) que les dérogations aux droits et libertés adoptées sur le fondement de l’EUS doivent être conformes à l’article 15 de la Convention européenne des droits de l’homme et à l’article 4 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, et s’inquiète à nouveau de l’absence de toute notification de dérogation par la France (14). 12. La CNCDH souligne que le recours à l’état d’urgence sanitaire, ainsi que la multiplication du recours aux ordonnances, renforcent la concentration des pouvoirs entre les mains de l’exécutif et contribuent aussi à un sentiment de distance, voire de défiance, entre les citoyens et les pouvoirs publics. 13. La CNCDH rappelle, par ailleurs, que, dès lors que la situation sanitaire ne justifierait plus la mise en œuvre de ce régime d’exception, le Gouvernement devrait sans délai y mettre un terme, le cas échéant sur les parties du territoire où il ne serait pas strictement nécessaire. De même, il devrait être mis fin« sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires » (15) aux mesures restrictives de libertés adoptées, le cas échéant pendant la durée de l’état d’urgence sanitaire (16).

(1) Décret no 2020-1257 du 14 octobre 2020. (2) Décision no 2020-808 DC. (3) CNCDH, 28 avril 2020, Avis « Etat d’urgence sanitaire etet Etat de droit » (JO no 0108 du 3 mai 2020, texte no 49). (4) Article L. 3131-19 du CSP. (5) Etat d’urgence de la loi de 1955 appliquée dans le cadre de la lutte antiterroriste du 13 novembre 2015 au 1 novembre 2017, état d’urgence sanitaire du 23 mars au 10 juillet 2020, régime d’exception non dénommé du 11 juillet au 16 octobre 2020 (CNCDH, 23 juin 2020, Déclaration relative au projet de loi organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire, JO 28 juin 2020, texte no 76), état d’urgence sanitaire à partir du 17 octobre 2020 et au moins jusqu’au 16 février 2021). (6) Art. 10 de la loi no 2020-1379 du 14 novembre 2020 renvoyant à l’article 11 I 2o c) de la loi no 2020-290 du 23 mars 2020. (7) L’ordonnance no 2020-1401 du 18 novembre 2020 portant adaptation des règles applicables aux juridictions judiciaires statuant en matière pénale prévoit également la multiplication des restrictions apportées à la publicité (article 4) et l’extension du juge unique à toutes les juridictions par un décret constatant la persistance d’une crise sanitaire de nature à compromettre le fonctionnement des juridictions (article 6). (8) Décision no 2020-808 DC du 13 novembre 2020, par. 32. (9) Voir le communiqué de Santé publique France du 5 novembre qui fait état de « difficultésrencontrées dans la remontée des données depuis le 28 octobre » : (https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2020/point-epidemiologique-intermediaire-covid- 19-du-5-novembre-des-indicateurs-hospitaliers-en-hausse) (10) Voir CNCDH, 28 avril 2020, Avis sur le suivi numérique des personnes (JO 3 mai 2020, texte no 50). (11) Voir par exemple, préconisant des fermetures de lit, https: //www.ccomptes.fr/system/files/2020-10/OCR2020-20.pdf (12) Art 10 de la loi no 2020-1379 du 14 novembre 2020 renvoyant à l’article 11 I b) de la loi no 2020-290 du 23 mars 2020. (13) CNCDH, 28 avril 2020, Avis « Etat d’urgence sanitaire et Etat de droit », JO 3 mai 2020, texte no 49. (14) Sur l’application de l’art. 15 de la CEDH en période de covid-19, voir la liste des notifications effectuées par les Etats : https://www.coe.int/en/web/conventions/full-list/-/conventions/webContent/62111354) (15) CSP, art. L. 3131-15 et L. 3131-16. (16) CNCDH, 28 avril 2020, Avis « Etat d’urgence sanitaire et Etat de droit » ; CNCDH, 26 mai 2020, Avis « Prorogation de l’Etat d’urgence sanitaire et libertés ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 158

Commission de régulation de l’énergie

Délibération no 2020-278 du 19 novembre 2020 portant vérification de la conformité du barème des tarifs réglementés de vente de gaz proposé par Engie pour le mois de décembre 2020

NOR : CREE2032714X

Participaient à la séance : Jean-François CARENCO, président, Christine CHAUVET, Catherine EDWIGE, Ivan FAUCHEUX et Jean-Laurent LASTELLE, commissaires.

1. Contexte, compétence et saisine de la CRE

L’article 63 de la loi no 2019-1147, promulguée le 8 novembre 2019, relative à l’énergie et au climat (LEC) met fin aux tarifs réglementés de vente de gaz des fournisseurs historiques en plusieurs étapes. Cet article dispose notamment que « l’arrêt de la commercialisation du tarif réglementé de vente de gaz naturel prend effet au plus tard trente jours après la publication de la présente loi », soit le 8 décembre 2019. Cette disposition prévoit également que les articles L. 445-1 à L. 445-4 du code de l’énergie encadrant les tarifs réglementés de vente en distribution publique d’Engie sont abrogés. Toutefois, il est prévu que ces articles restent applicables dans leur rédaction antérieure à la LEC « aux contrats de fourniture de gaz souscrits aux tarifs mentionnés à l’article L. 445-3 dudit code, dans sa rédaction antérieure à la [LEC], en cours d’exécution à la date de publication de la [LEC] » jusqu’aux échéances prévues au V de l’article 63 de la LEC. Les tarifs réglementés de vente en distribution publique d’Engie sont encadrés par les articles L. 445-1 à L. 445-4 et R. 445-1 à R. 445-7 du code de l’énergie. L’article R. 445-2 du code de l’énergie dispose que « les tarifs réglementés de vente du gaz naturel couvrent les coûts d’approvisionnement en gaz naturel et les coûts hors approvisionnement. Ils comportent une part variable liée à la consommation effective et une part forfaitaire calculée à partir des coûts fixes de fourniture du gaz naturel ». L’article R. 445-4 du code de l’énergie prévoit que pour chaque fournisseur, un arrêté des ministres chargés de l’économie et de l’énergie pris après avis de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) fixe, au moins une fois par an, les barèmes des tarifs réglementés de vente de gaz. L’article R. 445-5 du code de l’énergie prévoit que le fournisseur « modifie selon une fréquence prévue par arrêté des ministres chargés de l’économie et de l’énergie et au maximum une fois par mois, jusqu’à l’intervention d’un nouvel arrêté tarifaire […] les barèmes de ses tarifs réglementés en y répercutant les variations des coûts d’approvisionnement en gaz naturel, telles qu’elles résultent de l’application de sa formule tarifaire ». L’article 5 de l’arrêté du 26 juin 2020 relatif aux tarifs réglementés de vente de gaz naturel fourni par Engie précise que « le fournisseur modifie chaque mois les barèmes de ses tarifs ». L’article R. 445-5 du code de l’énergie indique qu’« avant de procéder à une telle modification, le fournisseur saisit la Commission de régulation de l’énergie d’une proposition de barème accompagnée des éléments d’information permettant de la justifier, afin qu’elle en vérifie la conformité avec la formule tarifaire […]. Le fournisseur ne peut appliquer la modification avant l’expiration d’un délai de vingt jours à compter de la saisine de la Commission de régulation de l’énergie ». L’arrêté du 26 juin 2020 relatif aux tarifs réglementés de vente du gaz naturel fourni par Engie a fixé les tarifs réglementés de vente ainsi que la formule permettant d’estimer l’évolution de ses coûts d’approvisionnement.

* * *

En application de l’article R. 445-5 du code de l’énergie, la CRE a été saisie par Engie, le 3 novembre 2020, d’une proposition de barème pour ses tarifs réglementés de vente de gaz naturel en distribution publique pour le mois de décembre 2020. Par rapport au barème en vigueur, applicable depuis le 1er novembre 2020, cette proposition correspond à une hausse du tarif moyen hors taxes et CTA de 1,2 €/MWh, soit une hausse de 2,4 %. Les consommateurs professionnels disposant d’une offre aux tarifs réglementés de vente de gaz naturel et qui n’ont pas choisi d’offre de marché avant le 1er décembre 2020, verront, en application du X de l’article 63 de la LEC, leur contrat de fourniture automatiquement remplacé par une offre dite « de bascule » sur laquelle la CRE a rendu un avis conforme dans sa délibération no 2020-212. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 158

2. Observations de la CRE 2.1. Hausse des coûts d’approvisionnement La CRE a vérifié que l’évolution des coûts d’approvisionnement d’Engie, telle qu’estimée par la formule, entre le 1er novembre 2020, date du dernier mouvement tarifaire, et le 1er décembre 2020 correspond bien à une hausse de 0,110 c€/kWh.

2.2. Hausse du terme de lissage L’article 2 de l’arrêté du 26 juin 2020 a introduit un terme supplémentaire visant à lisser l’évolution mensuelle des tarifs entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021. Sa valeur est définie dans le tableau ci-dessous :

Evolution du terme supplémentaire visant à lisser l’évolution des tarifs réglementés de vente de gaz naturel entre le 1er juillet 2020 et le 28 février 2021

Mois Valeur du terme supplémentaire en c€/kWh

Juil-2020 +0,220

Août-2020 +0,250

Sept-2020 +0,240

Oct-2020 +0,150

Nov-2020 -0,040

Déc-2020 -0,030

Janv-2021 -0,030

Fév-2021 -0,030

Ce dispositif impacte à la hausse les tarifs réglementés de vente de gaz naturel d’Engie de 0,010 c€/kWh au 1er décembre 2020, correspondant à l’augmentation du terme de lissage entre le 1er novembre et le 1er décembre 2020. Sans le dispositif de lissage, la hausse au 1er décembre aurait été de 2,2 % au lieu de 2,4 %.

2.3. Répercussion de la hausse dans les barèmes L’évolution de la facture annuelle d’un client moyen est donnée dans le tableau ci-dessous pour les principaux tarifs.

Impact de l’évolution tarifaire, hors taxes et CTA, au 1er décembre 2020

Évolution de la facture annuelle en % Tarif (usage) (nombre de clients) Évolution de l’abonnement des tarifs Évolution de la part variable des pour un client moyen (en €/an) tarifs en c€/kWh (hors taxes et CTA) (hors taxes et CTA)

Base (cuisson) (∼ 500 000) - +0,12 +0,6 %

B0 (cuisson et eau chaude) (∼ 400 000) - +0,12 +1,4 %

B1 (chauffage) (∼ 1 900 000) - +0,12 +2,5 %

B2I (petite chaufferie) (∼ 100 000) - +0,12 +3,0 %

* NB : le nombre de clients est une estimation prévisionnelle moyenne, en date de juin 2020, sur la période tarifaire allant du 1er juillet 2020 au 30 juin 2021.

2.4. Evolution des tarifs réglementés de vente hors taxes et CTA Les évolutions du barème des tarifs réglementés de vente de gaz naturel hors taxes et CTA d’Engie représentent une baisse cumulée du tarif moyen de -16,5 % depuis le 1er janvier 2015. Cela représente par ailleurs une baisse cumulée des tarifs de -17,2 % depuis le 1er janvier 2019. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 158

Evolution du tarif réglementé de vente de gaz moyen d’Engie, hors taxes et CTA, depuis le 1er janvier 2015 (en €/MWh, base 100 en janvier 2015)

Evolution des tarifs réglementés de vente de gaz d’Engie, hors taxes et CTA, depuis le 1er janvier 2019

Date Tarif moyen Base B0 B1 B2I

1er janvier 2019 -1,9 % -0,6 % -1,2 % -2,0 % -2,3 %

1er février 2019 -0,8 % -0,3 % -0,5 % -0,8 % -1,0 %

1er mars 2019 0 %

1er avril 2019 -2,1 % -0,7 % -1,3 % -2,2 % -2,5 %

1er mai 2019 -0,7 % -0,2 % -0,4 % -0,7 % -0,8 %

1er juin 2019 -0,5 % -0,2 % -0,3 % -0,5 % -0,6 %

1er juillet 2019 -6,8 % +0,2 % -3,7 % -7,2 % -8,2 %

1er août 2019 -0,5 % -0,1 % -0,3 % -0,6 % -0,7 %

1er septembre 2019 -0,9 % -0,2 % -0,5 % -1,0 % -1,1 %

1er octobre 2019 -2,4 % -0,6 % -1,4 % -2,5 % -2,9 %

1er novembre 2019 +3,0 % +0,8 % +1,8 % +3,2 % +3,7 %

1er décembre 2019 +0,6 % +0,1 % +0,3 % +0,6 % +0,7 %

1er janvier 2020 -0,9 % -0,2 % -0,5 % -1,0 % -1,1 %

1er février 2020 -3,3 % -0,9 % -2,0 % -3,5 % -4,0 %

1er mars 2020 -4,6 % -1,2 % -2,7 % -4,8 % -5,6 %

1er avril 2020 -4,4 % -1,1 % -2,5 % -4,6 % -5,4 %

1er mai 2020 -1,3 % -0,3 % -0,7 % -1,3 % -1,6 %

1er juin 2020 -2,8% -0,7% -1,5% -2,9% -3,4%

1er juillet 2020 -0,3% -4,3% -1,6% 0% 0%

1er août 2020 +1,3% +0,3% +0,7% +1,4% +1,6%

1er septembre 2020 +0,6% +0,2% +0,4% +0,7% +0,8%

1er octobre 2020 +4,7% +1,2% +2,6% +4,9% +5,9%

1er novembre 2020 +1,6% +0,4% +0,9% +1,7% +2,0%

1er décembre 2020 +2,4% +0,6% +1,4% +2,5% +3,0% 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 158

Vérification de la conformité du barème à la formule tarifaire En application des dispositions de l’article R. 445-5 du code de l’énergie, la CRE a vérifié la conformité du barème proposé par Engie et constate que le barème est conforme à la formule tarifaire prévue par l’arrêté du 26 juin 2020. La présente délibération sera publiée au Journal officiel de la République française. Elle sera transmise à la ministre de la transition écologique et au ministre de l’économie, des finances et de la relance. Délibéré à Paris, le 19 novembre 2020. Pour la Commission de régulation de l’énergie : Le président, J.-F. CARENCO

ANNEXE TARIFS RÉGLEMENTÉS DE VENTE DU GAZ NATUREL D’ENGIE POUR LE MOIS DE DÉCEMBRE 2020 (HORS TAXES ET CTA) Conformément à l’article 63 de la loi no 2019-1147 du 8 novembre 2019 relative à l’énergie et au climat : – les tarifs réglementés de vente (TRV) sont mis en extinction pour l’ensemble des consommateurs, à partir du 8 décembre 2019 ; – les consommateurs professionnels ne peuvent plus bénéficier des contrats aux TRV à partir du 1er décem­ bre 2020. Les consommateurs professionnels qui, après cette date, n’ont pas choisi d’offre de marché verront, en application du X de l’article 63 de la LEC, leur contrat de fourniture automatiquement remplacé par une offre dite « de bascule » sur laquelle la CRE a rendu un avis conforme dans sa délibération no 2020-212.

Tarifs en extinction à compter du 8 décembre 2019

Abonnement Abonnement Tarifs Prix proportionnel (en c€/kWh, en fonction du niveau de prix) (€/mois) (€/an)

Niveaux de Prix 1 2 3 4 5 6

Base 5,48 5,48 5,48 5,48 5,48 5,48 7,22 86,64

B0 5,48 5,48 5,48 5,48 5,48 5,48 7,22 86,64

B1 3,42 3,48 3,54 3,60 3,66 3,72 16,86 202,32

Préchauffage 3,42 3,48 3,54 3,60 3,66 3,72 - -

B2I 3,42 3,48 3,54 3,60 3,66 3,72 16,86 202,32

3 UR Grand Confort 4,74 4,80 4,86 4,92 4,98 5,04 24,17 290,04 Réduction d’abonnement pour les tarifs 3UR sans cuisson : 46,92 €/an.

Tarifs en extinction

Abonnement Abonnement Tarifs Prix proportionnel (en c€/kWh, en fonction du niveau de prix) (€/mois) (€/an)

Prime fixe (**) 3,394 3,709 3,821 3,821 3,821 3,821 Appoint- 164,56 1 974,72 Secours Prix proportionnel 8,958 8,976 9,023 9,084 9,145 9,206

3Gb Immeuble 3,42 3,48 3,54 3,6 3,66 3,72 16,86 202,32

Hiver 3,42 3,481 3,542 3,603 3,664 3,725 B2S 16,86 202,32 Été 3,42 3,481 3,542 3,603 3,664 3,725

Hiver 3,42 3,481 3,542 3,603 3,664 3,725 16,86 202,32 B2M Été 3,42 3,481 3,542 3,603 3,664 3,725

Prix de référence de la modulation (c€/kWh) 0,566

(**) c€/kWh/j/mois.

Forfait cuisine collectif : 82,68 €/an Forfait cuisine individuel : 126,00 €/an 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 158

Prix des kWh en écart : 5,91 c€/kWh 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-800 du 18 novembre 2020 relative à un appel aux candidatures pour l’exploitation d’une fréquence par un service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet sur l’autoroute A355 NOR : CSAC2032511S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 28, 29 et 29-3 ; Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la publicité locale et au parrainage local des services de radiodiffusion sonore autorisés ; Considérant qu’il n’y a pas lieu de procéder à la consultation prévue à l’article 31 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, le marché en cause n’étant pas susceptible d’être modifié de façon importante par le maintien de l’offre d’un service unique de radio diffusée par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence sur l’autoroute A355 ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Il est procédé à un appel aux candidatures pour l’usage d’une fréquence en vue de l’exploitation d’un service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet sur l’autoroute A355. Le présent appel aux candidatures s’adresse à des services de « radio d’autoroute » destinés exclusivement ou principalement à l’information et à la sécurité routière le long des autoroutes. La zone géographique déterminée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel pour l’usage de cette fréquence et les conditions techniques d’utilisation de cette dernière sont précisées à l’annexe de la présente décision. La zone de couverture du service est limitée, sauf débordements techniques inévitables, à l’emprise faisant l’objet de la concession d’autoroute, tant dans sa longueur que dans sa largeur.

CHAPITRE 1er RETRAIT ET DÉPÔT DES DOSSIERS DE CANDIDATURE Le modèle de dossier de candidature est consultable et téléchargeable sur le site internet du Conseil supérieur de l’audiovisuel (www.csa.fr). La demande doit être présentée par la société qui s’engage à assurer l’exploitation effective du service. L’exploitant effectif est celui qui assure la responsabilité éditoriale du service et assume son risque économique. Les dossiers de candidature doivent être adressés au Conseil uniquement selon la procédure dématérialisée suivante : – au plus tard le lundi 11 janvier 2021, à 17 heures, heure de Paris, à peine d’irrecevabilité, le candidat adresse par courriel à l’adresse [email protected] une demande afin de disposer des modalités de dépôt électronique du dossier de candidature. Ce courriel doit mentionner : – en objet « Appel aux candidatures FM (autoroute A355) » ; – dans son corps, le nom et la forme sociale de la personne morale candidate, le nom du service qui fait l’objet du dossier de candidature ainsi que le nom, le prénom, la qualité et les coordonnées téléphoniques de la personne physique qui expédie le courriel. Si une même personne morale souhaite déposer plusieurs dossiers de candidature, elle adresse impérativement autant de courriels qu’elle souhaite déposer de candidatures. – dans les 24 heures ouvrées suivant la réception de ce courriel, la direction des médias radio du Conseil en accuse réception et transmet au candidat les modalités électroniques de dépôt du dossier ; – au plus tard le vendredi 15 janvier 2021, à 17 heures, heure de Paris, à peine d’irrecevabilité, le candidat transmet l’intégralité de son dossier de candidature conformément à la procédure indiquée par la direction des médias radio du Conseil. Les dossiers de candidature déposés pourront être modifiés, complétés ou remplacés jusqu’à cette même date. Tout dossier de candidature transmis en méconnaissance de l’un ou l’autre des deux délais mentionnés ci-dessus ou selon des modalités différentes de celles indiquées ci-dessus sera déclaré irrecevable. Aucun dossier de candidature ne sera accepté sous format papier, sur une clé USB ou sur un CD-rom. Les dossiers doivent être rédigés en langue française. Par ailleurs, afin de faciliter l’instruction du présent appel aux candidatures, le candidat veillera, d’une part, à limiter le nombre de fichiersdans son dossier, d’autre part, à les 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 158 organiser selon une arborescence logique et, enfin, à utiliser des noms de fichiers courts mais suffisamment explicites pour qu’ils soient compréhensibles par tout lecteur. En outre, les fichiers seront transmis dans des formats compatibles avec les logiciels Word 2007 et Excel 2007 de Microsoft ou bien LibreOffice de version supérieure ou égale à 4.4. Le formulaire d’identification de la personne morale candidate sera impérativement transmis dans un format compatible avec le logiciel Excel 2007 à l’exclusion de tous les autres formats. Le candidat qui souhaite retirer sa candidature doit, sans délai, en avertir, par courriel à l’adresse appel. [email protected], le Conseil, qui en prend acte. Si le désistement est effectué après la délivrance de l’autorisation, la ressource prévue pour le service qui fait l’objet du désistement ne peut être attribuée qu’après un nouvel appel aux candidatures.

CHAPITRE 2 CONTENU DU DOSSIER DE CANDIDATURE Le dossier de candidature est constitué sur le modèle « Radio d’autoroute » disponible sur le site internet du conseil www.csa.fr. Il est rédigé en langue française. La production du dossier est un élément d’appréciation essentiel pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel. Ce dossier doit être constitué au nom de la personne morale candidate. Il comprend six parties : 1o Formulaire indiquant les principaux éléments d’identification de la candidature. 2o Informations sur la personne morale candidate. 3o Caractéristiques générales du service. 4o Modalités de financement du service. 5o Caractéristiques techniques d’émission. 6o Éléments constitutifs de la convention.

CHAPITRE 3 DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE

1. Liste des candidats recevables Le Conseil supérieur de l’audiovisuel arrête la liste des candidats recevables après avis du comité territorial de l’audiovisuel. Sont recevables les candidats qui respectent les conditions suivantes : – dépôt des dossiers au Conseil supérieur de l’audiovisuel dans les délais fixés au chapitre 1er de la présente décision ; – projet dont l’objet correspond au texte de l’appel aux candidatures ; – existence effective de la personne morale candidate ou, à défaut, engagement des démarches nécessaires à l’acquisition de la personnalité morale, justifiés par la production des documents suivants : – pour une société immatriculée au registre du commerce et des sociétés, statuts datés et signés et extrait K bis datant de moins de trois mois ; – pour une société non encore immatriculée au registre du commerce et des sociétés, statuts datés et signés et attestation bancaire d’un compte bloqué. L’existence effective de la personnalité morale est exigée préalablement à la conclusion de la convention prévue à l’article 28 de la loi du 30 septembre 1986. La liste des candidats recevables est publiée au Journal officiel de la République française. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel notifie les rejets de candidatures.

2. Sélection des candidatures Le comité territorial de l’audiovisuel instruit les dossiers des candidats figurantsur la liste mentionnée ci-dessus. Il transmet au Conseil supérieur de l’audiovisuel un avis sur le candidat qui lui parait pouvoir bénéficier d’une autorisation. Au vu de cet avis, le Conseil supérieur de l’audiovisuel procède, à titre préparatoire, à une sélection du candidat. Il notifie cette sélection au candidat et lui propose en tant que de besoin la conclusion de la convention prévue à l’article 28 de la loi du 30 septembre 1986. La sélection du candidat fait l’objet d’une publication sur le site internet du Conseil www.csa.fr. Elle peut être envoyée, par voie postale ou électronique, sur simple demande.

3. Site d’émission Le candidat sélectionné confirme ou modifie par courrier recommandé avec avis de réception au Conseil supérieur de l’audiovisuel, dans un délai de quinze jours à compter de la réception de la lettre lui notifiant sa sélection, les sites d’émission ainsi que les caractéristiques retenues. Le cas échéant, les modifications sont transmises sous format électronique (CD Rom ou clé USB). A défaut de réponse dans le délai indiqué, la candidature peut être rejetée. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 158

Les sites proposés font l’objet d’un agrément du Conseil supérieur de l’audiovisuel. Ils ne peuvent être approuvés que si un examen, effectué par lui-même ou par tout autre organisme qu’il a mandaté, permet de s’assurer de l’absence de gênes de proximité sur l’ensemble de la bande FM ou sur d’autres bandes, notamment celles qui sont utilisées pour les besoins de la navigation aérienne. Les sites d’émission doivent, dans tous les cas, faire l’objet d’une consultation auprès de l’Agence nationale des fréquences. Si aucun site n’a pu être agréé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la lettre de notificationde la sélection, le Conseil supérieur de l’audiovisuel peut rejeter la demande. Toutefois, il peut lui-même déterminer un site en application de l’article 25 de la loi du 30 septembre 1986. L’absence d’acceptation de ce site par le candidat dans un délai de quinze jours entraîne le rejet de sa demande.

4. Elaboration de la convention Le Conseil supérieur de l’audiovisuel examine avec le candidat sélectionné les clauses particulières de la convention prévue à l’article 28 de la loi du 30 septembre 1986, dont les clauses générales figurent dans le modèle disponible sur le site internet du Conseil www.csa.fr, dossier « Appel aux candidatures ». La convention doit être complétée et renvoyée au Conseil dans un délai de quinze jours à compter de la réception de la lettre de notification de la sélection. Les éléments particuliers de la convention portent notamment sur les points suivants : – la durée et les caractéristiques générales du programme, y compris celui relatif à l’information routière ; – l’origine et la nature des informations liées à la vie culturelle, éducative, sociale et économique des régions traversées ; – la proportion des chansons d’expression française, des nouveaux talents et des nouvelles productions ; – le temps maximum consacré à la publicité et aux émissions parrainées, ainsi que les modalités de leur insertion dans le programme. A défaut de signature de la convention dans un délai de quatre semaines à compter de la notification de la décision de sélection, la candidature peut être rejetée. Lorsque la candidature a été rejetée dans les conditions prévues au 3 ou au 4 ci-dessus, le Conseil supérieur de l’audiovisuel procède à la sélection d’un nouveau candidat dans les conditions prévues au présent chapitre.

5. Autorisation ou rejet des candidatures Conformément aux dispositions de l’article 29 de la loi du 30 septembre 1986, le Conseil supérieur de l’audiovisuel accorde les autorisations en appréciant l’intérêt de chaque projet pour le public, au regard des impératifs prioritaires que sont la sauvegarde du pluralisme des courants d’expression socioculturels, la diversification des opérateurs et la nécessité d’éviter les abus de position dominante et les pratiques entravant le libre exercice de la concurrence. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel délivre les autorisations, qui sont publiées au Journal officiel de la République française. Il notifie aux candidats non autorisés le rejet de leur candidature dans les conditions prévues à l’article 32 de la loi du 30 septembre 1986. L’autorisation est donnée sous réserve que l’exploitation du service commence effectivement dans le délai de trois mois à compter de la date d’entrée en vigueur. Si cette condition n’est pas satisfaite, le Conseil supérieur de l’audiovisuel peut constater la caducité de l’autorisation. Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE ZONES DE COUVERTURE ET CONDITIONS TECHNIQUES D’UTILISATION

1. Zone de couverture et fréquence disponible Le présent appel aux candidatures concerne la couverture en mode analogique de l’axe autoroutier A355, permettant le contournement ouest de Strasbourg, entre les raccordements autoroutiers A352/A35 et A4/A35. La zone de couverture sera réalisée par un ensemble d’émetteurs synchronisés sur la fréquence 107,7 MHz conformément aux conditions techniques définies au paragraphe 2.

2. Conditions techniques d’utilisation de la fréquence Les études relatives à la disponibilité de la fréquence 107,7 MHz sur les zones définies au paragraphe 1 ont été menées sur la base des recommandations de l’UIT-R (Union internationale des télécommunications), notamment 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 158

UIT-R BS.412-9 pour la planificationet UIT-R BS.450-4 pour les normes d’émission. L’excursion de fréquence ne doit en aucun cas dépasser la valeur de 75 kHz. Les caractéristiques techniques des sites d’émission permettant la couverture de la zone de desserte définie au paragraphe 1 devront respecter les paramètres techniques suivants : D’une manière générale et en l’absence de problème de propagation liée à la topographie, la puissance apparente rayonnée (PAR) maximum est fixée à 200 W. La puissance autorisée est la puissance apparente rayonnée. La puissance nominale maximum de l’émetteur ne doit pas dépasser la moitié de la valeur de la PAR maximum. Cependant, pour une PAR fixée,le Conseil peut imposer l’utilisation d’une puissance nominale plus faible. Celle-ci est alors compensée par un gain d’antenne plus grand (deux ou quatre éléments ou dipôles par exemple) de façon à limiter l’émission d’énergie sous des angles de site négatifs importants, réduisant de ce fait les gênes de proximité. Les émetteurs doivent se trouver dans un rayon maximum de 1 km autour de l’axe autoroutier à desservir, défini au paragraphe 1. Les systèmes d’antenne utilisés doivent être directifs et présenter un gain en puissance supérieur à 10 dBd (décibels par rapport au doublet demi onde) dans l’axe principal de rayonnement et une atténuation supérieure à 10 dBd dans l’axe opposé. En fonction de contraintes particulières liées à la planification ou la coordination internationale des fréquences, le Conseil pourra refuser certains sites proposés ou réduire la puissance d’émission (PAR ou diagramme d’antenne). L’utilisateur des fréquences 107,7 MHz s’assurera d’un filtrage spécifique des fréquences en plaçant une cavité entre l’émetteur et le système d’antenne afin de limiter les rayonnements en dehors de la bande de fréquences [107,625-107,775 MHz]. Le système permettra une protection des bandes de fréquences affectées à l’aviation civile et à la défense. Au cas où des gênes apparaîtraient à un moment quelconque de l’exploitation, le Conseil se réserve le droit d’imposer à la station de radio considérée toute modification technique nécessaire pour les supprimer. Ces modifications peuvent concerner la hauteur de l’antenne, le diagramme de rayonnement, le filtrage, la PAR ou le site d’émission. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 113 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-801 du 18 novembre 2020 modifiant les décisions autorisant la SARL Bella’Com à exploiter le service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse NOR : CSAC2032515S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment son article 42-3 ; Vu la décision du Conseil supérieur de l’audiovisuel no 2006-997 du 21 novembre 2006, complétée par la décision no 2016-348 du 13 avril 2016 et reconduite par les décisions no 2011-571 du 6 juillet 2011 et no 2016-699 du 27 juillet 2016, autorisant la SARL Bella’Com à exploiter un service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse ; Vu la décision du Conseil no 2011-1195 du 15 novembre 2011, reconduite par la décision no 2016-552 du 1er juin 2016, autorisant la SARL Bella’Com à exploiter un service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse ; Vu la décision du Conseil no 2012-191 du 27 mars 2012, reconduite par la décision no 2016-695 du 27 juillet 2016, autorisant la SARL Bella’Com à exploiter un service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse ; Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel et la SARL Bella’Com ; Vu le courriel en date du 4 novembre 2020 par lequel la SARL Bella’Com a informé le Conseil supérieur de l’audiovisuel du changement de sa forme sociale ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Dans les décisions visées ci-dessus, la forme sociale de la SARL Bella’Com est remplacée par « SAS ». Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SAS Bella’Com et publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-802 du 18 novembre 2020 modifiant les décisions autorisant la SARL Bella’Com à exploiter le service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé NRJ Corse NOR : CSAC2032519S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment son article 42-3 ; Vu la décision du Conseil supérieur de l’audiovisuel no 2006-998 du 21 novembre 2006, complétée par la décision no 2016-352 du 13 avril 2016 et reconduite par les décisions no 2011-574 du 6 juillet 2011 et no 2016-702 du 27 juillet 2016, autorisant la SARL Bella’Com à exploiter un service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé NRJ Corse ; Vu la décision du Conseil no 2012-192 du 27 mars 2012, reconduite par la décision no 2016-696 du 27 juillet 2016, autorisant la SARL Bella’Com à exploiter un service de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé NRJ Corse ; Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel et la SARL Bella’Com ; Vu le courriel en date du 4 novembre 2020 par lequel la SARL Bella’Com a informé le Conseil supérieur de l’audiovisuel du changement de sa forme sociale ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Dans les décisions visées ci-dessus, la forme sociale de la SARL Bella’Com est remplacée par « SAS ». Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SAS Bella’Com et publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-803 du 18 novembre 2020 portant changement de titulaire et de catégorie de l’autorisation délivrée pour l’exploitation du service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en mode numérique dénommé Skyrock dans la zone Lille étendu NOR : CSAC2032527S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment son article 42-3 ; Vu le décret no 2011-732 du 24 juin 2011 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ; Vu la décision du Conseil supérieur de l’audiovisuel no 2017-311 du 24 mai 2017 autorisant la SA Vortex à exploiter un service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en mode numérique dénommé Skyrock ; Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel et la SARL Quinto Avenio ; Vu le courrier en date du 31 juillet 2019 par lequel la SA Vortex, société contrôlant la SARL Quinto Avenio, a saisi le Conseil supérieur de l’audiovisuel d’une demande de changement de titulaire et de catégorie de l’autorisation qui lui a été délivrée dans la zone Lille étendu (canal 8A), Décide : Art. 1er. – L’autorisation accordée à la SA Vortex d’exploiter un service de catégorie D dans la zone Lille étendu (canal 8A) par la décision no 2017-311 du 24 mai 2017 est transférée à la SARL Quinto Avenio afin d’exploiter le service de radio de catégorie C dénommé Skyrock Nord. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SA Vortex et publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-804 du 18 novembre 2020 portant changement de titulaire et de catégorie de l’autorisation délivrée pour l’exploitation du service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en mode numérique dénommé Skyrock dans la zone Marseille intermédiaire NOR : CSAC2032532S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment son article 42-3 ; Vu le décret no 2011-732 du 24 juin 2011 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ; Vu la décision du Conseil supérieur de l’audiovisuel no 2013-88 du 15 janvier 2013, modifiée par la décision no 2016-387 du 19 février 2016, autorisant la SA Vortex à exploiter un service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en mode numérique dénommé Skyrock ; Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel et la SARL Quinto Avenio ; Vu le courrier en date du 31 juillet 2019 par lequel la SA Vortex, société contrôlant la SARL Quinto Avenio, a saisi le Conseil supérieur de l’audiovisuel d’une demande de changement de titulaire et de catégorie de l’autorisation qui lui a été délivrée dans la zone Marseille intermédiaire (canal 8A), Décide : Art. 1er. – L’autorisation accordée à la SA Vortex d’exploiter un service de catégorie D dans la zone Marseille intermédiaire (canal 8A) par la décision no 2013-88 du 15 janvier 2013, modifiée par la décision no 2016-387 du 19 février 2016, est transférée à la SARL Quinto Avenio afin d’exploiter le service de radio de catégorie C dénommé Skyrock Sud. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SA Vortex et publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-805 du 18 novembre 2020 portant reconduction de l’autorisation délivrée à la SAS SE CD COM pour l’exploitation du service de radio de catégorie B par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Champagne FM

NOR : CSAC2032535S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu le code de la santé publique, notamment son article R. 3323-1 ; Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 27, 28, 28-1 et 29-3 ; Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ; Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la publicité locale et au parrainage local des services de radio diffusés par voie hertzienne terrestre en application des articles 29, 29-1 et 30-7 de la même loi ; Vu le décret no 2011-732 du 24 juin 2011 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ; Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence ; Vu la décision no 2011-244 du 27 avril 2011 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, reconduite par la décision no 2015-469 du 23 novembre 2015 et modifiée par la décision no 2020-01 du 8 janvier 2020, portant autorisation du service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Champagne FM ; Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil fixant le règlement intérieur des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ; Vu la délibération du Conseil en date du 22 avril 2020 publiée au Journal officiel de la République française le 8 mai 2020 ; Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel et la SAS SE CD COM ; Après en avoir délibéré,

Décide : Art. 1er. – L’autorisation accordée par la décision no 2011-244 du 27 avril 2011 pour l’exploitation du service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Champagne FM est à nouveau reconduite pour une durée de cinq ans, à compter du 24 mai 2021. Art. 2. – La SAS SE CD COM est autorisée à utiliser les fréquences mentionnées en annexe, conformément à la convention et aux annexes de la présente décision. Art. 3. – I. – Sur demande expresse du Conseil supérieur de l’audiovisuel, le titulaire de la présente autorisation est tenu de lui communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes, dont il atteste l’exactitude : – le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ; – la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min). II. – Si le Conseil constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet au conseil les résultats de cette vérification. Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence. Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 158

Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS SE CD COM et publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE I (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Rethel. Fréquence : 102,3 MHz. Adresse du site : l’Alouette, Rethel (08). Altitude du site (NGF) : 135 mètres. Hauteur d’antenne : 66 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 300 W. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 13 90 2 180 0 270 9

10 13 100 1 190 1 280 11

20 11 110 1 200 1 290 13

30 9 120 0 210 2 300 13

40 8 130 0 220 2 310 13

50 6 140 0 230 3 320 13

60 4 150 0 240 4 330 12

70 3 160 0 250 6 340 13

80 2 170 0 260 8 350 13

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE II (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Châlons-en-Champagne. Fréquence : 87,7 MHz. Adresse du site : La côte Mahout - chemin de Melette - réservoir, Châlons-en-Champagne (51). Altitude du site (NGF) : 148 mètres. Hauteur d’antenne : 54 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 4 90 7 180 1 270 0

10 5 100 7 190 0 280 0

20 6 110 6 200 0 290 0

30 6 120 6 210 0 300 0

40 7 130 5 220 0 310 0

50 7 140 4 230 0 320 1

60 7 150 3 240 0 330 2 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

70 7 160 2 250 0 340 2

80 7 170 2 260 0 350 3

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE III (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Vitry-le-François. Fréquence : 101,5 MHz. Adresse du site : Mont Vignereux, Vitry-le-François (51). Altitude du site (NGF) : 155 mètres. Hauteur d’antenne : 57 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 200 W. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 18 90 2 180 2 270 17

10 17 100 1 190 3 280 19

20 15 110 1 200 4 290 20

30 11 120 0 210 5 300 22

40 9 130 0 220 7 310 25

50 7 140 0 230 9 320 25

60 6 150 0 240 11 330 22

70 4 160 1 250 13 340 20

80 3 170 1 260 15 350 19

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE IV (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Saint-Dizier. Fréquence : 101,4 MHz. Adresse du site : Vert bois, Saint-Dizier (52). Altitude du site (NGF) : 198 mètres. Hauteur d’antenne : 32 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 9 90 0 180 2 270 13

10 8 100 0 190 2 280 13

20 6 110 0 200 3 290 13

30 4 120 0 210 4 300 12

40 3 130 0 220 6 310 13

50 2 140 0 230 8 320 13 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

60 2 150 0 240 9 330 13

70 1 160 1 250 11 340 13

80 1 170 1 260 13 350 11

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE V (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Reims. Fréquence : 102,1 MHz. Adresse du site : Moulin de la Housse, Reims (51). Altitude du site (NGF) : 136 mètres. Hauteur d’antenne : 41 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 2 kW. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 0 90 4 180 7 270 1

10 0 100 5 190 7 280 1

20 0 110 5 200 6 290 0

30 0 120 6 210 5 300 0

40 1 130 7 220 5 310 0

50 1 140 7 230 4 320 0

60 1 150 7 240 3 330 0

70 2 160 7 250 2 340 0

80 3 170 7 260 1 350 0

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE VI (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Epernay. Fréquence : 101,4 MHz. Adresse du site : Les Lhuys, Hautvillers (51). Altitude du site (NGF) : 266 mètres. Hauteur d’antenne : 146 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 20 90 15 180 2 270 1

10 25 100 13 190 3 280 1

20 25 110 10 200 2 290 2

30 20 120 7 210 0 300 4

40 20 130 4 220 0 310 7 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

50 25 140 2 230 2 320 10

60 25 150 1 240 3 330 13

70 20 160 1 250 2 340 15

80 18 170 1 260 1 350 18

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE VII (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Troyes. Fréquence : 97,5 MHz. Adresse du site : Mont Cochot, Saint-Benoît-sur-Seine (10). Altitude du site (NGF) : 222 mètres. Hauteur d’antenne : 73 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 6 90 2 180 0 270 3

10 6 100 2 190 0 280 3

20 6 110 1 200 0 290 4

30 6 120 1 210 0 300 5

40 5 130 0 220 0 310 5

50 5 140 0 230 1 320 5

60 4 150 0 240 1 330 6

70 4 160 0 250 1 340 6

80 3 170 0 260 2 350 6

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE VIII (*) Nom du service : Champagne FM. Zone d’implantation de l’émetteur : Fismes. Fréquence : 102,2 MHz. Adresse du site : lieudit bois de Vilette, Fismes (51). Altitude du site (NGF) : 157 mètres. Hauteur d’antenne : 24 mètres/sol. Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W. Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 7 90 11 180 3 270 0

10 8 100 11 190 2 280 1

20 10 110 10 200 1 290 1

30 10 120 10 210 1 300 1 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

40 11 130 8 220 1 310 2

50 11 140 7 230 0 320 3

60 10 150 6 240 0 330 4

70 10 160 5 250 0 340 5

80 10 170 4 260 0 350 6

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 118 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-807 du 18 novembre 2020 modifiantla décision no 2015-418 du 18 novembre 2015 autorisant la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R1 NOR : CSAC2032566S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 22, 25, 26, 30-1 et 30-2 ; Vu l’arrêté du 24 décembre 2001 modifié relatif à la télévision numérique hertzienne terrestre fixant les caractéristiques des signaux émis ; Vu la décision no 2015-418 du 18 novembre 2015 modifiée autorisant la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R1 ; Vu les informations communiquées par la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) ; Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Les caractéristiques techniques d’émission figurant à l’annexe de la présente décision remplacent, pour le site concerné, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision no 2015-418 du 18 novembre 2015 modifiée. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SAS Société de gestion du réseau R1 (GR1) ainsi qu’aux différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE

PARTIE A : CANAUX et caractéristiques techniques autorisés

Altitude maximale PAR maximale Canal et NOM DU SITE Lieu d’émission de l’antenne et PAR minimale [b] polarisation [c] (mètres) [a]

Trégarvan Bel Air 108 2 W (1) 43 V

[a] L’altitude de l’antenne est à respecter à plus ou moins 5 mètres. [b] La PAR maximale est égale à la PAR minimale. [c] La fréquence en MHz du canal n est définie par la formule : Fréquence centrale = 306 + 8 n + 0.166 d, n étant compris entre 21 et 69, d pouvant prendre les valeurs -1, 0, 1, 2 ou 3 selon les nécessités de la planification.

(1) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 15 90 0 180 20 270 2

10 16 100 0 190 19 280 1

20 16 110 1 200 20 290 0

30 15 120 3 210 20 300 1

40 11 130 5 220 17 310 2

50 7 140 7 230 11 320 3 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 118 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

60 4 150 10 240 8 330 6

70 2 160 16 250 6 340 10

80 1 170 20 260 4 350 14

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 119 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-808 du 18 novembre 2020 modifiantla décision no 2015-419 du 18 novembre 2015 autorisant la SAS Nouvelles télévisions numériques à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R2 NOR : CSAC2032567S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 22, 25, 30-1 et 30-2 ; Vu l’arrêté du 24 décembre 2001 modifié relatif à la télévision numérique hertzienne terrestre fixant les caractéristiques des signaux émis ; Vu la décision no 2015-419 du 18 novembre 2015 modifiéeautorisant la SAS Nouvelles télévisions numériques à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R2 ; Vu les informations communiquées par la SAS Nouvelles télévisions numériques ; Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Les caractéristiques techniques d’émission figurant à l’annexe de la présente décision remplacent, pour les sites concernés, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision no 2015-419 du 18 novembre 2015 modifiée. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SAS Nouvelles télévisions numériques ainsi qu’aux différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE

PARTIE A : CANAUX et caractéristiques techniques autorisés

NOM DU SITE Lieu d’émission Altitude maximale de PAR maximale et PAR minimale Canal et polarisation [c] l’antenne (mètres) [a] [b]

Alba La Serre 518 30 W (1) 44 H

Hérimoncourt Terre Blanche 485 4 W (2) 44 H

[a] L’altitude de l’antenne est à respecter à plus ou moins 5 mètres.

[b] La PAR maximale est égale à la PAR minimale.

[c] La fréquence en MHz du canal n est définie par la formule :

Fréquence centrale = 306 + 8 n + 0.166 d, n étant compris entre 21 et 69, d pouvant prendre les valeurs -1, 0, 1, 2 ou 3 selon les nécessités de la planification.

(1) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 2 90 14 180 28 270 30

10 1 100 20 190 20 280 30

20 0 110 20 200 20 290 28

30 0 120 30 210 20 300 25 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 119 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

40 1 130 30 220 28 310 20

50 2 140 30 230 25 320 14

60 4 150 30 240 28 330 9

70 7 160 25 250 25 340 7

80 10 170 25 260 28 350 4

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(2) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 14 90 20 180 0 270 3

10 18 100 20 190 0 280 2

20 20 110 20 200 1 290 1

30 19 120 17 210 2 300 0

40 20 130 14 220 4 310 0

50 25 140 9 230 6 320 1

60 14 150 5 240 6 330 2

70 14 160 2 250 6 340 5

80 25 170 1 260 6 350 10

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 120 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-809 du 18 novembre 2020 modifiantla décision no 2015-420 du 18 novembre 2015 autorisant la SA Compagnie du numérique hertzien à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R3 NOR : CSAC2032569S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 22, 25, 30-1 et 30-2 ; Vu l’arrêté du 24 décembre 2001 modifié relatif à la télévision numérique hertzienne terrestre fixant les caractéristiques des signaux émis ; Vu la décision no 2015-420 du 18 novembre 2015 modifiée autorisant la SA Compagnie du numérique hertzien à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R3 ; Vu les informations communiquées par la SA Compagnie du numérique hertzien ; Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Les caractéristiques techniques d’émission figurant à l’annexe de la présente décision remplacent, pour le site concerné, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision no 2015-420 du 18 novembre 2015 modifiée. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SA Compagnie du numérique hertzien ainsi qu’aux différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE

PARTIE A : CANAUX et caractéristiques techniques autorisés

NOM DU SITE Lieu d’émission Altitude maximale de PAR maximale et PAR minimale Canal et polarisation [c] l’antenne (mètres) [a] [b]

Alba La Serre 518 30 W (1) 25 H

[a] L’altitude de l’antenne est à respecter à plus ou moins 5 mètres.

[b] La PAR maximale est égale à la PAR minimale.

[c] La fréquence en MHz du canal n est définie par la formule :

Fréquence centrale = 306 + 8 n + 0.166 d, n étant compris entre 21 et 69, d pouvant prendre les valeurs -1, 0, 1, 2 ou 3 selon les nécessités de la planification.

(1) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 2 90 14 180 28 270 30

10 1 100 20 190 20 280 30

20 0 110 20 200 20 290 28

30 0 120 30 210 20 300 25

40 1 130 30 220 28 310 20 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 120 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

50 2 140 30 230 25 320 14

60 4 150 30 240 28 330 9

70 7 160 25 250 25 340 7

80 10 170 25 260 28 350 4

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 121 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-811 du 18 novembre 2020 modifiantla décision no 2015-422 du 18 novembre 2015 autorisant la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R6 NOR : CSAC2032572S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 22, 25, 30-1 et 30-2 ; Vu l’arrêté du 24 décembre 2001 modifié relatif à la télévision numérique hertzienne terrestre fixant les caractéristiques des signaux émis ; Vu la décision no 2015-422 du 18 novembre 2015 modifiée autorisant la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des services de communication audiovisuelle diffusés par voie hertzienne terrestre en mode numérique sur le réseau R6 ; Vu les informations communiquées par la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 ; Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Les caractéristiques techniques d’émission figurant à l’annexe de la présente décision remplacent, pour les sites concernés, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision no 2015-422 du 18 novembre 2015 modifiée. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SA Société d’exploitation du multiplexe R6 - SMR6 ainsi qu’aux différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE

PARTIE A : CANAUX

et caractéristiques techniques autorisés

Altitude maximale de PAR maximale et PAR minimale NOM DU SITE Lieu d’émission l’antenne (mètres) [a] [b] Canal et polarisation [c]

Alba La Serre 518 30 W (1) 37 H

Hérimoncourt Terre Blanche 485 4 W (2) 47 H

[a] L’altitude de l’antenne est à respecter à plus ou moins 5 mètres.

[b] La PAR maximale est égale à la PAR minimale.

[c] La fréquence en MHz du canal n’est définie par la formule :

Fréquence centrale = 306 + 8 n + 0.166 d, n’étant compris entre 21 et 69, d pouvant prendre les valeurs -1, 0, 1, 2 ou 3 selon les nécessités de la planification.

(1) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 2 90 14 180 28 270 30

10 1 100 20 190 20 280 30

20 0 110 20 200 20 290 28

30 0 120 30 210 20 300 25 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 121 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

40 1 130 30 220 28 310 20

50 2 140 30 230 25 320 14

60 4 150 30 240 28 330 9

70 7 160 25 250 25 340 7

80 10 170 25 260 28 350 4

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(2) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 14 90 20 180 0 270 3

10 18 100 20 190 0 280 2

20 20 110 20 200 1 290 1

30 19 120 17 210 2 300 0

40 20 130 14 220 4 310 0

50 25 140 9 230 6 320 1

60 14 150 5 240 6 330 2

70 14 160 2 250 6 340 5

80 25 170 1 260 6 350 10

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2020-812 du 18 novembre 2020 modifiant la décision no 2012-520 du 24 juillet 2012 autorisant la société MHD7 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des éditeurs de services de télévision par voie hertzienne terrestre du réseau R7 NOR : CSAC2032573S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses articles 22, 25, 30-1 et 30-2 ; Vu l’arrêté du 24 décembre 2001 modifié relatif à la télévision numérique hertzienne terrestre fixant les caractéristiques des signaux émis ; Vu la décision no 2012-520 du 24 juillet 2012 modifiée autorisant la société MHD7 à utiliser une ressource radioélectrique pour le multiplexage des programmes des éditeurs de services de télévision par voie hertzienne terrestre du réseau R7 ; Vu les informations communiquées par la SAS Multiplex haute définition 7 ; Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ; Après en avoir délibéré, Décide : Art. 1er. – Les caractéristiques techniques d’émission figurant à l’annexe de la présente décision remplacent, pour les sites concernés, les caractéristiques techniques figurant en partie A de l’annexe 1 de la décision no 2012-520 du 24 juillet 2012 modifiée. Art. 2. – La présente décision sera notifiée à la SAS Multiplex haute définition 7 ainsi qu’aux différents éditeurs autorisés sur le multiplex et sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 18 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE

ANNEXE

PARTIE A : CANAUX et caractéristiques techniques autorisés

Altitude maxi­ NOM DU SITE Lieu d’émission male de l’an­ PAR maximale et PAR Canal et polari­ tenne (mètres) minimale [b] sation [c] [a]

Alba La Serre 518 30 W (1) 28 H

Hérimoncourt Terre Blanche 485 4 W (2) 26 H

[a] L’altitude de l’antenne est à respecter à plus ou moins 5 mètres.

[b] La PAR maximale est égale à la PAR minimale.

[c] La fréquence en MHz du canal n est définie par la formule :

Fréquence centrale = 306 + 8 n + 0.166 d, n étant compris entre 21 et 69, d pouvant prendre les valeurs -1, 0, 1, 2 ou 3 selon les nécessités de la planification.

(1) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 2 90 13 180 30 270 25

10 1 100 18 190 23 280 26

20 0 110 22 200 20 290 28

30 0 120 30 210 20 300 23 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 158

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

40 1 130 28 220 21 310 18

50 2 140 25 230 26 320 13

60 4 150 25 240 30 330 9

70 6 160 25 250 25 340 6

80 9 170 28 260 25 350 4

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(2) Limitation du rayonnement :

AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 8 90 25 180 0 270 3

10 11 100 20 190 0 280 1

20 15 110 15 200 0 290 0

30 19 120 11 210 1 300 0

40 25 130 8 220 3 310 1

50 20 140 6 230 3 320 1

60 16 150 4 240 3 330 2

70 17 160 3 250 2 340 4

80 20 170 1 260 3 350 6

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 123 sur 158

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Délibération du 10 novembre 2020 relative à la possibilité de reconduire pour cinq ans hors appel aux candidatures une autorisation délivrée dans le ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Lyon NOR : CSAC2032277X

Par une délibération en date du 10 novembre 2020, le Conseil supérieur de l’audiovisuel, sur le fondement des articles 28-1 et 29-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, a statué favorablement sur la possibilité de reconduction pour cinq ans, hors appel aux candidatures, d’une autorisation délivrée dans le ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Lyon et dont le terme est fixé au 20 juillet 2021. Cette délibération est fondée sur les motifs suivants : 1o L’Etat n’a pas modifié la destination de la fréquence concernée par cette autorisation ; 2o Le titulaire de l’autorisation n’a pas fait l’objet de sanction du Conseil et celui-ci n’a eu connaissance d’aucune condamnation prononcée à son encontre, sur le fondement des articles 23, 24, 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ou des articles 227-23 ou 227-24 du code pénal, de nature à justifierque son autorisation ne soit pas reconduite hors appel aux candidatures ; 3o La reconduction de l’autorisation, hors appel aux candidatures, de ce service de radio n’est pas de nature à porter atteinte à l’impératif de pluralisme sur le plan national ou sur les plans régional et local ; 4o La situation financière du titulaire lui permet de poursuivre l’exploitation du service dans des conditions satisfaisantes ; 5o Ce service de radio remplit les critères propres à la catégorie pour laquelle l’autorisation lui a été accordée ; 6o Le Conseil supérieur de l’audiovisuel n’a pas constaté, dans le rapport public prévu à l’article 18 de la loi du 30 septembre 1986 susvisée, le non-respect, sur plusieurs exercices, des principes mentionnés au troisième alinéa de l’article 3-1 de cette même loi. A défaut d’accord sur les termes de la convention entre le comité territorial de l’audiovisuel de Lyon et le titulaire au plus tard le 20 janvier 2021, l’autorisation correspondante ne pourrait pas être reconduite hors appel aux candidatures.

Catégorie Titulaire Service Zone Fréquence

A Association Telgip Diffusion Pixel FM Morestel 100,1 MHz La présente délibération sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 10 novembre 2020. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, R.-O. MAISTRE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 158

Haute Autorité de santé

Décision no 2020.0233/DC/SCES du 15 octobre 2020 du collège de la Haute Autorité de santé portant adoption de la procédure de certification des établissements de santé NOR : HASX2031204S

Le collège de la Haute Autorité de santé ayant valablement délibéré en sa séance du 15 octobre 2020, Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 161-37 et R. 161-74, Décide : Art. 1er. – La procédure de certification des établissements de santé, ci-jointe, est adoptée. Elle remplace la procédure adoptée par décision no 2020.0063/DC/SCES du 11 mars 2020. Art. 2. – La décision no 2020.0063/DC/SCES du 11 mars 2020 est retirée. Art. 3. – Le directeur général de la Haute Autorité de santé est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait le 15 octobre 2020. Pour le collège : La présidente, D. LE GULUDEC 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 158

ANNEXE 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 158 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 158 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 158 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 158 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 158

Haut Conseil des finances publiques

Avis no HCFP-2020-7 du 23 novembre 2020 relatif à l’amendement des projets de lois de finances et de financement de la sécurité sociale pour l’année 2021

NOR : HCFX2032952V

Synthèse Le 17 novembre 2020, sur le fondement de l’article 16 de la loi organique du 17 décembre 2012, le Gouvernement a saisi le Haut Conseil d’une demande d’avis sur une nouvelle prévision de croissance du PIB pour 2021. Le Haut Conseil constate que cette saisine n’est pas accompagnée d’un scénario macroéconomique complet. En l’absence d’informations relatives notamment à la composition de l’activité, à l’évolution des prix ou à l’emploi, le Haut Conseil ne dispose pas de l’ensemble des éléments nécessaires à l’appréciation de toute prévision macroéconomique et plus particulièrement à celle des principaux déterminants des recettes publiques. Il souligne que le Gouvernement, sur la base de la rédaction de l’article 16 de la loi organique de 2012, qui prête à interprétation, a choisi de retenir une lecture étroite de ce texte en ne présentant pas au Haut Conseil de nouvelles prévisions de finances publiques (recettes, dépenses et soldes). Ceci pose un problème de cohérence avec les autres articles de la loi organique s’agissant des missions qui lui sont confiées en matière de finances publiques. Sans méconnaître les difficultés créées par les incertitudes qui entourent la situation sanitaire et économique, le Haut Conseil regrette ce choix, qui ne lui permet pas d’émettre, conformément à son mandat, un avis suffisamment informé sur le scénario macroéconomique, ni d’apprécier le scénario de finances publiques. Il n’est ainsi pas en mesure de porter une appréciation sur les hypothèses sous-jacentes à l’amendement à l’article liminaire du projet de loi de finances pour 2021 que le Gouvernement devra soumettre au vote du Parlement avant son adoption définitive. Il ne peut donc pas pleinement éclairer le débat démocratique sur les finances publiques. * * *

Néanmoins, dans le cadre de sa saisine, le Haut Conseil note que, compte tenu des dernières informations disponibles portant à la fois sur l’estimation de l’impact macroéconomique du confinement actuel et l’évolution de la situation sanitaire, la prévision d’un recul de 11 % du PIB en 2020 apparaît désormais prudente. Il estime que celle d’un rebond limité à + 6 % en 2021 est cohérente avec une levée très graduelle des restrictions sanitaires, entraînant un retour à la normale de l’activité très progressif et encore partiel au second semestre 2021.

1. Le contexte et le périmètre de la saisine du Gouvernement 1. Le Haut Conseil des finances publiques a été saisi par le Gouvernement le 17 novembre 2020 en application de l’article 16 de la loi organique no 2012-1403 du 17 décembre 2012 relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques, afin de se prononcer sur les modifications que le Gouvernement prévoit d’apporter aux prévisions associées au projet de loi de finances (PLF) et au projet de loi de financement pour la sécurité sociale (PLFSS) pour 2021. 2. Cet article prévoit en effet que : « Lorsque, au cours de l’examen par le Parlement d’un projet de loi de programmation des finances publiques, d’un projet de loi de finances ou d’un projet de loi de financement de la sécurité sociale, le Gouvernement entend réviser les prévisions macroéconomiques sur lesquelles reposait initialement son projet, il informe sans délai le Haut Conseil des finances publiques du nouvel état de ses prévisions. Avant l’adoption définitivede la loi de programmation des financespubliques, de la loi de finances ou de la loi de financement de la sécurité sociale, le Haut Conseil rend un avis public sur ces prévisions ». 3. Le Haut Conseil a adopté, après en avoir délibéré lors de sa séance du 20 novembre 2020, le présent avis. 4. Le Haut Conseil souligne que le Gouvernement ne lui a communiqué que le seul chiffre de prévision de croissance du PIB en volume et non l’ensemble du scénario macroéconomique pour 2020 et 2021 (composition de l’activité, évolution des prix, emploi, etc.). Par exemple, il ne lui a pas fourni d’informations sur la consommation des ménages, qui est le premier déterminant des recettes de TVA, ou sur la masse salariale, alors même que la révision apportée au taux de croissance du PIB devrait conduire à une révision de même sens de celle-ci et, par voie de conséquence, celle de la prévision des recettes publiques. Le Haut Conseil n’est donc pas en mesure de se prononcer sur l’ensemble du scénario macroéconomique. 5. Par ailleurs, le Haut Conseil n’a reçu aucune information sur les éventuelles mesures de soutien à l’activité que le Gouvernement pourrait décider en réponse à l’évolution de la situation sanitaire et économique. Le Haut Conseil n’a notamment pas pu disposer d’informations quant aux modalités d’un possible prolongement 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 158

en 2021 des mesures du plan d’urgence et de soutien (1). Pourtant certaines de ces mesures (activité partielle, fonds de solidarité à destination des entreprises, etc.), qui visent à amortir le choc macroéconomique entraîné par les restrictions sanitaires, sont d’un montant potentiellement très élevé et peuvent par conséquent avoir un impact important sur le scénario macroéconomique. Cette absence d’information nuit donc à la bonne appréciation par le Haut Conseil du scénario macroéconomique présenté par le Gouvernement. 6. De plus, le Haut Conseil des finances publiques observe que le Gouvernement ne l’a pas saisi de nouvelles prévisions de finances publiques, en particulier du solde public et de sa décomposition, alors que la révision du scénario macroéconomique doit nécessairement conduire à modifier celui de finances publiques. Le Haut Conseil n’est donc pas en mesure de porter une appréciation sur l’amendement à l’article liminaire du PLF pour 2021, portant modification des soldes publics effectif et structurel, que le Gouvernement devra présenter et soumettre au vote du Parlement avant l’adoption définitive du PLF. 7. Au total, le Haut Conseil constate que le Gouvernement a retenu une interprétation étroite du périmètre de la saisine en cas de révision du scénario macroéconomique en application de l’article 16 de la loi organique de 2012, en ne transmettant qu’un état partiel de ses nouvelles prévisions macroéconomiques, alors qu’il aurait pu décider de lui transmettre un scénario complet en macroéconomie et en finances publiques. Cette situation ne lui permet pas d’émettre un avis pleinement informé sur le scénario macroéconomique du Gouvernement, ni d’apprécier, conformément à son mandat, le scénario de finances publiques, contrairement aux cas de saisine relatifs au projet de loi de finances pour l’année à venir (article 14 de la loi organique du 17 décembre 2012) ou aux projets de loi de finances rectificatifs pour l’année en cours (article 15 de la loi organique précitée). 8. Le Haut Conseil constate que la saisine du Gouvernement n’est pas accompagnée d’un scénario macroéconomique complet. En l’absence d’informations relatives notamment à la composition de l’activité, à l’évolution des prix ou à l’emploi, le Haut Conseil ne dispose pas de l’ensemble des éléments nécessaires à l’appréciation de toute prévision macroéconomique et plus particulièrement à celle des principaux déterminants des recettes publiques. 9. Il souligne que le Gouvernement, sur la base de la rédaction de l’article 16 de la loi organique de 2012, qui prête à interprétation, a choisi de retenir une lecture étroite de ce texte en ne présentant pas au Haut Conseil de nouvelles prévisions de finances publiques (recettes, dépenses et soldes). Ceci pose un problème de cohérence avec les autres articles de la loi organique s’agissant des missions qui lui sont confiées en matière de finances publiques. 10. Sans méconnaître les difficultés créées par les incertitudes qui entourent la situation sanitaire et économique, le Haut Conseil regrette ce choix, qui ne lui permet pas d’émettre, conformément à son mandat, un avis suffisamment informé sur le scénario macroéconomique, ni d’apprécier le scénario de finances publiques. Il n’est ainsi pas en mesure de porter une appréciation sur les hypothèses sous- jacentes à l’amendement à l’article liminaire du projet de loi de finances pour 2021 que le Gouvernement devra soumettre au vote du Parlement avant son adoption définitive.Il ne peut donc pas pleinement éclairer le débat démocratique sur les finances publiques.

2. La prévision d’activité du Gouvernement 11. Selon la saisine du Gouvernement, « Les nouveaux développements conduisent à réviser à la baisse la prévision d’activité pour 2020 et 2021 par rapport au scénario du PLF initial. La prévision d’évolution du PIB est révisée à − 11 % pour 2020, contre − 10 % dans le PLF initial, présenté le 28 septembre, et à + 6 % pour 2021, contre + 8 % dans le PLF initial. La prévision pour 2020 est inchangée par rapport au PLFR no 4. L’activité s’établirait ainsi en 2021 environ − 5,7 % en dessous de son niveau de 2019, soit 3 pts en dessous de la prévision sous-jacente au PLF initial. »

3. Appréciation du Haut Conseil 12. La dégradation de la situation sanitaire au cours de l’automne et les mesures de restrictions d’activité prises pour y faire face avaient conduit le Gouvernement à réviser, fin octobre, sa prévision d’activité pour 2020 dans le cadre du 4e PLFR pour 2020 par rapport à celle du PLF pour 2021, élaborée en septembre. L’estimation du recul du PIB en 2020, à – 11 % par le 4e PLFR (– 10 % dans le PLF), n’est pas modifiée dans le cadre de la présente saisine. 13. Ce même contexte conduit aussi le Gouvernement à réviser à la baisse la prévision pour 2021 par rapport à celle du PLF pour 2021, en anticipant le maintien de conditions sanitaires plus strictes au premier semestre 2021. Selon le Gouvernement, le taux de croissance serait de 6 % au lieu de 8 % initialement prévu pour 2021. L’activité s’établirait ainsi, en 2021, 5,7 % en dessous de son niveau de 2019, au lieu de 2,7 % dans le PLF pour 2021. 14. Ainsi que l’avait noté le Haut Conseil dans son avis sur le 4e PLFR, les incertitudes liées à la crise sanitaire entraînée par l’épidémie de covid-19 restent exceptionnellement fortes, et elles affectent les prévisions pour 2021 plus encore que celles pour 2020. 15. Pour 2020, le Haut Conseil avait estimé dans son avis sur le 4e PLFR (2) que l’hypothèse de croissance était cohérente avec une dégradation marquée de l’activité au 4e trimestre. 16. L’INSEE et la Banque de France estiment (3), sur la base de premiers indicateurs disponibles, que l’activité devrait être en novembre inférieure de l’ordre de 12 à 13 % à son niveau d’avant la crise sanitaire, une perte bien inférieure à celle enregistrée lors du premier confinement en en avril (– 30 %). De son côté, la prévision 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 158

du Gouvernement d’un recul de 11 % du PIB en 2020 suppose une perte d’activité d’environ 20 % sur le mois de novembre par rapport à son niveau normal. Ainsi, au vu des dernières informations disponibles, cette prévision apparaît aujourd’hui prudente.

Les prévisions de croissance du PIB pour 2020 et 2021

Date de parution 2020 2021 2021/2019

Gouvernement (révision PLF 2021) 17/11 -11 6 -5,7

Insee 13/11 -9/-10

Consensus Forecasts 13/11 -9,5 5,9 -4,1

Banque de France 9/11 -9/-10

Commission européenne 5/11 -9,4 5,8 -4,1

FMI 2/11 -9,8 6 -4,4

Gouvernement (PLF 2021) 16/09 -10 8 -2,7 Source : HCFP à partir des prévisions d’organisations internationales et d’instituts de conjoncture La colonne « 2021/2019 » présente pour chaque prévision le niveau du PIB atteint en 2021 par rapport à celui observé en 2019. 17. Pour 2021, la prévision de croissance du Gouvernement est proche de celles publiées par les organisations internationales ou les instituts de conjoncture depuis la présentation du PLF pour 2021, mais, compte tenu d’un point de départ pour 2020 plus bas, elle se traduit par un niveau d’activité sensiblement plus faible que celui anticipé par les prévisionnistes (– 5,7 % par rapport à 2019 contre environ – 4 %). Néanmoins, les prévisions publiées cet automne ne tiennent pas compte des dernières informations disponibles et, en particulier, l’annonce par le Gouvernement d’un maintien probable de certaines restrictions sanitaires en début d’année 2021.

Lecture : en moyenne annuelle, le taux de croissance du PIB est de 6 % en 2021, ce qui amène le niveau du PIB 5,7 % en dessous de son niveau moyen de 2019. 18. Les perspectives d’activité pour 2021 dépendent du scénario sanitaire et de l’ampleur et la durée des éventuelles restrictions d’activités qui permettent de lutter contre l’épidémie. Par ailleurs, le rebond attendu de l’activité va être aussi conditionné par la date à laquelle un déploiement à grande échelle des vaccins en cours de développement pourra permettre une levée des restrictions sanitaires. L’ampleur des séquelles qu’aura laissées la crise sur le tissu productif demeure également incertaine. Enfin, le scénario dépend des éventuelles mesures de soutien qui pourraient être mises en œuvre ou qui pourraient être prolongées pour atténuer les effets des restrictions sanitaires et dont le Haut Conseil n’a pas été informé dans le cadre de cette saisine. 19. La prévision du Gouvernement suppose ainsi le maintien de restrictions sanitaires significatives en début d’année. L’estimation du recul de l’activité entraîné par le maintien de ces mesures demeure fragile. Selon la plus ou moins grande sévérité des restrictions sanitaires, la perte d’activité pourrait se situer entre le niveau atteint début septembre (4 %) et la perte de 12 % à 13 % estimée pour novembre. Le Gouvernement suppose 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 158

que celle-ci sera de l’ordre de 10 % au début du premier semestre, pour se réduire progressivement à 5 % en fin de semestre. 20. Le Gouvernement prévoit une levée progressive de ces restrictions dans le courant du second semestre, se traduisant par des pertes d’activité plus limitées (4). 21 L’activité pourrait toutefois être plus robuste en 2021 dans un scénario sanitaire plus favorable où une vaccination suffisamment rapide permettrait une levée quasi totale des restrictions sanitaires dès l’été 2021 et où la mise en œuvre au début 2021 de restrictions sanitaires sensiblement moins rigoureuses que celles à l’œuvre depuis le 30 octobre suffirait à garder dans l’intervalle l’épidémie sous contrôle. 22. L’activité pourrait au contraire être plus faible, dans un scénario où des difficultés opérationnelles ou logistiques viendraient retarder le déploiement des vaccins et où des restrictions sanitaires strictes devraient être imposées régulièrement pour faire face à des vagues successives de l’épidémie. 23. Le Haut Conseil note que, compte tenu des dernières informations disponibles portant à la fois sur l’estimation de l’impact macroéconomique du confinementactuel et l’évolution de la situation sanitaire, la prévision d’un recul de 11 % du PIB en 2020 apparaît désormais prudente. 24. Il estime que celle d’un rebond limité à + 6 % en 2021 est cohérente avec une levée très graduelle des restrictions sanitaires, entraînant un retour à la normale de l’activité très progressif et encore partiel au second semestre 2021. * * *

Le présent avis sera publié au Journal officiel de la République française et transmis au Parlement. Fait à Paris, le 23 novembre 2020. Pour le Haut Conseil des finances publiques : Le premier président de la Cour des comptes, président du Haut Conseil des finances publiques, P. MOSCOVICI

(1) A la date du présent avis, les principales mesures se termineraient respectivement fin décembre (décret no 2020-1319 du 30 octobre 2020 relatif à l’activité partielle) et fin novembre (décret no 2020-1328 du 2 novembre 2020 relatif au fonds de solidarité à destination des entreprises). (2) Voir avis no HCFP-2020-6 relatif au 42 projet de loi de finances rectificative pour l’année 2020 du 2 novembre 2020. (3) Point de conjoncture du 17/11/2020 (INSEE), point sur la conjoncture française, 9 novembre 2020 (Banque de France). (4) Le Gouvernement précise ainsi dans sa saisine que la perte d’activité par rapport à son niveau normal se réduirait progressivement, au premier semestre 2021, passant de 10 % en début de trimestre à 5 % en fin de semestre, ce qui est cohérent avec le maintien de restrictions sanitaires significatives,mais s’atténuant progressivement. Avec une perte moyenne d’activité de l’ordre de 7,5 % au premier semestre, la prévision du Gouvernement est compatible avec une activité 4 % environ en dessous de son niveau normal au second semestre 2021. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2020-2021

COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE

NOR : INPA2033198X

1. Composition Modifications à la composition des commissions

DÉMISSIONS

Affaires étrangères M. Alain David

Développement durable M. Pierre Person

Lois Mme Camille Galliard-Minier

NOMINATIONS

Le groupe La République en Marche a désigné :

Développement durable Mme Camille Galliard-Minier

Lois M. Pierre Person

Le groupe Socialistes et apparentés a désigné :

Lois M. Alain David

2. Réunions Lundi 30 novembre 2020 Commission des affaires sociales, A 15 h 45 salle 6351 (Affaires sociales) : - améliorer le système de santé par la confiance et la simplification (nº 3598) (amendements, art. 88). Commission des lois, A 17 heures 6e Bureau (Lois) : - examen du projet de loi organique relatif aux délais d’organisation des élections législatives et sénatoriales partielles (no 3583) et du projet de loi relatif aux délais d’organisation des élections municipales partielles et des élections des membres des commissions syndicales (no 3584) (Mme Catherine Kamowski, rapporteure) ; - nomination d’un rapporteur d’application sur la proposition de loi visant à réformer l’adoption (no 3161). A 18 h 15 (6e Bureau (Lois) et visioconférence) : - audition de M. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, sur les conditions dans lesquelles les forces de l’ordre ont eu recours à la force lors de différents évènements survenus à Paris depuis la manifestation du 17 novembre 2020.

Mardi 1er décembre 2020 Commission des affaires économiques, A 17 h 30 (en visioconférence) : - rendu du groupe de suivi des conséquences économiques du confinement (MM. Stéphane Travert et Julien Dive, co-rapporteurs). Commission des affaires étrangères, 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 17 h 30 (Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, sur la situation au Mali et au Sahel avec MM. Joël Meyer, ambassadeur de France au Mali, et Christophe Bigot, directeur Afrique et océan Indien du ministère de l’Europe et des affaires étrangères. Commission du développement durable, A 17 h 30 (par visioconférence) : - audition de M. Arnaud Leroy, président de l’Agence de la transition écologique (ex-ADEME). Commission des lois, A 17 h 30 (6e Bureau (Lois) et visioconférence) : - audition de M. Éric Dupond-Moretti, Garde des sceaux, ministre de la Justice, et discussion générale sur le projet de loi ratifiantl’ordonnance no 2019-950 du 11 septembre 2019 portant partie législative du code de la justice pénale des mineurs (no 2367) (M. Jean Terlier, rapporteur) ; - examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements à la proposition de loi visant à réformer l’adoption (texte de la Commission no 3590) (Mme Monique Limon, rapporteure) ; - examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements à la proposition de loi relative à la répartition des conseillers de l’Assemblée de Guyane entre les sections électorales (texte de la Commission no 3589) (M. Lénaïck Adam, rapporteur) ; - examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements à la proposition de loi constitutionnelle, adoptée par le Sénat, visant à garantir la prééminence des lois de la République (no 3439) (Mme Annie Genevard, rapporteure). A 21 heures 6e Bureau (Lois) : - examen des articles du projet de loi ratifiant l’ordonnance no 2019-950 du 11 septembre 2019 portant partie législative du code de la justice pénale des mineurs (no 2367) (M. Jean Terlier, rapporteur). Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, A 17 h 15 (Visioconférence) : - audition de Mme Elisabeth Borne, ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, dans le cadre de la mission d’information sur l’égalité économique et professionnelle (Mmes Marie-Pierre Rixain et Laurence Trastour-Isnart, corapporteures). Mission d’information commune sur la conditionnalité des aides publiques aux entreprises, A 17 h 30 (par visioconférence) : - table ronde sur l’égalité professionnelle femmes hommes, en présence de Mme Brigitte Grésy, présidente du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes et de Mme Paola Bergs, secrétaire générale – Mme Olga Trostiansky, présidente du Laboratoire de l’égalité, membre du Conseil économique, social et environnemental – Mme Marie-Claude Bertrand, présidente du Conseil national des femmes françaises – Mme Sylvaine Bossé, membre du Bureau de la Fédération nationale des centres d’information sur les droits des femmes et des familles – Mme Rebecca Amsellem, présidente de l’association Les Glorieuses – M. Xavier Alberti, co-président de l’association Jamais sans elles. Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 17 heures (par visioconférence) : - audition de M. Jean-François Colombet, préfet de Mayotte. A 18 heures (par visioconférence) : - audition de M. Mikaël Quimbert, adjoint au sous-directeur des politiques publiques à la direction générale des outre-mer du ministère des outre-mer. Mission d’information sur le régime juridique de l’état d’urgence sanitaire, A 11 h 15 (visioconférence) : - audition de M. Jean-François de Montgolfier, directeur des affaires civiles et du Sceau du ministère de la Justice. A 11 h 45 (visioconférence) : - audition de M. Jean-Marie Burguburu, président de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme. Mission d’information sur l’opération Barkhane, A 10 heures (Visioconférence) : - audition de M. le général Luc de Rancourt de Mimerand, directeur général adjoint de la Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS). Problématiques de sécurité associées à la présence de mineurs non accompagnés, 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 17 heures (visioconférence) : - audition de Mme Béatrice Brugère, secrétaire générale d’Unité Magistrats, et de Mme Valérie Dervieux, magistrate. A 18 heures (visioconférence) : - audition de M. Jérôme Voiturier, directeur général de l’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (UNIOPSS), et Mme Marie Lambert-Muyard, conseillère technique « Enfance, familles, jeunesse ». Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 17 heures (visioconférence) : - audition de Mme Alice Guitton, directrice générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS).

Mercredi 2 décembre 2020 Commission des affaires culturelles, A 9 h 30 salle 6242 (Affaires culturelles) : - désignation de rapporteurs pour : - une mission flash sur l’offre jeunesse du service public audiovisuel ; - une mission d’évaluation de la loi no 2016-1828 du 23 décembre 2016 portant adaptation du deuxième cycle de l’enseignement supérieur français au système Licence Master-Doctorat (en application de l’article 145-7, alinéa 3, du règlement) ; - remplacement d’un membre de la mission d’information sur l’application de la loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris ; - examen, en nouvelle lecture, du projet de loi, modifié par le Sénat, relatif au retour de biens culturels à la République du Bénin et à la République du Sénégal (no 3526) (M. Yannick Kerlogot, rapporteur). Commission des affaires économiques, A 9 h 30 (en visioconférence) : - audition de M. Florent Menegaux, président-directeur général de Michelin. Commission des affaires étrangères, A 9 h 30 (Visioconférence) : - table ronde, ouverte à la presse, sur Hong-Kong avec M. Antoine Bondaz, chargé de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique, Mme Françoise Nicolas, directrice du centre Asie de l’Institut français des relations internationales, et M. Éric Sautedé, analyste et chroniqueur politique résidant à Hong-Kong ; - nomination du rapporteur sur le projet de loi autorisant la ratification de l’accord de partenariat stratégique entre l’Union européenne et ses États membres, d’une part, et le Japon, d’autre part (no 3597). A 15 heures (Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de M. Rahman Mustafayev, ambassadeur d’Azerbaïdjan en France, sur la situation du Haut-Karabagh. A 16 h 30 (Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de Mme Hasmik Tolmajyan, ambassadrice d’Arménie en France, sur la situation du Haut-Karabagh. Commission des affaires européennes, A 16 heures (salle de commission (3e étage rue Saint-Dominique et visioconférence) ) : - réunion plénière de la COSAC organisée en visioconférence à Berlin les 30 novembre et 1er décembre 2020 (Mme la présidente Sabine Thillaye) (Communication) ; - sécurité alimentaire dans l’Union européenne (Mme Catherine Osson et M. André Chassaigne, rapporteurs) (rapport d’information) (proposition de résolution européenne) ; - examen des textes européens. Commission des affaires sociales, A 9 heures (salle Colbert) : - audition de Mme Christelle Ratignier-Carbonneil, dont la nomination à la présidence de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé est envisagée par le Président de la République ; - vote à bulletins secrets sur cette nomination en application de l’article 13 de la Constitution. A 11 heures (en visioconférence) : - examen du rapport de la mission d’information sur l’accueil familial (Mmes Mireille Robert et Josiane Corneloup, rapporteures). Commission de la défense, 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 10 heures (visioconférence) : - audition, à huis clos, du général de corps aérien Stéphane Mille, sous-chef « Opérations » (SCOPS) à l’état- major des Armées sur l’opération Barkhane. A 17 heures (visioconférence) : - audition, à huis clos, du général Oumarou Namata Gazama, commandant de la force conjointe du G5 Sahel. Commission du développement durable, A 11 heures (salle Colbert) : - audition, en application de l’article 13 de la Constitution, de M. Jean-Pierre Farandou, et vote sur cette proposition. Commission des lois, A 9 h 30 6e Bureau (Lois) : - suite de l’ordre du jour de la veille. Commission d’enquête relative à l’état des lieux, la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l’ordre, A 16 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. Manuel Valls, ancien Premier ministre, ancien ministre de l’Intérieur A 17 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. Laurent Nuñez, ancien secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme Commission d’enquête sur l’évaluation des politiques publiques de santé environnementale, A 16 h 30 (en visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de Mme Barbara Pompili, ministre de la transition écologique. Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis, A 15 heures (en visioconférence) : Table ronde réunissant des médecins spécialistes en addiction : - Pr William Lowenstein, interniste et addictologue, président de SOS Addictions ; - Pr Marie Odile Krebs, psychiatre et chef de service au centre hospitalier Sainte-Anne ; - Pr Amine Benyamina, spécialiste en addictologie et chef du service de psychiatrie et d’addictologie de l’hôpital Paul-Brousse, président de la Fédération française d’addictologie. A 16 heures (en visioconférence) : - audition du Professeur Jean Claude Alvarez, toxicologue et pharmacologue, membre de l’Académie nationale de pharmacie. A 17 heures (en visioconférence) : Table ronde consacrée aux effets du cannabis sur la santé des plus jeunes : - Docteur Maria Melchior, directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ; - Professeur Bruno Falissard, pédopsychiatre et biostatisticien, directeur de recherche à l’Inserm ; - Professeure Anne-Laure Pelissier, professeur des universités et praticien hospitalier dans le service de médecine légale du centre hospitalier universitaire Timone, Marseille (sous réserve de confirmation) ; - Professeur Christophe Lançon, psychiatre expert en addictologie (sous réserve de confirmation). Mission d’information commune relative aux chambres d’agriculture et à leur financement, A 13 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Sébastien Windsor, président de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture (APCA). Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19, A 9 h 30 (Salle 6566) : - examen du rapport de la mission dotée des pouvoirs d’enquête. Mission d’information sur le régime juridique de l’état d’urgence sanitaire, A 14 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Jérôme Salomon, directeur général de la Santé. A 15 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 16 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Marc Del Grande, ancien préfet de Guyane. A 17 heures (visioconférence) : - audition M. Olivier Schrameck, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel. Mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique aux lois de finances, A 10 heures (salle de la commission des Finances) : - réunion de travail. Mission d’information sur la filière du recyclage du papier, A 13 heures (par visioconférence) : - audition de représentants de Culture Papier. A 14 heures (par visioconférence) : - audition de Mme Adèle Albano, directrice générale de Médiapost, de Mme Muriel Barnéoud, directrice de l’engagement sociétal du groupe La Poste et de Mme Pascale Ghio, directrice générale de Nouvelle attitude (entreprise de recyclage du papier, filiale du groupe La Poste) Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 17 heures (visioconférence) : - audition de M. Joël Barre, délégué général pour l’armement.

Jeudi 3 décembre 2020 Commission du développement durable, A 8 h 45 salle 6238 (Développement durable) : - éventuellement, examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements restant en discussion sur la proposition de loi visant à permettre l’exclusion des étrangers en situation irrégulière du bénéfice de la tarification sociale dans les transports (no 3591) (Mme Constance Le Grip, rapporteure) et sur la proposition de loi visant à raisonner le développement de l’éolien (no 3594) (M. Julien Aubert, rapporteur). Commission des lois, A 15 heures 6e Bureau (Lois) : - éventuellement, suite de l’ordre du jour de la veille. Commission d’enquête relative à l’état des lieux, la déontologie, les pratiques et les doctrines de maintien de l’ordre, A 18 heures (Visioconférence) : - audition de M. Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, A 9 heures (visioconférence) : - audition de M. Olivier Landel, directeur général de l’agence france locale – société territoriale. Délégation aux outre-mer, A 15 heures (visioconférence) : - présentation du rapport sur le coût de la vie dans les outre-mer (Mme Claire Guion-Firmin et M. Lénaïck Adam rapporteurs) ; - présentation du rapport de la commission des affaires étrangères sur l’environnement international des outre- mer (Mmes Annie Chapelier et Bérengère Poletti rapporteures) ; - questions diverses. Mission d’information commune sur la conditionnalité des aides publiques aux entreprises, A 11 heures (par visioconférence) : - à 11 heures : audition d’une délégation du Mouvement des entreprises de taille intermédiaire, composée de M. Frédéric Coirier et de M. Philippe d’Ornano, co-présidents et de M. Alexandre Montay, délégué général. - à 12 heures : audition de Mme Bettina Laville, présidente du Comité 21, et de Mme Sarah Schönfeld, directrice. Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 9 heures (par visioconférence) : - table ronde réunissant : - M. Yazid Chir, cofondateur et président de Nos quartiers ont du talent (NQT) ; - Mme Anne Laure Cuq, directrice régionale Sud-Ouest de Les entreprises pour la cité ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

- M. Jérôme Lê, chef de la cellule statistiques et études sur l’immigration de la direction des statistiques démographiques et sociales de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) ; - Mme Marie-Anne Valfort, professeure à l’École d’économie de Paris, détachée auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). A 10 h 30 (par visioconférence) : - table ronde réunissant : - M. Paul Bazin, directeur général adjoint de la stratégie et des affaires institutionnelles de Pôle emploi ; - M. Yannick L’Horty, professeur d’économie à l’Université Gustave Eiffel, directeur de la fédération Théorie et évaluation des politiques publiques (no 2042 du Centre national de la recherche scientifique - CNRS) ; - M. Jean-Luc Primon, sociologue, maître de conférences à l’université Côte d’Azur, chercheur et directeur adjoint de l’unité mixte de recherches Migrations et société (URMIS), chercheur associé à l’Institut national d’études démographiques (INED) ; - Mme Karima Silvent, directrice des ressources humaines du Groupe Axa et Mme Kirsty Leivers directrice en charge de la culture, de la diversité et de l’inclusion. A 12 heures (par visioconférence) : - audition de M. Mohammed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman. A 14 h 30 (par visioconférence) : - table ronde réunissant : - M. Thierry Clair, secrétaire général adjoint d’UNSA Police ; - M. Denis Jacob, secrétaire général d’Alternative police CFDT, M. Sylvain Durante, secrétaire général adjoint et Mme Edwige Sylvestre, déléguée nationale ; - Mme Linda Kebbab, déléguée nationale d’Unité SGP Police FO et M. Jérôme Moisant, secrétaire national ; - M. Stanislas Gaudon, délégué général d’Alliance police nationale, M. Pascal Disant, délégué national en charge de l’analyse, la prospective et la communication, et M. Cédric Boyer, délégué national en charge des départements et régions d’outre-mer et collectivités d’outre-mer (DROM-COM). A 16 heures (par visioconférence) : - audition commune de : - M. Élie Renard, directeur adjoint de l’École nationale de la magistrature (ENM) et M. Bertrand Mazabraud, coordonnateur de formation en formation continue ; - Mme Magali Lafourcade, secrétaire générale de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH), directrice de la session de formation sur les enjeux contemporains du racisme et de l’antisémitisme à l’ENM. A 17 h 30 (par visioconférence) : - table ronde réunissant : - M. Saïd Hammouche président de la Fondation Mozaïk ; - M. Éric Cédiey, directeur général d’Inter services migrants Centre d’observation et de recherche sur l’urbain et ses mutations (ISM CORUM) ; - des représentants de l’Association française des managers de la diversité (AFMD). Mission d’information flash sur l’évolution et la refondation des conseils locaux ou intercommunaux de sécurité et de prévention de la délinquance, A 9 heures (Visioconférence) : - audition de M. Olivier Christen, directeur des affaires criminelles et des grâces au ministère de la Justice. Mission d’information sur la filière du recyclage du papier, A 16 h 30 (par visioconférence) : - audition de M. Eric Challan-Belval, président de La feuille d’érable. Mission d’information sur le thème « Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne », A 10 heures (visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de M. Michel Combot, délégué général du Comité stratégique de filière "Infrastructures numériques"

Vendredi 4 décembre 2020 Commission des lois, A 8 h 45 6e Bureau (Lois) : - examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements au projet de loi organique relatif aux délais d’organisation des élections législatives et sénatoriales partielles (no 3583) et au projet de loi relatif aux 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158 délais d’organisation des élections municipales partielles et des élections des membres des commissions syndicales (no 3584) (Mme Catherine Kamowski, rapporteure). Mission flash sur le financement de la BITD, A 10 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Michel Hainaut, directeur général d’Aérospatiale Batteries (ASB) et de M. Christophe Nicolas, directeur commercial. A 15 heures (Visioconférence) : - audition de M. l’Ingénieur général de classe exceptionnelle Vincent Imbert, inspecteur général des armées, et de M. l’Ingénieur général de l’armement François Mestre. Mission flash sur le monde associatif combattant, A 10 h 30 (visioconférence) : - audition de M. le général Henri Pinard Legry, président de l’Association de soutien à l’armée française (ASAF). A 11 h 30 (visioconférence) : - audition de Mme Véronique Peaucelle-Delelis, directrice générale de l’Office national des anciens combattants et des victimes de guerre (ONACVG) et de M. Antoine Grande, chef du département de la mémoire et de la citoyenneté

Mercredi 9 décembre 2020 Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 14 heures (visioconférence) : - audition de M. le général Didier Tisseyre, commandant de la cyberdéfense (ComCyber) et de M. Sébastien Bombal, chargé du pôle « Stratégie ». A 15 h 30 (visioconférence) : - audition de Mme Isabelle Saurat, secrétaire générale pour l’Administration.

Jeudi 10 décembre 2020 Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 9 heures (visioconférence) : - audition de M. Bernard Fontan, directeur du Service d’infrastructure de la défense (SID).

Mardi 15 décembre 2020 Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 17 heures (visioconférence) : - audition de M. Guillaume Poupard, directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)

Mercredi 16 décembre 2020 Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 14 heures (visioconférence) : - audition de M. le Colonel Thierry Tricand de la Goutte, officier de cohérence opérationnelle « projection- mobilité-soutien » de la division « cohérence capacitaire » (COCA) de l’État-major des armées (EMA). A 15 h 30 (visioconférence) : - Audition de M. Philippe Missoffe, délégué général du Groupement des industries de construction et activités navales (GICAN)

Jeudi 17 décembre 2020 Mission d’information sur la stratégie verte du Ministère des Armées, A 9 heures (visioconférence) : - audition de M. Marc Darmon, président du Groupement des industries françaises de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres.(GICAT) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

3. Ordre du jour prévisionnel Jeudi 3 décembre 2020 Mission d’évaluation sur la politique industrielle de l’État dans ses composantes sociale, financière, économique et juridique, A 9 heures (en visioconférence) : - audition de M. Martin Vial, commissaire aux participations de l’État. A 10 h 15 (en visioconférence) : - audition de M. Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance. A 11 h 30 (en visioconférence) : - audition de M. Thomas Courbe, directeur général des entreprises, ministère de l’économie, des finances et de la relance. A 14 h 30 (en visioconférence) : - audition de M. Romain Chambre, sous-directeur de la politique commerciale, de l’investissement et de la lutte contre la criminalité financière, accompagné de Mme Laetitia Tabet, adjointe au chef du bureau du contrôle des investissements étrangers en France, direction générale du Trésor.

Lundi 7 décembre 2020 Commission des affaires culturelles, A 15 h 30 salle 6242 (Affaires culturelles) : - examen, au titre de l’article 88 du Règlement, des amendements déposés en séance publique sur : - le projet de loi, modifié par le Sénat, relatif au retour de biens culturels à la République du Bénin et à la République du Sénégal (no 3526) (M. Yannick Kerlogot, rapporteur) ; - le projet de loi habilitant le Gouvernement à prendre les mesures relevant du domaine de la loi nécessaires pour assurer la conformité du droit interne aux principes du code mondial antidopage et renforcer l’efficacitéde la lutte contre le dopage (no 3593) (M. Bertrand Sorre, rapporteur). Commission des affaires européennes, A 17 heures (visioconférence) : - audition, commune avec la Commission des lois, de M. Didier Reynders, commissaire européen chargé de la justice. Commission des lois, A 17 heures (Visioconférence) : - audition, commune avec la commission des Affaires européennes, de M. Didier Reynders, commissaire européen à la Justice.

Mardi 8 décembre 2020 Commission des affaires culturelles, A 17 h 30 (en visioconférence) : - audition de M. Roch-Olivier Maistre, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), et de M. Denis Rapone, président de la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi), sur le projet de fusion des deux autorités. Commission des affaires économiques, A 17 h 30 salle 6241 (Affaires économiques) : - Rendu du groupe de suivi des conséquences économiques du confinement (MM. Stéphane Travert et Julien Dive, co-rapporteurs). Commission des affaires européennes, A 18 h 15 (salle de commission (3e étage rue Saint-Dominique et visioconférence) ) : - projet de directive relative aux salaires minimaux adéquats dans l’Union européenne (Communication de Mme Carole Grandjean) ; - bilan et les perspectives d’Erasmus+ (Mmes Aude Bono-Vandorme et Marguerite Deprez-Audebert, rapporteures) (rapport d’information) (proposition de résolution européenne). Commission des lois, A 14 h 45 6e Bureau (Lois) : - examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements au projet de loi, adopté par le Sénat, relatif au Parquet européen et à la justice pénale spécialisée (no 2731) (Mme Naïma Moutchou, rapporteure) ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

- examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements au projet de loi ratifiant l’ordonnance no 2019-950 du 11 septembre 2019 portant partie législative du code de la justice pénale des mineurs (no 2367) (M. Jean Terlier, rapporteur). Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 17 heures - audition de Mme Katia Dubreuil, présidente du syndicat de la magistrature et de Mme Sarah Massoud, secrétaire nationale. A 18 heures - audition du général Louis-Mathieu Gaspari, secrétaire général du Conseil de la fonction militaire de la gendarmerie (CFMG). Mission d’information sur l’opération Barkhane, A 14 heures (Visioconférence) : - audition de M. le général Facon, ancien commandant de la force Barkhane.

Mercredi 9 décembre 2020 Commission des affaires culturelles, A 9 h 30 (Visioconférence) : - présentation, par M. le député Erwan Balanant, de son rapport « Comprendre et combattre le harcèlement scolaire », remis le 13 octobre 2020 au Gouvernement Commission des affaires économiques, A 9 h 30 salle 6241 (Affaires économiques) : - présentation du rapport de la mission d’information sur le partage de la valeur au sein des entreprises et ses conséquences sur leur gouvernance, leur compétitivité et la consommation des ménages (Mme Graziella Melchior et M. Dominique Potier, rapporteurs). Commission des affaires étrangères, A 9 h 30 (Visioconférence) : - table ronde, ouverte à la presse, sur l’Accord de Paris sur les changements climatiques cinq ans après sa conclusion avec MM. Stéphane Crouzat, ambassadeur de France chargé des négociations sur le changement climatique, Yannick Glemarec, directeur exécutif du Fonds vert pour le climat, et Ovais Sarmad, secrétaire exécutif adjoint de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Commission de la défense, A 9 h 30 (visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de M. Bernard Pêcheur, président du comité d’éthique de la défense, qui présentera son dernier rapport sur « le soldat augmenté ». Commission du développement durable, A 9 h 30 (par visioconférence) : - table ronde sur les enjeux de la rénovation énergétique des bâtiments. Commission des lois, A 9 h 30 (Visioconférence) : - communication de la mission flash sur l’évolution et la refondation des conseils de sécurité et de prévention de la délinquance (MM. Stéphane Peu et Rémy Rebeyrotte, co-rapporteurs). Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis, A 15 heures (visioconférence) : - audition de la direction générale de l’enseignement scolaire (DGSCO) : Mme Françoise Pétreault, sous- directrice de l’action éducative et M. Benoit Rogeon, chef du bureau « santé social ». A 16 heures (visioconférence) : Table ronde des syndicats de personnels de direction de l’Education nationale : - indépendance et direction : Mme Agnès Prouteau et M. Amand Riquier ; - syndicat national des personnels de direction de l’Education nationale (SNPDEN) : Mme Lydia Advenier, membre de l’exécutif syndical national ; - SGEN-CFDT. A 17 h 15 (visioconférence) : Table ronde réunissant des maires : - M. Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

- M. Gil Avérous, maire de Châteauroux ; - M. Jean-Paul Bret, ancien maire de Villeurbanne ; - M. Mathieu Hanotin, maire de Saint-Denis (sous réserve de confirmation). Mission d’information sur l’opération Barkhane, A 14 heures (Visioconférence) : - audition de M. Olivier de France, directeur de recherche et de Mme Caroline Roussy, chercheure, à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Mission d’information sur la filière du recyclage du papier, A 13 heures (par visioconférence) : - audition de M. Edward Jossa, président de l’Union des groupements d’achats publics (UGAP). A 14 heures (par visioconférence) : - audition de Mme Karine Claireaux, maire honoraire de Saint-Pierre (Saint-Pierre-et-Miquelon) et vice- présidente de l’Association des communes et collectivités d’outre-mer (ACCD’OM). A 15 heures (par visioconférence) : - audition de M. Stéphane Armange, directeur général ventes matières premières et de M. Sébastien Ricard, directeur du développement durable et des affaires publiques du Groupe PAPREC.

Jeudi 10 décembre 2020 Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation, A 9 heures (visioconférence) : - présentation des conclusions de la mission « flash » sur la contractualisation (Mmes Stella Dupont et Bénédicte Taurine, co-rapporteures) ; - présentation des conclusions de la mission « flash » sur le pouvoir réglementaire local (Mmes Patricia Lemoine et Monica Michel, co-rapporteures). Mission d’information sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme et les réponses à y apporter, A 8 h 30 - audition de Mme Brigitte Jullien, directrice de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). A 9 h 30 - audition de M. Jean- Pierre Chevènement, président de la fondation Res Publica, ancien ministre. A 10 h 30 - table ronde réunissant : - Mme Christine Kelly, journaliste, présidente de la Villa média (musée européen des médias) ; - M. Amirouche Laïdi, président du Club Averroes ; - M. Marc Epstein, président de l’association La Chance, pour la diversité dans les médias. A 12 heures - audition de Mme Claire Hédon, Défenseure des droits. A 14 h 30 - table ronde réunissant : - Mme Amy Greene, référente égalité femmes-hommes et lutte contre les discriminations de Sciences Po ; - Mme Chantal Dardelet, directrice du centre Égalité des Chances de l’ESSEC, directrice exécutive de Together et animatrice du groupe Ouverture sociale de la Conférence des grandes écoles (CGE). A 15 h 45 - table ronde réunissant des syndicats d’enseignants. Mission d’information sur la filière du recyclage du papier, A 10 heures (par visioconférence) : - audition de M. Léonce-Antoine Deprez, président-directeur général de l’imprimerie Léonce Deprez. A 11 heures (par visioconférence) : - audition de M. Pierre Petillault, directeur général de l’Alliance de la presse d’information générale. Mission d’information sur le thème « Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne », A 9 h 30 (Visioconférence) : - table-ronde, ouverte à la presse, avec des représentants des collectivités territoriales. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 17 h 15 (Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de M. Sébastien Soriano, président de l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse.

Vendredi 11 décembre 2020 Commission des finances, A 9 heures salle 6350 (Finances) : - éventuellement, examen, en nouvelle lecture, du projet de loi de finances pour 2021 (M. Laurent Saint-Martin, rapporteur général). A 14 heures salle 6350 (Finances) : - éventuellement, suite de l’examen, en nouvelle lecture, du projet de loi de finances pour 2021 (M. Laurent Saint-Martin, rapporteur général). Mission flash sur le monde associatif combattant, A 10 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Claude Henry, vice-président délégué de l’Union Fédérale (UF). A 11 h 30 (Visioconférence) : - audition de M. le général Robert Rideau, président de la Fédération nationale André Maginot.

Lundi 14 décembre 2020 Commission des finances, A 15 h 45 salle 6350 (Finances) : - éventuellement, examen, en nouvelle lecture, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements au projet de loi de finances pour 2021 (M. Laurent Saint-Martin, rapporteur général). Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, A 14 heures (Visioconférence) : - échanges avec Mme Wanda Nowicka, députée de la Diète de Pologne.

Mardi 15 décembre 2020 Commission des affaires économiques, A 17 h 30 (salle Victor Hugo) : - présentation, conjointe avec la commission des affaires sociales et la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, du rapport de la mission d’information commune sur le suivi de la stratégie de sortie du glyphosate (MM. Jean-Luc Fugit et Jean-Baptiste Moreau, rapporteurs). Commission des affaires européennes, A 17 h 15 (visioconférence) : - audition de M. Clément Beaune, secrétaire d’État aux affaires européennes sur les résultats du Conseil européen des 10 et 11 décembre 2020. Commission du développement durable, A 17 h 30 (salle Victor Hugo) : - examen, conjoint avec la commission des affaires économiques et la commission des affaires sociales, du rapport de la mission d’information commune sur le suivi de la stratégie de sortie du glyphosate

Mercredi 16 décembre 2020 Commission des affaires culturelles, A 8 h 45 (musée national d’art moderne) : - visite de l’exposition Matisse, comme un roman, au Musée national d’art moderne, en présence de M. Serge Lasvignes, président du Centre Pompidou, et de Mme Aurélie Verdier, commissaire de l’exposition. Commission des affaires économiques, A 9 h 30 (en visioconférence) : - audition de M. François Bayrou, Haut Commissaire au plan. A 14 h 30 salle 6241 (Affaires économiques) : - présentation, conjointe avec la commission des finances, du rapport de la mission d’information commune sur les chambres d’agriculture et leur financement (M. Stéphane Travert et Mme Marie-Christine Verdier Jouclas, rapporteurs). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

Commission des affaires étrangères, A 9 h 30 (Visioconférence) : - examen, ouvert à la presse, du rapport d’information sur le partenariat futur entre l’Union européenne et le Royaume-Uni (MM. Pierre-Henri Dumont et Alexandre Holroyd, co-rapporteurs) ; - délibération, ouverte à la presse, sur le rapport d’information sur les dimensions européenne et internationale de la crise liée à la pandémie de covid-19 (Mme Marielle de Sarnez, rapporteure). Commission des affaires européennes, A 16 heures (visioconférence) : - « Comment l’Union européenne peut-elle parvenir à la neutralité climatique en 2050 ? » (M. Bernard Deflesselles et Mme Nicole Le Peih) (rapport d’information). Commission de la défense, A 9 h 30 (visioconférence) : - audition de la commission. Commission du développement durable, A 14 h 30 (par visioconférence) : - audition de M. Clément Beaune, secrétaire d’État chargé des affaires européennes, sur les enjeux environnementaux au niveau européen. Commission des finances, A 9 h 30 (visioconférence) : - « Au cœur de l’économie » : audition de MM. Jean-Luc Tavernier, directeur général de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l’international de la Banque de France, et Mme Laurence Boone, chef économiste de l’Organisation de coopération et de développement économique (Ocde), sur la situation économique et la conjoncture. Commission des lois, A 9 h 30 (visioconférence) : - examen du rapport sur la mise en œuvre des articles 1 à 4 de la loi no 2017-1510 du 30 octobre 2017 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (Mme Yaël Braun-Pivet, M. Éric Ciotti et M. Raphaël Gauvain, rapporteurs) ; - communication de la mission flash sur les cours criminelles (MM. Stéphane Mazars et Antoine Savignat, co- rapporteurs) Commission d’enquête sur l’évaluation des politiques publiques de santé environnementale, A 14 heures (par visioconférence) : - restitution des travaux. Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis, A 15 heures (visioconférence) : Table ronde d’associations de parents d’élèves : - fédération des parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP) : Mme Gisèle Brunaud vice-présidente ; - fédération des conseils de parents d’élèves des écoles publiques (FCPE) : M. Rodrigo Arenas, et sous réserve Mme Pascale Durand, directrice de la Vie fédérale ; - association des parents d’élèves de l’enseignement libre (APEL nationale) (sous réserve de confirmation) A 16 heures (visioconférence) : Table ronde d’associations de prévention : - APLEAT-ACEP : M. Nicolas Baujard, responsable prévention-formation-point de contact avancé ; - Fédération Addiction : M. Alexis Grandjean, responsable du pôle Expérimentation-Innovation-Recherche. A 17 heures (visioconférence) : Table ronde des organisations syndicales représentatives de la Police nationale Mission d’information sur l’opération Barkhane, A 14 heures (Visioconférence) : - audition de M. Rémy Rioux, directeur général de l’Agence française de développement (AFD).

Jeudi 17 décembre 2020 Commission des finances, 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 8 h 45 salle 6350 (Finances) : - éventuellement, examen, en lecture définitive,du projet de loi de finances pour 2021 (M. Laurent Saint-Martin, rapporteur général). Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, A 9 h 30 (Visioconférence) : - audition de Mme Amélie de Montchalin, ministre de la transformation et de la fonction publiques. Mission d’information sur le thème « Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne », A 9 h 30 (Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, de M. Didier Patry, directeur général de France Brevets. A 11 heures (Visioconférence) : - audition, ouverte à la presse, des responsables de Business Computer.

Vendredi 18 décembre 2020 Mission flash sur le financement de la BITD, A 9 heures (visioconférence) : - audition de M. Nicolas Bodilis Reguer, directeur du département Relations institutionnelles France Stratégie, Communication, Adhérents de la Fédération bancaire française (FBF). A 10 h 30 (visioconférence) : - audition de M. Charles Duchaine, directeur de l’Agence française anticorruption (AFA) A 14 heures (visioconférence) : - audition de M. Bertrand Peyret, secrétaire général adjoint de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). Mission flash sur le monde associatif combattant, A 10 h 30 (Conférence téléphonique) : - audition de M. Sylvain Mattiucci, directeur du patrimoine, de la mémoire et des archives (DPMA), de Mme Evelyne Piffeteau, sous-directrice de la mémoire et de l’action éducative (SDMAE) et de M. Grégory Auda, chef du bureau de la vie associative et des commémorations (BVAC).

Mardi 12 janvier 2021 Commission des affaires étrangères, A 17 h 30 (Visioconférence) : - examen, ouvert à la presse, du rapport d’information sur la politique des visas (M. M’jid El Guerrab et Mme Sira Sylla, co-rapporteurs).

Mercredi 13 janvier 2021 Commission des affaires économiques, A 9 h 30 salle 6241 (Affaires économiques) : - présentation du rapport de la mission d’information sur les sels nitrités dans l’industrie agroalimentaire (Mme Barbara Bessot-Ballot, Mme Michèle Crouzet et M. Richard Ramos, rapporteurs). Mission flash sur le monde associatif combattant, A 17 heures (Visioconférence) : - audition de M. Édouard Geffray, directeur général de l’enseignement scolaire. A 18 heures (Visioconférence) : - audition de M. Gilles Pierre Levy, président de la Fondation de la Résistance et de M. le Préfet Victor Convert.

Mercredi 20 janvier 2021 Mission flash sur le monde associatif combattant, A 17 heures (Visioconférence) : - audition de M. le Général Hervé Longuet, président de l’Union Nationale des Combattants (UNC).

Jeudi 21 janvier 2021 Mission flash sur le financement de la BITD, 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 158

A 9 h 15 (visioconférence) : - audition de M. Marwan Lahoud, président du directoire d’ACE Management.

Mercredi 27 janvier 2021 Mission flash sur le monde associatif combattant, A 17 heures (Visioconférence) : - audition de M. Laurent Attar-Bayrou, président de la Fédération nationale des Anciens des Missions Extérieures - Opérations Extérieures (FNAME-OPEX).

Jeudi 28 janvier 2021 Mission flash sur le financement de la BITD, A 9 h 15 (visioconférence) : - audition de M. Hans Christoph Atzpodien, directeur général du BDSV (Bundesverband der Deutschen Sicherheits- und Verteidigungsindustrie – Groupement des industries allemandes de sécurité et défense), de M. Adrian Schwantes, chargé des questions du financement et du développement durable et de Mme Karla Kristin Kuss, chargée des Affaires européennes, des coopérations bilatérales et des PME. A 10 h 45 (Visioconférence) : - audition de M. François Arbault, directeur de la Défense, Industrie, Spatial (DEFIS) de l’Union européenne.

Mercredi 3 fvrier 2021 Mission flash sur le monde associatif combattant, A 17 heures salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. le Général de corps d’armée (2S) Philippe Bonnet, Président de la Fédération nationale des anciens d’outre-mer et des anciens combattants des Troupes de marine (FNAOM-ACTDM).

Mercredi 10 fvrier 2021 Mission flash sur le monde associatif combattant, A 18 heures salle 4016 (33, rue Saint-Dominique) : - audition de M. Jean-Louis Nageotte, secrétaire national de la Fédération nationale des Anciens Combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 127 sur 158

Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2020-2021

DOCUMENTS ET PUBLICATIONS

NOR : INPA2033202X

Documents parlementaires Dépôt du vendredi 27 novembre 2020 Dépôt d’un projet de loi de financement de la sécurité sociale M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 27 novembre 2020, transmis par M. le Premier ministre, un projet de loi de financement de la sécurité sociale, adopté par l’Assemblée nationale, en nouvelle lecture, pour 2021. Ce projet de loi de financement de la sécurité sociale, no 3601, est renvoyé à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83 du règlement.

Dépôt d’une proposition de résolution M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 27 novembre 2020, de M. André Chassaigne et plusieurs de ses collègues, une proposition de résolution visant à donner les moyens à l’institution scolaire de faire face à la crise sanitaire, déposée en application de l’article 136 du règlement. Cette proposition de résolution a été déposée sous le no 3603.

Dépôt d’un rapport M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 27 novembre 2020, de M. Jean François Mbaye, un rapport, no 3602, fait au nom de la commission des affaires étrangères sur le projet de loi autorisant l’approbation de l’accord de coopération entre le Gouvernement de la République française et les Gouvernements des Etats membres de l’Union monétaire ouest-africaine (no 2986).

Distribution de documents en date du lundi 30 novembre 2020 Proposition de résolution No 3588. – Proposition de résolution de M. Michel Larive et plusieurs de ses collègues tendant à la création d’une commission d’enquête sur l’activité du syndicat Avenir lycéen, ses liens avec le pouvoir exécutif et les actions de contrôle du ministère de l’éducation nationale sur ses membres et son action (renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation).

Rapports No 3589. – Rapport de M. Lénaïck Adam au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République sur la proposition de loi, après engagement de la procédure accélérée, de M. Lénaïck Adam relative à la répartition des conseillers de l’Assemblée de Guyane entre les sections électorales (3430). Annexe 0 : texte adopté par la commission. No 3600. – Rapport de Mme Annie Genevard au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République sur la proposition de loi constitutionnelle, adoptée par le Sénat, visant à garantir la prééminence des lois de la République (no 3439).

Textes adoptés en commission No 3589 (annexe). – Proposition de loi relative à la répartition des conseillers de l’Assemblée de Guyane entre les sections électorales : texte de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République. No 3592 (annexe). – Projet de loi relatif au Parquet européen et à la justice pénale spécialisée : texte de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 158

Informations parlementaires

SÉNAT Session ordinaire de 2020-2021

COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES

NOR : INPS2033195X

Réunions Lundi 30 novembre 2020 Commission des finances à 9 heures (Salle de commission) – Projet de loi de finances pour 2021 – Examen des amendements de séance sur : – la mission « Recherche et enseignement supérieur » – la mission « Santé » (et article 65) – la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances » (et articles 68 et 69) – la mission « Culture » – la mission « Médias, livre et industries culturelles » et le compte d’affectation spéciale « Avances à l’audiovisuel public » – la mission « Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales » et le compte d’affectation spéciale « Développement agricole et rural » – la mission « Cohésion des territoires » (et articles 54 bis et 54 ter) Seuls les sénateurs présents physiquement pourront prendre part au vote. Les délégations de vote sont autorisées dans les conditions prévues par le Règlement.

Membres présents ou excusés Commission des finances 2ème séance du jeudi 26 novembre 2020 Présents : Jérôme Bascher, Arnaud Bazin, Christian Bilhac, Éric Bocquet, Isabelle Briquet, Michel Canevet, Thierry Cozic, Vincent Éblé, Rémi Féraud, Jean-François Husson, Patrice Joly, Roger Karoutchi, Marc Laménie, Christine Lavarde, , Victorin Lurel, Sébastien Meurant, Jean-Marie Mizzon, Jean- François Rapin, Claude Raynal, Stéphane Sautarel, Vincent Segouin, Sophie Taillé-Polian. Séance du vendredi 27 novembre 2020 Présents : Christian Bilhac, , Isabelle Briquet, Michel Canevet, Vincent Capo-Canellas, Thierry Cozic, Frédérique Espagnac, Jean-François Husson, Patrice Joly, Christine Lavarde, Dominique de Legge, Gérard Lon­ guet, Victorin Lurel, Jean-Marie Mizzon, Claude Nougein, Paul Toussaint Parigi, Jean-François Rapin, Claude Raynal, Pascal Savoldelli, Sylvie Vermeillet. Ont délégué leur droit de vote : Arnaud Bazin, Charles Guené, Christian Klinger, Vincent Segouin, Jean Pierre Vogel.

Convocations Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable Mercredi 2 décembre 2020 à 8 heures (Salle Clemenceau et en téléconférence) et à 16 heures (Salle Médicis et en téléconférence) À 8 heures (Salle Clemenceau et en téléconférence) Captation vidéo. 1° Audition de M. Jean-Pierre Farandou, candidat proposé aux fonctions de président-directeur général de la SNCF, en application de la loi organique no 2010-837 et de la loi no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution Seuls les sénateurs présents physiquement pourront prendre part au vote. 2° Vote sur la proposition de nomination de M. Jean-Pierre Farandou aux fonctions de président-directeur général de la SNCF 3° Questions diverses À 16 heures (Salle Médicis et en téléconférence) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 158

Captation vidéo. 1° Audition commune avec la commission des affaires économiques de M. Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, sur : - la proposition de loi no 27 (2020-2021) visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France - le thème de l’aménagement numérique du territoire 2° Questions diverses Commission des finances Seuls les sénateurs présents physiquement pourront prendre part au vote Lundi 30 novembre 2020 à 9 heures (Salle de la commission) PLF pour 2021 – Examen des amendements de séance sur : 1° la mission « Recherche et enseignement supérieur » 2° la mission « Santé » (et article 65) 3° la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances » (et articles 68 et 69) 4° la mission « Culture » 5° la mission « Médias, livre et industries culturelles » et le compte d’affectation spéciale « Avances à l’audiovisuel public » 6° la mission « Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales » et le compte d’affectation spéciale « Développement agricole et rural » 7° la mission « Cohésion des territoires » (et articles 54 bis et 54 ter) 8° Questions diverses. Mardi 1er décembre 2020 à 9 heures (Salle Médicis et par téléconférence) 1° PLF 2021 – Examen des articles de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2021 non rattachés aux crédits des missions – Tome III du rapport général (M. Jean-François HUSSON, rapporteur général) 2 2° Désignation des candidats pour faire partie de l’éventuelle commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi de finances pour 2021 3° Questions diverses. Mercredi 2 décembre 2020 à 8 h 30 (Salle Médicis et par téléconférence) 1° Examen du rapport de M. Claude NOUGEIN, rapporteur, et élaboration du texte de la commission sur la proposition de loi no 477 (2019-2020) visant à instaurer une contribution exceptionnelle sur les assurances pour concourir à la solidarité nationale face aux conséquences économiques et sociales d’une crise sanitaire majeure, présentée par MM. Olivier JACQUIN, Claude RAYNAL, Mme Sophie TAILLÉ-POLIAN, MM. Thierry CARCENAC et Rémi FÉRAUD Délai limite pour le dépôt des amendements : Lundi 30 novembre 2020 à 12 heures 2° PLF 2021 - Examen des amendements de séance sur la mission « Relations avec les collectivités territoriales » (et articles 57 à 64) et sur le compte de concours financiers « Avances aux collectivités territoriales »2 3° Questions diverses. Jeudi 3 décembre 2020 à 9 h 30 (Salle de la commission) PLF pour 2021 – Examen des amendements de séance sur : 1° la mission « Outre-mer » (et article 55 sexies) 2° la mission « Défense » 3° la mission « Sécurités » (et articles 66 et 67) et le compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » 4° la mission « Immigration, asile et intégration » (et article 54 quaterdecies) 5° la mission « Administration générale et territoriale de l’État » 6° la mission « Travail et emploi » 7° la mission « Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation » (et article 54) 8° la mission « Sport, jeunesse et vie associative » (et articles 70 à 73) 9° la mission « Justice » (et articles 55 bis à 55 quinquies) 10° les missions « Gestion des finances publiques » (et articles 54 decies à 54 terdecies), « Crédits non répartis », « Transformation et fonction publiques » et le compte d’affectation spéciale « Gestion du patrimoine immobilier de l’État » 11° la mission « Régimes sociaux et de retraite » (et article 56 nonies) et le compte d’affectation spéciale « Pensions » (et article 74) 12° Questions diverses. Vendredi 4 décembre 2020 à 8 h 30 (Salle Médicis et par téléconférence) et éventuellement, à 13 h 30 (Salle de la commission) À 8 h 30 (Salle Médicis et par téléconférence) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 158

1° PLF 2021 - Examen des amendements de séance sur les articles non rattachés du projet de loi de financespour 2021 (M. Jean-François HUSSON, rapporteur général) 4 2° Questions diverses. Éventuellement, à 13 h 30 (Salle de la commission) 1° PLF 2021 – Suite de l’examen des amendements de séance sur les articles non rattachés du projet de loi de finances pour 2021 (M. Jean-François HUSSON, rapporteur général)4 2° Questions diverses.

Délais limites de dépôt des amendements en commission Commission des affaires sociales Proposition de loi portant création d’un pôle public du médicament et des produits médicaux : Lundi 30 novembre 2020 12h00 Commission de la culture, de l’éducation et de la communication Proposition de loi relative à la protection patrimoniale des langues régionales et à leur promotion : Lundi 30 novembre 2020 12h00 Commission des finances Proposition de loi visant à instaurer une contribution exceptionnelle sur les assurances pour concourir à la solidarité nationale face aux conséquences économiques et sociales d’une crise sanitaire majeure : Lundi 30 novembre 2020 12h00 Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale Proposition de loi visant à supprimer la possibilité ouverte au dirigeant d’une entreprise de déposer une offre de rachat de l’entreprise après avoir organisé son dépôt de bilan : Lundi 30 novembre 2020 12h00 Proposition de loi constitutionnelle visant, face à la crise actuelle à construire le monde d’après fondé sur la préservation des biens communs : Lundi 30 novembre 2020 12h00

COMMISSION DES AFFAIRES EUROPÉENNES Convocation – Commission des affaires européennes – Jeudi 3 décembre 2020 à 8 h 30 et à 11 heures (Salle Médicis et par téléconférence) – À 8 h 30 (Salle Médicis et par téléconférence) – Ouvert à tous les sénateurs. Captation vidéo. – 1° Débat préalable au Conseil européen des jeudi 10 et vendredi 11 décembre 2020, en présence de M. Clément Beaune, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé des affaires européennes ; – À 11 heures (Salle Médicis et par téléconférence) – Captation vidéo. – 2° Audition de M. Valdis Dombrovskis, vice-président exécutif de la Commission européenne en charge d’une économie au service des personnes, commissaire européen au Commerce ; – 3° Questions diverses. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 129 sur 158

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DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES

NOR : INPS2033035X

Convocations Délégation aux entreprises : Jeudi 3 décembre 2020 à 9 heures (Salle A263 et visioconférence) : Audition de M. Frédéric Coirier, co-président du Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (METI) et président de Poujoulat, et de M. Alexandre Montay, délégué général du METI, sur le thème « les entreprises de taille intermédiaire : leur situation et perspectives dans le contexte actuel et leur place dans le plan de relance ». 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 130 sur 158

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DOCUMENTS DÉPOSÉS

NOR : INPS2033194X

Documents parlementaires Erratum aux documents enregistrés à la Présidence du Sénat le mercredi 25 novembre 2020 Dépôt d’une proposition de résolution en application de l’article 34-1 de la Constitution No 156 (2020-2021) Proposition de résolution présentée par MM. François PATRIAT, , Bernard BUIS, Michel DENNEMONT, Mmes Nicole DURANTON, Marie EVRARD, MM. André GATTOLIN, Abdallah HASSANI, Mme Nadège HAVET, MM. Ludovic HAYE, Xavier IACOVELLI, Mikaele KULIMOETOKE, Martin LÉVRIER, Frédéric MARCHAND, Thani MOHAMED SOILIHI, , Mme Marie-Laure PHINERA-HORTH, MM. Didier RAMBAUD, , Teva ROHFRITSCH, Mme , MM. Dominique THÉOPHILE et , en application de l’article 34-1 de la Constitution, portant sur la cessation des combats au Haut-Karabagh et sur la nécessaire reprise des négociations dans le cadre du Groupe de Minsk en vue d’un accord de paix durable et négocié entre les parties.

Addenda aux documents enregistrés à la Présidence du Sénat le jeudi 26 novembre 2020 Dépôt de propositions de loi No 159 (2020-2021) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale, visant à promouvoir la France des accents et à lutter contre les discriminations fondées sur l’accent, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement. No 161 (2020-2021) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, améliorant l’efficacité de la justice de proximité et de la réponse pénale, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement. No 162 (2020-2021) Proposition de loi présentée par Mmes Valérie BOYER, Else JOSEPH, , MM. Jean Pierre VOGEL, Antoine LEFÈVRE, Gilbert BOUCHET, Philippe MOUILLER, François CALVET, Charles GUENÉ, , Daniel GREMILLET, , Jean-Pierre GRAND, Mmes Christine BONFANTI-DOSSAT, Dominique ESTROSI SASSONE, MM. Fabien GENET, Bruno ROJOUAN, Philippe PEMEZEC, Stéphane LE RUDULIER, Patrick BORÉ et , tendant à assurer le cumul d’une pension d’invalidité avec une indemnité de fonction au titre de l’exercice d’un mandat local, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 131 sur 158

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DOCUMENTS PUBLIÉS

NOR : INPS2033201X

Addenda aux documents publiés sur le site internet du Sénat le jeudi 26 novembre 2020 No 138 (2020-2021) - Rapport général de M. Jean-François HUSSON, rapporteur général, fait au nom de la commission des finances, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021. Tome III annexe 3 - Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales Compte d’affectation spéciale : développement agricole et rural (Rapporteurs spéciaux : MM. Vincent SEGOUIN et Patrice JOLY) Tome III annexe 15a - Gestion des finances publiques Crédits non répartis (Rapporteurs spéciaux : MM. Albéric de MONTGOLFIER et Claude NOUGEIN) Tome III annexe 26 - Relations avec les collectivités territoriales Compte de concours financiers : avances aux collectivités territoriales (Rapporteurs spéciaux : MM. Charles GUENÉ et Claude RAYNAL) No 139 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission des affaires économiques, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome VIII - Cohésion des territoires (Politique de la ville) (Mme ) No 143 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome III – Fascicule 1 - Enseignement scolaire (M Jacques GROSPERRIN) No 144 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome V – Fonction publique (Mme Catherine DI FOLCO)

Documents publiés sur le site internet du Sénat le vendredi 27 novembre 2020 No 131 (2020-2021) Proposition de loi présentée par Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, MM. Patrick KANNER, Rémi FÉRAUD, Maurice ANTISTE, Mme Viviane ARTIGALAS, MM. , Joël BIGOT, Mmes Florence BLATRIX CONTAT, , MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI, Mme Isabelle BRIQUET, M. Rémi CARDON, Mmes Marie-Arlette CARLOTTI, Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-MOURET, MM. Thierry COZIC, Gilbert-Luc DEVINAZ, Vincent ÉBLÉ, Mme Corinne FÉRET, MM. Jean-Luc FICHET, Hervé GILLÉ, Mme Laurence HARRIBEY, M. Olivier JACQUIN, Mme Victoire JASMIN, M. Éric KERROUCHE, Mme Annie LE HOUEROU, M. Jean-Yves LECONTE, Mmes , Monique LUBIN, MM. Didier MARIE, Serge MÉRILLOU, Mme Michelle MEUNIER, M. Jean-Jacques MICHAU, Mme Marie-Pierre MONIER, MM. Franck MONTAUGÉ, Sebastien PLA, Mme Angèle PRÉVILLE, MM. Claude RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY, Mme Sylvie ROBERT, MM. Gilbert ROGER, Lucien STANZIONE, Jean-Pierre SUEUR, Jean-Claude TISSOT, Mme Sabine VAN HEGHE et M. Yannick VAUGRENARD, visant à établir le droit à mourir dans la dignité, envoyée à la commission des affaires sociales, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement. No 138 (2020-2021) - Rapport général de M. Jean-François HUSSON, rapporteur général, fait au nom de la commission des finances, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021. Tome III annexe 9 – Défense (Rapporteur spécial : M. Dominique de LEGGE) Tome III annexe 16 - Immigration, asile et intégration (Rapporteur spécial : M. Sébastien MEURANT) Tome III annexe 20 - Outre-mer (Rapporteurs spéciaux : MM. Georges PATIENT et Teva ROHFRITSCH) 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 131 sur 158

No 139 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission des affaires économiques, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome V – Outre-mer (Mme Micheline JACQUES) Tome VII - Cohésion des territoires (Logement) (Mme Dominique ESTROSI SASSONE) No 140 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome XI - Sécurités : Programme 152 : « Gendarmerie nationale » (M. et Mme Gisèle JOURDA) No 141 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission des affaires sociales, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome VIII – Travail et emploi (Mme Frédérique PUISSAT) No 144 (2020-2021) - Avis présenté, au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée nationale, pour 2021 : Tome III – Outre-mer (M. Thani MOHAMED SOILIHI) Tome XIII – Sécurité civile (Mme Françoise DUMONT) No 149 (2020-2021) Proposition de loi présentée par Mmes , Marie-Pierre de LA GONTRIE, Annie LE HOUEROU, MM. Hussein BOURGI, Jérôme DURAIN, Mmes Claudine LEPAGE, Sylvie ROBERT, M. Rémi FÉRAUD, Mme Marie-Noëlle LIENEMANN, MM. Didier MARIE, Bernard JOMIER, Guy BENARROCHE, Thomas DOSSUS, Mmes Michelle MEUNIER, Martine FILLEUL, M. André VALLINI, Mme Raymonde PONCET MONGE, MM. Jacques FERNIQUE, Ronan DANTEC et Joël LABBÉ, visant à interdire la pratique de la chasse à courre, à cor et à cri, envoyée à la commission des affaires économiques, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement. No 150 (2020-2021) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, relative à la sécurité globale, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement. No 154 (2020-2021) Texte de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable sur la proposition de loi relative à la gouvernance et à la performance des ports maritimes français (no 723, 2019-2020). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 132 sur 158

Informations parlementaires

OFFICES ET DÉLÉGATIONS

OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

NOR : INPX2033197X

1. Réunions Jeudi 3 décembre 2020 Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, A 9 h 30 (visioconférence) : - audition publique sur « Matières et déchets nucléaires : le cas de l’uranium appauvri » dans le cadre de l’étude de M. Thomas Gassilloud, député, et M. Stéphane Piednoir, sénateur, rapporteurs sur « Les conséquences de l’arrêt du projet de réacteur nucléaire ASTRID ».

2. Ordre du jour prévisionnel Jeudi 10 décembre 2020 Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, A 9 heures (A confirmer) : -examen du rapport sur la pollution plastique (Philippe Bolo, député, et Angèle Préville, sénatrice, rapporteurs) ; - examen d’une note scientifique « Exposome » (Cédric Villani, député, rapporteur).

Jeudi 17 décembre 2020 Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, A 9 heures (A confirmer) : - audition publique sur les NBT (New Breeding Techniques) (, sénateur, et Loïc Prud’homme, député, rapporteurs). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 133 sur 158

Informations relatives au Conseil économique, social et environnemental

FORMATIONS DE TRAVAIL

NOR : ICEX2000019X

Mardi 1er décembre 2020 à 14 heures Visioconférence Section de l’éducation, de la culture et de la communication Saisine : L’école à l’ère du numérique (Mme Marie-Pierre GARIEL, rapporteure) 14h00 : audition de M. Louis GAUTIER, président de la 3ème chambre à la Cour des comptes, de M. André BARBÉ, président de section à la Cour des comptes et de Mme Mireille RIOU CANALS, contre-rapporteure en charge de l’enquête du rapport public thématique Le service public numérique pour l’éducation : un concept sans stratégie, un déploiement inachevé (juillet 2019). 15h30 : audition de Mmes Claudine ORSACZEK et Élise MOREAU, rapporteures du CESER de Bourgogne- Franche-Comté pour le rapport Les ressources pédagogiques dans les lycées à l’heure du numérique (avril 2019), et de Mme Françoise FRÈREBEAU, présidente de la commission Formation-recherche du CESER. Mardi 1er décembre 2020 à 18 heures 30 Visioconférence Délégation à l’Outre-mer Saisine gouvernementale : Plan de relance et déclinaison territoriale dans les Outre-mer 19h00 : audition de M. Philippe DEBROSSE, Inspecteur général de l’Administration, et M. Dominique PANNIER, Conseiller-maître à la Cour des comptes (sous réserve) Mercredi 2 décembre 2020 à 9 heures 15 Visioconférence Section des activités économiques Saisine : Filières stratégiques : comment définir les priorités ? (Mme Marie-Claire CAILLETAUD, rapporteure, M. Frédéric GRIVOT, rapporteur) Examen en première lecture de l’avant-projet d’avis Mercredi 2 décembre 2020 à 9 heures 30 Visioconférence Section des affaires sociales et de la santé Saisine : Améliorer le parcours de soins en psychiatrie (Mme Anne GAUTIER, rapporteure, M. Alain DRU, rapporteur) 9h30 : audition du Dr Michel BLANCHE, Directeur du Service de santé des étudiants à l’Université de Nantes 11h00 : audition du Docteur Luc DUQUESNEL, médecin généraliste en Mayenne, Président de Les Généralistes, CSFM Mercredi 2 décembre 2020 à 9 heures 30 Visioconférence Section de l’environnement Auditions d’information : 9h30 : audition de M. Benjamin CARANTINO, adjoint au chef de bureau Environnement, Climat, Agriculture- Direction générale du Trésor et M. Adrien ZAKHARTCHOUK, précédent chef de ce bureau : note ‘’Effets économiques du changement climatique ‘’, 11h00 : audition de Mme Agnès LANGEVINE, présidente de la commission Transition écologique de Régions de France, vice-présidente de la Région Occitanie. Mercredi 2 décembre 2020 à 10 heures Visioconférence 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 133 sur 158

Section de l’aménagement durable des territoires Saisie gouvernementale : « Mission sur le commerce » (Mme Eveline DUHAMEL, rapporteure, M. Patrick MOLINOZ, rapporteur) 10h00 : audition de M. Yannick IMBERT, directeur des Affaires territoriales et publiques du groupe La Poste, de M. Olivier STORCH, Directeur général adjoint de Géo Post et de Mme Smara LUNGU, déléguée aux affaires territoriales et parlementaires 11h00 : table ronde « Organisations du Commerce » avec la participation de : – M. Jacques CREYSSEL, délégué général de la Fédération du commerce et de la distribution – M. Dominique ANRACT, 1er président adjoint de la Confédération générale de l’alimentation de détail (CGAD) et Mme Isabelle FILLAUD, responsable des questions économiques, européennes et juridiques – M. Francis PALOMBI, président de la Confédération des commerçants de France, et de Mme Bénédicte BOUDET-CORRIC, déléguée générale – M. Yohann PETIOT, directeur général de l’Alliance du Commerce Mercredi 2 décembre 2020 à 10 heures Visioconférence Section de l’agriculture, de la pêche et de l’alimentation Saisine : Quelle pêche durable en mer face au changement climatique (MM. Gérard ROMITI et Jean-Louis JOSEPH, rapporteurs) Audition de M. Didier GASCUEL, professeur en écologie marine à Agrocampus Ouest à Rennes et de Mme Clara ULRICH, directrice scientifique adjointe de l’IFREMER Mercredi 2 décembre 2020 à 13 heures Visioconférence Délégation aux droits des femmes et à l’égalité 13h00 : audition exploratoire : Mme Nathalie BAJOS (INSERM), Mme Claire-Lise DEBOST, (DARES), Mme Catherine POLLAK (DREES) Mercredi 2 décembre 2020 à 14 heures Visioconférence Section de l’Économie et des finances Saisine : Le financement des investissements nécessaires pour l’avenir : enjeux et déclinaisons (Mme Patricia BLANCARD, rapporteure, M. Didier GARDINAL, rapporteur) 9h30 : audition de M. Guillem CANNEVA, directeur de cabinet adjoint chargé du logement au cabinet d’Emmanuelle WARGON, Secrétaire d’Etat à la transition écologique et solidaire 15h30 : audition de M. Narendra JUSSIEN, directeur de l’École nationale supérieure des mines d’Albi-Carmaux (Institut Mines-Télécom) accompagné de M. Ange NZIHOU, enseignant-chercheur à IMT Mines Albi-Carmaux Mercredi 2 décembre 2020 à 14 heures 15 Visioconférence Section du travail et de l’emploi Examen d’une note de saisine relative aux reconversions professionnelles 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 134 sur 158

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE DES ARMÉES

Avis relatif aux concours externes d’admission à l’Ecole de l’air en 2021

NOR : ARML2032898V

1. Nature des concours Dans le cadre de l’admission à l’Ecole de l’air (EA), les concours suivants sont organisés en 2021 :

1.1. Concours sur épreuves ouverts aux candidats et candidates titulaires d’un diplôme de fin de second cycle de l’enseignement secondaire général, technologique ou professionnel ou titre reconnu équivalent, ou d’un autre titre ou diplôme classé au moins au niveau 4 – trois concours sur épreuves filières « mathématiques-physique (MP) », « physique-chimie (PC) » et « physique-sciences de l’ingénieur (PSI) » donnant accès au corps des officiers de l’air, des officiers mécaniciens de l’air et des officiers des bases de l’air ; – un concours sur épreuves filière « physique-technologie (PT) » donnant accès au corps des officiers mécaniciens de l’air.

1.2. Concours sur titres ouverts aux candidats et candidates titulaires d’une licence de l’enseignement supérieur général ou technologique ou titre reconnu équivalent ou d’un autre titre ou diplôme classé au moins au niveau 6 – un concours licence option « sciences » donnant accès au corps des officiersde l’air, des officiersmécaniciens de l’air et des officiers des bases de l’air ; – un concours licence option « sciences politiques » donnant accès au corps des officiers de l’air et des officiers des bases de l’air.

1.3. Concours sur titres ouvert aux candidats et candidates titulaires d’un diplôme conférant un grade de master mentionné aux articles D. 612-34 et D. 612-35 du code de l’éducation ou titre reconnu équivalent par le ministre chargé de l’enseignement supérieur ou d’un titre d’ingénieur diplômé délivré dans les conditions fixées par l’article L. 642-1 du code de l’éducation ou tout diplôme ou titre reconnu de niveau 7 par le ministère de l’enseignement supérieur Un concours donnant accès au corps des officiers de l’air, des officiers mécaniciens de l’air et des officiers des bases de l’air.

2. Conditions à remplir Etre français ou française au regard du code de la nationalité française et satisfaire aux conditions fixées pour l’accès à la fonction publique (en cas de « double nationalité », le préciser) (1). Etre titulaire d’un des diplômes cités au point 1. du présent avis de concours, au plus tard le 1er décembre de l’année d’admission à l’EA. Conditions d’âge : – être âgé ou âgée de dix-sept ans au moins à la date du recrutement ; – être né ou née après le 31 décembre 1998 pour les concours cités aux points 1.1.et 1.2. du présent avis de concours. Etre né ou née après le 31 décembre 1995 pour le concours cité au point 1.3 du présent avis de concours. L’attention des candidats et candidates est particulièrement attirée sur les dispositions suivantes : Les conditions de recrutement sont définies par l’article L. 4132-1 du code de la défense et par le décret no 2008-943 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier des corps des officiers de l’air, des officiers mécaniciens de l’air et des officiers des bases de l’air ; Nul ne peut se présenter plus de trois fois au même concours, conformément à l’article 6.2 du décret no 2008-943 du 12 septembre 2008 précité ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 134 sur 158

Avoir satisfait aux obligations du code du service national, conformément à l’article 7 du décret no 2008-943 du 12 septembre 2008 précité ; Remplir les conditions médicales et physiques d’aptitude exigées des candidats et candidates par l’arrêté du 27 juillet 2011 modifié relatif aux conditions médicales et physiques d’aptitude exigées des candidats aux concours d’admission dans les écoles militaires d’élèves officiers de carrière de l’armée de l’air, des officiers de l’armée de l’air issus de l’Ecole polytechnique et des candidats pour un recrutement au choix dans les corps des officiers de l’armée de l’air.

3. Inscription aux concours 3.1. Concours sur épreuves Les modalités d’inscription sont définies dans les notices relatives à l’organisation des concours délivrées par la Banque du Concours commun « INP » (Banque CCINP) pour les filières MP, PC, PSI et la Banque Physique et Technologie (Banque PT) pour la filière PT. Le candidat ou la candidate doit impérativement respecter la procédure commune d’inscription du Service de concours écoles d’ingénieurs (SCEI) sur le site internet http://www.scei-concours.fr fixée du jeudi 10 décem­ bre 2020 au mardi 12 janvier 2021 à 17 heures. Aucune inscription ne sera acceptée après cette date.

3.2. Concours sur titres Les inscriptions auront lieu via la page dédiée à chacun des concours sur le site internet de l’EA https://ecole-air- espace.fr/devenir-officier/ selon le calendrier ci-dessous : – concours sur titres licence option « sciences politiques » : du lundi 18 janvier au vendredi 12 février 2021 ; – concours sur titres licence option « sciences » : du lundi 25 janvier au vendredi 19 février 2021 ; – concours sur titres « niveau baccalauréat + 5 » : du lundi 7 au jeudi 31 décembre 2020. Les notices par concours précisant les conditions d’organisation et de déroulement des concours ainsi que les coefficients attribués aux différentes épreuves seront consultables et téléchargeables sur le site de l’EA.

4. Nombre de places offertes Le nombre de places offertes par concours et par corps d’officiers sera précisé par arrêté publié au Journal officiel de la République française disponible sur le site de l’EA.

5. Renseignements complémentaires Tout renseignement complémentaire peut être obtenu auprès de la division examens sélections et concours de la direction des ressources humaines de l’armée de l’air : – téléphone : 02-36-16-25-54 ou 02-47-85-82-00, poste 25696 ou 25325 ; – courriel : [email protected].

(1) Pour les concours sur épreuves, filières MP, PC, PSI et PT, les étudiants étrangers sont autorisés à se présenter mais leur autorisation à concourir et l’admission à l’Ecole de l’air sont soumises à décision de la direction des ressources humaines de l’armée de l’air (DRH-AA). 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 135 sur 158

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION

Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur

NOR : AGRS2031415V

L’emploi de sous-directeur du développement professionnel et des relations sociales au service des ressources humaines du secrétariat général du ministère de l’agriculture et de l’alimentation est susceptible d’être prochainement vacant. L’emploi s’exerce au 78, rue de Varenne, à Paris 7e.

Description de la structure et missions principales de l’emploi La sous-direction du développement professionnel et des relations sociales anime le dialogue social et les relations collectives du travail. Elle élabore les textes réglementaires, notamment ceux relatifs aux statuts des personnels. Elle pilote la politique de formation continue des personnels et coordonne la mise en œuvre des formations, à l’exception de celles concernant les personnels d’éducation et de formation. Elle exerce la tutelle de l’Institut national de formation des personnels du ministère de l’agriculture et de l’alimentation (INFOMA). Elle est responsable de l’action sanitaire et sociale, ainsi que de l’hygiène et de la sécurité du travail. Elle organise les recrutements des agents, par le biais des concours. Elle instruit les droits à pension. La sous-direction du développement professionnel et des relations sociales comprend cinq bureaux : – le bureau des politiques statutaires et réglementaires ; – le bureau des concours et des examens professionnels ; – le bureau de la formation continue et du développement des compétences ; – le bureau de l’action sanitaire et sociale ; – le bureau des pensions. Sous l’autorité du chef de service des ressources humaines, le sous-directeur du développement professionnel et des relations sociales veillera particulièrement : – à l’animation et à la coordination du dialogue social pour le ministère, notamment au travers de l’organisation des comités techniques ministériels, des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) ministériels et du suivi des chantiers inscrits à la feuille de route sociale ministérielle, notamment ceux relatifs aux évolutions statutaires ; à ce titre, il ou elle organise les élections professionnelles 2022 ; – à la poursuite des travaux en matière d’organisation du travail, et notamment du télétravail, et des travaux visant à l’amélioration de la qualité de vie au travail des agents ; – à la veille juridique ressources humaines, à l’élaboration des projets d’évolution des statuts particuliers des corps du ministère, au pilotage des dispositifs transversaux en faveur de la déontologie et de la laïcité ; – à la qualité des dispositifs d’action sociale ministérielle et interministérielle en faveur des agents du ministère ; – à la conduite de la politique ministérielle en faveur de l’accueil et de l’inclusion des agents en situation de handicap ; – à la poursuite des travaux engagés dans le domaine de la santé-sécurité au travail en liaison avec le président du CHSCT ministériel ; – à organiser les concours en veillant à la qualité et à la sécurisation des opérations de recrutement ; – à assurer le pilotage de la formation continue des agents, l’établissement et la mise en œuvre du plan de formation ministériel, et la coordination de l’accompagnement de l’encadrement via le plan managérial ministériel ; – à assurer la qualité des comptes individuels retraite des agents et l’admission retraite, en lien avec le service de retraite de l’Etat. Dans le contexte de la stratégie de transformation de l’Etat engagée par le Gouvernement, la sous-direction a vocation à contribuer aux réflexions qui seront initiées au sein du service pour contribuer à l’évolution de la fonction RH au sein du ministère sur la base d’un diagnostic réalisé en 2021. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 135 sur 158

Il est membre du comité de direction du service des ressources humaines.

Profil recherché Une expérience minimale de six ans d’activités professionnelles diversifiées et qualifiantes pour l’exercice des fonctions de sous-directeur d’administration centrale est requise. Compétences requises : Le poste requiert des compétences en matière de gestion des ressources humaines, de droit de la fonction publique, et la compréhension des enjeux en matières statutaire, de rémunération et de développement des compétences. Une appétence pour la matière juridique ou une expérience en la matière sera fortement appréciée. De fortes capacités relationnelles, de communication, de négociation et de travail en équipe sont attendues pour ce poste, ainsi que le goût et la pratique du dialogue social. Nature et niveau des expériences professionnelles attendus : Une expérience en management et animation d’équipe est indispensable. Une expérience confirmée dans le domaine du dialogue social et de la négociation est fortement souhaitée. Une connaissance du ministère de l’agriculture et de l’alimentation, de son organisation, de son fonctionnement et de sa politique RH serait appréciée.

Conditions d’emploi Les conditions d’emploi sont fixées par les articles 11 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat. La durée d’occupation de l’emploi est de 3 ans, renouvelable une fois. En application de l’article 13 du décret précité, la période probatoire est fixée à 6 mois. La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe brute comprise entre 40 000 € et 66 000 € et une part variable brute, dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise, comprise entre 42 000 € et 46 000 €. Un complément indemnitaire sera également versé en fonction de la manière de servir au cours de l’année précédente.

Procédure de recrutement La procédure de recrutement est fixée par les articles 2 à 10 du décret du 31 décembre 2019 précité. La secrétaire générale du ministère de l’agriculture et de l’alimentation est l’autorité de recrutement et d’emploi. Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, sont transmises, dans un délai de 15 jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, uniquement par courriel aux adresses suivantes : – [email protected] ; – [email protected]. L’autorité de recrutement procède à la vérificationde la recevabilité des candidatures. Elle en accuse réception et présélectionne les candidats à auditionner. L’audition des candidats est confiée à l’instance collégiale prévue par l’article 6 du décret 31 décembre 2019 précité. Elle est présidée par la secrétaire générale ou son représentant. A l’issue de la procédure, les candidats non retenus sont informés.

Formation Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de sous-directeur suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux sous-directeurs. Ce séminaire interministériel de management combine notamment des apports théoriques, des témoignages de cadres dirigeants et des travaux de groupes. Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront dans le même délai un module de formation adapté.

Déontologie L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration d’intérêts préalable à la nomination. Toutefois, dans le cas où la personne retenue aurait exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité hiérarchique.

Contacts Tout renseignement complémentaire peut être obtenu auprès de : – M. Xavier MAIRE, chef du service des ressources humaines à l’adresse [email protected] ; 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 135 sur 158

– Mme Nadine RICHARD-PEJUS, adjointe au chef du service des ressources humaines à l’adresse nadine. [email protected] ; – Mme Claudine LEBON, déléguée à la mobilité et aux carrières à l’adresse [email protected]. fr.

Références Loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires. Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l'échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux administrations de l'Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l'Etat et de ses établissements publics. Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de directions de l’Etat. Arrêté du 6 février 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère de l’agriculture et de l’alimentation. 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 136 sur 158

Informations diverses

Cours indicatifs du 27 novembre 2020 communiqués par la Banque de France NOR : IDIX2000236X

(Euros contre devises) 1 euro...... 1,192 2 USD 1 euro...... 6,402 1 BRL 1 euro...... 124,23 JPY 1 euro...... 1,549 7 CAD 1 euro...... 1,955 8 BGN 1 euro...... 7,842 2 CNY 1 euro...... 26,213 CZK 1 euro...... 9,240 4 HKD 1 euro...... 7,441 5 DKK 1 euro...... 16 868,74 IDR 1 euro...... 0,894 42 GBP 1 euro...... 3,955 7 ILS 1 euro...... 362,32 HUF 1 euro...... 88,301 5 INR 1 euro...... 4,490 7 PLN 1 euro...... 1 318,04 KRW 1 euro...... 4,873 6 RON 1 euro...... 23,940 2 MXN 1 euro...... 10,172 3 SEK 1 euro...... 4,851 7 MYR 1 euro...... 1,082 6 CHF 1 euro...... 1,7 NZD 1 euro...... 159 ISK 1 euro...... 57,375 PHP 1 euro...... 10,563 NOK 1 euro...... 1,595 5 SGD 1 euro...... 7,557 7 HRK 1 euro...... 36,148 THB 1 euro...... 90,989 4 RUB 1 euro...... 18,265 7 ZAR 1 euro...... 9,328 6 TRY 1 euro...... 124,23 CNH 1 euro...... 1,618 2 AUD 28 novembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 137 sur 158

ANNONCES

Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative

Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche

Autres annonces : [email protected] ou DILA, DIRE JOURNAUX OFFICIELS, TSA No 71641, 75901 PARIS CEDEX 15

(L'Administration décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)

DEMANDES DE CHANGEMENT DE NOM

(textes 137 à 158)

En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"

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